GRATUIT - Numéro 405 - Edition du 27 Septembre au 4 Octobre
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 27 Septembre au 4 Octobre
Une vie au service des juifs, du judaïsme, de la lumière de la Torah
Il avait un regard bienveillant, une écoute intense, une façon de dire à chacun, à chacune qu’il ou elle était unique, qu’il ou elle méritait attention et amour. Derrière la barbe, le costume sombre et le grand chapeau noir, se cachait, on ne le sait pas forcément, un humour féroce, un enthousiasme et une vitalité qui savaient instiller et créer, partout, pour tous, de la joie. Depuis l’annonce de son départ, les messages d’amour, les anecdotes émues, les témoignages d’expérience personnelle se multiplient, dans les synagogues et les centres communautaires, sur les réseaux sociaux. Joseph Haïm Sitruk ZATSAL, ex-grand Rabbin de France, est décédé ce Dimanche 25 Septembre 2016, à l’âge de 71 ans. Né à Tunis, il a, au cours de sa carrière, toujours impressionné ceux qui l’ont croisé et c’est bien sa personnalité d’exception, son érudition, son amour de l’autre autant que de la Torah qui l’ont porté au sommet. Décrié par certains, pour son franc-parler, pour ses positions parfois sans concession sur certains sujets, il reste l’une des figures les plus appréciées, les plus célèbres, les plus respectées du judaïsme français. Essentiellement parce qu’il a su lui donner un nouveau souffle : parce qu’il a su porter une communauté vers la pratique, parce qu’il a su donner aux juifs de France l’envie de revenir à la Torah, l’envie de faire partie de ce que l’on appelle la communauté, l’envie, tout simplement de se revendiquer en tant
Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France
que juif, et de vivre cette parcelle d’identité avec joie et ferveur. Elu pour la première fois en 1987, il a effectué 3 manfats en tant que Grand Rabbin de France. C’est dire si les juifs de France avaient le sentiment qu’il était essentiel, indispensable, fondamental au judaïsme français. Défenseur de la communauté juive, porte-parole de ses doutes comme de ses forces auprès des dirigeants de ce pays, il a su encourager l’alyah, montrer son attachement à l’Etat d’Israël sans renier son amour pour la République française qui avait donné au juif de Tunisie né à la toute fin de la seconde guerre mondiale, qu’il était de devenir un haut dignitaire et un interlocuteur priviligié du gouvernement français. Joseph Haim Sitruk ZATSAL se battait, depuis quelques années contre une longue maladie. Une maladie qu’il subissait avec courage, dignité, mais surtout discrétion. Lui qui savait plus que nul autre qu’Hachem, en ce monde, sait mieux que quiconque, acceptait son mal avec abnégation. Il saura, désormais, prier pour le peuple juif, prier pour cette communauté qu’il avait embrassée et prise sous son aile, cette communauté qui le pleure aujourd’hui. Il saura aussi, par son aura, par son srout, faire venir le Mashiah et protéger tout le Am Israël de ses ennemis. Baroukh Dayan Haemet Am Israel Haï Alain Sayada
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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan
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À LA UNE
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Tourisme en Israël : Le bilan de l’été
En Israël, le mois d’août s’impose chaque année comme le point d’orgue de la saison touristique. L’association des hôtels d’Israël (Israel Hotel Association) a récemment publié le bilan de 2016.
cipités sur Eilat en août dernier, avec 773 000 nuitées (-5%). 226 000 ont opté pour Tibériade et ses alentours (-5%), 132 000 à Jérusalem (-14%), 79 000 à Tel Aviv (-20%) et 38 000 à Haïfa.
Ainsi en août dernier, le taux d’occupation des hôtels s’élevait à 67%. 2,4 millions de nuitées ont été décomptées, dont 610 000 pour des touristes étrangers, soit 15% de moins comparé à août 2015 mais 27% de plus qu’en 2014, en pleine opération Bordure Protectrice. Les nuitées des israéliens ont atteint un total d’1,76 million, soit une diminution annuelle de 4%.
Le bilan, à première vue très sévère, est adouci par les performances de Netanya, bien aidée par l’ouverture récente de plusieurs établissements et ayant reçu 30 000 israéliens (33%). Le même phénomène s’est vérifié à Herzliya (30 000 ; 80%) et à Nazareth (25 000 ; +46%).
Sur les 610 000 touristes étrangers, 212 000 ont séjourné à Tel Aviv (-17%), 134 000 à Jérusalem (-18%), 37 000 à Netanya et 36 000 à Tibériade et ses alentours. La diminution de fréquentation la plus impressionnante concerne Eilat, qui n’en a accueilli “que” 23 000, soit une baisse de 33%. Noaz Bar-Nir, président de l’Israel Hotel Association a déclaré : “Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Le tourisme interne et le tourisme international sont en déclin depuis longtemps à Jérusalem. Tel Aviv a rejoint cette tendance pour ce mois-ci. Nous espérons un renversement de la tendance grâce aux efforts marketing du ministère du tourisme, dont le budget n’a jamais été aussi conséquent.” A l’inverse des touristes étrangers, les israéliens se sont comme chaque année pré-
A noter que la fréquentation hôtelière a été affectée cette année par le deuil de trois semaines avant Tisha Beav, s’achevant à la mi-août et empêchant de nombreuses personnes à ne pas prendre de vacances à cette période. Le taux d’occupation des hôtels s’est élevé à 84% à Eilat, 70% sur les rives de la mer morte, 68% à Netanya et à Tel Aviv, 71% à Haïfa, 64% à Tibériade et aux alentours du Kinneret, 63% à Herzliya, 50% à Nazareth et 49% à Jérusalem. Si les capacités israéliennes en terme d’accueil ont augmenté de 3% d’une année sur l’autre, atteignant 51 736 chambres d’hôtel. Le nombre de touristes entre janvier et août a quant à lui stagné à 14,7 millions : 9,3 millions d’israéliens et 5,4 millions d’étrangers. http://www.globes.co.il/
Prières pour Martial Moshé-Hai Allouche zal
Nous avons la tristesse de vous annoncer le décès de : Mr Martial Moshe-Hai ALLOUCHE ז׳׳ל Président d’honneur de la synagogue des Tournelles. Membre fondateur de la Hevra Kadisha de Paris. Mercredi 21/09/2016 - 18elloul 5776 Les prières des chlochims se tiendront ce jeudi 29 septembre 2016 à 18h15 en la synagogue des Tournelles : 21 bis rue des Tournelles 75004 Paris Nous lirons quelques Téhilims avant la prière. Que son souvenir soit pour nous une source de bénédictions.
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Croissance 2017: Israël s’en tirera mieux que les autres pays avancés
Selon les perspectives économiques de l’OCDE, la croissance des économies les plus avancées sera modérée en 2017, mais Israël fera exception. « La faible progression des échanges et les distorsions du système financier exacerbent la lenteur de la croissance économique mondiale » : le message de l’OCDE sur l’économie mondiale est alarmiste. Selon les dernières “Perspectives économiques intermédiaires de l’OCDE” publiées à Paris en fin de semaine, l’économie mondiale aura du mal à s’extraire du « piège de la croissance molle ». En fait, le monde entre dans le cercle vicieux de la croissance modérée : la médiocrité des anticipations de croissance bride encore davantage les échanges, l’investissement, la productivité et les salaires. LE PIÈGE DE LA CROISSANCE MOLLE Résultat du pessimisme ambiant : l’OCDE a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour 2017. La croissance de l’économie mondiale sera de 2,9% cette année (contre 3% en juin) et de 3,2% en 2017 (contre 3,3% en juin) ; les experts précisent qu’il s’agit d’un taux bien inférieur aux moyennes de long terme qui se situent autour de 3,25%. Quant à la croissance des plus importantes économies avancées, elle sera encore plus modérée. Aux États Unis, où la forte progression de la consommation et de l’emploi est neutralisée par l’atonie de l’investissement, la croissance s’établira à 1,4% cette année et à 2,1% en 2017.
Dans les pays de la zone euro, la croissance du PIB devrait atteindre 1,5% en 2016 et 1,4% en 2017. En Allemagne, elle devrait être de 1,8% en 2016 et de 1,5% en 2017 ; en France, la croissance sera de 1,3% en 2016 comme en 2017. L’EXCEPTION ISRAÉLIENNE Et Israël ? Son économie échappe encore à la tendance générale observée dans les autres pays de l’OCDE. Certes, la faible progression des échanges mondiaux handicape aussi sa croissance. Selon les perspectives de l’OCDE, la croissance de l’économie d’Israël devrait remonter à 3% en 2017, soit un rythme deux fois plus rapide que dans la zone euro (1,4%). Pour Israël, l’OCDE explique que « l’orientation budgétaire expansionniste et le maintien de taux d’intérêt et de prix pétroliers bas devraient soutenir la demande intérieure et l’emploi ». Bien que très faibles ces derniers temps, les exportations devraient repartir avec le raffermissement progressif de la demande étrangère, quoiqu’elles pourraient être freinées par l’appréciation du shekel. Les experts internationaux reconnaissent donc que l’évolution de l’environnement extérieur pourrait avoir des retombées importantes sur l’économie israélienne. Autre source d’inquiétude : la forte hausse des prix du logement qui, malgré les efforts des autorités pour inverser cette tendance, accroît aussi les risques et les pressions sur la politique monétaire. Jacques Bendelac (Jérusalem)
À LA UNE
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Gates, Buffett, Donald Trump ont loué le système économique israélien
L’économie israélienne est basée sur un système capitaliste moderne d’un pays jeune qui se caractérise par un secteur public relativement important et un secteur de la high-tech en croissance rapide. Les entreprises israéliennes, principalement dans ce domaine, sont très appréciées sur les marchés financiers mondiaux : Israël est le deuxième pays en nombre de sociétés cotées au NASDAQ, après les États-Unis. En 2010, Israël a officiellement rejoint l’OCDE. En outre, avec 140 ingénieurs pour 10 000 habitants, Israël est le pays avec la concentration en ingénieur la plus élevée (contre 88 pour le Japon et 85 pour les États-Unis) au monde. Créé en 1948, les principales sources de croissance d’Israël relèvent du talent de ses ressources humaines qui ont permis en grande partie des taux de croissance à deux chiffres pendant les deux premières décennies d’existence du pays. Les années qui suivirent la guerre de Kippour en 1973 ont fait perdre dix années de croissance au pays et entraîné une inflation à trois chiffres. À partir de 1985, un plan de stabilisation économique et des réformes dans le sens d’une économie de marché ont ranimé le dynamisme économique et permis une nouvelle croissance rapide dans les années 1990. Les vagues d’immigration massive des années 1990, avec l’Aliyah de plus d’un million de Juifs hautement qualifiés originaires de l’ancien Bloc de l’Est, a donné une nouvelle accélération à l’économie israélienne grâce à leur force de travail et leur impact sur une augmentation de la consommation.
Le processus de paix israélo-palestinien, lancé par la conférence de Madrid de 1991 et qui a conduit aux Accords d’Oslo en 1993 et au traité de paix israélo-jordanien en 1994, a grandement profité à l’économie israélienne en mettant un terme à l’isolement économique du pays et en favorisant une intégration régionale et une ouverture des relations économiques avec ses voisins. Cela a également marqué le début d’une augmentation des exportations israéliennes vers l’Asie de l’Est et des investissements étrangers en Israël. En 1998, Tel Aviv est cité par le magazine Newsweek comme l’une des dix villes du monde les plus influentes technologiquement parlant. Les années 2000 sont doublement marquées par la récession des années 2001-2002 et la forte reprise due aux réformes libérales drastiques conduites par le ministre des Finances Benyamin Netanyahou. À la suite de l’effondrement de la bulle high tech et au début de la nouvelle Intifada, l’économie israélienne connaît à partir de 2001, une violente récession se traduisant par un recul du PIB de 0,3 % en 2001 et de 1,2 % en 2002 (en PIB par habitant, le recul cumulé sur les deux ans atteint 6 %). Le chômage explose et s’approche fin 2003 des 11 %. À partir de 2003, Benyamin Netanyahou, ministre des Finances du second gouvernement d’Ariel Sharon, entreprend une politique de réformes profondes, comprenant une baisse massive des impôts, une refonte
du système des retraites et de l’assurance maladie, et surtout des coupes brutales dans le budget et en particulier dans les allocations – l’idée étant de forcer les gens à travailler. Ce plan est un succès sur le plan macroéconomique[pas clair] mais, à court terme, il plonge de nombreuses familles (en particulier arabes et ultra-orthodoxes) dans la pauvreté. La croissance redémarre à partir d’août 2003 et atteint 1,8 % sur l’ensemble de l’année, puis 4,8 % en 2004, 5,2 % en 2005, et 5,1 % en 2006. Le chômage tombe à 7,7 % fin 2006, et le taux d’activité, structurellement bas en Israël, augmente de 53 % a 55,8 % fin 2006. Le taux de dépenses publiques, qui représentait 77 % du PIB en 1985, et 55 % en 2002, est tombé à 49 % en 2006 malgré les dépenses dues à la guerre au Liban. De même, la dette publique, qui culminait à 110 % du PIB en 2002 est redescendue à 85 % en 2007, et à la suite des excédents budgétaires de cette même année, devrait tomber à 77 % début 2008. Parallèlement, la Bourse israélienne retrouve dès fin 2004 ses records de l’an 2000 et les dépasse de plus de 40 % début 2006. De 2003 à 2006, les indices de la Bourse de Tel Aviv ont été multipliés par un facteur. En février 2007, les indices de la bourse de Tel Aviv atteignent les 1 000 points, contre 100 en 1992. 2006 est aussi l’année des records d’investissements étrangers avec un total de plus de 23 milliards de dollars (dont 4 milliards pour le rachat de ISCAR Metalworking
par Warren Buffett, le deuxième homme le plus riche du monde). Pour la première fois de son histoire, Israël connaît un excédent commercial qui atteint 2,2 milliards de dollars. Des milliardaires et magnats américains dont Bill Gates, le même Warren Buffett ou Donald Trump ont chacun loué l’environnement économique israélien. Lors de la crise économique de 2008, Israël a réussi à garder une croissance aux alentours de 1,1 % alors que les États-Unis, l’Union Européenne et l’OCDE en général affichaient des croissances négatives. Bien que la consommation des israéliens eût légèrement augmenté, les investissements et les exportations s’étaient quant à eux effondrés avant de repartir l’année suivante, avec des taux supérieurs à l’année précédant la crise, 2007 ; les exportations de biens et services avaient alors augmenté de 13,5 %. Comme tous les autres pays occidentaux, Israël avait certes été touchée, mais bien moins violemment que des nations comme la France ou les États-Unis, gardant une création d’emplois assez importante ainsi qu’une consommation. En 2010, Israël a officiellement rejoint l’OCDE au vu des progrès économiques et réformes réalisés. Israël dispose d’immenses ressources en gaz naturel, dont la découverte est récente et l’exploitation prévue à partir de 2013. Ces ressources sont de nature à transformer Israël en exportateur de gaz, ce qui aura probablement des conséquences très importantes sur son économie.
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Bourse de Tel Aviv. Une réforme indispensable ?
Quatre israéliens arrêtés dans l’affaire des comptes à la HSBC Selon un haut-responsable de Nasdaq OMX (section européenne de la société boursière), la bourse de Tel Aviv (Tel Aviv Stock Exchange) doit opérer des changements significatifs dans sa structure, son image et sa régulation, sous peine de décliner dangereusement. La bourse américaine est en étroite coopération avec la bourse de Tel Aviv sur diverses problématiques. C’est dans ce cadre que les deux entités se sont accordées sur la création d’un marché privé dans le but de soutenir les petites sociétés israéliennes en croissance. Car si Israël bénéficie d’un secteur de start-up florissant, la plupart d’entre elles privilégient le fait d’être vendues ou de s’inscrire auprès du Nasdaq de New York, au détriment du marché boursier local. En effet ce dernier doit faire face à une perte de volume des opérations et à un déclin du nombre de sociétés cotées. Cependant le TASE procède actuellement à un plan de démutualisation, d’ores et déjà approuvé par ses membres et par le gouvernement. Quatre frères israéliens diamantaires de Tel-Aviv et de Ramat Hasharon ont été arrêtés sur des soupçons de posséder des comptes bancaires d’une valeur de dizaines de millions de shekels dans la branche suisse HSBC, sans les avoir déclaré à l’administration fiscale d’Israël.
de leur déclaration de revenu et de l’IGF. Les frères auraient environ100 millions de NIS sur leurs comptes. Les quatre frères et les trois fils de Hanan Menachemov ont été interrogés par l’administration fiscale et des perquisitions ont été menées dans le bureau et au domicile de Hanan Menachemov.
Quatre israéliens arrêtés dans l’affaire des comptes à la HSBC
Les suspects ont nié les charges qui leur sont attribuées.
Les quatre frères – Hanan Menachemov, Gad Menachemov, Yoram Menachemov et Michel Menachemov – ont été déférés devant la juge Shlomit Ben Yitzhak du Tribunal correctionnel de Tel-Aviv qui a accepté leur arrestation et les a libéré sous caution après qu’ils aient restitué leurs passeports.
L’enquête du fisc israélien a commencé après avoir reçu une liste de 8.000 Israéliens détenant des comptes dans la branche suisse de HSBC. La liste est en cours de vérification croisée pour voir si les titulaires de comptes ont déclaré leur capital tel que la loi le demande.
Les quatre frères sont accusés de ne pas avoir déclaré l’argent sur les comptes de lors
Source: Alliance.fr et Source: globes.co.il
“Ils doivent aller de l’avant rapidement et brillamment ou il n’y aura plus de marché boursier. Je le pense sincèrement.” a déclaré Meyer Frucher, vice-président de Nasdaq OMX, lors d’une conférence à l’Ono Academic College, près de Tel Aviv. Il a alors expliqué que la bourse israélienne devait s’ouvrir à de nouvelles idées. Le plan
de démutualisation, dont l’approbation parlementaire est toujours attendue, doit rendre le TASE plus compétitif, et lui permettre de coopérer avec des bourses étrangères, hors de la tutelle des banques israéliennes. De nombreuses sociétés se sont plaint de l’impossibilité d’intégrer le TASE, visant les nouvelles régulations mises en oeuvre après la crise de financière de 2008. “Que cela soit vrai ou non, il y a une perception de sur-régulation.” a continué Meyer Frucher. Le plan de démutualisation rendrait actionnaires du TASE des sociétés de courtages, des banques israéliennes et étrangères, dont Citicorp, UBS ou HSBC. Cette année le volume des opérations à la bourse de Tel Aviv était en moyenne d’1,25 milliards de shekels (295 millions d’euros) chaque jour, alors qu’il était à 1,45 milliard en 2015 et de 2 milliards en 2010. Le nombre de sociétés inscrites a chuté de plus d’un tiers sur la dernière décennie pour atteindre aujourd’hui le nombre de 454. Shmuel Hauser, président de l’autorité de régulation israélienne, a ainsi déclaré lors de la conférence : “Il est clair pour tout le monde que si nous ne changeons rien à la dynamique négative que connaît la bourse, la situation pourrait s’empirer.” http://www.haaretz.com/
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Israël signe l’ Accord sur le commerce des produits des technologies de l’information
L’Union européenne et 21 pays membres de l’OMC dont les Etats-Unis, la Chine, le Canada, le Japon, la Corée du Sud ou encore Israël et l’Australie, ont adopté une déclaration ministérielle sur l’expansion du commerce des produits des technologies de l’information (ATI). Cette déclaration vise l’élimination totale des droits de douane et autres droits spécifiques d’ici 2019 sur certaines catégories de produits définies tels que les instruments de pesage, imprimantes, compteurs d’électricité, machines de soudage, hauts parleurs, microphones, stimulateurs cardiaques et appareils de navigation. Chaque membre procèdera à l’élimination des droits de douane en 4 étapes avec une première diminution au plus tard le 1er juillet de cette année, tandis que l’élimination des autres droits devra être effective à cette même date. (Source Business France). L’Organisation mondiale du commerce (OMC, ou World Trade Organization, WTO, en anglais) est une organisation internationale qui s’occupe des règles régissant le
commerce international entre les pays. Au cœur de l’organisation se trouvent les accords de l’OMC, négociés et signés en avril 1994 à Marrakech par la majeure partie des puissances commerciales du monde et ratifiés par leurs assemblées parlementaires. L’OMC a pour but principal de favoriser l’ouverture commerciale. Pour cela, elle tâche de réduire les obstacles au libreéchange, d’aider les gouvernements à régler leurs différends commerciaux et d’assister les exportateurs, les importateurs, et les producteurs de marchandises et de services dans leurs activités. Depuis 2001, le cycle de négociation mené par l’OMC est le Cycle de Doha3. Bien que l’OMC ne soit pas une agence spécialisée de l’ONU, elle entretient des liens avec cette dernière. Le siège de l’OMC est au Centre William Rappard, à Genève. Depuis le 1er septembre 2013 l’organisation est présidée par le brésilien Roberto Azevêdo qui a été élu directeur général.
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Hommage de la compagnie ELAL au Grand Rav Joseph Haïm Sitruk z’l Nous avons appris hier, avec une grande tristesse, la disparition du Rav Joseph Haim Sitruk Zatsal Grand Rabin de France pendant 21 ans le Rav Joseph Haim Sitruk zatsal a été le guide spirituel de l’ensemble de la communauté des Juifs de France. Le grand Rabin Joseph Haim Sitruk zatsal avait depuis le départ honoré la Compagnie EL AL de son soutien et de son amitié.
Puisse son souvenir être une bénédiction pour tous ceux qui l’ont connu. Liat Yahav et toute l’équipe d’EL AL France adressent à son épouse , à ses enfants, à toute sa famille, ses amis et proches et à tous les membres de la communauté Juive en France et à travers le monde, l’expression de leur profonde amitié. Baruh Dayan haemet.
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S’il est élu, Trump reconnaîtra Jérusalem comme «capitale indivisible d’Israël» D’autres sujets ont été abordés dont «l’accord nucléaire avec l’Iran, la lutte contre Daech et d’autres préoccupations de sécurité régionales». Netanyahou a remercié le candidat républicain pour «son amitié et son soutien à Israël» et a présenté les positions du gouvernement sur les enjeux régionaux ainsi que ses efforts pour arriver à la paix et à la stabilité au Moyen-Orient.
Trump a qualifié Israël de «partenaire essentiel des Etats-Unis dans la guerre mondiale contre le terrorisme»
indivisible de l’Etat d’Israël», a précisé la campagne du candidat républicain dans un communiqué.
Lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à New York dimanche, le candidat républicain à l’investiture américaine, Donald Trump a déclaré que s’il était élu, les EtatsUnis reconnaîtront Jérusalem comme «capitale indivisible d’Israël», rapporte le journal Haaretz.
Le candidat républicain a qualifié Israël de «partenaire essentiel des Etats-Unis dans la guerre mondiale contre le terrorisme islamiste radical» et qu’»Israël et ses citoyens ont souffert beaucoup trop longtemps sur les lignes de front du terrorisme islamique».
L’entrevue, qui a duré plus d’une heure, s’est déroulée dans la tour éponyme de l’homme d’affaire, au centre-ville de Manhattan et a permis d’aborder «de nombreux sujets importants pour les deux pays».
Le communiqué précise également que Trump s’est dit «d’accord avec le peuple israélien» qui «veut une paix juste et durable avec ses voisins, mais que cette paix ne viendra que lorsque les Palestiniens renonceront à la haine et la violence et accepteront l’Etat d’Israël comme un Etat juif».
«M. Trump a reconnu que Jérusalem est la capitale éternelle du peuple juif depuis plus de 3.000 ans, et que les Etats-Unis, sous une administration Trump, accepteront finalement le mandat de longue date du Congrès de reconnaître Jérusalem comme la capitale
Les deux hommes ont échangé sur «l’expérience réussie d’Israël d’une barrière de sécurité qui a aidé à sécuriser ses frontières». Trump a fait de la construction d’un mur le long de la frontière américano-mexicaine, une promesse de campagne.
L’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis, Ron Dermer, et le gendre juif de Trump, Jared Kushner, ont également assisté à cette réunion. Netanyahou devrait par la suite rencontrer la candidate démocrate, Hillary Clinton, vers 18h (heure locale).
Les responsables de la délégation israélienne ont expliqué que le lieu de chaque rencontre s’était décidé selon le choix de chaque candidat en raison de l’événement médiatique qui les attend le lendemain. En effet, Clinton et Trump seront confrontés l’un à l’autre lundi, dans leur premier débat télévisé. Un haut responsable israélien avait affirmé avant la rencontre, que le Premier ministre israélien a jusqu’ici évité de rencontrer les deux candidats pour ne pas être soupçonné d’interférer dans la politique américaine, accusation qu’il avait dû essuyer lors de la campagne présidentielle de 2012. i24news
Israël/Palestiniens: Netanyahou n’envisage pas une initiative d’Obama Le PM israélien rencontre dimanche le candidat républicain Donald Trump et sa rivale démocrate Hillary Clinton Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a dit samedi espérer que le président américain Barack Obama ne recourra pas à une ultime initiative, unilatérale, pour tenter d’imposer une solution au conflit israélo-palestinien. Benyamin Netanyahou a fait part de ce sentiment dans des interviews aux trois chaînes de télévision israélienne, effectuées depuis New York où il participe à l’Assemblée générale de l’ONU. Il a toutefois a réitéré son opposition à un Etat binational. «Je veux un accord par lequel les Palestiniens reconnaîtront notre Etat, tout comme nous reconnaîtront le leur. Je ne veux pas d’un Etat qu’ils inonderont de réfugiés,
mais un foyer national pour le peuple juif. Leur refus de reconnaître [Israël] comme foyer national du peuple juif, quelque que soit ses frontières, reste le cœur du conflit», a-t-il ajouté. Après avoir rencontré le président américain Barack Obama et le secrétaire d’Etat américain John Kerry vendredi, il doit s’entretenir dimanche avec le candidat républicain à la Maison Blanche Donald Trump et sa rivale démocrate Hillary Clinton. Lors de ces interviews diffusées simultanément samedi soir, Benyamin Netanyahou a répondu par la négative à la question de savoir si le président américain s’était engagé à ne pas entreprendre une ultime initiative, unilatérale, pour résoudre le conflit israélo-palestinien, dans les trois mois entre les élections et son départ de la Maison Blanche. Certains experts ont évoqué une possible
résolution du Conseil de sécurité de l’ONU qui fixerait les termes d’un règlement du conflit. Benyamin Netanyahou a cependant estimé peu probable que le président Obama soutienne une telle initiative, redoutée par Israël. «Jusqu’à présent, il ne l’a pas fait. Le seul véto dont il se soit servi jusqu’à présent à l’ONU c’était en 2011 pour bloquer une résolution anti-israélienne», a-t-il dit. «J’espère que les Etats-Unis continueront cette politique», a-t-il ajouté. En 2011, les Etats-Unis avaient bloqué une résolution de l’ONU qualifiant d’illégales les implantations israéliennes en Cisjordanie. Les Etats-Unis avaient alors affirmé que bien qu’opposés aux constructions, ils es-
timaient que poser le problème devant les Nations unies ne ferait que rendre plus difficile une reprise des négociations entre Israël et les Palestiniens. En décembre 2000, juste avant son départ du pouvoir, Bill Clinton avait en vain proposé un plan de paix détaillé aux deux parties. Le processus de paix entre Israël et les Palestiniens est au point mort depuis avril 2014. i24news
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Keter Chalom et ses multiples activités
Les associations « Keter Chalom-France » et « Keter Chalom-Israël » ont été créées à la mémoire de l’illustre Rabbi Chalom Messas Zatsal (1909-2003), ancien grand rabbin de Jérusalem. Fondées il y a plus de dix ans par ses fils Daniel, Joël et Nathan, elles ont pour objectif de pérenniser la mémoire du Rav Chalom Messas et de son épouse, la Rabbanite Jamila Messas (1916-2006). Elles visent également à diffuser en Israël et à travers le monde, l’œuvre gigantesque du Rav, par la réédition de ses ouvrages et par l’impression de ses manuscrits. En effet, le Rav Chalom Messas Zatsal fut un auteur fécond de livres de Torah et particulièrement de responsas halakhiques devenus incontournables en termes de jurisprudence rabbinique. Il fut également un infatigable prédicateur dont l’objectif principal était d’inciter ses coreligionnaires à accéder au bonheur de l’étude, à cette richesse incommensurable de la Torah. « Keter Chalom » s’est engagée dans diverses actions dans le passé qui se sont d’abord concrétisées par la création d’un Collel à Jérusalem où une dizaine d’Avrékhim encadrés par un Roch Collel y ont étudié à plein temps pendant de longues années, à la mémoire du Rav et conformément à ses souhaits. De plus, pour inciter les jeunes à se pencher sur les écrits du Rav, « Keter Chalom » a lancé le « prass harav chalom Messas » (un prix). Ainsi, à deux occasions (en 2008 et en 2013), la distribution des prix s’est déroulée en présence des grands Rabbins d’Israël ainsi que de nombreux Rabbanim et Dayanim d’Israël et de France. Plus de 250 Avrékhim ont adressé à l’association un essai sur l’un des sujets de Halakha abordé par le Rav. Près de cinquante travaux ont été sélectionnés et compilés dans un ouvrage intitulé « Maor Hachéméch » (édité en deux tomes en 2008 et un tome en 2013).Une bourse a été attribuée aux quatre lauréats, auteurs des meilleurs essais. « Keter Chalom » a également répondu à l’appel de la synagogue de la rue de la Roquette (Paris 11ème) en finançant les travaux de rénovation de la salle du premier étage qui porte le nom de Rav Chalom Messas. Rappelons que le Rav avait l’habitude de prier dans cette synagogue lors de ses
séjours à Paris. Par ailleurs, depuis 11 ans, « Keter Chalom » organise, à la mémoire du Rav, un office de Kippour à l’hôtel Inbal de Jérusalem. Il s’agit d’une formule unique qui répond à une demande importante: près de 700 fidèles issus des quatre coins d’Israël, d’Europe et d’Amérique se joignent à cet office. A l’origine, ce Minyane était dirigé par le Richone Létsione, le grand rabbin de Jérusalem, Rav Chlomo Moché Amar puis, par le Rav René Samuel Sirat, ancien grand rabbin de France, Rav Armand Castiel et Rav Réphaël Bénizri. Tout au long de l’année, un office est assuré tous les Chabbatot et les jours de fêtes au domicile du Rav, situé au 5 Ré’hov Itamar ben Avi, à Ré’havia. Le Dr Nathan Messas précise : « notre souci premier reste la diffusion de l’œuvre monumentale de notre vénéré père, Rabbi Chalom Messas, reconnu comme l’un des plus grands décisionnaires de notre génération et comme le Possek de référence des communautés séfarades. Nous avons le plaisir d’annoncer au public que les livres de Halakha du Rav Chalom Messas (dix volumes) ont été réédités par notre maison d’édition, le « Makhon Keter Chalom ». Pour rappel, il s’agit de « Mizra’h Chémech », « Beth Chéméch », « Tévouot Chéméch » (4 tomes) et « Chémech Oumaguen » (4 tomes). A noter que le livre « Vé’ham Hachéméch » (commentaire sur la Torah, en deux tomes) et le Mah’zor « Vézara’h Hachéméch » sont également disponibles. Les titres de ces livres reprennent tous le terme « Chéméch » se référant aux initiales du nom du Rav Chalom Messas et représentant sa Torah qui brillait comme le soleil et qui était puissante comme le feu. Ces livres sont destinés en priorité aux Baté-Dinim, aux Dayanim et Rabbanim, aux Yéchivot et Collelim ainsi qu’à tous les érudits en Torah et Halakha. Nous invitons les institutions et les personnes désireuses de se les procurer à nous contacter ». Une revue « Hommages », a également été éditée à la mémoire du Rav. Elle retrace sa biographie, son œuvre et comporte les différents hommages qui lui ont été rendus.
Les institutions « Keter Chalom » lancent un appel à tous ceux qui disposent d’écrits, de photos ou d’enregistrements audio/vidéo du Rav Chalom Messas Zatsal, d’avoir la gentillesse d’en transmettre une copie à l’association pour constituer une base de données. Enfin, signalons que « Kéter Chalom » perpétue également la mémoire de la Rabbanite Jamila Messas, née Elkrief et issue d’une noble famille de Méknès. Deux versets pourraient résumer la vie de cette femme vertueuse : « … Je te garde le souvenir de la bonté de ta jeunesse…quand tu Me suivais dans le désert… » (Jérémie 2;2). Le Rav éprouvait une reconnaissance infinie envers son épouse qui s’est engagée à ses côtés pour l’accompagner et le soutenir alors qu’il était jeune étudiant en Torah. Elle a œuvré auprès de lui sans relâche à Méknès puis à Casablanca où il a été grand rabbin du Maroc pendant 25 ans et enfin, à Jérusalem pendant un quart de siècle. Le second verset qui la caractérise est « Bien des femmes se sont montrées vaillantes, tu leur es supérieure à toutes » (Proverbes 31;29). C’était une grande figure du judaïsme contemporain et lors d’un hesped, le Rav Chlomo Moché Amar a conseillé à la famille de publier un livre sur la Rabbanite en décrivant fidèlement ses Middot afin que toutes les filles d’Israël s’en inspirent.
« Keter Chalom » voudrait profiter de cette occasion pour lancer un appel d’aide et de soutien afin de pouvoir continuer à diffuser les œuvres du Rav déjà existantes et imprimer les milliers de manuscrits qui n’ont pas encore été édités. « Nous ressentons un bonheur, une immense fierté et un grand honneur d’œuvrer pour la diffusion des écrits de notre vénéré père qui fut un géant de la Torah, un prince de sa génération et une couronne de paix - « Keter Chalom », au service du peuple d’Israël. Que les mérites du Rav et de la Rabbanite vous accompagnent dans vos actions, vous comblent de bénédictions et éclairent vos vies de bonheur et de réussite. Amen ! Avec respect et considération, vos dévoués Daniel, Joël et Nathan Messas, fils du grand rabbin de Jérusalem Chalom Messas, fondateurs des institutions Keter Chalom ». La famille Messas souhaite aux lecteurs de Haguesher une bonne et heureuse année ! Pour tous renseignements, contactez le Dr Nathan Messas au 06 60 66 51 96 ou par mail, docteurnathanmessas@orange.fr. Propos recueillis par Yokheved Levy
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Waze, l’appli de navigation israélienne de Google lance Waze Beacon
Waze a trouvé une solution pour mettre fin à la déconnexion satellite lors du passage dans les tunnels et les parkings: des capteurs seront installés pour aider les conducteurs à trouver leur chemin en sous-sol.
Le Chiffre : 6% des enfants ne mangent pas de fruits et légumes Le ministère de l’agriculture israélien et celui de la santé veulent inciter les jeunes à davantage consommer de fruits et légumes et moins de snacks salés ou sucrés. Une campagne lancée le mois dernier vise non seulement un problème de santé publique mais aussi à soutenir l’agriculture locale. Seulement 21% des enfants pratiquent en Israël un grignotage sain basé sur de fruits et légumes entre les repas et 6% ne mangent pas du tout de fruits et légumes de façon régulière. Business France SELON L’EUFIC. Conseils pour une alimentation saine 1. Mangeons des aliments variés ! Il y a plus de 40 nutriments différents et ils sont tous nécessaires à notre santé. Il n’existe aucun aliment capable de tous les apporter à lui seul. Les aliments proposés aujourd’hui permettent d’avoir une alimentation très variée, que nous achetions des produits frais pour cuisiner, ou des repas tout-préparés. Equilibrons nos choix au fil du temps ! Si nous prenons un déjeuner riche en graisses, faisons un dîner « léger «. S’il nous arrive un jour de manger au dîner une grosse portion de viande, nous pourrions peut-être choisir du poisson le jour suivant. Varions nos plaisirs!
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2. Basons notre alimentation sur des aliments riches en glucides La plupart d’entre nous ne mange pas assez d’aliments tels que le pain, les pâtes, le riz, les céréales ou les pommes de terre. Plus de la moitié des calories devrait provenir de ces aliments. En plus, essayons d’augmenter notre apport en fibres en mangeant davantage de pain complet, et de céréales. 3. Mangeons une grande quantité de fruits et de légumes Là encore, nous ne mangeons pas assez de fruits et de légumes, alors qu’ils fournissent d’importants nutriments protecteurs comme les vitamines et les fibres. Il faudrait en manger au moins cinq portions par jour, en essayant différentes variétés et de nouvelles recettes.
Vous conduisez et entrez dans un tunnel, et quelques secondes plus tard, votre GPS ou votre application vous interpelle : “Il n’y a plus de connexion satellite”. C’est acceptable lorsque vous conduisez dans un tunnel court, ou que vous descendez dans un parking souterrain. Mais si vous êtes dans le tunnel de l’Arlberg en Autriche qui fait 14 kilomètres de long ou le tunnel du MontBlanc qui en compte 11,6, ou encore dans le tunnel Lova Eliav à Sharona, avec ses nombreuses entrées et sorties… Comment savez-vous si tout va bien sur la route, si elle est encombrée ou bien quelle est la sortie que vous devez prendre? Waze, l’application de navigation israélienne de Google a une nouvelle solution : Waze Beacon –un capteur et une unité de communication produit pour elle par la so-
ciété américaine Bluvision. Une fois que les unités sont installées sur les parois d’un tunnel ou d’un parking, elles peuvent communiquer avec les smartphones des automobilistes en utilisant la technologie Bluetooth. Les conducteurs à l’intérieur du tunnel ou du parking peuvent savoir exactement où ils se trouvent et où ils devront tourner. En même temps, ils seront en mesure de planifier leur itinéraire à l’aide de Waze et d’obtenir une indication précise du trafic et de l’encombrement des tunnels. Selon Waze, les franchises de tunnels ou de parkings qui voudront utiliser Waze Beacon auront besoin d’environ 25 unités par kilomètre, chaque unité coûtant environ 110 dollars. Waze invite les municipalités et les entreprises franchisées à participer au programme. Actuellement, le système est déjà disponible dans les tunnels de Pittsburgh et de Haïfa, tandis que Paris et Rio de Janeiro sont les prochains sur la liste. Source : mako.co.il
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Les firmes Chinoises investissent massivement en Israël
A l’occasion de la conférence “Go For Israël” (une centaine de firmes israéliennes sont ce matin à Shangaï en rendez-vous one to one») qui s’ouvre ce matin à Shangaï, un rappel de “l’état des lieux” entre la Chine et Israël. Shanghai est la ville la plus peuplée de Chine. Elle constitue aussi l’une des plus grandes mégapoles du monde avec plus de 18,5 millions d’habitants. Elle se situe sur la rivière Huangpu près de l’embouchure du Yangzi Jiang, à l’est de la Chine Les entreprises chinoises investissent massivement en Israël, où elles viennent chercher un savoir-faire technologique. Certains pointent un risque pour la souveraineté du pays, tandis que d’autres se réjouissent de ce partenariat. « La Chine est le troisième partenaire commercial d’Israël et je pense qu’il y a un grand potentiel », a déclaré récemment le Premier ministre Benjamin Netanyahu. « L’acceptation par la Chine de commencer les négociations pour un accord de libre échange est une position importante et nous sommes prêts à commencer immédiatement. » LA CROIX. Joël David, La Croix : «La société chinoise Bright Food a racheté, en 2014, la coopérative de produits laitiers Tnuva. Son emblème : une vache aux couleurs de l’entreprise. L’an dernier, les entreprises chinoises ont
investi l’équivalent de 2,7 milliards d’euros en Israël. Cet engouement a commencé il y a cinq ans, avec le rachat de la compagnie Makhteshim Agan, gros producteur d’insecticides et herbicides israélien, par ChemChina, un gros conglomérat de produits agricoles chinois. Depuis, des centaines de délégations commerciales chinoises ont atterri à Tel-Aviv. Et tous les grands cabinets juridiques internationaux israéliens ont ouvert des antennes à Pékin. Les Chinois ont pris des parts dans plus de 80 sociétés israéliennes. En 2015, ils ont financé 15 % du total des investissements dans les industries de pointe. Les Chinois s’intéressent surtout à la « start-up nation » israélienne. Ils viennent pour les capacités d’innovation et les compétences en informatique, télécommunications, dessalinisation de l’eau de mer et énergies de substitution. Les grands acteurs privés chinois sont tous à l’affût. Il y a trois ans, Alma lasers (matériel médical et cosmétique) a ainsi été racheté par Fosun Pharma. Ce groupe chinois a aussi acheté Ahava (produits cosmétiques de la mer Morte). Le magnat chinois Li Ka-shing fut l’un des premiers à miser sur l’opérateur de téléphonie Partner, puis sur la start-up israélienne Waze, engrangeant ainsi d’énormes profits quand elle a été rachetée par Google. Les Chinois s’intéressent aussi au savoir-faire d’Israël en matière d’armement (le pays est le huitième exportateur mondial en 2015) et
pour sa production agro alimentaire. Bright Food s’est ainsi offert, il y a deux ans, la coopérative de produits laitiers Tnuva, le fleuron des pionniers du kibboutz collectiviste et des villages coopératifs. « Les Chinois sont profondément respectueux de nos performances… Il n’y a rien à craindre ! »,plaide un ancien diplomate israélien à Pékin. En fait, la Chine joue gagnant. 3 000 Chinois étudient ainsi dans les universités israéliennes. Mais la déferlante venue d’Extrême-Orient suscite aussi des réticences. Le ministère israélien des finances s’est ainsi prudemment opposé au rachat de l’énorme compagnie d’assurances Phoenix par un groupe chinois. Trop risqué pour les épargnants et le marché des capitaux de l’État hébreu ! Méfiant, l’ancien chef du Mossad (sécurité extérieure) Danny Yatom appelle aussi à rester vigilant sur « les desseins géostratégiques » des Chinois. « Ils peuvent prospecter afin de découvrir des nappes de gaz… Mais ils ne doivent pas être en mesure de nous tenir en otage en se les appropriant ou en acquérant un port ou un aéroport », dit-il. En Méditerranée, les Chinois ont acheté le port du Pirée (Grèce), pris des parts dans le canal de Suez (Égypte) et le port d’Istanbul (Turquie). Israël n’est pas prêt à s’engager sur la même voie. Les Chinois sont impliqués en Israël dans
d’impressionnants travaux d’infrastructures. Des sociétés chinoises ont réalisé en un temps record un complexe routier de ponts et tunnels au mont Carmel à Haïfa. Elles vont construire le nouveau port d’Ashdod et opérer les nouvelles installations portuaires à Haïfa. Il est aussi question de leur confier un immense chantier : la liaison ferroviaire vers la station balnéaire d’Eilat, au bord de la mer Rouge. Du fait de cette coopération accrue, le volume des échanges bilatéraux a atteint 8 milliards d’euros l’an dernier. La Chine est devenue le second fournisseur d’Israël et son troisième marché d’exportation. « C’est notre principal partenaire en Asie et peut-être bientôt notre principal partenaire tout court », se félicite le premier ministre Benyamin Netanyahou. Il voulait recruter 20 000 ouvriers chinois pour accélérer la construction de logements. Mais il s’est heurté à la législation du travail… Un accord de libre-échange est aujourd’hui en discussion. Hommes d’affaires et touristes peuvent déjà voyager avec des visas multiples valables dix ans. Seuls les États-Unis et le Canada bénéficient d’accords similaires. L’an dernier, 30 000 touristes chinois ont découvert Israël. Et selon les projections, ce chiffre est appelé à tripler rapidement. Les compagnies Hainan Airlines et El-Al viennent d’inaugurer un programme de trois vols hebdomadaires chacune entre Tel-Aviv et Pékin».
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Qui a dit «mon plus grand désir serait de voir Israël rejoindre l’Union Européenne» ?
L’Union européenne est le premier partenaire commercial de l’État d’Israël L’État d’Israël fut le premier pays non-européen à être associé au programme-cadre de recherche communautaire de l’Union européenne. Le statut spécial d’Israël est dû à son très haut niveau de capacité de recherche et développement ainsi qu’un réseau dense et ancien de coopérations techniques scientifiques entre Israël et des États membres. La Commission européenne a signé un accord avec Israël en 2004 autorisant sa participation à Galileo, le Système de positionnement par satellites de l’Union européenne.
Les relations entre l’État d’Israël et l’Union européenne ont débuté en 1959 et sont encadrées notamment par la politique européenne de voisinage, le Partenariat Euromed et l’Union pour la Méditerranée. L’accord euro-israélien de stabilisation et d’association forme la base légale des relations entre l’Union européenne et l’État d’Israël. Cet accord est modelé d’après le réseau d’accords passés entre l’Union européenne et ses voisins du sud de la Méditerranée. L’accord avec Israël comprend des arrangements de libre-échange pour les produits industriels, des arrangements concessionnels concernant le marché des produits agricoles (un nouvel accord sur ce sujet est entré en vigueur en 2004), et ouvre la perspective d’une plus grande libéralisation des biens et services ainsi que des produits agricoles.
En raison de son haut niveau de revenu national, Israël n’est pas éligible pour recevoir des fonds du programme européen MEDA. Néanmoins, Israël participe à de nombreux programmes régionaux financés par le MEDA : L’accord de stabilisation et d’association a été signé le 20 novembre 1995, à Bruxelles et est entré en vigueur le 1er juin 2000, suivant sa ratification par les 15 parlements nationaux des États membres, le Parlement européen et la Knesset. Il remplace l’ancien accord de coopération, signé en 1975. Le commerce entre l’Union européenne et Israël est conduit sur base de l’accord de stabilisation et d’association. L’Union européenne est le premier partenaire commercial de l’État d’Israël. 33 % des exportations israéliennes allaient vers l’UE et 40 % de ses importations venaient de l’Union. À la suite de l’accord euro-méditerranéen, l’UE et Israël ont des accords de libreéchange pour leurs produits industriels ainsi que d’importantes concessions pour le commerce de certains produits agricoles, tels que des droits de douane réduit ou éliminés.
De jeunes israéliens participent aux programmes d’échange en Europe et dans d’autres pays méditerranéens grâce au Programme euro-méditerranéen d’action pour la jeunesse. Des réalisateurs israéliens ont bénéficié de formations et de fonds du Programme au-
diovisuel euro-méditerranéen. Bien qu’Israël ne soit pas situé en Europe, il se considère comme faisant partie de la « famille européenne », culturellement parlant. Ce sentiment est aussi celui de beaucoup en Europe, la situation géographique d’Israël étant comparable à celle de Chypre, ellemême déjà membre de l’Union. Israël est déjà membre de multiples fédérations transnationales européennes et prend part à de nombreux évènements sportifs ou culturels européens (tels que l’Eurovision ou le Championnat d’Europe de football). Des ministres israéliens ont déclaré vouloir faire entrer Israël dans l’Union européenne. Le Président du Conseil des ministres italien, Silvio Berlusconi, a déclaré lors d’une visite en Israël en février 2010 que son « plus grand désir » serait de voir Israël rejoindre l’Union. En 2009 déjà, le Haut Représentant de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité de l’époque, Javier Solana, avait déclaré que la très forte relation entre l’État d’Israël et l’Union européenne équivalait à une adhésion de facto à travers la participation de l’État hébreu à nombre de programmes européens.
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Le propriétaire décède à Tel-Aviv, son testament va réjouir ses 7 locataires
Ouri Giladi possédait 7 appartements dans un des quartiers les plus recherchés de Tel-Aviv. Le journal « Kalkalist » a révélé cette semaine une histoire digne d’un scénario de film. Giladi est décédé prématurément il y a quelques jours à l’âge de 56 ans et n’avait pas d’héritier. Peu après son décès, son avocat a rendu visite aux 7 locataires de l’immeuble de la rue Mihal, dont son client était le propriétaire exclusif. Le conte de fée a bien eu lieu ! Ouri Giladi avait décidé de léguer ses appartements aux locataires qui les occupaient. Du jour
au lendemain, ils sont devenus détenteurs d’un bien immobilier évalué dans ce quartier à environ deux millions de shekel l’unité (450 000 euros environs).« Le plus fou » raconte l’avocat, « c’est que certains locataires venaient d’emménager au début de l’été. Ils ne m’ont pas cru lorsque je leur ait apporté la nouvelle ». Ouri Giladi était issu d’une famille communiste qui avait émigré en Israël au moment de l’indépendance du pays. Il avait lui-même hérité de cet immeuble et estimait « qu’il était juste de partager », rapporte encore son avocat.
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Etude israélienne : Comment Processus de paix: Clinton opposée à améliorer l’intelligence de votre enfant «toute solution imposée par un tiers»
En tant que parents, nous avons la capacité d’améliorer l’apprentissage et la pensée de l’enfant. Les gènes sont responsables d’environ 50% de l’intelligence d’un enfant. Le reste du travail est accompli par l’environnement et son interaction avec les gènes. En fournissant un environnement sain et enrichissant, un enfant a la possibilité de réaliser son plein potentiel. Au fil des années, de nombreux chercheurs israéliens ont essayé de trouver des moyens d’améliorer l’intelligence des enfants à un âge précoce. Voici huit d’entre eux : 1-Une bonne éducation Les parents doivent donner à leurs enfants une bonne l’éducation pour améliorer leur intelligence à un âge précoce, il suffit de leur parler, affirme une étude réalisée par l’Université de Stanford. En lui parlant les parents, et surtout la mère, active le cerveau du bébé. 2- Une stimulation physique Des études ont montré que l’activité physique chez l’enfant aide le développement du cerveau et la fonction cognitive, augmente la capacité de la mémoire et sa concentration. Le sport est aussi un tonique pour augmenter la maîtrise de soi chez les enfants. 3-Le supplément de fer Le supplément de fer, est basé sur une recherche visant à améliorer le QI des enfants en âge de la maternelle, en particulier dans le cas des enfants anémiques.
4- Jeux vidéo Les jeux vidéo (dans une certaine mesure), améliorent les aptitudes sociales et intellectuelles des enfants, selon une étude menée à l’Université de Columbia à New York. 5-Deux langues Les enfants bilingues écoutant deux langues simultanément et les étudiant dès l’enfance, développent rapidement leur cerveau, améliorent leur mémoire et acquièrent des capacités accrues dans la résolution des problèmes. 6- Lire et chanter Parler, lire et chanter. Ce fut le slogan d’une campagne médiatique en Californie. En effet, des études ont montré que les enfants qui lisent des livres à un âge précoce auront généralement plus de succès à l’école et dans l’enseignement supérieur. 7- La musique Écouter de la musique et l’apprentissage plus tard d’un instrument, améliorent les capacités cognitives. 8- La communication Enfin, des études ont révélé qu’un rôle parental attentif et réactif crée la possibilité de sécuriser l’attachement de l’enfant et contribuent à l’augmentation du QI. L’auteur est sociologue et anthropologue, maître de conférences au Collège académique d’Hadassah, auteur de livres sur l’éducation.
Le Premier ministre a également remercié Clinton pour son «amitié et son soutien à Israël Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a rencontré dimanche soir à New York la candidate démocrate à la Maison blanche Hillary Clinton après s’être entretenu quelques heures plus tôt avec son rival Donald Trump. Au cours de leur entretien, qui a duré près d’une heure à l’hôtel W, Clinton a souligné «son opposition à toute tentative d’imposer une solution» au conflit israélo-palestinien par un tiers, «y compris par le Conseil de sécurité de l’ONU», selon un communiqué publié par sa campagne. Elle a également réaffirmé son engagement à une solution négociée à deux Etats directement par les parties et insisté sur l’»engagement indéfectible» des Etats-Unis envers Israël. De son côté, Netanyahou a fait part des efforts d’Israël «pour parvenir à la paix et à la
stabilité dans notre région», selon un communiqué du Premier ministre. Le Premier ministre a également remercié Clinton pour son «amitié et son soutien à Israël.» L’ambassadeur israélien à Washington Ron Dermer et le conseiller de Clinton Jake Sullivan ont également assisté à la réunion. Lundi soir a lieu le premier débat présidentiel entre Donald Trump et Hillary Clinton qui devrait attirer une audience record. Il est d’autant plus crucial qu’à six semaines de l’élection du 8 novembre, les sondages restent très serrés. Le dernier dimanche, donnait les deux candidats dans la marge d’erreur, avec 46% des intentions de vote pour Mme Clinton et 44% pour Donald Trump dans un match à 4 incluant les deux autres petits candidats, et 49%-47% si on ne les prend pas en compte (sondage Washington Post/ABC News). i24news
Le ministre des Finances israélien Moshé Cahlon est à New York
Le ministre des Finances Moshé Cahlon est à New York dans la délégation israélienne et il s’est entretenu en tête-à-tête avec son homologue américain Jack Lew.
Parmi les sujets évoqués, la coopération économique entre Israël et l’Autorité Palestinienne et le récent accord signé sur la question de l’électricité. Jack Lew a félicité Moshé Cahlon sur ce dernier point. Le ministre israélien a remercié son homologue et a insisté sur l’importance pour Israël de maintenir un haut niveau de coopération économique entre Israël et l’AP. Il a également souligné les bons rapports qu’il a avec le responsable des Finances de l’AP ainsi que celui des Affaires civiles.
Il a rappelé les accords conclus avec l’AP dans le domaine des communications, de la poste et de l’électricité et a indiqué son intention de poursuivre vers d’autres domaines. « C’est dans l’intérêt d’Israël », a dit le ministre. Les deux ministres ont également évoqué des sujets de macro-économie, tels que l’influence du Brexit sur l’économie mondiale ou celle de l’économie chinoise sur celle des Etats-Unis. http://lphinfo.com
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L’OPEP «condamnée à prendre une décision» (ministre algérien)
L’Opep regroupe douze pays qui produisent près d’un tiers du pétrole brut pompé dans le monde
et irakien ont également soutenu l’idée d’un gel de la production dans le but de faire repartir les cours du pétrole à la hausse.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) est «condamnée à prendre une décision» pour stabiliser le marché et la réunion du cartel mercredi à Alger en sera «le premier pas», a indiqué dimanche le ministre algérien de l’Energie.
Le ministre algérien a expliqué que l’Arabie saoudite -le plus gros producteur du cartelavait fait une proposition, qu’il a qualifiée de «très responsable», de revenir à sa production du mois de janvier 2016, soit une réduction de 500.000 barils par jour.
Dans un contexte de prix bas dus à une surabondance de l’offre, les cours du pétrole risquent de chuter encore si le cartel ne se décide pas à limiter sa production, a prévenu Noureddine Boutarfa lors d’une conférence de presse à Alger.
Il a aussi assuré que l’Iran «souhaitait rejoindre un accord», même s’il cherche à augmenter sa production depuis la fin de la levée des sanctions internationales dans le cadre du dossier nucléaire.
«Aucune entreprise (pétrolière) ne pourra résister si les prix restent à moins de 50 dollars (le baril)», a prévenu le ministre, qui estime que le bas niveau des cours entraîne quotidiennement entre «300 et 500 millions de dollars de pertes pour les pays de l’Opep». L’espoir que les membres de l’Opep parviennent à un accord pour limiter leur production à Alger a récemment soutenu les prix de l’or noir mais les doutes des investisseurs sur les chances de succès de cette réunion informelle ont fait chuter les cours du brut vendredi à New York. Tous les pays de l’Opep sont «d’accord pour stabiliser les prix», a assuré M. Boutarfa. «C’est la responsabilité de chacun de faire des efforts». «La meilleure des solutions est un gel» de la production du cartel, a préconisé le ministre algérien. Récemment, ses homologues vénézuélien
«Il n’y aura pas d’échec de la réunion d’Alger», qui a lieu en marge du Forum international de l’énergie, a par ailleurs prévenu M. Boutarfa. «Si on arrive à un accord, c’est très bien. Si on arrive à des éléments d’accord, c’est très bien aussi». Et «si un consensus se dégage, rien n’interdit qu’elle se transforme, séance tenante, en réunion extraordinaire» pour qu’une décision soit actée, a ajouté le ministre. D’après lui, l’Algérie, qui entretient des bonnes relations avec l’ensemble des membres de l’organisation, jouera un «rôle de facilitateur» entre les pays membres du cartel, dont certains «ont des problèmes d’ordre politique», comme l’Iran et l’Arabie saoudite. L’Opep regroupe douze pays qui produisent près d’un tiers du pétrole brut pompé dans le monde et tentent d’influer sur les cours de l’or noir en coordonnant leur production. i24news
Plusieurs journalistes palestiniens bloqués par Facebook invoquant une manipulation «accidentelle». Dimanche, les trois autres comptes suspendus de journalistes de Quds News ont été débloqués, indique Al-Khatib. Selon Shebab News, l’un des comptes reste à ce jour bloqué.
La Cour fédérale des États-Unis a exhorté Facebook à bloquer les terroristes Plusieurs journalistes palestiniens ont affirmé dimanche que leurs comptes Facebook ont été suspendus la semaine dernière sans aucune justification de la part du géant américain, rapporte lundi Al-Jazeera. Ces journalistes, qui travaillent pour les agences de presse palestiniennes Shebab News et Quds News ont déclaré qu’ils soupçonnaient Facebook d’avoir bloqué leurs comptes suite au récent accord conclu entre le réseau social et le gouvernement israélien pour lutter contre «l’incitation». D’après Al-Khatib, journaliste à Quds News, Facebook aurait également bloqué le compte officiel de l’agence avant de le remettre en ligne quelques heures plus tard,
Facebook prié de bloquer les terroristes La Cour fédérale des États-Unis a déclaré vendredi que Facebook facilite la connexion entre terroristes, et se trouve donc socialement et moralement dans l’obligation de mettre un terme à ce processus. «Mettons la loi de côté une minute et parlons de la réalité», a déclaré le juge américain du district de New-York Nicholas Garaufis aux avocats de Facebook. «La réalité est que les gens communiquent à travers les réseaux sociaux qui ont le potentiel de connecter les personnes entre-elles. Cela représente un risque réel en termes de terrorisme international et domestique», a ajouté le juge, au cours d’une audience consacrée à une plainte déposée par l’ONG israelienne Shurat Hadin. En octobre 2015, quelques 20.000 Israéliens ont poursuivi Facebook en justice, via l’ONG Shurat Hadin, afin d’obtenir une injonction pour forcer le réseau social à lutter contre l’incitation à la violence.
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Présidentielle US: Trump revient sur Clinton dans les sondages
USA: des élus accusent la Russie de chercher à perturber l’élection
Selon un sondage Reuters/Ipsos, Clinton est créditée de 40% des intentions de vote, contre 39% pour Trump Le candidat républicain à la Maison blanche Donald Trump revient à un point seulement de sa rivale démocrate Hillary Clinton dans les intentions de vote, selon un sondage Reuters/Ipsos publié vendredi. L’enquête indique que la candidate démocrate est créditée de 40% des intentions de vote, contre 39% pour Trump. Par ailleurs, les 1.804 électeurs interrogés dans le cadre du sondage ont indiqué qu’ils voteront «probablement» à l’élection présidentielle du 8 novembre prochain.
Une série de récents piratages informatiques laisse à penser que Moscou veut «influencer les élections» Une série de récents piratages informatiques laisse à penser que la Russie est en train d’essayer de perturber les élections prévues le 8 novembre prochain aux Etats-Unis, ont affirmé jeudi deux élus du Congrès américain. «En se basant sur les briefings que nous avons reçus, nous en concluons que les agences du renseignement russes font de sérieux efforts concertés pour influencer les élections américaines», ont indiqué dans un communiqué la sénatrice Dianne Feinstein et le représentant Adam Schiff, tous deux démocrates. «Au minimum ces manoeuvres sont destinées à instiller le doute à propos de la sécurité de nos élections, et elles visent à en influencer les résultats. On ne peut pas voir d’autres raisons rationnelles au comportement des Russes», ont-ils ajouté. Les responsables américains n’ont pas directement pointé du doigt la Russie pour une récente vague de piratages, notamment celui des serveurs du parti démocrate, mais de nombreux analystes estiment que ces attaques viennent clairement de pirates infor-
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matiques russes. Mme Feinstein et M. Schiff font tous deux partie de commissions du renseignement et à ce titre reçoivent des briefings et informations sensibles. Ils estiment que les attaques «ne peuvent venir que de hauts responsables du gouvernement russe» et ont appelé le président Vladimir Poutine à «demander immédiatement l’arrêt de ces activités». «Nous espérons que tous les Américains vont s’allier ensemble pour repousser ces efforts russes», ont-ils ajouté. La semaine passée, le ministre américain de la Sécurité intérieure, Jeh Johnson, avait exprimé sa confiance dans la sécurité et l’intégrité des systèmes électoraux, en dépit des récents piratages. Le département de la Sécurité intérieure reste «prêt à aider les responsables électoraux locaux pour protéger leurs systèmes» comme il le fait pour des entreprises ou d’autres organisations, avait-il ajouté. Ce ministère doit publier des conseils pratiques pour assurer la sécurité des bases de données des électeurs inscrits et faire face à des menaces potentielles. i24news
progression de Trump est largement due à la mobilisation des électeurs républicains, qui déclarent désormais à 78% (+6) qu’ils voteront pour leur candidat longtemps contesté par la direction et les ténors du parti. La dernière livraison de la moyenne des sondages effectuée par le site Real Clear Politics donnait vendredi Clinton en tête avec 4,1 points d’avance sur Trump (46,1% contre 42%). Là encore, la tendance est au resserrement des courbes. Il faut remonter au 2 août pour retrouver un écart similaire.
Le précédent sondage Reuters/Ipsos donnait une avance de huit points pour Clinton.
La différence de résultats s’explique par le fait que l’enquête Reuters/Ipsos ne retient que les électeurs qui affirme qu’ils voteront «probablement», et pas l’ensemble des électeurs inscrits.
Les résultats de l’enquête indiquent que la
i24news
L’ex-leader du Ku Klux Klan appelle de nouveau à voter pour Trump «Il est temps de s’élever et de voter pour Donald Trump comme président» L’ex-leader du Ku Klux Klan (KKK), David Duke a réaffirmé une nouvelle fois son soutien au candidat républicain Donald Trump et appelé les électeurs à voter pour lui, dans un message préenregistré destiné à sa propre candidature au Sénat en Louisiane, ont rapporté plusieurs médias américains lundi. «A moins d’arrêter l’immigration massive maintenant, nous deviendrons minoritaires dans notre propre pays. C’est en train d’arriver», dit-il. «Il est temps de s’élever et de voter pour Donald Trump comme président et de voter pour moi, David Duke, au Senat», déclare Duke dans le message posté lundi par Buzzfeed. A 66 ans, l’ancien chef du mouvement raciste et antisémite KKK, tente un retour en politique en présentant sa candidature au Sénat et profite de l’agitation autour de Tru-
mp pour faire parler de lui. Il y a 6 mois, Trump avait déjà reçu le soutien de Duke qu’il avait cependant tardé à rejeter publiquement ce qui lui avait valu une pluie de critiques unanimes. Cette fois, le magnat de l’immobilier et son équipe de campagne ont immédiatement réagi pour balayer tout soupçon. «C’est tout à fait inquiétant (…) L’équipe de Trump n’a pas connaissance de la campagne que David Duke mène, nous l’avons désavoué et nous ne cautionnons aucune de ses activités», a déclaré une porte-parole du cabinet de Trump, Katrina Pierson à CNN. De son côté, la rivale de Trump Hillary Clinton n’a pas tardé à réagir. Lors d’une réception privée à Easthampton (New York), Clinton a qualifié Duke d’»abjecte» en ajoutant qu’elle «voulait en parler au grand jour pour que les gens puissent voir et comprendre que David Duke soutient Trump».
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Pour la première fois, un film en arabe représentera Israël aux Oscars
Les Israéliens laissent dormir leur argent sur leur compte courant
La tendance va en s’amplifiant : les Israéliens laissent de plus en plus d’argent sur leur compte courant, ce qui ne leur rapporte rien. Selon les bilans des banques israéliennes pour le premier semestre 2016, les Israéliens préfèrent les fonds immédiatement disponibles. En effet, l’inflation quasiment nulle ne pousse pas les épargnants israéliens à placer leur argent sur des comptes d’épargne ; ils préfèrent donc conserver un « matelas de sécurité », qui peut être utile en cas de coup dur. Résultat : l’argent qui dort dans les banques de dépôt d’Israël atteint des montants record depuis le début 2016. TAUX D’INTÉRÊT NUL En fait, la tendance à laisser dormir leurs économies va en s’amplifiant : selon les derniers chiffres connus de juin 2016, les fonds dormants se montent à 230 milliards de shekels (55 milliards d’euros) ; c’est 20 milliards de shekels de plus qu’en 2015, année qui totalisait 210 milliards d’argent sur les comptes courants des Israéliens. L’argent qui dort en 2016 a même triplé au cours des trois dernières années : il se montait à 95 milliards de shekels en 2013. La raison principale du comportement des Israéliens se trouve dans les taux d’intérêt des comptes d’épargne : ceux-ci frôlent le 0% (au mieux 0,1%), ce qui dissuade les épargnants potentiels à placer leurs argents. Ils conserveront donc leurs économies sur un compte courant, ce qui leur évite aussi la
tache de gérer les produits d’épargne. SIMPLICITÉ ET DISPONIBILITÉ Dans le contexte d’inflation nulle et de taux dérisoires, l’Israélien préfère donc la simplicité : il conserve son argent sur un compte courant, flexible et facilement disponible. Autrement dit : ses économies dorment et ne rapportent rien puisque les comptes ne sont pas rémunérés. Le comportement des épargnants israéliens est aussi dicté par l’absence d’investissements alternatifs ; les obligations et actions présentent un risque que beaucoup ne veulent pas prendre. Seul l’immobilier représente encore un investissement à long terme pour celui qui dispose de fonds personnels suffisants. MANQUE-À-GAGNER POUR LES BANQUES Les dirigeants des banques israéliens voient ce phénomène d’un mauvais œil : la baisse de l’épargne des particuliers se traduit par un manque-à-gagner sensible pour les banques. En effet, au lieu de placer les dépôts collectés, les institutions bancaires se trouvent dans l’obligation de conserver dans leurs coffres d’importantes liquidités : de quoi faire face à d’éventuels retraits massifs en espèces. Jacques Bendelac (Jérusalem)
Le film «Tempête de sable» a remporté jeudi le Ophir du meilleur film au terme d’une cérémonie tumultueuse Pour la première fois de son histoire, un film entièrement en langue arabe représentera Israël lors de la prochaine cérémonie des Oscars, en 2017. C’est en effet, au terme d’une cérémonie tumultueuse qui avait lieur à Ashdod que l’Académie israélienne du cinéma et de la télévision a décernée, jeudi soir, le Ophir du meilleur film (l’équivalent des Césars du cinéma) à «Tempête de sable» (Soufat Hol). Le gagnant de cette récompense est automatiquement désigné pour représenter Israël aux Oscars. Le film, qui raconte un drame familial au cœur de la communauté bédouine d’Israël, a remporté six autres Ophirs, parmi lesquels celui de la meilleure réalisatrice et celui de la meilleure actrice dans un second rôle. «Tempête de sable» est le premier film de la réalisatrice juive israélienne Ilit Zexer, et a déjà remporté cette année le Grand Prix du Jury dans la section «World Cinema Dramatic», au prestigieux festival du film indépendant de Sundance, aux Etats-Unis. Mais le triomphe du film a été quelque peu
terni par la confusion qui a régné après que la ministre israélienne de la Culture Miri Regev Ashdod a quitté la salle pour protester contre la performance du rappeur israélo-arabe Tamer Nafar, pendant laquelle il a repris les lignes d’un poème du poète palestinien Mahmoud Darwish. «J’ai beaucoup de respect et de tolérance pour autrui, mais je n’ai pas de tolérance pour Darwish et pour tous ceux qui veulent éliminer mon peuple ou mon pays», a déclaré Regev sur Facebook pour expliquer sa sortie. Un autre incident a éclaté lorsque Regev est revenue, puis s’est présentée sur la scène pour prononcer un discours. Encore échaudée par le geste de Regev, et par ses déclarations, une partie du public a vivement hué la ministre. Au moment où fut annoncée la remise de l’Ophir du meilleur film à «Tempête de sable», une partie des acteurs arabes du film a affirmé refuser monter sur la scène pour recevoir le prix, tant qu’y serait présente Miri Regev. Jusqu’à présent, dix films israéliens ont été nominés pour l’Oscar du meilleur film étranger, mais aucun n’a remporté la prestigieuse récompense.
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Theresa May à Israël : « Chana Tova et une bonne année, saine et paisible »
Israël et l’Autriche vont fêter le 60ème anniversaire de leurs relations diplomatiques Israël et l’Autriche s’apprêtent à fêter le soixantième anniversaire de l’instauration de leurs relations diplomatiques. A cette occasion, la présidente du parlement autrichien Doris Bures sera accueillie ce lundi à la Knesset en tant qu’invitée de Youli Edelstein. Une réception sera donnée en son honneur dans la salle Chagall où elle signera le livre d’or. Puis elle tiendra une réunion de travail avec son homologue Edelstein en présence du député de gauche Amir Peretz, président de l’association d’amitié parlementaire Israël-Autriche. Il y a deux ans, Youli Edelstein était l’hôte de Doris Bures à Vienne. Il avait alors salué, dans son discours, l’initiative qui avait été prise consistant à organiser une cérémonie au sein du parlement autrichien en l’honneur des Justes parmi les Nations. (LPH) L’Autriche, en forme longue la République d’Autriche (Österreich Prononciation du titre dans sa version originale Écouter et Republik Österreich en allemand), est un État fédéral neutre d’Europe centrale, sans accès à la mer, et membre de l’Union européenne.
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Elle est entourée, dans le sens des aiguilles d’une montre, par l’Allemagne et la République tchèque au nord, la Slovaquie et la Hongrie à l’est, la Slovénie et l’Italie au sud, et par la Suisse et le Liechtenstein à l’ouest. L’Autriche est membre de l’Union européenne (UE) et de la zone euro respectivement depuis 1995 et le 1er janvier 1999. Sa langue officielle est l’allemand, mais depuis la ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires, six autres langues sont reconnues. Sa capitale et plus grande ville est Vienne. Jusqu’à la proclamation en 1919 de la Première République, l’Autriche fut, en tant qu’État, un acteur majeur de l’histoire de l’Europe.
Theresa May a salué la relation du Royaume-Uni avec Israël dans une lettre publiée dans la dernière édition du magazine des conservateurs amis d’Israël. Dans la lettre, May a écrit que la relation de la Grande-Bretagne avec Israël est «plus forte que jamais » et a souligné que le commerce bilatéral, la recherche scientifique, la coopération en matière de sécurité sont autant de valeurs partagées que de richesses créées. À la lumière de la récente menace de l’Autorité palestinienne de poursuivre le Royaume-Uni pour la Déclaration Balfour de 1917, May a confirmé que la Grande-Bretagne « marquera bientôt le centenaire de Arthur James Balfour, un conservateur, qui avait confirmé le soutien du Royaume-Uni pour l’établissement d’un foyer national
pour le peuple juif ». Désignant les groupes terroristes Hamas et Hezbollah, elle a déclaré que les «dangers auxquels sont confrontés Israël restent considérables », et a promis que le Royaume-Uni « fera tout ce que nous pouvons pour assurer que les citoyens [d’Israël] se sentent en sécurité dans leur propre pays ». May également réaffirmé la position du gouvernement britannique selon quoi «Israël a le droit de se défendre». En terminant sa lettre, May a affirmé que « la Grande-Bretagne ne serait pas la Grande-Bretagne sans ses juifs» et a souhaité à la communauté « Chana Tova (Bonne année)» et une «bonne année, saine et paisible ». Par JSSNews
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HOMMAGE Au Grand Rabin Joseph Haïm SITRUK z’l
Nous avions eu l’honneur de l’avoir à nos côtés lors de nos fiançailles, le plaisir d’assister à ses cours avec des dizaines de milliers de personnes, notamment des jeunes, qu’il avait su séduire durant plus de 10 ans à la Synagogue de la Victoire. Il a développé et tonifié le Judaïsme en France et en Europe grâce à une vive intelligence, des qualités morales et une éloquence d’exception, un humour tout singulier, un dynamisme hors du commun
au sein de notre Communauté et en dehors .... Hommage à celui qui aura assurément marqué le Judaïsme du XXème Siècle, Rav Joseph, Haïm, SITRUK z’l. Il a rejoint les Justes parce qu’il en était UN. Franck SERFATI Président Associations VIGIL‘ANCE & U.C.A.J.F.
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Premier congrès pluridisciplainre franco-israélien apnée du sommeil
27 au 30 novembre 2016 - HOTEL DAN Centre Ville TEL AVIV
C’est une première dans les relations à la fois académiques, médicales et industrielles, qui se tiendra fin novembre 2016 à Tel Aviv. Dans le cadre des relations entre médecins, universitaires, chercheurs, entreprises et start-up françaises et israéliennes, Dafka Medical Events organise le premier Congrès Pluridisciplinaire sur l’Apnée du Sommeil, auquel sont attendus plus de 300 médecins français et israéliens.
Dans l’objectif de nouer des liens forts entre médecines française et israélienne, d’échanger largement sur les expériences croisées entre les 2 pays, il est à noter le caractère inédit de ces rencontres : pluridisciplinarité des intervenants et participants. Ainsi toutes les branches de la médecine seront présentes : Cardiologie, Neurologie, Otorhinolaryngologie, Pédiatrie, Ophtalmologie, Dentisterie, Médecine Familiale. L’état de l’art dans les solutions appropriées au diagnostic et au traitement de l’Apnée du Sommeil sera le vecteur principal de ce Congrès : de nombreux spécialistes présenteront leurs travaux, leurs préconisations et animeront des ateliers. Le Professeur Peretz LAVIE, Président
de l’Université Technion de Haïfa, leader d’opinion reconnu mondialement pour ses travaux sur le Sommeil, fera la lecture inaugurale sur le thème « My Heroes in Sleep Research ». Le Professeur Frédéric CHABOLLE, Chef de service de l’Hôpital Foch (Suresnes) préside le Comité Scientifique du Congrès. En soutien à cette initiative de nombreuses entreprises françaises et israéliennes seront représentées : Philips/Medtechnica, Sefam/ DanCpap, Resmed, Itamar, Isis Medical, Oxyvie, Sos Oxygène, AMS, … Toutes les informations sur le programme et les orateurs sont disponibles sur le site www.dafkamedicalevents.com. Pour s’inscrire, connectez-vous sur : dafkamedicalevents.com/ Renseignements : info@dafkamedicalevents.com / 0586 211 000 et 06 86 00 92 00
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Liat Yahav, Directrice Générale France et Europe de l’Ouest pour El Al : “Etre ici, à ce poste, est un vrai défi”
Elle est arrivée il y a 3 mois, en lieu et place de Yoram Elgrabli. Liat Yahav, directrice générale pour la France et l’Europe de l’Ouest d’El Al, a bien l’intention de mettre son expérience et son esprit visionnaire à l’épreuve pour tisser de nouveaux liens entre El Al et sa clientèle : sur un marché fortement concurrentiel désormais, c’est à travers la qualité de service, de produits et d’accueil que s’écrit l’avenir. Elle nous l’explique dans un entretien exclusif. tion commerciale qu’El Al entretient avec sa clientèle et sur le développement de la marque, je dirais que je suis une coureuse de fonds. Je m’adapte vite, mais je prends mon temps pour relever les défis les uns après les autres. Je suis d’un naturel positif : il n’y a aucun problème, juste des challenges qu’il faut gérer. Je crois, cela dit, à l’adaptabilité de la politique commerciale comme remède à toutes les difficultés : le mot non ne fait pas partie de mon vocabulaire. A mon sens, une compagnie comme El Al doit pouvoir trouver une solution à la demande d’un client quelle qu’elle soit !
Liat Yahav, El Al entretient de liens forts avec sa clientèle et comme elle nous aimerions savoir qui vous êtes, et comment s’est décidée votre arrivée en France à ce poste ? Je m’appelle Liat Yahav, j’ai 53 ans et 30 ans d’expérience au sein d’El Al, compagnie au sein de laquelle j’ai occupé de nombreux postes. J’ai donc une longue expérience du marché aérien, acquise au terme de mes études à l’Université de Tel Aviv, où j’ai obtenu un MBA. Il y a 6 mois, le président d’El Al m’a proposé ce poste et je me suis dit que c’était tout autant un vrai défi qu’une immense responsabilité. Bien sûr j’étais flattée, mais j’avais conscience de l’importance du challenge. J’ai, cela dit, toujours aimé relevé les défis et je suis pleinement motivée, alors pourquoi pas ? Après en avoir discuté avec ma famille et mes proches, j’ai décidé d’accepter et me voilà. Je dois dire que c’est l’expérience la plus magique qu’il m’aie été donné de vivre. J’ai été accueillie très chaleureusement par la communauté juive ici. Tout autant d’ailleurs que par l’équipe d’El Al qui a fait en sorte que je me sente bienvenue. Je sais désormais que j’ai des amis à Paris, des amis fidèles. En ce qui concerne la façon dont je compte influer sur la rela-
Votre devise en matière de politique commerciale ? Etre curieux, créatif et à l’écoute du client que ce soit sur le sujet des prix ou des produits. Rien de ce qu’il se passe sur le marché ne doit nous échapper. Notre offre de services est une offre complète et doit être conçue comme telle : à la vente, au sol, dans les airs : El Al, c’est une politique commerciale, un fil conducteur et le client doit pouvoir l’identifier et la retrouver à toutes les étapes de sa relation avec nos équipes. Quelles sont les évolutions en préparation ? D’abord j’aimerais rappeler que la sécurité est notre principal atout. Nous somme sans doute la compagnie aérienne qui investit le plus dans la sécurité aussi bien en vol qu’au sol et c’est important, surtout de nos jours. Je voudrais aussi rappeler que notre slogan dit HACHI BABAIT BAOLAM : vous êtes à la maison, même si vous êtes loin de votre foyer. Il en dit long sur notre volonté de rester dans une relation humaine, affective avec notre clientèle. Enfin, concernant plus précisément l’offre de service et son évolution, elle s’étoffe surtout en matière de service et de confort à bord : nous voulons offrir une offre de presse virtuelle, disponible sur smartphone, le wi-fi à bord de nos vols, ainsi par exemple qu’une nouvelle façon de concevoir la restauration casher : El Al vole dans le monde entier, notre clientèle est curieuse et aime la découverte aussi notre offre culinaire s’attachera prochainement à proposer de nouvelles saveurs, une sorte de tour du monde culinaire.
Que pensez-vous de la clientèle française et a contrario quelle idée selon vous a-telle de votre compagnie ? Votre attractivité est-elle à démontrer ? Vous savez, au sein de la “famille El Al”, la clientèle française, essentiellement composée de la communauté juive française est bien connue : on connaît son dévouement, sa loyauté et sa fidélité à Israël en premier lieu et à El Al également. Notre force, c’est notre taille humaine : nous sommes en mesure d’offrir du service “à la carte”, d’être créatif et d’inventer des offres en fonction des besoins de nos clients. J’attire votre attention sur le fait que nous prenons soin de notre clientèle, c’est notre ligne de conduite : nous essayons d’être attentif à ses moindres besoins : casherout spécifique, besoins relatifs à une fête juive, une célébration… Nous avons aussi essayé d’adapter notre offre de services en matière de temps : c’est une des demandes fortes au sein de notre clientèle : accès prioritaires, coupe-file… Nous l’offrons aux passagers prestige, première classe et business, mais nous proposons aussi un pack à 30 euros pour les passagers de la classe économique, leur permettant de bénéficier des mêmes avantages ainsi que d’un accès aux salons VIP d’El Al. Nous allons d’ailleurs offrir un nouveau décor, un nouveau design à celui de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Enfin notre credo, c’est la fidélité et la proximité : nos clients VIP et frequent flyers bénéficient d’une ligne dédiée et d’un traitement sur-mesure de leurs demandes. Chez El Al, le client a une âme, un visage, une identité. Comment pourrait-il en être autrement ? D’ailleurs nous comptons évidemment renforcer nos liens avec la communauté juive française comme avec les agents de voyage qui sont nos principaux relais et nos interlocuteurs privilégiés. C’est notre devoir en tant que compagnie israélienne originelle. L’offre au départ de Paris est désormais fortement concurrentielle et la bataille se fait surtout sur les prix. C’est d’ailleurs encore et toujours la principale critique adressée à El AL. Que faites-vous pour y remédier ?
Au fil du temps, les prix ont baissé de façon significative. Aujourd’hui, par exemple, notre prix le plus bas, en aller-retour, au départ de Marseille est de 299 eur TTC, et 365 Eur TTC au départ de Paris. Je rappelle que le prix doit être considéré en fonction de ce qu’il comprend : la sécurité, les bagages, la nourriture casher disponible à bord, le divertissement en vol… De plus, la clientèle n’en a pas forcément conscience mais c’est grâce à El Al que le marché est régulé : nous avons la possibilité d’ajouter des vols lorsque la demande est forte et nous le faisons systématiquement. Nous avons parfois jusqu’à 8 ou 9 vols par jour. C’est cette capacité d’adaptation qui maintient les prix dans un certain cadre et empêche les envolées de tarifs lorsque la demande grimpe en flèche. En tant que femme, pensez-vous qu’il y ait un regard féminin à poser sur le monde du transport et du voyage ? Aujourd’hui, plus que jamais, nous devons réaffirmer la dimension démocratique et moderne de nos sociétés. Tous les individus doivent pouvoir prétendre aux mêmes droits, aux mêmes opportunités. Pour les femmes, évidemment, le challenge est d’importance : carrière à succès, vie privée, enfants, il faut tout réussir. L’équilibre, je ne vais pas vous mentir, est difficile à trouver, mais ce n’est pas impossible non plus. Il faut, cependant, que les entreprises jouent le jeu et leur rôle et c’est le cas d’El Al. C’est El Al qui m’a donné l’opportunité de bâtir ma propre success story, c’est cette compagnie qui m’a accompagnée sur la voie de l’harmonie entre professionnel et privé, comme elle a accompagné bon nombre de femmes à la carrière florissante et qui occupent des postes à responsabilité au sein de l’entreprise. Vous savez ce que l’on dit : sky is the limit, la seule limite, c’est le ciel, et chez El Al, ce n’est que trop vrai ! Je profite de cet entretien pour souhaiter Shana Tova à tous vos lecteurs Paix, Santé, bonheur et prospérité pour chacun et dans toutes les familles. Israël Actualités
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Voeux du Maire du 19ème arrondissement
Jean-Christophe Cambadélis, premier Secrétaire du Parti Socialiste, François Dagnaud, Maire du 19ème arrondissement et Alain Sayada, Directeur d’Israël Actualités
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Obsèques du Rav Sitruk Zatsal à la Synagogue de la Victoire
Qui ment ? Qui dit la vérité ? Entre la télé, la radio, les journaux, internet et vox populi, il y a de quoi se perdre. Car, qu’on le veuille ou non, il y a forcément des menteurs dans l’histoire. Et des menteurs qui font l’opinion, ça s’appelle des falsificateurs. C’est avec de tels comportements qu’on fait croire au monde entier qu’il n’y avait pas de temple juif à Jerusalem. C’est ainsi qu’on falsifie l’histoire, et que le Mont du Temple, le Lieu sacré par excellence, cet endroit où seul le Cohen Gadol pénétrait, et seulement le jour de KIPPOUR, devient un lieu saint musulman. Et le TANAKH, qui devrait être la référence de toutes les religions, est tout simplement ignoré. Je dis ignoré. Pas caduque. C’est ainsi que le sacrifice d’Isaac, raconté en détail dans la Thora, voila un peu plus de 3500 ans, devient le sacrifice d’Ismael. Ceci ayant été mis en place à la première congrégation de l’Islam, à Médine, appelée HÉGIRE en 622 de l’ère vulgaire. HÉGIRE voulant dire immigration, exil, rupture, séparation. Elle désigne le départ des compagnons de Mahomet, de la Mecque, vers l’oasis de Yathribb. Comment en arrive-t-on à falsifier une histoire au profit d’une version Invraisemblable?
Alors, toujours dans la dissimulation de la vérité, plus près de nous. Plus le mensonge est gros, plus il passe. Tout le monde s’accorde à dire que les musulmans sont en France, plus 12 millions. Il suffit de voir dans la rue pour comprendre que ce chiffre est une réalité. Mais le gouvernement, repris en chœur par les médias, parlent naturellement de 3 à 4 millions. De qui se moque-t-on? Il y a 40 ans, ils étaient déjà 4 millions. Du fait du regroupement familial, il suffit d’une épouse et un enfant pour passer de 4 à 12 millions. Autre fait, dramatique, s’il est vrai, Et tout aussi malheureux s’il est inventé. Je veux parler du cas du petit AYLAN. Cet enfant Syrien, donné pour mort, sur la grève, voila quelques mois.
Il aide les enfants de migrants à supporter leur nouvelle vie et exhibe une photo prise la veille de la mort. Je veux à tout prix me montrer objectif, mais le prétendu AYLAN sur la photo a tout au plus 3 OU 4 ans et me semble-t-il, il est blond. Bien loin de l’enfant photographié.
Le Grand Rabbin de France et d’Europe aura été à l’origine de nombreux retours. Qui ne s’est pas vante de le connaître plus intimement que son ami? Tant il importait à chacun de priver sa promiscuité avec cet homme exceptionnel. Je n’échappe pas à cette règle.
QUI MENT? QUI DIT LA VÉRITÉ? Voila 2 questions qui resteront sans réponse, tant l’époque que nous vivons, tient par le mensonge et la dissimulation. La vérité est celle de celui qui saura censurer les faits, et laisser transparaître SA vérité.
Je n’oublierai jamais cet extraordinaire compagnon qu’il fut, lors du 40 éme anniversaire des EIF,en Lozère, à Bagnolet les bains. C’était en 1963.
Quand nos Maîtres nous enseignent que l’un des piliers sur lesquels repose le monde est LA VÉRITÉ, ne soyons pas surpris que ce monde aille si mal. Puisque seul prime le mensonge.
Après l’émotion suscitée par ce drame, nous avons eu droit à tout et son contraire. Mise en scène! Ensuite que le père de l’enfant, était un passeur.
Qu’au seuil de cette nouvelle année, vous soyez tous inscrits dans le livre de la vie. A l’instant où je mets le point final à ce post, une nouvelle vient assombrir cette dernière semaine de l’année.
Qu’il avait simulé la mort de son fils, dans le but d’émouvoir l’opinion internationale et d’en tirer profit. Voila qu’il y a quelques jours, la télévision française nous montre un reportage où l’on voit le père d’Aylan, inconsolable de la mort de sa femme et de ses 2 enfants.
Notre Maître, Morenou Ve Rabenou, Rav YOSSEF Haim, ben Emma Simha SITRUK z’l, nous a quitté. Sa bonté, son sourire, sa bonne humeur permanente, sa présence indispensable dans tant de galas et surtout son immense érudition, manqueront douloureusement à notre communauté.
Son principal souci était de faire porter les Téphilins au plus grand nombre. A la fin du camp, il m’écrivait une dédicace que je ne peux oublier. «Nous nous sommes appelés FRÈRES, et à la fin de ce séjour, je regrette que nous ne le soyons pas.» Il fut totémisé «TAUREAU ASSIS» Quand ce fut mon tour, mon totem fut Taureau raisonneur. Je l’avais choisi par amitié pour celui qui allait devenir le maître de 3 générations. A son épouse, à ses enfants et à ses petits enfants, j’adresse au nom de notre communauté «LE MINIAN. Rabbi HAIM HOURI» nos condoléances les plus sincères. BAROUKH DAYAN HAEMET. T. N. TS. B. H. Rene SEROR
À LA UNE Il est totalement inutile de tenter de prouver la mauvaise foi des arabes qui se prétendent palestiniens. Ce nom de Palestine a été donné par les romains, au royaume d’Israel, suite à la destruction du second Temple. Le but de ce nom, inspiré de la présence de Philistins était destiné à effacer toute trace de présence juive. A la suite de cette manœuvre criminelle, la région s’est quasiment désertifiée. De grands auteurs ont voyagé jusque là et ont décrit les paysages de désolation qui s’étalaient sous leurs yeux. Entres autres, Francois-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848) en traversant Jerusalem, s’écriera «privée de SES habitants, cette terre est un désert, qui fleurira à LEUR retour» Il parlait, bien entendu des JUIFS. Et le Père du romantisme français, n’était pas prophète. Sans doute, un peu visionnaire.
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Floraison et retour tuation politique de l’après-guerre. C’est une question qui dépasse de loin, les seules implications politiques, ayant trait à l’existence, la survie, mais aussi l’anéantissement possible d’un état souverain. Depuis 1918, des états ont surgi qui n’avaient pas droit à une existence officielle. Nombre de ces états ont été formés artificiellement, imposés par les grands de l’époque. Leur formation correspondait aux exigences d’ethnies vassalisées, depuis si longtemps, toutes avides d’indépendance nationale. Suite à la 1ère guerre, en 1919, de nombreux états ont été créés, dans un double but. -satisfaire les revendications de peuples opprimés. -affaiblir les grandes puissances vaincues. Suite à la seconde guerre, après 1945, débute le processus de la décolonisation. Un grand nombre de pays qui n’existaient pas accèdent au rang d’états indépendants et souverains.
Aussi quand j’entends Abbas dénoncer la déclaration BALFOUR, Lettre du 2 novembre 1917, soit 99 ans après sa promulgation, je ne peux m’empêcher de penser qu’il fait feu de tout bois.
La plupart avaient cessé d’être des états indépendants, depuis si longtemps, qu’on ne peut pas parler à leur sujet, de conscience nationale, ethnique ou culturelle. Plutôt des entités géographiques.
En Europe, c’est une invasion visible et flagrante, revêtue des habits de la guerre. En ISRAEL, des historiens honnêtes, diraient qu’à l’arrivée des premiers HALOUTSIM, vers 1870, les arabes ont afflué de tous les pays environnants, proposant leurs services, cependant que d’autres, belliqueux, tiraient au fusil sur ces villages de fortune.
Les Kurdes, les chrétiens Coptes d’Egypte et d’autres, n’ont jamais accédé à l’indépendance nationale.
Au même titre que les arabes avec la complicité du monde, essaient à tout prix d’effacer notre histoire, ils essaient de passer sous silence l’histoire de notre RETOUR. L’existence d’Israel est sans doute, la plus complexe de toutes celles posées par la si-
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La Libye, ce vaste désert, est devenue État souverain, parce qu’elle était une colonie de l’Italie vaincue. L’état d’Israel a été reconnu par les Nations Unis, comme un de ces petits états neufs, fondés sur les ruines du grand Empire Ottoman. Il occupe le plus petit territoire, après le Liban. Accroché à la Méditerranée, avec pour voisins la Syrie, la Jordanie,le Liban et
l’Egypte. Les 3 premiers n’ayant pas plus qu’Israel, des droits d’antériorité à invoquer, en tant qu’états souverains.
au sourire éclatant, occupés à moissonner, à tailler les vignes, à planter des arbres, à creuser des puits...
Contrairement aux autres, ISRAEL est peuplé dans sa majorité d’hommes et de femmes, rescapés des camps de la mort, décharnés, numériquement faibles, mais fort dynamiques, et qui avaient lutté longtemps pour la reconnaissance d’un état indépendant et souverain.
Ils n’avaient aucune intention d’éliminer la population locale par la force. Naïvement, ils rêvaient de vivre pacifiquement avec une population qui subissait, depuis si longtemps des occupations conquérantes et successives.
Ce qui n’était pas le cas de la Syrie, du Liban OU de la Jordanie. Suite à la décolonisation, La création d’états nouveaux, en Inde, en Afrique, a provoqué des guerres sanglantes, véritables génocides. Dans le cas d’Israel, une minorité de langue arabe et de religion musulmane, s’est retrouvée face à une majorité juive. Majorité qui sur le plan démographique n’était pas écrasante, mais forte techniquement et économiquement. Ce n’était en rien insolite ou scandaleux. La chose s’était produite des milliers de fois, dans l’histoire, et dans des conditions beaucoup plus dures pour les minorités. Ce qui, dans le cas d’Israel était insolite, c’est que les juifs ne s’étaient pas imposés par la force, mais par leur capacité de travail et par une volonté farouche, d’arracher aux grandes puissances, la reconnaissance de leur revendications nationales. Ce n’est pas pour rien que les arabes feignent de croire qu’Israel a été créé en 1948, alors que dans la réalité, les Nations unies n’ont fait que ratifier un état de fait. Bien avant 1948, les israéliens se considéraient déjà comme un état. Qui se souvient qu’à l’exposition universelle de Paris en 1937, ils avaient un pavillon? Certes modeste, ils présentaient quelques antiquités, résultat des fouilles, des statistiques et des photographies de jeunes,
Hélas, on ne peut pas forcer les hommes à s’aimer. Les deux communautés s’affrontaient, violemment. Curieusement l’autochtone détestait le porteur de modernité de bien-être et de confort. ET NON L’INVERSE. Les juifs achetaient aux arabes des terres inutilisables et inutilisées depuis des siècles. Sable et pierre. Exceptionnellement aride, c’était un pays abandonné. Aucun des divers occupants n’a jamais réussi à y faire pousser quoi que ce soit. Chateaubriand ne s’y était pas trompé. «Ce désert fleurira à LEUR retour.» Connaissant la volonté invasioniste des musulmans, le monde s’évertue à vouloir nous imposer une ligne de conduite. Or, quand on réalise qu’ils ne sont plus maîtres chez eux, il serait suicidaire pour ISRAEL de céder aux chant des sirènes. Quand on voit ce qu’ils ont fait du Goush Katif, on est horrifié à l’idée de leur céder un pouce de notre beau pays. En fait ABBAS, aimerait TOUT prendre, spolier ISRAEL comme d’autres ont fait avec les biens des juifs, il n’y a pas si longtemps. C’est, sans compter sur la pugnacité de notre peuple. 2000 ans à répéter «L’AN PROCHAIN À JERUSALEM» Il fallait que le message soit entendu et entériné. René SEROR
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Une start-up israélienne améliore l’ajustement des fusils
Sur les dernières décennies, les forces combattantes ont dû gaspiller du temps, de l’énergie et des munitions afin d’ajuster la précision de leurs fusils. Si en moyenne ce procédé peut prendre près d’une demi-heure et un quinzaine de balles, une innovation est en mesure de l’écourter à 30 secondes et une seule munition.
12 ans de prison requis contre un terroriste palestinien mineur
Les deux terroristes palestiniens étaient âgés de 13 et 15 ans au moment des faits Le parquet israélien a réclamé dimanche une peine de 12 ans de prison ferme contre un terroriste palestinien mineur reconnu coupable d’avoir poignardé un adolescent israélien en 2015, a indiqué son avocate au sortir de l’audience à huis clos. Début octobre 2015, au cours de la deuxième semaine d’une vague d’attaques anti-israéliennes menées par des Palestiniens, Ahmed Manasra, alors âgé de 13 ans, et son cousin Hassan, 15 ans, avaient poignardé deux adolescents juifs dans l’implantation de Pisgat Zeev à Jérusalem. L’adolescent israélien de 12 ans attaqué par Ahmed Manasra avait été blessé. Il était présent à l’audience dimanche, a précisé Lea Tsemel, l’avocate d’Ahmed Manasra. Selon elle, son client a demandé pardon «à l’enfant qu’il avait poignardé».
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«Le parquet exige 12 ans de prison» a affirmé l’avocate, ajoutant qu’elle ne pensait pas qu’ils croyaient eux mêmes à cette demande. «Nous avons demandé une procédure de réinsertion, étant donné qu’il est mineur et que les mineurs ont plus de droits quand il s’agit de réinsertion dans la société», a ajouté Mme Tsemel. Le tribunal prononcera la peine le 7 novembre. Le cousin de Ahmed Manasra, Hassan, avait grièvement blessé un autre adolescent israélien en tentant de le poignarder. Il avait été neutralisé par la police israélienne alors qu’il essayait de s’enfuir. Ahmad Manasra avait lui été blessé par les tirs des policiers israéliens après l’attaque, selon la police. i24news
Waleed Kies, ingénieur israélien chez Panasonic et ancien combattant, a travaillé ces six derniers mois pour élaborer le système “One”, qu’il décrit par ces mots : “Le système donne deux options d’ajustement. L’un est adapté aux entraînements réguliers et implique un déploiement du système sur le terrain de tir ainsi que le rassemblement des soldats au même endroit. L’autre variation consiste en un système portable, adéquat pour les activités opérationnelles, transporté par un seul homme, les autres ajustant leurs armes tour à tour.” La demande pour un système simplifié s’est accrue après l’observation de problématiques sur le terrain, les soldats ne trouvant aucun emplacement suffisamment vide et distant pour régler leurs fusils. Waleed Kies explique à ce propos que “quand un soldat entre dans une activité opérationnelle et que la visée de son arme est défaillante, sa
confiance, son moral et, de fait, ses capacités, sont compromis”. Le procédé n’est pas uniquement destiné aux militaires, il peut également être employés par les forces de police, les chasseurs et les athlètes. Le système “One” analyse le parcours des balles dans l’air pour indiquer au tireur dans quelle mesure et dans quelle direction il doit ajuster sa visée. La problématique n’étant pas nouvelle, d’autres solutions existent : un rayon laser peut par exemple être fixé au niveau du canon et doit indiquer la destination du tir. L’efficacité du procédé est cependant contestable en ce qu’il ignore la trajectoire incurvée des balles. Il est de plus recommandé, lors de son utilisation, de procéder à un réglage classique de la visée afin d’écarter toute incertitude. “Si vous devez tester le réglage par la suite, à quoi bon employer le laser ? La solution ‘One’ propose une économie considérable de temps et d’argent. Et les récents tests des prototypes ont été très concluants.” assure l’ancien pensionnaire de l’Université de Tel Aviv. http://jewishbusinessnews.com/
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Le Rafale, fleuron de l’aéronautique militaire française
Les israéliens (surtout ceux qui ne connaissent que les constructeurs américains!) sont en totale admiration. Au terme de presque un an et demi de rudes négociations entre Paris et New Delhi, le gouvernement indien a approuvé l’achat à la France de 36 avions de combat Rafale du groupe Dassault. Capital.fr : Le contrat a été approuvé au cours d’une réunion. Il sera formellement signé par le ministre français de la Défense et son homologue indien le 23 septembre à New Delhi», a déclaré un responsable du ministère de la Défense indien sous couvert d’anonymat à l’AFP. Ce qui constitue ni plus ni moins que la plus grosse commande à l’exportation pour l’avion de combat français. Le prix exact de cette nouvelle transaction n’a pas été officiellement dévoilé mais selon la presse indienne ces derniers jours, ce chiffre se situerait à 7,87 milliards d’euros. Le Rafale, fleuron de l’aéronautique militaire française, a mis longtemps à séduire hors de France. Utilisé par l’armée de l’air française depuis 2004, l’avion de chasse a connu son premier succès à l’exportation, après des années de frustration, en février 2015. L’Égypte a acquis 24 appareils au terme d’une vente réalisée en un temps record avec le nouveau président Abdel Fattah al-Sissi. Le Rafale a ensuite été vendu à 24 exemplaires au Qatar en avril 2015. Mais il a aussi connu des revers, comme lorsque le Brésil a préféré acquérir en 2013 le moins cher et plus rustique Gripen suédois plutôt que le Rafale, dont le coût à l’export a été évalué à environ 100 millions d’euros l’unité. Concernant l’Inde, cet accord reste tou-
tefois modeste en comparaison de ce qui avait été qualifié au départ de “contrat du siècle”. L’Inde avait à l’origine lancé un appel d’offres pour 126 avions de combat, pour lesquels elle était entrée en négociations exclusives avec Dassault en 2012. Mais la commande n’avait jamais vu le jour. A l’occasion d’un déplacement à Paris en avril 2015, Narendra Modi avait finalement annoncé l’intention de son gouvernement d’acheter 36 Rafale prêts à voler, négociés dans le cadre d’un accord d’Etat à Etat. Ensuite, les négociations s’étaient éternisées.
Israël: un prisonnier palestinien décède d’un AVC
Pour New Delhi, l’acquisition d’un appareil multi-rôle, éprouvé au combat et aux capacités opérationnelles étendues est vitale alors que le nombre d’escadrons opérationnels de l’armée de l’air indienne (IAF) est insuffisant, 34 contre 42 requis selon les critères de la Défense du pays. Capable de mener différentes missions au cours d’un même vol, le Rafale est qualifié pour des opérations de défense aérienne, de bombardement stratégique et d’appui au sol, de lutte anti-navires et de reconnaissance aérienne. Il est également le vecteur de la dissuasion nucléaire aéroportée française. Déployé dès 2007 en Afghanistan, il a été le premier appareil à intervenir en Libye en 2011, avant d’être engagé au Mali en 2013 dans le cadre de l’opération Serval. Douze appareils sont actuellement engagés dans l’opération Chammal en Irak. L’appareil de 10 tonnes est le seul à pouvoir emporter 1,5 fois son poids en armements et carburant. Sur le plan de l’armement, il dispose d’un système polyvalent : canon de 30 mm pour le combat aérien et l’appui au sol, missiles air-air, bombes guidées laser, et missiles de croisière».
Les autres prisonniers ont annoncé vouloir faire une grève de la faim de trois jours en signe de protestation Un prisonnier palestinien détenu dans une prison israélienne est décédé dimanche après avoir subi un accident vasculaire cérébral, ont indiqué les autorités de la prison.
de 14 ans et avait connu un certain nombre de problèmes de santé, a rapporté Ma’an. L’agence de presse palestinienne a par ailleurs révélé que les autres prisonniers ont annoncé vouloir faire une grève de la faim de trois jours en signe de protestation et de deuil après la mort d’Hamduna.
Yasser Thiyab Hamduna, âgé de 41 ans et originaire du village cisjordanien de Yaabad, a été déclaré mort par les médecins de la prison de Ramon dans le sud d’Israël vers 8h30 heure locale (05H30 GMT) après avoir subi une «crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral», a déclaré Assaf Librati, le porte-parole du département médical du Service pénitentiaire israélien à l’agence de presse palestinienne Ma’an.
Plus de 7.500 présumés terrorsites palestiniens sont actuellement détenus dans les prisons israéliennes, dont environ 700 détenus en vertu du droit israélien à la détention administrative, indiquent les groupes de défense des droits palestiniens.
Selon les résidents locaux du village de Yaabad, Hamduna purgeait une peine de prison
i24news
Les présumés terrorsites palestiniens ont régulièrement recours à la grève de la faim pour protester contre leur détention.
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Israël construit une immense Descente d’Interpol et d’un juge barrière souterraine face à Gaza français en Israël : des nouveaux immigrants interrogés
Les travaux de construction d’une immense barrière souterraine le long de la frontière avec la bande de Gaza seront terminés d’ici quelques mois.
Selon cet officier du commandement de la région sud du pays, cette structure vise à éliminer l’une des armes les plus puissantes du groupe Hamas: son réseau de tunnels. Depuis le conflit de 2014, les membres du Hamas ont emprunté à de nombreuses reprises un réseau de tunnels pour pénétrer sur le territoire israélien même s’ils n’ont pas encore atteint des zones civiles. Israël a détruit 32 tunnel depuis la fin du conflit. La destruction de ce réseau est une priorité
de l’État hébreu. Selon l’officier, qui parlait sous le couvert de l’anonymat, le Hamas tente de restaurer ses capacités militaires en établissant un nouveau réseau de tunnels pour protéger ses combattants contre d’éventuelles frappes israéliennes. Israël aurait commencé, au cours des récentes semaines, de commencer une barrière souterraine de 60 km dont la profondeur pourrait atteindre plusieurs dizaines de mètres.
Des travailleurs ont été repérés en train de creuser des tranchées et d’installer des infrastructures sur le terrain. Source: http://journalmetro.com
Israël: prison pour un imam condamné pour appel au meurtre de Juifs
Les enquêteurs de l’unité 443 (Lahav) de la police israélienne accompagnés par une brigade française d’Interpol et par la juge Aude Buresi ont fait irruption hier au domicile de franco-israéliens installés dans plusieurs villes du centre du pays.
auprès d’autre suspects. Ces derniers auraient fournis des noms et des renseignements que les enquêteurs ont ainsi pu vérifier en Israël, notamment dans la région d’Herzlia Pitouah.
Récemment, le ministère français de la Justice avait demandé l’assistance des autorités israéliennes afin d’enquêter sur des infractions datant de 2006 à 2008 et impliquant des nouveaux immigrants français installés en Israël. Dans la plupart des cas, il s’agit d’évasion fiscale et de blanchiment d’argent à partir d’un réseau de sociétés écrans situées dans des pays-tiers. Certaines affaires seraient cependant plus récentes. Déjà en avril dernier, la juge avait fait le voyage pour une enquête concernant cette fois « une arnaque au Forex ».
Pour l’avocat Erez Abouhav qui représente certaines personnes interrogées ces dernières heures « il s’agit d’un comportement scandaleux des autorités, qui sans procéder à un examen préliminaires des allégations proférés contre des nouveaux immigrants, autorisent un juge d’instruction français à en faire à sa guise ». Selon Erez Abouhav, ses clients ont tous accepté de coopérer mais ne connaissaient pas les sociétés en question. « Et peut-être bien que toutes ces informations viennent d’un détenu en France qui veut sauver sa peau en balançant des gens au hasard, histoire de se dédouaner. »
Après une série d’interrogatoires à ce stade, aucun suspect n’a été interpellé alors que l’enquête suit son cours. Il semblerait que la juge Buresi souhaite confronter les éléments en sa possession, obtenus en France
L’unité d’enquête d’élite appelée « Lahav 433 », surnommée aussi le « FBI israélien » est la brigade anti-fraude israélienne, chargée de lutter contre la corruption et le crime organisé.
Dernière étape avant le départ de la nouvelle flottille pro-terroriste vers Gaza M. Abou Sara avait qualifié les «Juifs» de «traîtres, têtus, meurtriers, vulgaires et sans honte» Un tribunal israélien a condamné dimanche un imam palestinien à huit mois de prison ferme pour avoir appelé au meurtre de Juifs durant un sermon dans la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem. Le tribunal d’instance de Jérusalem avait reconnu le cheikh Omar Abou Sara, 51 ans, coupable d’appel à la violence et de racisme durant une prédication délivrée en novembre 2014 et également diffusée sur YouTube. M. Abou Sara avait qualifié les «Juifs» de «traîtres, têtus, meurtriers, vulgaires et sans honte», les comparant également à des animaux. Il avait ensuite lancé un appel à les tuer et les «abattre», selon la transcription de son discours dans la décision du tribunal. Ce sermon avait été prononcé à la mosquée Al-Aqsa, sur l’esplanade des Mosquées,
troisième lieu saint de l’islam, durant une période de tensions sur ce site. L’esplanade des Mosquées est le Mont du Temple pour les Juifs, qu’ils considèrent comme leur premier lieu saint. Le Zaytouna-Oliva, bateau des femmes qui s’engagent pour les terroristes du Hamas à Gaza, a quitté le port d’Ajaccio pour arriver au port de Messine, en Sicile. Cela constitue son dernier arrêt dans un port européen, avant son départ en mer avec l’objectif de provoquer à nouveau l’armée israélienne.
à Messine ajoute : « Nous sommes très heureuses d’accueillir les passagères du Zaytouna-Oliva avant qu’elles n’entreprennent leur traversée historique. Durant leur séjour à Messine, elles participeront à une formation à la non-violence, tout en finalisant les préparatifs en approvisionnements et équipements pour le bateau. »
M. Abou Sara a 45 jours pour faire appel de ce verdict et devra commencer à purger sa peine le 18 décembre.
Une des passagères, Lisa Guay, témoigne : « C’est un honneur d’être ici et de faire partie de ce groupe extraordinaire de femmes. Cet enjeu est plus grand que ma personne, plus grand que chacune d’entre nous. En tant que mère, fille, sœur je ne peux m’empêcher de penser aux femmes palestiniennes de Gaza qui vivent dans une prison à ciel ouvert à cause de l’occupation. C’est tellement douloureux de penser à elles. Nous devons agir pour mettre fin à ce blocus ».
Source: i24news
Palmira Manusco, une des organisatrices
L’an dernier, lors d’une précédente opération de la « Coalition Flottille de la liberté » pour Gaza, le bateau Marianne de Göteborg, Suède, était parti de Sicile. Toutefois, il avait été saisi, dans les eaux internationales, par l’armée israélienne. Interrogée pour savoir si le Zaytouna-Oliva pourra atteindre sa destination, Palmira Manucso a répondu : « Notre destination, c’est d’atteindre la conscience de l’humanité. Il appartient à chacune d’entre nous de les aider à réussir.
Pour sa défense, M. Abou Sara a affirmé que son sermon «n’était pas un appel à la violence» car il reposait sur des textes religieux et contenait des déclarations «générales et non contraignantes». Le tribunal a rejeté sa défense notant que son discours ne contenait pas de citations mais des phrases du prêcheur qui «a voulu humilier et dégrader les Juifs» en «prêchant la haine conte les Juifs pour ses fidèles». Le Waqf, l’organisme chargé de la gestion des biens musulmans a déclaré ne pas connaître cet homme comme prêcheur à la mosquée Al-Aqsa.
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Soirée Israël Is Forever
Dans la foulée de son lancement, Israel Is Forever a organisé une grande soirée à Strasbourg mercredi 21 Septembre.
prête se remobiliser pour, cette fois-ci, ne pas laisser ses détracteurs re-écrire encore plus l’histoire d’Israel.
Près de 400 personnes ont pu notamment visionné le film de Pierre Rehov à charge contre les organisations prônant le boycott d’Israël, de ses sociétés et de sa culture.
Parmi les invités surprises, le député Erik Elkouby mais également une célèbre organisation prônant le Boycott d’Isräel. Sonnant comme une victoire, l’association a été refoulée, encerclée puis dispersée par la Police.
Un débat s’en est suivi avec Claude Barouch, Président de l’UPJF, Pierre Rehov, Jérémie Herscovic-Czarnobroda et JeanMarc Metguer, respectivement Président France et Strasboug de Israel Is Forever. Cette soirée fut un véritable succès. Outre l’audience importante, un nouveau vent se lève sur la communauté juive de France,
Israel Is Forever a décidé de déposer plainte, une fois de plus, comme réalisé au mois d’Aout pour la manifestation illégale de Beaubourg, contre l’organisation, et d’en avertir le BNVCA (Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme). A suivre...
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Côte d’Azur : les Juifs du Sud Professionnalisation du métier de la France et l’Alya d’administrateur en France
La multiplication des menaces terroristes incite de nombreux Juifs de France, notamment dans le Sud, à s’interroger sur une éventuelle Alya. Après l’attentat islamiste de Nice en juillet dernier, qui avait fait près de 90 morts et 300 blessés, les Juifs du Sud de la France se tournent de plus en plus vers Israël. Ils s’interrogent sur une éventuelle Alya, l’immigration en Israël. Et pour cause : le soleil de Netanya ou d’Ashdod est le même que celui de Nice ou Cannes ; mais il y a aussi un “plus” : le sentiment de sécurité y est plus fort. En 2015, la France était devenue le principal fournisseur d’immigrants d’Israël : près de 8.000 Juifs de France avaient émigré en Israël, soit une augmentation de 160% en deux ans. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre d’immigrants de France est passé de 3.000 en 2013 à 6.500 en 2014, et jusqu’à 8.000 en 2015. Pour 2016, l’Alya de France devrait marquer le pas, mais les responsables israéliens sont confiants : l’intérêt croissant des Juifs de France pour une Alya finira par déboucher, tôt ou tard, par un passage à l’acte. PETITES COMMUNAUTÉS Face au défi de la menace terroriste, l’Agence juive (organe chargé de l’immigration juive en Israël) adapte sa stratégie pour accélérer l’immigration des Juifs de France. Jusqu’à présent, elle recrutait surtout les immigrants dans les grandes villes de France : Paris, Marseille, Lyon et Strasbourg ; dorénavant, les petites villes françaises aussi bénéficieront des visites de délégations israéliennes. C’est ainsi que dès la fin 2016, l’Agence juive va aller aux devants des petites communautés juives. Le coup d’envoi de l’Alya 2017 vient d’être donné sur la Côte d’Azur. Toute cette semaine, des représentants de l’Agence juive, de plusieurs administrations israéliennes (Intégration, Douanes, Sécurité sociale, etc.) et de l’association
AMI (Alya et Meilleure Intégration), ont sillonné le sud de la France : ils ont participé à chacun des quatre salons de l’Alya (dit “Salon de l’Alyah Ver-Sion”), organisé successivement à Nice, Cannes, Avignon et Montpellier. « Israël vient à vous » : c’est sous ce slogan que des centaines de familles juives se sont pressées autour des stands des Salons de l’Alya pour s’informer des conditions d’une éventuelle émigration vers Israël : emploi, éducation, fiscalité, retraite, santé, etc. Le succès des salons a dépassé les espérances des organisateurs, preuve de l’intérêt croissant des petites communautés du Sud de la France pour une éventuelle Alya. PARTENARIAT “OFEK ISRAELI” Autre changement de stratégie de l’Alya : une meilleure coopération entre les différents organismes et ministères chargés de l’émigration des Juifs et de leur intégration en Israël. Pour redoubler d’efforts et mettre en commun les activités de l’Alya, les principaux partenaires ont carrément décidé de réformer le processus de préparation à l’Alya. C’est ainsi que l’Agence juive et l’Organisation Sioniste Mondiale ont créé une société commune sous le nom de “Ofek Israeli” (Horizon israélien) : son but officiel, tel qu’il figure au Registre des Sociétés, est “l’encouragement de l’immigration juive en provenance de tous les pays du monde”. Lancé en février 2015, Ofek Israeli est largement financé et administré par le ministère israélien de l’Intégration des Immigrants. Une des premières décisions prises par les dirigeants d’Ofek est d’investir dans l’appréhension de la langue hébraïque avant d’immigrer. D’ici la fin 2016, 300 oulpanim (cours d’hébreu) seront mis en place dans plusieurs pays du monde : 182 oulpanim en Europe centrale, 125 en France et 15 en Argentine. Jacques Bendelac (Paris)
“Il y a une véritable professionnalisation du métier d’administrateur. Ce n’est plus une simple fonction honorifique, octroyée par le patron d’une entreprise à ses bons amis”. Cette affirmation tient de plus en plus en France. En Israël “les amis des amis” sont toujours la règle. Le copinage est la règle. La professionnalisation fait figure d’exception. L’exemple symbolique : la compagnie nationale de l’eau Mekorot. Selon Capital;fr : «Les administrateurs en France sont notamment de plus en plus impliqués dans la gouvernance de la société, en particulier via les travaux en comités d’audit, de nomination ou de rémunération. En témoigne notamment la hausse du taux d’assiduité, de 88% en 2009 à 93% en 2015, et la diminution du cumul des mandats ces dernières années», explique Guillaume Quéguiner, qui a supervisé une étude chez Spencer Suart.
C’est un fait : aucun des 489 administrateurs recensés n’occupe 5 ou mandats ou plus au sein d’un groupe du CAC 40, alors qu’il y en avait encore 1 en 2014. Et une seule personne possède 4 mandats, alors qu’ils étaient 3 dans ce cas il y a 2 ans. Ce champion du cumul des mandats est en fait une championne : il s’agit de Clara Gaymard, qui siégeait déjà depuis 2015 au conseil d’administration de Veolia et a rejoint cette année ceux de LVMH, Bouygues (EN-28,97 € 0,17 %) et Danone. Des postes qui pourraient lui rapporter en théorie, si l’on se fie aux montants moyens des jetons de présence versés en 2015 par ces 4 groupes, plus de 200.000 euros par an. Pas vraiment étonnant que l’ancienne boss de GE France soit si courtisée, à l’heure où les grandes entreprises n’ont plus que quelques mois pour atteindre une proportion de 40% de femmes au sein de leur conseil d’administration».
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Joseph Sitruk zatsal, l’ancien grand rabbin de France, décédé à 71 ans
«On ne peut garder 29% d’une communauté tentée par la charia»
Joseph Sitruk zatsal, grand rabbin de France pendant plus de 20 ans et gardien sourcilleux de l’orthodoxie religieuse, est mort dimanche à Paris à l’âge de 71 ans, a-t-on appris dans l’entourage de son successeur Haïm Korsia.
Ce séfarade, né à Tunis le 16 octobre 1944 et malade depuis plusieurs années, a été le guide spirituel de la première communauté juive d’Europe de 1987 à 2008.
Merci Monsieur Jo, mon premier maître
«L’intégration républicaine n’a pas fonctionné, ne fonctionne pas, il faut passer à l’assimilation» Nicolas Sarkozy a réaffirmé lundi son objectif d’»assimilation» de l’immigration, jugeant, en s’appuyant sur une récente étude de l’institut Montaigne, qu’on ne pouvait pas «garder» en France «29% d’une communauté qui se trouve tentée par la charia». «La dernière étude d’une fondation privée, l’Institut Montaigne, est extrêmement préoccupante»: «un quart des plus jeunes musulmans sont tentés par une forme de radicalité». «Il n’y a aucune hystérie là-dedans», a déclaré M. Sarkozy sur Europe 1. «La réalité est là: l’intégration républicaine n’a pas fonctionné, ne fonctionne pas, il faut passer à l’assimilation. On ne peut pas garder 29% d’une communauté qui se trouve tentée par la charia, ou alors on est irresponsable», a poursuivi le candidat à l’Elysée via la primaire de la droite (20-27
novembre). «Cet amalgame (entre musulmans et terroristes, ndlr) est scandaleux, mais tous les amalgames (le sont, ndlr) ! Parce que l’hystérie que j’observe, c’est que quand on prononce le mot islam on est immédiatement accusé d’être islamophobe. C’est pas de l’hystérie ça ?»
J’étais un petit garçon turbulent dans cette classe de talmud Torah, j’avais 9 ans et nous étions en l’année 1964. Il était jeune, il s’appelait Jo, disait-il, et habitait le minuscule pavillon mitoyen de la synagogue au 106 avenue de Gournay à Villejuif.
Afin de «mesurer» le degré de religiosité des personnes interrogées, l’Institut Montaigne avaient dégagé trois critères: attachement au port du voile, consommation de viande halal et laïcité.
Etudiant au séminaire rabbinique de la rue Vauquelin, il nous donna nos premiers cours d’instruction religieuse dans cette banlieue au nom prémonitoire. Un jour il prit ma main et me montra comment plier mon pouce et mon index, laissant mes 3 doigts du milieu bien détendu. Là, c’est la lettre ‘SHIN’, ton pouce représente la lettre ‘DALET’, et ton index la lettre ‘YOUD’, maintenant porte ta main au-devant de ton visage et ferme les yeux.
Trois profils se sont dégagés de ces interrogations: les «sécularisés» dits laïcs (qui représentent 46%), les «islamic pride» qui se revendiquent avant tout comme Musulmans (25%) et les «ultras», «qui ont un profil autoritaire» (28%). i24news
Il m’apprit à dire mon premier ‘SHEMA ISRAEL’ en comprenant ma main, c’était ‘SHADAY’, la force de connaitre ses li-
mites, ni trop ni trop peu. Ma vie ne suivit guère ce chemin, loin de là, pourtant si je suis devenu ce que je suis c’est aussi grâce à ce souvenir inoubliable et je ne peux m’empêcher de verser une perle de ma neshama en me souvenant de ces moments précieux. Merci Monsieur Jo, que ton souvenir soit béni et continu d’être le fier défenseur de ton peuple, de la nation d’Israël. Au revoir mon premier maître mais j’étais trop petit pour le savoir et trop turbulent pour être vraiment présent Rony Akrich est Professeur d’études juives, responsable de l’enseignement francophone au Machon Tal – Midreshet Maamakim, conférencier a la mich’lelet Beit Vagan, enseignant à la yechivat Mah’on Meir, dept francophone Coolamnews
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Message du Grand Rabbin de France suite au décès du Grand Rabbin Joseph Haïm Siturk
L’association Beyahad cous souhaite Chana Tova 5777 BEYAHAD une fin d’année riche en émotion d’échange et de partage avec tous les enfants différents mais extraordinaires de notre communauté. Une année sous le signe de la fête pour nos enfants : Rappelons que BEYAHAD est un véritable cercle d’amitié pour tous les enfants différents de notre communauté et pour leurs familles. Tout au long de l’année BEYAHAD organise diverses activités pour les enfants ayant des besoins spécifiques ainsi qu’une aide et un réconfort pour leurs familles : visites à domicile, organisation des anniversaires, Pourim Party, atelier Chavouot où chaque enfant a fait lui même son gâteau au fromage avec l’aide de leurs volontaires.
Paris, le 26 septembre 2016 C’est un moment très douloureux et bien triste pour l’ensemble de la communauté juive de France et bien au-delà. Le Grand Rabbin Joseph Haïm Sitruk z’l a donné un élan, une grande confiance et une force indescriptible à l’ensemble de sa communauté et bien plus largement à l’ensemble de la société. L’amour incommensurable du Grand Rabbin Sitruk z’l pour sa communauté, son attention profonde à chacune et à chacun nous portait et nous guidait, par des mots justes et par un don unique, sur les chemins de la foi et dans l’accomplissement des mitsvot. Je voudrais redire l’honneur qui a été le mien – lui qui me considérait comme un fils – de porter modestement une part
de son action, lorsqu’il était Grand Rabbin de France, et de répondre à toutes ses demandes, car elles étaient toujours empreintes de bonté, de projection dans l’avenir, de confiance en l’Eternel et en l’homme. Pour faire vivre le souvenir du Grand Rabbin Sitruk z’l, il nous faudra transmettre plus encore son héritage et ses enseignements, pour servir l’Eternel dans la joie. A sa famille, je veux redire tout mon attachement. Son action, tout au long de sa vie, est pour eux la plus belle des bénédictions.
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Le magnifique «Miss beya’had», le défilé de mode incontournable pour toutes les jeunes filles de BEYAHAD en présence de leurs mamans. Des sorties les mercredi, dimanches, etc.
BEYAHAD c’est avant tout, un groupe magnifique d’adolescents volontaires. A ce jour nous comptons plus de 200, filles et garçons, qui font preuve de dévouement, de joie de vivre, de solidarité et de courage pour accompagner les enfants differents. BEYAHAD à fêté ses 10 ans d’existence lors de son grand gala qui a eu lieu le 3 juillet dernier, en présence de plus de 400 personnes. BEYAHAD est en préparation pour de nouveaux projets, de nouvelles aventures pour tous nos enfants différents pour l’année qui arrive, pour cela nous avons besoin de votre soutien. N’hésitez pas à nous joindre au 06 61 16 64 09 pour toutes infos. BEYAHAD VOUS SOUHAITE UNE ANNEE DE PAIX D AMOUR ET DE REUSSITE. CHANA TOVA POUR VOS ET VOS PROCHES.
France 24 promeut les poupée à l’effigie de Yasser Arafat
Puisse-t-il toujours être le guide qu’il a été pour nous. Que sa mémoire soit bénie. Haïm Korsia
Quand France 24 prend le parti de Palestiniens qui produisent des jouets incitant à la violence contre Israël. La chaîne française critique la décision de Tsahal de saisir des poupées à l’effigie du terroriste Yasser Arafat. « L’idée, derrière ce projet, était de faire connaître la culture et le patrimoine palestiniens, les composantes de notre identité palestinienne. », affirme Hilana Abou Charifa, qui produit les poupées de la discorde. « Pour Yasser, j’ai confectionné deux modèles de vêtements. Le keffieh et la tenue kaki, pour rendre hommage à Yasser Arafat, puis une tenue qui correspond à un jeune palestinien, avec une casquette et un T-shirt. » « Fin décembre 2015, l’armée israélienne
a débarqué dans l’atelier et saisi toutes les poupées Yasser qui s’y trouvaient, soit environ 700. Elle nous a accusés d’ »incitation à la violence ». Nous étions étonnés car pour nous, notre poupée ne véhiculait aucun message violent, c’était juste un hommage à la culture palestinienne. » « Ces poupées se vendent correctement ici, mais nous visons surtout le marché international. Pour l’instant, nous avons envoyé quelques exemplaires aux États-Unis, aux Émirats arabes unis et en Europe dans l’espoir de trouver des partenaires qui seraient prêts à les distribuer dans ces pays. Pour nous, ce serait une belle manière de faire connaître la culture palestinienne dans le monde. »
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Qui a dit ? «La France n’est pas une Start-up Nation, mais une « République Numérique » comme étant des écosystèmes existants et à très fort potentiel. Et aujourd’hui, mon travail consiste à les valoriser, y compris à l’étranger. Que met-on concrètement à disposition de ces métropoles French Tech? Un des critères de labellisation est la présence d’accélérateurs, des lieux où les startups sont sélectionnées pour leur très fort potentiel de croissance. Dans les villes labellisées, la BPI co-investira donc dans ces accélérateurs, au côté de fonds privés. Pour autant, le modèle économique choisi ne consiste pas en de la subvention publique dans des entreprises sélectionnées.
Du 25 au 29 septembre 2016 se tiendra à Tel Aviv la 6ème édition du Festival de l’innovation DLD, l’évènement du numérique le plus important de l’année en Israël. La Ministre Axelle Lemaire assistera au DLD 2016. Pour en savoir plus sur Axelle Lemaire nous avons simplement cherché des déclarations de la Secrétaire d’Etat à l’égard d’Israël. Elles sont toutes positives. Dans l’Atelier Numérique : «La France, selon Axelle Lemaire, n’est ni une “startup nation” comme Israël, ni la tech city londonienne, ni la Silicon Valley californienne, mais une « République numérique “. Et cette République doit s’interroger sur le renouvellement de ses valeurs dans cette nouvelle ère”. Dans L’atelier.net qui est une référence. Entretien (1) avec Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat en charge du numérique, à propos de la French Tech, réalisé dans le cadre de l’émission de radio L’Atelier numérique.
Lors de cet interview Axelle Lemaire fait réference au modèle israélien : “Nous souhaitons venir en accompagnement des investissements privés, à l’instar de ce que fait la banque israélienne, qui participe à la vitalité de l’écosytème numérique israélien”. Question : Vous étiez présente à Helsinki pour présenter au Slush le label French Tech. En quoi consiste-t-il? La French Tech est effectivement un label qui est ouvert. Derrière ce terme se cachent un mouvement et une dynamique, portés par les entrepreneurs et les startups. En ce sens, c’est nouveau. Il ne s’agit pas là d’un schéma directeur dans lequel s’insère l’activité économique et qui aurait été organisé par les organismes officiels, les institutions publiques ou privées, les grands groupes ou instituts de recherche. Non, il s’agit de startups qui se sont regroupés pour travailler de concert avec tous ces acteurs pour faire de notre territoire un territoire attractif pour le numérique. Neuf métropoles ont donc été labellisées
Nous souhaitons venir en accompagnement des investissements privés, à l’instar de ce que fait la banque israélienne, qui participe à la vitalité de l’écosytème numérique israélien. Dans un deuxième temps, nous lançerons le French Tech Ticket, un système qui permettra de renforcer l’attractivité de notre pays pour les startups étrangères. Et enfin, nous accompagnerons nos startups françaises installés à l’étranger pour conquérir des marches internationaux, par le biais de French Tech Hubs. Revenons sur le French Tech Ticket. Le French Tech Ticket correspondra à trois demandes très concrètes émises par les startups étrangères. Il s’agira donc d’un visa de 4 ans pour l’entrepreneur et les membres de sa famille, d’une bourse jusqu’à 20 000 euros et d’un guichet administratif unique pour que toutes les démarches d’implantation en France, de l’inscription au registre de commerce, ou auprès d’organismes sociaux se fassent par l’intermédiaire d’un interlocuteur administratif unique. Dans un contexte de compétition internationale très ardue sur le plan numérique, l’enjeu est d’attirer, pas seulement les financements, mais aussi les talents, celles et ceux qui peuvent créer la croissance et les emplois en France. Pour l’instant, il y a neuf métropoles French Tech. Est-ce qu’on pourrait imaginer pousser ce chiffre à 10, 11… et constituer une Equipe de France? J’aime bien la comparaison avec l’Equipe de France parce que ça correspond à une réalité d’une Equipe de France de la French Tech qui part à l’international. Voyez l’exemple du CES de Las Vegas. Cette année, pour la première fois, le tiers des startups présentes seront françaises. Concernant l’attribution du label à d’autres métropoles, ce label n’est pas un concours de beauté. Il n’y a ni quota, ni numerus clausus. C’est un travail de co-construction entre les porteurs des dossiers dans les métropoles et la mission French Tech installé à
Bercy. Nous accompagnons les écosystèmes pour les aider à remplir les objectifs fixés par un cahier des charges très précis. Sur certains dossiers labellisés, nous sommes allés jusqu’à des versions 9 du dossier. Nous avons labellisé neuf métropoles. Je n’exclus pas que d’autres le soient à l’avenir. La labellisation est-elle définitive? La co-construction est continue. Là, on fait un pari sur l’avenir. J’ai donné rendez-vous aux métropoles labellisées dans un an. Dans un an, nous serons en capacité de mesurer les progrès réalisés à l’aune des promesses qui ont été présentées. D’ici la fin de l’année, nous allons dresser une liste d’actions très concrètes. Dans un an, nous évaluerons et délivrerons, selon, des labellisations qui seront valables trois ans. Helsinki s’est engagée fortement dans une vision de la smart city, centrée autour de l’Open Data. Quelle est votre position sur le sujet? Les métropoles French Tech doivent devenir ou sont déjà « smart »? Ca ne faisait pas précisément partie du cahier des charges. Néanmoins, on peut supposer qu’une métropole French Tech, donc très tournée vers le numérique, a un réflexe d’adopter une stratégie de ville intelligente. Qu’est une ville intelligente? C’est une ville connectée, qui met en réseau ses réseaux: l’énergie, les transports, les télécommunications, l’expérience des citoyens dans leur mobilité, dans leur expérience des services publics. Soit une expérience connectée en continu. A Helsinki, ils ont une grande ambition autour des smart grids. C’est une plus petite ville que bien des métropoles françaises. C’est très expérimental. J’ai plaisir à observer ce qui s’y passe. Mais en France, sur le sujet, nous n’avons pas à rougir. Il existe des projets très intéressants en France, notamment dans le domaine du paiement connecté et sans contact, dans les logiciels embarqués, les objets connectés, les compteurs intelligents. Définitivement, nous n’avons pas à rougir.
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Capester (Israël), la chasse aux incivilités routières
L’appli israélienne BreezoMeter lutte contre la pollution de l’air
Près de 200 millions de personnes souffrent de Broncho-Pneumopathies Chroniques Obstructives (an anglais chronic obstructive pulmonary disease), une maladie qui entraine l’obstruction lente et progressive des voies aériennes et des poumons, et qui touche principalement les fumeurs. Les patients atteints de cette maladie, lorsqu’elle s’aggrave, doivent être hospitalisés plusieurs fois par an, ce qui leur coûte des milliers de dollars chaque année. Une entreprise israélienne change radicalement la vie de ces patients : le produit Breeze@home permet aux personnes atteintes de maladies pulmonaires chroniques de rester chez elles tout en étant surveillées à distance par un personnel médical qualifié. « Cela permettra aux patients de mieux supporter la maladie et dans un même temps au système de santé de faire des économies conséquentes » explique le Dr Michael Nagler, PDG de Deep Breeze.
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L’application israélienne BreezoMeter est dorénavant disponible non seulement en Israël et aux Etats-Unis mais également dans les grandes villes en Chine, au RoyaumeUni, au Japon, en France et dans cinq autres pays. BreezoMeyer, qui a actuellement une base de 50 millions d’utilisateurs au quotidien est donc appelé à croître de manière significative.
A chaque désagrément du quotidien peut aboutir une innovation. Et si en Israël les politiques publiques en faveur des personnes handicapées sont assez avancées, certains citoyens y mettent également du leur.
tionnels. L’objectif est atteint : les vidéos ne peuvent pas être trafiquées ou altérées. Les fondateurs ont pu collaborer étroitement avec des avocats, comme Haim Ravia, président du groupe Internet, Cyber et Copyright du cabinet Pearl Cohen à Herzliya.
Pour preuve l’histoire d’Ohad Maislish, qui marche en béquilles depuis des années après un accident de parachutisme. Arrivant en voiture chez son frère pour y passer le dîner de Shabbat, il trouve occupée l’unique place handicapée par un véhicule n’en ayant aucunement l’autorisation. Les contrôleurs ne travaillant pas le vendredi soir, il dut se rendre au poste de police pour rapporter les faits litigieux, attendre que son affaire soit traitée, et prendre en compte la possibilité de faire face au contrevenant devant la justice.
Capester peut aujourd’hui authentifier la vidéo et l’envoyer aux autorités compétentes, qui choisiront de la suite de la procédure vis à vis du détenteur du véhicule. “Nous avons approché les municipalités et chacune a ses propres conseillers qui examinent la légalité du procédé avant d’approuver Capester.” a expliqué Maislish.
Pourquoi ne pouvait-il pas simplement utiliser son téléphone pour rendre compte de l’incident ? La police lui expliqua que, ces vidéos pouvant être falsifiée, elles ne pouvaient être acceptées comme preuve à l’occasion d’un procès.
L’application lutte contre la pollution de l’air en analysant en temps réel les valeurs de mille capteurs installés dans le monde entier.
C’est alors qu’Ohad Maislish, qui débuta sa carrière à 17 ans au centre de R&D de Microsoft à Haïfa, mis à contribution son expérience dans le domaine informatique, ainsi que quelques amis dans la sécurité digitale et l’expertise légale pour créer Capester, une plate-forme permettant à ses usagers de dénoncer anonymement les violations de règles de stationnement.
En fournissant des informations concrètes du type „Il vaut mieux rester chez vous, surtout si vous envisagiez de sortir avec les enfants“ et en catégorisant la qualité de l’air, l’application permet de mieux sensibiliser aux dangers de la pollution.
Grâce à des investissements initiaux de BRM Capital et d’une entité de la plateforme de financement OurCrowd, les fondateurs ont pu travailler pendant 18 mois afin de perfectionner l’application mobile, celle-ci devant remplir les standards juridic-
L’application a été lancée en avril dernier sur Android et sera bientôt disponible sur iOS. Environ 4000 utilisateurs en Israël ont été jusque là décomptés. Pour chaque violation dûment documentée, Capester fait une donation auprès d’Access Israel, une association à but non-lucratif promouvant l’accessibilité et l’amélioration de la qualité de vie pour les handicapés en Israël. Capester, basée à Petah Tikva, a lancé il y a deux mois des expérimentations dans d’autres marchés comme en Asie et en Amérique du Sud. Des discussions sont en cours afin de prolonger celles-ci d’une année. “En tant que société privée, nous ne pouvons pas distribuer d’amendes mais seulement fournir une plate-forme pour alimenter les preuves de violation” souligne Maislish. “Si par exemple vous enregistrez une preuve en Inde, cela doit être dans un endroit où nous avons passée des accords avec les autorités locales.” Citoyens-justiciers, à vous de jouer. http://www.israel21c.org
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La Bank Leumi d’Israël en alliance avec des Canadiens et Australiens
La Banque CIBC (CM aux Bourses de Toronto et New York) a annoncé avoir formé avec la National Australia Bank (NAB) et la Bank Leumi d’Israël une alliance stratégique visant à proposer des façons novatrices d’améliorer l’expérience client.
Révolution stratégique pour le réseau ferroviaire national
Ce partenariat permet à trois banques sur trois continents de collaborer et de partager des aspects de leurs stratégies d’innovation exclusives en vue de rehausser leur expérience client respective. Les partenaires partageront leurs sources d’information et leurs savoirs en matière d’innovation, collaboreront à la mise au point de produits et services afin de soutenir et d’étendre leurs clientèles respectives et faciliteront la mobilité des employés dans le domaine de l’innovation. « Nous sommes heureux de faire équipe avec la NAB et la Bank Leumi, deux banques très réputées qui partagent notre engagement en matière d’innovation centrée sur le client, confie Stephen Forbes, vice-président à la direction et directeur commercial en chef, Banque CIBC. Nous avons créé une culture de collaboration entre les équipes afin de stimuler l’innovation à notre banque, en plus de former des partenariats externes importants avec des centres d’innovation et des entreprises de technologies financières afin de bâtir la banque de demain pour nos clients. Cette alliance renforce notre position de leader en innovation et étend notre accès aux sources d’information et aux talents mondiaux dans ce secteur en plein essor. »
La compagnie ferroviaire israélienne, Israel Railways, a débuté la planification d’une nouvelle ligne qui fera la jonction entre le nord et le sud du pays, tout en contournant la métropole de Tel Aviv. Ce nouvel itinéraire, qui impliquera la construction de neuf nouvelles stations, a été approuvé par le cabinet il y a quatre ans déjà et aurait dû être opérationnel depuis 2018. Désormais, le ministère israélien des transports, avec Yisrael Katz à sa tête, a donné son feu vert pour l’allocation d’un budget de 8 milliards de shekels à cette opération. La planification devrait prendre 18 mois et la construction 4 ans, ouvrant la voie à l’achèvement des travaux pour 2022. Dans le cadre de ce projet, une ligne secondaire reliera les villes de Binyamina et Hadera. Cinq nouvelles stations (Hadera Central, Ahituv, Taibe, Tira et Kfar Saba) seront ainsi construites jusqu’à la gare de
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Rosh Ha’ayin-Nord. Depuis cette dernière, la voie simple menant à Lod sera doublée, accompagnant la construction de quatre autres stations : Rosh Ha’ayin Sud, Elad, Airport City et Lod Nord. Le ministre des transports Yisrael Katz a déclaré : “Ces voies sont à la base d’une révolution stratégique concernant le réseau ferroviaire national, permettant la liaison entre le nord et le sud tout en contournant le Gush Dan et le goulet que représente le corridor ferroviaire d’Ayalon. Cela créera aussi une artère de transport commercial ferroviaire qui augmentera les capacités d’échanges entre les ports d’Haïfa et d’Ashdod.”
L’alliance a été officialisée cette semaine à Tel-Aviv, capitale reconnue mondialement comme étant un incubateur d’entreprises et un centre de haute technologie. Dans les deux mois qui ont précédé l’annonce d’aujourd’hui, la Banque CIBC et la NAB ont testé ensemble la technologie de grand livre de Ripple en déplaçant des fonds entre le Canada et l’Australie, s’inscrivant ainsi parmi les quelques banques mondiales à avoir réussi un transfert transfrontalier grâce à cette technologie.
Il ajouta également que le retrait du fret commercial le long de la côte permettra de libérer des capacités de transports pour les passagers.
« Nous sommes ravis de travailler avec la Banque CIBC, avec qui nous avons déjà validé la technologie de Ripple pour effectuer des transferts de paiement internationaux entre nos banques, précise Jonathan Davey, directeur général administratif, NAB Labs. Comme la NAB, la Banque CIBC est centrée sur le client et mise sur l’innovation pour améliorer les services offerts et reconnaît la force des partenariats pour stimuler la transformation et favoriser une vraie différenciation auprès des clients. »
http://www.globes.co.il/
« Tout le monde sait qu’Israël est la capi-
tale du démarrage d’entreprises et une terre d’innovation. La Bank Leumi étant un acteur de premier plan sur la scène locale et mondiale de l’innovation, je suis convaincu que cette alliance favorisera les échanges mutuels dans nos stratégies d’innovation et qu’elle rehaussera notre expérience client respective, précise Dan Yerushalmi, premier vice-président à la direction, Bank Leumi, directeur technique et responsable de l’information du groupe et chef de l’exploitation. Ce dialogue franc et ce partage des savoirs sont très utiles et nous estimons que l’alliance constitue le point de départ d’une collaboration appelée à s’intensifier avec la NAB et la Banque CIBC au cours de programmes futurs. » La Banque CIBC propose aux clients un certain nombre d’innovations récentes, dont bon nombre bousculent les traditions bancaires : Nouveau service appelé Virement de fonds mondial, qui élimine les frais initiaux pour les remises et accélère le transfert afin de mieux répondre aux besoins des clients qui envoient des fonds régulièrement à l’étranger. Nouvelle technologie d’ouverture de compte numérique, une première parmi les cinq grandes banques, afin de permettre aux clients d’ouvrir un compte à l’aide de leur appareil mobile. Mise au point pour les produits dérivés d’une plateforme primée trois années de suite par GlobalCapital comme étant la meilleure au Canada en raison de son approche prospective axée sur l’innovation et la recherche de solutions. Partenariat avec MaRS Discovery District de Toronto en vue de fonder MaRS C Suite, d’établir les Labos branchés CIBC et de collaborer avec les meilleurs talents en technologie afin de faire surgir la prochaine vague d’innovations bancaires. Ce cadre de collaboration inspiré des laboratoires a déjà contribué directement au lancement des applications Services bancaires mobiles CIBC pour la montre Apple Watch et Allô Proprio CIBC, dont la technologie de capture d’image permet aux clients d’effectuer tout le processus de demande hypothécaire sur leur appareil mobile.
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Fêtes juives : la Gift Card devient le cadeau préféré des Israéliens
Les Israéliens aiment donner et recevoir des cadeaux, notamment à l’occasion des fêtes juives ; cette année, la carte cadeau aura leur préférence. À l’approche des fêtes juives, les Israéliens ont tendance à délaisser les cadeaux traditionnels au profit de la carte cadeau. On peut même dire que la Gift Card (comme les commerçants l’appellent) est devenue le cadeau par excellence : elle est valable dans des centaines de magasins (multi-enseignes) et elle fera toujours plaisir. CADEAU IDÉAL À l’intérieur d’un petit étui, la carte cadeau (ou chèques-cadeaux) est devenue la solution idéale pour l’Israélien qui hésite entre plusieurs cadeaux à offrir ; et pour le plus grand plaisir de son bénéficiaire qui pourra choisir son cadeau préféré. Les boutiques de cadeaux et grandes surfaces l’ont bien compris : à l’occasion de la fête du Nouvel An juif, qui sera célébrée début octobre, la concurrence bat son plein sur le créneau des cartes cadeaux. En Israël, un des premiers secteurs à avoir compris l’impact de la carte cadeau sur les achats de consommation courante, a été celui de l’habillement. Les principales enseignes comme Zara, Castro, Fox, Golf, ml et Mango, proposent aujourd’hui à leur clientèle des cartes cadeaux à tous les prix,
et dont l’expiration est portée jusqu’à 6 ans après la date d’émission. Autres commerces qui profitent de l’engouement des Israéliens pour la carte cadeau : les cafés et restaurants. Les principales chaînes de restauration se sont soumises à la nouvelle tendance, notamment les enseignes Café Greg et Café Jo. Sans compter les chaînes de supermarchés qui, elles aussi, ont vite pris position sur ce créneau. SATISFAIT OU REMBOURSÉ Récemment, le législateur israélien a régulé le marché de la carte cadeau : qu’il s’agisse d’une carte en plastique, de chèques cadeaux ou de bons d’achat, le consommateur est désormais défendu par la législation. Comme pour tous les autres articles achetés, le consommateur a le droit de restituer une carte cadeau est de recevoir en échange des espèces à hauteur de sa valeur. Dans tous les cas, les associations israéliennes de défense du consommateur recommandent d’utiliser les cartes aussi vite que possible. Deux raisons à cette recommandation : d’abord, beaucoup d’Israéliens oublient une carte dans un tiroir et ils la redécouvrent lorsque sa validité a expiré ; ensuite, le commerçant peut fermer sa boutique, avant même que le consommateur ait pu faire usage de sa carte cadeau. Jacques Bendelac (Jérusalem)
Sport et loisirs : les israéliens délaissent les salles de sport
Une nouvelle tendance se dessine dans les habitudes de loisirs des Israéliens : ils délaissent les salles de fitness pour le sport en plein air. Depuis toujours, les Israéliens sont des adeptes des salles de sport et de musculation. Or ces derniers temps, des municipalités installent des appareils de fitness en plein air, dans des espaces publics, notamment parcs et plages. Leur utilisation est gratuite et les Israéliens, petits et grands, en font un usage intensif. GRATUIT ET EN PLEIN AIR Dans presque toutes les villes du pays, les appareils de fitness colonisent les espaces publics : ils proposent des exercices permettant de stimuler presque tous les muscles du corps, de la tête aux jambes, en passant par les bras et poignets. La multiplication des appareils de fitness gratuits en plein air a fini par poser aux Israéliens un dilemme sportif et économique : est-il préférable de s’abonner à une salle de sport (parfois à un tarif prohibé) ou, au contraire, de profiter gratuitement des installations sportives disponibles dans la nature ?
La réponse se trouve sans doute dans la nouvelle tendance qui se développe en Israël : des entraînements de groupe sous la direction d’un coach sportif diplômé et qui se déroulent en extérieur (outdoor). UN ARGUMENT DE VENTE Les salles de sport ont vite compris l’enjeu du sport en plein air : dorénavant, elles proposent aussi des cours de gymnastique en plein air, par petits groupes encadrés par un coach et à petit prix. Le coût moyen de l’abonnement est d’environ150 shekels par mois (40 euros). Cette nouvelle formule se développe dans les principaux réseaux de salles de sport d’Israël : Fit-K, Go-X, Great Shape, GetFit, etc. Les marques de sport ne sont pas en reste ; le sport en plein air devient même un argument de vente. Le magasin de l’enseigne Reebok installé sur le vieux port de Tel Aviv propose gratuitement des cours de sport : le vendredi, l’esplanade qui jouxte le magasin se transforme en une immense salle de sport en plein air. Jacques Bendelac (Jérusalem)
POLITIQUE
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Netanyahou s’excuse pour avoir comparé les soldats disparus au tireur d’Hébron
«Je suis désolé si ce que j’ai dit n’a pas été bien compris», a-t-il déclaré sur sa page Facebook
Les promesses de Clinton et Trump à Netanyahou Mme Clinton et M. Trump ont rencontré séparément dimanche le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. Ce dernier tente d’éviter toute impression d’interférence dans la campagne électorale américaine et pour la première fois aucun des candidats ne s’est rendu en Israël pendant la campagne. Le magnat de l’immobilier, comme d’autres candidats républicains avant lui, a promis de déplacer l’ambassade américaine de TelAviv à Jérusalem s’il était élu à la Maison Blanche. « M. Trump a encore déclaré que sous une administration de Trump, il y aura une coopération technologique, militaire et au niveau des renseignements stratégique extraordinaires entre les deux pays. M. Trump a reconnu Israël comme un partenaire essentiel des Etats-Unis dans la guerre mondiale contre le terrorisme islamiste radical
». « M. Trump et le Premier ministre Netanyahu ont discuté de la longue expérience d’Israël des barrières de sécurité qui l’a aidé à sécuriser ses frontières. » Benjamin Netanyahou a également profité de sa présence à l’Assemblée générale des Nations Unies pour rencontrer Hillary Clinton qui s’est engagée, si elle était élue, à aider Israël à affronter “les menaces terroristes”. Ces entretiens ont eu lieu à quelques heures du premier débat présidentiel qui se tiendra ce lundi soir à l’université de Hofstra, près de New-York. Coolamnews
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Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a présenté des excuses dimanche après les critiques formulées à son égard selon lesquelles il aurait comparé la situation des parents du soldat accusé d’homicide involontaire d’un terroriste palestinien, à ceux des soldats disparus ou tombés au combat, lors d’une interview accordée la veille à la chaîne israélienne Arutz 2. Au cours de l’interview, Netanyahou avait affirmé ne pas regretter avoir appelé pour le soutenir il y a quelque mois le père de Elor Azaria, accusé d’avoir tué un terroriste palestinien à Hébron. Netanyahou, dont la conversation avec Charlie Azaria fin mars avait été critiquée par certains, la considérant comme inappropriée, alors que les juges ne se sont pas encore prononcés sur le cas de son fils, a déclaré à Arutz 2 : «J’ai appelé beaucoup de parents en détresse dont les enfants sont tombés [au combat] ou ont été déclarés disparus (...) et ici [aussi] il est question d’une grande détresse pour des Israéliens, je veux que vous compreniez cela». Tôt dimanche matin, Netanyahou a publié sur sa page Facebook le message suivant : «Je suis désolé si ce que j’ai dit n’a pas été
bien compris». «En aucune manière je ne veux comparer les souffrances des familles endeuillées [des soldats de Tsahal], une souffrance que je connais bien, à la situation d’autres parents qui sont dans la détresse», a ajouté le Premier ministre. «Il n’y a pas de comparaison et il ne peut y avoir de comparaison», a-t-il précisé. Le bureau de Netanyahou a également publié un communiqué critiquant vivement tous ceux qui a vu une quelconque comparaison dans les propos du Premier ministre sur Arutz 2. «Le Premier ministre Netanyahou n’a pas comparé entre le soldat Elor Azaria et les soldats tombés au combat. Il s’agit d’une tentative faible, perverse et trompeuse de présenter ses mots ainsi. Le Premier ministre Netanyahou respecte les familles des soldats tombés et les familles des soldats disparus, et est très conscient de leur terrible douleur». Elor Azaria, un soldat franco-israélien de 19 ans, est accusé d’homicide involontaire après avoir abattu en mars dernier un terroriste palestinien blessé à Hébron. i24news