GRATUIT - Numéro 155 - Edition du Lundi 20 Décembre 2010
Journal Israélien en langue française
CAMPAGNE POUR LA TSEDAKA Aujourd’hui on a plus le droit d’avoir faim ni d’avoir froid ! Nous avons le devoir d’agir ...
... et de DONNER ! Dossier : Cacherout - 2ème PARTIE Page 8
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S É S I L I B O M TOUS
E R È S I M A L E CONTR
Photo Bernard Matussière
PAS D'ARGENT = PAS DE CHAUFFAGE
Léon Yéhouda 58 ans - sans emploi - malade - seul au monde
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MOI AUSSI JE DONNE À LA TSÉDAKA 2010 :
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L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
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On n’a plus le droit d’avoir faim ni L’édito patriote de Flatto Sharon : d’avoir froid, nous avons le devoir Hamas persiste et signe «nous ne reconnaîtrons jamais Israël» d’un dirigeant du Hamas mais de celui de la terre et des lieux sacrés». d’agir et de donnernos!fêtes. Que nous soyons dans nos qui dirige l’équipe de négociateurs
On n’a plus le droit d’avoir faim ni d’avoir froid, nous avons le devoir d’agir et de donner ! La faim, le froid, la pauvreté, la misère sont des mots que nous ne devrions plus entendre car chacun de nous dans la communauté à le devoir d’agir pour ne plus entendre gémir nos frères qui vivent dans la misère. Nous sommes une communauté qui donnons, pour telle ou telle association, nous donnons pour toutes
Hamas a réaffirmé que «le retour des 7millions de réfugiés est un droit sacré, c’est un droit individuel et collectif avec lequel quiconque ne peut badiner», signalant «qu’al-Qods avec tous ses lieux sacrés, ses terres et toutes ses frontières, est la capitale de l’Etat palestinien, et nous n’acceptons pas d’en concéder une parcelle, toutes les pratiques de judaïsation perpétrées par l’ennemi sioniste sont vouées à l’échec».
familles, pourquoi ne pas donner à ceux qui n’ont plus rien ou presque plus rien, c’est un devoir dans notre communauté d’agir, pour sortir grandi de ce marasme économique qui a jeté dans la rue nos frères ou des familles entières vivant dans des studios avec des enfants. Aujourd’hui, plus de 25 000 de nos coreligionnaires ont besoin de nous. Il faut les aider, il faut donner, donner, donner toujours, donner pour ceux qui le peuvent bien évidement. Mais la Tsedaka a besoin de nous pour fermer les différents projets qu’ils auront à entreprendre et à réaliser. Faisons ce geste qui redonnera le sourire et fera naître de l’espoir à ceux qui n’ont plus rien ou presque. Que D...vous bénisse pour ce que vous leur apporterez. Donnez, donnez, donnez et donnez encore. Que D...vous le rende Amen Alain Sayada
On se souvient de l’époque où Shimon Pérès, ministre des Affaires Etrangères demandait à ses services de minimiser voire dissimuler les déclarations antisionistes et antisémites des Palestiniens « afin de ne pas gêner le processus de paix »,alors mes chers lecteurs! voici la Réalité Le mouvement de résistance Hamas a renouvelé hier, à l’occasion du 23ème anniversaire de sa fondation, son engagement de ne pas renoncer aux constantes et aux droits du peuple palestinien, et d’œuvrer en permanence en vue de réaliser une réelle unité palestinienne. Hamas a affirmé dans un communiqué que «la Palestine avec sa mer et ses lacs est la terre des Palestiniens, et nous n’en céderons pas un iota, et nous ne reconnaîtrons pas ce qui est appelé l’Etat d’Israël». Le mouvement de résistance islamique a fait valoir que «la résistance est un droit légitime du peuple palestinien, et nous ne l’abandonnerons pas tant que nous n’atteignons pas l’ensemble de nos objectifs, en matière de libération
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palestiniens, et qui est donc l’un des interlocuteurs privilégiés de Washington. En d’autres mots, il exprime à mots couverts le souhait de voir disparaître un jour l’Etat d’Israël. Cette franchise palestinienne, devrait normalement faire pencher le poids des pressions américaines sur le côté palestinien. A Bientôt
Samuel Flatto Sharon Ancien député à la KNESSET
L’un des derniers exemples en date de cette duplicité est l’interview qu’a accordée au quotidien britannique « The Guardian » Saeb Arekat, responsable de l’équipe des négociateurs palestiniens…les soi-disant modérés si chers à Tsipi Livni! Arekat affirme par exemple sans sourciller « qu’il y a aujourd’hui plus de 7 millions de réfugiés palestiniens dans le monde, qu’il faut qu’ils puissent réintégrer les villes et villages d’où ils sont originaires et en plus leur verser des indemnités »! La gravité des propos est doublée du manquement des médias israéliens, dont aucun n’a jugé utile d’en parler, alors qu’il s’agit de la position non pas
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L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
Le fils de Bernard Madoff retrouvé pendu
a expliqué le porte parole des deux frères, Andy et Mark Madoff. « Andy a lui aussi été profondément impacté »
Ce matin à 7:30 heures, le beau père de Mark Madoff, le fils ainé de l’escroc Bernard Madoff dont le nom a été évoqué lors du procès de son père, a appelé la police qui a trouvé Mark
pendu dans son appartement. Il s’agit très probablement d’un suicide, selon la police. «Mark a été profondément affecté par l’attitude de son père et les dommages que ce dernier a commis»
Jean-Patrick Grumberg
rations des pays latino-américains font suite a une demande faite par les président Mahmoud Abbas qui a visité la région le mois dernier. Les palestiniens se sont efforcés de convaincre d’autres pays de reconnaître leur droit à établir un état indépendant. Leur date butoir est août 2011, deux ans après le plan visant à établir un état palestinien présenté par le premier ministre Salam Fayyad. Des responsables à Jérusalem craignent que d’autres pays en Amérique latine et dans le monde suivent les traces du Brésil et de l’Argentine.
« Le gouvernement argentin reconnais la Palestine comme un état libre et indépendant dans les frontières définies en 1967, » a déclaré le ministre des affaires argentin Hector Timerman, lisant la lettre. La question est de quelle état palestinien ils parlent, tout le monde sachant qu’en 1967, il n’existant pas plus
qu’aujourd’hui, la Judée Samarie étant alors occupée par la Jordanie, Gaza l’étant par l’Egypte. Toujours lundi, l’Uruguay a fait une déclaration similaire. L’étape s’inscrit dans le cadre des efforts visant à relancer les pourparlers de paix entre Israël et les palestiniens, selon les sud-américains.
Le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Yigal Palmor, a déclaré : « c’est une décision très décevante, qui ne contribue en rien à la poursuite du processus de paix. » Il a qualifié l’annonce comme « un geste verbal qui va à l’encontre des accords d’Oslo, qui disent qu’une solution permanente ne peut être le résultat que de négociations. »
Le Congrès américain a qualifié la décision du Brésil de « gravement erronée» et de «regrettable». Les pays occidentaux ont convenu que toute définition d’un éventuel état palestinien devrait être approuvée par Israël.
Palmor a souligné que le geste « encourage les palestiniens au moment même où ils insistent pour éviter les négociations. » Des responsables du ministère ont donc commencé à tenir des pourparlers discrets avec les dirigeants latino-américains.
L’autorité palestinienne a salué l’annonce, alors que le ministère israélien des affaires étrangères s’est déclaré préoccupé par une vague de soutien à un mouvement palestinien unilatéral, et a commencé à travailler pour éviter que la tendance se propage. Les décla-
« Il s’agit d’un document vide de sens, une déclaration virtuelle. Ces déclarations peuvent bien paraître sous forme imprimé, mais n’ont aucune compréhension de la réalité du Proche Orient, » a déclaré une source au ministère.
La Turquie au secours des Mollahs
s’attelait quant à lui à une attaque en règle d’Israël pendant une réunion de l’Otan au Portugal. Sommé de s’expliquer sur son refus de laisser déployer le parapluie anti-missile de l’Otan alors que lui-même et son premier ministre s’y sont engagés à maintes reprises, ce dernier a donné une explication tout bonnement incroyable.
Pendant qu’Erdogan fanfaronnait la semaine dernière devant les télévi-
sions du monde entier, en sauveur des sionistes, son président Abdullah Gül
Saeb Arekat se démasque dans le « Guardian »
Aucun des deux fils n’a adressé la parole à son père ou à sa mère depuis deux ans. Quand la fureur du scandale est retombée, Mark a tenté, sans succès, de retrouver un emploi dans la finance, avant d’ouvrir une société qui crée des applications pour l’Ipad. Mais les traces du scandale le suivaient partout. Sa femme, affectée par la notoriété négative de son beau père est allée jusqu’à changer son nom de Madoff en Morgan, tandis que Mark, depuis quelques temps, utilisait une adresse email qui ne contenait ni son nom ni son prénom.
L’Argentine et l’Uruguay reconnaissent un état palestinien
L’Argentine a annoncé lundi qu’elle avait reconnu un état palestinien « libre et indépendant » quelques jours après que le Brésil ait attiré de vives critiques de parlementaires américains pour avoir pris la même mesure. La présidente de l’Argentine, Cristina Kirchner, a écrit à son homologue palestinien Mahmoud Abbas en disant que son pays reconnaissait une Palestine définie par les frontières de 1967, ont indiqué des responsables.
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La Turquie refusera de déployer le bouclier de l’Otan tant qu’Israël participera à l’entrainement de l’Otan », contestant ainsi la place “particulière ” qu’occupe Israël au sein de l’organisation. Mais là ne s’arrêtent pas les conditions de Gül
Les équipes de négociateurs israéliens amènent-elles avec elles toutes les déclarations de leurs interlocuteurs palestiniens lors de leurs rencontres? On en doute, à en juger l’attitude arrogante et impitoyable des Etats-Unis envers Israël. Pourtant, Israël a en mains toutes les cartes pour révéler les intentions réelles des Palestiniens et démontrer que le processus de paix n’est qu’un moyen pour les Palestiniens pour obtenir la fin de l’Etat d’Israël. On se souvient de l’époque où Shimon Pérès, ministre des Affaires Etrangères demandait à ses services de minimiser voire dissimuler les déclarations antisionistes et antisémites des Palestiniens « afin de ne pas gêner le processus de paix ». L’un des derniers exemples en date de cette duplicité est l’interview qu’a accordée au quotidien britannique « The Guardian » Saeb Arekat, responsable de l’équipe des négociateurs palestiniens…les « modérés » si chers à Tsipi Livni! Arekat affirme par exemple sans sourciller « qu’il y a aujourd’hui plus de 7 millions de réfugiés palestiniens dans le monde, qu’il faut qu’ils puissent réintégrer les villes et villages d’où ils sont originaires et en plus leur verser des indemnités »!!! Arekat ne met même plus de masque, il confirme « que dans tout accord de paix avec Israël, ces ‘réfugiés’ doivent pouvoir se réinstaller en Israël ». Plus loin, Arekat a donné la mesure des dégâts considérables provoqués par les irresponsables « nouveaux historiens » israéliens du courant post-sioniste. Il les cite en disant:
puisqu’il exige, je dis bien exige, que l’Otan revoie complètement sa politique et considère la mise en place de ce bouclier, tenez-vous bien, en Syrie et en Iran… De qui se moque la Turquie ? Avec de tels propos, la Turquie auraitelle vraiment la prétention de diriger l’Otan, comme elle l’a déjà suggéré il y a moins de six mois ? En fait, la Turquie, en bloquant le déploiement du bouclier anti-missile et en paralysant l’Otan, veut empêcher une action militaire contre l’Iran et aussi isoler encore davantage Israël en faisant pression sur lui pour le dissuader d’attaquer ce dernier. Nous pouvons en tirer un enseignement très important, et qui mérite toute notre attention : les mollahs comprennent que l’option militaire est redevenue une priorité. Ils chercheront
« Même les historiens israéliens reconnaissent aujourd’hui que les dirigeants du Yishouv, avant 1948, préparaient un programme d’expulsion de tous les Arabes palestiniens du pays pour installer des Juifs à leur place ». En d’autre mots une purification ethnique! La gravité des propos de Saeb Arekat est doublée du manquement des médias israéliens, dont aucun n’a jugé utile d’en parler, alors qu’il s’agit de la position non pas d’un dirigeant du Hamas mais de celui qui dirige l’équipe de négociateurs palestiniens, et qui est donc l’un des interlocuteurs privilégiés de Washington. En d’autres mots, il exprime à mots couverts le souhait de voir disparaître un jour l’Etat d’Israël. Cette franchise palestinienne, qui devrait normalement faire pencher le poids des pressions américaines sur le côté palestinien, n’a cependant pas modifié la position d’Hillary Clinton, qui « vexée » d’avoir perdu la partie contre Israël sur la poursuite du gel, exige maintenant de Netanyahou qu’il donne des réponses rapides et précises sur les trois sujets brûlants qui vont être négociés: les frontières, les ‘réfugiés’ et Jérusalem. Et aux pressions américaines se rajoutent maintenant l’incompréhensible déclaration de l’Union Européenne « qu’elle reconnaîtrait d’ici un an un Etat palestiniens dans les frontières de 1967 si d’ici là les pourparlers n’auront pas abouti entre Israël et les Palestiniens » par Shraga Blum
donc à l’éviter coûte que coûte. Compte tenu de ces éléments, nous n’aurons pas à nous étonner que de leur côté nos bons « Chamberlain » occidentaux essaient eux aussi de trouver une sortie de crise très rapide, avant que la nouvelle administration américaine ne contrôle la Chambre des représentants (en janvier 2011). A ce sujet les Conservateurs ont été on ne peut plus clairs : « Washington doit employer la manière forte » avec l’Iran et la Corée du Nord, a affirmé ce mercredi la future présidente de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, Ileana Ros-Lehtinen. Par Marco Robin – Adapté par Bellar
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
Falsification de l’histoire par l’Autorité palestinienne: Jésus était un musulman palestinien intifada ».
Déclaration en l’honneur de la journée internationale de la femme - »Si nous sommes fiers de la sainteté de notre terre, nous sommes fiers et encore plus fiers que la première sainte femme parmi les nations et les peuples de la terre soit de la Terre Sainte. La vierge Marie, la femme d’amour et de paix est de la nation de Palestine, dont les racines sont ancrées dans les profondeurs de l’histoire. Notre mouvement prend note de la fierté de toutes les femmes shahidas (martyrs), des prisonniers, des combattants palestiniens, qui sont devenus un modèle de sacrifice, et fiers d’une école qui enseigne le sens du don et du sacrifice. »
Je vous propose une série de documents qui dévoile comment l’Autorité palestinienne a fait de la réécriture de l’histoire un des objectifs centraux de son idéologie. Série que vous pourrez retrouver dans A propos… par Aschkel J’informe à l’avance les pro-palestiniens et palestinistes si prompts a faire de tout exposé reposant sur des faits vérifiés de la propagande sioniste que tous les exemples cités ci-dessous émanent de l’Autorité Palestinienne elle-même et de ses organes. Si ces propos les froissent, ils ont tout loisir d’en référer aux principaux responsables, à Ramallah. 1) Programme de la télévision de l’autorité palestinienne : Jésus était un musulman palestinien. Réecrire l’histoire de la terre d’Israël dans le but de nier le droit d’Israel à exister en ce lieu est au cœur de la politique de l’Autorité palestinienne. Bien avant la guérilla terroriste qui a débuté en 2000, l’Autorité palestinienne a entamé une guerre psychologique concernant l’histoire, avec pour ambition d’effacer l’histoire juive et de la remplacer par une histoire palestinienne fabriquée. Cette réécriture a deux objectifs : Effacer 3000 ans d’histoire et de présence juive en terre d’Israël - Inventer une histoire ancienne palestinienne musulmane et arabe dans ce pays qui à ce jour, reste dénuée de faits marquants. L’objectif de cette révision historique en tant que stratégie politique a été exprimé publiquement lors d’un colloque d’historiens (autoproclamés) en 1988, lorsqu’il est apparu que la réécriture de l’histoire coïncidait avec l’objectif politique du refus (de la reconnaissance) du droit d’Israël d’exister. Le Dr Yussuf Alzamili (Dr du département d’histoire du collège de K’han Younes) a appelé toutes les universités et collèges a écrire l’histoire de la Palestine et à ne permettre aucun apport extérieur au risque de la déformer et (à D’ ne plaise) et de légitimer ainsi l’existence des Juifs sur cette terre. Le professeur d’histoire autoproclamé Abou Amar – Abou Amar est en fait le nom de guerre du sanguinaire Yasser Arafatavait déclaré que – »Il n’y a absolument aucun lien entre l’ancienne génération de Juifs et la nouvelle » (Journal
Al-Hayam 4 déc 1988) L’effacement de l’histoire juive de la Terre d’Israël par le remplacement d’une histoire ancienne et moderne est un des objectifs principaux de l’idéologie de l’Autorité palestinienne pour la revendication de la Terre d’Israël. La Shoah et d’autres aspects de l’Histoire juive sont tour à tour niés, minimisés ou déformés. Une autre distorsion est de persuader les Arabes de cette région que Jésus, étant un juif vivant dans la terre de Judée, était, selon les dirigeants de l’Autorité Palestinienne, en fait, un palestinien qui a prêché l’Islam. Ce procédé le prive ainsi, non seulement, de ses origines juives, mais vise aussi à délégitimer le Christianisme, dont Jésus est le personnage central. Retrouvez ci-dessous nombre d’exemples de déclarations émanant des organes de presse, tv et internet du Fatah, extrêmement contrôlés par l’Autorité palestinienne puisqu’elle dirige elle-même les programmes et les publications. Jésus est musulman palestinien. Dans le cadre de sa tentative en cours pour inventer une histoire de la Palestine, l’Autorité Palestinienne compose avec le passé et inclut dans sa réécriture, le personnage de Jésus considérant que le Jésus historique qui vivait en Judée/Israël vivait en fait en Palestine. Dans le journal Al-Hayat Al Jadida du 18 nov. 2005 on trouve texto : - »Nous ne devons pas oublier que le Messie (Jésus) est palestinien, le fils de Marie la Palestinienne. » En plus de la distorsion, cette dernière ne s’embarrasse pas des anachronismes, puisque ce sont les Romains (L’Empereur Hadrien) qui ont changé le nom de la Judée et d’Israël pour celui de Palestine en 135 de l’ère vulgaire, après la dite naissance de ce Jésus, pour punir la nation juive de sa rébellion. Une autre anomalie et de taille, Jésus serait devenu un Shahid, comprenez martyr, un saint martyr de l’Islam (rien que cela), seulement l’Islam luimême ne fait nullement référence à lui comme s’agissant d’un Shahid. Cette caricature parue dans le supplément à Al-Hayat Al Jadida du 11 déc. 2000, montre le détournement de la crucifixion comme un symbole palestinien, le mot inscrit sur la croix est «
(Je n’aimerais pas être à la place de la pauvre Agar, vous savez la mère d’Ischmael, il est vrai qu’elle n’était qu’une servante…) Je rappelle tout de même que des millions d’euros des contribuables européens, entre autres, sont utilisés chaque année lorsque qu’ils ne sont pas tout bonnement subtilisés, en partie, pour cette industrie de la haine et du mensonge. Jésus était un palestinien torturé Mustafa Barghouti nous apprend ceci : - »Nous devons toujours nous rappeler que Jésus a été le premier palestinien qui a été torturé dans ce pays » Jésus est un prophète palestinien Dr. Tayseer Al-Tamimi, PA Chief Justice of Religious Court, and Chairman of Supreme Council of Islamic Law:
sur ces terres ! Puisse Dieu bénir son peuple par la paix !« (Il est vrai que dans la Torah, ce que les chrétiens appellent l’Ancien testament, D’ en parlant de son peuple parle du peuple palestinien….) … « Avec angoisse, j’ai été le témoin de la situation des réfugiés qui, comme la Sainte Famille, ont été obligés de fuir de leurs maisons…. Jésus le palestinien était un prophète de l’Islam C’est ce même Monsieur qui avec une connaissance et un professionnalisme extraordinaire traite d’archéologie.— dans le prochain document « Nous parlons d’une chaine continue des prophètes de l’Islam, d’Adam a Muhammad, qui représente un appel pour le monothéisme et la mission de l’Islam…Les prophètes étaient tous de la même religion l’Islam, par exemple Jésus est né dans ce pays à Bethléhem….il a également vécu à Nazareth, se rendit à Jérusalem, alors qu’il était un palestinien, nous croyons en lui comme prophète de l’Islam tout comme nous croyons au prophète Mahomet. » Là le Mufti prend des sacrés risques tout de même… C’est un peu embrouillé…reprenons. Abraham est considéré comme le père du Monothéisme par tous, comment se fait-il qu’il ait donné le monothéisme au monde puisqu’il était déjà musulman ? N’est-ce pas l’Islam lui-même qui dit, que dis-je, qui crie et même vocifère que seul Allah est D’ et que seul Muhammad est son prophête…
- »Jésus est le seul prophète palestinien »
C’est bien cela, la concurrence est très rude niveau prophète en terre d’Islam.
Jesus et Marie sont des palestiniens par excellence - »Jésus est né dans ce pays, il fit ses premiers pas dans ce pays afin de répandre les enseignements de l’islam. De lui et sa mère, nous pouvons dire qu’ils étaient des Palestiniens par excellence.
Le christianisme est né dans un pays arabe
(Jésus enseignant l’Islam, les chrétiens apprécieront ! Pauvre prophète Mahomet qui n’aurait donc pas enseigné l’Islam en premier et qui à cause de l’Autorité palestinienne risque en plus de perdre sa place de prophète et exemple parfait !) Les palestiniens le peuple du Messie - »La visite du Pape est une occasion pour que les dirigeants palestiniens puissent plaider leur cause….pour que sa Sainteté (Le Pape) puisse assumer sa résponsabilité religieuse et politique envers le peuple de la terre Sainte, le peuple arabe palestinien, la population du Messie Jésus. » Les paroles et réponses du Pape lors de son voyage n’ont pas été anodines, pour ce qui me concerne, elles ont été d’une insouciance déconcertante et terrifiante car elles laisseront des races, pour quelqu’un qui se dit Pape ….… »Monsieur le Président, le Saint-Siège soutient le droit de votre peuple à une patrie palestinienne souveraine sur la terre de ses ancêtres,….. Les ancêtres des palestiniens ? « Puisse la paix fleurir à nouveau
« Le christianisme est né dans notre pays arabe, et le Messie Jésus est un palestinien syrien né à Nazareth » Gros moment d’humour pour les historiens ! Je conseille. (Ne parlons pas des Babyloniens, des Perses ou des Grecs, qui doivent avoir des problèmes d’archives aussi puisque tout le monde était musulman dans la région, allons directement aux Romains. Les Romains ont donc des textes faux et archi-faux, puisque qu’ils ne parlent pas de la conquête d’un pays arabe, mais de la conquête de la Judée dont les habitants sont les Fils d’Israel les judéens. Idem pour les Byzantins, qui eux, ce sont pris de plein fouet la conquête arabe en 638, et qui ont vu leur domination s’achever. Mais, en même temps, comme Jésus est palestinien et prophète musulman, les chrétiens byzantins étaient de ce fait aussi tous musulmans. Ce n’est tout de même pas très orthodoxe ni charitable, de la part des fiers conquérants arabes de devoir conquérir une patrie déjà musulmane Là ou le Monsieur a un peu exagéré
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sur le thé à la menthe, c’est que : – soit Jésus est un palestinien, soit il est syrien, a moins que la Syrie soit la Palestine et vice et versa. Ce qui est plusque probable. Mais le must de cette déclaration c’est que Jésus est né maintenant à Nazareth ! Il faut donc que nous corrigions tous nos classiques !) La bible parle du mot Palestine pour se reférer a la terre d’Israel « Ils (les chrétiens) lisent dans le livre saint de la Bible le nom de Palestine et le nom réels de nos villages et villes….Nous ne devons pas oublier que le Messie Jésus est palestinien le fils de Marie la palestinienne. (Commentaire de PMW – L’autorité Palestinienne suppose que peu de palestiniens lisent l’hébreu, la Thorah et les évangiles chrétiens. Si ces derniers devaient la lire, ils y apprendraient que Jésus était un juif, qu’à cette époque la Palestine n’existait pas et les noms hébreux utilisés par Israel aujourd’hui, y compris le nom de terre d’Israël sont les noms que l’on trouve dans la Torah.) Et bien oui mais comme tous les chemins mènent à Rome, L’empereur Hadrien celui qui a donné le nom de Palestine à la Judée en 135, a du forcément connaitre les premiers patriarches, a du être esclave en egypte ou…. vivait au temps de Jésus le Palestinien musulman et était bien sur musulman lui même. Jésus le premier palestinien a été tué par les juifs. Sur la manchette « Nazareth la ville ou les juifs ont assassinés le premier palestinien fils de Nazareth » Donc Jésus n’est plus mort à Jérusalem mais a Nazareth, et né la-bas aussi. Nous qui avons mis près 2000 ans à nous sortir de cette affirmation de la papauté disant que le peuple juif était un peuple déicide, il va falloir tout recommencer à zéro, avec Mahmoud Abbas, cette fois. Coran 9/29 « Ceux qui parmi les gens du Livre ne pratiquent pas la vraie religion Combattez les jusqu’à ce qu’ils payent directement le tribut après s’être humiliés ». 4/46 « Certains Juifs altèrent le sens des paroles révélées, Allah les a maudit à cause de leur incrédulité …, et ceux qu’il maudit, il en fait des singes et des porcs ». 5/85… « Ceux qui nourrissent la haine la plus violente contre les Fidèles sont les Juifs et les idolâtres ». Et si en fait la bande a Abbas n’était qu’une bande de Juifs falsificateurs de l’histoire, vous y avez pensé a cela ? A suivre
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
Parachat Vayé’hi : Yaacov est vivant !
qu’il ne peut en effet rendre son père méritant (Tanhouma). Ceci est dit également à propos de David et Yoav nous explique Rabinou Bahié. Pourquoi dit-on à propos de David, «Chékhiva» c’est-à-dire « il sommeille » et pour Yoav «Méth»mort, simplement parce que David a mit au monde un Tsadik, un sage, et que Yoav a engendré un «Rachâ». De la même manière il est dit «Chékhiva» sommeil pour Yaacov et sa mort à lui, ne reflète que la fin de ses jours matériels…
La vie de Jacob, comme nous le constatons, n’a pas été de tout repos, loin s’en faut ! Elle est la suite d’épreuves et de malheurs. Son frère Esaü voulut le tuer, Eliphaz le dépouilla de ses biens, il s’exila loin de ses parents, il vécut un calvaire chez Laban durant vingt et un ans. Ce dernier le trompa plus d’une fois et lui donna Léa à la place de Rahel…et il y eu la mort de sa chère Rahel sur la route de Bethlehem, puis le viol de Dina et évidemment le rapt de Yossef ! Nous voyons à la fin de la parachat précédente que Yaacov est reçu au palais, Pharaon lui posera une question en rapport avec son grand âge. Yaacov lui répond : « Mes jours ont été courts et amers..Et n’ont pas atteint les jours de mes pères » Mais au-delà de ce dialogue, le midrach raconte que Pharaon avait reçu des dizaines d’années auparavant notre patriarche Abraham en compagnie de Sarah. On dit que la porte du palais était très basse de manière à ce que tous les visiteurs soient obligés de se prosterner devant le roi ! Or lorsque qu’Abraham se présenta, un miracle se produisit et la porte sait rehausser d’elle même pour éviter ainsi qu’il ne se prosterne devant un idolâtre ! Ce même scénario se reproduit lors de l’audience accordée à Yaacov…d’où l’étonnement du Pharaon pensant qu’il avait encore à faire à Abraham!: « Quel âge as-tu? ». Cette paracha vient clore le livre de la Genèse qui est une sorte de «matrice» dans laquelle se trouve inscrit tout le programme qui donnera naissance au corps de l’humanité. Notre rôle, en étudiant ces textes, est donc de décrypter les messages codés pour mieux comprendre notre présent et œuvrer surtout pour un futur en accord avec les principes et les valeurs de la Thora. Yaacov rassemblera tous ses enfants pour les bénir et leur délivrer le secret de la fin des temps…mais hélas la Chékhina – la Présence divine ne le lui permettra pas! nous dit Rachi, et c’est la raison pour laquelle nous disons que cette paracha est « Stouma » c’est-à-dire bouchée. Il est dit : « Et
les jours de la mort d’Israël se rapprochèrent.. » Koêlet écrit : « Ein adam chalit bérouah, vé ein chiltone béyom amavêt» «l’homme ne domine pas sur son âme..Il n’y a plus de gouvernance au jour de la mort ! » De la même manière il est écrit à propos du Roi David : « Véyékribou yémé David lamout» « Et les jours de la mort de David se rapprochèrent.. » or jusque là David était appelé « Mélekh » le Roi! Mais dès que sa mort se rapprocha le texte (haftara) change et l’appel désormais David, ceci pour nous enseigner : « Ein chiltone béyom amavêt » « Il n’y a plus de gouvernance au jour de la mort ! » pour bien nous faire prendre conscience qu’aucun titre ne servira alors…ni Roi, ni Président, ni Trésorier !. Nous le verrons plus tard au sujet de Moise le prophète de tous les temps, qui parla «face à face» avec Dieu et malgré tout, il du se résigner… Au soir de sa vie qui correspondra au début de l’esclavage, raconte la Guemara Taanit, Yaacov fit appeler son fils Yossef et lui dit : « îm matsati heïn béenékha » «si je trouve grâce à tes yeux…etc.» « Véasita imadi Hésed véemeth » «Tu feras à mon égard une bonté et une vérité!» De grâce ne m’enterre pas en Egypte! bien évidemment, il justifiera les raisons pour lesquelles il ne put enterrer Rahel, la mère de Yossef à Hébron…avant que ce dernier ne lui en face le reproche… Mais la Guemara va plus loin en affirmant que Yaacov en réalité, n’est pas mort ! Et elle explique ainsi : Du fait qu’un Tsadik est appelé vivant même après sa mort…Pour Yaacov, étant donné que ses descendants sont bien vivants, et que chaque enfant renferme une partie, un membre du père et de la mère,..Nous disons, tant que ses enfants sont en vie, Yaacov vis également à travers eux! comme nous l’explique Rabinou Bahié. Mais, la Guemara nous fait remarquer, que ceci n’est valable que pour Yaacov dont la couche est demeurée intacte, et ses enfants lui ressemblent ! Par contre lorsqu’il s’agit d’un «rachâ» d’un mécréant, lequel est appelé «mort» de son vivant, son fils Tsadik – sage, ne peut rendre « Zokhé » le père, c’est-à-dire
Mais alors que voulait dire Yaacov à son fils en lui précisant :« Véasita imadi Hésed véemeth» «Tu feras à mon égard une bonté et une vérité !»? Existe-t-il une bonté fondée sur le mensonge? Rachi et d’autres commentateurs précisent que la bonté manifestée à l’égard d’un mort est la véritable bonté. Honorer un « Niftar» un disparu, dénote une bonté véritablement désintéressée puisque aucune réciprocité n’est à attendre ou à espérer…de plus Yaacov demande à Yossef de ne pas l’enterrer en Egypte pour diverses raisons raconte le Méam Loez, notamment pour que sa tombe ne soit pas l’objet d’idolâtrie par les Egyptiens, ni que son corps ne soit la cible de la vermine…Yaacov savait par ailleurs que les défunts d’israel souffriraient moins étant donné que le trône céleste d’où émanent le âmes se tient au dessus de Jérusalem ! Ce qui est surprenant, c’est qu’il fait jurer Yossef de ne pas l’enterrer en Egypte! Etait t-il méfiant à son égard ? Non explique le Kéli Yakar, lorsque Yaacov dit à son fils : « Vayomar veîchava Lî…Veîchava Lo » « Jure le moi!..Et il lui jura!» En fait, Yossef ne peut se délier de ce vœu sans le consentement de Yaacov…comme il est mentionné dans Oré Déa : « Eîn atara bélo dâat havéro » et de ce fait, Yaacov contraint ainsi le Pharaon d’Egypte de laisser partir Yossef l’enterrer en terre de Canaan et accomplira la promesse faite au patriarche. La bonté vis-à-vis d’un défunt ne se termine pas avec son enterrement. En fait, dés après son départ, il passe en jugement devant le Créateur, le Rois de tous les Rois et peut bénéficier encore de notre aide dans le «Olam aba» le Monde spirituel, explique le Zohar. C’est une période pendant laquelle les vivants doivent s’impliquer dans l’étude disent les sages et particulièrement l’étude de la Michna, mais aussi, réciter le Kadich (qui n’est pas la prière des disparus..) et faire autant de Mitsvot que possible pour l’affection de l’âme du défunt. L’étude de la Michna est particulièrement bénéfique pour l’âme..D’ailleurs il faut noter, à ce sujet que le mot «Michna» est l’anagramme du mot «Néchama» l’âme! Le Kéli Yakar explique en détail les diverses allusions contenues dans les bénédictions que prodigue Yaacov à ses fils. Pour Acher il dira : « Mé Acher chmeïna lâhmôh» Pour Acher son pain sera enrichi..Mais l’allusion nous indique plutôt qu’Acher serait celui qui fournirait l’huile au Bet Amikhdach, grâce auquel l’abondance sera propagée dans le monde…Acher approvisionnera le Temple en huile, et le Temple alimentera l’humanité! Le Talmud enseigne également qu’Acher le fils de Yaacov, est posté à l’entrée du Guêhiènam « l’enfer » et lorsqu’une personne étudie la Michna, dans ce monde au profit d’un défunt, Acher se saisit de cette Michna et
sauve l’âme du malheureux défunt des flammes ! Nous l’apprenons de la bénédiction qu’il reçoit de son père et qui dit : « Mé Acher chmeïna lâhmôh » autrement dit : « Le pain de Acher sera enrichi » et les sages nous expliquent que le mot « chmeïna » est également l’anagramme des mots «Néchama» et « Michna », ce qui implique que la « Michna » est du pain (béni) pour la « Néchama »… Nous voyons également à propos de la bénédiction accordée par Yaacov à Zévouloun et Yssakhar cette notion de pain… Comme l’explique Rachi, Zévouloun et Yssakhar se sont associés : Zévouloun parcourait les mers pour faire du commerce et ramenait du pain..À Yssakhar, une manière de dire qu’il subvenait aux besoins de son frère et Yssakhar qui lui se consacrait à l’étude de la Thora. On pourrait alors se poser la question de savoir pourquoi Zévouloun a la préséance sur Yssakhar? En effet, si la principale activité d’Yssakhar est l’étude de la Thora, pourquoi ne pas le bénir en premier, sachant que la Thora est tout à fait prioritaire? Tout simplement nous répond le Zohar Akadoch parce que Zévouloun «sortait le pain» de sa bouche..Afin de le donner à son frère Yssakhar» et Rachi confirme en disant : « La Thora d’Yssakhar n’existait que grâce à Zévouloun!» C’est la raison pour laquelle nous verrons plus tard Moïse bénir en ces termes Zébouloun : « Réjouis-toi dans tes sorties » car tu es protégé et tu réussiras dans toutes tes entreprises ! » Le rôle de Zévouloun étant de permettre à Yssakhar d’étudier les textes sacrés sans souci matériel, il devient en quelque sorte son associé et mérite une part égale dans son salaire, comme l’explique le Choulhan Aroukh. Zébouloun est comparable à un actionnaire qui a fait un gros investissement et récoltera d’importants dividendes. C’est ce que dit le Midrach qui vient rassurer Zébouloun quant à son Monde futur : il n’a pas à s’inquiéter
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sur sa part, elle est immense, comme si lui-même était totalement plongé dans l’étude avec les sages. Donner la Tsédaka est un ordre divin, mais c’est également un mode d’éducation qui se transmet de père en fils. La vie de notre patriarche Yaacov bien quelle fut difficile fut une vie remplie de Thora et de Mitsvots. Comme le dit Michlé du roi Salomon : « Car la Mitsva est une flamme, et la Thora est la lumière vers la vie ». Le Zohar explique : « La Mitsva est une flamme » : A chaque Mitsva qu’un homme observe dans ce monde, on lui prépare une flamme pour l’éclairer dans le monde future. « La Thora est la lumière » : Cela vient enseigner que celui qui s’investit dans la Thora mérite la lumière céleste, grâce à laquelle on allume les bougies acquises avec les Mitsvots... Nous sommes les étincelles de Yaacov, à nous de transmettre le message. Yvan Lellouche
Yvan Lellouche
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Les Rendez-vous de la communauté de Créteil Dîner en l’honneur du Préfet du Val de Marne
Grande soirée de Hanouccha le samedi soir 4 décembre 2010
A l’initiative de la communauté juive de Créteil, un dîner a été organisé le lundi 15 novembre 2010 en l’honneur du Préfet du Val de Marne, M. Michel Camus, accompagné de l’ensemble des membres de son cabinet, ainsi que des représentants de la Police. Etait présent M. Joël Mergui, président des consistoires aux côtés des représentants de toutes les institutions de la ville, venus nombreux.
En partenariat avec le Beth Habbad de Créteil et avec la participation de M. Tony Bitton et de M. Chaouat, un grand spectacle a été organisé pour tous les enfants de la Communauté, en présence d’un clown qui s’est terminé par la distribution de cadeaux et de beignets chauds confectionnés sur place. Parallèlement, un Melave Malka était organisé à l’intention des parents qui accompagnaient les enfants, animé par le Rav Senior, rabbin de la communauté, le Rav Meloul, responsable du Beth Habbad de Créteil, du Rav Schlomo Benadmon et du Rav Haïm Koskas.
M. Albert Elharrar, Président de la Communauté, a accueilli le Préfet par un discours de bienvenue et la soirée s’est déroulée dans un climat très chaleureux et convivial, au cours de laquelle des questions ont été posées par les participants ; Les réponses apportées par M. Michel Camus ont été d’une grande clarté et ont témoigné de la grande maîtrise du Préfet sur tous les dossiers évoqués.
Soirée orientale le Dimanche 5 décembre 2010 Un dîner a été organisé par la communauté le Dimanche 5 décembre en l’honneur de Hanouccha qui réunissait
de manière festive les membres de la communauté de Créteil. La soirée était animée par l’Orchestre oriental du petit Charly, qui a su créer une ambiance rappelant nos racines judéo-orientales des communautés d’Afrique du Nord. Le Député-maire, Laurent Cathala était présent en tant qu’ami de la communauté. Merci à M. Léon Zrihen qui a été la cheville ouvrière de cette belle soirée. Journée de l’amitié judéo-chrétienne le dimanche 12 décembre 2010 La traditionnelle journée de l’amitié judéo-chrétienne de la section du Val-de-Marne a eu lieu le Dimanche 12 décembre 2010 dans l’après-midi au Centre communautaire de Créteil. Pierre Girard animait le débat entre M. Claude Tassin, théologien et le rabbin Philippe Haddad, sur le thème : le décalogue du Sinaï, une législation pour tous les temps ?
Le député-maire de Créteil, Laurent Cathala a voulu témoigner par sa participation à cette journée du Vivre Ensemble, cher à la ville de Créteil où coexistent harmonieusement toutes les communautés religieuses. Par ailleurs, un invité de marque a tenu à honorer cette manifestation par sa présence, en la personne de Monsieur Michel Santier, évêque de Créteil, témoignant ainsi du climat de confiance et d’amitié qui règne avec l’ensemble de la communauté juive de Créteil. Félicitations à tous les organisateurs, M. François Rossignol et M. Raphy Marciano qui grâce à cette initiative, permettent à nos communautés de mieux se connaître et donc de mieux se comprendre en s’enrichissant mutuellement. Activités Chabbat Vayehi Comme chaque année, et afin de perpétuer notre tradition, les Bakachots
Dîner avec le Préfet
seront chantées à l’Oratoire du Palais 17 Impasse Valéry Radot 94000 CRETEIL, en présence du Rav Itzak Bendavid, un des maîtres de la Hevra David Hamelekha de Strasbourg, et du Rav Elie Mimran de l’Oratoire du Palais, le Chabbat Vayehi samedi 18 décembre 2010, au matin à 7 h 15 (avant Chaharit), venez nombreux. La Séouda Chelichit sera une deuxième occasion de profiter des Bakachots pour les personnes qui ne sont pas matinales. Lag Baomer A l’occasion de la fête de Lag Baomer qui aura lieu cette année le Dimanche 22 mai 2011, la communauté juive de Créteil organise une méga fête au Stade Duvauchelle à Créteil à vocation départementale, où seront représentées de nombreuses institutions juives avec de la musique et des animations. Réservez d’ores et déjà cette date dans votre agenda.
Chabbat Vayehi 18 décembre
Rav Itzak Bendavid
Soirée Hanouccha
Journée Judéo-chrétienne Rav Alain SEnior - Michel Santier evêque de Créteil
Joël Mergui, Patrick Dallennes, Albert Elharrar, Rav Alain Senior et Maurice Attias
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Cacherout : A boire et à manger… (Partie 2) L’ABATTAGE RITUEL JUIF ET MUSULMAN DANS LES ABATTOIRS FRANÇAIS par Philippe RADAULT (Ce texte défend le point de vue des farouches adversaires de l’abattage rituel.) Dans les abattoirs français, on pratique l’abattage rituel juif et musulman. Cela consiste à égorger l’animal (vache, taureau, veau, mouton) alors que celui-ci est pleinement conscient. Pour cela, il doit être placé dans un box rotatif de contention, son corps est calé au moyen de pièces métalliques mues par pression hydraulique, sa tête est maintenue relevée, à la limite de la rupture des cervicales et ce, pour que la gorge puisse être mise en évidence. Ensuite, le box est retourné par une commande électrique, et l’animal se retrouve sur le dos, la gorge en l’air. La saignée peut donc commencer. Le rabbin sacrificateur ou le musulman se doit de trancher nettement cette gorge, y compris la trachée artère et l’œsophage. Comme chaque animal est différent, la vache, le taureau, le veau s’adapte plus ou moins bien à l’espace du box rotatif qui lui est réservé. Certains, mal calés, laissent alors libre court à une panique très violente, une fois l’acte de saignée effectué. La bête se débat, beaucoup de sang jaillit ; il coule partout, dans les yeux exorbités, dans les narines de l’animal, lequel tente de respirer en un râle impressionnant. La bouche se remplit d’écume, des spumosités salissent la trachée, la langue pend au dehors de la cavité buccale. Cette lente agonie durera plus de quatre minutes. Puis, enfin, l’animal sera évacué du box rotatif et finira par perdre connaissance tout à fait. Alors, le suivant prendra place à son tour. Le sang n’est que très superficiellement nettoyé après chaque passage. Ce qui est regrettable dans l’abattage musulman, c’est que le couteau n’a pas toujours la taille voulue en fonction de la grosseur du cou de l’animal et qu’il ne coupe pas toujours suffisamment. Dans ce cas, le sacrificateur cisaille la gorge avec son couteau, ce qui provoque des douleurs supplémentaires à l’animal. Si ces communautés agissent de la sorte, c’est parce qu’elles ont la conviction que cela relève d’un commandement d’ordre divin, inscrit dans leur livre sacré respectif. Ceci est faux, et ne relève que de traditions prophétiques. Les seules injonctions concernant la consommation des animaux de boucheries autorisés sont, pour la Tora : -»Vous ne mangerez de sang d’aucune chair car la vie de toute chair, c’est son sang et quiconque en mangera sera supprimé.» (Lévitique 17,14) Et : -»Quiconque, citoyen ou étranger, mangera une bête morte ou déchirée (par un fauve), devra nettoyer ses vêtements et se laver avec de l’eau ; il sera impur jusqu’au soir, puis il sera pur.» (Lévitique 17,15) Pour le Coran, les ordres sont les suivants : -»Il vous est interdit de manger les animaux morts, le sang, la chair du porc, et tout animal sur lequel on aura
invoqué un autre nom que celui de Dieu.» (Sourate 2 – verset 173)
La Sourate 5 – verset 3 précise également que «la chair de la bête étouffée, de la bête tombée sous des coups (…) est illicite, sauf si vous l’avez purifiée (en saignant l’animal avant qu’il ne meure).» Rien dans les textes sacrés n’empêcherait donc l’étourdissement préalable par assommement ou par électronarcose de ces animaux, comme cela est pratiqué dans l’abattage traditionnel : respectivement, coup de matador sur le front(1) puis saignée de l’animal (pour les bovins et les ovins), électrocution anesthésiante puis saignée de l’animal (pour les ovins). Cela évite la panique lors de la mise à mort et donc, un surcroît de souffrance physique et morale, et ne s’oppose en rien aux rites juifs et musulmans, contrairement à ce qui est si souvent avancé. Car lorsqu’un animal est étourdit, il ne meurt pas, son cœur continue à battre #HYPERLINK «http://www.yutsuko. co.cc/symbolos_fg/Paginas/Athena. html»parfaitement. Il est juste rendu inconscient. Par conséquent, lors de la saignée, l’animal se vide aussi bien que lors d’un égorgement en pleine conscience (rappelons toutefois que quel que soit le mode d’abattage choisi, il est impossible de saigner une bête en éliminant la totalité de son sang). Ainsi le rappelle le professeur Gilbert Mouthon, de l’École Vétérinaire de Maisons-Alfort : -»Dans l’abattage traditionnel, au matador ou par électronarcose, l’animal est parfaitement vivant au moment de la saignée. Les grandes fonctions sont conservées. Le cœur bat normalement, la respiration se fait. Il y a confusion entre le fait d’être vivant et celui d’être conscient ; et c’est là que se joue la différence. Dans l’abattage traditionnel, l’assommement ou l’électronarcose rend inconscient l’animal mais ne le tue pas.» L’étourdissement de l’animal fait partie intégrante d’un processus d’abattage : il est indissociable de l’acte de saignée survenant juste après et se déroulant, en abattoir, au même endroit : dans la salle d’abattage. Par conséquent, on ne peut en aucun cas l’assimiler à la «déchirure d’un fauve» ! J’ai sollicité un entretien avec le recteur de la mosquée de Paris, le docteur Dalil Boubakeur mais ce dernier n’a pas répondu aux deux lettres que je lui ai envoyées (la deuxième avec accusé de réception). En revanche, j’ai été reçu par le rabbin Michel Brami, responsable des abattages rituels juifs en France, au consistoire de Paris. Celui-ci m’explique : -»Une fois que les artères sont sectionnées, la tension artérielle de l’animal chute ; le cerveau de l’animal n’est plus alimenté ni en sang, ni en oxygène et on a la mort de l’animal très rapidement ; il meurt en une dizaine de secondes… Même si l’animal se débat, il ne souffre pas, ce sont des réflexes nerveux et au bout de quelques secondes, la tension artérielle a complètement chuté.» Nous sommes loin de ce que le professeur Mouthon m’a confié : -»Il a été prétendu que l’hémorragie entraînait une hypotension telle que l’animal n’était plus conscient : c’est faux !
Vous pouvez le constater dans n’importe quel abattoir où des égorgements ont lieu et l’animal se relève… Il se relève… Il est parfaitement conscient malheureusement. Et ça c’est une aberration. Et d’ailleurs des pays européens ont interdit l’abattage rituel sans étourdissement, la démonstration ayant été faite que l’animal restait vivant, ce qui était demandé par la religion, et non pas conscient.» Il convient aussi de rappeler qu’au moment du tranchage de la trachée artère et des carotides, le cerveau contient encore suffisamment de sang pour tenir. De plus, lors de la section, la moelle épinière n’est pas touchée : celle-ci contient une petite quantité de sang, donc de l’oxygène qui continu d’alimenter le cerveau par le bulbe rachidien. Ceci explique le fait que l’animal puisse vivre plusieurs minutes après un acte d’abattage rituel : il reste conscient, ressent la douleur, peut se relever et même courir durant la phase agonique. De plus, on peut observer la persistance d’un réflexe cornéen, lequel sert de critère pour la perte de conscience : Puis j’en viens à poser une autre question au rabbin : -»Étourdir l’animal avant la saignée évite la panique et donc le surcroît de souffrance physique et morale pour l’animal puisque celui-ci, tout en restant vivant, est rendu inconscient ; seriez-vous favorable à un étourdissement préalable dans la pratique de l’abattage rituel ?» Voici sa réponse : -»L’étourdissement peut avoir un effet sur l’évacuation du sang… L’évacuation du sang peut se faire à un rythme beaucoup plus lent, ce qui poserait des problèmes.» Là encore, la parole scientifique du professeur Mouthon semble infirmer l’assertion : en effet, lorsque je lui demande : -»Un animal abattu d’une manière traditionnelle, au matador ou par électronarcose, se vide-t-il aussi bien de son sang qu’un animal abattu rituellement ?» Il me répond, catégorique : -»Tout à fait de la même manière. Il n’y a aucune différence.» Le rabbin poursuit son explication sur le déroulement de l’abattage rituel juif : -»Après l’abattage rituel, il y a une vérification des poumons essentiellement, et des autres organes. Il faut voir s’il y a un organe qui manque ou s’il y a un organe en plus. On regarde si les poumons ne sont pas perforés. Donc, on les gonfle et on voit s’il n’y a pas de perforation. Mais avant cela, il y a déjà une première vérification des poumons, lorsqu’ils sont encore à l’intérieur de la bête (laquelle vient de mourir) : on sectionne le diaphragme et le rabbin entre la main et tâte le poumon pour savoir s’il y a une adhérence. Si tel est le cas, il la repère et lorsque l’on sort l’organe, il va vérifier s’il y a une perforation ou non.» Je lui demande : -»Et que se passe-t-il dans le cas d’une perforation ?» M.B. : -»Et bien ce n’est pas kasher ; on ne peut pas consommer, c’est interdit.» P.R. : -»Que devient alors la bête ?» M.B. : -»La bête continue un circuit traditionnel normal, elle est remise dans la circulation classique.» P.R. : -»Si je vous suis bien : au début, le mode d’abattage est religieux ; si une bête, à la suite d’un examen
post-mortem, est déclarée non kasher, elle rejoint le circuit traditionnel habituel. Mais est-ce que les gens qui vont acheter cette viande vont être informés qu’il y a eu un autre type d’abattage, celui-ci sans étourdissement préalable?» M.B. : -»La viande ne peut sortir de l’abattoir qu’après agrément des services vétérinaires. Ce sont eux qui décident si cette bête peut sortir de l’abattoir ou pas.» En d’autres termes et pour formuler très clairement ce que le rabbin n’a pas spécialement précisé : rien n’indique au consommateur ordinaire qu’un animal a supporté un acte d’abattage rituel. Par ailleurs, seul l’avant des animaux, de la tête à l’arrière des épaules (coupe à la huitième côte, pour les bovins) peut être consommé par les personnes de confession juive, sous l’appellation «viande kasher» et vendu dans les boucheries spécialisées. Tout l’arrière des carcasses, le dos, les flancs, les cuisses, toutes les parties en liaison avec le nerf sciatique sont refusées par la religion juive (viande illicite) et seront donc également remises dans la circulation classique (hypermarchés, bouchers détaillants, restaurants, cantines scolaires etc.). Ceci est une tromperie pour les consommateurs qui n’adhèrent pas à la religion juive, les non-croyants et les protecteurs des animaux qui souhaitent que les bêtes soient étourdies avant d’être saignées. Citons le témoignage d’un ancien enquêteur appartenant à une association de protection animale : -»Dans un abattoir que je visitais, 50 gros bovins ont été égorgés par un sacrificateur juif ; seul 23 animaux ont été choisis et déclarés licites pour être kasher. Les 27 autres animaux, refusés, ont été remis dans la circulation classique. Les parties arrières des 23 animaux choisis ont été également remises dans la circulation classique.» Dans le cas de l’abattage rituel musulman, la totalité d’un bovin peut être consommée par les personnes de confession musulmane et vendue sous l’appellation «viande halal» dans les boucheries spécialisées. Mais en ce qui concerne les ovins, les musulmans consomment davantage d’abats que de viande de mouton : les carcasses de viande non consommées sont alors remises dans la circulation classique (de l’ordre de 50%). Exemple : sur 100 moutons égorgés selon le rite musulman, en pleine conscience, environ 50 seront vendus entièrement (carcasses et abats) dans les boucheries halal spécialisées mais seulement les abats des 50 autres seront vendus dans ces boucheries, tandis que les carcasses seront remises dans la circulation classique. Là encore : aucune information pour le consommateur quant au mode d’abattage pratiqué. Ceci est une tromperie pour les consommateurs qui n’adhèrent pas à la religion musulmane, les non-croyants et les protecteurs des animaux qui souhaitent que les bêtes soient étourdies avant d’être saignées.
Lors du tranchage de la gorge, l’œsophage est lui aussi sectionné. Du fait des réactions physiques de l’animal conscient et d’un stress maximal, la bête peut vomir. Les contenus de l’estomac appelés «bols alimentaires» ou «résidus stomacaux» contiennent beaucoup de bactéries, des parasites,
du suc gastrique (acide). Lors de cette régurgitation, cette vomissure souille la plaie de la gorge tranchée, se mélange au sang expulsé et se répand sur les viandes du cou consommables appelées «collier» ou «chaînette». Le vomi peut également entrer dans la trachée artère de l’animal et ainsi passer dans le poumon, ce qui aura pour effet de contaminer la cage thoracique. L’abattage rituel offre donc un risque sanitaire supplémentaire possible. Après avoir assisté à plusieurs abattages rituels dans un grand abattoir public, je suis allé m’entretenir avec le directeur du lieu, M. Gérard Vergracht. Son témoignage est intéressant. Avec virulence, il me dit : -»Je suis résolument contre l’abattage rituel et je n’arrive même plus à y assister. Ce sont des souffrances anormales pour un animal. Je ne suis pas d’accord. On le fait parce qu’on est obligé. On a aussi des obligations de par la Préfecture : il faut qu’on le fasse pour ne pas que cela soit fait autre part que dans un abattoir ; il faut prendre conscience de ça aussi… On doit, de par un cahier des charges contractuel, le respecter. Mais ma position personnelle, elle est claire et nette : je ferai tout pour qu’on évite de le faire. Quand je pense qu’il y a des maîtres d’écoles qui viennent avec des lycées faire voir des choses comme ça, je suis scandalisé. C’est du massacre, des souffrances terribles pour l’animal : je suis persuadé qu’il souffre… Et c’est d’autant plus pénible que souvent, nombre de musulmans veulent assister à l’abattage rituel et emmènent leurs enfants avec eux. C’est déplorable… déplorable… Une des raisons pour lesquelles on a arrêté la mise à mort des moutons dans notre abattoir est celle-ci : on leur mettait toujours le coup de pince électrique anesthésiante sur le crâne pour leur éviter un égorgement en pleine conscience. La communauté musulmane n’était pas contente… Mais j’avais l’agrément des services vétérinaires.» P.R. : -»Avez-vous subi des pressions visant à la restauration d’un abattage rituel en pleine conscience des moutons ?» G.V. : -»Oh bien sûr ! voire des menaces… voire des menaces…» Dans le souci du respect des religions, ce rapport n’a pas pour but de faire interdire l’abattage rituel mais bien de faire imposer l’étourdissement préalable des animaux avant le sacrifice. Et il n’y a rien qui s’oppose à l’assommement ou à l’électronarcose préalable des animaux abattus rituellement. Cela se pratique déjà dans d’autres pays européens. Mieux même : les deux religions considèrent les animaux comme des créations divines, donc dignes de respect. Pour le Coran et la Tora, il convient le plus possible d’éviter les souffrances d’une bête lors de sa mise à mort. En conclusion : en refusant l’amélioration du traitement réservé aux animaux abattus rituellement, les communautés juives et musulmanes se trouvent en contradiction manifeste avec leur texte sacré respectif. (1)Le matador, appelé aussi pistolet d’abattage, est un appareil dans lequel on place une petite cartouche de poudre. On l’applique sur le front de l’animal, et au déclenchement, une tige perforante métallique s’enfonce rapidement dans le cerveau, ce qui a pour effet d’assommer l’animal, lequel s’effondre aussitôt.
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
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ElBaradei, ancien chef de l’AIEA, envisage une alliance avec les Frères Musulmans
Voici un musulman soi-disant occidentalisé, soi-disant modéré, soi-disant respectable, prix Nobel de la Paix, élu par l’ONU pendant 12 ans à la tête de l’agence en charge du contrôle du programme nucléaire iranien, j’ai nommé : Mohammed Elbaradei. Il est troublant de voir aujourd’hui, cette personnalité reconnue comme la crème de la crème de l’élite des musulmans modérés, s’allier tellement facilement avec les Frères Musulmans, l’une des organisations islamistes les plus dangereuses et les plus rétrogrades dont le but affiché est l’instauration d’un califat mondiale et de la charia. En 2009, la France a accusé Elbaradei d’avoir dissimulé des informations essentielles sur la nucléarisation militaire de l’Iran (lire). LE CAIRE, 8 décembre (UPI) - Un partenariat possible avec les Frères musulmans pourrait être un moyen d’évincer le président égyptien Hosni Moubarak, a déclaré Mohammed ElBaradei.
L’ex-Directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), et Prix Nobel de la paix, qui est le chef de l’opposition égyptienne, a déclaré dans une interview au journal allemand Der Spiegel, qu’il évitait la scène politique au Caire, car il estimait que c’était un trompe-l’œil. El-Baradei avait appelé au boycott des élections parlementaires du 25 novembre. “En étant absent, je voulais montrer que je ne prends pas part à cette farce. Je n’ai pas voté lors des élections précédantes, a t-il dit. “ C’est pourquoi, comme beaucoup d’égyptiensm je pense qu’il fallait boycotter ces élections. Les résultats officiels sont le produit de graves manipulations.” […] ElBaradei, considéré comme un possible rival pour Moubarak, a déclaré que son organisation envisageait un partenariat avec les Frères Musulmans dans le but d’encourager des réformes politiques.
“Les religieux-conservateurs des Frères musulmans, et ma propre association nationale pour le changement vont travailler ensemble pour apporter des changements, a-t-il dit au Der Spiegel. L’organisation des Frères musulmans fondée en 1928 en Égypte a comme objectif une renaissance islamique, la lutte contre l’influence occidentale et l’instauration de la charia. Elle a rapidement essaimé ces idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, au Soudan et dans une moindre mesure en Afrique du Nord, et a établi des « têtes de pont » jusqu’en Europe. Certains groupes de partisans se sont constitués en mouvements indépendants, comme par exemple le Jama’a al-islamiya ou encore le Hamas. Sources : UPI extrait traduit par Bivouac-id.
Prise d’otages à Besançon : «On a tous eu peur» Un jeune homme de 17 ans a retenu en otages jusqu’à une vingtaine d’enfants, ainsi qu’une institutrice, dans une école maternelle de Besançon, lundi matin. Tous ont été libérés peu avant 13 heures. Ils sont «sains et saufs», a précisé le ministre de l’Éducation nationale Luc Chatel, qui s’est rendu sur les lieux. Selon nos informations, le forcené, fragile psychologiquement, était jusqu’à l’année dernière scolarisé dans un collège proche. Il réclamait une arme à feu pour se suicider. Le groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) de Strasbourg a pénétré dans l’école en fin de matinée, profitant d’une livraison de repas à destination des enfants. Ils ont ainsi pu interpeller le preneur d’otages sans violences. La prise d’otages a débuté vers 8 h 30, heure de rentrée des écoliers, dans une classe de l’école Charles-Fourier, située dans le quartier sensible de la Planoise, a précisé le maire, JeanLouis Fousseret. Le preneur d’otages a, dans un premier temps, retenu une vingtaine d’enfants âgés de 4 à 6 ans, avant d’en libérer plusieurs. L’école, implantée au milieu de barres HLM, a été entourée d’un dispositif de sécurité très strict. Des motivations floues «L’institutrice m’a dit qu’à aucun moment il n’a véritablement menacé
les enfants, il les a même laissés sortir, aller aux toilettes (...) mais vous comprenez qu’il fallait l’intervention de professionnels chevronnés, d’où l’intervention du GIPN», a souligné Luc Chatel. Les policiers ont fait usage de leur pistolet à impulsion électrique Taser pour neutraliser le preneur d’otages, a déclaré sur place Laurent Gresset, du syndicat policier Alliance. Le jeune homme «est entré dans les locaux, armé de deux sabres, en déclarant vouloir quelque chose», sans autres précisions, a indiqué M. Fousseret. Un contact téléphonique a été rapidement établi avec le preneur d’otages et une discussion a pu avoir lieu avec les policiers. Un, puis cinq et enfin huit enfants ont ainsi été relâchés, a indiqué le maire de Besançon, ville de près de cent vingt mille habitants. Une cinquantaine de personnes, en majorité des habitants du quartier, étaient rassemblées autour du périmètre de sécurité installé devant l’école. Les enfants et les familles entourés Un enfant au moins a réussi à s’échapper, a précisé Jean-Louis Fousseret sur France Info. «L’institutrice a été très, très forte», a-t-il ajouté par la suite sur i>Télé. Le Samu et les pompiers avaient installé sur place une cellule d’aide psychologique pour les familles à mesure qu’elles arrivaient
pour prendre des nouvelles de leurs enfants. Les enfants qui sont sortis dans la matinée ont été mis à l’écart dans une autre école, loin de la presse, «pour qu’ils soient au chaud et entourés par les instituteurs et des personnes compétentes», a ajouté l’édile. Les prises d’otages dans les écoles maternelles sont extrêmement rares en France. La plus célèbre reste celle qui s’était produite en 1993 dans une école maternelle de Neuilly-sur-Seine, commune huppée de l’ouest de Paris, dont le président Nicolas Sarkozy était à l’époque le maire. Un homme, qui se surnommait lui-même H.B. («Human Bomb»), armé et cagoulé, avait pris en otage une classe de 21 enfants, réclamant une rançon d’environ 15 millions d’euros (100 millions de francs français à l’époque). Il avait été tué par la police, et les otages avaient été libérés sains et saufs. Les forces de l’ordre se sont déployées peu après 8 h 30, lundi, aux abords de l’école maternelle Charles-Fourier, à Besançon
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L’AP va annuler tous ses engagements sécuritaires avec Israël
L’autorité palestinienne va arrêter de coordonner sa sécurité avec Israël, en réponse à l’annonce américaine de l’échec des pourparlers, a rapporté vendredi Al Quds al-Arabi. Khana Amora, un responsable de l’AP, a déclaré au journal britannique que l’AP envisage aussi d’annuler ses autres engagements avec Israël, y compris les accords d’Oslo et la feuille de route, qui demande un arrêt des activités terroristes. Yasser Abed Rabbo, un haut responsable de l’AP, et conseiller du président Mahmoud Abbas, aurait l’intention de convoquer une réunion des comités centraux de l’OLP et du Fatah vendredi après-midi, afin de faire un nouveau plan pour les palestiniens. Des responsables palestiniens ont déclaré à Al Quds al-Arabi qu’ils attendent que le président américain Barack Obama tente de relancer les pourparlers de paix entre Israël et les palestiniens. « Peut être que la réunion donnera au gouvernement américain une autre chance, » a déclaré un responsable au journal. Les palestiniens envisagent également de demander la reconnaissance du conseil de sécurité de l’ONU d’un état palestinien sur les territoires qu’Israël a capturé à l’Egypte et à la Jordanie
en 1967. En octobre, Abed Rabbo a prévenu que l’autorité palestinienne pourrait abroger unilatéralement les accords d’Oslo si le processus de paix tombait en panne. « Nous ne pouvons pas rester attaché pour toujours aux accords qui ont été signés avec Israël, » a-t-il dit. « Une partie ne peut pas rester engagé alors que l’autre partie a violé les accords et les a même annulé. » Il n’a pas précisé de quelle partie il parlait. Les sources gouvernementales à Jérusalem n’ont pas bronché devant les menaces d’Abed Rabbo à l’époque. « Nous avons souvent entendu ce genre de choses des palestiniens, qu’Abbas allait démissionner, qu’ils vont démanteler l’autorité palestinienne, qu’ils vont se tourner vers l’ONU, qu’ils vont renoncer à une solution de deux états, » a déclaré une source gouvernementale. « Mais ce n’est pas sérieux. Tout le monde comprend que la seule manière de parvenir à la paix passe par des négociations directes, tout le reste n’est pas sérieux, » a déclaré cette source. Il est vrai qu’a part dire tout et n’importe quoi, et trouver toutes les raisons pour fuit le dialogue, les palestiniens ne font pas grand-chose.
250 blessés suite à un match de haine jordano-palestinien
Un match de football à Amman en Jordanie, entre le club d’Al-Wahdat et celui d’Al-Faisaly a pris fin dans la violence. Alors que la police anti-émeute a tenté de contrôler les foules lorsque les joueurs quittaient le terrain, une barrière métallique s’est effondrée sous le poids de la foule. Bilan, 250 blessés ! Des témoins oculaires affirment que plusieurs personnes ont été battus à mort par la police, alors qu’ils tentaient d’escalader la grille pour aller se battre face aux autres supporters. “Les fans d’Al-Wahdat sont généralement des palestiniens, tandis que les fans d’Al-Faisaly sont des jordaniens (d’origine palestinienne)” explique Al Jazeera. Au cours des dernières années, les tensions entre les supporters des deux équipes ont entachées toutes
les rencontres entre les deux clubs. Selon les témoignages, la violence avait déjà éclaté à l’extérieur du stade, avec des gens venu casser et bruler des voitures. “ L’incident d’aujourd’hui peut avoir des implications politiques, mais le gouvernement essaie de ne pas mettre en évidence cette fracture jordano-palestinienne en Jordanie,” a expliqué un expert politique du nom d’El-Shamayleh sur cette même télévision. Un document publié la semaine dernière dans Wikileaks parlait de ce phénomène de haine entre les “palestiniens” et les jordaniens (eux-même dans leur immense majorité d’origine palestinienne). Jonathan-Simon Sellem
L’information en provenance d’Israël
L’islam est une religion de paix : Attentat-suicide à Stockholm
Un carnage a été évité de peu. Pendant le même temps, les belles âmes qui n’ont pour la plupart jamais ouvert un Coran de leur vie nous assurent que l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance™. ” Et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. S’ils cessent, donc plus d’hostilités, sauf contre les injustes. “(Coran 2:193) L’homme a crié quelque chose en arabe avant de faire sauter la bombe. ” Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés. ” (Coran 9:29) Un homme s’est fait exploser dans un attentat-suicide ce soir à Stockholm, alors qu’il était entouré de badauds faisant leurs courses de Noël. Quelques minutes plus tôt, une voiture avait explosé dans une rue adjacente, blessant deux individus. L’homme portait 6 bombes tuyaux. Une seule d’entre elles a explosé. Il avait également un sac à dos rempli de clous, et possiblement une bombe Si la bombe avait explosé dans la rue adjacente Drottninggatan, cela aurait été un carnage
supplémentaire.
de nos frères et sœurs meurent ».
D’après les témoins, l’homme a crié quelque chose en arabe avant de faire sauter la bombe.
« Nos actions parleront d’elles-même, tant que n’arrêtez pas votre guerre contre l’islam, de rabaisser le prophète et de soutenir stupidement ce porc de Vilks » a-t-il ajouté.
L’homme a été le seul à être tué au cours de cet attentat. Un certain nombre de personnes aux alentours ont été choquées et souffrent de pertes auditives. La bombe a explosé dans la rue Bryggargatan. Selon une source, si elle avait explosé dans la rue adjacente Drottninggatan, cela aurait été un carnage.
« Nos actions parleront d’elles-même, tant que n’arrêtez pas votre guerre contre l’islam, de rabaisser le prophète et de soutenir stupidement ce porc de Vilks » Une dizaine de minutes avant les explosions, l’agence de presse suédoise TT a reçu un e-mail (adressé également à la police suédoise) disant aux musulmans de Suède et d’Europe qu’il était « temps de passer à l’action ». L’auteur de l’e-mail fait état du silence de la Suède sur les caricatures du dessinateur suédois Lars Vilks qui a dessiné le prophète Mahomet sous la forme d’un chien. Il y parle également des troupes suédoises se trouvant en Afghanistan, déclarant dans des fichiers audio joints à l’e-mail que « maintenant, vos enfants vos filles et vos sœurs meurent comme les enfants
« Je ne suis jamais allé au Moyen-Orient pour travailler ou gagner de l’argent. J’y suis allé pour le djihad»
L’homme a également vivement appelé les musulmans de Suède à « arrêter de faire de la lèche et de se rabaisser », et a conclu son message avec un appel de plus à « tous les moudjahidines d’Europe et de Suède ».
Edition du 20 Décembre 2010
Raëd Salah, libéré après 5 mois de prison
Le chef de la branche nord du Mouvement islamique israélien, le cheikh Raëd Salah a été libéré ce matin, après avoir été incarcéré pendant 5 mois à la prison Ayalon, près de Ramleh. Le leader islamiste proche du Hamas et des Frères musulmans, avait été condamné à 9 mois de prison pour avoir provoqué une émeute et craché sur un policier. Il a été accueilli, à sa sortie de prison, par des dizaines d’activistes islamistes. Une réception digne d’un homme d’Etat est prévue à Oum El-Fahm, pour accueillir en héros celui qui se distingue par ses sermons et diatribes antisémites. Et seront bien sûr présents des députés arabes, toujours là
L’e-mail a également été adressé à la säpo, le service de sécurité suédois. Ils n’avaient pas lu l’e-mail avant l’explosion. Source : Islam in Europe & The Local
pour manifester leur haine d’Israël qui leur fournit pourtant de confortables salaires. « Il est indéniable que la libération d’un personnage de l’importance de Raed Salah’ est un événement exceptionnel pour les Palestiniens de l’intérieur », a osé dire le porte-parole du Mouvement Islamique, l’avocat Zahi Nudjdat. Le bras droit de Salah’, Kamel Hatib a quant à lui déclaré « que durant ces cinq mois de détention, Salah avait eu le temps de se retrouver avec Allah » ! Il a rajouté « que l’emprisonnement de Raed Salah avait été décrété pour des motifs politiques, afin de l’empêcher de poursuivre sa lutte pour la libération de Jérusalem et d’Al-Aqsa »
Un soldat de Tsahal blessé, deux terroristes tués à Gaza
occidental. Il n’y avait pas de rapport de blessures ou de dégâts. Le système d’alerte « couleur rouge » qui prévient les résidents d’une arrive de roquettes a été activé.
« Maintenant, il est temps d’agir, n’attendez plus. N’ayez peur de personne, n’ayez pas peur de la prison, n’ayez pas peur de mourir. » Le message contenait également des fichiers audios en suédois et en arabe. Ces derniers n’établissent pas de lien entre l’homme et une organisation. L’homme déclare également être allé au Moyen-Orient et demande à sa famille de lui pardonner de leur avoir menti : « Je ne suis jamais allé au Moyen-Orient pour travailler ou gagner de l’argent. J’y suis allé pour le djihad. »
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Un soldat israélien a subi de graves blessures et deux terroristes palestiniens ont été tués lors d’un incident à proximité de la frontière avec Gaza samedi en fin de soirée. L’incident a commencé peu après 21 heures, quand les soldats ont repéré des suspects approchant de la clôture de sécurité. Des chars israéliens ont ouvert le feu et tué les terroristes, qui étaient apparemment en train de ramper. Plus tard, alors que les soldats s’apprêtaient à nettoyer la zone qui se trouve à l’intérieur du territoire palestinien, des terroristes ont tiré vers eux avec des fusils d’assaut. Un soldat a été modérément blessé lors de l’incident. Il a été transporté au centre médical Soroka de Beer Sheva. Tsahal est en train de vérifier si les soldats ont été attaqués par des snipers ou d’autres terroristes dans la région. Des sources palestiniennes à Gaza ont déclaré que pendant l’affrontement, Tsahal a ouvert le feu sur des maisons palestiniennes situées à l’est du camp de réfugiés d’al-Bureij, dans le centre de Gaza. Le soldat a été opéré durant la nuit au centre médical Soroka, et les médecins ont réussi à stabiliser son état. Il est actuellement hospitalisé à l’unité de soins intensifs dans un état modéré mais stable. Plus tôt samedi, une roquette Qassam a été tirée depuis Gaza vers le Néguev
La fréquence des altercations violentes dans les environs de la barrière de sécurité, via des explosions et des échanges de tirs, a augmenté récemment. La semaine dernière, un char de Tsahal avait été touché par un missile antichar, mais personne n’a été blessé. Dans un autre incident, Tsahal avait abattu deux terroristes. Des responsables de l’armée estiment que les nombreuses tentatives des palestiniens de se rapprocher de la clôture soi-disant pour collecter des ordures sont en fait des tentatives de collecter des renseignements sur l’armée israélienne au profit des organisations terroristes. Le nombre de tirs de mortier sur Israël a lui aussi augmenté ces dernières semaines. Le chef d’état-major israélien, le lieutenant général Gabi Ashkenazi, a admis que « la situation est fragile » lors d’une visite d’une base de parachutistes à la frontière de Gaza. Même si le Hamas n’est pas directement impliqué dans les incidents, des sources au sein de l’armée ont déclaré que les responsables du Hamas reconnaissent les attaques contre les soldats de Tsahal comme légitimes, en opposition aux tirs de roquettes vers des zones peuplées, qui pourraient déstabiliser le calme relatif et susciter une réaction sévère de la part d’Israël.
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
«Comment les français peuvent-ils être aussi lâches ?»
Candidate à la succession de son père à la tête du Front national, Marine a déclaré, maintenant il y a dix ou quinze endroits où de manière régulière un certain nombre de personnes viennent pour accaparer les territoires. C’est une occupation de pans du territoire, des quartiers dans lesquels la loi religieuse s’applique, c’est une occupation. Certes y a pas de blindés, y a pas de soldats, mais c’est une occupation tout de même», a-t-elle déclaré. Marine Le Pen a maintenu samedi matin ses propos, tout en assurant qu’elle n’avait pas fait référence à l’occupation allemande pendant la seconde guerre mondiale mais à toute forme d’occupation. Le nouveau garde des Sceaux, Michel Mercier, a exclu une action en justice contre Mme Le Pen. «Je ne vais pas mener l’action publique partout». Ce qui est surprenant sur cette nouvelle vidéo publiée sur YouTube, vous ne pouvez pas le voir. En soi, elle n’a rien de bien nouveau, vous et moi en avons vu des dizaines du même genre. Une rue de Paris fermée à la vie normale par des barrières de police, afin de faire place aux islamistes, c’est devenu, hélas, la triste réalité. Non ce qui est surprenant, c’est que publiée le 10 décembre sur YouTube, elle m’a été envoyée par un ami argentin ce matin 11 décembre : elle fait, en ce moment même, le tour du monde, et le monde découvre cette nouvelle France. Mon ami, choqué par ses images – il n’est pas venu en France depuis 1983 - m’a posé des questions, il veut comprendre. Voici la transcription de notre échange, que j’ai traduit en français. Tomas : Jean Patrick, est ce que ce sont les zones de non droit de la France ? JPG : non non, c’est une rue de Paris, il n’y a pas encore de zones de non droit dans Paris. Les zones de non droit sont en banlieue. Tomas : ah bon ? Ça c’est dans Paris, et le gouvernement ne fait rien ?
JPG : pour te dire la vérité, je pense que le gouvernement approuve. Tomas : Sarkozy approuve ?! Qu’est ce que tu me racontes. JPG : s’il n’approuvait pas, crois tu qu’il laisserait faire, ça dure depuis des années. Tomas : il n’a peut être pas d’autorité, il a une grande gueule mais en fait il est faible ? JPG : au contraire, il est très autoritaire, mais les élites françaises ont décidé que la France va bénéficier de l’islam. Tomas : tu te moques de moi. JPG : non je te jure, ils appellent ça les bienfaits de la diversité. Tomas : et les parisiens sont d’accord ? JPG : on ne peut pas le savoir, car il n’y a pas assez de démocratie en France pour que les parisiens puissent exprimer leur avis. Tomas : donc si les gens ne sont pas d’accord, ils ne peuvent pas le dire ? JPG : ben non, c’est comme ça. Tomas : t’as bien fait de quitter la France ! Mais je ne comprends pas un truc. Pourquoi tu continues à défendre la France avec ton blog ? Maintenant que tu es parti, passe à autre chose. En plus, j’ai l’impression qu’ils sont aussi foutus qu’en Angleterre, tu perds ton temps. JPG : j’aime bien la France, il n’y a pas que des salopes vertes et des fachos, il y en a qui veulent réagir. Tomas : si le gouvernement laisse faire ça, je vois pas comment ils vont réagir. JPG : OK les chances sont faibles, et quand je viens à Paris, je vois bien que les gens sont endormis. Tomas : ils sont pas endormis, ils sont lâches.
JPG : si tu veux, c’est presque pareil. Bref, écoute. Il n’y a plus qu’internet pour la liberté d’expression : tous les journaux sont infiltrés par des gauchistes, la droite n’a pas de couilles, elle n’a pas un seul grand média. Si j’étais en France, je serais censuré, on me classerait extrême droite pour me museler. Mais comme drzz grossit assez vite, on commence à peser de plus en plus, et si on continue sur cette lancée, on pèsera vraiment lourd. Ca fonctionne comme ça en France : opinion publique ---> médias ---> politiques. Comme les médias trichent, il reste internet pour laisser parler l’opinion publique. Internet va obliger, à un moment ou à un autre, les médias à tenir compte de l’opinion publique, et ensuite, les politiques suivront, mollement au début, mais ils suivront. Maintenant si l’opinion publique s’en fout ou si elle est consentante, et bien tant pis pour eux. Comme disait ma mère, comme on fait son lit on se couche. Moi j’aurais fait ma part. Tomas : et la fille Le Pen ? Elle ne peut rien changer ? JPG : la fille Le Pen, c’est l’extrême droite, et ils ont tout mélangé. Ils parlent du danger de l’immigration alors que le danger ce sont les islamistes qui veulent imposer la Shari’a en France, en douceur. Les immigrés, ils ont jamais posé de problèmes en France, au contraire, ils apportent du bon. On a eu les polonais, puis les italiens, puis les espagnols, puis les juifs d’Afrique du nord, puis les portugais, puis les asiatiques, puis les arabes, tout allait bien. Mais quand les arabes se sont mis à vouloir imposer leurs règles, et que la France a laissé faire, là c’est la merde qui a commencé. Le coupable, c’est pas l’immigration, c’est la France. Tomas : mais comment les français peuvent ils être aussi lâches ? JPG : c’est compliqué, je peux pas t’expliquer en trois mots. Par Jean-Patrick Grumberg - Publié dans : Eurabia
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L’information en provenance d’Israël
JCall, l’anti-raison
Edition du 20 Décembre 2010
seul nom cité dans l’accusation n’est autre que celui du ministre en place, Elie Yshaï, ministre de l’Intérieur et responsable de la gestion des pompiers. Un ministre ayant hérité de cette situation léguée par les deux gouvernements Kadima précédents ainsi que celui, sans remonter plus loin, d’Ehud Barak. Trois gouvernements ayant les faveurs de cette association et qui ne seront pas cités comme coresponsables avec le gouvernement actuel. En revanche, ne sera pas oublié la comparaison entre « le million de Shekels qu’il (Elie Yshaï) a alloués cette année comme budget pour lutter contre les incendies » et « les milliards de dollars investis dans les territoires occupés ».
On ne peut douter plus longtemps. Les signataires de JCall n’ont pas comme priorité les intérêts du peuple juif et donc de l’état d’Israël. Ainsi, le 27 novembre dernier, ce groupuscule affirmant réunir des intellectuels juifs européens, n’étant représentatif que de lui-même et n’ayant jamais mis son ‘’programme’’ en débat au sein de la population juive, s’autorise une demande qui a du faire plaisir au Président de l’Autorité palestinienne et à bien d’autres encore de ce camp ennemi du foyer juif. Ainsi, s’y trouve écrit ceci : « La demande du gouvernement israélien d’exclure Jérusalem Est de l’accord sur la prolongation du gel de la colonisation est aujourd’hui un obstacle majeur à toute reprise de négociations directes entre les deux parties ». Les Israéliens, à même de juger sur place les obstacles contrariant les négociations directes ‘’apprécieront’’ l’accord tacite de ces Juifs de diaspora aux pré-conditions des ‘’Palestiniens’’ à tous pourparlers de paix. La suite ne leur ‘’déplaira’’ pas non plus : « Une telle exigence revient à accepter de facto l’annexion de la ville par Israël ce qui est évidemment inacceptable tant pour l’Autorité Palestinienne que pour la communauté internationale ». Ce qui vient ensuite démontre sans l’ombre d’un doute que la division de Jérusalem, et donc de la veille ville, est à leurs yeux consommée : « En termes de droit international Jérusalem Est est logée à la même enseigne que la Cisjordanie. L’une comme l’autre sont des territoires occupés (…) Le but est clair, il s’agit pour les colons,
avec la bénédiction du gouvernement, d’empêcher à tout prix, le partage de Jérusalem ». La possession de la vielle ville et donc du Mont du Temple étant l’objectif du monde musulman, les Juifs membres de JCall ont donc choisi leur camp au nom d’une paix qui n’équivaudra qu’à la perte de tout repère du peuple qu’ils affirment défendre. Croire, par ailleurs, au ‘’partage’’ équitable de ce lieu saint du Judaïsme est un leurre. Le site du ministère de l’Information de l’Autorité palestinienne a publié, il y a peu, un article déniant aux Juifs tout droit sur le Mur des Lamentations. Article dénoncé par le gouvernement israélien, également par le gouvernement us mais pas par la direction de JCall ni aucun de ses membres. Une direction qui oublie par ailleurs que la quasi-totalité du peuple israélien et du peuple juif, hormis les extrémistes de gauche et une portion infime du parti travailliste en perte de vitesse dans l’opinion publique, refuse tout partage de ce type. Ce qui permet de cataloguer politiquement cette association qui stagne à 7500 membres quasiment depuis ses débuts, malgré la célébrité de certains de ses parrains et l’accès sans limite aux médias européens. Autre sujet. Dans un article intitulé « Incendie du Carmel : Désastre et enseignements », JCall s’autorise à tirer deux enseignements. Le premier concerne le manque de matériel pour lutter contre les incendies et la responsabilité de cette anomalie. Le
Une obsession qui tourne au comique et permet un rapprochement stupide car il s’agit, d’une part, d’une somme de cent millions de Shekels -et non pas un- débloqués par le gouvernement de Benjamin Netanyahou en l’espace de 21 mois et d’autre part de « milliards de dollars » s’étalant sur une période de plusieurs décennies. Une juxtaposition nauséeuse qui permet d’occulter par ailleurs que 56% des israéliens s’opposent la démission du ministre de l’intérieur. Le deuxième enseignement tiré de l’incendie du Carmel par ces ‘’intellectuels’’ juifs européens concerne l’évidence qu’Israël n’est pas isolée au sein de la planète. Affirmation opposant ainsi une fin de non recevoir à ceux qui affirme que « Tout le monde est contre nous » et démontrant ainsi la paranoïa des Juifs situés politiquement hors JCall. Le plus drôle de ‘’l’enseignement’’, cependant, se cache dans l’espoir de voir « la coopération entre les deux entités le jour où enfin un État palestinien verra le jour ». Il ne nous sera pas dit ici si la deuxième entité vivant au côté de l’état ‘’palestinien’’, et reconnue par celui-ci, sera une nation pour le peuple juif ou un état de tous ses citoyens. Et principalement celui de millions de réfugiés ‘’palestiniens’’ ayant obtenu le ‘’droit au retour’’ au nom de la ‘’paix’’ et par la pression de leurs amis. Parmi lesquels on compte sans conteste les membres de JCall ? S’il y a des sujets que ces derniers évitent d’aborder, probablement de peur de voir leurs pauvres forces se réduire à une peau de chagrin, l’hypothèse de leurs soutiens à cette supposition et au vu de leur politique suicidaire n’a rien de farfelue. Victor PEREZ ©
Une quinzaine d’enfants pris en otage à Besançon Un mineur de 17 ans a pris en otage lundi matin une vingtaine d’enfants d’une classe d’une école maternelle à Besançon (Doubs), a-t-on appris auprès de la police judiciaire. Il a libéré depuis cinq enfants. Connu pour être dépressif, le jeune homme était armé d’un ou deux sabres quand il a pénétré dans une classe de l’école Ile-de-France, située dans le quartier planoise. Toutes les autres classes ont été évacuées et une cellule de soutien psychologique a été mise en place pour les familles des enfants. Le GIPN de Strasbourg a été appelé en renfort.
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Gang des barbares : des requisitions plus lourdes, mais trop faibles !
Comme en première instance, la peine la plus lourde -20 ans de réclusion- a été requise contre Jean-Christophe S., qui aurait notamment participé au rapt d’Ilan Halimi, et Samir A.A, qui a notamment trouvé le lieu de la séquestration. Les réquisitions de l’avocat général à la Cour d’assises des mineurs du Val-de-Marne, JeanPaul Content, dans le procès en appel du Gang des barbares ont largement dépassé, comme annoncé en début d’après-midi par Nouvelobs.com, les condamnations en première instance. Les 17 membres présumés sont jugés à huis clos pour une série d’enlèvements. Le 13 juillet 2009, manifestation à la mémoire d’Ilan Halimi à Paris Le réquisitoire a été long et sévère. Il va dans le sens de ce que demandait l’ancienne ministre de la Justice, Michèle Alliot-Marie, à savoir des peines plus sévères qu’en première instance, a constaté sur place Nouvelobs.com. L’avocat général avait évoqué hier, dans la salle d’audience, en privé, des “hausses substantielles de peines”. Il ne s’est pas contredit. Il a requis des peines plus lourdes qu’en première instance pour 8 des 17 accusés jugés pour la séquestration et la mort d’un jeune Juif en 2006, réclamant entre 1 an et 20 ans de réclusion et un acquittement. Tout au long d’un réquisitoire de près de huit heures, Jean-Paul Content a cherché à établir les responsabilités dans plusieurs projets d’enlèvements fin 2005-début 2006, dont celui d’Ilan Halimi, jeune homme juif de 23 ans séquestré trois semaines avant d’être tué par Youssouf Fofana, absent du box à Créteil. Comme en première instance, la peine la plus lourde –20 ans de réclusion– a été requise contre Jean-Christophe Soumbou, qui aurait notamment participé au rapt d’Ilan Halimi, et Samir Aït-Abdelmalek, qui a notamment trouvé le lieu de la séquestration, dans une cité HLM de Bagneux. “La gravité des faits n’a pas été écartée” Me Françoise Cotta a évoqué à la sortie de l’audience “un réquisitoire qui n’apporte rien de neuf dans l’appréciation des faits mais un réquisitoire remarquable d’une grande honnêteté et d’une émotion folle”. “L’avocat général a bien défendu son indépendance”, a-t-elle ajouté. De son côté, Me Gilles Antonovicz a déclaré : “On se demande pourquoi ce deuxième procès. Pour ma cliente, on reste dans la logique judiciaire. Les réquisitions sont quasiment conformes à celles de première instance”. Enfin, Me Francis Szpiner, avocat de la famille d’Ilan Halimi, a expliqué : “L’avocat général a évoqué le silence qui a tué Ilan Halimi. Il a redit que cette affaire baigne dans un climat d’antisémitisme. Il a rappelé son souhait de restaurer l’Etat de droit dans les cités. Ces réquisitions sont mesurées. La gravité des faits n’a pas été écartée. Tout cela justifie ce deuxième procès”. Dans l’ensemble, ce réquisitoire a
été salué quasi unanimement, des bancs des parties civiles jusque dans les rangs de la défense. Une nuit au tribunal à cause de la neige L’avocat général a dû passer la nuit au tribunal, en raison de la neige qui rendait les déplacements difficiles. Il a dormi sur un canapé, dans le bureau de la procureure de la République, et s’est contenté pour tout dîner d’un sandwich du distributeur. Bloqués eux aussi, les accusés ont passé la nuit dans les geôles du tribunal de Créteil. De source judiciaire, on précise que les détenus ont mangé chaud et qu’on leur a fourni un matelas à chacun. Mais pour manifester leur mécontentement, plusieurs accusés ont brièvement refusé de comparaître devant le tribunal. ”Ils n’ont pas pu regagner leurs maisons d’arrêt hier (mardi, ndlr) à cause des intempéries et ils ont donc dormi au dépôt du tribunal”, a affirmé l’un des avocats. Certains d’entre eux se sont plaints d’avoir mal dormi, de ne pas avoir pu se laver ou se changer. Des avocats ont été autorisés à leur apporter des cafés et des barres chocolatées. Les accusés ont finalement accepté de comparaître aux alentours de 11h. Fofana absent du box Mercredi, Me Francis Szpiner, l’avocat de la famille d’Ilan Halimi, le jeune Juif séquestré et tué en 2006 par Youssouf Fofana, a estimé que ces personnes “baignaient dans un climat d’antisémitisme”. Selon lui, “l’antisémitisme est un des éléments qui fédèrent le groupe”. Un seul des 17 accusés jugés est poursuivi pour avoir agi en raison d’un mobile antisémite. Youssouf Fofana, qui a renoncé à faire appel, est absent du box. L’antisémitisme, “un fait indiscutable” L’antisémitisme “n’est pas juridiquement un élément qui peut leur être reproché mais c’est un fait indiscutable”, a soutenu Me Szpiner, rappelant qu’Ilan Halimi avait été ciblé et enlevé parce qu’il était juif. “L’antisémitisme larvé était à l’origine de ce projet criminel et avait fédéré tous les membres de ce gang”, a ajouté Me Muriel Ouaknine-Melki, qui défend une autre victime, elle aussi d’origine juive, enlevée trois semaines avant Ilan Halimi. Les premières victimes du “Gang des barbares” n’étaient pas juives, a admis l’avocate, mais “ça s’est très vite affiné”, a-t-elle estimé. Faire de l’antisémitisme le point central du procès procède d’”une erreur de perspective”, a réagi Me Didier Seban, qui défend un des gêoliers présumés d’Ilan Halimi. “Le ciment, c’est la loi de la cité, c’est la loi du silence. A partir du moment où on est collectivement dans une affaire, chacun se tait (…) et c’est ça qui doit questionner la République”, a ajouté l’avocat. Début 2006, Ilan Halimi avait été séquestré trois semaines à Bagneux (Hauts-de-Seine) avant d’être tué par Youssouf Fofana, condamné à la perpétuité en 2009 pour ce crime antisémite. Michèle AlliotMarie, alors Garde des sceaux, avait fait appel du verdict du Gang des barbares, contre l’avis de l’avocat général (Nouvelobs.com – Avec Elsa Vigoureux)
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
8 millions de personnes en dessous du seuil de pauvreté ! Ce sont des parents qui n’osent plus affronter le regard de leurs enfants et n’ont plus de réponses à donner à ces petits visages qui demandent : Pourquoi ? Au drame de la pauvreté, il faut ajouter celui de la maladie, du handicap et de l’isolement. Pour ceux qui en sont frappés, le combat est quotidien ! Face à ces obstacles qui paraissent infranchissables, il y a l’Humain qui refuse cette fatalité et se bat.
Derrière ce nombre, des hommes, des femmes et des enfants pour lesquels chaque jour est un combat. Une lutte inégale et injuste pour laquelle ils n’ont plus ni force ni défense. 8 millions d’êtres fatigués, souvent seuls et très souvent résignés. Ce sont des personnes âgées qui vivent seules dans des conditions indignes ; ce sont des femmes et des hommes qui n’ont plus les moyens de se soigner.
Celui qui oeuvre chaque jour aux côtés de ceux qui souffrent. Celui qui se mobilise toute l’année pour créer des brèches dans ce mur sombre afin d’y faire pénétrer la lumière ! Celui qui chaque année, lors de la campagne nationale pour la Tsédaka, tend la main vers l’autre et lui redonne espoir. Celui qui, comme vous, par vos dons, transforme les pleurs en sourires et rallume les regards tristes. Celui qui par ses dons devient partenaire du ciel dans le combat pour la Justice.
Nous mobiliser pour ceux que la vie n’a pas épargnés sociations et des bénévoles qui chaque année abattent des montagnes pour récolter des dons afin que cette tsédaka réconfortent les plus fragiles de la communauté juive, mais au-delà tous ceux qu’elles aident dans le respect de leur différence et quelles que soient les appartenances religieuses de chacun.
Pour la 4ème année, j’ai l’honneur de vous inviter à l’Appel national pour la Tsédaka. Je sais pouvoir compter sur vous et sur votre générosité. Sachez que grâce à vous, le bonheur est possible pour : celui auquel on offre le gîte et le couvert ; celui qui, malgré son handicap, travaille et retrouve sa dignité ; celui dont au s’occupe avec amour et tendresse lorsqu’il est enfermé dans un autisme qui l’isole ; celui auquel on offre un cadeau ou un colis au moment des fêtes ; celui qui retrouve quelques moments de repos et de sérénité lorsqu’il est rassuré par la prise en charge de son parent malade ; celui que l’on accompagne dans son parcours scolaire. Comme vous le voyez, c’est possible ! Je sais que ceux qui attendent tant de notre campagne peuvent compter sur votre amour et votre fraternité. Ensemble, nous apporterons à ceux qui sont fragiles, l’énergie positive qui rend à la vie sa beauté ! Donnez et faites donner !
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Après Stéphane Freiss, Pascal Elbé, Michel Boujenah et quelques illustres devanciers, je suis heureux et fier de parrainer avec Cyril Hanouna l’Appel national pour la tsédaka en cet automne 2010 où, plus que jamais, les valeurs de partage et de solidarité doivent être mises en exergue. Heureux parce que cette aventure humaine m’a permis tout à la fois de rencontrer sur le terrain des héros du quotidien, anonymes, qui portent secours et assistance à ceux de leurs frères qui souffrent, vivent dans la solitude ou le dénuement le plus complet. Fier aussi parce que je peux témoigner à présent du travail admirable des as-
C’est avec humilité que j’ai accepté cette mission, surtout pour témoigner et rendre hommage à celles et ceux qui, au quotidien, accomplissent la plus noble des mitsvoths, aider son prochain ! La souffrance, la maladie, la solitude ou le dénuement n’ont ni race ni religion. L’Histoire nous a appris que jamais rien n’est acquis et si nous pouvons témoigner aujourd’hui c’est que les valeurs de solidarité nous ont soudés dans le passé : en ces temps difficiles de repli sur soi, d’individualisme forcené, nous devons ensemble être à la proue de la générosité, donner l’exemple du partage, et nous mobiliser pour ceux que la vie n’a pas épargnés. Ce geste leur rendra leur dignité et nous donnera une autre dimension, que mon grand-père qualifiait de «Mensch», un être humain digne de ce nom.
Ah, on se sent tout petit ! meilleure. On se sent tout petit parce qu’on se sent seul par rapport à la solidarité qui émane de ses associations, face aux sourires, de ces gens qui sont devenus si importants pour moi.
C’est la première phrase qui m’est venue à l’esprit lors de cette magnifique journée en votre compagnie. Alors, on se sent « tout petit » pourquoi ? Parce qu’on se dit qu’on est bien inutile par rapport à ces gens qui vouent leur vie à faire que celle des autres soit ■ Se surendetter pour manger On enregistre une demande croissante des familles nombreuses en situation de précarité sollicitant les structures caritatives en matière de restauration sociale. A titre d’exemple à Strasbourg, l’ASJ, l’action sociale juive, a du augmenter de 12 % son budget alimentaire, essentiellement en raison d’une demande de nourriture pour les enfants. A Paris, les associations Choulhan Lev, Mazone et Ohr Shimshon Raphaël en font le constat sévère. L’association Maavar a vu augmenter de 50 % son budget de restauration sociale.
En France, pour les Juifs les plus démunis, des difficultés insurmontables. Les études permettent d’évaluer à 20 000 personnes, parmi les Juifs de France, celles qui sont contraintes de recourir en 2010 à une association caritative ou à un service social com-
munautaire.
pondre est vital.
Le plus inquiétant est qu’entre 1/4 et 1/3 d’entre eux, hommes, femmes, enfants, sont confrontés, au quotidien, à des difficultés extrêmes pour se nourrir, se soigner, se loger. Y ré-
Votre don 2010 à l’Appel national pour la tsédaka sera utilisé pour agir, en priorité, par une action sociale de terrain, sur les problématiques suivantes :
Les familles monoparentales constituent la deuxième catégorie la plus touchée. Près de 30 % des enfants bénéficiant d’une bourse cantine Latalmid, versée par le Fonds Social Juif Unifié, sont issus de famille monoparentale. A Nice, au Casin, les familles monoparentales en grande difficulté faisant appel à un soutien pour se nourrir représentent, en 2010, 15,30 % des appels à l’aide, toutes situations confondues. Il en est de même dans toutes les régions de France.
Tout petit parce que ces gens sont heureux d’aider les autres, et que leurs problèmes sont bien plus importants que les miens et que offrir un repas, un lit, un emploi à quelqu’un qui en a besoin est leur but quotidien. Ils ne vivent pas pour eux, mais pour les autres. Mais ce qui me rassure c’est qu’en arrivant, je me sentais tout petit et qu’en repartant au contact de ces gens, je me suis senti Grand. Merci.
■ Pas assez pour se soigner De plus en plus de personnes sont juste au-dessus des minimas sociaux. Elles n’ont pas de complémentaires santé et ne bénéficient pas non plus de la CMU. Se faire soigner devient trop coûteux. Sont particulièrement touchées les personnes âgées. A titre indicatif, les besoins identifiés par le Réseau Ezra, un réseau de proximité déployé par le Fonds Social Juif Unifié, se répartissent comme suit : 44 % en dentaire, 29 % en ophtalmologie, 10 % en orthodontie, 8 % en auditif, 8 % de besoins autres. ■ Affronter seul ses angoisses On constate, en 2010, que 27 % des demandeurs d’aide vivent seuls, avec des problèmes graves de santé, d’endettement, de budget précaire et de logement. Concernant les personnes isolées de manière plus large, il ressort des rapports d’activité des CASI, comité d’action sociale israélite, à Marseille, Nice, Lyon et Toulouse, que l’isolement, souvent lié à la perte d’emploi, s’ajoute dramatiquement aux problèmes de santé, d’endettement et de logement.
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
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0 1 0 2 re b m ce é d 5 1 u a re b m e v o Du 15 n
S É S I L I B O M TOUS
E R È S I M A L E CONTR
Photo Bernard Matussière
PAS D'ARGENT = PAS DE CHAUFFAGE
Déborah 46 ans - sans emploi - divorcée - 5 enfants
✂ OUI,
MOI AUSSI JE DONNE À LA TSÉDAKA 2010 :
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Je recevrai, par retour de courrier, le Cerfa me permettant de déduire de mes impôts 2010 sur le revenu 66 % du montant de mon don, dans la limite de 20 % de mes revenus imposables. Exemple : si je donne 200 euros, cela ne me coûtera que 68 euros. Pour les sociétés, le taux de déductibilité est de 60 % dans la limite de 5‰ du chiffre d’affaire.
Appel national pour la tsédaka - www.tsedaka.fsju.org 39, rue Broca 75005 Paris
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
La révolte des usagers des téléphones portables la téléphonie en Israël.
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Fortes rafales de vent, inondations dans le centre du pays, le mont Hermon recouvert de neige
Comme annoncé sur IsraelValley la semaine dernière, le gouvernement a récemment décidé d’une série de mesures avantageant les consommateurs au détriment des opérateurs. Ces derniers ont notamment reçu l’ordre de facturer à la seconde, dès la première seconde. En réaction, ces derniers ont augmenté leurs prix de 6 à 7% !
Le Conseil des Consommateurs d’Israël a appelé le public à utiliser 3 minutes par jour son téléphone fixe plutôt que le téléphone portable. D’après ses estimations présentées lors d’une conférence de presse, ce simple geste de « révolte » contre le coût des communications pourrait faire perdre jusqu’à 1 milliard de shekels par an aux opérateurs de téléphonie mobile. Le Conseil a justifié sa démarche en expliquant sa « frustration » face à son incapacité à négocier avec les opérateurs. « Nous voulons redonner le pouvoir aux usagers », a affirmé le porte-parole de l’organisation lors de la conférence de presse. D’après un sondage réalisé par cette association, les consommateurs esti-
ment que les opérateurs de téléphonie mobile sont « injustes » et « nontransparents » dans leurs méthodes de traitement des abonnés. Le projet a été imaginé selon un calcul, très prudent, qui établit à 2,3 millions le nombre d’abonnés en Israël à un réseau cellulaire. D’après le ministère des Communications, le chiffre s’élèverait plutôt à 9,3 millions. Une statistique qui peut paraitre hallucinante alors que la population d’Israël est d’environ 7,4 millions de personnes. Toutefois, elle garde toute sa crédibilité lorsque l’on sait que de nombreux Israéliens possèdent plusieurs téléphones portables. Tout ceci intervient dans un contexte de grande réforme de
C’est précisément cette décision qui a engendré la colère du Conseil des Consommateurs et qui l’a poussé à organiser cette campagne d’incitation à utiliser les téléphones fixes. L’impact de ce projet de rébellion contre les opérateurs devrait toutefois très limité. En effet, la plupart des abonnements se font sur la base d’un forfait avec un coût fixe minimum à payer chaque mois, peu importe le temps de communications effectué par l’utilisateur. La seule marge de manœuvre concernera donc le hors-forfait qui, lui, revient très vite cher. Consommateurs et gouvernement d’un côté, opérateurs de l’autre : le bras de fer ne fait que commencer.
Des rafales de vent atteignant 100 kms/h soufflent actuellement sur le centre et le sud du pays. Le vent sera, localement, accompagné de sable et surtout de fortes pluies qui pourraient provoquer, dans la journée, des inondations. Le mont Hermon est recou-
vert d’une couche de neige de 40cm et sera fermé aujourd’hui aux visiteurs. On note également des chutes de neige sur les montagnes de Galilée pouvant atteindre 20cms. Les températures vont subir, aujourd’hui, une nette baisse sur tout Israël.
Aujourd’hui, entrée en vigueur de la loi sur la protection du consommateur israélien
Israelvalley Desk
Une enderlinolade anglophone…
qu’une étape pour gagner le titre d’enderlinolade: il faut gagner un Grand Prix (type concours de journaliste ou légion d’honneur). Les journalistes du Herald ont remporté 6 titres lors des Walkley Awards de cette année, qui récompensent les meilleures journalisme d’Australie. Paul McGeough, a remporté le prix pour prix pour son reportage ‘prières, larmes de gaz et terrorisme”, qui a couvert l’affaire de la flottille. Les juges ont félicité McGeough pour son journalisme courageux et d’excellence.
Enderlinolade, n.m. Action qui a pour but de propager certaines opinions anti-israéliennes dans le but de gagner en reconnaissance. Exemple: Charles Enderlin sur l’affaire de Mohamed Al Dura).Ainsi, une enderlinolade a eu lieu ces derniers jours lorsqu’un journaliste qui a rendu compte de choses
qu’il ne pouvait pas avoir vu, qui ignore volontairement les preuves vidéo qui contredisent ce qu’il rapporte, même si elles sont disponibles avant la parution de l’article. Et lorsque ces mensonges sont portés contre Israël, il ne manque alors plus
McKeough a écrit dans son article primé que l’armée israélienne “chassait comme des hyènes» et que l’attaque était organisée pour être “à l’heure de la prière musulmane” et que “beaucoup de personnes se sont déplacées en mettre à l’abri” de la barbarie israélienne… Allez, un ban pour cette belle enderlinolade!
Les clients mécontents ou ayant changé d’avis pourront, à partir d’aujourd’hui, se faire rembourser en espèces, ou par le moyen de payement employé, pour tout achat. Selon cette nouvelle loi, les marchandises concernées seront les meubles (sauf commande spéciale), les équipements pour la maison et le jardin, les appareils électroménagers, l’habillement (sauf lingerie et maillots de bain) et les chaussures, les services touristiques, les produits cosmétiques, les télécommunications, et les abonnements ou inscriptions à des clubs. Il suffira que le montant du produit ou de la transaction s’élève à plus de 50 shekels. Les clients disposeront
d’un délai de 14 jours, soit à partir de la conclusion de la transaction, soit à partir de la réception du produit, s’il y a livraison. Pour les vêtements ou les chaussures, en revanche, les clients n’auront que jusqu’au lendemain pour renoncer et rapporter les marchandises. L’alimentation et les médicaments ne sont pas remboursables. Les articles utilisés par le consommateur, ou dont les emballages originaux et étiquettes auront été retirés ne seront pas retournables. Les commerçants auront, cependant, le droit de conserver 5% du montant de la transaction, ou 100 shekels, au maximum. Pour un appareil électrique ouvert, le commerçant pourra conserver 10%.
Clinton : « il est temps de s’attaquer aux problèmes de base » Proche Orient à Washington, Clinton a noté que les Etats-Unis joueront un rôle actif dans les négociations, et a demandé aux parties de montrer une plus grande flexibilité sur les questions fondamentales.
« Vous n’avez pas besoin de lire des télégrammes secrets pour savoir que nous nous réunissons pendant une difficile période pour la poursuite du processus de paix au Proche Orient, » a déclaré Clinton en référence aux fuites publiées par Wikileaks.
La secrétaire d’état américaine, Hillary Clinton, a appelé vendredi soir Israël et les palestiniens à commencer à discuter des questions de base, y compris des frontières, de la construction dans les implantations et du statut de Jérusalem. Lors d’une conférence au centre Saban pour la politique au
Clinton a souligné que les Etats-Unis ne seront pas un participant passif, mais a également noté qu’ils ne seront pas en mesure d’imposer une solution, qui nécessitera la coopération des deux parties. Pendant ce temps, l’envoyé spécial américain pour le Proche Orient, George Mitchell, doit se rendre à Jéru-
salem et Ramallah dans les prochains jours, et présenter aux deux parties des propositions pour combler les différences, et tenter de reprendre les négociations. « Ce n’est un secret pour personnes que les deux parties ont un long chemin à parcourir et qu’ils n’ont pas encore pris les décisions difficiles que la paix exige, » a dit Clinton à Washington, ajoutant : « il est temps de s’attaquer aux questions essentielles du conflit, les frontières et la sécurité, les implantations, l’eau et les réfugiés, et Jérusalem. » La secrétaire d’état a admis que de nombreuses questions à l’ordre du jour sont très sensibles, et a réaffirmé que la position américaine sur les implantations n’a pas changé et ne changera pas. » « Nous n’acceptons pas la légitimité de la poursuite des implantations.
Nous croyons que leur expansion continue est corrosive non seulement aux efforts de paix et pour l’avenir de la solution de deux états, mais pour l’avenir d’Israël lui-même, » a-t-elle dit. S’exprimant sur la question de Jérusalem, Clinton a dit que cela représentait le plus grand défi, et qu’il n’y « aura sûrement pas de paix » sans un accord sur la capitale. « Les parties doivent s’entendre sur un résultat qui réalise les aspirations des deux parties pour Jérusalem, et sauvegarder son statut pour les personnes du monde entier, » a-t-elle ajouté. Lors de son discours, Clinton a fait remarquer que le premier ministre Benyamin Netanyahou et le président palestinien Mahmoud Abbas se sont rencontré a plusieurs reprises au cours des derniers mois, à Washington, Jérusalem et Charm el-Cheikh.
Elle a également dit qu’elle a rencontré en privé les deux leaders et a fait part de conversations approfondies qui ont fait ressortir les lacunes qui doivent êtres comblées. « Nous allons travailler à réduire les écarts, poser des questions difficiles et attendre les réponses de fond. Et, dans nos conversations privées avec les parties, nous offrirons nos propres idées et propositions de compromis lorsque ce sera approprié, » a-t-elle dit. Plus tôt vendredi, Clinton a rencontré Tzipi Livni, présidente de l’opposition, ainsi qu’Ehoud Barak, ministre israélien de la défense, dans une tentative d’obtenir une image claire de la situation politique en Israël, ainsi que la possibilité que Kadima appuiera le processus de paix. Clinton a également rencontré le négociateur en chef palestinien, Saeb Erekat, et planifie de rencontrer le premier ministre Salam Fayyad par la suite.
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
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La Nouvelle-Zélande n’a pas besoin de stratégie. Israël si ! Daniel Pipes: Les Syriens seraient dans une meilleure position avec un tel accord, aussi un accord de ce genre est du bon sens. Mais pourquoi Bachar al-Assad le voudrait-il et laisserait ce qu’il considère comme l’équipe gagnante, le cheval fort? Rappelez-vous, la Syrie est gérée pour le bénéfice de ses dirigeants, pas de ses sujets. Je ne vois pas la preuve qu’il soit prêt à changer de camp. Le même argument aurait pu être entendu il y a une décennie, que Hafez al-Assad aurait dû signer un traité de paix avec Israël pour obtenir tous les avantages qu’il en tirerait.
Les dernières décennies ont souffert du terrorisme islamique et des guerres au Moyen-Orient, aussi l’islam a-t-il pris une place centrale dans le discours politique occidental. Et Daniel Pipes a été au centre de ce débat, faisant bénéficier des dizaines de millions de personnes de la perspicacité de son analyse. Cette façon d’analyser a pour conséquence que le Dr Pipes fait autorité sur les questions liées à l’islam et au Moyen-Orient. En plus de faire bénéficier de ses analyses par le biais de son site web personnel et du Middle East Forum, qu’il a fondé, Pipes voyage autour du monde, prenant la parole dans les universités, les groupes de réflexion (think tanks), et d’autres lieux. Ses apparitions provoquent souvent des perturbations et des manifestations de colère, tout en suscitant en même temps un soutien fervent. Nous nous sommes installés à côté de lui pour parler d’Israël, de l’Iran, de la présidence de Barack Obama, et d’autres questions d’actualité. Il a aussi évoqué un débat – qu’il qualifie de temps fort de sa carrière – à Londres en 2007, dans lequel lui et un néo-conservateur britannique, Douglas Murray, ont défait leurs adversaires, le maire de Londres Ken Livingstone et Salma Yaqoob, une femme politique du parti local Respect-Party, de Birmingham. Pipes a des mots durs pour la direction politique israélienne. Selon lui, Israël est tout simplement en train d’essayer d’en sortir face à des crises qui se présentent; sa direction manque d’une vision stratégique ou d’un plan pour traiter des questions de base concernant la sécurité. Du point de vue de Pipes, Israël est malheureusement devenu l’opposé de ce que le jeune pays était dans les années 1950 et plus tard, quand il était dirigé par un leadership talentueux avec une vision des intérêts à long terme d’Israël. L’entrevue a eu lieu à Herzliya, en Israël le 16 Septembre 2010. Q: Estce qu’Israël a renoncé à l’idée de victoire? Daniel Pipes: Je dirais qu’il n’essaie pas de gagner ; il fait n’importe quoi. Q: Ne seriez-vous pas d’accord avec le fait que la communauté internationale empêche Israël de gagner? Daniel Pipes: Non, c’est un problème interne.
De 1948 jusqu’en 1993 Israël avait une politique de dissuasion qui impliquait de viser la victoire. En 1993, les dirigeants ont adopté une politique de conciliation, c’est à dire, donner quelque chose à votre ennemi dans l’espoir qu’il vous laissera tranquille. La conciliation a été abandonnée en 2000 en faveur de retraits unilatéraux qui ont alors pris fin en 2006. Maintenant, il n’y a pas de politique du tout. Le gouvernement d’Israël n’a pas un but précis; il tente simplement d’éteindre les feux de brousse. Qu’estce qu’il essaie de faire à Gaza, par exemple? Est-il en train d’essayer de se débarrasser du Hamas? D’essayer d’obtenir que l’Egypte le remplace? Ou essayer d’obtenir que Gilad Shalit soit l ibéré? Je perçois cela comme un manque d’objectifs politiques. Ce n’est pas une question de pression extérieure. Q: Est-ce qu’Israël a besoin de ce genre de politique stricte, de vision claire de l’avenir, étant donné que son économie est en plein essor? Daniel Pipes: Israël est en plein essor économique, mais il est de plus en plus l’objet de critiques avoisinant la délégitimation au point qu’un boycott économique de la part de l’Europe pourrait avoir lieu, avec d’autres pays s’y unissant. Israël pourrait devenir un état isolé, comme l’Afrique du Sud. La Nouvelle-Zélande n’a pas besoin d’une stratégie; Israël, si. Q:Quelles sont les chances d’un accord de paix entre Israël et la Syrie? Daniel Pipes:Très faible. Je ne vois pas les dirigeants syriens désireux de se séparer de l’Iran, la force dynamique dans le Moyen-Orient. Être avec l’Iran c’est avoir l’impression d’être dans l’équipe gagnante. Aussi, un accord avec Israël paraît peu probable. Q: Que faire si l’Iran changeait ? Daniel Pipes: Oui, si quelque chose arrivait qui fasse que l’Iran devienne l’équipe perdante, le cheval faible, alors les autres, comme Assad, changeraient d’avis. Q: Et si l’Iran acquérait l’arme nucléaire, alors la Syrie ne se séparerait pas de l’Iran. Daniel Pipes: Cela donnerait à Damas une raison de plus de rester fidèle à Téhéran. Q: Vous ne voyez pas là une volonté du côté syrien de faire la paix avec Israël?
J’ai douté de cela, car il savait comment faire fonctionner une dictature, pas un pays avec une bourse de valeurs, une presse libre, et une culture démocratique. Son fils beaucoup moins capable a uni son sort encore plus à fond avec les Iraniens. Il appartient à leur bloc, un point c’est tout.. Cela dit, Netanyahu était près de conclure un accord avec Assad en 1998, interrompu seulement par son ministre des Affaires étrangères, Ariel Sharon. J’ai révélé cette histoire dans The New Republic (la Nouvelle République) un an plus tard. Si Netanyahu voulait donner le plateau du Golan il y a douze ans de cela, il pourrait le faire à nouveau. Q: Netanyahu a ensuite nié votre récit? Daniel Pipes: Il l’a nié. Pendant l’heure que nous avons passée ensemble en 2001, il m’a réprimandé pour avoir donné une version fausse des faits. Mais je m’en tiens à ma version Obama bombarderait-il les installations nucléaires de l’Iran? Q: Voyez-vous Obama utiliser la force contre l’Iran? Daniel Pipes: Je pense qu’il pourrait frapper, pour deux raisons: il a dit qu’il n’accepterait pas un potentiel nucléaire de l’Iran et à l’intérieur il se débrouille si mal. Sur ce dernier point: s’il veut changer de discours, bombarder l’infrastructure nucléaire iranienne fonctionnerait mieux que toute autre chose. Aussi, pour revenir à l’attentat de 1981 de l’usine nucléaire irakienne, les Israéliens n’ont pas signalé qu’ils allaient attaquer, mais ils ont indiqué qu’ils ne pouvaient pas effectuer cette opération. Puis tout à coup, boum, ils l’ont fait. Ceci suggère que la désinformation fait toujours partie du jeu. Par conséquent, je ne sais pas ce que nous savons. Q: Pensez-vous qu’une attaque contre l’Iran garantirait à Obama un second mandat? Daniel Pipes: Je n’irais pas aussi loin, mais cela changerait la dynamique politique en sa faveur. Q: Diriez-vous que le président Obama montre une particulière incompétence? Daniel Pipes: Je ne sais pas au juste. Il y a deux façons de l’interpréter: soit regarder les résultats des sondages en baisse et l’incompétence générale, ou le voir comme un idéologue ayant des objectifs spécifiques, tels que faire que l’Etat s’empare d’un sixième de l’économie, et être réélu n’est pas sa priorité absolue. Je le vois comme le quatrième des présidents démocrates cherchant à modifier la relation de l’Etat à la société: Wilson, Franklin
Roosevelt, Johnson, et maintenant Obama. Q: Le président serait un idéologue, pas un pragmatique? Daniel Pipes: Oui, mais il pourrait devenir pragmatique, et bombarder l’Iran serait pragmatique. Soit dit en passant, la gauche aux Etats-Unis – ce que le porte-parole de la Maison Blanche appelle la “gauche professionnelle» – a attaqué Obama. Le commentaire de gauche est parfois encore plus dur que celui de la droite. A gauche vous trouverez une cruelle déception.. Les sentiments anti-islamiques en hausse en Amérique? Q: Quel est votre commentaire sur l’Initiative Cordoba? Daniel Pipes: Il représente un effort de plus pour étendre l’islamisme. Plus intéressante est la réaction suscitée contre lui, ce qui revient à un rejet des mosquées, en général, dans le Tennessee et d’autres endroits. Q: Mais il n’y a aucune incidence anti-musulmane, il y a neuf fois plus d’incidences antisémites. Daniel Pipes: C’est sûr, mais il y en a quelques- unes contre les musulmans, bien que moins d’incidences antimusulmanes qu’anti-juives, comme vous le soulignez. Nous voyons une augmentation du sentiment anti-islamique, et non pas anti-islamiste. Je ne cautionne pas cela. Je veux que la résistance soit limitée et prudente. Q: La minorité musulmane en Amérique est plus prospère que toute autre minorité musulmane dans tout autre pays occidental. Est-ce que le sentiment anti-islamique est vraiment un problème dans le contexte américain? Daniel Pipes: Oui, il est. Il l’est de plus en plus. Q: Mais il n’y a pas de fanatiques qui encouragent les gens à sortir dans la rue et à agir contre les musulmans. Daniel Pipes: Non, ce n’est pas organisé, mais on a le sentiment que ceux qui n’aiment pas l’islamisation et ceux qui n’aiment pas les musulmans en parlent et en font une montagne. À certains égards, je suis heureux et dans d’autres je suis inquiet. Je suis heureux que les Américains rejettent l’islamisation, mais ils doivent accepter l’Islam modéré. Q: Quel est votre point de vue concernant l’homme qui est à l’origine de la mosquée, l’imam Abdul Rauf? Daniel Pipes: C’est un opportuniste et une crapule en quête de publicité. Il s’autoproclame imam, mais il n’a même pas un diplôme. L’establishment islamiste n’est pas content de lui parce qu’avec cela il s’en prend à eux. Cela ne me gêne pas si sa mosquée est construite car cela fera du tort à l’islamisme. Q: De toute façon les Américains gagnent.. Daniel Pipes: Oui. La nature complexe du monde arabe Q: Revenons au monde arabe. Pensezvous que le tribalisme est plus omniprésent que l’islam dans le monde arabe? Daniel Pipes: l’Islam a absorbé une philosophie tribale et comporte des caractéristiques tribales. Le tribalisme n’est pas la caractéristique – L’Egypte n’est pas une société tribale – mais il est endémique, un objectif qui explique de nombreuses caractéristiques.
Q: Est-ce que l’islamisme est ici pour rester? Daniel Pipes: Le mouvement islamiste est dominant en ce moment même mais c’est temporaire. Nous pouvons déjà constater que sont en augmentation les musulmans qui rejettent l’islamisme et qui s’inspirent du modèle libéral occidental. Ils ne sont pas en position de force mais il y a un bouillonnement d’idées parmi des dissidents courageux, des intellectuels, et des organisateurs de la diffusion de ces idées. Ils pourraient bien réussir, mais ce ne sera pas très bientôt. Q: Qu’en est-il de Yusuf al-Qaradawi, qui a tout ce pouvoir dans le monde musulman et est considéré comme un modéré au sein de la communauté musulmane? Daniel Pipes: C’est un islamiste modéré, ce qui signifie à peu près la même chose qu’un nazi modéré. Q: Seriez-vous d’accord pour dire que Qaradawi représente la rue arabe? Daniel Pipes: C’est une figure islamiste de premier plan et un intellectuel qui touche un large public avec ses livres, ses shows télévisés, ses organisations, et sa diplomatie, mais je ne puis admettre que la plupart des musulmans seraient des islamistes. Q: L’islamisme ne fait-il pas partie d’un continuum historique dans l’histoire islamique? Il ne semble pas émerger hors de tout contexte.. Daniel Pipes: Sans aucun doute, il y a des antécédents aux islamistes modernes, par exemple Ibn Taymiyya. Mais c’est une élaboration idéologique moderne sur un vieux thème. Q: Comment expliquez-vous l’inaptitude à l’autocritique collective dans le monde arabe? Par exemple, un récent article du quotidien basé à Londres Al-Sharq al-Awsat [le Moyen-Orient] soutient qu’ il faut une enquête plus approfondie sur ce qui s’est réellement passé le 11 septembre. Daniel Pipes: J’ai écrit un livre entier sous ce titre « The Hidden Hand », « l’influence occulte », sur les théories du complot au Moyen-Orient. La mentalité de dépendance à l’égard des théories du complot dans les pays de langue arabe est assez extraordinaire.Comble d’ironie, ce n’est pas un phénomène intrinsèquement musulman, mais découle de l’Occident. Une preuve de cela réside dans le fait que les musulmans ont les deux mêmes ennemis [con]jurés que les Européens: les Juifs et les sociétés secrètes comme les francs-maçons. A l’inverse, ils ne blâment presque jamais les Hindous, les Russes, les Allemands, les Chinois et les Japonais. Version originale anglaise: Daniel Pipes: ‘Israel Has No Policy’ Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert
L’information en provenance d’Israël Edition du 20 Décembre 2010
Billet d’humeur :Les Européens et Israël Israël contre une quelconque modification des frontières de 1967 et en particulier contre le maintien de la réunification de Jérusalem. Les seules concessions acceptées portent sur de mineures rectifications uniquement agréées par les palestiniens euxmêmes.
Quelques anciennes pointures européennes se rebiffent. Ils sont 26 retraités de la politique qui lancent un appel européen à prendre de sévères mesures coercitives contre l’Etat juif et parmi eux : l’espagnol Javier Solana, ancien secrétaire général de l’Otan, l’allemand Richard Von Weizsäcker, ancien président de l’Etat, l’espagnol Felipe Gonzalez, ancien président du gouvernement, l’italien Romano Prodi, ancien président du conseil des ministres, et Mary Robinson, ancienne présidente d’Irlande. Ils justifient leur démarche par la nécessité d’aider Barack Obama à mener les israéliens et les palestiniens vers une paix pourtant improbable. Mais sans consensus ni volonté affirmée des deux parties, la paix devient une simple vue de l’esprit.
Cet appel pêche par sa position unilatérale qui risque de braquer Benjamin Netanyahou puisque la responsabilité de l’échec des négociations est entièrement reportée sur les seuls israéliens. C’est pourquoi ils doivent subir les foudres de l’Europe. Les mesures proposées sont draconiennes. Il s’agit, ni plus ni moins, que de geler toutes les relations bilatérales israélo-européennes tant que le gel des constructions n’est pas rétabli dans les territoires et à Jérusalem-est. Par ailleurs, des indiscrétions persistantes font état de la volonté de certains dirigeants israéliens de proposer la fixation unilatérale des contours d’une nouvelle entité palestinienne si aucun progrès n’était réalisé dans les discussions. Ces européens ont donc mis en garde
L’objectif inavoué de ces européens est d’aider les palestiniens à proclamer leur indépendance à l’intérieur des frontières de 1967 et de calquer leur position sur celle de certains pays d’Amérique du Sud, le Brésil et l’Argentine, qui ont décidé de reconnaitre officiellement l’Etat palestinien. La ficelle est un peu grosse mais elle risque cependant de dérouler tout l’écheveau du clan des opposants à Israël. Le gouvernement israélien peut difficilement continuer à faire le gros dos devant des manifestations répétées de solidarité de nombreux pays à l’égard des palestiniens. Ses ennemis tissent progressivement une toile qui l’isole du monde occidental. La diplomatie israélienne a beaucoup de pain sur la planche pour redresser une image de marque qui se dégrade de jour en jour. Il est certes toujours possible de vivre dans un camp retranché, à l’abri des critiques, mais la mondialisation de la politique internationale ne peut plus laisser Israël indifférent.
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26 anciens responsables européens exigent des sanctions contre Israël
26 anciens dirigeants européens ont demandé des sanctions contre Israël et la suspension de tout développement dans les relations en raison de sa «politique de colonisation et le refus de se conformer au droit international». Ces 26 anciens responsables européens exigent le boycott des marchandises israéliennes, faute de pouvoir distinguer les produits en provenance de Judée-Samarie et de ceux fabriqués en Israël.
Ils ont envoyé une lettre aux dirigeants de l’UE et aux chefs des gouvernements européens, dans laquelle ils vilipendent Israël. Parmi les signataires de cette lettre, un ancien président allemand, l’ex- Premier Ministre espagnole Felipe Gonzalez, l’ancien chef des relations extérieures de l’Union européenne Javier Solana, l’ancien président italien Romano Prodi et l’ancienne présidente irlandaise Mary Robinson.
Les sujets qui fâchent
Par Jacques BENILLOUCHE
Netanyahou : « les déclarations de Barak sur Jérusalem ne représentent pas la politique d’Israël » nyahou a ajouté que les déclarations de Barak ont été émises par la tête du parti travailliste, et non en tant que représentant du gouvernement. Barak, qui a discuté avec la secrétaire d’état américaine Hillary Clinton lors du Forum Saban à Washington, a promis de continuer à rechercher la paix, disant que les contours d’une solution à deux états étaient bien connus, rentrant même dans les détails sur les questions du statut final. A propos de Jérusalem, peut être le problème le plus difficile, il a décrit une solution qui coupe la capitale en deux.
Le premier ministre Benyamin Netanyahou a précisé dimanche que les déclarations du ministre de la défense Ehoud Barak, vendredi, faites à Clin-
ton en ce qui concerne la division de Jérusalem ne reflètent pas la politique du gouvernement, a rapporté dimanche la radio israélienne. Neta-
Il a dit que les questions seraient traitées en dernier et résolues à l’instar des paramètres de l’ancien président américain Bill Clinton, à savoir Jérusalem-Ouest et la banlieue juive pour nous, et les arabes à fortes population arabe pour eux, ainsi qu’un accord sur une solution pour le « Saint Bassin » comprenant la vieille ville est les lieux alentours.
Nouvelle phase du processus diplomatique. L’émissaire spécial américain, George Mitchell, devait rencontrer, dans la soirée , le Premier ministre Binyamin Netanyahou, à Jérusalem. La question des réfugiés, les impératifs sécuritaires d’Israël et les implantations juives en Judée-Samarie. Le représentant des Etats-Unis rencontrera séparément les dirigeants israéliens et palestiniens, dans le cadre d’une nouvelle stratégie visant à trouver un terrain d’entente entre les deux parties. Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir Durant les jours à venir, Mitchell fera la navette entre Jérusalem et Ramallah et tentera de palier le refus palestinien de relancer des négociations directes avec Israël. Le statut des réfugiés palestiniens, source de litiges Dans une interview
accordée au Guardian, et publiée vendredi, le principal négociateur de l’Autorité palestinienne (AP), Saëb Erakat, a réaffirmé la position palestinienne relative aux réfugiés. Selon lui, ils seraient plus de 7 millions à travers le monde, et représentent plus de 70 % de la population palestinienne. « Leur retour sur leur terre est absolument nécessaire pour arriver à une situation stable», explique-t-il. En réponse à ces allégations, les responsables israéliens ont rappelé que la guerre de 1948, à la suite de laquelle le problème s’est posé, a été causée par le refus arabe d’accepter une solution à deux Etats. «Ils ont déclaré une guerre violente, destinée à renverser la décision officielle de la communauté internationale», précise un diplomate de l’Etat hébreu. Par HERB KEINON