GRATUIT - Numéro 294 - Edition du 5 Mars au 11 Mars 2014
Journal israélien en langue française
L’information en provenance d’Israël Edition du 5 Mars au 11 Mars 2014
« La haine du Juif : ça suffit ! » « Halte à l’antisémitisme sous couvert de d’antisionisme » « Halte au Boycott d’Israël » Les agressions à caractère antisémite continuent sans que les media ne relayent l’information. Ce phénomène est d’autant plus important que leurs auteurs ne sont même plus inquiétés par les passants qui assistent à ces agressions et qui restent là sans rien faire et n’interviennent pas contre ces criminels. Aujourd’hui, les Juifs peuvent se faire casser la gueule sans que personne ne bouge mais il aurait tout simplement fallu que les passagers du wagon se lèvent pour aller tirer le signal d’alarme ou appeler le numéro d’urgence sur leur portable. Aujourd’hui dans le monde dans lequel nous vivons, je ne peux pas croire que dans le wagon dans lequel à eu lieu l’une des dernières agressions antisémites sur la ligne A du RER, personne n’ait eu l’idée ou l’occasion d’appuyer sur les touches de leur portable et d’appeler la police. Que dire de ce passager qui, pendant l’agression, avertit les agresseurs que la police était en train d’arriver ? A-t-il eu une certaine allégeance auprès des agresseurs en les prévenant ? Tout cela bien sur est à mettre au conditionnel mais nous pouvons nous poser la question tout de même. Nous demandons aux autorités de retrouver les agresseurs qui ont du être filmé sur les bandes vidéo de la SNCF ou bien de la RATP. Bien évidement, nous avons pu voir réagir dans la communauté, comme à son habitude, Sammy Ghozlan, Président du Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA). Et sinon … rien d’autre ! Si Sammy n’était pas intervenu, la communauté n’aurait rien su de ce qui s’est passé. Aujourd’hui, cette association a besoin de votre soutien afin de mener à bien des opérations contres les auteurs d’actes antisémites comme ces agresseurs qui, quelques minutes
Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France
avant l’agression, ont interpelé la victime avec des cris antisémites comme nous pouvions l’entendre dans un passé pas si lointain. Les auteurs de cette agression sont des fervents défenseurs de la cause Dieudonné et de la haine du Juif … Aujourd’hui, il est temps que les autorités combattent d’un seul tenant contre tous les antisémites notoires qui agissent sous couvert d’antisionisme et de ceux qui appellent au boycott des produits israéliens comme ce fut le cas lors des nominations des césars ou une vingtaine de pieds nickelés du mouvement BDS avec à sa tête Olivia ZAMMOR, les yeux remplis de haine, appelait au boycott des produits israéliens contre l’invité d’honneur de cette cérémonie, l’actrice américaine Scarlett Johansson, égérie d’une grande marque israélienne internationale « sodastream ». Encore une fois, les media ont tourné le dos à ce problème qui est puni par la loi en France … Aujourd’hui, je dis que les media ont un esprit sélectif des événements qui se passent en France. Il est important de le signaler et nous y reviendrons régulièrement que, prochainement, aura lieu une grande manifestation sous l’égide du CRIF où notre communauté juive appellerait à « un grand rassemblement contre l’antisémitisme et pour la fraternité républicaine » à Paris, le 19 mars prochain. Le mot d’ordre de la manifestation : « La haine des Juifs, cela suffit ! ». Je rajouterais en ce qui me concerne « Halte à l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme » et « Halte au Boycott d’Israël ». Am Israel Hai Alain Sayada
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L’information en provenance d’Israël Edition du 5 Mars au 11 Mars 2014
Les titres de la presse israélienne : « La Russie ne pouvait pas ne pas agir »
La capitale sera bloquée cet aprèsmidi quand plusieurs centaines de milliers de religieux vont manifester contre le décret de la conscription. WALLA ! En Une: levée des derniers obstacles concernant la loi de la gouvernance. La loi , qui vise à augmenter le seuil électoral à 3,25 % et à rendre la chute d’un gouvernement plus difficile, sera discutée aujourd’hui. NANA10 En Une. L’air force attaque un site de lancement de missile dans le nord de la bande de Gaza. Dans les éditoriaux: Pour le Maariv « Tel-Aviv n’est pas la bulle dont tout le monde parle, même si la ville vit en décalage avec le reste du pays. Non, la bille, c’est celle des ultra-orthodoxes qui vivent dans une bulle et qui refuse isréalité. »
Voici les titres de la presse israélienne, ce 1er mars 2014: Ha’aretz En Une: « Malgré un avertissement d’Obama, la Russie envoie des soldats reprendre la Crimée. » Deuxième titre: « cet après-midi, grande manifestation haredi contre la loi sur la conscription. Troisième titre: Pessimisme américain: il va être compliqué d’obtenir un accord cadre (israélo-palestinien) d’ici la fin du mois. Quatrième titre: L’armée tue une femme de Gaza qui s’approchait de la frontière. Affrontements dans l’Est de Jérusalem. Maariv En Une : La Russie envoie des mil-
liers de soldats en Crimée: l’Ukraine se prépare à la guerre. 2 . Désaccord à la Maison Blanche : Kerry va t-il obtenir un accord ce mois-ci ? 3 . Aujourd’hui, à Jérusalem, des centaines de milliers d’ultra-orthodoxes sont attendus pour une manifestation géante contre la conscription des étudiants en yeshiva. Yediot Aharonot En Une: Invasion Russe ! 2 . Aujourd’hui: démonstration de force des hareidim. Israel HaYom En Une: bataille sur la Crimée: Alerte maximale 2 . Jérusalem: la police prête pour « la manifestation du million. »
Dans le Yediot, un ancien ambassadeur d’Israël en Ukraine écrit que « la révolution Ukrainienne, créée par les pro-européens, ne laisse pas le choix aux russes de réagir. Les dégâts politiques et stratégiques, ainsi que l’atteinte à l’image de la Russie, ont été trop importants. » Dans Israël Hayom on traite de la relation entre Israël et le Hezbollah . L’auteur estime que » Ni Israël ni le Hezbollah ne souhaite la guerre » mais prévient: « comme c’est déjà arrivé, même des petits mouvements bien calculés peuvent dégénérer et mener à l’escalade. Il est important de rappeler que la situation de Nasrallah n’a jamais été aussi bonne. » Par Jonathan-Simon Sellem
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La haine du juif, seul moteur du palestinisme première proposition ne pouvant être pour ces ‘’experts’’ la réalité, reste donc la mauvaise foi !
Il faut observer les activistes atteints de palestianisme, manifestant devant la trente-neuvième cérémonie des Césars (1) le 28 février dernier, pour comprendre ce qu’est véritablement la haine du juif. Scarlett Johansson, la nouvelle égérie publicitaire de SodaStream, devait recevoir un César d’honneur ce jour là. Les amis d’Olivia Zemour s’en sont donc donné à cœur joie, face au théâtre du Châtelet, pour rappeler aux passants d’une part que cette actrice a préféré « le fric à l’éthique » et va, en conséquence, recevoir symboliquement de leurs mains le « César de l’apartheid », et d’autre part tous les ’’ talents de Tsahal ‘’. En oubliant, évidemment, de mentionner les ‘’douceurs’’ et autres ‘’gentillesses’’ réservées aux Israéliens par les ‘’Palestiniens’’, mais pas seulement ! Mais là n’est pas l’essentiel mais dans les contre-vérités affirmées toute honte bue ! Trois, parmi toutes, sont flagrantes de l’état d’esprit qui anime ces manifestants et donne matière à réflexion ! La première d’entre elles concerne « l’exploitation des travailleurs » ‘’palestiniens’’, entre autre par SodaStream rebaptisé « Sodacrime ». Ces travailleurs ‘’exploités’’ étant, à peu près, payés trois fois le salaire moyen perçu par leurs congénères, étant libres de quitter à tout moment l’emploi israélien qu’ils occupent, de traverser la frontière et d’aller rechercher un salaire en Jordanie faute d’en trouver sous le règne de Mahmoud Abbas, chacun cherchera en vain l’exploitation dénoncée ? Attester une telle stupidité c’est donc soit ne rien connaître à la situation présente soit être de mauvaise foi. La
La deuxième contre-vérité relevée est celle qui affirme que dans la bande de Gaza les « lycéens et les étudiants sont obligés de s’éclairer à la bougie pour pouvoir étudier » et, plus énorme, « les chirurgiens obligés d’opérer à la lueur de téléphones portables ». Si chacun peut être satisfait que le blocus israélien n’arrive pas à empêcher la fabrication de bougies, le quidam non lobotomisé s’interrogera, à n’en pas douter, sur l’énergie employée par les médecins pour recharger les batteries de leur téléphone ? Restera ensuite à comprendre comment les appareils chirurgicaux des blocs opératoires fonctionnent sans électricité ? Peut-être qu’à l’instar des Shadocks en pompant ? Les manifestants atteints de palestinite aigüe ne s’arrêteront pas à ces menus détails ! La troisième énormité assurée est : « on déverse des eaux usées sur des populations civiles ». Tout un chacun saisit que l’israélien est là encore LE coupable. Le quidam non endoctriné à la haine du juif vérifiera, quant à lui, le moyen utilisé pour inonder Gaza ! Air, mer, terre ? Par un tunnel peutêtre ? Chacun comprendra aisément que ces contre-vérités n’ont d’autre objectif que celui de salir l’Etat d’Israël afin de pousser le maximum d’individus, d’organismes, de politiques au crime à l’encontre de l’idée même d’un tel pays ! Une telle attitude ne peut être caractérisée que comme étant de l’antisémitisme. Il faut en effet avoir une certaine dose d’animosité pour colporter autant de mensonges et de mystifications. La stupidité des manifestants ne pouvant plus, à ce stade, être mise en cause ! Ces derniers se présentant comme antisionistes, l’équation avec l’antisémitisme est donc une nouvelle fois démontrée ! Victor PEREZ ©
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Le Hamas hors-la-loi en Egypte
Un tribunal du Caire a interdit au Hamas d’exercer la moindre activité sur le territoire égyptien. Cela signifie en clair que l’organisation terroriste est désormais considérée comme étant hors-la-loi.
l’intermédiaire de son porte-parole qui a prétendu que cette décision « portait atteinte aux intérêts du peuple palestinien ».
Par voie de conséquence, tous les bureaux du mouvement vont être fermés dans le pays et ses biens confisqués. C’est le juge lui-même qui a publié l’information. Mais il a tenu à garder l’anonymat, pour éviter de faire l’objet de mesures de représailles.
Les forces de sécurité égyptiennes considèrent que le Hamas est une « menace sécuritaire », surtout en raison de sa coopération avec des cellules d’Al Qaïda opérant sur la péninsule du Sinaï. En outre, il est clair que le Hamas est une antenne des Frères musulmans, pourchassés en Egypte depuis l’éviction du président Morsi.
Le Hamas a immédiatement réagi par
Claire Dana-Picard
Les milliardaires de Forbes
Amnesty toujours aussi critique vis-à-vis d’Israël
Le monde compte aujourd’hui 1 645 milliardaires. D’après un classement annuel établi par le magazine Forbes, l’homme le plus riche de toute la planète est le célèbre Bill Gates, co-fondateur de Microsoft, dont la fortune personnelle est évaluée à 76 milliards de dollars. En seconde position, après Gates, on retrouve l’homme d’affaires mexicain Carlos Slim avec 72 milliards de dollars. Après lui vient le patron de la chaine de vêtements Zara, l’Espagnol Amancio Ortega, qui a conservé sa 3e place avec une fortune de 64 milliards de dollars.
Les Israéliens ont des fortunes un peu plus « modestes ». Le premier à figurer sur la liste ne se trouve qu’à la 191e place : il s’agit de l’homme d’affaires prospère Eyal Ofer, qui possède 7 milliards de dollars. Il est suivi de son frère Ido Ofer qui n’a, quant à lui, que 5,7 milliards de dollars. Et il ne faut pas oublier, dans cette énumération, la richissime Sherry Harrison, Stef Wertheimer, Amnon Miltzan, Benny Steinmetz, Its’hak Tchouva, et quelques autres encore, un peu moins célèbres.
Claire Dana-Picard
Le dernier rapport d’Amnesty International est une fois de plus très critique vis-à-vis d’Israël. Ce qui est fâcheux, c’est que les médias qui publient les conclusions de l’ONG ne se donnent pas la peine de transmettre les réactions d’Israël qui remet les pendules à l’heure.
Dans son rapport, Amnesty reproche à Israël de faire usage d’une « violence excessive » et considère que ses forces armées ont eu « la gâchette facile ». Dénonçant la mort de 45 Palestiniens et des milliers de blessés lors de manifestations au cours des trois dernières années, l’organisation des droits de l’homme estime que « la vie des soldats qui ont tiré n’était pas en danger » et accuse ni plus ni moins Israël de « crimes de guerre ». Par conséquent, Amnesty appelle la communauté internationale à « cesser de vendre à Israël des armes, des munitions et des équipements militaires ». Le gouvernement israélien a réagi
vivement à ces accusations en indiquant notamment que ce n’était qu’au dernier moment, à savoir la veille de la publication du rapport, qu’Amnesty avait pensé à recueillir la version israélienne des faits rapportés. Et d’ajouter que ceux qui ont rédigé le document n’ont absolument pas tenu compte de l’augmentation des violences palestiniennes. Le ministère israélien des Affaires étrangères a souligné qu’au cours de l’an passé, 132 Israéliens avaient été atteints au cours d’attaques palestiniennes, précisant que ce chiffre avait doublé par rapport à l’année précédente. Claire Dana-Picard
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Hamadan : Un lieu, une prière, un défi
Il est parfois des initiatives qui relèvent du défi. C’est en tout cas ce qu’inspire la décision renouvelée du Vaad Harabanim, l’Association de tsedaka, d’organiser un événement à Hamadan en Iran, le jour du jeûne d’Esther. Explications. Rien ne leur fait peur, rien ne les arrête. Les organisateurs des prières du Vaad Harabanim n’ont pas froid aux yeux. Cette année encore, ils ont décidé de réunir en Iran un quorum d’hommes afin de prier pour tous ceux qui le demandent. « Certains peuvent penser que cette initiative est trop risquée, explique David, l’un des organisateurs de l’événement, mais il faut savoir que nous prenons toutes les précautions possibles afin d’éviter un incident. » Lorsqu’on lui demande quel est l’aspect le plus périlleux de l’entreprise, David n’a pas une seconde d’hésitation. « Il est vrai que nous ne contactons jamais nos délégués iraniens directement. Nous passons par des intermédiaires via un pays neutre. Les noms des intervenants restent toujours confidentiels et c’est en toute sérénité qu’ils retrouvent leurs familles après la tefila, qui a lieu à Hamadan, à environ 400 km de Téhéran. En fait, tout est pensé pour éviter que nos délégués soient identifiés. Eux-mêmes témoignent chaque année que leur crainte principale réside dans le fait de ne pas être entendus par Hachem, et non d’être menacés par le régime en place ! » Hamadan, aujourd’hui Petite ville tranquille du Nord-Ouest de l’Iran, Hamadan pourrait ressembler à n’importe quelle autre localité du pays. Pourtant, un édifice fait toute la différence. Car il abrite les tombeaux d’Esther et de Morde’haï. « Cet endroit est magique ! s’exclame David. Lorsqu’on se remémore les événements relatés dans la Meguilath Esther que nous lisons à Pourim, il y a de quoi frissonner d’angoisse ! Nos ancêtres furent alors menacés
d’extermination, après un décret promulgué par Haman, le ministre toutpuissant du roi. Hommes, femmes et enfants prirent la mesure du danger et s’unirent dans une prière unique, fondée sur l’espoir indestructible d’Israël qui repose sur la relation privilégiéeentretenueavec le Maître du monde. Après des moments très tendus mais très intenses, le peuple juif fut libéré et connut la victoire sur ses ennemis ! » Des vœux exaucés Pendant toute la durée du jeûne qui aura lieu cette année le jeudi 13 mars, des délégués de l’Association se réuniront sur les tombeaux d’Esther et de Morde’haï. Munis des listes des noms et des requêtes du public, ils procéderont à une lecture des Psaumes suivie des prières du jour. « Prier face au tombeau d’Esther et de Morde’haï est une expérience unique, poursuit David. Cette prièreexalte tous ceux qui yparticipent.Les hommes fervents qui constituent la délégation du Vaad Harabanim se sentent investis d’une véritable mission, la même que celle de nos ancêtres, dans un moment décisif pour le processus de délivrance. À toutes les époques, Hachem ouvre les portes du ciel afin de recevoir toutes les demandes et toutes les supplications. Il faut juste être là afin de les présenter devant le trône de gloire. C’est ce que nous proposons au public, toujours plus nombreux à participer à cette prière. Rien n’a changé, le peuple juif est toujours en osmose avec D.ieu. Souvent, il suffit juste de demander, et les vœux les plus intimes sont exaucés ! Et lorsqu’on sait que tous les dons adressés au Vaad Harabanim sont distribués le jour de Pourim aux nécessiteux les plus défavorisés, cela réchauffe le cœur et nous donne encore plus d’entrain pour poursuivre notre œuvre. » Prière spéciale par le Vaad Harabanim, jeudi 13 mars 2014 à Hamadan, Iran
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Un ultimatum russe lancé à l’armée ukrainienne ?
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Sur le front diplomatique, une nouvelle réunion du Conseil de sécurité de l’ONU est programmée ce soir. Suivez les dernières informations minute par minute. Condamnant la « claire violation » de la souveraineté de l’Ukraine par Moscou, les dirigeants de sept pays membres du G8 ont annoncé dimanche la suspension de leurs préparatifs en vue du sommet du groupe à Sotchi, en Russie, en juin. Les ministres des Finances du G7 se sont par ailleurs dit prêts à fournir « un solide soutien financier » à l’Ukraine. Vladimir Poutine a accepté une proposition de la chancelière Angela Merkel sur la création d’un « groupe de contact » pour entamer « un dialogue politique » sur l’Ukraine. Les ministres européens des Affaires étrangères se retrouvent ce lundi à Bruxelles pour leur deuxième réunion d’urgence sur l’Ukraine en dix jours.
Sur le front diplomatique, une nouvelle réunion du Conseil de sécurité de l’ONU est programmée ce soir. Suivez les dernières informations minute par minute. En bref Condamnant la « claire violation » de la souveraineté de l’Ukraine par Moscou, les dirigeants de sept pays membres du G8 ont annoncé dimanche la suspension de leurs préparatifs en vue du sommet du groupe à Sotchi, en Russie, en juin. Les ministres des Finances du G7 se sont par ailleurs dit prêts à fournir « un solide
soutien financier » à l’Ukraine. Vladimir Poutine a accepté une proposition de la chancelière Angela Merkel sur la création d’un « groupe de contact » pour entamer « un dialogue politique » sur l’Ukraine. Les ministres européens des Affaires étrangères se retrouvent ce lundi à Bruxelles pour leur deuxième réunion d’urgence sur l’Ukraine en dix jours.
Le Conseil de sécurité de l’ONU dit se réunir une nouvelle fois ce soir à New York à propos de la crise en Ukraine et en Crimée, annonce la présidence luxembourgeoise du Conseil.
Ce direct est alimenté en temps réel, cliquez-ici pour le mettre à jour.
En parallèle, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a rencontré à Genève, en Suisse, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
17h25 – Nouvelle réunion du Conseil de sécurité ce soir
Crimée: synagogue prise pour cible… 20 ans.
Quelques jours plus tôt, des cocktails Molotov ont été jetés sur des synagogue de Kiev. Plus tôt cette semaine, l’Agence juive a annoncé qu’elle fournira une assistance d’urgence à la communauté juive d’Ukraine et aidera à sécuriser les institutions juives dans le pays, a déclaré le président de l’organisation Natan Sharansky, samedi soir. S’adressant à la direction de l’Agence Juive, Sharansky a déclaré que l’organisation était « en contact permanent avec les dirigeants de la communauté juive ukrainienne et qu’elle suivait les événements de très près ». La crise économique à l’origine d’une poussée d’antisémitisme, selon un leader communautaire Alors que les troupes russes sont entrées dans la région de Crimée, au sud de l’Ukraine, une croix gammée et l’inscription « Mort aux Juifs » ont été identifiées sur la synagogue réformiste Ner Tamid à Simferopol, selon un rapport du site d’information Forumdaily. « De toute évidence, il était important pour les antisémites de commettre ce crime. Depuis le début de la crise, les prix ont augmenté de 30%, les retraites ne sont pas payées. Comme
d’habitude, les Juifs sont désignés comme responsables de ces catastrophes et sont pointés du doigt. Je n’ose imaginer comment cela pourrait évoluer », a déclaré Anatoly Gendin, responsables de l’Association des organisations et des communautés juives de Crimée. Selon M. Gendin, les auteurs du crime ont dû escalader une clôture de sécurité haute de deux mètres pour dessiner le graffiti. Le responsable communautaire a également indiqué qu’il s’agissait de la première attaque antisémite contre une synagogue de la région depuis
« L’aide de l’Agence Juive vise à accroître la sécurité dans les établissements communautaires juifs en Ukraine », a-t-il dit. « Nous avons la responsabilité morale de veiller à la sûreté et la sécurité des Juifs d’Ukraine », a souligné Sharansky. L’assistance immédiate proviendra du Fonds d’aide d’urgence de l’Agence Juive, créé suite à l’attentat terroriste perpétré à Toulouse en 2012, dans lequel un enseignant juif ainsi que 3 jeunes enfants ont été assassinés.
Cette réunion publique a été convoquée pour 15h30 (21h30 en France) à la demande de la Russie, indiquent des diplomates à l’AFP.
17h10 – Une intervention armée russe
« pas nécessaire pour le moment » La situation est toujours aussi confuse en Crimée sur les intentions armées de la Russie. Le président de la chambre basse du Parlement russe (Douma), Sergueï Narychkine, vient d’estimer qu’une intervention de l’armée russe en Ukraine n’était « pas nécessaire pour le moment ». « La décision prise par le Conseil de la Fédération nous donne ce droit, et nous pouvons l’utiliser si nécessaire, mais ce n’est pas nécessaire pour le moment », déclare Sergueï Narychkine, cité par les agences russes.
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Entretien Obama-Netanyahou à la Maison Blanche
Personne ne s’attendait réellement à des déclarations retentissantes après cette nouvelle rencontre entre le Premier ministre israélien et le président Barack Obama qui a eu lieu lundi soir à la Maison Blanche à Washington. Une rencontre qui s’inscrit dans le cadre d’un voyage entrepris cette semaine par Binyamin Netanyahou aux Etats-Unis. L’entretien, qui a duré près de deux heures, a été précédé de quelques propos adressés à la presse. Obama a indiqué qu’il « savait combien Israël aspirait à la paix avec pour solution, l’existence de deux Etats vivant côte à côte ». Quant à Netanyahou, il a affirmé que les Israéliens voulaient « une paix véritable et pas un bout de papier ». Les journalistes se sont ensuite retirés pour laisser les deux hommes discuter en tête-à-tête. Des discussions qu’Obama n’aura peut-être pas
abordées l’esprit totalement libre, vu ses préoccupations face à la crise en Ukraine et le déploiement de troupes russes en Crimée. Obama a bien entendu réitéré le soutien traditionnel des USA pour son allié de toujours, rappelant que « les Etats-Unis n’avaient pas de meilleur ami qu’Israël ». Il a également souligné qu’il s’était engagé à tout entreprendre pour que l’Iran ne se dote pas de l’arme nucléaire. Quant à Netanyahou, il a déclaré à son hôte que « la population en Israël espérait qu’il saurait rester ferme face aux pressions ». Et de rappeler : « Cela fait vingt ans qu’Israël a conclu un traité de paix avec les Palestiniens. Israël a déployé de grands efforts pour parvenir à la paix, en évacuant des villes, en libérant des prisonniers. Mais qu’avons-nous reçu en contrepartie ? Des milliers de missiles sur nos villes et des attentats-suicides ».
Juste après la rencontre NetanyahouObama, le secrétaire d’Etat US John Kerry était l’invité de la convention annuelle de l’AIPAC, lobby pro-israélien aux Etats-Unis. Dans son discours, Kerry a déclaré une fois de plus que les USA seraient en mesure d’assurer à Israël la sécurité nécessaire pour conclure la paix. « Mais nous ne nous faisons aucune illusion, a-t-il tout de même ajouté. Nous avons vu ce qui s’est passé après le retrait israélien de Gaza et du Liban. C’est pour cette raison que les négociations sont si importantes. Les mesures de sécurité que nous devons prendre doivent être concluantes ». Et de promettre « qu’il ne laisserait pas la Judée-Samarie devenir un nouveau Gaza ». Kerry a également dénoncé sévèrement le boycott contre Israël. Claire Dana-Picard
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CRIF : Cukierman redoute un « pic d’antisémitisme »
Roger Cukierman, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), estime dans une interview pour Le journal du dimanche que la situation des Juifs “s’est détériorée” en France. Il explique redouter une hausse de l’antisémitisme cette année. En 2013, 423 actes antisémites ont été recensés, soit 32 % de moins qu’en 2012. Malgré le recul des actes antisémites, il considère que la situation s’est “détériorée”. “Les Juifs ressentent la montée d’une haine à leur égard”. Il craint que l’affaire Dieudonné entraîne un “nouveau pic d’actions anti-
sémites”. L’interdiction du spectacle de l’humouriste voulue par Manuel Valls était selon lui utile. Mais “l’opinion considère qu’on a porté atteinte à la liberté d’expression”, expliquet-il, regrettant que les précédentes sanctions contre Dieudonné “n’ont pas été exécutées”. “Les Juifs aiment rire d’eux-mêmes”, poursuit-il, mais “la limite, c’est la liberté d’autrui”, en allusion aux propos de Dieudonné sur le journaliste Patrick Cohen et les chambres à gaz. “La haine des Juifs, cela suffit”, conclut-il. Le dîner annuel du Crif, en présence du chef de l’Etat, se déroulera le 19 mars prochain.
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Interview de Mr Benazera président de EFJA (Exode des Français Juifs d’Algerie) Pouvez-vous présenter et nous faire connaitre votre association ? Oui bien sur, je vous remercie d’avoir posé cette question qui est fondamentale. Il y a maintenant 3 ans, à la suite du cinquantième anniversaire de l’exode des français juifs d’Algérie, nous avons, avec plusieurs présidents, décidé, de trouver une solution pour commémorer nos morts qui sont restés là-bas. C’est pour cela que nous essayons de faire des regroupements pour centraliser l’ensemble des Juifs d’Algérie. Cet exode reste une plaie pour l’ensemble de notre communauté. Nous avons décidé avec les communautés d’Oran, d’Alger, de Constantine et du Sud Algérien, de créer cette association. Et à cette occasion, nous avons décidé de créer un mémorial car effectivement, nous avons beaucoup d’écrits et pas d’endroit où nos familles pouvaient se recueillir. C’était pour nous une façon de fédérer toutes nos associations d’Oranie, de Constantine, d’Alger et du Sud Algérien. Car depuis cet exode forcé, il faut que vous sachiez que notre communauté vit dans la douleur de ce qu’il s’est passé il y a 50 ans. Ce mémorial est un travail de plus de 2 ans avec l’appui des instances consistoriales et d’autres institutions qui nous ont aidés. Suite à un vote à Paris en présence du Maire de Paris, Bertrand Delanoë, le 10 Juillet 2011, nous avons voté l’autorisation de construire ce Mémorial à la mémoire de nos morts au cimetière de Pantin. Le 19 Décembre 2013 eut lieu l’inauguration du mémorial avec les représentants de l’état, du Ministère de la défense, du Souvenir français, du Consitoire de Paris et de France représenté par son Président Joël Mergui, des représentants de l’église Catholique, Musulmane et Protestante qui ont fait honneur de leur présence en rendant hommage et ont témoigné de leur soutien pour préserver cette mémoire pour l’avenir. Qu’elle soit un moyen de nous réunir dans un endroit où les familles pourront faire le Kaddich et tout cela avec l’autorité du Grand Rabin de Paris Guggeheim et du Grand Rabin de France par intérim, Kauffman et de l’ancien Grand rabin de France, Mr Bernheim. Sur la question de savoir comment nos familles puissent faire le Kaddich selon la Halaha et graver les noms sur ce mémorial et mettre dans des tubes qui seront placés sous le mémorial. Aujourd’hui près de 250
familles sont déjà gravées mais cela n’est qu’une goute d’eau par rapport à l’ensemble de notre communauté. Il faut savoir que sur les tubes, nous trouverons inscrits, les noms des personnes disparues et inhumées dans les cimetières en Algérie. Il est important de connaître le lieu où le défunt est enterré pour pouvoir faire le Kaddich devant ce mémorial qui a été pour la première fois récité le jour de l’inauguration du mémorial devant les autorités rabbiniques de France, le Grand rabin de Paris, ainsi que du Grand Rabin de France par interim, ainsi que des rabins de tous les départements d’Oran, d’Alger, de Constantine et du Sud Algérien. Récités pour la première fois depuis plus de 50 ans, le Kaddich pour nos morts. Cela a été un moment exceptionnel avec toute l’émotion que je porte en moi. Cela a été une délivrance pour tous les Juifs d’Algérie malgré le fait qu’aujourd’hui et cela pour une grande partie de notre communauté, une plaie béante est ancrée à tout jamais dans notre chaire. Ce mémorial est un remerciement à ceux qui nous ont donné la vie, qui nous ont aimé et nous ont fait grandir dans la Thora et dans l’esprit de bonté qui caractérise le peuple juif. Voilà ce qui caractérise les Juifs d’Algérie et nous pouvons aussi associer nos frères de Tunisie, du Maroc et de tout le Maghreb. Le Juif a, de tout temps, apporté cette mitzvah de la Tsédaka pour l’autre. Ce mémorial est destiné à ceux qui sont restés là-bas, pour ceux qui n’ont pas de tombes ou de sépultures et j’espère que nous aurons la chance, si la politique ou plutôt la géopolitique s’arrange, de pouvoir ramener nos êtres chers. Mais la politique est ce qu’elle est, les islamistes étant présents font tout ce qui est en leur pouvoir pour nous mettre des bâtons dans les roues.
Pourquoi avoir attendu 50 ans pour édifier ce mémorial ? Bonne question ! Cela n’était pas notre rôle. C’était celui des grandes institutions de l’époque et comme personne n’avait pris à cœur ce problème, le temps a passé jusqu’à ce jour où nous avons décidé, comme je vous l’ai dit, de prendre le taureau par les cornes avec l’impulsion de mes 4 amis, le professeur Michel Zerbib qui représente les Juifs de Constantine, moi-même qui représente les Juifs de l’Oranie, Sam Attias qui représente les Juifs Algérois à Paris
et d’autres qui représentent le Sud Algérien. Cela s’est passé le jour du 50ème anniversaire où nous avons dialogué entre nous de ce qu’il fallait faire pour nos morts restés en Algérie. 4 étapes avaient été programmées à l’ordre du jour. La première était le 18 juin au sénat, la 2ème a été de faire un Kaddich à la synagogue de Notre Dame de Nazareth, la 3ème au Pavillon Baltard où nous avons inauguré une journée de commémoration. Ou plutôt une journée de retrouvaille avec la présence d’Enrico Macias, la vedette israélienne Avi Toledano, la chance aussi d’avoir les frères Nakache d’une très grande gentillesse. Un vrai bonheur pour les gens qui, pour certains, ne s’étaient pas revus depuis plus de 50 ans. La 4ème étape a été de parler du mémorial. Il a fallu travailler très dur pour obtenir les autorisations et surtout sur un terrain qui appartient à la ville de Paris. Ce n’était pas une sinécure. Le cimetière de Pantin étant très demandé. Cela devait passer par le vote du conseil de la ville de Paris. Ce qui a été fait avec le soutien de Bertrand Delanoë qui est vrai ami de la communauté. Et nous pouvons rajouter une cinquième étape : continuer l’œuvre et de faire connaitre l’histoire des Juifs d’Algérie, des grands Tsadikim qui ont fait de l’éducation et de leur savoir toute l’éducation de ce que sont aujourd’hui les juifs d’Algérie. Vous avez parlé d’éventuellement rapatrier les corps des personnes qui sont décédées en Algérie. Y-at-il un rapprochement avec le gouvernement algérien ? Est-ce que la communauté juive d’Algérie à de bons rapports avec le gouvernement ? Est-ce qu’il y a réellement un espoir ? C’est compliqué ! Il y a une vingtaine d’années, quelques personnes du cimetière d’Alger ont été rapatriées. Lorsque l’on parle de la communauté juive, c’est un peu particulier. Nous avons eu des contacts avec les autorités algériennes. Je me suis déplacé pour enterrer, il y a environ 3 ans, le dernier Juif d’Algérie qui est Meyer Chetrit. Nous avons été très bien accueillis en présence d’une délégation musulmane et chrétienne pour emmener le dernier Juif (zihono livraha) avec toutes les convenances et le respect de la Halaha et tous les honneurs des autorités algériennes. Les pompes funèbres d’Oran nous ont réellement assistés car nous étions seulement
deux pour inhumer Monsieur Chetrit. Donc à la suite de cela, ça a été le début de la suite des transferts des corps vers des ossuaires en présence du consul de France et du représentant du gouvernement pour le transfert des corps. J’avais émis l’idée de faire un relevé par cimetière des noms afin d’identifier ces transferts car c’est quand même important de permettre à l’autorité religieuse juive de pouvoir être présente pour faire cela selon nos traditions ainsi que nos coutumes. A ce moment là, on avait un espoir. J’avais reçu les documents du consul pour essayer de faire transférer les corps. Nous avons préparé une délégation de 14 personnes pour retourner deux mois après sur place et en même temps faire un kadish avec 10 personnes. Malheureusement, cela ne s’est pas fait. Pourtant nos bagages étaient prêts et, un vendredi matin, avant le départ, je suis passé au bureau et j’ai reçu un fax disant que notre venue n’était pas souhaitable donc nous avons annulé ce voyage et depuis, nous avons essayé plusieurs contacts. Rien n’a été fait, j’ai été moi-même au Quai d’Orsay pour expliquer ce qu’il s’était passé. A ce jour je n’ai toujours pas eu de réponse. Il y a eu une ou deux personnes qui ont essayé à ce jour avec les pompes funèbres d’Algérie de transférer des corps, ça n’a pas abouti. Il y a une semaine, il semblerait que quelqu’un souhaiterait aussi faire un transfert de corps, il fallait simplement une attestation qui prouverait que son père est bien au cimetière d’Oran et qu’il souhaiterait le faire venir. Aujourd’hui, nous attendons donc les résultats du transfert. Nous espérons que les autorités algériennes laisseront la possibilité à certains de faire le transfert des corps. Mais à ce jour, il n’y a aucun contact dans ce sens. Il y a des contacts entre le consistoire central et le Quai d’Orsay puisque, moi-même, j’ai un siège au quai d’Orsay avec les représentant des associations pied noir et sud Algérie. Mais il y a uniquement eu une réunion pour voir le transfert des corps vers les ossuaires selon les traditions avec une présence juive comme un Rabin par exemple. Là, je n’ai pas de réelle information précise sur ces rencontres mais ce qui est certain, c’est qu’à ce jour, nous n’avons pas officiellement de contact concernant la possibilité des transferts des corps. Jusqu’à présent, cela a toujours été un échec. Je crois que la politique domine. On sait qu’il y a de fortes
pressions des groupes islamistes et qui ne veulent pas nous voir débarquer. Nous voulons juste rendre hommage à nos frères juifs. Je crois que c’est la pression politique qui est plus forte que le désir lui-même. Parce que lorsque nous avons des contacts avec des musulmans, c’est vrai qu’ils sont très ouverts et qu’ils nous ont très bien accueillis mais enfin de compte, ils n’ont aucun pouvoir. Cela ce décide a un autre niveau. Est-ce que vous faites un appel aux donateurs pour vous aider dans les opérations que vous faites ? Merci de poser cette question. Le mémorial a été lancé rapidement. Nous avons eu, pour l’instant, une seule subvention minime mais le tout représente entre soixante et soixantedix mille euros. Nous sommes encore avec une somme importante à terminer et je fais un appel solennel à l’ensemble des Juifs d’Algérie, aux enfants et petits-enfants de nous apporter une aide afin que l’on puisse terminer éventuellement le paiement de ce mémorial. Mais en même temps de nous donner la possibilité d’aller un peu plus loin car nous avons aussi des assurances, les entretiens etc … Afin d’aller plus loin et d’avoir la possibilité aussi de faire paraitre sur notre site l’histoire des juifs d’Algérie. Monsieur Benazera, je crois que vous avez un appel à faire concernant les jeunes. Cela vous touche beaucoup ! Oui cela me touche beaucoup parce que je crois que l’on est la dernière génération qui soit encore dans ce monde pour donner et passer le flambeau et c’est pour cela que je fais appel aux jeunes. Alors bien sur, quand je dis « jeunes », c’est trente ans, quarante ans, cinquante ans … je parle de ces jeunes-là qui prennent la relève pour qu’ils continuent à faire connaitre l’histoire de leurs parents et de leurs grands-parents issus d’Algérie. Il faut absolument que cette jeunesse puisse nous rejoindre en adhérant à notre association. On a énormément d’appels et il serait bon aussi que des jeunes prennent la relève et avoir un retour donc de cet appel. Propos recueillis par Alain SAYADA
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La véritable lumière bien plus forte que la haine écho à d’autres images: Celles qui se déroulaient à l’extérieur du theatre, sur la place du Châtelet, où une 20 aine de militants pro palestiniens, conduits par la lamentable Olivia Zemmor, grimés en soldats d’Israel et pour l’une d’entre elle, singeant la belle Scarlett Johansson, se donnaient en spectacles sous l’œil de leur propre et unique caméra. Ils étaient là, comme à leur habitude pour vomir leur haine d’israël et pour manifester contre l’actrice américaine qui, refusant de céder aux boycotteurs, a assumer pleinement son rôle d’égérie de la société israélienne Sodastream. Vendredi 28 février, se déroulait la 39 eme cérémonie des Césars du Cinéma. Le Tout Paris de la Culture et du 7 eme Art était réuni au theatre du Châtelet.
Ces 20 boycotteurs fanatiques, hémiplégiques de la pensée à l’indignation unique et sélective, se sont donnés en spectacle dans l’indifférence totale d’un public nombreux venu pour honorer le véritable Cinéma.
Cette cérémonie, retransmise en directe sur Canal + et dont les résultats font la Une de tous les médias, est l’occasion de mettre à l’honneur les Artistes et la Création.
Depuis plus de 20 ans, Olivia Zemmor et sa clic d’agitées restent aveugles et sourds à tous les drames de l’humanité et n’ont d’yeux que pour la cause palestinienne dont il ont fait leur fond de commerce.
Cette année a vu le triomphe bien mérité de Guillaume Gallienne avec son film « les Garçons et Guillaume à table» qui s’est vu attribué rien de moins que 5 Césars Cette 39 eme éditions des Césars fut celle du comédien Français et également celle de l’actrice et chanteuse américaine, Scarlett Johansson, invité d’honneur de la soirée. Cette prestigieuse soirée aurait pu être gâché si les caméras et les flashs, présents pour cette fête du Cinéma, avaient décidé de montrer et donner
Ce 28 février, la Culture a été plus forte que la bêtise, les Lumières du 7 eme Art ont étouffées la laideur et l’obscurantisme de ces militants de la haine. Ce vendredi 28 février restera, heureusement, celui du triomphe du merveilleux Guillaume Gallienne et de la grande et belle Scarlett Johansson et non celui de Zemmor et de ses boycotteurs ridicules. GIL TAIEB
Joseph Azria en compagnie de François Hollande
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La «Palestine» n’ est pas arabe ! Arguments historiques à retenir pour contrer la propagande palestinienne les Arabes – la terre du peuple juif.
Le mot Palestine se réfère en fait au peuple des Philistins dont les origines géographiques se trouvent dans la région de la Mer Égée. C’est donc un peuple occidental qui n’a aucun rapport avec le monde arabe dont sont issus les «Palestiniens» dont on parle dans les médias depuis quelques décennies et qui sont une «création» datant du 20ème siècle.
Cela n’empêche pas que dans la lutte engagée mes sympathies ne soient entièrement pour Israël(…) Je ne partage pas du tout la sympathie passionnée de notre ami Massignon pour les Arabes, qui en réalité n’ ont jamais ce qu’ on appelle «habité» cette terre où ils bivouaquent…» Paul Claudel, Lettre à Jacques Madaule du 6 juin 1948 Le dicton dit, à juste titre, qu’il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. En effet, tous ceux qui essayent de convaincre les antisémites/antisionistes de l’absolue légitimité historique, politique et morale d’Israël, se retrouvent face à des personnes butées qui ne veulent rien savoir de la réalité des faits puisque ces derniers les condamneraient au silence. Pour autant, si l’on ne peut lutter contre la haine des antisémites/antisionistes par le biais d’arguments raisonnables et historiques, on peut au moins tenter de lutter contre l’ignorance des personnes de bonne foi qui pourraient être troublées par les mensonges et les calomnies de la puissante machine de propagande «palestinienne». Afin de contrer cette propagande, nous présentons ici des faits et des arguments historiques vérifiables par tous : – Le «peuple» palestinien, tel qu’on nous le présente depuis des décennies, ne représente aucune entité nationale, ethnique ou religieuse spécifique. Comme l’a déclaré en 1977 le chef «palestinien» Zuheir Mohsen (19361979),l’un des leaders de la faction
pro-syrienne (nommée as-Sa’iqa ) de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) : «En réalité, il n’y a pas de différences entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais.La création d’un État palestinien est un nouvel instrument afin de continuer notre lutte contre Israël et pour soutenir notre unité arabe.L’existence d’une identité palestinienne séparée existe seulement pour des raisons tactiques. (Interview donnée au quotidien néerlandais »Trouw » le 31 mars 1977). L’Atlas de Géopolitique du MoyenOrient et du Monde Arabe (éditions Complexe, 1993,p.185), par exemple, explique clairement la création très récente des «Palestiniens»: «Alors qu’au moment de la partition de la Palestine (en 1947, NDA) ses habitants arabes ne se pensaient pas comme une nation mais comme des Arabes habitant la Palestine, l’expérience de la guerre, de l’exode et de la lutte a forgé une identité spécifique, commune aux Palestiniens, Musulmans et Chrétiens». Les Arabes ne sont pas dupes de cela et c’est pourquoi le président égyptien déchu Hosni Moubarak, déclara dans une interview au magazine français L’Express daté du 19 décembre 1996 : «Les Palestiniens ont, en tant que tels, à peine 30 ans d’existence. » – Pendant des siècles, le terme «Palestinien» définissait les Juifs. Ainsi, par exemple, le philosophe Emmanuel Kant (1724-1804) décrivait les Juifs – de façon furieusement antisémite d’ailleurs- dans la première partie de L’Anthropologie comme les «natifs de Palestine en exil». Jusqu’à peu près la moitié du 20ème siècle la Palestine était pour tous – y compris
C’est avant ou après (on ne sait exactement) la révolte juive de Bar-Kochba qui se déroula entre 132 et 134, que l’Empereur romain Hadrien, qui occupait avec son armée la terre d’Israël, décida de débaptiser la Judée (région de l’ancien royaume d’Israël où vivait l’une des 12 tribus d’Israël, la tribu de Juda, dont la majorité des Juifs actuels sont les descendants) et de la renommer Palæstina. Ici encore, aucun lien n’existe entre le mot «Palestine» et un quelconque peuple arabe ! – C’est seulement au 7ème siècle que les Arabes conquirent la «Palestine», c’est-à-dire la terre ancestrale des tribus d’Israël. Par la suite la Palestine – qui ne fut jamais un État - connut d’autres conquérants tels que les Ottomans (des non-arabes), pour ne citer qu’eux. – Au 7ème siècle de l’ère chrétienne , les Arabes violèrent le lieu le plus saint du judaïsme en construisant à Jérusalem, sur l’emplacement même où se trouvait le Temple de Salomon – dont l’achèvement se situe aux alentours du 10ème siècle avantl’ère chrétienne ! – la Mosquée El-Aqsa et le Dôme du Rocher. Plus de cent constructions musulmanes existent maintenant sur le mont du Termple, le lieu le plus saint du Judaïsme ! – Dans un article d’avril 1854, Karl Marx, alors journaliste, enquête sur Jérusalem. Il confirme que la population de la Ville Sainte est à majorité juive et que ces derniers sont «victimes d’une oppression et d’une intolérance constantes de la part des musulmans…» – Le 24 avril 1920, lors de la Conférence internationale de San Remo, les Britanniques obtinrent la responsabilité de la Palestine (le fameux mandat). Le 25 avril 1920 fut donc adoptée une résolution qui incluait la Déclaration Balfour du 2 novembre
1917 et dans laquelle le RoyaumeUni se déclarait favorable à l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif. Pourtant, en 1921, les autorités britanniques, reniant une grande partie des promesses officielles faites au peuple juif (à cause de menaces arabes), donnèrent près de 80% de la Palestine sur laquelle devait se trouver le Foyer National juif, aux Arabes (à l’émir hachémite Abdullah). Ce territoire prit le nom de Transjordanie. Les Juifs furent donc dépouillés de 80 % du territoire qui leur avait été promis et malgré cela on demande encore et toujours à Israël de faire de nouvelles concessions territoriales sur le peu qu’ il lui reste. –Winston Churchill déclara le 28 mars 1921 aux Arabes habitant la Palestine : «Il est manifeste que les Juifs, qui sont dispersés tout autour du monde, devraient avoir un centre national et un foyer national où certains pourraient se réunir. Et où cela pourrait-il en être autrement que sur la terre de Palestine, avec laquelle depuis plus de 3000 ans ils ont été intimement et profondément associés ? ». Le 24 juillet 1922, la Société des Nations – l’ancêtre de l’ONU – reconnaît « le lien historique entre le peuple juif et la Palestine ». La Palestine est donc bien, une fois de plus, reconnue pour ce qu’elle est : un territoire juif ! En 2009, le journal Koweitien Al Watan, publiait un article dans lequel était cité le pourtant très antisémite fondateur de la Confrérie des Frères Musulmans, Hassan el-Banna qui déclara en 1940 : «Les Juifs sont les premiers habitants de la Palestine ». (rapporté « par le magazine français L’Express du 15/01/2009) – Le 29 novembre 1947, une résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies recommande la création de deux États, l’un juif, l’autre arabe sur le territoire situé à l’Est du Jourdain, les Juifs acceptent le plan de partage, les Arabes le rejettent. Aucune guerre n’ aurait eu lieu, aucune goutte de sang n’aurait été versée depuis plus de 60 ans si les Arabes n’avaient pas fait preuve, une fois de plus, d’une intransigeance criminelle en n’acceptant pas un plan qui leur était pourtant très favorable ! – L’un des éléments majeurs de la
propagande palestinienne est la question dite des «réfugiés». Les Israéliens sont accusés d’avoir chassé les «Palestiniens» arabes en 1948. Pourtant, tous les historiens sérieux s’accordent à dire qu’aucun plan d’expulsion délibéré contre les Arabes fut mis en œuvre par le pouvoir israélien.
C’est en fait l’invasion de l’État d’Israël par 5 armées arabes (Jordanie, Égypte, Irak, Liban, Syrie) le 15 mai 1948 – c’est-à-dire à peine quelques heures après la déclaration d’indépendance de l’État hébreu – qui amena certains arabes (pas tous , loin de là, sinon l’État hébreu ne compterait pas 20 % d’Arabes israéliens sur son territoire !) à fuir pour se mettre à l’abri. Le paradoxe c’est qu’ils fuirent sous l’impulsion des États arabes euxmêmes et des «Comités nationaux palestiniens». Ainsi, une figure aussi importante pour «Palestiniens» que feu le poète et activiste Mahmoud Darwich (qui fut membre de l’OLP), déclara dans un entretien intitulé En marge du transitoire (Revue d études palestiniennes, n.10) : «On avait à l’époque commandé aux Palestiniens de quitter leur patrie pour ne pas gêner le déroulement des opérations militaires arabes qui devaient durer quelques jours et nous permettre de réintégrer rapidement nos maisons. Pour mes parents, notre séjour au Liban était temporaire; nous étions en visite ou même en villégiature ». Cette liste d’arguments n’est évidemment pas exhaustive mais elle apporte déjà la preuve de l’imposture totale de ceux qui se targuent de défendre une prétendue «cause palestinienne ». Une «cause» qui utilise de plus les moyens les plus barbares pour se faire entendre, en visant sciemment, par le biais du terrorisme le plus abject, les civils juifs, hommes, femmes et enfants. Israël, quant à lui, doit cesser de reprendre à son compte la propagande de l’ennemi en utilisant la terminologie et la mythologie de ceux qui se prétendent, de manière totalement infondée, propriétaires d’une terre qui ne leur a jamais appartenue et au nom de laquelle ils tuent. par l’excellent Frédéric Sroussi
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Assimilation : La fin du modèle français
Le chercheur et démographe Michèle Tribalat, qui a publié en 2010 un essai particulièrement « décapant » intitulé Les yeux grands fermés (éditions Denoël), réitère avec un ouvrage consacré au modèle assimilationniste français qui va susciter autant de critiques que le précédent de la part de la nomenklatura intellectuelle et journalistique. Cet ouvrage est intitulé Assimilation : la fin du modèle français et il a été publié il t a quelques mois par les éditions du Toucan. Comme elle l’avait fait dans son précédent ouvrage, Michèle Tribalat expose les difficultés rencontrées par les chercheurs qui étudient les flux migratoires en France du fait d’un « désordre statistique inextricable » auquel « les institutions dont ce devrait être l’un des intérêts majeurs, qu’il s’agisse du département de démographie à l’INSEE ou de l’INED, n’accordent pas l’attention qu’ils devraient ». De plus, « il semble que le solde migratoire global combine un solde négatif des natifs ou des nationaux et un solde positif des immigrés ou des étrangers. C’est pourquoi il apparaît si faible en France ». Cette notion de solde migratoire global a, bien évidemment, pour but de relativiser l’importance de l’immigration étrangère. Un des poncifs les plus fréquents tend à affirmer la stabilisation voire la décrue de l’immigration dans notre pays, ce que notre démographe nie
catégoriquement : « Il y a bien eu une stabilisation, mais seulement sur la période 1975-1979. Pendant ce quart de siècle, la population immigrée a crû à peu près au même rythme que celle des natifs, soit une croissance de 11% sur l’ensemble de la période. Depuis 1999, la population immigrée a augmenté de 24% en 10 ans. Le nombre des natifs n’a progressé, lui, que de 5% sur la même période. La proportion d’immigrés est donc passée de 7,4% en 1999 à 8,5% en 2009. En termes relatifs, l’accroissement de la proportion d’immigrés est voisin de celui observé pendant les Trente Glorieuses, période que personne n’oserait qualifier de stagnation migratoire. La France est donc sortie de sa phase de faible intensité des flux migratoires qui a effectivement suivi la suspension de l’immigration de travail en 1974 et a duré un quart de siècle, pour entrer dans un nouveau cycle migratoire. Elle connaît la proportion d’immigrés la plus élevée de son histoire ». Cette immigration record se traduit par une augmentation sans précédent de la part de la population qui est étrangère et d’origine étrangère, soit 11,7 millions en 2009 (cette estimation effectuée par l’INSEE ne comprend que deux générations : immigrés et enfants d’au moins un parent immigré) et 19% de la population totale ! Le taux d’accroissement de la population immigrée et d’origine immigrée a été voisin, entre 1999 et 2008, de 18 pour mille quand celui
des natifs a été de 4 pour mille seulement. Compte tenu du fait que les dirigeants de l’Union européenne ont entériné l’idée que l’avenir démographique de l’Europe passe par l’immigration, nous allons connaître, si rien ne change au plan politique (mais rien n’est moins sûr que la pérennité de cette organisation calamiteuse), des jours pour le moins difficiles parce que, comme l’écrit Michèle Tribalat, « cette politique aura un prix dont les citoyens européens ne sont pas encore complètement conscients. Quand on délègue son destin à d’autres, on ne peut guère s’attendre à en conserver la maîtrise ». Michèle Tribalat estime le nombre de musulmans résidant en France à 4,2 millions à la fin de 2008 (la population totale était alors de 62.469.000) mais l’accroissement démographique des musulmans a été de 151.000 en 2008 et celui des non-musulmans de 180.000 seulement ; nous allons donc atteindre le chiffre de 5 millions de musulmans à la fin de cette année et celui de 6 millions en 2020. « La forte croissance démographique de la population musulmane est (donc) favorisée par ses caractéristiques démographiques : grande jeunesse et fécondité élevée. L’apport annuel, par l’immigration, de personnes relativement jeunes en âge d’avoir des enfants contribue au dynamisme démographique des musulmans ». La France est le pays qui compte le plus de musulmans et dont la part relative de la population musulmane est la plus importante en Europe après celle de la Bulgarie. L’évolution de la communauté musulmane en matière de religion est à l’opposé de celle des natifs dont la sécularisation s’amplifie régulièrement. Contrairement à tous les pronostics, les jeunes générations de musulmans sont de plus en plus pieuses et respectueuses des règles et interdits de l’islam : « On assiste (donc) à une forme de durcissement identitaire qui sépare les musulmans des autres, renforce le contrôle social et pèse sur la liberté des fidèles mais aussi sur
celle des non musulmans ». Michèle Tribalat constate que le raidissement des musulmans a des conséquences sur la communauté musulmane mais aussi sur les natifs : « Ces interdits concernent tous les aspects de la vie privée et sociale et, comme il est interdit de médire de l’islam, les non-musulmans se sont trouvés euxmêmes visés dans ce qu’ils ont de plus cher : la liberté d’expression. Après l’affaire Rushdie, l’intimidation est devenue monnaie courante. On risque à nouveau sa vie en Europe, mais aussi aux Etats-Unis, à dire, écrire, figurer ce que l’on pense. Les ajustements à l’intimidation par la censure, l’autocensure, la langue de bois et, quelquefois, le ralliement ont remis les Occidentaux dans la position d’avoir à plier ou se battre pour reconquérir ce qui leur semblait définitivement acquis. »
l’Europe, sans en avoir jamais fait la démonstration ; on peut d’ailleurs raisonnablement penser le contraire : un ensemble politique est d’autant plus stable et cohérent qu’il est homogène. En survalorisant l’Autre, les oligarques ont réveillé les sentiments nationaux assoupis qu’ils essayent de détruire ; en mettant l’accent sur la diversité et en valorisant les appartenances ethniques des minorités, ils ont fait surgir la question identitaire chez les « natifs au carré ». « Si les personnes d’origine étrangère ont une identité si précieuse qu’il faille se mobiliser pour la préserver, pourquoi n’en irait-il pas de même pour les natifs au carré ? ». La désécularisation des musulmans s’ajoute au mouvement de séparation volontaire des natifs et renforce le processus de séparation des différentes communautés.
L’assimilation devient impossible pour deux raisons : d’une part, du fait de la séparation entre populations natives et populations immigrées qui a été étudiée par Christophe Guilluy (Fractures françaises, François Bourrin éditeur, 2012) et, d’autre part, du fait de la politique d’intégration mise en œuvre par l’oligarchie européenne. Les élites comptaient sur le brassage des populations natives et immigrées au sein des classes sociales les moins favorisées pour assurer l’assimilation des nouveaux venus ; ces dernières avaient donc la charge de régler l’énorme problème posé par l’arrivée de ces masses étrangères à notre culture, tout en étant systématiquement dénigrées par des élites qui valorisent l’Autre et méprisent leur culture et leur histoire ; la réaction des natifs, totalement imprévue, a consisté à se séparer en fuyant dans les zones péri-urbaines, loin des immigrés. De ce fait, l’assimilation devient impossible et ce d’autant plus que la politique d’intégration imposée par l’Union européenne va dans le sens d’une valorisation des cultures des immigrés. Les oligarques de Bruxelles considèrent, en effet, que l’immigration et la diversité qu’elle induit sont une chance pour
Contrairement à ce qu’affirment ceux qui pensent, comme Emmanuel Todd, que les populations immigrées et natives vont se fondre dans un heureux melting pot, Michèle Tribalat constate une fragmentation ethnoculturelle de notre société qui est une source de tensions et d’affrontements. Un certain nombre d’indices permettent de penser que pour les « natifs au carré », désormais, la coupe est pleine. Malgré une propagande digne des régimes totalitaires, le rejet de la politique menée par l’oligarchie immigrationniste prend une ampleur qui commence à la faire paniquer ; la question identitaire est désormais au cœur de la problématique politique française et européenne. Michèle Tribalat souligne les difficultés qui rendront difficile le changement de politique en matière d’immigration et qui sont, outre les traités internationaux signés par la France, les engagements contractés au sein de l’Union européenne ; mais elle évoque la possibilité que le changement de politique dans quelques pays européens pourrait permettre un changement radical dans l’ensemble de l’Europe. Y.Lellouche
Hommage à Pierre Besnainou qui quitte le Fonds social juif unifié
Pierre Besnainou, né en 1955 à Tunis a été un homme d’affaires français et un dirigeant de la communauté juive de France. En 2012, il est élu comme représentant des juifs de France au Parlement juif européen. Pierre Bes comme ses amis le surnomment, fils de Paul, commerçant en cycles, et de Jacqueline Besnainou, arrive en France et s’établit à Paris en 1972. Marié, il a trois enfants. Ses études
primaires se déroulent à Tunis (École Emilie de Vialar, école de sœurs mitoyenne Jeanne d’Arc). Il se lance dans le commerce de gadgets venus de Hong Kong et fonde Kaisui (acronyme de Akaï et Sansui), défiant ainsi le numéro 1 de l’électroménager français Thomson. Après quelques années fructueuses, il est obligé de déposer le bilan de sa société, notamment pour un procès
avec l’État français de détournement de taxes douanières concernant les téléviseurs sans tuner (de type Moniteurs) rachetés à la société Sagem. En 1996, l’Administration des Douanes perd son procès contre Pierre Besnainou. En 1997, il rejoint le bouquet AB-sat (groupe AB) en tant que nouveau directeur commercial. Plusieurs divergences avec le président du groupe AB, Claude Berda, l’amèneront à quitter cette société 18 mois plus tard. À partir de 1999, un passage à vide l’oblige à ronger son frein et un jour, avant de lancer l’accès gratuit à Internet, il fonde alors Liberty Surf, grignote une petite tranche importante du marché des Fournisseur d’accès à Internet et envisage de suivre l’exemple mené par Claude Berda avec son groupe. Sa société rachète alors à tour de bras plusieurs autres entreprises informatiques françaises telles que Nomade.fr, Chez. com, Freesbee, entre autres. En 2001, Liberty Surf entre en Bourse et est cotée au Second Marché de la Bourse de Paris avec le soutien ultérieur du groupe LVMH. Cette introduction sera ternie par une chute brutale de
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l’action, provoquant la grogne des petits porteurs... À l’instar de la société américaine en déroute : Worldnet. À son tour, la nébuleuse Liberty Surf sera absorbée par l’italien Tiscali (devenue depuis Alice ADSL). En 1995, Pierre Besnainou est nomme au Conseil des Gouverneurs du centre Shimon Peres pour la paix. En juin 2005, Pierre Besnainou est élu président du Congrès juif européen (CJE), battant ainsi l’Italien Cobi Benatoff, favori de la Communauté juive américaine et du président du Congrès juif mondial, Edgar Bronfman. En juin 2006, il est élu président du Fonds social juif unifié de France (FSJU) et coprésident de l’AUJF, poumon financier de la Communauté juive de l’Hexagone. Les fonds collectés par l’AUJF et employés par le FSJU financent des œuvres sociales, éducatives et culturelles. En avril 2007, Pierre Besnainou est décoré de la Légion d’honneur par le président Jacques Chirac. En janvier 2010, il succède à David de Rothschild à la présidence de la fondation du judaïsme français. Lundi 3 mars au centre communautaire de Paris après 8 ans de présence
à la tête du FSJU, un hommage lui a été rendu en présence de très nombreuses personnalités, parmi lesquelles M. l’Ambassadeur d’Israël, M. Roger Cuckierman du Crif, Le député M.Meyer Habib, Gil Taieb et le maire du 16é M.Claude Goasguen ainsi que de très nombreux fidèles et amis qui étaient venus tout simplement le remercier pour tout le travail accompli dans la communauté juive de France. M.Besnainou émue a remercié toute l’assistance ainsi que ses collaborateurs, et il indiqua que désormais il résiderait en Israël un pays qu’il aime et où visiblement il a ses attaches depuis quelques années, mais que néanmoins, il garderait un œil attentif sur la communauté juive de France. Y.Lellouche
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A Washington, Ghannouchi fait la promo d’Ennahdha
Dans un discours sur l’expérience de la transition démocratique en Tunisie, prononcé hier, à Washington (capitale des Etats-Unis), à l’occasion d’une conférence donnée à la fondation Carnegie, Rached Ghannouchi, président d’Ennahdha, a affirmé que son parti «dispose de grandes chances de gagner les prochaines élections». Ghannouchi a assuré, toutefois, que «le pays ne peut pas être gouverné par un unique courant ou un unique parti». «Lors des phases de transitions, et face à des institutions fragiles, une majorité de 51% ne peut pas fonder un pouvoir stable, mais il faut que les courants et partis importants participent au pouvoir à travers une coalition gouvernementale large réalisant la stabilité et affermissant la démocratie et les institutions», a-t-il soutenu. Par ce discours, Rached Ghannouchi «officialise», ainsi, ce que plusieurs dirigeants nahdhaouis ont, déjà, déclamé. «Nous considérons que la Tunisie ne peut être gouvernée, dans les dix prochaines années, que par le consensus, et ce, qu’importe les résultats des élections», avait déclaré, par exemple, le 30 janvier dernier, à l’Agence de presse allemande, Abdelhamid Jelassi, vice-président d’Ennahdha. «Nous allons conserver la philosophie d’une alliance au pouvoir, malgré ses défauts», avait-il souligné, tout en ajoutant qu’»il y des alliances préélectorales, et des alliances postélectorales» pour lesquelles le parti œuvrera à ce qu’elles soient «le plus large possible». Dans la même lignée, le porte-parole
du mouvement, Zied Laâdhari a déclaré, le 15 février 2014, au micro de Mosaïque FM, que «le pouvoir, dans le futur, doit se baser sur une participation large de toutes les forces politiques». Dès lors, cette «Troïka» bis, ou tout autre type de coalition similaire, serat-elle composée de quelles autres formations politiques, outre Ennahdha ? (Ancien) fidèle allié des Islamistes, le Congrès pour la République (CPR) ne serait plus très enthousiastes au renouvellement d’une telle expérience, particulièrement après les appels du pied nahdhaouis à la démission du président provisoire de la République, Moncef Marzouki. Cette nouvelle alliance verra-t-elle la collaboration de partis présentés comme «laïcs», ou sera-t-elle le fruit d’une large participation des formations islamistes satellites ? Sera-t-elle avec Nida Tounès? Cette dernière hypothèse, en l’état actuel des choses, demeure improbable, surtout que le parti de Béji Caïd Essebsi compte, pour l’instant, se présenter, aux prochaines élections, dans des listes unifiées avec les autres partis de l’Union pour la Tunisie, à savoir Al Massar, le Parti socialiste, et le Parti du travail patriotique et démocratique. Néanmoins, l’hypothèse n’en est pas pour le moins irréalisable sachant que l’on est encore très loin des élections, dont la date n’a pas été encore fixée. De plus, il n’échappe à personne que les positions politiques ne sont pas réputées pour leurs immobilismes. Yves PEREZ
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Parachat Vayikra : La notion du vrai don !
Le verset dit : «Si un homme parmi vous vient offrir à l’Eternel une offrande de bétail…» Rachi commente «Adam» un homme, implique que l’offrande en question doit rappeler celle du premier homme, c’est-à-dire quelle soit «sa propriété pleine et entière» et donc dénuée de vol ou de provenance douteuse. Pourquoi la Thora insiste pour rappeler une nouvelle fois l’interdiction formelle du vol ?.. Pour répondre, il existe un verset du prophète Isaïe qui précise : «Parce que Moi, Achêm, j’aime la Justice et déteste les sacrifices provenant du vol». Que peuton tirer comme nouvel enseignement des mots : «Si un homme, parmi vous etc..»?. Pour le Zohar le terme «Adam» dans ce contexte, concerne uniquement un homme qui a une épouse, comme il est dit dans le Talmud : «n’est appelé «adam» que celui qui est marié». Rabinou Bahié explique qu’il n’était pas nécessaire pour la Thora, de redire l’interdiction d’apporter des bêtes volées en sacrifice, donc ce message devait avoir forcément une autre signification. En fait, en comparant nos sacrifices à ceux d’Adam Arichone, la Thora insiste pour nous préciser qu’un bien ou une somme d’argent acquise avec la moindre trace de malhonnêteté, ne saurait être apporté en offrande. Aujourd’hui par exemple nous dirions cela d’une somme offerte à la synagogue, mais provenant d’un détournement ou d’une escroquerie quelconque. Les Sages expliquent, si par exemple, une personne se prétend abusivement «Talmid Hakham» érudit et, de ce fait, reçois une assistance de personnes qui souhaitent aider les étudiants de la Thora, la somme ou le bien ainsi reçu, est considéré comme le fruit
d’un abus de confiance!. Les Sages citent un autre exemple : Lorsqu’un individu demande de l’argent à son ami et que celui-ci, harcelé, y consent malgré tout mais non de bon cœur…dans ce cas là, D-ieu ne souhaite pas une offrande provenant de cet argent. Nous voyons d’ailleurs dans la section de Térouma D-ieu dire à Moise : «Qu’ils prennent pour Moi un prélèvement de tout homme qui s’exécutera de bon cœur».C’est de cette seule et unique manière que D-ieu aime à accepter un don ou une offrande et de plus, il doit s’agir d’un bien strictement personnel. C’est pourquoi, la parachat Michpatim qui concerne les questions d’argent, ainsi que les lois civiles ou commerciales, précède la parachat Térouma qui, elle, traite des offrandes en vue de l’édification du Tabernacle. D-ieu avait doté Beslalel ben Houri ben Hur de la faculté de percevoir avec quel élan de générosité et de pureté, chaque don avait été offert, pour ensuite l’attribuer à chaque partie du Tabernacle. Plus la pureté d’intention du donateur était grande et plus l’affectation de son don était sainte. Avant de faire un don, il faut s’assurer que cette mitsva sera accomplie par des voies honnêtes. A défaut, la mitsva est considérée comme provenant d’une malversation.«Ainsi la Justice est bafouée et la vertu se tient à distance » dit le prophète Isaïe. Il arrive hélas qu’une personne, après avoir commit un «petit»larcin ou détourné des sommes plus importantes, décide de faire un «petit» don conséquent à la synagogue ou à la Yéchivah pensant qu’il «effacera» ainsi toutes ses mauvaises actions et qu’il obtiendra son expiation. Ce n’est pas exactement comme ça que cela ce passe disent les sages! C’est ce qu’on ap-
pel : «Mitsva bâa baavera» s’aider d’une péché pour accomplir une «mitsva» et là, c’est sans appel !. Le Kéli Yakar écrit dans un commentaire, que très souvent, les jeunes enfants sont initiés à l’étude de cette paracha des «Korbanot» parce quelle referme justement des symboles de pureté à l’image de ces enfants. Cette paracha nous parle du travail dans le tabernacle, chargé de répandre le «Le Chefâa» «le flux divin» au monde entier. En effet, le Tabernacle dans le désert, puis le Temple de Jérusalem, furent le point de jonction entre les mondes supérieurs et le monde terrestre. Nos Sages disent que Le Tabernacle « d’en bas » à son identique « en haut ». Et Rabbi Hya explique dans le Zohar, le verset du Chir Achirim : «Batti léguani ahoti kala ariti mori îm bassami akhalti ayeri im dibchi chatiti yéni im halavi..». En fait, le jour de l’inauguration du tabernacle «d’en bas» correspondait à l’inauguration du tabernacle d’en haut, ce jour là, fut une immense joie pour D-ieu. C’est à partir du Temple et en particulier du travail des Cohanim – des prêtres, que va s’opérer le passage du spirituel au matériel. Ainsi par exemple, le Korbane – le sacrifice d’animaux vient expier les fautes…Ce mot «Korban» signifie approché…Le mot provient de la racine «Karev», ou encore «Krib» de l’arabe qui signifie proche. Il s’agit en effet de se rapprocher du Créateur en offrant un animal ou des produits végétaux tels que des céréales au Temple. Les Pains de Proposition déposés sur la table du sanctuaire symboliseront l’abondance versée au monde, et de ce fait, ils empêcheront les famines dit le Talmud. Les Encens, assureront la paix dans le monde…ainsi chaque activité, chaque
Le pouvoir positif des aliments Notre alimentation ne sert pas uniquement à nourrir nos cellules à des fins caloriques ou énergétiques. Chaque aliment que nous ingurgitons et chaque boisson que nous buvons agit sur nos facultés mentales. Nous sommes ce que nous mangeons et ce que nous buvons physiquement, psychiquement et spirituellement c’est ce que disaient déjà nos Maîtres zatsal. Dis-moi ce que tu manges Certains aliments peuvent agir comme antidépresseurs, d’autres comme stimulants, d’autres encore comme euphorisants ou inhibiteurs sexuels. Après leur ingestion, nous nous sentons plus fatigués, plus excités, plus enclins à la joute verbale, aux échanges, à l’introspection ou à la méditation. Ce que pense le cerveau de ce qu’il mange est fondamental. S’il n’est pas comblé, assouvi, son fonctionnement sera perturbé. Il ne peut plus assurer correctement la coordination du corps ni celle de la pensée, encore moins celle du plaisir, explique Jean-Marie Bourre dans « La diététique du cerveau », éditions Odile Jacob. La composition de notre ration alimentaire influence notre degré de concentration, de mémoire, d’excitation, d’agressivité, d’anxiété. Elle joue à ce titre un rôle des plus importants dans le fonctionnement de nos facultés psychiques, renchérit Christian Brun, un des grands sorciers de la naturopathie et de l’hygiène vitale en France. Plus grave, les carences engendrées par une alimentation dénaturée, frelatée, perturbent notre mental. Et les additifs chimiques modifient notre comportement et
finissent par forger notre personnalité de façon permanente. De là à prêter à l’alimentation un rôle dans la genèse des maladies psychiques, il n’y a qu’un pas que certains naturopathes n’hésitent pas à franchir, Christian Brun en tête. Je pense que la montée effarante des maladies mentales et nerveuses est directement liée à notre mode de vie et plus particulièrement à notre alimentation et à notre attitude lorsque nous mangeons : soucis, colère, tristesse, rancune… Matière et énergie À mesure que la science progresse dans la connaissance du corps et de ses dysfonctionnements comme dans l’analyse du contenu nutritionnel des aliments, un parallélisme de plus en plus flagrant s’établit entre la qualité du régime alimentaire dans certaines régions du monde et la santé non seulement physique, mais aussi psychique de leurs habitants. Réconciliant enfin le corps et l’esprit, de plus en plus de psychiatres s’intéressent à l’incidence de l’alimentation sur la santé psychique de leurs patients. À la lumière des neurosciences et de la progression, hélas, de certaines pathologies mentales telles la dépression, la maladie d’Alzheimer, voire l’autisme – qu’un simple changement de régime alimentaire fait souvent évoluer favorablement ! – le lien étroit qui unit troubles de l’humeur et façon de se nourrir devient une évidence. En clair, pour voir la vie en rose, il est primordial de donner au corps les bons carburants qui lui permettront de se sentir alerte, tant physiquement que psychiquement. Privilégier des aliments de qualité apportant outre
les calories, des nutriments essentiels à leur utilisation est fondamental pour le moral. Tout le monde sait pratiquement que l’alimentation apporte des sucres, des graisses, des protéines, des vitamines et des minéraux. Mais au-delà des publicités pour la margarine qui protège votre cœur ou le soda zéro enrichi à l’aspartam, tous les sucres, graisses et protéines se valent-ils ? Les protéines qui régulent nos émotions Notre système nerveux est un assemblage de neurones dont le rôle fondamental est de transmettre des excitations, des stimuli. Cette transmission de neurone à neurone se fait par l’intermédiaire de neurotransmetteurs chimiques qui véhiculent nos émotions, nos pensées, nos sentiments et sont responsables de notre comportement. Ces neurotransmetteurs, ou neuromédiateurs, sont synthétisés à partir des éléments contenus dans des précurseurs qui ne sont autres que nos aliments. Et plus précisément à partir des acides aminés issus des protides. Il est désormais démontré que le niveau quantitatif de ces neurotransmetteurs est en corrélation directe avec des troubles psychiques particuliers tels la dépression, l’anxiété, l’irritabilité, la perte de mémoire… En modifiant l’alimentation quotidienne, on peut donc modifier la quantité des neurotransmetteurs et par conséquent l’humeur, le comportement, les émotions…, conclut le chercheur Christian Brun. Y.L
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geste dans le Temple de Jérusalem avait une signification particulière et une portée singulière. Le Kéli Yakar tente un rapprochement entre notre verset de Vayikra concernant les sacrifices et les versets de la parachat Kedouchim où il est question de laisser une part aux pauvres : «Tu ne cueilleras pas les grains épars de la vigne…abandonne-les au pauvre et à l’étranger, car Je suis l’Eternel Ton D-ieu-Tu ne commettras point de vol!...». Quel rapport pourrait-il y avoir entre l’interdiction du vol et le fait de laisser dans les grappes de vigne une part aux pauvres? Peut être pour nous apprendre que la Mitsva de Péa, Leket et Chik’ha (le coin des champs, la gerbe oubliée..Etc qui revient aux pauvres) ne suffira pas à «Laver l’argent sale». En fait, la Thora insiste pour nous préciser que, même si on accomplit une mitsva relative aux pauvres, on reste tout à fait responsable des transactions illicites qu’on pourrait commettre ici ou là. Le fait de donner aux pauvres ou à la synagogue par exemple ne nous dédouane pas pour autant de «l’origine» de ce don. Par conséquent pour Achêm , «l’argent a de l’odeur»…Le Gaon de Vilna disait à propos d’un craignant D-ieu, qu’il ne verra fructifier son étude que s’il ne détient aucune épingle appartenant à son prochain!. Parce que disait il : «D-ieu ne fait demeurer sa Majesté-la Chekhina, que sur ses loyaux serviteurs qui se refusent à toute action malhonnête».
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s’il n’avait d’autre souci au monde que de l’obliger à faire le mal. Pourtant «si vous le voulez, vous pouvez le vaincre ». N’imaginons pas qu’il existe d’autre moyen de le vaincre que la Thora. Notre Maître Rabbi Fraji Uzan zal disait : «La mission est certes difficile car les tentations sont grandes oh combien, mais à force de volonté, nous pouvons y arriver!». Aujourd’hui, plus que jamais, à l’heure où nous traversons une période d’incertitude dans tous les domaines, les mœurs, la rue, l’économie, nous devons nous souvenir de ce verset du roi Salomon, bâtisseur du Temple de Jérusalem : « Ets Haïm hi lama’Hazikim bah, vétomkhéha Méouchar ». «La Thora est un arbre de vie pour celui qui s‘y attache et celui qui le soutient est toujours heureux ». Nous devons nous agripper à l’arbre de la Thora de vie, pour ne pas être emportés dans le courant du monde, qui vit trop souvent dans des valeurs contraires aux nôtres c’est-à-dire celle qu’Achêm nous a conseillées de choisir. Ce texte est dédié à la «Réfoua chéléma» de Rahamim Eliahou bar Yska Danielle. Yvan Lellouche
On s’imagine parfois que le « Yetser ara » le mauvais penchant ne s’intéresse qu’aux grands pécheurs écrit le Rav Eliahou Dessler zal. En fait, il met toutes ses complaisances en chaque individu, comme
Le 8 mars Journée internationale de la femme, Thème 2014 : L’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour toutes et tous
« Les pays dans lesquels les femmes sont traitées sur un pied d’égalité avec les hommes jouissent d’une meilleure croissance économique. Les entreprises qui comptent des femmes parmi leurs dirigeants affichent de meilleurs résultats. Les accords de paix qui font intervenir des femmes s’avèrent viables à plus long terme. Les parlements où siègent des femmes adoptent davantage de lois portant sur des questions sociales fondamentales comme la santé, l’éducation, la non-discrimination et les allocations familiales. Il ne fait donc pas l’ombre d’un doute que l’égalité entre les femmes et les hommes est un avantage pour tous ». Ceci fut la déclaration de M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies. Le Talmud n’a pas attendu les Nations Unies, lui aussi fait l’éloge de la femme car sans elle dit-il l’homme ne peut être un homme et sans son apport considérable à elle, il restera «sans joie» pendant toute la durée de son existence!. La Journée internationale de la
femme est l’occasion de dresser un bilan des progrès réalisés, d’appeler à des changements et de célébrer les actes de courage et de détermination accomplis par les femmes ordinaires qui ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire de leur pays et de leur communauté. Le thème de cette année, « L’égalité pour les femmes, c’est le progrès pour tous et toutes », vise à souligner combien l’égalité des sexes, l’émancipation des femmes, la pleine jouissance de leurs droits humains et l’éradication de la pauvreté sont essentiels au développement économique et social. Il met également l’accent sur le rôle primordial des femmes en tant qu’agents du développement. Les objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) arrivant à échéance en 2015, la Journée internationale de la femme est aussi l’occasion de rendre compte des défis et progrès réalisés pour les femmes et les filles, avec notamment la session annuelle de la Commission de la condition de la femme qui se tiendra du 10 au 21 mars 2014. Y.L
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Le Hezbollah est-il en train de perdre la bataille de Qalamoun ?
Nasrallah prétend ouvrir bientôt un « 3ème front » contre Israël, en représailles d’une frappe contre ses convois de missiles. Il est déjà engagé dans deux luttes : interne au Liban et d’occupation, en Syrie. On a fait grand bruit, ces derniers mois, de la fameuse offensive du Hezbollah et de l’armée syrienne sur les Monts d’Al Qalamoun. On a insisté sur le caractère stratégique de cette région contre les rebelles, libérant les accès directs entre le Liban et les villes plus au NordEst, d’Homs et d’Alep. En somme, après cette prise de position, Assad et ses supplétifs libanais et irakiens se verraient offrir une autoroute pour la reconquête de l’ensemble du pays, en assurant son approvisionnement, depuis la région alaouite de Latakieh et Damas jusqu’à la frontière de l’Irak. Mais de récentes nouvelles filtrent sur les lourdes pertes que les rebelles ont infligées au Parti de Nasrallah et à ses alliés. Au point de les voir adopter des positions de repli défensif. Evidemment, on a déjà eu ce type de messages héroïques, peu de temps avant la chute de Qusayr, en juin 2013. Quoi qu’il en soit, ces retours de terrain laissent entendre que la victoire prochaine d’Assad est loin d’être assurée, voire même, selon certains renseignements israéliens, dont Amir Rapaport, d’Israel-Defense, qu’il est, contrairement à ce qu’on entend dans la presse mondiale, en train de perdre du terrain.
DAMAS, Syrie – Des sources multiples au sein des brigades syriennes rebelles font état, par exemple, de plus de 70 morts du Hezbollah et de l’armée syrienne en une seule opération de nuit. Selon ces sources, les forces pro-régime ont été « liquidées dans leurs tentes, au cours d’une attaque-surprise qui a tourné au carnage, ne laissant aucune chance à aucun de sortir de son lit de camp et de se défendre” Ces sources rebelles ont insisté auprès de Now Lebanon, sur le fait que le Hezbollah était en train de perdre la bataille de Yabroud. La pression militaire s’accroît contre lui. Il a battu en retraite sur le front de Sahl et est incapable de réaliser des percées sur le front de Rima. Des nouvelles surviennent pour dire que le Hezbollah a perdu plus de 300 combattants et des centaines de blessés, au cours d’affrontements avec l’armée rebelle. Un combattant de l’Armée Libre Syrienne a témoigné que les unités de l’armée du régime combattant aux côtés du Hezbollah et de brigades chi »ites irakiennes, se sont récemment unifiées sous une seule égide, connue sous le nom des « Brigades ISIS d’Assad » et qu’elles combattent aussi bien sur les fronts de Quneitra (plus au sud à la frontière israélienne) que de Qalamoun. Cependant, les Druzes pro-Assad ont refusé de combattre à Qalamoun, depuis le déclenchement de la bataille, et sont retournés dans leurs régions de Jermana et du camp de Tadamoun, situé au Sud de Damas. Un activiste rebelle de Qalamoun affirme que les rebelles du front de Rima
sont passés à l’offensive, au cours des derniers jours et pris le contrôle de la colline « de l’étendard », qui est adjacente à l’autoroute Homs-Damas, depuis le côté des Fermes de Rima. Ils ont infligé des pertes s’élevant à 70 combattants libanais (Hezbollah) et irakiens du camp Assad, prenant le contrôle d’un secteur précédemment détenu par le Hezbollah, après avoir brûlé les tentes dressées par le Parti de Nasrallah. En représailles contre les dernières opérations rebelles, les hélicoptères du régime ont bombardé les voitures des personnes déplacées, le long de la route entre Yabroud et Arsal (au Liban), provoquant de Lourdes pertes civiles. « Nous sommes encore dans l’incapacité d’évacuer les corps des martyrs déplacés, du fait du bombardement de leurs véhicules », a déclaré une source de l’ASL à Fleeta. « Les hélicoptères survolent toujours la zone et nous n’avons aucun moyen anti-aérien pour nous en occuper ». Les zones résidentielles, théoriquement extérieures au front, de plusieurs villages et villes de Qalamoun sont bombardées par l’artillerie du régime et des lance-roquettes, en plus des raids aériens qui les ont constamment touchés, depuis le début de la bataille. Ces bombardements et raids prennent pour cibles les immeubles, les mosquées et les églises. Il n’y a plus que quelques centaines de familles qui demeurent à Yabroud, à la suite de la principale vague de
fuites, la plupart des réfugiés prenant la route d’Arsal, au Liban. Tous les services d’approvisionnement, dont l’eau, l’électricité et les télécommunications ont été détruits et le siège a anéanti tous les éléments de base, tels que la nourriture, l’eau, et les ressources en chauffage, dans une région aride, déjà confrontée à un hiver bien plus rude que d’accoutumée. Des sources dans la capital syrienne rapportent que Bachar al Assad a, récemment, convoqué les cercles dirigeants du Parti Baath, au niveau local et national. Au cours de cette réunion, il a insisté sur l’importance extrême de Damas en tant que capitale du pays et sur le besoin de la sécuriser, en usant de toutes les forces militaires et sécuritaires disponibles, arguant que c’est le cœur de l’Etat, dont la chute équivaudrait à une défaite finale. Selon ces sources, le régime travaille à reconcentrer ses troupes dans et autour de la capitale. Cela pourrait être un prélude à un ralentissement du front de Qalamoun, en échange d’une présence redoublée des troupes
du régime et de leurs milices alliées, vers le sud et l’ouest de Damas, anticipant sur l’augmentation de la pression, « pour reprendre l’initiative sur le front sud », situé entre Dera’a et Quneitra, plus près de la frontière du Golan israélien. Dans ce contexte, un activiste d’AlQutayfah a déclaré à Now Lebanon que le régime rappelait certaines de ses troupes positionnées dans le nord de Damas, pour ramener une “troisième brigade” dans la capital. Un convoi de 30 camions transportant des miliciens du Hezbollah, a évacué les positions occupées par le Parti de Nasrallah sur le front de Qalamoun et battu en retraite vers Abadiyeh, au Liban. Cela pourrait indiquer un repositionnement potentiel du Hezbollah en Syrie, dans le but de réduire sa participation, plus particulièrement, sur le front de Qalamoun et s’étendre sur d’autres zones, vers le sud et dans la proximité immédiate de Damas. now.mmedia.me Adaptation : Marc Brzustowski.
Gaza – L’armée de l’Air israélienne a bombardé des cibles dans l’enclave il y a 1 mort et 2 blessés
Un terroriste a été tué par un raid israélien dans le nord de la bande de Gaza qui a également fait trois blessés, selon des sources médicales dans le territoire gouverné par le Hamas. « Moussaab al-Zaanine, âgé d’une
vingtaine d’années, a été tué par un missile tiré par un avion israélien sur un groupe de personnes dans un champ à Beit Hanoun », près de la frontière avec Israël, a précisé un porte-parole des services d’urgences de Gaza, Achraf al-Qoudra.
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Le BNVCA condamne l’agression antisémite commise le 2/3/14 à 12h15 dans le RER A par 4 individus de 40 ans décrits comme d’origine nord africaine.qui, effectuant le geste de la quenelle, ont insulté et battu un homme juif qui a déposé plainte
Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme 8 Boulevard Saint Simon 93700 Drancy 06 63 88 30 29 Le Président Sammy Ghozlan 06 09 67 70 05
En 2013, 43 % des actes antisémites ont été commis en Ile-de-France
SOCIETE – Selon les statistiques du Service de protection de la communauté juive (SPCJ) rendus publics ce lundi, sur les 423 actes antisémites commis en 2013 en France, 186 l’ont été en Ile-de-France dont 77 à Paris. Mardi soir, à l’occasion du traditionnel dîner du Conseil représentatif des Institutions juives de France en présence de plusieurs membres du gouvernement, la communauté appellera à une grande manifestation pour dire stop à la «haine des Juifs». C’est Paris qui détient le triste record. En 2013, selon le rapport du Service de protection de la communauté juive (SPCJ), sur les 1 274 actes racistes recensés en France, 423 sont antisémites, soit près d’un tiers. Et la répartition géographique de ces faits a de quoi interpeller les Franciliens. Ainsi, sur les 423 actes à l’encontre des Juifs, la majorité a été commise dans les grandes villes françaises et 186 en Ile-de-France, soit 43 %. Dans la capitale, premier département touché, 77 actes ont été enregistrés, dont
24 sont des actions (agressions physiques, insultes…) et 53 des menaces. Viennent ensuite la Seine-Saint-Denis avec 27 faits, les Hauts-de-Seine 23 faits, le Val-de-Marne et le Val d’Oise avec 20 faits chacun, l’Essonne et les Yvelines avec 7 faits chacun et la Seine-et-Marne avec 5 faits. «Heil Hitler», «sale juif» Pour donner une idée de ce qu’a subi la communauté juive en 2012, le Service de protection de la communauté juive livre un certain nombre d’exemples en revenant sur des audiences ayant abouti à une condamnation. Ainsi, le 13 mai 2013, une femme a été condamnée 350 euros d’amende avec inscription de la condamnation sur son casier judiciaire. Le 5 décembre 2012, au cours d’un conseil syndical dans le 16e, elle avait fait le salut nazi et dit à une copropriétaire «Heil Hitler». Le 31 mai 2013, un homme a été condamné 300 euros d’amende et 200 euros de dommages et intérêts à verser à chacune des victimes. Le 30 septembre, à la suite d’un différend au sujet d’un emplacement de stand, l’individu
avait insulté un frère et une sœur en ces termes : «sale Juif, sale Tunisien, sale Marocain et salope, putain et sale Juive». Le rapport n’omet pas de mentionner parmi les affaires la quenelle de Dieudonné et sur son spectacle «Le Mur». Interdit à Paris et dans plusieurs villes, ledit show évoquait notamment «les juifs», «la juiverie», «kippa city», «le maître esclavagiste banquier». Manifestation et revendication Face à ce constat consternant, Roger Cukierman, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a indiqué dans les colonnes du JDD qu’à l’occasion du dîner annuel du Crif ce mardi en présence de François Hollande notamment, la communauté juive appellerait «à un grand rassemblement ‘contre l’antisémitisme et pour la fraternité républicaine’ à Paris, le 19 mars». Le mot d’ordre de la manifestation : «La haine des Juifs, cela suffit !». Métro News
Drancy le 3 Mars 2014 Le BNVCA condamne l’agression physique dont a été victime un homme de 28 ans, de confession juive ce dimanche 2 mars 2014 dans un wagon de la ligne A du RER entre Nogent Sur Marne et la Gare de Lyon, identifié comme juif par ses agresseurs en raison de son costume de religieux (loubavitch) et de la kippa qu’il portait. Selon Mr A. Levy ,ses agresseurs qu’il décrit comme 4 hommes d’origine nord-africaine, âgés d’environ 40 ans ont effectué le geste provocateur de la «quenelle» et l’ont frappé en prononçant les mots de LIHOUD LIHOUD (LE JUIF- LE JUIF) ou encore «TOI T ‘ES UN JUIF DES MECS COMME TOI ON VA LES POURRIR T’AS PAS DE PATRIE «Pendant que l’un le tenait par l’arrière, un autre l’étranglait et les autres le frappaient au corps et sur le visage . Aucun des voyageurs présents dans le train n’est intervenu. Toujours selon la victime, c’est quand l’un des passagers a dit à haute voix «la police
arrive» que les 4 auteurs antijuifs ont cessé de le frapper, et qu’il a pu sortir du train à la station Châtelet-les Halles. La victime a déposé plainte au commissariat de la Gare de Lyon et fera constater ses blessures à UMJ lundi matin. Nous demandons à la police de tout mettre en oeuvre pour identifier et interpeller les 4 auteurs antisémites. S’il apparaît que durant l’année 2013 moins d’actes violents antisémites ont été répertoriés, leur nombre reste encore important et insupportable. Le BNVCA note que les signalements d’injures et menaces antijuives exprimées sur internet, ( via les forum de discussion ou les sites négationnistes, révisionnistes),sont en augmentation et croissent déjà depuis décembre 2013 soit par des soutiens apportés à Dieudonné, doit par des clips vidéos et photos postées par des individus qui reproduisent le geste provocateur et antisémite de la «quenelle» Le BNVCA qui reste vigilant rappelle que les témoins ou victimes d’antisémitisme doivent à la fois déposer plainte, et le signaler sur notre site: SOSANTISEMITISME.ORG, et appeler le 06 63 88 30 29 où conseils et assistance leur seront immédiatement prodigués.
L’information en provenance d’Israël Edition du 5 Mars au 11 Mars 2014
Epinay sur seine, Mevasseret Tsion, un bel exemple
S’il est une période où le soutien à Israël est parfois difficile à imaginer pour certains hommes politiques, il en est d’autres qui n’ont pas dérogé à leur ligne et ce depuis leur élection. Herve CHEVREAU, Maire d’Epinay sur seine en fait partie. En effet dès son élection en 2001, il a exprimé le souhait de se rendre en Israël et de mieux appréhender la relation que sa ville pourrait avoir avec la ville de Mevasseret Tsion (Banlieue de Jérusalem) qui était en lien avec Epinay sur seine depuis quelques années. Dans ce but précis, Herve Chevreau a effectué deux voyages en Israël. Le premier, dans le cadre de l’Association des Elus amis d’Israël. Le second, en janvier 2008, pour une visite officielle dans cette ville israélienne. C’est accompagné des Rabbins de la Ville, dont le Rav Amar, guide spirituel de l’école Beth Israël implantée dans la ville d’Epinay que les premiers échanges ont eu lieu. Une invitation officielle a donc été proposée aux responsables de la ville et c’est ainsi que quatre mois plus tard, le 8 mai 2008, une convention de partenariat a été signée entre les deux villes Française et Israélienne. Première concrétisation de cette signature à l’occasion de la Fête de la Musique en 2013, une chorale de femmes de Mevasseret Tsion a donné un concert avec le conservatoire d’Epinay-sur-Seine et l’orchestre symphonique Arcana. Depuis les élections ont eu lieu en Israël et le Maire ayant changé, Herve CHEVREAU a décidé en février der-
nier de partir à la rencontre de Yoram SHIMOM nouveau Maire de la commune. Encore une fois, c’est avec beaucoup de chaleur que l’équipe municipale a reçu la délégation spinasienne composée entre autre des représentants de la communauté juive de la ville dont Meyer Haddad Président de la communauté et Mickael Layani. Au cours des échanges, il a été évoqué la question de la montée de l’antisémitisme en France ; Ce qui a permis à Herve Chevreau de mentionner le fait que dans sa commune le « bien vivre ensemble « n’était pas un vain mot mais une réelle application de sa politique mise en place afin de prouver à chacun que l’on pouvait respecter et se respecter quelle que soit les origines des uns et des autres. Ce voyage aura également fait découvrir les rouages de la politique israélienne avec une visite à la Knesset et surtout des entretiens avec les députés de différents partis dont Tzahi ANEGBI et Nachman CHAI . Une surprise fut réservée à Herve CHEVREAU avec une rencontre avec Yoni CHETBOUNE député à la Knesset en charge de l’intégration des francophones mais surtout issue d’une famille de spinassiens . Une petite partie d’Epinay représentée pour toujours en Israël …… De nombreux projets ont donc été imaginés dans différents domaines : jeunesse, culture … ce qui pour Herve CHEVREAU et Yoram SHIMON permettra dans le futur une meilleure découverte, compréhension et rapprochement entre les deux communes Un bel exemple à suivre !
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Questions à Hervé Chevreau, Maire d’Epinay-sur-Seine et Conseiller général de la Seine-Saint-Denis 1 – Le groupe scolaire Beth Israël a-t-il contribué d’un certain dynamisme de la ville d’Epinay ? Implanté depuis 30 ans à Epinay-surSeine, le groupe scolaire Beth Israël s’est inscrit dans le paysage éducatif et culturel de la ville. Son enseignement de qualité, son sérieux et son bon fonctionnement en font une école appréciée des familles spinassiennes. Elle contribue au dynamisme de la ville car elle est partenaire d’événements qui mobilisent de nombreux habitants. Pour la première fois en 2007, ses élèves ont participé aux activités organisées en fin d’année sur la patinoire installée en centre-ville. Bien sûr, l’école est associée aux différentes commémorations liées au judaïsme, notamment l’inauguration de l’Allée des Justes, le 29 avril
2007, qui a permis de mettre en place un projet éducatif. Il en est de même chaque année, lors de la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la Déportation : un travail pédagogique est mené pendant plusieurs mois avec l’école et parfois même avec les parents d’élèves, pour organiser la cérémonie. Ce travail débouche sur des lectures de textes, des chants et la présence de l’école, le jour de cette commémoration. 2 – Dans quelle mesure la Ville at-elle toujours été aux côtés des écoles du groupe dirigées par le rav Elbaz ? Jusqu’à maintenant, avec la création d’une nouvelle école ? La Ville soutient les élèves et les familles de l’école Beth Israël, comme elle le fait avec tous les éta-
blissements. A la rentrée scolaire, des trousses garnies sont distribuées aux enfants, ce qui permet d’alléger le budget des familles. De même, des salles municipales sont attribuées pour les spectacles de l’école. En outre, quand j’ai découvert que les élèves de maternelle et de primaire sont accueillis dans des pré-fabriqués, j’ai contribué à accélérer les décisions pour qu’une solution digne et pérenne soit trouvée. C’est désormais le cas : le 25 novembre dernier, a été posée la première pierre des nouveaux bâtiments. Ce chantier s’inscrit dans la dynamique de rénovation urbaine que connaissent tous les quartiers d’Epinay-sur-Seine. Je me réjouis que le groupe scolaire Beth Israël contribue à cette mutation de la commune.
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Un Français torturé et emprisonné pendant 21 mois au Maroc, trompé par la France, déballe tout
teurs… je serai aujourd’hui mort ! Oui, les quelques articles qui ont fait cas de ma cause m’ont aidé en alertant quelques politiques de haut rang comme le Sénateur eric Doliger et la Vice présidente du sénat, Mme Gariaud Meylam, à qui je dois, au bout de la chaine de solidarité, ma vie et mon exfiltration, il y a maintenant deux mois.
Dans les prisons marocaines, vous avez échappé à la mort, vous avez été torturé et humilié, et vous avez plusieurs fois tenté de mettre fin à vos jours. Vous avez été abandonné par la France qui vous a donné une fin de non recevoir alors que vous étiez innocent, emprisonné illégalement, et que les autorités françaises étaient parfaitement informées de votre cas. Vous devez être très amer aujourd’hui. Comment tout cela at-il commencé ? Tout a débuté par une simple acquisition d’un terrain que trois escrocs, amis dans la vie, un faux vendeur Jaouad Sakib, un vrai avocat véreux Mohamed Nakhly et un vrai notaire voyou Brahim Ousaid, ont voulu me vendre. Mais le terrain en question appartenait à l’état et ne pouvait ni être vendu ni louer. Les trois sont d’ailleurs maintenant inculpés d’escroquerie et risquent des peines de plus de 20 ans de réclusions. Ces faits et mon innocence ont été reconnus rapidement par les autorités française et marocaines, mais cela a joué contre moi car je devenais un témoin gênant, crédible, une contre publicité à l’image du Maroc. Car le Maroc n’est qu’une façade, conforme à l’image des visites royales où tout est repeint 5 jours avant… où du matériel sophistiqué est loué pour l’occasion, et des ouvriers payés pour se mettre au bord des routes avec des petits drapeaux… tout est une vaste fumisterie. Les accords internationaux signés s’empilent sans qu’aucun ne soient respectés, ce qui permet de leur allouer des subsides. En échange, le Maroc fait la balance du Magreb pour les problèmes de terrorisme, et ils gardent une partie des immigrés sub-sahariens. Pour ce rôle, la France ferme les yeux, mais tout le monde sait. 50m2 pour 85 prisonniers et des conditions d’hygienne déplorables Donc j’ai été jeté dans une prison sordide, dans une cellule affreuse – 50 m2 pour 85 prisonniers – dans des conditions d’hygiène des plus déplorables. Je dormais à même le sol dans les souillures, sous un des rares lits, avec un espace de 5 cm au dessus de mon visage par 45° jour et nuit – sans air. Une alimentation tellement pauvre que j’ai perdu 16 kilos durant les quatre premiers mois, j’avais la peau en sang à cause des puces, des poux, des cafard. Sans parler des rats… Le directeur de la prison m’a confié qu’entre juillet et août, il déplorait plus de 10 morts en moyenne uniquement à cause de la chaleur. J’ai vu des gens mourir par manque de soin, même dans ma cellule, un jeune de 25 ans, de la tuberculose.
J’ai vu un Français prisonnier égorgé – pas mortellement – par un islamiste car un film était sorti au USA. Son prénom est Olivier. La France et le Maroc ont négocié son silence en échange de deux mois de grâce, la honte. Pour me faire entendre, j’ai du monter sur un toit me faire braquer avec des armes, m’immoler dans un bureau en présence du Consul général de France, qui en a été malade et a vomi pendant 2 jours … des actes et des actes pendant deux ans. Une grâce royale a été demandée par la République française en ma faveur, mais a été balayée et n’a pas été transmise par l’administration marocaine. J’ai été le seul à crier « Le Maroc a pissé sur la France ! » Un jour j’ai dit à l’Élysée « si vous ne pouvez me libérer, redonnez moi au moins la fierté d’être français ».
Le 21 octobre, nous publiions un article pour alerter les Français sur votre sort, et annoncions que vous étiez au bout du rouleau, que vous aviez décidé de vous suicider. Le 3 décembre, vous étiez libéré alors qu’il vous avait été dit que « vous ne sortiriez jamais du Maroc ». Pensez-vous que les pouvoirs publics, une fois notre article publié, ont craint un scandale d’Etat s’il vous arrivait quelque chose ? A quoi attribuez-vous votre libération ? Rectification.. on m’a dit et on l’a répété à d’autres prisonniers que je ne sortirai jamais du Maroc, que j’étais foutu, car ils savaient que je ne me tairai pas. En prison, fort de mon innocence et de mon honneur, celui d’être citoyen de la 5e puissance mondiale, j’ai mis ma vie en péril. Je n’ai jamais plié à la torture, ni au chantage, ni aux menaces de mort. Dans une prison ou juste monter le ton vous occasionne d’être battu, j’ai secrètement écrit, téléphoné, ce qui m’a valu la menace d’un transfert en quartier de haute sécurité. Un gardien m’a même été attribue 24 h sur 24. Je ne pouvais pas faire un pas, pas un déplacement sans lui à moins de 20 cm de moi. Surveillance maximum. J’étais fouillé plusieurs fois par jour, mes affaires démontées, fouillées, souillées. J’étais le seul dans tous le Maroc sous ce régime. Même les prisonniers européens me boycottaient – sauf cas rares de quelques courageux – car juste me saluer pouvait leurs causer des problèmes. Sans vos articles, sans mon comité de défense, sans ces deux séna-
Sans vos articles, sans mon comité de défense, sans ces deux sénateurs… je serai aujourd’hui mort ! Vous dites que la France entretient une escroquerie d’Etat au sujet du Maroc, que les rapports sur les droits de l’homme, sur la torture, sont faux, qu’en est-il exactement, quel témoignage voulez-vous apporter ? De faux rapports, de faux bilans sont rendus public sur les réalités du Maroc pour justifier les millions d’euros versés à ce pays pour des raisons géopolitiques… mais qui contribuent à laisser ce pays faire toutes les exactions dont toute la population souffre, et pour quelques nantis corrompus qui dilapident les ressources du pays. Chaque état qui verse … est complice. Les faux sont partout. Tout comme la nomination récente d’une marocaine, présidente de l’INDH Maroc (Initiative Nationale pour le Développement Humain) au poste de secrétaire générale de l’INDH à Paris… En 20 ans, l’INDH n’a pas réussi la moindre avancée dans son propre pays. Ces mensonges d’états tuent. Il faut arrêter cela, parler vrai pour résoudre ces problèmes. Vous avez décidé de vous battre pour que la vérité éclate, comment pensezvous briser la raison d’État, et quel est votre objectif ? Par le droit international. Avec mon avocat, nous préparons un dépôt de plainte contre Mrs Hollande et Fabius, car eux étaient en charge de mon dossier, j’en ai toutes les preuves. Même lors de la visite officielle de Hollande au Maroc, mon cas était en deuxième position dans sa liste de problèmes à aborder… mais tous… tous ces représentants de la 5 ème puissance mondiale se sont couchés. L’un par manque de charisme, par lâcheté, et l’autre a peut être des choses à négocier au sujet de son fils. Si j’avais été coupable, j’aurais été libre depuis longtemps J’étais le seul prisonnier français à avoir une cellule de crise à l’Elysée dirigée par Mr Bénard, chef de cabinet du Président, et Mr Emmanuel Bonne, conseiller à la présidence de la République pour les question africaines. Il y a une cellule de protection des personnes au Quai d’Orsay. Ils ont mis plus de 18 mois pour négocier la libération. Il va falloir me donner des explications. Certains d’entre eux mon dit que si j’avais été coupable, j’aurais été libre depuis longtemps. Avant de m’exfiltrer la nuit en avion, j’ai eu un entretien secret avec des autorités … certaines choses me sont restées en
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Désignation plutôt qu’élection d’un Grand rabbin de France Quelques personnes s’agitent aujourd’hui et réclament qu’il soit procédé à l’élection d’un grand rabbin de France, comme si cela revêtait une importance vitale pour le judaisme français .
là ,répétons le l’essentiel de sa fonction.
Est il besoin de faire remarquer que ce sont les mêmes qui ,mauvais conseilleurs, de l’ancien Grand Rabbin de France, l’ont amené à devoir demander sa mise en congé.
S’il n’y avait qu’un seul avantage financier pour la désignation d’un GRF plutôt qu’une élection cela suffirait à nous convaincre .
Que penser des rabbins signataires de cette pétition qui auraient du observer un devoir moral ,respecter le devoir de réserve , et ne pas rejoindre le clan des polémistes mal intentionnés. Pourquoi cette agitation soudaine, pourquoi exiger un telle élection en invoquant les statuts devenus dépassés sinon obsolètes. Les fonctions dévolues au Grand rabbin de France ,essentiellement représentatives sont actuellement confiées à deux éminentes personnalités le grand Rabbin Gugenheim et le Grand Rabbin Olivier Kaufmann et tout se passe très bien. En analysant le rôle et la fonction d’un GRF on est en droit de s’interroger sur l’utilité d’une telle élection . Si un tel scrutin avait lieu,il mettrait en lumière de toute façon l’un des grands rabbins en fonction actuellement . Chacun et tous ont des qualités des compétences réelles . Chacun d’entre eux peut très honorablement représenter le judaisme français . C’est pourquoi ,pour ma part, je militerais pour la désignation de l’un de ces grands rabbins, plutôt qu’à une élection. Ce grand rabbin exercerait les missions dévolues au GRF , conformément au cahier des charges,comme la représentation morale et religieuse tant auprès des autorités que des autres communautés .C’est d’ailleurs travers. Vous avez tout perdu financièrement, au Maroc. Vous y avez laissé deux ans de votre vie, vous avez inévitablement des séquelles psychologiques, allez-vous demander à la France des réparations ? Même des séquelles physiques. Car j’ai été complètement massacré à plusieurs reprises. Les seuls choses qui me restent sont la dignité, mon honneur, et comme le dis une chanson, ma liberté de penser. Mais je suis toujours menacé de mort. Irai-je jusqu’à ma liberté de parler ? Oui, le Maroc et la France me doivent de lourdes réparations. A chaque minute ils pouvaient mettre un terme à mon cauchemar. Ils ne l’on pas fait – en toutes connaissances de cause. Comment voyez-vous votre futur, quels sont vos projets ? Parler. Parler devant les juridictions concernées. Faire taire ces mensonges d’Etat qui me rendent encore malade à leur lecture. Déposer plainte contre Hollande et Fabius.
Il n’y a aucune raison pour que ces missions occasionnent des frais exorbitants .
En effet quand on sait le coût que représente ce poste, on reste effaré et on se demande si dans cette période de crise , l’institution et ses contribuables juifs peuvent faire face à une telle dépense , indécente. Le montant mensuel total du salaire et des services du’ GRF s’élèvent à plus de 25.000 euros. Je dis bien 25000 euros par mois.(34.000 euros par mois ,si on rajoute son staff). Combien de synagogues sont fermées parce qu’elles n’ont pas la possibilité de financer le salaire d’un rabbin, les finitions de leur toit, les travaux d’entretien Combien de communautés ne peuvent réaliser les petits travaux de rénovation qui pourtant n’atteignent pas ce niveau , et quand on sait que des familles n’ont pas de quoi se nourrir. Un grand rabbin de France, oui, peut être, mais dans la mesure où les conditions sont changées Et pourquoi ne pas désigner un grand rabbin de l’un des départements du concordat, fonctionnaire de l’Etat et rétribué par lui. La désignation d’un grand rabbin de France ne doit pas être le prétexte pour attaquer le président du Consistoire et les administrateurs qui sont eux tous bénévoles et se consacrent avec abnégation aux intérêts de l’institution pour la communauté juive de France Sammy GHOZLAN Déposer plainte contre Ramid, ministre de la justice marocaine, Abdennabaoui, directeur des affaires pénales et des grâces, pour complicité de tortures. Déposer plainte contre Mendès, rapporteur à l’ONU pour escroquerie et prise illégale d’intérêts. Déposer plainte contre des ministres, des députés français pour non dénonciation de crime et non assistance à personnes en danger. Déposer plainte contre certain sénateurs qui continuent à cacher la vérité, à mentir aux médias. Tous devront répondre de leurs actes ou de leurs négligences … ou simplement pour avoir fermé les yeux. Et je m’adresse à ceux qui écrivent de fausses déclarations sur le Maroc … vous me trouverez en face de vous, et vous aurez à en répondre. Merci Alain Combe, et encore une fois profondément heureux si nous avons pu contribuer à votre libération. Merci à vous pour votre honnêteté et votre courage. © Jean-Patrick Grumberg
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La compagnie d’électricité met en garde l’AP de payer ses dettes ou d’être coupée
La compagnie d’électricité d’Israël (CEI) a publié dimanche un dernier avertissement à l’autorité palestinienne de payer, ou d’être coupée. La CEI a donné à l’AP trois jours pour payer ses dettes qui se montent à 1,4 milliards de shekels (environ 300 millions d’euros). Si elle ne perçoit pas l’argent, la compagnie israélienne coupera l’électricité à l’AP. L’autorité palestinienne est dans cette situation parce qu’elle omet habituellement de payer sa facture d’électricité, malgré le fait qu’elle reçoit de l’argent spécifiquement à cet effet de divers bailleurs de fonds internationaux. L’AP achète son électricité à la CEI via la ‘compagnie d’énergie de Jérusalem Est, qui la distribue aux villes et villages arabes dans les territoires occupés par l’AP en Judée et Samarie. Il faut également noter que l’AP paie un tarif réduit par rapport à l’israélien lambda.
Nous ne gèlerons pas la construction en Judée Samarie
Les deux parties ont négocié la dette pendant un certain temps, mais l’AP a toujours esquivé ses engagements
à payer. Dans sa dernière manœuvre, l’autorité palestinienne a exigé que la CEI efface une partie importante de sa dette. La CEI a rejeté ces conditions, disant à l’AP que le mieux qu’elle puisse faire est de mettre en place un calendrier de paiement pour la moitié de la dette, mais que l’autre moitié devait être versée d’ici jeudi. En Israël, si un habitant ne parvient pas à payer sa note d’électricité, il est généralement coupé du réseau une semaine après échéance de la dette. Les analystes estiment que la principale raison de la position ferme enfin retrouvée de la CEI est due a ses comptables internes et les membres du conseil d’administration demandant que la dette soit fermée, ou radiée, dans ce cas, les efforts du gouvernement pour briser la CEI auraient reçu une impulsion majeure. Les syndicats ont violement rejeté cette possibilité, et ont menacé d’actions si le projet de privatisation de l’entreprise, en vendant des actions sur les marchés publics, entrait en vigueur.
Popularité des ministres israéliens: flop pour Lapid, Yaalon au top
Une enquête réalisée pour le « Meet the Press » révèle la popularité des ministres du troisième gouvernement Netanyahu, celui qui a prêté serment il y a un an. Le premier ministre Benyamin Netanyahou a promis durant le weekend aux députés Likoud qu’il ne capitulerait pas face à la pression des Etats-Unis en acceptant un gel de la construction en Judée Samarie. Ces remarques viennent juste avant son départ pour Washington. « Il n’y aura pas de décision de geler la construction en Judée et Samarie, » a déclaré Netanyahou à des responsables du Likoud samedi soir. Netanyahou est sous une immense pression de la part des députés nationalistes de rejeter un gel de la construction, y compris par le ministre du logement Uri Ariel, qui a appelé un gel une « idée illusoire » le mois dernier. Ariel a noté que les précédents gels de
la construction ont aggravé les tensions entre Israël et l’autorité palestinienne. L’avertissement de Netanyahou vient quelques heures avant son départ dimanche matin pour Washington où il doit rencontrer le président américain Barack Obama, qui, selon le New York Times, devrait faire pression sur le dirigeant israéliens pour accepter l’accord-cadre proposé par les EtatsUnis. Le journal Israël Hayom a rapporté dimanche matin que la femme de Netanyahou se rendra également à Washington pour rencontrer l’épouse du vice-président américain Joe Biden. Peu a filtré des détails de la proposition cadre de Kerry pour guider les négociations. Thomas Friedman, du New York Times, a publié quelques détails
présumés de ce plan, qui, dit-il, fera appel à un retrait israélien progressif de la Judée et de la Samarie sur les bases des lignes d’armistice de 1948, avec des arrangements sécuritaires « sans précédent » dans la vallée stratégique du Jourdain. Martin Indyk, émissaire américain pour les pourparlers de paix, a révélé plus tard aux dirigeants juifs américains que 75 à 80% des habitants juifs de Judée et de Samarie pourraient rester chez eux, même après un accord permanent. L’accord comprendra une référence à l’incitation de l’autorité palestinienne contre Israël et comprendra également une référence à l’indemnisation des réfugiés juifs expulsés des pays arabes.
Pour les citoyens de l’Etat Juif, le ministre le plus populaire est celui de la Défense, Moshe Yaalon avec 58.9% de satisfaction. Il est talonné par le ministre de l’éducation, le rabbin Shaï Piron avec 57.2%. Troisième, Gilad Arden (ministre des communications), obtient 52.7% de satisfaction. Gideon Saar, le ministre de l’Intérieur, est 4ème avec 52% de satisfaction et Israël Katz (aux transports) ferme le top-5 avec 51.7%. Dernier ministre au-dessus de 50%, Tzipi Livni: elle est 6ème et bénéficie de 50.2% de satisfaction. Yair Lapid (ministre des Finances) est le dernier du classement (23ème) – avec tout de même 41.9% de satisfac-
tion. Le Président du Foyer Juif et Ministre de l’économie, Naftali Bennett, est 9ème avec 47.2%. Lieberman (affaires étrangères) est devant lui avec 48.8% – ex-aequo avec le ministre du tourisme Uzi Landau. Parmi les autres ministres: Silvan Shalom (eaux) obtient un score de 46.6%. Sore équivalent pour les ministres de l’agriculture et de la santé, (respectivement Yair Shamir et Yael German). Tout en bas, à côté de Lapid, on retrouve Meir Cohen (affaires sociales), Yaakov Peri (sciences), Limor Livnat (sport et culture) Amir Peretz (environnement), Yitzhak Aharonovitz (sécurité intérieure), Youval Steinitz (renseignement), Sofa Landver (insertion des nouveaux immigrants) et Uri Ariel (logement). Par Lola Perez
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Le F35 : L’Industrie Israélienne Participe à l’Electro-Optique et au Cockpit Digital.
Israël souhaite être équipé rapidement des avions de combat de 6ème génération F35 en remplacement des F16.
et à la forme de la structure, assez semblable à celle du F-22 Raptor.
En faveur des accords commerciaux avec les Etats-Unis, Israël devrait se porter acquéreur d’une flotte de plus de 19 chasseurs F35 Lightning II, alias Joint Strike Fighter (JSF), pour la somme de 100 millions de $ l’unité. Le F35 a pour principale caractéristique de pouvoir décoller à la verticale (pour sa version STOVL), ce qui peut être utile en cas de bombardement des pistes de décollage. Cette technologie est héritée des avions Harrier développés par les Américains McDonnell Douglas et les Britanniques British Aerospace dans les années 1970. Egalement, sa signature radar a été réduite grâce aux angles
Cet avion multi-rôles développé par le constructeur Lockheed Martin, en partenariat avec Northrop Grumman et BAE Systems, doit entrer en service à l’horizon 2010/2011. Une dizaine de pays participent à son financement et à sa réalisation et 2500 exemplaires devraient sortir des usines dans les 15 prochaines années. L’industrie israélienne participe activement à ce programme de développement, notamment dans le cadre de l’électro-optique et des instruments du cockpit digital.
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Yair Cohen (Savyon)
Einstein, le sioniste doux Toncelli), éditions Belin, 2008.)), ni François De Closets (auteur, notamment, de Ne dites pas à Dieu ce qu’il doit faire, Seuil, 2004.). Au contraire des grandes biographies récentes ou passées, son travail n’entre ni dans les pièges de l’austérité, ni dans ceux de la starisation. Il ouvre indéniablement de nouvelles voies et de nouvelles pistes qui mériteront d’être creusées ultérieurement.
L’engagement dans la réinvention de la communauté juive du physicien qui a décliné la présidence du nouvel État d’Israël. Albert Einstein n’est pas seulement le scientifique le plus célèbre du siècle passé. Il fut également, autant par tempérament que par la force des choses, un homme d’engagements et un visionnaire. C’est tout le mérite du livre de Simon Veille que de rappeler aux mémoires trop oublieuses que le parcours d’Albert Einstein, génial physicien, fut aussi celui d’un sioniste ambigu, à la fois viscéralement attaché au judaïsme et à sa préservation et intransigeant devant l’évolution morale et politique du projet de l’Etat hébreu. À travers un récit à la fois vivant et alerte qui ne sacrifie en rien la rigueur de l’exploitation scientifique des
données à sa disposition et qui n’est pas sans évoquer le rythme propre aux auteurs anglo-saxons, M. Veille parcourt une documentation précise qu’il a pu accumuler aux meilleures sources, celles de l’Université hébraïque de Jérusalem en particulier. Marilyn Monroe de la physique théorique Ce matériau pour partie inédit renouvelle de manière indéniable l’historiographie française sur Einstein, trop souvent prisonnière de l’histoire scientifique pure ou d’une approche grand public à vocation sensationnaliste qui réduit le grand Albert au rôle d’une sorte de Marilyn Monroe de la physique théorique. M. Veille n’est ni Françoise Balibar (auteure, notamment, de Einstein 1905. De l’éther aux quanta, PUF, 1992, et de Einstein, Newton, Poincaré – Une histoire de principes (avec Raffaella
Le biographe a en effet su franchir le voile de la forclusion du nom juif Einstein, silence partiel qui semblait vouloir préserver l’idée d’un génie universel et intemporel devenu icône déliée de toute inscription dans un environnement historique et culturel concret. La question israélienne étant au centre de maintes polémiques, on a souvent voulu en écarter Einstein, ou au contraire se servir de lui comme étendard. Einstein politique C’est oublier que cet engagement ne fut ni secondaire dans sa vie, ni monolithique dans son orientation, et l’étude précise et scrupuleuse qui nous est livrée ici montre qu’Einstein ferait en effet beaucoup de mécontents parmi les tenants de toutes les orthodoxies et de tous les conformismes. À la lecture de cet ouvrage, on ne peut ainsi s’empêcher, par moments, de se projeter dans un monde parallèle où Einstein aurait accepté la présidence qui lui était proposée à cette époque, épisode très connu et très sous-estimé, et se demander de quelle manière sa présence aurait changé le récit de la
fondation de l’Etat juif. Sans nul doute, la figure d’Einstein à elle seule aurait pu renforcer encore la légitimité du vote de l’ONU en symbolisant en un seul homme le juif moderne et le juif éternel, celui qui depuis les lumières contribue à la construction et à l’achèvement du monde par la connaissance et l’étude profane et celui dont l’imagination métaphysique contribue à ancrer le juif historique dans sa vocation traditionnelle d’inventeur de nouvelles formes de sacré. Aussi séduisante que soit l’uchronie, elle n’éclipse pas le propos du livre ancré dans une réalité juive américaine et mondiale en pleine mutation dont Einstein traversa les remous. La shoah et la création de l’Etat d’Israël ont considérablement bouleversé les schèmes mentaux d’une communauté juive qui a été dans l’obligation de se réinventer autour de nouveaux débats et de nouveaux clivages. On rencontrera ainsi la figure très éclairante du rabbin new-yorkais Wise qui entretint avec Einstein une longue correspondance et fut un ardent réformateur du judaïsme représentant une branche ultra-libérale dont une synagogue new-yorkaise porte le nom. Sioniste moderne et critique La figure d’Einstein est également très révélatrice des déchirements identitaires des juifs diasporiques conscients des difficultés de l’Etat d’Israël, de l’indignité des conflits au Proche-Orient et de l’impérieuse nécessité de donner au peuple juif un sanctuaire de repli.
Einstein fut donc aussi cet homme qui symbolise mieux qu’un autre cette caractéristique de la géopolitique du peuple juif dans le monde contemporain, celle du «double sanctuaire», la diaspora représentant le «backyard» d’Israël de même qu’Israël représente le sanctuaire des juifs persécutés en diaspora. Un des grands apports de ce livre est ainsi de nous restituer l’unité d’un Einstein dont le socle fut cette aptitude à penser contre les évidences acceptées par tous et contre le mimétisme social et tous les conformismes de pensée. Einstein sut aussi se montrer intraitable devant les errements de la politique israélienne et rappeler, comme de nombreux intellectuels avec lui dont Martin Buber et Gerschom Scholem, que la survie d’Israël repose également dans son aptitude à traiter équitablement la question arabe en son sein et à l’extérieur. Le livre de M. Veille représente ainsi une étape importante de la prise de conscience de la nécessité de dresser une histoire globale de l’intelligentsia juive au XXe siècle, d’établir des rapports, des filiations, des positionnements. On conseillera donc à l’auteur de se lancer dans ce grand projet dont il prouve par cet ouvrage qu’il a toutes les aptitudes à le réaliser. Frédéric Ménager-Aranyi – © Slate. fr
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Suite à l’Ukraine, Obama y a été doucement avec Netanyahou
La crise en Ukraine a tout changé. Suite à des commentaires inhabituellement difficiles du président américain Barack Obama faits dans une interview avec Jeffrey Goldberg la semaine dernière, et publiés dimanche, le premier ministre Benyamin Netanyahou s’attendait à recevoir une critique cinglante lundi dans le bureau ovale. Mais le ton d’Obama a été étonnamment doux. Les déclarations d’Obama faites juste avant sa rencontre avec Netanyahou semblaient très différents du contenu de l’interview, dans laquelle il reprochait au premier ministre israélien « la construction agressive continue dans les implantations », mettant en garde que les Etats-Unis pourraient ne plus être en mesure de protéger Israël dans l’arène internationale, et prédisant que « la fenêtre se ferme pour un accord de paix ». Obama n’a pas changé radicalement sa position d’un jour à l’autre, pas plus sur l’Iran que sur le processus de paix. Certaines « décisions difficiles vont devoir être prises » a-t-il dit à Netanyahou lundi à la Maison Blanche, et des compromis difficiles devront être faits pour parvenir à un accord avec l’autorité palestinienne. Alors que ses vues sont restées les mêmes, la différence de ton était drastique. Et ce malgré l’annonce par le gouvernement israélien que la construction juive en Judée Samarie a augmenté de 123% en 2013 par rapport à l’année précédente, ce qui aurait pu éventuellement donner à Obama plus de munitions pour attaquer le premier ministre. Selon Goldberg, Obama était prêt à dire à Netanyahou que si il n’approuvait pas le plan de paix américain, Israël « pourrait faire face à un avenir sombre, celui de l’isolement internationale et un désastre démographique. » Et pourtant, au moins lors des déclarations publiques des deux dirigeants faites avant leur réunion de trois heures, on n’a pas eu l’impression que le président était sur le point de réprimander Netanyahou avec un sermon sur les implantations. Obama n’a pas prononcé une seule fois le mot « implantation » lundi lors de ses déclarations publiques.
De toute évidence, il y a une raison à ce brusque changement de ton. L’interview d’Obama avec Goldberg a eu lieu jeudi dernier, avant que la crise russoukrainienne n’escalade. Lundi, Obama a compris que le président russe Vladimir Poutine était sérieux au sujet de ses ambitions concernant la Crimée, et qu’une éventuelle confrontation militaire près de la mer Noire pourrait devenir le moment déterminant de sa présidence. Le public américain n’est pas vraiment inquiet que l’Iran soit au seuil d’obtenir l’arme nucléaire, et le fait que Bachar al-Assad continue de tuer en Syrie ne l’empêche pas de dormir la nuit. Alors qu’aux yeux des israéliens et des états arabes sunnites de la région, Obama est un leader faible que ne respecte même pas les lignes rouges qu’il a lui-même mises en place, le citoyen américain moyen a d’autres soucis. Mais la crise de Crimée, un retour à la guerre froide, est tout autre chose. Le défi lancé par Poutine à l’Occident, et en particulier aux Etats-Unis, qui ont promis qu’il « y aura un prix énorme a payer » pour la violation de la souveraineté de l’Ukraine, est un plus important casse-tête pour Obama que l’ensemble du Moyen Orient. Et la dernière chose que le président a besoin maintenant est une prise de bec publique avec Netanyahou, qui bénéficie d’un soutien quasi unanime au Congrès. Et Obama pourrait avoir besoin du Congrès si il décide d’agir de manière décisive contre l’appétit territorial de Moscou en Europe de l’Est. Est-ce que cela veut dire que l’administration américaine va diminuer la pression sur Israël dans les semaines et les mois à venir ? Certainement pas. Alors que Washington se prépare à ce qu’Israël et l’AP signent un accordcadre qui permettrait aux parties de poursuivre les négociations en vue d’un accord de paix final, Obama et Kerry seraient incapables d’obtenir que Netanyahou fasse preuve d’encore plus de souplesse, face à Abbas qui n’en a pas du tout, et de faire encore plus de concessions. Tant que le spectre de la guerre se profile en Europe, et que les ukrainiens et les européens se tournent vers le « leader du monde libre » pour contrer les provocations russes, Obama sera prudent de ne pas ouvrir d’autres fronts inutiles.
L’information en provenance d’Israël Edition du 26 Novembre au 3 Décembre 2013
La page d’Eliora Les horaires de Shabath
Parasha Peqoudei 28 Adar rishon 5774 Vendredi 28 Fevrier 2014
PARIS: •Entrée: 18:13 •Sortie : 19:21
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Le Film de la semaine: Fiston
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«La vie c’est comme une boite de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber». (Tom Hanks)
Sudoku
zDepuis qu’il a 7 ans, Alex n’a qu’une obsession : séduire Sandra Valenti, la plus jolie fille d’Aix en Provence et, à ses yeux, la plus jolie fille du monde. Aujourd’hui, il lui faut un plan infaillible pour pouvoir enfin l’aborder. Il décide de s'adjoindre les services d'Antoine Chamoine qui presque 20 ans auparavant, a séduit Monica, la mère de Sandra.
Tajine de poulet aux olives et citron !! Preparation:10 min Cuisson:30 min Pour 4 personnes : 1 poulet coupé en 4 2 oignons moyens ail persil haché ou coriandre fraîche curcuma poivre 1 poivron rouge 8 petits citrons Beldi 4 poignées d’olives dénoyautées (cassées au citron ou violettes)
Blagues Quelle est la différence entre un accident et une catastrophe? Si ta belle-mère est en train de se noyer : c'est un accident. Si tu la sauve : c'est une catastrophe.
Que dit un citron qui fait un hold up ? PAS UN ZESTE, je suis pressé...
Toto rentre à la maison après sa première journée à l’école primaire.
Une dame descend de sa voiture en colère :
La maman:
- Vous êtes en tort car je viens de la droite et j’ai la priorité.
- Alors Toto, tu as appris beaucoup de choses aujourd’hui? Toto : - Pas assez en tout cas, ils veulent que j’y retourne demain.
- Peut être, répond l’autre automobiliste, mais vous êtes dans mon garage !
Couper le poulet en morceaux.
du riz jaune.
Dans une marmite, faire revenir pendant 10 mn les morceaux de poulet dans l’huile d’olive avec les oignons émincés, l’ail, le poivre, le curcuma, le persil haché (ou la coriandre), le poivron coupé en lamelles.
conseil mangercacher
Lorsque le poulet est bien saisi, rajouter les olives (préalablement rincées à l’eau chaude) et les citrons Beldi coupés en 2. Couvrir d’eau et laisser mijoter à feu doux pendant 30 mn environ. Servir avec des pommes de terre vapeur ou
-Presser le jus d’un demi citron sur le poulet avant de le saisir.