La newsletter de l’INSEEC Bachelor
Décembre 2015
INSIDE THE BACHELOR Le programme Bachelor de l’INSEEC vous raconte ses actualités, ses réalisations et ses projets !
www.bachelor.inseec.com
EDITO
Sommaire Agenda ������������������������������������������������ p. 2-3
La rentrée semble déjà lointaine
Edito �������������������������������������������������������������� p. 2
aux étudiants du bachelor INSEEC,
Orientation, Admissions �������������������������������������� p. 4
tant les évènements se sont en-
Rentrée de février, pouvoir se réorienter sans perdre une année
chaînés depuis septembre : les séminaires « pros » pour réfléchir à son projet de carrière, les projets
Prof Story �������������������������������������� p. 4-5 Guillaume Martin, enseignantchercheur en finance.
étudiants à lancer, les examens de
Pédagogie ������������������������������������������ p. 5
chercher, les séjours sur les cam-
décembre à anticiper, les stages à
« J’apprends le chinois en 1re année »
pus de Londres et San Francisco à organiser, et tout cela en essayant
Entreprises, carrières �������������������������������������������������� p. 6
de garder une vie sociale riche et
La nécessaire professionnalisation… Qu’est-ce que ça veut dire ?
animée !
International ���������������������������������� p. 6
Si les vacances de Noël se profilent,
Inside the London campus
il reste encore à vivre de nouvelles
Côté associations �������������� p. 7
expériences et à affronter des défis
Notre équipe de foot « INSEEC B. Panthers » : 3 matchs et 3 victoires !
stimulants… C’est l’objectif de cette
Portrait étudiant ������������������ p. 7
2015-2016 de vous raconter les
première newsletter de l’année
Antoine Rossignol, étudiant en 2e année et déjà entrepreneur
Un mot pour le dire ���������������������������������������� p. 8 Alumni
grands moments qui font de l’INSEEC BACHELOR & BBA une aventure humaine avec ses difficultés
Agenda
et ses succès, ses contraintes et
Salons
ses innovations, et avant tout son
Grandes écoles Paris : 12-13 décembre
bonheur, grand sujet de l’année au
Salon rentrée décalée Paris : 9-10 janvier Salon des Etudes Supérieures, Strasbourg: 9 janvier Salon de l’étudiant, Paris : 15-16-17 janvier
9 décembre 16h-17h30
Salon du lycée et de l’étudiant, Versailles : 23 janvier
13 janvier 16h-17h30
Portes ouvertes
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Préparation au concours
Concours
Samedi 12 décembre
Samedi 12 décembre
Samedi 16 janvier
Samedi 16 janvier
Bachelor qui a accueilli en octobre la première université du bonheur au travail en France, avec plus de 120 entreprises participantes… Claire Souvigné, Directrice INSEEC Bachelor 3
L’INSEEC Bachelor offre la possibilité d’intégrer la 1re ou 3e année à Paris pour la rentrée de février 2016. Cette opportunité permet principalement à des étudiants qui souhaitent se réorienter de ne pas perdre une année scolaire. Emerick, actuellement en 2e année, a bénéficié de la rentrée décalée de février 2015. Il avait validé une première année de prépa et a décidé d’abandonner en raison des cours trop théoriques pour intégrer l’INSEEC Bachelor. Il a répondu aux questions de notre équipe de reporters étudiants : Que faisais-tu avant d’intégrer l’INSEEC Bachelor ? J’ai validé ma première année de prépa HEC dans un lycée privé à Paris. J’ai acquis beaucoup de maturité et de rigueur.
Pour quelles raisons as-tu arrêté la prépa ? J’en avais marre de la théorie, la formation restait comme au lycée, très scolaire, c’était lourd. Les matières me plaisaient, sauf les maths qui étaient difficiles car le niveau était de section S et je venais de STMG. J’avais aussi envie de plus de pratique, notamment en entreprise.
Pourquoi avoir choisi une école de commerce ? Le coté international m’a beaucoup attiré à l’INSEEC Bachelor, avec les campus de Londres, San Francisco et les uni-
versités partenaires. Par ailleurs, je veux pouvoir faire un Master après mon BAC + 3, ce qui est possible à l’INSEEC. Et surtout, j’avais envie de faire rapidement des stages en entreprise.
Qu’est-ce qui t’a particulièrement attiré dans la formation INSEEC Bachelor ? Mon responsable de prépa m’a orienté vers l’école quand je lui ai expliqué que je ne voulais pas continuer la prépa. Il connaissait l’un des professeurs de finance de l’INSEEC. Ensuite, j’ai beaucoup regardé les vidéos sur le campus de Londres et les locaux situés dans le 16e arrondissement de Paris. Le programme a attiré mon attention avec des séminaires professionnels et spécialisés. Et enfin, je cherchais un coté très multiculturel avec la présence d’étudiants de nationalités diverses. Je crois qu’il y’en a près de 40 à l’INSEEC Bachelor, on le ressent tous les jours dans les couloirs, car on parle souvent anglais, et c’est top !
Parle-nous de ton intégration à l’école
Prof Story
Tout d’abord, la réunion de rentrée a été très claire sur le déroulement de l’année. Je me suis très bien intégré, l’ambiance était bonne dans l’école. Je me suis assez vite fait des amis. Le personnel administratif est très accueillant. On peut facilement leur parler. J’ai également apprécié certaines technologies employées pour la pédagogie (notamment l’Intranet avec nos emplois du temps, nos notes, nos supports de cours…). Enfin, je remarque et je trouve super que l’école organise beaucoup d’évènements pour nous professionnaliser (Conférences, séminaires…).
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Guillaume Martin, enseignant-chercheur et ancien élève, aujourd’hui responsable du pôle Finance ! Ancien étudiant de l’école, mes sept premières années professionnelles ont été rythmées par la recherche d’une certaine pluridisciplinarité des compétences puisque j’ai eu l’opportunité d’évoluer dans des environnements variés mais néanmoins toujours stimulants intellectuellement : fusion acquisition au sein du Groupe Crédit Agricole, conseil aux directions financières chez Ernst & Young, entrepreneu-
riat social et microfinance aux côtés du Professeur Yunus (Prix Nobel de la Paix 2006) chez Grameen Crédit Agricole. Après une période d’introspection, j’ai fait le choix de poursuivre des études doctorales en vue de devenir enseignant - chercheur.
Vous êtes un ancien étudiant (de quelle promo ?), comment vivez-vous cette
“J’apprends le chinois en 1 année” Dès la première année, les étudiants ont l’opportunité d’apprendre le chinois. L’Anglais reste certes la langue des affaires, mais le mandarin permet aussi une ouverture de plus en plus recherchée, vers les marchés asiatiques. Les cours de chinois ont été plébiscités cette année. Clément, étudiant en 1re année, découvre la langue de Confucius, il nous raconte les avantages à apprendre le chinois, mais aussi les difficultés : Pourquoi avoir choisi d’apprendre le chinois ?
Au bout de 3 mois, peux-tu dire quelques mots en chinois ?
Je n’étais pas bon en espagnol, surtout en grammaire, j’ai donc préféré découvrir une nouvelle langue dès la première année en me tournant vers le chinois. J’ai également anticipé mon projet professionnel qui est de travailler dans le secteur du vin, et pourquoi pas en Chine !
On apprend forcément moins vite qu’une langue comme l’anglais, mais je commence à connaître quelques mots :
Qu’est-ce qui te parait le plus compliqué dans l’apprentissage du mandarin ? la calligraphie ? les sons ? les signes ?
Pédagogie
Orientation, Admissions
La rentrée de février : Emerick a décidé de se réorienter sans perdre de temps !
– « je suis français » : Wŏ shi fagno Pen – « bonjour »: Nĭhao – « la bouche » : Kao…
Le plus difficile à comprendre, ce sont les sonorités, car les mots se ressemblent beaucoup entre eux. J’aime particulièrement la calligraphie, mais on passe du temps pour écrire chaque signe.
Comment sont construits les cours ? par quoi commence-t-on dans l’apprentissage du chinois ? Les cours sont relativement intenses et concentrés car nous avons 3h par semaine. Notre prof commence par nous faire travailler sur la calligraphie, puis sur la prononciation. Dans la deuxième heure et demie, nous avons généralement un contrôle de 40 minutes pour tester nos connaissances. Nous finissons le cours par des séances de « tai chi chuan » : on se détend en faisant des positions d’animaux ! Je trouve cette séance agréable et originale, on découvre aussi la culture chinoise à travers ces exercices atypiques !
expérience, le retour à l’école en tant qu’intervenant et responsable du pôle finance ?
Pour vous aujourd’hui quels sont les sujets en finance qui intéressent le plus les étudiants ?
Diplômé de l’école en 2007, je vis cette expérience comme un retour aux sources pour mieux me réinventer !
Lors des premiers cours, j’ai questionné les étudiants et j’ai été agréablement surpris de constater que la volonté d’entreprendre est présente chez bon nombre d’entre eux.
Que vous apporte l’enseignement, en complément de votre vie professionnelle ? Expérience nouvelle pour moi, l’enseignement est un exercice particulièrement stimulant intellectuellement. Compte tenu du format professionnalisant de l’école, j’y vois la possibilité de transmettre aux élèves des outils pratiques, des grilles de lecture pour leur garantir une bonne insertion professionnelle.
La finance d’entreprise est un outil d’aide à la décision et d’anticipation particulièrement adapté pour celles et ceux qui souhaitent entreprendre. Dans le cours « évaluation des entreprises » que j’enseigne en 3e année, j’insiste notamment sur le fait que l’on ne peut valoriser une entreprise sans appréhender celle-ci dans sa complexité.
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La professionnalisation, c’est la mise en œuvre d’un processus de développement des compétences qui permettent à l’étudiant de se préparer à son premier poste, mais aussi à réfléchir à l’orientation qu’il voudrait donner à sa carrière. Plus tôt l’étudiant est sensibilisé à la notion de professionnalisation, plus vite il pourra affiner son projet et s’assurer une carrière en harmonie avec ses envies et ses affinités. A l’INSEEC, nous avons mis en place un dispositif permet-
tant à chaque étudiant de réfléchir à son projet de façon progressive… Les séminaires « prod box » en début d’année lui permettent de développer ce qu’on appelle les « soft skills », ces compétences comportementales qui sont devenues essentielles pour réussir en entreprise : prendre la parole en public, savoir gérer une équipe, gérer un conflit, mener une négociation, construire son réseau, gérer son stress et celui de son équipe, autant de compétences auxquelles il faut se préparer avant d’intégrer l’entreprise ; et puis, bien sûr, l’incontournable stage pour l’immersion en entreprise permet de mettre en pratique tout ce qui a été abordé en classe. Faire des va-et-vient entre théorie et pratique, c’est toujours la clé du succès dans le développement de ses compétences !
International
Prochain stage : celui de la relation client des premières années.. rendez-vous en février pour faire le point sur ce que nos étudiants ont appris, et comment ils ont réussi à nous restituer leur expérience lors de leur oral !
Inside the London Campus : Cynthia, étudiante en 3 année, au cœur de l’entreprise Tout au long du premier semestre, les étudiants sont impliqués dans un projet « consultancy », pour lequel ils doivent trouver une entreprise ayant une problématique précise, puis mettre en place des recommandations pour résoudre celle-ci. Comment avez-vous trouvé votre entreprise dans le cadre du projet ? Quelle est cette entreprise ? Son secteur d’activité ?
Nous nous sommes répartis les tâches en fonction de nos compétences, soit commerciales, marketing, communication, Digital ou création. Nous devons effectuer par ailleurs une étude de marché pour adapter notre packaging.
L’entreprise que nous avons choisie pour le projet s’appelle « Forever », pour laquelle je travaille déjà. « Forever » fabrique des produits à base d’aloe vera pure, aide au bienêtre et à avoir une meilleure santé.
Expliquez-nous les opportunités de ce projet de conseil et développement, proposé sur le campus de Londres ?
La société distribue et commercialise ses produits via le networking ou par des actions de marketing direct (hors grande distribution).
Quelles sont vos missions avec l’entreprise ? Notre groupe doit mettre en place un nouveau packaging et créer une publicité que l’on postera sur les réseaux sociaux.
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Depuis sa création en septembre 2015, l’équipe de football INSEEC B. PANTHERS accumule les victoires… 10-0 contre Centrale, 7-0 contre Sciences-Po ou encore 2-1 contre l’IESEG.
Nous sommes tous en relation avec une entreprise pour laquelle nous travaillons à Londres. Le fait de parler anglais, de trouver des solutions et de s’adapter au marché britannique est un réel avantage pour nous. Certaines entreprises seraient intéressées pour nous voir évoluer avec eux en stage par exemple. C’est donc encourageant. Pour ma part, je souhaite rester dans l’entreprise Forever en stage.
Menée par Antoine (son capitaine) appuyée par tout le BDS (présidé par Rafaël) et boostée par le très charismatique coach Germain, cette très jeune équipe rêve d’en découdre avec les plus grands et pense déjà aux plus hautes places de Championnat de foot universitaire… C’est tout le mal que l’on souhaite à cette équipe où règne une ambiance faite de travail, de concentration, de bonne humeur et de gentillesse… qui vire à la folie lorsque le travail se mue en succès sur le terrain ! Une équipe soutenue par des fans dont le nombre va croissant et qui a su mobiliser autour d’elle de belles énergies en provenance de tous les ELEAs (Projets associatifs)… Bref, une équipe qui fait la fierté de l’école dont elle porte les couleurs !
Antoine Rossignol, étudiant en 2 année et déjà entrepreneur ! Quel est ton projet d’entreprise ? Comment vas-tu te lancer ? J’ai créé une entreprise dans le secteur de la mode et spécialisée dans l’Alpaga en mars 2014 avec l’aide de deux amis. L’un n’est qu’actionnaire tandis que l’autre se charge de tout ce qui se rapporte à la comptabilité et aux démarches administratives.
Qu’est ce qui t’as donné l’envie de monter ta boite ? Mon parcours est un peu particulier, je suis parti au Pérou en 2012 via Zellidja, une association française qui propose des bourses de voyages allant jusqu’à 900€. Les 3 conditions d’obtention sont partir seul, avoir entre 16 et 20 ans et partir avec un sujet d’étude. Mon sujet portait sur l’étude du traitement artisanal et industriel de la laine d’alpaga. Durant ce voyage, j’ai été amené à visiter d’une part, le plus gros site de traitement de fibres d’alpaga et de production d’article textile du Pérou et d’autre part, plusieurs petites entreprises artisanales et familiales réalisant elles aussi une production en fibre d’alpaga. J’ai été littéralement choqué des conditions de travail des ouvriers du site de production industriel. Ne jouissant ni d’une bonne exposition nationale, ni internationale, ils étaient contraints de travailler pour les géants du secteur qui ne les payaient que le strict minimum. Durant mon étude, j’ai eu la chance de rencontrer des personnes profondément humaines qui m’ont donné l’envie de
les aider et selon moi, le meilleur moyen était de créer mon entreprise, leur confier ma production, les payer correctement pour ensuite revendre en France à un prix en adéquation avec le pouvoir d’achat français.
Quel sera ton planning sur 1 an pour développer ton entreprise? Quelles ont été tes aides pour monter ton projet (Business Plan, financement…) ?
Côté associations
Dès l’entrée en école de commerce, nos étudiants entendent ce mot qui rassure leurs parents, mais dont ils ne voient pas bien les implications concrètes.
Notre équipe de foot « INSEEC B. Panthers » : 3 matchs et 3 victoires !
Portrait étudiant
Entreprises, carrières
La nécessaire professionnalisation… Qu’est-ce que ça veut dire ?
Le travail préliminaire sur le projet a été de 1 an et demi environ. La partie principale a été de trouver nos fournisseurs péruviens, de les aider à se développer et à s’organiser, ainsi que de trouver différents fournisseurs pour compléter nos compétences, à savoir une styliste et un web designer. Dans le même temps, nous nous sommes renseignés sur le marché français de l’alpaga et des laines naturelles en général (cachemire, mouton, angora etc.). Le planning prévisionnel pour la première année était de disposer de nos produits en mars 2014, démarcher des distributeurs multimarques et leur proposer nos produits en contrat « dépôt-consignation » pour être présentés à la vente à partir de la fin août. Vis-à-vis du financement, nous avons fait une demande de prêt via le site de crowdfunding « Hello Merci », nous avons obtenu 8 000€ mais comme tout prêt, c’est à rembourser. Le reste du financement provenait du capital apporté lors de la création. Dans tous les cas, la création d’entreprise est une expérience exceptionnelle, et bien que l’on rencontre parfois des problèmes, le positif l’emporte toujours !
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Un mot pour le dire : Alumni Pourquoi les Anciens de l’Inseec Bachelor sont-ils de vrais « alumni » ? Y en aurait-il de « faux » ? Ce que je veux dire, c’est que l’usage de plus en plus répandu en France du mot « alumni » est tout-à-fait étrange… voire illégal, si l’on se réfère notamment à la loi d’août 1994 sur l’utilisation des xénismes (emprunts étrangers)…hors la loi donc ces « alumni » mais pas à l’Inseec Bachelor précisément ! Où ils ont toute leur place. Alors pourquoi ? Tout d’abord parce qu’il n’y a aucune raison de ne pas continuer à employer l’expression « Association des Anciens Elèves », en vigueur et apparemment intemporelle, que l’on pouvait presque croire indémodable, un classique de la nomenclature des Ecoles, désignant ce regroupement de condisciples, ce réseau relationnel, affectif, financier, pour ne pas dire mémoriel. Les Anciens transmettent la mémoire de l’Ecole aux Nouveaux qu’ils soutiennent et tout cela constitue une véritable communauté que concrétisent réunions, conférences, bals et publication d’un annuaire.
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Eric Cobast, Directeur d’Atout Sup
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Sauf que les « alumni » sont passés aussi par là. Qu’est-ce qu’un « alumni » ? Aîe ! Première bévue : ça n’existe pas un « alumni » …on devrait dire au mieux un « alumnus », parce que c’est du latin et qu’en latin, selon la seconde déclinaison des noms masculins, « alumni » signifie « élèves »… au pluriel. Mais pourquoi le latin ? En réalité, c’est par imitation des universités britanniques et américaines où, depuis le XIXème siècle, les Associations d’Anciens Elèves ont pris le nom d’ « Alumni Associations ». Nos « alumni », anciens étudiants du MBA Institute ou de Paris Business College portent donc bien leur nom latin…Les autres, attention : déguisement. A trop vouloir imiter les habitudes des universités anglo- saxonnes, les étudiants de ScPo, de HEC ou de la Sorbonne finiront par revendiquer leur droit à un Spring Break à Malibu !
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2 Bachelor
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ème meilleur
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Parisien en 2015 ✷✷
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Source : Classement des meilleurs Bachelors, le Parisien mars 2015
2e bachelor parisien dans le classement Le Parisien Programme classé 14e sur la France, avec 40 programmes classés et plus de 200 bachelors en France bachelor.inseec.com | 63 boulevard Exelmans - 75016 Paris
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