Israël Actualitésn°179

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GRATUIT - Numéro 179 - Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

Journal Israélien en langue française

De l’ombre à la lumière Paul Giniewski, alias paul vidal (1926-2011)



L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

De l’ombre à la lumière

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de leur vivant au sein de notre communauté. Nous devrions surtout être capables de leur rendre un dernier hommage car beaucoup de résistants ont donné leur vie pour que les Juifs de France puissent vivre en toute tranquillité après la guerre. De part leur sacrifice contre l’Allemagne nazie secondée par la milice de Vichy, le sort des juifs de France aurait pu ressembler malheureusement à ce qui s’était passé en Pologne où l’on a pu dénombrer plus de 6 millions de morts. Il aurait fallu que des hauts dignitaires religieux soient présents ou qu’ils se soient faits représentés. La présence de membres de toutes les institutions juives en France aurait également été souhaitable car ces hommes de l’ombre qui risquèrent leur vie pour que nous vivions en paix sont dorénavant de moins en moins nombreux.

Mercredi 13 juillet 2011 disparaissait une figure de la résistance juive en France, le dénommé Paul Vidal, de son vrai nom Paul Giniewski, journaliste et écrivain de son état, est décédé à l’âge de 85 ans. Né a Viennes en 1926, j’ai eu l’occasion de participer à plusieurs de ces interventions et lu quelques uns de ses livres que je recommande vivement. Quel n’a pas été mon étonnement dans ce moment de tristesse de voir le jour de son enterrement, au cimetière de Bagneux, seulement une trentaine de personnes venues lui rendre un dernier hommage

( sa femme, ses enfants , ses cousins et petits enfants en majorité ainsi que quelques amis). Plusieurs personnes ont pris la parole, notamment son gendre et sa petite fille pour raconter des anecdotes vécues ainsi qu’un frère d’arme de la résistance, Georges Loinger, âgé de 101 ans. Ils ont décrit Paul Vidal, alias Paul Giniew ski, comme un homme courageux, n’hésitant pas une seconde à mettre sa vie au service des autres pour combattre les nazis. Je trouve cela encore une fois triste que ces gens ne soient pas reconnus

C’est pour cela qu’il ne faut perdre de temps, car, aujourd’hui, les derniers héros de cette période noire de notre histoire ont dépassé pour la majeure partie les 80 ans. Le fait de leur rendre hommage est pour nous une façon de les remercier d’avoir fait pour certain don de leur vie afin que nos enfants vivent dans une France libre. Paul, je n’ai malheureusement pas eu le temps de plus te connaitre. A ta famille, au nom d’Israël Actualités, nous présentons tous nos remerciements et nos plus sincères condoléances.

Paul Giniewski

Hommage à deux Grands Maîtres du Judaïsme : Rav Rahamim Naouri zatsal et Rav Emmanuel Chouchena zatsal

Alain Sayada

Le Dimanche 23 juillet - 21 Tamouz nous marquerons le souvenir la « Hazkara » du Rav Rahamim Naouri zatsal. qui fut Av Beth Din de Paris de 1962 à 1985. Bien qu’il consacrera la majeur partie de sa vie à l’étude et à l’enseignement, le Rav Naouri fut l’épine dorsale du Beth Din de Paris et il en fera avec ses collaborateurs, un des fleurons de la communauté juive. Durant toutes les années passées au Beth Din de Paris, le Rav Naouri réussira à faire l’unanimité à la tête de cette institution. Ce même 21 Tamouz correspondra également à la date d’anniversaire de la disparition du Grand Rabbin Emmanuel Chouchena zal, qui n’est autre que le gendre du Rav Naouri. Bien qu’il fut également un grand Maître du judaïsme sépharade ses

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proches l’appelaient familièrement «Manu». Le Rav Chouchena fut entre autre, Le Rabbin de Belleville dans les années 60 et le Directeur du Séminaire Rabbinique de la rue Vauquelin à Paris. Ses compétences furent innombrables, Sofrout, Chéhita, Millah et nombreux de ses élèves, dont votre serviteur, ont gardés le souvenir exquis d’un homme tolérant et affable, doté d’une grande modestie, mais surtout un véritable pédagogue qui aura marqué son temps. Un ouvrage va lui être consacré prochainement, son titre : «Emmanuel Chouchena un berger unique ». Vous pourrez également adresser vos témoignages à : grandrabbinchouchena@efconseil. com Y.Lellouche

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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

Flottille : la marine israélienne encercle le bateau français

«par au moins quatre navires israéliens, toutes les communications sont brouillées, nous ne pouvons plus communiquer avec eux (ceux présents à bord du bateau, ndlr) par téléphone ni par internet», ajoutait un des porte-parole de l’opération, Julien Rivoire ce mardi matin. Sur Twitter, les participants précisent:

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L’AP critique Israël pour la planification de nouvelles constructions

«Quatre bateaux militaires israéliens entourent le Dignité Al Karama depuis 9h15, dans les eaux internationales». Une porte-parole militaire israélienne à affirmer que «l’armée israélienne suit ce bateau».

Selon les organisateurs de la flottille pour Gaza, au moins 4 bâtiments de la marine israélienne encerclent le bateau français Dignité al-Karama, qui se rapproche de Gaza. Toutes les télécommunications ont été brouillées, a indiqué un militant à bord du bateau.

le 7 juillet par les garde-côtes grecs, a quitté dimanche la petite île grecque de Kastellorizo en appareillant officiellement pour le port égyptien d’Alexandrie. Mais son véritable objectif est d’atteindre la bande de Gaza, selon les organisateurs qui espèrent arriver à la mi-journée en vue des côtes de Gaza.

Le Dignité-Al Karama, déjà intercepté

Mais le navire a très vite été encerclé

Elle s’est refusée à préciser à quelle distance des côtes de Gaza la marine israélienne pourrait intercepter le navire. Et le reste de la flottille? Israël a réaffirmé qu’il ne permettrait pas au navire de briser le blocus à Gaza. Il transporte 16 militants français, canadiens, suédois, grecs ainsi que la journaliste renommée du quotidien israélien de gauche Haaretz, Amira Hass, et une équipe de la chaîne de télévision du Qatar Al-Jazira. «Si ce bateau tente une action provocante, effectivement nous l’intercepterons», a prévenu lundi le vice-ministre des Affaires étrangères Danny Ayalon.

Israël-Autorité Palestinienne : différencier le David du Goliath

L’autorité palestinienne a critiqué le récent plan israélien de construire des unités de logement au-delà de la ligne verte, en disant que la mesure est une raison de plus de faire appel à l’Organisation des Nations Unies pour la reconnaissance d’un état palestinien. « Les actions et les décisions du gouvernement (de premier ministre Benyamin) Netanyahou sont honteuses et invalides » a déclaré le porte-parole de l’AP, Nabil Abou Roudeina. « Toute la politique du gouvernement israélien de s’installer sur des terres palestiniennes (…) est inacceptable parce qu’elle est illégale. » Visant à atténuer la pénurie de logement dans le pays, le ministère de la construction et du logement a publié lundi un appel d’offres pour la construction de 6 900 unités de logement à travers le pays, y compris 336 unités dans les implantations de Beitar Illit et de Karnei Shomron en Judée Samarie. « Cette décision est une raison de plus pour nous de se tourner vers le conseil de sécurité et de demander la reconnaissance d’un état palestinien, et d’atteindre la pleine appartenance à l’ONU, » a déclaré Abou Roudeina. Abou Roudeina a appelé la communauté internationale à « prendre ses responsabilités et à annoncer des positions claires sur la politique israélienne de ‘colonisation’, qui non seulement nuit au processus de paix israélo-arabe, mais aussi à la paix dans le monde entier. »

Une des grandes erreurs du monde occidental est le déclenchement d’un nouveau type de guerre : celle des médias. En quelques années, elle a même réussit à discréditer le droit souverain des États à se défendre. Le terrorisme ne suffisant pas à atteindre tous les objectifs fixés, il s’est créé une nouvelle arme de combat. Au 21e siècle, une vaste campagne de relations publiques a ainsi convaincu une majorité de personnes que les terroristes sont, en fait, des combattants de la liberté, que les États qui les parrainent et ses organisations sont légitimes. Cette nouvelle arme de combat est la plus dangereuse, elle travestit les valeurs et change l’ordre mondial. Les États Musulmans, la Ligue arabe, et de nombreux autres États, cherchent un soutien au pouvoir hégémonique au nom de la justice et de l’égalité. A l’inverse, tout État qui combat le

terrorisme et les crimes contre l’humanité – comme les tirs de missiles sur les communautés civiles, l’envoi de voitures piégées ou des boycotts qui tentent de détruire les économies de ceux qui cherchent l’auto-défense – sont systématiquement étiquetés comme criminels, et accusé de crimes de guerre. Ainsi, le terrorisme palestinien est vu comme “David”, alors qu’Israël, en tentant de se défendre, est devenu “Goliath” – un des succès les plus ingénieux de cette campagne mondiale de manipulation médiatique et de relations publiques multi-facettes. En 1948, un petit village juif, reconnu par l’ONU comme un État libre et indépendant, avait été attaqué par sept armées arabes en même temps, son image médiatique était alors bien celle de “David”. Victorieux, souverain, cet État est devenu en quelques années le Goliath de

l’opinion publique à grand renfort de coups médiatiques et de désinformations, assimilant la force au mal et le bien à la faiblesse. Les perdants sont devenus ainsi les “David”, usurpant l’identité légitime d’Israël. Cette campagne médiatique a ainsi travesti les rôles et impose une vision erronée et manipulée sur le droit d’Israël à l’autodéfense. Je ne serais pas surpris si, dans le cadre de cette campagne de relations publiques, les Palestiniens n’interpellaient prochainement les Nations Unies avec la requête suivante – supprimer le texte de la Bible qui stipule que Goliath est un Philistin, affirmant que cette référence constitue une incitation. Par le Dr David Altman. Vice-président principal du Netanya Academic College et vice-président du Centre de S. Daniel Abraham pour le dialogue stratégique. – Adapté en français pas JSSNews

Une chanson connue qui ridiculise une fois de plus la direction palestinienne, le monde entier sachant pertinemment que les problèmes en Asie, en Afrique, en Amérique du Sud et surtout dans les pays arabes n’ont strictement rien à voir avec Israël.

Le Fatah s’est également prononcé contre la mesure, en disant que le gouvernement de Netanyahou « insiste sur la construction des implantations et détruit la paix dans la région, rejetant ainsi le calme et la stabilité. » « La décision israélienne de poursuivre la construction dans les territoires occupés appuie l’intention de la direction palestinienne de se tourner vers l’ONU, » a déclaré le mouvement dans un communiqué. Selon le Fatah, « Israël lui seul assume la responsabilité du blocage du processus de paix avec sa violation totale du droit international et son insistance a poursuivre les constructions, la confiscation des terres, et la judaïsation de la ville sainte (Jérusalem). » Entre temps, un haut responsable du ministère syrien des affaires étrangères a annoncé lundi que son pays « reconnaît un état palestinien le long des lignes de 1967 avec Jérusalem Est comme capitale, basé sur les droits légitimes des palestiniens. » Assad en est là, obligé de chercher le soutien des palestiniens pour distraire la région et le monde entier de sa meurtrière répression des aspirations démocratiques du peuple syrien. Le responsable a dit à l’agence de presse locale que « la Syrie a l’intention de traiter les bureaux de l’OLP à Damas comme une ambassade officielle à partir de maintenant. » Selon l’article, le président palestinien Mahmoud Abbas a salué l’annonce syrienne… Mais rien n’a été dit concernant les bureaux du groupe terroriste islamiste Hamas, officiellement pressent eux aussi à Damas, et d’une quelconque reconnaissance, le Hamas étant de fait le dirigeant de la bande de Gaza, et, rappelons-le, le gagnant officiel des précédentes élections palestiniennes.


L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

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D’autres sanctions plus sévères sont inévitables si l’Iran poursuit sa voie actuelle cès de l’Iran aux services financiers internationaux, aux transports et aux assurances commerciales sont le meilleur moyen pour les pays concernés d’interrompre ce marché noir.

Certains rapports des médias ont récemment annoncé que si des sociétés à vastes conteneurs suspendaient les opérations dans plusieurs ports iraniens cela pourrait également interrompre les chargements légaux vers l’Iran. Quelles mesures sont prises – ou quels types de sanctions sont évités – pour ne pas porter préjudice aux Iraniens ordinaires ?

Les sanctions visent à être une limite, pas une amende ; elles ne ciblent pas l’ensemble de l’économie iranienne • Les dommages collatéraux sont dus au fait que Téhéran mêle les importations civiles légitimes aux importations illicites • Les sanctions sur l’accès de l’Iran aux services financiers internationaux, aux transports et à l’assurance commerciale sont le meilleur moyen d’interrompre son commerce de marché noir L’Iran a produit plus d’uranium enrichi chaque mois cette année, qu’il n’en produisait l’année dernière, même s’il n’a aucun usage civil courant pour son stock • Les sanctions ont limité la capacité de l’Iran à utiliser des centrifugeuses plus avancées en plus grand nombre L’Iran a été réprimandé avec quatre séries de sanctions de l’ONU et des mesures supplémentaires des Etats-Unis, de l’Europe et d’autres pays autour de son programme d’armement nucléaire présumé. Dans le cadre de cette interview, Mark Fitzpatrick, directeur du programme de non-prolifération et de désarmement à l’Institut International pour les Études Stratégiques (IISS) à Londres, s’exprime sur les sanctions et leurs répercu ssions. Les sanctions sur l’Iran visent à retarder son programme d’armement nucléaire présumé et son programme de missile balistique. Comment fonctionnent-elles ? Qui ciblent-elles ? Les sanctions sur l’Iran, en particulier celles adoptées par l’ONU et l’Union européenne, visent à être une limite et non une amende. Les sanctions ne ciblent pas l’ensemble de l’économie iranienne. Elles visent à limiter la capacité de l’Iran à se procurer et à importer des matériaux d’autres pays qui contribuent aux programmes dans les domaines du nucléaire et des missiles

dont l’ONU a exigé la suspension. Les individus et les sociétés impliqués dans ces programmes illicites ou qui y contribuent directement ou indirectement en offrant des services de transport, d’assurance et financiers sont également concernés par ces sanctions. Elles pénalisent l’Iran, évidemment – l’espoir est que l’Iran réalise que le prix qu’il paie pour enrichir est trop élevé. Mais, une fois que l’activité illicite prend fin, la raison derrière les sanctions n’aura plus lieu d’être. En quoi ces activités sont-elles illicites ? Quelle loi internationale interdit l’enrichissement de l’uranium ou le développement de missiles balistiques ? Bien que l’enrichissement ne soit pas interdit par le Traité de non-prolifération nucléaire, de même que le travail sur des missiles balistiques n’est interdit par aucun traité, six résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU ont créé une nouvelle structure juridique internationale. Chaque jour où l’Iran poursuit ses activités, interdites par l’ONU, est un autre jour d’illégalité de sa part. Les résolutions de l’ONU ont fait suite à une découverte de l’Agence Internationale de l’Energie Atomique (AIEA) selon laquelle l’Iran avait violé ses obligations de garanties, ce qui a provoqué un manque de confiance quant aux fins « exclusivement pacifiques » du programme nucléaire iranien. Quelles sont l’idée et la logique consistant à cibler l’accès de l’Iran aux sociétés de transports, aux services bancaires, aux assureurs internationaux ? L’Iran cherche à éviter l’interdiction de l’ONU sur la coopération avec ses programmes sensibles d’armement nucléaire et de missiles balistiques en achetant des matériaux au marché noir. Mais, Téhéran doit tout de même payer pour ces marchandises et les transporter. Les sanctions ciblant l’ac-

Les sanctions sont manifestement un outil brut ; personne ne prétend qu’elles ne touchent que les individus et les entités ciblés. Dans ce cas, ce sont les sanctions du récent gouvernement américain sur les ports de Tidewater – entreprises contrôlées par les Gardiens de la révolution qui gèrent près de 90% de toutes les importations iraniennes – qui ont incité certains trains de marchandises à se délester de leur activité iranienne. Les dommages collatéraux sont dus au fait que Téhéran mêle les importations civiles légitimes aux importations illicites. Selon le gouvernement américain, la sanction fait en grande partie suite à l’utilisation par l’Iran des ports de Tidewater pour exporter des armes et du matériel y afférent en violation des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU. Les gouvernements qui ont appliqué les sanctions ont deux vastes outils pour renforcer leur influence : une meilleure précision en ce qui concerne les objectifs, pour ne pas porter préjudice aux entités innocentes, et un usage judicieux des licences pour permettre les exemptions. Par exemple, même les sanctions américaines, qui sont les interdictions les plus complètes, ont des exceptions humanitaires qui peuvent permettre l’importation autorisée de la nourriture et de médicaments américains en Iran. Les régimes de l’UE et de l’ONU ont également des régimes d’octrois. Quelles sont les principales différences entre les sanctions imposées par l’ONU et celles imposées unilatéralement par les Etats-Unis, l’UE et d’autres pays ? Les sanctions de l’ONU ciblent spécifiquement les activités associées aux programmes sensibles nucléaire et de missiles balistiques de l’Iran et autorisent les états à interdire un certain nombre de services financiers qui contribuent à ces programmes mais ne rendent pas telles restrictions obligatoires.

Les sanctions que l’UE a adoptées l’année dernière s’appliquent plus largement à l’interdiction de nouveaux investissements et du transfert de technologie dans les secteurs clés de l’industrie du pétrole et du gaz et imposent dans sanctions obligatoires aux assurances commerciales, aux services bancaires et aux transports. L’Australie, le Canada, le Japon et la Corée du Sud ont également adopté des mesures indépendantes qui dépassent celles des sanctions de l’ONU. Les mesures des Etats-Unis sont les plus vastes. Elles ciblent de plus en plus les secteurs de l’économie iranienne qui contribuent, même indirectement, aux programmes nucléaire et de missiles – tels que le secteur énergétique et financier de l’Iran – et elles ont de plus en plus une portée extraterritoriale. Il y a certains rapports contradictoires sur l’efficacité des sanctions. Une commission d’experts de l’ONU a récemment dit que les sanctions ont réussi à ralentir les programmes nucléaire et de missiles de l’Iran. Toutefois, d’autres experts disent que ces programmes progressent et se sont, en réalité, accélérés dernièrement. Quelle est votre estimation ? Manifestement, les sanctions n’ont pas mis fin aux programmes de développement nucléaire et de missiles. L’Iran a produit, en toute défiance, plus d’uranium enrichi chaque mois cette année qu’il n’en produisait l’année dernière, même s’il n’a aucun usage civil courant pour le stock. Mais les sanctions ont limité la capacité de l’Iran à utiliser des centrifugeuses avancées en plus grands nombres. L’année dernière le chef de l’Organisation de l’énergie atomique d’Iran a lui-même reconnu que les sanctions affectaient le programme d’enrichissement. Mais, pour mettre un frein aux activités illicites, il faudrait un moyen plus persuasif pour convaincre l’Iran de prendre une autre voie. Quels sont les maillons faibles dans le régime des sanctions en cours et que faudrait-il pour qu’elles soient efficaces ? Les sanctions qui ont le plus d’impact sont celles qui limitent la capacité de l’Iran à utiliser le système financier international pour soutenir le commerce illicite. Les sanctions des Etats-Unis et de l’UE qui couvrent les services financiers sont complètes. L’Iran s’est de plus en plus tourné vers d’autres pays, tels que la Turquie, qui a été récemment spécialement mise en garde par le Groupe d’Action Financière (GAFI) contre les risques de prolifération liés à cette activité. Si les

sanctions de l’ONU répondaient aux normes de l’UE consistant à rendre obligatoires les restrictions sur les services financiers, d’assurance et de transports, alors il serait bien plus difficile pour l’Iran d’exploiter les maillons faibles. L’universalité est la clé pour que ces sanctions soient efficaces. Où mènent les sanctions ? Le directeur général de l’AIEA, Yukiya Amano, a dit le mois dernier qu’il avait reçu de nouvelles preuves sur des dimensions militaires possibles du programme nucléaire iranien. Ce dernier rapport de l’AIEA peut-il entraîner de nouvelles sanctions ? D’autres sanctions plus sévères sont inévitables si l’Iran poursuit cette voie. Le travail d’enrichissement qui a entraîné la majorité des sanctions est assez inquiétant, parce qu’il donne à l’Iran un moyen de produire du matériel fissile pour des armes nucléaires. Mais, la preuve croissante d’un travail de développement en cours sur les armes nucléaires devrait susciter une inquiétude encore plus grande. Le refus de l’Iran à répondre aux questions de l’AIEA sur l’activité nucléaire liée apparemment à des armes incite le Conseil des gouverneurs de l’AIEA à trouver une autre preuve du non-respect de l’Iran de ses obligations de garanties. Telle preuve entraînera d’autres sanctions par d’autres pays, bien qu’il soit difficile de trouver un consensus au sein de l’ONU pour des mesures plus sévères. Mark Fitzpatrick Mark Fitzpatrick est le directeur du programme de non-prolifération et de Désarmement à l’Institut International pour les Études Stratégiques (IISS) à Londres. Avant d’intégrer l’IISS, Mark Fitzpatrick a travaillé au Département d’État des États-Unis, où il traitait des questions de non-prolifération. Durant sa fonction précédente, il était secrétaire assistant adjoint pour la non-prolifération (intérimaire), responsable des politiques qui traitent des problèmes de prolifération posés par l’Iran, la Corée du Nord, la Lybie, l’Irak, l’Asie du Sud et d’autres régions d’intérêt. Il est l’auteur de « La Crise Nucléaire Iranienne : Eviter les conséquences du pire scénario. « (The Iranian Nuclear Crisis: Avoiding worst-case outcomes) Mark Fitzpatrick, expert RéalitéEU Contact : +44(0)20 7379-7676 Fitzpatrick@iiss.org http://www.iiss.org


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Gilberto Bosques, le Schindler mexicain

Grâce au film “la liste de Schindler” de Steven Spielberg, nous avons connu les actions risquées réalisées par Oskar Schindler, pour sauver 1 200 Juifs de l´Holocauste Nazi. Cependant, bien peu d´entre-nous a entendu parler des actions du Mexicain Gilberto Bosques, homme qui sauva la vie de quarante mille personnes, durant l´occupation Nazie de l´Europe. Gilberto Bosques Saldivar fut le consul principal du Mexique en France, entre 1939 et 1944, et qui, répondant aux appels de sa propre conscience, a aidé depuis sa position diplomatique à fuir des Régimes Franquiste et Nazi, à des Républicains Espagnols, des Juifs de France, des Libanais, des Socialistes, Communistes… Entre lesquels plusieurs leaders politiques Européens et membres de la Résistance antifachiste signalés pour être envoyés dans les camps de concentration, et sauvés par l´octroi de résidence et de nationalité Mexicaine, offertes par le Consul Gilberto Bosques. En 1940, au moment où Paris est sur le point d´être prise par les Allemands, Bosques sort de la capitale, et après plusieurs périples Dans le nord du pays, puis à Bayonne, il décide de situer le Consulat Mexicain à Marseille, port de la zone du Gouvernement de Vichy, et libre d´Allemands. Sa première préocupation a été de défendre les Mexicains résidents en France Libre, mais, après avoir été informé des atrocités de la persécution Nazie, il étendit aussi sa protection à d´autres groupes, tels comme les Libanais et les Réfugiés Espagnols. De fait, il est à penser que que ce fut Bosques qui avait convaincu le Président Mexicain Lázaro Cárdenas d´ouvrir les frontières du pays, aux Républicains. L´avalanche de réfugiés cherchant un visa Mexicain était tellement grande, que le Diplomate dut louer deux châteaux (ceux de Reynarde- capacité pour 800 personneset de Montgrand -capacité pour 500 personnes, surtout des femmes et des enfants-), pour loger les réfugiés, pendant le moment où leurs papiers étaient mis en règle, avant leur sortie vers le Mexique.

Plus tard, il louera aussi plusieurs bâteaux qui sortiront du port de Marseille, transportant Juifs et autres persécutés, vers les ports Africains, escales où les voyageurs continuaient ensuite vers le Mexique, le Brésil ou encore l´Argentine. Durant ces deux années et grâce à son aide, un peu plus de 40 000 visas furent remis à ceux qui désiraient fuir de la tiranie Nazie.

berto Bosques qui était ovationné, le meilleur exemple du caractéristique esprit de la solidarité des Mexicains.

À leur accorder un visa Mexicain, les Autorités Françaises laissaient les réfugiés sortir de la France Libre, considérant qu´ils ne seraient plus un problème politique pour elles.

Aider le Prochain de sa Communauté, de sa société, de sa nation, quand celui-ci s´est converti en un paria, un exclus, et au risque de se voir soi-même méprisé, insulté ou même mettre sa propre vie en danger, est prendre une position morale d´une valeur incalculable, tel un rayon de soleil ou un vent d´espérance apparaissant au milieu d´un Royaume de Terreur tout-puissant.

Bien plus compliqué fut le cas de la Communauté Juive. Bien que le Consulat avait caché, remis des documents et des visas à de nombreux Juifs, il était bien plus difficile de les faire sortir du pays. Depuis Marseille, Bosques dut aussi faire face au harcèlement des autorités Françaises pro-Allemandes, à l´espionage de la Gestapo, du Gouvernement de Franco et de la Représentation Diplomatique Japonaise qui possédait ses bureaux dans le même immeuble que celui de la Délégation Mexicaine. Finalement, le Mexique rompt ses relations diplomatiques avec le Gouvernement de Vichy, et c´est le propre Gilberto Bosques qui présenta le document. Peu après, le Consulat fut assailli par la Gestapo, confisquant jusqu´à l´argent alloué pour financer les opérations de sauvetage. Bosques et sa famille (son épouse, María Luisa Manjarrez et leurs trois enfants: Laura María, María Teresa et Gilberto Froylán de 17, 16 et 14 ans), ainsi que le personnel du Consulat (43 personnes au total), furent envoyés à Amélie-Les-Bains. Ensuite, violant toutes les normes diplomatiques, ils furent envoyés en Allemagne, au village de Bad Godesberg, et enfermés dans un “Hôtel-prison”. Bosques fut finalement libéré et retourna au Mexique en avril 1944. Des milliers de réfugiés Républicains Espagnols et Juifs l´attendaient à la Gare de la capitale, pour le recevoir dans un joyeux vacarme et le porter sur leurs épaules. C´était le Mexicain Généreux et Libre représenté par Gil-

Une des plus grandes leçons de la vie que nous enseigne Bosques est que, même si les actions sont difficiles, il n´est pas impossible de maintenir la décence de l´un, face à la malhonnêteté morale.

Le 4 juin 2003, le Gouvernement Autrichien inaugurait dans le district 22 de Vienne, un passage dédié à la personne de Gilberto Bosques. Les personnes qui connaissent la biographie de Gilberto Bosques, l´appellent habituellement “El Schindler Mexicano”. Tout comme Schindler est représenté par la liste de travailleurs Juifs sauvés, Bosques est rappelé par ses visas de la Liberté: les visas du Consul Bosques. 11 mexicains furent victimes directes de l´Holocauste Nazi. Cinq d´entreeux sont considérés comme décédés, 4 comme disparus, et n´existent des preuves irréfutables d´avoir survécu à l´enfer Nazi, que dans le cas des deux dernières personnes. Par Geoland – JSSNews



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Parachat Matot et Mass’é : Vigilance de la parole et pérégrinations d’Israël La paracha Matot vient d’emblée nous mettre en garde contre les Nédarim et les Chévouot–les vœux et serments qu’un homme ou une femme serait amené à faire pour une raison ou une autre. « Lo yahél dévaro! » il ne profanera pas sa parole! La crainte étant que ce vœu soit évidement prononcé en vain… Dans La Guemara Nédarim, Rabi Meir nous enseigne qu’il vaut mieux ne pas s’engager à faire une promesse de don de crainte de ne pas s’en acquitter…mais pour Rabi Yéhouda, lui pense au contraire, qu’il vaut mieux faire un don et s’en acquitter sans tarder!. Parfois un homme est entrainé par «son cœur» dans une vente aux enchères de charité notamment, et se rend généreusement acquéreur d’une mitzva c’est à lui que s’adresse le conseil de rabi Yéhouda! ( D’ailleurs autant mettre à profit le prochain mois d’Eloul pour solder nos comptes..) « Il ne doit pas violer sa parole : tout ce que sa bouche a prononcé, il doit l’accomplir ! » Ce verset nous met engarde contre toute promesse intempestive ou paroles que nous émettons, celles-ci ne doivent jamais êtres vaines, car la parole a un côté sacré. Parler de manière inconsidérées pourrait susciter des forces négatives sur l’ensemble du monde et nous en particulier, sans compter les anges accusateurs que nous créons là-haut !. Par contre lorsque nous choisissons nos mots avec prudence et retenue, ils génèrent des sentiments positifs et élevés sur l’ensemble de la société. Le Maître de la Cabale le Ari zal affirme que chaque mot prononcé ici bas, a une répercussion là-haut et fini par se réaliser par la Volonté d’ HM. Nous avons donc le pouvoir de créer des influences positives ou négatives

par notre bouche à l’égard de notre prochain par exemple. Par ailleurs on nous apprend dans le Talmud Méguila que nous ne devons pas prendre à la légère les bénédictions venant de la part d’un homme «ordinaire», car elles peuvent en effet faire des merveilles. D’ailleurs à ce propos Rachi disait à ses élèves, la Bénédiction : il faut la prendre de tout homme… Par contre le Talmud Kedouchin nous met en garde de ne pas injurier un sourd, ni même l’Autorité Suprême, ou un Premier Ministre, ni même encore maudire les chefs de ton peuple.. etc. ». Bien que nous ne connaissons pas la force d’une malédiction, ni ses effets à l’égard d’une personne, nous savons que même si elle provient d’un mécréant, il peut arriver qu’elle ait un impact…. Par conséquent plus un homme est considéré, plus fort est l’impact de ses mots… Les Sages disent qu’une personne qui est prudente dans ses paroles, préserve ainsi la force des mots pour aider son prochain. Dans Mass’é, la Thora commence par énumérer les quarante étapes de campement des enfants d’Israël, tout au long des 40 ans dans le désert. La précision de chaque nom, de chaque lettre, contient un riche enseignement. Ce n’est pas par hasard que la Thora énumère une série d’emplacements géographiques inconnus jusque là!. Mais c’est là au contraire, alors que nous pourrions penser que cela est dénué de signification, qu’il faut y chercher une information cachée dans ces noms, et ayant une valeur pour toutes les générations futures!. Rachi nous apprend que la Thora a choisi de nous énumérer les quarante deux étapes, pour bien mettre en évidence la bonté infinie de D-ieu avec le peuple d’Israël. Nous remarquons qu’entre la faute des explorateurs, pour laquelle HM décidera que toute la génération devra périr dans le

Aspartame : la Commission européenne veut une nouvelle DJA

En mai dernier, Réseau environnement santé (RES) réitérait sa demande d’annulation de l’actuelle dose journalière admissible (DJA) applicable à l’aspartame, en raison de la nature douteuse et obsolète des études sur lesquelles elle repose. Dans un courrier daté du 6 juillet, et adressé au RES, la direction générale de la santé et des consommateurs (DG SANCO) de la Commission européenne a finalement reconnu l’urgence de fixer une nouvelle DJA fiable. Précédemment programmée pour 2020, avant d’être avancée à 2012, une réévaluation complète est ainsi prévue pour septembre 2011. Par ailleurs, la DG SANCO informe que la Commission a transmis une copie des dossiers qui sont en sa possession à l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), ainsi qu’à mesdames Lepage et Liotard et monsieur Chountis, membres du Parle-

ment européen. Les études originales ont également été transmises à l’EFSA par l’industrie, suite à un appel public pour recueillir des données scientifiques. S’engageant à veiller à ce que l’ensemble des études fournies sur la problématique de l’aspartame soient prises en compte, RES appelle l’EFSA à clarifier « la question des conflits d’intérêt au sein du comité additifs de l’EFSA ». Ainsi, selon le dernier rapport du Corporate Europe Observatory (CEO), 11 membres sur 20 sont en situation de conflits d’intérêt au sens de l’OCDE. Parmi eux, figurent notamment le président John Larsen, le rapporteur Gerrit Speijers et les membres Jürgen König et Iona Pratt, tous ayant tu leurs liens d’intérêt avec l’ILSI, un organisme de lobbying de l’industrie agroalimentaire. Cécile Cassier

désert et la mort de Aaron, c’est-à-dire durant 38 ans, on ne constate que 20 étapes. HM aurait pu décider de les faire errer dans le désert un peu plus longtemps ! Or, nous dit Rachi ceci n’est pas la manière d’agir du Tout Puissant ! Car bien que les Bné Israël fautent, se rebellent et ne respectent pas HM, il les accompagne toujours, et les protège avec la même affection et cet avis est partagé par Rabinou Bahyé. La Providence divine intervient en toute circonstance et en tout lieu, c’est ce que nous explique Rachi. Maimonide abonde dans ce sens et explique dans le « Guide des Egarés », que D-ieu a donné l’ordre à Moise de mentionner dans la Thora ces 42 étapes désertiques, pour ancrer dans le cœur de chacun des enfants d’Israël, la foi dans les miracles prodigués par HM ! La mort de Moise devait correspondre à la fin de la guerre avec Midian, c’est en effet ce que l’Eternel dit à Moise : « Après que tu feras la guerre contre Midian, tu rejoindras tes pères… » Or Moise aurait pu gagner du temps en ajournant cette bataille, mais bien au contraire, il ordonna au Bné Israël de lancer l’offensive !.

Les 42 étapes du désert n’ont d’autre but en effet, que de raffermir la foi d’Israël dans la providence divine et montrer que sa main est présente dans tous les événements du monde, depuis la création de l’univers jusqu’à la fin des temps ! Dans cette paracha il est écrit également que Moise se mit en colère…contre les chefs de l’armée en leur disant : «Pourquoi avez-vous laissé en vie toutes les femmes de Midian?». Il faut savoir que la colère qui est «très mauvaise conseillère» reste une réaction naturelle chez un homme, simplement disent les Sages, il doit s’efforcer de la corriger. La Thora nous révèle qu’aucune colère

ne peut être justifiée et que l’homme énervé a toujours tort.. Le Rav Emanuel Chouchena zal qui avait consacré sa vie à l’enseignement, s’inspirait toujours de ce qui était écrit dans le Talmud et disait : «Pour rappeler à l’ordre des enfants ou des élèves, il est permis de faire un « simulacre de colère », mais du visage uniquement…». Rébi Haim Louzatto zatsal écrit : «Que le cœur de l’homme coléreux se détache et ne reçoit plus de conseils, et serait même prêt à détruire le monde entier…si cela lui était permis ! Car son esprit dit-il n’a plus d’emprise sur lui !» Ceci est tellement vrai, que très souvent à l’issue d’un comportement coléreux, on regrette ses agissements ! « Je m’excuse! » que de fois ne l’a-ton dit ou entendu…

La colère est d’ailleurs très révélatrice de nos « Midot rahot » nos points de caractères négatifs ! C’est pourquoi les Sages de la Guemara disent : «On reconnaît la vrai personnalité d’un homme grâce à ce que nous révèlent trois choses : Kaâsso, Kisso, Kosso – qui veulent dirent : Sa colère, son argent, et son verre (sa réaction lorsqu’il est éméché..). L’avis de la Guemara Nedarim22a est plus sévère encore puisqu’il est dit que : « Celui qui se met en colère, les forces de l’enfer le dominent ! » Pour rav Ouna, le coléreux chasse la Chékhina – La présence divine qui repose en principe sur chaque l’homme. Pour le Zohar akadoch la colère est destructrice ! Cette Mida – ce défaut vient endommager toute l’âme et la remplace même… par une âme impure ! Alors quelle serait le remède «magique» pour surmonter cette épreuve de la colère? Le Rav Dessler zatsal écrit qu’il faut un certain temps pour s’en débarrasser! Toutefois, il a une solution immédiate, confirme le Rav Salanter : «Maavir al midotav » littéralement : passer sur ses Midot ! En d’autres termes s’appliquer

pour ne plus agir en fonction de nos pulsions immédiates ou nos traits de caractère, mais plutôt en se comportant selon sa véritable conscience, en faisant preuve de retenue. Nos actes disent les sages ne doivent plus êtres à la merci de nos tendances abruptes comme la jalousie, la colère, l’orgueil ou encore l’égoïsme. Nous devons prendre l’ascendant sur ceuxlà grâce à notre réflexion et notre conscience. Celui qui est disposé à concéder, « à passer sur ses Midot » affirment les sages de la Guemara Roch Achana 17a, alors pour celui là «On passera (ou effacera) «du ciel» toutes les fautes qu’il aura commises!». Dans la plupart des livres de Moussar il est écrit que pour «travailler» durablement sur sa colère et les dégâts qui pourraient en découler, l’homme devra développer une autre Mida –ou trait de caractère : celle de la Anava- l’Humilité, parce que souvent la colère n’est autre que le signe de son égo blessé. Moise notre Maître fut l’homme le plus humble que la terre ait porté dit la Thora ! Comme nous l’avons mentionné plus haut, 42 étapes ont été nécessaires pour préparer les enfants d’Israël à la conquête de la Terre Promise. Le Ari Zal akadoch, le maître de la Cabale, affirme que chacune de ces étapes représentait un degré d’élévation spirituelle!. Nous devrions nous en souvenir un peu plus souvent pour êtres meilleurs qu’hier et moins que demain…en gardant toujours à l’esprit ce conseil du Rav Emanuel Chouchana zal : «N’oubliez pas que la Thora ne part jamais en vacances..». Bonnes vacances quand même! Yvan Lellouche



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Qui est donc le patron de l’espionage de tsahal ? L’arme d’Israël contre la Portrait d’AVIV KOCHAVI toxicomanie : Tsahal versité Harvard aux États-Unis. En 1998, il a débuté son mandat en tant que Commandant de la Brigade Est de l’Unité de Liaison Libanaise.

Le Général de Division Aviv Kochavi est né en 1964 et s’est enrôlé dans la Brigade Parachutiste en 1982. En 1987, il a servi en tant que Commandant de Compagnie dans le Bataillon ‘Efa’ de la Brigade Parachutiste, un rôle qu’il a continué à remplir en 1988 lorsqu’il est devenu Commandant de Compagnie dans le Bataillon de Reconnaissance Parachutiste. Entre 1989 et 1993, il a terminé une Licence de Philosophe

et a été diplômé du Lycée Militaire, avant d’être nommé officier des opérations dans la Brigade Parachutiste en 1993. En 1993, il a dirigé le Bataillon ‘Peten’ de la Brigade Parachutiste, un rôle qu’il a rempli pendant plus d’un an avant d’être nommé Commandant de la Base de Formation de la Brigade Parachutiste. Entre 1996 et 1997, il a obtenu un diplôme de Masters à l’Uni-

Entre 1999 et 2001, il a dirigée la brigade de réserve de la Brigade Parachutiste, à la suite de quoi il a servi en tant que Commandant de la Brigade Parachutiste pendant plusieurs opérations dont l’Opération Rempart. En 2003-2004, il a dirigé la Formation de Feu de la Brigade Parachutiste avant d’être nommé Commandant de la Division de Gaza, qu’il a dirigée pendant le désengagement et l’Opération Pluies d’Été. En 2006, il a obtenu un diplôme de Masters de l’Université John Hopkins aux États-Unis et en 2007, il a débuté son mandat de Chef de la Branche des Opérations, au cours duquel il a planifié et participé à l’Opération Plomb Durci. Le Général de Division Kochavi est marié et père de trois enfants. http://blogtsahal.wordpress.com

Boeing Bell : Tsahal se paye un redoutable hélicoptère-avion

La jeunesse d’Israël n’échappe pas à « ce fléau venu d’ailleurs ». Du Hachisch et plus, il est, désormais fréquent que les jeunes passent à l’alcool. Bière et Vodka semblent actuellement, recueillir leurs suffrages, vu leur consommation, en augmentation constante, au cours de soirées, fêtes, réunions, etc… Il ne sert à rien d’ergoter sur les causes de ce mal endémique, stress, mimétisme de l’étranger, rite initiateur et invitatoire, désir de faire comme les autres, etc… La liste serait longue et ne servirait pas à grand-chose. L’Europe et les USA sont obligés, pour combattre le mal de faire appel aux médecins, aux psychologues, bref, la médicalisation est incontournable et entraîne la marginalisation des individus concernés Sauf cas pathologiques rares et singuliers, Israël dispose d’une arme redoutable qui, plutôt d’exciter la jalousie des pays concernés, devrait au contraire inspirer à leurs dirigeants une thérapie naturelle, éducative et efficace : un service militaire de durée assez longue pour permettre à ces jeunes atteints par la recherche des paradis artificiels de rompre avec les habitudes.

Un équipage composé d’anciens membres d’escadons d’hélicoptères et d’autres militaires israéliens est revenu en Israël, après un mois de vols et de formations visant à tester le nouvel avion militaire V-22 dans toutes les situations possibles. Le Boeing-Bell V-22 Osprey est un appareil de transport hybride de conception américaine ; il s’agit d’un avion de transport militaire présentant des caractéristiques propres aux hélicoptères dans les phases d’atterrissage et de décollage. « Notre objectif était de tester l’adéquation de l’avion aux besoins de l’Armée de l’Air« , a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod, de la Division de l’Armement de l’Armée de l’Air Israélienne.

d’atterrir à la façon d’un hélicoptère et de voler en haute altitude et à une vitesse élevée à la façon d’un avion, et il est certainement précurseur de par sa technologie moderne. « L’avion vole à une vitesse deux fois supérieure à la vitesse moyenne d’un hélicoptère, et il offre confort et sécurité en vol », a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod.

Après deux semaines au cours desquelles les pilotes ont appris le fonctionnement de l’avion de manière approfondie dans une base du corps des Marines américains en Caroline du Nord, ils ont pris leur premier envol de façon totalement autonome. « Nous avons essayé de tester l’avion dans des situations difficiles : de nuit, haute altitude et dans des conditions de mauvaise visibilité. Sans l’ombre d’un doute, cet avion est précurseur dans de nombreux domaines. »

Au cours des tests de l’avion, les membres du Quartier Général du corps aérien ont examiné des opérations passées qui se sont déroulées au-delà des lignes ennemies et ont tenté d’imaginer l’influence qu’aurait pu avoir le V-22 s’il avait participé à ces opérations. « Il aurait changé les règles du jeu et créé un changement considérable. Nous serions rentrés dans des zones auxquelles nous ne pensions pas pouvoir accéder. Ceci dit, il y a de nombreux domaines qui n’auraient pas été affectés du tout », a dit le Lieutenant-colonel Nimrod. Bien que l’avion ne soit pas furtif, il est considéré par les spécialistes comme un avion capable « d’échapper aux menaces habituelles lorsqu’il vole en haute altitude et à vitesse élevée. Si, dans le pire des cas, l’avion est touché, il peut continuer à fonctionner normalement grâce à ses nombreux systèmes de secours. »

L’avion V-22 permet de décoller et

Bien que l’avion soit hybride et rem-

plisse les fonctions de deux appareils différents, le Lieutenant-colonel Nimrod ne croit pas qu’il remplacera l’un d’eux. « Cet avion est un aéronef d’un genre nouveau qui permet de surmonter les difficultés à l’atterrissage rencontrées par l’avion et le manque de vitesse de l’hélicoptère. L’exécution de missions dans des endroits éloignés nous oblige à pousser les outils dont nous disposons à la limite de leurs capacités ». Il s’avère que l’intégration de la nouvelle technologie par l’Armée de l’Air, s’il est décidé d’acquérir l’avion, se fera sans trop de difficultés. « L’entretien de l’avion ressemble beaucoup à celui de l’hélicoptère Sikorsky CH-53 Stallion et n’est pas censée présenter de problème. Même la formation des techniciens sera similaire », a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod. « Comme dans les escadrons opérationnels de l’Armée Américaine, le noyau des futurs pilotes de l’avion sera constitué de pilotes d’hélicoptères, complété par des pilotes de transport. Les missions comprendront de nombreuses activités au sol à proximité des Forces Terrestres. Avec lesquelles les pilotes d’hélicoptère ont l’habitude de coopérer plus que quiconque. » http://blogtsahal.wordpress.com/

Car, c’est bien là l’essentiel ! Si le contexte social et familial qui a entraîné la déviance est maintenu, les thérapies les plus avant gardistes n’y pourront rien. Les pédo-psychiatres renommés d’Europe ou d’Amérique ont tous leurs cliniques. C’est-à-dire qu’ils disposent d’une micro société substitutive de la normale

pour tenter de combattre le mal. C’est précisément là qu’intervient le service militaire obligatoire, tel qu’il est pratiqué en Israël, probablement trop long puisque, d’une durée de trois ans et dont le principe a, malheureusement été abandonné par la plupart des pays du monde libre. Quand bien même, la présence « sous les drapeaux » durant 36 mois d’un jeune homme ou d’une jeune fille, pose de sérieux problèmes pour la poursuite d’études ou la volonté de fonder une famille, ce creuset où se retrouvent toutes les couches de la société est de nature, à « distraire » c’est-à-dire, détourner les jeunes vers d’autres horizons que ceux qui ont généré les problèmes dénoncés. Aucune famille, aucune structure éducative n’est en mesure de se substituer aux moyens dont dispose une armée pour intégrer ses jeunes. Cette extraction de la société matricielle et problématique est la seule thérapie viable car ne médicalisant pas le(ou les) individus concernés, elle n’engendre pas le sentiment de marginalisation qui facilite la récidive. C’est l’habitude qui fait le toxicomane, c’est l’habitude qui l’en sortira. Audelà de la drogue, le service militaire obligatoire est un facteur d’intégration nationale éprouvé. Sa remise en pratique en France, contribuerait, à coup sûr, à combattre efficacement tous les fanatismes et fondamentalismes, bien plus que toutes les réformes du…Code Pénal ! Arnold Lagémi


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Le Hezbollah a tente d’assassiner le Consul israelien en Turquie

Des sources a Washington ont annonce a un journal italien que la resistance kurde n’etait pas responsable de l’attentat de mai a Istanbul, mais que ce serait l’oeuvre du Hezbollah. Selon ces sources, l’organisation terroriste, qui aurait agit pour le compte de l’Iran, aurait tente d’assassiner le Consul israelien Moshe Kimhi dans le but de venger la liquidation de l’ingenieur nucleaire tue a Teheran. L’attentat qui a eu lieu juste avant les elections en Turquie est passe a travers la vigilance des israeliens. Huit personnes avaient ete blessees dans une exposion dans une zone de commerces et d’habitations dans la grande ville turque. Jusqu’alors cet attentat avait ete mit sous la responsabilite de la resistance kurde du PKK. Aujourd’hui le journal italien “Corriere della Sera” rapporte que la piste d’un attentat du Hezbollah visant le consul israelien Moshe Kimhi se renforce. Le journal italien, qui cite des sources a Washington, rapporte que le Hezbollah a tente de touche le Consul israelien en reponse a la liquidation de l’ingenieur nucleaire iranien Massoud Ali Mouhmadi. En Iran on pretend que le Mossad est l’auteur de cette liquidation. Au debut les renseignements turcs ont lie cet attentat au PKK mais il semblerait qu’ils doivent changer d’avis et que le Hezbollah soit responsable et qu’il aurait agit pour le compte de l’Iran.

D’apres le rapport, trois membres du Hezbollah sont arrives a Istanbul de Beyrout dans le but de realiser cet attentat. Ils auraient repere le chemin que fait le Consul tout les jours, de sa maison au consulat, avant de decider ou mettre la charge explosive. Par chance, ce jour la le chauffeur du Consul conduisait plus lentement que d’habitude. “En Turquie ont nie : c’est de la desinformation israelienne !” Les responsables du renseignement a Ankara nient ce rapport italien. “Israel mene une campagne de desinformation a travers differents journaux”. Lors de l’attentat 8 personnes avaient ete blessees, mais aucune organisation n’avait revendique ce dernier. D’apres le responsable de la police d’Istanbul, la charge explosive avait ete installee sur un velo electrique, a cote d’une ecole de formation de policiers et d’une station d’autobus proche d’un centre commercial dans le quartier d’Etiler, un quartier d’habitations et de commerces. D’apres des temoins, l’explosion se serait produite vers la fin de l’heure de pointe. “Quand j’ai regarde par la fenetre j’ai vue une fumee jaune et blanche et j’ai de suite pense qu’il s’agissait d’une explosion” raconte un temoin. Traduit de l’hebreu par David Goldstein de http://www.ynet.co.il

Des pilotes israéliens pour la première fois aux commandes du V-22

L’équipe de test israélienne de l’avion V-22 est retournée en Israël après deux semaines de vols et de formations. En plus des nombreuses heures de vol accumulées, les membres de l’équipage ont pu tirer d’importantes conclusions : « L’avion va changer les règles du jeu et pourra réaliser des actions dont nous n’aurions jamais rêvé. » Un équipage composé d’anciens membres d’escadons d’hélicoptères et d’autres militaires israéliens est revenu en Israël, après un mois de vols et de formations visant à tester le nouvel avion militaire V-22 dans toutes les situations possibles.

Le Boeing-Bell V-22 Osprey est un appareil de transport hybride de conception américaine ; il s’agit d’un avion de transport militaire présentant des caractéristiques propres aux hélicoptères dans les phases d’atterrissage et de décollage. « Notre objectif était de tester l’adéquation de l’avion aux besoins de l’Armée de l’Air« , a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod, de la Division de l’Armement de l’Armée de l’Air Israélienne. Après deux semaines au cours desquelles les pilotes ont appris le fonctionnement de l’avion de manière approfondie dans une base du corps des Marines américains en Caroline du Nord, ils ont pris leur premier envol de façon totalement autonome. « Nous avons essayé de tester l’avion dans des situations difficiles : de nuit, haute altitude et dans des conditions

de mauvaise visibilité. Sans l’ombre d’un doute, cet avion est précurseur dans de nombreux domaines. »

L’avion V-22 permet de décoller et d’atterrir à la façon d’un hélicoptère et de voler en haute altitude et à une vitesse élevée à la façon d’un avion, et il est certainement précurseur de par sa technologie moderne. « L’avion vole à une vitesse deux fois supérieure à la vitesse moyenne d’un hélicoptère, et il offre confort et sécurité en vol », a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod. V-22 vu de l’intérieur Au cours des tests de l’avion, les membres du Quartier Général du corps aérien ont examiné des opérations passées qui se sont déroulées au-delà des lignes ennemies et ont tenté d’imaginer l’influence qu’aurait pu avoir le V-22 s’il avait participé à ces opérations. « Il aurait changé les règles du jeu et créé un changement considérable. Nous serions rentrés dans des zones auxquelles nous ne pensions pas pouvoir accéder. Ceci dit, il y a de nombreux domaines qui n’auraient pas été affectés du tout », a dit le Lieutenant-colonel Nimrod. Bien que l’avion ne soit pas furtif, il est considéré par les spécialistes comme un avion capable « d’échapper aux menaces habituelles lorsqu’il vole en haute altitude et à vitesse élevée. Si, dans le pire des cas, l’avion est touché, il peut continuer à fonctionner normalement grâce à ses nombreux systèmes de secours. » Le noyau des

futurs pilotes de l’avion sera constitué de pilotes d’hélicoptères de formation Bien que l’avion soit hybride et remplisse les fonctions de deux appareils différents, le Lieutenant-colonel Nimrod ne croit pas qu’il remplacera l’un d’eux. « Cet avion est un aéronef d’un genre nouveau qui permet de surmonter les difficultés à l’atterrissage rencontrées par l’avion et le manque de vitesse de l’hélicoptère. L’exécution de missions dans des endroits éloignés nous oblige à pousser les outils dont nous disposons à la limite de leurs capacités ». Il s’avère que l’intégration de la nouvelle technologie par l’Armée de l’Air, s’il est décidé d’acquérir l’avion, se fera sans trop de difficultés. « L’entretien de l’avion ressemble beaucoup à celui de l’hélicoptère Sikorsky CH-53 Stallion et n’est pas censée présenter de problème. Même la formation des techniciens sera similaire », a expliqué le Lieutenant-colonel Nimrod. « Comme dans les escadrons opérationnels de l’Armée Américaine, le noyau des futurs pilotes de l’avion sera constitué de pilotes d’hélicoptères, complété par des pilotes de transport. Les missions comprendront de nombreuses activités au sol à proximité des Forces Terrestres. Avec lesquelles les pilotes d’hélicoptère ont l’habitude de coopérer plus que quiconque. » L’équipe israélienne sort du V-22. blogtsahal.wordpress.com


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Une parmi les Justes

Encore aujourd’hui, Thérèse Andrieux, habitant Périgueux et âgée de 84 ans, parle de son « petit Marcel ». À l’époque, il avait 14 ans et était juif. Elle n’avait qu’une petite année de plus et elle l’a accueilli avec sa mère sous son toit de 1939 à 1945. Thérèse Andrieux fait partie de la vingtaine de famille périgourdine qui ont été honorées hier lors de la cérémonie place du général Leclerc, pour avoir sauvé des juifs pendant la seconde guerre mondiale. Cet hommage s’inscrivait dans le cadre de la journée nationale à la mémoire des victimes de crimes racistes antisémites de l’Etat Français et d’hommage aux Justes. C’était l’occasion pour Thérèse Andrieux de se souvenir des années de son adolescence si particulière. Malgré le temps passé, le souvenir reste très fort. « Ma mère, Gabrielle Roche,

avait accepté de loger cette famille d’Alsaciens avec un enfant. Quand ils sont arrivés, ils ont dit qu’ils étaient juifs. « Et alors ? » leur a répondu ma mère qui les a cachés jusqu’à la fin de la guerre. » Gabrielle Roche décide que les parents de la famille Simler logeront dans une ferme de la famille à Eyliac. « Une fierté pour ma mère » Elle garde le jeune Marcel auprès d’elle et de sa fille, dans leur maison du cours Fénelon. « Il a poursuivi sa scolarité. Il allait au lycée Bertrand de Born. C’est là qu’il a passé avec succès son baccalauréat en 1945 », se remémore Thérèse Andrieux. Son « petit Marcel », revenu en Alsace à la Libération, s’inscrit alors à la faculté de médecine et réussit avec brio ses études. « Quand il est devenu médecin, c’était une grande fierté pour ma

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La barbarie n’a pas de visage vendeur.

mère qui avait fait en sorte qu’il n’interrompe pas sa scolarité ». La dame, désormais d’un certain âge, se souvient de ce climat de méfiance généralisé. « Je n’ai jamais dit à quiconque que nous hébergions des Juifs. Même à ma meilleure amie. Je ne lui en ai parlé qu’une fois la guerre finie. » La famille Simler doit aussi son salut au courage et aux bons réflexes de la maman de Thérèse. « En 1942, ma mère a refusé de signaler comme la loi le demandait qu’elle hébergeait des Juifs. Ainsi, sur leurs coupons d’alimentation, Marcel et ses parents n’ont jamais eu le tampon « Juif ». Reste la vigilance de tous les instants. La Périgourdine, qui à l’époque servait d’agent de liaison pour son frère passé dans le maquis, se souvient encore du bruit des tractions passant le soir, cours Fénelon. « On avait peur qu’il s’agisse de miliciens ou d’Allemands venant chez nous. On envoyait alors Marcel dans le grenier, et je prenais sa place dans le lit pour ne pas éveiller les soupçons ». Toute sa vie, Thérèse Andrieux a gardé contact avec lui. Au point qu’aujourd’hui, quand elle parle des enfants de ce Juif qu’elle a connu adolescent, on la sent aussi émue que quand elle évoque ses propres enfants et petits enfants. Et comme sa mère avant elle, il y a de la fierté dans sa voix, quand elle évoque le fils de Marcel qui, à son tour, est devenu médecin. Marie Gasc

260 jeunes juifs viennent soutenir Guilad Shalit

Et puis, pour la presse franchouillarde et bien pensante, les Fogel comme d’autres juifs, sont facilement et péjorativement étiquetés comme des colons. Pourtant sait-on que pour ces familles, le seul tort est d’avoir acheté légalement, à des Palestiniens, des logements ou des terrains dans une région qui fut et demeure, on l’oublie trop souvent, le berceau de la civilisation juive. Non, la barbarie n’a pas de visage, de frontière, ni de religion. On peut la rencontrer à Toulouse quartier Saint-Michel ou au cœur de Montpellier avec l’assassinat, ici et là, de deux gamins à qui la vie souriait. Deux gamins sans histoires, des modèles même pour les autres adolescents de leurs âges, victime de crapules, de lâches sans aucune âme. Au Moyen-Orient, aussi, où le conflit Israélo-palestinien, n’est pas seulement fait d’actes de guerre avec d’un côté les méchants juifs et de l’autre, des victimes innocentes, sans défense. Des hommes et des femmes palestiniens à qui l’Etat Hébreu aurait spolié leur terre. Ceux-là même qui, ici comme ailleurs, oublient que la terre appartient d’abord à celui qui a su la rendre meilleure. Sauf qu’ici, l’actualité c’est aussi, tous les jours et depuis plus d’un siècle, des victimes juives comme chrétiennes victimes de la barbarie d’extrémistes musulmans. Victimes de personnages sans foi, ni loi pour qui enlever la vie ne vaut pas plus qu’un paquet de cigarettes. Des crapules nourries par la haine et qui, sous le prétexte de servir une cause, n’ont d’autres motivations que la guerre contre Israël, car c’est en fait leur seul fond de commerce. La paix les ruinerait, la défaite ferait tomber les masques, les montrerait aux yeux de tous nus et ridicules… Comme toujours, ils vont prétendre combattre pour une Terre de Palestine, dont ils oublient qu’ils ont moins de légitimité à la posséder que d’autres qui étaient là des millénaires avant eux. Une terre rendue vivante et fertile par la seule volonté, la folie et la foi d’une poignée de «Fous».

Ce dimanche 17 juillet, les parents de Guilad Shalit se sont vu remettre un présent de la part de 260 jeunes juif venus de France.

délégué du fonds social juif unifié, cette mission avait pour but de «marquer le coup pour pouvoir après agir en France. »

ment citoyen français. Nicolas Sarkozy a exprimé à plusieurs reprises ses obligations dans la libération du jeune homme. »

A l’initiative du fonds social juif unifié et de l’agence juive, les organisations de jeunesse juive DEJJ, MOADON, YANIV et les Eclaireurs israélites se sont regroupés pour discuter du sort du jeune Guilad et de ce qu’ils pourraient bien faire pour l’aider lui et ses proches.

Le père de Guilad s’est exprimé ensuite en expliquant que « ramener un soldat qui a été envoyé par l’armée israélienne est une obligation pour l’Etat juif » et a rappelé que, lorsqu’il a été kidnappé, son fils effectuait son « service militaire obligatoire et non volontaire. »

Néanmoins, le père de Guilad est convaincu que la décision doit être prise ici en Israël, qu’il faut continuer à faire pression sur le gouvernement israélien. C’est la raison pour laquelle sa famille est présente depuis plus d’un an sous cette tente devant la résidence de Benyamin Netanyahou.

Ces mêmes jeunes se sont rendus à la tente de protestation des parents de Guilad Shalit pour leur offrir un tableau sous cadre, recouvert de nombreuses signatures et d’un message de soutien. Aux yeux de Jean-Charles Zerbib,

« Malheureusement, il n’y a pas d’autre option que l’échange de son fils contre des prisonniers palestinien », a-t-il souligné.

Ses parents ont enfin remercié tous ces jeunes pour cette délicate intention en espérant que leur fils puisse le voir prochainement.

« Le gouvernement français est lui aussi impliqué car Guilad est égale-

par Sarah Smadja

Des femmes et des hommes juifs qui en Europe ont déjà connu les pires horreurs et n’ont pu résister à toutes ces atrocités que parce qu’au fond de leurs âmes, une petite lumière, une promesse à Dieu, les éclairait en permanence : «demain sur la Terre promise nous serons tous réunis». Ils étaient de ceux-là, ils étaient de nos convictions, des innocents qui ont payé au prix fort la promesse faite… Une famille de chez nous qui a cru un jour que son destin était là-bas en terre d’Israël, plutôt qu’ici en terre de France où elle n’avait plus ses repères. Mais cette nuit du 11 mars 2011 l’inacceptable s’est produit : Udi et Ruth, 36 et 35 ans et trois de leurs quatre enfants Yoav 11 ans, Elad 4 ans et leur bébé de trois mois Hadas, ont été poignardés à mort par des fous sanguinaires. Les médias français n’en n’ont pas fait leur «Une». C’est bien connu, en France comme ailleurs, on ne montre pas les victimes juives de la barbarie des extrémistes, ce n’est pas

Ainsi, la localité d’Itamar en Samarie, celle qu’avaient choisie pour vivre en famille et en paix, Udi et Ruth, n’a pas été construite à la place d’un quelconque village arabe, mais bien à côté. En fait, hier comme aujourd’hui, leur faute aura été d’être juifs et de vouloir vivre en Paix sur la terre de leurs ancêtres et en conformité avec leur Foi . Une folle injustice d’autant si l’on sait que dans le même temps plus de 22% de la population israélienne est constituée de musulmans qui étudient dans les meilleures universités du Proche-Orient, travaillent, votent et sont même élus à la Knesset etc… Il est temps que les âmes bienpensantes de ce monde commencent à prendre ici comme ailleurs leurs responsabilités. Sinon demain… André Gérôme Gallego Directeur de la Publication Chers lecteurs, Il est journaliste du Journal Le Toulousain et m’a autorisée à publier son article que je vous ai mis en copie, non sans vous dire que dans le cadre de notre échange , il a ajouté ces mots qui brillent dans l’obscurité régnante: «Je suis seulement un humaniste qui a Israël inscrit en lui et depuis toujours... Mais je suis aussi un grandpère qui a peur pour ses enfants et ses petits enfants. Car conscient que ce qui se passe, semble t-il très loin de chez lui peut tout à l’heure se passer devant sa porte. Mais surtout révolté à la connaissance d’un tel acte barbare... Comment peut-on faire cela à des innocents. Il fallait l’écrire, le dire pour que demain on ne puisse plus dire <<je ne savais pas>>. «. Non amis, l’espoir n’est pas perdu : des hommes de bien se lèvent pour resister contre la nuit. Mr André Gérôme Gallego est l’un d’eux. © Rachel Franco


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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

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Sammy Ghozlan lutte contre la délégitimation et le boycott d’Israël pour projet et pour ambition de nuire à tout Israel, qu’ils s’agisse des israeliens de droite comme de gauche. mais ces derniers persistent à les défendre en invoquant leur droit à la liberté d’expression. C’est bien de cela qu’ils s’agit. La liberté d’exprimer la haine d’Israel, la destruction d’Israel, la discrimination d’Israel. Savent ils ce qu’ils font. Savent ils quoi ils exposent leur pays, leurs compatriotes, et les juifs de la diaspora.Ils enfoncent le poignard planté dans le coeur d’Israel.Ils disent défendre la démocratie, mais avec leur façon d’agir, il n’y aura plus de démocratie en Israel car il n’y aura plus d’Israel.

il faut lutter contre boycott cette idéologie d’exclusion, le Palestinisme, c’est, plus positivement, pour l’existence et la reconnaissance de l’Etat juif, dans toutes ses conséquences, qui sera la réponse la plus efficace à ces formes de ségrégations en bandes organisées, avec soutien des Stéphane Hessel, D.Cohn-Bendit, M.Rocard, Eva Joly et autres, le but de la campagne de boycott est avant tout de délégitimer Israël La campagne de Boycott d’israel est engagee par le Mouvement Boycott Desinvestisment Sanction ,avec à sa tête BARGHOUTI; Messieurs les opposants à la loi antiboycott, lisez les articles de ce site et vous seriz edifiés. Et peut être changerez vous d’avis. Voilà ce qu’il préconise:Boycott des produits, boycott culturel boycott universitaire,boycott sportif ...etc. «»Il y a de nombreuses façons de participer à la campagne de boycott 1. Renoncez à l’achat de produits israéliens. 2. Ecrivez des lettres de protestation aux chaînes de distribution qui présentent des produits israéliens dans leur assortiment. 3. Soutenez officiellement l’appel BDS palestinien en vous inscrivant sur le site BDS Palestine (http://www. bdsmovement.net), ou en y inscrivant votre organisation. 4. Constituez des groupes de consom-

mateurs critiques qui tiennent des stands d’information et mènent des actions de protestation devant les supermarchés. Informez-nous, ainsi que les médias, de ces activités afin de leur donner davantage de visibilité. 5. Soutenez financièrement la campagne BDS 6. Soutenez activement la mise en oeuvre de la campagne BDS (diffusion de documents dans votre cercle de connaissance, préparation de matériel d’information et d’objectifs de campagne, recherches, participation à des actions...).» « L’objectif avoué est de déligitimer l’Etat d’Israel, le mettre en difficulte en l’accusant d’apartheid, de crime de guerre, de colonisation...et cela marche d’autant mieux qu’ils trouvent leur argumentaire dans les journaux comme Haarets, dans les articles d’Akiva Eldar, ou Guideon Levy, ou dans les petitions d’universitaires, C’est ainsi que partout dans le monde, et notamment en France, dès 2009 des opérations commandos ont été organisées par les propalestiniens, et surtout anti sraeliens,, des français appartenant au parti communiste, au Nouveau Parti Anticapitaliste, au Parti Antisioniste, aux Verts, aux Ecologistes, à la gauche de l’echiquier politique français .y compris des syndicats de toutes les corporations,CGT, SNES etc.. Ils penetrent dans les grandes surfaces qui vendent des produits israeliens, qu’ils proviennent indistinctement du

territoire israelien ou des territoires palestiniens . Ce n’est pas tout, ils travaillent au niveau des hommes politiques, des universités, des artistes.Je vous rappelle le cas de la chanteuse Vanessa Paradis qui a annule son concert sous la menace des militants de boycott, et surtout avec l’appui des artistes et intellectuels israeliens.Parmi ceux qui ont annulé leurr concert nous trouvons Elvis Costello, Roger Waters des Pink Floyd, Carlos Santana, August Burns Red, feu Gil Scott Heron, Gorillaz Sound System, The Pixies, et Devandra Banhart Aujourd’hui ils menacent MOBY .Et le boycott de Veolia qui a abandonné sa participation à la construction du resau ferre et le tramway à Jerusalem. Et encore le boycott de la compagnie AGREXCO. Ils ont contraint les chaines de television à ne plus faire de publicite à SODASTREAM; Et n’oublions pas le boycott des cineastes israeliens, ou des troupes de danses folkloriques y compris dans des villes de province Chaque fois le BNVCA est monté au créneau, à la tela, chez Carrefour, Auchan,etc, auprès des mairies. Un maire a même ete condamné pur avoir decide de ne plus servir des produits en provenance d’Israel dans les cantines scolaires. Ils interviennent sans cesse et partout pour faire isoler Israel, sans tenir compte des israeliens qui soutiennent leurs actions. Ils ont

Tant bien que mal, et bien tard, la Knesset a vote une loi anti boycott. Et voilà que les mêmes montent au créneau,et s’élèvent contre cette loi . Ils espèrent que la Cour Supreme l’annulera ou l’amendera, comme c’est souvent le cas . J’ai entendu sur une radio juive parisienne,un grand spécialiste de droit constitutionnel et internatinal crier son opposition à cette loi, c’est le même qui me disait comment il conseillait lui même les palestiniens à déposer plainte contre son pays. Et la France n’est elle pas une démocratie. Pourtant il y a heuresement en France une loi dans son code pénal qui prevoit et réprime tout appel à boycott. C’est à partir de cette loi que le BNVCA a poursuivi en justice depuis 2009 tous les commandos boycott anti israel ,80 personnes sont déférees devant les tribunaux dans tout l’hexagone. Le BNVCA vient encore de deposer 34 plaintes distinctes contre les sites qui appellent au boycott d’Israel, et leurs hebergeurs pour complicité par fourniture de moyen. Le ministre de la justice, le ministre de l’intérieur,français ont soutenu notre action,et l’appuient officiellement .Plusieurs personnalités politiques, de droite comme du gauche ont exprimé leur opposition à ces actions de boycott., C’est pourquoi en France , nous ne comprenons pas ce coup de pied de l’âne que font aux français amis d’Israel, des israeliens, au pretexte de démocratie, ou de pretendue liberté d’expression. Ils devraient lire combien leurs déclarations, leurs articles de presse, leur position est apprécie des ennemis d’Israel.Ils sont applaudis par nos adversaires, mais ce qui est plus grave ,c’est qu’ils nous mettent en difficulté,nous juifs et amis d’Israel en France en particulier et en Europe en général.Par leur comportement, leurs déclarations, ils incitent à l’ntisémitisme .

Nous regrettons qu’aujourd’hui des Israeliens mettent en danger leur pays et leurs compatriotes.Quand on sait que c’est le palestinisme qui est la source essentielle de l’antisémitisme, Quand on sait que la propagande paestinienne s’est insinuée partout dans la société civile, y compris dans les livres d’histoire destinés aux collegiens et lycées, Cela nous aurait été indifférent, si nous n’etions pas concernés à plusieurs titres, et notamment car nos parents, nous enfants,nos neveux et nièces, nos amis, des membres de nos communautés locales, vivent en Israel, un Israel de l’espoir, un Israel juif.l’Israel refuge des juifs si longtemps martyrisés. Le boycott ne touche pas seulement les produits provenant des territoires palestiniens ou pretendus sous leur autorité. Ils touchent Israel même. Rappelons nous ces univesitaires qui appellent au boycott des universites israeliennes. C’est pourquoi je considére que ces pretendus defenseurs de la liberté d’expression se fourvoient;et se tirent un balle dans le pied qui ricochent dans la tête du juif de diaspora. Tant que chez les palestiniens, chez les arabes on ne trouvera pas des individus, ou des groupes faisant preuve de libre arbitre, et défendre les positions des juifs et des israeliens, comme le font les israeliens et les juifs en faveur des palestiniens, la paix ne pourra arriver. Si par naiveté, inconscience,des israeliens continuent de travailler, d’agir contre les interets de leur pays, nous ici en France nous pourrons baisser les bras, et laisser le venin se répandre partout. Nous cesserons toute action en faveur d’Israel.Car nous partons du principe que charité bien ordonnee commence par soi même. Nous attendons que cette loi soit approuvée,et qu’elle sanctionne enfin ceux qui appellent au boycott de leur pays.Nous voulons bien nous battre pour Israel, mais n’acceptons pas d’être battus par ceux que nous voulons défendre. Nous applaudirons des deux mains les applications de cette loi tant attendue dans cet Israel démocrate, au service des citoyens fidèles, lucides,patriotes. Alors nous pourrons dire que comme la France, Israel est une democratie parce que son objectif est de defendre les valeurs de liberte, d’egalite, de fraternite, en preservant d’abord sa propre existence, ses droits et ceux des ses citoyens. Par Sammy Ghozlan



L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

Un 3ème sous-marin capable de lancer des missiles balistiques à tête nucléaire sera livré à Israël

Depuis quelques jours on le savait. Un mystère a eu lieu sur des visites à répétitions des leaders israéliens en Europe et plus particulièrement en Allemagne. Rien n’a filtré sur des négociations secrètes. Depuis hier soir, le rideau s’ouvre : Selon un site européen très sérieux et spécialisé dans le domaine des sous-marins : «L’Allemagne va livrer à Israël son 6è sous-marin de la classe Dolphin, à capacité nucléaire. La vente sera subventionnée par l’Allemagne avec un total de 135 millions €, a révélé dimanche soir le magazine allemand Der Spiegel. Selon le magazine allemand, le ministre allemand de la défense, Tomas de Maiziere, a rencontré la semaine dernière le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et son ministre de la défense, Ehud Barak, et leur a promis de conclure l’accord pour ce sous-marin.

497 millions €). Les sous-marins sont considérés comme l’arme la plus sophistiquée et stratégique d’Israël.

Le sous-marin Dolphin est capable de lancer des missiles balistiques à têtes nucléaires. Les discutions sur la vente du sousmarin s’étaient bloquées l’an dernier après que les Allemands aient refusé d’accord un rabais, comme ils l’avaient fait pour les précédentes ventes. Le sous-marin coute entre 500 millions $ et 700 millions $ (355 à

Les sous-marins seront aussi modifiés en fonction du retour d’expérience de la marine israélienne. Les Dolphin actuellement en service dans la flotte israélienne ont été construits sur mesure selon ses besoins, et auraient une capacité opérationnelle considérable.»

Fabrice Petit est le fondateur de Lodgis.com, site internet qui propose des offres de locations meublées en Israël sont très intéressants pour les loueurs car les revenus tirés de la location meublée sont considérés comme des BIC (Bénéfices industriels et commerciaux, ndlr) et non comme des revenus fonciers. Lorsque le propriétaire réalise un chiffre d’affaires annuel inférieur à 32 600 euros HT, il peut bénéficier du régime micro-BIC, il bénéficie alors d’un abattement de 50 % et n’est donc imposé que sur la moitié de ses revenus. Cet abattement n’est que de 30 % pour les locations vides relevant du régime micro-foncier. Le propriétaire peut également opter pour le régime réel simplifié d’imposition aux BIC (ce régime devient obligatoire si il réalise plus de 32 600 euros HT par an). Dans ce cas, en plus des charges classiques et des intérêts d’emprunt, il pourra déduire de ses revenus l’amortissement de son bien ce qui n’est pas possible en location vide. Cet avantage permet souvent au propriétaire de ne pas payer d’impôts pendant plusieurs années.

Israël dispose déjà de 3 sous-marins de la classe Dolphin. Deux autres sont actuellement en construction en Allemagne, leur livraison est attendue en 2012 et 2013. Selon la presse étrangère, les sousmarins israéliens ont une capacité de riposte nucléaire et emportent des missiles de croisière à têtes nucléaires. Les nouveaux sous-marins — des U-212 — seront équipés d’une nouvelle technologie allemande dans laquelle le système de propulsion combine un système de batteries classiques au plomb et un système de propulsion anaérobie pour une navigation lente et silencieuse, utilisant des piles à combustible et des réservoirs d’hydrogène et d’oxygène.

Source: http://www.corlobe.tk/

Un mort dans un avion de El-Al

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Au-delà des frontières, vous proposez aussi des locations meublées. A NewYork, par exemple. Quels changements de regards sur ces offres avezvous constaté ?

Fabrice Petit est le fondateur de Lodgis.com, site internet qui propose des offres de locations meublées, notamment à Paris. Mais aussi à Nice, New-York, en Israël, Londres, Montréal…Pour LaVieImmo.com, M. Petit revient sur ce type de marché, tant du côté des locataires que des propriétaires. (LaVieImmo. com) – La location meublée est une pratique peu présente en France, en marge de l’activité immobilière « classique ». A qui s’adresse-t-elle, et pour combien temps ? Fabrice Petit : Les profils des locataires potentiels sont d’une grande diversité. En règle générale, ce sont les locations meublées d’une semaine à un an qui rencontrent le plus de succès. Au delà d’une année, elles sont moins demandées, même s’il nous arrive de loger

des salariés envoyés en mission pour deux ou trois ans loin de chez eux. La location meublée se heurte à une idée reçue : elle est trop souvent assimilée à l’activité touristique ! Alors que nous avons de nombreuses demandes pour les personnes en CDD, en stage… Les étudiants, eux aussi, cherchent une location de quelques mois lorsqu’ils effectuent un stage en entreprise ou même un semestre universitaire. Cette clientèle internationale bien que tout à fait solvable, ne dispose pas des garanties financières « classiques » requises et exigées en agence immobilière pour une location d’usage. Pour les propriétaires qui décident de louer meublé, quels avantages fiscaux peuvent-ils en tirer ? Fabrice Petit : Les avantages fiscaux

Fabrice Petit : La location vide est une activité marginale dans les pays anglosaxons. En cherchant un logement pour plusieurs années à New-York, trois ou quatre ans, c’est vers la location meublée qu’il faut se tourner. Il en est de même à Londres où Lodgis.com s’implante actuellement. En Israël, l’approche est encore différente. Pour la durée de la location, nous sommes sur les mêmes périodes qu’en France : au mois ou à la semaine. Dans ce pays, nous avons des clients qui cherchent une location meublée lorsqu’ils sont en mission pour le travail ou qu’ils viennent faire du tourisme. Mais le marché se développe essentiellement grâce à la communauté juive. Dans la plupart des cas, ce sont les Juifs qui viennent voir leur famille installée en Israël ou qui décident eux même de venir s’y installer qui nous sollicitent. Maxime Laurent ©2011 LaVieImmo.com

Zoabi suspendue des débats à la Knesset

Une histoire incroyable qui vient de se terminer par le décés d’un warmblood (cheval de course). Les warmblood, anciennement nommés demi-sang en France, forment un type de cheval originellement issu de croisements entre des races locales à sang froid et des chevaux à sang chaud comme le pur-sang anglais. Actuellement, le terme « Warmblood » tend à désigner une catégorie de chevaux élevés pour les sports équestres olympiques. Selon Europe 1 : «Un cheval d’une valeur de près de 100.000 euros, provenant d’Israël mais ayant transité par la Belgique, a été découvert mort à son arrivée à l’aéroport new-yorkais John F. Kennedy vendredi matin, rapportent plusieurs médias américains.

Virtueuse, un warmblood européen d’un an, voyageait avec neuf autres chevaux à bord d’un vol El Al. Il était destiné à un propriétaire privé de l’Illinois. L’équidé, qui semblait nerveux, a commencé à taper violemment dans son enclos une demi-heure après le décollage de l’aéroport de Liège, avant de finalement se calmer. Les autorités américaines ont pratiqué une autopsie au Département fédéral du Centre agricole d’importation animale de New York. Il est fréquent de transporter des chevaux par avion et les incidents sur ces vols sont très rares, estiment plusieurs spécialistes américains. Les warmblood sont des chevaux de sport utilisés pour le dressage et le saut d’obstacles.» (EVM)

Le comité d’éthique de la Knesset a décidé lundi de suspendre la député arabe Hanin Zoabi (Balad) de toutes les activités à la Knesset jusqu’a la fin de la session en cours qui se termine dans deux semaines, et ce suite à sa participation dans la flottille de l’année dernière. La décision ne s’applique pas aux votes dans le plénum. Le comité d’éthique a examiné trois plaintes contre Zoabi déposées par des députés de la Knesset.

Zoabi a écrit en réponse : « je rejette les plaintes contre moi. Ceci est vexatoire contre l’activité politique légitime qui est dans les droits de chaque citoyen, et certainement pour un membre de la Knesset, j’ai exercé mon droit à l’action politique et la liberté de parole et n’ai pas enfreint la loi. J’exhorte donc le comité à rejeter ces plaintes. » Le comité a dit dans sa décision : « la participation même à la flottille, qui avait pour but de briser le blocus naval imposé à la bande de Gaza dans le cadre du conflit armé avec le Hamas constitue une action qui endommage la sécurité de l’état, et ne fait pas partie de la liberté légitime d’un membre

de la Knesset. » La commission a rejeté les allégations d’une forme légitime de protestation.

« Le comité estime qu’un député se joignant à une action organisée par un groupe déclaré illégal par le ministère de la défense, et qui est destiné a briser le blocus naval imposé pour des raisons sécuritaires dépasse l’acte légitime de protestation d’un député contre la politique du gouvernement. » Le comité a noté que Zoabi avait abusé de ses fonctions en tant que membre de la Knesset qui a l’obligation de maintenir sa respectabilité. En juillet dernier, la Knesset a révoqué les privilèges de Zoabi suite à sa participation à la flottille. Pendant ce temps, la député a envoyé une lettre au directeur général de la Knesset, Dan Landau, suite à une plainte déposée auprès du comité d’éthique de la Knesset sur ses comportements perturbateurs lors du plénum de jeudi. « Je comprends et je respecte votre besoin de soutenir les employés de la Knesset. Je soutiens également l’honneur des employés. Je déclare que je n’avais aucune intention de blesser les huissiers, et encore

moins de les agresser. Je respecte leur travail. Les huissiers eux-mêmes peuvent attester de la manière honorable avec laquelle je les traite. » Néanmoins, elle a noté que la lettre du président de la Knesset, Réouven Rivlin, avait endommagé sa réputation. « La lettre est remplie de faux documents et comprend des conclusions blessantes violant les lois sur la diffamation. » Zoabi a nié avoir attaqué les huissiers. « Le document vidéo montre clairement qu’il n’existe pas de base pour les revendications infondées d’agression, de mauvaise conduite, et d’emploi de la violence par moi. Par ailleurs, à la fin des débats, un des huissiers impliqué est venu s’excuser auprès de moi, et j’ai répondu que cela n’était pas nécessaire, alors qu’elle essayait de faire son travail. » La député a souligné en outre que : « tout ce que j’ai essayé de faire était de me libérer de la main des huissiers qui me tenaient de manière disproportionnée. Après plusieurs tentatives de ce genre, et alors que j’étais emmenée, j’ai poussé ma main en essayant de me libérer des huissiers, c’est tout. Je n’ai jamais essayé de l’attaquer, bien moins que votre lettre le suppose. »



L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 20 Juillet 2011

Obama est en guerre contre Israël

Au cours des récentes semaines, Barack Obama a pris position en faveur du Liban placé sous la coupe de Hezbollah dans une dispute concernant le tracé des frontières entre le Liban et Israël. Ce tracé ne faisait l’objet d’aucun débat depuis des années, le Hezbollah ayant, de toute façon, pour objectif l’élimination totale d’Israël. Mais depuis qu’Israël a découvert du pétrole et du gaz dans ses eaux territoriales, les choses sont très différentes. Constatant que sa prise de position en faveur du Liban suscitait des échos négatifs, Barack Obama a fait, un peu, machine arrière, a déclaré qu’on l’avait mal compris, et a demandé à Israël de présenter une « contre-proposition » aux Nations Unies, instance bien connue pour son soutien enthousiaste à Israël. Barack Obama a aussi pris, ces derniers jours, une position très favorable aux Frères musulmans, qu’un de ses conseillers a même défini (sans rire, ce qui est une performance), comme une « organisation laïque ». Les Frères musulmans ne demandaient rien de tel, mais il existe à leur égard, chez Obama et dans son administration, un zèle qui devrait faire plaisir dans toutes les mosquées de la planète. Discernant que ses propos sur les Frères musulmans suscitaient la controverse, Barack Obama a fait machine arrière là encore, a déclaré à nouveau qu’on avait mal compris, et s’est essayé à tergiverser, sans changer de positions. Barack Obama, enfin, a entériné, peu ou prou au même moment, le placement d’Israël sur la liste des pays soutenant le terrorisme (liste établie par l’Immigration and Customs Enforcement Agency aux fins de placer sous observation les « Etats qui montrent une tendance à promouvoir, produire ou protéger des organisations terroristes »). Voyant que ce placement suscitait des remous, Barack Obama a fait machine arrière une fois de plus, a déclaré une fois de plus qu’on avait mal compris, et a demandé que la décision soit abrogée, sans qu’il soit certain que l’abrogation sera suivie d’effet. Cela fait, direz-vous, en peu de temps, sur un sujet crucial, beaucoup de mouvements vers l’avant suivis de mouvements vers l’arrière. Cela fait, ajouterez-vous peut-être, beaucoup de maladresses à même de laisser penser qu’Obama est parfois malhabile, et que, face à un dos-

sier délicat, il a des difficultés à se faire comprendre. Je dirai que les mouvements vers l’avant suivis de mouvements vers l’arrière d’Obama en la matière ne sont que des gesticulations destinées à dissimuler un mouvement d’ensemble dans une direction bien précise. Lénine a écrit un texte destiné à critiquer ses adversaires social-démocrates appelé « Un pas en avant, deux pas en arrière » dans lequel il finissait par proposer une stratégie inverse : deux pas vers l’avant et un pas vers l’arrière. Saul Alinsky a repris la stratégie à son compte, et Obama est le meilleur disciple d’Alinsky. Il n’y a pas, en fait, d’annulation des mouvements vers l’avant par les mouvements vers l’arrière. J’ajouterai qu’il n’y a pas de maladresses ou de malhabileté en la matière non plus, sinon sur le mode de la simulation, et qu’Obama n’a aucun mal à se faire comprendre. Simuler maladresses ou malhabileté permet de faire passer des messages qui auraient des difficultés à passer sans cela tant ils sembleraient outranciers et extrêmes. Faire semblant de n’être pas compris et d’avoir à rectifier permet de semer la confusion et d’en tirer avantage pour avancer et tracer un chemin qu’on ne pourrait tracer s’il se voyait trop clairement. Obama a un projet pour Israël, j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire : l’affaiblissement, l’isolement, la délégitimation d’Israël, suivies, si possible, de la disparition d’Israël. Obama a un projet pour le ProcheOrient : offrir celui-ci à l’islam radical et offrir à l’islam radical la paix avec un monde occidental soumis qui aura accordé à l’islam radical le gage de la soumission : l’acceptation de la destruction d’Israël. Si Obama énonçait ces projets explicitement, sans détours, sans circonvolutions, sans écrans de fumée, il susciterait des réactions d’alarme et d’indignation, alors, il recourt aux détours, aux circonvolutions, aux écrans de fumée. Pour qui sait regarder plus loin que les apparences, les résultats n’en sont pas moins là. D’ores et déjà. Tout au moins certains résultats. Et d’autres résultats risquent fort de suivre. Israël n’a jamais semblé aussi isolé à l’échelle internationale, et n’a jamais été aussi délégitimé. L’islam radical, de l’Egypte au Yemen, de la Turquie à l’Iran, n’a jamais semblé

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AP : « les Etats-Unis sont responsables pour la politique israélienne »

aussi proche d’un triomphe, fut-il destiné à être passager. Dire qu’Obama n’est pour rien dans les résultats déjà obtenus impliquerait d’oublier qu’avant la prise de position sur les frontières libano-israéliennes et sur les Frères musulmans et avant le placement d’Israël sur la liste des pays soutenant le terrorisme, il y a eu, depuis janvier 2009, des dizaines de paroles, de gestes, d’actes, de décisions dont dresser la liste constituerait un accablant réquisitoire. Dire que les paroles, gestes, actes et décisions en question ont tous été perçus comme ce qu’ils étaient impliquerait de nier l’effet des détours, circonvolutions, écrans de fumée. Or, l’effet existe bel et bien. J’écrirai ici qu’il importe plus que jamais de voir qu’il y a une stratégie derrière tout ce que fait Obama, et il importe plus que jamais de voir que cette stratégie a des buts. La disparition d’Israël est l’un de ces buts. Rendre le monde plus sûr pour l’islam radical est un autre de ces buts. L’atteinte de ces buts impliquerait que la puissance américaine soit abolie, et (faut-il le dire ?), Obama et ceux qui le servent y travaillent. L’atteinte de ces buts impliquerait que détours, circonvolutions, écrans de fumée continuent à pleinement faire effet et que nul ne s’alarme et ne s’indigne. Obama et ceux qui le servent y travaillent aussi. L’atteinte de ces buts impliquerait, bien sûr, qu’Israël cède. Obama et ceux qui le servent y travaillent là encore. C’est pour contrer ce travail qu’il faut expliquer, expliciter, arracher le masque d’imposture, combattre. Obama et ceux qui le servent sont en guerre contre Israël, contre les Etats-Unis, contre la liberté. Chaque bataille compte. Ce qui se passera en septembre au Nations Unies, entre projet de reconnaissance d’un Etat palestinien dans les « frontières de 1967 » par l’assemblée générale des Nations Unies et sommet de Durban III sera important. La bataille la plus décisive, dans l’avenir proche, est, cela dit, celle de novembre 2012. Une de mes amies à Los Angeles me disait récemment : « Si Obama est réélu, tout est fini ». Je n’entends pas être aussi pessimiste, je veux penser qu’Obama sera battu, mais le pessimisme constitue parfois un moteur qui donne l’énergie requise pour combattre avec davantage d’efficacité. © Guy Millière

La direction palestinienne, lors d’une critique inhabituellement sévère de Washington, a tenu mardi les Etats-Unis pour responsables de la politique « raciste » d’Israël qui selon eux a saboté le processus de paix. Elle a déclaré que les récents développements ont confirmé la nécessité pour les palestiniens d’aller à l’assemblée générale de l’ONU en septembre pour y rechercher une reconnaissance internationale d’un état palestinien dans les frontières de 1967. Le comité exécutif de l’OLP s’est réuni à Ramallah après qu’une réunion du Quartet à Washington a échoué lundi à annoncer des progrès pour la relance des pourparlers de paix. Le Quartet comprend les Etats-Unis, la Russie, l’Union Européenne et les Nations Unies. L’OLP a déclaré que le gouvernement du premier ministre Benyamin Netanyahou avait pour but de prévenir toute reprise des négociations et l’établissement d’un état palestinien indépendant, l’OLP oubliant une fois de plus de trouver une formule pour expliquer qu’elle refuse de s’asseoir avec les israéliens sans condition. « La seule option faisant face au monde aujourd’hui, surtout les Etats-Unis, est d’utiliser tous les outils pour obliger les occupants à mettre fin à leur politique expansionniste raciste, » a déclaré l’OLP dans un communiqué publié après la réunion. « Les Etats-Unis portent la principale responsabilité pour la continuation de cette politique

(israélienne) raciste, » a-t-il dit. Le président palestinien Mahmoud Abbas a déclaré que les palestiniens demanderont la reconnaissance internationale d’un état palestinien à l’assemblée générale des Nations Unies si il n’y a pas de reprise des pourparlers en septembre. Etant donné que c’est lui-même qui refuse de reprendre les pourparlers, cette phrase est un nonsens de plus à mettre au compte de la propagande palestinienne de plus en plus agressive. Les Etats-Unis ont déclaré pour leur part qu’ils s’opposeraient à toute tentative palestinienne d’assurer la pleine adhésion des Nations Unies lors de la réunion de septembre. Ils la décrivent comme une mesure unilatérale qui n’a qu’une valeur symbolique. Les responsables israéliens s’inquiètent que cela fasse partie d’une nouvelle stratégie palestinienne visant à isoler et « délégitimer » l’état juif . Les efforts du président américain Barack Obama pour relancer le processus de paix au Proche Orient ont déraillés l’année dernière lorsque les négociations directes ont été interrompues par les palestiniens qui exigent qu’Israël mette fin à toute construction juive en Judée Samarie et à Jérusalem Est. Netanyahou a déclaré lundi qu’il était prêt de s’asseoir avec Abbas « pour ouvrir des négociations directes, mais malheureusement, ils refusent, » selon un communiqué publié par son bureau.




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