Green Attitude

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AdoptONS les gestes ĂŠco-citoyens sur Nos campus


édito

Adoptons la green attitude sur nos campus

À travers les activités d’enseignement, de recherche et de bureau, que vous soyez étudiants, enseignant, intervenants, professeurs-chercheurs, ou que vous fassiez partie du personnel administratif et technique, chacun d’entre vous agit sur l’environnement au quotidien. Vous pouvez pourtant réduire facilement cet impact en optant pour les bons gestes et en manifestant votre volonté d’agir auprès des décideurs de votre campus. Quant à vous, étudiants, au sein des écoles où vous préparez votre avenir, vous exercez par votre activité une pression sur notre planète. Les cours qui vous sont dispensés nécessitent l’utilisation de vidéo-projecteurs, l’éclairage et le chauffage des salles, mais une fois les cours terminés est-il utile

de tout laisser allumé ? Les supports de cours sont une source importante de gâchis de papier, vous pouvez demander à vos professeurs de vous transmettre les documents sous format électronique et ne pas les imprimer systématiquement. Tous les jours nous avons l’opportunité de réduire notre impact sur notre environnement en faisant preuve de bon sens. L’enseignement supérieur compte plus de 2, 5 millions de personnes. Aussi, vous représentez une force importante pour la sauvegarde de notre planète. Le Groupe INSEEC et ses écoles se sont engagés dans une politique volontaire en faveur de la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise). Devenez acteur de ce défi !

groupeinseec.com > RSE


édito

Adoptons la green attitude sur nos campus

À travers les activités d’enseignement, de recherche et de bureau, que vous soyez étudiants, enseignant, intervenants, professeurs-chercheurs, ou que vous fassiez partie du personnel administratif et technique, chacun d’entre vous agit sur l’environnement au quotidien. Vous pouvez pourtant réduire facilement cet impact en optant pour les bons gestes et en manifestant votre volonté d’agir auprès des décideurs de votre campus. Quant à vous, étudiants, au sein des écoles où vous préparez votre avenir, vous exercez par votre activité une pression sur notre planète. Les cours qui vous sont dispensés nécessitent l’utilisation de vidéo-projecteurs, l’éclairage et le chauffage des salles, mais une fois les cours terminés est-il utile

de tout laisser allumé ? Les supports de cours sont une source importante de gâchis de papier, vous pouvez demander à vos professeurs de vous transmettre les documents sous format électronique et ne pas les imprimer systématiquement. Tous les jours nous avons l’opportunité de réduire notre impact sur notre environnement en faisant preuve de bon sens. L’enseignement supérieur compte plus de 2, 5 millions de personnes. Aussi, vous représentez une force importante pour la sauvegarde de notre planète. Le Groupe INSEEC et ses écoles se sont engagés dans une politique volontaire en faveur de la RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise). Devenez acteur de ce défi !

groupeinseec.com > RSE


Soyons responsables et limitons notre impact sur l’environnement Devant les enjeux des changements climatiques tels qu’ils apparaissent dans le cadre de la COP 21, l’épuisement des ressources, la multiplication des catastrophes naturelles, l’extinction de nombreuses espèces animales et végétales, la dégradation générale de l’environnement et les mauvaises conditions de vie d’une grande partie de l’humanité, il est important de réagir. Le développement durable, concept énoncé en 1987 dans le rapport Brundtland, est un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Lors du Sommet de la Terre à Rio, en 1992, 150 états se sont engagés à mettre en oeuvre ce type de développement. L’atteinte de cet objectif repose sur la sensibilisation, l’acceptation et la participation de tous. Le concept d’éco-responsabilité apparaît, quant à lui, en 1995, lors de la réunion du G7 au Canada. Il intègre les notions du développement durable à la responsabilité d’autrui. En d’autres termes, chacun assume

d’une responsabilité économique, d’une responsabilité sociale et d’une responsabilité environnementale. Dans le cadre d’un établissement de l’enseignement supérieur, il s’agit donc de veiller à limiter son impact sur l’environnement et d’offrir des conditions de travail optimales à ses usagers au sein des campus.

Six enjeux ont été identifiés : • L’énergie • Les transports • Le papier • Les déchets • Les achats • L’eau Certains gestes ou certaines bonnes pratiques peuvent impliquer des équipements ou des organisations spécifiques qui n’existent pas sur votre campus. Dans ce cas, n’hésitez pas à faire remonter vos demandes et suggestions auprès des référents RSE de votre campus.


Soyons responsables et limitons notre impact sur l’environnement Devant les enjeux des changements climatiques tels qu’ils apparaissent dans le cadre de la COP 21, l’épuisement des ressources, la multiplication des catastrophes naturelles, l’extinction de nombreuses espèces animales et végétales, la dégradation générale de l’environnement et les mauvaises conditions de vie d’une grande partie de l’humanité, il est important de réagir. Le développement durable, concept énoncé en 1987 dans le rapport Brundtland, est un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Lors du Sommet de la Terre à Rio, en 1992, 150 états se sont engagés à mettre en oeuvre ce type de développement. L’atteinte de cet objectif repose sur la sensibilisation, l’acceptation et la participation de tous. Le concept d’éco-responsabilité apparaît, quant à lui, en 1995, lors de la réunion du G7 au Canada. Il intègre les notions du développement durable à la responsabilité d’autrui. En d’autres termes, chacun assume

d’une responsabilité économique, d’une responsabilité sociale et d’une responsabilité environnementale. Dans le cadre d’un établissement de l’enseignement supérieur, il s’agit donc de veiller à limiter son impact sur l’environnement et d’offrir des conditions de travail optimales à ses usagers au sein des campus.

Six enjeux ont été identifiés : • L’énergie • Les transports • Le papier • Les déchets • Les achats • L’eau Certains gestes ou certaines bonnes pratiques peuvent impliquer des équipements ou des organisations spécifiques qui n’existent pas sur votre campus. Dans ce cas, n’hésitez pas à faire remonter vos demandes et suggestions auprès des référents RSE de votre campus.


Impact écologique et responsabilité Tra ns f

produit final

matières premières

Nous sous-estimons souvent notre part de responsabilité dans la dégradation de notre environnement, mais également notre pouvoir quant à sa protection.

Dis t

on uti rib

ation m or

D égr

Il est très difficile de se rendre compte de son propre impact parce que bien de chaque produit que nous consommation consommons s’inscrit dans un cycle allant de l’extracdéchets tion des matières premières jusqu’au traitement des déchets résultant de son utilisation. Nous ne sommes généralement pas informés de l’impact réel de chacun des biens consommés. Il faut être conscient qu’à chaque étape du cycle de vie peut être calculé un impact environnemental. L’impact global d’un produit correspond donc à la somme de ces impacts intermédiaires. L’arrêt du cycle est une situation critique (cas des produits non recyclables ou non biodégradables) que nous devons absolument éviter. Il est possible d’améliorer notre action sur l’environnement en faisant les bons choix et les bons gestes.

n

ad

n

at

io

a

tio

is U til

Évaluons notre empreinte écologique Le saviezvous

L’empreinte écologique permet de calculer l’impact de notre comportement sur l’environnement. À partir d’un questionnaire, est estimée la surface biologiquement productive nécessaire pour répondre à nos besoins.

calculateurcarbone.org

Un résultat simple à interpréter : pour une meilleure visualisation du résultat, il est possible de poser l’hypothèse selon laquelle l’ensemble de la population mondiale se comporte comme nous, le résultat indique alors le nombre de planètes nécessaires au développement de cette population fictive. Pour illustration, si l’ensemble de la planète vivait comme un européen, il faudrait environ 3 planètes pour subvenir à ses besoins. L’empreinte écologique est également un bon outil pour tester différents comportements et peut donc être utilisé comme une aide à l’identification des bonnes pratiques. Mais attention, l’écocitoyenneté ne se pratique pas que sur nos campus. Pour aller plus loin, soyons responsables au quotidien !


Impact écologique et responsabilité Tra ns f

produit final

matières premières

Nous sous-estimons souvent notre part de responsabilité dans la dégradation de notre environnement, mais également notre pouvoir quant à sa protection.

Dis t

on uti rib

ation m or

D égr

Il est très difficile de se rendre compte de son propre impact parce que bien de chaque produit que nous consommation consommons s’inscrit dans un cycle allant de l’extracdéchets tion des matières premières jusqu’au traitement des déchets résultant de son utilisation. Nous ne sommes généralement pas informés de l’impact réel de chacun des biens consommés. Il faut être conscient qu’à chaque étape du cycle de vie peut être calculé un impact environnemental. L’impact global d’un produit correspond donc à la somme de ces impacts intermédiaires. L’arrêt du cycle est une situation critique (cas des produits non recyclables ou non biodégradables) que nous devons absolument éviter. Il est possible d’améliorer notre action sur l’environnement en faisant les bons choix et les bons gestes.

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Évaluons notre empreinte écologique Le saviezvous

L’empreinte écologique permet de calculer l’impact de notre comportement sur l’environnement. À partir d’un questionnaire, est estimée la surface biologiquement productive nécessaire pour répondre à nos besoins.

calculateurcarbone.org

Un résultat simple à interpréter : pour une meilleure visualisation du résultat, il est possible de poser l’hypothèse selon laquelle l’ensemble de la population mondiale se comporte comme nous, le résultat indique alors le nombre de planètes nécessaires au développement de cette population fictive. Pour illustration, si l’ensemble de la planète vivait comme un européen, il faudrait environ 3 planètes pour subvenir à ses besoins. L’empreinte écologique est également un bon outil pour tester différents comportements et peut donc être utilisé comme une aide à l’identification des bonnes pratiques. Mais attention, l’écocitoyenneté ne se pratique pas que sur nos campus. Pour aller plus loin, soyons responsables au quotidien !


Je limite ma consommation d’énergie au quotidien Multipliée par 13 en un siècle, la consommation d’énergie témoigne d’une consommation à outrance. En France, les secteurs résidentiel et tertiaire, dont font partie les établissements d’enseignement supérieur, ont largement dépassé les 100 millions de tonnes équivalent pétrole. Ces secteurs représentent 40% de la consommation d’énergie et 18% des émissions de gaz à effet de serre.

Le saviezvous

La France est un des pays industrialisés les moins émetteurs de gaz à effet de serre car une part importante de son énergie provient de ses centrales nucléaires. En hiver, la production supplémentaire est assurée par des centrales thermiques alimentées au gaz ou au charbon. Les campus d’enseignement supérieur consomment environ 180kWh/m2 pour le chauffage et 110 kWh/m2 pour l’électricité (éclairage et bureautique notamment). Une ampoule à incandescence restant allumée toute la journée revient à 69 euros par an. Une ampoule basse consommation dépense 80% de moins d’énergie et dure 6 à 8 fois plus longtemps. Un ordinateur laissé en mode veille (écran de veille) pendant le déjeuner consomme autant qu’une ampoule économique laissée allumée continuellement pendant près de 10h. Baisser le chauffage le soir permet de faire une économie de 3 à 8% par an. 1°C de plus représente 7% de consommation supplémentaire.

n Je préfère l’éclairage naturel.

n Je paramètre mon ordinateur pour qu’il se mette en veille prolongée, ou hibernation, après 30 minutes d’inactivité. n J’éteins tout avant de partir et je baisse mon radiateur.

n Je chauffe raisonnablement mon bureau, si j’ai froid, je mets un pull. 19°c est la température conseillée pour ma santé. n Je ne pose rien sur mon radiateur et je l’éteins quand j’ouvre la fenêtre. n L’été, j’aère mon bureau le matin en arrivant, puis ferme les rideaux. J’évite d’utiliser la climatisation.


Je limite ma consommation d’énergie au quotidien Multipliée par 13 en un siècle, la consommation d’énergie témoigne d’une consommation à outrance. En France, les secteurs résidentiel et tertiaire, dont font partie les établissements d’enseignement supérieur, ont largement dépassé les 100 millions de tonnes équivalent pétrole. Ces secteurs représentent 40% de la consommation d’énergie et 18% des émissions de gaz à effet de serre.

Le saviezvous

La France est un des pays industrialisés les moins émetteurs de gaz à effet de serre car une part importante de son énergie provient de ses centrales nucléaires. En hiver, la production supplémentaire est assurée par des centrales thermiques alimentées au gaz ou au charbon. Les campus d’enseignement supérieur consomment environ 180kWh/m2 pour le chauffage et 110 kWh/m2 pour l’électricité (éclairage et bureautique notamment). Une ampoule à incandescence restant allumée toute la journée revient à 69 euros par an. Une ampoule basse consommation dépense 80% de moins d’énergie et dure 6 à 8 fois plus longtemps. Un ordinateur laissé en mode veille (écran de veille) pendant le déjeuner consomme autant qu’une ampoule économique laissée allumée continuellement pendant près de 10h. Baisser le chauffage le soir permet de faire une économie de 3 à 8% par an. 1°C de plus représente 7% de consommation supplémentaire.

n Je préfère l’éclairage naturel.

n Je paramètre mon ordinateur pour qu’il se mette en veille prolongée, ou hibernation, après 30 minutes d’inactivité. n J’éteins tout avant de partir et je baisse mon radiateur.

n Je chauffe raisonnablement mon bureau, si j’ai froid, je mets un pull. 19°c est la température conseillée pour ma santé. n Je ne pose rien sur mon radiateur et je l’éteins quand j’ouvre la fenêtre. n L’été, j’aère mon bureau le matin en arrivant, puis ferme les rideaux. J’évite d’utiliser la climatisation.


J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre, il est responsable de la moitié de la pollution de l’air dans le monde et de 80% dans les zones urbaines européennes. Ces rejets dans l’air sont à l’origine de graves problèmes sanitaires puisque l’OMS estime qu’ils provoquent 500 000 morts par an ! Un déplacement sur deux fait moins de 3km.

Le saviezvous

À vitesse moyenne, l’être humain parcourt à pied 500m en 8 minutes. En privilégiant la marche, inutile de prévoir de faire chauffer le moteur ou de trouver une place de stationnement. Un bus pollue 10 à 20 fois moins par voyageur qu’une voiture et financièrement il est également plus intéressant. La pratique du covoiturage trois fois par semaine pour une distance de 2km permet d’éviter le rejet de 86kg de CO2 par an. Vous pouvez économi-

ser 25% de carburant rien qu’en entretenant votre véhicule et en adoptant une conduite souple et sans à-coup. Enfin, les embouteillages sont constitués principalement par des véhicules ne transportant qu’une seule personne. En les regroupant, il y aurait environ 5 fois moins de voitures et donc d’embouteillage, ainsi que 5 fois moins de pollution atmosphérique due au trafic routier. Le covoiturage est une solution avantageuse. C’est écologique, économique, solidaire, pratique et convivial.

n J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements : pour les trajets courts, je marche ou prends les transports doux (vélo, rollers...), pour les longs trajets je choisis les transports en commun. n Marcher, prendre les escaliers et pédaler entretiennent ma santé. n Si j’ai besoin d’utiliser la voiture, je pratique l’autopartage, le covoiturage et l’éco-conduite (je conduis calmement et j’anticipe).

n Si je dois acheter une voiture, je la choisis écologique.


J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements Le secteur du transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre, il est responsable de la moitié de la pollution de l’air dans le monde et de 80% dans les zones urbaines européennes. Ces rejets dans l’air sont à l’origine de graves problèmes sanitaires puisque l’OMS estime qu’ils provoquent 500 000 morts par an ! Un déplacement sur deux fait moins de 3km.

Le saviezvous

À vitesse moyenne, l’être humain parcourt à pied 500m en 8 minutes. En privilégiant la marche, inutile de prévoir de faire chauffer le moteur ou de trouver une place de stationnement. Un bus pollue 10 à 20 fois moins par voyageur qu’une voiture et financièrement il est également plus intéressant. La pratique du covoiturage trois fois par semaine pour une distance de 2km permet d’éviter le rejet de 86kg de CO2 par an. Vous pouvez économi-

ser 25% de carburant rien qu’en entretenant votre véhicule et en adoptant une conduite souple et sans à-coup. Enfin, les embouteillages sont constitués principalement par des véhicules ne transportant qu’une seule personne. En les regroupant, il y aurait environ 5 fois moins de voitures et donc d’embouteillage, ainsi que 5 fois moins de pollution atmosphérique due au trafic routier. Le covoiturage est une solution avantageuse. C’est écologique, économique, solidaire, pratique et convivial.

n J’adapte mon moyen de transport à mes déplacements : pour les trajets courts, je marche ou prends les transports doux (vélo, rollers...), pour les longs trajets je choisis les transports en commun. n Marcher, prendre les escaliers et pédaler entretiennent ma santé. n Si j’ai besoin d’utiliser la voiture, je pratique l’autopartage, le covoiturage et l’éco-conduite (je conduis calmement et j’anticipe).

n Si je dois acheter une voiture, je la choisis écologique.


Je maîtrise ma consommation de papier L’activité papetière impacte fortement l’environnement. En effet, elle nécessite de grandes quantités d’eau, d’énergie et de produits chimiques. Il s’agit de l’une des activités industrielles les plus énergivores. Le papier est le premier consommable utilisé par les activités administratives, de recherche et d’enseignement (80kg/an/personne). Malgré les performances de l’outil informatique, sa consommation continue d’augmenter chaque année.

Le saviezvous

Choisir du papier portant un éco-label assure notamment que l’industrie papetière participe à une gestion raisonnée des forêts en valorisant les bois d’éclaircies qui seraient, à défaut de cette utilisation, incinérés. Pour fabriquer une tonne de papier, il faut en moyenne 2 tonnes de bois. Le papier recyclé est, quant à lui, produit à partir de fibres de papier récupéré. Le papier représente les 3/4 du tonnage des déchets produits par un campus. Aujourd’hui, 50% de ce tonnage est trié pour être recyclé et valorisé. Une tonne de papier trié permet la fabrication de 900kg de papier recyclé en utilisant 100 fois moins d’eau et 3 fois moins d’énergie ainsi qu’en épargnant 2 à 3 tonnes de bois.

n J’achète prioritairement le papier éco-labellisé et/ou du papier recyclé. n Je n’imprime que le nécessaire. n J’imprime en recto-verso.

n Quand je le peux, j’imprime en deux pages par feuille.

n Je conserve le papier encore utilisable pour m’en servir de brouillon. n Je suis l’évolution de ma consommation.


Je maîtrise ma consommation de papier L’activité papetière impacte fortement l’environnement. En effet, elle nécessite de grandes quantités d’eau, d’énergie et de produits chimiques. Il s’agit de l’une des activités industrielles les plus énergivores. Le papier est le premier consommable utilisé par les activités administratives, de recherche et d’enseignement (80kg/an/personne). Malgré les performances de l’outil informatique, sa consommation continue d’augmenter chaque année.

Le saviezvous

Choisir du papier portant un éco-label assure notamment que l’industrie papetière participe à une gestion raisonnée des forêts en valorisant les bois d’éclaircies qui seraient, à défaut de cette utilisation, incinérés. Pour fabriquer une tonne de papier, il faut en moyenne 2 tonnes de bois. Le papier recyclé est, quant à lui, produit à partir de fibres de papier récupéré. Le papier représente les 3/4 du tonnage des déchets produits par un campus. Aujourd’hui, 50% de ce tonnage est trié pour être recyclé et valorisé. Une tonne de papier trié permet la fabrication de 900kg de papier recyclé en utilisant 100 fois moins d’eau et 3 fois moins d’énergie ainsi qu’en épargnant 2 à 3 tonnes de bois.

n J’achète prioritairement le papier éco-labellisé et/ou du papier recyclé. n Je n’imprime que le nécessaire. n J’imprime en recto-verso.

n Quand je le peux, j’imprime en deux pages par feuille.

n Je conserve le papier encore utilisable pour m’en servir de brouillon. n Je suis l’évolution de ma consommation.


Je ne gaspille pas et je trie mes déchets Les activités d’enseignement, de recherche et de bureau sont à l’origine d’un gisement important de déchets industriels banals. En moyenne, chaque usager en produit 100kg par an. Toutefois, nombre de ces déchets sont recyclables et le tri permet l’entrée de ces déchets dans une nouvelle boucle de fabrication. Par exemple, le verre est recyclable à l’infini, certains plastiques sont recyclés, les papiers, cartons et métaux le sont également. Les autres déchets doivent être séparés des précédents pour être détruits dans des conditions protégeant l’environnement.

Le saviezvous

Une tonne de verre recyclé, c’est 660kg de sable et 100kg de fioul économisés. Une tonne de plastique recyclé représente 600 à 800kg de pétrole brut non utilisés. Deux bouteilles en plastique permettent, par exemple, la fabrication d’une écharpe. Les piles et les cartouches d’encre renferment de nombreux polluants. Il est nécessaire de traiter ce type de déchet de manière isolée, de plus la récolte de ces objets est souvent associée à des projets humanitaires. Au sein des établissements d’enseignement supérieur, on estime à près de 3 millions le nombre de gobelets utilisés par jour, chacun d’eux mettra 500 ans à se décomposer. Ceci peut être simplement évité par l’utilisation d’un verre. Les systèmes de récolte de déchets dépendent des filières de traitement locales, le tri n’est donc pas le même dans toutes les localités et la présence de déchets inopportuns perturbe n Je demande à faire réparer le recyclage. les équipements abîmés plutôt qu’à les faire remplacer. n Je m’engage à pratiquer le tri sélectif et à respecter les consignes locales. n Je me renseigne sur les points de tri, s’il n’est pas mis en place, je le demande. n Je ne jette pas de produits toxiques dans le circuit traditionnel. n Je n’utilise plus de fournitures jetables, j’utilise un verre, un chiffon…

Des solutions sont en cours de déploiement sur tous les campus. Soyez vigilants et adoptez-les !


Je ne gaspille pas et je trie mes déchets Les activités d’enseignement, de recherche et de bureau sont à l’origine d’un gisement important de déchets industriels banals. En moyenne, chaque usager en produit 100kg par an. Toutefois, nombre de ces déchets sont recyclables et le tri permet l’entrée de ces déchets dans une nouvelle boucle de fabrication. Par exemple, le verre est recyclable à l’infini, certains plastiques sont recyclés, les papiers, cartons et métaux le sont également. Les autres déchets doivent être séparés des précédents pour être détruits dans des conditions protégeant l’environnement.

Le saviezvous

Une tonne de verre recyclé, c’est 660kg de sable et 100kg de fioul économisés. Une tonne de plastique recyclé représente 600 à 800kg de pétrole brut non utilisés. Deux bouteilles en plastique permettent, par exemple, la fabrication d’une écharpe. Les piles et les cartouches d’encre renferment de nombreux polluants. Il est nécessaire de traiter ce type de déchet de manière isolée, de plus la récolte de ces objets est souvent associée à des projets humanitaires. Au sein des établissements d’enseignement supérieur, on estime à près de 3 millions le nombre de gobelets utilisés par jour, chacun d’eux mettra 500 ans à se décomposer. Ceci peut être simplement évité par l’utilisation d’un verre. Les systèmes de récolte de déchets dépendent des filières de traitement locales, le tri n’est donc pas le même dans toutes les localités et la présence de déchets inopportuns perturbe n Je demande à faire réparer le recyclage. les équipements abîmés plutôt qu’à les faire remplacer. n Je m’engage à pratiquer le tri sélectif et à respecter les consignes locales. n Je me renseigne sur les points de tri, s’il n’est pas mis en place, je le demande. n Je ne jette pas de produits toxiques dans le circuit traditionnel. n Je n’utilise plus de fournitures jetables, j’utilise un verre, un chiffon…

Des solutions sont en cours de déploiement sur tous les campus. Soyez vigilants et adoptez-les !


J’ai le réflexe éco-achat

Pour fonctionner les établissements d’enseignement supérieur ont besoin d’un parc informatique important, de nombreux équipements spécifiques et d’une grande quantité de fournitures de bureau. Cela représente 20% du budget des établissements. Ces besoins sont en augmentation continuelle et constituent une opportunité de développement économique local mais aussi de protection de l’environnement.

Les produits éco-labellisés vous assurent une bonne qualité et un impact limité sur l‘environnement. Pour les produits courants, je choisis les produits portant l’éco-label européen ou la norme NF environnement, les labels international FSC et européen PEFC et enfin pour les équipements bureautiques le label Energy star. L’agriculture biologique n’utilise aucun produit chimique de synthèse (engrais, pesticides...) et aucun organisme génétiquement modifié (OGM). L’achat de produits locaux favorise le développement économique local et limite les émissions de gaz à effet de serre dues au transport de marchandises. Le commerce équitable permet aux producteurs et aux travailleurs défavorisés des pays du sud de vivre dignement de leur travail.

Le saviezvous

n Je me renseigne sur les labels existants.

n Je préfère acheter des produits éco-labellisés, locaux ou issus du commerce équitable.

n J’achète des produits recyclés, recyclables ou biodégradables.

n Je choisis des fournitures rechargeables et réutilisables.

n Je privilégie, lors de mes achats, les équipements énergétiquement performants. n Je demande que des critères d’éco-responsabilité soient inclus aux critères de sélection des fournisseurs de l’établissement.


J’ai le réflexe éco-achat

Pour fonctionner les établissements d’enseignement supérieur ont besoin d’un parc informatique important, de nombreux équipements spécifiques et d’une grande quantité de fournitures de bureau. Cela représente 20% du budget des établissements. Ces besoins sont en augmentation continuelle et constituent une opportunité de développement économique local mais aussi de protection de l’environnement.

Les produits éco-labellisés vous assurent une bonne qualité et un impact limité sur l‘environnement. Pour les produits courants, je choisis les produits portant l’éco-label européen ou la norme NF environnement, les labels international FSC et européen PEFC et enfin pour les équipements bureautiques le label Energy star. L’agriculture biologique n’utilise aucun produit chimique de synthèse (engrais, pesticides...) et aucun organisme génétiquement modifié (OGM). L’achat de produits locaux favorise le développement économique local et limite les émissions de gaz à effet de serre dues au transport de marchandises. Le commerce équitable permet aux producteurs et aux travailleurs défavorisés des pays du sud de vivre dignement de leur travail.

Le saviezvous

n Je me renseigne sur les labels existants.

n Je préfère acheter des produits éco-labellisés, locaux ou issus du commerce équitable.

n J’achète des produits recyclés, recyclables ou biodégradables.

n Je choisis des fournitures rechargeables et réutilisables.

n Je privilégie, lors de mes achats, les équipements énergétiquement performants. n Je demande que des critères d’éco-responsabilité soient inclus aux critères de sélection des fournisseurs de l’établissement.


Je modère ma consommation d’eau, c’est une ressource rare L’eau douce représente 2,5% du stock total d’eau sur la planète. Les besoins en eau doublent tous les 20 ans et le rythme de la consommation évolue deux fois plus vite que celui de la croissance démographique. Il s’agit donc d’une ressource rare à préserver et ne pas gaspiller.

Le saviezvous

L’eau du robinet est potable sauf indication contraire. On estime que 140 litres d’eau en bouteille sont consommés par habitant et par an. L’emballage et le transport de cette eau sont des sources importantes d’émission de gaz à effet de serre. Un robinet qui fuit gaspille 35000 litres d’eau par an soit 180 douches ou 98

euros par an. Une fuite de chasse d’eau représente pendant une année environ 3600 douches ou 500 euros. Un système de chasse d’eau à deux débits réduit, quand il est utilisé correctement, de 3 à 5 fois la consommation d’eau soit de 20 à 70 litres d’eau par utilisateur et par jour. L’évacuation de produits ou de déchets dans les toilettes altère le travail des stations d’épuration et 49% des eaux usées seulement sont dépolluées. Non ou mal dégradés, tous ces éléments se retrouvent ensuite dans la nature.

n Je bois l’eau du robinet.

n Je ne laisse pas couler l’eau inutilement. n Je signale les fuites d’eau.

n Je choisis le bon débit de chasse d’eau. n Je ne jette rien dans les toilettes.


Je modère ma consommation d’eau, c’est une ressource rare L’eau douce représente 2,5% du stock total d’eau sur la planète. Les besoins en eau doublent tous les 20 ans et le rythme de la consommation évolue deux fois plus vite que celui de la croissance démographique. Il s’agit donc d’une ressource rare à préserver et ne pas gaspiller.

Le saviezvous

L’eau du robinet est potable sauf indication contraire. On estime que 140 litres d’eau en bouteille sont consommés par habitant et par an. L’emballage et le transport de cette eau sont des sources importantes d’émission de gaz à effet de serre. Un robinet qui fuit gaspille 35000 litres d’eau par an soit 180 douches ou 98

euros par an. Une fuite de chasse d’eau représente pendant une année environ 3600 douches ou 500 euros. Un système de chasse d’eau à deux débits réduit, quand il est utilisé correctement, de 3 à 5 fois la consommation d’eau soit de 20 à 70 litres d’eau par utilisateur et par jour. L’évacuation de produits ou de déchets dans les toilettes altère le travail des stations d’épuration et 49% des eaux usées seulement sont dépolluées. Non ou mal dégradés, tous ces éléments se retrouvent ensuite dans la nature.

n Je bois l’eau du robinet.

n Je ne laisse pas couler l’eau inutilement. n Je signale les fuites d’eau.

n Je choisis le bon débit de chasse d’eau. n Je ne jette rien dans les toilettes.


Document non contractuel • Création Bruno Bayol

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