LA NEWSLETTER DE L’INSEEC BACHELOR & BBA
INSIDE The BACHELOR & BBA
FÉVRIER 2016
Les programmes Bachelor & BBA de l’INSEEC vous racontent leurs actualités, leurs réalisations et leurs projets !
www.bachelor.inseec.com
EDITO
SOMMAIRE Agenda . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 2-3
L’année 2016 a démarré sur les
Edito . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 2
chapeaux de roue à l’INSEEC
Orientation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 4
BACHELOR & BBA !
APB or not APB?
Les 1res années étaient en stage
Pédagogie . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 4-5 – Choisir une spécialisation – La nuit de la crise
« relation client » pour un mois,
Innovation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 6
notre campus jusqu’en mars, et
les 2èmes années sont à Londres sur
Lancement d’un atelier du bonheur au travail et à l’école
les 3èmes années sont soit en study abroad, soit en stage long… Et pendant ce temps, l’école accueille
Entreprises, carrières. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 6
la vague de petits nouveaux de
Stage de relation client pour les étudiants de 1re année
la rentrée décalée, qui permet à
International. . . . . . . . . . . . . . . . . P. 7
rapidement après un premier essai
des étudiants de se réorienter
Study Abroad at San Francisco State University
peu concluant dans une formation qui ne leur convenait pas.
Portrait étudiant . . . . . . . . . P. 7 Les projets à l’international de Khawlah, étudiante en 2e année
Pas le temps de s’ennuyer donc, et de nombreux projets
Un mot pour le dire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 8
et évènements s’annoncent dans les prochaines semaines.
Proactif
L’objectif de cette newsletter est de vous raconter certains de ces
Classement de l’Étudiant 2016
évènements qui rythment la vie de l’école et mettent nos étudiants
INSEEC Bachelor meilleur Bachelor parisien (1er ex aequo avec IDRAC et NOVANCIA). 20 points totalisés sur 4 critères : – excellence académique – excellence international – proximité avec les entreprises – poursuite d’études 2
dans une dynamique à la fois
AGENDA Salons Salon de l’étudiant, Paris : 11-12-13-14 mars
Portes ouvertes Samedi 19 mars Mercredi 30 mars (spécial international)
d’apprentissage et de plaisir ! Concours 1 année Samedi 19 mars
Préparation au concours / entretien de motivation
Claire Souvigné, Directrice INSEEC Bachelor & BBA
Mercredi 16 mars
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Choisir une spécialisation
Les inscriptions APB ont commencé depuis le 20 janvier. Après l’été 2015 et les près de 15000 étudiants sans affectation, le ministère de l’Education Nationale a voulu agir pour éviter que la même situation se reproduise. Le résultat ? Un système encore plus inéquitable et surtout illisible.
Après deux années généralistes, les étudiants du Bachelor INSEEC doivent choisir leur spécialisation pour la 3e année. Si chacun a déjà une idée en tête, il est néanmoins important de les accompagner et les conforter dans leur choix.
L’INSEEC BACHELOR, SCIENCES PO, DAUPHINE, et de nombreuses écoles de commerce ou écoles spécialisées assument complètement leur choix de ne pas rentrer dans APB : – rester libre de sélectionner ses étudiants permet de recruter les plus motivés – permettre à l’étudiant de faire un véritable choix, avec une réponse personnalisée est essentiel : APB impose maintenant des vœux groupés qui ne permettent plus de choisir ni son établissement, ni son lieu de formation… – anticiper son inscription pour l’année post-bac n’est plus possible avec APB, et se retrouver avec une offre non
consentie mi-juillet ne permet pas de choisir un plan B satisfaisant… Beaucoup de parents et de lycéens pensent que le système APB légitime la qualité des formations qui s’y trouvent, alors qu’en réalité les critères d’intégration au système n’ont pas grand-chose à voir. Il rend au contraire l’offre de formation encore plus confuse, et ôte à l’étudiant la liberté de choix à laquelle il devrait avoir droit, en l’emprisonnant dans un système de fortes contraintes de niveau de ses notes, de son lycée, de lieu de formation, de revenu des parents, autant de critères qui sont encore plus inéquitables que dans le système précédent.
Début janvier, un séminaire a été organisé, afin d’aider les étudiants de 2e année à trouver la spécialisation qui leur correspond le mieux et leur présenter les métiers possibles après les spécialités finance, marketing, entreprendre, retailing du Luxe, commercialisation des vins & spiritueux ou sport business.
Pédagogie
Orientation
APB or not APB?
Pour cela, des séances de coaching et de motivation ont été organisées par plusieurs professionnels tels que Catherine Dossot, spécialisée dans l’accompagnement opérationnel ou encore Elisabeth Philibert, experte dans le coaching jeune et orientation. Durant 3 jours, les intervenants se sont succédés afin d’apporter leur expertise sur chaque spécialisation : des anciens diplomés de l’école aujourd’hui en poste, les responsables de departements mais aussi de nombreux professionnels, membres d’associations reconnues, telles que DFCG : association nationale des directeurs financiers et de contrôle de gestion, ou l’ADETEM : association nationale des professionnels du marketing. Pour cloturer le séminaire, des ateliers de décryptage et d’analyse de petites annonces ont été proposés aux étudiants. Tous avaient pour objectif de rediger des fiches de poste correspondant aux offres, qu’ils devaient présenter par la suite devant un jury.
Suite à ces ateliers, Olivia nous confie être plus sûre du choix de sa spécialisation Retailing du Luxe : « J’ai pu parler avec les deux intervenants de la spécialisation, en leur expliquant mon parcours professionnel et mes projets : ils m’ont tout de suite rassurée et conseillé ce parcours plus spécifique à mes envies. »
Pédagogie
Une nuit, des crises et du fun ! Réagir à la crise. En voilà un beau challenge ! La question de soumettre ce type de problématique à des étudiants n’étant pas, a priori, des spécialistes de la communication peut sembler relever de la gageure… Mais, lorsqu’il s’agit d’apprendre, la confrontation à une situation réaliste n’a pas de prix. Jeudi 14 janvier, 19 heures. Les équipes (qui se sont constituées comme autant de cellules de crise) sont appelées à trouver une solution à un premier problème : leur annonceur, un parc d’attraction situé en Belgique apprend par une dépêche AFP un grave problème de sécurité dans un manège dans lequel il vient d’investir 3,5 millions d’euros. Que faire pour rassurer le public et ne pas mettre en danger plus
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Olivia, étudiante en 2e année
longtemps l’activité économique du parc ? Puis à 21 heures, on se projette deux mois plus tard : un journal local révèle une affaire de corruption frappant au plus haut niveau le management de l’entreprise. Comment faire pour que le scandale ne prenne pas plus d’ampleur ? Enfin à 23 heures, nouvelle catastrophe : au plus fort de la saison touristique la mascotte du parc (un célèbre personnage de dessins animés) est mêlée à une histoire d’images subliminales visant à corrompre la jeunesse. Comment s’en sortir, une fois encore ? Devant un parterre de spécialistes de la communication, nos étudiants ont donc dû exposer leur vision de la stratégie à mettre en place dans l’urgence. Les équipes, mêlant des étudiants aux profils divers (finance, marketing et internationaux) ont, tantôt en Français, tantôt en Anglais, dû faire preuve d’adaptation et d’inventivité pour réagir à ces situations à rebondissement. Dans l’urgence certes, mais surtout la bonne humeur, ils se sont massivement prêtés au jeu, montrant ainsi toute l’étendue de leurs talents.
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Depuis début janvier, des groupes de réflexion ont été mis en place, avec des professeurs, des étudiants ainsi que des anciens, qui ont pu échanger sur deux thèmes : la prise de conscience et la transmission.
Pourquoi le thème de la transmission ?
Ainsi, chacun a pu s’exprimer en évoquant une histoire, un moment ou un évènement relatif aux deux thèmes proposés.
Durant deux heures, à tour de rôle, ils ont raconté un moment de leur scolarité pendant lequel ils ont eu le sentiment d’apprendre avec plaisir et d’avoir reçu un savoir utile de la part d’un professeur.
Maxime, Ophélie ou encore Grégoire sont repartis dans leurs souvenirs de salles de classe…
If it is the beginning of the year and the start of a new semester, then there must be students all over the world planning to take part in a study abroad program with one of their school’s partner institutions. And INSEEC Bachelor students are no exception! This month, six 3rd year students from the INSEEC group are on their way to the West Coast of the United States to spend four months at San Francisco State University in the magnificent ‘City by the Bay.’
Pour échanger et travailler sur l’ensemble des méthodes existantes permettant aux professeurs de transmettre un savoir et générer de la confiance aux étudiants.
As an alumni myself of San Francisco State (SFSU), I know perfectly well the wonderful spell that both the city and the school can weave for a newcomer. The glorious scenery, dynamic American spirit, friendly natives and exciting classes will all make for an unforgettable cultural and educational experience abroad.
L’objectif de ce partage d’expériences a permis à nos étudiants de se projeter dans l’avenir et d’émettre trois vœux, pour que la transmission soit favorisée à l’école dans le monde de demain.
This year four students from Paris and two from Alpes-Savoie have taken advantage of the opportunity to add an international dimension to their final year of studies and we wish them the best of luck!
Pourquoi le thème de la prise de conscience ? Pour permettre à l’étudiant de réaliser ce que l’école peut lui apporter dans l’importance de ses choix pour son projet professionnel en gardant à l’esprit d’être heureux au travail par la suite. Les étudiants avaient pour mission de relater un moment où ils ont eu conscience que l’école a été importante pour eux dans une prise de décision liée à leur avenir. Après de longs échanges, l’atelier leur a permis une nouvelle fois de formuler trois vœux afin qu’au sein de l’école, la prise de conscience soit davantage favorisée pour leur permettre de se projeter plus facilement.
Rendez-vous en mars pour le compterendu de cette mission collective visant à ce que le mot Travail se conjugue avec Bonheur !
Entreprises et carrières
Stage de relation client des étudiants de 1 année Fin janvier sonnait le glas du stage « découverte de la relation client » pour les étudiants de 1re année! Cette 1re immersion en entreprise a permis à chaque étudiant de comprendre l’importance de la relation client et ses enjeux.
Laure, étudiante en 1re année
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Accueillir, renseigner, convaincre, vendre, telles ont été les missions confiées à nos jeunes étudiants au quotidien au sein de nombreuses entreprises partenaires : Le Nôtre, La Maison du Chocolat, Nespresso, Ralph Lauren, Hugo Boss, Sephora…Une expérience riche où chacun a pu développer ses qualités humaines, ses compétences professionnelles et pour certains dé-
couvrir des talents jusque-là cachés dans l’art de la maîtrise de la relation client ! Laure a effectué son stage dans l’une des boutiques Nespresso à Paris : « Mes principales missions ont été d’accueillir les clients, d’informer et de renseigner sur les produits. J’ai apprécié le contact avec les clients, souvent favorisé avec la dégustation de café ! Hormis la vente et la relation client, j’ai découvert la gestion quotidienne d’une boutique, avec mon manager. Ce fut un excellent premier challenge de vente, notamment en période de Fêtes de Noël et de soldes ! ».
International
Dans la continuité de la 1re édition de l’Université du Bonheur au Travail (UBAT) qui s’est tenue en octobre dernier au sein des locaux de l’INSEEC Bachelor, l’école a souhaité mener une réflexion innovante pour « créer l’école de commerce nouvelle génération », avec pour objectif : incarner le bonheur de ses étudiants, au sein de l’école et dans leur métier de demain.
Study Abroad at San Francisco State University
Solène, étudiante en 3e année
Les projets à l’international de Khawlah ! Khawlah, étudiante en 2e année, nous raconte son projet en Corée : « De nationalité saoudienne, mes origines ont indéniablement eu un impact sur ma personnalité, laquelle a été d’autant plus enrichie par mon éducation et ma vie en France. Je vais une à deux fois par an en Arabie Saoudite. C’est toujours assez surprenant de voir comment les choses changent beaucoup là-bas: les Khawlah, étudiante en 2e année constructions se multiplient, les opportunités de travail dans tous les corps de métier sont plus nombreuses. Pendant les années 60, l’Arabie Saoudite, ayant besoin de construire son réseau routier a conclu un accord avec la Corée du Sud, à la fois pour sa main d’œuvre mais aussi pour son savoir-faire. Pour cette raison l’histoire de l’Arabie Saoudite moderne est étroitement liée à celle de la Corée du Sud. Il y a aussi beaucoup de similitudes dans nos valeurs, nos traditions.
J’étudie le coréen depuis deux ans et cela ne fait que confirmer que j’aimerais être un intermédiaire entre ces deux pays, créer un pont culturel, politique, économique et stratégique: devenir ambassadrice d’Arabie Saoudite en Corée.
Déjà de nombreuses expériences avec l’étranger, grâce à l’Inseec Bachelor & BBA ! Dans le cadre de mon apprentissage de la langue coréenne j’ai eu l’opportunité de participer à un concours de discours en coréen. J’ai gagné le premier prix et j’ai concrétisé mon rêve d’aller en Corée. Lors de ce voyage rempli de magie, j’ai rencontré des personnes incroyables ce qui n’a fait qu’accroitre mon envie de travailler pour mon pays et la Corée.
Portrait étudiant
Innovation
Lancement d’un atelier du bonheur au travail et à l’école
De retour à Paris j’ai travaillé en tant qu’assistante interprète pour une société coréenne présente au salon de la construction INTERMAT. Diversifier les expériences professionnelles pendant mes études est essentiel, parce que cela me permet de découvrir des domaines différents et de mieux connaître mes capacités de travail ! ».
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Un mot pour le dire : Proactif Depuis quelques années, le discours dominant dans le monde du management use et abuse de l’adjectif « proactif ». On attend assurément aujourd’hui dans l’entreprise d’un collaborateur qu’il soit proactif. Etre proactif, c’est prendre en mains, anticiper (pro), prévenir un risque notamment. L’attentiste ne fait rien… comme son nom l’indique, il attend. Le conformiste n’agit qu’en conformité avec une action antérieure…Le réactif n’a pas d’initiative, il ne fait que répondre, il réagit. Bref, seul le proactif se projette et manifeste une réelle capacité d’innovation et d’initiative. Mais ce concept n’est pas né dans l’entreprise. Il apparaît sous la plume du neuro -psychiatre Victor Frankl, dans l’intimité de son cabinet médical. Frankl en effet a particulièrement étudié dans quelles conditions psychologiques certains déportés avaient
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Eric Cobast, Professeur agrégé de l’Université (Lettres et Philosophie)
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survécu aux camps d’extermination nazis. Il a pu ainsi dégager que la plupart des rescapés (dont d’ailleurs luimême et plusieurs membres de sa famille) – indépendamment de leur condition physique – avaient manifesté une disposition à se projeter mentalement hors du périmètre absurde du camp, à nier l’instant subi et l’épreuve physique à laquelle les plus robustes restaient confrontés. Etre proactif, c’est donc – pour reprendre la très belle formule de Max Weber – avoir « le goût de l’Avenir ».
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2ème meilleur Bachelor ✷
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Parisien en 2015 ✷✷
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Source : Classement des meilleurs Bachelors, le Parisien mars 2015
2e bachelor parisien dans le classement Le Parisien Programme classé 14e sur la France, avec 40 programmes classés et plus de 200 bachelors en France bachelor.inseec.com | 63 boulevard Exelmans - 75016 Paris
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