Journal Israel Actualites n°398 by epsilon media Associés

GRATUIT - Numéro 398 - Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

Le peuple juif, d’une peine à l’autre…

Elie Wiesel s’en est allé. A 87 ans, ce messager de l’humanité, Prix Nobel de la Paix, meneur de la lutte contre l’oubli, a rejoint les étoiles. Avec lui, c’est donc une partie de la mémoire vivante du peuple juif, un témoin de l’inhumanité qui s’en va. Comme nombre de ceux qui ont vécu la Shoah, Elie Wiesel était un ardent défenseur de la cause juive et de l’État d’Israël. Figure incontournable du monde juif, il était et se voulait porteur d’un message de tolérance et de paix. Et si sa voix douce, un peu fatiguée, disait sa bienveillance, de l’aveu même de tous ceux qui l’ont croisé, la lueur d’inquiétude, qui brillait dans son regard intense, disait aussi son urgence, son besoin de ne jamais laisser l’horreur tomber dans l’oubli, ou pire dans la banalité. Né en 1928, à Sighet en Roumanie (A l’époque, la ville appartient à la zone hongroise de la Transylvanie), dans une famille pauvre, il est déporté, en mai 1944, à Auschwitz-Birkenau en Pologne avec toute sa famille. Sa mère et sa petite sœur furent assassinées par les nazis. Transféré à Buchenwald, Elie Wiesel vit son père mourir sous ses yeux. Orphelin, il ne retrouve ses deux autres sœurs qu’à la fin de la guerre, lorsque le camp de Buchenwald est libéré par les nazis. Apatride, il se retrouve en France, où il étudie la philosophie puis entame une carrière de reporter pour le quotidien israélien Yediot Aharonot, qui lui offre l’opportunité de rencontrer de nombreuses personnalités. Ce n’est qu’à 30 ans qu’il revient sur son expérience concentrationnaire en écrivant La Nuit. Monumentale, l’œuvre marque le début d’une longue carrière littéraire. Auteur de romans, de pièces de théâtre et d’essais, Elie Wiezel se penche aussi sur le judaïsme à travers la série des Célébrations. Il devient citoyen américain en 1963 et obtient une chaire à l’Université de Boston. Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

Homme de combat, il s’engage, entre autres, pour le Tibet et la Bosnie et reçoit, des mains de François Mitterrand, la légion d’Honneur en 1984. Il la portera jusqu’à ce que soient révélés le passé trouble de l’ex-Président français et ses amitiés avec René Bousquet, membre actif du gouvernement de Vichy ou encore Maurice Papon. Prix Nobel de la paix en 1986, Elie Wiesel était de ceux qui éclairent le Monde. Modèle pour certains, héros pour tous, il fut surtout l’une des consciences de ce Monde qui nous échappe et semble, une fois de plus, sombrer dans le chaos. Pour le peuple juif, il représente une double boussole : celle de la sagesse, mais aussi celle de la foi : « Je peux être juif avec ou contre D.ieu. Mais pas sans D.ieu. Mon père était croyant, mon grand-père était croyant, son propre père était croyant et ainsi de suite. Comment pourrais-je rompre cette chaîne ? », disait-il. Revenir de l’enfer et croire en D.ieu, lutter contre l’oubli pour éclairer le monde, voilà qui était Elie Wiesel. Son testament, c’est cette lumière qu’il a répandue sur le monde et qui, nous le souhaitons, nous guidera à tout jamais. Il n’empêche que son décès nous fit l’effet d’un souffle d’obscurité qui s’abat sur nous. Car la semaine fut, pour Israël, et pour le peuple juif, d’une cruauté indéniable. La mort d’Hallel Yaffa, adolescente de 13 ans, assassinée de multiples coups de couteaux par un terroriste palestinien, dans son lit, à Kyriat Arba nous avait déjà frappés en plein cœur. Bien sûr, les médias du monde entier, à l’exception des nôtres, si je puis dire, ont, soit passé sous silence l’information, soit laissé comme d’habitude, entendre, à coups d’insinuations pathétiques, que la « colonisation » est un cancer qui, inévitablement, fait des victimes. Toujours et encore le même scénario, la même excuse. Qui

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fait l’impasse sur l’horreur du crime et souligne la « juste » cause des bourreaux. La mort d’Hallel fut suivie, peu après, de celle de Miki Mark, rabbin, père de 10 enfants, assassiné sous les yeux de sa famille. Sa femme est dans un état critique, et deux des enfants, qui étaient également dans la voiture sont blessés. La famille qui vit à Otniel, était en route pour passer shabbat avec la mère du rabbin qui fêtait ses 80 ans lorsqu’un terroriste les a dépassés et mitraillés. Et toujours la même nausée qui nous prend à la gorge, lorsque les youyous et les cris de joie à l’annonce de ces morts, envahissent les territoires palestiniens. La mère du meurtrier d’Hallel a même tenu à souligner que son fils, dont elle est très fière, est à ses yeux un héros. Beau héros en effet, qui a mutilé de dizaines de coups de couteaux le corps d’une enfant dans son lit.

Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26 Commerciaux : Patrick Haddad : 01 43 63 26 02

Elie Wiesel disait : « En tant que juif, je peux vivre à l’extérieur d’Israël, mais pas sans Israël. » Les bourreaux d’hier sont de retour, sous une autre enveloppe, aujourd’hui. Leur objectif est le même : nous exterminer. Et rayer Israël de la carte… Qu’ils le sachent, pas plus que les nazis, ils n’y parviendront. A Elie Wiesel, A Hallel Yaffa Ariel, 13 ans, A Michaël « Miki » Mark, 48 ans, père de 10 enfants, Ni pardon, Ni oubli Am Israel Hai Alain Sayada

Distribution - Publicité Strasbourg Logann Strauss : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Provence Alpes cote d’Azur David Botbol : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Rhone Alpes Ylan Alezra : 06 68 17 25 55

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À LA UNE

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Eloge funèbre à New York d’Elie Wiesel, salué par des hommages du monde entier de bonne volonté+», a déclaré samedi M. Obama. Rescapé des camps de la mort nazis, Elie Wiesel a consacré sa vie à la mémoire de la Shoah et à la lutte contre l’indifférence, l’intolérance et l’injustice. L’oubli, une maladie collective «L’oubli n’est pas une maladie individuelle mais collective», estimait-il. Pour «empêcher l’oubli» de la Shoah et favoriser la compréhension entre les peuples, ce «messager de l’humanité», comme l’a qualifié le comité Nobel, a créé la Fondation Elie Wiesel pour l’Humanité, avec son épouse Marion, et l’Académie universelle des cultures.

L’éloge funèbre d’Elie Wiesel, décédé samedi à 87 ans, s’est tenu dimanche matin à New York, avant son inhumation prévue dans l’après-midi, tandis que les hommages se multipliaient à travers le monde pour saluer la mémoire du prix Nobel de la paix 1986. La cérémonie, réservée à la famille et aux amis proches, soit quelques dizaines de personnes seulement, a duré une heure environ et s’est achevée vers midi (16H00 GMT) dans une synagogue du quartier de l’Upper East Side à New York, où vivait Elie Wiesel. L’inhumation devait se dérouler dans l’après-midi dans le carré juif d’un cimetière situé dans le comté de Westchester, au nord de la ville de New York, selon une source proche de l’organisation des funérailles.

Durant la cérémonie, le journaliste de télévision Ted Koppel a rappelé qu’Elie Wiesel «aimait rire», qu’il était toujours friand d’une «bonne histoire», selon Mme Insdorf. Mémorial vivant «C’était très digne. Ils ont réussi à dépeindre la vraie personnalité d’Elie», celle d’un homme qui «respectait l’humanité, qui respectait les gens», a décrit Beatrice Malovany, épouse du hazan (personne qui dirige la prière chantée lors des offices) de la synagogue, Joseph Malovany. La disparition du célèbre écrivain juif américain a été annoncée samedi à Jérusalem par le mémorial de l’Holocauste Yad Vashem. Dès l’annonce de cette disparition, les hommages ont afflué du monde entier.

«C’était extrêmement émouvant, surtout quand le fils et le petit-fils d’Elie Wiesel ont parlé», a expliqué l’écrivaine et professeure spécialiste de cinéma Annette Insdorf, après la cérémonie.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a salué sa mémoire, estimant dans un communiqué qu’il était «un rayon de lumière et un exemple d’humanité qui croit en la bonté de l’Homme».

«Ca a rendu très personnelle la perte d’un être qui existait pour tout le monde», a-telle ajouté.

«Elie, maître des mots, a exprimé par sa personnalité unique et ses livres fascinants la victoire de l’humanité sur la cruauté et le mal», a ajouté le Premier ministre.

Pour le président américain Barack Obama, avec lequel il avait un projet de livre, «Elie n’était pas seulement le plus célèbre survivant de la Shoah, il était un mémorial vivant». «Sa vie et la force de son exemple nous poussent à être meilleurs». Le président français François Hollande a salué «la mémoire d’un grand humaniste, inlassable défenseur de la paix». La chancelière allemande Angela Merkel a estimé qu’avec la mort «de l’une des personnalités les plus marquantes du siècle passé», «une voix de la morale et de l’humanité s’était (s’est) tue». «Elie Wiesel nous a tendu la main à nous, les Allemands et a travaillé avec nous inlassablement pour rendre possible un monde meilleur», a-t-elle insisté. Il avait accompagné M. Obama et Mme Merkel sur le site du camp de concentration de Buchenwald. «Après que nous avons marché ensemble parmi les fils de fer barbelés et les miradors de Buchenwald, Elie m’a dit des mots que je n’ai jamais oubliés - +La mémoire est devenue un devoir sacré pour tous les hommes

Elie Wiesel s’est engagé pour de multiples causes, contre le génocide rwandais ou les massacres ethniques en Bosnie notamment, car il avait fait le voeu «que toujours, partout où un être humain serait persécuté, (il ne demeurerait) pas silencieux». Né le 30 septembre 1928 à Sighet en Roumanie (alors Transylvanie), dans une famille pauvre, Elie Wiesel est déporté à 15 ans au camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau, où sa mère et sa plus jeune soeur sont assassinées. Son père meurt devant lui à Buchenwald où ils ont été transférés. A sa sortie du camp, en 1945, il est recueilli en France par l’OSE (oeuvre juive de secours aux enfants) et y vit jusqu’à 28 ans. Après des études de philosophie à la Sorbonne, il devient journaliste et écrivain. Son premier roman, «La nuit» (1958), sur ses souvenirs d’enfant déporté, reste le plus connu. Il sera suivi d’une quinzaine d’autres (en français, en anglais, en hébreu et en yiddish), de trois pièces de théâtre et de nombreux essais. Citoyen américain depuis 1963, Elie Wiesel a partagé sa vie entre les Etats-Unis, la France et Israël, dont il avait refusé la présidence en 2006.

À LA UNE

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Rocard et Israël : «J’ai vécu 10 ans avec une israélienne» Pareil en Palestine : j’ai du mal à citer Arafat, qui était un homme un peu tordu, mais Fayad et Abbas sont de vrais hommes de paix. Pas pour vous : vous ne les avez jamais crus. Au point de « préférer » le Hamas ! Le Hamas est une création d’Israël par le moyen d’une pression constante, pour créer une situation qui convienne au confort intellectuel de la population israélienne dans ce qu’elle croit.

Dernier long interview de Michel Rocard paru dans Israël Magazine (Copyrights) (1) : «Les Palestiniens posent comme condition préalable qu’une partie de Jérusalem devienne leur capitale, alors qu’Israël en refuse le principe. Comment aller au-delà de ce blocage ? Personne n’a jamais vu une majorité à la Knesset, prête à signer les sacrifices nécessaires à la paix. Il y a deux manières de faire la paix. L’une, c’est par la victoire, donc la destruction de l’autre : c’est ce que vous cherchez mais je ne suis pas sûr que la communauté internationale le permette, parce qu’il y a un milliard et demi de musulmans ; vous faites là un pari dangereux. L’autre, c’est le compromis : personne n’a

jamais vu de compromis où l’on gagne tout ! L’Histoire montre que les hommes s’entendent toujours sur des intérêts, des territoires, des échanges de prisonniers, des contrats commerciaux…Mais, sur des symboles, on ne s’entend jamais. Vous êtes dans une situation à l’irlandaise, l’Irlande du Sud. Un siècle et demi, des milliers de morts. Je ne comprends pas Israël. Quand on raisonne en termes de stratégie, il y a les outils de la stratégie, principalement trois : le temps, le nombre et l’espace. Vous n’avez aucun des trois. Il vous faudra faire des compromis sur des symboles. Votre gouvernement n’y peut rien aussi longtemps que le peuple d’Israël sera fier de sa force…

Je suis peiné de n’avoir jamais entendu le Grand Rabbinat d’Israël parler de la paix. Il y a de problèmes lourds, théologiques – Jérusalem, la terre – : est-ce que la terre a priorité sur les hommes vivants ? C’est une « bonne » question pour la Torah… J’attends que le Rabbinat décide si la vie d’un être humain est supérieure à des surfaces de terre et si un symbole peut se partager. C’est grand, Jérusalem… Vous, mes amis d’Israël, il faut que vous appreniez à vouloir la paix. Je suis un pro israélien de toujours –j’ai vécu dix ans avec une femme israélienne et Israël est l’Etat du monde dans lequel j’ai passé le plus de temps, en dehors de mon propre pays, mais vous nous faites peur. Vous n’aimez pas la paix.

que ça ! J’ai bien connu des équipes médicales de l’hôpital Hadassah, soutiens de l’hôpital palestinien. Mais il faut de la décision collective. J’aime Israël, sachez seulement que je suis triste…La paix, ça se construit. Et la seule chose qui soit certaine, c’est qu’il est toujours beaucoup plus difficile de perdre la paix que la guerre, intellectuellement. Je voudrais préciser que mes propos, même s’ils sont sévères, sont exprimés en sympathie. Vous vivez dans la peur et on le comprend : vous êtes pardonnables mais ça ne devrait pas vous empêcher d’être intelligents…

La guerre civile syrienne a causé, depuis mars 2011, près de 130 000 morts. La peur de l’Occident des islamistes, n’estelle pas supérieure à celle d’un dictateur comme Bechar el Assad ?

Il y beaucoup d’Israéliens qui œuvrent réellement pour la paix…

La Syrie, c’est horriblement compliqué. Il y a des tueurs de tous les côtés, les troupes de la résistance syrienne sont pour moitié des djihadistes qui sont tout aussi assassins que l’armée de Bechar el Assad…Depuis le début, les Occidentaux ne se sont jamais trouvé face à une situation où la réponse à la question « Qu’est-ce qu’il faut faire ? », était claire…

J’ai eu de nombreux amis qui ne faisaient

Source: (1) http://israelmagazine.co.il/

À LA UNE

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Disparition de Elie Wiesel. Il avait refusé la Présidence de l’Etat d’Israël

Elie Wiesel, est mort samedi, a annoncé le mémorial de l’Holocauste Yad Vashem à Jérusalem. Un porte-parole du mémorial a confirmé à l’AFP le décès de ce célèbre écrivain juif américain aux 57 livres, dont « La Nuit », publié en 1955, dans lequel il relate la mort de sa famille dans les camps nazis. Il est mort à l’âge de 87 ans et vivait aux Etats-Unis. Adolescent, il fut emmené avec son père, Shlomo, dans le camp de travail de Buna Werke, un sous-camp d’Auschwitz III-Monowitz, pendant huit ans avant d’être envoyés dans d’autres camps. Elie Wiesel a survécu tandis que son père a été battu à mort par un soldat allemand en 1945. Pour « empêcher l’oubli » de la Shoah et favoriser la compréhension entre les peuples, ce « messager de l’humanité », comme l’a qualifié le comité Nobel, a créé la Fondation Elie Wiesel pour l’Humanité, avec son épouse, et l’Académie universelle des cultures. Elie Wiesel a souvent dénoncé la responsabilité des dirigeants qui « savaient » le sort des juifs déportés, notamment Roosevelt et Churchill: en 1979, le président Carter lui avait montré les photos prises, fin 1942, par des avions militaires américains survolant Auschwitz. Il s’est engagé pour de multiples causes car

il avait « fait un voeu après la guerre: que toujours, partout où un être humain serait persécuté, je ne demeurerai pas silencieux ».

té à travers la préservation et le respect de l’héritage de l’Holocauste et le message de paix et de respect entre les personnes dans le monde.

Né le 30 septembre 1928 à Sighet, en Roumanie (alors Transylvanie), Elie Wiesel est déporté à 15 ans à Auschwitz-Birkenau, en Pologne occupée par les nazis, où sa mère et sa plus jeune sœur sont assassinées. Son père meurt devant lui à Buchenwald (Allemagne) où ils ont été transférés.

Il a enduré des atrocités les plus graves de l’humanité – y a survécu et a consacré sa vie à transmettre le message de – « Plus jamais ça ».

A sa sortie du camp, en 1945, il est recueilli en France par l’OSE (oeuvre juive de secours aux enfants) et y vit jusqu’en 1956. Après des études de philosophie à la Sorbonne, il devient journaliste et écrivain. L’écrivain français François Mauriac préface son premier roman « La nuit » (1958), son chef-d’oeuvre basé sur ses souvenirs de déportation, qui sera suivi d’une quinzaine d’autres (en français, en anglais, en hébreu et en yiddish), de trois pièces de théâtre et de nombreux essais. Ses dons de conteur se confirment dans « Le Mendiant de Jérusalem », inspiré de la guerre des Six jours. « Le testament d’un poète juif assassiné » (1980), « Le cinquième fils » (1983) et « Signes d’exode » (1985) questionnent le silence de Dieu. « Le temps des déracinés » (2003), « Un désir fou de danser » (2006) comptent également parmi ses succès. Citoyen américain depuis 1963, Elie Wiesel a occupé longtemps la chaire en Sciences Humaines de l’Université de Boston et partagé sa vie entre les Etats-Unis, la France et Israël. « Aujourd’hui, le peuple juif et le monde ont perdu plus qu’une vie – un survivant de l’Holocauste, un écrivain et un lauréat du Prix Nobel de la Paix – en la personne d’Elie Wiesel. Wiesel, a laissé sa marque sur l’humani-

J’ai eu l’honneur et le privilège de le remercier personnellement pour ses nombreuses années de travail et pour sauver le monde de l’apathie quand je lui ai décerné la Médaille présidentielle au nom de l’Etat d’Israël. Que sa mémoire soit une bénédiction pour nous tous, » a écrit le neuvième président israélien. Le président Reuven Rivlin, a aussi fait part de sa tristesse suite au décès de Wiesel. « Ce soir, nous disons adieu à un héros du peuple juif, et à un géant de l’humanité toute entière. Elie Wiesel, que sa mémoire soit bénie, incarne la détermination de l’esprit humain à surmonter les plus sombres des maux, et a survécu contre toute attente. Sa vie a été dédiée à la lutte contre la haine, et pour le bien de l’homme qui a été créé à l’image de Dieu – il a été un guide pour nous tous. L’un des plus grands fils du peuple juif, qui a touché le cœur de tant de personnes, et nous a aidés à croire dans le pardon, dans la vie, et dans le lien éternel du peuple juif. Que sa mémoire soit une bénédiction, éternellement gravée dans le cœur de la nation, » a écrit Rivlin dans un communiqué. Récipiendaire de plus de 100 doctorats honorifiques, Wiesel a reçu le Prix Médicis en France pour son livre de 1968 « Le Mendiant de Jérusalem », traitant de la réponse juive à la réunification de Jérusalem après la guerre des Six Jours. Il a également reçu la Médaille présidentielle américaine de la liberté et la GrandCroix de la Légion d’honneur française.

Il a été anobli en tant que commandant de l’Ordre de l’Empire britannique. Il a remporté le Prix Nobel de la Paix en 1986 pour son rôle dans la lutte contre la violence, la répression et le racisme. Samedi, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a qualifié Wiesel de « phare de lumière » dans les « ténèbres » de l’Holocauste et a déclaré que l’Etat d’Israël et le monde juif « versent des larmes amères » suite l’annonce de sa mort. « Elie, le maître des mots, a exprimé par son extraordinaire personnalité et des livres fascinants le triomphe de l’esprit humain sur la cruauté et le mal. Tout au long de la période sombre de l’Holocauste, dans lequel nos six millions de frères ont péri, Elie Weisel est un phare de lumière et un exemple de l’humanité qui croit en la bonté inhérente de l’humanité », at-il dit. « Je suis reconnaissant pour le privilège d’avoir connu Elie et d’avoir tellement appris de lui, » a ajouté Netanyahu dans un communiqué. Le président du Congrès juif mondial Ronald S. Lauder a également rendu qualifié Wiesel de « phare de lumière » ajoutant que le monde juif « lui doit une énorme dette de gratitude. » « Aujourd’hui, Juifs et non-Juifs du monde entier pleurent un homme qui était sans aucun doute l’un des grands maîtres juifs et penseurs des 100 dernières années. Sa disparition laisse un vide qui sera impossible à combler. Dans le même temps, ses écrits vont vivre », a déclaré Lauder. Elie Wiesel qui, en 2006, avait refusé la présidence de l’Etat d’Israël, soulignant qu’il n’était « qu’un écrivain » a confirmé, six ans plus tard, un projet de livre avec le président américain Barack Obama avec lequel il était retourné à Buchenwald en 2009. Source: http://fr.timesofisrael.com/

À LA UNE

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Israël-Turquie : Un regain des activités commerciales ?

Tous les médias l’ont annoncé, les relations entre Israël et la Turquie se normalisent. L’accord prévoit notamment le versement d’une indemnisation pour les familles des victimes turques de la flotille de Gaza de 2010, Erdogan s’engageant quant à lui de ne pas laisser se développer des activités anti-israéliennes sur son territoire et à ne plus mettre à l’épreuve le blocus maritime sur la bande de Gaza. Selon un sondage Aroutz 10 paru ce lundi, 56% des israéliens interrogés sont opposés à cet accord. La diplomatie a cependant pour habitude de faire fi de l’opinion publique, et selon Benjamin Netanyahou, l’accord avec la Turquie “aura des conséquences immenses pour l’économie israélienne”. Ces cinq dernières années, la balance commerciale turque avec Israël a été excédentaire. Alors que les exportations turques vers Israël ont augmenté de 13% pour atteindre 2,7 milliards de dollars US, les importations ont elles, reculées de 19%, soit 1,7 milliards de dollars. Selon les chiffres de l’Institut turc des Statistiques (TUIK), l’an passé, la Turquie a principalement exporté vers Israël des véhicules motorisés (464,8 millions de dollars US), de l’acier (324,7 millions) et des appareils électriques (181,7 millions). Au niveau des importations en provenance d’Israël, c’est l’énergie qui arrive en tête (898,3 millions de dollars US), suivie des produits plastiques (150,4 millions) et des machines (80,7 millions).

Entre 2011 et 2015, le nombre de touristes israéliens ayant choisi la Turquie comme destination a été multiplié par 2,8 pour passer d’environ 79 000 à près de 225 000. Le président du Conseil des affaires Turquie-Israël du Conseil des Relations Economiques Extérieures, Hasan Akcakayalioglu, affirme que les échanges économiques entre les deux pays peuvent se défaire des relations diplomatiques, rappelant que les échanges se sont développés alors que les relations diplomatiques étaient au plus bas. “Les entrepreneurs et les consommateurs des deux pays ont fait le choix de s’orienter vers ce qui est le mieux et le plus économique pour eux. Nous pensons que cette situation va se poursuivre. La normalisation des relations va augmenter le volume de nos échanges”, a-t-il estimé. Selon lui, en deux ou trois ans, le volume des échanges commerciaux entre la Turquie et Israël pourrait atteindre 7,5 milliards de dollars US. Il considère que le secteur du tourisme est celui qui pourra enregistrer la plus importante performance, en accueillant chaque année au moins un million de touristes israéliens. Aussi, cet apaisement diplomatique permettra à l’État hébreu d’offrir un débouché de près de 80 millions d’habitants pour son gaz naturel, mais devrait aussi autoriser la construction d’un pipeline à destination de l’Europe.

Qui est pour et qui est contre l’accord humiliant avec la Turquie ? Après six années d’impasse dans les relations entre Israël et la Turquie, après d’innombrables déclarations agressives de la Turquie contre Israël et les juifs, Israël a baissé la tête et signé un accord de réconciliation.

venaient et soutenaient l’accord..

Même avant que les détails de l’accord ne soient publiés (payement aux familles des victimes, responsabilité civile, etc…) les réactions ne se faisaient pas attendre.

Les principaux opposants, au sein du gouvernement, sont Moshe Kahlon et Aryeh Deri. Mais ce n’est rien par rapport à la colère de Lieberman, le Ministre de la défense.

L’ancien ministre Gideon Sa’ar accusait le Premier Ministre Netanyahu de vouloir signer un accord « humiliant ». Quelques heures plus tard, Betzalel Shmotrich exprimait aussi son inquiétude. Et les leaders de l’opposition, Herzog comme Gal’On, rejoignaient les détracteurs de « cet accord honteux. » Pour contrer ces attaques, deux membres de l’opposition, Yaïr Lapid et Tzipi Livni inter-

Jusqu’à présent, seuls deux ministres – le ministre de l’Énergie Yuval Steinitz et le ministre du Logement Yoav Galant – se sont exprimés en faveur de l’accord.

Gilad Erdan et Israël Katz,n’ont pas pris position. Quant aux citoyens israéliens: 56% s’opposent à l’accord avec la Turquie. Par A. Tann-Berger – JSSNews

FOCUS SUR LES RELATIONS TURCO-ISRAELIENNES Historiquement, la Turquie est un partenaire stratégique d’importance pour Israël. Premier pays à majorité musulmane à avoir reconnu l’État hébreu en 1950 et signataire en 1958 d’un accord de coopération “contre le radicalisme au MoyenOrient et contre l’influence soviétique”’ elle fut alors qualifiée de “second Israël” par les Frères musulmans en Egypte. Après la Guerre des Six jours et le vote de la résolution 242 à l’ONU, la Turquie a refusé de désigner Israël comme agresseur et n’a pas rompu ses relations diplomatiques. Si la présence au pouvoir de l’AKP, liée aux Frères musulmans, pousse la Turquie à engager une posture plus ambivalente, les domaines de coopération entre les deux pays demeurent nombreux. Ce partenariat s’exprime par des accords et conventions, par exemple dans les domaines de la Défense et de la haute-technologie, mais aussi par des gestes forts, la Turquie prêtant main forte à Israël en décembre 2010 à l’occasion de l’incendie du Mont Carmel, par l’envoi de deux bombardiers d’eau sur les lieux.

À LA UNE

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Israël et la Turquie officialisent la normalisation de leurs relations (EI).

Kerry.

Le secrétaire d’Etat américain John Kerry a qualifié l’accord de « pas positif ». De son côté, le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, en visite à Jérusalem, a vu dans l’accord « un important signal d’espoir pour la stabilité » du Moyen-Orient, plongé dans une série de conflits et crises».

Blocus destructeur pour Gaza Selon la Banque mondiale et l’ONU, le blocus maritime, terrestre et aérien a mené l’économie de Gaza, petite enclave coincée entre Egypte, Israël et Méditerranée au bord du gouffre. Il prive également de mouvement la grande majorité de ses 1,9 million d’habitants.

Afin de rassurer les Palestiniens, Recep Tayyip Erdogan s’est entretenu dans la nuit avec le chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, selon un communiqué de la présidence palestinienne. Le président turc a également rencontré, le 24 juin, le chef du Hamas, Khaled Mechaal, basé à Doha. Les relations israélo-turques s’étaient progressivement détériorées au cours des années 2000, avant d’être réduites de manière drastique en 2010 en réaction à l’assaut meurtrier lancé par des commandos israéliens contre le Mavi Marmara, un navire affrété par une ONG humanitaire turque pour tenter de briser le blocus imposé par Israël à la bande de Gaza. Cette opération s’était soldée par la mort de dix Turcs. Israël et la Turquie ont officialisé ce 27 juin la normalisation de leurs relations après six années de brouille, un rapprochement salué par l’ONU comme un « signal d’espoir » pour le Moyen-Orient en crise. Le retour des ambassadeurs dans les deux pays dans les plus brefs délais symbolisera la fin de cette crise diplomatique qui durait depuis 2010. En annonçant les détails de l’accord, les

dirigeants turcs et israéliens se sont félicités de cette normalisation entre deux pays qui étaient de proches alliés jusque dans les années 2000. Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a assuré qu’elle allait avoir des conséquences positives et immenses pour l’économie de son pays, qui recherche des débouchés pour les réserves gazières qu’il va commencer à exploiter en Méditerranée. Un haut responsable turc a déclaré que l’accord représentait « une victoire diplomatique pour la Turquie » tandis que le nouveau Premier ministre Binali Yildirim saluait « un pas important » après « tant d’années » de préparations pour cet accord. Le retour à des relations normales réjouit également les Etats-Unis, qui comptent sur ces deux pays alliés, la Turquie, membre de l’Otan, et Israël, pour renforcer la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique

Au cours des dernières semaines, la Turquie et Israël avaient esquissé leur rapprochement, Ankara étant mu par une volonté de restaurer son influence régionale, selon des experts. Israël s’est notamment engagé à verser 20 millions de dollars (18 millions d’euros) aux familles des dix Turcs tués lors de l’assaut contre le Mavi Marmara en 2010 en échange de l’abandon par Ankara de poursuites judiciaires contre les militaires israéliens. La Turquie avait posé trois conditions à une normalisation des relations : des excuses publiques pour l’assaut, des indemnisations financières pour les victimes et la levée du blocus de Gaza, contrôlée par le Hamas. Mais Benyamin Netanyahu a affirmé que ce blocus resterait en vigueur. « C’est un intérêt sécuritaire de haute importance pour nous. Je n’étais pas prêt à le renégocier », a-t-il déclaré à Rome où il a rencontré M.

Mais pour Israël, ce blocus est nécessaire pour empêcher l’entrée de matériaux permettant aux groupes armés de produire leurs arsenaux artisanaux. L’accord précise toutefois que la Turquie va acheminer le 1er juillet « plus de 10 000 tonnes d’assistance humanitaire » depuis le port turc de Mersin vers le port israélien d’Ashdod pour les Palestiniens de la bande de Gaza. Selon les médias israéliens, Ankara se serait engagée à empêcher le Hamas au pouvoir à Gaza de mener des activités anti-israéliennes à partir de son territoire, mais il pourra continuer à avoir des activités diplomatiques en Turquie. Benyamin Netanyahu était soumis à des pressions en Israël pour ne pas signer cet accord sans que le Hamas s’engage à restituer les corps de deux soldats israéliens tués à Gaza en 2014 mais aussi à libérer deux Israéliens présumés vivants et détenus par le mouvement islamiste. Recep Tayyip Erdogan a accepté, selon un responsable israélien, d’apporter son aide sur cette question. Avec AFP Source: http://www.rfi.fr/

« Le gâteau d’anniversaire » immonde Des palestiniens détruisent une d’un terroriste palestinien abattu famille israélienne, tuent le père

Les caméras de surveillance avaient capturé l’instant où un terroriste qui se faisait contrôler à la porte des Lions à Jérusalem, par une patrouille de la police des frontières, a dégainé son couteau puis a asséné plusieurs coups à l’un d’entre eux le 12 octobre 2015. La victime ne devra son salut qu’au gilet pare-balle qu’il portait. Le terroriste a aussitôt été neutralisé. L’incitation à la haine touche le plus haut sommet des dirigeants politiques palestiniens mais elle est surtout ancrée dans la culture de haine des palestiniens. Cette mère d’un village arabe de Judée Samarie n’a pas hésité à saboter le goûter d’anniversaire de son fils avec de la pure propagande criminelle et surtout un mauvais goût morbide et sordide. Elle a choisi une photo sans équivoque d’un terroriste palestinien qui plante par surprise son couteau dans le crâne d’un policier garde frontière. Par Reuven Emunah – Coolamnews

et font 10 orphelins !

Un Israélien a été tué et trois autres ont été blessés vendredi suite à un accident de voiture causé par une attaque à l’arme automatique entre les localités juives d’Otniel et de Beit Hagay au sud de Hévron. Selon la police, au moins vingt balles ont été tirées en direction du véhicule familial, tuant le père en présence de ses enfants. La mère est grièvement atteinte, sa fille de 13 ans est moyennement blessée et son fils de 15 ans est plus légèrement atteint. Tsahal à lancé une chasse à l’homme pour retrouver les agresseurs. Alors que le ministre des Transports Israël Katz appelle à l’instauration d’un Etat d’urgence et l’expulsion des familles des terroristes, le président du conseil régional du Sud du Mont Hevron, Yohaï Damari ainsi que le ministre de l’Education et leader du parti Habayit Hayehoudi, Naftali Benett, exigent du Premier ministre qu’il réunisse

le cabinet de sécurité avant l’entrée du shabbat. Mise à jour 17h10: Le nom de la victime a été autorisé à publication, il s’agit du directeur de la Yéshiva d’Otniel, le rabbin Mihaël Marek, z»l, père de 10 enfants. Hier matin, Hallel Yafa Ariel, une jeune fille d’Israël de 13 ans, a succombé à ses blessures à l’hôpital après qu’un terroriste arabe de 17 ans ait fait irruption dans sa maison à Kiryat Arba et l’ait poignardée dans son lit, alors qu’elle dormait paisiblement. Quelques heures après c’est à Netanya que la terreur frappait de nouveau. Un terroriste poignardait deux personnes les blessant grièvement. Avec Coolamnews – JSSNews

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Vraiment? Israël “soutient” le Traité d’interdiction des essais nucléaires

Israël “soutient” le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE) mais n’est pas encore prêt à le ratifier, a affirmé Netanyahu, près de 20 ans après l’adoption de ce pacte par l’ONU. L’Etat hébreu, qui a signé le texte sans le ratifier, “soutient le traité et ses objectifs”, a déclaré M. Netanyahu dans un communiqué après une rencontre avec Lassina Zerbo, secrétaire général de l’organisation du TICE, basée à Vienne. “La question de la ratification dépend du contexte régional et du moment approprié”, a-t-il ajouté. Adopté par l’Assemblée générale de l’ONU en septembre 1996, ce traité a été signé par 183 pays mais doit encore être ratifié par huit Etats détenteurs de la technologie nucléaire (Chine, Etats-Unis, Inde, Pakistan, Corée du Nord, Egypte, Iran et Israël) pour entrer en vigueur.

M. Zerbo a toutefois exprimé son optimisme quant à la ratification du traité par Israël, soulignant que M. Netanyahu lui avait assuré qu’il s’agissait d’une question de temps. Les autorités israéliennes “travaillent actuellement pour déterminer ce moment”, a déclaré M. Zerbo à l’AFP. Israël n’a jamais admis officiellement posséder l’arme nucléaire mais selon l’Institut pour la science et la sécurité internationale basé aux Etats-Unis, il serait doté de 115 ogives nucléaires. M. Netanyahu n’a par ailleurs de cesse de dénoncer les activités nucléaires iraniennes que Téhéran proclame pourtant entièrement civiles et qui ont donné lieu en 2015 à un accord international réprouvé par Israël. Source: http://fr.euronews.com/

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Keren Hayessod : les plus grands leaders juifs mondiaux réunis à Paris

L’institution de collecte pour Israël, a réuni, la semaine dernière, les plus grands leaders juifs mondiaux, lors du « Board of Governors ». Ce conseil d’administration mondial de l’Agence juive, qui compte 200 membres, s’est tenu à Paris, en signe de solidarité avec la communauté juive française. Temps fort de ce rassemblement : le grand dîner de gala que donnait, lundi 27 juin, le Keren Hayessod, en présence de nombreuses personnalités. Etre lié au Keren Hayessod, c’est bénéficier d’un titre de copropriété sur cette famille du peuple juif, dont Israël est le centre et Jérusalem le foyer ». Des mots forts, de Richard Prasquier, Président du Keren Hayessod France, soulignant avec beaucoup de justesse, le sens de cette présence, à Paris, du Board of Governors. Ils sont 200, en tout. Deux cents membres, issus des communautés juives du monde entier, du Conseil d’administration Mondial de l’Agence juive, le Board of Governors. C’est à eux qu’incombe la prise de décisions stratégiques et économiques orientant le travail de l’Agence. Originaires des Etats-Unis, pour la majeure partie, mais aussi du Canada, d’Australie et même du Chili, ces leaders communautaires ont tenu, cette année à se réunir à Paris, afin d’apporter un soutien, aussi fort que symbolique, à la communauté juive de France. « Nous ne vivons pas dans un pays antisémite, mais dans un pays où il y a de l’antisémitisme. » Sans fard, Richard Prasquier

a rappelé qui étaient les auteurs de ces actes et pourquoi notre pays, notre communauté, vivaient sous la menace. Il a mentionné aussi que quelques 8000 juifs avaient choisi de quitter la France, en un an. C’est pour prouver à ceux qui restent qu’ils ne sont pas, loin de là, des oubliés, que ce Board of Governors se tient à Paris. Mais c’est aussi, et surtout, pour préparer l’avenir du peuple juif du monde entier. Et quel plus beau symbole d’avenir que la présence de Nathan Sharansky. Ex-prisonnier politique soviétique, accusé d’être un espion à la solde des EtatsUnis, le désormais Président international de l’Agence juive a passé près d’une décennie dans un goulag de Sibérie, suite à son arrestation en 1977. Plus que n’importe qui, il symbolise la Renaissance du peuple juif, sa capacité à transcender les épreuves, pour en faire des victoires. Sa nécessité, toujours mise à l’épreuve, de maintenir le lien avec sa terre originelle. Il a souligné, lors de son allocution, l’importance vitale de l’œuvre qu’accomplit

le Keren Hayessod en offrant à chaque juif la chance d’entretenir ce lien avec Israël. Yoav Galant, ministre du logement israélien, a, quant à lui, tenu à mentionner qu’Israël, à la pointe de la lutte contre le terrorisme, pouvait apporter son aide à la communauté internationale dans ce combat que mène désormais la planète entière contre les forces obscurantistes de l’islamofascisme. Quant à Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État aux Relations avec le Parlement, représentant le gouvernement français lors de ce dîner de gala, il a tenu à rappeler, à l’instar de Manuel Valls, que « sans les Juifs de France, la France ne serait pas la France. Il a souligné qu’être français, ce n’est pas oublier son identité ni sa religion mais c’est au contraire tout mettre dans le pot commun ». La Marseillaise, La Hatikva, jouées l’une après l’autre par l’orchestre, ont conclu la soirée, entre ferveur citoyenne et engagement, pour les 450 invités de cette soirée d’exception.

A quoi sert le Board of Governors ? Le Board of Governors, en partenariat avec le gouvernement israélien, fixe les objectifs, les champs d’action et les budgets de fonctionnement de l’Agence Juive à travers le monde. Il est composé de représentants du Keren Hayessod, des Fédérations Juives Nord-Américaines et de l’Organisation Sioniste Mondiale. Pour la 1ère fois de son histoire, il s’est tenu à Paris. Quant au Keren Hayessod, il est l’un des principaux partenaires de l’Agence juive pour Israël, dont il finance, essentiellement par l’effort de collecte, les nombreuses missions, au premier rang desquelles se trouvent l’intégration et le sauvetage des communautés juives dans le monde, la réduction de la fracture sociale en Israël, ou encore l’éducation juive et sioniste.

Pierre Haas, une vie pour Israël Brillant homme d’affaires, Pierre Haas est aussi l’un des plus ardents défenseurs d’Israël et du sionisme et de ses valeurs. Le lundi 27 juin dernier, lors du dîner de Gala du Keren Hayessod, il a reçu devant plus de 450 membres influents de la communauté juive mondiale, le Prix Yakir, en récompense de son engagement exceptionnel. convaincre, cette année, qu’à deux conditions : la première c’est que la remise de prix se passe à Paris, et non à Jérusalem, comme c’est la tradition. En signe de soutien à la communauté juive française. Mais pas seulement : sa deuxième « exigence », si l’on peut ainsi qualifier son altruisme, était, on s’en doute, en lien avec son engagement : « J’ai demandé à ce que de nombreux jeunes soient présents, expliquait-il, encore ému, après son allocution. C’est à eux que je voulais m’adresser, pour leur faire comprendre à quel point nous avons besoin d’eux pour prendre la relève. Ils sont l’avenir, celui du peuple juif et celui d’Israël. » Il y a bien des années que le Keren Hayessod tente de convaincre Pierre Hass, infatigable compagnon de route de l’Institution, de bien vouloir accepter le prix Yakir, en gage de sa reconnaissance pour le travail qu’il a accompli au fil des décennies. Farouchement opposé à voir son engagement médiatisé, Pierre Haas s’y refusait, préférant œuvrer en toute discrétion. « Quand on croit en quelque chose, on agit, a-t-il coutume de dire. Il y a tellement d’hommes et de femmes, dans le peuple juif, qui font des choses extraordinaires, qu’il est presque indécent de recevoir un prix juste pour défendre une cause à laquelle on croit. » L’ex-homme d’affaires n’a fini par se laisser

Il a donc, avec ferveur, incité les jeunes leaders communautaires à rejoindre la cause du Keren Hayessod. « Soutenir le Keren Hayessod, c’est soutenir le peuple juif dans sa globalité et aucune autre institution ne peut se prévaloir de faire la même chose, a-t-il affirmé, soulignant, au passage, l’importance, à titre personnel, d’un tel engagement. « En tout état de cause, le bénévole reçoit bien plus qu’il ne donne, mais j’accepte ce prix pour inspirer la jeune génération, créer des motivations, susciter des vocations, a-t-il encore insisté. Chaque juif tient son destin entre ses mains. A lui d’apporter sa pierre à l’édifice et de contribuer à améliorer le sort du peuple juif, que ce soit en Israël ou dans la Diaspora. » Belle profession de foi…

Ã&#x20AC; LA UNE

Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

À LA UNE

Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

Une organisation juive offre de l’aide alimentaire à 8.000 musulmans marocains dans le besoin

Nouvelle loi d’Obama: pour entrer aux Etats-Unis, il faut donner vos noms Facebook et Twitter

Un peu plus de 8.000 marocains de confession musulmane viennent de bénéficier d’une opération humanitaire organisée par l’une des plus importantes organisations juives au monde, le Beth Loubavitch. Mille cinq cent colis alimentaires avec des dattes, des lentilles et des pois chiches ont été distribués par de jeunes juifs et musulmans à Rabat, Salé et Kénitra auprès des familles pauvres.

« Cette initiative sert de modèle pour rapprocher les chrétiens, les juifs et les musulmans, et montre que les communautés religieuses du monde entier peuvent s’unir autour de valeurs communes », a déclaré le rabbin Yechiel Eckstein, qui dirige l’IFCJ. L’an passé, l’association Lubavitch avait déjà distribué 250 kits alimentaires aux marocains lors du Ramadan.

Israël: tous les mois, 3 ouvriers meurent sur un chantier !

Un travailleur en bâtiment israélien âgé de 40 ans, est tombé du troisième étage d’un chantier, ce matin à Tel-Aviv. Arrivés rapidement sur les lieux, les paramédicaux du Magen David Adom n’ont rien pu faire. Le Département de Sécurité des EtatsUnis vient de formuler une nouvelle demande au gouvernement, afin de pouvoir mieux identifier les citoyens non-américains qui voudraient entrer aux EtatsUnis (tourisme, travail). Ainsi, dans les prochaines semaines, il sera possible que les américains demandent un accès aux « comptes des réseaux sociaux » de ceux qui veulent entrer aux Etats-Unis. Le but est clair: vérifier les antécédents et

les opinions des voyageurs. La sécurité d’Etat va donc demander, lorsque quelqu’un veut un VISA ou rempli sa demande d’ISTA, toutes les informations relatives aux comptes Facebook, Twitter, Instagram, etc… Le tout sera collecté par le site : federalregister.gov . Bravo Obama… Par Jérémyah Albert – JSSNews

Quelques heures plus tôt, un autre ouvrier, de 35 ans, a été blessé en tombant de quatre mètres sur un chantier de construction à Rishon Le-Tsion. Son état est stable. Entre le 1er janvier et le 28 juin 2016, au moins 19 ouvriers sont morts sur des chantiers en Israël, la plupart du temps à cause d’une chute mortelle. Par Greg Sulin – JSSNews

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De Moissac à Laversine

De 62 à 65, j’ai été interne au Château de LAVERSINE.

Une photo des dirigeants de l’époque, les époux SIMON, illustre l’article.

Ce furent de belles années. Arrivé de Tunisie en 61, après une année au Lycée Voltaire, j’ai entrepris un apprentissage de 3 ans.

SHATTA et BOULI SIMON, dit Marianne, ont traités ces enfants comme leur propres enfants.

3 années au cours desquelles j’ai appris bien plus qu’un métier. J’ai vaincu mes craintes, et elles étaient nombreuses. J’ai appris à vivre en communauté. J’ai appris la camaraderie et l’amitié. Voilà que, cette semaine, le magazine MARIANNE, fait paraître un article sur le sauvetage de 500 enfants juifs à MOISSAC. Pendant ma période d’apprentissage, j’avais souvent entendu la directrice de notre «maison d’enfants» parler de cette petite ville du TARN, sans en connaître l’histoire.

Tous ceux, qui comme moi, ont séjourné à LAVERSINE constataient que rien n’avait changé. Sous des dehors sévères, souvent bourrus, se cachaient deux cœurs d’or. Nous n’avons jamais connu leurs prénoms respectifs. Tout le monde, sans exception, les appelaient par leur totem, obtenu aux éclaireurs israélites de France. Le Château se trouve dans l’Oise. Entre CRIL et Saint Maximin. Quelques années plus tard, après des cours du soir, tout en travaillant le jour, je suis retourné en visite au Château sans la moindre arrière pensée. Juste un retour sur ma vie

passée. Responsable commercial d’une grosse société, l’Oise faisait partie de mon territoire. BOULI m’accueillit très chaleureusement. Il me demande ce que je fais, et aussitôt son visage s’éclaire. «Fais moi un devis, me dit-il.» Et aussitôt, il me confie une commande pour l’installation d’un système téléphonique. Aussitôt après, vers 12h30, il m’invite à déjeuner, au réfectoire. Rapide remontée du temps. Les saucisses lentilles avaient la même apparence que 10 ans avant, mais en plus, ce jour là, rien ne m’aurait paru meilleur. Puis, avant de nous séparer, Monsieur SIMON m’invite à revoir ma chambre du second étage.

Coup de blues. Je vous invite à lire cet article de MARIANNE. Il m’a offert le plaisir de rendre un hommage à SHATTA et BOULI (zal). Et de faire un clin d’œil à ceux qui furent mes amis en ce lieu. Quant à vous, vous lirez un épisode inconnu de l’histoire des juifs pendant l’occupation. Contrairement à toutes les horreurs que nous lisons ou visionnons, ici et là, pour une fois, on vous racontera que des enfants juifs, ont vécu, heureux entre 1939 et 1943, au 18, rue du Port à MOISSAC. Dans le département du Tarn et Garonne. Au cœur du Languedoc. Je ne peux les nommer tous, mais j’embrasse tous mes amis de cette période, où l’insouciance et la joie de vivre étaient nos seules préoccupations. René Seror.

Cri du coeur La journée d’hier pour moi a marqué une cassure. L’assassinat de sang froid de la petite Hallel Yaffa Ariel m’a rempli le cœur de fiel. J’ai passé des heures à regarder sa photo et son joli visage souriant et le turquoise si joyeux de son vêtement se sont tatoués dans mon cerveau à tout jamais. Je l’ai regardée et ne cesse de regarder par solidarité avec ses parents, ne serait ce que pour ressentir une infime particule du chagrin et du désespoir qui est le leur pour toujours, pour cette délicieuse fleur innocente arrachée et piétinée inutilement, à jamais. J’ai envie de hurler, de m’arracher la peau et les cheveux de frustration, mes tripes font des nœuds et une nausée visqueuse, mélange de rage, de haine, de revanche, les a envahie. Combien de Ilan Halimi, de Myriam Monsonégo, combien de plaques “Je suis Sarona”, etc., va-t-on encore devoir exhiber sur nos profils Facebook avec les sempiternelles bougies et pensées aux familles… Moi, depuis hier j’ai la haine, parce que j’ai ce visage d’ange qui au lieu de profiter de son premier jour de vacances, va inaugurer prématurément sa tombe fraichement creusée, et ça c’est une horreur impardonnable. Je n’ai jamais porté mon judaïsme en bandoulière, et la religion n’est certes pas le fil conducteur de ma vie mais circule dans mes veines l’ADN des dizaines de membres de ma famille partis en fumée quelque part en Pologne ou Allemagne parce que l’idéologie d’autres fous d’une autre époque considéraient aussi qu’il fallait tuer du juif. Alors maintenant, franchement, je me lave les mains du politiquement correct et je me sens me radicaliser parce que trop c’est trop. Ca fait des siècles, des millénaires qu’on n’aime pas les juifs. On devrait faire un

bulletin météo journalier des endroits où on porte atteinte à nos vies, à notre dignité, à nos droits, à notre nom, à notre mémoire. Un BDS par-là, une résolution à l’Onu parci (dont nous avons presque le quasi monopole). Un cimetière profané, une inscription antisémite, un assassinat par poignardage, par voiture bélier, par kalachnikoff, par jets de pierre, j’en passe… Moi, depuis hier, j’ai le baromètre sur tempête et l’aiguille ne veut pas revenir. J’en ai marre de toutes ces commémorations, de tous ces musées à la mémoire des juifs morts, des communautés disparues, des marches silencieuses, des plaques, des bougies, des mémoriaux en tous genres. On ne nous aime que morts, et encore. Alors basta ! Je ne vois pas pourquoi nous nous obligeons toujours à cette réserve, à ces standards de moralité irréprochables parce que nous sommes juifs et au-dessus de ça. Qu’est que cela nous apporte de plus, peuton comptabiliser les Hallel Yaffa Ariel que nous avons évitées ? Cette cause palestinienne, pur produit marketing à des fins douteuses, et ces réfugiés professionnels par convenance depuis des décennies, alors que depuis la nuit des temps des populations entières ont été déplacées sans compensation et dans l’oubli, est devenue un cancer et je ne vois pas comment « faire la paix » et surtout ni pourquoi même l’envisager avec « un peuple fictif » qui est capable d’engendrer un adolescent qui sciemment, va dans une maison avec le dessein préétabli de tuer de 20 coups de couteau une gamine dans son sommeil, pensant servir je ne sais quelle cause qui justifierait cette barbarie, et dont la mère se félicite ensuite de sa mort en héros au milieu de distributions de bonbons et de friandises pour fêter ça. Mais dans quel fond de poubelle peut-on imaginer un sce-

nario de merde aussi débile? Et la « communauté internationale » qui n’est « communauté » que lorsqu’il s’agit de fustiger Israël, tant on voit pour tout le reste ses dissensions étalées sous nos yeux au jour le jour, et qui ose demander bien sur des représailles mesurées et de ne pas en venir à la force brute. Pourquoi on ne leur demande jamais ça aux « palestiniens » ? Parce que nous, nous sommes des menschs qui nous posons toujours des questions, alors qu’eux, le doute, ils ne connaissent pas. Alors moi j’en ai marre d’être un mensch. Je veux être aussi con que les autres et bénéficier de la même indulgence dont on les drape depuis toujours… Nous vivons dans un monde où depuis belle lurette, l’empereur marche nu et tous nos politiciens qui jouent des coudes à celui qui

sera le plus aveugle, veulent absolument nous faire avaler ces monstruosités comme on gave des oies. Ils sont comme des gamins qui jouent avec le fameux cube découpé de formes géométriques et tous leurs efforts sont dirigés à faire entrer un carré dans un cercle et un triangle dans un carré quoi qu’il en coute aux autres et éventuellement au bout du compte à eux-mêmes. Et finalement, cela arrivera. La civilisation occidentale à force d’enfoncer dans les masses ignares et inertes le PADAMALGAM et le IL FAUT PAS STIGMATISER avec le rouleau compresseur de son aveuglement, de la tare de ses remords pseudo coloniaux mâtinés de son antisémitisme endémique, finira par s’auto détruire et tant mieux. Ce sera amplement mérité… Martine Eckerling

Poème pour Yaffa YAFFA Tu avais la vie devant toi. Une longue journée de vacances Et tu voulais en profiter. Je regarde ton visage Et je comprends ton prénom BELLE. A ce prénom magnifique Qui t’allait à merveille Se rajoute ce nom Non moins exceptionnel Celui d’un ange du ciel ARIEL.

La haine et la terreur T’ont conduite à rejoindre Ta dernière demeure. Tes parents, tes frères Tous, sans exception te pleurent Et le monde indifférent, Se plaint de ses petits malheurs. YAFFA ARIEL Pour l’éternité, tu vivras Dans nos larmes et en nos cœurs. René Seror

À LA UNE SHAVOUA TOV C’est l’usage. Une semaine s’achève avec Shabbat, Dimanche commence une nouvelle semaine. Souhaitons qu’elle sera meilleure que la précédente. Car la semaine qui s’est achevée, nous a réservé son lot de misère et de douleurs. Une enfant de 13 ans, assassinée de 20 coups de couteau et un Rav. Un Roch Yechiva,Mickey Mark, père de 10 enfants. Son épouse gravement blessée à la tête. Et deux de leurs enfants, blessés aussi dans l’attaque de leur voiture, vendredi. La seconde chaîne de la TV française relate ces événements, mais, bien entendu, nous montre la mère de l’assassin de la jeune fille, justifiant le geste odieux de son fils. «Occupation» le mot est lancé. Quand se trouvera-t-il des dirigeants honnêtes pour dire aux arabes, une fois pour toutes: «Vous occupez la moitié de la planète, conquise par la violence. Et vous contestez aux juifs le droit de posséder un bout de terre, à peine plus grand que 2 départements français?» Qui aura le courage de dire aux arabes qui vivent à nos côtés, que ce sont eux qui nous occupent? Le prétendu «modéré» ABBAS, effronté et menteur, falsificateur de j’histoire et de l’information, aspire à devenir le Président d’un pays « JUDENRAT» c’est à dire, vide de toute présence juive. 2 choses monsieur le menteur : - la première, est que tu mourras sans voir naître un 22ème état arabe. - la seconde est qu’à notre tour, excédés que

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Crimes sans châtiments nous sommes par votre présence, nous voulons un Israël, vide toute présence arabe.

la Knesset, mérite l’exil. Dans les plus brefs délais.

Et, ils parlent d’occupation? En fait, ils nous haïssent.

N’en déplaise à Sarkozy qui prétendait, voici quelque temps sur Europe 1, que la paix passait par la création d’un état palestinien. Nous répondons que notre sécurité dépend de l’évacuation de tous les arabes d’ISRAEL, vers d’autres pays arabes. Et avec eux, tous ces gauchistes, humanistes, donneurs de leçons, qui gangrènent notre état et remettent en cause la légitimité de notre nation.

Cependant, elle siège avec la bénédiction de la cour Suprême.

Finies les théories de Golda Meir et le socialisme des dirigeants de la première heure. Notre génération est révoltée.

A ceux qui prétendent la chose impossible, je leur demanderai simplement d’où ils viennent? Maroc, Tunisie, Algérie, Libye, Égypte, Pologne, Hongrie et combien de pays qui ont chassés ou tenté d’exterminer leurs juifs? Si notre sécurité doit en passer par là, il faut le faire. Ce nouvel holocauste, à dose homéopathique doit cesser, même si pour cela, il faut renvoyer nos arabes chez d’autres arabes. Et même si, une fois répartis dans ces différents pays, leurs frères les transforment en réfugiés. Que l’Europe qui les aime tant s’en charge. A notre niveau, la coupe déborde. La comédie des réfugiés, conservés par l’UNWRA, pour créer une épine dans le pied d’Israel n’a que trop duré.

Ce ramassis de gauchistes, prêts à nous vendre, ou plutôt à nous donner, puisqu’ils n’ont rien à gagner de leur comportement désastreux. En revanche, aussitôt qu’elle crache son venin, en pleine Knesset, les heures qui suivent se révèlent meurtrières pour nos familles. EXIT, miss Poubelle. J’entends d’ici les bien pensants, les politiquement corrects, les pas d’amalgame, me traiter de raciste. Je leur répondrai sans hésiter, «Et ce qu’ont fait les arabes, et ce qu’ils continuent de faire, tant envers nous, qu’envers leurs semblables? Ce n’est pas du racisme?» Notre génération est née avec un état: ISRAEL. C’est notre terre. Et si nous avons une terre, Ceci qui fait de nous une NATION. Depuis 70 ans, nous subissons la haine de nos voisins, et leur offrons en échange, du bien-être. Une éducation pour leurs enfants à part égale avec les nôtres. Des logements décents et confortables.

La main mise sur l’information par l’AP et le Hamas n’a que trop duré.

Une qualité de vie supérieure à tous les pays arabes.

Les atermoiements des européens et des Obama et autres Ban Kimoun n’ont que trop duré et aujourd’hui dépassent les limites de l’acceptable.

Une liberté totale de circulation et de culte. Une couverture sociale.

La crapule de HANIN ZOABI, qui siège à

Des soins en nos hôpitaux, sans la moindre discrimination.

Certes, nous sommes incapables de poignarder, d’abattre ou de se faire exploser, comme ça, à l’aveugle. En revanche, nous sommes excédés. Nos enfants sont excédés. Nous aurions pu croire que leur exaspération les auraient tenté de s’expatrier. Voilà qu’ils sont viscéralement attachés à notre terre. Et ils seront sans doute, ceux qui par leur instruction et leur intelligence, Eux, qui créent des start-up comme d’autres des champignons et favorisent la croissance d’ISRAEL, Eux, qui sont a l’origine de tant d’inventions utiles à l’humanité, Ne doutons pas qu’ils trouveront le remède au cancer arabe. Hier, dans la journée de samedi, trois personnalités nous ont quittées. Un politicien, Michel Rocard. Un metteur en scène, Michael Cimino. Une lumière, rescapé de la Shoah, Elie Wiesel. J’ai écouté la radio ce matin. Tous, parlent des 2 premiers. Pas un mot sur Elie Wiesel. Quand les grands témoins auront disparu, les négationnistes trouveront le champ libre. Elie Wiesel est un témoin de leur ignominie. Silence assourdissant. A nous d’éduquer les jeunes générations pour que la flamme se transmettent et que nos parents et nos aînés disparus continuent à vivre à travers nous. René SEROR

Jusqu’à Quand ? Cette fin de semaine a vu resurgir les images de la haine palestinienne contre Israël son peuple. Cette fin de semaine, une enfant de 13 ans Hallel Yafa Ariel a été poignardée dans son sommeil, dans son lit, chez elle à Kyriat,arba. 20 coups de couteau ont été portés par un palestinien de 17 ans dont la mère et la sœur n’ont, non seulement soutenu le geste mais glorifié l’acte. Le même jour le Rav Mark Michael, un père de 10 enfants, a été mitraillé dans sa voiture devant sa femme et certains de ses enfants. Â Natania, une attaque au couteau faisait 2 blessés. Le cauchemar recommençait ! Aucun d’entre nous, n’a oublié la déjà trop la longue liste des victimes de ce terrorisme palestinien. Aucun de nous ne peut oublier l’image de chacune de ces attaques ni celle des enterrements.

Dans nos têtes résonnent à chaque fois les déclarations des responsables Israéliens qui promettent et promettent encore et surtout les paroles des parents de ceux auxquelles les criminels sans cœur ont retiré la vie. Â côté de ces images et de ces mots, nous sommes à chaque fois frappés par le silence assourdissant des Nations. Â chaque fois le même scénario, un petit entrefilet en bas de nos écrans et l’annonce rapide de cette horreur qui n’intéresse visiblement personne. Pire encore, trop souvent c’est à l’assassin que les médias s’intéressent. C’est à leurs familles que la parole est donnée. Pas une image des démonstrations de joie dans les rues palestiniennes à chaque fois que le sang juif a coulé. Ces images, ces mots, notre colère, les déclarations, tout tourbillonne dans notre tête.

Jusqu’à quand? Ad Mataï? combien de temps encore pourrons nous supporter que le sang juif soit versé et ignoré ? Combien de temps encore notre jeunesse vaillante, forte et courageuse, qui défend les frontières va-t-elle tenir emprisonnée par sa force et son respect de la vie? Combien de temps encore le peuple acceptera-t-il les gesticulations politiciennes? Tous les palestiniens ne sont pas coupables mais leur manque de réaction et les déclarations incendiaires de leurs responsables en font des complices. Il faut frapper fort avant qu’il ne soit trop tard! La petite Hallel, comme tous ceux qui ont été lâchement assassinés, sont toujours aux yeux du monde coupables. Coupables d’être juifs, de vivre sur leur Terre et surtout de vouloir y demeurer. Israël est en deuil, nous pleurons toutes ces victimes arrachées mais nous savons que nous n’avons pas d’autres choix que de poursuivre notre chemin.

Le ciel est remplie d’étoiles et parmi elles brillent celles de tous ceux et celles qui nous ont quitté. Elles scintillent et nous éclairent. Levez les yeux, regardez vers le ciel, Hallel, Mark et tous les autres sont là.Ils nous gardent et nous regardent. Ils intercèdent pour nous. Qu’ils reposent en paix et que justice soit faite ! Gil Taieb

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Et maintenant, ils boycottent les produits Hallal dont les fabricants sont des juifs de France ! Mais attention, les membres de BDS et leurs alliés, comme le député Alexis Bachelay, ne sont pas antisémites ! D’ailleurs, ils ne sont tellement pas antisémite, que sous le message Facebook qui fait la promotion de ce boycott raciste, les

Pourquoi 100 Juifs new-yorkais ont offert des chèvres à un village marocain?

100 Juifs religieux de New York, vêtus de la djellabah traditionnelle sont arrivés dans un petit village berbère au sud de Rabat au Maroc! Que voulaient-ils faire? Le rabbin Aaron Lankry a amené son groupe à travers l’Europe et l’Afrique en pèlerinage pour visiter les sites sacrés des Juifs. Ils sont donc arrivés dans ce village dans l’espoir de visiter la légendaire tombe d’un des fils du roi Salomon. Mais l’accès était barré par les villageois interdisant l’accès du site histo-

rique aux Juifs… Au lieu d’argumenter, le Rabbi Lankry et ses fidèles ont acheté 30 chèvres et agneaux pour en faire un cadeau aux villageois. Le groupe a donc réussi à s’approcher de la tombe et les villageois ont reçu ce cadeau comme un geste de bonne volonté. Des dattes et du thé ont été offerts; les villageois ont chanté des chants traditionnels et ont dansé. Le rabbin a déclaré: « Nos différences ne sont pas si grandes »

commentaires sont simplement contre la politique du gouvernement israélien: Comme le disait Yvan Attal… Ils sont partout (ces antisémites)! Par Ariel Melles – JSSNews

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Après la réconciliation avec la Turquie, le Hamas exhibe à Israël ses exigences

Les responsables israéliens sont à la recherche d’un accord avec l’organisation terroriste du Hamas, dans le cadre des pressions publiques qui les obligent à récupérer les Israéliens (morts ou vivants) détenus en captivité dans la bande de Gaza. Ces mêmes responsables israéliens révèlent qu’Israël veut négocier tranquillement (le terme s’entend de façon séparée) avec le Hamas de la libération de prisonniers arabes, mais déclarent qu’il y a peu de raison d’être optimiste. L’encre de l’accord de réconciliation entre Israël et la Turquie n’est pas encore sèche que le groupe terroriste de la bande de Gaza durcit sa position, faisant valoir des demandes insensées et reposant sa position actuelle sur une expérience passée (l’échange Shalit qui a coûté 1.000 terroristes à Israël), une expérience ratée (ses liens décevants avec la Turquie) et une médiatisation forcenée des affaires Goldin, Shaul et Mengistu. La Turquie, qui entretient des liens étroits avec le Hamas, a livré hier des milliers de tonnes de vivre et d’objets divers qui ont été déposées Ashdod pour inspection et transfert aux arabes de Gaza. Mais ce geste « humanitaire » n’a pas apaisé les dirigeants terroristes qui ne décolèrent pas. Cela ne veut pas dire qu’ils refusent la livraison (l’assistance a toujours du bon) mais ils se demandent pour assurer leur survie financière s’ils ne vont pas se tourner vers le pire ennemi de la Turquie : l’Iran. En attendant, comme pour multiplier les tensions, le Hamas veut un deuxième accord Shalit, comprenant bien sûr la libération de milliers de prisonniers. Cette déclaration d’un haut fonctionnaire du gouvernement

israélien va relancer un débat passionné en Israël. Selon cette même déclaration, le Hamas aurait augmenté ses exigences, réclamant la libération de 50 prisonniers de sécurité comme condition préalable à des pourparlers avec Israël. Israël a jusqu’à présent refusé de libérer des prisonniers avant les négociations, et a appelé à des négociations sans conditions préalables. Mais selon quels critères ? « Le débat public sur la question a commencé trop tôt, » a déclaré un haut fonctionnaire. « On ne va pas à payer un prix juste pour obtenir un signe de vie des captifs, si nous le faisions, nous serions obligés de répondre à toutes sortes de préconditions. » La source a également rejeté les allégations des familles Shaul et Goldin – les deux soldats de Tsahal tués en 2014 dont les corps sont détenus par le Hamas – qu’Israël aurait pu utiliser les pourparlers avec la Turquie sur l’accord de réconciliation pour presser le Hamas à libérer les corps. « La tentative de lier l’accord avec la Turquie à la libération des corps et des civils n’est pas réaliste et montre un manque de compréhension de l’autre côté. » Le responsable a indiqué que les corps des 20 terroristes du Hamas étaient toujours détenus par Israël et pourraient être utilisé comme monnaie d’échange pour le retour des corps des deux soldats de Tsahal tombés. Mais qui en voudrait de ces corps ? Surtout pas le Hamas qui saisit là une occasion de pressuriser Israël et de lui faire payer son attachement à l’humain. Coolamnews

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Maccabiades 2017

Première réunion informelle du comité français d’organisation des MACCABIADES 2017. Qui se dérouleront en juillet 2017 à Jerusalem Un nouveau défi confié à Gil Taieb et Mr

Un plan cohérent pour arrêter la vague de terreur ?

Georges Haddad en présence de Ron Azogui et des responsables du Maccabi France Objectif : 150 à 200 sportifs juifs de France. Une Operation soutenue par Alain Sayada

Le ministre de l’Éducation et président des Sionistes-religieux, Naftali Bennett, a appelé à démolir des maisons arabes illégales, à déconnecter Facebook à Hevron et à arrêter la circulation des Palestiniens sur la route 60, si le terrorisme se poursuit (ou pour empêcher que le terrorisme se poursuive ?). Bennett, a présenté vendredi son plan en dix points pour arrêter la dernière vague de terreur contre les Israéliens.

Soirée du Keren Hayessod

Alain Sayada & Avi Pazner, ancien ambassadeur d’Israël en France

Quant au Premier ministre Binyamin Netanyahou, il a annoncé que le cabinet de sécurité se réunirait samedi soir à 22h00 suite à l’attaque à l’arme automatique au carrefour Adorayim, au sud de Hévron, en Judée, dans laquelle Michaël Mark a été assassiné, sa femme Hava grièvement blessée, et deux de ses enfants modérément blessés. Le plan de Bennett pour arrêter la terreur est le suivant : - Arrestation et emprisonnement des familles des terroristes et peut-être même exil. La ministre de la Justice Ayelet Shaked a déjà élaboré un plan pour promouvoir la question. - Démolition immédiate des milliers de bâtiments arabes illégaux, ceux qui ont déjà une autorisation de démolition de la Cour suprême. - Imposition d’un couvre-feu total sur le village d’où les terroristes sont venus et ses environs. - Cessation de Facebook, Internet et 3G dans toute la région de Hévron comme une action punitive et non préventive. « Facebook est un outil central d’incitation dans cette vague virale du terrorisme, » a précisé Bennett. - Arrestation de tous les activistes du Ha-

mas en Judée-Samarie, comme l’armée israélienne l’a fait au cours de l’opération « Gardien de mes Frères », après l’enlèvement des trois étudiants d’une Yeshiva il y a deux ans. - Arrêt du transfert de fonds aux familles des assassins terroristes, et mettre cette mesure en vigueur immédiatement. - Arrestation des terroristes libérés dans l’affaire Shalit qui ont commis des infractions ces deux dernières années. - Reconduite des activités militaires de l’armée israélienne dans les zones A et B. - Construction de deux quartiers juifs à Kiryat Arba. Activation d’une mini opération « Bouclier de Défense » dans la zone de Hévron. - Arrestation de la circulation des Palestiniens sur la route 60. « Le terrorisme ne peut être arrêté par la fermeture temporaire d’un village, » a déclaré Bennett vendredi. « Aucune barrière ne peut arrêter les terroristes qui voient que les familles des assassins ne paient pas le prix lourd. Nous ne pouvons pas nous contenter de fermetures ou d’un blocage des fonds à l’Autorité palestinienne qui payent les familles des terroristes. Sans action, la famille de l’assassin de Hallel Ariel recevra sa pension dès le premier août. » L’attaque contre la famille Mark est survenue quelques heures seulement après une tentative de coup de poignard au Tombeau des Patriarches à proximité de Hévron. Dans cet incident, une terroriste arabe a été abattue quand elle a tiré un couteau et a tenté de poignarder des soldats israéliens qui gardaient le lieu saint. Il n’y a pas eu de victimes israéliennes dans cette attaque.

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Pourquoi j’ai pleuré samedi soir (Par Nathalie Sivan) ciété israélienne. Cette force qui reconnait le talent et la diversité assumée de tous et que l’on porte aux nues. En matière d’éducation, tout est loin d’être parfait en Israël comme ailleurs, mais ce qui fait LA différence, en Erets Israël, c’est de savoir mettre toujours en avant les plus de chaque enfant. Ici jusqu’au bac, la compétition n’est pas vraiment de mise car seuls la construction, l’épanouissement et le développement des capacités sont les paramètres d’une éducation réussie.

Aujourd’hui pas de politique ni de cynisme à propos de tel ou tel événement survenu ces derniers jours. Si nous parlions d’amour ? De l’amour entre chacun d’entre nous qui permet de dépasser toutes les frontières et toutes les différences. En Israël, il faut l’avouer, dans ce domaine nous sommes des as ! Dans les cérémonies officielles qui de déroulent à chaque stade de l’existence de l’israélien lambda : l’amour est présent. Des fêtes de fin d’année au gan, à l’école primaire, le lycée puis l’armée, toute réjouissance est bonne pour nous faire couler des larmes de bonheur. En effet, comment contenir tant d’émotions face au don de soi et d’investissement de tous ceux qui for-

ment et s’occupent un temps de nos enfants. Samedi soir, j’ai eu le bonheur de vivre un beau moment de vie. Un de mes fils, aux côtés de tous ses amis de classe célébrait ses 12 ans d’étude obligatoires : fin d’un cycle dont l’aboutissement est le baccalauréat. Nous avons eu droit à quelques discours du corps enseignant, des élèves et des délégués de parents. Rien de bien passionnant, me direz-vous… En effet, car « le meilleur « était ailleurs. Dans le regard plein de bonté et de satisfaction de ces pédagogues qui enlaçaient ces lycéens avec tant d’amour sincère et profond. Dans ces regards lancés les uns aux autres, j’ai ressenti toute la force de la so-

Mais sans l’amour et le respect de ces éducateurs, rien de tout cela ne pourrait émerger. La jeunesse israélienne fleurit grâce au regard positif et aimant que l’on porte sur elle : elle est notre porte drapeau ! Cette reconnaissance réelle et si belle des qualités morales de « ces jeunes plantes « est donc le secret de la fusion entre deux générations. Tout ceci n’est pas qu’un discours, c’était ce samedi soir, une expérience incroyable. Tous ces parents étaient en larmes à l’issue de cette cérémonie tant la loyauté et la profondeur de tout cet amour éclairaient les visages de tous. Comment rester insensibles face à ces accolades affectueuses et ces remerciements qui fusaient de toutes parts. Ce MERCI de les avoir accompagnés toutes ces années et de leur avoir permis de

« pousser et fleurir» chacun à son rythme. Et pourtant, tout cet amour en nous, cette beauté et cette élévation morale qui « est et qui fait » le peuple juif, des barbares sanglants tentent de l’éteindre en nous. Les Palestiniens veulent anéantir l’humanité au sein de notre peuple en pensant ainsi nous éradiquer. Il est temps de tous, nous lever avec vigueur et dignité pour lutter de toutes nos forces contre cet ennemi que nous devons mettre à genoux. Leur folie n’est pas la nôtre, leur bassesse nous la leur laissons… Afin d’honorer et de respecter la mémoire de Hallel Ariel et de Michaël Marek, assassinés de manière horrible: peuple d ‘Israël, reprenons le cours de nos vies en prenant les décisions qui s’imposent. Notre combat sur cette terre est sans conteste légitime: Combattons, défendons-nous et sachons rester les détenteurs de l’amour, de cet amour divin offert au peuple élu. L’amour toujours l’amour, rien de mieux pour faire avancer la société. Les bons sentiments ne sont pas désuets, bien au contraire, remettons-les sur le marché mondial. De toute part, le monde a besoin d’amour et en Israël, nous savons le prodiguer avec génie…comme d’hab ! Coolamnews

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Euro 2016 : impressionnant Un tweet anti-Clinton de Trump : une allusion antisémite? mouvement de panique à Paris Signe que la crainte d’un attentat est désormais ancrée dans toutes les têtes en France, un mouvement de panique a secoué la « fan zone » de la tour Eiffel, pendant la rencontre Allemagne – Italie, dans la soirée du samedi 2 juillet, à Paris. Un début de panique qui aurait été provoqué par des pétards ont rapporté des témoins sur Twitter. Les supporters se sont alors mis à courir dans tous les sens et plusieurs dizaines d’entre eux ont été piétinés. Mais selon la Ville de Paris, ce mouvement a plutôt été provoqué par une bagarre entre supporters et aurait concerné 120 personnes. Une fois le mouvement maîtrisé, la diffusion a pu se poursuivre normalement. De nombreuses images et des vidéos postées sur les réseaux sociaux ont fait apparaître un impressionnant mouvement de foule et ses conséquences. Outre les chaussures oubliées sur les lieux, des barrières et des portables ont été jetées à terre. Afin de calmer la situation, les forces de l’ordre sont

rapidement intervenues. D’autres s’interroge sur les failles dans le dispositif de sécurité: une double fouille réalisée à l’entrée de la fan-zone est supposée prévenir l’introduction de pétards dans son enceinte. Les témoins de la scène ont également évoqué des personnes blessées, victimes d’entorses ou de foulures. L’infirmerie du site a été prise d’assaut.

Cette étoile, considérée comme un symbole juif sous le nom d’étoile de David mais utilisé aussi en franc-maçonnerie, figure en rouge sur ce tweet représentant Mme Clinton. L’étoile, superposée à un tas de billets de 100 dollars, porte l’inscription «Most Corrupt Candidate Ever !»:La candidate la plus corrompue de tous les temps ! Beaucoup ont interprété ce montage comme une allusion antisémite liée au stéréotype associant les Juifs et l’argent. Le tweet a été

rapidement supprimé et remplacé par une nouvelle image où le slogan contre Mme Clinton figure sur un rond rouge et non plus sur l’étoile controversée. D’autres sorties de M. Trump lui ont attiré des accusations de sectarisme depuis le début des primaires, comme son appel à suspendre l’entrée sur le territoire américain des étrangers musulmans afin de prévenir des attentats islamistes ou ses diatribes contre l’immigration clandestine mexicaine, accusée de faire entrer aux Etats-Unis des violeurs et des criminels

SÉCURITÉ

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Un Security Brexit serait sanglant pour l’Europe Avec gravité, Erel Margalit ouvre en plénière la table ronde intitulée “Cybersécurité: gagner la guerre de l’ombre”. Margalit honore d’abord la mémoire de Rina, la dernière victime du terrorisme en Israël, et poursuit en affirmant que le terrorisme pourrait très vite monter en puissance avec le détournement massif du cyberespace à des fins de destruction. Pour faire face aux défis du terrorisme dans le cyberespace, le patron de la “task force cybersécurité” de la Knesset (le parlement israélien) martèle que “il faut agir ensemble, car seul, on tombe”. Together we stand, alone we fall. Pour Margalit si les Européens combattent le cyber-terrorisme en ordre dispersé alors un 11 septembre beaucoup plus sanglant pourrait frapper le continent. Des dizaines d’avions pourraient par exemple s’écraser simultanément en cas de prise de contrôle terroriste des systèmes de navigation aériens, en utilisant les failles et les maillons faibles.

Un terroriste palestinien assassine une enfant de 13 ans, l’Autorité palestinienne en fait un héros !

Margalit présente la seconde attaque physique réussie en 2014 par des hackers (ndlr: la seconde après l’opération olympic games qui visait des centrifugeuses nucléaires en Iran en 2010) contre un haut fourneau en Allemagne, comme une simple répétition, à petite échelle. Ce qui peut advenir demain selon lui, c’est en fait une attaque cybernétique combinée contre une partie des 185 centrales nu-

cléaires du continent européen, dont certaines sont relativement vétustes. Ou encore une attaque de type dragonfly contre de grandes sociétés pharmaceutiques, pour causer dans un futur proche des atteintes dramatiques dans les chaînes de production ultrasensibles touchant directement la santé humaine. Une peste cybernétique s’abattant soudain sur les fleurons industriels européens. Ou bien un super sandworm, à l’image de l’attaque cybernétique qui a récemment neutralisé une partie réseau électrique ukrainien et provoqué des victimes physiques. Selon Margalit, il faut agir maintenant en lançant des PPPs, des partenariats publics privés, en créant entre autres de nouveaux CERTs (computer emergency response teams) mettant en synergie les industriels, les OIVs (opérateurs d’importance vitale) et les gouvernements, pour assurer une meilleure protection globale. Chacun comprend que Margalit se réfère en filigrane au modèle de sécurité et de cyber protection israélien, très présent sur le salon Viva Technology, Porte de Versailles. Y compris avec des messages subliminaux puisque le pavillon officiel israélien se tient, comme si la chose allait de soi, juste à côté du pavillon technologique saoudien. Margalit le répète en conclusion: divided we fall, united we stand. Dominique Bourra, président de la commission cybersécurité de la CCFI

Israël va frapper l’Autorité palestinienne au porte-monnaie

Le palestinien qui a assassiné une petite jeune fille juive de 13 ans de 20 coups de couteau, Hallel Yaffa Ariel z »l, dans sa chambre, après s’être introduit par effraction dans le village et la maison a été déclaré « martyr » par le Fatah et l’agence de presse de l’Autorité palestinienne comme on peut le voir sur la page facebook du Fatah (post du 30 juin à 12h34). En vertu de la loi palestinienne, sa famille recevra une allocation mensuelle (voir ci-dessous) grâce aux milliards de l’aide internationale en particulier de l’Union européenne qui détourne ainsi l’argent des contribuables sans leurs accords.

La mère du terroriste a déclaré aux media : « mon fils est un héros qui me rend fier, il est mort en martyr pour défendre Jérusalem et la Mosquée Al Aqsa. Gloire à Allah, mon fils a rejoint les autres martyrs avant lui, avec l’aide d’Allah, tous suivront son chemin, tous les jeunes de Palestine, gloire à Allah ! Il y a quelques jours, le conseiller de Mahmoud Abbas [le président milliardaire élu pour 4 ans dont le mandat est échu depuis 6 ans] Sultan Abu Al Einein avait déclaré : « Partout où vous trouvez un Israélien, EGORGEZ-LE » Source : www.palwatch.org Traduction Danilette’s

Alors que le Ramadan de cette année continue à être écrit dans le sang des victimes israéliennes, le bureau du Premier ministre Netanyahu a annoncé qu’il réduira le montant des fonds fiscaux transférés chaque mois à l’Autorité palestinienne. « Netanyahu a ordonné que le montant total du soutien versé par l’Autorité palestinienne aux terroristes et à leurs familles soit déduit des recettes fiscales que transfère mensuellement Israël à l’Autorité palestinienne », a déclaré son bureau.

Israël transfère environ 127 millions de $ en droits de douane, perçus sur les marchandises destinées au marché palestinien qui transitent par les ports israéliens chaque mois. M. Netanyahu a accusé l’Autorité palestinienne de soutenir les familles des terroristes avec des fonds transférés « par diverses méthodes de blanchiment ». Un responsable israélien a estimé que la somme concernée s’élevait à « des dizaines de millions de shekels. »

SÉCURITÉ

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Chaque passager embarquant à Tel-Aviv subit onze contrôles différents

Libération : «Chaque passager embarquant à Tel-Aviv subit onze contrôles différents. Parfois sans s’en rendre compte puisqu’au sous-sol, les valises sont examinées par un scanner spécialement développé par Siemens pour le compte de la sécurité aéroportuaire de l’Etat hébreu. Capacité ? «Au moins 5 000 valises à l’heure», nous déclare un responsable. Les installations aéroportuaires israéliennes sont également surveillées vingt-quatre heures sur vingt-quatre par des patrouilles motorisées, des réseaux de caméras, ainsi que par des postes d’observation aux vitres sans tain derrière lesquelles des experts se livrent au «screening de foule» dans les halls de départ et d’arrivée. A cela s’ajoutent les agents chargés de détecter les objets suspects dans les poubelles et les valises abandonnées. Obsession Pour plus de sécurité encore, le Shabak (la sûreté générale) et la police organisent plusieurs fois par an des exercices au cours desquels de faux terroristes tentent d’introduire dans l’aéroport une bombe factice, une fausse valise piégée ou une arme démilitarisée. S’ils y parviennent, la société prestataire des services de contrôle est priée de renforcer ses procédures, voire de renvoyer sur le champ les employés fautifs. Si les erreurs ne sont pas corrigées rapidement, son contrat est résilié sans indemnités. Jusqu’à ces dernières semaines, ce dispositif particulièrement lourd était souvent qualifié de paranoïaque. D’autant que certaines des mesures de sécurité israéliennes s’appliquent aussi aux aéroports étrangers. A Roissy et à Orly par exemple, les compagnies aériennes de l’Etat hébreu disposent d’un espace réservé dans lequel un personnel spécialisé envoyé par Tel-Aviv procède à ses propres contrôles. Ces agents séjournent à l’étranger pour une durée de six mois et certains sont également affectés à la sécurité des bureaux de la compagnie israélienne El Al. Ils y croisent

parfois les «marshals» armés qui voyagent incognito parmi les passagers de certaines lignes sensibles. Les attentats du 22 mars à Bruxelles ont changé la perception européenne de l’obsession sécuritaire israélienne. Ces dernières semaines, de nombreux responsables sécuritaires européens ont fait le voyage à l’aéroport Ben Gourion. Le 14 mai, le ministre belge de l’Intérieur a ainsi eu droit à une visite privée des installations les plus sensibles. Quelques heures à peine après l’attentat de l’aéroport Atatürk d’Istanbul, mardi soir, il se disait à Tel-Aviv que la collaboration sécuritaire avec la Turquie allait reprendre d’autant plus rapidement que les deux pays viennent de mettre fin à leur brouille de six ans. En la matière, Israël dispose de plus de quarante ans d’avance sur le reste du monde. Le pays a commencé à élaborer ses propres procédures dans les années 70, alors que les organisations palestiniennes détournaient ou attaquaient les avions de El Al. En 1972, après la tuerie perpétrée par un commando de l’Armée rouge japonaise à l’aéroport Ben Gourion, qui avait fait 26 morts, la Première ministre Golda Meir avait ordonné la mise en place de mesures de sécurité beaucoup plus poussées. Plus récemment, lorsqu’Al-Qaeda a revendiqué en 2002 le tir de deux missiles sur un avion israélien survolant le Kenya, Ariel Sharon a décidé que l’Etat financerait la pose de systèmes antimissiles laser sur les appareils des quatre compagnies civiles israéliennes. «Le système israélien de protection est global parce que le terrorisme l’est tout autant, souligne un consultant en sécurité. Puisque les coups peuvent tomber de n’importe où, on essaye de parer à tout en envisageant toujours le pire du pire. Pendant longtemps, les Européens n’ont pas voulu le comprendre, ils ont changé d’avis lorsque ça leur est aussi tombé dessus.» Nissim Behar

17 djihadistes de l’EI sont entrés en Europe en se présentant comme des réfugiés La plupart d’entre eux seraient déjà morts, dont deux impliqués dans les attentats du 13 novembre au Stade de France. Dix-sept djihadistes de l’organisation Etat islamique (EI) se sont fait passer pour des réfugiés pour entrer en Europe mais la plupart sont depuis morts ou ont été emprisonnés, affirme samedi le patron du Renseignement allemand dans le quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). Deux d’entre eux impliqués dans les attentats du 13-Novembre Il existe « des indices tangibles » selon lesquels 17 personnes qui agissaient sous les ordres de l’EI ont voyagé en se faisant passer pour des réfugiés fuyant notamment les conflits en Syrie et en Irak, affirme Hans-Georg Maassen, président de l’Office de protection de la Constitution, cité au style indirect par le journal. La plupart d’entre eux sont déjà morts, dont deux des kamikazes des attentats du 13 novembre en France, ou en prison, poursuit-il. « Il s’agit beaucoup plus de la part de l’EI d’une démonstration de force », selon lui, car l’organisation n’a pas besoin d’emprunter les routes migratoires pour pénétrer en Europe. « C’est un signal politique de force », affirme Hans-Georg Maassen qui réaffirme une nouvelle fois que l’Allemagne

peut être la cible d’un attentat comme ceux qui ont frappé l’aéroport international d’Istanbul, ou plus tôt de Bruxelles ou de Paris. Profiter de l’afflux humain L’Allemagne, qui a accueilli plus d’un million de réfugiés l’an dernier, s’est vivement inquiétée du fait que des djihadistes puissent profiter de l’immense flux humain faisant route vers l’UE pour entrer incognito dans l’espace européen. Deux des kamikazes du Stade de France, en banlieue parisienne, étaient ainsi passés par la Grèce en se faisant passer pour des demandeurs d’asile. Liens avec les milieux islamiques Le Renseignement allemand se montre préoccupé par de possibles liens entre certains réfugiés et des milieux islamistes en Allemagne. Plus de 320 tentatives de contact entre des islamistes et des migrants ont été jusqu’ici enregistrées par ses services, dévoile-t-il. Des réfugiés ont également déjà fréquenté des mosquées où des prêches radicaux sont prononcés, conclut-il.

FRANCE

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Bruno Masure anti-sioniste primaire : il crache sur la mémoire d’Elie Wiesel à propos de son soutien à Israël

Un député révèle que Salah Abdeslam profite d’une salle de sport en prison

Je devais être naïf. Je n’avais rien vu venir. J’appréciais Bruno Masure et ses blagounettes… Mais il semble que son message publié ce jour sur Twitter ressemble plus à de la haine à l’état pure qu’à un simple dérapage non-controlé.

on aurait dû faire taire Elie Wiesel. On aurait dû lui imposer des affinités politiques. On aurait dû ordonner d’aimer les bisounours qui croient que sans Israël il y aurait la paix dans le monde et lui imposer de détester le grand méchant Gargamel du Likoud.

Je vous laisse digérer:

Je note d’ailleurs que ce Grand Démocrate qu’est Masure, m’a bloqué sur Twitter pour lui avoir répondu:

Et oui ; il semble que pour Bruno Masure,

Le député les Républicains a visité la prison de Fleury-Mérogis où est incarcéré le seul survivant des commandos terroristes du 13 novembre 2015. C’est une découverte qui laisse sans voix Thierry Solère, le député les Républicains des Hauts-de-Seine. En visitant la prison de Fleury-Merogis le 29 juin dernier, l’élu a fait un détour par le quartier où est incarcéré – à l’isolement- Salah Abdeslam, le seul survivant des commandos terroristes du 13 novembre 2015. S’il a pu «mesurer l’ampleur du dispositif qui entoure sa détention», Thierry Solère a aussi «été très étonné de constater qu’une cellule avait été transformée en salle de sport» au bénéfice du prisonnier. Il a été «encore plus étonné d’apprendre que l’usage» de la salle était «exclusivement réservé» à Salah Abdeslam. Auprès du Scan, le parlementaire précise qu’un rameur a déjà été installé mais que d’autres appareils de musculation ont été commandés. La transformation de cette cellule est d’autant plus surprenante que le centre pénitentiaire est surpeuplé, avec un taux d’occupation de 190%. «Des matelas sont désormais posés à même le sol dans les cellules afin d’y accueillir les nouveaux détenus», remarque Thierry Solère. Ce dernier a pu apercevoir Salah Abdeslam via le système de surveillance vidéo per-

manent qui l’observe: «une demi-douzaine de caméras, qui avec une netteté parfaite peuvent zoomer sur ce qu’il lit, ou ce qu’il mange mais il n’y a pas de son». Il raconte au JDD avoir vu un détenu «fatigué et nerveux». «Le lit est fait parfaitement, il n’y a rien qui traîne, tout est rangé de façon maniaque. Il a tout rangé au fur et à mesure, avec des gestes saccadés, rapides. Il s’est lavé les dents à toute vitesse, j’ai eu l’impression de quelqu’un de très tendu», raconte-t-il. L’élu note l’avoir vu faire sa prière: «Il s’est parfumé et a déroulé son tapis de prière rouge. Il était en survêtement et tee-shirt sombre, cela fait une semaine qu’il ne porte plus la djellaba. Après sa prière, il s’est assis sur son lit et il s’est mis à lire le Coran». Les surveillants décrivent un détenu «très pudique» qui ne supporte pas les fouilles corporelles. Urvoas interrogé Le parlementaire a décidé d’écrire à JeanJacques Urvoas, le garde des Sceaux, pour lui demander des explications sur la création de la salle de sport. «Je souhaiterais connaître les raisons et motivations qui ont conduit votre ministère à une telle décision», écrit-il. Interrogée lors de sa visite, la directrice de Fleury-Merogis n’a pas été en mesure de justifier l’existence de cette installation. lefigaro.fr

Rappelons que la « folle politique de Netanyahu » consiste à protéger les israéliens des folles politiques arabes et islamiques visant à anéantir les juifs – comme les nazis ont voulu anéantir Wiesel.

En outre, Masure a le droit de ne pas aimer Israël – mais cracher sur la dépouille d’Elie Wiesel, de la sorte, ce n’est pas du simple anti-sionisme… Par Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

FRANCE

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Israël is for ever

Saint Brice en fête « L’avenir des juifs de France ? Un aller simple pour Israël. » C’est en ces termes que Jacques Kupfer, Co-président du Likoud Mondial, membre de l’exécutif sioniste mondial et président d’Israël is Forever, répondait à la question « Quel avenir pour les Juifs de France ? », thème de la conférence qui se tenait le 30 juin à Paris. Aux côtés de Claude Barouch, Vice-Président de l’Union des Patrons et Professionnels Juifs de France, et du Président de la section France d’Israël is Forever Jeremie Herscovic Czarnobroda, Jacques Kupfer, avec son langage direct habituel, faisait état de son pessimisme quant à l’avenir des juifs en France. « Ce pays dans lequel la télévision officielle célèbre le ramadan » est en train effacer le passé de notre peuple - faisant ainsi allusion au vote récent de l’UNESCO niant tout lien historique entre le peuple juif et ses deux sites les plus sacrés à Jérusalem : le Kotel et le mont du Temple. « Le pays qui ose prétendre que Jérusalem n’appartient pas au peuple juif est d’un antisémitisme saugrenu. » Jérusalem n’appartient qu’aux juifs et est la capitale du peuple juif. Ce n’est pas par hasard que l’attaque se porte à Jérusalem : quand on nie l’appartenance de Jérusalem au peuple juif on veut attaquer Israël. La France voudrait également effacer notre avenir. Ce pays dont le Parlement a voulu reconnaitre la Palestine : « on veut créer un état avec un peuple qui n’existe pas, qui n’a jamais existé et qui n’existera jamais : un peuple de réfugiés. » Il faut créer un lobby juif francophone en Israël qui doit se constituer rapidement, car l’accueil en Israël n’est pas satisfaisant, à cause d’une bureaucratie excessive, de l’absence d’équivalence des diplômes et du permis de conduire. Il faut tout faire pour favoriser l’alya. Claude Barouch, s’il n’en tire pas la même conclusion que Jacques Kupfer - je suis un juif Français et fier de l’être -, déplore la même situation. « En dépit du travail que je fais, avec beaucoup d’autres (…) on ar-

rive à un stade dans ce pays où on a l’impression que les dés sont pipés. Depuis l’an 2000, et bien que nous ne cessions d’alerter, la situation est de pire en pire (…) Nous sommes agressés, insultés. On nous faut des promesses. De Sarkozy à Hollande, en passant par Valls, on a les mêmes promesses : la France sans ses juifs n’est pas la France. Mais on voit des votes inadmissibles. Après le vote de l’UNESCO, Valls avait promis qu’on y reviendrait en octobre. Et que s’estil passé ensuite ? La France a voté en faveur d’une nouvelle résolution anti-israélienne proposée par le groupe arabe à l’Organisation mondiale de la Santé (O.M.S.) qui accuse Israël de porter atteinte à la santé des Syriens du Golan et aux Palestiniens ». Le commerce international prime en France, le Qatar est omniprésent. Avant de rappeler le manque cruel d’objectivité des médias. « On a trop pleuré dans cette communauté, la meilleure défense est l’attaque nous devons continuer à défendre Israël, quel que soit le gouvernement qu’il s’est donné.(…) Nous devons défendre l’image d’Israël. Car on ne peut vire au 21ème siècle en autarcie. (…) On a besoin d’une diaspora unique forte qui arrête de pleurer et qui soit solidaire. » C’est du reste clairement le but affiché par Jeremie Herscovic Czarnobroda « il nous faut reprendre en main nos valeurs sionistes laissées dans des mains mal intentionnées depuis 20 ans. » « On a peur de parler. » Il faut créer un lobby appuyé sur les deux valeurs du sionisme : l’alya et la fierté d’être juif. Créer un groupe d’influence de manière à faciliter l’accueil en Israël et défendre en France notre peuple, notre pays. « On doit savoir qu’à chaque fois qu’on parlera mal sur Israël en France on sera dans la rue. » Susan Hofen/Photos Alain Azria

Mardi 28 juin, la communauté HABAD de Saint Brice, a organisé son gala annuel, en la très jolie salle des fêtes «Le Concept» de montmorency. Dans une ambiance chaude, l’équipe d’organisation, sous l’égide du Rabbin Chalom Amram, réussit son pari, qui consistait à réunir les fonds nécessaires pour entamer la première phase des travaux: le rez de chaussée du Beth Habad. Une simulation en 3D du futur bâtiment fut présentée.

Ce projet ambitieux comprendra un RDC et un 1er étage de 130 m2 chacun. Le second étage de 70 m2 sera destiné à recevoir le public féminin. Souhaitons ATSLAHA a cette jeune Équipe. Précisons que la construction sera dans la veine du 770. René SEROR

Le maire de Stains rend hommage aux enfants juifs tués par Marwan Barghouti. Ah non, hommage à Marwan Barghouti ! Le maire de Stains, Azzedine Taibi, a décidé d’accrocher au fronton de sa mairie les photos des 5 victimes juives du terroriste Marwan Barghouti dont le tribunal l’a reconnu coupable (33 autres crimes ont été rejetés par la Cour du fait que les preuves n’étaient pas suffisantes) : - Shalhevet Paz, 10 mois, assassinée par un sniper dans sa poussette poussée par sa maman, sur ordre direct de Marwan Barghouti, - Yoela Chen, 45 ans, abattue d’une balle dans la tête et dans la poitrine en 2002.

Barghouti a admis sa responsabilité. - Assassinat d’un moine grec à Ma’aleh Adumim en juin 2001. - Salim Barakat, 33 ans, Yosef Haybi, 52 ans et Eli Dahan, 53 ans tués par l’explosion du restaurant Seafood Market en 2002. Non… attendez… on me signale que… c’est le tueur des juifs que le maire a décidé d’honorer sur le fronton de sa mairie ! Par J.P. Grumberg – Dreuz

FRANCE

Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

Michel Rocard, le palestiniste du PS d’Igal Allon, le numéro deux du cabinet israélien. Mitterrand endosse sans réserve le « plan Allon », soit une formule de règlement entre Israël et la Jordanie qui formaliserait l’annexion d’une partie de la Cisjordanie et exclut toute reconnaissance des droits palestiniens.

Michel Rocard a toujours affiché avec constance son soutien aux droits nationaux du peuple palestinien. Cet engagement précoce a constitué une des dimensions peu connues de la relation complexe qu’il a entretenue au sein du Parti socialiste avec François Mitterrand. La sensibilité pro-arabe de Michel Rocard découle assez naturellement de son opposition à la politique algérienne de Guy Mollet, qui l’amène en 1958 à quitter la SFIO pour contribuer à la fondation du Parti Socialiste Autonome (PSA). Cette formation se fondra elle-même dans le Parti Socialiste Unifié (PSU), que Rocard dirige comme « secrétaire national » de juin 1967 à novembre 1973. PSU pro-palestinien et PS pro-israélien Le PSU entretient des relations régulières avec le Fatah de Yasser Arafat, qui prend le contrôle de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) en février 1969. Rocard rencontre à ce titre à Paris le représentant de l’OLP, Mahmoud Hamchari, dont le sta-

tut officieux est régularisé en 1970 par le Quai d’Orsay. La tendance gauchiste qui, quoique minoritaire, est active au sein du PSU y encourage les déclarations et postures favorables à l’OLP. Le contraste ne saurait à cet égard être plus grand avec le Parti Socialiste (PS) qui porte François Mitterrand à sa tête comme « premier secrétaire » lors du congrès fondateur d’Epinay en juin 1971. Mitterrand choisit comme responsable international Robert Pontillon, qui occupait déjà ce poste au sein de la SFIO de 1948 à 1969. Les rapports avec le « parti frère » israélien, au pouvoir depuis la déclaration d’indépendance de 1948, sont si étroits que Mitterrand répond dès mars 1972 à l’invitation du chef de gouvernement Golda Meir. Durant ces cinq jours de visite officielle, Mitterrand se rend dans nombre des territoires occupés par Israël depuis déjà presque cinq ans : les hauteurs du Golan, la bande de Gaza, la rive orientale du canal de Suez et, bien sûr, la vieille ville de Jérusalem, où il dîne dans le superbe appartement

Après la tuerie des Jeux olympiques de Munich de septembre 1972, où 11 sportifs israéliens périssent dans l’attaque terroriste du groupe palestinien « Septembre noir », Golda Meir décide l’élimination en représailles d’un certain nombre de responsables de l’OLP. Hamchari est ainsi frappé dans un attentat à l’explosif à son domicile parisien en décembre 1972 (Steven Spielberg a raconté avec une précision étonnante le déroulement de cet attentat dans son film « Munich »). Hamchari agonise durant de longues semaines avant de décéder en janvier 1973. Rocard est au premier rang des personnalités françaises qui assistent à ses obsèques au cimetière du Père-Lachaise. Rivalités internes au PS Le ralliement au PS de Rocard et d’un tiers des adhérents du PSU, à partir d’octobre 1974, va renforcer la sensibilité pro-palestinienne au sein d’un parti où elle était jusque là surtout représentée par la tendance favorable à Jean-Pierre Chevènement. Cette convergence entre « chevènementistes » et « rocardiens » sur la question proche-orientale a été peu soulignée, malgré son importance réelle. C’est ainsi que Rocard accompagne Mitterrand lors de la deuxième visite officielle du premier secrétaire du PS en Israël en octobre 1976. A la différence de son déplacement de 1972, Mitterrand refuse de se rendre sur le plateau occupé du Golan et il rencontre en Cisjordanie des notables qui revendiquent leur allégeance à l’OLP. Le dirigeant socialiste établit même une équivalence inédite entre le droit israélien et le droit palestinien : « deux réalités nationales qui sont différentes, mais qui reposent sur le

même principe, le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ». La tiédeur de Rocard envers la paix israélo-égyptienne de mars 1979, dont le volet palestinien est mort-né, contraste cependant avec le soutien chaleureux de Mitterrand à ce processus. En juillet 1980, Rocard accuse le gouvernement israélien de constituer le « vrai blocage » à la paix par « les implantations de colonies juives dans les territoires occupés ». Lorsque Rocard se déclare deux mois plus tard candidat à l’investiture du PS à la présidentielle, les mitterrandiens les plus fervents mettent en garde contre son tropisme pro-palestinien. Ils rappelleront fréquemment les encombrants « honneurs » que la sécurité de l’OLP a accordés à Rocard lors de sa visite à Beyrouth en janvier 1981. Mais la cause est déjà entendue au sein du PS, où Rocard s’est retiré au profit de Mitterrand. Huit ans plus tard, Rocard est devenu le Premier ministre du président Mitterrand lorsque celui-ci prend l’initiative audacieuse d’inviter Arafat à Paris. Cette visite des 2 et 3 mai 1989 est marquée par la réception du chef de l’OLP à l’Elysée. Mais Arafat est aussi reçu à Matignon à deux reprises par Rocard, d’abord pour un entretien politique, puis pour un « dîner de travail franco-palestinien », auquel participent les ministres Lionel Jospin, Bernard Kouchner et Tony Dreyfus. Elie Wiesel, décédé le même jour que Rocard, avait publié, en avril 1995, peu avant le départ de Mitterrand de l’Elysée, un livre d’entretiens avec le chef de l’Etat, « Mémoire à deux voix ». Dans cet ouvrage présenté comme son « testament spirituel », Mitterrand qualifie sans détour la question palestinienne de « sujet essentiel ». Une formule que n’aurait sans doute pas désavouée Michel Rocard. Par Jean-Pierre Filiu – Le Monde (blog)JSSNews

Claude Goasguen: « à nos frères israéliens assassinés… » Nous devons être solidaires contre tous les actes meurtriers que multiplient les djihadistes et les terroristes dans le monde, en France, en Belgique, aux États-Unis, en Turquie… La voix de l’opinion s’exprime enfin, mais nous ne devons pas oublier que depuis plusieurs mois nos frères israéliens sont assassinés par les mêmes terroristes et qu’hier encore une jeune fille âgée de 13 ans a été lâchement abattue sans que personne ne s’émeuve dans les démocraties occidentales. Il ne peut y avoir deux poids, deux mesures dans la solidarité contre le même terrorisme.

Le crime djihadiste est le même partout et notre solidarité doit lui répondre de la même manière avec force et détermination ! Par Claude Guasguen – JSSNews

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Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

ISRAËL

Edition du 5 Juillet au 11 Juillet 2016

Radicle, premier incubateur agri-tech lancé en Israël

OurCrowd, fonds de venture-capital combiné à une plate-forme de financement participatif, a annoncé la création de Radicle, un fonds d’accélération des investissement dédié aux jeunes start-up du domaine des technologies agricoles (ou agritech voire agtech) afin d’en faire des leaders reconnus de cette industrie.

En Israël, utiliser des drones pour localiser les voitures volées

Le fonds est lancé en partenariat avec Finistere Ventures, Cloud Break Advisors, ainsi que certaines des plus grands leaders du domaine tels que Bayer CropScience ou DuPont Pioneer. Radicle vise à réduire le temps de développement et de mise sur le marché des nouvelles technologies agricoles Radicle offrira une plate-forme spécialisée afin d’incuber les sociétés à fort potentiel, potentiellement en mesure de résoudre les problématiques liées à l’agriculture, en particulier dans les zones confrontées aux défis de la productivité ou du développement durable. Les domaines visés sont principalement la génomique, la science végétale, la protection des cultures et les systèmes digitaux d’analyse prédictive. OurCrowd travaillera en étroite relation avec ses partenaires de Radicle dans la promotion des opportunités d’investissement en Israël et sur la veille des start-up à fort potentiel. Le portefeuille de sociétés du fonds d’investissement comprend notamment EdenShield, développant des

Depuis que les autorités ont autorisé les entreprises de sécurité israéliennes à utiliser des drones pour localiser les voitures volées, la société Ituran a enregistré ses premiers succès : l’un de ses drones a, entre autres, localisé une voiture volée dans les territoires sous administration de l’autorité palestinienne, ce qui a permis de la récupérer et de la rendre à son légitime propriétaire.

L’utilisation de drones devrait entraîner une poursuite de la diminution du nombre de vols de voitures. Entre janvier et mai dernier, on a enregistré 5 400 plaintes pour vol, soit une baisse de 19 pour cent par rapport à la même période de 2015. LPH

solutions de protection non-chimiques des cultures contre les nuisibles, et CropX, un logiciel de système d’irrigation intelligent. Radicle, qui dispose de 15 millions de dollars de fonds, maintient une présence permanente dans les régions importantes du secteur : Israël, San Diego, Palo Alto, le Research Triangle Park (Silicon Valley) et le Midwest. David Stark, associé principal de OurCrowd affirme : “Nous sommes impatients de collaborer avec nos partenaires de Radicle pour découvrir, investir, faire croître la prochaine génération des innovations agricoles, et apporter une solution par le marché aux grands enjeux auxquels les agriculteurs feront face au cours du prochain demi-siècle, voire delà.” “DuPont Pionner explore constamment les frontières de l’innovation afin de déceler les nouveaux moyens d’améliorer la productivité agricole” atteste Neal Gutterson, vice-président Recherche & Développement de DuPont Pioneer. Geoff Kneen, directeur de la Recherche & Développement pour Bayer Amérique du Nord, ajoute : “Investir dans accélérateur Radicle est tout à fait en adéquation avec la stratégie globale de Bayer. Les connaissance profondes de la technologie agricole et nos expériences de travail avec nos partenaires nous permettrons d’accompagner aux mieux les start-up concernées.”

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i24News, basée à Jaffa, a pour vocation de prendre la place d’Al Jazeera America

Le Néguev devient la première région digitale d’Israël L’homme d’affaires franco-israélien Patrick Drahi a racheté en septembre 2015, par l’intermédiaire de son groupe Altice et pour 17,7 milliards de dollars, le deuxième câble-opérateur des États-Unis : Cablevision. Un investissement qui permet aujourd’hui à l’entrepreneur d’y prévoir l’implantation de la chaîne i24 News dès cette année.

La première “région digitale” en Israël a été nommée, il s’agira du Ramat Neguev. L’initiative a été menée par le ministère de l’équité sociale, aux mains de Gila Gamliel, et de Cisco Systems, auprès du président du Conseil régional et maire de Dimona, Benny Biton. L’objectif de ce projet est de placer la région comme pourvoyeur de services médicaux de qualité, d’opportunités éducatives, et d’assistance entrepreneuriale pour ses habitants par le biais de technologies avancées fournies par Cisco. Celles-ci permettront une coopération digitale renforcée entre les différentes autorités et institutions de la région. Ce sont en effet pas moins de douze autorités locales, arabes et juives, qui prendront part à ce projet unique. Nissan Ben Hamo, maire de la ville d’Arad, a pu assister à la cérémonie d’ouverture grâce à la technologie de télé-présence de Cisco, et a évoqué le nouveau centre de l’entreprise, établi dans sa ville dans le cadre de ce projet. Des lycéens de la ville israélienne bédouines de Hura ont également eu l’occasion de présenter leur projet à l’Agence spatiale israélienne au cours de cet événement.

“Nous considérons que cette transformation du Neguev en première région digitale israélienne s’inscrit dans la vision de David Ben Gourion, qui affirmait que c’est dans le Néguev que la créativité et la vigueur pionnière d’Israël serait testée.” a expliqué Oren Sagi, président de Cisco Israël. “Le plus grand défi de notre génération vis à vis d’Israël n’est pas de combattre contre les forces étrangères ennemies, mais de contrôler et de surmonter – par la force, avec la science, et l’esprit pionnier – les terres désolées du sud d’iSraël, du Néguev. Chez Cisco nous pensons que l’innovation et l’accès à la technologie sont des outils essentiels pour réduire les disparités au sein des régions. De plus, la participation de différentes populations et l’existence d’une vaste gamme d’écosystèmes technologiques sont nécessaires pour maintenir l’avantage compétitif d’Israël dans l’innovation mondiale.” a-t-il continué. Le Conseil régional de Ramat Néguev couvre les territoires les plus vastes mais aussi l’un des moins peuplé. Il n’est constitué que de kibboutzim (dont Sde Boqer), de Moshavim et d’implantations communales.

Lancée, en 2013 avec Frank Melloul, conseiller en communication du Premier ministre de Villepin, la chaîne basée à Jaffa a pour vocation de prendre la place d’Al Jazeera America qui, malgré des financements en provenance du gouvernement qatari, a dû quitter les antennes américaines le 12 avril dernier après trois ans de diffusion, faute d’audiences suffisantes. “La version française de i24 News est principalement ciblée sur le Moyen-Orient et la France. La version britannique concerne le Moyen-Orient. La version américaine traitera du Moyen-Orient et des États-Unis” a expliqué Patrick Drahi à l’AFP. “Je souhaite qu’i24 News montre les deux côtés : l’homme de Gaza comme l’homme de Tel Aviv. Je veux que les français entendent les opinions américaines. Je veux que les new-yorkais reçoivent l’avis des français. Tout cela permettra aux gens d’en discuter, d’avoir une vision différente de celles per-

pétrées par les autres (allusion à Al Jazeera America) et qui n’ont pas abouti”. Al Jazeera a dû en effet se séparer de ses 700 employés aux États-Unis. Altice compte pour sa part recruter des journalistes français et américains, en plus de ses 250 employés actuels, de trente nationalités différentes. Il serait également dans l’intention de Patrick Drahi d’établir certaines chaînes francophones aux ÉtatsUnis, dont BFM TV. Autre objectif du groupe Altice : développer et produire des séries dramatiques françaises originales, s’inscrivant dans sa stratégie d’investissement sur du contenu premium. En février dernier, le groupe a pour cela nommé Nora Mehli, précédemment dans la direction de Shine France et présidente d’Endemol Fiction, qui sera en charge de gérer les créations originales et le contenu disponible à la demande. Patrick Drahi a déclaré qu’Altice USA serait “un pilier central des activités du groupe et une plate-forme de croissance puissante et dynamique”. De plus, “Altice accélérera ses investissements de réseau, et apportera des produits et services innovants aux ÉtatsUnis.» Source: http://variety.com/

ISRAËL

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Un nouveau moteur israélien bientôt incontournable ?

Le constat peut être décevant, les véhicules hybrides et électriques ne comptent que pour trois pourcent des 89 millions de voitures vendues chaque année dans le monde. Les principales raisons invoquées pour cet échec relatif sont le coût élevé des hybrides et la faible autonomie des électriques. Quand d’autres s’acharnent à concevoir des moteurs plus léger ou des batteries plus efficaces, une start-up israélienne, Aquarius Engines, s’efforce de réinventer complètement le moteur à combustion, élément central de voiture hybride-électrique du futur. Son co-fondateur et actuel directeur marketing, Gal Friedman explique qu’après deux ans d’existence, Aquarius Engines a enregistré trois brevets et signé un accord avec un grand constructeur européen pour tester un concept-car équipé de son moteur à partir de 2017. Ces moteurs nécessitent moins de carburant pour alimenter le moteur et charger la batterie, au point que les utilisateurs réguliers d’une voiture standard ne devraient retourner à la station essence que toutes les cinq ou six semaines. Si les automobiles conventionnelles tiennent en moyenne 600 kilomètres avec 50 litres d’essence et les électriques 350 kilomètres pour une recharge, une voiture équipée par Aquarius est susceptible de parcourir 1200 kilomètres avec un plein. Aquarius met également en avant la masse de ses moteurs, seulement 20 kilogrammes contre environ 160 habituellement. Ceux-ci seraient selon ses concepteurs bien moins coûteux. Et bien que la mise en place de nouvelles chaînes de fabrication pour incorporer le moteur d’Aquarius coûterait probablement plusieurs milliards de dollars aux constructeurs automobiles, ses créateurs misent sur le fait que ces mêmes constructeurs cherchent désespérément de nouvelles technologies afin de faire face à des normes anti-pollution de plus en plus strictes.

“L’industrie automobile est immense mais elle est sous la menace” estime Gal Fridman. “Les constructeurs ne parviennent pas à se conformer aux normes actuelles, or celles-ci seront bien plus sévères d’ici deux à cinq ans”. Début 2014, Shaul Yaakoby, inventeur et conseiller auprès de l’industrie automobile, a présenté son concept révolutionnaire de moteur à Gal Fridman (propriétaire de Design and Shoot, et dirigeant de Keter Plastic et ZAG Industries) et à Ariel Gorfung (serial entrepreneur et associé principal d’Oris Investments, venture-capital spécialisé dans la clean-tech).

Miss Israël 2016 est Karin Alia de Kiryat Gat

Ce moteur, plus petit, plus léger, et pourtant plus efficace serait constitué de 20 pièces (dont une mobile) comparée à 150 voire 200 pièces quasiment toutes mobiles pour un moteur classique de 80 chevaux. “Ariel a dit : ‘s’il y a un pourcent de chance que cela existe, on ne peut pas se permettre de ne pas être présents’. Alors nous nous sommes réunis à nouveau et avons décidé d’investir notre propre argent pour établir un prototype” raconte Gal Fridman. En moins d’un an, Shaul Yaakobi a réussi à un moteur fonctionnel. “Ariel et moi avions tout laissé de côté pour nous y consacrer à plein temps, nous n’avions jamais eu l’opportunité de travailler sur une telle initiative” continue-t-il. Une industrie réactive et des portefeuilles d’investisseurs ont permis à la société, basée à Rosh HaAyin, de croître rapidement. “Nous concevons maintenant un moteur ayant vocation à être commercialisé, prêt à être produit en masse.” déclare Gal Friedman, affirmant qu’idéalement, celui-ci serait produit en Israël. Un second tour de financement vise à recueillir “des dizaines de millions de dollars” dans le but de mettre en place une chaîne de montage adaptée à la construction d’une voiture électrique utilisant le moteur Aquarius.

La gagnante de Miss Israël 2016 est Karin Alia de Kiryat Gat. Cette étudiante de 18 ans a reçu son titre et sa couronne le 6 juin dernier et succède à Avigail Alfatov. Elle va maintenant représenter Israël dans la prochaine édition de Miss Monde 2016. Miss Monde est un concours de beauté international qui élit chaque année une jeune femme « Miss Monde ». Il a été créé en 1951 au Royaume-Uni par Eric Morley. Ce concours est distinct et rival de celui de Miss Univers en déclin ces dernières années, et est l’équivalent féminin de Mister Monde.

Initialement, ce concours s’intitulait le Festival Bikini Contest (« Concours Bikini »), en l’honneur du célèbre maillot de bain créé à l’époque, mais fut rapidement nommé par la presse « Miss Monde ». Il était prévu à l’origine pour n’être organisé qu’une seule fois. Mais la tenue aux États-Unis d’un concours similaire à Miss Univers a poussé à continuer l’évènement qui jouit aujourd’hui de la plus grande longévité dans un concours de beauté international, soit 65 ans. Il est regardé chaque année par 20 % de la population mondiale.

POLITIQUE

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Netanyahou bientôt en visite officielle

Cela n’était plus arrivé depuis 1994 et la visite de Yitzakh Rabbin au Maroc, mais un Premier ministre israélien devrait à nouveau se rendre sur le continent africain en visite officielle. Si Benjamin Netanyahou s’était rendu en Ouganda en 2005 pour inaugurer une plaque à la mémoire de son frère Yonatan, tombé lors de l’opération Entebbe de 1976, il n’était pas alors à la tête du gouvernement. Mais ce devrait être chose faite très prochainement, le Premier ministre ayant annoncé en février avoir accepté l’invitation de plusieurs dirigeants à se rendre aux commémorations du quarantième anniversaire du raid. Si l’agenda précis du séjour n’a pas encore été rendu public, Benjamin Netanyahou devrait vraisemblablement se rendre en Ouganda, au Kenya, en Éthiopie et au Rwanda. 50 millions de shekels pourraient être dé-

bloqués pour renforcer la coopération économique et le développement des pays africains, dont la part du commerce extérieur ne représente que 2% pour l’Etat hébreu. Pour le Premier ministre, cité par i24 News, “Le continent africain constitue un vaste potentiel pour Israël dans de très nombreux domaines. De nombreux pays cherchent à nous ouvrir leur porte et nous réaliserons ce rêve en veillant à leurs intérêts, mais aussi à ceux d’Israël” La future coopération englobera de nombreux domaines, de l’implantation de bureaux de l’Agence israélienne pour le développement international à la mise en place de fonds avec la Banque mondiale permettant de financer de nombreux projets. L’enseignement de technologies par le biais de subventions et des formations sur la sécurité intérieure compléteront cette coopération.

Naftali Bennett est un véritable ami des haredim

Bennett est un véritable ami des haredim. Le Ministre de l’Éducation a été reçu chaleureusemant par les disciples de l’Admour de Belz à Jérusalem.

Le Ministre de l’Education Naftali Bennett a visité un séminaire pour femmes à Jérusalem tenu par les hassidim de Belz. Il a reçu

un accueil très spécial:il était accompagné par le député Yisrael Eichler, la maire adjointe de Jérusalem Tzvika Cohen et le chef administratif de Jérusalem Moshe Tor-Paz. Naftali Bennett a visité les salles de classe et s’est intéressé de près au système éducatif hassidique. Il a même testé les élèves d’une classe sur le théorème de Pythagore, même si les élèves ne présenteront pas forcément l’examen de mathématiques, conformément aux instructions de leurs rabbins. Le ministre a également assisté à une leçon de géographie ayant comme sujet le Nil et les tensions actuelles entre l’Egypte et le Soudan. Il n’a pas hésité à poser des questions et a être remarquablement surpris par les réponses intelligentes des élèves. Il a terminé sa tournée en visitant le jardin d’enfants où il a lu une histoire à la classe. Le ministre de l’Education a salué la direction de l’école hassidique en disant qu’il

voyait à quel point ils s’investissaient auprès des enfants pour leur enseigner la politesse, les valeurs et des connaissances dans des domaines variés avec plein de pédagogie. Le Rabbi Avraham Yehuda Feiner, le directeur du système scolaire du séminaire Beis Malka s’est entretenu avec le ministre de l’Éducation. Il a fait son éloge pour sa politique qui met fin à la discrimination contre la communauté haredi en matière de financement. «Nous voyons que vous êtes un véritable ami de la communauté haredi, » a t-il dit. Bennett a répondu avec un sourire. Le ton était très chaleureux lors de la visite montrant ainsi la réussite d’une alliance naissante entre le parti Beit HaYéhudi de Bennett et le Judaïsme de la Torah Unifiée. Les deux factions ont donc mis fin à une période prolongée d’hostilité.