Israel Actualites n°152

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GRATUIT - Numéro 152 - Edition du Lundi 29 Novembre 2010

Journal Israélien en langue française

En finir avec les Nations Unies


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S É S I L I B O M S TOU

Photo Bernard Matussière

E R È S I M A L E CONTR

Léon Yéhouda 58 ans - sans emploi - malade - seul au monde

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Appel national pour la tsédaka 39, rue Broca 75005 Paris ou sur www.tsedaka.fsju.org Une campagne du Fonds Social Juif Unifié


L’information en provenance d’Israël Edition du 29 Novembre 2010

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L’édito patriote de Flatto Sharon :

À la guerre comme à la guerre ! taires ont découvert l’affaire après que la police se fut focalisée sur trois membres du parti chiite suspectés de travailler pour Israël. Un expert du ministère des Télécommunications a indiqué lors de la conférence de presse qu’une telle infiltration signifiait qu’Israël pouvait envoyer des SMS et d’autres informations via ces téléphones. Cette déclaration survient après que la télévision publique canadienne CBC eut fait état lundi de la découverte, par des enquêteurs du Tribunal spécial pour le Liban (mis en place par l’ONU), de preuves impliquant le Hezbollah dans l’assassinat en 2005 de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri.

Israël a infiltré le réseau de téléphonie mobile du Hezbollah afin de pouvoir envoyer, depuis des téléphones portables de membres du mouvement chiite, de fausses informations, les israéliens sont parvenus à mettre en place des lignes secrètes dans les téléphones portables de membres terroriste Selon M. Fadlallah, le Hezbollah et les services de renseignements mili-

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Selon la CBC, cette découverte est basée sur des examens d’appels téléphoniques et montrent que des responsables du Hezbollah ont communiqué avec des propriétaires de portables utilisés pour coordonner l’explosion qui a tué Hariri. Le bureau du premier ministre a refusé de commenter l’excellent reportage de la presse canadienne sur l’enquête Hariri. Le documentaire de la CBC, citant des sources politique libanaise

et syriennes, affirme que le Hezbollah est bien le coupable dans l’affaire du meurtre du premier ministre Rafid Hariri. Le 11 novembre, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah avait menacé de «couper la main» à quiconque arrêterait des membres de son parti dans le cadre de cette enquête La semaine dernière, le chef d’Etat Major israélien Gabi Ashkenazi avait déjà prévenu lors d’une visite au Canada: “Il ya une réelle possibilité que le Hezbollah tente son coup d’état sur le Liban». Ashkenazi a également averti que certains hauts-gradés des forces armées du Liban ont été prises en flagrant délit d’aide au Hezbollah.


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Pourquoi le Hamas aime Barack Hussein Obama ?

Abu Hussain! Palestine loves you !» (Abou Hussein! la Palestine t’aime!) Ce slogan en anglais apparaît sur un poster et sur de nombreux supports édités par le mouvement palestinien Hamas et il est vendu à Gaza. Hier, il illustrait les pages de garde de nombreux quotidiens arabes.

Quand GW Bush a préconisé la solution à 2 états, il percevait les réalités sur le terrain comme le point de départ pour des négociations. Mais Obama et son émissaire spécial G Mitchell, eux, parlaient d’un retour aux frontières de 1967, comme demandé par diverses résolutions de l’Onu.

Par Amir Taheri, journaliste et écrivain, auteur «la Nuit Perse: l’Iran sous la révolution Khomeyniste» Traduction par Albert Soued

Mais en 1967, il n’y avait pas de frontière – seulement des lignes de cessez-le-feu tracées après la guerre de 1948/9, et ces lignes d’armistice séparaient Israël d’un côté et l’Egypte, la Jordanie, le Liban et la Syrie, de l’autre. Il n’y avait pas de Palestine…

Abou Hussein, c’est Barack Hussein Obama, président des Etats-Unis. Dans l’image, il porte «le Keffyeh» arabe (voir ci-dessous). Que la faction la plus radicale des Palestiniens déclare son amour pour le président américain pourrait être un mauvais signe pour les pourparlers palestinoisraéliens que le président Obama avait promis de relancer avant la fin de l’année. Selon sa charte, le Hamas veut éliminer Israël et le remplacer par un seul état palestinien, couvrant l’ensemble du territoire du mandat britannique, de la mer au Jourdain. Cette politique est soutenue par l’Iran, la Libye et une série de mouvements islamistes radicaux, compris al Qaeda. Mais Obama avait dit qu’il soutenait la solution de 2 états, préconisée par GW Bush. Si la déclaration d’amour du Hamas est basée sur un malentendu, c’est que l’approche du conflit arabo-israélien par le président Obama est ambiguë.

Le retour à ces lignes d’armistice équivaudrait à revenir à une situation qui a entraîné déjà 2 guerres. Obama laisse entendre aussi qu’il sera dur avec Israël. Pour montrer sa volonté, il fait des déclarations continues à propos des implantations juives, ce qui transfère le débat sur un sujet spécifique, au lieu de le focaliser sur l’essentiel, la création d’un état palestinien. Faire pression sur Israël plait à «Abou Hussein» et à ses admirateurs du Hamas. Mais les chances d’aboutir à un accord sur un Etat palestinien diminuent. Craignant que son principal allié ne cherche à l’abandonner ou, pire, à lui asséner un coup dans le dos, Israël pourrait être amené à pratiquer la politique de l’hérisson, pratiquée en son temps par le 1er ministre Itsh’aq Shamir. L’armée israélienne se trouve sur une partie du territoire palestinien et ne s’en retirera pas sans des garanties

sérieuses de sécurité. Le passé montre qu’Israël a fait des concessions – y compris le retrait de vastes territoires conquis sur l’Egypte, la Jordanie et le Liban -- lorsqu’il avait une certaine assurance quant à son partenaire. La paix n’est signée que lorsque: - la vainqueur d’une guerre – ou d’une série de guerres – est convaincu qu’il peut installer un nouveau statu quo en sa faveur, notamment au niveau de sa sécurité. - le vaincu sent que l’offre de paix proposée est la meilleure qu’il puisse espérer dans un avenir prévisible. Or l’approche d’Obama ne répond à aucune de ces 2 conditions. Le vainqueur, Israël, se sent menacé par ce qu’il considère une tentative des Etats-Unis de le forcer à un accord. Le vaincu, le côté palestinien, se fait des illusions et croit que le soutien d’Obama lui permet d’attendre un «toujours meilleur accord». Croyant qu’ils ont le soutien américain, certains Palestiniens vont même jusqu’à envisager une déclaration unilatérale d’un état Palestinien, sans l’accord préalable d’Israël. La politique d’Obama au Moyen Orient a rendu plus difficile toute paix au Moyen Orient. Sa promesse de parvenir à un accord avant la fin de l’année ira rejoindre une longue liste de promesses non tenues. Traduction par Albert Soued, http:// soued.chez.com pour www.nuitdorient.com

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Non, Benoît XVI n’a pas mordu Enseignement antisémite dans les écoles musulmanes en Europe est devenu un best-seller dans les pays arabo-musulmans. Par le préservatif par la queue ailleurs, les élèves reçoivent un livre Or donc, depuis quelques jours, certains médias participent - activement à un concile sexuel sur la question bandante de savoir si, oui ou non, Benoît XVI est, soudain, devenu favorable au préservatif. Ce qui m’impressionne le plus, comme toujours dans ce genre de pseudo-débat, c’est l’extraordinaire imbécillité des participantes et des participants. On ne discute plus du sexe des anges.

On discutaille sur le fait de savoir si le pape fait enfin - ou ne fait toujours pas - la promotion de la capote anglaise, du latex, du capuchon. Concrètement, le totalitarisme libidinal part du principe absolutiste qu’il est obligatoire d’être « pour » - et non pas « contre » - le préservatif. Toutes les autres questions relatives au préservatif sont d’emblée exclue de ce d - ébat devenu con - cile. Le latex est-il poreux ? Le latex est-il le seul et unique moyen d’aborder la question de la sexualité ? La sexualité se résume-t-elle à une affaire de pénis, de vagin, de bouche et d’anus ? Ces trois questions, il est interdit de les poser. La caste médiatique est inconditionnellement favorable au latex et c’est sur cette base uniquement qu’il est permis d’ouvrir la bouche, si j’ose écrire… Seulement voilà, personne ne s’est posé la question de savoir ce que Benoît XVI a réellement dit, en allemand, à Peter Seewald, dans le livre entretien qui sort en librairie sous le titre « Licht der Welt » (Lumière du monde). Je publie, ci-dessous, l’intégralité de la réflexion de Benoît XVI en matière de sexualité en général et en matière de préservatif en particulier. Question de Peter Seewald : « Au cours de votre voyage en Afrique en mars 2009, la politique du Vatican en matière de sida est une fois de plus devenue la cible de critiques des médias. 25% des victimes du sida dans le monde entier sont aujourd’hui soignés dans des institutions catholiques. Dans certains pays, comme le Lesotho, par exemple, la statistique est de 40%. En Afrique, vous avez déclaré que l’enseignement traditionnel de l’Eglise est la seule façon d’arrêter la propagation du VIH. Des critiques, y compris celles issues des rangs de l’Eglise, font valoir que c’est une folie d’interdire à des populations à haut risque d’utiliser des préservatifs ». - Réponse de Benoît XVI : « La couverture médiatique a complètement ignoré le reste du voyage en Afrique en raison d’une seule déclaration. Quelqu’un m’a demandé pourquoi l’Église catholique adopte une position irréaliste et inefficace sur le sida. À ce moment, je me suis senti vraiment provoqué, parce que L’Eglise fait plus que quiconque. Et je pars de cette affirmation. Parce qu’elle est la seule institution qui aide les gens de près et concrètement, à travers la prévention, l’éducation, l’aide, les conseils et le soutien. Et parce qu’elle ne le cède à personne dans le traitement de tant de malades du SIDA, spécialement des enfants touchés par le SIDA.

J’ai eu l’occasion de visiter l’une de ces structures et de parler avec les patients. C’est là la véritable réponse: l’Église fait plus que quiconque, parce qu’elle ne parle pas depuis le tribunal des journaux, mais elle aide ses frères et sœurs, là où ils souffrent effectivement ». Benoît XVI ajoute : « Dans mon intervention, je ne faisais pas une déclaration générale sur la question des préservatifs, mais j’ai simplement dit, et c’est ce qui a causé une telle offense, que nous ne pouvons pas résoudre le problème par la distribution de préservatifs. Beaucoup reste à faire.

Nous devons être proches des gens, nous devons les guider et les aider, et nous devons le faire avant et après qu’ils aient contracté la maladie. C’est une donnée de fait, et on le sait bien, que les gens peuvent encore se procurer des préservatifs quand ils veulent. Mais cela prouve seulement que le préservatif à lui seul ne suffit pas à résoudre la question. Il faut autre chose. Pendant ce temps, même dans le milieu laïc, s’est développée la théorie dite « ABC » : Abstinence, Be Faithful, Condom (ndmg : abstinence, fidélité, préservatif), où le préservatif est utilisé uniquement en dernier recours lorsque les deux autres ne fonctionnent pas ». - Benoît XVI poursuit : « Cela signifie que la fixation absolue sur le préservatif implique une banalisation de la sexualité, qui, après tout, est justement la source dangereuse de cette attitude qui ne voit plus la sexualité comme une expression de l’amour, mais seulement comme une sorte de drogue qu’on s’administre à soi-même. C’est pourquoi la lutte contre la banalisation de la sexualité fait aussi partie de la lutte pour garantir que la sexualité soit considérée comme une valeur positive, et lui permettre d’avoir un effet positif sur l’être humain tout entier. Il peut y avoir un fondement, dans le cas de certaines personnes, comme dans le cas du prostitué masculin (ndmg : « ein Prostituierter », un prostitué masculin, terme que Benoît XVI a utilisé, en allemand, dans son livre entretien avec Peter Seewald et terme qui a été mal traduit par les médias, y compris mal traduit par le quotidien du Vatican, L’Osservatore Romano…) qui usent du préservatif quand celuici peut être un premier pas vers une moralisation, un début de responsabilité, sur le chemin de la reprise de conscience que tout n’est autorisé et qu’on ne peut pas faire ce qu’on veut. Mais ce n’est pas vraiment la façon d’affronter le mal de l’infection du HIV. Cela ne peut être fondé que sur une humanisation de la sexualité ». Question de Peter Seewald : « Voulez-vous dire alors que l’Eglise catholique n’est pas totalement opposée en principe à l’utilisation des préservatifs ?»Réponse de Benoît XVI : « Évidemment l’Église ne le considère pas comme une solution réelle ou morale, mais, dans tel ou tel cas, il pourrait néanmoins être, dans le but de réduire le risque d’infection, une première étape vers un moyen différent, un autre moyen humain, de vivre la sexualité ». Michel Garroté

qui contient entre autre une liste des « défauts juifs qu’il faut dénoncer ». Le ministère de l’Education a avoué « que le gouvernement britannique ne supervisait aujourd’hui que partiellement ce genre d’écoles de week-end », et a annoncé « qu’il chercherait activement des moyens de contrôler ce qui s’enseigne dans ce genre de structures ».

Les gouvernements britanniques successifs tablaient sur une application extrême de la liberté d’expression pour barrer la route à la radicalisation de l’Islam. Les autorités se rendent compte aujourd’hui, mais beaucoup trop tard, qu’ils se sont lourdement trompés. La démocratie a été - là-bas aussi - utilisée pour promouvoir les idées de l’Islam conquérant. La BBC, dans son émission « Panorama », révèle cette semaine une étude réalisée dans les quelque 40 écoles coraniques britanniques qui fonctionnent le week-end, et selon laquelle l’ensei-

gnement dispensé apprend aux jeunes « que l’Islam est supérieur à toutes les autres religions », fait l’éloge des sanctions prévues par la Sharia (loi coranique) mais surtout, diffuse des idées antisémites aux élèves. Le documentaire montre comment les maîtres enseignent aux jeunes « que les Sionistes tentent de dominer le monde et de créer une planète juive ethniquement pure ». Ces arguments sont puisés dans les tristement célèbres « Protocole des Sages de Sion », pamphlet antisémite qui après avoir fait des ravages

La BBC révèle que ce réseau scolaire bénéficie d’un financement de la part d’une organisation saoudienne qui chapeaute les « Ecoles et Clubs saoudiens en Grande-Bretagne et en Irlande ». Le réseau scolaire en question sert environ 5000 élèves de 6 à 18 ans’qui étudient sur le sol britannique le programme scolaire de l’Arabie Saoudite ! L’ambassade d’Arabie Saoudite à Londres n’a pas officiellement réagi, mais la chaîne de télévision affirme que l’ambassade est directement liée à ce réseau scolaire, bien qu’elle dise avoir reçu une lettre de l’ambassadeur « niant tout lien entre l’ambassade et ces établissements »...


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PARACHAT Vayéchév : l’avènement du Messie fils de Joseph

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lant à Pharaon… » Pour avoir redit par deux fois : « Tu te souviendra de moi » D-ieu décida que Yossef aurait deux années supplémentaires de cachot ! Mettre sa confiance en l’homme, bien que celui-ci fut ministre d’Etat…lui fut reproché ! N’oublions pas non plus que Yossef porte le titre de Tsadik! Ce à quoi David écrit dans ses psaumes : « Arour Aguéver achér éivtah ba adam » Maudit soit l’homme qui met sa confiance en Adam…car la confiance ne peut être qu’Eternelle ! Yvan Lellouche

La Finlande et Israël Certains justes bénéficient d’une vie complètement sereine et disposent de biens matériels important. Cependant, espérant obtenir davantage que ses pères, Yaacov nôtre patriarche va commettre une erreur de « casting ». C’est la raison pour laquelle le verset dit : « Yaacov demeura dans le pays des pérégrinations de son père ». Alors que son père Isaac avait été étranger, tel un nomade, Yaacov aspirait lui, à une vie tranquille, avec une installation définitive, tel un notable du pays. Nous pouvons comprendre Yaacov, c’est un homme qui revient de loin… après les tensions qu’il a vécu avec Laban et Esaü, il aspire à présent à une «retraite paisible»…

cov notre patriarche qui avait la prophétie, ait préféré Yossef à ses autres enfants : il voyait clairement en lui le potentiel du futur sauveur d’Israël, le Machiah ben Yossef. Le Kéli Yakar dit même que Yaacov voyait en Yossef le très digne successeur de tous les patriarches, et c’est une des raisons pour laquelle il lui offre la fameuse tunique bariolée qui symbolise en fait le grand prêtre…celui sur lequel repose le service divin.

Le Zohar dit qu’il ne convient pas à un saint homme de la dimension de Yaacov de manifester autant d’intérêt pour les biens terrestres. A près tout il doit se considérer comme un simple invité ici-bas, car seul le «Olam Aba » le monde à venir, le concerne vraiment ! Par conséquent celui qui cherche à obtenir à la fois la prospérité dans ce monde et la quiétude dans le monde à venir, le Satan le dénonce en quelque sorte à D-ieu en ces termes : « Le bien qui lui est déjà réservé dans le Olam Aba ne lui suffit pas ? Il désire aussi s’accaparer les richesses de ce monde ci ! »

A prés que Yossef ai été vendu et fut descendu en Egypte, Potifar, Haut responsable du pharaon, l’acheta à son tour à des ismaélites…Rachi se pose la question sur la raison de la juxtaposition de deux épisodes bien distinct. D’une part les tentations de Yossef par la ravissante épouse de Potifar et d’autre part l’histoire de l’union entre Tamar et Yéhouda : Rachi explique que de la même manière que Tamar a agi avec une intention pure vis-à-vis de Yéhouda, l’épouse de Potifar également avait elle aussi une intention pure de s’unir à Yossef…En consultant les astres, elle savait quelle aurait une descendance de Yossef…mais en fait ce fut la fille quelle adopta Asnath fille de Dina qui donnera naissance aux deux fils de Yossef.

Très souvent hélas une personne par orgueil se considère si parfaite… qu’elle pense tout mériter, le Kavodl’honneur, l’argent et tutti quanti. De ce fait, dans le ciel son bilan est passé au crible et analysé de manière à vérifier que sa «fierté », ou son assurance, est bien fondée ! Sinon : « Ouïe vavoïe »… Pour que le projet divin se réalise, et que la promesse faite à Abraham soit tenu, il faut dans un premier temps que Yossef fasse ses rêves…pour susciter le rejet de ses frères, qui vont le capturer pour le vendre et ainsi, il entrainera le vieux patriarche et sa famille à descendre en Egypte ! HM fait toujours précédé la « Troufa » à la « Maka » la guérison au fléau, car celui même qui va entrainer l’exil en Egypte va d’une part assurer la subsistance de ses frères, mais ouvrira aussi la mer rouge par ses mérites... La Thora et le Midrach mettent clairement en avant la centralité de Yossef dans le processus élaboré par HM qui fera passer le peuple d’Israël de l’esclavage à la rédemption. Il n’est donc pas étonnant que Yaa-

La vente de Yossef aura des répercussions très profonde dans l’histoire du peuple juif, même le fameux Aman s’aura s’en servi pour mépriser le peuple juif de Perse.

La Thora rapproche le récit de ces deux femmes, Tamar et l’épouse de Potifar, pourtant si différentes. La première se distingue par la pureté et l’intégrité, n’agissant que pour accomplir le dessein de D-ieu et pour s’en convaincre, lorsque Yéhouda hésite à reconnaitre la paternité des enfants qu’elle porte, elle préfère accepter d’être brulé vive plutôt que de faire honte à Yéhouda ! D’ailleurs sa conduite a inspiré la maxime des pères qui dit : « Il vaut mieux se laisser jeter dans une fournaise que de faire pâlir son prochain devant une assemblée ! » Par contre, pour l’épouse de Potifar, c’est plus pernicieux… car lorsqu’elle constate désespérément que toutes les avances qu’elle lance à Yossef sont sans effet…alors elle crie au scandale et au viol ! Jetant ainsi l’opprobre sur l’homme qu’elle désirait follement. Il est jeté en prison sans aucune compassion ni regret. Mais bien quelle est qualifié de mécréante par les commentateurs, la

Thora néanmoins ne la condamne pas de manière explicite : elle est celle qui a tenté de séduire Yossef, sans autre qualificatif, et c’est grâce justement à la retenu dont va faire preuve Yossef, qu’il méritera alors le titre de : Yossef Atsadik !–le juste. Titre qu’aucun autre ne possédera dans les récits biblique. N’y-a-t-il pas de leçon plus éclairante pour nous ? Si la Torah, s’attache à ne retenir que ce qui est positif et de bien dans le cas extrême de l’épouse de Potifar, nous devons nous-mêmes en tirer la conclusion suivante : Nous sommes constamment confrontés à de semblables épreuves et devons faire abstraction des défauts et des faiblesses des autres pour ne retenir que ce qui est bon et positif ! Alors que Yaacov est endeuillé pour la disparition de Yossef, d’autres sont consternés par sa vente…C’est le moment choisit par la Thora pour faire une courte pause et nous annoncer la naissance de Peretz l’aïeul de la dynastie du roi David… C’est la naissance du Machiah, celui que le peuple juive attend depuis des générations, cet événement éveil un sentiment d’espoir capable de revigorer le moral du Am Israël tout au long de son histoire douloureuse. C’est ce que dit le Midrach : HM connait évidemment toutes les pensées des hommes : pendant que les frères négocient la vente de Yossef, et que lui-même est préoccupé par la misère et son cortèges de souffrances, et que Réouben se lamente de même que Yaacov notre patriarche, le Tout Puissant, lui, était occupé à faire jaillir la lumière du Machiah roi… Bien avant que Pharaon roi d’Egypte ne vienne au monde, celui qui le premier réduira les hébreux à l’esclavage, le père de la dynastie royale de la maison de David, vient au monde ! C’est dans les moments les plus pénibles qu’apparait une lueur d’espoir et la fête de Hannoucah que nous allons célébrer dans quelques semaines vient justement nous le rappeler ! Vers la fin de cette paracha, la Thora raconte comment Yossef dans sa géol. interpréta les rêves de ces compagnons d’infortune. A l’un deux, le maître échanson, il dit ceci : « Îm zakhartani it’kha… véasitana imadi haséd véizkhartani êl parao » « Mais tu te souviendras de moi…et tu feras à mon égard un bienfait en me rappe-

A l’époque de la seconde guerre mondiale, les Nazis qui occupés l’Europe occidentale, avaient demandé à la Finlande, cet état d’Europe du nord, de lui livrer « ses juifs » ou de l’aider à résoudre le problème juif… or, la réponse du gouvernement de l’époque fut sans équivoque : « Nous n’avons pas de problème juif en Finlande, au contraire nous sauvons les juifs !» c’était une fin de non recevoir pour l’armée allemande.

Arctique dans la partie orientale de la Fennoscandie, ce qui fait d’elle un pays nordique entièrement extérieur à la Scandinavie. Composé de milliers de lacs et d’innombrables îles, parmi lesquelles celles de l’archipel autonome d’Åland, il occupe une superficie totale de 338 145 kilomètres carrés entre la Russie à l’est, la Norvège au nord et la Suède au nord-ouest, soit celle du cinquième plus vaste pays d’Europe.

La Finlande, 5,5 millions d’habitants, en forme longue la République de Finlande, est membre de l’Union européenne depuis 1995. Baignée par la mer Baltique et précisément par le golfe de Botnie à l’ouest et par le golfe de Finlande au sud, son territoire s’étend de part et d’autre du cercle

Il y à quelques semaines, pour marquer l’anniversaire de ce refus aux Nazis, et sa fidélité, une grande manifestation de soutien à l’Etat Israël a été organisée dans la capital Helsinki. Reportage Judy Mizrahi Relais info Yvan Lellouche


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Le plan B de l’AP présenté par la Metula News Agency

démocratie de ce pays. Ce qui, pour le moins, recule à aux calendes grecques une telle résolution. Mais quand bien même ! Outre que l’on voit mal quels pays oseront affronter Tsahal pour le déloger du nouvel état créé, on imagine mal, là encore, les USA permettre le vote de sanctions tel qu’il le fait envers la théocratie iranienne. On voit mal l’Allemagne suivre cette décision. La Pologne également. L’Italie, le Canada, le Japon, l’Australie, et bien d’autres démocraties amies encore, refuseront de fait ce diktat musulman. Autre non-sens. La résolution 242 votée en 1967 affirme la fin du conflit par un accord sur des frontières israéliennes « sûres et reconnues » par un retrait « de territoires ». Ce que démentira la nouvelle résolution par l’acceptation de la ligne verte comme démarcation, attribuant de surcroît le Mont du temple, parmi d’autres lieus saints du Judaïsme, à la ‘’Palestine’’. Ce que le peuple américain pour ne parler que de celui-ci, ne pourra concevoir. Et l’Autorité palestinienne n’acceptant pas d’autres frontières que celles de « 1967 », quand bien même légèrement remodelées, se trouvera de fait coincé par sa propre demande et l’Onu assisse entre deux chaises.

Hormis le Président Barak Hussein Obama et son administration, chacun se rend compte que les négociations de paix avec l’état d’Israël n’intéressent nullement l’Autorité Palestinienne car se refusant à toutes concessions envers ce pays. Principalement la reconnaissance de sa légitimité en tant que pays du peuple juif. Il est donc fait souvent allusion par la direction ‘’palestinienne’’ d’un plan B au cas où le ‘’processus de paix’’ ne mènerait pas « l’entité sioniste » là où il faudrait. C’est-à-dire aux abdications successives autorisant la poursuite du conflit jusqu’à l’éradication pleine et entière de ce pays. On peut donc compter sur l’AP pour torpiller tout processus et faire porter la responsabilité sur les « occupants de la Palestine ». Un plan B soutenu par le Premier ministre ‘’palestinien’’ Salam Fayyad qui consiste à un recours direct à l’Onu afin d’obtenir la création d’un état de ‘’Palestine’’ avec comme frontière la ligne d’armistice de 1949, plus connue sous la dénomination abusive de « frontières de 1967 ». Un plan révélé par quelques rares agences de presse soucieuses d’informer et qui tentent d’envisager sa mise en application et les répercussions qui en résulteraient. Ainsi, la Metula News Agency, par la plume du journaliste ‘’palestinien’’ Sami El Soudi, nous conte -dans un article intitulé « Israël : pragmatisme contre dogme pour éviter l’ornière »- l’avenir forcément morose qui attend l’état juif au cas où Netanyahou ne transigerait pas : « (…) au plus tard dans trois ans, l’Etat de Palestine serait décrété par l’Organisation des Nations Unies ». S’ensuit dans l’article un scénario catastrophique ne pouvant qu’encourager les Israéliens à faire plier Benjamin Netanyahou ou à préparer leurs valises pour un monde meilleur. -Ainsi nous dit-il, « (…) les sanctions se mettraient à pleuvoir sur les Israéliens.

Elles toucheraient tous les domaines des activités humaines, de la collaboration en matière de défense, au boycott de produits, d’universitaires et de réalisations culturelles ». -Sami El Soudi nous assure encore que « ce serait à Jérusalem qu’il incomberait ensuite de convaincre les grandes puissances de réduire la part de territoire qui nous aurait été octroyée par l’ONU : le monde à l’envers, en quelque sorte ». -Enfin, ou presque, l’état Juif « (…) devrait vivre avec un quartier juif de la vieille ville de Jérusalem qui se situerait en Palestine, avec l’autoroute TelAviv-Jérusalem qui aurait à traverser un territoire étranger selon les critères de la légalité mondiale ». « L’Etat hébreu devrait, de surplus, s’il n’entendait pas demeurer au ban des nations, évacuer la totalité des habitants des implantations et de la partie orientale de Jérusalem, soit pas loin de 400 000 de ses ressortissants ». Ne manque à cette liste, mais on ne peut pas penser à tout, l’inéluctable future reconnaissance onusienne du « droit au retour » de millions de ‘’réfugiés’’ au sein d’Israël et ainsi la résolution 181 deviendrait de facto caduque. Plus sérieusement, quelles sont les possibilités de l’Onu en cas de plan B exigé par l’Autorité Palestinienne et quelles seraient ses conséquences ? L’avenir morose prophétisé par le journaliste ne peut avoir lieu que suite à une décision du seul Conseil de sécurité. Un Conseil qui doit réunir au moins neuf pays favorable à la résolution présentée sans qu’un véto ne s’y oppose. Notamment celui des USA, quand bien même présidé par un Barak Obama pro-‘’palestinien’’. Un président affaibli par son échec électoral et ayant comme ligne de mire sa réélection de 2012. Quel que soit, alors, le président élu, il devra compter avec une opinion américaine farouchement pro-Israël, consciente de la valeur stratégique et de la qualité de la

Autre absurdité de cette hypothèse de travail. La nouvelle résolution exigerait, de facto, un état ethniquement pur, vidé de toute présence de « colons » et donc judenrein. Fâcheux souvenir du siècle passé. Une résolution que les démocraties ne pourront en rien avaliser sans se renier. Une résolution d’autre part qui ne mènerait nullement à la fin du conflit. Car pour le monde musulman celui-ci ne cessera qu’avec un retour massif de ‘’réfugiés palestiniens’’ au sein même d’Israël au fin de circonscrire définitivement par la démographie l’indépendance de la présence juive au ProcheOrient.

Edition du 29 Novembre 2010

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Syrie : « la législation sur le referendum se moque du droit international »

Le ministère des affaires étrangers de la dictature syrienne a condamné mardi la décision de la Knesset d’approuver la loi sur le referendum national qui rend nécessaire une majorité qualifiée à la Knesset ou un referendum national afin de donner des territoires annexés dans le cadre d’un futur accord de paix. « La décision de la Knesset qui a fait passer ce projet de loi fait fi du droit international. La communauté internationale considère Jérusalem Est et le Golan comme des territoires occupés, » a déclaré le ministère des affaires étrangères syrien. La déclaration dit aussi que cette loi est conçue pour « ceux qui sont encore dans l’illusion que le gouvernement israélien est intéressé par la paix ». Le négociateur en chef de l’autorité palestinienne, Saeb Erekat, a lui aussi critiqué lundi la décision de la Knesset et a repris les éléments mis en avant par la Syrie, déclarant que « avec l’adoption de ce projet de loi, les dirigeants israéliens, encore une fois, se moquent du droit international. »

« Mettre fin à l’occupation de ‘notre terre’ n’est pas et ne peut pas être soumis à aucune sorte de referendum, » a déclaré Erekat. Le député arabe Jamal Zahalka (Balad) a décrit la loi comme « une invention israélienne qui est sans précèdent dans l’histoire du monde. » Zahalka a affirmé que « la Knesset n’a pas le droit de décider de l’avenir de Jérusalem ou du plateau du Golan, » ajoutant que « ce n’est pas une affaire israélienne interne. Cette législation est un message clair qu’Israël ne veut pas atteindre un règlement ou la paix. » La Knesset a adopté la loi sur le referendum national au cours d’une session en fin de soirée lundi, approuvant une loi qui modifiera fondamentalement la capacité des négociateurs israéliens à proposer des offres de paix concrètes impliquant les hauteurs du Golan ou Jérusalem Est. La loi a été adoptée par un vote de 65 pour et 33 contre.

Découverte de croix gammées à Kfar Saba

Par cette réflexion, on ne peut imaginer un tel scénario que dans la mesure où les démocraties occidentales se renieraient totalement et épouseraient la vision d’un Islam radical. Une vision qui affirmerait légalement que le peuple juif est un peuple à part et n’a aucun des droits des autres peuples. Une fiction que l’on a du mal à se représenter. Cependant, les ‘’négociations’’ ne menant vers nulle part, il est évident que la ligue arabe, pensant exactement comme le journaliste ‘’palestinien’’ de la Mena, se retournera vers l’instance onusienne pour ‘’résoudre’’ le conflit comme il l’entend. Ainsi, l’occasion sera donnée à chacun de se positionner et de compter ses amis. Il est loin d’être évident qu’Israël se retrouvera alors tout seul. Victor Perez

Plusieurs croix gammées ont été tagguées sur les murs d’une école maternelle à Kfar Saba dans la nuit de jeudi à vendredi. Les résidents locaux ont également signalé aux autorités la découverte de nombreux autres graffitis représentant le symbole nazi peints sur plusieurs bâtiments de la région. Une équipe mandatée par la municipalité de la ville est arrivée sur les lieux pour nettoyer les souillures. La police a ouvert une enquête sur les

circonstances de l’incident. Cet acte de vandalisme contre des propriétés publiques en Israël n’est pas un phénomène nouveau. En avril, la police de Tel Aviv a ouvert une enquête afin de déterminer les responsables du taggage de croix gammées et de drapeaux palestiniens sur une synagogue située à Ajami, un quartier judéo-arabe de Jaffa. Par JPOST.FR


L’information en provenance d’Israël Edition du 29 Novembre 2010

L’Iran contourne les sanctions grâce à un fond d’investissement

des parts, par le biais de l’IFIC, un fond d’investissement privé largement subventionné par l’Etat, qui dispose de 80 millions de dollars d’actifs dans la banque. Le régime des mollahs investit massivement dans l’IFIC pour se prémunir des turpitudes du marché énergétique. En effet, quand le prix du baril est élevé, le pays investit massivement dans le fond. Objectif : puiser dans ces réserves capitalisées lorsque le marché est à la baisse. Ainsi, l’Iran peut contourner les sanctions internationales, le Trésor américain n’ayant placé l’IFIC sur sa liste noire qu’en août dernier.

L’Iran et l’Egypte resserrent leurs liens financiers via la Misr Iran Development Bank (MIDB), propriété des deux Etats. C’est ce qu’à révélé cette semaine le mensuel The Atlantic. Fondée en 1975, la MIDB a servi de canal à l’Iran pour contourner les sanctions internationales, en particulier économique. Une affaire qui reflète la difficulté pour la communauté interna-

tionale d’imposer des sanctions à la République islamique. Toujours selon la même source, l’Egypte dispose de 59.86% des parts, réparties entre la banque d’investissement publique NIB et une compagnie d’assurances mixte, la MIC. Quant à l’Iran, elle contrôle 40.14%

L’ami juif d’Erdogan…

Toujours selon The Atlantic, la République islamique se sert de la MIDB de la même manière, puisque la banque, à majorité contrôlée par l’Egypte, n’est pas soumise aux sanctions contre l’Iran. Ainsi en 2009, alors que de sérieuses sanctions en réaction au programme nucléaire iranien étaient discutées, la MIDB aurait crédité l’Iran de 50 millions de dollars. Par JPOST.FR

également des mises à jour sur les relations bilatérales. Ces efforts ont malheureusement fait de lui une cible en Turquie. La semaine dernière, un journal musulman radical a publié un article sur le “traître sauvage sioniste qui est né en Turquie.” L’auteur affirmait que Sadi saisit chaque occasion pour insulter la Turquie et Erdogan et a déclaré: “Bien que le Mavi Marmara avait déjà quitté la Turquie, il organisair des manifestation contre l’arrivée de la Flottille en Israël.” L’article divague ensuite sur des liens qui existeraient entre Sadi et le Mossad… Sadi est décrit dans l’article comme “l’ennemi de la Turquie et de l’islam”. Pour sa défense, Sadi a déclaré au Yediot Aharonot que dans sa jeunesse Erdogan, était le président de l’association des étudiants religieux antisioniste.

“Je ne suis pas raciste, j’ai un ami juif…” Qui n’a jamais entendu cela de quelqu’un qui vient pourtant de dire: “les juifs volent l’argent et le travail des non-juifs”. Un journal turc publie un violent article sur Rafael Sadi, un homme qui a étudié avec le premier ministre turc à l’université, le décrivant comme étant “traître sauvage sioniste”. Tout cela car il a interviewé quelques passagers du Mavi Marmara… Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article “Je ne suis pas raciste, j’ai un ami juif…” Qui n’a jamais entendu cela de quelqu’un qui vient pourtant de dire: “les juifs volent l’argent et le travail des non-juifs”. Un journal turc publie un violent article sur Rafael Sadi, un homme qui a étudié avec le premier ministre turc à l’université, le décrivant comme étant “traître sauvage sioniste”. Tout cela car il a interviewé quelques

passagers du Mavi Marmara… Il a étudié à l’université avec Recep Tayyip Erdogan, il s’est occupé de la promotion des liens entre Israël et la Turquie depuis près de 20 ans et a été un membre de longue date de la communauté turque en Israël, mais Refael Sadi est aujourd’hui la cible d’une cabale antisémite qui sévit sur ses terres natales. Sadi et le Premier ministre turc Erdogan ont étudié l’économie en même temps entre 1974 et 1978 à Istanbul. Depuis, qu’il a immigré en Israël en 1991, Sadi a été en contact constant avec des personnalités publiques turques, a écrit des articles pour les médias turcs et a tenu des interviews avec différentes chaînes de télévision. Quand il a vu que les liens entre Ankara et Jérusalem se détérioraient, il a recruté ses amis turcophones en Israël pour aider à l’effort de relations publiques. Dans le cadre de ses activités, Sadi a lancé un site Web en turc qui contient

Au fil des ans, Sadi était resté en contact avec Erdogan et même l’a interrviewé en 2005 lors de la visite de ce dernier à Jérusalem, dans la capitale de l’Etat Juif. Les relations entre les deux ont depuis refroidi. «Je lui reproche ses erreurs. C’est dommageable pour sa politique quand il y a quelqu’un qui dit la vérité”, a expliqué Sadi. Je lui ai écrit plusieurs fois. Il ne me répond généralement pas. Par contre, il parle de moi au parlement turque pour dire qu’il n’est pas antisémite. N’a t-il pas dit “j’ai un ami juif” devant les centaines de députés et les caméras de tout le pays?” Selon Sadi, Erdogan est principalement motivé par des considérations de l’opinion publique. “Il promeut l’antisémitisme, cela devient populaire, c’est la mode pour faire fortune politiquement en Turquie. Il est en train de créer de l’antisémitisme dans un pays qui était laïque et démocratique. Cela me fait mal” explique Sadi. Par Aviel Magnesi - Adaptation et analyse, Jonathan-Simon Sellem

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Les palestiniens tirent 7 nouvelles roquettes sur des civils israéliens

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Tsahal : Tel Aviv arrive en 53e position pour le nombre de recrues

C’est “l’Armée de l’Islam” qui aurait tiré ces roquettes après que deux de ses terroristes aient été éliminés cette semaine par Tsahal. Ce groupe islamiste, proche d’Al Qaïda, est soupçonné de vouloir enlever des juifs dans la région égyptienne du Néguev. Suite à plusieurs renseignements, le Ministère israélien des Affaires Étrangères avait fortement recommandé à ses ressortissants de ne plus aller dans le Sinaï jusqu’à nouvel ordre.

On en parlait un peu moins ces tempsci. Avec une ou deux roquettes par jour, personne ne prend sa caméra pour venir filmer les dégâts. Tout le monde oublie que le sud d’Israël vit sous la menace quotidienne du terrorisme palestinien. Depuis Gaza, le Hamas ou le Jihad Islamique tirent des roquettes sur Israël. Pas sur l’armée puisqu’il n’y a aucune base de Tsahal à portée de tir des missiles. Des tirs qui ne visent donc que des civils israéliens. C’est donc pas moins de 7 missiles qui ont été tirés depuis la bande de

Gaza sur le Néguev. Trois ont frappé la région d’Eshkol les 4 autre du côté d’Ashqelon. Jeudi soir, une première roquette était tombée sur Ofakim, s’écrasant sur une ferme et blessant 3 vaches. Il s’agissait de la première fusée Grad a être tirée de la bande de Gaza depuis Juillet, et la première à frapper la région d’Ofakim depuis l’opération Plomb durci. A ces roquettes il faut ajouter celles lancées depuis Gaza mais qui ont également atterri sur Gaza. On en dénombrerait 3 qui se sont écrasées du côté palestinien de la frontière.

Selon Abou Moujahid, membre d’un groupe terroriste palestinien, « Les tirs de roquettes sont une réponse aux crimes contre notre peuple. Il est clair pour nous que notre Armée de l’Islam défendra les musulmans contre l’oppression sioniste jusqu’au bout. Et si ce n’est pas nous, ce sera une autre organisation. » Abu Mujahid affirme également que, « Depuis les tirs sur Eilat et Aqaba il y a quelques mois, nous voyons les israéliens qui préparent le terrain pour quelque chose. Une offensive de Tsahal sur Gaza semble se rapprocher. » par:Jonathan-Simon Sellem

La BBC se couche devant le Hezbollah

Des politiciens libanais, syriens, américains et français racontent «l’histoire de l’intérieur», dixit le réalisateur. La BBC n’a publié aucune excuse mais a avoué «sentir un climat de nervosité dans le climat actuel des choses». Murder in Beirut from ORTV International on Vimeo. Au Hezbollah, on est heureux, les menaces de violences, de coup d’état, de meurtre des journalistes payent !

Dans son édition du jour, le quotidien britannique The Guardian rapporte que la BBC vient soudainement de dé-programmer un documentaire sur l’assassinat de Rafic Hariri… La première des trois parties d’Assassinat à Beyrouth était prévue pour être diffusée sur BBC World ce samedi, mais le producteur a été informé que la diffusion était retardée jusqu’à nouvel ordre. La BBC a déclaré dans un commu-

niqué paru sur internet que «le film n’avait pas respecté sa ligne éditoriale». Aucune nouvelle date n’a été fixée. Mais la décision de reporter a été prise après «qu’un journal libanais ait décrit comment le réalisateur accuse le Hezbollah d’avoir tué Hariri en 2005». Le film documentaire présente des interviews de décideurs politiques, d’enquêteurs et de civils présents sur les lieux au moment de l’explosion.

Des missiles iraniens? L’Iran a fait part d’un exercice de lancement d’un missile inconnu jusqu’à cette annonce. Il aurait employé, à titre d’essai, un missile similaire au fameux S-300 russe, dont la livraison n’a toujours pas été effectuée. Moscou, après avoir repoussé l’échéance de la livraison à plusieurs reprises, a finalement annoncé, dans le cadre des sanctions internationales, qu’elle n’avait plus l’intention d’honorer cette commande, conclue voici à peu près trois ans.

Le mois dernier, des responsables russes se sont déclarés prêts à rembourser les quelques 166 millions de dollars avancés par l’Iran. Mais, si l’on se fie aux affirmations du général iranien Hassan Mansourian, il semblerait que son pays soit en mesure de se passer de cette livraison. Il a en effet déclaré jeudi: «Nous avons mis au point un système nouveau en améliorant et réactualisant les missiles de type S-200, et nous avons effectué un

La communauté de Modiin-Maccabim-Reut a le plus grand nombre de recrues au sein des forces de défense d’Israël, tant chez les hommes que chez les femmes, selon des chiffres publiés jeudi par la direction du personnel de Tsahal. La liste, qui comprend des dizaines de communautés, place Tel Aviv à la 53e position chez les hommes, et à la 27e chez les femmes. Les chiffres, qui seront présentés aux maires des communautés la semaine prochaine, se compose à partir de trois paramètres : le taux de recrutement dans la communauté (50% de la note finale), le nombre de soldats combattants, et le nombre d’officiers (25% chacun de la note finale). ModiinMaccabim-Reut arrive en tête de liste chez les hommes, avec une note finale de 64,7%, suivie de Hod Hasharon, Ness Tsiona et Yavne (57,1%).

Deux communautés situées au-delà de la ligne verte ont été classées 10e et 11e, Maalé Adumim (55,2%) et Ariel (54,8%). La ville d’Eilat arrive à la 23e position (52,9%), tandis que Tel Aviv a été classée en 53e position, avec une note finale de 45,3%. Les données montrent que 70,5% des jeunes résidents de Tel Aviv entrent dans l’armée, par rapport à une moyenne nationale de 74,8%. Quelques 32,4% d’entre eux deviennent des combattants (moyenne nationale de 39,5%) et 8% deviennent des officiers (moyenne nationale de 8%). Jérusalem a été classée à la 58e position, avec une note finale de 32,8%, et Bnei Brak arrive en dernière position, avec 18,2%. La Judée et la Samarie ont un taux de recrutement plus élevé que la moyenne nationale.

Deux terroristes tués dans la bande de Gaza

Si l’on se plonge dans l’histoire de l’Allemagne nazie, on se rend compte que si la gauche avait été écrasée en 33, c’était uniquement parce que les nazis avaient réussi à faire peur à leurs opposants (menaces, bagarres, meurtres)… En fait, ce que fait le Hezbollah depuis quelques mois est la réplique exacte de ce qu’a fait Goebbels en tant que futur ministre de la propagande.

essai concluant. Ce missile que nous avons développé est aussi performant que le missile russe S-300». Les missiles en question, les S-200, avaient été en effet livrés par les Russes dans les années 1980 à l’Iran. Ce produit était de fabrication plus ancienne, datant des années 60. Le général iranien n’a pas précisé à quel moment cet essai avait été réalisé, malgré les entrainements militaires intensifs menés ces jours-ci dans ce pays, et dont l’objectif principal consiste à prévenir une éventuelle attaque aérienne des américains ou d’Israël.

aux Juifs de Judée-Samarie et de Jérusalem.

Les entraînements doivent durer cinq jours. Mais que font les Etats-Unis et le gouvernement israélien face à cette menace? Le Premier ministre Benyamin Netanyahou poursuit ses efforts auprès des ministres de son gouvernement dans l’objectif de faire passer la nouvelle proposition américaine, consistant à interdire la construction

Quant aux Américains, ils ont fait dire par leur secrétaire d’Etat à la Défense, Robert Gates, que leur pays n’avait aucune intention de faire peser une menace militaire réelle sur l’Iran, les sanctions économiques étant considérées comme suffisantes.

Malgré les promesses de Netanyahou à son retour des Etats-Unis, vendredi, selon lesquelles l’Administration américaine ne s’opposerait pas, exactement comme pour le précédent gel, à la construction juive à Jérusalem, il insiste auprès de ses ministres, et principalement des ministres de Shass, d’accepter la nouvelle proposition de l’Administration Obama-Clinton même sans que cette clause ne soit mentionnée.

par Yéochoua Sultan

Un raid aérien de l’armée israélienne a frappé une voiture dans la bande de Gaza, mercredi, tuant deux terroristes accusés d’avoir gardé en otage un journaliste britannique en mars 2007, ont annoncé des responsables. Les deux hommes, Islam et Mohammed Yasin, étaient parents et membres de l’Armée de l’islam, a déclaré un responsable dans la bande de Gaza ayant requis l’anonymat. Le mystérieux groupe islamiste tirerait son inspiration d’al-Qaïda, mais n’aurait pas de liens opérationnels avec le réseau. Le raid aérien a laissé une voiture en flammes dans une rue de Gaza. En plus des deux hommes tués, trois personnes ont été blessées, a indiqué un responsable médical du Hamas, Adham Abu Salmia. Israël a tué des dizaines de terroristes palestiniens recherchés, lors de raids aériens au cours des dernières années. Mais les raids israéliens ont considérablement

diminué dans la bande de Gaza depuis l’offensive militaire au début de 2009. Les terroristes tués mercredi sont accusés d’avoir été impliqués dans la prise d’otage du journaliste Alan Johnston, de la BBC, qui a été libéré environ quatre mois après son enlèvement dans la bande de Gaza. L’Armée de l’islam est aussi accusée de l’enlèvement du soldat israélien Gilad Shalit, en 2006. Le soldat est toujours otage dans la bande de Gaza. Un porte-parole de l’armée israélienne a indiqué qu’Islam Yasin était lié à un complot visant à enlever des Israéliens dans le Sinaï égyptien, un lieu de villégiature populaire. Le porteparole, qui a requis l’anonymat, a dit que l’homme travaillait pour un autre agent de l’Armée de l’islam tué le 3 novembre dans un autre raid de l’armée israélienne.


L’information en provenance d’Israël Edition du 29 Novembre 2010

Le point de vue de Soly Lévy

On nous parle de « LA » crise : elle est devant nous, derrière nous. Elle est passée par ici, elle repassera par là ! Cette crise, disons-le une bonne fois pour toutes, c’est aussi l’arbre qui cache la forêt. Elle est devenue, en quelques mois, l’alibi idéal pour expliquer, justifier et pourquoi pas accepter la misère qui nous entoure et qui touche, à l’instar de la communauté nationale, la communauté juive de plein fouet. La pauvreté était déjà là, bien installée avant la crise. Elle ne l’est que davantage aujourd’hui, précipitant dans l’indigence les plus fragiles. Il nous faut donc, plus que jamais, nous mobiliser, donner, concentrer notre aide pour pouvoir efficacement tendre la main et sortir de l’ornière celles et ceux qui s’enfoncent dans le silence, faute d’avoir été entendus à temps. Une question revient, souvent la même : « Pourquoi les besoins sont-ils d’année en année grandissants ? » Plusieurs réponses peuvent être apportées. Nous sommes au cœur d’une profonde mutation sociale, dont nous n’évaluons pas encore tout à fait la mesure : une partie de la jeunesse est en souffrance, en marge, sans emploi (sinon des petits boulots qui ne conduisent à rien). Les familles continuent d’exploser, des femmes se retrouvent seules à élever leurs enfants ; la population vieillit et se

paupérise, beaucoup n’ont plus même de quoi manger, de quoi se chauffer, où dormir. Avec l’âge de nouveaux problèmes surgissent, comme celui de la dépendance, impossible à assumer pour des familles elles-mêmes déjà surendettées. Il y a aussi ces gens, laissés doublement sur le côté : enfants handicapés, mais aussi adultes handicapés qui ne trouvent pas, ou plus, leur place dans notre société. Le rôle des associations juives qui s’occupent de ces jeunes en mal de repères, de ces femmes seules et désœuvrées, de ces personnes handicapées dont personne n’a envisagé l’avenir, de ces aînés dans la douleur et la solitude, est primordial, essentiel, vital. Le Fonds Social Juif Unifié regroupe près de 120 de ces associations sociales responsables, au quotidien, de milliers de personnes. Pour les assistantes sociales, éducateurs, psychologues, médecins, animateurs culturels, bénévoles de ces associations, ces « milliers de personnes » ont un nom et une histoire. Ces « milliers de personnes » incarnent un drame, une souffrance, une attente, un espoir. La campagne nationale pour la tsédaka se doit d’être là pour chacun d’entre eux. C’est en cela qu’elle n’est pas une « collecte de circonstance », une collecte en plus, parmi d’autres. 120 associations, c’est plus de 300 projets soutenus cette année par l’Appel national pour la tsédaka, incubateur d’idées. La société bouge, les besoins évoluent, les projets innovent. Souvent les associations qui les génèrent et que nous aidons sont des « laboratoires » dont les « expériences » conduites, dans un premier temps, à petite échelle trouvent ensuite des applications au plan national. Il faut donc poursuivre sur cette voie, crise ou pas crise. Soly Lévy

Un message de Gil Taïeb

Nous voilà à nouveau réunis, comme chaque année en cette saison. L’automne abandonne ses feuilles rousses et laisse place à l’hiver, à la pluie, au froid. Pour beaucoup d’entre nous, il ne s’agit que d’un changement de saison. La nature est ainsi faite, mais pour beaucoup d’autres ces quelques degrés perdus annoncent des mois de lutte. Il va falloir trouver un toit ou de l’argent pour payer son chauffage, des vêtements chauds, des chaussures pour les enfants. Il va falloir, pour tenir le coup, réussir à manger chaud tous les jours, survivre.

Torah-Box offre 126 livres sur ‘Hanouka L’association Torah-Box, dont l’objectif est la diffusion de la Torah principalement sur Internet, est heureuse d’offrir aux 126 premiers son nouveau livre « Lois & Récits de ‘Hanouka ». Ce livre aidera chaque juif à connaitre précisément l’historique et l’histoire de ‘Hanouka ainsi que les enseignements fondamentaux à en tirer à notre époque des multimédias. Le lecteur y trouvera également les halakhot et autres lois indispensables à la fête. Une partie du livre est également disponible en libre consultation sur Internet à l’adresse : www.torah-box.com/ebook/ Les livres sont à retirer en après-midi à l’adresse : 14 rehov Kutscher à Jerusalem dans le quartier de Ramot 06 (Tél : 077-432-25-62 ou 052-790-09-63)

C’est pour celles et ceux qui voient arriver l’hiver avec l’angoisse au ventre, que la famille de l’Appel national pour la tsédaka se mobilise. L’argent que nous allons récolter est essentiel, car ils sont aujourd’hui des dizaines de milliers à en bénéficier à travers les actions des 120 associations sociales adhérentes au Fonds Social juif unifié. On parlait de la « pauvreté », on évoque désormais la « misère », comme si l’on avait franchi un cap supplémentaire, « misère » à laquelle s’ajoute, les maladies, les maux de la

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vie. Il faut donc que nous soyons forts, désireux de relever le défi, une fois encore, unis. Ceux qui souffrent, se sentent abandonnés, seuls, attendent que cette campagne nationale pour la Tsédaka soit une réussite, parce que derrière, ce sont leurs visages, leurs espoirs, leurs peurs, leurs histoires. Ils ne sont pas des pourcentages, des statistiques mais des personnes âgées, des enfants, des personnes handicapées, des gens au bord du précipice, fragilisés, dans la précarité. Ils sont des femmes, des hommes qui ont peur de l’avenir lorsqu’ils pensent encore qu’ils en ont un. L’Appel national pour la tsédaka est là pour leur tendre la main, leur dire de tenir bon, les convaincre qu’ils ne seront pas lâchés en route. Dans les radios, la presse, dans les diverses manifestations que nous allons organiser, nous allons demander de l’argent, faire des appels aux dons. Chaque jour, nous compterons ce qui est arrivé, ce qui manque, avec cette conscience terrible que chaque euro en moins, c’est un projet qui ne se réalisera pas, c’est un enfant, un ainé qui ne sera ni aidé, ni soutenu. Des membres de notre communauté ont faim, sont seuls. Il leur faut des endroits de chaleur humaine où on leur montre qu’ils excitent, qu’on les aime en plus de les nourrir, de les vêtir et/ou de les loger. Je dis en plus parce que parfois le sourire qui accompagne le repas est plus important que le repas lui-même. Les parrains de cette année, Stéphane Bern et Cyril Hanouna, sont des hommes merveilleux qui ont immédiatement compris les enjeux et la foi qui nous anime. Eux aussi on voulu entrer dans la chaîne d’union que nous formons. A quoi tient un avenir ? S’interrogeait, il y a quelques jours un ami. La réponse : à une rencontre, un coup de chance parfois. Je l’écoutais et me disait : « Et si cette chance pour eux, c’était vous ? » Gil Taïeb



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Une exposition de propagande « antisioniste » à Paris Onze leaders israéliens présents au comme boucliers humains, comme s’ils étaient en réalité les victimes Salon Pollutec d’Israël. Le dénommé Kai Wiedenhöfer, indique sa courte notice biographique, a étudié la photo à Essen dans son pays natal, puis l’arabe à Damas, capitale de la dictature antisémite syrienne.

Ayant apparemment découvert son amour pour les dictatures antisémites, il semble avoir passé son temps ensuite à faire des photos dans les « territoires occupés » par Israël : c’est ainsi que chez ces gens-là, on désigne la Judée-Samarie et Gaza. Il en a ramené deux albums de photos édités en Allemagne, l’un est consacré au « mur », cet affreux mur qui empêche tant de djihadistes antisémites de finir dans un attentat suicide en un endroit où il ne resterait plus d’enfants à photographier puisqu’ils seraient totalement déchiquetés, l’autre, plus divers, est appelé « Paix parfaite », et en le feuilletant, on discerne rapidement de quelle « paix parfaite » il s’agit et que les gens que fréquente Kai Wiedenhöfer rêveraient aisément de « solution finale » à la guerre qu’ils mènent contre l’existence d’Israël. Un Allemand qui fréquente des gens qui rêvent de solution finale ? Cela existe toujours. On le voit. Cet Allemand fait éditer ses livres de photo en Allemagne. Il semble fier que les Palestiniens l’appellent Habib al-Shaab, ce qui en arabe signifie « l’ami du peuple ». Inutile de dire de quel peuple il s’agit. Cet Allemand a reçu un prix d’une organisation d’extrême gauche, la Alexia Foundation, qui soutient les « photographes agissant comme agents du changement » : on a là incontestablement un photographe agissant comme agent du changement. Il a été jugé digne d’être primé et récompensé par Carmignac Gestion, puis d’être exposé sous l’égide de Carmignac Gestion.

Je ne connaissais pas la société Carmignac Gestion. Si on se rend sur son site internet, elle apparaît comme ayant « un seul métier : la gestion d’actifs financiers ». Ce qui m’a conduit à m’intéresser à elle est qu’elle ne s’est pas limitée à son seul métier. Elle s’est aussi décidée à faire du mécénat en matière artistique, et je ne pourrais, en soi, y trouver quoi que ce soit à redire : il existe une longue tradition menant des gens fortunés à permettre l’épanouissement du génie de créateurs divers. Là où les choses commencent à me gêner, et devraient à mes yeux gêner aussi Carmignac Gestion, c’est que cette activité de mécénat s’est trouvée placée au service d’une action de propagande. Il existe, semble-t-il, un prix Carmignac Gestion du photojournalisme. Ce prix est allé en 2009 à un certain Kai Wiedenhöfer, un photographe allemand très impliqué dans le militantisme « pro-palestinien ». Les photos de ce Kai Wiedenhöfer sont exposées en ce moment au musée d’Art moderne de la Ville de Paris. L’exposition s’appelle Gaza 2010. Le sous-titre est « un an après l’opération de l’armée israélienne Plomb durci ».

On y voit une succession de scènes de décombres et de gros plans sur des enfants mutilés. Le message n’a pas à se trouver inscrit explicitement : les Palestiniens de Gaza sont des victimes. Les ignobles israéliens les condamnent à vivre dans des ruines. Ils n’épargnent rien ni personne, pas même les enfants. Rien n’explique ce qu’est le Hamas, ce que sont ses actions, ce qu’est l’endoctrinement totalitaire qu’il fait subir à la population de Gaza. Rien ne montre la réalité de la vie à Gaza en 2010. Aucun document n’expose les visées explicitement génocidaires du Hamas. Nulle mention n’est faite où que ce soit des attaques incessantes subies par Israël de la part du Hamas, des actes de barbarie subis par des soldats israéliens aux mains de cette même organisation. Cela s’appelle non pas du photojournalisme, mais de la falsification. Cela pourrait aussi s’appeler utilisation de documents pornographiques aux fins d’inciter à la haine, car il y a une véritable pornographie dans l’utilisation des mutilations. Et il y a une authentique obscénité à montrer des gens qui sont les victimes d’un mouvement qui leur lave le cerveau, puis les utilise lâchement

Des sociétés israéliennes seront présentes à Lyon lors du Salon Pollutec 2010, (24ème Salon International des équipements, des technologies et des services de l’environnement) qui se déroulera du 30 novembre au 3 décembre prochains à Lyon Eurexpo. Israël présentera au cours de cette édition onze sociétés qui exposeront leurs technologies innovantes en matière notamment de gestion et traitement de l’eau, d’énergies renouvelables ou encore de lutte anti-pollution. La R&D de deux universités phares israéliennes sera également mise à l’honneur avec la présence des TTO (organismes de transferts de technologie) Yissum et Ramot. Yissum est la structure de valorisation de l’Université Hébraïque de Jérusalem. Le Département des Affaires Commerciales de l’Ambassade d’Israël sera présent sur le stand Israël afin de présenter sa mission de promotion des relations d’affaires franco-israé-

La réponse de la Fondation Carmignac Gestion a été de dire qu’elle soutenait « le photojournalisme… dans le but de contribuer à préserver son rôle de témoignage, à vocation humaniste universelle ». Habib al-Shaab est donc un humaniste universel : voilà qui est clair. Le communiqué continue : « la Fondation Carmignac Gestion n’a pas vocation à prendre parti dans le conflit israélo-palestinien » : il est évident que récompenser et exposer Habib al-Shaab signifie qu’on ne prend pas du tout parti. Vivons-nous une époque nauséabonde ? Il me semble que la réponse est : oui. Guy Millière

A SAVOIR : Salon leader mondial du marché de l’Environnement, Pollutec rassemble pendant 4 jours à Lyon l’ensemble des équipements, technologies et services de traitement de toutes les pollutions et plus généralement de préservation de l’environnement et de mise en œuvre du développement durable. Cette 24ème édition réunira 2 400 exposants qui présenteront une offre multisectorielle répondant aux évolutions du marché à 75 000 visiteurs professionnels issus de l’industrie, des collectivités locales, du bâtiment et du secteur tertiaire.— ISRAELVALLEY PLUS – CONTACT Laurence SDIKA Responsable sectorielle – Département Commercial Ambassade d’Israël, 3 Rue Rabelais 75008 Paris ​Tel: +33 (0)1 40 76 54 62 Fax: +33 (0)1 40 76 53 29

Laurent Levy, président fondateur d’Optical Center, s’est installé à Jérusalem mille ans nous avons été absents. A présent, nous voici, dans tout le pays, et Tel-Aviv, Jérusalem, Hebron, c’est la même chose. »

Que le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris ait accepté d’héberger une pareille exposition est répugnant, mais ne me surprend guère. La Ville de Paris n’a plus à démontrer qu’elle épouse la « cause palestinienne ». Qu’une société qui affirme n’avoir qu’« un seul métier : la gestion d’actifs financiers », se fourvoie de cette manière conduit à s’interroger. S’agitil d’un choix délibéré ? S’agit-il d’un moment d’égarement ? Si j’étais responsable de Carmignac Gestion, je n’aimerais pas voir mon nom associé à une telle opération, mais je ne suis pas responsable de Carmignac Gestion. Le Crif s’est indigné publiquement.

liennes.

Laurent Levy, président fondateur d’Optical Center*, s’est installé à Jérusalem, où il a ouvert un Centre de la Vue, dans un bâtiment historique restauré, à l’angle des rues des Prophètes et Havatzelet. De la philanthropie pure puisque pour une somme des plus modiques, tout nécessiteux repart, qui avec une paire de lunettes de vue, qui avec un appareil auditif. Sa réussite phénoménale en France et ailleurs ne lui a guère servi ici. Voici deux ans, il confiait à l’auteur de ces lignes qu’il avait renoncé à lancer son activité en Israël, barré par le talent des opticiens de la place en matière de marketing. Le voici animé d’une nouvelle ambition, à consonance idéologique : racheter des immeubles délaissés dans Jérusalem-est, les rénover pour louer les appartements à des familles religieuses orthodoxes. « L’immobilier, a-t-il déclaré lors d’un interview à Yédiot Yéroushalaïm, est plus facile que les lunettes… » et de préciser : « Deux

Sa préoccupation essentielle a trait à la pénurie d’appartements pour les jeunes. Aussi, envisaget-il une solution puisée à l’école française, soit des logements à loyer modéré, avec contrat à long terme, et à l’extérieur du centre-ville : sur les flancs Est de la capitale, à Beit-El, Goush-Etzion,.. des lieux qui correspondent à sa vison politico-religieuse. Mais s’il pointe la bureaucratie israélienne comme entrave principale à ses projets, Laurent Levy semble oublier le quotidien, où les tractations en cours pour parvenir à un solde de tout compte entre Israélien et Palestinien, occupent la première place. Et que demain, la configuration géopolitique risque de ne plus être celle d’aujourd’hui. Laurent Levy (44 ans) a inauguré le 24 mai 2010 à Jérusalem le « Mishkan Hareiya » , redonnant ainsi corps et vie à l’ancienne maison des aveugles. Il a ouvert son 1er magasin en 1991, à Boulogne Billancourt. Il est aujourd’hui à la tête de quelque 300 magasins, en France, en Belgique et au Luxembourg. Le 18 novembre, il a été l’un des héros de l’enquête « Des lunettes pas très nettes » diffusée dans l’émission Envoyé Spécial.


L’information en provenance d’Israël Edition du 29 Novembre 2010

Il ne fait pas bon être pro-israélien dans la France islamo-palestinienne… Là où les choses deviennent beaucoup moins drôles c’est que les attaques vont jusqu’à faire fermer le site Drzz. fr animé par Jean-Patrick Grumberg ! Que certains « députés honoraires » mettent en cause violemment la LDJ en écrivant au Ministre Brice Hortefeux en exigeant de lui la dissolution de la LDJ ! Sauf que Messieurs les députés peu scrupuleux de vérité, c’est Europe-Israël qui a organisé cette action, sur une idée de Jean-Patrick Grumberg et Drzz.fr. Les jeunes de la LDJ sont venus nous apporter leur concours et leur logistique dans le plus grand calme et la plus grande sérénité. Il n’y a eu aucune violence, aucun saccage. Nous ne sommes même pas entrés dans le hall du Musée d’Art Moderne ! Nous avons distribué 3000 tracts à un public venu pour visiter l’exposition Basquiat qui nous a réservé un très bon accueil, intéressé de découvrir une autre réalité, une autre version de ce qui se passe réellement à Gaza. Mais le lobby pro-palestinien n’en restera surement pas là, alors à Europe Israël nous nous préparons également à subir des attaques en règle… Il ne fait donc pas bon dans notre France d’exprimer une voix différente du « politiquement correct » pro-palestinien. La liberté d’expression chère à nos cœurs disparait dès qu’il s’agit de rétablir la vérité face au lobby islamopalestinien. Mais le temps où les juifs, où les défenseurs d’Israël, où les Républicains épris de liberté se contentaient d’écrire de beaux articles, d’organiser des Galas de soutien et de s’indigner dans les salons est maintenant révolu. EuropeIsraël, composé d’ardents défenseurs des valeurs républicaines, de la liberté d’expression, de la vérité face à l’obscurantisme, a pris le chemin de l’action afin de rétablir la vérité partout où elle sera bafouée par le discours islamo-palestinien. Dimanche 21 novembre Europe Israël, Drzz.fr et la LDJ ont organisé une distribution de tracts devant l’entrée du Musée d’Art Moderne de Paris où se tient une exposition photographique intitulée “GAZA 2010” montrant des « morceaux choisis » qui laissent penser que Gaza est une terre de désolation où les victimes d’Israël déambulent dans les rues amputées, meurtries, estropiées… Le tract en quadrichromie que nous avons distribué montre quant à lui une autre vision de Gaza en 2010 : Hôtel de luxe, centres commerciaux, belles voitures, plages bondées, etc… Nos photos reflètent la réalité de Gaza que viennent confirmer certains indicateurs internationaux tels que le taux de croissance de Gaza qui se situe à 16 % par an confirmé par le FMI, la troisième place de Gaza pour le nombre de personnes obèses, etc… En bref nos photos, venant uniquement de sources palestiniennes irréfutables, rétablissent la vérité et démontrent clairement que cette exposition “GAZA 2010” est un pur parti pris politique qui tend à vouloir désinformer le spectateur. Notre distribution de tracts s’est effec-

tuée dans le calme et la bonne humeur. Seul évènement notoire, un employé certainement militant pro-palestinien a tenu des propos antisémites à notre encontre ce qui nous a conduit à appeler la Police. Une plainte étant en cours. Quelle ne fût pas la réaction de l’ensemble des sites pro-palestiniens !

Europe-Israël réaffirme son attachement aux valeurs judéo-chrétiennes, fondatrices de notre culture, de l’Europe des peuples que nous avons souhaités et dans laquelle il n’y a aucune place pour un islam radical qui tente de nous imposer sa façon de vivre, sa vision du monde.

On a pu lire « des voyous cagoulés et ayant de casques de motos ont attaqué l’exposition », « une attaque d’une violence inouïe… », « les voyous ont tenté de saccager l’exposition ainsi que les œuvres de grands Maîtres… », etc…

Europe-Israël réaffirme que soutenir Israël c’est mener le combat contre l’islamisation de l’Occident car Israël est la « tête de pont de l’Occident » au milieu du Monde Islamique. Israël est le rempart de l’Occident contre la déferlante verte islamique. Israël tombe et l’Occident tombera inexorablement.

Autant de mensonges et de désinformation que seuls les pro-palestiniens sont capables de distiller comme ils le font depuis près de 30 ans. L’ensemble de l’arsenal antisioniste était pour l’occasion sorti ! Quel honneur on nous fait ! Les islamo-palestiniens nous ont fait le “Grand Jeu” de la désinformation ! Et pourtant nous ne sommes que de simples militants pro-israéliens… Rappelez vous combien de mensonges ces islamo-palestiniens ont déployé quand l’armée israélienne a arraisonné un bateau rempli d’islamo-terroristes….

Europe-Israël combattra tous les mythes, les mensonges et la désinformation propagés par les pro-palestiniens en France comme dans toute l’Europe. Les menaces de députés peu soucieux, peu exigeants de vérité ne nous bâillonneront pas. Ils ont vendu leur âme à l’Islam, idéologie antidémocratique par essence, à des fins purement électorales. Et pour cela, nous continuerons à lutter contre toutes les mystifications, les tromperies, les contre-vérités, et l’hypocrisie. Toute l’équipe d’Europe Israël Notre tract distribué qui gène tellement les islamo-palestiniens .

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L’information en provenance d’Israël Edition du 29 Novembre 2010

L’antisémitisme nouveau est arrivé !

une interview diffusée sur Aroutz Sheva en anglais: Wistrich explique qu’aujourd’hui, l’antisémitisme est dirigé non seulement contre Israël mais contre les Juifs du monde entier. Selon lui, la plupart des gens identifient l’antisémitisme avec des symboles et des images très évidentes, comme les nazis, des manifestations fascistes, ou les appels à jeter les Juifs d’un pays particulier. Toutefois, comme il l’explique, ces images sont beaucoup moins visibles aujourd’hui, et l’antisémitisme de 2010 a changé de forme.

Jusqu’à ce jour, la relation entre la propagande anti-Israël et l’antisémitisme était facilement compréhensible par tout le monde, mais il fallait prendre le temps de l’expliquer. Les extrémistes arabes et musulmans au Moyen-Orient dépeignent Israël et les juifs qui y vivent comme une nation monstrueuse et dont les seuls objectifs et occupations consistent à faire souffrir les palestiniens. Il a fallu un certain temps, mais finalement, cette hostilité s’exprime aujourd’hui dans des incidents anti-juifs en Europe et dans une moindre mesure, en Amérique du Nord. Certaines personnes expriment leur indignation, mais la plupart des observateurs restent les bras croisés. Ils évitent consciencieusement l’affront, évitant la confrontation par la fuite. La peur de se mettre en danger… Une manifestation récente de ce processus a eu lieu en Italie, où un Juif israélien, étudiant à l’Université de Gênes, a été menacé par un Palestinien qui n’en n’était apparemment pas à son premier coup.

Les camarades du jeune juif ont essayé de le protéger pendant un certain temps, mais finalement se sont enfuis face à l’agression. La police a refusé d’enquêter sur l’attaque jusqu’à ce que, pressé par la communauté juive, les choses aient évolué et la police commencé à enquêter sur ce lynchage. L’étudiant qui a été attaqué est aujourd’hui abandonné par ses amis et est critiqué pour avoir fait appel à la police: “ Un seul étudiant italien est venu vers moi et m’a dit qu’il était prêt à témoigner à la police pour ce qu’il s’est passé. Même le gars qui partage ma chambre et témoin de l’incident – il tout vu, mais a peur d’être associé à moi en cas de représailles. Le directeur du campus est venu vers moi et m’a dit: «pourquoi se tourner vers la police? Cela va ruiner sa vie.” À son avis, la meilleure solution est mon expulsion de l’école. “ Robert Wistrich de l’Université hébraïque de Jérusalem, offre un aperçu de ce processus dans

“Au cours des 40 dernières années, la forme la plus dynamique de l’antisémitisme celle qui est transmise par l’anti-sionisme et la haine d’Israël”, a expliqué Wistrich. Il estime que l’antisémitisme fondé sur la haine d’Israël est plus facile à mettre en oeuvre car il est légal, dans la plupart des pays, de dire ce qu’on veut se battre contre Israël.

« Refuser la connexion entre les juifs et le Kotel est nier la réalité. Si vous refusez la connexion entre les juifs et le mur des lamentations, vous niez en fait le lien entre les juifs et Jérusalem, et la terre d’Israël elle-même, » a déclaré Regev. « Quand ils nient le lien juif, ils soulèvent malheureusement des questions très sérieuses quant à leur véritable engagement dans les négociations. » Regev a déclaré que ce type de déclaration était à attendre de « l’Iran d’Ahmadinejad, du Hezbollah ou du Hamas, mais refuser le lien entre les juifs et le Kotel est quelque chose que nous n’attendons pas d’une partenaire pour la paix, et je demande aux dirigeants palestiniens, le président Mahmoud Abbas et le premier ministre Salam Fayyad, de s’en dissocier publiquement. » La député Likoud Tzipi Hotovely dit que le gouvernement doit se battre

pour empêcher que le monde adopte les mensonges de la propagande palestinienne contre le peuple juif. Elle a averti que « l’étude » pourrait être adoptée par l’UNESCO, qui a récemment déclaré que le tombeau de Rachel à Bethlehem était un lieu saint musulman, et non un lieu saint juif. « Nous devons déclarer la guerre à la culture du mensonge diffusé par les palestiniens avant que le monde commence à les croire, » a-t-elle dit. « On ne peut qu’espérer que plus les palestiniens parleront d’absence de lien entre le peuple juif et sa terre, moins les gens prendront leurs revendications au sérieux. » Pendant ce temps, l’autorité palestinienne a officiellement adopté cette « étude ».

Le ministère de l’information de l’AP a publié cette propagande sur son site internet officiel. Cette « étude » a été préparée par al-Mutawakel Taha, un haut fonctionnaire du ministère de l’information de l’AP. Il est également un célèbre poète et écrivain palestinien. « L’étude » de Taha conclu que le Kotel n’a jamais été un site juif, mais a toujours appartenu aux musulmans. Il écrit que le mur des lamentations, connu pour les musulmans sous le nom d’Al-Buraq, est en fait le mur

20 000 maisons arabes contruites illégalement, Obama zappe, Ashton fait la sourde a indiqué qu’il y avait 20 000 maisons construites illégalement dans les quartiers arabes de l’Est de Jérusalem. Les discussions portaient essentiellement sur le secteur du Shiloah (Silwan) et du Gan Hameleh (Jardin du Roi).

Jérusalem - 20 000 maisons arabes contruites illégalement, Obama zappe, Ashton fait la sourde, Ban ki Moon le muet, Sarkozy n’exige plus rien, les arabes continuent leurs chantage Lors d’un débat en commission à la Knesset, l’adjoint du chef de cabinet du contrôleur de l’Etat, Shmouel Golan,

Le maire de la capitale, Nir Barkat, a exposé la nouvelle politique adoptée par la municipalité, consistant à développer de nouvelles infrastructures dans ce secteur et a demandé l’aide du gouvernement pour promouvoir les nouveaux projets. par Claire Dana-Picard Israel7

Al-Qaïda menace en hébreu : « les juifs ne sont pas à l’abri »

On ne sera pas puni par la loi. Abordant la question de savoir si des différences existent entre l’antisémitisme du passé et l’antisémitisme moderne, Wistrich a dit qu’il n’y a pas beaucoup de différences aujourd’hui, depuis que le boycott des Juifs existent depuis des centaines d’années… Et qu’il est remis au goût du jour aujourd’hui. Il s’agit d’une continuité évidente de l’antisémitisme classique que nous connaissions dans le passé. “ Après tout, quelle différence entre “interdit aux chiens et aux juifs” (ou autre lien) et “interdits aux israéliens” ? Aucune. La contagion se propage. Par Blog Camera – adaptation et analyse, Jonathan-Simon Sellem

Autorité palestinienne : « le Kotel n’est pas un site juif »

Mark Regev, porte-parole du premier ministre Benyamin Netanyahou, a appelé les dirigeants palestiniens a se dissocier publiquement de « l’étude » de l’autorité palestinienne niant les liens entre les juifs et le mur des lamentations (Kotel), disant que « ce n’est pas le genre de déclaration a attendre d’un partenaire pour la paix ».

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occidental de la mosquée Al-Aksa.

Et il est certain qu’au regard du niveau culturel au sein des territoires palestiniens, et au regard du niveau d’endoctrinement des palestiniens, une telle théorie, qui passe comme farfelue à toute personne un minimum cultivé, fera office de vérité pour des générations de palestiniens et probablement d’arabes. Gershon Baskin, le chef adjoint du centre de recherche et d’information Israël/Palestine, a envoyé une lettre à la direction palestinienne à la suite de l’article du Jérusalem Post faisant état de cette « étude », appelant les conclusions « une grave erreur » et « une tache sur l’autorité palestinienne ». « Si cette ‘étude’ est bien réelle, vous devriez prendre des mesures immédiates contre son auteur (si il est en fait employé par l’autorité palestinienne ou l’OLP) parce que ses allégations sans fondement sont un sérieux coup à la légitimité et aux revendications des palestiniens, et se moque de l’idée de paix entre palestiniens et juifs, » écrit Baskin. « C’est une erreur très grave, similaire a celle faite par l’ancien président Arafat, lorsqu’il a nié tout lien entre les juifs et le Saint Mont du Temple à

Un groupe lié à Al-Qaïda a publié jeudi pour la première fois une déclaration en hébreu, menaçant de venger l’élimination de deux hauts responsables de « l’armée de l’Islam » mercredi dans la bande de Gaza. Dans une déclaration de 30 secondes diffusée sur un site internet lié à l’organisation terroriste, on entend une voix disant que « les agresseurs juifs » ne seront pas protégés des attaques de missiles et d’autres menaces tant qu’ils ne se retirent pas de la « terre palestinienne ». L’orateur s’est identifié comme un membre de Ansar al Sunna, qui est présent dans la bande de Gaza. Islam Jérusalem. » « N’importe quel observateur, même un archéologue non professionnel, peut discerner que les pierres utilisées pour construire le Kotel sont de l’époque du Temple de Salomon et du Temple reconstruit par Hérode, qui ont été construits des centaines (pour le second Temple) ou des milliers (pour le premier Temple)

Yassin, 35 ans, de Jabalya dans le nord de la bande de Gaza, a été tué avec son frère Mouhammad lors d’un raid aérien israélien dans la bande de Gaza mercredi, après que les forces israéliennes aient été prises pour cible par des membres du groupe lié à AlQaïda. Matti Steinberg, un ancien officier des renseignements israéliens spécialiste de l’Islam, a déclaré que l’utilisation de l’hébreu dans un communiqué d’Al-Qaïda est très inhabituelle. « Il semble que l’idée derrière cela est de faire sentir aux juifs que la menace est plus imminente maintenant, et que ce n’est pas un lointain avertissement. » d’années avant que l’Islam n’apparaisse sur le scène mondiale. « La falsification de l’histoire, comme elle se fait dans le rapport du poète palestinien al-Mutawakel Taha, un haut fonctionnaire du ministère de l’information, est une grave tache sur l’autorité palestinienne. »


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Les palestiniens auront le dernier mot : vers un second gel des constructions En même temps, les agressions à l’encontre d’Israéliens, dans les quartiers de Jérusalem, se sont encore intensifiées. Tout est fait pour que ces actes antisémites persistent méthodiquement, sans remord et sans pitié. En réponse à ce second plan de gel, Dimanche 21 novembre, tous les conseils régionaux de Judée Samarie seront en grève générale pour protester contre la reconduction du gel des constructions.

Depuis quelques jours, les États-Unis ont présenté à Israël un plan pour relancer les « négociations de paix » avec les Palestiniens. Ce plan proposerait à Israël un nouveau gel des constructions dans les localités juives pour 90 jours, sauf à Jérusalem-Est. Le gel envisagé concernerait tous les chantiers à venir, ainsi que ceux qui ont débuté après l’expiration du moratoire, en septembre dernier. Le plan comporterait aussi l’engagement de ne pas chercher à prolonger cette phase de gel. Le plan prévoit également un artifice de promesses pour l’Etat Juif. Les États-Unis offrent par exemple à Israël plusieurs garanties en matière de sécurité. L’administration Obama prétend demander au Congrès d’autoriser la livraison de 20 avions de combat supplémentaires, afin de permettre à Israël de conserver son « avantage qualitatif » vis-à-vis des autres armées de la région. Les États-Unis s’engageraient également à imposer leur veto au Conseil de sécurité de l’ONU, et au sein des autres instances internationales, à toute résolution visant à imposer à Israël un règlement politique sur le dossier palestinien contre sa volonté. Washington s’opposerait aussi à toute tentative visant à empêcher Israël d’exercer son droit à l’autodéfense. Le problème ici est que les américains n’ont même pas pris la peine de consulter les israéliens avant de proposer ce plan-bidon qui ne règle rien. Le respect de la souveraineté israélienne est encore une fois bafoué. (Note de JPG : le second problème est que les américains ne font guère plus que de proposer d’apporter à Israël ce que les présidents et le sénat américains ont toujours apporté à leur plus proche allié, et qu’ils retrouveront naturellement après le passage de Obama à la présidence)

Après la raclée électorale du 2 novembre 2010, Obama, pour redorer son blason, cherche à briller d’une autre manière : présenter à Israël son plan de paix au Moyen Orient, qui se résume à vider la Judée et Samarie de toute présence civile juive israélienne. Obama souhaiterait créer, pour la population israélienne, une situation similaire à celle des réfugiés juifs de Gaza. Washington a encore une fois prêté une oreille bienveillante aux lobbyistes de la Ligue Arabe et des palestiniens, très puissants, et qui ont beaucoup d’influence aux USA depuis qu’un certain président est au pouvoir, au point que la construction de quelques dizaines d’habitations, en Judée Samarie, est devenue aujourd’hui, avec la bénédiction d’Obama, un obstacle aux négociations (ce qui n’avait jamais été le cas au auparavant). Les israéliens ont déjà fait geler les constructions pendant dix mois et en contre partie ils n’ont rien obtenu. Ils ont empêché le développement naturel, familial, de leur villages sans rien recevoir, tandis que la violence persiste chaque jour dans les territoires. Dans le même temps, les palestiniens construisent des centaines de maison, des immeubles, des mosquées, illégalement, sans le moindre permis de construire, à Jérusalem et ailleurs à l’intérieur de la ligne verte, sans que personne leur reproche quoique que ce soit. Ce nouveau gel va probablement encore alimenter le terrorisme. Il y aura encore des morts et des blessés sur les routes de la Judée Samarie. Les jets de pierres sur les voitures israéliennes (activité quotidienne des palestiniens) n’a pas cessé. Ce mercredi 17 novembre 2010, un autobus israélien a été caillassé sur la route 60 dans le Gush Etzion, à l’ouest de Bethléem. Deux personnes ont été blessées.

Des membres du Likoud, et les responsables des localités juives de Judée Samarie ont déjà tenus une réunion d’urgence dans le bureau du ministre Yuli Edelstein, pour décider de l’attitude à adopter, face à la proposition de prolonger le gel de la construction, présentée par le Premier ministre au cabinet. Parmi les participants à cette réunion d’urgence, on peut mentionner le président de la coalition, Zeev Elkin, Yariv Levin, Tzipi Hotovely, et encore Haïm Katz. « La décision de reconduire le gel est inappropriée. Nous devons dire non à un nouveau gel de la construction en Judée Samarie », a déclaré ce dernier. Au cours de cette réunion, rassemblant les députés du Likoud, le ministre de la diaspora, Youli Edelstein, a déclaré que lui et ses partisans sont opposés à un nouveau gel des constructions, et qu’il oeuvrent pour que cette décision ne soit pas prise par Benyamin Netanyahu. Le député Danny Danon a fait savoir, au cours de cette réunion, qu’il avait envoyé une lettre au Rav Ovadia Yossef, l’ancien Grand Rabbin d’Israël, et dirigeant spirituel du parti Shass, afin de lui demander d’intercéder contre le décret. Le ministre israélien de la Science et de la Technologie, Daniel Hershkowitz, et les militants de son parti (le Foyer Juif, formation orthodoxe) se sont aussi montrés opposés à tout nouveau gel des constructions en Judée Samarie. Au total, treize ministres et membres de la Knesset ont signé, depuis quelques jours, une lettre adressée au Premier ministre Benjamin Netanyahu, dans laquelle ils expriment leur opposition à la reconduction du gel contre les avantages supplémentaires offerts par les États-Unis. Parmi les signataires, à ce jour, on compte les Ministres Benny Begin et Moshe Yaalon, le Vice-ministre Gila Gamliel et Ayoub Kara, le président de la coalition Zeev Elkin, et les députés

Danny Danon, Tzipi Hotovely, Haim Katz, Yariv Levin, Tsion Penian et Miri Regev.

Le Premier ministre israélien dispose d’une petite majorité pour tenter d’imposer le décret proposé par la Secrétaire d’Etat américaine, Clinton. Les ministres qui soutiennent cette démarche sont Ehoud Barak, Youval Steinitz, Yaakov Ne’eman, Dan Meridor, Gideon Sa’ar et Binyamin Ben-Eliezer. Binyamin Netanyahu et le négociateur en chef Yitzhak Molcho se sont entretenus, mercredi 17 novembre, avec les ministres du parti Shas Eli Yishai et Ariel Atias. Le but était de les dissuader de s’opposer au gel des constructions. Le parti orthodoxe séfarade Shaas pourrait accepter de ne pas voter contre un nouveau gel des constructions en Judée Samarie si cette mesure ne concerne pas Jérusalem. Alors qu’un second moratoire sur les constructions en Judée Samarie pourrait être annoncé, les israéliens sont appelés à ne pas adopter une politique de l’autruche, car les palestiniens cherchent constamment des prétextes pour ne pas progresser vers la paix. Décidé en novembre 2009, le premier « gel » des constructions n’a été suivi d’aucune proposition palestinienne. Du côté palestinien il n’y a pas eu de main tendue. Aucune initiative, non plus, de la part des pays arabes. Depuis Oslo, les positions israéliennes ont toujours évolués avec le temps. Ils ont fait des concessions, des pas vers la paix, leurs propositions ont avancées. La position palestinienne, même d’un pouce, n’a pas évoluée. Les palestiniens ne veulent pas la paix, ni de négociations. Ce qui manque ici, comme toujours, c’est une réelle volonté de paix de la part des dirigeants palestiniens. Cette volonté est totalement absente. Et les américains sont hypocrites. S’ils supportaient moins l’Autorité Palestinienne dans ses abus et ses conditions, tout bougerait plus vite. Mais le problème est que ce monde est trop dominé par les intérêts et l’argent du pétrole. Aucune vraie négociation ne peut aboutir avec les actuels dirigeants palestiniens. Ce conflit n’aura de cesse que lorsque les États-Unis retireront leur soutien total aux palestiniens, et qu’un règlement leur sera imposé. Tout cela sera encore plus difficile du fait que les États-Unis ont armé les

palestiniens. Même s’il faut reconnaître le droit à l’autonomie palestinienne, il est en revanche inacceptable de céder à leur droit à l’arrogance (gel des constructions dans les villages juifs) et à l’irresponsabilité (refus de négocier). Malheureusement, les pays arabes exercent sur les palestiniens une influence beaucoup trop forte pour qu’ils aboutissent à une résolution du conflit. Le pire est que les palestiniens sont à l’abri de toutes pressions américaines. Quelles garanties auront par exemple les israéliens que pendant les futurs quatre vingt dix jours du gel, les palestiniens permettront une avancée des négociations ? Rien, aucune. En reprenant les négociations dans un tel contexte, les israéliens montreront encore leur faiblesse. L’Autorité Palestinienne trouvera à chaque fois un moyen de torpiller les négociations, peu importe les conditions ! Le ministre israélien des Affaires Etrangères a déjà expliqué, en septembre dernier, que contrairement à la propagande de la Ligue Arabe, le gel des constructions n’est pas “ le remède à la paix ” et qu’il s’agit là d’un “ stratagème pour ne pas négocier ”. Mr Liebermann a affirmé clairement que le gel “ n’est qu’un prétexte ” pour le Président palestinien Mahmoud Abbas, pour interrompre les pourparlers de paix entre l’Autorité Palestinienne et Israël. Le plus triste est qu’à chaque fois, les États-Unis prouvent que c’est bel et bien les palestiniens qui ont le denier mot. Quel affront de la part des États-Unis vis à vis d’Israël. Cela veut dire que les Etats-Unis pour calmer les palestiniens enragés, leurs promettent de geler les constructions juives. La stratégie palestinienne consiste à assécher par petit pas la vie Juive en Judée Samarie. Elle procède donc lentement, mais surement, avec l’accord tacite des gouvernements occidentaux, qui font semblant de ne pas voir la stratégie palestinienne. De temps en temps, on nous annonce que la paix pourrait être possible, à condition de geler les constructions. Or, ce gel n’a pas empêché les visées terroristes contre la population juive d’Israël. D’où l’impossibilité de faire une avancée réelle vers la paix.

Sonder la mer morte pour mettre à jour l’histoire de la terre Une équipe internationale de scientifiques a récemment commencé des opérations de forage sous la mer Morte. Un projet qui vise à extraire des matériaux qui, les chercheurs l’espèrent, permettront d’éclairer 500.000 ans d’histoire de la Terre. Les couches de sédiments qui se sont déposées durant des millions d’années dans le sous-sol de cette région, la plus basse sur Terre, pourraient en effet fournir des données importantes sur l’activité sismique et les changements climatiques des 500.000 dernières années, expliquent les chercheurs. Comme le souligne l’Académie israélienne des Sciences et des Lettres, citée par l’AFP, “les sédiments constituent des archives sur les conditions environnementales qui existaient dans le patrimoine géologique de la région“.

Un forage de 1.200 mètres doit être réalisé dans le bassin septentrional de la mer Morte afin d’extraire une fine tranche du sol.

Cette carotte sera alors analysée par des scientifiques spécialisés dans la recherche sur le climat, et des chimistes, qui étudieront les changements survenus tout au long de l’Histoire. “Nous pensons que les résultats de ces recherches auront d’importantes conséquences dans de nombreux domaines de la science et de l’environnement, et apportera des éclaircissements sur de nouvelles ressources naturelles“, ont souligné dans un communiqué commun Zvi Ben-Avraham, professeur à l’université de Tel-Aviv, et Moti Stein, du Bureau d’études géologiques d’Israël.

“En outre, une étude historique des données hydrologiques et environnementales de la mer Morte participera à une meilleure compréhension du mystère de l’évolution culturelle de l’Homme dans cette contrée“, poursuivent-ils. Financièrement soutenu par le Programme international de forage scientifique continental, ce projet qui devrait s’achever à la fin de l’année, réunit les gouvernements d’Israël et de la Jordanie, ainsi que l’Autorité palestinienne. Par le site MaxiScience

Ftouh Souhail, Tunis


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Pour en finir avec les Nations Unies

Si nombre d’expressions utilisées dans les milieux journalistiques m’irritent, il en est une que je trouve plus insupportable que toutes les autres : «communauté internationale». Quand j’entends «la communauté internationale décide», ou «la communauté internationale condamne», ma réaction immédiate consiste à demander tout haut: «qui donc condamne ?» Je connais la réponse, cela va de soi. Il s’agit des Nations Unies.

aucun doute, mais dire que la «communauté internationale» constituée par l’imposture que sont les Nations Unies définit le «droit international», c’est retirer aux mots toute leur signification. D’une même façon, une phrase qui commence par «le Conseil des Droits de l’Homme condamne» devrait être reçu avec le sérieux qui accueille la plaisanterie d’un clown sous le chapiteau d’un cirque.

Celles-ci sont une organisation, c’est exact. L’organisation est internationale, c’est exact encore. Mais, «communauté» ? Qu’ont donc en commun les pays membres des Nations Unies en dehors d’être des pays ?

La meilleure façon d’éviter qu’on parle davantage encore de «communauté internationale», de «droit international» défini par la «communauté internationale», et de faire qu’on n’entende plus des phrases disant «le Conseil des Droits de l’Homme condamne» serait que l’ensemble des démocraties quitte les Nations Unies en déclarant d’un commun accord qu’il s’agit d’une organisation qui a fait naufrage, et en envisageant son remplacement par un Conseil des pays libres fondé par des démocraties, et où ne seraient admis que des pays effectivement respectueux de principes basés sur les droits des êtres humains.

Qu’est-ce qui permet de placer dans une même catégorie les États-Unis et l’Iran, l’Arabie Saoudite et le Royaume-Uni ? Qu’est-ce qui permet d’insérer dans une même grande enveloppe des démocraties et des dictatures, des pays qui respectent les principes élémentaires du droit et des régimes totalitaires ? Il s’agissait au départ, je sais, de créer une enceinte de règlement pacifique des conflits sur la terre. C’était après la Seconde Guerre Mondiale. Il existait une majorité de démocraties, une minorité de dictatures et, surtout, un régime totalitaire qu’il fallait circonscrire et endiguer. Dès lors que le régime totalitaire en question a été doté d’un droit de veto sur toute décision, dès lors, aussi, que ce régime s’est doté de satellites, puis, que d’autres contrées ont elles-mêmes basculé dans le totalitarisme, l’organisation a été en état de paralysie. L’Assemblée Générale où la règle est «un pays=une voix», que le pays ait mille habitants ou qu’il en ait un milliard, est devenue l’arène de multiples dialogues stériles. L’instance chargée de trancher, le Conseil de Sécurité, n’a rien tranché du tout : tout ce qu’a voulu Washington a fait l’objet l‘un refus de Moscou, et tout ce qu’a voulu Moscou a fait, logiquement, l’objet d’un refus de Washington. Dans les années qui ont suivi, la situation, déjà navrante, s’est considérablement aggravée. La décolonisation a vu émerger des dizaines de pays nouveaux, et autant de membres supplémentaires des Nations Unies qui, pour la plupart, n’étaient pas des démocraties et qui, presque tous, penchaient du côté soviétique. Nombre de ces pays se sont regroupés dans une instance appelée «Mouvement des Pays non Alignés» --comprenez : non alignés sur le monde occidental -- et ont fait bloc.

La montée en puissance de l’islam militant, qui allait bientôt devenir un islam radical a conduit les pays musulmans, souvent non alignés, à se doter d’une structure en laquelle ne sont admis que les pays où la population vénère Allah, en son immense majorité ou en sa totalité: l’Organisation de la Conférence Islamique.

aussi lamentables. A quelques semaines près, si la guerre qui a tant chagriné Chirac, Dominique de Villepin et leur ami Saddam n’avait pas été déclenchée, l’Irak baathiste aurait présidé la commission sur le désarmement. Un invité fréquent du Conseil des Droits de l’Homme est le dictateur iranien Ahmadinejad.

Et celle-ci a fait bloc elle aussi. La conjonction et le recoupement de ces deux blocs venant s’ajouter au poids des régimes totalitaires et de l’Union Soviétique a fait que des majorités écrasantes ont pu voter des motions allant du grotesque à l’absolument ignoble et qui, même si elles n’ont jamais eu aucune chance d’être mises en œuvre, n’en ont pas moins bénéficié d’un écho certain.

Voici quelques jours, la «Commission sur le droit des femmes» a choisi de porter à sa tête l’Arabie Saoudite: un pays où le droit des femmes est quasiment nul et où des clercs religieux peuvent venir exposer à la télévision comment un mari doit s’y prendre pour frapper ses épouses. Le seul avantage des débats et échanges est qu’ils permettent parfois que des gens montrent leur vrai visage.

Des «commissions» diverses étant chargées de différents dossiers, cellesci ont été, bien sûr, truffées jusqu’à satiété de membres de ces blocs et de totalitaires, ce qui a donné, de manière récurrente, des résultats qui auraient donné de la verve à Alfred Jarry lorsqu’il écrivait des comédies sur le père Ubu.

Ainsi, la présidente socialiste du Chili, Michelle Bachelet, a-t-elle récemment félicité le… Soudan pour son action en faveur des plus démunis. --Madame Bachelet n’est pas allée jusqu’à faire l’éloge du rôle du général Bashir pour la bravoure dont il a fait preuve au Darfour, mais c’est vraisemblablement parce que le temps qui lui avait manqué. Cet avantage est fort peu de chose à côté des gaspillages financiers impliqués, et des nuisances qui en découlent.

La chute de l’Union soviétique et le glissement de nombre de totalitarismes vers des formes apparemment moins strictes de dictatures n’ont rien changé. Les textes adoptés à New York, dans l’immeuble vert planté au bord de l’East River sont toujours

Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) est une émanation des Nations Unies

et, sur un mode digne des directives données par Staline à des imposteurs tels que Lyssenko, rémunère grassement des laboratoires et des chercheurs à la stricte condition qu’ils trouvent ce qu’on leur demande de trouver: des preuves d’un réchauffement global créé par l’être humain au nom duquel on pourra ensuite, quand bien même il sera avéré que ces preuves sont de l’ordre de la falsification, prétendre créer des bureaucraties agissant sur les cinq continents. L’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) a permis, surtout, ces dernières années, à l’Iran de gagner du temps et d’avancer vers l’arme nucléaire. Le Conseil des Droits de l’Homme ne se contente pas d’inviter Ahmadinejad : après avoir organisé sous son ancien nom de «Commission des Droits de l’Homme» une bacchanale antisémite à Durban, en Afrique du Sud en 2001, il s’est livré au même type d’activités sous son nouveau nom en 2009 à Genève. Et dès qu’il le peut, il nomme des «experts» qui rédigent des rapports aussi fiables que le tristement célèbre rapport Goldstone. Les journalistes qui parlent de «communauté internationale», évoquent les décisions prises par ladite «communauté internationale» en utilisant une autre expression que je trouve, elle aussi, insupportable, «droit international». Un droit international doit exister, sans

La perspective que je dessine ainsi n’est pas une utopie. Deux Présidents des États-Unis y ont songé, et l’ont dit : Ronald Reagan et George Walker Bush. John McCain, candidat à la présidence contre Barack Obama avait mis ce point à son programme. Un candidat républicain en 2012 en reparlera sans doute. Ceux qui diraient que ce serait dangereux pour la paix mondiale et le dialogue devraient regarder les activités diplomatiques sur la planète : à quoi servent celles-ci, sinon à régler les différends et à passer des accords ? Ils devraient se demander aussi combien de guerres les Nations Unies ont empêché. La réponse est claire : aucune. Quant aux forces d’observation ou d’interposition, là où elles sont vraiment nécessaires, un Conseil des pays libres pourrait se charger de les constituer et de les déployer, en coopération avec des pays dignes de confiance. Cela constituerait un changement utile: les dossiers d’exactions diverses commises par des Casques Bleus en Afrique subsaharienne sont si nombreux que si je devais les aborder, il me faudrait écrire un autre article, et je préfère ne rien écrire sur les boucliers humains alliés du Hezbollah constituant au Sud du Liban ce qu’on appelle la Finul. Si j’en traitais, je pourrais en venir à me mettre vraiment en colère. Guy Millière, écrivain et journaliste



Appel national pour la tsédaka

Une campagne du Fonds Social Juif Unifié

GRANDE SOIRÉE de la solidarité Lundi 29 novembre 2010 à 20h30

Un spectacle imaginé par

Stéphane Bern et Cyril Hanouna, Parrains de la Tsédaka 2010

Avec Jean-Pierre Foucault, Marc Lavoine, Michel Boujenah, Pascal Elbe, Stéphane

Photo : Mona Kuhn

Freiss, Ary Abittan, Rika Zaraï, Daniel Levi, Joyce Jonathan, «Anne, le musical», Frédéric Lerner, David Buniak, David Tordjmann, … et de nombreuses surprises !

RÉSERVATIONS 0 820 820 808 Palais des Congrès de Paris - Porte Maillot - Paris 17e Appel national pour la tsédaka 39, rue Broca - Paris 5e


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