Israël Actualités n°242

GRATUIT - Numéro 242 - Edition du Mercredi 23 janvier 2013

Journal Israélien en langue française

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

Israël vers une coalition nationale la plus large possible ?

Mais avec qui ? Lapid ? Bennett ? Les religieux ?

Benjamin Netanyahou remporte l’élection législative avec 31 mandats devant le parti laïque, le parti centriste de Yair Lapid, Yesh Atid, qui a réussi à glaner 19 sièges, faisant de lui le deuxième parti de la Knesset. On remarque également la montée en puissance du nouveau parti Habayt Hayehoiudi de Naftali Bennet qui remporte entre 11 et 12 mandats.

Benjamin Netanyahou a déjà commencé les pourparlers avec les différents partis pour former le prochain gouvernement. Les centristes et les partis d’extrême droite sont les grands vainqueurs de cette élection. A contrario des partis religieux qui ont été pointés du doigt par la société israélienne, qui ont perdu des électeurs mais qui feront jouer leur va tout pour faire partie du prochain gouvernement.

Directeurs de la publication Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Rédacteur en chef Eliahou Ben Yéouchoua Israël Actualités est une marque déposée en France

Les nouveaux partis ont émergé à cause des inégalités entre les religieux et le reste du pays. La population israélienne ne supporte plus que 20 % de la population soit mise à l’écart avec des avantages sociaux et surtout qu’elle soit exemptée de service militaire.

Maintenant Bibi devra faire en sorte de sortir le pays des ces inégalités. Il est important que nous ayons un chef de gouvernement fort pour contrer la menace iranienne. Qui d’autre que Benjamin Netanyahou pourrait gérer une situation comme celle-là et remettre le pays sur de bons rails dans les domaines économique, social et sécuritaire ?

Maintenant Benjamin, à toi de jouer.

Alain Sayada

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L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

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Premier résultat officiel des Taux de participation très élevé aux élections élections israéliennes

Voici les résultats des élections législatives israéliennes selon les télévisions locales. Les résultats suivant représentent le nombre de sièges pour chaque parti (120 sièges à la Knesset) et non le pourcentage de vote.

Likoud Beitenou: 31 Travailliste: 17 Habait Hayehudi: 11 Yesh Atid: 19 Hatnua:7 Yaadout Hatora:6 Shas:12 Meretz:7 Hadash:4 Ra’am Taal:3 Balad 2 A présent, reste au parti leader à tenté de créer une coalition qui réunirait au moins 61 des 120 sièges

que compte la Knesset.

L’union de droite représente 61 sièges. Le parti Kadima n’a obtenu aucun mandat.

Tous les autres partis non cités ici n’ont pas obtenus assez de votes pour entrer à la Knesset.

Tous ces résultats sont les estimations des télévisions et ne représentent en rien les résultats officiels validés par le gouvernement.

Le taux de participation aux élections israéliennes était important, mardi matin, avec 38.8% des électeurs exerçant leur droit de vote à 14 heures. Le taux de participation à cette heure était de 4,4% plus élevé que lors des dernières élections en 2009.

Le taux de participation restait élevé dans l’après-midi, avec 46,6% de votes à 16 heures. A titre de comparaison, en 2009, le taux de participation à 16 heures était de 41,9%, et de 39% en 2006. Le taux de participation avec 12 heures était le plus élevé depuis les élections de 1999, il y a 14 ans.

Un quart des électeurs inscrits ont

voté dans les cinq premières heures des élections, avec 10 heures restantes. En 2009, 23,4% avaient voté à 12 heures.

En 2006, ce nombre était de 21,7%.

Un taux de participation élevé est généralement considéré comme une mauvaise nouvelle pour les petits partis qui ne pourraient pas franchir le seuil pour entrer à la Knesset.

C’est également un mauvais signe pour les partis ‘haredi (ultra-orthodoxe), qui jouissent d’une forte participation de leurs supporters, et préfèrent voir un faible taux de participation parmi les partisans de leurs rivaux. Gidéon Saar, du Likoud, a été cité comme disant qu’il était pré-

occupé par le taux de participation relativement élevé dans les bastions de gauche.

Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a convoqué ce soir une réunion urgente de de son état-major de campagne en raison des conséquences du taux élevé de la participation nationale sur le résultat de l’élection, rapporte ce soir la 2ème chaîne de télévision publique Arouts 2.

Selon le responsable d’un Institut de sondages ayant requis l’anonymat, se basant sur des projections à partir de personnes interrogées à la sortie des bureaux de vote, Yaïr Lapid (Yesh Atid) et Naftali Bennett (Foyer juif) pourraient bien créer la surprise.

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Netanyahou II: quelle coalition pour relever les défis économiques?

Plusieurs formations politiques ont appelé Binyamin Netanyahou à former un “gouvernement d’urgence” pour régler les problèmes économiques.

des frontières d’Israël, de milliers d’Israéliens habitant en Cisjordanie, provoquerait l’effondrement de l’économie israélienne et l’explosion des prix de l’immobilier.

Certes, la percée du centre (Yesh Atid) et de la droite sioniste religieuse (Habayit Hayehoudi) va compliquer la tâche de Binyamin Netanyahou pour former le prochain gouvernement. Ce mercredi matin, il était trop tôt pour envisager les grandes lignes du programme économique de la coalition gouvernementale qui va se mettre en place; en revanche, les premiers résultats connus des élections laissent entrevoir différents scénarios politiques qui auront aussi des retombées économiques.

Une coalition qui pencherait au centre

Une chose est sûre : en devenant la seconde formation de la Knesset, Yesh Atid va obliger le Premier ministre à redonner la priorité aux problèmes économiques et sociaux (coût de la vie, inégalités, logement, etc.), et pas seulement aux questions sécuritaires.

En fait, le programme économique du 33e gouvernement israélien dépendra de la composition de la prochaine coalition: coalition étroite ou élargie, plutôt à droite ou plutôt au centre, avec ou sans les religieux, etc. Voici les principaux scénarios politiques et leur stratégie pour relever les défis économiques actuels.

Une coalition qui pencherait à droite Une coalition gouvernementale qui associera le Likoud-Beteinou au parti religieux Habayit Hayehoudi de Naftali Bennett et aux séfarades orthodoxes de Shas poursuivra le même logique libérale qui existe en Israël plusieurs années. Les grandes lignes économiques d’une telle coalition resteraient les mêmes qu’aujourd’hui: réduction des dépenses publiques, baisse de l’impôt sur le revenu, poursuite des privatisations, réduction du protectionnisme extérieur, etc. Pour résoudre les déficits, c’est sans doute une politique d’austérité budgétaire qui sera conduite par la prochaine coalition de droite dans le courant de l’année à venir.

En revanche, Binyamin Netanyahou sait que la présence du parti de Naphtali Bennett dans sa coalition lui interdira toute reprise des négociations avec les Palestiniens: celui-ci s’oppose catégoriquement à la création d’un Etat palestinien à coté d’Israël. D’ailleurs, Bennett voit aussi un lien direct entre les questions économiques et le conflit palestinien: selon lui, la réinstallation, à l’intérieur

La percée du centre (19 sièges pour Yesh Atid) permettrait la constitution d’une coalition de centre-droite.

Certes, en choisissant de s’allier à des partis du centre (comme Yesh Atid ou Atnoua), Binyamin Netanyahou devra faire des compromis sur son programme économique, mais sans remettre en cause ses convictions libérales. Néanmoins, il devra prendre en compte que Yesh Atid est l’héritier de la révolte sociale de l’été 2011, ce qui l’obligera à rééquilibrer son programme social.

D’ailleurs, les partis du centre prônent le même attachement à l’économie de marché que le Likoud, mais avec des variantes sectorielles: le parti Yesh Atid veut améliorer le sort de la classe moyenne, alors que la liste Atnoua réclame une régulation de l’Etat pour lutter contre les monopoles qui seraient à l’origine de la cherté de la vie.

La Bulgarie briefe Israël sur les progrès de l’enquête sur l’attentat... des affaires étrangères. Un responsable israélien a déclaré à Reuters que les discussions avec Mladenov «traitaient d’une question de sécurité sensible» et n’a pas donné de détails.

La publication des résultats de l’enquête pourrait venir le mois prochain, selon des sources bulgares, peut-être lorsque le conseil de sécurité national se réunira le 5 février.

Sur le dossier israélo-palestinien aussi, le scénario d’une coalition de centre-droite fournira à Binyamin Netanyahou un gouvernement plus stable que sur son extrême-droite religieuse: les partis du centre ont mis le processus de paix et le principe de “deux Etats pour deux peuples” au centre de leur plateforme politique.

Une coalition large d’« urgence économique » A la veille des législatives, trois chefs de liste avaient appelé Binyamin Netanyahou à former un “gouvernement d’union nationale”, qualifiée aussi de “gouvernement d’urgence”: Naftali Bennett (Habayit Hayoudi), Yaïr Lapid (Yesh Atid) et Tzipi Livni (Atnoua). Au menu de ce gouvernement élargi à droite et au centre: les problèmes économiques et sociaux, et notamment le déficit budgétaire qui s’est creusé en 2012 (39 milliards de shekels, soit 4,2% du PIB).

Au lendemain des législatives, les chances de réalisation de ce scénario paraissent faibles: les divergences politiques et idéologiques l’emporteraient vite sur un “programme commun” basé uniquement sur des enjeux économiques.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

Le ministre des affaires étrangères bulgare, Nikolaï Mladenov, a effectué une visite surprise en Israël ce jeudi pour briefer les dirigeants israéliens sur les progrès de l’enquête sur l’attentat à la bombe dans la station balnéaire de la mer Noire du Burgas en juillet dernier, que les israéliens ont attribué aux terroristes du Hezbollah et d’Iran.

d’Israël et des agences américaines disant qu’il avait également joué un rôle.

Lier le Hezbollah, un puissant groupe terroriste chiite soutenu par l’Iran et faisant partie du gouvernement libanais, à l’attaque, pourrait ouvrir la voie pour que l’UE se joigne aux Etats-Unis pour le qualifier de groupe terroriste et geler ses avoirs en Europe.

Le ministre de l’intérieur bulgare, Tsvetan Tsvetanov, actuellement à Dublin pour des entretiens avec des ministres de l’Union Européenne, tiendra également les alliés européens de la Bulgarie au courant des dernières nouvelles, a indiqué son bureau.

Le bureau de Mladenov a confirmé qu’il a rencontré le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le président Shimon Pères pour discuter de l’enquête, mais a refusé d’élaborer. «La question a été discutée.

L’Iran a nié toute implication dans l’attaque du 18 juillet, qui a tué cinq touristes israélien, leur chauffeur, et le terroriste. Le Hezbollah n’a pas répondu publiquement aux accusations

Les résultats de l’enquête seront rendus publics une fois qu’elle sera terminée, et la Bulgarie a suffisamment de preuves pour l’étayer,» a déclaré un porte-parole du ministère

En septembre, la Grande Bretagne et les Pays Bas ont exhorté les autres gouvernements de l’UE à se joindre aux Etats-Unis pour imposer des sanctions contre le Hezbollah pour avoir fourni un support au dictateur syrien Bachar al-Assad.

L’Iran, qui a accusé Israël d’avoir orchestré l’attentat de Burgas à des fins de propagande, fait aussi face à l’escalade des sanctions occidentales visant à freiner son enrichissement d’uranium. Le journal israélien Yedioth Ahronoth a rapporté jeudi que Mladenov était prévu de donner à ses ôtes une copie du rapport d’enquête au cours d’une «visite spéciale» à Jérusalem.

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LES SANCTIONS BIDONS DES USA CONTRE L’IRAN Ensuite, il peut s’appuyer sur sa tradition plusieurs fois millénaire de troc pour faire du commerce à l’étranger.

Ses pétrodollars se transforment en pétro-yuans, roupies, yens, wons et des pétro-lingots d’or qu’il troque en Inde, Chine, Corée du Sud, Japon, Turquie ou Ukraine contre du riz, de l’essence, du charbon, de l’aluminium, de l’acier et du graphite, des pièces automobiles, du matériel informatique, contre des services ou des investissements directs. L’Iran attend même la livraison de treize supertankers chinois.

L’article en question est paru en Novembre dernier, il y a donc à peine DEUX MOIS. Vous vous doutez les aminches que rien n’a changé depuis et qu’il est important que vous compreniez à quel point l’administration d’Obama est en train de nous berner avec ses sanctions économiques contre l’Iran.

En attendant, lisez attentivement.

Faites le tour de la question et imaginez l’esprit criminel de nos alliés «indéfectibles» qui ne peuvent rien et ne veulent rien entreprendre de sérieux vis à vis de la république islamique Perse.

Attention : vous allez morfler car si nous ne sommes pas d’accord avec les conclusions de l’auteur, il n’en demeure pas moins un universitaire (Paris Dauphine) et un chercheur. C’est incroyable de connaître précisément les mensonges autour de l’embargo contre l’Iran initié par les Américains.

L’IRAN se porte bien...Merci...L’Iran ne ralentit pas du tout son programme nucléaire et a toujours dans l’idée de faire disparaître l’état sioniste.

LES SANCTIONS CONTRE L’IRAN SONT INEFFICACES !

Sébastien Régnault (Le Monde 27 Novembre 2012) Dévaluation sans précédent du rial, chute vertigineuse des exportations de pétrole, inflation galopante : les sanctions imposées contre l’Iran sont un succès, affirmet-on en Occident. Dès lors, le destin de la République islamique semble scellé : elle suspendra ses activités d’enrichissement nucléaire et la chute de son régime sera précipitée par un «printemps persan». Or rien n’est moins sûr.

MAINMISE DES MILITAIRES Les sanctions contre l’Iran durent depuis plus de trente ans, et leurs effets sont connus. Elles légitiment la

rhétorique antioccidentale du régime, renforcent le monopole des pieux marchands du bazar, principaux soutiens du clergé, limitent le développement d’une classe d’entrepreneurs non inféodés à l’idéologie islamique, rendent la population plus dépendante encore de l’Etat qui contrôle 80 % de l’économie et favorisent la mainmise des militaires sur des pans entiers de l’industrie. Les nouvelles sanctions ne font que décupler ces effets.

De fait, l’inflation iranienne que le monde semble découvrir cette année n’a rien à voir avec les sanctions.

Chronique depuis plus de cinq ans, elle est liée aux décisions du président Mahmoud Ahmadinejad de multiplier par quatre les aides en direction des classes populaires et de supprimer une partie des subventions sur l’essence. En vérité, il y a plus de dix ans que Téhéran a rapatrié une grande partie de ses avoirs étrangers. avoirs étrangers.

ENVOLÉE BRUT

DES

COURS

DE

L’Iran se trouve donc en fort excédent commercial grâce à l’envolée des cours de brut, et la banque centrale iranienne dispose d’une réserve colossale en devises.

Elle n’aura donc aucun mal à fournir, et pour longtemps encore, les dollars essentiels à l’Etat pour l’importation de ses biens de première nécessité (nourriture) et intermédiaires, en se gardant de toute hyperinflation. L’interdiction d’exporter une cinquantaine de produits de première nécessité (blé, farine, sucre, viande rouge, aluminium, acier, etc.) et la gestion plus rigoureuse de l’économie permettent d’envisager à long terme une stabilisation des prix des biens de consommation courante, qui profitera aux classes populaires.

En revanche, avec les sanctions, le

gouvernement offre beaucoup moins de dollars au marché parallèle qui sert à l’achat par la classe moyenne et supérieure de produits d’importation attractifs mais dont l’économie peut se dispenser.

CHUTE DU RIAL Cette réduction a précipité une chute du rial cette année, que le gouvernement a en partie enrayée en interdisant l’importation de produits occidentaux ou venant concurrencer la production locale. Cela lui permet d’économiser 12 milliards de dollars par an (9,25 milliards d’euros) sur ce marché qui, malgré tout, connaît et continuera de connaître une forte inflation.

Par conséquent, les classes urbaines moyennes et supérieures, celles-là mêmes qui étaient descendues dans les rues en 2009, au lendemain de la réélection contestée du président Ahmadinejad, sont les premières victimes des sanctions. Certes, le système de santé iranien explose.

Contraint d’en passer par le marché parallèle pour s’approvisionner, il connaît une multiplication par cinq du prix de certains soins médicaux, et une pénurie de certains médicaments occidentaux.

Mais l’industrie iranienne dépendante de l’Occident se tourne de plus en plus vers l’industrie asiatique, qui lui offre des voies de substitution. Pour contourner les sanctions, l’Iran dispose de nombreux moyens.

Il peut d’abord compter sur l’avidité de certains traders, qui s’octroient des marges confortables pour créer, à partir des pays vers lesquels l’Iran vend du brut, des circuits aussi complexes que changeants de billets verts, entre banques et sociétés écrans chinoises, malaisiennes, russes, suisses, irakiennes, émiraties ou libanaises, pour financer ses gros volumes d’importation.

MOYEN-ORIENT EN PLEINE RÉORGANISATION Enfin, il bénéficie d’un Moyen-Orient en pleine réorganisation, où certains pays sont en forte croissance. Depuis le début des sanctions, en janvier 2012, il faut constater le doublement des échanges commerciaux avec la Turquie par rapport à 2011, l’explosion des échanges avec l’Irak, qui subit de plein fouet la rupture de son commerce avec la Syrie, la signature d’un traité avec Kaboul et New Delhi pour permettre à l’Afghanistan d’avoir un accès à la mer grâce au port iranien de Chabahar, la mise en place de circuits de troc d’engrais et d’hydrocarbures avec le Pakistan pour récupérer du blé ainsi que la contrebande organisée d’essence et d’hydrocarbures vers toutes ses frontières et, finalement, l’importation toujours aussi importante de tout ce qui lui manque par le biais des Emirats.

En fait, la question qui se pose est la suivante : comment pouvons-nous imaginer pouvoir asphyxier l’économie d’un pays, grand comme trois fois la France (1 635 000 km2), en forte croissance depuis plus de dix ans, à égale distance entre l’Orient et l’Occident, et qui dispose du plus grand nombre de pays frontaliers au monde après la Russie (quinze, en comptant les frontières maritimes) ?

DEUXIÈMES RÉSERVES MONDIALES Avec l’égalisation des niveaux de dépendance de toutes les économies de la planète à l’égard des hydrocarbures (l’Iran dispose toujours des deuxièmes réserves mondiales), imaginer pouvoir couper ses revenus du pétrole paraît bien vain. D’abord, le manque à gagner sur le brut est en partie compensé par l’envolée des cours : majoration de 10 %, 20 %, 30 % ces dernières années, alors que l’économie mondiale est en berne. Ensuite, les apparences sont trompeuses.

Si les sanctions ont produit des effets supérieurs à ceux escomptés ces six derniers mois, une baisse de 50 % des exportations, c’est en grande partie parce que l’Inde, le Japon et la Corée du Sud ont réduit leurs importations de 30 % à 40 %, et cela en raison de l’impossibilité d’assurer leurs tankers depuis qu’en janvier, les compagnies européennes ont interdiction de le faire.

RISQUER UN CHOC PÉTROLIER Maintenant que l’Inde et le Japon ont fait voter des lois pour les assurer eux-mêmes et que l’Iran assure ceux qui partent vers la Corée du Sud, ces trois pays reprennent actuellement leurs importations dans des proportions telles que, tout en respectant le barème semestriel d’une réduction de leurs importations de 18 % demandée par les Etats-Unis, l’Iran va retrouver d’ici à fin janvier 2013 à peu près son volume d’exportations d’avant ce volet de sanctions .

Alors, pensons à l’alternative et soyons réalistes. Le Pakistan vit un coup d’Etat permanent depuis sa création. L’Afghanistan stagne dans le chaos que l’on sait. L’Irak et désormais la Syrie sont en guerre civile.

Le Liban se retrouve plus fragile que jamais et le conflit israélo-palestinien n’en finit pas de finir.

Considérant ces paramètres, on voit mal un pays quel qu’il soit frapper l’Iran, et ainsi créer une zone d’instabilité politique qui s’étendrait de la Palestine à la Chine et risquer un choc pétrolier qui démultiplierait les effets de la crise à l’échelle mondiale, avec un baril à 150 ou 200 dollars. L’échec des sanctions contre l’Iran annonce la reprise prochaine des négociations.

PS : Vous aurez noté les aminches combien la situation est grave puisque les ayatollahs peuvent continuer leur petit business sans que qui que ce soit et encore moins nos «alliés indéfectibles» n’aient à redire. Tout le monde y trouve son compte même les ennemis sunnites de la République Islamique d’Iran !

Quand le pognon coule à flot, on se fiche pas mal d’un petit état juif irrédentiste qui oserait survivre...Le fric est la valeur refuge suprême même si c’est sur le dos à nouveau...de 6 millions de juifs. On a déjà vu ça quelque part non ?

Nina

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

L’Algérie massacre les otages contrairement à Israël conduit qu’à un taux élevé de pertes humaines ».

Si Israël avait opéré comme l’Algérie l’a fait, dans la « libération » des otages, le monde entier hurlerait que c’est scandaleux. Du reste, Israël a toujours libéré des otages de façon à la fois professionnelle et humaine.

Le raid des forces de sécurité en Algérie pour « libérer » des otages occidentaux et locaux détenus par des terroristes islamistes, ce raid fut un chaos sanglant qui a laissé le sort de la plupart des otages dans une totale incertitude.

Le Lieutenant-Colonel israélien Doron Avital, ancien commandant du Sayeret Matkal, l’unité d’élite de Tsahal estime (lien en bas de page) « qu’une telle situation de prise d’otages requiert d’abord de verrouiller l’endroit avant de lancer une opération de sauvetage. C’est seulement alors que vous êtes en mesure de recueillir des renseignements et de déployer des forces ».

Doron Avital : « Vous devez parvenir au moment optimum où vous serez en mesure de monter la meilleure opération possible. Tout se passe comme si, en Algérie, ils s’étaient lancés dans l’action sans réfléchir.

C’est un fiasco. Ils voulaient que cela se termine rapidement. Et cela n’a

Aucun chiffre global précis n’a pu être fourni sur le nombre exact des otages ou ceux qui ont péri sur le site gazier d’In Amenas, où le groupe islamiste a lancé son attaque en représailles entre autres à l’intervention militaire française au Mali voisin.

Le nombre global de ravisseurs était également inconnu.

Mais selon une source sécuritaire, qui donne un premier bilan établi à la suite de l’assaut final, «il y a eu entre 25 et 27 otages étrangers et algériens tués» depuis mercredi. «Signataires par le sang» L’assaut final a été donné en milieu de matinée.

«L’armée algérienne a abattu onze terroristes, et le groupe terroriste a assassiné sept otages étrangers», a précisé la télévision algérienne. Un porte-parole des «Signataires par le sang», groupe djihadiste dirigé par l’Algérien Mokhtar Belmokhtar qui a revendiqué la pris d’otages, avait affirmé plus tôt à l’Agence mauritanienne Nouakchott d’information (ANI) que «sept otages» étrangers étaient retenus dans l’usine de gaz du site.

Les États-Unis et le Japon, dont des ressortissants figuraient parmi les otages, avaient lancé auparavant un avertissement à l’Algérie pour qu’elle préserve la vie des captifs, alors que le Conseil de sécurité de l’ONU condamnait «dans les termes les plus vifs l’attaque terroriste».

Vendredi, la source sécuritaire avait indiqué que 18 ravisseurs avaient été tués, et une centaine d’otages étrangers - sur 132 - libérés, ainsi que 573 employés algériens du complexe gazier d’In Amenas (1 300 kilomètres au sud-est d’Alger).

Washington avait annoncé la mort d’un Américain et Paris avait fait état d’un Français tué, précisant qu’aucun de ses ressortissants n’était détenu.

Selon la chaîne de télévision NBC News, le sort de deux Américains demeurait inconnu. Tokyo était par ailleurs sans nouvelles de dix de ses ressortissants. Six Norvégiens sont portés manquants, selon le groupe pétrolier Statoil qui gère le site avec l’algérien Sonatrach et le britannique BP. Le photographe de l’AFP a vu passer samedi un camion à bord duquel se trouvaient cinq cercueils qui se dirigeait vers l’hôpital d’In Amenas, où sont soignés les blessés. Des hélicoptères survolaient le site par intermittence.

D’après les sources djihadistes citées par ANI, le commando était dirigé par Abdelrahmane, dit «le Nigérien», qui détenait les sept étrangers, et était composé d’une quarantaine de personnes originaires d’Algérie, d’Égypte, du Niger, du Tchad, de Mauritanie, du Mali et du Canada qui se seraient infiltrés en Algérie depuis le Niger. http://www.ynetnews.com

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Hitler s’affiche en grand à Istanbul

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Facebook : outil de propagande de l’autorité palestinienne et du Hamas Toameh hier soir : «Vous avez posté un article qui enfreint nos conditions d’utilisation et cet article a été supprimé. Entre autre chose les contenus qui sont choquants, menaçants ou obscènes ne sont pas autorisés, pas plus que les contenus qui attaquent un individu ou un groupe.

La mauvaise utilisation continue des fonctionnalités de Facebook pourrait entraîner la désactivation de votre compte.» Abou Toameh déclaré également que son compte Twitter a été attaqué par des pirates informatiques.

Le site de réseau «social» Facebook est aujourd’hui accusé d’avoir voulu faire taire les critiques de l’autorité palestinienne, alors qu’il a supprimé la page appartenant à l’écrivain israélo-arabe Khaled Abou Toameh.

son travail.»

Abou Toameh, fils d’un père arabe israélien et d’une mère palestinienne, est un ancien journaliste majeur du Jérusalem Post. Il a signalé que depuis hier, sa page Facebook a été désactivée. Suite a des plaintes de l’autorité palestinienne et des services de sécurité jordaniens au sujet de ses articles traitant de la corruption, Facebook a pris «les mesures nécessaires et efficaces pour censurer

Je suis pour la transparence, la lutte contre la corruption, et pourtant ils censurent mon compte et continuent d’autoriser le chef du Hamas à avoir un compte. Je ne suis pas en faveur du terrorisme comme lui l’est.

Mardi matin, Abou Toameh a déclaré : «tout ce que j’ai fait récemment est partager quelques articles qui ont été publiés dans la presse jordanienne (en arabe) sur la corruption.

Ceci est une tentative de me faire taire. Faire cela à un journaliste est très mauvais.» Facebook a envoyé l’email pro forma qui suit à Abou

Les actions de Facebook, un des plus important site internet de la toile, mais également un des plus grand gouffre financier de l’histoire, est de plus en plus connu pour ses censures arbitraires, visant en général ceux qui se lèvent contre ceux qui ne devraient pas exister sur ce site.

La suppression du compte de Toameh en est la preuve, alors que comme il le dit lui-même, Facebook héberge sans broncher des pages de terroristes islamistes. Jerusalemplus.tv avait également fait les frais de cette censure à l’époque, notre compte, comptant plusieurs milliers de membres ayant été supprimé sans aucune raison valable (peut être son nom ?), et sans aucune possibilité de la récupérer.

Obama : «Israël ne sait pas ce qui est bon pour lui»

Les gens qui s’intéressent à ce sujet savent que les relations entre Israël et la Turquie se sont détériorées, mais peu de gens savent que la Turquie est désormais non seulement ouvertement hostile à Israël mais aussi aux Juifs.

Vendredi dernier, le 11 janvier, un citoyen turc a pris une photo [à l’aide de son téléphone portable] pour montrer cette nouvelle réalité. Il a photographié une immense affiche avec cette phrase : « qui aimeriez-vous rencontrer si vous le pouviez » ?

Le seul visuel de l’affiche est une photo d’Adolf Hitler dont le nom est cité après ceux de Souleiman, Moustapha Kemal Atatürk, Napoléon Bonaparte, les Beatles, Elvis Presley, Vladimir Lénine, Boris Eltsine, Leonardo Da Vinci, Arnold Schwartzenegger et Michaël Jackson. Seul une énorme photo d’Hitler illustre l’affiche.

Selon Ege Berk Korkut,, un écrivain turc et actif blogueur [NDT : très courageux], ce sont les propriétaires du

centre commercial Saphir, un groupe d’hommes d’affaires turcs tout dévouées à Erdogan qui ont placé cette affiche dans leur centre. Korkut a expliqué à la presse juive que le Centre Saphir est un centre commercial de luxe situé dans le quartier Levent, le quartier le plus riche d’Istanbul.

L’immeuble qui abrite le centre commercial est l’un des plus hauts d’Europe. Korkut a déclaré que quelques personnes se sont plaintes de cette affiche mais que la direction a refusé de l’enlever, la plupart des visiteurs y jettent un bref coup d’oeil en continuant leur shopping. Cette immense photographie d’Adolf Hitler suspendue dans l’équivalent turc du plus grand centre commercial de Las Vegas ou de New York n’a rien de surprenant ou même qui puisse susciter le plus petit début d’intérêt pour les Turcs.

Lire la suite de l’article en anglais Signalé par Ugo Volli Traduit par Danilette

Le premier ministre Benyamin Netanyahou dirige son pays vers un isolement quasi-total, a déclaré le président américain Barack Obama après qu’Israël eut annoncé qu’il allait entreprendre de construire dans la zone E1, peu de temps après la démarche unilatérale de l’AP aux Nations Unies.

Selon Bloomberg, lorsqu’il a été informé sur la décision du gouvernement israélien de construire de nouveaux logements entre Jérusalem et Maalé Adumim, le leader américain «ne s’est même pas mis en colère.

Il a dit à plusieurs personnes que ce genre de comportement de la part de Netanyahou est ce qu’il attendait, et a suggéré qu’il était devenu habitué à ce qu’il voit comme des politiques vouées à l’échec de son homologue israélien.»

Le rapport de Jeffrey Goldberg dit que dans les semaines suivant le vote à l’ONU, Obama a dit en privé et de manière répétée, «Israël ne sait pas où sont ses propres intérêts», ajoutant qu’à chaque nouvelle annonce de

constructions, Netanyahou entraîne Israël vers un isolement quasi-total.

Goldberg écrit que «si Israël, un petit état dans une région inhospitalière, devient un paria, qui s’aliène même l’affection des Etats-Unis, son dernier ami fidèle, il ne survivra pas.

L’Iran pose un problème existentiel à court terme pour Israël, le propre comportement d’Israël en pose un à long terme.» «Sur les questions relatives aux palestiniens, le président semble considérer le premier ministre comme un politique lâche, un chef de file essentiellement incontesté qui est néanmoins peu disposé à diriger ou dépenser son capital politique pour faire avancer la cause d’un compromis,» selon le journaliste de Bloomberg.

Goldberg dit que ce qu’Obama veut, c’est la reconnaissance par Netanyahou que la politique de construction de Netanyahou exclue la possibilité d’une solution à deux états, et il veut que Netanyahou reconnaisse qu’une solution à deux états est la meilleure chance de préserver le pays avec une

majorité juive et démocratique.

«Obama veut, en d’autres termes, que Netanyahou agisse dans l’intérêt d’Israël,» écrit-il. «Jusqu’à présent, cependant, il n’y a eu aucun signe que le gouvernement israélien a une meilleure compréhension du monde dans lequel il vit,» déclare Goldberg.

Venant de la part d’Obama, ou d’un journaliste juif américain acquis à la cause de l’extrême gauche israélienne, nous comprenons que ces déclarations ne mènent nulle part.

Obama demande à Israël de parler avec des terroristes quand lui-même se vante d’avoir éliminé Ben Laden.

Obama comprend peut-être dans quel monde il vit, et agit en conséquence, mais refuse à l’état juif de faire de même. On en viendrait à espérer que le Mexique finisse par réclamer aux Etats-Unis les immenses territoires que ces derniers leur ont volé il y a 150 ans, et de voir alors la réaction d’Obama…

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L’acharnement de l’Union européenne contre Israël tous les pays de l’Union, mais Catherine Ashton, « haut représentant de l’Union pour les affaires étrangères », y travaille. Outre l’appui de la France, qui semble avoir joué un rôle décisif, madame Ashton dispose du soutien du Royaume Uni et de l’Allemagne.

La France, avec l’appui plus ou moins explicite de l’Union Européenne, mène la guerre contre les islamistes de l’Azawad : un an après avoir tout fait pour que les islamistes prennent le pouvoir en Libye, et avoir livré à cette fin des armes aux islamistes libyens.

Les islamistes de l’Azawad venant pour partie de Libye et y ayant acquis une bonne part de leurs armes, cela fait que les soldats français ont en face d’eux des gens qui disposent d’armes françaises pour tirer sur eux : comme l’a dit le journaliste américain Daniel Greenfield, jamais, sans doute, l’intervalle de temps séparant le moment où un pays arme ses ennemis et le moment où ces ennemis utilisent les armes fournies pour tirer sur ses troupes n’a été si court.

Tout en menant la guerre contre les islamistes de l’Azawad, armés grâce au soutien français aux islamistes en Libye, la France, comme l’Union Européenne, continue à pratiquer l’apaisement vis-à-vis des islamistes du Hamas et du Hezbollah, et elle continue aussi, comme l’Union Européenne, à apporter son soutien à des gens guère plus présentables que les

islamistes de Libye, de l’Azawad, du Hamas ou du Hezbollah : les dirigeants de l’Autorité Palestinienne.

Et quelques jours après que Mahmoud Abbas ait manifesté son affection renouvelée pour un ardent partisan de la « solution finale » en Europe, Amin Al Husseini, on apprend que la France et l’Union Européenne sont en train d’élaborer un plan destiné à apporter une « solution » aux problèmes du Proche-Orient tout à fait conforme aux souhaits de Mahmoud Abbas luimême.

Ce que ne voient pas la France et l’Union Européenne est que cette « solution », va se heurter à un obstacle : le fait qu’Israël est un Etat souverain, et n’entend pas se faire dicter sa conduite. Quelle est cette « solution», direz-vous ?

Un plan de « paix », bien sûr, destiné à imposer à Israël un Etat palestinien, dirigé par Mahmoud Abbas, ou par un membre de son entourage, dans les « frontières de 1967 », avec « Jérusalem Est » pour capitale, et, apparemment, passage des lieux saints sous contrôle « palestinien ». Ce plan de « paix » n’a pas encore le soutien de

Avant d’avoir obtenu l’accord de l’Union Européenne entière (ce qui, semble-t-il ne saurait tarder), madame Ashton a déjà commencé à agir pour que le plan de « paix » soit entériné par la Jordanie, par le Qatar, et par l’Egypte de Mohammed Morsi.

Et bien évidemment la Jordanie, où les Frères musulmans se rapprochent du pouvoir, le Qatar qui finance le Hamas, et l’Egypte régie aujourd’hui par le Frère musulman Mohammed Morsi, entérinent.

L’administration Obama pourrait se rallier au plan de « paix » européen : après les élections israéliennes.

Dès le lendemain des élections israéliennes, Mahmoud Abbas et son entourage entendent, avec l’appui de l’Union Européenne, saisir le Conseil de Sécurité des Nations Unies aux fins que celui-ci condamne les « colonies » israéliennes qui empêchent la Judée Samarie d’être judenrein, et ils entendent s’exprimer aux Nations Unies en tant qu’ « Etat de Palestine ».

La gauche israélienne, Tzipi Livni en tête, aimerait revenir au pouvoir pour proposer son propre plan, qu’on imagine très proche du plan de l’Union Européenne, et travailler pour cela avec les « modérés » de la région, Mahmoud Abbas et son entourage devant venir en tête de liste sans doute.

Mais la gauche israélienne n’est pas au pouvoir aujourd’hui et ne le sera pas demain. Seules Tzipi Livni et la gauche israélienne sont assez stupides ou suicidaires pour imaginer que Mahmoud Abbas et son entou-

L’esprit et la culture résiste à la haine

La preuve, ce reportage en Tunisie.

Qui aurait pu penser en effet que dans ce pays où règne parfois le désordre et la confusion, une conférence sur le judaïsme aurait attiré autant de participants voir de curieux?. L’abattage rituel Cachère comparé au Halal ou encore la Cacherout (lois alimentaires) ont suscités un vif intérêt durant les journées du judaïsme organisées du 10 au 13 janvier dernier au nouveau musée du judaïsme tout près de Tunis. Ce moment exceptionnel de partage a été marqué par la présence d’un certain nombre de personnalités dont Messieurs les Ambassadeurs de France, d’Allemagne, des Etats-Unis, M. le Délégué de Wallonie-Bruxelles, Mme l’ambassadeur de Serbie, Mme la consule honoraire du Mexique en

Tunisie… ainsi que des personnalités issues du monde religieux. Toutes ces personnalités ont tenu à êtres présentes aux côtés des responsables de la communauté juive, qui ne compte aujourd’hui que 1500 âmes. Le musée renferme des illustrations et des objets faisant référence à 5 thèmes majeurs : L’artisanat, la littérature, l’art (musique, cinéma et peinture), les scènes de la vie quotidienne (mariage, commerce, école…) et évidemment la religion proprement dite, que cela soit à travers des écrits, des parchemins et des objets. Différents thèmes de la vie juive furent abordés.

L’abattage rituel selon la Thora fut exposé par le Rav Daniel Cohen de Tunis. Quant au point de vue musulman, il fut exprimé par l’Imam de

Salammbô, Habib Boughuerara qui est également chercheur et féru de musique «juive maghrébine». Pour ma part, j’ai notamment évoqué les contraintes que rencontre en général l’abattage rituel en France et en Europe, tout en m’inspirant des enseignements et de la démarche du Grand Rabbin Emmanuel Chouchena zal et du Grand Rabbin David Messas zal qui furent à leur époque des partisans du dialogue avec les religions monothéistes. Ces moments d’échanges pour le moins intéressant, prouvent que le judaïsme et l’islam modéré, peuvent dialoguer et se respecter en toute intelligence.

Y.Lellouche

rage sont des « modérés», et qu’un Etat palestinien dirigé par ce genre de personnages pourrait vivre en « paix » avec Israël.

Seuls des gens qui pensent que l’électorat israélien est lui-même assez stupide et suicidaire pour voter majoritairement en faveur de Tzipi Livni et de la gauche israélienne peuvent imaginer que la gauche israélienne est susceptible de revenir au pouvoir dans le contexte présent. Plus largement, seuls des gens qui apprécient l’idée d’épuration ethnique dès lors qu’elle s’applique à des Juifs peuvent entériner l’idée d’une Judée Samarie judenrein.

Seuls des gens qui ont une haine viscérale pour le peuple juif peuvent imaginer qu’Israël acceptera les « frontières de 1967 » sans rappeler que ce ne sont pas des frontières, mais des lignes d’armistice tracées en pointillé au terme d’une guerre qui fut destinée à rayer Israël de la carte du monde.

Seuls des gens qui ont cette haine viscérale du peuple juif au point d’accepter l’idée que les lieux saints passent sous contrôle « palestinien » (et que le Kotel soit donc fermé aux Juifs) peuvent entériner l’idée d’un partage de Jérusalem selon les « frontières de 1967 », et l’idée d’un partage de Jérusalem tout court. Seuls des gens qui ont, de toute façon, un mépris total pour l’être humain, peuvent accepter ce que l’Autorité Palestinienne fait, par médias et livres scolaires interposés, des gens qui sont sous son joug.

La guerre contre les islamistes de l’Azawad est une exception au sein d’une attitude générale de la France et de l’Union Européenne. En général, les dirigeants européens acceptent de servir de paillassons pour les islamistes. Ce qui est « différent » en Azawad est qu’il y a l’uranium du Ni-

ger juste à côté. En acceptant, partout où il y a des islamistes, de servir de paillassons, les dirigeants européens ont imaginé acheter une paix par la soumission en Europe.

La « différence » de la situation en Azawad ne sera pas nécessairement perçue par ceux qui ont pris l’habitude de voir en les dirigeants européens des paillassons, et cela pourrait avoir de lourdes conséquences. En redoublant de servilité dans le dossier israélien, les dirigeants européens espèrent-ils montrer que l’Azawad n’est qu’une exception ?

Peut-être.

Qu’ils redoublent de servilité en s’acharnant contre Israël n’est, hélas, et en tout cas, que trop significatif.

Les Européens ont un vieux compte à régler avec les Juifs, et le compte n’est toujours pas réglé. C’est une histoire qui a dix-huit siècles. L’Europe chrétienne, pendant des siècles s’est acharnée sur les Juifs.

L’Europe des nationalismes européens s’est elle-même acharnée sur les Juifs, et on sait où cela a conduit.

L’Europe de l’Union Européenne a une façon nouvelle de s’acharner sur les Juifs en s’en prenant obsessionnellement à l’Etat juif et en tentant d’utiliser celui-ci comme un objet sacrificiel à offrir aux islamistes en signe de soumission.

Comme dit l’adage: plus cela change, plus c’est la même chose. Israël devra avoir un gouvernement fort au lendemain du 22 janvier. Israël devra être en position de résistance. Israël aura un gouvernement fort et sera en position de résistance. © Guy Millière

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Parachat Béchallah : Le passage de la mer Rouge

Les enfants d’Israël sortirent d’Egypte et campèrent à la demande de D-ieu devant «Baâl Tséfon» qui était la dernière idole qui n’avait toujours pas été frappé explique le Ben îch Haï. C’est d’elle que Pharaon à puisé l’audace de poursuivre les hébreux dans le désert…Mais ce campement se trouver aussi face à «Pi Ha H’irot» littéralement «la bouche de la liberté» allusion à la Thora, comme l’enseigne les Pirkei Abot : « N’est libre que celui qui étudie la Thora!». Avant que les eaux de la Mer Rouge ne s’écartent, les Béné d’Israël sont pris de panique, totalement désespéré : Pharaon et son armé composé de six cents chars sont lancés à leur poursuite ; face à eux ; une seule et unique issue : la mer. Que peuvent-ils entreprendre pour éviter le carnage et échapper à cette mort certaine?

Moise se concentre et adresse ses prières à D-ieu pour implorer son secours et jette un œil d’espéré en direction des enfants d’Israël pour les encourager à raffermir leur foi! Mais c’est aussi l’instant choisi par D-ieu pour repousser les prières de Moise et lui adresser ces reproches : «Lamâ Tit’sâak élaï» Pourquoi donc crie-tu vers moi?

Parle aux enfants d’Israël et qu’ils marchent, qu’ils quittent en un mot les «maâsim raâ’im» leur mauvaise conduite et qu’ils s’engagent dans la mer» explique le Rav Amnon Itsaac. La première des dix rebellions des enfants d’Israël va avoir lieu face à cette mer. Levant leurs yeux au Ciel, ils eurent une vision de «Ouzza», l’ange protecteur de l’Egypte qui planait au dessus du camp égyptien. Il avait été missionné du Ciel pour aider les Egyptiens…explique le Midrach. La situation des Hébreux semblait alors désespérée.

Le reproche qui est adressé par l’Eternel à Moise est tout à fait fondé : «l’heure n’est pas à la prière ou aux supplications, mais à l’action! Qu’ils avancent d’abord…qu’ils se jettent à l’eau.. Alors, celle-ci s’ouvrira devant eux!». La mer ne s’était pas encore fendue, mes les enfants d’Israël continuaient à avancer dans les flots, luttant contre les vagues car l’eau avait déjà atteint leur cou à l’image de Nahchon fils d’Aminadav qui le premier se jeta à l’eau. «Samaël» l’ange malfaisant tenta de persuader l’ange de la mer de les noyer à tous en avançant l’argument qu’ils ne méritaient pas d’être sauvés. Le Talmud raconte qu’Il dit à D-ieu : «Maître du monde, les hébreux n’étaient-ils pas des idolâtres en Egypte? Pourquoi méritentils des miracles? D-ieu répondit dans son infinie bonté : «Ont-ils servi ces

idoles de leur propre gré? Leur idolâtrie n’était que le résultat de l’esclavage terrible et de la confusion qui régnait alors dans leur esprit!. L’ange de la mer désavoué, accepta cette défense et dirigea sa colère contre les Egyptiens. Moïse étendit sa main en direction des vagues mugissantes et ordonna à la mer : «Au nom d’HM, ouvre-toi !» mais la mer n’obéit pas.

Elle ne voulut accepter de modifier les limites que lui avait justement fixées le Créateur lors des six jours de la création ; HM ordonna à Moise

de lever son bâton et de menacer la mer, tel un maître face à son esclave rebelle. Cependant, loin d’obtempérer, les vagues continuaient à enfler.

Alors la Chékhina – la Présence divine apparut sur la mer et celle-ci se fendit !. Cet événement est célébré à l’occasion du «Chabat Chira» dans toutes les synagogues où l’on récite avec ferveur le Cantique de la Mer Rouge et le Chant de Myriam la prophétesse. Lorsque les doutes l’assaillent, l’homme n’avance plus, il est tétanisé!. Nous le voyons également

au cour de l’épisode de la manne. Le verset dit : «Je vais faire pleuvoir pour vous du pain ; et le peuple ira ramasser chaque jour sa provision quotidienne…» Rachi précise que le peuple devait s’approvisionner chaque jour, uniquement ce qui était nécessaire pour sa subsistance journalière…à l’exception de toute provision complémentaire pour le lendemain. Les Sages de La Guemara affirment que Celui qui a créer le jour a également Créé la subsistance quotidienne pour chaque individu…et ajoutent que : «Celui qui a suffisamment de nourriture pour aujourd’hui mais s’inquiète de ce qu’il aura à manger le lendemain, manque de Emouna- foi envers D-ieu !». Lorsqu’un homme a une foi véritable en D-ieu et assimile que lui seul pourvoit à sa subsistance, il ne se fait aucun souci pour le lendemain. Il sait que son sort est entre les mains du Créateur et qu’en dépit de tous les efforts qu’il déploiera pour amasser des biens, il ne dépassera jamais les revenus que lui a réservés l’Eternel. A la faveur de cette conviction, il pourra vivre sans grande inquiétude, sans envier son prochain ou même se méfier de

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ceux qui pourraient l’empêcher de s’enrichir…C’est ce que dit en substance Ben Azai dans le Talmud Yoma : «Vous serez appelés par votre nom, installés à votre place et il vous sera remis ce qui vous revient. Jamais la part réservé à un individu ne sera altérée par un autre!» Rachi explique : «Ce qui revient à chacun n’est pas un «cadeau» provenant des autres, mais bien la part qui lui est impartie par Dieu ». C’est l’enseignement que l’on retient de la manne dispensée à nos pères dans le désert : «Quiconque a prit une portion plus importante que ses besoins, n’en profitera pas plus, et celui qui en prit moins n’en manquera pas!» On pourrait ainsi penser, fort de cette équation, que travailler sans relâche pour «consacrer sa vie à la gagner» ne risque pas d’améliorer les chances de s’enrichir…Ainsi, chacun reçoit de l’Eternel, la part qui lui revient. Puisse-t-il nous réserver une bonne part!

Yvan Lellouche

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Mali : Le Gaza français – de gauche comme de droite – qui justifient cette intervention peuvent s’appliquer à la situation qui prévaut à Gaza.

Pourtant, deux poids deux mesures.

Nous savons tous que la situation à Gaza est très volatile et qu’elle représente un réel danger pour des millions d’Israéliens.

Ainsi, le président Hollande estime que l’intervention française au Mali était devenue obligatoire « pour empêcher qu’un nouveau foyer terroriste ne se développe aux portes de l’Europe. » Le tableau est ainsi présenté : nulle lutte globale contre l’Islam, mais seulement l’envie de combattre l’atrocité du terrorisme.

mètres ne représentent pas une distance suffisante afin de se sentir protégé. La distance entre Gaza et Israël est de 0 kilomètres.

Je ne peux m’empêcher de constater que lorsque Israël se défend contre les missiles envoyés par les terroristes du Hamas de Gaza sur les villes de Jérusalem et de Tel Aviv, les médias français crient à l’agression israélienne. Pourtant, dans ce cas aussi, il ne s’agit que de combattre des terroristes qui désirent tuer des civils. 875991-france-mali La distance entre Bamako et Paris est de 6266 kilomètres.

On aurait pu penser que cette distance permettrait aux autorités françaises de relativiser le danger. Mais non : le danger du terrorisme est tel que même plusieurs milliers de kilo-

Tout cela pendant que la France envoie ses Rafales ! Cette situation ne fait que révéler l’hypocrisie des européens dans leur attitude envers Israël.

D’une part, Paris intervient avec force, d’autre part, le Hamas n’est toujours pas reconnue comme une organisation terroriste par les mêmes autorités !

De fait, les deux possèdent une frontière commune. Pourtant, dans ce cas aussi on demander aux Israéliens de ne pas intervenir, ne pas s’inquiéter, négocier…

Paris considère également que la Hezbollah n’est pas une organisation terroriste ! Selon moi, il n’existe pas de signe plus évident de l’hypocrisie dont est victime Israël que l’intervention française au Mali. Les déclarations récentes des autorités politiques

Pourtant, ce n’est qu’au Mali que la France trouve logique d’intervenir d’une façon énergique (en deux jours, les raids français ont fait plus de victimes que la récente guerre de Gaza !) Les islamistes au Mali inquiètent les autorités françaises. Des menaces sérieuses planent maintenant sur les Français, peu importe où ils se trouvent dans le monde.

Le Président Hollande est prêt à mette la population de son pays en danger pour supprimer des islamistes qui logent à plusieurs milliers de kilomètres de Paris. Pourtant, c’est à Jérusalem qu’on demande d’accepter de recevoir les missiles des terroristes du Hamas, sans réagir.

Sans doute, l’islamisme vient de s’inviter sur le sol français afin de donner un léger goût de ce que vivent les israéliens dans leurs pays. Il faut espérer que des attentats n’auront pas lieu en France ou ailleurs contre des Français. Si cela se produisait, l’Élysée pourrait demander à Jérusalem de lui envoyer des déclarations de condamnation. En Israël, le terrorisme est malheureusement une habitude.

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Air France au tribunal pour avoir refusé de transporter une activiste propalestinienne en Israël

La compagnie aérienne Air France comparaitra jeudi devant le tribunal de Bobigny, poursuivie pour discrimination par une étudiante pro-palestinienne, débarquée d’un vol vers Tel Aviv en avril dernier.

La militante, Horia Ankour, poursuit en effet la compagnie aérienne française pour discrimination, lui repreochant d’avoir refusé de la transporter en israël dans le but de se rendre dans les Territoires sous contrôle de l’Autorité palestinienne.

Ankour affirme avoir été empêchée de monter sur un vol Nice-Tel Aviv le 15 avril 2012 pour participer à la flotille aérienne anti-israélienne dont l’ultime destination devait être Bethléhem. Ankour affirme qu’une hôtesse lui a demandé si elle était «juive ou israélienne» et qu’elle a répondu qu’elle n’était ni l’une ni l’autre.

Ankour ajoute que 29 activistes se trouvaient à bord de l’avion et que 21 d’entre elles ont été «détenues à l’aéroport de Nice à la demande des autorités israélienne», les autres ayant été arrêtées à leur arrivée à l’aéroport Ben Gourion près de Tel Aviv et expulsées quelques jours plus tard.

Un porte-parole d’Air France a dé-

claré que la compagnie nationale a agi conformément à la convention de Chicago qui impose aux compagnies aériennes de refuser de transporter des passagers qui sont déclarés «persona non grata» dans le pays de destination.L’association avait déposé plainte quelques jours plus tard pour discrimination, le procès devant s’ouvrier jeudi 17 janvier à 13h00 devant le tribunal correctionnel de Bobigny.

Air France avait expliqué que comme toute compagnie aérienne et au nom de la Convention de Chicago, elle devait refuser l’embarquement de toute personne « déclarée inadmissible » par le pays de destination ». Selon Mme Ankour, le pilote lui avait dit que s’il décollait quand même, il prenait le risque d’être interdit d’atterrissage à Tel Aviv.

La compagnie de l’alliance SkyTeam n’avait pas été la seule impliquée dans l’affaire : sur les 1500 militants attendus à Bethléem, plusieurs centaines figuraient sur des « listes noires » envoyées par Israël aux compagnies aériennes. Lufthansa, Turkish Airlines, Austrian Airlines ou les low cost britanniques Jet2.com ou easyJet (pour celles connues), s’y étaient soumises.

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Dôme de Fer : une nouvelle version en cours de test L’Iran va déployer des navires zones habitées. En règle générale, deux intercepteurs sont tirés contre toute menace entrante, et si le premier intercepteur exécute sa tâche avec succès, le second est alors autodétruit au-dessus d’une zone inhabitée.

de guerre en Méditerranée

L’année dernière, Israël et les EtatsUnis ont testé le système de défense Fronde de David, conçu pour arrêter des roquettes à longue portée et des missiles de croisière, donnant au pays un bouclier défensif actif contre l’arsenal du Hezbollah. Lors du test, une batterie Fronde de David stationnée dans le sud d’Israël a tiré un missile intercepteur à deux étages et arrêté le missile test.

Le ministère de la défense organise une série de tests d’une version améliorée du système de défense anti-missiles Dôme de Fer, en collaboration avec le fabricant Rafael Advanced Defense System.

Les mises à jour sont conçues pour donner au Dôme de Fer des «capacités améliorées, contre une gamme de menaces sans précédent,» a déclaré lundi le ministère de la défense. «Le test, qui a été achevé avec succès, conduira à une mise à niveau des capacités opérationnelles du Dôme de Fer,» a-t-il ajouté.

Une batterie Dôme de Fer déjà améliorée, qui est capable d’intercepter des projectiles avec une plus longue portée, a été déployée pendant l’opération Pilier de Défense en novembre pour défendra la région de Tel Aviv.

Le système a abattu plusieurs missiles Fajr 5 à moyenne portée de fabrication iranienne tirés par les terroristes de la bande de Gaza sur le centre d’Israël.

La force aérienne a déployé cinq batteries Dôme de Fer pendant le conflit de Gaza. Elles ont réussi à intercepter plus de 90% des roquettes palestiniennes qui se dirigeaient vers des

Le système est conçu pour combler l’écart entre le Dôme de Fer, de courte portée, et le programme Arrow 2, capable de détruire des missiles balistiques à longue portée. Les responsables de la défense estiment que la Fronde de David sera opérationnel en 2014. Un système additionnel, l’Arrow 3, interceptera des missiles balistiques dans l’espace une fois qu’il sera opérationnel. Ces trois systèmes, protégeant Israël des missiles à courte, moyenne et longue portée, sont uniques au monde et font d’Israël le seul pays à être protégé contre ces menaces multicouche.

Rapport d’information: Damas dispose de 500 missiles Scud visant Israël Selon le rapport, l’armée est en état d’alerte le long de la frontière, de crainte qu’Assad utilise les missiles contre Israël. Le rapport intervient un jour après les informations stipulant que le président syrien Bachar al-Assad a demandé à ses principaux généraux militaires d’attaquer Israël s’il devait être assassiné.

La Syrie dispose de 500 missiles Scud visant Israël, selon le rapport de la chaîne israélienne Channel 2, citant les médias libanais, Channel 2 indique que ces derniers jours

plusieurs forces syriennes ont déployé des missiles de fabrication russe près de la frontière avec l’État juif.

Lors d’un discours prononcé le mois dernier lors d’une conférence donnée à la Force aérienne israélienne, Netanyahou a répondu aux préoccupations entourant la Syrie, affirmant qu’Israël « surveillait de près les développements en Syrie et ferait tout en son pouvoir pour se protéger contre cela et toute autre menace ».

L’Iran envisage de déployer sa «24e flotte», composée d’un sousmarin et d’un navire de guerre, en mer Méditerranée, en mer Rouge et dans le canal de Suez, a rapporté jeudi l’agence de presse semi-officielle Press TV, citant le commandant de la marine iranienne, l’amiral Habibollah Sayyari.

«Les navires de guerre de la 24e flotte de la marine vont patrouiller dans la mer Rouge, le canal de Suez et la mer Méditerranée pendant trois mois,» a déclaré Sayyari. Il a déclaré que le but du déploiement iranien est de patrouiller en haute mer et d’afficher les «grandes capacités» de la dictature

islamique, ajoutant que les navires «vont contrer toute menace contre les intérêts de l’Iran».

Le commandant de la marine iranienne a déclaré que la présence de l’Iran en mer Rouge renforcerait la sécurité de tous les pays. «Nous annonçons que nous sommes en mesure d’assurer la sécurité dans la région avec l’aide de tous les pays voisins,» a-t-il dit. Les navires vont également patrouiller «dans le nord de l’océan Indien, le golfe d’Aden, Bab el-Mandeb… et même aussi loin que des pays du sud-est de l’Asie,» a rapporté Press TV.

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Complicité entre l’Elysée et le CFCM

Par solidarité avec Charles Enderlin le Syndicat national des journalistes s’égare Philippe Karsenty a été rejugé le 16 janvier dernier suite à la décision de la Cour de Cassation de février 2012 de défaire le verdict de la Cour d’Appel prononcé en sa faveur le 21 mai 2008.

Par:Victor Perez En vu de ce nouveau procès, le Syndicat national des journalistes (SNJ) a décidé d’appeler à manifester par Solidarité avec Charles Enderlin. Outre que voir des journalistes manifester pour tenter d’influencer le cours de la Justice lire cet appel est plus que sidérant !

Si d’emblée le SNJ disculpe, sans aucune démonstration, l’envoyé permanent de France 2 à Jérusalem « injustement accusé, poursuivi et harcelé pour son reportage sur la mort de Mohammed Al Dura, un jeune Palestinien de 12 ans, tué à Gaza le 30 septembre 2000 », il omettra toutefois de rappeler la nationalité de ses assassins !?

Que n’a-t-il interrogé auparavant son champion ? Il aurait appris que ‘’seuls les israéliens’’ en sont, à ce jour, accusés par celui-ci ! Si Arlette Chabot, alors Directrice de la rédaction de France 2, avait quelque peu laissé entendre la responsabilité ‘’pa-

lestinienne’’, ce ne fut jamais le cas de Charles Enderlin.

Le SNJ n’est donc pas totalement solidaire de la version de son protégé ! Autre incohérence de la part de ce syndicat censé pourtant agir selon la déontologie professionnelle. Celui-ci qualifie, d’entrée de jeu, les détracteurs d’Enderlin d’individus « acharnés » qui « ont tenté de le discréditer, le salir, le faire condamner ». Une plainte a-t-elle été déposée contre celui-ci ?

Quand ? Où ? Par qui ? Est-ce une information ou le SNJ est-il très mal instruit de l’affaire ? Le risible est atteint lorsqu’il est écrit que « Son reportage, qui a fait le tour du monde et sert toujours de référence, est cependant encore l’objet d’attaques en justice ». L’inversion de la réalité est ici totale ! Jusqu’à preuve du contraire, c’est bien Philippe Karsenty qui est « encore l’objet d’attaques en justice ».

Devant cette énormité, faut-il s’étonner alors du silence de ce syndicat, premier de la profession, sur l’attitude des « plus de 150 délégués de toutes formes de presse qui ont signé la pétition : «Charles Enderlin, l’honneur d’une rédaction» » en 2007 mais qui n’ont jamais dispensé jusqu’à ce jour, aux différents lectorats, la version de

Philippe Karsenty ? Celle-ci restera inconnue du grand public, y compris celui de France 2 quand bien même la Cour d’Appel avait prononcé en mai 2008 la relaxe !

Qui a parlé d’éthique dans ce milieu ? Pour conclure son invitation à manifester, le syndicat affirme que « Nous avons donc la possibilité de témoigner de notre solidarité avec notre confrère et de notre exigence pour une information de qualité, dont il est un des symboles ». Le ridicule est ici atteint ! Au vu de ce qui précède, seuls ceux qui sont convaincus de l’honnêteté intellectuelle de ce syndicat s’y inscriront aujourd’hui !

Les autres attendront patiemment le 03 avril prochain pour connaître son attitude.

Quelle sera-t-elle alors si, comme la précédente Cour d’Appel, son « symbole » voit de nouveau « l’acharné » Philippe Karsenty être relaxé ? Serat-elle cette fois-ci de qualité car autorisant la diffusion du verdict ou une nouvelle fois médiocre car muette et complice d’une désinformation ? Que ceux qui rêvent d’une information digne de ce nom se réveillent !

Publié par Victor PEREZ

Jusqu’à quand l’acceptation des coutumes islamistes en France ? la caisse d’Auchan.

J’ai été qualifiée de « raciste » par la caissière, les autres clients m’ont dit « il faut respecter ses coutumes ! ».

Sur ce j’ai répliqué que si « ses coutumes » étaient d’être anthropophage, seraient-ils prêts à lui donner leurs enfants à manger ?

Malgré la loi sur la défense du port du voile intégral, à la Défense (région parisienne) il ne se passe pas un jour sans qu’une voilée fasse tranquillement ses courses aux 4 temps. Il y a pourtant un commissariat, mais personne ne fait quoi que ce soit !

J’ai eu le malheur de faire une remarque à “niquabée”, qui se trouvait derrière moi, qui m’avait bousculée alors que nous attendions de passer à

La “niquabée” en question a fait de grands gestes en m’invectivant avec l’accent des jeunes « ziva » de banlieue ! « hé maa daaame t’es une grosse pute raciste, j’suis muzzulmane, en France on est laïque ! » J’avoue que j’ai été assez surprise par le mot « laïc » dans sa bouche.

Je m’en suis bien sortie, j’ai pu régler mes courses sans être lynchée par la foule ! Je ne sais pas si quelqu’un a appelé la police pour me faire embarquer ! A les entendre c’est à moi qu’on devrait coller un pv pour non respect de l’islamisme !

Ah oui, j’allais oublier, un des vigiles m’a demandé de me taire ! Par contre

pas un mot à l’islamiste voilée, doisje en déduire que c’était sa sœur ?

Une bonne nouvelle, tout de même, une Tunisienne de 57 ans venue faire ses courses au Carrefour du centre commercial Chelles 2 , à Chelles, en niqab, un voile couvrant la totalité du corps et ne laissant voir que les yeux, a créé l’émoi dans les rayons du magasin.

Certains clients choqués par cet accoutrement interdit dans un lieu public par la loi Copé l’ont signalée à la sécurité du magasin, qui a appelé la police nationale.

Les policiers, parmi lesquels se trouvait une femme, ont obtenu sans difficulté que la quinquagénaire, actuellement hébergée par des membres de sa famille à Montfermeil (Seine-SaintDenis), se dévoile pour contrôler son identité. Elle a ensuite été conduite au commissariat où elle s’est vue infliger une amende (150€) pour port du voile intégral dans un lieu public.

Kabyles.net

Imaginons qu’un individu de confession juive commette un attentat. Il sera évidemment poursuivi, attrapé, jugé, condamné voire dans certaines contrées pendu haut et court sans autre forme de procès. par:Victor Perez Il va de soi, également, que nul n’associerait le Judaïsme à son acte barbare. Il en serait de même si ce sinistre individu s’était prévalu du Christianisme, du Protestantisme, du Bouddhisme, du Mormonisme ou de la Scientologie. Pas un média, un politique ou une association n’envisageraient, un seul instant, d’attribuer la responsabilité de l’attentat à la religion du terroriste.

Mais lorsque les terroristes se prévalent de l’Islam, chacun à travers la planète, ou presque, y voit la main néfaste de cette religion dans l’acte ignoble commis. N’est-ce pas là l’aveu incontournable que le subconscient commun a, pour le moins, une piètre opinion de celle-ci ?

Une si mauvaise appréciation qui contraint Le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM) à saluer, dans un communiqué, le Président de la République, François Hollande d’avoir « évité à juste titre, dans son allocution consacrée au soutien de la France aux forces armées maliennes, de qualifier d’islamistes les éléments terroristes visés par l’intervention » car « l’usage abusif des termes ‘’islamiste’’ ou ‘’islamisme’’ (…) nourrit l’amalgame entre le terrorisme et l’islam, religion de paix qui sacralise la vie, (et) porte atteinte à l’image de la foi musulmane ».

Ainsi, ces terroristes se réclamant de l’Islam et ayant installé la sharia dans le nord du Mali ont été débaptisés par le Président de la République de peur ‘’d’attenter’’ à cette foi de « Paix, d’Amour et de Tolérance » ayant

comme code ‘’civil’’… la même sharia que celle imposée par ces terroristes ‘’sans foi’’. François Hollande, dans son allocution télévisée s’interroge également : « Que faire des terroristes au Mali ? Les détruire. Les faire prisonnier si c’est possible ! ».

S’il n’indique pas selon quel rite les ensevelir ni si il leur sera permis de vivre leur Islam lors de leur emprisonnement, tout quidam restera pantois de cette collaboration entre le pouvoir politique français (pas seulement) et la religion musulmane représentée, en France, par le CFCM ! Un culte qui se présente comme étant de ‘’Paix, d’Amour et de Tolérance ’’ et qui n’a jamais blâmé, un exemple parmi tant et tant d’autres, le célèbre et très respecté prédicateur Youssef al-Qaradâwî pour ses multiples prises de positions à la légalité douteuse.

Ainsi, ce Président de l’Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas) et membre du Conseil Européen pour la Recherche et la Fatwa, a affirmé sur les ondes qu’Hitler n’était qu’un ‘’messager’’ d’Allah : « Tout au long de l’histoire, Allah a imposé [aux Juifs] des personnes qui les puniraient de leur corruption. Le dernier châtiment a été administré par Hitler. Avec tout ce qu’il leur a fait et bien qu’ils [les Juifs] aient exagéré les faits- il a réussi à les remettre à leur place. C’était un châtiment divin.

Si Allah veut, la prochaine fois, ce sera par la main des musulmans ». « La seule chose que j’espère, au crépuscule de ma vie, c’est qu’Allah me donne l’opportunité d’aller au pays du jihad et de la résistance, ceci même sur un fauteuil roulant. Je tuerai les ennemis d’Allah, les Juifs ».

Qui imaginera, alors, le Président de la République Française qualifiant publiquement ce terroriste « d’islamiste » ? Pas le CFCM !

Publié par Victor PEREZ

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

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Mariage pour tous progrès ou régression ou «le mariage gay c’est pas la joie»

Que réservent pour l’avenir de nos enfants les partisans du mariage pour tous. Les homosexuels ne représentent qu’une minorité de la société française,alors pourquoi l’état fait il le prosélytisme de l’homosexualité Est ce seulement un fait sociétal . par: Sammy Ghozlan Dans ce monde qui a tué D.ieu n’est ce pas plutôt surtout une forme de déligitimation d’une institution prônée par les religions monothéistes. .Au commencement Adam est façonné par l’Éternel, mâle et femelle à la fois . Ne trouvant pas les êtres (les animaux) à son goût, D..ieu lui crée une compagne en séparant la cote de l’homme.Adam et Eve s’unissent et donnent naissance à 3 fils et 3 filles.

Paris condamne Israël qui va construire 198 appartements dans les territoires disputés gale. La France rappelle que la poursuite de la colonisation a un impact très négatif sur la confiance entre les parties, qu’elle alimente les tensions sur le terrain et constitue un obstacle à la paix”, a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay. En ce qui concerne la confiance entre les parties, je pense nécessaire de faire l’éducation du ministère des Affaires étrangères.

Paris condamne le projet de 198 logements dans les localités juives des Territoires disputés : “une décision provocatrice et illégale”.

Le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères a sévèrement condamné mercredi, lors de son point de presse quotidien, la publication par le gouvernement israélien d’un appel d’offres en vue de la construction de 198 logements dans les localités juives des Territoires disputés.

“La France condamne la publication par le gouvernement israélien d’appels d’offres en vue de la construction de 198 nouveaux logements dans deux colonies du sud de la Cisjordanie. Elle est particulièrement inquiète de l’impact de ces deux projets sur la contiguïté territoriale d’un futur État palestinien.

Elle demande par conséquent au gouvernement israélien de revenir sur cette décision provocatrice et illé-

1 – je les engage à regarder le nouveau logo de « l’Etat palestinien » choisi par Mahmoud Abbas. A moins que ces messieurs du Quai d’Orsay soient myopes, ils constateront où sont les contours de « l’Etat Palestinien » : fatah-logo2 2- j’indique à ces messieurs des Affaires étrangères qui décidément ont besoin de mieux travailler leurs dossiers, que Mahmoud Abbas a déclaré, il y a un an, que « l’Etat Palestinien » sera interdit aux juifs, alors que dans le même temps il réclame que ses « réfugiés » aient le droit de venir vivre en Israël. En conclusion provisoire, je recommande aux hauts-fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères de s’occuper de leurs fesses. Q uand on intervient à plus de 5 000 km contre des islamistes qui ne les menacent pas directement, qui ne promettent pas d’effacer la France de la carte, et qui ne cherchent pas à commettre des attentats terroristes sur le sol français, on ne la ramène pas contre Israël qui a les islamistes à sa porte. Quand on déclare que, je cite

Le Drian : « on ne peut pas négocier avec les islamistes » (la libération de l’otage Denis Allex), on ne demande pas à Israël de négocier avec ces mêmes islamistes.

Quand on déclare que, je cite Le Drian : « il n’est pas question de laisser un état terroriste se créer aux portes de la France », on ne tente pas d’imposer à Israël qu’il accepte la création d’un état terroriste à sa frontière.

Quand, enfin, l’armée française tue 148 personnes, y compris des soldats de l’armée malienne, des civils, des femmes et des enfants, lors du premier bombardement aérien sur le Mali, soit beaucoup plus qu’après les 1500 frappes d’Israël sur Gaza en 8 jours, on évite d’adopter une posture de donneur de leçons. En seconde conclusion provisoire, je leur indique que lorsqu’on aura besoin de leur avis, on les sifflera. Pour l’instant, qu’ils retournent à la niche. Et en conclusion définitive, je leur dis :

© Albert Bertold

La première famille se reproduit et donne naissance à l’humanité. Il n’y a rien de nouveau sur cette terre.

Ceux qui prétendent vouloir instaurer une autre forme de vie socio-familiale, savent- ils qu’avant eux, déjà du temps de Abraham,il y a 3825 ans, les hommes et les femmes de l’époque, qui respectaient certaines règles, avait évolué sur le plan des relations, de l’amour entre deux personnes et du sexe,les modèles de l’époque étaient les villes de Sodome et de Gomorrhe.

Déjà seul le sexe prédominait dans les relations humaines .

Sans complexe, sans retenue, presque comme un devoir d’avoir des relations sexuelles avec l’homme ou la femme entrée dans la ville.N’est ce pas de là que vient l’expression de SODOMIE. Déjà à Sodome , les hommes voulaient se marier entre eux, les femmes entre elles. Nous savons ce qui en est advenu.Ces villes et leur société ont été englouties. L’histoire démontre que chaque fois qu’une civilisation arrive à son apogée,l’homosexualité se débride.

Ce fut le cas de la Grece antique, de la Rome antique, Elles ne sont plus qu’antiques. Il en fut de même de l’Espagne des «gentils» ou de la Turquie des eunuques. L’homosexualité a toujours existé, à toutes les époques et de tout temps. faut il pour cela cela en faire la référence de notre société.Le rôle d’un gouvernement est il de promouvoir ce type de société,et faire le prosélytisme de l’homosexualité. Il est intéressant d’observer que ceux qui prônent le mariage des homosexuels

sont les mêmes qui ont travaillé à la dégradation de l’institution du mariage .

Ceux qui militent pour la défense de la nature,pour la traçabilité du moindre morceau de viande, ou d’un tout petit pois,,sont les mêmes qui œuvrent à dénaturer l’être humain.

Ils défendent l’avortement appelé interruption volontaire de grossesse,mais ils réclament l’adoption , et la procréation assistée. Ils se battent pour les droits de l’enfant,et pourtant lui imposent sans lui demander son avis, d’avoir 2 pères ou 2 mères. Contradictions , absurdités.

La famille, d’aujourd’hui a constitue la base de la société. Elle nous différencie de ceux qui se passe chez les animaux, ou les groupes sociaux barbares, guidés par l’instinct, la pulsion.

Ceux à quoi nous conduisent les tenants du mariage pour tous, n’est pas un progrès mais une réelle régression . Certains leaders de la communauté juive déclarent qu’en bon républicains, si la loi est votée, ils la respecteront.

Ainsi si une loi décide demain de marcher sur la tête, obéiront t’ils aussi.Il est évident que les familles traditionnelles vont rencontrer des problèmes que la loi va leur poser. Ainsi lorsque que la majorité était encore fixée à 21 ans, les parents exerçaient leur autorité jusqu’à ce moment. Du jour où elle a été de 18 ans, combien de parents n’ont ils pas entendu leur enfant dire « J’ai 18 ans, je suis majeur, je fais ce que je veux «...

Si la loi sur le mariage est votée, nul doute qu’elle va ouvrir la porte à des conflits , une permissivité incontrôlable, et un éclatement de la société.

Pour parer à tout risque de destruction de notre conception de la famille juive,le discours des hommes de religion , prononcés en direction des politiques doit s’accompagner sans délai d’actions envers toutes les familles de la communauté, sans distinction de leur degré de pratique.

Il y va de la perpétuation de notre espèce humaine, autant que de la continuité intelligente des valeurs en général et juives en particulier.La longue expérience de notre société a abouti à considérer que le mariage, l’union d’un homme et d’une femme.

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

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Israël: pour en finir avec le défaitisme

Israël est le seul pays au monde dans lequel l’immense majorité de la classe politique cherche des «plans» qui ont pour objectif une perte de souveraineté territoriale.

Par: Frédéric Sroussi Même les partis de droite (à part Otzma Le Israël) propose soit de se retirer de certains «territoires», soit d’offrir une autonomie même partielle (mais réelle) aux arabes palestiniens de Judée-Samarie («Cisjordanie»). À droite, l’idée du «grand Israël» a totalement été enterrée au profit du concept du «moins petit Israël possible». Il est grand temps que l’esprit d’Oslo qui a gangrené toutes les forces vives du pays soit radicalement éliminé. Ne parlons plus de

concessions territoriales !

Un pays aussi exiguë qu’Israël ne peut se permettre de jouer avec la superficie de son territoire sauf à vouloir se suicider. Retrouvons l’appétit d’un conatus d’auto-affirmation !

Sans perdre de vue l’existence de la realpolitik, cette dernière n’est pas pour autant une donnée irréductible.

Nous devons la transformer à notre avantage en changeant les règles du jeu que nos ennemis (le gouvernement Obama en tête) ont établies pour nous affaiblir. Notre auto-affirmation recouvrée, nous sortirons enfin de notre posture défensive pour aller de l’avant et agir plutôt que seulement réagir.

Mali : Israël demande à la France de faire preuve de retenue Réponse d’Israël à Obama : on continue de construire ne prêtent plus leur voix à quelqu’un qui va les déplacer de leurs maisons à l’avenir,» ont-ils ajouté.

Cette annonce intervient également au lendemain d’un rapport alléguant que le président américain Barack Obama, lors de conversations privées, a critiqué les décisions israéliennes de construire en Judée et en Samarie, et dit a plusieurs reprises : «Israël ne sait pas ce qui est bon pour son propre intérêt.»

Il semble que le gouvernement israélien a réagi rapidement à un rapport cinglant qui circulait mardi au sujet de la frustration de Washington concernant la construction juive en Judée et Samarie. Le message envoyé : on continue de construire.

Des sources proches de Benyamin Netanyahou ont déclaré mardi que le premier ministre resterait solide dans ses politiques, et la preuve est venue mercredi, le ministère du logement publiant des offres pour 198 nouvelles maison en Judée Samarie, 114 unités de logement à Efrat, et 84 à Kiryat Arba. Cette annonce intervient à un moment stratégique.

Moins d’une semaine avant les élections nationales, Netanyahou veut envoyer un message clair au camp nationaliste en disant que sa politique à l’égard de la construction ne changera pas, et qu’il ne cèdera pas à la pression internationale. Cependant, pour certains, les annonces des plans

de construction à un moment comme celui-ci sont considérés comme des promesses en l’air pour tenter de gagner des voix.

Les chefs du parti Otzma LeIsraël, Aryeh Eldad et Michael Ben Ari, ont répondu en disant que Netanyahou fait habituellement de grandes promesses, mais ne les suit pas. «Je souhaite qu’il y a des élections deux fois par semaine,» a déclaré le parti.

«Si Netanyahou, au cours des quatre dernières années de son règne, avait construit comme il le promet maintenant, juste avant les élections, il n’y aurait plus de problème de logement en Israël, et les tentatives d’établir un état palestinien seraient classées comme de la science fiction.»

«Juste avant les élections, Netanyahou tente de voler les voix des habitants des implantations, même si il est d’accord aujourd’hui encore d’établir un état palestinien en Judée et Samarie. Espérons que les fidèles de la Terre d’Israël ont appris leur leçon et

Yesh Atid a également critiqué Netanyahou, déclarant : «au lien d’investir dans le logement, l’éducation et les difficultés en rapport avec le coût de la vie, le premier ministre, juste avant les élections, a choisi d’investir dans les implantations, augmentant ainsi l’isolement d’Israël dans le monde.»

Mercredi, l’association d’extrême gauche ‘la paix maintenant’, financée par les ennemis d’Israël, a publié un rapport indiquant que l’année 2012 a vu un nombre record d’approbations de projets de construction en Judée et Samarie. Selon l’association, la construction de plus de 1 400 unités de logement au-delà de la ligne verte a déjà commencé, et les plans pour 6 000 unités de logement supplémentaires dans la région ont été approuvés.

Le conseil de la Yesha a salué le rapport, disant : «nous espérons que dans les années à venir les données sur la construction seront deux fois plus importantes.»

Suite au déclenchement de l’opération Serval au Mali, l’ambassadeur de France en Israël Christophe Bigot a été convoqué au Ministère israélien des Affaires étrangères : « Nous demandons aux dirigeants français (…) de faire preuve de retenue, car ces actes sont contreproductifs et rendent plus difficile la reprise des négociations directes entre le Mali et les islamistes du nord », a affirmé le porte-parole du ministère des affaires étagères israélien. Shimon Peres « préoccupé » a appelé Hollande Le président israélien s’est entretenu hier au téléphone avec le président François Hollande, à qui il a conseillé de « ne pas tomber dans des provocations qui peuvent dégénérer ».

Shimon Peres a cependant évité de prendre partie en désignant un responsable dans ce « déchainement de violence ». « L’urgence n’est pas de condamner. L’urgence est d’arrêter », a-t-il déclaré. . La France est appelée à la retenue Les ministres israéliens ont rédigé un document, envoyé à l’ONU, réclamant la « cessation urgente des hostilités ». Ils soutiennent les efforts de médiation du président malien et « demandent l’intervention du secré-

taire général des Nations unis (Ban Ki-moon) dans la région ».

La réponse de la France doit être proportionnée Le texte remis à l’ONU condamne les deux parties. Les combattants islamistes sont appelés à « cesser immédiatement » leurs attaques contre le Mali – un acte que les israéliens « condamnent avec force »-, tandis que la France est appelée à la retenue. « La France a le droit de protéger la population malienne de ce genre d’attaques, mais pour cela, sa réponse doit être proportionnée ». Avigdor Lieberman, ministre israélien des affaires étrangères, a déclaré à Laurent Fabius que la guerre n’est pas une option.

Ce n’est jamais une solution. Il y a urgence à intervenir. Il y a deux mots clé: « urgence et cessez-le-feu », a déclaré le ministre à l’issue d’une visite d’une journée en France. Le chef de la diplomatie isaélienne a quitté Jérusalem pour la France « pour appeler l’ensemble des parties à arrêter l’escalade et proposer l’aide d’Israël pour parvenir à un cessez-le-feu immédiat », a annoncé le ministère. © Jean-Patrick Grumberg

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

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Le Qatar aiderait discrètement les juifs yéménites à se rendre en Israël

Le gag du jour : Chuck Norris soutien Netanyahou

phonique de mon ami Chuck Norris, j’étais excité,» dit Daniels.

«Chuck et moi nous connaissons depuis de nombreuses années, et nous avons souvent collaboré ensemble.»

«Israël a de vrais amis dans le monde entier, et il y a un soutien et une profonde gratitude pour Benyamin Netannyahou comme premier ministre et chef de file,» a-t-il noté.

Le premier ministre Benyamin Netanyahou a reçu jeudi un soutien surprenant, et «de taille», le célèbre acteur de films de séries B américains, Chuck Norris, mettant ses poings dans la bataille électorale israélienne en soutenant «Bibi».

Tout comme pour la vidéo de Donald Trump, l’homme derrière le soutien de Norris est Jonny Daniels, un agent de relations publiques israélien qui

compte parmi ses clients de nombreuses célébrités américaines. aniels, qui a demandé à Trump de soutenir Netanyahou, a déclaré jeudi qu’il était «inondé» de demandes du monde entier, tous voulant sauter sur le train en marche et exprimer leur soutien au premier ministre israélien. La demande de Norris, a déclaré Daniels, a été particulièrement émouvante. «Quand j’ai reçu l’appel télé-

Dans la vidéo diffusée jeudi, Norris dit : «vous pourriez penser que je suis un dur à cuire dans mes films, mais dans une région difficile comme le Moyen Orient, Israël a son propre dur à cuire. Son nom est Bibi Netanyahou.»

Norris énumère quelques-unes des «réalisations» de Netanyahou, dont l’enrôlement des pays du monde pour sanctionner l’Iran, la construction d’un mur le long de la frontière sud d’Israël, l’arrêt des attaques de roquettes sur le pays, et la libération de Guilad Shalit de la captivité du Hamas. Voici la vidéo de Chuck Norris, lui-même devenu un véritable phénomène humoristique aux Etats-Unis

Une source libanaise affirme qu’un groupe de juifs du Yémen est en route vers Israël, par l’intermédiaire du Qatar. L’opération a été réalisée sous les auspices de l’état d’Israël et est destinée à extraire les juifs restants au Yémen.

Un groupe est déjà arrivé à l’aéroport international Ben Gourion, selon des «sources israéliennes éclairées» citées par Manar.com, le site internet d’un journal en langue arabe produit dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem, et dirigé par le rédacteur en chef Ismail Ajwa.

Très peu d’informations sont disponibles sur le sort des juifs yéménites depuis plusieurs années, alors que le pays est déchiré par une guerre entre les troupes gouvernementales, des factions tribales et des groupes terro-

ristes comme Al-Qaïda.

La source israélienne citée par le journal a ajouté que des préparatifs sont en cours pour continuer à transporter les quelques juifs restants au Yémen vers Israël dans les prochains mois.

Des ministres israéliens et des membres de la Knesset, y compris un certain nombre de personnes du parti religieux séfarade Shass, ont été fortement impliqués dans la supervision du projet, avec d’autres institutions.

La veuve de Moshé Nahari, qui a été assassiné au Yémen il y a quatre ans, a déjà fait son aliya (immigration) en Israël avec quatre de ses enfants, arrivés à Tel Aviv à la fin de l’été dernier.

La famille a été assistée par l’Agence Juive.

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Lieberman : «Israël n’arrêtera pas de construire à Jérusalem»

clair,» a déclaré Lieberman lors d’une manifestation culturelle à Beer Sheva. «Il est normal pour des amis d’avoir des désaccords,» a-t-il ajouté.

Le chef d’Israël Beitenou a insisté sur le fait qu’il appuie la demande de Netanyahou aux palestiniens de négocier sans condition préalable, et que le discours du premier ministre à Bar Ilan, qui avait appelé à une solution à deux états, est toujours valable. «Les seuls qui refusent la paix sont les palestiniens,» a déclaré Lieberman.

L’ancien ministre des affaires étrangères, Avigdor Lieberman, a répété samedi les déclarations faites par son partenaire politique, le premier ministre Benyamin Netanyahou, et a promis qu’Israël n’arrêtera pas de construire à Jérusalem.

Lieberman a également commenté les récentes critiques qui auraient été faites par le président américain Barack Obama, disant qu’Israël «ne sait pas ce qui est dans son propre intérêt»

en ce qui concerne l’avancement des plans de construction à Jérusalem.

L’ancien ministre des affaires étrangères a déclaré que bien qu’il existe un désaccord entre les deux pays au sujet de la construction juive à Jérusalem Est, Israël et les Etats-Unis collaborent encore dans de nombreux domaines. «Ni vous ni moi n’avons entendu Obama (faire ces commentaires), nous avons lu Jeff Goldberg.

C’est un journaliste avec un agenda

On peut arrêter la dégringolade j’ai servi dans Tsahal et j’ai eu le privilège d’être le Commandant en chef des services médicaux de l’Armée israélienne.

Mon père Israël Eldad, la paix soit sur lui, , était l’un des chefs du groupe de résistance des Combattants pour la Liberté d’Israël (Lehi ou Groupe Stern). Il m’a inculqué l’amour pour le peuple d’Israël, pour Eretz Israël et pour la Torah d’Israël.

J’ai également appris de lui que la vérité ne se trouve pas toujours avec la majorité et que chacun est tenu de lutter pour sa vérité absolue, celle de son peuple et de sa terre, même s’il est en minorité et parfois une minorité pourchassée et vilipendée.

Israël Eldad Israël Eldad Dans tout ce que j’ai entrepris dans ma vie, j’ai toujours essayé de de servir du mieux possible l’Etat d’Israël. Ainsi, je me suis conduit pendant les 25 années où

Quand j’ai été démobilisé avec le grade de Général de Brigade, j’ai été nommé Directeur du service de chirurgie plastique au Centre hospitalier Hadassah Ein Kerem (Jérusalem). Je me suis alors consacré à ma carrière mais je n’ai jamais voulu faire de médecine privée et j’ai toujours refusé de percevoir le moindre shekel d’un patient. J’ai soigné des grands brûlés.

Au terme de la seconde Intifada, après avoir soigné environ 3000 brûlés (la plupart victimes d’attentats terroristes), j’ai compris que je devais dorénavant me consacrer à faire de la médecine préventive, prévenir l’édification d’un Etat « palestinien » pour prévenir encore plus de blessés et de tués, Dieu préserve, si un tel Etat voyait le jour au cœur de notre patrie. ‫ דדלא הירא ףולא תת‬Le moyen de prévenir l’édification d’un Etat « palestinien » ne se fait pas au service des urgences ou au bloc opératoire.

Pour cette raison, je suis arrivé à la Knesset.

Dans notre parlement, j’ai appris que même un petit parti politique à l’opposition, fidèle sans réserve à ses principes et qui ne se laisse pas

Vendredi, des militants palestiniens ont érigé un nouveau campement au nord-ouest de Jérusalem, dans une zone située entre Beit Iksa et Lifta, après que Tsahal ait détruit un autre camp qui avait été érigé sur un secteur non développé dans la ville de Maalé Adumim, connu sous le nom de E1.

Les militants arabes avaient pris pour cible la zone E1 pour protester contre la décision du premier ministre Netanyahou, le 30 novembre, de faire avancer les plans de construction de 3 500 habitations juives sur le site.

séduire aux avantages du pouvoir, est en mesure d’influer sur le système politique d’Israël. Je ne suis pas opposé par principe à joindre la coalition, mais je ne serai pas d’accord à me mentir à moi-même et à m’installer dans un Gouvernement qui prône l’édification d’un Etat « palestinien » et par conséquent à détruire des localités juives.

Le parti Otzma LeIsraël sera présent à la Knesset pour confronter les partis politiques du camp national à leur idéologie. On ne leur fera aucun compromis jusqu’à que nous arrêtions la dégringolade qui fait que le Premier ministre du parti Likoud adopte l’idéologie de la gauche (discours de Bar Ilan).

Par le professeur Aryeh Eldad

La haine des juifs doit perdurer ter un seul mot, même si il avait été sincère, ce qu’il n’était pas».

Le précédent film, de 2010 également, montrait un Mohamed Morsi ouvertement raciste et antisémite; la publication de la vidéo a entraîné de vives critiques de la Maison Blanche à l’égard du Président égyptien; mercredi dernier, Morsi a rencontré plusieurs sénateurs américains à qui il a expliqué que ses déclarations antijuives «avaient été sorties de leur contexte», celui d’une diatribe à l’occasion de l’opération Plomb Durci. L’administration américaine a trouvé l’explication un peu courte (voir notre article de ce jour).

Une seconde vidéo de commentaires antisémites du Président égyptien vient de faire surface, après celle dénoncée la semaine dernière dans laquelle Mohamed Morsi déclarait que les juifs étaient les descendants des porcs et des singes. par Gerard Fredj Ce film date également de 2010, on y voit le frère musulman Morsi haranguer son auditoire, s’en prendre aux juifs et nommément à Barack Obama, alors que la Maison Blanche (concernant le premier film) a déclaré «attendre mieux» que les explications données par le dirigeant égyptien.

«Nous ne devons pas oublier de nourrir nos enfants et nos petits enfants de la haine de ces sionistes et des juifs, et de tous ceux qui les soutiennent».

Mais Morsi ne se limitent pas aux attaques contre les juifs. S’exprimant sur les Etats Unis, il s’en prend nommément à Barack Obama : « il a prononcé beaucoup de mensonges, des affirmations dont il n’a pas pu respec-

Ci-dessous la traduction en français de la déclaration du Président égyptien : Mohamed Morsi : «Un Président américain après l’autre, et dernièrement cet Obama, s’est exprimé sur le soutien américain à la sécurité des sionistes en Palestine. Obama a été très clair quand il a prononcé ses mots vides (le discours du Caire de Barack Obama, le 4 juin 2009, NDLR) sur la terre d’Egypte.

Il a prononcé beaucoup de mensonges, des affirmations dont il n’a pas pu respecter un seul mot, même si il avait été sincère - ce qu’il n’était pas. Chers frères, nous ne devons pas oublier, nous ne devons pas oublier de nourrir nos enfants et nos petits enfants de la haine de ces sionistes et des juifs, et de tous ceux qui les soutiennent. Ils doivent être nourris à la haine, la haine doit perdurer».

Les Etats Unis versent annuellement à l’Égypte 1,3 milliards de dollars au seul titre de l’aide militaire israel-infos

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

Obama prend le peuple américain pour un ramassis d’imbéciles

Je ne voulais pas traiter du sujet.

Mais voyant que certains aux EtatsUnis considèrent que Barack Obama entend s’attaquer au deuxième amendement de la Constitution, je pense utile de les rassurer. Il ne fait aucun doute qu’Obama préfèrerait, s’il le pouvait, s’en prendre au droit de porter des armes. Mais il sait que dans le contexte actuel il ne le peut pas.

Dès lors que fait-il ? De la communication. En prenant le peuple américain pour un ramassis d’imbéciles.

Pourquoi ne le ferait-il pas, dès lors que cela marche et que c’est avec des gestes comme celui qu’il vient de faire qu’il a pu se trouver réélu ?

Il a, voici quelques jours, décidé de « remédier » aux problèmes de violence par armes à feu et d’exploiter pour cela le drame horrible survenu à l’école de Sandy Hook dans le Connecticut.

Pour exploiter un drame impliquant des enfants, quoi de mieux que de s’entourer d’enfants : ils ne votent pas, mais leurs parents votent et leurs grands frères et grandes sœurs aussi.

Donc Obama s’est entouré d’enfants.

Et il leur a parlé comme à des enfants.

Tout en s’adressant en même temps à un auditoire d’adultes. Il a pris son beau stylo et a signé des feuilles de papier.

Qu’y avait-il sur les feuilles de papier ? Rien. Strictement rien. La décision de faire que toute personne qui achète une arme dans une armurerie voie son passé judiciaire et psychiatrique examiné avant que l’arme lui soit remise ?

C’est d’ores et déjà la procédure en vigueur. Si Obama veut profiter de cette décision pour faire réaliser un fichier fédéral des propriétaires d’armes à feu, il pourra y avoir des raisons de s’alarmer, et d’y voir une volonté de fichage de la population, mais nous n’en sommes pas là. J’ajouterai que la prise en compte du passé juridique et psychiatrique n’aurait en rien empêché les psychopathes qui ont tué ces dernières années de se procurer les armes qu’ils se sont procuré.

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Le tueur de Sandy Hook, par exemple, a utilisé les armes de sa mère, qui n’a jamais eu d’antécédents juridiques ou psychiatriques, jusqu’à ce que son fils la tue. L’interdiction des « armes d’assaut » ?

Les meurtres par « armes d’assaut » représentent deux pour cent des armes utilisées pour commettre des meurtres aux Etats-Unis. Si on y ajoute les fusils, on arrive à un chiffre à peine supérieur. Plus de la moitié des meurtres sont commis avec des armes de poing.

Trente pour cent son commis avec des armes blanches, parmi lesquels des couteaux de cuisine. Un peu plus de dix pour cent sont commis à coups de poing ou de pied. Si Obama avait proposé l’interdiction des revolvers, cela aurait été plus efficace, mais il était dans l’impossibilité totale de le faire : en raison précisément de l’existence du deuxième amendement, qu’il ne peut ignorer.

Il aurait pu proposer l’interdiction des couteaux, y compris des couteaux de cuisine, et l’interdiction de la vente des couteaux dans les magasins et supermarchés. Il aurait pu demander le remplacement des couteaux par des couteaux en plastique sous peine d’amende. Il y a peut-être songé mais a trouvé cela ridicule, même en s’adressant à des enfants de huit ou dix ans. Interdire l’usage des poings et des pieds aurait été plus compliqué encore.

Donc il s’en est pris aux « armes d’assaut » : sans dire que la différence entre un fusil et une « arme d’assaut » est souvent strictement cosmétique : une poignée ajoutée, un viseur qui ne sert à rien mais rend l’arme plus impressionnante.

L’interdiction des « armes d’assaut » est inutile et vaine, et elle n’aurait en rien empêché les psychopathes qui ont tué ces dernières années de se procurer les armes qu’ils ont utilisé.

L’interdiction de chargeurs de grande capacité ?

Partout où des tueurs psychopathes ont frappé, ils ont eu le temps de changer le chargeur de leur arme,

parfois plusieurs fois, avant d’être mis hors d’état de nuire. Une décision inutile et vaine encore. Obama, en supplément, promis de recruter des policier supplémentaires chargés de surveiller les écoles.

Si on rapporte le nombre de postes de policiers qu’il envisage de créer au nombre d’écoles, cela doit faire approximativement un policier supplémentaire pour dix écoles primaires.

C’est donc juste une façon de recruter des membres de la fonction publique qui viendront s’ajouter aux autres membres de la fonction publique.

Une décision vaine de plus, qui va coûter cher aux contribuables.

Ce qui est inquiétant, dans tout cela, ce n’est pas les décisions prises à ce stade, c’est qu’Obama se permette de prendre le peuple américain pour un ramassis d’imbéciles en se disant que cela marche.

Ce qui est inquiétant aussi, ce sont les intentions sous-jacentes à ces coups de sabre de bois dans l’eau : Obama entend diaboliser le droit de porter des armes, et il travaille l’opinion dans cette direction, dans l’espoir sans doute de faire davantage que donner des coups de sabre de bois dans l’eau. S’attendre au pire de sa part est très logique.

Ce qui est inquiétant est qu’en disant qu’il va signer plus de vingt décrets pour donner ses coups de sabre de bois dans l’eau, il accoutume un peu davantage la population au fait qu’il peut gouverner par décrets, en contournant le Congrès.

S’attendre à ce qu’il gouverne autant qu’il le peut par décrets dans les mois à venir est aussi très logique. Ce qu’on doit noter est qu’il n’a rien fait pour protéger les enfants : il semble, comme tous ceux qui pensent comme lui, n’avoir pas constaté que la quasi totalité des tueries survenues aux Etats Unis ont eu lieu dans des « gun free zones », des endroits où il est interdit de porter des armes à feu.

Les tueurs psychopathes préfèrent, quand ils le peuvent, les « gun free zones » : elles leur laissent davantage de temps pour tuer sans être tués euxmêmes.

Le tueur d’Aurora dans le Colorado a choisi la salle de cinéma dans laquelle il est allé tirer parce que c’était la seule près de chez lui à être « gun free ». Doit-on ajouter que la pire tuerie de ces dernières années n’a pas eu lieu aux Etats Unis mais en Norvège et a eu pour auteur Anders Breivik, dans une île qui était elle-même « gun free » ? .

Ce qu’on doit noter est qu’Obama et les membres de son administration ont profité de cet épisode pour s’en prendre à la National Rifle Association, qui est une association dont les membres sont des adhérents volontaires : des gens qui savent que ce n’est pas l’arme qui tue, mais l’assassin. Des gens qui savent aussi qu’une arme entre les mains d’une personne rationnelle et saine d’esprit est le meilleur moyen de mettre vite un tueur hors d’état de nuire.

Ce qu’on doit noter est que, même quand Obama prend le peuple pour un ramassis d’imbéciles, il ne peut,

sous des apparences souriantes de clown pour école maternelle, s’empêcher d’être sournois et agressif. Il ne s’est, ces derniers jours, pas seulement attaqué verbalement aux possesseurs d’armes à feu et à la NRA. Il n’a cessé de tenir des propos perfides ou injurieux vis-à-vis des Républicains et des conservateurs. Jamais un Président n’avait affiché un tel mépris pour une moitié de la population de son pays. Demain, Obama va prêter serment et inaugurer son deuxième mandat.

Je vais en parler quand le spectacle sera terminé. Car ce sera cela : un spectacle. Obama parlera de rassemblement : il divise autant qu’il le peut. Il parlera des Etats-Unis : il ne se contente pas de mépriser une moitié de la population, il méprise toute la population américaine. Celle-ci, simplement, se divise en deux : il y a ceux qu’il prend pour des imbéciles et qui sont si contents qu’ils en redemandent.

Et il y a ceux qu’il prend pour des imbéciles et qui sont furieux, à juste titre. Si j’étais américain, je ferais partie des seconds. Je n’aurais pas imaginé voir un jour un tel homme à la Maison Blanche, non. Le désastre continue. © Guy Millière

L’information en provenance d’Israël Edition du Mercredi 23 janvier 2013

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