GRATUIT - Numéro 262 - Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
Journal Israélien en langue française
L’information en provenance d’Israël Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
Dimanche 23 Juin, le Jour J des « 12 Heures pour Israël » est arrivé Le Jour J est arrivé ! Les « 12 heures pour Israël » auront lieu dimanche prochain. Après une année de travail, le salon est prêt. Tous les protagonistes sont prêts à fêter le soutien indéfectible à l’Etat d’Israël. Les amis juifs et non juifs seront présents pour soutenir la seule démocratie dans la région. L’ensemble des institutions communautaires qui représentent notre communauté seront présentes. Nos partenaires, le KKL, l’Organisation Sioniste Mondiale, le Maguen David Adom, le FSJU, Israël Actualités, le Consistoire de Paris et le Consistoire Central, l’ Agence Juive UPJF… Il y aura des débats et des conférences, des animations … Tout cela pour passer une bonne journée aux couleurs Karol Lavan comme l’avait fait mon ami David Bitan, Président de l’Association Migdal, présent aux derniers « 12 heures pour Israël ». Il est important de venir soutenir cette initiative qui est le plus grand événement de l’année pour la communauté juive dans son ensemble ... Les organisateurs n’ont pas hésité à faire venir le maximum de personnes pour cette journée exceptionnelle et par dessus tout à faire l’entrée gratuite pour
Directeurs de la publication Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Rédacteur en chef Eliahou Ben Yéouchoua Israël Actualités est une marque déposée en France
tous les visiteurs pour, encore une fois, fêter l’événement de la communauté aux couleurs d’Israël, bleu et blanc. Pour finir, en clôture de cette merveilleuse journée, aura lieu, pour la première fois en France, la fête de la musique 100% Israël, avec des chanteurs de premier plan sur la scène israélienne. Cette fête de la musique 100% Israël se produira en France à partir de 20h à l’occasion des « 12 heures pour Israël ». Par contre, dépêchez-vous car les places étant limitées, il est primordial de pouvoir réserver votre place si vous voulez participer à cette fête géante aux couleurs d’Israël ... Venez fêter avec nous la plus belle des journées. Inauguration du SALON en présence de personnalités de premier plan à 10 heures aux Dock’s Pulmann, 45, avenue Victor Hugo, Aubervilliers. Am Israel Hai Alain Sayada
Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Régie publicitaire exclusive Epsilon Media Associés 77bis, rue Robespierre 93100 Montreuil France
Crédits photo AFP, Reuters, Alain Azria : Abonnement : 06 67 44 3000 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26
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Communiqué d’al Qaïda aux futurs Merah : À Tripoli, Hassan Nasrallah caricaturé avec l’étoile de David faites vous ********* pour élargir votre anus
En relisant cette recommandation d’al-Qaïda aux candidats jihadistes publiée en 2009, je pense à Mohammed Merah. Il avait suivi ces recommandations, mais n’avait pas assez longtemps pratiqué pour un résultat optimum : « faites vous sodomiser pour vous élargir l’anus afin qu’une bombe puisse y être insérée ». Abdullah Hassan al-Asiri, qui avait prévu d’assassiner le prince Saoudien Muhammad bin Nayef en 2009 avec une bombe cachée dans son – pardonnez moi, trou du cul, avait obéit à une fatwa d’un imam qui recommande la sodomie pour élargir l’anus des jihadistes à la taille des explosifs. Benjamin Doherty, rédacteur au site internet The Electronic Intifada, avait dénoncé cette information comme un vulgaire hoax. Un autre site internet, The Middle East Forum, a examiné les critiques de Doherty ainsi que les affirmations de Raymond Ibrahim qui avait révélé l’affaire, et n’a trouvé aucune preuve que l’information soit fausse. Non seulement Abdullah Hassan alAsiri a bien caché des explosifs dans son rectum pour assassiner le prince saoudien, mais il ressort d’une vidéo en arabe publiée en 2010 que des jihadistes ont bien sodomisé Asiri pendant plusieurs années pour agrandir son anus. Selon la vidéo (qui a été supprimée de Youtube) mais qui a été sauvegardée par Liveleak (ci dessous), un immam du nom de Abu al-Dema al-Qasab, a déclaré avoir trouvé un moyen “innovant et sans précédent pour des opé-
ration martyres : placez des explosifs dans votre anus. Cependant, pour que cette approche fonctionne, vous devez accepter d’être sodomisé pendant un certain temps pour élargir votre anus » déclare l’imam.
Dans la vidéo, un jihadiste, probablement al-Asiri, pose des questions précises à un cheikh sur cette fatwa en faisant référence à son désir de mourir en martyr « pour rejoindre des vierges au paradis », et demande : “ai-je vraiment le droit de laisser un frère jihadiste me sodomiser pour élargir mon anus, si nos intentions sont bonnes ? Après avoir loué Allah, le sheikh commence sa fatwa en rappelant que la sodomie est interdite par l’islam, cependant, dit-il, le jihad passe avant tout, car c’est le pinacle de l’islam, et si le pinacle de l’islam ne peut être atteint que par la sodomie, alors il n’y a aucun mal à cela. Car la jurisprudence islamique affirme que « la nécessité rend permis ce qui est interdit ». Et si des objectifs impératifs ne peuvent être atteints qu’en faisant des choses interdites, alors il devient impératif de faire ce qui est interdit, car il n’existe rien de plus grand que le jihad. Vous aimez cet article ? Inscrivezvous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin d’après-midi. Après avoir été sodomisé, vous devez demander à Allah qu’il vous pardonne et vous devez le louer encore plus. Et vous devez savoir que Allah récompense les jihadistes au jour de la résurrection selon leurs inten-
tions. Et si vos intentions, avec l’aide d’Allah, sont d’obtenir la victoire de l’islam, Allah acceptera ces actions de vous.
Il est important de noter qu’il est ici rappelé à l’attention de nos nombreux lecteurs musulmans, car ils connaissent très mal leur religion, et ne cessent de rappeler que l’islam est religion de paix et d’amour, et que les pratiques des jihadistes sont contraires à l’islam, que la “nécessité rend permis ce qui est interdit.” Ainsi, mentir est interdit mais c’est permis si cela sert l’islam. Tuer intentionnellement est interdit, mais c’est permis pour la guerre sainte et le jihad Le suicide est interdit, mais il est permis pendant le jihad, et le suicidé devient alors un « martyr ». Cette règle est si essentielle, que les sultans ottomans, pendant les guerres de conquête, étaient mêmes dispensés du pèlerinage à la Mecque ! Et l’ironie est que les vrais islamophobes, les politiciens qui tentent l’apaisement par peur du jihad, les journalistes qui craignent se faire trancher la gorge au coin d’une rue s’ils dénoncent l’islam, s’imaginent pouvoir apaiser le jihad en étant plus respectueux, plus lâches, et en faisant de plus en plus de concessions. Ils ne font que confectionner les burqas des filles de leurs petits enfants. © Jean-Patrick Grumberg
« Ton masque est tombé, tueur d’enfants et de femmes »: c’est le slogan qui accompagne un portrait de Hassan Nasrallah, sur lequel le chef du Hezbollah est assimilé à Israël, et affiché dans une rue de Tripoli, au nord du Liban. La photo du chef du parti chiite a été retouchée. Sur son turban, une étoile de David – symbole de l’État d’Israël – a été grossièrement ajoutée. On aperçoit par ailleurs en fond le drapeau ciel et blanc de l’État hébreu. On peut donc comprendre que Nasrallah est ici comparé à Israël voire considéré comme un allié indirect. Ce que confirme le bandeau rajouté sur son œil droit, qui évoque très probablement celui qu’arborait le Premier ministre israélien Menahem Begin, chef du gouvernement lors de l’invasion du Liban par Israël en 1982. À gauche de Hassan Nasrallah se trouve une photo de l’ancien chef de la police libanaise, Achraf Rifi, soutien de la coalition du 14-mars, opposée à celle du 8-mars dont le Hezbollah est membre. Cette affiche doit être regardée à la lumière du conflit syrien. Relayée
par différents comptes Twitter dont The Arab Hash, elle a probablement été prise dans un des quartiers sunnites de Tripoli, dont la plupart des habitants soutiennent la rébellion syrienne. La ville compte également une minorité alaouite, favorable au régime de Bachar al-Assad. Les affrontements et les humiliations entre les deux communautés sont réguliers dans la métropole nord-libanaise depuis mai 2012. Ce montage assimile donc Hassan Nasrallah à Israël : le Hezbollah, parti chiite, a envoyé récemment ses combattants appuyer les troupes du régime syrien pour reprendre la ville de Qousseir aux rebelles. Si Hassan Nasrallah est assimilé à Israël par certains sunnites, ce serait donc parce qu’il est perçu comme co-responsable d’exactions commises envers des civils par le régime syrien et ses alliés, comparées par les concepteurs de cette affiche à celles commises par Israël au Liban notamment durant la guerre civile qu’a connu le pays de 1975 à 1990. Source: france24
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Assad à l’Europe : « armez les rebelles et payez en le prix ! » L’Europe « payera le prix » si elle arme les rebelles syriens, a averti lundi le dictateur syrien Bachar alAssad.
« Si les européens livrent des armes (aux rebelles), l’arrière cour de l’Europe deviendra la place des terroristes et l’Europe payera le prix pour cela, » a dit Assad lors d’une interview avec le journal allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung, dont des extraits ont été publiés lundi. Il a dit que le chaos en Syrie entraînerait « l’exportation directe du terrorisme en Europe », ajoutant : « les terroristes reviendront en Europe avec l’expérience du combat et des idéologies extrémistes. » Le dictateur syrien a également insisté sur le fait que les efforts européens pour faire la distinction entre « bons » et « mauvais » rebelles quand il s’agit d’expédition d’armes seraient comme faire « une distinction entre bons et mauvais talibans il y a quelques années, ou bon ou mauvais Al-Qaïda ». Se referant aux déclarations que son régime a utilisé des armes chimiques contre les rebelles, Assad a dit : « si Paris, Londres et Washington n’avaient même qu’un seul élément de preuve pour confirmer leurs allégations, ils l’auraient dévoilé au monde. » « Les armes de destruction massive sont capables de tuer des centaines, de milliers à la fois. C’est pourquoi
elles sont utilisées. C’est pourquoi il n’est pas logique d’utiliser des armes chimiques pour tuer un certain nombre de personnes qui pourraient l’être grâce à des armes conventionnelles, » a-t-il noté. L’interview complète du dictateur syrien devrait être publiée mardi. La semaine dernière, Washington a accusé le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques, y compris du gaz sarin, contre les rebelles, ajoutant que l’Amérique allait augmenter « la portée et l’échelle » de son aide aux rebelles syriens en réponse. A ce jour, Barack Obama a seulement promis une aide non létale, en dépit des appels des législateurs pour une action plus énergique des Etats-Unis alors que la guerre civile s’intensifie et menace les pays voisins. Une des raisons pour ces hésitations dans l’armement des rebelles est qu’ils comprennent des groupes djihadistes radicaux comme le Front Al Nusra, qui a fait allégeance aux chef d’Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri. Les ministres des affaires étrangères de l’Union Européenne ont convenu à la fin du mois de mai de lever l’embargo sur les armes afin de fournir les rebelles syriens, mais le secrétaire au Foreign Office, William Hague, a déclaré à l’époque que « aucune décision immédiate ne serait prise concernant l’envoi d’armes aux rebelles. »
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Rapports en Syrie : « Israël a attaqué un autre aéroport »
Des organes de presse affiliés à l’opposition syrienne estiment qu’une explosion massive entendue dimanche soir à l’aéroport militaire Al-Maza, à l’ouest de Damas, est le résultat d’une attaque aérienne israélienne.
Les Rois et les Roitelets
Il existe dans le monde depuis que l’homme l’a peuplé, une hiérarchie apodictique imposée par la force et la puissance, formellement concrétisée par le fameux proverbe « La loi du plus fort est toujours la meilleure ». Le conflit syrien aurait pu se limiter à une opposition banale régionale si les multiples facettes du jeu de la puissance et du pouvoir n’y étaient pas impliquées. Nous avons d’abord un régime totalitaire infligé à un peuple qui n’en veut plus, donc insurrections, pas totalement naïves ou spontanées, puisque sous leur paravent se dissimulent d’autres forces qui cherchent d’une manière ou d’une autre à substituer le présent régime par un autre encore plus astreignant. La victime éternelle restera le peuple. Parmi ces forces se trouvent aussi celles de l’Iran avec ses objectifs déclarés ou non, qui le contraignent à s’immiscer dans ce conflit luttant soi-disant dans le but d’assurer la gouvernance d’Assad en Syrie. Prétention fausse : l’Iran a besoin d’Assad et du couloir syrien pour faire progresser ses propres intérêts et projets.
Le Hezbollah qui prête la main à Assad n’est non plus inintentionné. Il a besoin d’un second pied-à-terre où il pourra s’épandre, s’affermir et faciliter à l’Iran la perpétuation de son trafic d’armes vers le Moyen-Orient. En outre, le sol libanais demeure assez récalcitrant et tremble trop souvent sous les pieds du Hezbollah. L’Occident de son côté n’avale pas cette soudaine noblesse iranienne déguisée en secours à un allié de longue date ayant pour but d’emberlificoter Assad en se positionnant à ses côtés. Mais l’occident aussi n’est guère innocent dans ce scénario de rois et roitelets : Dans le cul-de-sac syrien sont impliqués des mouvements clairement antagonistes à l’Occident et leur tuerie mutuelle fait parfaitement le jeu de ceux qui voudraient bien les voir disparaitre de la face du globe. Les tergiversations occidentales à armer ou non les rebelles sont donc une partie d’une stratégie tacite… celle de choisir le moment opportun pour l’entreprendre et permettre aux tambours de guerre de se poursuivre en Syrie. Inerte jusque-là, Obama a compris que le temps est venu de permettre à son pion de progresser sur l’échiquier mondial, face au fléchissement soudain des rebelles. Cynisme ou froideur, il a calculé son heure alors qu’il aurait bien
pu s’appuyer sur l’allégation de l’usage d’armes chimiques en Syrie diffusée préalablement pour dépêcher sont secours aux rebelles. La raison capitale se trouve pourtant dans l’intervention russe qui arme inlassablement Assad et cherche par son truchement à orchestrer le Moyen-Orient. Elle met en danger le très fragile équilibre sécuritaire des forces régionales, ciblant de biais Israël qui ne pourra jamais accepter que son existence devienne le jeu des grandes puissances… les USA et la Russie. Dans la foulée, nous avons un Iran qui ambitionne son réalignement au sein des grandes puissances et travaille d’arrache pied pour obtenir l’arme nucléaire, s’extirpant ainsi du clan des roitelets. Qu’en fera-t-il de son arme atomique ? Pas grand-chose, sinon que les grandes puissances cesseront de le considérer de valeur moindre et devront l’inclure lors des grandes décisions. L’énorme inconvénient dans cette initiative est que les grandes puissances devront se confronter à un Moyen-Orient qui ne sera plus tributaire et pour se protéger, luttera pour se doter de l’atome. Si nous prenons en considération la versatilité de ces pays et leurs peuples, c’est simplement ouvrir la porte au diable…. http://theresedvir.com/
Les rapports citent des militants de l’opposition disant que l’explosion à la base Al-Maza porte les marques d’une explosion qui a secoué la banlieue de Damas en mai. Des agences de presse étrangères avaient alors déclaré que l’explosion faisait partie d’un raid aérien israélien. « Ma maison surplombe l’aéroport. A un certain moment, nous avons vu des véhicules blindés entrer dans l’aéroport, » a dit une source de l’opposition. « Ils étaient probablement équipés de systèmes de radars mobiles. Ensuite, nous avons entendu le bruit d’un missile frappant les véhicules. C’était le même son que nous avons entendu au Mont Qasioun (le site frappé par Israël en mai). »
Un autre témoin a déclaré : « l’explosion était comme un volcan. Les flammes ont atteint le ciel. Le son était le même que celui qui a été entendu dans Qasioun. » Plusieurs rapports publiés dimanche soir ont dit que l’explosion à Al-Maza s’est produite lorsque les rebelles ont fait exploser deux voitures piégées. Le régime syrien a dit que c’était une tentative de « terroristes » d’attaquer l’aéroport militaire. Selon des rapports étrangers, Israël a attaqué la Syrie deux fois en quelques jours au début du mois de mai. Le régime du dictateur Bachar al-Assad affirme que les frappes aériennes ciblaient un centre de recherche militaire, mais l’Occident pense qu’Israël ciblait des systèmes d’armes iraniens qui étaient destinés au groupe terroriste chiite libanais Hezbollah. Depuis lors, des hauts responsables syriens ont déclaré que leur pays allait riposter immédiatement dans le cas où Israël attaquait de nouveau.
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Projet Loon : Google expérimente la connexion à Internet par ballons aériens
Cette info aurait pu paraître un 1er avril… Mais non, elle est véridique et Google est très sérieux en étudiant la possibilité de proposer un accès à Internet via des ballons à air chaud ou à hélium. Un site pilote a déjà été lancé en NouvelleZélande auprès de 50 bêta testeurs qui se connectent à Internet à l’aide d’un ballon aérien gonflé à l’hélium et alimenté par l’énergie solaire. Le projet « Loon », c’est son nom, est matérialisé par un logo qui reprend la forme spécifique des ballons-antennes qui permettra aux utilisateurs des pays pauvres de se connecter au web. Ces ballons Internet qui seront stationnés à des attitudes élevées environ le double de celle de la navigation de croisière d’un avion de ligne. Le signal part de diverses bases-antennes
situées sur la surface terrienne pour atteindre le ballon qui utilise ensuite son altitude élevée pour diffuser son signal de façon plus efficace qu’avec d’autres méthodes. Google pourrait même permettre aux utilisateurs de téléphones mobiles d’utiliser ces montgolfières du Web pour récupérer un signal cellulaire dans les zones qui ne sont pas couvertes par les opérateurs mobiles.
Par la résolution 80, l’ONU s’est interdit de créer un Etat palestinien – et elle ne peut pas faire machine arrière Sous le mandat britannique, toute
la Palestine était réservée à l’établissement du foyer national juif et du futur Etat juif indépendant, en confirmation de ce qui avait été décidé lors de la conférence de paix de San Remo en Avril 1920.
Selon Google, dans plus de la moitié des pays de l’hémisphère sud, donc pour les deux tiers de la population du globe, l’accès à Internet est trop cher et hors de leur portée financière. Google pense dupliquer ce projet néo-zélandais dans d’autres pays situés sur la même latitude afin de créer un premier réseau Internet international par ballon aérien sur le 40e parallèle sud.
Aucune partie de la Palestine concernée par le mandat britannique n’a été donnée pour la création d’un Etat arabe. Les droits des Arabes à l’autodétermination leur ont été accordés ailleurs : en Syrie, en Irak, en Arabie, en Egypte et en Afrique du Nord, et il fut créé 21 Etats arabes contemporains à cet effet, sur une immense masse terrestre qui va du golfe Persique à l’océan Atlantique.
Adam Maher, footballeur hollandomarocain, « aime Israël ! »
Cet article fait suite et complète La égalité des implantations, et Comment réduire à néant le mythe des « colonies israéliennes ».
Adam Maher, footballeur Néerlandais d’origine marocaine, fait parti de cette jeunesse du football qui a la classe technique, mais aussi l’esprit d’analyse. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien s’il est considéré comme l’un des meilleurs espoirs du football européen ! Maher (nom qui signifie « rapide » en hébreu) est aujourd’hui un footballeur qu’il faut saluer pour son courage. Devant des hordes d’imbéciles, malgré des pressions, des mails, des menaces, il n’a pas souhaité boycotter le championnat d’Europe des moins de 21 ans, championnat qui se déroule actuellement à travers l’Etat Juif. Le footballeur, qui avait a décidé en mai 2012 de rejoindre définitivement la sélection néerlandaise, a avoué son admiration pour Israël, estimant que « le peuple israélien aime la vie et sait comment profiter de chaque instant. Je suis venu en Israël pour jouer au football. Ce qui se passe dans les territoires palestiniens ne me concerne pas », rapporte le journal Maariv.
Selon le journal qui rapporte ses propos « on a voulu que je boycott ce pays mais ils se trompent de combat: je suis un footballeur, pas un responsable politique. Et je ne suis pas palestinien non plus. » Maher a également déclaré qu’il parlera d’Israël comme il l’a vu: « à mon retour aux Pays-Bas, je dirais qu’Israël est un magnifique pays, plein de vie et de liberté. Ce n’est pas en faire la promotion, mais la description ! » L’international néerlandais évoluant à l’AZ Alkmaar, avait été la cible de chants racistes anti-arabe lors d’un match contre Feyenoord en février dernier aux Pays-Bas. Des supporteurs de Feyenoord avaient scandé « il y a un mouton sur le terrain », tout en imitant des voix d’animaux. Selon le site Al Arabiya, deux autres joueurs d’origine marocaine participent avec leurs équipes à cette compétition. Il s’agit de Danny Hoesen, joueur d’Ajax Amsterdam et d’Omar Elabdellaoui, joueur du club norvégien Eintracht Brunswick.
Il existe un débat pour savoir qui peut décider de reconnaitre la Palestine comme nouvel Etat membre de l’ONU. Est-ce l’Organisation des Nations Unies, le Conseil de sécurité ou l’Assemblée générale ? Au cours du débat, vous n’entendrez jamais que l’ONU a voté une résolution, la résolution 80 de sa charte*, qui lui interdit d’approuver la demande de l’Autorité palestinienne. Lorsque cette résolution a été votée, elle a officieusement été appelée la « clause du peuple juif », car elle conserve intacts tous les droits accordés aux Juifs par le Mandat britannique pour la Palestine, même après l’expiration dudit mandat les 14/ 15 mai 1948. De quoi s’agit-il ? La résolution 80 de la charte de l’ONU a force de traité international car la Charte des Nations Unies dans son entier est un traité international. Appliquée à la Palestine, elle explique que les droits qui ont été donnés aux Juifs sur la terre d’Israël ne peuvent être modifiés d’aucune façon, sauf si un accord de tutelle entre les États ou parties concernées avait transformé le mandat en tu-
telle, ou en « territoire sous tutelle ». En vertu du chapitre 12 de la même Charte, l’ONU avait une fenêtre de trois ans pour cela, entre le 24 Octobre 1945 (date où la Charte des Nations Unies est entrée en vigueur) et le 14/15 mai 1948, date où le mandat a expiré, et l’Etat d’Israël a été proclamé. Comme aucun accord de ce type n’a été passé pendant ces trois ans, les droits donnés aux juifs sous le mandat britannique sur la Palestine ont force exécutoire, et l’ONU est bloquée par cet article 80. Elle n’est même pas autorisée à le modifier. L’ONU n’a donc aucune possibilité de transférer une partie des droits qui ont été donnés au peuple juif sur la Palestine à une entité non-juive, l’Autorité palestinienne en l’occurrence. Et tous les juristes de l’ONU le savent, et buttent sur cette résolution incontournable. De quels droit parle-t-on ? Parmi les plus importants des droits conférés aux Juifs figurent ceux de l’article 6 du Mandat qui reconnait aux Juifs le droit d’« immigrer librement sur la terre d’Israël et d’y établir des colonies de peuplement ». Pour rappel, ce droit est totalement protégé par l’article 80 de la Charte des Nations Unies.
Il n’y a donc aucune possibilité de créer encore un Etat arabe indépendant sur le territoire spécifique de l’ex-Palestine mandataire réservée à l’auto-détermination juive, et plus particulièrement en Judée, en Samarie et à Gaza. Créer un tel état sur les terres juives serait illégal en vertu de l’article 80 de la Charte des Nations Unies, et outrepasserait l’autorité juridique que l’ONU s’est elle-même donnée. Elle est totalement bloquée, quelle que soit sa volonté politique actuelle. D’une manière plus générale, il est bon de rappeler qu’aucun article de la Charte des Nations Unies ne donne ni au Conseil de sécurité, ni à l’Assemblée générale, ni au Conseil de tutelle, le pouvoir de créer un État indépendant. Si ce pouvoir avait existé, l’ONU serait un pouvoir législatif universel qui pourrait faire ou défaire les États par sa propre volonté, et elle mettrait en péril l’ordre mondial. L’ONU n’a donc aucun pouvoir légal pour créer un état, ou confisquer une partie du territoire d’un autre Etat. Ileana Ros-Lehtinen, élue Républicaine de Floride d’origine cubaine et responsable du comité des Affaires étrangères du parlement américain a d’ailleurs demandé au Congrès, en août 2011, de voter des sanctions punitives contre l’ONU s’il s’obstine à donner droit à la demande des Palestiniens à la création d’un Etat. © Jean-Patrick Grumberg
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Notre système immunitaire : un ennemi ? taire ayant des fonctions suppressives appelées « cellules suppressives dérivées myéloïdes » (MDSC) sont générées dans la moelle osseuse et migrent vers les organes et le sang du corps, imposant ainsi une suppression immunitaire générale. Un réseau complexe de composés inflammatoires persistants sécrétés par les cellules normales ou cancéreuses de l’organisme engendre l’accumulation de MDSC et l’activation des fonctions suppressives.
Comment le facteur permettant à notre système immunitaire de combattre les maladies inflammatoires sévères et dangereuses se transforme en un agent destructeur de ce même système : enfin une réponse. Les raisons et les remèdes à ce phénomène font l’objet d’un article publié en ligne (JournalImmunity) par l’étudiant doctorant Moshe Sade-Feldman et le professeur Michal Baniyash du Centre Lautenberg d’immunologie générale et de la tumeur à l’Institut de recherche médicale Israël-Canada à la Faculté de médecine de l’Université de Jérusalem (IMRIC). L’inflammation chronique constitue un problème majeur de santé dans le monde et est commun à différentes pathologies telles que les maladies auto-immunes (diabète, polyarthrite rhumatoïde, lupus et maladie de Crohn), les troubles inflammatoires chroniques, les infections chroniques (VIH, lèpre, leishmaniose) et le cancer. Les données cumulatives indiquent qu’à un stade donné de chacune de ces maladies, le système immunitaire est détérioré et entraîne la progression de la maladie. Dans leurs travaux antérieurs, les chercheurs de l’Université de Jérusalem avaient montré que dans le cadre de l’inflammation chronique, des cellules uniques du système immuni-
L’un de ces composés est le Facteur de Nécrose Tumorale (TNF-alpha), qui, sous des réponses immunitaires aiguës (épisodes courts), affiche des effets bénéfiques dans le déclenchement des réponses immunitaires dirigées contre les agents pathogènes envahisseurs et les cellules tumorales. Cependant, le TNF-alpha affiche également des fonctionnalités nocives dans les réponses chroniques, telles que décrites dans des pathologies comme l’arthrite rhumatoïde, le psoriasis, le diabète de type II, la maladie de Crohn et le cancer, conduisant à des complications et à la progression de la maladie. Par conséquent, plusieurs inhibiteurs du TNF-alpha et approuvés par la FDA (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) sont aujourd’hui utilisés en clinique pour le traitement de ces pathologies. Ce qui est cependant resté incertain jusqu’à présent, c’est la façon dont le TNF-alpha joue son rôle toxique dans la manipulation du système immunitaire de l’hôte menant à la génération d’un environnement répressif. Dans leurs travaux, les chercheurs de l’Université de Jérusalem ont découvert les mécanismes sous-jacents à l’activation du TNF-alpha, une donnée clé qui permettra peut être pour le plus grand bénéfice de l’homme de mieux le contrôler. En utilisant des souris, ils ont montré comment le
TNF-alpha est responsable de l’immunosuppression produite pendant l’inflammation chronique. Le TNFalpha affecte directement l’accumulation et la fonction suppressive des MDSC, menant l’hôte altéré à des réponses immunitaires telles que l’incapacité de réagir contre l’invasion des pathogènes ou contre les tumeurs en développement. En outre, la façon dont le TNF-alpha opère chez l’homme a été imité par l’injection de l’Etanercept, (un inhibiteur du TNFalpha approuvé par la FDA), à des souris dont accumulation de MDSC dans le sang avait entraîné une vive réponse inflammatoire. Le traitement par Etanercept a changé les caractéristiques des MDSC et aboli leur activité suppressive, conduisant à la restauration de la fonction immunitaire de son hôte. L’ensemble des résultats montrent clairement comment la réponse inflammatoire induite par le TNF-alpha, qu’elle soit aiguë ou chronique, dictera ses conséquences bénéfiques ou néfastes sur le système immunitaire. Dans le cas d’une inflammation aiguë le TNF-alpha est vital pour la défense immunitaire immédiate contre les agents pathogènes et la suppression des cellules tumorales, mais dans le cas d’une inflammation chronique – c’est-à-dire quand l’hôte est incapable d’éliminer l’agent pathogène ou les cellules tumorales – alors le TNF-alpha est nocif en raison de son induction d’immunosuppression. Ces résultats, qui fournissent un nouvel éclairage sur la relation entre le TNF-alpha et le développement d’une immunosuppression lors d’une inflammation chronique, peuvent aider à la création de meilleures stratégies thérapeutiques contre diverses pathologies lorsque des niveaux élevés de MDSC et de TNF-alpha sont détectés, comme cela est par exemple le cas dans des excroissances tumorales.
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L’Iran va envoyer 4000 soldats en Syrie
L’Iran a décidé d’envoyer un premier contingent de 4000 gardiens de la révolution en Syrie pour soutenir les forces du dictateur Bachar al-Assad contre la rébellion en grande partie sunnite, a rapporté dimanche The Independent. Le journal britannique cite des sources pro-iraniennes « qui ont été profondément impliquées dans la sécurité de la république islamique » disant que Téhéran est désormais pleinement engagé à préserver le régime d’Assad, au point même de proposer d’ouvrir un nouveau front sur le Golan contre Israël. Selon le rapport, l’Iran a pris la décision d’envoyer des troupes avant l’élection présidentielle de la semaine dernière. Des sources iraniennes ont déclaré qu’elles se concertent en permanence avec Moscou, et qu’alors que le retrait des terroristes du Hezbollah de Syrie est susceptible d’être complété prochainement, avec le maintien des équipes de renseignement du groupe terroriste libanais, le soutien de l’Iran à Damas va croître plutôt que décroître. Cette information tombe quelques jours après que les Etats-Unis aient
annoncés un changement radical de leur approche de la guerre civile en Syrie, qui a coûté la vie à près de 100 000 personnes. Après que les services de renseignement américains aient confirmé que le régime d’Assad a bien utilisé des armes chimiques contre l’opposition au cours de la dernière année, y compris du gaz sarin, même dans de petites proportions, le président Barack Obama a déclaré que Washington fournira un soutien militaire au rebelles syriens. Selon The Independent, la décision de Washington d’armes les rebelles musulmans sunnites en Syrie a « plongé l’Amérique dans le grand conflit sunnite-chiite qui se déroule au Moyen Orient, entrant dans une lutte qui éclipse maintenant les révolutions arabes qui ont renversé des dictatures de la région. » Pour la première fois, dit le journal britannique, tous les « amis » de l’Amérique dans la région sont sunnites et tous ses ennemis sont chiites. « Brisant toutes les règles de désengagement du président Obama, les Etats-Unis sont désormais pleinement engagés du côté des groupes armés qui comprennent les mouvements islamistes sunnites les plus extrémistes du Moyen Orient, » a ajouté The Independent dans son rapport.
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Syrie : Washington envisage une zone d’exclusion aérienne
Erdogan: « les juifs sont responsables de la crise en Turquie ! » Les Etats-Unis envisagent de mettre en place une zone d’exclusion aérienne limitée en Syrie, peutêtre près de la frontière sud avec la Jordanie, ont déclaré vendredi deux hauts diplomates occidentaux en Turquie. « Washington envisage une zone d’exclusion aérienne pour aider les adversaires d’Assad, » a déclaré un diplomate. Il a dit que la zone serait limitée dans le temps et dans l’espace, sans donner plus de détails. Jeudi, des responsables américains ont annoncé que l’administration a conclu que le régime d’Assad a bien utilisé des armes chimiques, y compris le gaz innervant sarin, contre les rebelles cherchant à le renverser. Si quelqu’un souhaitait prouver que le gouvernement d’Erdogan est le pire que la Turquie ait connue depuis la fin du génocide arménien, voici un bon arguement supplémentaire. Après deux semaines de manifestations, chaque côté des protagonistes commence à produire son propre récit, expliquer l’origine de la protestation et à planifier la prochaine étape. Du point de vue des manifestants, tout a commencé avec une lutte écologiste (imposée face aux diktats du gouvernement), pour devenir quelque chose de bien plus général. L’objet de la colère des manifestants n’est plus Gezi Park, le parti au pouvoir ou même le gouvernement, mais un homme – le Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Décrit comme un autocrate, des manifestants protestent contre ses tentatives d’islamisation de la société, contre son forcing à la création de « familles nombreuses », contre les codes de conduite devenus obligatoire (codes shariatiques). Le comportement d’Erdogan envers les manifestants – son refus de rencontrer les dirigeants et les mesures sévères visant à réprimer les manifestations – est pour eux une preuve suffisante de leurs créances. Les manifestants ont peu d’amour pour les médias turcs qui agissent comme des lapins intimidés, fournissent une faible
couverture des manifestations et ont tendance à appuyer la position du gouvernement. En revanche, au cours des derniers jours, et surtout depuis son retour d’une visite en Afrique du Nord, le Premier ministre turc a construit sa propre théorie des événements en cours. Au début, il avait une longue liste de supposés suspects derrière les protestations – partisans de l’opposition, des voyous, des gouvernements étrangers – mais récemment le récit du gouvernement prend une forme plus stable et ses accusations sont principalement destinées aux hommes d’affaires et investisseurs de grande envergure. Erdogan parle désormais des « lobbys ». Selon lui, ceux-ci veulent entraver l’économie de la Turquie pour des profits à court terme. Bien que les partenaires coupables spécifiques n’ont pas été explicitement nommées, il semble qu’Erdogan face allusion à des investisseurs comme le magnat juif américain George Soros (d’extrême gauche) et d’autres hommes d’affaires juifs et occidentaux (de droite).
l’histoire d’Erdogan sonne comme une théorie du complot loufoque, le genre de ce qui abonde dans le Moyen-Orient. Mais la version de Erdogan a été conçu avec soin. Bien avant la présente protestation, une diminution significative de la croissance de l’économie turque a été marqué. Le fléau du pays est son énorme dette extérieure: la Turquie doit des dizaines de milliards de dollars aux débiteurs, en particulier à l’Europe et aux États-Unis, et l’intérêt qu’il doit payer est historique ! Les grands – certains diraient mégalomane – investissements dans des projets de l’Etat vident les caisses de l’Etat. Erdogan et son équipe sont naturellement conscients des difficultés économiques imminentes, et par conséquent, le choix des spéculateurs financiers en tant que « mal suprême de la Turquie » n’est pas aléatoire.
Ce qu’il ne dit pas, c’est pourquoi ces investisseurs devraient vouloir investir en Turquie, et de quelle manière ils influencent les manifestations…
Lorsque les informations désagréables sur la situation économique seront révélées l’année prochaine, avant les élections, le premier ministre pourrait se soustraire à sa responsabilité, après avoir averti au préalable que les investisseurs étrangers ont comploté pour faire chuter l’économie.
Mais Erdogan n’est pas intéressé à répondre à ces questions. L’ennemi a été identifié, et la lutte est en marche.
Le choix des investisseurs est également destiné à ternir le bord économique loin des protestations.
En Israël et en Occident en général,
Par Le professeur Dror Zeevi
Les responsables ont déclaré que les précédentes évaluations des renseignements qui indiquaient qu’Assad était susceptible d’avoir utilisé de telles armes ont maintenant été
confirmées. L’adjoint à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Ben Rhodes, a déclaré dans un communiqué que le président Obama a décidé de fournir une aide directe non létale au conseil suprême des forces armées de la Syrie (SMC). « Le régime d’Assad devrait savoir que ses actions nous ont amené à augmenter la portée et l’ampleur de l’assistance que nous fournissons à l’opposition, y compris le soutien direct au SMC, » a déclaré Rhodes. « Ces efforts augmenteront à l’avenir. » Le conseiller adjoint à la sécurité nationale a également confirmé que l’utilisation d’armes chimiques « est une ligne rouge pour les EtatsUnis », mais n’a pas été jusqu’à dire qu’Obama allait prescrire une action énergique contre le régime d’Assad, comme le président américain l’avait pourtant promis auparavant.
L’information en provenance d’Israël Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
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Tunisie : La Bourguibamania reprend de plus belle !
Habib Bourguiba serait-il devenu le personnage le plus populaire de la Tunisie d’Ennahdha en 2013 ? Le premier président de la République tunisienne fait en effet l’objet d’une véritable Bourguibamania : les jeunes le découvrent, les nostalgiques et les destouriens se réclament de lui pour tourner le dos aux année Ben Ali et les femmes se souviennent qu’il fut leur véritable libérateur. Fondateur avec ses compagnons de la république tunisienne, admirateur d’Atatürk, ami sincère de l’Occident, Bourguiba semble manquer aujourd’hui aux Tunisiens. Pour avoir repris le flambeau bourguibien, en prônant une alliance entre les destouriens libéraux dont le mouvement est né en 1973, avec la gauche tunisienne et les zeitouniens modernes, Beji Caid Essebsi reprend l’héritage et le flambeau du «Combattant suprême». Il renouvelle en effet la synthèse bourguibienne entre le Destour, Farhat Hached et Fadhel Ben Achour. Cette référence claire et assumée pour Bourguiba a immédiatement recueilli l’assentiment des Tunisiens et donné à Caid Essebsi un formidable élan. Mais si cette Bourguibamania prend avec BCE une coloration politique, elle a d’autres profils qui passionnent tout autant le public. Ainsi, nous pouvons citer quelques exemples : - Il semble que dans de nombreux milieux, le prénom Habib soit de nouveau en vogue pour les nouveau-nés. - Le comédien Raja Farhat draine des foules considérables avec son spectacle «Bourguiba, dernière prison». Devant l’affluence et les guichets fermés, une deuxième partie, sous forme de suite au premier spectacle, vient d’être créée. Et le public de tous âges, est encore au rendez-vous ! - Les villes de Paris et de Monastir ont récemment honoré Bourguiba avec l’inauguration d’un buste à Paris et celle d’un musée à Monastir. Ce musée a été créé par le ministère de
la Culture dans un ancien palais d’été du «Zaim». - Enfin, Bourguiba est redevenu la référence politique du courant moderniste. Toutes et tous se réclament de son héritage et rappellent son action en faveur de l’éducation et de la santé ainsi que son combat pour la libération des Tunisiennes. Par ailleurs, de nombreux livres ont récemment été consacrés à Bourguiba qui sont autant de témoignages pour l’histoire et de documents pour les jeunes générations. Depuis un quart de siècle, le Lycée Carnot à Tunis a changé de nom et porte celui de Bourguiba. Toutefois, depuis peu, il y a du nouveau ! En effet, les bâtiments du lycée historique du centre-ville de Tunis ont récemment connu une nouvelle destination. En effet, les services culturels de l’ambassade de France vont s’installer prochainement dans la totalité de l’aile droite du lycée. Ainsi, les anciens bureaux et appartements du proviseur, la vieille chapelle, les dortoirs et le réfectoire ainsi que le petit lycée et les locaux de la médiathèque Charles de Gaulle vont être regroupés. Cela permettra de bâtir enfin un centre culturel français digne de ce nom et qui réunira les locaux administratifs du 87, avenue de la liberté et des espaces d’animation intégrés. Cinéma, théâtre, galeries, médiathèque, amphithéâtre, café et restaurant donneront une nouvelle allure à cette aile de l’ancien Lycée Carnot. Enfin, ce projet qui dormait depuis plus de vingt ans est en passe de se réaliser. Au grand bonheur des francophones qui pourront aussi bénéficier de salles d’études rénovées pour l’apprentissage de la langue de Voltaire. Quant à l’autre aile du lycée, elle continuera à accueillir les locaux du Lycée Bourguiba ainsi que la salle des fêtes, malheureusement fermée et délaissée. YL.
L’information en provenance d’Israël Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
Parachat Balaklorsqu’il : Israël, un peuple béni ! consacre une partie de impureté.
Cette section hebdomadaire nous parle de Biléam (le magicien borgne, selon un midrach), un personnage sorti de nulle part, qui apparait dans le désert avec la ferme intention de maudire le peuple d’Israël. Cette mission va lui être confiée par le roi Balak, ancêtre de Ruth la Moabite. Mais au lieu de le maudire, Biléam, le prophète des Nations se lancera dans de belles prophéties, présageant des bénédictions pour Israël.Le Roi Balak aura tout tenté en vain mais après plusieurs tentatives infructueuses.. Bilèam lui répondra : «Je ne peux maudire un peuple qui est béni par D-ieu!». Le Midrach Tanhouma précise, que D-ieu a jugé important l’avènement d’un prophète célèbre comme Biléam, pour que les Nations ne fassent le grief de ne pas leur avoir donné un grand prophète!. Le Talmud Berakhot s’interroge sur la signification de l’oracle de Bilèam : «Matov oalékha Yaacov michkénotékha Israël..» Quelles sont belles tes tentes Ô Yaacov… etc. Biléam avait remarqué disent les commentateurs que la disposition des tentes d’Israël était telle que nul ne pouvait jeter de regards indiscrets sur la vie intime de ses voisins…de plus le «Yain Ara» (le mauvais œil) n’avait pas d’emprise sur eux. Ce mode de vie avait été hérité de leurs ancêtres. Pourquoi donc Biléam évoque les tentes après les fleuves? Pour nous apprendre disent les sages, que de la même manière, que les fleuves entrainent la purification des personnes qui s’y immergent, les tentes elles aussi, allusion ici au Yéchivot, transforment l’homme et font basculer son statut de «Haiav en Zakaï» (de coupable en innocent) . Il est vrai en général que les personnes formées dans les Yéchivot ont des traits de caractères particuliers, et Ils parviennent souvent à maitriser leurs mauvais penchants… L’explication que donnent les sages est la suivante : La Thora est d’essence divine, et un homme ne peut se contenter uniquement d’accomplir les mitsvot. Par conséquent
son temps à l’étude de la thora, elle lui garantit l’élévation spirituelle. De même pour celui qui s’immerge dans un Mikveh et qui passe de l’état de «toumâ» à «taarâ» d’impureté à celui de pureté. Sujet qui a été longuement traité dans les parachiots précédentes. Ce nouvel état de pureté fait de l’homme un réceptacle prêt à accueillir la Grâce Divine. Il est dit d’ailleurs dans le Talmud : «Celui qui vient pour se purifier, est aidé par le Ciel». Comprenons par là que c’est à l’homme de faire un premier pas!. La Chékhina, c’est la Majesté Divine, c’est une sorte de proximité forte. Le sens du mot «Chakhen» signifie résider. Lorsque la Majesté Divine réside parmi le peuple d’Israël, cela vient exprimer l’idée que D-ieu manifeste Son amitié forte à son égard. Dans le cas contraire, s’il se retire, il manifeste Son hostilité!. Bilèam prononce un autre oracle et dit : «D-ieu témoigne Son amitié à Israël car il n’y a point de magie chez Yaacov, ni sortilège en Israël..» En effet, il n’y a pas plus grande infidélité envers D-ieu que de s’adresser à des magiciens ou à des charlatans pour tenter de connaitre l’avenir» La Thora est formelle à ce sujet. Nous devons nous en remettre au Tout Puissant et nous montrer confiants, pour pouvoir mériter que la Chékhina réside parmi nous. Dans un verset D-ieu dit à Biléam : «Tu n’iras point avec eux » (à propos des envoyés de Balak), mais avec d’autres, des princes plus célèbres, tu pourras…et ce, à condition que tu te gardes de maudire le peuple!». Le Midrach poursuit et dit : «Peut-être souhaites-tu faire telle ou telle autre bénédiction dont tu aurais toi-même besoin, de manière à être exaucé le premier? Ceci est inutile car sache le, ce peuple «est béni», il n’a donc pas besoin que tu intercède en sa faveur… Le Midrach raconte que D-ieu lui signifia : «Je ne veux ni de ton miel ni de ton dard!».Hélas les paroles de Béléam le méchant, finiront par atteindre leur cible, malgré son
Je vois dit Biléam - «Mais ce n’est pas encore le moment, je le distingue, mais il ne s’est pas rapproché : Un astre s’élance de Yaacov, un spectre jaillira du sein d’Israël, il écrasera les seigneurs de Moav et tous les enfants de Seth. Edom sera sa pitance et Séir la proie de ses ennemis: et Israël vaincra» .Dans le livre de la Genèse à la paracha Vayéhi, le patriarche Yaacov lui aussi a souhaité révéler la fin des temps à ses enfants, mais la «Chékhina» l’esprit divin s’écarta de lui, dira Rachi. Moise également a voulu le faire de manière allégorique cette fois dans la paracha Haazinou, dans laquelle il sermonne le peuple en prenant à témoin le ciel et la terre, mais rien de concret n’émergea de ce texte. Il n’y eut donc que Biléam, pour nous dévoiler de façon claire les temps messianique!. Les Tsadikim de chaque génération depuis le patriarche Abraham avaient connaissance de l’époque où se révélerait le Libérateur, mais ils respectaient à la lettre les consignes de D-ieu de ne pas en dévoiler la fin. Par contre Biléam le prophète étranger, pouvait braver cette interdiction pour dévoiler la fin des temps! C’est pourquoi «il voit le Machiah», dit le Kéli Yakar, mais il sait aussi que sa révélation «concrète» est tardive à cause d’Amalek! Il sait qu’il représente l’opposition implacable d’Israël, car même si Israël reste «l’ambassadeur» de la Présence divine dans le monde, Lui Amalek devra au contraire effacer jusqu’au souvenir de cette présence. Amalek représente donc l’ennemi acharné d’Israël, dont le but n’est que de le délégitimer aux yeux des nations pour mieux le faire disparaître… Ainsi comme nous le lisons dans la Haggadah de Pessah : «A chaque génération ils voudront nous effacer…mais HM nous sauvera de leur mains!». Parce que la haine pour Israël est plus forte que jamais, comme nous le démontre l’actualité, nous devons encore est toujours avoir le regard tourné vers le ciel. Comme l’écrit David dans ses psaumes :«Méain yavo ézri? ezri méim HM » d’où
me viendra le secours? Le secours me viendra d’HM». Il est écrit dans Le Zohar Akadoch que le nom divin apparaît (EL), dans le nom d’Israël, mais qu’un seul peuple porte également dans son nom celui de D-ieu comme lui, c’est : Ichmaël qui veut dire : D-ieu entendra. Parlant de la fin des temps, Biléam fait donc allusion à Ichmaël,. Les Sages nous disent qu’il faut lire ce verset de la manière suivante : «Malheur à celui qui vivra à l’époque où ichmaël dominera le monde!» Ce que confirme d’ailleurs Rébi Yonathan Ben Ouziel. Le Pirkié de Rébi Eliézer conclura par une vision prophétique d’une exactitude déconcertante explique le Rav Yoram Abergel chlita : «A la fin des temps Ichmaël entreprendra 15 choses sur la Terre d’Israël parmi lesquelles : Le mensonge dominera…ils construiront un édifice sur les ruines du Temple… ils feront 3 guerres contre Israël… et après seulement le Machiah Ben David se montrera!». La manipulation et le mensonge sont hélas toujours d’une brulante actualité, mais nous gardons toujours espoir en D-ieu pour que cette épreuve soit la dernière avant la venue du Machiah Ben David, et le rôle d’Ichmaël sera de faire entendre à D-ieu les supplications et les prières d’Israël... La paracha nous raconte que le peuple d’Israël s’établit à Chittim, un nom prédestiné à la débauche… «Ch’tout», signifie en effet «légèreté» en hébreu. Israël finira par se livrer à l’idolâtrie et à la débauche avec les filles de Moab qui les aguichèrent. La colère d’HM fut à son comble et il ordonna alors à Moïse de prendre les Chefs des tribus et de les placer face au soleil, pour que chacun immole ceux des siens qui s’étaient livrés à l’idole Baal-Péor hélas, 24.000 tomberons parmi eux. C’est alors que Pin’ has fils d’Eléazar, petit fils d’Aaron le Grand Prêtre, s’arma d’une lance pour percer un couple qui copulait sous une tente. Pinhas nous apprend le Talmud, les transperça tous les deux sans se préoccuper de la manière dont ils vont mourir car 12
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miracles vont se produire tour à tour raconte le Talmud Sanhedrin. Du fait qu’aucun homme zélé ne se manifesta, Pin’ has le déplora à haute voix. Le midrash raconte qu’il dit : « n’y a-t-il donc personne qui soit disposé à tuer ce couple au péril de sa vie? Mais où est donc Yéhouda? Où est passé Dan? Vous les jeunes lions d’Israël. Que fait Benjamin, le loup ravisseur? Hélas! Personne ne voulu défendre l’honneur bafoué de D-ieu. Le texte dit même qu’il s’adressa alors à Moise en ces termes : «Maitre n’estce pas que tu nous as enseigné que celui qui a des rapports avec une idolâtre, les gens zélés peuvent le frapper à mort?» Alors Moise lui répondit : «Que celui qui a lu la lettre…soit luimême le messager!». Dans le Talmud Traité Zébahim il est écrit que : Pinhas n’a été consacré prêtre qu’après avoir tué Zimri ben Salou. Pourtant il est dit qu’un Cohen ne peut accéder à cette fonction de prêtre si il a commis un meurtre. Par conséquent, cela prouve bien qu’il s’était produit un miracle avant la mort effective de Zimri ben Salou et de Kotsbi bat Sour. A propos de la fonction de prêtre qui reviendra à Pin’has comme dit l’Eternel dans le verset : «Elle sera pour lui et sa postérité après lui, une alliance d’un sacerdoce perpétuel parce qu’il a été zélé». Il est même écrit dans le Zohar que Pin’has est en fait le prophète Eliahou!. (Pin’has est réincarné dans le prophète Eliahou dont on dit qu’il est présent à toutes les «Brith Milot»..). Les Maximes des pères font allusion au geste de Pinhas et nous enseignent : «Là où il n’y a pas d’homme, sache te comporter en Homme!». Certes, il est toujours plus facile de se détourner d’une injustice qui frappe notre prochain…ou encore, «laisser faire» une tromperie! L’Homme véritable, est celui qui se dresse avec véhémence pour dénoncer la lâcheté et la combattre. La bravoure dont a fait preuve ici Pin’has fils de Eléazar, bien quelle fut récompensée par D-ieu, doit demeurer pour l’ensemble d’Israël une source d’inspiration. Yvan Lellouche
Rav Rahamim Naouri zatsal et Rav Emmanuel Chouchena zatsal :
Des Maitres au service de D-ieu et des hommes - Hazkara le 21 Tamouz - Samedi 29 Juin 2013
Le Rav Rahamim Naouri et le Rav Emmanuel Chouchena zatsal ont quitté ce monde un 21 Tamouz, ils furent des hommes dotés d’une capacité d’écoute exceptionnelle, leur vie entière fut vouée à la Communauté juive et aux élèves qu’ils ont formés. Comment ne pas évoquer leur amour du peuple juif. Le Rabbin Emmanuel Chouchena zal fut élève de la Yéchiva d’Aix
les Bains, et deviendra très tôt le disciple et le gendre du Rav Naouri. Il assumera avec brio de multiples fonctions au sein du corps rabbinique Français mais il refusa par modestie, la nomination au poste de Grand Rabbin de Paris. Il accepta néanmoins celle de Directeur du Séminaire Rabbinique de la rue Vauquelin. Tous ceux qui ont écouté le Grand Rabbin Chouchena lors de ses interventions, s’accordent à dire qu’il maniait la langue française avec brio parce qu’il estimait que cela participait aussi de la sanctification du Nom Divin. Toujours au service de la Torah ; et non par pur plaisir intellectuel ; il réussissait à faire passer un message juif authentique. Le rav maitrisait parfaitement l’hébreu mais aussi l’arabe, l’anglais ou l’allemand sans compter le yiddish, l’araméen le grec ou le ladino. Le rav Chouchena s’intéressait à la médecine ou encore à l’archéo-
logie. Le Grand rabbin de Tunisie Fraji Uzan zal ne cachait pas son admiration pour le Rav Chouchena auquel il prêtait parfois main forte pour ses recherches dans les ruines de Carthage. Nous eûmes le privilège d’apprendre de cet homme de nombreuses choses et pour ma part, les dinim de la Brith Milla que je n’ai hélas jamais pratiqué!. A chacune de nos rencontres «Manu» nous disait : «Donnez moi un hidouch sur la paracha!». Attachant une grande importance aux bonnes manières, il répétait souvent : «Il faut être gentilhomme avant d’être un bon juif ». Le Rav Emmanuel Chouchena zal fut un grand Maître et un pédagogue hors normes, dont tous ses élèves ont gardé le meilleur souvenir. Un ouvrage détaillé lui a été consacré l’an dernier. Le Rav Rahamim Naouri zatsal assuma quant à lui les fonctions de Av Beth Din de Paris avec dévoue-
ment jusqu’aux début des années 80. Au soir de sa vie, il nourrit le projet de s’installer à Jérusalem et d’y fonder une Yéchiva qu’il voyait comme un aboutissement. À l’occasion de ses 75 ans, son entourage annonça la création éminente de la yéchiva «Chaaré Ra’hamim» à Sanhédria , qui accueille aujourd’hui encore des nombreux étudiants. A quelques jours de l’inauguration, le Rav Naouri va décéder un 21 Tamouz date qui correspondra étrangement au jour anniversaire de la disparition du Rav Emmanuel Chouchena vingt ans plus tard. Cette coïncidence ne peut être qu’un signe de la providence comme le dit le verset du prophète Samuel : «Unis ils l’ont été dans leur vivant, ils restent inséparables dans l’au-delà, et dans la mémoire de ceux pour qui ils sont très chers!» Ce sont ces hommes d’une grande modestie, généreux en tout et dotés de grandes convic-
tions qui marqueront leur époque. Ils furent les chevilles ouvrières du Beth Din de Paris dont a hérité la communauté juive. Leur œuvre néanmoins se poursuit grâce au écrits qu’ils ont laissé et aux sillons qu’ils surent tracer à l’attention de leurs disciples. Yvan Lellouche
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Interview de M. Jacques Garih candidat - Liste Tous ensemble 2013 à l’élection du Consistoire de Paris
I.A : Jacques Garih, vous vous présentez sur la liste de Tous ensemble 2013 soutenue par Dov Zerah. Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs qui ne vous connaissent pas encore ? JG : J’ai 65 ans, issu d’un mariage ashkénaze- sépharade en 1932 entre un turc et une polonaise. Marié, père de 4 enfants dont 2 sont en Israël, et grand père de 16 petits enfants. Ingénieur de formation, je suis aujourd’hui retraité, après avoir dirigé ma propre entreprise dans le secteur de la machine-outil. De ce fait, mon ancien syndicat professionnel m’a demandé de présider Mecavenir, l’école d’ingénieurs par alternance de la Fédération des Industries Mécaniques. J’ai été pendant 7 ans le président de la communauté ashkénaze de la rue de Montevideo, et administrateur pendant plus de 25 ans. Je suis au bureau de l’ORT, président du comité local de l’ORT Choisy et délégué au CRIF, vice-président du Technion France. IA : Pour quelle raison avez-vous rejoint la liste de Tous ensemble 2013?
JG : La plupart des organisations professionnelles (MEDEF, syndicats professionnels) ainsi que le CRIF prévoient une durée limitée à la position de Président. Au Consistoire, 8 années est pour moi une longue durée suffisante pour appliquer un programme et faire avancer ses idées. Je pense qu’il faut une alternance pour renouveler les idées, continuer à progresser. Dov Zerah est un grand commis de l’Etat, a fait des études prestigieuses et a eu une carrière mêlant le politique en étant chef de cabinet de plusieurs ministres et des positions de chef d’entreprise animant une équipe, tant à la Monnaie de Paris qu’à l’Agence Française de Développement. Il est maintenant de retour à la Cour des Comptes et a toute la disponibilité et la volonté de travailler pour la communauté. Je lui fais entièrement confiance pour animer et diriger une équipe de manière collégiale et participative. IA : Que représente pour vous le Consistoire de Paris ? JG : C’est l’organisation de la vie juive pour toutes les étapes de la vie
en accord avec la Hala’ha. Ce doit être un réel Service Public Juif au service des juifs.
Ce doit être simple, clair et facile d’être juif à Paris : naissance, brit mila, bar et bat mitzva, talmud torah, mariage, divorce, conversion, cacherout, lieux de cultes, mikvaot, derniers devoirs, erouv, beit Din : tout doit être organisé, de manière simple et claire pour chacun. Le corps des Rabbins, l’Administration et le Conseil d’Administration : ces 3 entités doivent se comprendre et travailler de concert. IA : Etes-vous pour ou contre le rapprochement avec le CRIF et pourquoi ? JG : Dans les 613 mitzvot, il y a un certain nombre de ‘houkim, des décrets difficiles à comprendre. Celui que je préfère est la règle du Chatness, l’interdiction de mélanger le lin et la laine. En français, chacun à sa place. Pour moi, le CRIF est l’organisation politique en France et les rapports avec Israël. Le Consistoire est l’organisation de la vie religieuse, cultuelle. La participation du Consistoire au CRIF apportera une image
plus cohérente et pourra garantir le côté «religion» au message politique, comme la défense de la chrita et de la brit mila.
tains endroits. Le Consistoire se doit de renforcer le dialogue avec les autres religions pour garder un modus vivandi acceptable pour tous.
IA : Qu’elles sont à votre avis les attentes de la communauté juive ? JG : Nous sommes dans un monde de services, nous avons l’habitude de l’excellence du service. Dans tous les pays et au cours des siècles, les chiffres sont à peu près constants. Il y a environ 10% de la population juive à respecter la hala’ha, 40 autres % à être au moins présent aux offices de Kippour et Pessah. Environ 50% des juifs sont loin de la pratique juive.
Manger cacher aujourd’hui dans la communauté juive devient luxe, beaucoup de nos frères vivent en dessous du seuil de pauvreté, les commerçants mettent la faute sur les taxes consistoriale, qu’en pensez-vous ?
Mon rêve est de suivre les déclarations de Naftali Bennet, le nouveau ministre israélien des Cultes : il faut rendre la pratique du judaïsme conviviale, souriante et facilement accessible. IA : Que pensez-vous de la désertification des synagogues dans certaines villes de la région parisienne? JG : Le vivre ensemble est parfois difficile, même dangereux dans cer-
C’est une de nos priorités, des priorités du regroupement Tous ensemble : la clarté, la transparence pour faire baisser les prix. Nous mettrons au point un observatoire des prix des produits cachers, avec un site internet, pour que tous soient en mesure de vérifier et de choisir en connaissance de cause. Il y a le prix mais aussi les aides pour nos frères les plus démunis. L’organisation de circuits aider doit être renforcé. IA : Pour finir, pouvez me donner un synonyme de consistoire JG : Bahita hayehoudi La Maison des Juifs !
TOUS ENSEMBLE DANS LE CHALOM COMMUNAUTAIRE que si ce retour n’est pas réalisé cilienne (91, 92, 93, 94, 95, 77, 78). lakha par chaque adhérent à un CCJ, pas administrateur du Consistoire, il
Il y a déjà quatre ans, TOUS ENSEMBLE avait préconisé la nécessité du Chalom communautaire, en insistant notamment sur la nécessaire réintégration du Consistoire central au CRIF, ainsi que sur l’exigence d’un accord avec les CCJ.
Depuis, rien n’a bougé, et certains peuvent même soutenir que la situation s’est aggravée. La dernière journée du 2 juin en est une des manifestations flagrantes de l’ingérence du Consistoire dans le domaine politique, de la compétence du CRIF. Aussi, il est grand temps que chaque institution, et en premier lieu le Consistoire central et le Consistoire de Paris n’empiètent pas sur les compétences des autres institutions. Nous considérons qu’il est plus que temps de décliner le chalom communautaire dans trois directions : 1 - CONSTITUTION D’UN GROUPE DE TRAVAIL ENTRE LES TROIS INSTITUTIONS COMMUNAUTAIRES Notre communauté dispose de trois institutions : la plus ancienne, le Consistoire, et notamment celui de Paris et d’Ile de France, responsable de la gestion du culte, le CRIF, créé pendant la dernière guerre mondiale, en charge de la relation avec les autorités politiques, et enfin, le FSJU, responsable des activités sociales et culturelles. Il parait opportun de réunir un groupe de travail entre ces trois institutions pour redéfinir clairement les responsabilités de chacun, et explorer les partenariats susceptibles d’être développés. A titre d’exemple, nous pourrions ensemble, tous ensemble développer des modules de formation pour les cadres et responsables communautaires. 2 - REINTEGRATION DES CONSISTOIRES AU CRIF La non présence, depuis huit ans, du Consistoire central, et par voie de conséquence du Consistoire de Paris, pénalise les deux institutions, ainsi que le CRIF et toute la communauté. Appliquons la sentence populaire : »L’union fait la force », et réintégrons le CRIF. Nous prenons l’engagement
par le Consistoire central avant juin 2014, nous ferons tout le nécessaire pour que le Consistoire de Paris le rejoigne.
3 - FORMALISATION D’UN ACCORD AVEC LES CCJ Durant la Présidence de Dov ZERAH, un projet d’accord avec les CCJ avait été élaboré. Depuis ce sujet a été écarté, et rien n’a été fait ! Profitons de ce travail, et reprenons très vite ce chantier, sur la base du texte ci-joint, pour clarifier la situation, et engager la réforme de l’organisation consistoriale. PROJET DE PROTOCOLE ACIP – CCJ En vue de sa signature après son adoption par le Conseil d’administration de l’ACIP, et de son intégration dans les statuts de l’ACIP, sous un titre spécifique intitulé « Le CCJ, échelon départemental de l’ACIP » Version du 7 juin 2013 PREAMBULE : Les Conseils des Communautés Juives (CCJ) ont été créés en 1992, pour : - diminuer l’isolement des communautés dans un même département, voire dans des villes voisines ou même appartenant à une même ville, et leur permettre de coopérer dans différents domaines, de se renforcer mutuellement et de réaliser ensemble des projets d’intérêt collectif, - pallier l’absence de porte-parole coordonné à l’échelon départemental face aux pouvoirs publics en période normale ou de crise (préfecture, rectorat ou inspection académique, police, justice, conseils généraux, parlementaires, etc.) Constitués par des dirigeants de la base communautaire, les CCJ ont favorisé le rapprochement, le dialogue et la coopération entre les communautés dans les domaines culturel, social, sportif, récréatif, sécuritaire, mais aussi politique, notamment la lutte contre l’antisémitisme et la défense d’Israël. Il existe actuellement un CCJ dans chaque département de la région fran-
Ils ont été créés sur un même modèle statutaire, dans le cadre de la loi de 1901, et sur une même base éthique, avec une charte morale. Les CCJ explicitent et relaient les décisions et projets des institutions communautaires centrales; ils coordonnent les activités des communautés dans les domaines précités et mutualisent leurs moyens, leurs activités et leurs prestations en créant entre ces communautés et associations une véritable synergie. Les CCJ sont les partenaires de toutes les institutions communautaires centrales.
I- RECONNAISSANCE MUTUELLE : a - Les CCJ reconnaissent l’ACIP en tant qu’institution centrale et historique de la communauté juive francilienne. Les CCJ et leurs membres s’engagent à respecter pleinement les domaines de compétences de l’ACIP, notamment ceux liés au Culte, au Rabbinat, à la Cacherout, la Hévra Kadicha, le Talmud Thora, le statut des personnes, etc. Chaque CCJ s’interdit d’intervenir dans ces domaines à moins d’être dûment habilité par l’ACIP, en vertu de mandat spécifique et ponctuel. Les CCJ reconnaissent l’autorité du Beth Din de Paris. Chaque CCJ s’attache, dans son département, à renforcer l’ACIP en favorisant l’affiliation de communauté indépendante, s’inscrivant dans le respect de la halakha et habituée à œuvrer en coopération et en synergie avec son CCJ. b - Dans le cadre de la décentralisation consistoriale, le CCJ, regroupement de communautés consistoriales et indépendantes, s’affilie à l’ACIP pour en devenir son l’échelon départemental. II- ORGANISATION : a - Chaque CCJ est régi par des statuts basés sur un modèle type s’apparentant à la loi sur les associations de 1901. Ce modèle est joint en annexe des statuts de l’ACIP. b - Le modèle-type des statuts prévoit notamment le strict respect de la ha-
l’affiliation de chaque CCJ à l’ACIP et l’élection des membres du conseil d’administration de chaque CCJ par l’ensemble des administrateurs des communautés adhérentes. c - L’assemblée générale du CCJ est formée par les administrateurs des communautés adhérentes au CCJ. Elle constitue le collège électoral du conseil d’administration. Le conseil d’administration élu procèdera à l’élection du bureau. Les instances dirigeantes de toutes les CCJ sont renouvelées tous les 4 ans dans le trimestre qui suit l’installation du nouveau bureau de l’ACIP. d - Au conseil d’administration et au bureau du CCJ, les responsables des communautés consistoriales sont majoritaires. Le président du CCJ est un responsable ou un ancien responsable consistorial (dirigeant de communauté ACIP ou administrateur du Consistoire). L’entrée en fonctions des administrateurs et membres du bureau du CCJ est validée par l’ACIP. e - Le conseil d’administration de l’ACIP désigne un de ses administrateurs comme délégué consistorial auprès de chaque CCJ. A ce titre, il participe à toutes les réunions du conseil d’administration ou de chaque commission du CCJ. Il a accès à tout document du CCJ. f - Le conseil d’administration du CCJ désigne un de ses membres comme délégué consistorial auprès de chaque communauté consistoriale de son département. A ce titre, il participe à toutes les réunions du conseil d’administration ou de chaque commission de la communauté. Il a accès à tout document de la communauté. g - L’Union des conseils des communautés juives est dissoute. h - Est créée auprès du Conseil d’administration de l’ACIP, une commission de coordination des CCJ composée des présidents des CCJ. Elle est co-présidée par le président du consistoire et l’élu des présidents des CCJ. Si ce dernier est administrateur du Consistoire, il est de droit un des vice-présidents de l’ACIP et du Conseil des communautés. Si l’élu des présidents des CCJ n’est
est observateur au Conseil d’administration du Consistoire, co-président de la commission de coordination des CCJ et vice-président du Conseil des communautés.Cette commission est composée d’administrateurs du Consistoire et de représentants de CCJ. Toute administration au niveau départemental étant exclue, le Consistoire met à la disposition de la commission un secrétariat. Le Consistoire alloue des moyens à cette commission, sur la base de projets présentés par écrit. i - Chaque CCJ est autonome dans son administration et dans sa gestion. Il rend compte une fois l’an du bilan de ses activités et de sa trésorerie à l’ACIP. j - Après la réintégration de l’ACIP au Conseil représentatif des Juifs de France (CRIF), les 7 membres représentant actuellement les CCJ à l’assemblée générale du CRIF rejoignent les membres représentant l’ACIP. Les délégués du Consistoire et des CCJ arrêtent ensemble la position à prendre sur tout sujet évoqué au CRIF. k - Chaque CCJ s’attache à renforcer l’ACIP en favorisant l’affiliation à l’institution de communautés indépendantes qui s’inscrivent dans le respect de la Halakha. Les CCJ s’attachent à mettre en place, en concertation avec leurs membres, un calendrier des événements cultuels et culturels de l’année et les aident à organiser ces programmes dans les meilleures conditions. Les CCJ soutiennent les missions essentielles et historiques de l’ACIP, dans le cadre du développement d’une synergie départementale, comme, par exemple, le regroupement de certains talmudei torah d’un même secteur, ou la création d’antennes départementales de la hebra kadicha. Au-delà des mots et des slogans, nous faisons trois propositions claires et cohérentes. Elles ont le mérite d’exister et d’ouvrir le débat, en espérant que cela permette à certains de confiner la discussion sur des querelles de personnes.
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Yavneel : la Galilée à portée de main
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Yavneel, un havre de paix en plein coeur de la Galilée, attend les francophones avec impatience. Elle a tout à leur offrir : sérénité, vie communautaire intense, paysages à couper le souffle, proximité avec les lieux saints du nord du pays, le lac de Tibériade à quelques minutes en voiture… Quelques terrains constructibles sont d’ores et déjà disponibles en marge des terrains agricoles. Une occasion en or d’investir dans le présent pour construire l’avenir…
La Galilée… Son calme, sa sérénité, ses paysages, sa verdure, son climat, ses habitants… Une région méconnue des francophones mais qui charme tous ceux qui ont la chance de la visiter. Au coeur de la Galilée se trouve la mochava de Yavneel, un véritable havre de paix où vivent côte à côte ‘hassidim et non religieux, sabras et olim, jeunes et moins jeunes. A deux pas de Tibériade et Safed, les villes saintes, du Golan et de ses montagnes verdoyantes mais aussi des sources de ‘Hamat Gader, Yavneel est un véritable Jardin d’Eden, un lieu propice pour s’échapper de la ville, tout en bénéficiant d’une infrastructure pour une vie juive intensive avec ses synagogues et Bateï Midrash. Fondée en 1901, la localité de Yavneel compte aujourd’hui une population variée de plus de 3 700 habitants, qui regroupe tant les familles des fondateurs de l’époque glorieuse du début du siècle que des immigrants d’Afrique du Nord, du Yémen, une communauté ‘Habad et une communauté Breslev installée depuis 1980. Située à 10 km à l’ouest de Tibériade, en Basse-Galilée, sur la
route Tibériade-Kfar Tabor, Yavneel se trouve dans le territoire attribué à l’époque de la conquête de la terre d’Israël à la tribu de Naftali. Son nom est déjà mentionné à l’époque du Talmud sous l’appellation de Yama, qui est en outre la première dénomination du lieu. « Les fondateurs de la mochava respectaient tous les mitsvot. Mais les générations suivantes n’ont pas toutes suivi le même chemin et aujourd’hui, on trouve à Yavneel toutes les franges de la population israélienne : olim et sabras, séfarades et ashkénazes, ‘hassidim ‘Habad et Breslev, kippot crochetées… Un véritable microcosme où le mot d’ordre est le respect de l’autre », nous affirme le rav de Yavneel, rav Sinaï Frankel. L’accès à Yavneel est facilité par la route TransIsraël (Kvish 6) : la localité se situe à 80 minutes de Raanana, 1h30 de Tel-Aviv et Bné Brak, 1h45 d’Ashdod, 40 minutes de Tsfat (Safed), 50 minutes des pistes du Hermon et moins de 2 heures de Jérusalem. Pour ce qui est de la scolarité, il
existe plusieurs maternelles et écoles religieuses et orthodoxes (‘Habad et Breslev). Aujourd’hui, Yavneel est une localité en plein développement, en passe de devenir l’un des centres urbains du Nord d’Israël tout en préservant son cachet d’authenticité. C’est d’ailleurs la promesse tenue par le Rabbi de Loubavitch au rav Frankel il y a de nombreuses années, promesse qui est en quelque sorte le « moteur » des promoteurs des différents projets immobiliers de la localité : « Yavneel deviendra une ville et une mère en Israël », avait affirmé le Rabbi. Et cette promesse se réalise chaque jour puisque tant le projet Lévi Its’hak que le projet Eden Villas avancent à grand pas : les 30 maisons du quartier francophone Chomer chabbat de Lévi Itsh’ak sont en phase de construction et les 24 villas du quartier Eden sont en phase de planification. Tout ceci en marge des francophones qui ont acheté individuellement des terrains dans la mochava pour y construire leur maison et/ou leur gîte de vacances à louer. Car avec sa proximité avec l’aimant touristique qu’est le Nord du pays,
Le maire de Yavneel, Roni Cohen Notre mochava offre tout ce que les francophones aiment - Hamodia : Yavneel est la nouvelle destination à la mode pour les francophones qui désirent investir dans le Nord du pays. Comment expliquez-vous cet engouement ? - Roni Cohen : J’ai bien étudié la question et en fait, c’est tout naturel. Les francophones aiment le calme, tout en étant à proximité de la ville. Ils adorent la mer mais aussi la montagne. Et surtout, ils sont ouverts. Or, Yavneel leur offre exactement tout cela. Il s’agit d’une mochava sereine, calme, verdoyante, propre, située à quelques minutes en voiture de la ville de Tibériade, ses cafés,
ses centres commerciaux, ses restaurants… Il faut exactement sept minutes pour arriver au lac de Tibériade et prendre un bon bain. Le Golan est tout près. Enfin, la population de Yavneel est très variée, les gens sont accueillants, ils ne cherchent pas les ennuis. Tout ceci fait de Yavneel un lieu privilégié… - Quels sont vos projets pour l’avenir ? - Nous avons la chance, à Yavneel, de jouir de 85 % de terrains inscrits au cadastre, un phénomène quasi unique en Israël. Dans un avenir proche, sous 4 ou 5 ans, nous espérons obtenir des per-
mis de construire pour plus de 1 100 unités de logement supplémentaires. En outre, nous sommes en pleine construction d’une promenade magnifique, qui se nommera Tayélet Na’hal Sarona et qui sera reliée avec une autre promenade, celle-ci en phase de planification, qui longera le versant montagneux de Yavneel. Enfin, la construction d’un bâtiment reprenant quasiment pierre pour pierre le bâtiment du 770, le Seven Seventy de la ‘hassidout ‘Habad, est prévue. Nous attendons le permis de construire.
le Golan et les lieux saints, Yavneel attire aussi les investisseurs qui ont saisi son potentiel touristique et ont choisi d’y construire des tzimmers (gîtes de vacances) louables à la journée ou à la semaine. Plusieurs options s’offrent à ceux qui sont tentés par Yavneel : tout d’abord, les terrains constructibles d’une superficie de 450 m² inscrits au cadastre, avec des voisins qui vous ressemblent, qui partagent la même culture et les mêmes coutumes, qui parlent la même langue… Sur ces terrains, vous pouvez choisir de construire votre maison, loin de la foule et du stress du centre du pays, d’en faire votre résidence secondaire, votre pied-à-terre en Galilée bref, vous êtes libre de disposer de votre terrain comme bon vous semble. Chacun des terrains offre un potentiel de construction d’un pavillon de 300 m² (70 % maximum de la surface constructible) et d’une cave s’étendant sur 100 m². En outre, chaque propriétaire est en droit de construire sur son terrain son propre gîte de vacances, louable à la journée ou à la semaine sur une sur-
face de 45 m², ainsi qu’une piscine. La demande pour les terrains constructibles grimpe continuellement et ils se font rares. De ce fait, le prix des parcelles constructibles à Yavneel est en constante augmentation et ces quatre dernières années, on constate une plus-value de 10 à 15 %. En marge des terrains constructibles, Yavneel offre un choix de terrains agricoles privés également inscrits au cadastre. Pour 8 280 euros payables en 36 mensualités, vous pourrez acquérir un terrain de 500 m². Pour le moment, ces terrains ne sont pas encore constructibles et devraient conserver leur statut de terrains agricoles pour les dix années à venir. Toutefois, en attendant les permis de construire, il est possible de louer la parcelle à un agriculteur. Pour toutes ces raisons et pour beaucoup d’autres encore, Yavneel est une option en or pour ceux qui veulent investir dans le présent et construire leur avenir dans un lieu magique, en plein coeur de la Galilée…
en PARTENARIAT AVEC LE Plus HEBDO
Vent de révolution
La danse des loups autour de notre terre nous rappelle en tous points de vue les malédictions de Balak envers Israël. Chaque ennemi qui nous menace ou nous maudit reçoit un message du Ciel… et retourne alors ses armes vers d’autres prédateurs féroces dans cette jungle sans merci. Nous continuons de mener notre révolution juive : elle consiste non pas à détruire, mais à construire, à consolider nos forces les plus vives, les plus lumineuses, les plus porteuses d’espoir : nos enfants. Le Plus Hebdo, en partenariat avec le centre Bkdousha, spécialiste religieux du monde des adolescents, lance un grand défi au public francophone israélien : « L’école des parents ». Tous ceux qui sont prêts à accueillir cette initiative, à la soutenir et à agir, seront les bienvenus pour le prochain départ d’un passionnant périple éducatif à travers notre beau pays. Avraham Azoulay
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Eliahou Akerman - Directeur de l’Institut Bkdousha
Par Avraham Azoulay
Laissez-nous rêver un peu ! Semblent dire les Européens, nous sommes si déçus de ces printemps arabes qui finalement ont si peu transformé les pays islamiques. Enfin une lueur d’espoir à laquelle s’accrocher solidement ! Cette fois-ci on a compris, et toi Israël, arrête avec tes avertissements permanents de prophète de mauvaise augure ! Nous les Occidentaux croyons et soutenons sans modération les révolutions qui nous permettent d’oublier, au moins pour le temps d’un G8, la réalité qui nous menace. Parlons croissance et écologie, chantons l’espoir et la liberté, tendons la main à l’amour entre les peuples… Les dictateurs du monde entier eux aussi un jour nous tendrons la main, qui sait ?
Il est là, il souffle fort, très fort, à nous donner des frissons, le vent de la révolution. Le problème de cette rafale soudaine est de savoir s’il s’agit d’une simple bourrasque passagère ou d’un vrai tsunami qui va tout balayer sur son passage. Les grands météorologues médiatiques des temps modernes ont du mal à se prononcer quant à toutes ces tornades simultanées dans tant de régions de par le monde. Jusqu’à présent on pensait comprendre ces soulèvements successifs porteurs de tous les espoirs venant de peuples assoiffés de liberté… Mais voilà que tous nos « savants de l’info », à vouloir être les premiers porteurs de bonnes nouvelles, se sont trompés les uns après les autres. Leurs analyses trop hâtives ont aussi induit en erreur les dirigeants des pays occidentaux qui en perdent à chaque fois leur latin. Cette fois encore, l’Occident, amnésique et à fleur de peau, jubile déjà en ce lendemain de révolution iranienne. Le jeune élu de 65 ans au blanc turban, considéré comme « modéré », est tout à coup devenu le héros de la presse « coup de cœur » qui l’aime déjà, le comprend et bien sûr, le soutient.
L’information en provenance d’Israël
rect avec les enfants, à parler de sexualité de manière vraie, pudique, dans la kdousha et sans tabou. Nous sommes aussi une adresse vers laquelle les adolescents peuvent se tourner.
Eliahou Akerman est psychologue éducatif depuis trente ans. Il a été amené à beaucoup travailler avec la jeunesse et s’est vu de nombreuses fois demander conseil pour des problèmes de couple et de sexualité. Il est petit à petit devenu un véritable spécialiste dans ces questions. Face à la réalité d’aujourd’hui, et à des adolescents de plus en plus précoces et de plus en plus sollicités dans le domaine de la sexualité et de l’identité sexuelle, Eliahou Akerman a décidé de prendre en main un phénomène qui inquiète de nombreux parents : comment parler de sexualité avec les enfants ? Comment prévenir les problèmes dans ce domaine ? Et surtout comment y parvenir en restant dans la pudeur et la sainteté demandées par la Torah. Eliahou Akerman a créé, pour répondre à toutes ces questions, un institut dont le nom est très révélateur de son objectif : « Bkdousha » (dans la sainteté). Il est soutenu par de nombreux Rabbanim, dont le Rav Shmouel Eliahou. Nous l’avons rencontré afin de connaître de plus près l’institut et son projet. La rencontre a été très fructueuse et LPH a décidé de lancer une initiative en partenariat avec Bkdousha pour appuyer son action si importante : mettre en place une école des parents. Il s’agirait d’organiser des conférences, des ateliers sur le thème de l’adolescence. Nous souhaitons aussi mettre en route une caravane qui se rendrait de ville en ville et traiterait des problématiques les plus centrales. Bkdousha est un institut d’utilité publique, le projet est d’importance capitale et relève de notre responsabilité à tous : il concerne nos enfants, l’avenir de notre peuple. Le Plus Hebdo : Quel est le but de votre institut ? Eliahou Akerman : L’idée de cet institut est d’offrir un environnement dans lequel puissent se traiter toutes les questions liées à la sexualité selon la voie de la Torah. L’accueil dans ce lieu se fait par des professionnels qui allient de façon harmonieuse leur domaine de profession et la Torah. Nous aidons à former des enseignants, des thérapeutes qui pourront donner des réponses lorsqu’il y a déjà problème. C’est la partie clinique de l’institut. L’autre partie du projet a pour but d’éviter d’avoir à en arriver à la clinique : faire de la prévention. Il s’agit d’opérer une petite révolution. Nous souhaitons apprendre au maximum d’enseignants, de parents, de rabbanim, de cadres éducatifs, en d’autres termes à tous ceux qui sont en lien di-
Lph : Les jeunes sont-ils victimes d’un manque de communication sur le sujet ? E.A. : Tous les jeunes qui arrivent chez nous avec des problèmes dans le domaine de la sexualité sont des jeunes à qui personne n’a jamais parlé de ces sujets, que l’on n’a pas préparés. Comment un jeune aujourd’hui peut-il se confronter aux I-Phones, à la pornographie sur Internet ? Seule l’éducation peut apporter une réponse et les munir des outils nécessaires. Si nous voulons entrer dans tous les établissements, qu’ils soient religieux ou non, nous devons former beaucoup d’enseignants à enseigner de l’anatomo-psychologie dans la spiritualité. Nous devons leur donner de la matière, des connaissances claires et profondes. Le plus important ensuite est d’apprendre comment faire passer le message. Lph : Comment êtes-vous accueilli par les directeurs de Yeshivot lorsque vous leur dites que souhaitez former les professeurs en éducation sexuelle ? E.A. : Il y a environ dix ans, on me laissait faire une conférence, pas deux... Aujourd’hui, les gens savent que c’est un défi, un problème que nous devons affronter et ils sont intéressés. Lph : Il y a quelques semaines, vous avez tenu un forum avec de nombreux spécialistes de l’adolescence. À quoi sert cette structure ? E.A. : Je ne suis pas le seul à m’occuper du sujet, et des dizaines d’autres structures le traitent aussi, chacune avec ses compétences et sa spécialité. Il va de soi que si nous unissons nos efforts et notre action, nous parviendrons à réaliser une véritable révolution dans le domaine de l’adolescence. D’où l’idée du forum : permettre aux différents responsables de ces structures de se rencontrer, d’échanger. Ainsi, nous avons défini les sujets sur lesquels nous pouvons avancer et travailler ensemble, nous avons constitué des petits groupes de travail avec l’objectif de se retrouver une fois tous les deux mois pour confronter nos avancées et définir les prochaines étapes. Le forum a permis aussi de designer une adresse où les parents d’adolescents peuvent se rendre : la nôtre. Nous recevons des appels de tout le pays, et nous les orientons vers les spécialistes et les instituts qui répondront à leur problème spécifique. Lph : Quelles sont les spécialités que vous évoquez ? E.A. : Un représentant du ministère de l’Éducation, qui est censé donner des réponses aux jeunes sans beaucoup de succès participe à notre projet. Par ailleurs, des organismes nous ont rejoints, comme « Levavot » du Rav Elisha Aviner qui a créé un site internet pour donner des réponses aux parents. Nous comptons aussi dans nos rangs l’association Hatzat Nefesh, une ligne d’urgence pour répondre aux questions sur l’homosexualité. Des personnalités en contact direct et au plus proche de la jeunesse font aussi partie du projet : le Rav Rimon d’Alon
Shvout fait des ateliers pour les jeunes, Yona Perssburg s’occupe de l’Internet et de tout ce qui a trait à la jeunesse, Ohel Hayehoudi s’installe pendant les vacances dans une tente qui a un site relié sur Facebook 24h/24. Des milliers de jeunes lui écrivent. Des spécialistes de l’addiction qui se battent même au niveau politique contre la diffusion de la pornographie, ainsi que des psychologues, nous apportent leur contribution. Lph : Autour de quels thèmes avezvous construit les groupes de travail ? E.A. : Un premier est juridique, il s’occupe de faire avancer la loi sur le sujet, car il n’existe rien ou presque aujourd’hui. Un second s’interroge sur la composition des groupes adéquats et performants pour travailler avec les jeunes, en prenant soin de choisir des personnes qui savent allier harmonieusement le fait d’être religieux et celui d’être psychologue. Nous essayons d’établir une liste de professionnels mais aussi d’activités possibles et adaptées dans les écoles. Tous ces groupes sont animés par le désir de trouver, d’apporter des solutions et du personnel très bien formé pour parvenir à lancer une révolution si nécessaire dans le domaine de l’adolescence. Lph : Vous adressez-vous surtout au monde religieux dans lequel la sexualité est un sujet que l’on aborde difficilement ? E.A. : Nous travaillons essentiellement avec et pour le monde religieux. Disons que nous savons que c’est bénéfique pour tout le monde, mais nous pensons qu’il faut déjà commencer par ce milieu, d’autant que les rabbanim y voient l’utilité et l’urgence de la situation. Nous sommes en voie de mettre en place un cours de sexologie pour personnes religieuses, notamment autour de sujets très sensibles comme celui de l’identité sexuelle et de l’homosexualité. Lph : Y a-t-il dans votre équipe des personnalités du monde francophone ? E.A. : Oui, nous comptons parmi nous le Rav Benjamin David de l’Institut Pouah, le Dr Michael Aboulafia ou le Rav Yona Perssburg. Par ailleurs, ma sœur, le Dr Myriam Bauer, nous a rejoints : elle est gynécologue, sexologue, spécialisée dans la gynécologie psychosomatique. Lph : Quelles difficultés rencontrezvous ? E.A. : Nous avons, Dieu merci, un très beau local qui nous a été laissé en héritage pour la cause que nous défendons. Pour le reste, il nous manque des fonds, tous les projets que nous gérons coûtent beaucoup d’argent. Il y a malheureusement de nombreuses personnes dont nous ne pouvons pas nous occuper. Nous manquons de personnel ; je paie de ma poche certaines des personnes qui travaillent avec moi dans l’institut. Afin de faciliter cette recherche financière, nous sommes en cours de nous constituer en association. Institut Bkdousha www.bkdousha.co.il office@bkdousha.co.il
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Yemin Ordre Le campus scolaire de Yemin Orde existe depuis 60 ans dans le cadre merveilleux du Mont Carmel a 10 mn de Haifa et 35 minute de Netanya, entre Atlit et Bet Oren. Il y a environ trente ans , les dirigeants ont décidé de lui confier une mission bien particulière : accompagner les Olim de différents pays pour les aider dans leur cursus scolaire, pour les épauler dans leur choix après le bac (armée, études
supérieures). Aujourd’hui, ce programme s’ ouvre aux olim francophones qui sont en Israël depuis moins de 10 ans, mais aussi dans le cadre du programme Naale aux jeunes désirant venir en Israël faire leur cursus scolaire en attendant que leurs parents les rejoignent. Le campus Yemin Orde est ouvert aux jeunes adolescents à partir de la classe de Tet (3ème), soit de 14 -15
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ans. Les jeunes sont logés sur place dans un internat. L’internat est très strictement encadré; deux madrihim, une assistance sociale et une Em Bayit appelée communément « la maman de l’internat » pour quatre chambres. Ce sont en tout plus de 250 professionnels qui encadrent les 450 jeunes sur le campus. Quant à la proportion d’élèves francophones pour cette nouvelle section, elle est déjà de plus de 40 inscrits toutes classes
confondues (3ème, seconde et première) d’après le cursus du bac israélien. L’équipe dirigeante, avec Benny Fischer à sa tête, est expérimentée dans les domaines pédagogique et éducatif. Yemin Orde affiche un taux de réussite de 90% et 60 % des jeunes intègrent le cursus universitaire avec
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une bourse d’étude en poche délivrée par le campus de Yemin Orde. Les élèves sont suivis individuellement jusqu’au bac et même après: « l’équipe de Yemin Orde soutient ses élèves dans leur préparation pour l’armée, les guide, les oriente. Il en va de même pour le choix des études supérieures » Le campus Yemin Orde a commencé à fonctionner avec des adolescents issus de l’immigration russe, brésilienne, éthiopienne, et même anglosaxonne. Aujourd’hui, il s’ouvre aux francophones. Le projet pour la rentrée 2013-2014 suscite un réel engouement de la part des professionnels de l’éducation et de l’alya des francophones, mais aussi des parents et jeunes qui sont en Israël car il répond à une attente. En effet, nous nous adressons aux adolescents arrivés en Israël depuis au minimum deux ans et qui se retrouvent face à des difficultés d’intégration en général et scolaire en particulier. Sur le campus, les élèves ont la possibilité de suivre le cursus scolaire général ou technologique. Des cours de robotique, d’Informatique, de multimedia, de Sciences Naturelles, de Physique-Chimie qui sont proposés avec toutes les structures et tout le matériel nécessaire pour les olim. D’autre part, les jeunes fraichement arrivés en Israël bénéficieront de cours d’oulpan tous les matins et de centre de soutien scolaire en aprèsmidi leur permettant d’acquérir les bases pour la suite de leur cursus scolaire qui restera toujours adapté jusqu’à la fin de leur bac (bagrout). L’une des particularités du campus réside dans le mixage des populations d’une part et par le fait que les classes ne soient pas mélangées d’ autre part. « Le fait que les élèves se retrouvent avec des camarades issus du même pays les renforce, cela les aide dans leur progression. Tous les cours sont en hébreu, cependant. A noter que les élèves de Yemin Orde ont la possibilité de passer le français au bac avec un coefficient 5 ». Par ailleurs, si les classes sont mixtes, celles pour francophones seront séparées filles/garçons. « Sur le plan religieux, le niveau de pratique correspond aux traditionalistes français que nous connaissons : tefila, kippa et jupes pour les filles. Mais ce n’est pas Torani et nous n’employons pas la coercition concernant la religion » L’équipe dirigeante du campus scolaire de Yemin Orde ne perd pas de vue l’objectif numéro un: intégrer les adolescents dans la société israélienne. C’est pourquoi de nombreuse activités parascolaires y sont organisées, lors desquelles les élèves font connaissance, nouent des liens et apprennent la vie à l’israélienne. Le directeur de l’école, Chmouli Bing, explique que « Yemin Orde est la seule école à vous redonner confiance en vous pour réussir votre scolarité avec brio. Par conséquent, je vous invite à vous joindre à la réussite de nos élèves. Notre spécialité, l’enseignement aux élèves olims, dans un enseignement de qualité, adapté aux jeunes olim »
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Emirats : crash d’un avion militaire, le pilote tué
Un avion de combat de l’armée de l’air émiratie s’est écrasé lors d’une mission d’entraînement et le pilote a été tué, a annoncé l’état-major dans la nuit de dimanche à lundi. « Un avion militaire s’est écrasé lors d’une mission d’entraînement de routine et le pilote a été tué. Les autorités mènent une enquête sur le lieu
de l’accident pour en déterminer les circonstances », a précisé le communiqué de l’armée diffusé par l’agence officielle WAM. L’armée de l’air des Emirats arabes unis, riche pays pétrolier du Golfe, est notamment équipée de Mirage 20009 de Dassault Aviation et de F-16 de l’américain Lockheed Martin.
Syrie : « l’égyptien Morsi a rejoint le complot Qui est le nouveau pantin (Rowhani) américano-israélien » syrien, » a déclaré Morsi. « Le Hezbollah doit quitter la Syrie, ce sont des mots sérieux. Il n’y a pas de place pour le Hezbollah en Syrie. »
La Syrie a sévèrement critiqué dimanche la décision du Caire de rompre ses relations diplomatiques avec Damas, accusant le président égyptien Mohamed Morsi de se joindre au complot dirigé par les Etats-Unis et Israël contre la Syrie. Morsi a dit qu’il avait coupé tous ses liens diplomatiques avec Damas samedi, et a appelé à une zone d’exclusion aérienne sur la Syrie, lançant fermement l’état arabe le plus peuplé contre le dictateur Bachar al-Assad. L’agence de presse officielle syrienne SANA a cité une source gouvernementale affirmant que Morsi a mis en œuvre le programme des Frères Musulmans, qui a appelé au djihad contre le régime syrien, en ignorant les aspirations du peuple égyptien. Le communiqué ajoute que Morsi et les religieux égyptiens devraient diriger leur attention vers la libération de « la terre palestinienne usurpée, en particulier Jérusalem, » plutôt que d’émettre des fatwas appelant à plus de « bain de sang en Syrie. »
Le responsable syrien a déclaré que les appels de Morsi pour une intervention étrangère en Syrie et la mise en œuvre d’une zone d’exclusion aérienne dans le pays ne feraient que servir les intérêts des Etats-Unis et d’Israël. La source a ajouté que la présence continue d’une ambassade israélienne au Caire et l’adhésion de l’Egypte aux accords de Camp David avec Israël délégitime à la fois Morsi et les Frères Musulmans. Samedi, s’adressant a un rassemblement organisé par des dignitaires sunnites au Caire, Morsi a déclaré : « nous avons décidé aujourd’hui de rompre nos relations avec la Syrie et avec le régime syrien actuel. » Il a également averti les alliés d’Assad, en particulier le groupe terroriste libanais Hezbollah soutenu par l’Iran, de se retirer de la lutte en Syrie. « Nous sommes contre le Hezbollah dans son agression contre le peuple
Morsi, qui fait face à un mécontentement croissant en Egypte sur les questions économiques et sur les craintes qu’il poursuive un agenda social islamiste, a déclaré qu’il était urgent d’organiser un sommet des états arabes et islamiques pour discuter de la situation en Syrie, où les Etats-Unis ont au cours des derniers jours décidé de prendre des mesures pour armes les rebelles. Morsi a déclaré que la Syrie était la cible d’une « campagne d’extermination et de nettoyage ethnique planifié alimenté par les états régionaux et internationaux, » en partie en référence à l’Iran, mais sans toutefois aller jusqu’à nommer la dictature islamique. Morsi a déclaré : « le peuple égyptien soutient la lutte du peuple syrien, matériellement et moralement, et l’Egypte, son pays, son leadership et son armée n’abandonneront pas le peuple syrien jusqu’à ce qu’il atteigne ses droits et la dignité. » Les Frères Musulmans ont rejoint cette semaine les appels des organisations religieuses sunnites pour un djihad contre Assad et ses alliés chiites. L’Egypte n’a pas joué un rôle actif dans l’armement des rebelles syriens, mais un proche de Morsi a déclaré cette semaine que le Caire ne s’opposerait pas aux égyptiens qui veulent partir se battre en Syrie.
du Guide Suprême iranien ?
Son nom est inconnu du grand public en occident et pourtant, déjà, tous les médias nous sortent la même tambouille: « le nouveau président iranien est un modéré. » Croient-ils vraiment qu’il existe des islamistes modérés ? Qui plus est quand les élections sont aussi peu sérieuses qu’en Iran et que le Guide Suprême décide de qui peut se présenter ou non (pour pouvoir tenir les candidats et les politiques nationales). Hassan Rowhani, est, selon Rue89, « un modéré qui prône une normalisation des relations avec les pays occidentaux. » Et d’ajouter, comme pour rassurer: « son élection marque une rupture avec le très conservateur Mahmoud Ahmadinejad, le président sortant, qui a dirigé le pays pendant huit ans. » Rohani a obtenu 50,68% des voix, loin devant le maire de Téhéran Mohammad Bagher Ghalibaf (16,5%) et le candidat des conservateurs radicaux Saïd Jalili(8,6%), qui se déclarait « à 100% » contre la détente avec les ennemis de l’Iran. Le taux de participation a été de plus de 72% : la jeunesse, malgré les fraudes életorales de 2009, n’a pas été dégoûtée et est allée massivement aux urnes pour faire gagner ce candidat. Pour le site belge Lalibre, « âgé de 64 ans, Hassan Rowhani, connu pour la très grande modération de son discours, est un proche de l’ex-président Akbar Hachémi Rafsandjani (modéré), qui a appelé –tout comme son successeur Mohammad Khatami (réformateur)– à voter pour lui. » Mais les journalistes ot-ils vraiment
conscience de ce qu’ils écrivent ? Depuis quand Rafsandjani et Khatami sont des modérés au sens « occidental » du terme ? De fait, Hassan Rowhani est connu en Occident pour avoir été le responsable des négociations portant sur le programme nucléaire iranien, sous la présidence du réformateur Mohammad Khatami (1997-2005). Autant dire qu’il est très doué puisque sous sa houlette, quasiment aucune sanction n’a été votée à l’encontre de l’Iran… Pendant que la bombe se construisait à bon rythme ! D’ailleurs, c’est un partisan de la Sharia (et pas dans sa version Light !): il a activement participé à la révolution de 1979, parcourant le pays pour soulever les foules contre le Shah. Après la révolution, il a été élu à l’assemblée consultative islamique, puis a occupé pendant seize ans le poste de secrétaire du conseil national de sécurité. A lui seul il doit être responsable de la mort de centaines de « coupables »… Et en vertu de la Constitution, c’est le guide suprême, l’ayatollah Ali Khameneï, qui est décisionnaire en matière nucléaire, comme sur les questions stratégiques de sécurité ou de diplomatie. Autant dire que rien ne va changer ! Sauf pour Israël et les Nations Arabes ennemis de l’Iran qui vont se retrouver avec un beau parleur… Mais sans qu’aucune nouveauté politique ou stratégique ne se fasse en faveur de l’occident ! Par Amos Lerah
L’information en provenance d’Israël
Cauchemar français
J’aimerais, je l’ai écrit de nombreuses fois, pouvoir encore aimer la France. J’aimerais ne pas voir ce que je vois et ne pas entendre ce que j’entends. Il y a, en ce pays, de braves gens, et j’en rencontre régulièrement au fil de mes conférences et des colloques auxquels je participe. Ce n’est pas la population qui est en cause : elle est, au contraire, en position de victime. Il y a aussi dans ce pays des gens monstrueux. Ceux que je désigne ainsi ne sont pas les skinheads qu’il est de bon ton de vouer aux gémonies ces temps derniers, non : les skinheads me semblent avoir une intelligence limitée, des idées qui me répugnent, un folklore qui, au mieux, me laisse froid, et parfois me glace. Ils sont souvent racistes et antisémites, crispés dans un nationalisme étroit et dans des idées totalitaires. Mais ils sont peu nombreux, et ils constituent, pour l’essentiel, une réaction. Ceux que je désigne ainsi sont plutôt ceux qui se confrontent aux skinheads, tous ces gauchistes qui se disent « antifascistes » et se comportent comme de véritables fascistes. Non seulement ces gauchistes ne s’en prennent pas seulement aux skinheads mais aussi à des gens paisibles tels que ceux qui se sont assemblés dans les manifestation hostile au mariage homosexuel, mais ils ont des relais dans les grands médias et bénéficient de bienveillances dans les milieux politiques. Ceux que je désigne ainsi sont, au delà des gauchistes susdits, tels le crétin récemment mis en avant jusqu’à l’idolatrie, les journalistes des grands médias, précisément, qui ont cessé pour la plupart de se comporter en journalistes et se sont transformés en propagandistes, passant à chaque instant l’actualité au tamis de leurs préjugés et de leurs dogmes, et enfermant par là même ceux qui les lisent dans la cécité, l’absence de repères et une désespérante impasse.
Ceux que je désigne sont, au côté des journalistes des grands médias, les dirigeants politiques, précisément, parmi lesquels il est difficile de discerner des hommes ou des femmes d’Etat et qui, en imprégnant leurs discours de la propagande ambiante se mettent le plus souvent à la remorque de celleci, et renforcent la cécité, l’absence de repères, la désespérante impasse. Tous les grands partis politiques français aujourd’hui sont socialistes, absolument tous, du Front National à l’UMP, de l’UDI au Front de Gauche. Certains partis sont moins consternants que d’autres, mais aucun d’eux ne peut être rapproché de ce qu’est le parti républicain américain ou d’un conservatisme thatchérien. Une situation bloquée et une régression destructrice qui avance. Je dois constater qu’il résulte de l’imbrication du gauchisme, de l’imposture inhérente aux grands médias et de la médiocrité de la quasi totalité de la classe politique française une situation bloquée et une régression destructrice qui avance. Les explications concernant la situation économique du pays existent, mais elles sont marginalisées, et rendues inaudibles. Juste avant de partir pour Israël, j’ai regardé une émission significative où mon ami Pascal Salin était le seul à tenir un discours sensé (un discours qui, ajouterai-je, est celui tenu par les économistes dignes de ce nom sur les cinq continents), et devait subir la dérision de cuistres incultes tels Jean-François Kahn (qui me semble connaître autant la pensée économique que je puis connaître les techniques de fabrication des spaghetti en Italie du Nord) : et encore, l’animateur de l’émission (Frédéric Taddei) avait-il invité Pascal Salin, ailleurs, on n’aurait entendu que Jean-François Kahn, qui ne manque pas de relais pour étaler son ignorance. Il en va de même pour les explications géopolitiques, climatologiques, tech-
Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
niques lorsqu’il s’agit (par exemple) des biotechnologies. Ouvrir les manuels scolaires permet de découvrir la façon dont on dévaste l’esprit des enfants en injectant dans leurs neurones, entre autres, une vision marxiste de l’histoire et une version écologiste fondamentaliste de la géographie. Allumer la télévision est se condamner à assister à des séances d’abrutissement délibéré où, entre deux séances de rire bête et méchant, quatre ou cinq massacres de chansons de qualité par des amateurs s’imaginant devenir bientôt stars, on demande à des acteurs qui n’ont pas inventé l’eau tiède de répéter les stéréotypes du prêt à penser ambiant. Ouvrir les journaux ? J’ai renoncé à ouvrir les journaux en langue française. Pour m’informer, je commence chaque jour par parcourir la presse américaine, je continue avec la presse israélienne et la presse britannique, si nécessaire, je regarde la presse russe, chinoise, indienne, et je termine par la presse française, pour voir à quel degré elle est lacunaire et consternante. Je dois l’écrire : cela m’attriste et me révolte. La gauche totalitaire est parvenue à l’hégémonie Une prise de pouvoir s’est opérée graduellement, je l’ai déjà écrit. La gauche totalitaire est parvenue à l’hégémonie. Elle entend détruire ce qui peut rester de traces de civilisation occidentale digne de ce nom partout où elle passe. Elle entend en finir avec les sociétés ouvertes, le vrai et le faux, le vérifiable, le droit et la dignité de l’être humain, la liberté de parler, d’entreprendre et de passer contrat. Elle entend conduire vers un chaos coalescent. Elle y parvient, même si des sursauts se dessinent. En rentrant d’Israël, je suis arrivé par Orly. J’allais à Orly il y a vingt ou trente ans. L’aéroport est resté intérieurement le même, mais il a été transformé extérieurement en un bunker inaccessible aux voitures et où déposer des passagers et revenir les prendre est un crime (des caméras de surveillance permettent de verbaliser le moindre contrevenant), ceci aux fins de permettre à la haute classe de prendre le taxi et de contraindre la basse classe de s’entasser dans les transports collectivistes. Il faut qu’un pays soit dirigé par des psychopathes pour transformer un aéroport en bunker. Je ne connais pas d’autre exemple de ce genre ailleurs sur terre (à Roissy, c’est moins pire, mais cela prend la même direction). Des bidonvilles et des immeubles crasseux le long de l’autoroute depuis Roissy Le long de l’autoroute, comme c’est le
cas depuis Roissy, j’ai croisé des bidonvilles et des immeubles crasseux, et arrivant d’Istanbul, ville située dans un pays censé être « en voie de développement », j’ai eu honte. En quittant l’aéroport d’Istanbul et en gagnant la ville, on ne croise ni bidonvilles ni immeubles crasseux, c’est un fait. Aux feux rouges dans Paris, j’ai croisé des mendiants, des mutilés tendant leurs moignons : je n’ai croisé en Israël ou en Turquie ni mendiants ni mutilés tendant leurs moignons. Je n’en croise pas non plus aux Etats Unis, ou très rarement. Chaque jour, on annonce de nouveaux licenciements, de nouvelles fermetures d’entreprises qu’aucune autre entreprise ne remplace. Les zones de non droit prolifèrent. Les visages sont tristes, lugubres presque. Les grèves succèdent aux grèves : je devais me rendre à Londres, et il y a eu une grève surprise des aiguilleurs du ciel, contre la « libéralisation » du transport aérien, bien sûr. J’ai du annuler mon voyage, comme des milliers d’autres. A suivi une grève de la SNCF destinée à préserver la retraite à cinquante ou cinquante deux ans, je ne sais plus. Des amis américains devaient visiter le mont Saint Michel, et ils n’ont pu le faire parce qu’il y avait une grève, là bas aussi. Je leur ai dit que la grève était une spécialité française et qu’il faudrait organiser des voyages de tourisme pour que les étrangers puissent découvrir cette spécialité française, destinée à être plus célèbre que le nougat de Montélimar : la grève. J’aimerais pouvoir encore aimer la France, disais-je. J’ai horreur, je l’écris, de ce que la France devient. J’aimerais un sursaut. Mais je ne le vois pas venir. Vraiment pas. J’aimerais penser qu’il viendra du « printemps français » et qu’un vaste mouvement de colère lucide se lèvera. J’aimerais. Mais je crains que ce soit un rêve. Lorsque le bien et le mal se font indistincts, le mal triomphe Jean-François Revel a écrit un livre appelé « la connaissance inutile » : comment une colère lucide peut-elle prendre forme quand la connaissance, après avoir été inutile, se trouve quasiment anéantie ? Gilbert Keith Chesterton a noté que lorsqu’il devient impossible de distinguer le vrai et le faux, tout devient faux, et que lorsque le bien et le mal se font indistincts, le mal triomphe. Que reste-t-il à dire ou à faire lorsqu’en une société tout devient faux et que le mal triomphe ? Alors que j’achève ces lignes, une rumeur monte de tous côtés : ce n’est plus
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celle qui entoure saint Clément Méric, martyr de l’ « antifascisme » et celle de la nécessité d’en finir avec l’extrême droite « fasciste », non. C’est celle qui entoure une procédure d’arbitrage favorable à Bernard Tapie : je ne sais s’il y a eu fraude. Je sais que la présomption d’innocence est une fois de plus totalement violée. Je sais que la justice en France est aux mains de gens tels que ceux qui ont décoré leurs locaux avec un « mur des cons » et qui ont du droit une vision pas très éloignée de celle qui régnait en Chine sous Mao. Je sais que dans le contexte de débâcle économique du pays et en un contexte où des élections se préparent, ajouter au grand air de la « lutte antifasciste » le grand air de la « lutte contre la corruption » qui rongerait la « droite » française pourrait être un subterfuge très tentant pour des gens sans aucun scrupule. Et je pense que les socialistes français, leurs complices et leurs porte-coton n’ont aucun scrupule. Strictement aucun. La gauche française n’aime que la médiocrité, la destruction et la décadence Juste un dernier point. Johnny Hallyday fêtait samedi 15 juin son soixante dixième anniversaire. C’est un artiste pour qui j’ai beaucoup de respect : on ne fait pas cinquante ans de carrière au sommet sans raison. Je pense qu’il a aujourd’hui l’un des plus beaux répertoires de la chanson française, et que ses qualités d’interprétation sont sans égales en ce pays. Il vient d’une époque où on aimait les Etats-Unis en France et où on aimait la liberté au travers des Etats-Unis. Ce que retiennent ses détracteurs aujourd’hui est qu’il s’est exilé fiscalement et a donc fuit l’enfer fiscal français. Ce qu’ils retiennent, à charge, est qu’il continue à aimer les Etats-Unis. Ils ajoutent qu’il n’est pas intelligent : il a de tous les artistes français été celui qui a tenu les propos les plus courageux sur Israël, où il s’est rendu en disant que le boycott et les menaces ne lui faisaient pas peur, au contraire, et en précisant qu’en 1967, il avait envisagé de partir rejoindre l’armée d’Israël contre ceux qui voulaient détruire le pays. C’est une preuve d’inintelligence en France aujourd’hui de tenir ce genre de propos. Il a, dans la presse anglaise, tenu des propos très lucides sur le culte de la médiocrité impliquée par le socialisme. C’est une preuve d’intelligence en France de tenir ce genre de propos, bien sûr. La gauche totalitaire et bilieuse française ne peut que détester Johnny Hallyday et le trainer dans la boue. Elle déteste le talent, l’amour des Etats-Unis et d’Israël, la liberté tout court. Elle s’efforce de tuer ou d’asphyxier ce qui ne lui ressemble pas. Elle n’aime que la médiocrité, la destruction et la décadence. Guy Millière
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Bertrand Delanoë et Arno Klarsfeld, amis d’Israël ?
Le BNVCA demande l’annulation de l’exposition photo organisée au Musee Jeu de Paume qui glorifie la mort la Culture de faire immédiatement cesser cette exposition, provocatrice, haineuse et qui sert d’exemple à ceux qui magnifient de la même manière Mohamed Merah, le tueur antijuif et anti français de Toulouse, ou les terroristes de Sarcelles, de Boston ,Londres, etc… Le BNVCA relève que cette exposition est organisée et produite par le Jeu de Paume, Paris, le Museu d’Art Contemporani de Barcelona (MACBA), Barcelone et la Fundaçao de Serralves-Museu de Arte Contempoânea, Porto.avec le partenariat de A Nous, ParisART, Time Out Paris. Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme est requis par un très grand nombre de correspondants et internautes scandalisés par une exposition AHLAM SHBILI PHANTOM HOME FOYER FANTOME,organisée au Musée du Jeu de Paume de Paris, du 28 mai au 1 er Septembre 2013, à l’initiative d’une prétendue photographe, palestinienne née en 1970, Ahlam Shibli qui glorifie la mort, le suicide kamikaze, et qui fait sans complexe l’apologie des terroristes antijuifs en Israel,ces bombes humaines qu’elle appelle martyrs, ces terroristes appartenant aux organisations terroristes palestiniennes Brigades des Martyrs El Aqsa, ou Groupe de « résistance armée Faris Al Leil (chevaliers de la nuit) Parmi les photos dangereusement
incitatives à cette haine de l’Etat juif et qui poussent immanquablement à l’acte antisémite violent,on peut y voir , selon le descriptif, non seulement ces terroristes, mais encore un autocollant montrant un poing dressé aux couleurs palestiniennes, avec cette légende : « Nous exigeons la fin de l’occupation. Boycottez le Tapuzina [une boisson sans alcool israélienne]. Le BNVCA rappelle que l’appel à boycott étant un délit prévu et réprimé par nos lois, il demande à son avocat maitre BENSIMHON de déposer plainte du chef de discrimination et provocation à la haine raciale, contre les auteurs et complices,et tous ceux que l’enquête aura révélés. Le BNVCA demande au Directeur de l’UNESCO et au Ministre français de
Le BNVCA considère que cette exposition participe de cette propagande palestinienne qui reste la source essentielle de l’antisémitisme depuis déjà 13 ans.Parce qu’il est inadmissible que des institutions officielles ou des organisations internationales soutiennent et subventionnent ce type de glorification de la mort et du terrorisme sous couvert d’un art morbide et dévoyé ,le BNVCA soutient la pétition qui réclame le retrait de cette exposition, et appelle tous les citoyens épris de paix et de justice à rejoindre la manifestation organisée le 30 juin 2013 à 15 H DEVANT LE MUSEE DU JEU PAUME PLACE DE LA CONCORDE A PARIS à l’initiative de France Israel et Europe Israel. par:Sammy Ghozlan
Lors d’une récente visite à Ramallah, le Maire de Paris Bertrand Delanoë est devenu citoyen d’honneur de « l’Etat de Palestine ». Lors d’une cérémonie officielle, le « Président de la Palestine » Mahmoud Abbas lui a remis un passeport ‘’palestinien’’ signé de sa propre main. Bertrand Delanoë aura-t-il maintenant le courage politique de devenir citoyen d’honneur du Tibet ? Nul ne le croira ! On ne plaisante pas avec les intérêts chinois comme chaque politique occidental le fait avec l’état du peuple juif.
au Parlement européen lors la conférence internationale Culture et résolution des conflits en Europe et au Moyen orient à l’initiative du Projet Aladin. Dans celui-ci, il y explique qu’en 2002, « au moment de la 2ème intifada, j’ai accompli mon service militaire en Israël dans une unité combattante. A cette période j’étais sous l’impression, suite aux attentats kamikazes quasi quotidiens qui touchaient Jérusalem qu’une partie du peuple palestinien rejetait Israël en tant que peuple juif au Moyen orient ».
Suite à la remise de son passeport il souhaita « devenir citoyen d’un état en plein exercice, un vrai état en amitié avec ses voisins, l’état de la liberté du peuple palestinien, en respect, en amitié, et en paix avec le peuple israélien ». Sautant sur l’occasion, Mahmoud Abbas lui répondit que « C’est notre espoir d’arriver à un état palestinien indépendant qui vit en sécurité et paix avec ses voisins, y compris Israël »
A contrario, son ‘’impression’’ est donc qu’une partie du « peuple palestinien » accepte l’idée d’un Etat d’Israël, état du peuple juif ! Il le confirme !
Si l’un se veut ou joue au naïf, le second est quant à lui plus subtil ! Si le premier pense au peuple juif de nationalité israélienne, l’autre pense à un Israël devenu énième état musulman par la démographie et le « juste droit de retour » de centaines de milliers de « réfugiés » au sein de l’Etat d’Israël actuel. La cérémonie aurait, à coup sûr, tourné autrement, aurait pris un ton moins enjoué si le Maire de Paris avait osé souhaiter « un état en plein exercice (…) en respect, en amitié et en paix avec Israël, Etat du peuple juif ». L’intérêt bien compris de ces ‘’grands hommes d’états’’ occidentaux est de ne pas se fâcher avec le monde musulman. Ils savent, ils connaissent à n’en pas douter son refus d’accepter toute idée d’un tel état. Ils contribuent ainsi, par leurs lâchetés, à la pérennité du conflit. Ils ne sont pas les seuls dans ce cas ! Arno Klarsfeld a prononcé un texte
« L’Iran fait peser une menace existentielle sur Israël - Au nord le Hezbollah ne veut pas d’un Etat juif - Au sud le Hamas ne veut pas d’un Etat juif - (…) - A l’est l’autorité palestinienne reconnait Israël » Quel Israël ? Etat du peuple juif ? D’où tient-il cette reconnaissance ? Mahmoud Abbas lui-même rejette le caractère juif de l’Etat d’Israël et n’accepte pas l’idée assurant que le « problème des réfugiés sera résolu au sein de l’état palestinien » Est-il donc si compliqué, même pour un soutien incontestable d’Israël, d’admettre ce refus, d’arrêter de faire le jeu du monde musulman, de confirmer, au parlement européen, ou à d’autres organismes internationaux, que les ‘’Palestiniens’’ veulent une paix autre que celle des cimetières pour le peuple juif et, ainsi, faire perdurer ce conflit ? « D…préserve moi de mes amis, mes ennemis je m’en charge » dit l’adage. Israël a décidément trop d’amis ! Publié par Victor PEREZ
Aïssa Dermouche, 1er préfet issu de l’immigration, accusé de tabasser sa femme Selon une source proche du dossier, la police a été appelée lundi vers 20 heures au domicile de l’ex-préfet du Jura (de 2004 à 2005) et préfet hors cadre, après une « dispute » avec son épouse, à Cachan (Val-de-Marne). Il est suspecté de violences conjugales et de menaces de mort sur son épouse âgée de 46 ans qu’il aurait selon des déclarations de la victime, tenté d’étrangler avec un foulard à la suite d’une dispute d’ordre privée.
Une enquête a été confiée au commissariat du Kremlin-Bicêtre (Val-deMarne). Âgé de 66 ans, le préfet Dermouche avait été placé hors cadre à la fin septembre 2005 pour raisons de santé. Nommé en février 2004 préfet du Jura, il avait alors été présenté comme le premier préfet issu de l’immigration. http://www.leprogres.fr/
L’information en provenance d’Israël
Interview : Organisation Sioniste Mondiale
Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
qui pose un problème d’intégration pour s’installer en Israël car ils n’ont plus les bases que leur parents avaient à l’époque. En apprenant l’Hébreu, les jeunes peuvent avoir plus de chance de s’intégrer plus rapidement dans les universités israéliennes et dans la vie tout court ... Les jeunes n’ont pas peur de venir en Israël. Pour exemple, je reviens du Costa Rica où l’hébreu est enseigné en première langue. Alors les jeunes viennent en Israël alors que les Etats-Unis se trouvent à quelques kilomètres. Alain Sayada : Là, vous parlez essentiellement des écoles juives ? Mr Dousdev : Je ne parle que des écoles juives. Il y a 30 ans, la situation était différente.
Bonjour Mr Dousdev, je vous remercie d’accorder votre première interview à Israël Actualités pour l’inauguration de vos nouveaux locaux à Paris . Alain Sayada : Mr Dousdev, pouvezvous nous présenter l’Organisation Sioniste Mondiale, pour ceux qui ne la connaitraient pas aujourd’hui ? Mr Dousdev : L’Organisation Sioniste Mondiale n’a rien de nouveau,.Tout commence en 1897 avec Théodore HERTZL. Hertzl avait beaucoup de bonnes idées mais pour faire avancer et concrétiser ses idées, il fallait avoir une organisation. L’objectif de cette organisation était d’avoir un pays. Nous allons détailler ce qui a été fait et ce qui n’a pas été fait. En premier, le kibboutz hagalouyoth (le rassemblement des exilés) n’est pas encore terminé. La majorité des Juifs vivent encore aujourd’hui dans d’autres pays qu’Israël. A part à l’époque de moshé rabbenou, le peuple juif n’a jamais été majoritairement réuni. Le peuple juif a été réuni seulement à la sortie d’Egypte. Aujourd’hui, nous avons en Israël prés de 50% des Juifs rassemblés en Israël. 6 millions de Juifs vivent en Israël. Tout un symbole, mais c’est toujours moins de 50%. Dans quelques années, on sera bien sur plus de 50%, mais le problème, c’est qu’en dehors d’Israël, nous perdons des Juifs malheureusement tous les jours à cause de l’assimilation. C’est pour cela que l’une des préoccupations de Théodore Hertzl était de réunir tous les Juifs en Israël. Cela ne s’est pas encore réalisé bien qu’aujourd’hui, près de 50% des Juifs vivent en eretz. Le but principal de l’Organisation Sioniste Mondiale est d’encourager l’Alya.
Alain SAYADA : un peu comme l’Agence Juive ? Mr dousdev : L’Agence Juive n’encourage pas l’alya, elle s’en occupe. Notre rôle à nous est d‘encourager l’Alya et donner les arguments pour faire l’alya. Si tu as décidé de faire l’Alya, tu nous intéresses plus. L’Agence Juive s’occupe de tout. Mon rôle, encore une fois, c’est de te pousser à faire l’Alya. Le moment où ils ont décidé de franchir le pas de faire l’Alya. Alors là, je passe le témoin à l’Agence Juive qui s’en occupe. L’Organisation Sioniste Mondiale s’arrête lorsque la personne a décidé de franchir le pas. L’Organisation Sioniste Mondiale n’a qu’un seul but, c’est d’avoir la majorité des Juifs du monde en Israël, d’avoir dans un premier temps plus de 50 % des Juifs en Israël. Cela n’est pas encore terminé et Hertzl voulait que tous les Juifs aient leur pays, afin de les réunir. Deuxièmement Hertzl voulait un état juif, il voulait que le pays soit un exemple vis à vis du monde. On a eu un miracle après 2000 ANS d’exil. Les Juifs retrouvent leur terre en Israël, les Juifs sont arrivés de plus de 100 pays. Au début, ils étaient 600 000, aujourd’hui, nous comptons plus de 6 millions de juifs en Israël. Encore une fois, près de 50% des Juifs vivent maintenant en Israël, un petit pays avec beaucoup de problèmes, mais aussi des solutions. Aujourd’hui, nous avons une très forte et bonne armée, nous avons un taux de croissance que les pays les plus riches nous envient, les plus grands médecins, des prix Nobel par dizaines ... Dans le high tech, nous ne sommes pas ridicules puisse que nous sommes aussi dans le peloton de tête et les investisseurs étrangers y sont majotairement présents. Nous avons aussi de très grandes universités
... et je pourrai encore continuer la liste … C’est incroyable mais ce n’est que le premier étage. Au deuxième étage, nous trouvons le culturel, le spirituel, la moralité, la justice ... Théodore Hertzel l’a écrit dans un livre : « l’état juif ». Il l’a écrit aussi dans : « le vieux nouveau pays ». Dans ce livre, il avait tout dit et écrit ! C’était incroyable ! Plus de 50 ans avant la création de l’état d’Israël, il a dit que le pays serait le plus moral du monde avec une justice irréprochable. Il faut faire d’Israël un pays sioniste, encore plus sioniste que ce qu’il est. C’est le rôle de l’Organisation Sioniste Mondiale. Parce qu’être sioniste, c’est penser à ce que tu peux faire pour le pays, à ce que tu peux donner pour le pays pour la communauté. Dès qu’on aura éduqué la jeunesse pour qu’elle devienne plus sioniste, alors nous arriverons à améliorer la situation en Israël. La situation morale, la situation culturelle, ça, c’est le but et nous sommes en retard. C’est pour cela que nous travaillons pour établir le deuxième étage. Mais nous avons un long chemin. Le troisième point est très urgent. Il est d’une importance primordiale de renforcer la langue de l’hébreu dans le monde juif. La situation aujourd’hui est très très grave. Il y a 50 ans, voire 30 ans, l’hébreu, dans les écoles et les communautés était beaucoup plus présent qu’aujourd’hui ... Cela devient un problème car dans les écoles, les parents privilégient l’anglais à l’hébreu, ce qui n était pas le cas avant. L’hébreu était la deuxième langue. Aujourd’hui, au mieux la troisieme. En Amérique du sud où l’hébreu était la deuxième langue, l’hébreu est passé aussi en troisième position ce
Alain Sayada : Les écoles juives auraient dû jouer le rôle de pousser les élèves à prendre l’hébreu en deuxième langue ? Dousdev : Oui, maintenant l’anglais est devenu la deuxième langue dans les écoles juives alors que dans le passé c’était le contraire parce que les parents veulent que leurs enfants sachent parler l’anglais. Il faut rééduquer les parents et les conseiller car les parents veulent que leurs enfants fassent leurs études ou continuent à New York , Boston ... mais pas aller en Israël. Pourtant, l’hébreu est la langue de notre patrie, la langue de nos pères. C’est aussi pour combattre l’assimilation et surtout pour conserver l’identité juive. La langue est la base de notre identité. S’il n’y a pas la langue, il n’y a pas d’identité, c’est notre intérêt et celle de la communauté juive. Il faut se battre pour instaurer ces valeurs. L’hébreu est notre langue, l’hébreu est la langue du peuple juif. C’est pour cela que nous devons établir un programme, dans les écoles juives. L’hébreu est la langue que nous parlons avec D... Il y a encore une chose que je voudrais dire, c’est que les professeurs devraient faire leur cours en hébreu pour une meilleure formation pour les élèves. Nous avons prés de 180 écoles dans le monde où l’Organisation Sioniste Mondiale est présente. Après les vacances, nous en aurons plus de 200. Imaginez vous qu’en France, il n’y a qu’une seule école. Incroyable ! L’école Yavné, un seul chaliah, impensable pour l’une des communautés les plus importantes du monde ! Une école même pas maimonide, car tout cela n’était pas entre nos mains mais dans celles de l’Agence Juive. Ils n’ont pas fait assez d’efforts, ils n’en avaient peut-être pas les moyens ... Cela n’était pas dans leur priorités. En ce qui nous concerne, il faut tout faire pour encou-
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rager l’Alya ... Je vais vous donner un exemple. Aux Etats-Unis, il y a un grand problème. Les familles juives ne peuvent pas envoyer leurs enfants dans les écoles juives, car les écoles juives coutent très cher. Plus de 35 000 dollars par an ! C’est pour cela que les enfants juifs sont dans les écoles d’état ... Nous nous battons depuis 2 ans pour que les Juifs américains puissent apprendre l’hébreu en deuxième langue. Maintenant, dans chaque établissement scolaire, nous allons envoyer des chaliah pour que les étudiants puissent apprendre l’hébreu. Le gouvernement américain paye à l’Organisation Sioniste Mondiale des professeurs. On va commencer avec ça. Nous allons essayer de le faire en France. Nous allons envoyer des professeurs pour apprendre l’hébreu dans les écoles, il est important qu’il y ait une synchronisation ... Alain Sayada : vous êtes venu en France pour inaugurer votre nouveau bureau à paris. C’est la premier fois en France ? Mr Doudev : On vient d’ouvrir notre nouveau bureau en France avec comme nouveau directeur, Simha Felber qui sera notre représentant et nous avons bien choisi. Nous sommes là depuis 6 mois et on voit déjà qu’il y a des changements. Alain Sayada : Il faut que vous sachiez que nous vous soutiendrons dans vos projets. Mr Dousdev : Il y a une chose que la communauté juive doit faire : c’est de venir nous voir, discuter avec nous sur ce que nous pouvons faire ensemble. Alain Sayada : Pour terminer pouvez-vous me donner un synonyme du mot sionisme ? Mr Dousdev : Tu ne peux pas être Juif sans être sioniste et tu ne peux pas être sioniste sans être juif ! Sionisme = Juif Alain Sayada : Merci Dousdev
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Le « Pray Drive » arrive en Israël : priez sur l’autoroute !
Après avoir mis en ligne une pétition des utilisateurs de la Route 6, un rabbin israélien vient de proposer aux gérants de cette autoroute privée, la création d’une structure mobile pouvant servir de synagogue de fortune. Immédiatement ou presque, la société de gérance a accepté l’idée et a donné « carte blanche » au rabbin pour se promener avec sa synagogue mobile sur l’autoroute qui relie le nord au sud d’Israël, pour s’arrêter sur une des aires de repos, et pour y tenir l’office. Selon le rabbin « cette synagogue va permettre de protéger les automobilistes des dangers de la route. »
Le directeur de la société d’exploitation, Udi Savyon, a déclaré qu’il était heureux de contribuer modestement à la sécurité physique et spirituel des chauffeurs. « Pour l’heure, la structure se promène surtout sur le tronçon nord, nous essayerons bientôt d’en créer une sur le tronçon sud. Jusqu’à présent, les conducteurs religieux qui se trouvaient sur la route au moment des prières, s’arrêtaient sur le côté et priaient à même la bande d’arrêt d’urgence. Par Idan Bessis
« Tsahal doit choisir : les femmes ou les religieux ? » de la conférence de l’IDI quand il a dit que le travail de Tsahal était de vaincre l’ennemi, et pas de travailler pour l’égalité des sexes dans l’armée. « Il s’agit d’une brochure populiste qui vise à forcer l’ordre du jour pour l’insertion des femmes dans le tableau de combat, » a déclaré le rabbin Ronsky.
Les organisations politiques et les groupes féministes exercent des pressions sur l’armée israélienne pour qu’elle intègre des femmes dans les unités de combat de l’armée.
national, et a déclaré lors d’une conférence organisée mardi par l’institut de la démocratie israélien (IDI) que l’intégration des femmes dans les unités militaires renforce la force d’Israël.
Les organisations sont rejointes par des officiers supérieurs de réserve qui proposent un vaste plan stratégique pour l’intégration des femmes dans tous les niveaux du réseau de combat.
L’IDI a récemment publié une brochure remplie de plaintes contre des officiers supérieurs, y compris des réservistes, qui ont des opinions qui contredisent les idées de l’IDI. Un des officiers de réserve pointé du doigt est le rabbin brigadier général (de réserve) Avichai Ronsky, ancien rabbin en chef de Tsahal. Ronsky a été durement attaqué lors
Un des officiers supérieurs, le major général (de réserve) Amos Yadlin, est à la tête de l’institut d’études de sécurité
Des officiers supérieurs dans diverses brigades sont très inquiets que l’armée israélienne se rende aux organisations politiques et intègre des femmes dans les unités de combat. Une telle décision ne réduirait pas seulement considérablement la force de l’armée israélienne, mais pourrait également causer la mise à l’écart des religieux et des ‘haredim de l’armée israélienne. « Vous ne pouvez pas exiger que les ‘haredim s’enroulent dans l’armée et dans le même temps insérer des femmes dans tous les coins du bataillon, » a déclaré un responsable. « Ces organisations doivent décider si elles préfèrent les femmes ou les ‘haredim. Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l’argent du beurre. »
Les pilotes israéliens s’entraînent contre les menaces en Syrie et au Liban
Les pilotes de la force aérienne israélienne s’entraînent tous les jours pour repondre aux menaces posées par l’instabilité dans les pays voisins, la Syrie et le Liban, ont déclaré mercredi des pilotes d’une base aérienne du nord du pays. Les exercices quotidiens incluent la préparation a contrer « le transfert de toutes sortes d’armes qui pourraient conduire à des attaques terroristes, » a déclaré le lieutenant colonel N, qui ne peut pas révéler son vrai non de famille. Ces déclarations ont été faites à l’agence de presse AFP lors d’une rare visite de la base aérienne Ramat David par des journalistes. Israël a mené plusieurs frappes aériennes à l’intérieur de la Syrie cette année, qui, selon des responsables, servaient à empêcher des livraisons d’armes avancées au groupe terroriste chiite libanais Hezbollah.
« L’atmosphère est très tendue, » a déclaré N, qui commande un escadron d’avions F16 couvrant la frontière d’Israël avec le Liban et la ligne d’armistice entre Israël et la Syrie sur le plateau du Golan. « Ce n’est pas tous les jours qu’un pays de la taille de la Syrie, à deux minutes (de vol) de notre base, traverse une guerre civile, » a-t-il dit. L’adjoint de N, le major L, a déclaré que son escadron sentait les tensions après les récentes retombées du conflit syrien dans le Golan, y compris des patrouilles de Tsahal prises sous le feu des troupes du régime syrien. « Ce sont des moments plus tendus, vous pouvez le sentir, » a-t-il dit. « On parle de plus en plus de la possibilité d’un conflit. On parle plus et on s’entraîne plus à cause de ce qui se passe autour de nous. »
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La surprenante histoire du caporal Yaacov Maman zal sujet, les guides du Mont Hetzl vont affirmer qu’il appartient au « Netzer Haharon»(dernier survivant), un groupe rassemblant les 275 soldats israéliens qui avaient perdu toute leur famille durant la Shoah et qui sont morts au combat durant la guerre d’indépendance, sans laisser de descendance. Les guides font un désormais un détour dans le cimetière pour raconter son histoire aux visiteurs. L’un d’eux , enseignant, décide d’en savoir plus encore : il prend contact avec l’unité de recherche des soldats disparus de Tsahal. Le dossier d’Israel Mir s’y trouve avec bien peu de détails.
Mercredi après midi 5 juin, sous les chênes du cimetière du Mont Hertzl à Jérusalem, dans le carré des soldats tombés au champ d’honneur durant la guerre d’Indépendance, s’est déroulée une émouvante cérémonie du souvenir : en fait il s’est agit de la première cérémonie officielle à la mémoire du caporal Yaacov Maman zal. Les soldats de Tsahal ont présentés les armes, et l’un des membres de la famille Maman a récité, pour la première fois après 65 ans, le kaddish sur la tombe de Yaacov…. Pourquoi ce soldat mort au combat près de Jérusalem, en mai 1948 n’a-t-il jamais eu droit aux honneurs militaires ? Pourquoi sa famille n’a jamais pu se recueillir sur sa tombe ? La réponse à ces questions douloureuses permet de lever le voile sur l’une des énigmes les plus étonnantes et poignantes de l’histoire de Tsahal…
Une énigme qui commence par un nom gravé sur l’une des tombes du cimetière du Mont Hertzl à Jérusalem. Sur la pierre tombale, un seul nom : Israël Mir ; une date : le 30 mai 1948 et un lieu : Maalé A’hamicha. Il y a quelques années un guide touristique Eliada Bar Shaoul, spécialisé dans la visite du grand cimetière militaire de Jérusalem, constate que personne ne vient jamais se recueillir sur la tombe d’Israël Mir. Il tente alors de retrouver des traces plus précises de ce soldat dont on ne connait ni l’origine ni la date de naissance. Un témoin lui relate qu’avant de mourir, Israël aurait récité le numéro de déporté d’Auschwitz qu’il portait sur le bras. Un autre affirme qu’il a dit son nom, un troisième prétend qu’il a voulu réciter le Shema Israel. Peu à peu, une véritable légende va se tisser autour d’Israël Mir. Sans la moindre documentation à son
Mais en particulier avec le certificat militaire de décès qui stipule qu’il a été tué d’un obus dans le ventre le 30 mai 1948 à Maalé A’hamicha près de Jérusalem. Seul problème : il n’y a aucun autre document officiel sur l’existence d’Israel Mir ! Par contre, dans le dossier l’enseignant retrouve un bout de papier non daté, sur lequel figure deux lignes brèves : « Voir Yaacov Maman qui a disparu le même jour » Yaacov Maman est né à Fes (Maroc) en 1928.Il est le septième d’une famille de 10 enfants. A 18 ans, il tente de rejoindre la Terre d’Israel et pour cela marche à pied jusqu’à Alger. Il embarque à bord d’un bateau de l’Alya Bet qui est intercepté par les Britanniques et il est envoyé dans un camp d’internement à Chypre. Après la proclamation de l’indépendance, il parvient à rejoindre Israël et dès son arrivée il est enrôlé dans une unité du Palmah qui combat… à Maalé Ahamicha. Le lendemain, il est blessé
au ventre par un obus et succombe à ses blessures. A sa famille restée au Maroc, Tsahal annonce que son corps n’a pas été retrouvé. Ses parents font leur alya et vont tenter de retrouver des traces de sa dépouille mortelle. En vain. Il y a deux ans et sans avoir eu connaissance de la légende d’Israel Mir, le frère de Yaacov Maman, Ami tombe sur un article détaillant les résultats très performants de l’unité recherchant les soldats disparus au combat, en particulier durant la guerre d’Indépendance. Il prend contact avec le commandant de l’unité, deux jours à peine avant qu’une commission de cette même unité n’étudie les similitudes existant entre Israel Mir et Yaacov Maman. L’unité donne suite. Ami qui est alors gravement malade fait un test d’ADN. Il y a quelques mois, Tsahal décide de rouvrir la tombe d’Israël Mir au Mont Hertzl pour y prélever des cellules et envoie les deux tests pour examen au Etats-Unis. Il y a quelques semaines, les résultats sont parvenus, formels : C’est Yaacov Maman qui est enterré au Mont Hertzl sous la pierre tombale d’Israël Mir.
En fait ce dernier n’a jamais existé, si ce n’est dans l’esprit de quelques guides . Ami Mimoun, le frère de Yaacov est décédé avant de connaitre la vérité : « Il l’avait comprise », a expliqué sa veuve Tzipora qui se souvient des souffrances quotidienne de Par’hah, la mère de Yaacov et de son mari : « Chaque soir avant d’aller dormir, elle embrassait la photo de Yaacov et elle pleurait de ne pas avoir de sépulture où se recueillir ». Tzipora croit savoir maintenant pourquoi il a pu y avoir malentendu au moment de la mort de Yaacov Maman : « Il est possible qu’au moment de son agonie, quelqu’un ait demandé qui il était et qu’en fait, Yaacov ait compris qui devait-on prévenir de sa mort. Il aurait alors répondu : « Israel Meïr » du nom du grand rabbin de Fès à cette époque qui le connaissait bien …. Israel Meïr, Israel Mir….Peut-être... Mercredi , 65 ans après, 65 ans trop tard, des membres de la famille Maman , des amis et des soldats émus par cette histoire tragique se sont réunis autour de la tombe de Yaacov pour réciter des prières et évoquer son souvenir. Désormais, Yaacov Maman peut reposer en paix. Nissim Liel /JForum
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Le maire de Paris se déshonore en recevant un « passeport palestinien »
Le Maire Paris, Bertrand Delanoë, est devenu depuis hier officiellement un « Citoyen d’honneur de Palestine ».
Médias Palestiniens, avait documenté déjà à plusieurs reprises ses charges antisémites qui seraient passibles des tribunaux en France.
C’est le Président de l’Autorité Palestinienne Mahmoud Abbas en personne qui lui a délivré ce nouveau document d’un État qui n’existe pas.
Parmi les sorties les plus récentes de cet antisémite, PMW dénonce le film diffusé, en janvier dernier, par PAL TV pour les quarante-huit ans du Fatah. Intitulé « Fatah : Révolution jusqu’à la Victoire » le réalisateur affirme que l’Europe s’était débarrassée des Juifs déjà au XIIIe siècle, mais les avait accueillis à nouveau (3).
Lors de la rencontre, le maire PS, s’est félicité de recevoir la citoyenneté palestinienne. Il a même exprimé sa volonté de renforcer les liens d’amitié et de coopération qui unissent les peuples français et »palestinien » (1). La remise du passeport s’est faite au quartier général de l’Autorité Palestinienne en présence du consul général de France à Jérusalem, qui joue le rôle d’un véritable ambassadeur auprès du non-Etat palestinien.
Le Bourget : Le Ministre de la défense d’Israël Moshe Yaalon en France.
Né à Bizerte en Tunisie, Delanoë avait déjà inauguré en 2010 une place en l’honneur du poète palestinien, Mahmoud Darwich. Pourtant l’œuvre de cet intellectuel engagé est essentiellement une véritable négation de l’autre et l’illustration de la volonté arabe de spolier les Juifs de leur terre et de leur culture. Plus encore, Delanoë récidive cette fois en déclarant qu’il se réjouit d’être citoyen d’honneur d’un pays qui exige d’être Judenrein. Les responsables palestiniens ont confirmé publiquement, et à maintes reprises, leur promesse qu’il ne restera aucun Israélien sur le sol de la ‘’Palestine’’ à naître. Le mois dernier, les médias arabes rapportent les propos du chef de l’Autorité Palestinienne qui refuse la reconnaissance d’Israël comme État Juif (2).
Le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon se rendra en France, où il inaugurera le pavillon israélien au Salon aéronautique du Bourget et s’entretiendra avec le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius et son collègue de la Défense Jean-Yves Le Drian, a précisé le ministère israélien. Le premier ministre Benjamin Nétanyahou a annoncé, dimanche 17 mars 2013, la nomination de l’ancien chef d’état-major Moshé Yaalon au poste de ministre de la défense, en remplacement d’Ehoud Barak, selon un communiqué de son parti, le Likoud. “Dans une période aussi cruciale pour la sécurité d’Israël, alors que toute notre région est en ébullition, il
est important qu’à ce poste se trouve une personnalité très expérimentée comme Moshé Yaalon. Au nom de tous les citoyens du pays, je lui souhaite bonne chance”, a déclaré M. Nétanyahou. Moshé Yaalon, fait figure de faucon, pour son opposition publique au retrait israélien de Gaza en 2005, ou à tout gel de la colonisation, mais se montre plus circonspect sur le programme nucléaire iranien. “PREMIER SOLDAT D’ISRAËL” Agé de 62 ans, cet ancien chef d’état-major au physique massif, à l’élocution lente et au visage austère ambitionnait d’obtenir la défense depuis son entrée en politique en 2008 au Likoud, le parti de droite de Benjamin Nétanyahou qui l’avait à l’époque présenté comme le “premier
soldat d’Israël”. Il lui a fallu toutefois patienter pour réaliser son rêve, se contentant dans le précédent gouvernement d’un titre de vice-premier ministre chargé des affaires stratégiques. Fils d’un ouvrier d’origine ukrainienne, Moshé Yaalon a vécu dans un kibboutz et milité au Parti travailliste dans sa jeunesse, avant d’adopter des positions plus à droite. Officier parachutiste, il dirige en 1988 les commandos de l’état-major, l’unité la plus prestigieuse de l’armée, participant directement à l’assassinat du numéro deux de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), Abou Jihad, en 1988 à Tunis. Par:Youval Barzilaï
Que ce soit dans ses déclarations, ou dans ce que diffuse la télévision officielle palestinienne – PAL TV – sous son contrôle direct, Mahmoud Abbas a toujours fait preuve d’un antisémitisme sans complexe. Palestinian Media Watch ( PMW), Observatoire des
Le dirigeant palestinien a même osé, le 4 janvier 2013, rendre un hommage solennel au Grand Mufti de Jérusalem,Amin al-Husseini, collaborateur d’Hitler, fondateur de la Division des SS musulmans des Balkans. Abbas a alors employé une rhétorique radicale et des propos qu’il n’avait pas utilisé jusqu’à présent. Il a ainsi prononcé le fameux “serment des héros-martyrs et la poursuite de leurs voies». Le leader »modéré » du Fatah a énuméré une liste de pseudo-martyrs palestiniens qui comprend des dirigeants du Hamas, tel que le cheikh Ahmed Yassine, des terroristes proiraniens du djihad islamique mondial, tel que Fathi Shekaki, mais aussi Ezzdin al Kassam une des principales figures du terrorisme arabe. Et ce n’est pas une coïncidence si la branche militaire du mouvement Hamas porte son nom (4). Au moment où le Maire de Paris se déshonore à Ramallah, en recevant un »passeport palestinien’,’ le Conseil de Paris, lui, a adopté, sous la pression du lobby pro-palestinien en France, un vote sur l’étiquetage des produits israéliens. Cette décision discriminatoire qui rappelle la période de l’avant Guerre vise le boycott d’un pays démocratique et courtise l’électorat franco-arabe à l’approche des municipales parisiennes qui auront lieu dans quelques mois. Souhail Ftouh
L’information en provenance d’Israël Edition du 19 Juin au 25 Juin 2013
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