Innova Magazine - Année 1 - No 2 - Octobre 2012

Page 1

Année I | Numéro 2 | Octobre 2012

in nova tourisme

culture

fashion

shopping

Interview avec Ertuğrul Günay, Ministre de la culture et du tourisme Huaca Pucllana: une expérience unique au Pérou Roberto Verino: “J’aime faire des vêtements pour que les gens soient joyeux”

Lisbonne

Visitez les lieus mythiques de la capitale portugaise




sommaire Année I | Numéro 2 | Octobre 2012

in nova tourisme

culture

fashion

shopping

Interview avec Ertuğrul Günay, Ministre de la culture et du tourisme Huaca Pucllana: une expérience unique au Pérou Roberto Verino: “J’aime faire des vêtements pour que les gens soient joyeux”

Lisbonne

Visitez les lieus mythiques de la capitale portugaise

culture Au “Colón”! Le grand théâtre de Buenos Aires

culture Les Ongles rouges de María Toledo

6

patrimoine Auberge du Dragon à Madrid

38

10

gestion touristique Tour de shopping: la nouveauté à Madrid

40

tourisme Écotourisme à Mae Kapong

15

mode Roberto Verino: “J’aime faire des vêtements pour que les gens soient joyeux”

42

tourisme Lisbonne Visitez les lieus la capitale portu

mode Sara García et univers IMPUR


INNOVA MAGAZINE Année 1. Numéro 2 Édition octobre 2012

Coordination internationale Ilenia Piccioni inter@innova-magazine.com

Coordinateur France et les Pays Arabes Jose Luis Baciero jbaciero@innova-magazine.com

Innova Magazine est un magazine de Innova Taxfree, s.l.

Communication et Marketing María Rodríguez marketing@innova-magazine.com

COLLABORATEURS

CEO Luciano Ochoa de Abreu Directeur Antonio Santos asantos@innova-magazine.es Édition et coordination Adriana Morán Sarmiento adriana@innova-magazine.com Directeur de technologie Abel Santolino abel@innova-magazine.com Conception graphique Daniel Pérez Arcas daniel@innova-magazine.com

mythiques de ugaise

19

son RIBUS

47

shopping Si facile comme acheter à Lisbonne

24

gourmet Huaca Pucllana: une experience unique au Pérou

51

Country manager China Lucía Galarza lgalarza@innovataxfree.com Country manager France Stéphane Parcigneau sparcigneau@innovataxfree.com Country manager Italie Giuseppe Novara gnovara@innovataxfree.com Country manager Portugal José Félix Ferreira jfelix@innovataxfree.com Country manager UK Merton Smith msmith@innovataxfree.com

Alba Paloma Carrillo Antonio Jesús Luna y Emerio Arena Room Digital Çagla Çakici Valentina García Plata Patricia Rodríguez Ovejero Agencia Tur Noticias CONTACTE: innova taxfree group Calle Velázquez 140 - 1º izq E-28006 Madrid t. +34 915 237 004 f. +34 915 230 338 info@innova-magazine.com www.innova-magazine.com

in nova

interview Ertuğrul Günay, Ministre de la culture et du tourisme de la Turquie

27

tendances Place to be: Restaurant El Willi de Shanghai / Villa C, Hotel & Spaa

55

patrimoine Pingyao: Un voyage aux Dynasties Ming et Qing

tendances Fanstudio

32 58


in nova

Au Colón !

Le grand théâtre de Buenos Aires Bâti il y a plus d’un siècle, le Théâtre Colón est un des icônes argentins de l’art, de la musique et de la danse. À l’hauteur des grands colisées du monde, il est le foyer des célèbres artistes et un des plus importants grâce à sa taille, son acoustique et sa trajectoire. Agencia Tur Noticias


culture |

U

ne des visites imperdables pour tout étranger visitant Buenos Aires -la capitale argentineest le Théâtre Colón, un des cinq meilleurs colisées au monde pour l’opéra grâce à son acoustique spectaculaire qui «mène» le son vers tout spectateur de l’enceinte, n’importe où il se trouve. À quelques mètres de l’Obélisque, il nous invite à découvrir un des icônes de consécration pour tout artiste national, et un espace dédié à l’art grandement vénéré par le public, grâce à la somptuosité de sa décoration, la qualité de ses présentations et les caractéristiques de son architecture. Il n’a rien à envier à la Scala de Milán, la Wiener Staatsoper, l’Opéra Semper à Dresde ou l’Opéra de Paris: le Théâtre Colón a été récemment restauré et modernisé quant à la technologie pour récuperer l’éclat original d’une salle avec plus de 100 ans d’histoire.

Il s’agit d’un réfuge pour la musique et la danse qui a été et qui est aujourd’hui le foyer des grands artistes comme les danseurs Julio Bocca, Maximiliano Guerra et Paloma Herrera; et auberge des compositeurs comme Richard Strauss et Igor Stravinsky; directeurs de la taille de Daniel Barenboim et Karl Böhm; et des chanteurs comme Plácido Domingo, Enrico Caruso et Luciano Pavarotti, entre beaucoup d’autres. « Au Colón! » est une des phrases typiques utilisées en Argentine pour ceux qui ont du succès aux plus diverses expressions culturelles. Parce, dans l’imaginaire collectif, le Théâtre Colón rassemble le statut artistique le plus haut de l’histoire. En fait, il a même été l’inspiration des œuvres littéraires comme Le Grand Théâtre de Manuel Mujica Láinez, basé sur la représentation de l’opéra Parfisal de 1942.


in nova Histoire d’un icône L’ancien bâtiment du Théâtre Colón était face à la Place de Mai de Buenos Aires et sa capacité était de 2.500 personnes. Inauguré en 1857, le bâtiment a eu, pour la première fois en Argentine, des tirants et une armature en fer; les chandelières et les lustres fonctionnaient avec du gaz; et le stage était le plus grand de l’époque. Il a fonctionné seulement trois années, et il a mis en scène un ample répertoire, avec la première des opéras allemands chantés en italien, comme on faisait dans quelques pays européens. Il a du finalement fermer ses portes en 1888 pour céder la place à la siège de la Banque Nationale Argentine. Déclaré Monument Historique National en 1989, la construction du bâtiment actuel du Théâtre Colón a duré plus de 20 ans. Pensé originalement à la fin du XIXe siècle par l’ingénieur Francesco Tamburini, la construction du bâtiment a été confiée à l’architecte Vittorio Meano, remplacé peu après par son disciple belge Jules Dormal. Ce changement obligé des directeurs d’œuvre a donné au bâtiment une mélange de styles qui conforment un admirable exemplaire «éclectique» du XIXe siècle. D’après le propre Meano, le théâtre étale les caractéristiques générales de la Renaissance italienne; la bonne distribution et solidité de l’architecture allemande; et le charme, la variété et l’ornementation de l’architecture française.

Caractéristiques du bâtiment La construction a duré deux décades, et le Théâtre Colón a été officiellement inauguré le 25 mai 1908 avec la présentation d’Aida, de Giuseppe Verdi. Les travaux dans les détails et les intérieurs ont duré deux années plus, devenant avec le couler du temps un des monuments historiques les plus importants à Bue-

nos Aires, comme le Palais de Congrès et la Maison Rose. Le bâtiment, dans la rue Cerrito (Avenue 9 de Julio), entre Tucuman et Libertad, a une surface de 58 mil mètres carrés. La capacité de la salle principale est de 2.487 personnes assises et 4 mil debut. Elle est divisée en sept niveaux et est une des plus grandes au monde avec 32 mètres de diamètre, 75 de profondeur et 28 d’hauteur. D’entre les détails qui font ressortir le Colón on trouve sa riche décoration en couleurs doré et écarlate; un stage avec une profondeur de 35 mètres et forme de fer à cheval à l’italienne; un lustre central avec 700 ampoules électriques; et une coupole avec des motifs musicaux peintée en 1966 par le célèbre artiste Raúl Soldi. Cette coupole a remplacé l’originale de Marcel Jambon, abîmée dans les années 30 par les filtrages d’humidité. Beaucoup des éléments et ornementations du Théâtre ont été apportés spécialement dès l’Europe, comme un lumineux vitrail fait à la maison Gaudin de Paris, et qui se trouve au hall d’entrée, ou comme les marbres jaunes et roses de Sienne et du Portugal. En plus, le Salon Doré (siège des concerts de chambre, des conférences et des expositions d’entrée libre et gratuite) est inspiré du Grand Foyer de l’Opéra de Paris.


culture |

Information utile Les visites guidées ont lieu chaque jour entre 9h et 17h chaque 15 minutes. Le prix est US$ 25. Les quartiers les plus visités de Buenos Aires sont Abasto, Puerto Madero, San Telmo, Recoleta, Palermo, La Boca et, au centre-ville, les circuits par l’Avenida de Mayo, Corrientes et 9 de Julio. Pour se déplacer en ville il y a un complète système de transport : des taxis et des remises, six lignes de métro, plus de cent lignes de bus et des trains interurbains. Les prix des hébergements de première catégorie se trouvent entre US$ 170 et US$ 460; il y a des hôtels à trois étoiles dont les prix sont environ US$ 100, et aussi des options mieux marchées dont les prix sont entre US$ 36 et 45. Il y a 175 salles de théâtre, 189 cinémas et 3.500 restaurants à Buenos Aires.


in nova

Les «ongles rouges» de

María Toledo

María Toledo est une compositrice, pianiste et cantaora, et elle est aussi la première femme dans l’histoire du flamenco qui combine sa voix avec le piano. Cette richesse musicale brise toute barrière pour parcourir les routes sans fin de la musique.

José Luis Baciero

Gentillese Presse María Toledo

L

a musique de l’espagnole María Toledo ne sait pas de normes ou d’étiquettes, ella va dès le flamenco le plus traditionnel jusqu’à la fusion avec des autres mélodies. La chanteuse sens qu’on vit des temps d’union, d’addition, d’enrichissement, et pour cela elle pinte ses ongles en rouge, s’assoit au piano, met des violines ou des contrebasses avec des cajones et des guitares espagnoles, et elle marche avec aisance et liberté par sa vie, la musique. “Il est inévitable que, quand je sors en scène et chante quelque chose qui me touche beaucoup, ça ne se voie pas”, dit-elle. - Pour quoi les «ongles rouges» comme une marque d’identité ? - Les ongles rouges sont quelque chose si personnelle maintenant que je n’imagine pas changer de couleur de vernis. Mais, comme la plupart des artistes, nous sommes des personnes que, bien si nous savons qu’est-ce que nous voulons, ça dépend du jour. Nous le voyons comme cela, et

par conséquent je ne dis jamais «no» à un changement, mais je meurs pour la couleur rouge dans la mode, et dans mes ongles, elle est indispensable pour moi. Et je ne peux qu’est-ce qu’elle a, la couleur rouge, ella me donne de la sécurité (elle rit). - Et cette énergie vous les transmettez à… - Je suis amie de mes amis, et j’aime garder les personnes qui m’aiment. Je ne te téléphone pas seulement pour chanter ou pour jouer ensemble. C’est pour cela, le fait de que les collaborations surgissent d’une relation naturelle, qu’on peut sentir ça dans le disque. - Vous êtez une grande amateur des réseaux sociaux. Que pensez vous sur ces nouveaux moyens de communication ? - Aujourd’hui les réseaux sociaux sont mes meilleurs alliés. Grâce à eux j’ai connu des gens merveilleux, comme mon #batallónuñasrojas («bataillon ongles


culture | rouges»), un groupe de personnes qui me soutient tous les jours. Avec les réseaux sociaux, si c’est toimême qui les gère (ce qui serait la chose à faire), tout le monde peut voir comme est-ce que tu es, et ils ont la possibilité de te connaître un peu plus. - C’est lequel le secret pour continuer à être si familier et rester avec pieds sur terre ?

- Ma famille, dès le commence, me surveille de très près, en nous sommes des personnes avec les pieds sur terre. C’est laquelle la différence entre une personne qui chante et une autre qui soigne notre santé ? Tous les deux avons besoin l’un de l’autre. En fait, moi, j’ai plus besoin du médecin qu’eux de la musique (elle rit), donc il n’y a pas des raisons pour se croire quelque chose d’important. Le fait de que la vie ou le destin soit plus facile pour quelques-uns que pour quelques-autres ne donne personne le droit à regarder personne d’une manière différente. La roue tourne. - Lequel a été le moment le plus spécial de votre carrière ? - Quand RTVE m’a décerné, grâce à l’audience, le prix au «Meilleur disque débutant» pour mon premier disque. Cela fut quelque chose de magique, parce qu’enregistrer ce disque a été très dur pour moi. La première porte n’a pas été ouverte, et c’est pour cela que, quand tu luttes chaque jour pour ton rêve et il arrive finalement, les sensations qui t’arrivent son merveilleuses. - Vous avez dit une fois que «la musique est un luxe. Avec la crise, on doit remercier aux gens qui dépense de l’argent pour aller aux concerts.» Comment faites vous de la promotion en temps de crise ? - C’est vrai, je remercie chaque jour de ma vie à tous les personnes qui vont au théâtre pour voir des concerts, parce que je comprends les temps qu’on vit. Je crois que la meilleure promotion est de ne cesser jamais de chanter et que tes gens sachent de toi, de n’importe quelle façon, mais qu’ils puissent savoir que ce n’est pas seulement la musique qui est importante pour toi, mais aussi les personnes en l’écoutant. - Est-ce vous avez trouvé votre sort ? - Mon sort est d’avoir la famille que j’ai, qui m’a soutenu dès le commence, et les collègues qui j’ai trouvé tout au long du chemin. Mais personne m’a donné rien, personne n’est


in nova venu pour m’offrir sur un plateau ma carrière musicale, mais chaque jour est un petit pas plus. Je ne renonce jamais. Si il a quelque chose que je veux, j’essaie de l’obtenir et, si ce n’est pas possible, au moins j’ai essayé d’y arriver. Si bonne chance est d’étudier chaque jour, de beaucoup répéter pour après, en stage ou quand un de tes disques sort sur le march, le résultat soit au moins comme ce que tu veux, donc, appelons ça de la bonne chance. Mais pour moi cela est travailler ce qui est nécessaire pour que les choses sortent bien. - Quoi rend María Toledo heureuse ? - Chanter aujourd’hui, parce que c’était mon rêve dès que j’étais petite. Me voir aujourd’hui en scène, réalisant mon rêve, me comble. Mais ce n’est pas seulement la musique qui me rend heureuse, mais aussi jouir de ma famille, savoir que nous avons de la santé pour continuer. Et si de temps pires soient

à venir, l’union et le soutien des personnes que j’aime. J’ai beaucoup des choses qui me rendent heureuse. Je suis heureuse. - De quoi a besoin la musique ? - Je crois que la musique à en soi-même tout ce qui est nécessaire pour jouir d’elle. Elle n’a besoin de rien. Ce qui ont besoin sont les personnes, nous. Nous avons besoin des politiques qui ne nous rendent les choses plus difficiles pour pouvoir montrer notre musique aux personnes qui nous supportent. - Quoi vous rend plus fière de la musique espagnole ? - D’avoir été présentée à elle et pouvoir vivre avec elle chaque jour.


L IS BOA Ru a C a s t i l h o 7 3 B 2 1 3 8 6 6 0 7 3 - E l C o r t e I n g l é s k a re n m i l l e n . c o m


Ligne

Windsor Boutique de Paris 127 Boulevard Saint-Germain 75006 PariS - tĂŠl 01 42 97 59 34

www.texier.com


destinations |

Éco-tourisme à

Mae Kampong

Au nord de la Thaïlandie il y existe un village qui a plus de 100 ans et qui a récemment découvert son grand potentiel : l’éco-tourisme. Mae Kampong est la destination verte vers laquelle partent beaucoup des voyageurs en Asie. Un lieu magique pour entrer en contact avec la nature. Gentillesse de www.turismotailandes.com - www.mae-kampong.com

M

ae Kampong a son nom après des divers ruisseaux qui coulent à travers du village, surtout le Mae Nam; et aussi après la fleur native Dok kampong, qui pousse tout au long de ces ruisseaux. 50 km au nord-est de la ville de Chiang Mai, Mae Kampong a été officiellement créée en 1914. Le village est un centre spirituel. Son temple Wat Khantha Phreksa, bâti vers 1953, est le sanctuaire de la communauté. Le temple a été bâti

au milieu de l’eau, pour symboliser la marque de la pierre, typique de la culture thaïlandaise. Aujourd’hui, environ 95 % de la population est bouddhiste. En plus, presque tous les habitants travaillent en relation avec la production du thé fermenté, dont le nom local est «miang». Son project d’éco-tourisme a surgi en 1999 comme une réponse à la disminution de la demande du thé, et avec l’intention d’éviter l’usurpation illégale de la selve et de générer des reve-


in nova nus pour les habitants locaux pour les permettre d’améliorer leur qualité de vie. Aujourd’hui, le village a 3 mil touristes par an.

Une promenade verte Ban Mae Kampong est un typique village du nord de la Thaïlandie. La population locale s’identifie comme des khonmuang, un groupe ethnique qui est arrivé du centre du pays. La communauté productrice du thé fermenté, avec ses coutumes traditionnelles, est une attraction touristique, à part de ses destinations naturelles : La forêt. Le village se trouve dans une colline avec une grande diversité des arbres et des animaux sauvages. La zone forestière comprend aussi les champs de thé. La forêt de la communauté, protégée dès 1993, a une extension d’un kilomètre carré. Elle est idéale pour faire du camping. La cascade. Une petite chute d’eau qui arrose le village. Dans la partie supérieure, on peut observer un paysage inoubliable. La route d’accès s’est développée pour arriver à tous les niveaux de la cascade, avec des salles de repos, un petit pavillon et des tableaux d’observation. La falaise en pierre calcaire. La caractéristique unique de cette falaise en pierre est l’eau du courant qui coule par dessous et qui disparaît avant de sortir de nouveau de l’autre côté de la roche. Le fauteuil à bascule. Cette pierre oscillante est très populaire parmi les touristes locaux. Même si on a besoin de l’effort physique pour la pousser, l’expérience est amusante et enrichissante. Le Jardin en pierre. Il est épandu d’une façon naturelle très proche de la falaise, s’ajoutant à la belle vue du village.


destinations |

Voyager en Thaïlandie Climat : tropical, humide et chaud. Le meilleur moment de l’année pour y voyager est entre novembre et février. La température moyenne dans ces mois est 25ºC.

Langue : La Thaïlandais est la langue officielle. L’anglais et des autres langues occidentelles sont communes parmi la population. Monnnaie : La monnaie de la Thaïlande est le baht. Un euro est environ 49 bahts. On accepte normalement les cartes de crédit les plus courantes.

Pour arriver à Mae Kampong on a besoin d’une voiture 4x4. Il y a des agences de voyages qui offrent des packages complets pour arriver au village.

L’éco-tourisme communautaire Avec la collaboration des leaders du village, on a implémenté le programme d’éco-tourisme communautaire qui est devenu aujourd’hui un référent au monde, surtout grâce à son soin pour protéger les coutumes et les ressources naturels du village. Tout un exemple du tourisme plus durable et authentique. Les activités de l’éco-tourisme comprennent : Des excursions dans le village et 12 maisons familières à disposition du visiteur. De l’hébergement dans des cabanes typiques, qui respectent le style de vie simple des habitants.

Des activités avec les villageois comme tresser du bambou, préparer des herbes médicinales, des récitals de musique avec des instruments locaux ou l’élaboration du thé. Les habitants accueillent aux visiteurs avec des massages et des délicieux plats de la gastronomie traditionnelle du nord du pays. Faire des sports d’aventure, comme la tyrolienne pour se déplacer entre les arbres en sautant de l’un à l’autre. Planter des arbres. Des spectacles culturels.



Lisbonne Visitez les lieus mythiques de la capitale portugaise

La capitale du Portugal est une destination à ne pas perdre. Au bord de la rivière du Tage, Lisbonne est la ville la plus grande du pays, et un des grands noyaux culturaux de l’Europe. Visiter ses monuments, jouir de son excellente gastronomie et se promener par ses parcs sont quelquesunes des attractions cherchées par les touristes du monde entier. Texte et images Gentillesse : Tourisme de Lisbonne / www.visitlisboa.com


in nova

Le Parc das Nações

Il est l’emblème d’une Lisboa contemporaine, un lieu où les Lisboètes viennent se divertir, assister à des spectacles, se promener, faire du sport ou du shopping, travailler et vivre, en harmonie avec un environnement de qualité. Il s’agit d’un grand espace public célébrant l’union de la ville et du fleuve, en mettant parfaitement à profit ses très longues berges, sa vue magnifique sur l’autre rive et le pont Vasco de Gama, le plus long d’Europe. On peut y trouver une ample zone de bars, restaurants, terrasses et boutiques de créateur. Au parc il se trouve le Pavillon de Portugal de l’Exposition Universelle de 1998 (Expo ’98).

D

’après une enquête publiée par l’Observatoire de Tourisme de Lisbonne, 91 % des visiteurs étrangers envisagent retourner à cette destination. C’est que Lisbonne, la capitale du Portugal, est une ville avec un charme unique dans le monde, où 800 ans de diverses influences culturelles se mélangent avec les tendances et les styles de vie les plus modernes. Les lieux les plus visites, comme le château de São Jorge, la Tour de Belém, le Monastère des Jerónimos ou l’ Oceánario de Lisbonne, sont ouverts toute l’année pour accueillir les visiteurs

avides de connaître la culture portugaise, ainsi que de jouir du bon vin et d’écouter le meilleur fado de la région. Lisbonne a une infinité d’alternatives pour les touristes les plus exigeants : de la culture, de l’histoire, du shopping, de la nature, de la gastronomie, et des plusieurs choses à faire dans une ville dont le potentiel touristique croît de plus en plus. Bien que toute la métropole ait des lieux emblématiques, on vous présente ci-sous les principaux lieux à connaître par tout touriste qui visite la ville :


tourisme | La Baixa. Centre commercial de la

ville de tradition, c’est un grand pôle de concentration des boutiques et un endroit unique pour se promener. Un accueil chaleureux rend les courses encore plus agréables. La rue Augusta est l’artère principale de la Baixa Pombalina, reliant le Terreiro do Paço, tourné vers le fleuve et symbole de pouvoir, à la séduisante Place du Rossio. (D. Pedro IV).

Belém. Le quartier le plus représentatif du patrimoine des découvertes. Dès sa plage partirent les caravelles du navigateur Vasco da Gama à la découverte de la route maritime vers l’Inde. Ici, la splendeur de l’ancien empire est présente partout. À proximité du fleuve, vous trouvez encore un autre merveilleux monument de style manuélin, classé lui aussi Patrimoine mondial par l’UNESCO, la Tour de Belém. Edifiée au XVIe siècle sur un projet de Francisco Arruda, la Tour de Belém est constituée d’une tour carrée avec un bastion polygonal, orientée dans l’axe du Tage. Bairro Alto. C’est un des quartiers

CURIOSITÉS HISTORIQUES Selon la légende, Lisbonne a été fondée par Ulysse. Son nom dérive d’«Olissipo », un mot d’origine phénicienne dérivant d’ « Allis Ubbo» qui veut dire « port charmant ». La ville a été dominée par les Arabes pendant 450 ans. Les Chrétiens l’ont reconquise au XIIe siècle. Cependant, ce n’est que vers la moitié du XIIIe siècle que Lisbonne est devenue la capitale du pays. L’Age d’Or de la ville commença en 1498, quand Vasco de Gama découvra la route maritime vers l’Inde.

les plus caractéristiques et charmants pour vivre la ville. Ce quartier typique et populaire possède de nombreux exemples de modernité, avec ses boutiques de prêt-à-porter et de design et ses bars, de nombreux bars. Découvrir toutes ses rues, ses ruelles et ses impasses devient incontournable. On y découvre de bons restaurants côtoyant des librairies intimistes, où il se passe toujours quelque chose, des salons de thé mitoyens avec des boutiques de design et de prêt-à-porter appartenant à quelques-uns des artistes portugais les plus renommés. C’est un quartier passionnant, plein de charme, mêlant audace et sophistication avec tradition et histoire.

L’Ascenseur de Santa Justa. La liaison entre le

quartier du Carmo et la Baixa se fait grâce à un autre monument important de la ville, l’irrésistible Ascenseur de Santa Justa. Conçu par un disciple de Gustave Eiffel, il a un style architectonique particulier. D’en haut, on a une vue exceptionnelle sur la Baixa Pombalina. Vous ne pouvez pas perdre l’occasion de monter ou descendre par cet ascenseur centenaire, le seul ascenseur vertical utilisé pour un service d’utilité publique.


in nova Château de São Jorge. Au sommet de la colline

de São Jorge, la plus haute de Lisbonne, il est un des monuments les plus connus de la ville. Bâti au Ve siècle par les Wisigoths, puis agrandi par les Arabes au IXe siècle et modifié sous Alfonso Enríquez, sa plus grande splendeur était du XIIIe siècle jusqu’au commence du XVIe siècle, quand les rois du Portugal y habitaient.

Pavillon de la Connaissance – Science Vivante.

Est un musée interactif de science et de technologie. À caractère essentiellement ludique, ses

expositions et activités permettent aux enfants d’explorer des thèmes divers et variés de façon active et décontractée. Situé au Parque das Nações, le Pavillon de la connaissance – science vivante a été conçu par l’architecte João Luís Carrilho da Graça et récompensé par le Grand Prix du jury FAD 1999. C’est un bâtiment emblématique du tournant architectonique qu’a connu Lisbonne avec l’Expo’98. Accueillant en moyenne 800 visiteurs par jour, il est aujourd’hui l’un des musées les plus visités au Portugal.

Pavillon Atlántico. Le grand auditorium de Lisboa est l’un des plus modernes et des plus grands auditoriums d’Europe. Avec une capacité de 20 000 places, accueille une centaine d’événements par an, environ. Avec son architecture qui rappelle les lignes des anciens navires utilisés lors des découvertes portugaises, le Pavillon Atlántico est aujourd’hui utilisé pour d’innombrables événements sportifs et accueille les grands spectacles qui se jouent dans la capitale.

Le Monastère des Jerónimos. Il est un des emblèmes de la ville. Bâti sur l’ordre de Manuel I en 1501 et finit cent ans plus tard, il se trouve dans la grandiose Place de l’Empire. Il est composé par d’éléments architectoniques et décoratifs du gothique tardif et de la renaissance, conformant un des bâtiments les plus beaux et grandioses de la capitale.

LA CHANSON DE LISBONNE Fruit d’un sentiment particulier, il révèle une âme qui se sent mais qui ne s’explique pas. A l’heure actuelle, le fado est toujours le produit le plus noble et vrai de la culture populaire portugaise. Certains s’y risquent à différencier entre le fado professionnel et le fado amateur. Dans les maisons de fado vadio (amateur), qui refleurissent aujourd’hui à Alfama et dans d’autres quartiers populaires comme le Bairro Alto, le fadiste n’est jamais invité… il s’invite. Aux maisons de fado on mange du saucisson grillé et on boit du vin. Qui veut chanter, chante, donnant libre cours à ses sentiments.


Ville nocturne Quand le soleil disparaît par l’horizon, se plongeant dans le Tage, Lisbonne montre sa face nocturne : effervescente, extravertie et avec une énergie contagieuse qui dure jusqu’au lever du jour. La vie nocturne de Lisbonne est célèbre pour être une des plus longues et vibrantes en Europe et au monde. Selon les coutumes des lisbonnins, le nuit ne commence qu’à 21 heures, avec un dîner et des amis. Un bon choix serait quelque part avec une bonne cuisine et de la musique live ou un ambiance type bar.

Trois recommandations: 1. Le Bairro Alto est l’un des zones de la ville avec le nombre le plus haut de bars, un point de rencontre pour les jeunes, les artistes et les intellectuels. C’est la zone emblématique des cafés, comme par exemple « A Brasileira », des écoles de beaux-arts et des théâtres. Ses étroites et pavées rues sont comblées tous les soirs, surtout vendredi et samedi, quand tout le monde essaie de profiter au maximum du bref week-end, soit des jeunes qui cherchent des discothèques pour danser, soit des touristes plus âgés qui cherchent des bars tranquilles avec de la bonne musique. 2. La rive nous offre aussi une vie nocturne très égayant, avec les bars et les clubs de l’Avenida 24 de Julio et de la zone de Santos comme les locaux les plus célèbres. À las Docas, Alcántara et San Amaro il y a beaucoup des distractions, et juste à côté du fleuve. Dans la zone de Santa Apolonia il se trouve un des clubs plus à la mode de Lisbonne. 3. Le Casino Lisboa, avec une architecture minimaliste et des grands murs en vierre, compte avec 3 étages avec 1 000 slot machines et 22 tables pour jouer. Avec un tiers de sa surface totale dédiée au jeu, le Casino Lisboa compte aussi avec une grande salle de spectacles, l’Auditório dos Oceanos, ainsi que des bars, trois restaurants et des zones d’animation. Il est un important pôle artistique et culturel.


in nova

Si facile comme faire du

Découvrez la route Innova

Faire du tourisme du shopping dans la capitale portugaise est très facile et amusant, car Lisbonne a une infinité de destinations pour vos courses bien distribuées par toute la ville. Soit des petits souvenirs, soit des vêtements de prestigieuses marques, tout est à porté de n’importe quel touriste.

CENTRE COLOMBO Il est un des dix centres commerciaux les plus grandes d’Europe. Il compte avec plus de 400 boutiques et environ 65 restaurants, un parc d’amusement couvert et les meilleures boutiques de mode. Il se trouve à l’Av. Lusíada, au nord-ouest de la ville.

INFORMATION SUR TAXFREE Au Lisbonne, le taux géneral du TVA au Portugal est 23%. Il y a aussi un taux de 13% et une réduite de 6%. L’achat minimum est 61,35 €. Pour plus des informations sur innova taxfree : info@innovataxfree.com

TOYS “R” US Loja A-009 - Piso 0 www.toysrus.pt 7 CAMICIE Loja 1.149. Piso 1 http://7camicie.com QUIKSILVER Loja 2.066 - Piso 2 www.quiksilver.eu

AMOREIRAS SHOPPING CENTER Il existe depuis 1985 et se trouve dans l’Av. Eng. Duarte Pacheco, au centre-ville. Il compte avec 238 boutiques, partagées entre ses deux étages. On vous recommande.

BCBG MAXAZRIA Loja 2088/90 Piso 2 www.bcbgportugal.com DUNHILL Loja 2151/52 - Piso 2 www.dunhill.com


u shopping à Lisbonne CENTRE VASCO DA GAMA 164 boutiques, dont 36 sont des restaurants, 10 salles de cinéma et un parc infantil. À 15 minutes du centre-ville et à 5 minutes de l’aéroport international. Il se trouve à l’Avenida D. João II.

ALDO Loja 1.053 www.aldoshoes.com/portugal ERICEIRA SURF SHOP Loja 2.095 http://ericeirasurfshop.pt

KAREN MILLEN Rua Castilho, 73-B www.karenmillen.com PORSCHE DESIGN Avenida da Liberdade, 38-H www.porsche-design.com ROSA CLARÁ Avenida da Liberdade, 63 www.rosaclara.es PRONOVIAS Avenida da Liberdade, 105 www.pronovias.pt PURIFICACIÓN GARCIA Avenida da Liberdade, 150 www.purificaciongarcia.com CAROLINA HERRERA Avenida da Liberdade, 156 www.carolinaherrera.com ALE-HOP Rua Augusta, 184 http://ale-hop-portugal.com

AXE DE LA AVENIDA DA LIBERDADE – BAIXA – CHIADO La Avenida da Liberdade commence dans la Plaça dos Restauradores du quartier de La Baixa. C’est la plus importante de Lisbonne. Avec ses 900 mètres et ses six voies de circulation, elle a encore ses pavés décorés avec des dessins abstracts.. La Rua Castilho au nord-ouest, et la Rua Augusta, au sud, joignent cette route.

PARFOIS Rua Augusta, 14 www.parfois.com


porsche design

porsche design fashion

Ă&#x;1000

Porsche Design Lisboa | Av. da Liberdade, 38H | 1250-145 Lisboa | Tel [ +351] 210936246 | pdavenida@famoustamp.pt www.porsche-design.com

www.facebook.com/porschedesign.pt


interview |

Ertuğrul Günay, Ministre de la culture et du tourisme de la Turquie

“Le tourisme est le secteur leader de notre économie” En 2023, la Turquie fêtera le centenaire de sa fondation et pour ce moment là elle comme but devenir un des premiers cinq pays au monde quant au tourisme réceptif. Ertuğrul Günay, Ministre de la culture et du tourisme de la Turquie, assure que le tourisme peut être considéré comme le secteur clé dans le développement économique du pays. Adriana Morán Sarmiento

D

es mosquées et des châteaux, des paysages exotiques et inoubliables, ainsi qu’une vaste variété d’options pour s’amuser, font de la Turquie un pays privilégié pour le tourisme. Grâce à sa situation entre l’Asie et l’Europe, et entre trois mers, la Turquie est un port sûr pour les touristes des quatre coins du monde. En 2008, elle a été cataloguée comme le quatrième pays le plus visité pour l’Organisation Mondiale du Tourisme.

Gentillesse du Bureau de tourisme de la Turquie Un carrefour historique entre la culture orientale et l’occidentale, la région turque profite au maximum ses possibilités. C’est pour cela que le Ministère de la culture et du tourisme, commandé par Ertuğrul Günay, a dessiné en 2007 un Plan stratégique de tourisme avec des projets jusqu’au 2023, an du centenaire national. La vision de ce plan est basée sur l’adoption de


in nova l’approche du tourisme durable et de l’augmentation de l’emploi pour que le tourisme devienne le secteur pionnier du développement régional et, de cette façon, faire de la Turquie une marque internationale, la rangeant entre les cinq destinations principales au monde. « À l’occasion du centenaire nous sommes en train de délinéer où veut-il arriver le tourisme, le secteur leader de notre économie, et lesquels sont-ils les processus d’application », a dit le Ministre Günay à innova-magazine.

Les objectifs les plus remarquables de la gestion

Créer des régions touristiques de marque et attirer la concurrence vers ces zones.

Créer des villes de tourisme offrant une combinaison des services touristiques propres à chaque région.

Mettre en fonctionnement les mécanismes de direction où les décisions du secteur, les problèmes et les questions de financement soient pactisés en collaboration avec les acteurs centraux, locaux et civils.

Éliminer les différences entre les régions et contribuir à l’objectif de developement durable.

- La Turquie espère arriver, en 10 ans, aux 50 millions des touristes par an, comment prévoyez-vous la durabilité du marché ? - D’un côté, on va essayer de créer des diversités dans le tourisme. De l’autre, on suit les expectatives et les tendances du monde pour offrir des produits appropriés pour eux. On va annoncer au monde les valeurs qu’on a, dans l’équilibre de la protection et de l’utilisation. On va planifier le tourisme en protégeant l’équilibre écologique et en soignant la nature et, au même temps, on va améliorer nos standards de service, à un haut niveau, et on va rendre le client satisfait en tout moment, surtout. - Vous avez parlé de la diversification des attractions, comment soutenez-vous cette idée? - La Turquie a une importante variété de tourisme alternatif; et ce fait, bien naturellement, nous rendre plus riches quant aux éléments qui créent des attractions. Nous sommes un des acteurs les plus importants et indispensables du tourisme mondial grâce à l’expérience de l’Histoire et de la civilisation, le dynamisme social, la richesse culturelle et une géographie unique. La grande variété de tourisme des congrès, tourisme religieux, de golf, sports d’hiver, santé, écotourisme, etc., par nous offerte, renforce cette position.

- Les revenus du secteur tourisme ont augmenté du 150 % en arrivant aux 25 billions de dolars, est-ce que c’est le secteur le plus consolidé du pays ? - Le tourisme est un des secteurs les plus importants qui génère des revenus en Turquie. Il est une source importante de devise et des nouveaux employés, et il est aussi un facteur important dans la balance des paiements. Bien sûr, on a donné beaucoup d’importance au développement et au progrès social pour éviter la chute de cette augmentation, et comme résultat il a amélioré quant aux investissements. Pour nous, le tourisme n’est pas seulement un revenu éco-


interview | nomique, parce qu’il joue un rôle important en fournissant une communication internationale, culturale et sociale, ainsi qu’un effet de liaison pour la préservation de la paix mondiale. - Comment est promu le tourisme interne dans ce plan ? - Heureusement, dans les dernières années on a pu observer une croissance du tourisme interne de la Turquie. Les fêtes religieuses et nationales et les vacances du Nouvel An jouent un rôle important dans cette croissance. Des voyages courts de fin de semaine, d’une journée ou des voyages de quelques jours nous montrent aussi que le tourisme interne est ouvert au développement. Pour tout cela on est en train de créer des attractions comme des «campagnes de réservation anticipée». En plus, notre ministère est en train de travailler pour la diversification des options des produits, des établissements, et des programmes, et il soutient les recherches pour augmenter la capacité locale et la régionale se basant sur le tourisme alternatif avec le but d’augmenter la partie et les revenus du tourisme interne. - Est-ce que le tourisme de la Turquie est un secteur attirant pour l’investissement étranger ? - Quant aux revenus et à l’emploi, il est un des secteurs avec le valeur ajouté le plus haut, et très attirant pour les investisseurs étrangers grâce aux programmes de soutien qu’ils existent pour l’encourager. Nos lois, avec les annonces d’affectation, permettent aux investisseurs étrangers de profiter des mêmes conditions que les investisseurs turcs. - Ils sont lesquels les principaux pays de l’Asie et de l’Europe avec lesquels la Turquie est en concurrence pour le tourisme réceptif ? - En Europe, comme vous pouvez imaginer, notre

concurrence, ce sont les pays du Méditerranéen, surtout l’Espagne, parce qu’elle est une destination touristique importante et un des trois pays avec le nombre le plus haut de touristes. Un autre concurrent était le Royaume Uni, mais cet an on est à la sixième position, avec lui derrière nous. Notre nouveau but est celui de devenir un des premiers cinq pays. Quant aux pays asiatiques, franchement, quant au produit touristique offert, aucun n’a le niveau pour concurrencer avec la Turquie.

La Turquie pour tous Dans la vaste péninsule des Balkans, la Turquie ressorte quant au tourisme de masse, mais il envisage aussi le haut-de-gamme, raison pour laquelle on a des initiatives et des activités au niveau des investissements et de promotion. La gestion pari pour le golf, les conventions, le tourisme d’hiver et la santé D’après le ministre Günay, une des destinations touristiques leader est Antalya, avec 9,2 millions de visiteur l’année dernière. L’IGTM 2011 (International Golf Travel Market), l’événement le plus important du tourisme de golf, a eu lieu dans cette zone-ci. Aussi, plus de 500 fontaines thermales font du pays le sixième au monde quant au tourisme thermal, le premier de l’Europe. Quant au tourisme de croisières, la Turquie a un atout important grâce à son emplacement au Méditerranéen. En 2011 environ 2,2 millions de voyageurs de croisières ont été venus en Turquie. - Ce sont lesquels les points attractifs les plus intéressants pour le touriste international ? - Nous sommes un des acteurs les plus importants et indispensables du tourisme mondial grâce à l’expérience de l’Histoire et de la civilisation, le dynamisme social, la richesse culturelle et une géographie unique. Je dois souligner de nouveau que l’hospitalité et la cordialité de nos gens est aussi un élément très attractif pour les touristes étrangers.


in nova - Lesquels sont les repas typiques à goûter par tout touriste ? - La cuisine turque, une des trois cuisines les plus grandes et riches au monde, n’a pas des limites quant à la variété et les goûts. Elle recueille sur la même table l’abondance des différentes zones géographiques, ainsi que leurs gens, dès le centre de l’Europe jusqu’à le centre de l’Asie. Et ce caractère lui place au-dessus des autres cuisines au monde. Cette richesse lui fait arriver à un goût exquis et a, bien naturellement, le potentiel pour devenir un des porteurs du tourisme. Chacune des cuisines locales de toutes les régions de l’Anatolie est également riche. Mais je vous suggère de goûter, surtout la cuisine de Hatay. - Des lieux à ne pas perdre ?

- Chaque centimètre de notre pays est comblé des richesses illuminant une époque différente, et la singularité de nos beautés naturelles est déjà connue. Par conséquent, je ne peux pas vous dire «visitez ce lieu-ci, et il n’y a pas besoin de visiter celui-là.» Je crois que la Turquie est un pays à découvrir pas à pas, selon les conditions et le temps du visiteur. En plus, comme avec un livre qu’on relit, elle est un pays où on peut trouver des choses nouvelles à chaque regard. - Votre lieu préféré de la Turquie ? - Chaque empan de notre terre a un différent type de beauté. Mais si vous me demandez pour une réponse plus personnelle, je vous dirais que Demre, Antalya est la partie la plus spéciale pour moi.



in nova

Pingyao

Un voyage aux Dynasties Ming et Qing L’entretien des anciens monuments et de leurs particulières caractéristiques patrimoniales qui font de Pingyao la destination préférée des touristes des quatre coins du monde, même s’il n’est pas très connu en Occident. La muraille entourant la ville et la vieille ville sont ses principaux points d’intérêt. Lucía Galarza

Andrés López

L

a ville de Pingyao, patrimoine culturel de l’UNESCO depuis 1997, se trouve au centre de la province du Shanxi. Elle est un des meilleurs témoignages de l’architecture urbaine des dynasties Ming et Qing. Sous ces dynasties (1368 -1911), la ville s’est développée jusqu’à devenir un important noyau économique, où ont commencé les premiers commerces et établissements financiers et bancaires de la Chine. C’était ici où il a été fondé un des deux groupements patronaux les plus célèbres de ces dynasties, le Jin Businessmen, qui a été suit par l’ouverture du premier bureau de change chinois. Grâce à tout cela, une grande communauté d’hommes d’affaires aisés a été rapidement crée. Ces hommes ont fait construire leurs mai-

sons dans la ville : des belles maisons traditionnelles avec un cour carré et des rosaces avec des gravures et des exquis travaux d’ébéniste comme décoration. Aujourd’hui, Pingyao est une célèbre destination touristique en Chine, bien si elle n’est pas très connue en Occident. La vieille ville, écartée par une muraille du reste de Pingyao, de plus en plus grand et moderne, est idéale pour profiter d’un week-end de relax et de culture. Le point le plus attractif est la muraille, par laquelle on peut se promener et observer toute la ville, ainsi que se baguenauder à travers de ses nombreuses maisons traditionnelles et parfaitement préservées, ou en visitant ses temples et commerces


patrimoine |

Entrer à la vieille ville est gratis, mais pour entrer aux bâtiments ou pour monter en ville ou aux tours de surveillance on doit acheter un ticket, qui est valable trois jours et avec lequel on peut entrer dans tous les sites de la vieille ville à un prix très convenable. On ne peut pas acheter des tickets d’entrée individuels. Atractif mythique et charmant La muraille entourant et protégeant la vieille ville de Pingyao est un de ses principaux points d’intérêt. Elle est exceptionnellement préservée et dès là-haut on peut donner un rapide coup d’œil sur la ville. On peut aussi visiter les 72 tours de surveillance. Avec une hauteur de 12 mètres et un périmètre de 6 400 mètres, elle est cerclée à sa fois pour un fossé de 4 mètres de profondeur. Elle a été construite en 728 a.C. et a été renforcée et amplifiée sous les dynasties suivantes. On écoute souvent que elle a la silhouette d’une tortue, symbole chinois de la longévité, conformément à l’intention des premiers constructeurs. Les portes du Nord et du Sud seraient la queue et la tête de la tortue, respectivement, et celles de l’Est et de l’Ouest, ses pattes.

Les anciennes maisons Beaucoup des anciennes maisons faites construire par des éminents hommes d’affaires de l’époque ont été parfaitement restaurées et préservées. En la visitant on peut non seulement admirer la structure, les portes et les toits décorés, les sculptures, les jardins et les ponts, mais aussi les meubles originaux, des nombreux objets personnels, des vêtements de l’époque et des anciens documents.

Ancienne Maison de la famille Qia Immortalisée dans le film «Épouses et concubines», du célèbre réalisateur Zhang Yimou. Tout le film a lieu dans la maison, dont la propriétaire était une riche famille de la fin du XVIIIème siècle. La maison, qui se trouve à 20 km environ de la vieille ville de Pingyao, a plus de 8 000 mètres carrés et six cours principaux et dix-neuf plus petits, ainsi que 313 chambres. La maison à la silhouette de Xi, caractère chinois du bonheur, et les toits ont la silhouette des ondes d’eau et des sommets de montagnes. Toute la maison a des détails qui reflètent la culture populaire et traditionnelle chinoise, ainsi comme des œuvres de l’art traditionnel.


in nova

COMMENT Y ARRIVER En bus : Il y a des bus qui sortent vers Pingyao de Taiyuan (la capitale de la province, 100 kilomètres au Nord), mais seulement quand ils sont complets. C’est un voyage d’une heure et demie, approximativement. La plupart des visitants voyagent en train de Tiayuan pour jouir d’une journée à Pingyao. En train : Le train de nuit Pékin-Pingyao. En avion : Les aéroports les plus proches à Pingyao sont Taiyuan (77.25 km.), Changzhi (141.90 km.), Daguocun (222.70 km.), Yulin 268.40 km.) et Luoyang (281.59 km.).

OÙ DORMIR À Pingyao on peut trouver des hôtels des différentes catégories, même des hôtels 5 étoiles avec le petit-déjeuner compris.


patrimonio |

UN MONDE À DÉCOUVRIR Pingyao se trouve à 500 kilomètres environ de Pékin, la capitale de la Chine. Ses rues pavées, ses maisons et ses temples nous offrent une perspective unique de la vie de tous les jours dans l’ancienne Chine impériale. Le climat souffre des amples différences de température entre l’hiver et l’été. L’activité économique de Ping Yao est focalisée sur l’extraction des nombreuses veines des minéraux qui on a trouvé à la région.

La Maison Wang Même si elle n’est pas si célèbre, elle plus luxurieuse et plus grande. Faite construire entre 1762 et 1811 par de membres de la famille Wang, une des quatre familles de la Dynastie Qing, elle est un exemple excellent de l’architecture résidentielle chinoise. Elle est remarquable aussi par ses nombreuses sculptures en bois, pierre ou brique qui servent de décoration de chaque chambre et chaque coin. Elle se trouve à 35 kilomètres de Pingyao, a 150 000 mètres carrés de surface, dont 45 000 sont dédiés à 231 cours et aux bâtiments qui conforment la résidence, qui a plus de 2 000 chambres.

Demeure Chang Elle est la structure la plus grande, avec 600 000 mètres carrés de surface partagés entre des terres et la maison, et sa propriétaire était la famille Chang, dédiée au commerce, surtout du thé avec la Russie. Elle est un grand domaine, avec des différentes structures familiales traditionnelles, des vastes jardins et même son propre temple.

Les maisons sont organisées dans des longues rangées, chacune avec un jardin de 100 acres. La famille Chang appréciait énormément l’éducation et la culture, car elle était une fidèle adepte de la doctrine confucianiste. C’est aussi la raison des sculptures, des gravures des fleurs telles que les chrysanthèmes, les orchidées ou les fleurs de prunier, et des inscriptions de verses et de calligraphie qui se trouvent partout. Ses membres sont considérés les représentants les plus importants de l’architecture de la dynastie Qing.

Des nouveaux hôtels charmants Non seulement les luxurieuses demeures ont été préservées, mais aussi les maisons typiques de la classe bourgeoise de l’époque. Beaucoup d’entre elles ont été attentivement restaurées et transformées en hôtels et auberges des différentes catégories, mais toutes avec la caractéristique commune du respect pour le bâtiment original et le soin à l’heure de restaurer les pièces en bois, les peintures des toits, portes et plinthes, typiques des maisons traditionnelles, et la récupération des statues et fontaines des cours.




in nova

Auberge du Dragon

Un survivant du XVIIème siècle La Cava Baja, la Porte Close et la rue Segovia conforment une carte de l’ancien Madrid oublié très souvent. Un Madrid représenté, par exemple, dans les saynètes baroques ou dans les romans du XIXème siècle, et qui a presque perdu son intégrité à cause de l’abandon qu’il a souffert dans la Transition. Valentina García Plata / ROOM

L

’Auberge du Dragon, à la cava Baja et édifié en 1868, est une espèce de survivant. Il a logé, pendant plus d’un siècle et demi,, des voyageurs et des commerçants qui arrivaient à la Ville et Cour en cherchant ses marchés et leurs chances pour faire des affaires et trouver du travail. Ce bâtiment, œuvre du Marquis de Cubas, avait une écurie et des places pour trois voitures aux chevaux. Sa cour, sa façade ou l’abreuvoir pour les animaux du patio, ont été témoins de la vie à l’auberge et

Nacho Álvarez ils sont encore aujourd’hui des éléments protégés, parfaitement intégrés dans l’architecture d’intérieur crée par Lanea, le cabinet chargé de reconvertir l’ancienne pension en un hôtel-boutique d’une indéniable actualité. Le nouveau Auberge du Dragon est beaucoup plus qu’un hôtel réhabilité. Il nous emmène aux époques les plus significatives de la ville à travers d’un dessin soigné qui fuit du «costumbrismo» et qui traduit les

Coordonnées: Cava Baja 14 · 28005 Madrid, Espagne / www.posadadeldragon.com Restauration et architecture d’intérieur : Lanea / www.lanea.es


patrimoine | marques d’identité de Madrid en contemporanéité. Le cabinet souligne : “la condition requise pour le client était que l’hôtel devait être sans aucun lieu pour les doutes madrilène, et il ne pouvait trouver du sens autre part.” C’est pour cela que Lanea a réalisé l’intervention comme s’il s’agissait d’une promenade à travers de l’histoire de la ville sans tomber dans des lieux communs et des choses évidentes.

Remanier

Dans ce parcours il n’y manque pas même un lieu où s’approcher aux ruines de l’ancienne muraille chrétienne, à La Antoñita, le restaurant qui se trouve à côté et qui est dans le même projet. Mais les chambres, et surtout les appuie-têtes, sont les éléments distinctifs qui fonctionnent comme des liens avec les différentes étapes de la ville. Comme Gelo Álvarez dit, “face à la nécessaire contention dans des endroits si significatifs comme la façade, les escaliers ou le cour, nous avons trouvé un espace dans les chambres où nous avons pu développer notre créativité plus librement, toujours avec les limites propres de l’activité”.La planta baja es de inspiración castellana, más austera que la primera que se centra en los orígenes árabes de la antigua Medina Magerit. Le rez-de-chaussée

a une inspiration castillane, plus austère que le premier étage, focalisé dans les origines arabes de l’ancienne Médina Magerit. Le deuxième étage est chargé de nous rappeler que Madrid est devenu siège de la Cour en 1561 et, par conséquent, en capitale du royaume par volonté de Philippe II. Sans faire des références à la royauté, chaque chambre parle de son mécénat dans la peinture, avec des appuie-têtes en verre imprimé reproduisant des planches du Musée du Prado. Le troisième étage est dédié au Madrid plus contemporain, dès les années 50, avec «la Movida», avec une mélange de vintage et avant-garde, reflétée dans les papiers peints o dans les objets achetés au Rastro, si proche. Mais on ne peut pas tout construire avec des clins d’œil à la tradition. Nacho Álvarez, photographe et co-fondateur de Lanea, a réalisé un reportage photographique ad hoc de lieux et monuments de Madrid. Dans chaque image on peut trouver les coordonnées GPS, une façon plus actuelle d’ancrer l’hôtel à la ville. Le projet dégage une architecture d’intérieur réalisée avec beaucoup de câlin et totalement à l’aise en réinterprétant le passé de la ville dans un hôtel-boutique moderne et accueillant.


in nova

Shopping tour La nouveauté à Madrid La ville de Madrid est une des principales destinations du tourisme de shopping en Europe, et c’est pour cela que les initiatives dans ce secteur ont un tel succès. Madrid Shopping Tour nous présente une expérience unique avec des tours de shopping privés au goût de chaque touriste.

L

a capitale espagnole est la deuxième ville dans le ranking du tourisme de shopping en Europe. C’est pour cela que Madrid Shopping Tour, une agence spécialisée dans le tourisme du shopping avec la création de produits touristiques associés au shopping, reste un projet innovateur depuis 1999. D’après Mar Sardá de Abreu, gérante exécutive, tout au long de ces années l’équipe de Madrid Shopping Tour a joui avec les touristes des attractions de Madrid en faisant connaître la ville par l’intermédiaire de ces boutiques: dès les plus traditionnelles aux plus à l’avant-garde, dès les espaces multi-fonction aux ateliers artisanaux des meilleurs dessinateurs de la mode espagnole.

Jouissance multiculturelle Les clients de Madrid Shopping Tour ont des différentes origines, mais ils viennent surtout des États Unis, du Brésil, de Singapour, de la Russie, de l’Argentine, du Mexique et du Canada. Des couples, des familles, des groupes d’amis, des congressistes et leurs compagnons... tous eux jouissent d’une façon différente de Madrid avec les nouveaux tours.

La création du produit touristique du shopping a été un travail facile à faire, car il y a une excellente matière première à Madrid : le bon goût pour la mode et les accessoires, l’ample diversité de boutiques et des prix démocratiques.

Il s’agit d’une expérience unique à l’heure de faire du shopping, grâce à un service qui offre la plus haute qualité au touriste, en sélectionnant les boutiques les mieux adaptées à ses besoins ou à ses goûts, en lui fournissant toute l’information sur l’environnement du shopping (l’histoire, l’art ou le style de vie). Mar Sardá de Abreu explique que l’attention est personnalisée : « on leur suggère où acheter des espadrilles ou des chaussures de luxe, des souvenirs ou des chefs d’art, des vêtements décontractés ou d’haute couture, un bon livre, un parfum ou des accessoires à la dernière mode. »

À partir de cette prémisse, Madrid Shopping Tour a dessiné une expérience unique avec des tours de shopping privés au goût de chaque touriste, avec des services touristiques de qualité comme l’hébergement, la gastronomie et le meilleur service de guides touristiques certifiés.

On dit « de Madrid au ciel » sur la capitale espagnole, raison suffisante pour que les petites et les grandes sociétés inversent et améliorent la qualité des services et des infrastructures. Le but est que les touristes continuent à jouir des bonnes étoiles de Madrid.


gestion touristique | Mar Sarda, de Madrid Shopping Tour


Roberto Verino, dessinateur espagnol:

“J’aime faire des vêtements pour que les gens soient joyeux” Le célèbre couturier galicien, fête ses 25 ans travaillant au monde de la mode et, pour couronner le tout, il continue à monter. Un succès qui se cache derrière de chaque pièce crée par lui.

Adriana Morán Sarmiento

Antonio Santos

L

a marque Roberto Verino a cessée d’être relationnée uniquement avec les vêtements, vue qu’aujourd’hui elle produit des accessoires, des lunettes, des parfums, des céramiques, de la vaisselle et même du vin célèbre mondialement, en plus des vêtements pour les femmes et les hommes. Dans une interview en exclusive pour innova-magazine, Roberto Verino réfléchit sur ses réussites, la situation économique européenne et la mode, et souligne avec des mots son amour infatigable pour le dessin. Pour ce remarquable homme de la société espagnole, après de 25 ans de travail dans le secteur de la mode, la plus grande satisfaction est celle de savoir qu’il y a “un monde Roberto Verino” où les gens ont confiance dans la marque pour laquelle il a travaillé autant.


mode |

“La joie la plus grande pour moi est de voir comment mon produit a un étalage approprié et qu’il y a toujours quelqu’un qui, après avoir vu cet étalage, ne peut pas résister à la tentation. Vendre me rend heureux, peut-être parce que la vente me donne la satisfaction de devenir utile pour beaucoup du monde qui aime la mode, rendantles heureux à la fois. - Vous avez comparé la mode avec le sport, assurant que «comme l’équipe national de football, la mode, elle doit aussi nous unir». Quels sont les points forts de l’industrie espagnole de la mode pour devenir un référent mondial ? - L’Espagne a du talent pour créer et aussi une structure industrielle importante. Il nous manque peut-être un peu du nerf entrepreneur et, bien naturellement, un positionnement international proportionnel à notre capacité de produire des idées et de les matérialiser. Beaucoup des années

avec un marché intérieur insatisfait a pu nous habituer à ses mesures. Nous avons découvert maintenant qu’on ne peut pas être une puissance mondiale en approvisionnant seulement son marché intérieur. Ni la France ni l’Italie peuvent le faire. Donc, avec un exemple très récent, je vais faire comme Murray après sa victoire face à Djokovic et dire qu’il nous manque que croire en nous mêmes... - Comment confronte votre firme la conjoncture économique de l’Europe ? - Nous croyons que la seule manière de la confronter est répondre en s’approchant aux exigences de notre marché, être capables d’offrir un produit émouvant, ravissant, sans oublier, aujourd’hui moins que jamais, le plafond du prix. Nous continuons à avoir confiance en la qualité, nous continuons à nous occuper de l’image et nous sommes très soigneux avec les prix. Sincèrement, nous ne connaissons des autres for-


in nova mules. Nous savons qu’il y a des produits mieux marchés, mais ils ne sont si exclusifs, et nous savons qu’il y a beaucoup des produits plus exclusifs, mais avec un prix inaccessible... - Et quels sont les résultats obtenus avec cette attention aux prix ? - Bon, il nous permet de surmonter avec des bons résultats l’évidente stagnation de la demande nationale et, dans le cas de quelques produits très concrets, de croître au-delà de nos prévisions les plus conservatrices. C’est vrai qu’on vit un moment très dur, mais notre consommateur moyen n’a pas cessé de manger, ni de s’habiller, ni de partir en vacances, il regarde un peu plus attentivement l’ettiquete et le prix, mais il continue à acheter quand il trouve quelquechose d’intéressante et cet achat est devenu un bon investissementet pas une dépense.

me permette d’arriver, comme il s’agit dans les cas des autres marques très semblables à la notre, à des segments plus amples de la population, surtout à ceux si fanatiques de tout cela concernant l’Internet, aux personnes qui, bien pour qu’il les manque du temps ou bien pour des nouvelles habitudes de consommation, vont nous découvrir ou vont nous suivre d’une nouvelle façon... Il existe un vieil aphorisme de Platon qui dit qu’on ne peut pas tomber amoreux de cela qu’on n’a pas vu, doncs on joue avec cette possibilité. Essaie de montrer au plus grand nombre possible de personnes ce que tu fais. Ils le désireront dès le moment où ils le voient”

Qualité d’exportation

En plus de son ample expérience en défilés nationaux et internationaux, le dessinateur parie maintenant pour la vente online avec une grande expectative. Les raisons sont suffisantes: l’expansion et la satisfaction du client. “J’espère que ce nouveau canal de distribution

LA MARQUE RV Les produits Pour la femme / Pour l’homme / Les accessoires: Sacs, chaussures, ceintures... Parfums / Lunettes de soleil et pour la vue / Vins / Céramiques Où acheter un produit Roberto Verino ? En Europe: les boutiques RV se trouvent par toute l’Espagne, en plus de 25 villes. En plus, il y en a 5 au Portugal, entre Lisbonne et Porto. En Amérique : 11 boutiques aux principales villes du Mexique. Plus d’information : www.robertoverino.com


mode |

VERINO INTIME Lequel est votre dessinateur préféré ? Je reconnais mon admiration pour Armani, mais aussi pour Balenciaga, pour Yves Saint Laurent, pour Marc Jacobs... Est-ce que vous aimez plus dessiner des vêtements pour l’homme ou pour la femme ? La femme me donne plus de liberté, mais il me semble que l’homme a plus besoin de moi. Ils sont très conservateurs. Il y a aucun endroit au monde que vous aimeriez connaître ? Sans vouloir me vanter... ils m’en restent très peux. Retourner au Kyoto et, si c’est question de le demander, j’aimerais faire le tour du monde en voilier... Le meilleur restaurant du monde est à… Peut-être qu’en Saint-Sébastien... Quels sont les objets indispensables dans votre valise pour voyager ? Un tailleur, trois chemises, trois pairs de chaussettes en lin, trois slips en coton, des chaussures et une ceinture en cuir et quelques gouttes de Roberto Verino pour homme. C’est laquelle la clé du succès ? D’être cohérent tous les jours de ma vie. De ne pas décevoir les personnes qui croient à toi et travailler... beaucoup travailler toute ta vie. C’est où le paradis… ? Dans ton lit, chaque nuit, quand, épuisé, tu crois que le jour a valu la peine... Le bonheur plus grand que je connais est la satisfaction qui t’apporte le travail bien fait.


in nova turismo

cultura

moda

shopping

Todo está aquí y nosotros en todo el mundo www.innova-magazine.com es: • Revista multi idiomas • Buscador de vuelos • Blogs • Servicios turísticos • Tiendas on line • Más de 350.000 email promocionales

Publicite con nosotros ahora

Contacto: +34 915 237 004 comunica@innova-magazine.com Madrid – España


mode |

Sara García et son univers

IMPURIBUS On peut écouter de la musique classique dans une chambre comblée de matériels, parmi lesquels des tissues, des dessins, des cintres, des housses... ressortent. Timide devant un appareil-photo, mais avec un caractère sûr, Sara García nous ouvre les portes de son atelier. Patricia Rodríguez Ovejero

N

ée à Zamora il y a 30 ans, la créatrice d’IMPURIBUS est une entreprenante de la mode, quand l’économie européenne vit un moment difficile. Cette année elle a été une des quinze jeunes dessinateurs choisis pour la première édition de WHO´S ON NEXT, VOGUE, « un des tremplins les plus consacrés à la mode aujourd’hui », selon affirme-t-elle. « Il y a avait un niveau très haut. Évidemment, ça m’aide avec la promotion de la marque –dit-elle-. Donc, l’expérience a été très positive, et oui, je continuerais à me présenter à des chances comme celle-ci. » Elle a déjà trois collections : Método exhaustivo (Méthode exhaustif), Misterios eleusinos (Mystères d’Éleusis), Hypotenusa (Hypoténuse, à la vente cet hiver), et elle a une quatrième pour arriver : Tec-

Gentillesse IMPURIBUS

tónica (Tectonique). - Un aspect indicatif de votre personnalité ? - Personnellement, quand on demande trop un dessinateur « c’est laquelle ton inspiration ? » Je crois que c’est vrai qu’on part de quelque chose, parce c’est vrai que je choisis certaines choses pour donner une unité et un sens à la collection; à la fin, la mode me semble quelque chose d’artistique. Il n’est pas tant ton inspiration pour chaque collection que ta propre marque d’identité, comme tous les artistes l’ont. À la fin, tu cherches en toimême et ces sont tes influences, ces sont tes préoccupations. Pour moi, ce sont l’architecture, le dessin industriel, l’art plastique... et c’est tout qui est reflété sur mes collections. En aucune manière je pense à suivre les tendances, parce qu’à ce moment là je perdrais mon identité. Je me base sur un projet artistique en marge de tout cela, et je n’ai pas peur de perdre mon identité. Je suis au courant des tendances parce que je suis enseignante à l’école de mode (kroom2, Madrid), et je dois être au courant de tout ce qui se passe, mais ça


in nova n’influe pas sur mes collections. - C’est comment votre processus créatif ? - C’est compliqué, parce que je suis un peu anarchique avec les processus (elle rit), et en plus je veux beaucoup faire, et je fais des choses en parallèle. Je choisis un point de départ, un sujet pour commencer à dessiner, et comme c’est moi-même qui fait le patron, c’est un avantage, parce que je peux changer ce que j’ai déjà dessiné et participer dans les corrections. En parallèle, je fais de la recherche sur les tissus pour trouver ceux qui ont le tombé ou la rigidité dont j’ai besoin. - Qu’est-ce que vous cherchez dans vos tissus ? - Je cherche de la qualité des tissus naturels, et je suis aussi très intéressée par les tissus technologiques. Le Japon, l’Italie, j’aime ce genre de tissus parce que ils me semblent plus à l’avant-garde, ils offrent quelque chose de nouveau, ils me permettent faire des recherches (la partie la plus amusante pour moi) sur les formes et les volumes que je peut créer avec eux. Ils sont des finitions différentes. Je veux apporter un point innovateur. - À part de votre nouvelle collection, vous êtes travaillant en quoi maintenant ? - Au website, nous travaillons pour commencer avec la vente on-line. On n’a pas encore une date, mais c’est quelque chose à faire pour faciliter aux clients l’accès aux collections. Je suis aussi en train de préparer

quelque chose avec un photographe (mais je ne peux pas beaucoup raconter sur cela), pour un projet artistique. J’aime lier des choses, faires des collaborations, pas seulement la mode en tant que telle. Et c’est compliqué, parce qu’il n’y a pas des aides pour réaliser les projets. En Espagne, il est très difficile. - Comme survit-il un entreprenant dans un période économique si compliqué en Espagne ? - En Espagne il n’y a pas des infrastructures. Chaque année, l’industrie disparaît et disparaît. Il y a encore quelque chose en matière de tissus, mais il est difficile à trouver, les ateliers ferment. Il n’y a pas un réseau, et ceux qui ont reçu des subventions jusqu’aujourd’hui n’ont pas investi en cela, mais en leurs propres entreprises, en payer leurs salaires et en être à Cibeles. On doit tout refaire maintenant. On doit commencer de zéro.

Hypotenusa À la veille du lancement de sa nouvelle collection, Hypotenusa, Sara García renforce son public. Elles sont des femmes des différents âges qui préfèrent la marque IMPURIBUS. Il y a même des femmes qui préfèrent acheter directement à l’atelier pour pouvoir voire des modèles sur mesure et exclusifs.. Pour le moment, elle a deux collections par an, mais elle aspire à dessiner des collections plus intemporels: « Je crois que le marché de la mode est saturé et épuisé. Les podiums sont chaque fois plus tôt, comme les foires. Et bien sûr on doit changer de modèle », ajoute-elle.


mode |

À la fin de l’interview, Sara a confessé quelques choses banales à connaître, comme chez tout candidat à star :

Elle aime la cuisine de sa mère, une grande cuisinière, comme sa sœur.

Pour ses esquisses, elle préfère le crayon contre l’ordinateur.

Un livre : “L’Aveuglement” de José Saramago.

Elle est amoureuse de la ville de Cuenca, même si elle est née à Zamora.

Venise : une des destinations à connaître.


The most updated information on tourism in Argentina for journalist an the media

News Event Agenda Articles Interviews Images and Videos Infographics

the first

tourism

news

agency

www.turnoticias.com.ar


gourmet |

Huaca Pucllana

Une experience unique au Pérou

La cuisine péruvienne est le résultat d’une fusion longue et historique avec des différentes influences. Des plats survivants des temps d’avant les et des temps des incas font partie de cette richesse culturelle. En visitant Lima on peut connaître un peu cette variété, car on peut goûter les plats des différentes régions, soit à la manière traditionnelle ou à la façon ‘cuisine-fusion’. Alba Paloma Carrillo

À

Gentillesse Huaca Pucllana

Lima, dans l’ensemble archéologique Huaca Pucllana, ancien centre cérémoniel et administratif de la culture Lima, du Ve siècle, on trouve le restaurant Huaca Pucllana, où ils préparent dès plats traditionnels avec les recettes de grands-mères jusqu’à des potages créatifs à partir des idées du chef Marilú, avec la base du saveur de la cuisine traditionnelle péruvienne, mais présentée avec un style beaucoup plus amicale vers le monde. La « Cuisine contemporaine » est la proposition du restaurant, comme nous a raconté le propriétaire, monsieur Arturo Rubio.

Le restaurant a presque dix ans, et il a changé de propriétaire dans ce temps, mais gardant toujours un modèle unique quant à l’administration, car avec sa situation dans un espace historique, il est engagé pour la mise en valeur, à laquelle il donne partie de ses ventes. Et il le vaut vraiment. La vue dès le salon principal vers le monument archéologique est magnifique, et on doit remarquer qu’il est visible comme il est bien gardé. Quant à la cuisine traditionnelle qu’on peut y trouver, Rubio a dit une fois qu’il s’agit des recettes propres, sauvées de la mémoire de la


in nova

COORDONNÉES La Huaca Pucllana se trouve à Lima, au district Miraflores. Il se trouve à 5 minutes en voiture du Parc Central de Miraflores, et à 20 de la Plaza de Armas de Lima.

cuisine de chez lui, de la grand-mère ou de la maman, comme, par exemple, son ají de gallina, auquel on a fait l’éloge plus d’une fois et qui était la recette de sa grand-mère. «L’ají le plus bon est celui de la mère ou de la grand-mère propres, il y a toujours ces mémoires nostalgiques.» Mais celui n’est qu’un exemple. Ici on a compte des recettes traditionnelles historiques et elles restent sur le menu. Le manager nous raconte qu’il est impossible effacer du menu des plats comme le ceviche ou le cau cau, un repas très traditionnel avec des boyaux de bétail, ou même les rillons de cuy (cochon d’Inde), assez acceptés, si bien

beaucoup du monde lui avaient dit qu’il était fou pour un restaurant quatre-étoiles d’offrir un plat de cuy. Mais aujourd’hui il est tout un succès..

DES CLASSIQUES Fusionner des saveurs péruviennes avec des techniques différentes à la traditionnelle péruvienne est la spécialité de la maison. On peut y trouver un risotto de canard qui aura la saveur du «riz avec du canard», un plat classique de la cuisine de Chiclayo, ville de la côte au Nord du pays, avec le corps et l’humidité d’un risotto.


gourmet | Arturo Rubio a précisé que la base de son succès est aussi le respect pour le plat traditionnel, lequel on doit le servir tel comme il est et a toujours été, et on lui appellera aussi en utilisant son nom. Le plat contemporain surgit de la créativité, et il pourra continuer à être modifié, mais on ne peut pas lui appeler en utilisant le nom du plat typique. «Je n’appellerais jamais «riz avec du canard» le risotto de canard que je fais.»

LES PLUS DEMANDÉS Quant à connaître le plat vedette, celui à ne pas oublier à commander, il en a beaucoup qui sont très demandés, et même impossibles à effacer du menu quand ils le changent, tous les trois mois, environ. Le cau cau ou le risotto de canard son des bons exemples, ou le célèbre ají de gallina, ou même un plat de maigre en coûtre de quinoa rouge, où on peut trouver une différence des textures entre le juteux poisson à l’intérieur et la coûtre croustillante en le couvrant.

LA GASTRONOMIE PÉRUVIENNE Le Pérou est le pays avec le nombre le plus grand de plats typiques au monde (491). Pour cela il a reçu le Record Guinness en 2007. Ils sont dans la plupart des plats de difficulté modérément complexe à haute quant à l’élaboration.

Quant à la cave de vins du restaurant, on peut dire qu’elle est une des plus complètes à Lima et elle est une des peux du pays à être reconnu par le Wine Spectator, célèbre publication attribuant des certificats à las meilleures caves au monde.



tendances |

Place to be

Des lieux pour rêver en nuits inoubliables SHANGHÁI: RESTAURANT EL WILLI El Willy, Happy Spanish Restaurant a été fondé en 2008 dans une maison coloniale au cœur du quartier français de Shanghai. Willy, une création du chef espagnol Willy Trullas Moreno, est un restaurant de cuisine contemporaine dont les spécialités sont les tapas modernes et les riz à la manière de Barcelone. Il se trouve dans un bâtiment dont le nom est “The Bund”, un ancien bâtiment historique de 1902 au centre-ville. Avant, il a été quatre années au quartier français. El Willy est focalisé sur la cuisine espagnole traditionnelle, les tapas contemporaines et les ris avec un touche amusant. La structure du menu suit la culture chinoise du Yin-Yang pour la nourriture, c’est à dire, chaque repas est dessiné pour manger en famille et facilement avec les baguettes.

Où: 5/f, 22 Zhongshan Dong Er Lu, Shanghai. www.shanghai-today.com

Imperdable : Gazpacho traditionel avec de la garniture Ingrédients: 2 tomates rouges moyen, 10g d’oignon blanc, 10g de poivron vert, 4g d’ail, 15ml de vinaigre de vin rouge, 6g de pain dur, 40g de concombre épluché, 12ml d’huile d’olive vierge extra, du sel et du poivre. Garniture: 5gr de poivron vert, poivron rouge, oignon et concombre coupées en dés. Croûtons. Présentation: Présenter le gazpacho dans un bol, avec la garniture à part pour que le consommateur l’ajoute à son gré.


in nova

PORTUGAL: VILLA C, HOTEL & SPA 41 chambres et 2 suites attendent les touristes avec du bon goût et amis du confort. Villa C Hôtel & SPA, un hôtel quatre-étoiles dans la rive gauche de la rivière Ave en Azurara, Vila do Conde, Portugal. Les espaces modernes et accueillants avec tous les services de première catégorie se rassemblent avec quelques détails classiques dans une ambiance minimaliste. L’espace comprend l’invité, en lui montrant les attractions de la rivière et de Vila do Conde. Néanmoins, un de ses points les plus attractifs et importants sont son Health Club et son Spa. Avec une piscine couverte climatisée, et jacuzzi, zone de relax gymnase, aussi. Le gymnase est équipé avec la dernière technologie, avec des équipements pour des exercices cardiovasculaires.

Où: Av. Mouzinho Albuquerque. Azurara, Vila do Conde - Portugal. www.villachotel.com Pour manger: Restaurant «Nutmeg», où il reigne le bon goût dans la décoration au moment de préparer les plats, avec l’intention de servir le meilleur de la cuisine traditionelle portugaise et des spécialités internationelles.


tendances |


tendances |

in nova

Jorge Golval et Leo Millares en Alma Antonio Jesús Luna

Gentillesse: ROOM

Dans un monde comblé des mutations et d’incertitude, il faut penser d’une manière différente. C’est la philosophie de l’architecte français Bruce Ribay et du dessinateur espagnol Jorge Goval. Un madrilène qui défend les processus artisanaux face à l’industrialisation du dessin, et qui est convaincu du fait que «l’exclusivité à sa seule racine dans le valeur du fait à la main.» Sculpteur et architecte, Goval ne cesse d’être un artisan contemporain, en réalité, intéressé pour les nou-

D’après Goval, le trait courbe de ces meubles nous fait penser, par sa sensualité, au corps d’une femme. Et cette femme est laquelle Millares a dessiné. Un tatouage tribal qui, à la façon d’un basrelief, parcourt la table comme s’il parcourait vraiment le corps féminin caché dans ces lames de Corian thermoformées et colées entre elles. Le résultat est une pièce unique qui repense le concept d’artisanat et qui le place entre l’esthéticisme et

velles technologies et attiré pour les matériaux comme le carbone, le technogel ou le Corian. Sous le nom Fanstudio, Jorge Doval a lancé 99 PROJECT, une proposition qui fait de la recherche sur cet espace diffus entre l’art et le dessin, et où il a impliqué à des artistes du graffiti, des sculpteurs, des photographes et des artisans. Il a donné a chacun ses diverses collections pour eux à «manipuler» et à emmener à leurs propres territoires créatifs. En fait, la série Alma, sujet de cette page, est la collection Laminart revisitée par le tatoueur argentin Leo Millares.

la fonctionnalité, entre le trait sculptorique et le discours ergonomique. Entre le contemplatif et le practique.




Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.