Israël Actualités n°300

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GRATUIT - Numéro 300 - Edition du 30 Avril au 6 Mai 2014

Journal israélien en langue française



L’information en provenance d’Israël Edition du 30 Avril au 6 Mai 2014

Caron : sombre anitsioniste !

Les fêtes de pessah viennent de se finir et nous retournons dans le quotidien des agressions envers notre communauté. L’une de nos figures emblématiques, Alexandre Arcady, qui vient de sortir le film « 24 jours » sur le lâche assassinat d’Ilan Halimi par le gang des barbares et qui a été outrageusement attaqué par le provocateur antisémite, représentant de la désinformation et chroniqueur vedette de l’émission de Laurent Ruquier, Aymeric Caron ; journaliste de bas étage qui n’est là que pour faire monter la pression sur des dossiers qu’il ne connait pas et faire en sorte de les connaitre comme un petit écolier qui a appris ses leçons chez les ennemis de la communauté juive et des pro-Palestiniens avec des notes qu’il aurait récupéré chez ses amis et attendre sa proie ... sans que ces notes puissent être vérifiées. Nous savions qu’Aymeric Caron avait des préjugés dès lors qu’une personne de la communauté ou ami d’Israël se présentait dans l’émission. Tout de suite, celui-ci, avec ces airs de premier de la classe, tirait à quatre épingles, cherchait tout pour faire de l’audimat avec son air arrogant en faisant de la provocation sur des sujets brûlants tels que le conflit israélo-palestinien et les personnalités passées dans l’émission. En on eut pour leur frais : Amanda Sthers, l’ex femme de Patrick Bruel, Véronique Genest, amie sincère de la communauté juive et d’Israël, le philosophe Alain Finkielkraut, et bien d’autres ... et le comble, Alexandre Arcady, outrageusement attaqué par ce leader antisioniste qui serait à même et certainement fier d’être l’ami de certains comme M’BALA M’BALA (Dieudonné), Alain Soral ou bien pourquoi pas le Gang des Barbares ? Mais les responsables de France 2 ont trouvé

que les attaques étaient inappropriées et on remit en place le saltimbanque qu’on a plus entendu jusqu’à la fin de l’interview d’Alexandre Arcady. Une chose est sûre, Alexandre Arcady a été digne et n’a pas dérogé de son fil directeur, à savoir la montée de l’antisémitisme et son mécanisme ... Nous pouvons être fier et avoir du respect sur la façon dont a été gérée la crise et nous pouvons remercier Laurent Ruquier d’avoir remis en place ce virulent antisioniste et antisémite notoire qui a révélé au grand jour le ressentiment couvert d’antisionisme notoire enfouis dans ses entrailles et n’a pu le cacher bien longtemps ... Aujourd’hui, Mr Caron, vous avez été démasqué par l’ensemble de la population et vous ne pourrez plus vous cacher derrière votre tête de starlette à deux euros ... Les mouvements pro-Palestiniens et les islamistes n’en demandaient pas tant pour mettre de l’eau à leur moulin. Vont-ils vous faire des propositions pour les représenter prochainement ? Oui, Alexandre Arcady a toujours été de tous les combats contre l’antisémitisme et le boycott contre Israël et nous sommes fiers d’annoncer qu’Alexandre Arcady a répondu présent en étant l’un des parrains pour le Gala organisé par Sammy Ghozlan pour le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) qui aura lieu le Mardi 17 Juin 2014. Encore un fois, merci Alexandre Arcady d’avoir toujours répondu présent lorsque la communauté juive et Israël ont besoin de vous. Alain SAYADA

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Ne pas oublier

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un enfant, un homme, une femme, quelque soit son origine, sa race ou sa religion ne serait humilié et assassiné. Nous avons cru, que le peuple Juif avait enfin droit à sa terre et qu’elle ne lui serait jamais plus contestée. Le temps est passé et certaines mémoires ont flanché. Des peuples sont opprimés et souffrent dans la plus grande indifférence. Les vieux démons reprennent force et le Juif n’a toujours pas la Paix.

Aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres ! Aujourd’hui, nous honorons la mémoire de nos 6 millions de frères et soeurs déshumanisés, chassés, traqués, arrêtés, déportés et gazés par le régime Nazi et ses collaborateurs. Aujourd’hui, n’est pas Le Jour du Souvenir car ils sont chaque jour dans nos coeurs et nos mémoires ! En Israël, une sonnerie stridente, comme venue du Ciel et pénétrant nos entrailles, tel le Cri de nos disparus,retentira et le pays entier s’ arrêtera ! Partout, au même moment, nous ne ferons qu’Un. Pendant ces 60 longues secondes, vont défilé dans notre mémoire les images de la haine anti juive.

Le Hamas veut le contrôle du gouvernement d’union

Au 20ème siècle, au coeur de l’Europe, symbole de la Civilisation et du Savoir, le génie humain s’est mis au service de la Barbarie. Des hommes et des femmes, ont laissé libre cours à leurs instincts primitifs et se sont transformés en bêtes sauvages, assoiffées de sang. Pendant 5 ans, ils ont cherché à éliminer méthodiquement les Juifs de la surface de la Terre. Une extermination pensée, programmée,organisée et parfaitement réglée. Un million et demi d’Enfants ont été éliminés sans hésitation.

Le Hamas a appelé lundi toutes les organisations arabes palestiniennes à cesser leurs activités visant à perturber les efforts de réconciliation entre l’organisation terroriste et le Fatah, de sorte qu’un gouvernement d’union puisse être formé dans les cinq semaines, sous la direction du Hamas. Sami Abou Zouhri, porte-parole du Hamas, a critiqué toutes les organisations et partis demandant au chef du Hamas, Ismail Haniyeh, de démissionner, affirmant qu’Haniyeh sera le chef du gouvernement d’union. Abou Zouhri a également réitéré la détermination du Hamas à mettre en œuvre l’accord de réconciliation, qu’il considère comme une réponse à l’intervention des Etats-Unis et d’Israël dans les affaires intérieures du «

peuple arabe palestinien » via les « négociations de paix. » Le Hamas et le Fatah ont annoncé un accord de réconciliation la semaine dernière, suscitant l’indignation des dirigeants israéliens. Des préoccupations ont été soulevées quant aux risques sécuritaires qu’un pacte d’union pourrait faire peser sur Israël, d’autant plus que l’autorité palestinienne cherche à acquérir une légitimité internationale d’une part, et s’allie à un groupe terroriste reconnu de l’autre. L’Union Européenne a rejeté ces préoccupations dimanche, sur la base de sa conviction que le dictateur de l’AP Mahmoud Abbas, et non le chef du Hamas Ismail Haniyeh, resterait en charge d’un gouvernement d’union.

« L’UE attend de tout nouveau gouvernement qu’il respecte le principe de la non-violence, reste engagé à parvenir à une solution à deux états et un règlement pacifique négocié… y compris le droit légitime d’Israël a exister, » a déclaré dimanche la chef de la politique étrangère de l’UE, Catherine Ashton. Ashton a exhorté Israël et l’autorité palestinienne à reprendre les pourparlers de paix, malgré l’accord, basé sur la « fiabilité » d’Abbas par rapport au Hamas. « Le fait que le président (…) Abbas restera pleinement en charge du processus de négociation et aura un mandat pour négocier au nom de tous les palestiniens donne une assurance que les négociations de paix peuvent et doivent continuer, » selon elle.

Six Millions de visages, de prénoms, de noms et d’ Histoires ont été rayés du grand livre de l’Humanité. Six Millions d’âmes ont été privées d’amour, de Futur et de sépultures. Aujourd’hui, plus de 70 après la Shoa, nous ne pouvons oublier ! Au lendemain de la découverte de l’horreur, le Monde se réveillait et criait « Plus Jamais Ça » Nous avons voulu y croire. Nous espérions que les Hitler, les Petinistes, les SS et les collaborateurs resteraient une page sombre dans l Histoire de l’Humanité. Nous voulions que la Lumière ne soit plus étouffée. Nous avons cru que le peuple Juif avait assez souffert et que sa tragédie allait servir afin que plus jamais,

Les descendants d’ Hitler ont de nouveaux visages. Ils sont chefs de bandes, chefs de guerre, dictateurs, terroristes et même chefs d’états. Ils pénètrent les esprits et les idéologies. Ils sont illusionnistes et savent s’habiller aux couleurs de la liberté d’expression pour mieux la bafouer. Ils prennent de nouveaux noms et s’appellent l’anti sionisme. Ils ne crient pas mort aux Juifs mais mort à Israël ! Ils ont même réussi à unir les extrémistes de gauche et de droite. Ils ont leurs nouveaux héros et leurs nouveaux collaborateurs. Ils ont enfanté les Merah, les Fofana, les Soral et les M’Bala M’Bala. Ils ont tué les enfants Sandler et Monsenego. Ils ont enlevé,torturé et assassiné Ilan Halimi. Ils sont prêts à continuer et se préparent déjà ! Ils tirent aveuglément sur les enfants d’Israel et veulent semer la mort ! Ils veulent faire disparaître l’Etat Juif ! 70 ans après la Shoa, nous n’oublions pas ! 70 ans après nous ne pardonnons pas. 70 ans après, nous ne nous tairons pas 70 ans après nous sommes prêts à nous battre pour notre identité et notre liberté. Notre peuple est vivant, debout et fier. Il a sa terre, son armée et ne confira jamais la vie de ses enfants à d’autres. 70 ans après la Shoa nous restons les vigiles de l’Humanité. Gil Taieb


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Interview d’Avraham DOUVDEVANI : Président de l’Organisation Sioniste Mondiale de donner la chance à chaque Olim aujourd’hui de lire, écrire et parler l’hébreu avant de faire son Alya.

Alain SAYADA: Comment expliquez-vous cet engouement pour le salon de l’Alya qui a eu lieu dernièrement ? Avraham DOUVDEVANI : L’engouement pour l’Alya est devenu l’une des préoccupations majeures pour les Juifs de France. Tout est une question de contexte. Les Juifs de France sont mûrs aujourd’hui pour rentrer à la maison, c’est à dire chez eux, en Israël, et je peux vous dire que c’est la première fois que je vois autant de monde se déplacer pour se renseigner à propos de comment faire son Alya. La dernière fois que j’ai vu cet engouement, c’était à l’époque, pendant la guerre des 6 jours ... A.S: L’OSM a quand même mit les moyens à Paris en prenant des bureaux, en mettant des hommes de qualité comme le Délégué général pour l’OSM, Simha Felber. Est-ceque vous allez mettre plus de moyen et qu’elles sont vos priorités ? A.D : Aujourd’hui, il y a un projet qui a été intégré par le gouvernement ainsi que par différents ministères. Le

gouvernement est prêt à mettre sur la table de l’argent pour l’intégration des Juifs de France et je voudrai te dire, si tu te souviens, il y a un an, Simha avait réuni les principaux responsables de la communauté dans une pièce et avait mis sur la table trois projets. Ce jour là, Simha avait pris l’initiative d’organiser cette réunion avec les principaux responsables communautaires et, de l’autre coté, des membres du gouvernement israélien qui ont pris conscience de l’importance de la communauté juive de France et qu’il fallait tout faire pour que leur intégration en Israël soit réussie. Ce qui s’est passé au dernier salon de l’Alya est une vraie dynamique ! Voir l’engouement des Juifs de France de vouloir faire leur Alya ! Il a été aussi important de noter le déplacement de plusieurs ministres présents. Cela montre l’importance et la prise en considération du gouvernement pour ce phénomène. Il faut encourager l’Alya, il n’y a pas de Sionisme sans Alya car pour nous, ce qui est important et qui est un objectif majeur, c’est de pratiquer l’hébreu et

A.S : Justement, sur le projet que vous aviez concernant l’enseignement de l’Hébreu dans les écoles ? A.D : Evidemment, nous sommes en train de le mettre en place. Nous avons en face de nous une communauté qui est à l’écoute, ouverte pour nous écouter et collaborer avec nous sur de très bons projets que nous développons avec les écoles juives. Au mois de septembre de cette année, nous allons envoyer 20 couples, des professeurs de très haut niveau, qui vont venir pour une période de deux ans pour enseigner l’hébreu dans 20 écoles. Leur rôle ne sera pas seulement d’enseigner l’hébreu aux élèves et aux étudiants, mais aussi aux professeurs car ce qui est désastreux, c’est que nous nous sommes aperçus qu’un étudiant qui a étudié l’hébreu pendant 12 ans dans un cycle scolaire ne savait toujours pas parler l’hébreu. Il savait lire et écrire mais ne savait pas parler. C’est pour cela que nous avons décidé de mettre ce projet qui nous tient à cœur aujourd’hui. Nous voulons que chaque élève puisse à la fin de ces 12 années lire, écrire et surtout parler, et tenir une conversation en hébreu, ce qui permettra une meilleure intégration en Israël. En un an, nous avons pu voir l’évolution et l’augmentation du nombre d’écoles entrer en partenariat avec ce projet. Nous sommes passés de 1 école à bientôt 20 et cela prouve que le projet que nous cherchions à

mettre en place est en passe de réussir et réussira j’en suis certain. Ce qui est très important, c’est le fait que ces professeurs enseigneront, comme je vous l’ai dit, à d’autres enseignants et, d’ici la fin de l’année prochaine, ce ne seront pas 20 professeurs qui enseigneront l’hébreu mais plus de 200. Ce qui permettra, avec les nouvelles pédagogies, d’améliorer l’enseignement auprès des élèves. A la fin de l’année, les professeurs qui auront suivit les cours participeront à un stage en Israël pour leur donner les moyens avec des outils pédagogiques d’améliorer leur enseignement et nous verrons dans 5 ans l’évolution du programme. Il faut que l’hébreu soit un leadership. C’est pour cela que les écoles juives, les associations et les institutionnels ont compris ce message et le font partager au plus de monde possible. A.S : Lors du dernier salon, il y a un an, vous avez dit que les Juifs devaient et avaient choisi de faire leur Alya. Aujourd’hui, les choses ont changé avec les événements qui se sont déroulés, avec la montée de l’antisémitisme et celle du Front National. Beaucoup de Juifs de France ont décidé de partir, et là, les chiffres sont très importants ! Comment l’intégration et l’absorption vont-elles être gérées ? A.D : Ce qui est important, c’est que le gouvernement ait pris conscience de ce phénomène. C’est pour cela que nous n’aurons aucun problème pour recevoir nos frères juifs à la maison et que beaucoup d’efforts seront faits

pour eux, que ce soit pour l’emploi, l’école et tout ce qui va avec. Les Juifs de France ne seront pas seuls, ils seront épaulés par de nombreuses associations qui ont la vocation d’aider leurs frères. A.S : L’année dernière, vous avez organisé le salon de l’Alya en Israël dans la ville de Natanya : une vraie réussite ! Avez-vous l’intention de renouveler l’opération ? A.D : Oui, bien évidemment, je peux l’annoncer, le salon sera renouvelé. A.S : Et pour finir quel est le message que vous voulez faire passer aux Juifs de France ? A.D : Il ne faut rater l’occasion de rentrer à la maison en Israël car Israël est le seul endroit dans le monde où le Juif est chez lui. Merci Douvdev Interview SAYADA

réalisée par

Alain


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Ukraine : le maire juif de Kharkiv entre la vie et la mort après un attentat

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Prix du meilleur film pour un long-métrage israélien au festival de Tribeca

la contestation pro-européenne qui a renversé le régime du président prorusse Viktor Ianoukovitch en février. Des opposants y avaient été régulièrement agressés ou aspergés d’un antiseptique liquide vert difficile à faire partir. Certains ont vu leur voitures brûlées.

Il a aussi favorisé la montée en puissance d’un groupe paramilitaire dit Oplot mené par un certain Evguen Jiline, ancien policier ayant un casier judiciaire. Ce dernier avait expliqué en février à l’AFP qu’on pouvait crever l’oeil ou casser une jambes aux opposants pro-européens s’ils passaient à l’action. Des militants d’Oplot étaient présents dimanche parmi les insurgés qui ont pris le contrôle de la télévision régionale de Donetsk, capitale de la région de l’Est de l’Ukraine en proie à une insurrection pro-russe.

“Le maire a été atteint par balles dans le dos. Il est en train d’être opéré. Les médecins luttent pour sa vie”, a annoncé la mairie sans plus de précisions. Le maire était à bicyclette au moment de l’attaque, selon son entourage. Il avait été placé sous contrôle judiciaire en mars par un tribunal de Kiev

dans une affaire d’enlèvement et de tortures mais conservait ses fonctions.

Après la fuite et la destitution du président Ianoukovitch en février, M. Kernes a lui aussi fui Kharkiv avec son allié, le gouverneur de la région Mikhaïlo Dobkine, avant de revenir rapidement dans le pays.

Personnage haut en couleurs, M. Kernes a un casier judiciaire pour vol et escroquerie. Il s’est illustré par les méthodes particulièrement musclées utilisées à l’encontre des opposants dans sa ville pendant les trois mois de

M. Dobkine a été limogé de son poste du gouverneur mais s’est déclaré candidat à la présidentielle anticipée du 25 mai pour le compte du Parti des régions, ancienne formation de Viktor Ianoukovitch.

Le long-métrage israélien Zero Motivation a remporté jeudi le prix du meilleur film au festival du film de Tribeca à New York. Le film, une comédie sur l’ennui et les rêves ajournés des jeunes femmes enrôlées dans l’armée israélienne, tourné avec un budget modeste, a aussi obtenu le prix Nora Ephron. « Avec un scénario extrêmement drôle et un peu triste, Zero Motivation trouve un juste équilibre entre la farce loufoque et le réalisme brutal du quotidien », a écrit notre chroniqueur cinéma Jordan Hoffman dans un article publié cette semaine. « De nombreux passages sont joués sur le mode de l’anecdote et sonnent

très vrais, mais les personnages sont merveilleusement universels. Avec une bonne campagne de promotion et un peu de chance, ce pourrait être le film israélien le plus populaire de toute une génération » , écrit notre chroniqueur. « Je suis arrivée à l’armée extrêmement sérieuse, mais il y avait un fort sentiment d’absurdité », a confié Lavie. « Avec ce film, je voulais montrer toutes les petites choses stupides. » « C’est peut-être un moyen de faire face à cette situation. Ces moments absurdes occupent une grande partie du film. » Par:timesofisrael


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Article des vacances Mais quand vous êtes pilotes par Céline, vous êtes à la frontière de la lune de miel. Je ne suis nullement mandaté pour faire son éloge, mais je trouve qu’elle à géré les moindres problèmes avec une patience et un sourire permanent, même si, souvent on voyait la fatigue lui dévorer le visage. Je suis comme tout le monde. J’ai toujours pense que les fêtes, c’était à la maison.

Dans ce genre d’organisation on est tributaire de prestataires de services, qui se montrent parfois laxistes.

Que les repas des fêtes devaient impérativement être composés des spécialités culinaires de notre région d’origine.

Pour notre part, chaque repas de fête fut une Bar Mitsva.

Puis, un jour, cédant à la pression, j’ai accepté de partir pour Pessah. Et depuis, impossible de me tenir. Pessah, c’est à Eilat. Au bord de la mer des joncs. Yam Souf. Laissons de côté toutes les polémiques liées à cette magnifique station balnéaire. Considérons les côtés positifs Température idéale. Ciel bleu en permanence. Temps sec. On ne transpire pas. La plupart des hôtels sont accueillants. On rencontre des gens détendus, de ce fait, on les trouve sympathiques et, on se lie, facilement d’amitié. Il faut reconnaître que, tout seul, l’aventure risque de tourner à l’ennui.

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Rav Eliezer Papo Le Rav Eliezer PAPO est ne en 1785 à Sarajevo en Bosnie.

À l’âge de 27 ans, il émigre en Bulgarie, ou il devient le rabbin de la communauté de selestria, alors sous occupation de l’empire Ottoman.

Il est l’auteur de nombreux ouvrages de moussar et sur la priere, dont le plus réputé est le»PELÉ YOETS» que l’on trouve facilement traduit en français. Il quitte ce monde en 1828, et sa tombe à Selestria (certains disent Se-

La salle à manger était belle, vaste, décorée, fleurie et blanche. La nourriture abondante et variée. Je n’ai pas vu un seul membre de notre groupe, qui n’avait pas quelques difficultés à se rhabiller. Nous n’avons jamais manqué de Minian. Le clou de notre séjour fut la Mimouna. Une entrée de Henné des tables en nombre suffisant pour faire asseoir tout le monde. Une fleur devant chaque convive. Merci a toi, Céline Ohayon. Terbah et MARA Am AKHOR René SEROR 06 60 44 79 77

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La tombe du Rav Eliezer Papo en Bulgarie

lestra) est l’objet de nombreux pèlerinages. Je souhaite à chacun de vous, de vous recueillir un jour sur la tombe de ce grand homme et de l’étudier. René SEROR 06 60 44 79 77


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La loi de la Charia prend pied au Royaume Uni Israël furieux contre la faiblesse de la Lors du World Islamic Economic Forum [forum mondial de l’économie islamique], au mois de décembre dernier, David Cameron a proclamé que la place financière de Londres entendait devenir la première place financière du monde pour ce qui concerne la finance islamique.

réponse US à l’accord avec le Hamas

Ce qui est ainsi en train de se mettre en place au Royaume Uni n’est rien moins qu’une soumission qui ne dit pas son nom.

Une soumission sournoise à l’islamiquement correct gagne présentement l’Europe. On la trouve en Scandinavie, où les propos critiques ou humoristiques concernant l’islam valent désormais souvent des condamnations en justice. On la trouve en France, où l’écrivain Renaud Camus vient de se voir lourdement condamné, lui aussi, pour avoir osé dire que s’opérait ce que des millions de Français constatent quotidiennement : un grand remplacement de populations, par le biais duquel les chrétiens et les Juifs refluent, tandis que les musulmans, eux, se font de plus en plus nombreux. On retrouve ce phénomène dans divers autres pays. Mais le pays où le processus est actuellement le plus avancé est incontestablement le Royaume Uni. Que, dans un pays qui a été le premier en Europe à promulguer la liberté de parole, celle-ci se trouve de plus en plus nettement foulée aux pieds dès lors qu’il s’agit d’islam est en soi consternant et très inquiétant. Mais ce qui se passe au Royaume Uni va bien au-delà de la simple remise en cause de la liberté de parole. C’est la charia elle-même qui vient se substituer à la loi commune [common law] ; c’est l’abrogation du Bill of Rights de 1688, pierre angulaire des institutions du pays depuis cette date, qui est en train de s’opérer. La Law Society [≈ société du droit], organisation professionnelle représentant les professions juridiques pour l’Angleterre et le Pays de Galles a, voici peu, autorisé ses membres à utiliser la « loi islamique » pour prendre leurs décisions et à la subs-

tituer à la common law si les circonstances s’y prêtent. Et les autorités politiques du pays, au nom de la séparation des pouvoirs, n’ont rien trouvé à redire. Seule la Baronne Caroline Cox, membre de la Chambre des Lords, a osé élever la voix. Elle est une femme courageuse mais, hélas, isolée. Comme l’a noté dans un article consacré au sujet le journaliste italien Giulio Meotti, quatre-vingt-cinq cours islamiques règlent désormais les différends familiaux et s’occupent de questions essentielles, telles que le divorce, la garde des enfants en cas de séparation des parents ou l’héritage. Et les habitants du Royaume Uni peuvent, en toute légalité, en vertu du British Arbitration Act, s’adresser à l’une de ces cours islamiques aussi bien qu’à un tribunal, sans qu’aucun juge puisse contester ultérieurement les décisions qui seront prises. Même plus drôle Dans des villes telles que Manchester ou Birmingham, la majorité des décisions de justice en matière de différends familiaux sont prises par des cours islamiques ! Le comité de supervision des universités, en charge d’établir les règles dans l’ensemble du système universitaire, vient d’entériner une demande effectuée par des mouvements islamiques, et, désormais, toutes les rencontres universitaires, tous les colloques organisés dans une université au Royaume Uni, devront observer la stricte séparation des hommes et des femmes.

Ce n’est pas la liberté de parole seulement qui se trouve remise en cause au Royaume Uni, non, – et quand bien même ce serait uniquement la liberté de parole qui se trouverait remise en cause, ce serait déjà extrêmement grave, car celle-ci est au cœur de toutes les autres libertés dans les sociétés démocratiques -, c’est l’égalité de droit. Car, selon la charia, il ne s’agit pas uniquement de séparer les hommes et les femmes, mais de les traiter très différemment. La répudiation peut être effectuée par un homme à l’encontre d’une femme, mais jamais par une femme aux dépens d’un homme. L’héritage attribue à un homme le double de ce qui est attribué à une femme. Il faut en outre, en loi islamique, le témoignage de deux femmes pour contrebalancer celui d’un homme. La finance islamique considère comme haram [interdit] non seulement le prêt à intérêt mais aussi les investissements dans divers secteurs d’activités, de même que les contacts économiques avec un pays que les penseurs de la finance islamique considèrent encore comme strictement haram : Israël. Ce qui se passe au Royaume Uni n’a, pour l’heure, pas affecté d’autres pays d’Europe, mais, au train où vont les choses, ce qui aurait pu sembler impensable il y a relativement peu de temps encore devient, hélas, nécessairement envisageable. Par Guy Millière © Metula News Agency

D’importants ministres et des sources au sein du bureau du premier ministre Benyamin Netanyahou sont furieux contre l’administration américaine, pour « ne pas réagir avec la force appropriée » à l’accord d’unité entre l’autorité palestinienne et le groupe terroriste Hamas. Les sources révèlent qu’Israël exige que Washington déclare la réconciliation entre les deux groupes comme illégitime, selon le journal Israël Hayom. Netanyahou aurait discuté de la question avec le secrétaire d’état américain John Kerry. « Quatre fois Mahmoud Abbas a refusé de faire avancer les négociations au cours des dernières semaines, » a déclaré une source diplomatique. « Il a refusé le document cadre américain, il a refusé de reconnaître l’état juif, il a refusé une rencontre avec Barack Obama, et a refusé l’accord sur les prisonniers et est allé aux institutions onusiennes. » La source a noté que « dans tous les cas, Abbas n’a pas été réprimandé, et le résultat est qu’il s’est tourné vers le Hamas. » « Il est clair qu’une remise en cause est nécessaire de la part des EtatsUnis pour empêcher les négociations de s’effondrer. Il y a une colère contre les américains, parce qu’ils avaient besoin de faire une déclaration ferme disant à Abbas de ne pas réaliser d’accord avec le Hamas, mais de faire un accord avec Israël, » a ajouté la source. Au lieu de cela, la source a indiqué que les déclarations américaines contre la décision de l’AP ont été « faibles ». Une autre source a déclaré jeudi que les membres du bureau de Netanyahou ont été surpris par la faible réponse des Etats-Unis à l’accord, disant que « les Etats-Unis promettent

toujours de défendre Israël et de sauvegarder sa sécurité. » « Abbas a choisi de signer un accord avec une organisation terroriste meurtrière qui agit contre les hommes, les femmes et les enfants, et aspire à nuire à tous les citoyens israéliens, peu importe qui ils sont,… Il est très étrange d’obtenir une telle réponse de ce grand ami d’Israël, » a déclaré la source. L’étendue de la critique du département d’état américain contre l’accord était une déclaration de la porte-parole Jen Psaki mercredi, disant : « il est difficile de voir comment Israël pourrait négocier avec un gouvernement qui ne croit pas à son droit d’exister. » Psaki a alors fait marche arrière dans une certaine mesure, jeudi, après qu’Israël ait répondu à l’accord en suspendant les négociations, quand elle a tergiversé en disant : « il y a eu des étapes inutiles des deux côtés tout au long de ce processus, que ce soit les implantation ou les Nations Unies ou quoi que ce soit. Donc ils sont tous les deux coupables de cela. » Comprenez donc que pour le département d’état américain, qu’un juif construise une maison en Judée est aussi grave qu’un arabe qui se fait exploser dans un bus rempli de civils israéliens. Kerry n’a lui non plus pas explicitement critiqué l’AP pour son accord avec le groupe terroriste islamiste, appelant plutôt jeudi à des « compromis » des deux parties. Dans le passé, il a blâmé Israël pour l’échec des négociations après que l’AP en ait violé les conditions par son application à 15 conventions internationales. Pour sa part, l’Union Européenne a explicitement accueilli favorablement l’accord d’unité entre l’AP et les terroristes du Hamas, bien que le Hamas soit sur la liste des groupes terroristes de l’UE.

MAZELTOV à Elinor Myriam qui a pointé le bout de son nez le 23 Avril 2014, fille de Marine et Benjamin LAICHTER, petitefille de Nathalie LAMBERT STRAUSS et Thierry STRAUSS et de Nadine et Michel LAICHTER, arrière-petite-fille de Marlyse (lz) et Gérard (lz) STRAUSS, de Jacqueline (lz) et Raymond (lz) WOLFF et de Jeanine et Maurice LAICHTER


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Iran :1.300 kilos d’uranium enrichi à moins de 5% ont été transférés clandestinement vers Parchin Des sources de renseignement de Debka.com révèlent que 1.300 kilos d’uranium enrichi à moins de 5% ont été transférés clandestinement vers Parchin et que 1630 centrifugeuses avancées y sont installées pour poursuivre l’enrichissement à 20%, et de là, passer rapidement au niveau qualitatif d’une bombe nucléaire. A chaque fois que l’AIEA a demandé la permission d’inspecter cette installation au cours de ces trois dernières années, elle s’est fait rembarrer, au prétexte que Parchin est, strictement, une base militaire, qui ne recèlerait aucune activité nucléaire… La ruse et les tactiques de duperie de Téhéran se poursuivent ainsi avec le Vice-Président Ali Akbar Salehi qui a offert de « réviser la conception du réacteur controversé d’Arak, pour qu’il ne produise que 1/5ème du plutonium initialement prévu » et il a prétendu que cette concession aurait virtuellement résolu l’ensemble de la

controverse entre Téhéran et l’Occident. En Jordanie Ce pays ne délivrerait plus de visa d’entrée aux touristes israéliens sauf s’ils sont accompagnés d’un guide jordanien, pour des raisons de sécurité, semble-t-il ! Autorité Palestinienne (AP) Usé jusqu’à la corde par les dirigeants palestiniens successifs, le « modus operandi » suivant — « faire capoter tout processus de paix vers la fin du délai fixé, après avoir obtenu certains gains, et dans l’espoir de recommencer plus tard, avec comme nouveau point de départ, la situation laissée la fois précédente » — a été utilisé à nouveau. Deux documents confidentiels de Saeb Erekat, chef négociateur de l’AP, montrent ainsi que la décision de demander l’adhésion aux organisations de l’Onu est considérée comme

l’application de droits naturels du peuple palestinien et n’est en rien liée à un progrès dans les pourparlers ou à l’obtention d’un accord avec le gouvernement israélien. La crise a bien été planifiée par l’AP, ainsi que l’arrêt des négociations, après avoir obtenu quelques concessions, notamment la libération de terroristes. Les forces de sécurité de l’AP gardent en prison des milliers de Palestiniens et les torturent, sans procès en vue. Rien que cette année, l’AP a arrêté 357 personnes, accusées d’atteinte à la sécurité, dont 42 étudiants. Or qui en parle en Occident ? En Afrique Dans son nouveau livre « L’Islam contre l’Islam », Antoine Sfeir, journaliste et politologue français d’origine libanaise, parle de l’interminable guerre des sunnites et des shiites. Mais il explique surtout que « le Sénégal et la France font office

de citadelles pour l’islam radical, et il a appelé les autorités sénégalaises à promouvoir davantage l’éducation pour barrer la route aux extrémistes. La France est une citadelle pour l’Islam radical à cause de la laïcité. Ailleurs l’islamisme shiite ou salafiste se nourrit des situations d’injustice, de pauvreté et de destruction du tissu social » – La situation est préoccupante dans toute l’Afrique au dessus de l’équateur. Au Royaume Uni Le Premier ministre anglais David Cameron a entrepris une enquête sur la Confrérie des Frères Musulmans, présente sur son territoire. Le MI5 (sécurité intérieure) et le MI6 (renseignement extérieur) doivent « faire toute la lumière sur la nature de cette organisation, ses positions par rapport à l’extrémisme violent, ses liens avec d’autres groupes et sa présence au Royaume-Uni ». Pourchassée en Égypte par les régimes militaires suc-

cessifs, la Confrérie a trouvé refuge outre-Manche. Un ancien kebab dans le district de Cricklewood est ainsi devenu le nouveau point de ralliement et de réorganisation des Frères musulmans dans le pays, « un espace où les membres peuvent se retrouver en toute sécurité » En Israël Selon une étude de l’OCDE, le taux de l’impôt sur le revenu a augmenté dans 25 pays sur 34, au cours des 3 dernières années. A l’opposé, entre 2000-2013, la pression de l’impôt sur le revenu en Israël a baissé de 9 points, passant de 30% à 21%, comparé à 36 % dans les autres pays développés. Israël est 31ème sur 34 en matière d’imposition moyenne. Le PNB (produit national brut) vient de dépasser les 1000 milliards shekels, soit 130 700 sh/pers, la consommation croissant de 3,7% et atteignant 73 500 sh/pers. L’ex-consul à Washington, Yoram Ettinger pense que, suite aux récentes facéties de Mahmoud Abbas, un état palestinien en Judée Samarie serait un handicap pour la paix. Par ailleurs, quand on compare les pertes humaines provoquées par les accords d’Oslo de 1993, on en vient à regretter l’époque qui a précédé. Il devient de plus en plus évident pour tous que ce qui est recherché c’est une Palestine en lieu et place d’Israël. Selon le ministre de l’Economie Naftali Bennett, le moteur de l’économie serait l’industrie basée sur le développement scientifique. Toute startup ayant une technologie compétitive et un bon marché potentiel trouve très rapidement des fonds pour réaliser ses projets et se développer. Ceux qui vendent rapidement leur start-up, c’est souvent pour réinvestir dans de nouvelles idées. De même les repreneurs de start-up développent cellesci beaucoup plus rapidement que les créateurs. Par ailleurs, autour des « Silicon Valley » israéliennes, naissent une myriade d’affaires de services ou de sous-traitance qui font que le taux de chômage dans le pays reste limité (5,8%). Le « Voucher Plan » a pour but de donner une profession par l’éducation payée par l’Etat (en donnant des « vouchers ») dans les écoles spécialisées et de mieux intégrer les religieux et les femmes musulmanes dans l’économie et remonter le niveau des salaires les plus bas. De même, un fonds spécial de 3 milliards $ a été créé pour aider les entrepreneurs en herbe à créer leur affaire. A ce jour, 50% des demandeurs ont reçu des fonds. Le ministre se bat contre une centralisation excessive et entreprend la difficile tache de briser les monopoles pour faire baisse les prix. Quant à l’exportation avec un shekel fort, l’effort porte sur la diversification des produits exportés et des marchés explorés, notamment la zone BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine par Albert Soued


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Les « petits mensonges » d’Avaaz a été telle que nous avons pu faire un don de 225 000 dollars pour soutenir les efforts de Gaby ! ».

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Jibril Rajoub : « Hitler aurait pu apprendre d’Israël »

Gaby Lasky, au premier rang et deuxième à partir de la gauche Il y aurait donc un ‘’mouvement nonviolent palestinien’’, lequel verrait ses ‘’militants non-violents accusés à tort’’ par, indubitablement, l’Etat d’Israël ! Tout quidam, pourtant très éclairé sur la situation de la région, aura beau cherché le nom de ce mouvement pacifique il ne trouvera rien. Tout comme le réseau mondial Avaaz qui n’a pu le citer nommément ! Gaby Lasky aurait-elle inventé celuici pour les besoins de sa cause ? Ce même quidam éclairé aura beau cherché par ailleurs les ‘’militants accusés à tort’’ et malgré tout poursuivis par la justice israélienne, il n’en trouvera pas, sauf erreur judiciaire !

Avaaz est un réseau mondial, se voulant citoyen, qui mène des campagnes visant à ce que « les opinions et les valeurs des peuples influent sur les décisions mondiales ». Pour préserver l’appui de ses millions de membres, « Ricken et toute l’équipe d’Avaaz » leur ont envoyé un émail intitulé « Que s’est-il passé après mon don? ». Un courriel dans lequel trois exemples

sont censés démontrer le bienfondé de leur geste généreux. lasky L’un des trois exemples choisi concerne Gaby Lasky « une israélienne qui travaille aux côtés d’une infatigable équipe de juristes qui, en lien avec les leaders du mouvement non-violent palestinien, défend les militants non-violents accusés à tort. La contribution de notre communauté

En quelques mots bien choisis le réseau mondial Avaaz a donc choisi de tromper ses membres en lui faisant croire qu’il se trouve aux côtés de ‘’pacifistes’’ luttant et subissant le ‘’régime de terreur’’ israélien ! L’autre camouflage de celui-ci est la couleur politique de la juriste Gaby Lasky. Elle milite pour le parti Meretz qui est à l’extrême gauche de l’éventail politique. De quoi, assurément, suspendre tout don à ce réseau si prompt à mentir et à soutenir une politique extrême. Publié par Victor Perez

Énième constat d’échec au Proche-Orient

Le processus américain de négociations entre Israéliens et Palestiniens en vue de conclure un accord de paix arrive à échéance aujourd’hui. Les pourparlers, amorcés en juillet 2013, ont été suspendus jeudi dernier après l’annonce, la veille, d’un accord de partage entre l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et le Hamas. Les Israéliens jugent que cet accord de réconciliation constitue une « provocation palestinienne ». « Ni les Israéliens, ni les Palestiniens ne sont prêts à fermer la porte complètement à des négociations, mais dans les conditions actuelles, ça

semble impossible de raviver les discussions ». « Tout le monde se dit prêt à prendre les négociations dès que des conditions acceptables seront de retour, mais aujourd’hui, on semble bien loin de pouvoir s’entendre » Ces négociations étaient parrainées par le secrétaire d’État américain John Kerry, qui a multiplié les allers-retours entre Washington et le Proche-Orient; un projet ambitieux, mais qui, encore une fois, n’a pas donné les résultats escomptés. Au terme de ces neuf mois d’efforts infructueux, M. Kerry a d’ailleurs dû se défendre d’avoir qualifié Israël d’« État d’apartheid » lors d’une réunion privée à Washington vendredi. Cette

information, qui a rapidement provoqué la polémique en Israël et ailleurs dans le monde, avait été rapportée par le site américain The Daily Beast. Tout comme le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, John Kerry juge prématuré d’enterrer totalement le processus de paix. L’État hébreu refuse néanmoins de négocier avec le Hamas, qui de son côté refuse de reconnaître l’existence d’Israël. L’accord conclu la semaine dernière prévoit la formation d’un gouvernement transitoire de consensus composé de personnalités indépendantes dans la bande de Gaza (sous le contrôle du Hamas) et en Cisjordanie (contrôlé par l’OLP).

Nouvelles déclarations scandaleuses du terroriste reconverti en « président du comité olympique palestinien », Jibril Rajoub qui est aussi membre du Comité central du Fatah. Dans une intervention télévisée du 4 avril 2014, sur le thème de l’impasse dans les pourparlers, il répond à une question du journaliste lui demandant « si les choses pourraient être pires ? ». Réponse de Rajoub : « Nous n’avons plus rien à perdre. Croyez-vous que nous vivons en Suède ? Nous vivons sous un régime d’occupation raciste et fasciste. Je vous le dis, si Hitler venait ici il pourrait apprendre d’eux (les juifs) comment opprimer les autres et comment faire des camps de concentration et d’extermination ». Guidon Lévy compare l’assassinat de Baruch Mizrahi et la mort d’un Palestinien Dans un article une fois de plus nauséabond, Guidon Lévy, du « Haaretz » met sur un pied d’égalité l’assassinat de sang-froid de Baruch Mizrahi par un terroriste, et la mort d’un jeune palestinien de 14 ans, tué par un soldat de Tsahal alors qu’il tentait de porter atteinte à la clôture de sécurité qui sépare la Bande de Gaza du territoire israélien. Après avoir décrété « qu’il s’agissait d’un acte terroriste cruel dans les deux cas », Lévy « constate » que la mort du juif a bénéficié d’une ample couverture médiatique alors que celle du Palestinien n’a intéressé personne et « que l’assassin de Mizrahi est recherché par toutes les polices alors que celui du jeune palestinien, bien que son identité est facilement accessible, ne sera pas poursuivi ». «Les deux ont été les victimes d’une terreur criminelle », affirme le journaliste… Duplicité palestinienne Des responsables du Fatah ont condamné du bout des lèvres l’attentat meurtrier qui a coûté la vie à Baruch Mizrahi z.l., tout en noyant leur dénonciation dans des généralités et précisant « qu’ils condamnent aussi les assassinats (!) de Palestiniens » et exigeant d’Israël « qu’il condamne aussi les meurtres de Palestiniens ». Mais en même temps, la TV officielle du Fatah ainsi que de nombreux dirigeants de l’AP ne cessent de glorifier les terroristes qui sont à l’origine de la mort de centaines d’Israéliens. Exemple flagrant : Mahmoud AlHabbash, chargé des Affaires religieuses au sein de l’AP, qui a “regretté l’attentat”, disait deux semaines avant (28 mars) à la TV de l’AP: « Tous nos prisonniers (terroristes) ont défendu notre terre, notre honneur et notre patrie. Ce sont des prisonniers de la liberté. Ce ne sont pas des crimi-

nels et ils ne seront jamais considérés comme tels. Ils n’ont commis aucun crime. Ils étaient en état de légitime défense. Ce sont des éléments authentiques du Mouvement national palestinien ». Bassal Gatas : « Brûler les ordres de conscription » Le député Bassal Gatas, du parti arabe « Balad », a dénoncé l’envoi d’ordres de conscription à Tsahal envoyés aux Arabes chrétiens qui désirent effectuer un service militaire volontaire. Gatas accuse Israël « de vouloir diviser les Arabes israéliens » et appelle les jeunes arabes chrétiens à « renvoyer le courrier de Tsahal dès sa réception ou le brûler». Le Père Gabriel Nadaf, de Nazareth, qui milite pour l’enrôlement des jeunes arabes chrétiens subit des menaces de la part de milieux arabes musulmans. AP : Une forêt au nom d’un terroriste Après les rues, les squares, les écoles et les tournois sportifs, voilà qu’une forêt est nommée au nom d’un terroriste, et à l’initiative du Fatah d’Abou Mazen. En l’occurrence il s’agit de l’un des plus sinistrement connus, Abou Jihad (alias Halil AlWazir). Plusieurs hauts responsables de l’AP ont participé à l’inauguration de ce bosquet situé dans la région de Hebron. « Abou Jihad », bras droit de Yasser Arafat, fut à l’origine d’attentats qui coûtèrent la vie à 125 Israéliens dont de nombreux enfants. Après sa mort, « Abou Jihad » avait été décoré à titre posthume par Abou Mazen lui-même de la plus haute « distinction » qui existe dans la sphère arabe palestinienne. Une délégation de gauche à Ramallah Le jour même où était enterré Baruch Mizrahi z.l. assassiné par un terroriste palestinien, une délégation de six députés de gauche et d’extrême-gauche a maintenu sa visite à la Moukataa à Ramallah pour y rencontrer Abou Mazen et la direction de l’AP. Malgré les appels à la pudeur émis par des députés de droite, Hilik Bar (Travailliste), chef de file de ce groupe a décidé de maintenir cette visite. Et au lieu de condamner l’attentat en présence de ses hôtes, Hilik Bar a au contraire attaqué Israël et a accusé « l’extrême-droite israélienne qui est au gouvernement d’être à l’origine de l’impasse dans le processus de paix ». Abou Mazen n’a pas formellement et officiellement condamné l’attentat, ce qui n’a pas empêché Nitzan Horovitz (Meretz) de déclarer devant les micros « qu’Abou Mazen avait clairement condamné l’attentat terroriste ». Par:Shraga Blum



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Déclaration incohérente de John Kerry: Israël pourrait devenir un Etat d’apartheid

Le Secrétaire d’Etat américain John Kerry a averti que si aucune solution à deux Etats n’était atteinte dans le conflit israélo-palestinien, Israël courait le risque de devenir « un Etat d’apartheid », a rapporté le site d’information américain Daily Beast lundi matin. John Kerry a fait cette remarque vendredi dernier lors d’une réunion à huis clos de la Commission trilatérale (un groupe non partisan de discussion non gouvernementale fondée par David Rockefeller, ndlr), toujours selon le Daily Beast qui précise que « l’utilisation par Kerry du terme apartheid aurait bouleversé les dirigeants juifs en Amérique et pourrait aussi attirer

l’attention en Israël ». Mais le terme d’ »apartheid » n’a pas été la seule remarque controversée sur le Moyen-Orient que Kerry a fait au cours de cette réunion, écrit encore le média américain. Le site d’information rapporte en effet que Kerry a également réitéré sa mise en garde selon laquelle l’échec des pourparlers de paix au MoyenOrient pourrait conduire à une reprise de la violence palestinienne contre des citoyens israéliens et a suggéré que seul un changement dans la direction israélienne ou palestinienne puisse parvenir à un accord de paix plus possible.

« C’est à prendre ou à laisser »

Poursuite des démarches d’adhésion palestiniennes

Kerry a également fustigé la poursuite des constructions israéliennes dans les implantations en JudéeSamarie avant de déclarer que les dirigeants israéliens et palestiniens se partagent la faute de l’impasse actuelle dans les négociations.

au Daily Beast, en réponse, que Kerry avait tout simplement « réitéré son point de vue, partagé par d’autres, et que la solution à deux Etats est la seule façon pour Israël de rester un Etat juif en paix avec les Arabes palestiniens ».

En outre, le sécrétaire d’Etat a déclaré qu’il pouvait encore dévoiler son propre accord de paix et dire aux deux parties que c’est « à prendre ou à laisser », toujours selon la même source.

« La seule façon de voir deux nations et des deux peuples vivant côte à côte dans la paix et la sécurité est à travers une solution à deux Etats (…) et sans une solution à deux Etats, le niveau mérité de prospérité et de sécurité des peuples israélien et palestinien n’est pas possible », a ajouté Psaki.

La porte-parole du département d’Etat américain, Jen Psaki, a déclaré

Erdogan annonce une normalisation prochaine des relations avec Israël

De son côté, le Conseil central palestinien a adopté dimanche un plan prévoyant la poursuite des démarches d’adhésion à une soixantaine d’instances de l’ONU et accords internationaux, a annoncé dimanche soir un participant à la réunion de cette instance dirigeante de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). Le Conseil, réuni autour du président de l’AP Mahmoud Abbas affirme la nécessité pour la direction palestinienne de continuer les adhésions aux agences des Nations unies et aux conventions internationales, selon le plan palestinien qui a été adopté, et selon le communiqué final lu par le secrétaire général du Parti du peuple (ex-communiste) Bassam Salhi. Le Conseil fait également porter à Israël l’entière responsabilité de l’échec des efforts internationaux et américains pour parvenir à un règle-

ment du conflit par les négociations, à deux jours de l’échéance des pourparlers sous l’égide américaine. Mahmoud Abbas avait déjà signé début avril les demandes d’adhésion de la Palestine à 15 accords et traités internationaux, à commencer par les Conventions de Genève sur la protection des civils, bien qu’il avait consenti à suspendre ces initiatives jusqu’à la fin des pourparlers. La direction de l’OLP a estimé que le refus d’Israël de libérer le 29 mars un quatrième et dernier contingent de prisonniers, en réclamant une prolongation des négociations de paix au-delà du 29 avril, la déliait de son engagement. Le Conseil central palestinien exige quant à lui pour une reprise des négociations, toute une série de conditions : Israël doit s’engager sur la référence aux lignes de 1967 (les lignes d’ar-

mistices de 1949), arrêter complètement la constructions dans les Territoires revendiqués et libérer encore des prisonniers. Il donne à Israël trois mois pour convenir d’un accord sur les lignes de 1967 préalablement à toute discussion sur quelque autre question que ce soit, y compris la sécurité, afin de parvenir à un accord de paix. Enfin, le Conseil rejette la campagne d’Israël contre l’accord de réconciliation signé mercredi entre l’OLP et le mouvement islamiste et terroriste Hamas. Cet accord a rendu furieux Israël qui a décidé de sanctionner l’Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas, l’accusant d’enfoncer le processus de paix parrainé par Washington dans la crise en s’alliant à un groupe terroriste qui ne reconnaît pas même l’existence d’Israël.

Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé que les relations de son pays avec Israël pourraient être normalisées dans les prochaines semaines, quatre ans après l’assaut israélien contre une flottille en route pour Gaza qui avait provoqué une crise diplomatique. «Nous nous sommes mis d’accord sur l’indemnisation. L’envoi d’aide humanitaire aux Palestiniens via la Turquie est l’autre étape de la négociation, et après la fin de cette phase, nous pourrons avancer vers un processus de normalisation», a déclaré M. Erdogan dans une interview à la chaîne américaine PBS, diffusée lundi. «J’ai déjà parlé à mes collègues du ministère et je pense que c’est une question de jours, de semaines», a précisé le dirigeant turc, dont les propos étaient traduits en anglais par une interprète. «J’espère qu’il n’y aura pas d’autre chat noir qui changera les choses». «Le processus de normalisation peut commencer, et la première étape de

ce processus serait sans doute l’envoi d’ambassadeurs», a encore souligné M. Erdogan. Le ministre turc des Affaires étrangères avait dit fin mars que l’accord d’indemnisation pour les familles des victimes turques était proche, ce qui restait le principal point de blocage pour la normalisation des relations diplomatiques. L’assaut israélien contre une flottille qui tentait de briser le blocus de Gaza, le 31 mai 2010, avait coûté la vie à neuf ressortissants turcs à bord du navire amiral de cette flottille, le Mavi Marmara, affrété par l’ONG islamique turque IHH. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a formellement présenté des excuses en mai dernier. «Je voudrais remercier le président (américain Barack) Obama, mon ami, pour ses efforts car c’est une étape qui a été rendue possible grâce à ses efforts», a expliqué M. Erdogan dans l’interview à PBS. «Les excuses par téléphone du Premier ministre Netanyahu furent le résultat des efforts du président Obama», a-t-il insisté.



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Gilles-William Goldnadel, tribun d’Israël Avocat de Patrick Buisson, dirigeant du Crif et de l’UMP, passeur entre droite et extrême droite… A coups de joutes tous azimuts et de provocs, Gilles-William Goldnadel, combattant de la cause juive, n’a de cesse de montrer que l’antisémitisme français a changé de visage. Ce matin-là, Me Gilles-William Goldnadel marche en Terre promise. Il longe la mer, entre les deux ports de Tel-Aviv, où il se trouve jusqu’à la mi-mai. L’avocat, dont la vie a basculé dans d’incessants allers-retours entre la France et Israël, se paie, grâce aux honoraires confortables glanés auprès d’une clientèle de patrons franco-israéliens, le luxe infini de ces voyages, et surtout de ces promenades matinales. En France, ses journées se sont considérablement allongées. Au droit sont venues s’ajouter la politique et l’omniprésence médiatique. « Lorsque vous vous exposez ainsi, vous êtes d’abord moqué, puis accepté, décrypte Me David Koubbi, le conseil de Tristane Banon et de Jérôme Kerviel, notamment. Ensuite, vous disparaissez des médias, ou vous y restez, selon l’authenticité de vos convictions. Lui est encore là. » Voilà William, comme l’appellent ses amis, les vrais comme les faux, devenu un éminent membre du « Tout-Paris des convictions », ainsi que l’adoube François d’Orcival, éditorialiste à Valeurs actuelles. Un zozotement, des cheveux bouclés légèrement gominés, tirés vers l’arrière : les chaînes d’information accueillent régulièrement la silhouette de ce défenseur de la cause juive. Depuis quatre ans, la radio RMC lui trouve une place dans le studio des bien nommées Grandes Gueules. Alain Marschall, coanimateur de l’émission, apprécie « ce proche du Likoud [NDLR : le parti conservateur israélien] qui manie aussi bien la dialectique que la mauvaise foi ». Au risque d’incendier le standard de la radio populaire. Le prédicateur, membre du comité directeur du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) depuis 2010, exerce également ses talents sur la plateforme d’opinion du Figaro Vox et dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles. Il occupe tout le spectre de la droite, saucisson, loden et veste de chasse. Ajoutez-lui un poste de secrétaire national de l’UMP, et le rôle de défenseur officiel de Patrick Buisson, et

vous obtenez un personnage visible, pas toujours lisible. Il marque ces territoires d’une même empreinte : le rentrededans. Interrogé sur la grande affaire de la fin de l’année 2013, il commence par reconnaître à Dieudonné une vraie popularité en banlieue. Avant de glisser : « Mais les pauvres n’ont pas toujours raison… » « L’extrême gauche nous prend à revers »

Derrière l’uppercut, la lutte. Toujours la même, obsédante, qui nourrit de longues conversations avec son ami, le nouvel académicien Alain Finkielkraut : « Ensemble, nous avons beaucoup discuté du fait que le Front national est un leurre pendant que l’extrême gauche et les islamistes nous prennent à revers », dit l’avocat. Ici, il est bien évidemment question de l’antisémitisme, cette maladie sociale dont Goldnadel pense avoir démontré qu’elle équivaut à l’antisionisme radical. Des sujets de débat également abordés avec son plus fameux client du moment, Patrick Buisson. La rencontre remonterait à une bonne décennie, sur un plateau de la chaîne LCI. La relation avec « ce monsieur très secret et mystérieux » a été entretenue durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Et au-delà : il y a un an, c’est par l’entremise du politologue qu’un déjeuner au Bourbon, près de l’Assemblée, a scellé l’adhésion de Goldnadel à la Droite forte, le courant de l’UMP soutenu par Buisson, chapeauté par Geoffroy Didier et Guillaume Peltier. Aujourd’hui, à ceux que les enregistrements clandestins de l’éminence de l’ancien chef de l’Etat révulsent, Goldnadel propose cette métaphore osée : « On peut à la fois ne pas aimer son médecin et avoir besoin de lui. » A l’UMP, il sert désormais de messager à ce thérapeute radié. Si l’avocat défend Buisson, c’est aussi pour s’attaquer au suivisme de la meute : « Comme si, du fond des âges, je réagissais en juif. » Patrick Buisson et Gilles-William Goldnadel partagent des connaissances communes : Paul-Marie Coûteaux, l’entremetteur germanopratin de la droite dure, est l’une d’elles. En décembre dernier, Buisson dîne encore au domicile parisien de l’ancien député européen. Goldnadel, lui, a rencontré cet allié électoral de Marine Le Pen lors d’un repas à l’initiative de l’éditorialiste du Figaro

Ivan Rioufol. Depuis, il participe à des émissions qu’anime Coûteaux sur Radio Courtoisie. Le réseau social de Goldnadel se dessine une figure complexe. Singulière. Rarement militant communautaire juif a flirté si loin avec ces figures très à droite de la droite. Coûteaux s’en réjouit : « Il faut multiplier les Goldnadel, afin d’améliorer nos relations avec le Crif, pour le moins embryonnaires. » Héros d’une France conservatrice Les temps ont changé depuis que, enfant, Goldnadel ressentait « l’autre, le non-juif, le goy redouté » comme « exclusivement incarné par le catholique incirconcis aux cheveux raides ». Le voici aujourd’hui en héros d’une France conservatrice, acclamé comme un renfort inattendu, quand il préface, en 2011, le livre Vendée : du génocide au mémoricide, de Reynald Secher (éd. du Cerf), historien contrerévolutionnaire et proche de Philippe de Villiers. Il écrit alors : « Pourquoi ce qui est vrai pour le génocide des Juifs et des Arméniens ne le serait-il pas pour le génocide des Vendéens ? » Succès assuré dans les paroisses des Yvelines. Goldnadel dîne peu en ville, mais il déjeune beaucoup. Bernard Antony, ancien dirigeant du Front national, catholique traditionaliste reconverti dans la lutte contre les Femen et la christianophobie, a ainsi pu « casser la croûte » avec lui en 2007, après lui avoir offert son Histoire des Juifs, d’Abraham à nos jours (éd. Godefroy de Bouillon). Goldnadel a promis à l’auteur de la lire, en situation, lors de vacances en Israël. Tous ces chemins devaient aboutir à Marine Le Pen. Au début de 2011, le téléphone de son cabinet d’avocat sonne. Un collaborateur de la toute nouvelle présidente du Front national veut prendre rendez-vous. La fille de Jean-Marie sait que son interlocuteur a toujours traité le FN en adversaire et non en ennemi. La conversation s’engage, Marine Le Pen fait part de son souhait d’aller un jour en Israël. « Je ne considère pas votre parti comme les autres, rétorque Goldnadel. Vous n’avez toujours pas renoncé à l’ambivalence de votre père vis-àvis de la Shoah. Vous devriez tuer le père. » Quelques semaines plus tard, Marine Le Pen affirme au Point (3 février 2011), dans un entretien qui fera grand bruit, que l’Holocauste représente « le summum de la barbarie ». Un « véritable aggiornamento » pour l’avocat.

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L’histoire est belle, Marine Le Pen affirme qu’elle est fausse. Elle dit aussi qu’elle n’a pas croisé « GWG » « depuis quinze ans ». Pourtant, Alexis Corbière, un très proche de Jean-Luc Mélenchon, relate une scène récente. Le 8 avril 2013, dans les loges de BFM TV, le dirigeant du Parti de gauche sort d’un plateau où il vient de débattre chaudement avec le directeur des rédactions du Figaro,Alexis Brézet, et Goldnadel. Il aperçoit ce dernier saluant Marine Le Pen, qui patiente devant un petit buffet avant d’être interviewée par Ruth Elkrief. « C’était très chaleureux », insiste Corbière, choqué par le tutoiement des deux protagonistes et leurs embrassades. Ces fréquentations, le dirigeant du Crif les explique sans ambages : « Avant, le stéréotype du juif était d’être lâche et apatride : l’extrême droite nous détestait. Désormais, le juif est vu comme nationaliste et belliqueux, et c’est l’extrême gauche internationaliste qui nous déteste. » Volubile, épicurien, il revendique sa part latine Aude Weill-Reynal, au milieu des années 1970 étudiante à la faculté de Tolbiac et future avocate, se remémore aujourd’hui son intrépide camarade et elle-même en lutte contre les maos qui venaient les provoquer en leur demandant : « Prouvez-nous qu’il existe un peuple juif ! » Dans son livre Réflexions sur la question blanche (éd. Jean-Claude Gawsewitch), Goldnadel dénonce « la confusion dramatique » du slogan « CRSSS » de Mai 68. Si Dov Zerah, ancien président du Consistoire de Paris, a poussé son ami William à se présenter au Crif, c’est « pour une stratégie d’ensemble sur la communauté, et parce qu’il est le premier à avoir attiré l’attention de tous sur certaines formes d’antisémitisme de l’extrême gauche, tout en dénonçant l’antisémitisme traditionnel de l’extrême droite ». Comme le souffle Aude Weill-Reynal, « l’antisémitisme est un virus mutant… » Persuadé qu’il y a autant d’antisémites à Libération qu’au Figaro, Goldnadel définit ainsi le danger le plus imminent : « L’islamo-gauchisme ». La gauche de la gauche lui rend bien cette aversion, quand la sénatrice écologiste juive Esther Benbassa est agacée par cet « ultra qui nage dans les eaux troubles de la convergence ». Pour le mélen-

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chonien Alexis Corbière, « Goldnadel et le Crif participent à cet amalgame honteux qui consiste à traiter d’antisémites tous ceux qui ne sont pas alignés sur la diplomatie israélienne ». Amoureux, donc déraisonnable, l’avocat forge, mois après mois, sa passion pour « le projet sioniste ». L’enfant de Gournay-en-Bray, dans la grande banlieue rouennaise, fils de marchands de vêtements, a trouvé dans l’identité juive le moteur d’une existence et le motif d’une fierté. A 13 ans, en 1967, lorsque la radio lui apprend la victoire des Israéliens dans la guerre des Six-Jours, il s’empresse d’aller rapporter avec gourmandise à l’oreille de son papa, en pleine belote dans l’arrière-salle d’un café, que « le Sinaï est plein de chaussures égyptiennes ». Un cerbère aux allures de Don Quichotte Une quarantaine d’années plus tard, il se voit comme « un cerbère vigilant de la communauté ». Un cerbère aux allures de Don Quichotte : « Je suis un touche-à-tout, avec les avantages et les inconvénients. Je ne serai sans doute jamais le premier des avocats, le premier des politiques ou le premier des éditorialistes. » Un de ses amis : « Entre la cinquième et la dixième place… » Le journaliste Guy Birenbaum, interrogé à l’occasion d’un portrait dans Libération, s’est amusé de « cet ashkénaze qui joue au séfarade ». Volubile, objectivement sympathique, épicurien, amoureux des huiles essentielles et des chocolats Jean-Paul Hévin, Goldnadel revendique sa part latine… « de par les origines juives roumaines de [sa] mère ». Voilà pour le profil. Reste le mystère de ce défenseur de la judéité, l’absence de foi. Enfin, jusqu’ici. Aujourd’hui, il confesse aimer humer l’odeur des synagogues. Pour Me Koubbi, son confrère « est sans doute dans une partie de sa vie qui est une phase de consolidation, pour laquelle il est nécessaire de savoir d’où l’on vient. L’idée de Dieu devient alors peut-être plus attirante ». L’intéressé reconnaît avoir « fini par croire en la miséricorde ». Désormais, il lui arrive même de « douter de l’inexistence de Dieu ». Par Tugdual Denis



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A ne pas rater le 4 mai sur la 5 ! Le Casse du siècle! EXIL NAZI : La promesse de l’Orient

Arrêté en 1945 à Milan, où il était en charge de la Gestapo, l’officier SS Walther Rauff parviendra à s’évader et partira en Syrie. A partir de 1945, nombre d’anciens nazis se réfugient en Amérique du Sud, mais aussi au Moyen-Orient, où ils exercent une influence non négligeable. Images d’archives, témoignages et explications de spécialistes à l’appui, ce documentaire retrace un pan méconnu de l’histoire de l’aprèsguerre. Après la victoire des Alliés sur le IIIe Reich, des milliers de nazis se cachent de crainte de se faire arrêter et d’avoir à rendre compte de leurs actes. Beaucoup d’entre eux traversent clandestinement les Alpes pour rejoindre leur ancien partenaire fasciste, l’Italie, pays où ils courent moins le risque d’être dénoncés que partout ailleurs en Europe. En attendant d’organiser leur exil, ils trouvent

souvent refuge au sein d’institutions religieuses catholiques, dont certaines proches du Saint-Siège. De la part des autorités ecclésiastiques, il ne s’agit pas uniquement ou toujours de charité chrétienne. Dans le chaos de l’après-guerre, le pape Pie XII, très concerné par la montée du communisme, et donc de l’athéisme, à travers le monde, prône la réconciliation générale. Rome devient une plateforme pour l’exfiltration des nazis en fuite. Pris en charge par des réseaux parallèles, bon nombre de ces criminels de guerre prendront la route de l’Amérique du Sud. Mais, fait moins connu, d’autres embarqueront sous des noms d’emprunt vers le MoyenOrient. C’est le cas de Walther Rauff, un haut fonctionnaire de la toute-puissante SS, qui, en 1940, trouve la solution pour éliminer plus aisément les « êtres inférieurs » (communistes, tziganes, juifs…) en Europe de l’Est

: les camions à gaz. En 1942, il est chargé de poursuivre sa mission de « nettoyage » en Egypte, puis en Palestine, mais le cours de la guerre l’en empêche. Arrêté en avril 1945 par les Alliés, celui qui est alors le chef de la Gestapo de Milan finit par s’évader. L’année suivante, c’est à Rome, où il travaille comme jardinier, puis comme professeur dans un orphelinat catholique, que Rauff renoue avec un officier syrien. Ce dernier lui propose de constituer un réseau de spécialistes allemands pour aider à la reconstruction de l’armée syrienne et à la mise en place d’un service de renseignements. Une soixantaine de nazis partiront ainsi pour Damas, dont une majorité de SS, parmi lesquels les chefs des camps d’extermination de Sobibor et de ¬Treblinka. Directement impliqués dans le conflit qui oppose la Ligue arabe à Israël en 1949, ces experts de la guerre de ¬mouvement se retrouveront par la suite en Egypte, ainsi que d’autres officiers allemands recrutés plus tard, où ils exerceront en toute impunité le rôle de conseillers militaires et de formateurs. Y.L DOCUMENTAIRE DURÉE 52’ AUTEURE-RÉALISATRICE GÉRALDINE SCHWARZ PRODUCTION ARTLINE FILMS, AVEC LA PARTICIPATION DE FRANCE TÉLÉVISIONS ANNÉE 2014

EXPO au Mémorial de la Shoah : Les Enfants des Ghettos gique et psychique.

Gradué par l’autorité allemande, le processus d’affamement des Juifs est programmé pour briser toute résistance.

Souffrance quotidienne dans les ghettos, la faim ôte toute velléité de révolte en réduisant chacun à un état d’extrême misère, physiolo-

Se procurer de quoi manger est donc la principale préoccupation des habitants des ghettos qui mettent en place, quand ils le peuvent, une contrebande de denrées alimentaires avec l’extérieur. Celle-ci est surtout le fait des

enfants, qui souvent nourrissent l’ensemble de leur famille. Parvenant à se faufiler hors du ghetto, ils reviennent avec des produits camouflés sous leurs vêtements, risquant à chaque reprise de se faire arrêter, comme le montre cette photo issue du centre de documentation du Mémorial. Cette expo saisissante est à voir. Yvan Lellouche

Yom Hashoah journée à la mémoire des victimes de la Shoah Chaque année, en Israël et partout dans le monde, comme ici à Paris, un hommage a été rendu lors du Yom HaShoah aux 6 millions de Juifs morts durant la Seconde Guerre mondiale, victimes des nazis et de leurs collaborateurs.

En France, 76 000 Juifs - dont 11 400 enfants - ont été déportés vers les

camps de la mort. Seuls 2 600 d’entre eux survécurent. L’ambassadeur d’Israël en France M.Yossi Gal a fait cette citation du grand dramaturge Bertolt Brecht au cour de la cérémonie à la synagogue de Nazareth : «Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde..» Cela n’a jamais était aussi vrai en France et en Europe! Yvan Lellouche

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Dîner œcuménique

Le 8 avril à l’occasion du dîner annuel républicain «Vivre ensemble» réunissant 300 invités, Christiane Taubira, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a visité le Mémorial de la Shoah à Drancy et a déposé une gerbe en souvenir des Juifs déportés de France. Autour de l’Imam Hassen Chalghoumi, Président de la Conférence des Imams de France, de Tarak Ben Ammar et de l’écrivain Marek Halter, trois cents invités ont été conviés pour la deuxième année à un dîner annuel républicain “Vivre ensemble”. Parmi les invités figuraient, entre autres, Amel Karboul, ministre du Tourisme de Tunisie, Antoinette Montaigne, ministre de la Communication et de la Réconciliation nationale de Centrafrique, Regina Konzi Mongot, ministre déléguée Urgences Humaines de Centrafrique, les députés français Jean-Marie Le Guen, Yves Jégo et Jean-Christophe Lagarde. De nombreux pays ont été représentés par leurs ambassades : la Libye, le Tchad, l’Arabie Saoudite, l’Azerbaïdjan, le Pakistan, les États-Unis, le Royaume de Bahreïn, l’Etat d’Israël, la Tunisie, la Turquie, l’Afrique du Sud . Des très nombreuses associations été représentées. On noter également la présence de l’ancienne ministre Valérie Pècresse et du Président du Consistoire Joël Mergui et des Grands Rabbins Michel

Gugueheim et Olivier Kaufmann. Nous étions très peu nombreux il y a 7 ans lorsque nous avons soutenu l’action d’Hassen Chalghoumi un musulman originaire de Tunisie, ouvert au dialogue. Je me réjouis que d’autres sont venus se joindre à lui pour amplifier son message d’ouverture en France. Il est rare de voir un musulman autant investi dans le dialogue avec le judaïsme. En dehors des voyages qu’il a effectué ce dernières années en Israël avec de nombreux délégations, l’imam de Drancy a récemment pris part au Mémorial de la Shoah à la lecture des noms des juifs déportés de France, qui est une première. Ayant grandi dans l’esprit d’un judaïsme tolérant notamment auprès de mes maitres Moché Mazouz zatsal ou Rabbi Fraji Uzan zatsal, j’ai toujours pensé qu’il était possible à travers la reconnaissance et le respect mutuelle d’avancer sur le chemin de la paix. A l’heure ou le gouvernement français prend des mesures contre les jeunes «Djihadites» français qui s’engagent pour combattre en Syrie, il est plus que jamais nécessaire de renforcer l’action de Chalghoumi, un militant engagé pour le vivre ensemble en France. Yvan Lellouche



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Parachat Emor : Un peuple où chacun est responsable de l’autre moment donné à un individu comporte une finalité unique qui ne se retrouvera jamais chez un autre à aucun moment de l’histoire de l’humanité. Il est d’une absolue nouveauté. C’est cela que la Thora appelle «Ola Hadacha» nouvelle offrande. Nous ne pouvons y accéder qu’après avoir progressivement, au moyen d’un service pur et loyal; banni l’impureté de nos vies.

La sortie d’Egypte que nous avons vécue avec la fête de Pessah, a constitué pour nos ancêtres, une transition brutale à partir de l’assujettissement à la puissance du mal vers la soumission librement consentie au bien absolu – le «royaume d’Achem». Il aura fallu laisser s’écouler quarante neufs jours complets avant que nous puissions nous tenir devant D-ieu au mont Sinaï. Chaque année, nous continuons de compter ces quarante neuf jours entre Pessah et Chavouoth. De la même manière que les jours d’impureté, chacun des jours qui composent ce «supercycle» de sept fois sept exige qu’on le scrute attentivement afin de prévenir tout risque de retour vers la pollution morale. Chaque personne présente dans ses défenses, des failles à travers lesquelles, si

elle n’y prend pas garde soigneusement, le mal peut s’insinuer. Tel et le sens de l’expression : Vous compterez «pour vous-mêmes». Il faut que nous comptions - que nous tenions en quelque sorte notre comptabilité - au plus profond de notre être. Toutes les fois qu’une personne se trouve en présence d’un choix où les forces du bien et celles du mal sont en équilibre dans son esprit, nous disons qu’elle est parvenue à un point de «Behira». Chaque nouveau point de Behira qu’un être humain est appelé à découvrir au cours de sa progression spirituelle lui est exclusif. Jamais personne d’autre ne l’a rencontré auparavant, et jamais personne ne le découvrira dans l’avenir. De même qu’il ne peut exister deux personnes exactement identiques, de même, le choix qui s’offre à un

D’ailleurs la paracha Kedochim commence ainsi:«Kidouchin tiou ki kadoch ani Achem Elokhém» Soyez saints, car je suis Saint, Moi l’Eternel votre D-ieu!». Le Rav Chalom Messas zatsal écrit dans son livre «Véham Achémech» : « Pourquoi la paracha qui relate les relations interdites-les nudités- précède la parachat Kidouchine? Pour t’enseigner dit-il que chaque fois que tu trouveras des «barrières» d’interdictions relatives aux mauvaises mœurs, tu trouveras alors de la sainteté!» Et tout celui qui prend garde à ces interdictions est appelé «Kadoch» Saint. Un autre verset dit : «Aharé Elokim télékhou , Vébou têtvkoun..» Vous marcherez derrière D-ieu et vous vous collerez à lui.. De même qu’il est écrit «Véatêm adbekim b’Achem » Collez vous à Achem!..». Le Rav Fraji Uzan zatsal s’interroge : «Estil possible qu’un homme se «colle» à la Majesté Divine? N’est-ce pas qu’il est dit : «Achem ton D-ieu est un feu dévorant!. En fait explique le Rav, l’homme a le devoir de «copier» en quelque sorte les Middots

de D-ieu c’est-à-dire ses traits de caractère, comme par exemple sa bonté ou encore sa justice ou sa Sainteté…: «Kidouchin tiou ki kadoch ani Achem Elokhém» Soyez saints, car je suis Saint, Moi l’Eternel votre Dieu!». Pour comprendre le véritable sens de cette ordonnance, imaginons un instant qu’un pauvre se tient aux portes de la Banque de France et tend sa main…Voilà qu’une voiture s’arrête et qu’un homme aux allures bourgeoises, descend du véhicule BMW dernier modèle et rentre dans cette banque, pour effectuer un important retrait d’espèces. A sa sortie, avec une valise remplie de milliers d’euros, il se rapproche du pauvre qui n’a pas bouger de sa place et lui dit :« Monsieur,pourquoi vous tenez vous devant la banque en tendant la main ainsi? Faites donc comme moi, c’est facile, entrez dans la banque et signez un ordre de retrait! Que penserions-nous d’un tel homme? Voilà une personne qui méprise son prochain!. Pourtant, en lisant le début de la paracha Kedochim l’Eternel nous demande de lui ressembler. Est-il possible à un homme de ressembler à son créateur? C’est une requête irréalisable, une mission impossible car il est évident que la sainteté d’Achem est inaccessible à l’homme!. Nous trouvons également dans la Thora, l’évocation de la crainte que nous devons avoir d’Achem, lorsque Moïse dit : « A présent ô Israël ce que réclame l’Eternel ton D-ieu c’est uniquement de le craindre!». Apparemment la crainte et le respect d’Achem sont présentés ici comme une mission pour le moins facile… Cela suscite la question des sages du Talmud dans Bérakhot. «Craindre Achem est-ce un commandement minime? Et les sages de répondre : « Oui! Mais du point de vue de Moïse seulement..» Cela sous-entend qu’il n’est pas évident de l’exiger de tous les Bné Israël et à plus forte raison, la «Kédoucha» la sainteté qui reste la caractéristique essentielle de notre Créateur. Alors comment la Thora peut elle ordonner à tout un peuple de demeurer Saint? La réponse est que, D-ieu a créé l’homme pour le placer dans ce monde matériel et «impur». De la même manière qu’un ingénieur connait les rouages et les systèmes d’une machine sophistiquée, D-ieu connait à la perfection, les aptitudes et les limites de sa création. Par conséquent, si D-ieu estime que l’homme dispose des qualités nécessaires pour atteindre cette «Kedoucha» sainteté, c’est que cela ne fait aucun doute pour lui!. Il a donc doté l’homme de moyens pour !’atteindre grâce notamment à l’étude de la Thora. Dans cette parachat Kedouchim, il est question également de plusieurs autres interdictions, comme celles de ne pas voler, de ne pas mentir ou de ne pas nier vis-à-vis de son semblable ou même de se venger de lui ou de garder rancune. Cela est encore plus vrai lorsqu’il s’agit d’un dirigeant quel qu’il soit. Celui-ci devrait redoubler d’attention nous disent nos Sages. Mais pour Rabi Akiva le principe fondamental de la Thora reste le commandement : «Tu aimeras ton prochain comme toi-même, je suis Achem!». Sur ce même principe fondamental, Les Maximes des Pères nous enseignent : « Ne fait pas à au-

trui ce que tu ne souhaite pas qu’on te fasse à toi-même!. La parachat Emor revient sur le respect du Chabat et des fêtes de notre calendrier et vient confirmer la consécration des Cohanims. Il est clair que ceux-ci veilleront à des règles draconiennes visant a maintenir leur très haut degré de sainteté. A ce propos le Talmud nous enseigne que la famille des Lévims a été épargnée par les égyptiens des travaux d’esclavage en Egypte. Ils voyaient déjà en eux certains critères particuliers. Ils leur été interdit de se souiller par un cadavre (à l’exception d’un proche parent pour tous les Cohanim, mais pour le Grand Prêtre, il ne pourra même pas s’approcher de la dépouille de ses parents). Ces lois, comme du reste l’ensemble des lois indiquées dans le livre Vayékra, viennent pour élever l’homme audelà de ses tendances naturelles, de manière à ce qu’il intègre un idéal de spiritualité et de sainteté. Nous voyons également la nécessité pour le Cohen Gadol de se surpasser afin de dépasser ses propres forces physiques et spirituelles pour remplir ses fonctions sacerdotales. Cette exigence est demandée aux Cohanim uniquement, car ils ont été choisis par D-ieu en raison de leur haute exigence morale et spirituelle, notamment au cour de l’événement tragique du veau d’or. Grâce à cette retenue, ils se virent confier la tâche sacerdotale dans le Tabernacle, puis dans le Temple de Jérusalem. Comme l’affirme les sages, cette mission à l’origine devait être remplie par tous les premiers-nés issues des tribus d’Israël; mais hélas à la suite de cette faute effroyable, Dieu décida de confier ce rôle exclusif à la Tribu des Lévy. En fait s’il a différenciation ce n’est que pour mieux resserrer le lien étroit qui doit unir toutes les familles d’Israël. Il existe assurément un lieu intrinsèque entre tous les Juifs, puisque comme chacun sait tous proviennent de la même famille, celle d’Abraham, d’Isaac et de Yaacov. C’est ce qui constitue le socle et le fondement de la responsabilité collective d’Israël. Tous ont un rôle à jouer, chacun doit en effet se sentir en partie responsable de ce qu’il advient au peuple d’Israël ou à sa communauté «Am Israël arévim zé lazé». Chaque Béné Israël forme une toile reliée par autant de fils qu’il existe d’acteurs de ces actes. Nous pouvons à présent comprendre le dépassement que D-ieu exige du Cohen Gadol–le Grand Prêtre, comme un acte majeur et de la plus grande responsabilité envers ses frères. Le Grand Prêtre est en effet le seul qui rentrera dans le Kodêch Akodachim – Le Saint des Saints, le jour de Kippour pour expier les fautes de ses frères et ainsi fera descendre l’influence divine sur le peuple et sur le monde entier pour toute l’année. Le Rav Léon Askenasi (Manitou) zatsal et Le Rav Emmanuel Chouchena zatsal disaient souvent : «il ne faut pas s’imaginer qu’il ne reste qu’un vestige, une vieille muraille occidentale» à Jérusalem, car si les Nations du monde savaient réellement combien de bénédictions affluaient aujourd’hui encore pour eux mêmes depuis cet endroit, ils enverraient leurs armées pour protéger ce mur occidental du temple. Yvan Lellouche


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Des hackers anti-israël punis par où ils ont péché

Abbas : “Nous ne reconnaitrons jamais Israël comme État juif” “Je reconnais l’État Israël, je rejette la violence et le terrorisme et je respecte les engagements internationaux”, a-til également déclaré en réponse aux critiques du Premier ministre israélien qui reproche à l’Autorité palestinienne d’avoir opté mercredi pour un rapprochement avec l’organisation terroriste islamiste du Hamas au détriment des négociations de paix. Des déclarations omettant les incitations à la haine contre les Israéliens et la glorification du terrorisme par l’Autorité palestinienne.

Les responsables israéliens ont critiqué le discours du dictateur de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas donné samedi, lui reprochant d’avoir réitéré ses ultimatums unilatéraux et portant un coup fatal aux pourparlers de paix. Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a réaffirmé samedi qu’il ne reconnaîtrait jamais Israël comme État juif, comme l’exige le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, lors d’une réu-

nion à Ramallah du Conseil central palestinien (CCP), une instance dirigeante de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP). “Nous n’accepterons jamais de reconnaître un État juif”, a-t-il dit, rappelant que les Palestiniens avaient reconnu l’État d’Israël en 1993. M. Abbas a relevé que cette demande n’avait pas été faite à l’Égypte ou la Jordanie lorsque ces pays ont signé la paix avec l’Etat hébreu.

Le président palestinien a aussi affirmé qu’il était disposé à prolonger les pourparlers avec Israël au-delà de l’échéance du 29 avril mais à condition que le gouvernement Netanyahu libère des prisonniers, gèle la colonisation et accepte de discuter de la délimitation des frontières du futur État palestinien. M. Abbas a indiqué que les négociations avec Israël ne seraient pas menées par le nouveau gouvernement mais par l’OLP qui “représente l’ensemble du peuple palestinien”. Faouzi Ahmed

Un hacker israélien, qui a pris le pseudo de “Buddhax”, a révélé les identités des participants de la cyberattaque menée par les « Anonymous », qui a frappé un certain nombre de sites israéliens, il y a trois semaines, selon le Haaretz. Diffusant ses informations sur la page Facebook des Forces d’Elite Israéliennes, “Buddhax” a joint le lien d’un document Dropbox avec les noms, la localisation et les photos prises par leur propre webcam personnelle de ces hackers piratés-. “Je suis sûr que les “hackers” hackés d’Anonymous y réfléchiront à deux fois avant d’essayer une nouvelle fois, d’attaquer Israël ! », écrit « Buddhax » dans ce document. « Le service DDoS [distributed denial-ofservice] & défacement ne sont pas du piratage. Je ne suis pas, non plus, un très grand hacker… mais je suis assez bon pour révéler qui tu es ! ». Un défacement, défaçage ou défiguration (defacing en anglais) est un anglicisme désignant la modification non sollicitée de la présentation d’un site web, à la suite du piratage de ce site. Il s’agit donc d’une forme de détournement de site Web par un hacker. En plus d’avoir obtenu l’accès aux ordinateurs de 16 des hackers participants, Buddhax les a alertés, par un message popup qui disait : “La prochaine fois, ne participle pas à OPIsrael. Nous savons pertinemment qui tu es. Nous savons où tu habite, Israël Vivra ! » selon le Haaretz. Près d’un mois plus tard, la TV israélienne révèle qu’une unité secrète de cyber-défense a été créée au sein du Shin Bet, les renseignements intérieurs. Des dizaines de pirates travaillent pour l’unité S- 74 , le nom de code pour l’unité du Shin Bet qui protège le cyberespace israélien. Pendant des jours des opérations #op-Israel, ils se regroupent autour de leurs ordinateurs, suivent les attaques et… défendent Israël ! Quelques instants avant une action

qui va perturber le système informatique israélien, ils frappent… Les hackers anti-israéliens sont surtout bons pour parler et dans des actes de petit piratage, mais nous ne traitons pas là de l’Anonymous en général”, déclarait l’Israélien, en expliquant que “Anonymous Palestine” est fondamentalement constitué de petits groupes de hackers anti-israéliens qui décident unilatéralement de se servir du nom d ‘anonymous ». La plupart des participants ont été découverts en Malaisie et en Indonésie, d’autres au Portugal, au RoyaumeUni, en Italie, en Finlande, en Arabie Saoudite, selon un reportage de la chaîne 2 israélienne. L’attaque connue sous le nom de #OpIsrael était une attaque coordonnée contre les sites israéliens, le 7 avril, qui s’est soldée par le piratage d’un petit nombre de sites gouvernementaux et privés, selon J Weekly. Bien que quelques membres de la Knesset se soient fait détourner leurs adresses mail et mots de passe, l’agence de sécurité du pays a rapporté que ces attaques n’ont pu avoir que des résultats mineurs, selon le JerusalemPost. L’attaque de l’an dernier (2013), « en représailles contre le mauvais traitement des habitants de Gaza et d’autres régions », avait eu des conséquences plus graves, où de nombreux sites avaient été bloqués et des numéros de cartes de crédit ainsi que des répertoires emails avaient été publiés , dont ceux d’une entreprise dont on prétendait qu’elle faisait des affaires avec l’armée israélienne. Cela vaut la peine de remarquer que ce n’est pas la première fois que l’IEF révèle l’identité de membres d’Anonymous. L’an dernier, le groupe avait publié des photos, des localisations et des adresses IP de personnes dont le groupe disait qu’elles faisaient partie de l’opération. Source : businessinsider Adaptation : Marc Brzustowski



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Alerte du BNVCA

« Fabius promet de passer ses vacances en Tunisie… Ça roule pour Karboul»

Le BNVCA est alerté par de nombreux correspondants scandalisés par les propos venimeux tenus par le journaliste Emeric Caron, lors de l`enregistrement de l`émission ON N’EST PAS COUCHE, samedi 26 avril 2014 à Propos de la sortie du FILM 24 JOURS d`Alexandre Arcady qui évoque le rapt, les tortures, et l`assassinat du jeune Juif Ilan Halimi, parce que juif, Le BNVCA rappelle que dès la découverte du corps meurtri de cet enfant juif, nous avions qualifié cet assassinat d`antisémite, en raison des éléments que nous avions recueillis dès le 14 février 2006. Selon les témoins dans la séquence coupée par la production de l`émission Mr CARON aurait déclaré :``et l`armée israélienne qui tue les enfants palestiniens...vous voulez les chiffres` `comme pour justifier le meurtre de juifs .Caron serait-il désormais à classer parmi ceux pour qui les victimes ne peuvent être que coupables puisque juives

Quelques jours après sa visite officielle en Tunisie et quelques heures avant de rencontrer le Chef du gouvernement Mehdi Jomaa, en visite en France à partir de lundi, le ministre des Affaires étrangères français, Laurent Fabius apporte un soutien anecdotique, comme il le déclare lui-même, en annonçant «qu’il comptait passer une partie de ses vacances en Tunisie, afin de montrer l’exemple de la mobilisation de la France et de l’Europe en faveur de ce pays», a-t-il déclaré. Vendredi dernier à Tunis, c’est de sécurité que le ministre français a parlé, faisant savoir que la France est prête à offrir une aide sécuritaire à la Tunisie et que «ces discussions se poursuivront avec l’arrivée de Medhi Jomaa à Paris» où il sera également question d’économie.

Ne tarissant pas d’éloges ce qui a été réalisé depuis 2011 en Tunisie, réaffirmant, par ailleurs, «les progrès sur le plan économique et sur le plan sécuritaire», il promet une mobilisation de la France et de sa personne à commencer par passer quelques jours en Tunisie pour ses vacances. Sa déclaration n’est pas fortuite sachant qu’en France, les vacances des ministres et surtout leurs destinations sont suivies à la loupe par les médias. C’est généralement un sujet sensible pour le gouvernement, un enjeu de communication politique, car les ministres se doivent de montrer l’exemple en restant mobilisables et en étant à moins de deux heures de Paris. Dans le même créneau, Mehdi Jo-

maa, a, de son côté, insisté auprès des médias français que sa visite sera surtout une manière de présenter une nouvelle image de la Tunisie en rappelant aux Français qu’elle doit rester une de leurs destinations favorites pour les vacances. Laurent Fabius répond à l’invitation en attendant le retour en masse de ses compatriotes vers la destination Tunisie... Il rend surtout un grand service à la ministre du Tourisme Amel Karboul ! De source bien informée, le premier ministre de Tunisie a prévu de rendre visite à la communauté Tunisienne installée dans le quartier de Belleville à Paris. YVES PEREZ

Caron ne précise pas que si malheureusement, malgré les précautions prises par les soldats d`Israël, des civils peuvent être tués en temps de guerre, c`est parce que les terroristes du Hamas ou du Hezbollah se servent de leurs enfants comme boucliers humains, ou en installant leurs batteries de missiles dans les appartements occupés par les familles palestiniennes, enfermées de force. Ce qu`oublie de dire Mr Caron c`est que les palestiniens ne tuent pas seulement des enfants juifs, mais égorgent de préférence des familles entières. Quant à comparer l`antisémitisme a l`islamophobie, Mr CARON devrait relire les rapports de la CNDH qui précise que les actes antijuifs sont proportionnellement à la petite communauté juive visée 45 fois plus importants que les autres actes racistes. Par ailleurs, pour le BNVCA s`il est exact que des actes racistes et islamophobes existent, ils ne sont pas le fait des membres de la communauté

juive par contre, les témoignages, les plaintes, les enquêtes judiciaires prouvent que la majorité des actes antijuifs sont commis par des individus qui disent appartenir à ces communautés qui prétendent souffrir de racisme, Le BNVCA n`a eu de cesse de le prouver, le proclamer, et comme l`ont affirmé le Président de la République, l`ancien Ministre de l`Intérieur, le Président de l`Assemblée Nationale,` `l` antisémitisme contemporain avance avec le masque de l`antisionisme`` La propagande palestinienne en est la source, les propos de Mr Caron correspondent a ceux tenus par Merah le tueur antijuif de Toulouse qui a avoué avoir tué des enfants juifs pour venger les enfants palestiniens. Ce que ne dis pas, ce que ne sait pas le sieur Caron c`est le nombre important d`hommes, de femmes d`enfants palestiniens, syriens, jordaniens qui, sont sauvés par les soldats israéliens, soignes dans les hôpitaux d`Israël, En se faisant le relai d`une telle propagande mensongère, en exprimant un tel parti pris idéologique, Mr Caron tend a inciter à cette haine d`Israël qui pousse à l`acte antijuif. Le BNVCA salue la production de l`émission qui a préféré couper cette séquence polémiste odieuse et nauséabonde. Le BNVCA saisit le CSA, la direction de France 2. et la Ministre de la communication afin que des mesures soient prises pour que les professionnels de l`information n`abusent pas de la liberté d`expression pour exprimer leurs états d`âme plutôt que des faits vrais et vérifies. BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L’ANTISEMITISME 8 Boulevard Saint Simon 93700 DRANCY 0663883029 Le Président Sammy Ghozlan 06 68 5630 29


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Ce que vous n’avez pas vu dans «On n’est pas couché» à propos du film d’Arcady sur l’assassinat d’Ilan Halimi des Juifs et d’appât du gain qui a tué Ilan Halimi et qui fait des ravages dans la jeunesse des banlieues, bien au-delà de ces sinistres branquignols du crime. Le cinéaste ayant évoqué la souffrance de « la Communauté », elle ajoute que cette affaire ne doit pas être seulement celle des Juifs. Je l’avoue, l’insistance de certains milieux juifs à imputer ce crime odieux à la seule passion antisémite à l’exclusion de toute autre affect mauvais et, dans la foulée, à faire de Ilan Halimi le « mort des Juifs », m’a souvent mise mal à l’aise. En tout cas, Polony a raison : l’antisémitisme n’est pas le problème des Juifs.

Aymeric Caron est de gauche. La preuve, il n’aime pas qu’on tue des enfants. Surtout quand ce sont des enfants palestiniens tués par des soldats israéliens – ce qui, malheureusement arrive, comme dans toutes les guerres, même si on n’a jamais vu les Israéliens acclamer un tueur d’enfants comme l’ont fait les Libanais en accueillant en héros Samir Kuntar, dont le haut fait d’armes était d’avoir fracassé la tête d’une fillette israélienne sur des rochers. Passons, un enfant est un enfant et moi non plus, je n’aime pas que les enfants meurent. Cependant, on dirait que l’amour des enfants peut faire perdre tout discernement aux plus grands intellectuels. Oui, Caron est un grand intellectuel sinon, il n’aurait pas eu les honneurs de l’éditorial de Jean Birnbaum dans Le Monde des Livres, pour son dernier ouvrage, plaisamment intitulé Incorrect. De méchantes langues vous diront que ce texte indigent et truffé de calomnies court avec zèle d’un lieu commun à une contre-vérité. Pas moi. Pourtant, pour m’attaquer, cet esprit supérieur ne s’est pas donné la peine de me lire, sans doute par peur d’être influencé. Je lui pardonne volontiers, car Caron, et Birnbaum avec lui, dénonce courageusement mon omniprésence médiatique. N’ayant aucun engagement régulier à la télévision, il m’arrive assez fréquemment d’être invitée ici ou là – s’agissant du Service public deux ou trois fois l’an par Taddéï : alors oui, je suis flattée que mon aimable confrère, si j’ose dire, me voie dès qu’il allume la télé – quand le pauvret, lui, résiste dans l’ombre sur France 2 le samedi soir. Que je puisse indisposer, au point que mon image les poursuive, des adversaires aussi titrés, sans avoir à bouger de chez moi, que le patron d’un grand supplément littéraire et

un chroniqueur-vedette se mettent à deux pour me cogner, j’avoue que cela me va droit à l’égo. Je suis partout ! D’accord, ce n’est pas le sujet. Quoique. En vrai, c’est toujours un peu le même sujet: la morgue satisfaite, la bonne conscience d’airain, la haine de la différence intellectuelle qui s’avancent dans les habits de la vertu, du courage et de la tolérance ; le refus de toute complexité drapé dans l’indignation ; les idées courtes et les phrases longues. Oui, oui, les faits, j’y viens ! Vendredi soir, pendant le tournage de « On n’est pas couchés ! », une altercation, assez violente paraît-il, a mis aux prises Aymeric Caron, chroniqueur gauche de Laurent Ruquier, et le metteur en scène Alexandre Arcady, venu défendre 24 jours, son film sur la séquestration et l’assassinat de Ilan Halimi. J’ai entendu parler de cet incident par quelqu’un, qui en avait entendu parler par quelqu’un… qui connaissait Arcady ou une de ses connaissances. Il n’est même pas scandaleux, juste révélateur d’un état d’esprit commun aux milieux islamistes et à une certaine gauche, plus active dans les médias que dans les partis – ce qui n’est pas nécessairement rassurant. Dans le paquetage idéologique de Caron et de ses multiples clones, il y a, entre autres certitudes rangées au carré, celle qu’Israël est l’un des noms du mal. Alain Finkielkraut aussi – logique, puisque Finkielkraut soutient Israël. N’empêche, il est un peu vexant que Finkie ait droit à un chapitre pour lui tout seul, et Zemmour pareil, alors que moi, j’en partage un avec « Marine », ben oui chef, pourquoi faire compliqué ? Lévy, Le Pen, tout ça, c’est qu’un tas de fachos, non ?

Revenons à notre Caron et à sa dispute avec Arcady. Il est dommage que cette édifiante scène de la vie parisienne ait été coupée au montage – chapeau au monteur car on ne voit rien. La productrice Catherine Barma en a d’ailleurs informé Alexandre Arcady à l’issue du tournage. C’est que les propos de Caron semblent avoir effaré pas mal de monde jusque dans l’équipe de l’émission, aussi a-t-elle dû penser qu’il était inutile de les infliger au téléspectateur. Cette décision est parfaitement légitime. S’agissant d’une conscience morale et d’un penseur de la stature de Caron, il est tout aussi légitime d’éclairer le public, qu’il s’emploie à rééduquer en l’insultant, sur son intéressante vision du monde. Faute de disposer des images, j’ai demandé à Alexandre Arcady de me relater l’accrochage. Par souci de loyauté envers ses employeurs, Natacha Polony a, pour sa part, préféré s’abstenir de tout commentaire, se contentant d’observer que mon récit était, dans l’esprit sinon dans la lettre, conforme à ses souvenirs. Quant à Aymeric Caron, il n’a pas dû avoir eu le temps de répondre à mes messages sollicitant sa version, mais il est le bienvenu s’il souhaite amender celle-ci. Du reste, il me remerciera certainement, car il doit être du genre à assumer ses opinions. Même pas peur. D’ailleurs, de quoi aurait-il peur : s’il était dangereux de dire des âneries, il le saurait. Polony ouvre le feu. Après quelques amabilités sur le film, elle regrette que le parti choisi par le cinéaste, raconter le drame du seul point de vue de la victime et de sa famille, l’empêche de montrer ce que cette terrible affaire dit de notre société. Il aurait fallu s’intéresser aussi aux motivations des membres du gang des Barbares, précise-t-elle. Elle veut parler de ce mélange de haine

Passablement tendu, Arcady croit déceler dans les propos de la chroniqueuse la tentation de justifier l’injustifiable. Il s’énerve un peu. Aymeric Caron, lui aussi, a entendu de travers, mais par chance, il a entendu ce qu’il voulait entendre. Je suis en partie d’accord avec Natacha, il ne faut pas se focaliser sur l’antisémitisme, embraye-t-il ravi, au grand dam de l’intéressée. Puis, consultant ses fiches soigneusement préparées, il déplore, chiffres à l’appui, que le film passe sous silence les actes islamophobes qui ont bien plus augmenté que les actes antisémites. On ne voit pas bien le rapport. Veut-il dire qu’on en fait un peu trop pour une affaire certes terrible mais isolée, quand l’islamophobie est une réalité quotidienne ? On n’ose le penser, mais Arcady en est convaincu. Le ton monte. Le cinéaste remarque fort justement qu’il n’y a plus un seul élève juif dans les écoles publiques de Seine Saint Denis. À quoi notre Jean Moulin d’opérette répond qu’il est contre tous les racismes. Tant d’audace laisse coi. Polony reprend la parole, évoque Les Territoires perdus de la République, rappelant qu’il a fallu des années pour qu’on accepte de regarder en face la réalité du « nouvel antisémitisme », en clair l’antisémitisme arabo-musulman, devenu une opinion, et une opinion courante, dans une proportion inconnue de la jeunesse des banlieues. Arcady ne sait plus comment la discussion en arrive à Merah. Si

on interrogeait Merah, déclare alors Caron, il dirait qu’il a tué des enfants juifs parce que l’armée israélienne tue des enfants palestiniens. Bien sûr, ça ne justifie rien, mais tout de même, c’est vrai que Tsahal tue des enfants. D’ailleurs, là encore, il a les chiffres. Sous le regard médusé des invités, il brandit ses notes, puisées dans le rapport d’une ONG. J’ai les chiffres ! Qu’est-ce que vous répondez à ça ? Arcady s’étrangle. Vous osez dire que l’armée israélienne tue des enfants !, hurle-t-il. Réponse un peu maladroite car la phrase de Caron est factuellement exacte, mais tout le monde a compris. En particulier Polony, qui demande à son partenaire s’il n’a pas perdu la tête. Tu viens à une émission sur Ilan Halimi avec des données sur les Palestiniens tués par l’armée israélienne, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais ? Attention, tout cela ne fait nullement de Caron un antisémite – et là, il ne s’agit pas d’une antiphrase. Espérons que nul n’aura la sottise de proférer cette accusation mensongère qui lui permettrait de jouer les offensés avec les trémolos d’usage. Caron n’est pas antisémite, il est juste l’un des meilleurs représentants de ce qu’Orwell appelait l’esprit de gramophone. Il pense ce qu’on lui a dit qu’il fallait penser pour avoir le chic radical. Laurent Ruquier, quant à lui, n’a rien vu venir. On ne saurait le lui reprocher, quand ça part en vrille, on n’y peut rien. Pour calmer le jeu, il passe la parole aux autres invités. À l’écran, on les verra rivaliser dans le bon sentiment et communier dans leur admiration pour 24 jours, un film qui devrait être obligatoire dans les écoles. Tous déclarent fermement être contre le racisme, l’antisémitisme et le nazisme, sans oublier l’homophobie qui tue, elle aussi. Tous le proclament solennellement, les heures les plus noires ne doivent pas revenir. Ouf, on peut enfin aller se coucher. Elisabeth Lévy Elisabeth Lévy est fondatrice et directrice de la rédaction de Causeur


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Les racines qu’on n’attendait pas : le djihadisme français alimenté par des familles athées Les jeunes candidats au djihad seraient davantage issus de familles athées que bercés dans un tissu familial religieux musulman. Un constat décelant que l’origine de cette vocation est nourrie par une crise identitaire. De l’athéisme au Djihad Atlantico : Alors que le Conseil des ministres se penche aujourd’hui sur les moyens de lutter contre l’expansion du djihad dans la jeunesse française, il n’est pas inutile de s’intéresser aux quelques données statistiques existantes. Le centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’Islam évoque ainsi le fait que 63 % des « candidats » potentiels étaient originaires de familles athées contre seulement 7% issus de milieux musulmans pratiquants. La dimension religieuse est-elle finalement secondaire pour comprendre les ressorts du phénomène ? Jean-Charles Brisard : Il convient tout d’abord d’être prudent sur les statistiques que vous donnez, et préciser qu’elles portent sur seulement 40 familles concernées. Elles reflètent néanmoins une tendance lourde, à savoir la multiplication des processus très rapides de radicalisation, sans lien avec un cheminement religieux, qui conduisent vers le djihad. La dimension religieuse n’est qu’accessoire et sert de justification à ces candidats au djihad, motivés avant tout par des raisons personnelles – crise identitaire et sociale – qui les conduit, individuellement ou en groupe, à concevoir le djihad comme une échappatoire. Les médias ont présenté de nombreux cas de jeunes gens se dénommant Thomas ou Romain et qui se rebaptisent Abou Shaheed pour coller à leurs nouvelles identités. Comment expliquer de telles passerelles dans des milieux qui n’ont à l’origine que peu de choses à partager avec le monde musulman ? La religion sert de prétexte à l’engagement de ces jeunes qui peuvent être récemment convertis et même dans certains cas totalement étrangers à la religion musulmane dans leur famille ou leur milieu social. Les basculements sont très rapides et le djihad est même dans certains cas un élément inhérent à la conversion pour ces jeunes. L’effet de groupe joue pleinement pour ces convertis récents qui ressentent le besoin de prendre une nouvelle identité correspondant à leur engagement. Qu’est que cette réalité sociologique dit en creux de la crise identitaire qui caractérise notre époque ? Le djihadisme est-il finalement comparable au « Mal du siècle » qui taraudait les générations du XIXe siècle ? Le djihad, on le voit avec le conflit syrien, est sorti de la sphère religieuse et s’est démocratisé. C’est dans bien des cas une aventure individuelle et un recours identitaire, alimenté par une propagande en pleine expansion sur Internet. Parmi les pistes évoquées par Manuel Valls, on avance l’idée d’une « formation » des animateurs de banlieue

Les virer de France des Jihadistes

Leur intérêt, c’est la facilité de laisser s’exprimer toute la violence animale que chacun possède et qu’une société civilisée tente de circonscrire. Ça ne demande pas d’effort, puisqu’il n’y a pas à freiner ses pulsions (je n’ose dire « ses passions »). C’est tellement plus facile que de faire ses devoirs et d’essayer d’être meilleur (quoique cette notion prenne un sens très différent dans l’Islam…).

pour qu’ils puissent « détecter » plus rapidement les individus à risques. Intéressante sur le papier, cette idée a t-elle une chance de se voir concrétiser sur le terrain ? Notre pays est très en retard dans ce domaine, comparé à la plupart des grands pays européens qui mettent en œuvre, parfois depuis plus de quinze ans, des programmes destinés à sensibiliser et identifier les personnes à risque au niveau local à partir d’indicateurs et, le cas échéant, à les signaler aux autorités. Ces programmes qui associent les acteurs éducatifs et sociaux, sont essentiels pour détecter de manière précoce les personnes à risque. Ils sont en revanche peu efficaces pour réinsérer des personnes à la dérive, notamment celles qui ont déjà basculé. Pour être efficaces, ces processus doivent également s’appuyer sur une formation des personnels locaux chargés d’identifier les dérives djihadistes. Quels moyens d’actions seraient les plus efficaces face à une telle tendance ? Les moyens préventifs sont essentiels pour identifier et entraver les dérives djihadistes, qu’ils soient mis en œuvre dans le cadre de programmes locaux ou par les services de renseignement. Mais ces seuls moyens sont inopérants sans moyens répressifs , notamment contre les sites djihadistes qui prolifèrent sur Internet, et contre les apprentis djihadistes, en particulier les jeunes. La suppression de l’autorisation de sortie du territoire des mineurs en 2013 a été une erreur. De même, d’autres mesures mises en œuvre avec succès à l’étranger, peuvent faciliter la neutralisation des candidats au djihad dès lors qu’ils sont identifiés. En Allemagne, les autorités peuvent retirer le passeport d’une personne soupçonnée de vouloir se rendre à l’étranger et de menacer les intérêts du pays ; en Belgique il existe une loi qui interdit purement et simplement de se rendre à l’étranger pour y combattre , en Belgique toujours, certaines municipalités suppriment les allocations sociales de ces personnes . Autant de mesures dissuasives qui peuvent contribuer à limiter ce phénomène. L’essentiel est de pouvoir gérer ou neutraliser judiciairement ces personnes très en amont, avant leur départ, pour ne pas avoir à gérer leur retour qui, compte tenu du nombre, serait tout simplement illusoire. Judiciairement, la France est aujourd’hui dans l’incapacité de prévenir ces départs, sauf à démontrer l’existence d’une association de malfaiteurs. Une réforme devra également être menée pour prendre en compte la dimension de plus en plus individuelle du djihad et du terrorisme. Le délitement d’une « France périphérique » qu’évoquait le géographe Christophe Guilluy en soulignant l’abandon progressif de territoires déconnectés de l’activité économique permet-il de mieux comprendre le phénomène ? Ce qui explique cette dérive, c’est d’abord une crise identitaire chez

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Après les salles de shoot, les séminaires de « resocialisation », de nursing et de déconditionnement Jihadiste. Y a t-il le moindre compromis à passer avec des individus qui, rejetant leur citoyenneté, balancent par dessus bord toute l’humanité qu’ils devraient à leur éducation ? Cependant, le contreexemple vient de ces ressortissants de familles « athées » et convertis pour le Jihad… Le Ministère de l’Intérieur, vient de dévoiler son plan pour lutter contre l’endoctrinement en France d’apprentis Djihadistes, qui veulent abandonner leurs Game Boy pour aller faire le Djihad en Syrie. C’est à désespérer, soit de la compréhension du Ministère de l’Intérieur de l’idéologie mahométane, soit de son souci réel de protéger les Français. En effet, on apprend que ce plan aura deux volets : Prévention et Ressocialisation Certes le volet « Prévention » prévoit de renforcer la surveillance de sites extrémistes ou l’on apprend à confectionner des bombes, et ou l’islam endoctrine à tour de bras, mais on peut se demander pourquoi ces sites ne sont pas tout simplement bloqués au niveau européen. C’est une question d’ordre public afin de maintenir la sécurité du territoire et des Français, et c’est surement faisable techniquement puisque la Chine y parvient très bien… Ensuite, il faut « resocialiser » cette ‘jeunesse perdue’, c’est-à-dire dépenser en vain des fortunes en psychologues, associations diverses, pour raisonner ces jeunes, les réinsérer dans notre société etc. Comprenez : Ce sont des victimes. Ils sont « paumés » et sont des proies faciles. Sauf que si avec le soutien la plupart de ces jeunes. Les facteurs économiques et sociaux sont des accélérateurs, mais rarement des déclencheurs de dérives djihadistes. N’oublions pas non plus que cette dérive n’est pas propre à la France et qu’elle touche l’ensemble des pays européens. Jean-Charles Brisard est spécialiste du terrorisme et ancien enquêteur en chef pour les familles de victimes des attentats du 11 septembre 2001. Publié le 23 avril 2014 Source : http://www.atlantico.fr

de leurs parents, ils s’étaient échinés à faire leurs devoirs, à essayer de résoudre des équations, à faire des dissertations, à apprendre l’histoire, la géographie, les langues étrangères (ils peuvent le faire, puisqu’ils apprennent bien l’arabe…), à comprendre la physique, et les sciences naturelles, ils n’auraient plus du tout eu le temps d’être « paumés ». Il leur resterait uniquement le temps d’aller faire un peu de sport pour se détendre et jouer avec leurs copains ou draguer les filles. Mais s’il y a victime, qui sont les coupables ? Est-ce que ce sont les français ? Est-ce que c’est la France ? La France leur a offert l’accès à l’éducation républicaine, à la culture, au savoir, à l’apprentissage d’un métier mais ils n’en ont pas voulu . Ce n’est surement pas elle la coupable, et ce n’est pas non plus les Français qui les ont accueillis et ont partagé avec eux les bienfaits de leur culture et les acquis de leur histoire. Et c’est à peu près la même chose dans tous les pays européens. Les coupables sont tous les Al Qaradawistes du monde qui prêchent la haine, sur Internet, mais aussi dans les rues de nos cités, et dans les mosquées. Ce sont aussi leurs parents qui n’ont pas su les éduquer. Pourquoi la France et les Français devraient-ils payer et réparer des fautes qu’ils n’ont pas commises ? Ce n’est ni juste, ni responsable. Que l’on soit croyant ou pas, on bénéficie tous d’une liberté individuelle, et il est possible à chacun de faire des choix au mieux de ses intérêts. Pour ces apprentis Djihadistes, leur choix, leur intérêt est d’aller apprendre à soumettre ou à tuer « les infidèles ».

J’aimerai bien que l’on m’explique en quoi, cette graine de vermine est utile à la France. Si, c’est uniquement pour permettre à notre part « d’humanisme » de s’exprimer, il y a suffisamment de personnes à aider en France avant de dépenser autant d’énergie à essayer, en vain, de la récupérer. Le Ministère de l’Intérieur, la France, et les Français n’ont pas à être la Croix Rouge ou mère Térésa. C’est pourquoi, je préconise une toute autre solution que celle du Ministère de l’Intérieur. 1°) Bloquer tous les sites qui incitent et encouragent le Djihad. 2°) Laisser partir loin de chez nous tous ces apprentis Djihadistes qui rêvent d’aller se faire tuer pour Allah. Vu le Chaos qui règne en Syrie avec des organisations Djihadistes concurrentes, comme Al Nosra, le Hezbollah, et l’Etat Islamique en Irak et au Levant [EIIL], c’est le meilleur moyen de nous débarrasser de cette vermine et de les laisser s’exprimer conformément à leurs désirs. 3°) Interdire tout retour dans notre belle Europe, avec une perte immédiate de leur nationalité, de leur passeport, et de tous les avantages qui y sont attachés pour « vraiment » protéger les Français. En gros, eu égard à l’enjeu sécuritaire qui se pose pour nos concitoyens, au lieu de « Prévention » et « Ressocialisation », je propose « interdiction », « expulsion », « sanction » et « Répression ». Comme ça, on est sûr qu’ils comprendront , et qu’on aura éliminé une part du danger dans nos contrées. N’est ce pas le but ? Stéphane HADDAD



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Dieudonné face aux propriétaires de son théâtre: renvoi au 27 mai

François Hollande, Philippe Bilger et Christiane Taubira Mais peut-être la prétendue fermeté accrue de la justice n’a-t-elle concerné que les atteintes aux personnes?

Est-il permis d’être encore candide, en des temps où les cyniques passent pour intelligents?

Le tribunal de grande instance de Paris a renvoyé mardi au 27 mai l’affaire opposant Dieudonné aux propriétaires du théâtre parisien de la Main d’Or, qui cherchent à expulser le polémiste de cette salle, où il donne ses spectacles depuis presque 15 ans. Dieudonné s’était déplacé en personne, avec plusieurs gardes du corps, au TGI de Paris. Il a jugé qu’il se trouvait «face à un propriétaire (de théâtre) qui se comporte comme un maître esclavagiste» et a pronostiqué qu’il pourrait «rester» au théâtre de la Main d’Or pour s’y produire. Mais le polémiste n’a pas souhaité s’appesantir sur le différend qui l’oppose aux propriétaires du théâtre, préférant parler aux nombreux journalistes présents des conditions de la mort de Saïd Bourarach, un vigile qui avait été retrouvé noyé dans le canal de l’Ourcq (Seine-Saint-Denis) en 2010. Venu avec la veuve de M. Bourarach, Dieudonné a déclaré que le vigile qui avait été retrouvé noyé après une

altercation avec quatre personnes devant le magasin de bricolage qui l’employait, avait été assassiné «en toute impunité» par «des terroristes israéliens». L’affaire de la Main d’Or a été renvoyée parce que la demande de récusation des juges de la 18e chambre du tribunal de grande instance de Paris formulée par les avocats de Dieudonné n’avait pas été examinée par la Cour d’appel de Paris. Les avocats de Dieudonné estiment que l’assignation des propriétaires du théâtre de la Main d’Or est entachée de nullité et ont demandé le renvoi du dossier devant un juge spécifique, le juge de la mise en l’état, pour qu’il tranche sur cette question. Les juges de la 18e chambre du TGI ayant refusé de renvoyer l’affaire devant le juge de la mise en état, les avocats de Dieudonné avaient décidé de les récuser. Cette affaire a déjà fait l’objet de plusieurs renvois.

Dieudonné face aux propriétaires de son théâtre: renvoi au 27 mai Le tribunal de grande instance de Paris a renvoyé mardi au 27 mai l’affaire opposant Dieudonné aux propriétaires du théâtre parisien de la Main d’Or, qui cherchent à expulser le polémiste de cette salle, où il donne ses spectacles depuis presque 15 ans. Dieudonné s’était déplacé en personne, avec plusieurs gardes du corps, au TGI de Paris. Il a jugé qu’il se trouvait «face à un propriétaire (de théâtre) qui se comporte comme un maître esclavagiste» et a pronostiqué qu’il pourrait «rester» au théâtre de la Main d’Or pour s’y produire. Mais le polémiste n’a pas souhaité s’appesantir sur le différend qui l’oppose aux propriétaires du théâtre, préférant parler aux nombreux journalistes présents des conditions de la mort de Saïd Bourarach, un vigile qui avait été retrouvé noyé dans le canal de l’Ourcq (Seine-Saint-Denis) en 2010. Venu avec la veuve de M. Bourarach, Dieudonné a déclaré que le vigile qui avait été retrouvé noyé après une

altercation avec quatre personnes devant le magasin de bricolage qui l’employait, avait été assassiné «en toute impunité» par «des terroristes israéliens». L’affaire de la Main d’Or a été renvoyée parce que la demande de récusation des juges de la 18e chambre du tribunal de grande instance de Paris formulée par les avocats de Dieudonné n’avait pas été examinée par la Cour d’appel de Paris. Les avocats de Dieudonné estiment que l’assignation des propriétaires du théâtre de la Main d’Or est entachée de nullité et ont demandé le renvoi du dossier devant un juge spécifique, le juge de la mise en l’état, pour qu’il tranche sur cette question. Les juges de la 18e chambre du TGI ayant refusé de renvoyer l’affaire devant le juge de la mise en état, les avocats de Dieudonné avaient décidé de les récuser. Cette affaire a déjà fait l’objet de plusieurs renvois.

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Parmi les qualités qu’on donnait encore sans barguigner à notre président si contesté, demeurait l’habileté. C’est ainsi que l’on interprète la nomination à Matignon du socialiste le plus droitier qui aura accepté d’être entouré par ses camarades les plus gauchers. L’auteur de ces lignes, certes peu rompu aux calculs d’appareils, ne trouve pas l’exercice bien adroit. Le choix du premier ministre a réussi à mécontenter la gauche. Celui de ses collègues a courroucé le centre jusqu’à la droite. Bref, que des mécontents. Surtout, est-il encore temps d’être habile lorsque votre maison brûle et que l’on vous estime à peine habilité à quérir les pompiers? La vraie habileté n’est pas de souffler sur les braises des produits de synthèse. Elle est d’y renoncer, pour décider enfin d’une ligne. Aux résultats des élections, elle ne pouvait qu’être plus droite. Cette semaine, le journaliste du Monde chargé de la justice, considérait dans son blog du 3 avril, que Le Figaro et Valeurs Actuelles ne pouvaient pas traiter sérieusement de ces questions dont il est spécialiste, dont, sans doute, il estime son journal seul compétent, moralement et intellectuellement, pour en parler. Ces considérations, dont la modestie ne frappe pas de prime abord, étaient contenues dans une rapide relation de l’opus de Philippe Bilger Contre la justice laxiste (L’Archipel) qui tient plus de l’exécution que de la recension. Le titre: «notre ami Philippe Bilger se collardise» équivalant, dans l’esprit de son inventeur, à une sentence de mort sinon civile, au moins éditoriale. Dès lors, il peut paraître assez vain de vouloir argumenter sur les arguments de Frank Johannes, puisque c’est de lui qu’il s’agit, qui mériteraient davantage de considération s’ils n’étaient agrémentés d’observations méprisantes sur toutes les personnes physiques et morales (comme l’Institut Pour la Justice que j’ai l’honneur de défendre) qui n’ont pas l’heur de partager des conceptions judiciaires que ne renierait pas le Syndicat de la Magistrature.

J’observe, en passant, que son journal n’aura pas stigmatisé le Mur des cons et que lui-même aura, au contraire, consacré l’un de ses blog estivaux à estimer que la condamnation de ce mur relevait de la seule manœuvre politique en me faisant même l’honneur de penser que c’était moi, avocat du journaliste qui l’avait révélé, qui était caché derrière! Soyons juste, cette posture n’était pas très différente de celle du syndicat CGT des journalistes qui avait même confraternellement réclamé la tête de leur collègue briseur de mur… Ceci posé pour l’ambiance, examinons à présent le contenu de la critique du «mauvais livre» de Bilger, au regard de son argument principal censé incarner l’intelligence généreuse. Contrairement, en effet, à ce que prétendrait l’ancien avocat général pour vitupérer «la justice laxiste», les prisons n’auraient jamais été aussi pleines qu’aujourd’hui et les peines infligées aussi longues: A la vérité, les geôles ne sont pleines que parce que, contrairement aux autres principaux pays européens, la France se refuse à en construire de nouvelles, en proportion de sa population pénale. Cesser de prononcer des peines d’incarcération au motif de cette argumentation relève donc du sophisme. Étrangement, la famille de pensée qui propage cet argument-massue, pousse des hauts cris lorsque, dans un autre domaine, on lui fait observer que le parc immobilier français est dans l’impossibilité de loger davantage d’immigrés dans des conditions décentes. Dans cette circonstance, plutôt que de préconiser une pause migratoire, elle trouve le réflexe d’exiger immédiatement davantage de constructions… Quant à la longueur prétendument accrue des peines prononcées par une justice soit disant plus répressive, l’exemple du vol montre à quel point cette appréciation tourne le dos dédaigneusement à la réalité. Ainsi, en 1971, 9.000 détenus étaient en prison pour vol simple. 40 ans plus tard, les vols simples ont été multipliés par trois. Si la justice était aujourd’hui deux fois plus sévère, il devrait y avoir 54.000 détenus pour vol simple. En réalité, il y en a aujourd’hui 3.000… Sur ce point, la justice française n’est pas deux fois plus sévère: elle est neuf fois moins sévère qu’en 1971!

Encore faux. Le nombre de détenus a certes doublé depuis 1971, mais le nombre de violences (hors homicides) enregistrées par la police et la gendarmerie a augmenté de façon bien plus importante encore. Le nombre de viols est passé en 40 ans de 1.500 à 10.000, soit une augmentation de 600%. Les coups et blessures volontaires ont augmenté de 650%, passant de 25.000 à plus de 190.000. Et je ne parle pas ici de la criminalité organisée liée au trafic de drogue, à l’évidence plus prospère aujourd’hui qu’hier. Mais en réalité, la crudité de ces chiffres est un argument rationnel, impuissant à contredire le contempteur de Philippe Bilger et de tous ceux qui partagent sa conviction que cette sollicitude particulière plutôt accordée à la délinquance qu’à ses victimes vaut encouragement. Peu importe que cette conviction est aujourd’hui partagée par la plus grande partie de la population française, qui sait dans sa chair, dans son épiderme, dans son appréhension, les progrès d’une délinquance insuffisamment jugulée. Ou au contraire, il l’importe, car partager la douleur ou la crainte populaire relèverait, pour ceux qui se figurent encore incarner l’élite, du populisme le plus méprisable. Dès lors, et quand le réel ruine l’argumentaire, reste le bon vieux mépris irrationnel. La réductio ad Collardus, par glissement, pour Bilger, puisque la réductio ad Hitlerum est réservée à Collard ou Ménard. Rien ne change. Même la cruelle réalité ne dérange. Depuis trente ans, on a asséné doctement aux français d’aimables fadaises comme: «l’insécurité est un fantasme de beaufs», «l’immigration est une chance pour la France», «printemps arabe: l’islamisme va se dissoudre dans la démocratie». Aujourd’hui on taubirase gratis. Défense de rire, sous peine de collardisation immédiate. J’ai croisé hier Philippe Bilger, la mine rose et le teint frais. Qui pourrait dire gentiment aux gens du Monde, que l’on peut désormais survivre et même bien s’endormir sur un méchant article? Lu l’excellent article de Mohamed Aissaoui dans le Figaro du 4 avril, consacré à la forte opposition à la candidature d’Alain Finkielkraut à l’Académie française. Ses prises de position politiques poseraient, paraîtil, problème. Un immortel se serait même exclamé: «le Front National ne doit pas entrer sous la Coupole!». Le Monde est un journal académique. PS: S’agissant de l’étonnante reconduction par le nouveau premier ministre de la garde des Sceaux, je ne saurais trop recommander l’excellente «lettre ouverte à Christiane Taubira» (First) adressée à cette dernière par mon ami Georges Fenech. Gilles-William Goldnadel.



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Ceci n’est pas un mur

La construction de la barrière de sécurité entre certaines villes de Judée-Samarie et le coeur d’Israël a marqué un tournant dans la lutte anti-terroriste de ces dernières années. Malgré son efficacité incontestable pour sauver des vies israéliennes, certaines associations et certains médias continuent à ne voir que les 3% de sa partie en béton afin de délégitimer sa construction. Parce qu’il faut avoir tous les éléments en main pour pouvoir juger, voici une analyse au plus près des réalités du terrain.

avec leur famille, en dansant ou en buvant une bière avec leurs amis dans une boîte de nuit à Tel Aviv.

Un axiome est nécessaire à la compréhension de la raison qui a poussé Israël à construire cette barrière de sécurité :

Malgré une baisse drastique du nombre d’attentats terroristes en Israël, la barrière n’est pas hermétique. Ces derniers mois, plusieurs attaques de terroristes vivant en Judée-Samarie ont été menées, comme l’assassinat des jeunes soldats Tomer Hazan et Eden Atias, ou comme la charge explosive placée dans un bus de la ville de Bat Yam il y a quelques semaines n’ayant heureusement fait aucune victime.

- La partie d’Israël qui borde la JudéeSamarie ne représente que 20% du territoire israélien mais abrite 70% de sa population. Cette zone est à la fois la région la plus densément peuplée et la région la plus productive d’Israël.

De Pessah à Pâques : les fêtes dopent l’économie israélienne de cartons de 3, 6 ou 12 bouteilles.

FLEURS – Le début du printemps est propice à la vente de fleurs. Au cours des quatre jours précédant Pessah, les Israéliens ont acheté des fleurs pour une valeur estimée à 10 millions de shekels (2 millions d’euros). Un quart du marché des fleurs est détenu en Israël par la marque ZERO4U. Le prix d’un bouquet de Pessah varie entre 100 et 500 shekels (20-100 euros).

Plusieurs niches commerciales profitent du “printemps israélien” : cette année, le huitième jour de Pessah coïncide avec le lundi de Pâques. Le « réveil » de certains secteurs dope toute l’activité économique. La Fédération israélienne des Chambres de Commerce vient de dresser un bilan des ventes aux cours des cinq dernières semaines : les quatre semaines précédant Pessah ainsi que durant les huit jours de la fête juive. Les résultats sont étonnants : certaines « niches » ont vu leur chiffre d’affaires plus que doubler en un mois, parfois en quelques jours.

MATSOT – Par définition, le marché de matsot a une durée de vie courte puisque cet article qui ne se vend qu’à Pessah. Cette année, les ventes de Matsot ont atteint 140 millions de shekels (30 millions d’euros), dont 80 millions pour le marché israélien et 60 millions pour l’exportation.

Pessah

RESTAURATION – Durant la semaine de Pessah, l’Israélien aime bien manger en dehors de chez lui, dans les cafés et restaurants situés dans les centres commerciaux ou dans les quartiers animés. La plupart des restaurateurs indique un chiffre d’affaires en hausse de 30 à 40%. Par exemple, le gérant de l’enseigne Café-Café estime que son chiffre d’affaires a augmenté de 30% ; chez Café Greg, la hausse frôle les 50%.

VINS ET SPIRITUEUX – Les ventes d’alcool connaissent un boom durant les fêtes ; beaucoup de caves en profitent pour lancer de nouvelles marques ou de nouveaux crus. A Pessah, les Israéliens ont consacré 150 millions de shekels (30 millions d’euros) à l’achat de vin, en préférant souvent les achats

PARFUMERIE – La moitié des ventes de parfum en Israël ont lieu à Pessah et à Rosh Ashana. Le chiffre d’affaires annuel de la branche est estimé à 100 millions de shekels par an (20 millions d’euros) : 65% des parfums vendus durant les fêtes sont destinés à des femmes et 40% à des hommes. La chaîne New-

Pharm revendique une augmentation de 25% de ses ventes à ce Pessah. PRÊT-À-PORTER – La coïncidence de Pessah avec le printemps incite l’Israélien à renouveler sa garde-robe. L’enseigne de mode Honigman estime avoir doublé son chiffre d’affaires en avril, tout comme chez Gali, chaîne spécialisée dans la chaussure. MODE ET ACCESSOIRES – Montres et bijoux font partie des cadeaux préférés des Israéliens, à donner comme à recevoir. Les principaux bijoutiers et accessoiristes ont multiplié les soldes pour attirer une clientèle à la recherche de bonnes occasions. ARTICLES DE MAISON – Si à Rosh Ashana, les Israéliens renouvellent leurs produits textiles, à Pessah leur préférence va à la vaisselle et autres cadeaux pour la maison. Selon le patron de H&O, enseigne spécialisée dans l’habillement et articles de maison, le chiffre d’affaires est multiplié par 10 durant la période des fêtes. Dans les rayons du petit électroménager, les appareils liés au nettoyage ont été particulièrement recherchés à Pessah. TOURISME – Environ 400.000 Israéliens ont séjourné à l’étranger durant les vacances de Pessah, soit 25% de plus que l’an dernier. En Israël aussi, les hôteliers indiquent un taux de remplissage proche de 100% durant Pessah. Jacques Bendelac

La barrière de sécurité a été construite pour deux raisons : éviter les attaques de snipers terroristes qui tirent sur les maisons et les véhiculent circulant sur les routes à proximité, et empêcher les jets de pierres et jets de cocktails Molotov sur les civils israéliens. Le reste de la barrière de sécurité est une simple clôture. La partie en béton ne répresente que 3% de la barrière de sécurité. La France ne représente que 7% de l’Europe. Dire que la barrière, c’est un mur, revient donc à dire que l’Europe, c’est la France. Cela vous paraît-il logique ? Il n’est pas rare en Israël d’entendre des gens dire qu’ils vivent dans une peur constante. “Pourquoi ma femme et mes filles doivent monter dans le bus qui mène à Jérusalem avec la peur qu’une bombe explose ? Depuis que la barrière de sécurité existe, la peur ressentie par les Israéliens a nettement diminué et les morts également. Entre 2000 et 2005, sans la barrière de sécurité, plus de 1000 civils israéliens ont été tués et 6000 autres ont été blessés dans des attentats-suicides, des tirs de snipers et d’autres formes de terrorisme. Il s’agit de civils tués en prenant un café, en passant leurs vacances dans un hôtel

Bien sûr, les attaques terroristes sont plus facile à mener en l’absence de contrôle. Selon l’axiome posé ci-dessus, les grandes métropoles d’Israël sont faciles d’accès pour un terroriste palestinien venant de Judée-Samarie et souhaitant mener une attaque. Alors, comment mettre fin à cette terreur qui empêche les israéliens de vivre leur quotidien normalement ?

Cette barrière est défensive et a été pensée dans le seul but d’être un obstacle à la terreur. Elle a été construite d’une manière qui peut être facilement déplacé si nécessaire. Il est important de souligner que si le terrorisme n’existait pas, elle n’aurait pas été construite. Dans le passé, Israël a déjà déplacé la barrière de sécurité pour répondre aux besoins des Palestiniens vivant en Judée-Samarie. Ces décisions ont toujours été prises conformément à la loi et à l’application du principe de proportionnalité. Par ailleurs, de nombreux points de passage ont été mis en place afin de faciliter, malgré tout, des situations particulières comme celles relatives à l’agriculture. Tsahal est pleinement engagé dans le principe d’équilibre entre le droit à la sécurité de la population israélienne et les droits de la population palestinienne dans la région. Ces deux éléments ont déterminé les emplacements pour construire la barrière de sécurité. Par:tsahal



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Faible ? Fort ? Quel Impact en Israël de la Vente de Alstom (Energie) à GE ?

Université de Jérusalem: Visualiser par les Oreilles pour les Mal-voyants algorithme de traitement d’image qui permet de traduire sous forme sonore ce que ne peut capter un simple écho, et ainsi d’augmenter la perception du monde extérieur. Une nouvelle démonstration de la plasticité du cerveau

Aider les malvoyants à mieux percevoir leur environnement est un problème fondamental pour la vie de millions de personnes et auquel de nombreux scientifiques se sont intéressés. Des chercheurs de l’Université hébraïque de Jérusalem ont récemment mis au point un dispositif innovant qui pourrait révolutionner la donne en permettant aux malvoyants de visualiser en détail ce qui les entoure… grâce à leurs oreilles. Améliorer la vision de manière non invasive Au CHPC (Center for Human Perception and Cognition) de l’Université hébraïque de Jérusalem, le professeur Amir Amedi et son équipe s’intéressent depuis une dizaine d’années à la conception et l’étude d’appareils sensoriels de substitution (SSD, pour Sensory Substitution Devices) per-

mettant de manière non invasive à des malvoyants de percevoir leur environnement et d’interagir de manière complexe avec lui 1. Le principe de leur dernier appareil, dénommé EyeMusic, est d’utiliser l’audition pour transmettre à la personne une description de son environnement proche. Un algorithme est chargé de convertir le signal visuel correspondant à une image en un signal auditif où la fréquence des notes varie suivant l’emplacement, la forme et la couleur des objets environnants. Ce procédé rappelle celui utilisé par certains aveugles arrivant à se déplacer en utilisant l’écho produit par un son émis à une certaine fréquence 2. Ce procédé, appelé écho-localisation, est similaire aux ultrasons utilisés par les chauves-souris pour se repérer la nuit. Le système imaginé par l’équipe de l’Université de Jérusalem adopte donc la même principe, tout en interfaçant un

Les participants à l’étude imaginée par l’équipe du professeur Amedi ont reçu un entraînement de plusieurs semaines afin de leur permettre d’apprendre à décoder le signal sonore transmis par l’appareil. La publication scientifique issue de cette recherche met en évidence la capacité d’apprentissage des participants, aboutissant à la fin de leur formation à la perception de formes complexes, comme l’expression d’un visage humain ou des objets de la vie quotidienne. Une expérience et un appareil similaire 3 ont également permis aux participants de percevoir et distinguer les couleurs. Tout au long de l’étude, l’équipe a pu étudier en détail grâce à l’utilisation de l’IRM les régions du cerveau activées lors de l’utilisation d’EyeMusic. Ils ont alors pu découvrir que, malgré leur cécité, les participants activaient une région du cerveau normalement dédiée à la vision active chez des personnes dotées de la vue. Ils ont également pu démontrer que, quel que soit le sens utilisé, le touché pour le braille, l’audition pour EyeMusic ou la vue pour les livres classiques, la lecture activait chez tous les sujets la même région du cortex visuel. Outre la nouvelle démonstration qu’elle fait de l’incroyable plasticité de notre cerveau, cette étude permet donc de remettre en cause le schéma classique d’un cortex divisé en différentes régions, chacune étant dédié à un sens particulier. Ces dernières découvertes scientifiques semblent ainsi plutôt montrer que le cerveau est davantage structuré selon les tâches qu’il accomplit que les flux sensoriels qu’il reçoit. Dr Paul Balança Volontaire international chercheur au Technion Crédits Photos : alexmak Source: http://www.bulletins-electroniques.com

Le grand projet de rachat par l’Américain General Electric (GE) des activités énergie d’Alstom est dans l’air et devrait se mettre en place ce weekend. (Le groupe Alstom était valorisé cette fin de semaine à moins de 8 milliards d’euros, pour un chiffre d’affaires de plus de 20 milliards l’an dernier). En Israël, Alstom, fabricant tricolore de turbines et de TGV, travaille principalement sur le rail et assez peu avec la Division Energie qui devrait passer dans les mains de General Electric (Siemens aurait fait une contre offre ce samedi pour contrer GE). Israël connait d’Alstom principalement ses TGV, métros et tramways (dont un magnifique dans la capitale de l’Etat). Ainsi la vente de la Division Energie n’aurait qu’un impact assez faible. L’opération vise selon le Figaro l’achat des actifs du groupe français liés à l’énergie (équipements pour centrales thermiques, lignes à haute tension, énergies renouvelables, soit les divisions “Power” et “Grid”) qui représentent plus de 70% de l’activité d’Alstom. Patrick Kron, le PDG de l’industriel tricolore, aime beaucoup collaborer avec la StartUp Nation qui innove comme elle respire. Donc pas de sueurs froides pour les acteurs de la relation binationale (Ambassade de France, CCIIF…) qui comptent beaucoup sur de futurs contrats de Alstom en Israël pour booster les chiffres du commerce entre les deux nations. L’ancien Ambassadeur d’Israël en France, Nissim Zvili est le Président d’Alstom Israël. Il est responsable des activités en Israël du groupe français Alstom dans les secteurs de l’énergie, du transport et autres. Nissim Zvili est considéré proche du président Shimon Peres. Il avait été ambassadeur en France entre 2002 et 2005, lorsque les relations bilatérales se sont renforcées. Récemment : « Alstom a annoncé la signature avec PSP Investment Ltd de deux contrats pour un montant total de près de 120 millions d’euros. Dans un pays hyper-concurrentiel, Alstom gagne des contrats importants qui vont soutenir l’emploi en France et la coopération des deux pays.

L’hexagone marque encore des points dans un pays réputé difficile (car toute l’élite mondiale du secteur veut y être). Il est indéniable que la récente visite du Président François Hollande en Israël aura certainement marqué les esprits des décideurs israéliens qui ont été “scotchés” par la volonté des politiques et de l’administration française dans son ensemble de travailler en longterme avec Israël ». Le Monde.fr (Copyrights) : « Ce n’est pas encore un Blitzkrieg mais cela y ressemble de plus en plus. Partiellement révélé mercredi 23 avril par l’agence Bloomberg, le projet de rachat par l’américain General Electric (GE) des activités énergie d’Alstom, qui représentent près des trois quarts de l’activité du français, s’accélère. Selon nos informations, le « deal » pourrait être bouclé dès dimanche 27 avril par Patrick Kron, et annoncé lundi 28 avril au matin, avant l’ouverture de la Bourse de Paris et la reprise de la cotation du titre Alstom, suspendue vendredi à la demande de l’Autorité des marchés financiers. Alors qu’un premier conseil d’administration s’est tenu vendredi aprèsmidi à Paris, un second est programmé dimanche après-midi. Celui-ci pourrait s’avérer décisif. Le patron de GE, Jeffrey Immelt, qui a succédé en 2001 au célèbre Jack Welch, est attendu dans la capitale dimanche, afin de poursuivre les discussions entamées avec la direction d’Alstom et rencontrer certains des principaux administrateurs du groupe. M. Immelt devrait également être reçu par Arnaud Montebourg, le ministre de l’économie, et peut-être François Hollande à l’Elysée, ou Manuel Valls, le premier ministre, si celui-ci est revenu à temps de Rome, où il doit assister à la messe de canonisation de Jean XXIII et de Jean-Paul II. « Kron veut clairement prendre de vitesse le gouvernement et boucler l’opération le plus vite possible, afin d’éviter qu’elle ne soit remise en cause », décrypte un proche des négociations pour expliquer cette accélération du calendrier ». Par: Sabine Benassaraf.



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Israël entre dans le jour de commémoration de la Shoah

tantes affiliées à l’état, fassent tout leur possible pour veiller à ce que la dignité de la cérémonie de la sirène soit maintenue, et prévenir de blesser les sentiments de la majorité des étudiants. »

Yom HaShoah, le jour de commémoration en Israël des héros et martyrs de la Shoah (Holocauste), sera inaugurée à 20h dimanche soir, avec une cérémonie au Mémorial Yad Vashem. Le lendemain matin, au son de la sirène, tous les israéliens s’arrêtent et se lèvent pour « réfléchir » sur la signification de la Shoah et la perte de six millions de Juifs, ainsi que la destruction des communautés juives d’Europe. Le trafic s’arrête, les israéliens sortent de leurs véhicules et se tiennent à côté d’eux alors que retentit la sirène. Une cérémonie officielle aura lieu à Yad Vashem, où six torches seront allumées par six survivants de la Shoah, suivi par une récitation de la prière « Kel Maleh Rahamim » qui est récitée pour les défunts, et la récitation du Kaddish pour les six millions de morts. Des cérémonies seront également organisées dans les villes à travers le pays, avec des allumages de torches, des prières et des assemblées commé-

Lundi, un certain nombre d’activités sont prévues. Le public est invité à Yad Vashem à participer à la cérémonie « Chaque Personne a un Nom », durant laquelle des personnes vont lire les noms de ceux qui ont périt durant la Shoah. Cet événement débutera à 11h. Les membres de la Knesset liront également des noms des victimes lundi matin, dans un événement distinct. moratives. Les chaînes de télévision et de radio israéliennes diffusent tout au long de cette journée des programmes relatifs à la Shoah, mettant un frein à leurs émissions habituellement exubérantes, reflétant l’humeur sombre de cette journée. Au cours des dernières années, les juifs israéliens se sont plaints à plusieurs reprises des arabes qui refusent d’arrêter de conduire ou de se lever alors que la sirène retentit, et, dans certains cas, se moquent ouvertement des Juifs. Dans une lettre écrite l’an dernier, les militants du groupe Im Tirtzou ont exigé que quelque chose soit fait à ce sujet. « Parmi les provocations, nous avons été témoins au cours du retentissement de la sirène de musique jouée fortement, d’appels téléphoniques avec des rires exagérés, des cris de slogans politiques, et plus, » ont-ils écrit, discutant de ce problème de plus en plus présent également sur les campus universitaires. « Nous exigeons que les institutions académiques, les institutions impor-

A 10h, la sirène retentira dans tout le pays, et deux minutes plus tard, une cérémonie aura lieu durant laquelle le premier ministre Benyamin Netanyahou, le président Shimon Pères et d’autre personnalités du gouvernement, de Tsahal et des autorités judiciaires placeront des couronnes de fleurs au mémorial du Ghetto de Varsovie à Jérusalem. A 17h30, un événement spécial pour les groupes de jeunes aura lieu, et à 18h30, un événement spécial pour les enfants et petits-enfants des survivants se tiendra au Théâtre Tzavta à Tel Aviv. La journée sera couronnée par une représentation spéciale de l’oratoire de Laurent Siegel, « Kaddish », par l’orchestre philharmonique d’Israël. Yom HaShoah a lieu chaque année le 28e jour du mois hébraïque de Nissan. La journée a été choisie parce qu’elle était la date hébraïque à laquelle a commencé le soulèvement du Ghetto de Varsovie il y a maintenant 71 ans…

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Bennett se moque des menaces d’Abbas

2012 que si l’impasse continue dans les « pourparlers de paix », « je mettrai les clés sous le paillasson. » « Nous entendons encore et encore les mêmes menaces, qui si nous ne progressons pas et ne lui donnons pas tout ce qu’il veut, pauvres de nous, il va briser l’AP, » a commenté Bennett.

Le ministre de l’économie Naftali Bennett a répondu mardi aux menaces du dictateur de l’autorité palestinienne Mahmoud Abbas de dissoudre l’AP si les « pourparlers de paix » ne sont pas étendus grâce à un gel de la construction juive de trois mois en Judée Samarie. Alors qu’il était à la Conférence de Ramleh, Bennett a noté qu’Abbas, qui a proféré des menaces similaires dimanche, a menacé de dissoudre l’autorité palestinienne pour la septième fois. Bennett a fait remarquer que les « menaces » d’Abbas constituent une demande à Israël de « diviser Jérusalem, libérer des assassins » et diviser le pays le long des lignes d’armistices de 1949, et que si Israël ne fait pas cela, Abbas « se suicidera. Eh bien, il doit améliorer ses arguments, quelque chose ne va pas. » S’expriment sur scène lors de la conférence, Bennett a indiqué qu’Abbas a répété ses menaces pour la septième fois. « Le 14 juin, Abbas a promis de dissoudre son gouvernement, ainsi que le 30 juillet 2008, et d’autres dates. » En outre, Bennett a été cité comme rapportant Abbas disant le 27 décembre

« Si (Abbas) fait cela pour des motifs sionistes, j’apprécie. Mais si il utilise cela comme une menace contre nous, alors je demande : quelle est la menace ? Briser l’AP qui incite au terrorisme ? Briser l’AP qui a violé les accords d’Oslo ? Briser l’AP qui paie des allocations aux meurtriers de juifs ? » a demandé Bennett. Bennett a fait une suggestion à Abbas depuis la scène, disant en anglais : « si tu vas tirer, tires, ne parle pas. » Le ministre de l’économie a ajouté : « l’état d’Israël est plus fort que les menaces d’Abbas, nous avons entendu des menaces terroristes dans le passé, nous avons entendu des menaces d’un tsunami (de boycotts), la nouvelle menace qu’ils vendent est la dissolution de l’AP. » « J’ai une nouvelle » pour Abbas, a déclaré Bennett, en référence aux menaces de remettre les clés. « Il y aura toujours quelqu’un pour reprendre les clés, et nous n’avons certainement pas l’intention d’adopter une politique de suicide national pour une si grande menace qu’est la mise en retraite d’Abbas. »



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La mascarade de Mahmoud Abbas Le Président de l’Autorité palestinienne (AP) a sorti une nouvelle carte de sa manche. L’union avec le Hamas, qui permettra des élections présidentielles et législatives. Dans cette attente, un gouvernement de consensus national composé de personnalités indépendantes sera formé sous cinq semaines.

Abbas a laissé planer la menace d’une auto-dissolution de l’Autorité palestinienne, qu’il dirige. Cette entité politique administrant seul les zones autonomes de la Judée et la Samarie, la zone A selon les accords d’Oslo, on imagine mal l’Etat d’Israël reconquérir ces territoires afin d’advenir aux besoins de cette population abandonnée.

« Le prochain gouvernement obéira à ma politique », assure Mahmoud Abbas. « Je reconnais l’Etat Israël, je rejette la violence et le terrorisme et je respecte les engagements internationaux», a-t-il assuré dans un discours de plus d’une heure depuis la Mouqata’a à Ramallah.

Pour exemple, si le Hamas se dissout, nul gouvernement israélien ne sera contraint d’envahir la bande de Gaza pour survenir aux nécessités des habitants s’y trouvant.

Un gouvernement qui cédera cependant sa place à l’OLP dans les négociations avec l’Etat d’Israël car, selon lui, elle « représente l’ensemble du peuple palestinien ». Ainsi, pense t-il, seront satisfaites les exigences du Quartette pour le Proche-Orient ! Sauf que le Quartette et la communauté internationale ne seront pas appelés à mettre en œuvre les éventuels accords de paix mais le peuple ‘’palestinien’’ directement concerné. Chacun s’interrogera donc sur la représentativité réelle de l’OLP devant, suite à cette union, incorporer le Hamas dont chacun connaît sa contribution à la paix ? Face à cet impair sont rappelés les partis israéliens refusant toute création d’une ‘’Palestine’’. Excepté que l’Etat d’Israël étant un état de droit, nul n’imaginera un parti israélien quelconque prendre les armes contre cette création décidée par le gouvernement légitime en place. Personne sauf les ‘’Palestiniens’’ ayant une doctrine à faire gober évidemment ! Dans ce même discours, Mahmoud

Dernière perle, mais pas nouvelle, du Président de l’AP dans ce discours ! « Nous n’accepterons jamais de reconnaître un Etat juif », a-t-il dit. Dans un communiqué publié le lendemain, veille de la commémoration de la Shoa, celui-ci a exhorté le gouvernement israélien « à saisir l’opportunité de conclure une paix juste et globale dans la région, basée sur une solution à deux Etats, Israël et la Palestine cohabitant côte à côte dans la paix et la sécurité ». Deux états mais pas d’état juif ? Deux états mais pas pour DEUX peuples distincts ? Serait-ce cela une « paix juste »? La Paix étant une situation de fin de conflit, à quelle ‘’paix’’ le Président à vie de l’AP convie t-il le peuple israélien ? Si pour parvenir à la Paix il faut discuter avec son ennemi, encore faut-il que celui-ci ait l’envie d’abandonner son statut inamical. Mahmoud Abbas préfère, quant à lui, abuser l’intelligence de ceux qui lui donnent du crédit. Le peuple israélien dans sa très grande majorité n’en est pas ! Publié par Victor Perez

Une fois encore la France s’avilie en votant à l’UNESCO avec les terroristes

Les états arabo-musulmans, majoritaires dans beaucoup d’organisations internationales, ont encore une fois, concocté une forfaiture à laquelle la France s’est associée. Ils ont fait adopter, à l’UNESCO, cinq résolutions, qui de session en session, ont reclassifié notamment comme sites palestiniens et principalement musulmans deux lieux saints du judaïsme : le tombeau des Patriarches à Hébron et le tombeau de Rachel à Bethléem. Une sixième résolution, adoptée, utilisant, dans son libellé, une rhétorique très dure à l’encontre d’Israël. Décide l’envoi d’une mission spéciale d’enquête à Jérusalem afin d’évaluer la situation de 18 sites de la vieille ville. Nous savons, qu’en Israël, vivent de nombreux Musulmans, 20% de la population. Ils y vivent en toute sécurité. Vivent aussi en Israël, de nombreux Chrétiens. Dernièrement ils ont manifesté à Tel-Aviv, pour demander que

l’Union Européenne se préoccupe du sort des malheureux Chrétiens vivant dans les pays musulmans. Leur situation est des plus préoccupantes. Nous savons que ce sont les pays ou sont martyrisés ces malheureux Chrétiens qui sont à l’origine des ces motions à l’UNESCO mais notre pays se met du coté des malfaisants. Je vous invite à lire ce que j’ai copié et collé en provenance du site du FIGARO qui parle du combat de la France contre les djihadistes : Sur le plan géopolitique, tout d’abord, comment décrypter cet arsenal de mesures antiterroristes face au tropisme saoudien de François Hollande ? À quoi bon lutter contre la radicalisation salafiste quand on est en affaires avec les pétromonarchies qui la sponsorisent ? Par:Bernard Atlan




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