Israël Actualités n°430

GRATUIT - Numéro 430 - Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Comme un disque rayé …

Comme un disque rayé, l’histoire bégaie. Et dans cette dernière ligne droite qui nous mène au premier tour de cette consternante élection présidentielle, on assiste à des meetings et des séances d’autocélébration du moi des candidats, où la nécessité d’explication pédagogique des programmes a cédé totalement la place à celle de cogner dur et fort sur celui ou celle qui représente une menace. Le Pen, Macron, Fillon, Mélenchon, Hamon.

C’est dans les rangs des 5 premiers de la classe, surtout, que la hargne fait la loi.

Dans ces 5 premiers, il en est un que l’on n’attendait pas : Jean-Luc Mélenchon.

Totalement minoritaire, il y a 5 ans, il faisait surtout du bruit et des rodomontades.

Son style bruyant, brutal, colérique faisait s’esclaffer ceux qui voient l’arène politique comme un cirque. Cinq ans plus tard, le révolutionnaire du coin de la rue a pris des cours de communication politique. Il s’expose en hologramme, mixe indignations et franc-parler, coups de gueule et moments d’émotion…

Et ça marche ! Il en est rendu, désormais, à dépasser, dans les intentions de vote, le discret Benoît Hamon, dont la campagne se résume à compter les lâcheurs et pester contre les trahisons. Sauf que, quand on a eu l’audace d’arborer un sourire satisfait et de jouer les sales gosses de la classe en se faisant élégamment appeler frondeur, au gouvernement, on a vraiment du culot de s’étonner que certains osent le laisser en tête à tête avec ses propositions de revenu universel et d’état palestinien. Les Français ne sont plus dupes : ils savent bien que le fric pour tous, c’était de la grosse ficelle électorale, et que l’Etat palestinien, c’est loin d’être leur première préoccupation, n’en déplaise au BDS. Et quitte à voter pour l’extrême à gauche, autant aller vers un candidat qui a refusé toute collusion avec la politique pas franche du collier du Hollandisme : en l’occurrence, Mélenchon. Si vous faites partie de nos fidèles lecteurs, vous saurez que j’avais, dès l’été 2016, évoqué la percée probable du leader du Front de Gauche. Comme je ne cesse de répéter, d’ailleurs que cette échéance électorale se jouera aux coins extrêmes de l’échiquier politique. Et ce, pour plusieurs raisons. Le quinquennat qui s’achève a décu à peu près tout le monde : les pauvres sont de plus en plus pauvres, les chômeurs de plus en plus chômeurs et la population active française ne sait plus à quel saint se vouer. Entre terrorisme et marasme économique, le gouvernement comme le Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

chef de l’exécutif ont multiplié les fautes de goût, donnant aux Français le sentiment qu’il faudrait rompre coûte que coûte avec ceux qui nous ont mené dans cette impasse.

Face à ce rejet manifeste, la Droite française s’est senti pousser des ailes, elle a cru l’élection imperdable. Et s’est doté d’un candidat qui, par son tempérament comme son programme, incarnait l’exact opposé.

Quitte à nous promettre des lendemains qui déchantent, pourvu que la France sorte de ce marasme. Oui mais voilà… Inutile d’en rajouter sur François Fillon et sur ce rêve présidentiel auquel il n’entend pas renoncer, même s’il doit entraîner avec lui dans la débâcle tous ceux qui attendaient l’alternance comme une respiration. Fillon est aujourd’hui, selon les sondages, à 17 % des intentions de vote au Premier tour et on voit mal comment il parviendrait désormais à mener la danse. Mélenchon, lui, caracole à 16 % : pas si mal pour un candidat qu’on voyait comme un clown il y a à peine plus d’un an !

Vous je ne sais pas mais moi, j’ose le dire : j’en ai ras les fronts ! Entre un parti dont les fondements xénophobes ne sont plus à démontrer, créé par des SS ou des collabos et un Front de gauche toujours aux avantspostes lorsqu’il s’agit de cracher sa haine sur l’Etat hébreu ou de faire cause commune avec le BDS, je n’ai pas l’intention de laisser faire sans agir. Je compte me rendre aux urnes et tenter de défendre ce qu’il reste de la démocratie française. Le front de Gauche nous promet la Révolution, le FN nous plongerait dans le chaos, voire dans une guerre civile. Il nous faut donc miser sur Fillon ou Macron et espérer que l’un ou l’autre sera au Second Tour pour tenir tête au FN. Car si les partisans de Hamon faisaient alliance avec ceux de Mélenchon, alors nous irions vers une configuration Mélenchon / Le Pen. Entre la peste et le choléra, lequel choisir ?

Verdict, au sortir des urnes, le 23 avril prochain. D’ici là, nous devrons, nous, juifs, commémorer la sortie d’Egypte. Que les fêtes de Pessah et leur symbolique vous soient profitables. Qu’elles vous offrent de joyeux moments de communion et de célébration en famille. Qu’elles guident, si possible, votre choix et vos décisions et qu’elles nous permettent, chers lecteurs, de nous retrouver emplis d’espoir, au lendemain de ce crucial rendez-vous électoral.

Unis, contre les populismes, les haines aveugles et les compromissions…

Am Israël Haï Alain Sayada

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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan

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À LA UNE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Le Chiffre : 83% des israéliens opposés à donner le Mont du Temple aux Palestiniens

Selon un récent sondage, 10% des personnes accepteraient de donner le Mont du Temple aux Palestiniens alors qu’une majorité écrasante de 83% y sont fermement opposés.

En Israël, le niveau de vie a augmenté de 17,8% depuis 5 ans Avec le taux de 4%, la croissance économique d’Israël est le double de la croissance économique des États-Unis, 2,3 fois plus élevée que la croissance moyenne pour les pays de l’OCDE et 2,5 fois plus élevée et que la moyenne des pays de la zone Euro.

Selon les données de la Banque, depuis 2011, l’économie Israélienne a connu une croissance de 21,6% cumulée, dépassant tous les Etats membres de l’OCDE. Dans son rapport annuel pour l’année 2016, la Banque d’Israël a noté que: - Le produit intérieur brut a atteint un record de 337 milliards de dollars - Israël a atteint un record de 12,4 milliards de dollars d’excédent de sa balance des paiements courants - Le chômage est tombé à 4,8% en 2016 - La dette publique a chute à son plus bas niveau de tous les temps avec 62,8% du PIB - Le nombre d’Israéliens occupant un emploi a atteint un record avec 3,74 millions de personnes - Le PIB par habitant a atteint un sommet historique de 36.800 dollars - La consommation privée a augmenté de 6% et le niveau de vie des Israéliens a augmenté de 5%

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Le rapport a également noté que, depuis 2011, la croissance par habitant a augmenté de 14,2% et la consommation privée a augmenté de 25,2%, le niveau de vie a augmenté de 17,8% depuis 2011.

La croissance par habitant en Israël a augmenté en moyenne de 1,9% au cours de cette période, contre 0,8% aux États-Unis, 1,1% pour les pays de l’OCDE et 1,3% dans l’Union européenne.

Le gouverneur de la Banque d’Israël, Karnit Flug, a présenté ce mercredi son rapport au Premier ministre Benjamin Netanyahu, au Ministre des Finances Moshé Kahlon et au président Reuven Rivlin.

Source: http://koide9enisrael.blogspot.fr

Le mont du Temple est un lieu saint du judaïsme. C’est le site sur lequel se trouvait le Temple de Jérusalem, détruit en 70 par Titus. La partie occidentale des murs monumentaux, bâtis par Hérode pour agrandir le site, est le seul vestige du temple de Jérusalem et constitue le Mur occidental ou mur des Lamentations.

Aujourd’hui, l’esplanade des Mosquées occupe la majeure partie du mont du Temple avec deux monuments majeurs de l’islam: la mosquée al-Aqsa et le dôme du Rocher.

Le mont du Temple forme le premier lieu saint du judaïsme tandis que l’esplanade des Mosquées est le troisième lieu saint de l’islam sunnite, après La Mecque et Médine.

L’appellation arabe en est le « Noble Sanc-

tuaire » et l’appellation hébraïque « mont du Temple ».

L’accès au mont du Temple est régi par un statu-quo affirmé par le général Moshe Dayan en 1967 lors de la conquête de la vieille ville de Jérusalem par les Israéliens en 1967, confirmé dans le traité de paix israélo-jordanien de 1994 et interdisant aux juifs de venir prier sur le mont du Temple.

De plus, le Grand-Rabbinat d’Israël a interdit l’accès au mont du Temple à toute personne se réclamant du judaïsme de peur qu’il ne foule par ignorance le Saint des Saints.

Le mont du Temple se situe dans la vieille ville de Jérusalem à Jérusalem-Est, revendiquée par l’État de Palestine comme sa capitale, annexée et administrée par l’État d’Israël qui a proclamé Jérusalem capitale « réunifiée et indivisible » en 1980. Son administration religieuse a cependant été confiée au Waqf, une fondation religieuse sous juridiction jordanienne.

À LA UNE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

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Poutine en alerte. En Israël les juifs Russes choqués par l’attentat meurtrier

Tel-Aviv illumine son hôtel de ville aux couleurs de la Russie La très importante communauté juive Russe d’Israël (au moins 1 Million de personnes) est sous le choc après l’attentat d’hier. Le Premier Ministre Netanyahu a présenté ses condoléances au peuple russe. Les autorités russes soupçonnent un attentat suicide commis par un kamikaze lié à l’islamisme radical.

Selon l’AFP :»Une explosion a retenti dans le métro de Saint-Pétersbourg lundi en début d’après-midi, faisant 11 morts et près de 50 blessés. Selon l’agence Interfax, les autorités privilégient la piste d’un attentat suicide.

Que s’est-il passé ?

Aux alentours de 14h40 ce lundi, une explosion dans une rame de métro a retenti entre les deux stations Sennaïa Plochiad et Tekhnologuitcheski Institout. Il s’agit d’une ligne très fréquentée par les habitants de la ville. Les premières images diffusées sur les réseaux sociaux et télévisions russes montraient une rame de métro soufflée, et de nombreux voyageurs tentant de sortir des victimes des décombres au milieu d’un nuage de fumée.

«L’explosion a eu lieu entre deux stations mais le conducteur a pris la bonne décision de continuer sa route jusqu’à la station, ce qui a permis de procéder rapidement à l’évacuation et à l’aide aux victimes», a déclaré dans un communiqué le Comité d’enquête.

«J’ai vu les gens sortir, ils étaient comme sourds, beaucoup se tenaient la tête. Les secours les ont très vite pris en charge», a raconté Galina Stepanova, qui se trouvait sur les lieux.

Peu après, vers 15h, plusieurs médias russes ont indiqué qu’un autre engin explosif avait également été retrouvé et neutralisé dans une autre station de métro. « Dans la station de métro Plochad Vosstaniïa, une bombe artisanale a été découverte et désamorcée à temps », a déclaré dans un communiqué

le Comité antiterroriste cité par les agences russes, précisant que « les services spéciaux étaient sur place ».

Selon l’agence russe Interfax, l’objet explosif découvert contenait 1 kg de TNT et aurait été dissimulé dans un extincteur d’incendie. La totalité des stations du métro ont ensuite été fermées, selon le service de presse du métro cité par l’agence Interfax.

Quel est le bilan ?

Dans un nouveau bilan publié lundi soir, les services antiterroristes ont fait état de 11 morts et 45 blessés hospitalisés, dans un communiqué aux agences russes.

Où en est l’enquête ?

Les autorités russes ont annoncé l’ouverture d’une enquête pour « acte terroriste ». Le Comité d’enquête russe a par ailleurs indiqué que les policiers vont examiner « toutes les autres pistes éventuelles », alors que l’attaque n’a pas encore été revendiquée.

Selon Ren-TV, une chaîne de télévision russe, des caméras de vidéosurveillance ont filmé un terroriste. Sur Twitter, plusieurs médias russes relaient la photo d’un homme présenté comme un suspect.

L’agence Interfax, citant une source proche de l’enquête, indique que l’attaque est imputable à un kamikaze qui a fait exploser une bombe. Ses explosifs étaient dissimulés dans un sac à dos. Selon la même source, le suspect, âgé de 23 ans, est originaire d’Asie centrale et serait lié à l’islam radical. Selon la même source, la police russe estimerait à présent que le même homme aurait également déposé le second engin explosif qui a pu être désamorcé à temps dans une station voisine.

Un autre homme, repéré sur des images de vidéosurveillance s’est par ailleurs présenté aux autorités et leur a dit n’avoir joué aucun rôle dans l’attaque, explique Interfax.

Les autorités russes soupçonnent un attentat suicide commis par un kamikaze lié à l’islamisme radical. Après l’attentat meurtrier du métro de Saint-Pétersbourg, Tel-Aviv a illuminé l’un de ses bâtiments principaux en l’occurrence son hôtel de ville aux couleurs de la Russie.

Un geste symbolique destiné à exprimer la solidarité de l’Etat israélien envers les victimes, leurs proches et le peuple russe.

Le maire de Tel-Aviv, Ron Huldai, a publié un message de solidarité avec la Russie sur son compte Twitter, associant le drapeau israélien et le drapeau russe. (1) Le président russe Vladimir Poutine s’est rendu ce soir sur les lieux de l’explosion survenue à Saint-Pétersbourg ce lundi. Il y a déposé une gerbe de fleurs rouges devant l’entrée de la station Tekhnologuitcheski Institout, où s’est arrêté le train frappé par une explosion.

LE PLUS. Au moins dix personnes ont été tuées et plusieurs autres blessées lundi lors d’une explosion dans le métro de Saint-Pétersbourg.

François Heisbourg est conseiller spécial à la Fondation pour la recherche stratégique depuis 2005. Il est l’auteur de plusieurs livres sur le terrorisme et le renseignement.

Dans son dernier ouvrage, Comment perdre la guerre contre le terrorisme, il souligne les défaillances des autorités françaises en matière de lutte contre le terrorisme. Il a aussi été membre de la Commission du Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale entre 2007 et 2008. Il revient pour 20 Minutes sur l’attentat commis ce lundi dans le métro de Saint-Pétersbourg et détaille les menaces qui planent sur la Russie.

A quel type de terrorisme est confrontée la Russie ?

Le pays fait face à trois types d’attentats.

Il y a d’abord ceux commis par les Tché-

tchènes. Ils avaient déjà ciblé le théâtre de Moscou en 2002, une école à Beslan (Ossétie du Nord) en 2004, ou le métro de Moscou la même année. Il y a aussi les attentats commis par Daesh.

La Russie est menacée notamment par l’émirat du Caucase. L’organisation de l’Etat islamique avait d’ailleurs revendiqué la destruction d’un avion russe au-dessus du Sinaï en octobre 2015. Enfin, la mafia locale a déjà commis, elle aussi, des attentats sur le territoire.

Selon vous, qui s’est attaqué au métro de Saint-Pétersbourg ce lundi ?

Compte tenu du mode opératoire, de la cible, cet attentat relèverait plutôt du terrorisme tchétchène ou djihadiste. Il ne faut pas se précipiter et le mettre sur le compte de Daesh. La piste tchétchène est tout aussi valable. Il faut laisser aux forces de sécurité le temps d’enquêter, d’analyser les explosifs, les détonateurs.

L’acte va peut-être aussi être revendiqué.

Pourquoi Daesh ciblerait-il la Russie ?

L’organisation terroriste estime que la Russie mène la guerre contre les Sunnites.

Lorsqu’elle a fait exploser un avion russe en Egypte, c’est la politique russe au MoyenOrient qui était visée.

Source: (1) https://francais.rt.com

À LA UNE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Le Président de Slovaquie : «Pourquoi ne deviendrais-je pas juif ?»

Le Président de Slovaquie Andrei Kiske, a fait en Israël une déclaration étonnante. Durant un discours il a déclaré : «Quand j’avais 27 ans, je suis parti aux Etats-Unis. Ma femme est restée ici avec les enfants. Comme je ne trouvais pas de travail en tant qu’ingénieur, j’ai travaillé un temps dans une station service.

Mon patron était un juif Ukrainien, j’ai vu alors comment la communauté juive était unie et quand je suis rentré chez moi en Slovaquie, je me suis aussi demandé, pourquoi ne deviendrais-je pas juif ? J’ai vraiment admiré cette communauté et cette rencontre a eu un grand impact dans ma vie, cette communauté est la plus grande source d’inspiration que j’ai reçu.

Lorsque vous avez un problème, vous travaillez avec passion pour trouver une solution, vous travaillez dur et vous savez que vous pouvez le solutionner. Le grand défi de nos jours est de savoir comment faire de nos rêves une réalité.

Que pouvons-nous faire quand nous voyons que le monde devient de plus en plus radicale, de plus en plus dangereux ? Je pense que la réponse est que nous devons nous soutenir ensemble derrière nos valeurs, comme cela est le cas dans votre communauté».

Source Koide9enisrael

Damas accuse Israël de soutenir des groupes terroristes en Syrie Deux semaines après les frappes israéliennes en Syrie, suivies d’une contre-attaque des forces de Bachar el-Assad, Damas accuse l’État hébreux de soutenir des terroristes opérant sur le sol syrien et promet de riposter à nouveau si l’agression se répète.

Damas estime qu’Israël « cherche à soutenir des groupes terroristes » opérant en Syrie et affirme que les frappes de l’aviation israélienne en Syrie sont destinées à les appuyer, a indiqué dans un entretien à Sputnik l’ambassadeur de Syrie en Russie, Riyad Haddad. « Dès qu’Israël voit que les groupes terroristes s’affaiblissent, il intervient immédiatement pour les soutenir », a-t-il assuré. « De ce fait, nous répondrons à chaque

agression de la part d’Israël, comme cela a été récemment le cas quand nous avons riposté en détruisant un avion et en en frappant un autre. Nous le ferons à chaque fois qu’une tentative de ce type se répètera », a poursuivi l’ambassadeur.

L’aviation israélienne a mené fin mars un raid aérien en Syrie contre un transfert d’armes destinées, selon Israël, au Hezbollah libanais. Cette attaque a provoqué en riposte un tir de missile syrien contre un des avions israéliens. Les militaires syriens affirment avoir abattu l’appareil, ce qu’Israël nie.

Selon l’armée jordanienne, des débris de missiles syriens visant les avions israéliens ayant mené des raids en Syrie ont été découvert sur le territoire de la Jordanie.

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Success Story : L’ORT Daniel Mayer élu meilleur lycée de France !

Débarrassée de son image d’école professionnelle un peu poussiéreuse, l’ORT Daniel Mayer, à Montreuil est devenu la Rolls des lycées sous la houlette de son directeur Isaac Touitou. Une métamorphose qui lui vaut, au dernier classement établi par la presse nationale, le titre convoité de Premier Lycée de France. Une très belle réussite, en forme de vitrine de prestige, source de fierté pour notre communauté…

« Nous sommes, dans le classement édité par L’Express et l’Etudiant, en tête du palmarès des lycées de France. L’ORT Daniel Mayer est donc reconnu comme étant le Premier lycée de France. » Il y a, dans la voix du directeur, Isaac Touitou, autant de fierté que d’humilité, d’émotion que de joie. Des sentiments mêlés qui, toujours, lui font d’abord mettre en avant le talent et l’investissement de ses équipes avant le sien. « C’est une reconnaissance du travail accompli par les équipes pédagogiques, médico-psychologiques, et d’orientation, souligne-t-il.

C’est aussi une formidable vitrine pour le vivre ensemble ». Car si la grande majorité des élèves est issue de la communauté, l’établissement compte un nombre non négligeable de jeunes non juifs inscrits à l’ORT parce que le projet pédagogique est en complète adéquation avec leurs attentes et celles de leurs familles. « Trois critères sont pris en compte pour l’établissement de ce classement, indique encore Isaac Touitou : la qualité des enseignements et les résultats, la capacité à faire progresser les élèves et la capacité à emmener les élèves jusqu’au bac ». Car il faut bien le dire, il y a moins de mérite à sélectionner les meilleurs pour avoir des résultats d’excellence. « Nous misons, à l’ORT sur la bienveillance, explique le directeur. Notre objectif n’est pas d’éliminer les jeunes, mais bien de leur offrir un cadre d’études

qui leur permette de reprendre confiance en eux, et surtout de trouver leur voie. » Un double but qui, manifestement porte ses fruits puisque les statistiques attendues sont bien en deça des excellents résultats de l’ORT. Et les familles l’ont bien compris : « Nous avons, cette année, inscrit un jeune issu du prestigieux lycée parisien, Janson de Sailly » C’est dire si la réputation de l’ORT a changé !

Si le directeur s’en réjouit, c’est d’abord et avant tout pour ses élèves : « C’est une magnifique source de fierté pour eux et c’est un moteur indéniable ! » Convaincu qu’il faut toujours rester à la pointe en matière d’enseignement, l’établissement a fait le choix, pour ses 700 inscrits, de cursus variés misant sur les nouvelles technologies comme sur les évolutions sociales, avec notamment un programme prestigieux ouvrant sur les études commerciales et l’entrepreneuriat. « Il faut toujours se renouveler, précise Isaac Touitou, le monde qui est le nôtre vit en accéléré. L’ORT a fait le choix d’être toujours en alerte sur les nouveaux métiers pour faire de ses élèves de futurs actifs épanouis et accomplis. » Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la mission est remplie…

ORT Daniel Mayer, 43 Rue Raspail, 93100 Montreuil. www.ort.asso.fr Téléphone : 01 49 88 46 50

À LA UNE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Macron «corrigera le vote de l’Unesco» sur Jérusalem s’il est élu

Invité des Amis du Crif, le candidat d’En Marche a évoqué l’Europe, l’Otan mais aussi le conflit israélo-palestinien et la question des implantations

ministre de l’Economie a évoqué le conflit israélo-palestinien, le problème des implantations, et la récente résolution de l’Unesco sur Jérusalem.

Après François Fillon, Emmanuel Macron, le candidat d’En Marche était l’invité, le 22 mars, de la soirée-débat organisée par les Amis du Crif, dans un grand hôtel parisien.

Il a également réaffirmé sa position déjà connue sur le boycott dont il « condamnera toujours les actions ».

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Interrogé par la journaliste Audrey Pulvar et François Clémenceau, rédacteur en chef du Journal du dimanche, Emmanuel Macron a commencé par évoquer les attentats ayant touché Londres quelques heures auparavant, avant d’évoquer son projet européen. « Il faut articuler un véritable projet » pour « une Europe renforcée » avec plus de « collaboration » et de « contrôle aux frontières » a affirmé celui qui se considère comme le « seul candidat de la campagne qui défende l’idée européenne ».

Macron a aussi défini son positionnement hors-parti comme étant « social-démocrate », arguant du fait que « les gens ne se reconnaissent plus dans les schémas actuels ».

Abordant les sujets proches des centres d’intérêts de la communauté juive, l’ancien

« Ma position sur le conflit israélo-palestinien est de participer à la sécurité de l’Etat d’Israël et de ne rien transiger sur ce point, et de rester fidèle à la solution à deux Etats.

Je pense qu’il faut continuer le travail démocratique » a expliqué le candidat d’En Marche qui s’en « remet au droit international pour la question des implantations ». « Pour revenir sur le vote de l’Unesco, je pense que c’est une grave faute historique, » a réaffirmé Emmanuel Macron.

Cette résolution, votée en octobre 2016, condamnée par Irina Bokova elle-même, la directrice de l’ONU alors en exercice, nie tous liens entre Israël et le mont du Temple, ainsi qu’avec la Vieille Ville. « Si je suis président je voterai pour que ce soit corrigé, » a ensuite déclaré Macron, sans que l’on sache s’il sera à l’initiative d’une contre-résolution, ou qu’il votera simplement contre en cas de nouvelle résolution de nature similaire.

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Rencontre à Marseille entre le pro-israélien Estrosi et Macron

Emmanuel Macron s’est entretenu, samedi 1er avril, avec le patron Les Républicains de la région PACA. Christian Estrosi avait rencontré fin 2016 le premier ministre israélien à Jérusalem, avait annoncé le versement d’une subvention de 50.000 euros à une association para gouvernementale.

Estrosi avait également dénoncé “le refus de la France d’engager son véto pour bloquer le vote de le résolution de l’ONU sur Jérusalem”. «Je veux citer ici la phrase du livre d’Esaïe: “Pour Jérusalem, je ne me tairai point”», a lancé Christian Estrosi pour illustrer sa prise de position.

MACRON ET ESTROSI. Cette visite, qui ne figurait pas au programme officiel du candidat d’En Marche!, n’a été discrètement confirmée à la presse que dans la nuit. M. Macron était à Marseille pour un meeting, avant d’assister au match de l’OM, dont il est un fan auto-proclamé.

Persuadé que Marine Le Pen «est sous-évaluée dans les intentions de vote pour le

premier tour» et «qu’elle pourrait gagner l’élection présidentielle», le président LR de la région Paca, Christian Estrosi «regrette que parfois, dans (son) propre camp politique, on finisse par banaliser ce FN si haut».

«S’il est vrai que la part du social a évolué dans le programme de François Fillon, ça ne sert à rien de faire la course à l’échalote sur le terrain du FN en faisant une surenchère excessive en matière de sécurité et d’immigration», assène-t-il.

Un élément est de nature à inquiéter l’exédile niçois: la proximité de son candidat avec Sens Commun (l’émanation politique de la Manif pour tous, ndlr).

«Cela m’inquiète et j’ai eu l’occasion de le dire à François Fillon. Il ne peut pas confier l’organisation de la campagne à la frange la plus radicale de notre famille politique s’il veut rassembler plus d’un Français sur deux. Je respecte cette frange, mais elle est minoritaire. Face au FN, il ne faut pas ressembler, il faut rassembler», conclut-il.

À LA UNE

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Interview exclusive d’EMMANUEL MACRON pour Israël Actualités toyens.

Les terroristes ont, en 2012 et en 2015, ciblé neuf personnes parce qu’elles étaient de confession juive. Mais ils ne s’en sont pas tenus là. Ce qu’ils voulaient détruire, comme ils l’ont aussi fait de façon aveugle le soir du 13 novembre à Paris ou le matin du 22 mars à Bruxelles, c’est un modèle de société, ouverte, démocratique, pluraliste, laïque. En assassinant, de façon ciblée, des Français de confession juive, des militaires supposés de confession musulmane, une jeune policière antillaise, un vieux prêtre catholique, les terroristes veulent nous plonger dans le piège de la distinction identitaire qui assigne les uns et les autres, au contraire de l’appartenance républicaine, qui émancipe de tout essentialisme. En cela, les Français de confession juive, qui ont incarné tout au long du XIXème et du XXème siècle l’intégration républicaine, la valorisation de la laïcité et une relation de confiance à l’Etat, qui ont été ces « Fous de la République » pour reprendre la magnifique expression de Birnbaum, incarnent, au-delà même de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme que véhiculent les discours djihadistes, des cibles particulières.

1/ La communauté Juive suit avec attention cette élection. Elle est citoyenne et a les mêmes questionnements que chaque Français quant aux défis que nous aurons à relever. À ces inquiétudes s’ajoute une dimension particulière liée à une recrudescence des actes antisémites et au traumatisme toujours frais des attentats qui ont visé des Juifs pour ce qu’ils sont.

Comment analysez-vous cette montée de l’antisémitisme ?

La résurgence de l’antisémitisme au cœur de notre société est un défi majeur que personne, quel que soit son sentiment religieux, n’a le droit de minimiser. Les chiffres sont en effet édifiants : depuis 2001, le nombre d’actes antisémites commis en France chaque année est compris entre 390 et 974, alors qu’il était autour de 80 pendant les années 90.

Personne ne doit ignorer ou banaliser qu’en France, pour la première fois depuis l’Occupation, des hommes ont été assassinés uniquement parce qu’ils étaient juifs. Parce que le fait d’être juifs en faisait des cibles, comme Jonathan Sandler, ses fils Gabriel et Arieh et la petite Myriam Monsenego, à Toulouse, comme Yohan Cohen, Philippe Braham, François-Michel Saada et Yoav Hattab, porte de Vincennes. Ou parce qu’ils furent assassinés au nom des clichés antisémites les plus sordides, comme Ilan Halimi. Cette haine, on la retrouve aussi dans l’attaque d’une épicerie à Sarcelles, d’une synagogue à Paris et dans les appels au meurtre proférés dans les rues de Paris en juillet 2014, au cours de journées qui ont constitué, je le crois, un choc terrible

et la prise de conscience collective d’une urgence. Il y a quelques jours encore, ces mots lancés lors de l’agression à Bondy de deux jeunes frères, pointés simplement parce qu’ils portaient une kippa : « sales juifs connards vous allez mourir », avant d’être roués de coup. Il y a des degrés dans la violence, dans l’horreur mais les choses doivent être clairement affirmées : il n’y a pas d’antisémitisme soft, light qui serait celui des mots, que l’on pourrait par faiblesse tolérer, et celui des actes. Tout simplement parce que s’il y a une différence de degré, il n’y a pas de différence de nature.

drame de Toulouse. Ce n’est qu’après le Bataclan, Charlie et l’hyper Cacher que la france semble avoir pris conscience du danger. Partagez-vous l’idée qu’il existe un seul terrorisme ? Celui qui sème la mort partout et aveuglement tant à Paris qu’à Bruxelles, Londres ou Tel Aviv ?

Ces mots qui sont lancés pour marquer, pour blesser, pour stigmatiser, si nous leur laissons le moindre espace, alors nous serons coupables de complicité car ce sont ces mêmes mots qui un jour finissent par armer les bras d’esprits faibles ou pervers.

Je pense en effet que, trop longtemps, nous n’avons pas su prendre la mesure ni des « signaux faibles », ni des drames. Probablement parce que notre communauté nationale se pensait depuis 1945 collectivement prémunie contre la résurgence de l’antisémitisme, qu’un travail patient et sans relâche de mémoire devait tenir éloigné, en particulier de notre jeunesse. Ensuite, parce que nous avons ignoré, quand ce n’est pas excusé, des mots qui pourtant n’ont rien de banal. Il ne saurait y avoir des expressions « ordinaires » de la discrimination et de la haine. Aujourd’hui, et de façon paradoxale puisque les études annuelles montrent que dans leur ensemble les Français sont de plus en plus tolérants, l’air du temps semble de nouveau perméable à la haine.

On a souvent réduit, peut-être par facilité, les expressions de la violence antisémite à la transposition du conflit israélo-palestinien ; si elles s’en sont nourri, il ne faut pas évacuer la réalité plus large d’une diffusion latente d’idées radicales, issues d’une nébuleuse qui pratique la confusion permanente entre israélien, sioniste et juif et use d’accusations de manipulation, de spoliation ou de domination. Cette nébuleuse réunit des extrémistes d’origines diverses et elle bénéficie indéniablement de la diffusion des thèses complotistes sur les réseaux sociaux et de leur audience dans la jeunesse.

2/ Nombreux sont les Juifs qui se sont sentis bien seul Apres l’enlèvement et l’assassinat de Ilan Halimi ou Apres le

Les victimes des terroristes djihadistes sont toutes victimes de la même idéologie mortifère, quel que soit le lieu où ils frappent.

Nous n’avons pas le droit de les hiérarchiser, en considérant que certaines victimes seraient plus « logiques » que d’autres.

C’est aujourd’hui que nous devons réagir, pas demain, sans faiblesse ni tolérance non seulement à ce qui appelle à la haine mais aussi à ce qui stigmatise, à ce qui assigne l’autre à une identité religieuse ou ethnique pour l’exclure de la communauté des ci-

Permettez-moi de citer quelques mots du Grand rabbin de France, Haïm Korsia, concernant la réaction de la France après les attentats de 2015 : « profondément affectée, la Nation a dignement fait face. Le 11 janvier, la société, trop longtemps muette et passive, est sortie de son silence apeuré ou complice, elle s’est massivement levée pour affirmer sa détermination à vivre en fraternité. Ensemble, nous sommes descendus dans les rues partout en France pour dénoncer ces actes odieux et retrouver notre espérance commune : la République. Aujourd’hui, il nous faut agir ! Agir pour lutter, dans un front uni, contre le terrorisme et tous ceux qui instrumentalisent et dévoient la religion pour tuer au nom de Dieu, d’où qu’ils viennent et quels qu’ils soient. Agir, pour ne laisser personne au bord du chemin de la vie. ». Je n’ai rien à ajouter, ni à retrancher à ces mots lumineux.

3/ Comprenez-vous l’inquiétude des Juifs de France ?

Je la comprends évidemment et j’en prends la pleine mesure, avec l’augmentation des chiffres de départ de Français juifs vers Israël, les Etats-Unis, le Canada ou le Royaume-Uni mais aussi avec le phénomène d’« alya interne » particulièrement sensible en Ile-de-France. Mais le constat n’est pas suffisant. Il faut agir pour rendre à toutes ces familles le légitime sentiment de sécurité auquel elles ont droit, comme n’importe quel citoyen français.

Il est important de rappeler qu’en 2015, après la prise d’otages de l’Hyper casher, et surtout en 2016, les actes antisémites ont nettement baissé, avec 335 actes en 2016.

Pour autant, je me refuse à dire « seulement 335 », car il ne faudrait pas croire, à ce niveau-là, le problème résolu. En 2016,

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Interview exclusive d’EMMANUEL MACRON pour Israël Actualités

les chiffres de départs vers Israël ont aussi nettement baissé, cela veut dire que la peur recule. Je m’en réjouis car la France ne peut voir sans réagir ces départs se poursuivre, dès lors qu’ils ne sont pas le fruit d’un vrai projet familial ou personnel. Si la France devait voir ses synagogues devenir toutes des musées, cela voudrait dire que nous aurions trahi l’engagement de Stanislas de Clermont-Tonnerre, celui de « tout accorder » aux juifs de France « en tant qu’individus ». Car la sécurité, c’est la condition préalable à toutes les libertés.

Je veux bien sûr saluer la qualité des dispositifs de protection mis en place autour des synagogues comme des établissements confessionnels et l’engagement des hommes et des femmes qui assurent chaque jour ces missions dans le cadre du plan Vigipirate et de l’opération Sentinelle. Mais il nous faut aussi regarder la réalité de ces chiffres en face : avec encore près d’un acte antisémite par jour, l’antisémitisme est loin d’avoir disparu alors que tous les gouvernements ont agi depuis 15 ans avec détermination pour le combattre.

Il ne peut y avoir durablement des territoires perdus par la République. Je refuse le déni et le silence. Il faut affronter les problèmes, avec courage. Quand je vois l’engagement depuis des années d’un professeur d’histoire comme Iannis Roder, au cœur de la SeineSaint-Denis, et la conviction qu’il met, avec succès, à ne pas laisser les fausses représentations prospérer, je me dis qu’il n’y a pas de fatalité au triomphe des idées de haine 4./Comme vous le savez la communauté Juive est attachée à l’état d’Israël.

Comprenez-vous ce lien ?

Je comprends ce lien qui est d’abord un lien extrêmement concret, charnel puisqu’aujourd’hui la plupart des familles des Français de confession juive ont au moins l’un des leurs qui vit en Israël. Un certain nombre d’entre elles ont également l’un des leurs inhumés en Israël. Il y a également bien sûr un lien historique lié à la diaspora.

Cette histoire diasporique, d’ailleurs, fait de ce qui est aujourd’hui le territoire de la France une des plus anciennes terres d’installation de communautés juives. Il y a ensuite un lien religieux, commémoré chaque

année lors de la fête de Pessah. Il y a enfin un lien qui nourrit l’attachement commun à une identité juive qui ne se définit pas que par la seule religion.

Mais les choses sont très claires pour moi : la question ne se pose pas en termes de fidélité, je ne la perçois pas comme une rivalité d’allégeance, encore moins de loyauté. Je sais que les juifs français sont indéfectiblement liés à la République. La question ne se pose pas non plus pour moi en termes partisans : ce lien particulier à Israël ne signifie pas pour moi un alignement automatique sur les positions du gouvernement israélien, quel qu’il soit.

5/ Depuis quelques années une campagne de delégitimation et de boycott d’Israël est organisée par le BDS Quel est votre avis face à ce boycott ?

Je rappelle tout d’abord que cette campagne a fait l’objet d’une condamnation par la plus haute juridiction de notre pays, puisque la Cour de cassation a considéré qu’elle relevait d’une « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée ». Le droit doit donc être appliqué.

Je sais que cette décision est encore aujourd’hui discutée aussi bien par des juristes que par des acteurs associatifs et il ne s’agit pas en l’espèce pour moi de remettre en cause la capacité de la société civile à se mobiliser activement. Mais je m’interroge sur les actions et mobilisations d’un mouvement qui vont bien plus loin que la seule question des produits fabriqués dans les territoires occupés depuis 1967. Je pense en particulier à une manifestation organisée contre la présence d’une troupe de danseurs israéliens à l’Opéra Garnier il y a un an ou les pressions exercées pour empêcher des artistes de se produire en Israël : derrière BDS, il semble ainsi ne pas toujours y avoir qu’un engagement critique contre la politique menée par un Etat étranger et nous savons que certaines actions ont pu donner lieu à des propos antisémites ou à une délégitimation bien plus globale de l’Etat d’Israël. De la question des frontières de 1967

à l’antisionisme puis à l’antisémitisme, il y a des glissements condamnables. Quand, en 2014, tout en condamnant les propos tenus par Dieudonné, le comité français du BDS écrivait que « l’opération politique anti-Dieudonné du gouvernement français (visait) à ancrer un climat politique marqué à la fois par un racisme islamophobe, anti-roms, anti-immigrés, et par une complicité avouée avec la politique israélienne

», il se place lui-même dans une logique presque complotiste et porte une parole que je ne peux que condamner, pour ce qu’elle dit comme pour ce qu’elle sous-entend. Ce n’est en tout cas pas ainsi que l’on fera, à mes yeux, progresser la cause de la paix entre le peuple israélien et le peuple palestinien.

Propos recuillis par Israël Actualités

Emmanuel Macron en visite en Israël - 2016 (Photos)

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La 20ème Marche pour l’eau du KKL France du 19 au 26 Mars 2017 3 journées de marche à travers le plateau de Golan et 2 journée d’ascension vers Jérusalem. Un voyage inoubliable !!

La traditionnelle Marche pour l’eau du KKL de France a débuté le premier jour du printemps (20/03) en Israël, avec la participation d’une centaine de membres de la communauté juive. Fêtant sa 20ème édition cette année, la Marche rassemblait des amoureux d’Israël venus de toute le France pour une semaine d’excursion dans le pays. Cette année, la Marche s’est déroulée dans deux régions : le Plateau du Golan et Jérusalem.

« En plus des festivités pour le 20ème anniversaire de la Marche pour l’Eau, nous célébrons également cette année les 50 ans de la Guerre des Six jours et de la réunification de Jérusalem », a remarqué Fino Edery, Délégué général du KKL en France. « Au cours de la semaine, nous nous engageons dans un voyage sur les pas des combattants et écoutons des histoires sur la tradition du combat et de l’héroïsme ».

Alors qu’ils allaient entamer le parcours de la rivière Nahal Jilabun et de la cascade Dvora, les marcheurs français ont été accueillis par des dizaines de cigognes actuellement en Israël sur leur route entre l’Afrique et l’Europe. Abandonnant ces beaux et impressionnants migrateurs, ils ont commencé leur marche.

Annie Lachkar d’Aubervilliers qui en est à sa 15ème Marche pour l’eau, n’a pas raté une occasion d’y participé depuis 2003. « Je reviens encore et encore pour Israël, la nature et les gens que je rencontre. J’aime faire des rencontres, j’aime les randonnées et j’aime l’Etat d’Israël, c’est donc pour moi la combinaison parfaite. » Les randonneurs ont longé la rivière sinueuse Nahal Jilabun, admirant la nature verdoyante et en fleurs. En cours de route, ils ont croisé plusieurs groupes de jeunes Israéliens, eux aussi en excursion dans la réserve naturelle. A leur arrivée à la cascade, ils ont pu admirer l’eau qui se déverse violemment du rocher, et n’ont pas oublié de brandir les appareils photos pour immortaliser l’endroit et le moment.

Sabrina Portugais participait pour la première fois à la Marche pour l’eau, elle a expliqué sa motivation : « Je voulais connaître mieux cette région et contribuer même modestement à l’Etat d’Israël », a-t-elle dé-

claré. « J’ai visité Israël par le passé, mais la sensation est complètement différente lorsque vous participez à une délégation de ce genre. » Les randonneurs étaient accompagnés de guides du KKL qui leur ont fourni des explications sur la nature et sur l’histoire de la région. Ils ont goûté aux plantes de moutarde et aux asperges sauvages, et ont été ravis par la variété des couleurs des fleurs printanières qui recouvrent les pentes des montagnes. L’importance stratégique du Plateau du Golan leur a été expliquée ainsi que l’influence des ressources en eau dans les relations entre Israël et ses voisins.

La première journée sur le Plateau du Golan s’est déroulée dans le contexte des informations rendant compte d’une certaine tension à la frontière syrienne suite à des incidents de sécurité. La situation n’a pas eu de retombées sur l’atmosphère pastorale ou sur la bonne humeur des randonneurs, et bien sûr pas non plus sur le paysage de toute beauté et la météo clémente.

Marie Grindel de Paris, participant pour la 17ème fois à la Marche pour l’eau, détient le record de participation. « J’aime découvrir le pays à pied », a-t-elle déclaré. « Israël est un petit mais merveilleux pays, où l’on découvre chaque fois de nouveaux trésors.

Les randonnées sont parfaitement organisées et les guides sont excellents. C’est un vrai bonheur de constater qu’il y a chaque fois plus d’arbres et de sites intéressants entretenus par le KKL.» La prochaine étape était le poste d’observation et site de commémoration de Mitzpe Gadot. Jusqu’à la Guerre des Six jours, l’endroit abritait un poste de l’armée syrienne qui contrôlait la route conduisant au Golan.

Le site commémore la mémoire des combattants de la brigade Golani, tombés au

combat depuis la Guerre des Six Jours et jusqu’à l’opération Paix en Galilée.

Regardant en direction du kibboutz Gadot, les membres de la délégation ont compris la dure réalité de la vie du kibboutz sous les bombardements syriens. Sur le site, sont gravés dans la pierre de basalte, les mots du commandant de la brigade durant la Guerre des Six Jours, Emmanuel Shaked. A la fin des combats pour la conquête de la position, il a dit ceci par radio aux membres du kibboutz qui l’écoutaient enfermés dans les abris : « D’ici, vous semblez beaucoup plus grands ». C’était sa façon d’exprimer son estime pour le courage des membres du kibboutz Gadot. Assis à l’ombre du grand eucalyptus qui se trouve au-dessus du vieux bunker syrien, le guide Michael Gamrasni leur a raconté que c’était l’espion de Damas, Elie Cohen, qui avait recommandé aux commandants de l’armée syrienne de planter cet eucalyptus sur le bunker afin d’offrir de l’ombre aux soldats. C’est ainsi que les pilotes de l’aviation israélienne surent facilement identifier l’emplacement du bunker. « Ces histoires de bravoure m’inspirent et m’emplissent d’admiration », a déclaré « Joëlle Manchion de Marseille. Elle a raconté qu’elle n’avait découvert son judaïsme qu’à l’âge de 50 ans. « Mes parents ont voulu me protéger de l’antisémitisme et ne m’ont pas parlé des origines juives de notre famille.

Aujourd’hui, j’apprends ce que signifie être juive et mes visites en Israël m’aident à renforcer mes racines. » Du sommet du mont Bental, qui s’élève à une hauteur de 1.165 mètres, les membres de la délégation ont pu observer la frontière avec la Syrie. Le poste de Tsahal sur la montagne était l’une des principales positions lors de la Guerre de Yom Kippour. Le poste est devenu aujourd’hui, un site d’histoire militaire.

La délégation est descendue de la montagne pour la Vallée des Larmes, le lieu où se déroula l’un des célèbres combats au cours duquel Tsahal arrêta l’armée syrienne durant la Guerre de Kippour. Yigal Moyal du kibboutz Merom Golan, a raconté au groupe comment les troupes syriennes, qui avaient l’avantage du nombre, ont tenté d’atteindre le Plateau du Golan, mais ont été arrêtées par les tankistes israéliens. Le combat de la Vallée des Larmes est devenu un symbole de la résolution des combattants israéliens face aux forces nombreuses qui les ont attaqués par surprise le jour du Grand Pardon.

Moyal a également décrit l’influence sur Israël de la situation actuelle en Syrie. « Israël a pour principe de ne pas intervenir dans les combats en cours en Syrie, à l’exception des cas où il est question de ses intérêts sécuritaires, et s’efforce de favoriser la stabilité de la région », a-t-il expliqué. « A plusieurs reprise, les sirènes ont retenti et les habitants de la région ont dû regagner les abris, mais dans l’ensemble, nous menons ici une vie tout à fait normale. » La journée s’est achevée par un dîner à l’Ahuzat Dubrovin, une ferme agricole restaurée, fondée en 1884 en plein cœur de la mochava de Yesud HaMa’ala, la première localité juive dans la vallée de la Houla. Les membres de la délégation ont visité le musée et en ont appris plus sur le peuplement dans la région.

C’est ainsi que s’est achevée la première journée de la délégation. Mais ce n’était que le début de cette aventure passionnante en Israël, une aventure qui rapproche des paysages d’Israël, de ses habitants, sa nature, son patrimoine et son histoire.

À LA UNE Samedi 1er avril place du Châtelet se sont réunies une centaine de membres du Collectif Boycott Israël. Ce rassemblement de la haine était à l’origine prévu place Beaubourg, un lieu hautement touristique fortement fréquenté.

Les troupes antisémites du BDS et de la CAPJPO de la détraquée Olivia Zemor, espéraient une fois de plus pouvoir diffuser leur venin en toute impunité.

Grande fut leur surprise de voir que leur manifestation, appelant également « à la séparation du Crif et de l’État», avait mobilisé toute la communauté juive, ses instances représentatives et plus largement tout ceux qui ne pouvaient admettre que dans les rues de Paris on appelle à la Haine des Juifs.

L’ensemble des organisations juives ont aussi interpellé les pouvoirs publics et ce jusqu’au premier ministre.

La Maire de Paris s’étant, elle-même, prononcé contre ce rassemblent à travers un courrier envoyé au préfet.

Une tension et une colère forte ont ainsi envahi l’ensemble de la communauté considérant que cette fois une limite avait été franchie.

Il était notre devoir de citoyen d’exiger le respect de la loi anti boycott et de réclamer

Meyer Habib demande l’interdiction d’une «manifestation de la haine du juif et d’Israël»

Meyer Habib, député de la 8e circonscription des Français de l’étranger, a adressé une lettre au ministre français de l’Intérieur Matthias Fekl pour lui demander d’interdire un rassemblement à Paris en faveur du ‘boycott d’Israël’ et de la ‘séparation du CRIF et de l’Etat’. Il est organisé samedi 1e avril par des associations antisionistes.

Il a notamment écrit : « Alors que nous sommes en état d’urgence, que 250 de nos compatriotes ont été assassinés en un an et demi, que les Français juifs figurent au premier rang des cibles des djihadistes, qu’on a tué à Toulouse et à l’Hyper Cacher au nom de la haine d’Israël, que la société française est plus fracturée que jamais, notre pays ne peut tolérer pareils débordements. Il faut interdire cette manifestation sur le champ, avant qu’il ne soit trop tard ».

Affirmant qu’il s’agissait d’une ‘manifestation de la haine du juif et d’Israël’, il a ajouté : « Il faut interdire cette manifestation car l’antisémitisme aujourd’hui en France se nourrit d’abord de la haine d’Israël. Cette haine se drape dans l’habit politiquement correct du soutien à la cause palestinienne et de la campagne d’appel au boycott dite « BDS ». Il a rappelé dans ce contexte que l’appel au boycott était illégal en France.

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Nous sommes debout l’interdiction de ce rassemblent antisémite.

Pendant près d’une semaine, chaque jour, chaque heure la mobilisation a été forte.

L’appel à la raison auprès des autorités préfectorales et politiques a été tenté !

Malheureusement, force a été de constater que le manque de courage, en cette période électorale, a triomphé. La manifestation des boycotteurs antisémites a bien eu lieu !

Petite victoire cependant, elle fut déplacée place du Châtelet, transformé à cette occasion en bunker protégé par prêt de 1000 policiers.

Pour la première fois près de 200 juifs, ré-

voltés et outrés par la décision de maintenir ce rassemblement raciste, se sont déplacés afin d’exprimer leur soutien à Israel et de demander l’application de la loi !

Ce rassemblement a été celui de juifs français parmi lesquels certains avaient dû marcher longuement pour ne pas transgresser le shabbat et qui avaient l’intention ferme de ne pas laisser la rue aux antisémites.

Ce samedi les autorités préfectorales et politiques, ont je l’espère compris que : Trop c’est Trop !

La vermine antisémite s’est rendue compte qu’elle ne serait plus jamais tranquille !

Une première victoire car les 120 boycotteurs enfermés sur ce terre-plein du Châtelet par les forces de l’ordre et encerclés par 200 Juifs décidés, n’ont pas pu diffuser leur message de haine.

En ces temps où tant de valeurs sont bafouées, restons vigilant et sachons faire respecter nos droits.

Restons unis Bonnes fêtes de Pessah Gil Taieb

À LA UNE

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EDEN funéraire : l’autre voie vers la dernière demeure

Créée par Max Chemla et Yves Elaïc, la société EDEN Funéraire a accompagné, en 3 ans, plus de 400 familles dans l’étape douloureuse du deuil. Aux commandes de l’entreprise, les deux associés n’ont qu’un seul et unique objectif : permettre aux familles qui les sollicitent de vivre la douloureuse épreuve qu’est la perte d’un proche le plus sereinement possible…

L’Union Européenne en Israël fête un succès indéniable

« J’ai commencé à lire des tehilim lors des veillées mortuaires il y a 35 ans, explique d’emblée Max Chemla. C’est en me confrontant à la peine des familles et à leurs besoins immédiats que j’ai compris comment aider les proches d’un défunt à traverser cette difficile étape. Il n’en dira pas plus sur son activité bénévole. Car derrière son rire tonitruant et sa légendaire bonne humeur, Max Chemla qui se décrit lui même comme un « kiffeur professionnel » cache un cœur tendre.

Agacé de voir des familles s’inquiéter de ne pouvoir rendre hommage à leur proche disparu dans de bonnes conditions faute de moyens, il fait le vœu, alors qu’il n’a pas encore 30 ans d’aider dans la mesure du possible tous ceux qui le lui demandent.

Début 2017 a été célébré au théâtre de Jérusalem les 20 ans de l’association d’Israël aux programmes-cadres pour la recherche et le développement technologique de l’Union Européenne, co-organisé par la délégation de l’Union Européenne en Israël et l’ISERD (Israël Europe R&D Directorate).

Ces programmes pluri annuels fonctionnent par appels à projets, par thématiques et associent à chaque fois des chercheurs de plusieurs pays de l’espace européen de la recherche.

Le programme cadre actuel – Horizon 2020 (H2020) – est le programme de recherche le mieux doté du Monde, avec 75 milliards d’euros sur 7 ans, de 2014 à 2020.

L’ensemble des lauréats israéliens d’H2020 ont été distingués lors de la cérémonie. Depuis qu’Israël s’est associée en 1996 aux programmes-cadres, 3000 projets soumis par des structures israéliennes ont été financés, impliquant 4400 professionnels de la recherche – des chercheurs venant pour deux tiers d’entre eux de l’académie et un tiers de l’industrie.

Ainsi, au total, l’ensemble des financements obtenus par les structures israéliennes s’élèvent à 1.7 milliards d’euros pour un investissement total de 1.375 milliard d’euros.

Dans le cadre d’H2020, les chercheurs français sont les deuxièmes partenaires des israéliens, après les Allemands.

En plus de 3 décennies de mitsvot, il a parcouru la France de long en large (à ses frais) pour venir en aide à ceux que la mort avait éprouvés en leur prenant un proche. Et lire les tehilims bénévolement. Il y a trois ans, il a eu l’envie et l’idée, comme son associé, Yves Elaïc, de créer Eden Funéraire, entreprise installée près de Sarcelles, en région parisienne, pour approfondir l’accompagnement des familles : « respect des volontés des défunts, gestion administrative,

transfert des corps en Israël, quelle que soit la demande, l’urgence ou le besoin, notre seul souci est d’être à l’écoute. Lorsqu’une personne vient m’embrasser après l’enterrement d’un de ses proches, en me disant qu’elle a désormais l’impression que je fais partie de la famille, je me dis que ma mission a correctement été accomplie. » Max s’occupe, avec le dévouement et l’énergie qui le caractérisent de tout l’aspect spirituel des obsèques. Son associé, Yves Elaïc, est lui un professionnel rigoureux, en charge de l’aspect administratif. « Moyens modestes, formalités à remplir, comptes bloqués par l’Etat pour cause de décès, tous ces inconvénients liés au deuil, nous savons les prendre en charge, nous avons l’habitude de les gérer. Notre premier souci n’est pas la rentabilité, mais bien la sérénité de la famille qui est dans la peine, souligne encore Max Chemla. La mort, comme la naissance est une étape de la vie. Une âme juive qui s’en va, c’est comme un Sefer Torah qui brûle, il faut l’aider à rejoindre sa dernière demeure… » Eden Funéraire 60 Rue de Paris 95350 Saint-Brice-sous-Forêt Téléphone : 09 84 49 55 26

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Le Nicaragua et Israël ont rétabli leurs relations diplomatiques

Le Nicaragua et Israël ont rétabli leurs relations diplomatiques, suspendues depuis 2010, a annoncé aujourd’hui le Nicaragua, précisant que la décision était effective immédiatement.

“Les deux gouvernements accordent une grande importance au renouvellement des relations en vue de promouvoir une action conjointe pour la prospérité des deux peuples et pour contribuer à la lutte pour la paix dans le monde”, a déclaré dans

un communiqué le ministère des Affaires étrangères du Nicaragua.

Le président du Nicaragua, Daniel Ortega, a suspendu en 2010 les relations diplomatiques avec Israël après l’épisode de la flottille “Free Gaza”, où des bateaux de militants pro-palestiniens ont été pris pour cible en haute mer par des commandos israéliens.

Reuters

Coopération Cameroun-Israël : relance économique

Une importante mission agro-économique camerounaise va séjourner en Israël du 4 au 14 juin prochain. L’objectif

de cette visite destinée aux hommes d’affaires, membres du parlement, maires, ingénieurs en agriculture et vétérinaires, c’est de découvrir les modèles d’une agriculture développée, les énergies renouvelables et hydrauliques afin d’établir des partenariats entre hommes d’affaires camerounais et israéliens et exploiter les projets économiques bénéfiques pour les deux pays.

David Illouz

Pourquoi Jérusalem lorgne à nouveau du côté de la Suisse

Vingt ans après le centenaire de la fondation du sionisme dans la cité rhénane, Jérusalem lorgne à nouveau du côté de la Suisse pour célébrer le mouvement à l’origine de la création de l’Etat d’Israël.

Israël fait durer le suspense. Son premier ministre Benyamin Netanyahou pourrait se rendre en août à Bâle, où le congrès sioniste mondial songe à commémorer les 120 ans de la création du mouvement à l’origine de la création de l’Etat d’Israël.

David Illouz

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Un accord de libre-échange Israël-Vietnam pour bientôt

Israël et le Vietnam ont convenu d’exploiter au maximum les potentiels et la complémentarité de l’économie des deux pays et de parvenir à un équilibre de la balance commerciale. Ils se sont fixés trois milliards de dollars de commerce bilatéral dans les années prochaines.

le rôle important de la coopération dans le maintien de la paix et de la stabilité dans le monde.

Lors de rencontres les israéliens et vietnamiens se sont engagées à accélérer les négociations sur un accord de libre-échange, à favoriser la coopération entre leurs entreprises, et à impulser les investissements dans l’agriculture, les hautes technologies, la formation des ressources humaines, les technologies de l’information, l’électronique, les communications et le traitement de l’eau potable.

Durant son séjour au Vietnam, Reuven Rivlin a posé une couronne de fleurs au Mémorial des héros morts pour la Patrie et rendu hommage au Président Hô Chi Minh en son mausolée, à Hanoï.

Les deux parties ont également avancé des mesures pour renforcer les liens dans la sécurité et la défense, la culture, l’éducation et la formation, le tourisme, et la coopération décentralisée.

Elles ont échangé sur des problèmes en Mer Orientale, au Moyen-Orient, ainsi que sur des dossiers internationaux, soulignant

Le président israélien a promis d’aider le Vietnam à assainir les zones contaminées par l’agent orange/dioxine.

Il a également assisté aux Forums d’entreprises Vietnam-Israël, de l’industrie de défense Vietnam-Israël, à la cérémonie de signature d’un projet de coopération entre la Compagnie d’actions TalentPool Vietnam et l’Association des centres pour le développement de la communauté israélienne.

Le dirigeant israélien a aussi visité le projet agricole VinEco Tam Dao du groupe Vingroup, situé dans le district de Binh Xuyên de la province de Vinh Phuc (Nord), et s’est rendu dans la province de Quang Ninh (Nord) et à Hô Chi Minh-Ville.

Pourquoi disent-ils «Merci à Israël» ?

Les ouvriers de Fukushima et Tchernobyl

La startup israélienne StemRad a réalisé des ceintures de protection contre la radioactivité pour les ouvriers de Fukushima et de Tchernobyl. Cette startup israélienne teste à présent des vestes destinées à protéger les astronautes contre les radiations nocives dans l’es-

pace.

Les vestes „AstroRad“ faites sur mesure seront portées par des astronautes de la NASA pour leur voyage sur Mars prévu, d’après l’agence spatiale américaine, pour la mi 2030.

À LA UNE

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Israël: le vote de l’ONU fin 2016 Israël: Jarre en concert pour la sur les colonies, lettre morte mer Morte et contre «tous les

Trump du monde»

Trois mois après une résolution historique de l’ONU condamnant les colonies israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés, les experts redoutent que le texte n’ait aucun effet alors qu’Israël va établir une nouvelle colonie pour la première fois en plus de 25 ans.

La résolution 2334, adoptée en décembre grâce à l?abstention des Etats-Unis, n’a pas contribué à mettre fin à la construction dans les colonies.

De nouveaux projets ont été annoncés par des responsables israéliens dans les semaines qui ont suivi. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a même été plus loin en annonçant jeudi la création d’une nouvelle colonie en Cisjordanie, territoire palestinien occupé depuis 50 ans par l’armée israélienne. Une décision qu’aucun gouvernement n’avait osé prendre depuis 1991.

Le texte de l’ONU est également dans le collimateur de la nouvelle administration américaine de Donald Trump qui y voit la preuve qu’Israël serait injustement visé par l’ONU. Pour certains diplomates, comme le formule l’un d’eux, cette résolution a été «une tempête dans un verre d’eau».

Trop tard Le texte a été adopté dans les derniers jours de la présidence de Barack Obama qui avait accepté de ne pas utiliser son droit de veto au Conseil de sécurité, donnant le feu vert à la première résolution du Conseil condamnant les colonies depuis 1979. M. Trump, lui, avait plaidé pour opposer ce veto.

L’Etat hébreu a annoncé depuis janvier des plans pour la construction de plus de 6.000 logements en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, partie palestinienne de la Ville sainte, annexée par Israël.

Alors que les avertissements se multiplient sur le fait que l’expansion des colonies érode les espoirs de créer un Etat palestinien, l’ambassadrice américaine à l’ONU Nikki Haley a estimé que «les jours où l’on malmenait Israël sont terminés».

Pour la communauté internationale, les colonies, illégales, sont le principal obstacle à la paix car elles sont construites sur les

terres même où les Palestiniens envisagent d’établir leur Etat.

Après avoir accordé un soutien public à Israël, Donald Trump a appelé le gouvernement Netanyahu à la «retenue sur les colonies» pour permettre aux Etats-Unis de tenter de relancer les négociations de paix au point mort.

Depuis, ce gouvernement, considéré comme le plus à droite de l’histoire d’Israël, négocie avec la Maison Blanche des arrangements qui permettraient de poursuivre les constructions dans les colonies sans se mettre à dos l’administration Trump.

Robert Serry, coordinateur spécial des Nations unies pour le processus de paix jusqu’en 2014, a estimé que la résolution arrivait «trop tard», à la fin du mandat d’Obama. Si son administration ne lui avait pas opposé un veto en 2012, elle aurait permis alors de faire pression sur Israël, a-t-il ajouté à l’AFP. Marquer le coup Alan Baker, ancien diplomate israélien de haut rang, estime que les actions menées par Israël ôtent sa pertinence à la résolution.

«Obama était en fin de course et s’est dit qu’il pouvait se lâcher. Maintenant, ce sont ceux qui critiquent Israël qui doivent se retenir», affirme-t-il.

Le 24 mars, l’actuel envoyé de l’ONU au Moyen-Orient Nickolay Mladenov a accusé Israël de n’avoir pris «aucune mesure» pour se conformer à la résolution.

Mais l’annonce par Donald Trump de sa volonté de réduire la contribution américaine aux Nations unies limite la marge de man?uvre du secrétaire général de l’ONU Antonio Gutteres, estime M. Serry. «Cette situation peut porter atteinte au fonctionnement même des Nations unies», prévient-il.

Le vote de la résolution, même non appliquée, est malgré tout positif pour certains.

«Nous savions tous qu’elle n’aurait aucune conséquence concrète. Il s’agissait avant tout de marquer le coup», estime un diplomate européen.

«Désormais, nous n’avons plus à nous référer à des résolutions des années 1980 mais à quelque chose datant de 2016».

Jean-Michel Jarre a choisi la monumentale citadelle de Massada, en Israël, pour toile de fond d’un concert destiné à alerter sur le danger couru par la mer Morte et, au-delà, à «résister» aux politiques de Donald Trump en matière d’environnement.

Jeudi soir et jusqu’à l’aube, le pape de l’électro grand public cherchera à éveiller les consciences à «l’urgence de sauver la mer Morte», dit-il dans un entretien accordé à l’AFP. Le lac salé partagé entre Israël, la Jordanie et les Territoires palestiniens baisse de plus d’un mètre tous les ans. A ce rythme, l’une des grandes merveilles de la nature pourrait avoir disparu d’ici à 2050, s’alarment les experts.

L’assèchement a commencé dans les années 60 avec l’exploitation économique par les pays riverains des eaux du Jourdain, principale source d’approvisionnement de la mer Morte.

Jean-Michel Jarre, ambassadeur de bonne volonté de l’Unesco, veut «faire prendre conscience au monde» du péril. L?allure juvénile malgré ses 68 ans, il évoque l’oxygène manquant à la mer Morte, allusion à son album le plus connu, «Oxygène».

Il a choisi l’un des sites les plus remarquables de la région, au pied de la citadelle de Massada, haut lieu de la mémoire juive juché au sommet d’un plateau rocheux et dominant la mer Morte et le désert environnant.

Selon l’historien Flavius Josèphe, contemporain de la chute de la forteresse, les 960 zélotes juifs assiégés par les légions romaines en l’an 73 après J.-C. ont préféré se suicider collectivement plutôt que de se rendre.

Le site de Massada a été inscrit en 2002 au patrimoine mondial par l’Unesco.

«Je veux que la mer Morte, comme Massada, fasse partie du patrimoine mondial de l’Unesco», dit Jean-Michel Jarre, venu surveiller les travaux de construction de la scène et des tribunes avant d’entamer les répétitions.

«Cette région appartient à l’humanité... ça nous concerne tous sur le plan de l’humain, nous devons faire le maximum pour préserver cet endroit», ajoute le musicien.

«Toucher le plus grand nombre» Jean-Michel Jarre, très prolifique avec trois albums en un an et demi, est un habitué des super-productions musicales en extérieur mêlant musique électronique, jeux de laser et pyrotechnie. Il avait rassemblé 2,5 millions de personnes lors d’un concert à Paris à l’occasion de la fête nationale en 1990, puis 3,5 millions à Moscou en 1997.

Quatre fois record Guinness du nombre de spectateurs, il a voulu cette fois un spectacle «intime», précisément par respect pour l’environnement.

Seules 10.000 places sont disponibles. Elles se sont vendues dans le monde entier, entre 120 à 720 euros, dit la directrice artistique israélienne du spectacle Alessandra Juran, qui va réaliser le film du concert, destiné à être diffusé courant 2017 sur la toile.

Jean-Michel Jarre compte en effet «toucher le plus grand nombre possible de gens», car il regarde au-delà des rives desséchées de la mer Morte.

«Pour moi, la raison d’être de ce projet est de faire prendre conscience au plus grand nombre de l’urgence de s’occuper de la terre dans son ensemble», déclare-t-il.

«Ce concert contribuera, je l’espère, à organiser la résistance contre tous les Trump du monde», déclare-t-il, inquiet du désintérêt du président américain pour l’écologie.

Depuis son investiture, M. Trump a donné son feu vert à la construction de l’oléoduc controversé Keystone XL, auquel son prédécesseur Barack Obama avait mis son veto au nom de la lutte contre le réchauffement.

Il a déposé un projet de budget sabrant dans la quasi-totalité des fonds alloués à ce combat. Il vient de signer un décret pour le renouveau de l’industrie du charbon.

Le programme de Jean-Michel Jarre est composé de performances de DJ et musiciens français et israéliens, avec deux participations du compositeur lui-même, le concert devant se terminer au lever du soleil vendredi.

«Nous allons utiliser les moyens les plus modernes dans ce domaine pour ce spectacle qui va être festif pour les personnes présentes et pour ceux qui le verront en différé ou dans le film», promet-il.

AFP

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Bob Dylan a enfin reçu à Stockholm son prix Nobel

Enfin, le Nobel de littérature a été remis à son lauréat surprise d’octobre dernier.

Après des mois de suspense, Bob Dylan a finalement reçu samedi à Stockholm son prix lors d’une rencontre à huis clos avec les académiciens suédois qui l’ont distingué pour sa poésie.

Le 13 Mai : Israël se prépare pour le «Houmous Day»

mus – faite par Sabra Tremper Société et détenue conjointement par PepsiCo et le Groupe Strauss basé à Tel Aviv – comme son sponsor officiel. Le houmous, bien sûr, peut être consommé tous les jours, et surtout lors de la Journée internationale houmous, le 13 mai.

Un discours chanté ?

Circonstances mystérieuses

La remise du prix a eu lieu dans un lieu tenu secret avant le concert qu’a ensuite donné Bod Dylan dans la soirée à Stockholm, où il doit en donner un second dimanche.

Le chanteur n’a pas fait de discours de réception – qui peut aussi être une chanson -, préalable indispensable à la remise du confortable chèque (huit millions de couronnes, 838.000 euros) accompagnant le prix Nobel. Tout lauréat doit en effet rendre sa « leçon Nobel » dans les six mois suivant la cérémonie de remise du prix le 10 décembre, soit avant le 10 juin.

La médaille en or et le diplôme attribués à Bob Dylan en octobre lui ont été remis lors d’une « cérémonie privée à Stockholm », sans médias ni public à sa demande, à laquelle ont assisté 12 membres de l’Académie, a écrit samedi soir sur son blog la secrétaire perpétuelle de l’Académie suédoise, Sara Danius.

« Aucun discours Nobel ne sera prononcé.

L’Académie a de bonnes raisons de penser qu’une version enregistrée (du discours) sera envoyée à une date ultérieure », avaitelle ajouté. Car sans leçon, pas de cachet : le chèque de huit millions de couronnes (838.000 euros) n’est signé et remis que si la leçon a été donnée.

« L’humeur était bonne. Du champagne a été bu », a-t-elle confié. « Un moment conséquent a été passé à regarder la médaille en or de près, en particulier son revers magnifiquement ouvragé, l’image d’un jeune homme assis sous un laurier qui écoute les muses ».

Bob Dylan doit donner deux concerts dans la capitale suédoise, samedi et dimanche, coup d’envoi d’une tournée européenne à l’occasion de la sortie de son nouvel opus, un triple album de reprises de Frank Sinatra.

Thomas Mann, Albert Camus, Samuel Beckett, Gabriel Garcia Marquez ou Doris Lessing : à 75 ans, il est le premier chanteur à rejoindre les hommes et les femmes de lettres canonisés par l’Académie suédoise depuis 1901.

Le houmous, purée de pois chiches très nutritive, est le plus plat le plus populaire au Proche Orient, avec de légères différences dans sa préparation selon qu’elle est faite au Liban, Syrie, Irak, Jordanie, Egypte, Iran ou Israël. La ligue NFL (1) avait ily a quatre ans choisi le Sabra hum-

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Source: http://www.20minutes.fr

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Plus de 25 délégations d’Europe en Israël en 2016. Pourquoi ?

Yoram Cohen a passé plus de trente ans au Shin Beth, l’agence de sécurité intérieure et de contre-espionnage d’Israël.

Il a dirigé ses services en Cisjordanie occupée, puis la division du contre-­terrorisme arabo-musulman avant d’être nommé grand patron de l’organisation par Benyamin ­Netanyahou de 2011 à 2016.

Resté muet toutes ces années, le voici désormais, à 57 ans, qui met ses compétences au service des métropoles et collectivités affectées par le terrorisme. “Il faut savoir rester modeste sur ce terrain car on parle de vie et de mort”, confie Yoram Cohen le visage grave. L’homme est religieux et père de cinq enfants.

“Au pic des attaques terroristes en 2002, nous avons déjoué 80% des attentats, mais cela n’a pas empêché une cinquantaine de projets meurtriers de réussir et qui ont fait 452 morts au cours de la deuxième Intifada.

Mais entre 2005 et jusqu’à aujourd’hui, ce chiffre a été ramené à une trentaine de morts par an en moyenne et nous avons pu arrêter près d’une cinquantaine de kamikazes avant qu’ils ne passent à l’acte.”

Le combat préventif Pas si simple de mettre en parallèle le terrorisme qui frappe Israël dans le conflit territorial et national qui l’oppose aux Palestiniens et la barbarie dont fait preuve Daech, d’abord au sein même des populations musulmanes du Levant puis vis-à-vis des “croisés” d’un Occident que les djihadistes abhorrent.

Sauf que les techniques utilisées se ressemblent. Bien que les officiels israéliens plaident pour mettre dans un même sac Daech, Al-Qaida, le Hezbollah, le Hamas et toute autre organisation islamiste violente, est-il possible pour les Français, les Britanniques ou les Allemands d’utiliser les mêmes techniques qu’Israël contre le terrorisme?

“Réussir dans ce combat, c’est être proactif, prendre les devants et, concrètement, identifier celui ou ceux qui vont attaquer avant qu’ils ne passent à l’acte”, explique Yoram Cohen. Jusqu’où aller dans ce combat préventif? C’est là où les législateurs sont des plus regardants.

Pas étonnant que, au cours de la seule année 2016, 25 délégations de parlementaires et d’experts européens se soient rendus en Israël pour comparer les arsenaux législatifs et les passer au peigne fin de la constitutionnalité.

“L’antiterrorisme, c’est de la chirurgie de pointe qui permet de repousser les limites pour qu’on puisse deviner les comportements suspicieux avant qu’ils ne se déchaînent en attaques meurtrières, plaide l’ancien patron du Shin Beth. La surveillance classique doit être aidée par de la surveillance électronique et du renseignement humain mais utiliser aussi au mieux les nouvelles sciences de l’exploration et du croisement de données.”

Source: JDD (Copyrights)

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Fourniture de gaz: quand les pays se disputent Israël!

La signature lundi d’un protocole d’accord entre Israël, Chypre, la Grèce, l’Italie et l’Union européenne pour la construction d’un gazoduc ne fait pas que des heureux. Au lendemain de cet accord historique, le vice-ministre turc de l’Energie arrive « en catastrophe » en Israël pour s’entretenir avec le ministre israélien des Infrastructures nationales, de l’Energie et de l’Eau Youval Steinitz.

La raison de cette visite-éclair est simple: lors des accords de normalisation entre Jérusalem et Ankara, il a notamment été question de la fourniture de gaz naturel israélien à la Turquie ainsi que de la construction d’un gazoduc au départ d’Israël qui passerait par la Turquie pour acheminer du gaz israélien vers l’Europe.

Les deux projets ne sont pas incompatibles et sont prévus pour être mis en oeuvre parallèlement. Mais suite à la signature de l’accord Israël-Chypre-Grèce-Italie-UE, Ankara craint désormais que ce projet signé en Israël ne se fasse au détriment de celui prévu entre Israël et la Turquie.

Ce sont des assurances sur cette question que vient chercher mardi en Israël le vice-ministre turc de l’Energie et des ressources naturelles.

Israël désormais courtisé, un exemple de l’évolution prodigieuse de sa position géopolitique grâce aux découvertes des gisements de gaz.

Le rappeur israélien Yoav Eliassi (Hatzel) vante une marque de chocolat. Pouquoi donc?

Attentat de la Vieille Ville : deux prédicateurs musulmans arrêtés Après un article de Rogel Alper dans le Haaretz contre la marque de chocolat à tartiner « HaShah’ar HaoOleh », son Pdg Moshé Weidberg a tenu à remercier la population du pays pour sa réaction de soutien massif.

Deux prédicateurs musulmans de la mosquée al Aqsa ont été arrêtés dans le cadre de l’enquête sur l’attentat au couteau perpétré vendredi soir dans la Vieille Ville de Jérusalem. Mais pour l’instant, on n’en sait pas davantage, le tribunal d’instance ayant interdit toute diffusion

d’information sur ce dossier. Dans cette attaque perpétrée par un terroriste de 17 ans habitant la région de Shehem, deux civils et un garde-frontière israéliens ont été légèrement blessés. Les forces de sécurité, qui se trouvaient sur place, ont abattu l’assaillant.

Le journaliste avait dénoncé cette entreprise du fait que “son Pdg aide financièrement chaque année des localités juives de Judée-Samarie”. Il avait appelé la population à boycotter ce produit mais a obtenu l’effet inverse.

De nombreux citoyens ont annoncé dans les réseaux sociaux qu’ils comptent acheter ce produit, et pour ceux qui en consommaient déjà, à augmenter leur consommation.

Exemple symbolique, le rappeur Yoav Eliassi, dit « Ha-tzel » a indiqué avoir acheté une quantité énorme de pots afin de les distribuer à des familles modestes à l’occasion de la fête de Pessah’.

Moshé Weidberg a indiqué que grâce à une nouvelle campagne publicitaire alliée à la réaction spontanée des citoyens, les fabriques de pots de chocolat à tartiner « Shah’ar Oleh » tournent à plein régime.

Il a exprimé « son émotion face à l’amour exprimé par la population et aux réactions des consommateurs après cet appel au boycott ».

Source: http://www.lphinfo.com

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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza

Ces élections ont le tournis. Qui trahit qui ?

Qui est avec qui ? Une ronde sans alliance, une guerre ouverte entre chacun des postulants, pas de contact hors des prises de parole par meetings interposés, les réponses, les traits fracassants, critique pure, des reproches, des rancœurs, des incertitudes, des trahisons, il est question d’honneur, à qui sera le meilleur, convaincre amère illusion, chacun pour soi, une dynamique du rassemblement particulièrement douteuse. Les médias changent leur langage en fonction des sondages, éviter à tout prix d’être dans le collimateur du futur président. Car chaque médias roule pour un candidat, adieu l’objectivité du propos, une censure qui ne ménage aucun des candidats mais dans cette déferlante du choix, tant de mensonge, tant de parti pris. Les hebdomadaires sont loin d’être neutres, la tendance fait la « UNE ». Les quotidiens sont sur le pied de guerre, prendre le cœur de cette agitation en faire l’analyse d’une information qui ne s’arrête pas, jour après jour, il faut trouver le bon éditorialiste, construire le journal, équilibrer la frénésie des contraires, donner une cohérence à tout cela et le vendre. Tous, à la manœuvre pour surprendre l’électorat, surenchère acharnée, créer le buzz au quotidien à longueur de slogan et de l’ironie, se moquer de l’autre, la phrase clé, le petit truc tueur, déstabilisateur, une sorte de foire d’empoigne impitoyable pour cette présidence tant convoitée. Une belle bataille en perspective, plus de la moitié des électeurs ne se sont pas encore décidés. Jusqu’à la fin de cette campagne inédite et malsaine, le danger nous guette, la confrontation des extrêmes fait parti d’un scénario du possible. L’urne fatale disait François Fillon, le geste réfléchi, la conscience en balance, tous les postulants n’ont pas la conscience tranquille, la justice a ses préférés, la justice borgne, s’amuse en ces temps ou les frondeurs ont massa-

cré le socialisme, créant une scission nationale face à un risque majeur. En fait, la fracture dont on parle a débuté le jour de l’élection de François Hollande. L’attaque à l’égard de François Fillon, « l’affaire » ou le « Pénélopegate » vrai ou faux, qu’en savons-nous ? On sent à l’évidence que par une charge si violente cette attaque avait été concertée, réfléchie et bien menée, ça ne peut être le hasard. Je n’en fais pas une affaire personnelle, peut être dérangeait il le système ? Quel système ? Il y a surement un « bémol » dans son parcours, une incivilité financière, comme tant d’autres, cela ne l’excuse pas bien qu’il en dénie les faits et à preuve du contraire » il est présumé innocent ». L’invisibilité de la classe politique sous ses dehors de respectabilité est à voir comme une « image d’Epinal » tout beau, tout propre, mais le fond est tordu. O combien de parlementaires, combien de ministres, combien de ténors politiques seraient ils répréhensibles d’une malversation coupable. Le choix des victimes est une loterie, je ne crois pas au hasard à ce niveau.

Cela reste un mystère, une sorte d’un à peu prêt discutable, tout est une question de sémantique, d’audimat et d’importance stratégique. Nous le savons tous aujourd’hui, le voile céleste se lève sur les différents avatars de nos bouillonnants politiques, reproche t’on à Mitterrand sa double vie, le silence sur sa maladie, la suite est un long feuilleton : mais dans un constat de réalité loin d’être virtuel, les amis de François Mitterrand, ses proches, la presse, tous étaient parait il au courant.

Le silence médiatique, une lâcheté républicaine qui aurait mérité un procès, une censure d’état, normal, non, c’est se moquer du peuple, le considérer en quantité négligeable voire inexistant. Il a représenté une gauche bourgeoise dite « gauche caviar » et ils étaient socialistes loin du besoin mais sur une carte

de visite ça faisait très bien. Combien des 50 % de français ayant agréé son élection se reconnaissent dans ce qualificatif ? Le coiffeur de François Hollande, non moins ridicule et discutable, un outrage à la République. J’en passe, les président autant que le pouvoir ont su profiter du système, des exceptions certes, mais ces Saint Just de la tolérance zéro, ou sont ils ? La France, grand pays démocratique, exemplaire dans sa morale constitutionnelle s’apparente sur bien des cas aux agissements d’une « république bananière ». Le résultat, nous avons Benoit Hamon le postulant qui veut « faire battre le cœur de la France », la mauvaise donne, le nouveau visage officiel du socialisme sorti gagnant des primaires d’une gauche en mal de survie ne fait pas le plein.

S’adressant à la représente du FN, « vous êtes une droguée des faits divers ? Elle lui répond » L’islamiste n’est pas un fait divers ! ».

Chacun sa priorité politique, J.L Mélenchon, l’homme de la France insoumise dont le seul programme est la véhémence de ses discours, le bateleur de foire, l’homme du verbe et de la parole inutile, à grands fracas de gesticulation, faire croire que le mouvement a de l’avenir. Il ne vit que pour la claque populaire, les applaudissements du public, les « oh » d’indignation, de corps avec son électorat mais pas de cœur, il roule pour lui, il jubile, sans modestie, il s’aime plus qu’il n’aime le peuple. Sa dernière partition publique ! A-t-il un programme ? Oui, une 6 iéme République. Démagogie, exagération, de l’impossible mais il triomphe avec 16 % de votants en sa faveur, dépassant un Benoit Hamon, pourtant le représentant officiel du PS, et s’approchant d’un François Fillon tête d’affiche d’une droite éreintée par les affaires qui entourent son leader.

Emmanuel Macron, le petit dernier, le « chouchou » des médias et des ex ministres de François Hollande, » suivez mon panache blanc », semble t’il dire aux Français, ralliement de Manuel Valls qui sème le chaos dans le camp

socialiste, choix critiqué, normal, il a un parcours de premier de la classe que déjà le doute grandit sur son projet économique, critique absolue cela fait parti de la normalité électoraliste, c’est mauvais chez les autres hormis chez lui : un peu de décence. Les ralliements nombreux de personnalité peuvent s’expliquer par le fait que mieux placé pour l’élection, les soutiens de premier plan auraient une chance d’être dans son gouvernement. Il faut rester dans le circuit. A ne pas négliger cette vérité faite d’ambition, adoubé par l’ancienne classe politique à l’espoir d’un poste de ministre. De fortes chances pour que cela se produise.

On a peu parlé d’antisémitisme, un peu du BDS, Israël, sa sécurité, deux états, l’UNESCO, du rabâchage sémantique, puisque l’électorat juif représente peu mais il existe. L’antisémitisme, pas de vraie réponse, mais une raison de s’en inquiéter. Une manifestation sous l’étiquette du CAPJPO Euro Palestine (coordination des appels pour une paix juste au Proche Orient), regroupant le collectif BDS, le PIR (indigène s de la République) qui lutte contre l’oppression du peuple Palestinien depuis 70 ans et fer de lance du BDS dont il est l’initiateur. Ce mouvement appelle à une manifestation publique sur le thème qu’il privilégie l’antisionisme pour ne pas dire antisémite, contraire aux valeurs défendues par la France. Malgré le risque de débordements dangereux, la Préfecture de Police a accepté le droit à cette association de se rassembler et qu’exprimer des opinions constitue une liberté fondamentale. La Maire de Paris, Mme Hidalgo redoutant un rassemblement antisémite en a fait part à la Préfecture de Police, et en a demandé son interdiction ,après examen particulièrement attentif ne l’a pas interdit tout en reconnaissant les « très vives inquiétudes notamment pour la communauté juive ». « Les éléments transmis à la Préfecture de Police ne comporte pas d’éléments d’appels publics et directs au racisme et à l’antisémitisme. Une menace grave de trouble à l’ordre public ne peut être caractérisée à l’heure actuelle ». Bien que le BDS soit interdit en France par une loi de 2015, renforcement du dispositif du maintien de l’ordre, au cas « ou il y aurait d’éventuels discours appelant au BDS d’Israël, ou les pires clichés antisémites et pourrait provoquer de graves troubles de l’ordre public des interpellations seraient effectuées. » Francis Kalifat président du CRIF dans un courrier à Matignon « quelque soit les positions de chacun sur le conflit Israélo Palestinien, cet appel est considéré comme une offense antisémite publique aux Juifs Parisiens et Français ». Bernard Cazeneuve, premier ministre a été saisi à ce sujet. » Cette manifestation présente toutes les caractéristiques du mouvement d’incitation à la haine envers la communauté juive et insinue directement que le CRIF, donc les Juifs gouvernerait ce pays au détriment du reste de la communauté nationale » « Un mot d’ordre de cette manifestation « séparation du CRIF et de l’état » Nous nous posions une question, voici un élément de la réponse.

Bernard Korn Brzoza

À LA UNE

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Menace de grève générale de la faim chez les détenus du Fatah

Les services pénitentiaires mais aussi le gouvernement et Tsahal se préparent avec une certaine inquiétude au déclenchement d’une grève de la faim générale des terroristes du Fatah détenus en Israël. Ce mouvement qui est prévu pour après les fêtes de Pessah’ a été organisé depuis sa cellule par l’architerroriste Marwan Barghouti.membre du Fatah de Mahmoud Abbas.

On parle de presque trois-mille détenus du Fatah ainsi que d’autres petites organisations terroristes qui ont l’intention de déclencher ce mouvement dès le 17 avril.

Cette grève sur fond de revendications d’améliorations des conditions de détention pourrait également faire tache d’huile sur les détenus du Hamas et devenir un véritable casse-tête pour les autorités israéliennes.

Le dilemme et le suivant: si Israël cède aux exigences des terroristes – soutenues par les députés arabes – il s’agira d’un nouveau signe de faiblesse et si le gouvernement reste ferme, on craint des affrontements violents aussi bien à l’intérieur des prisons qu’en Judée-Samarie.

Avec une audace inouïe, Marwan Barghouti et des représentants des terroristes du Fatah détenus ont présenté une liste de revendications à la direction des services pénitentiaires. Elles contiennent notamment l’aug-

mentation de la fréquence des visites des familles et l’installation de téléphones publics dans chaque aile des prisons, comme c’est le cas pour les prisonniers de droit commun!

Parallèlement, les partisans de Marwan Barghouti ont l’intention d’organiser des manifestations, marches, et autres tentes de protestation en Judée-Samarie afin de mobiliser la population et créer de tensions médiatisées avec les forces de l’ordre.

Le services pénitentiaires ont publié le communiqué suivant: « Marwan Barghouti est un détenu. S’il fait la grève de la faim il sera sanctionné comme tout détenu qui viole la discipline. Les services pénitentiaires ne négocient pas avec les détenus. Nous sommes au courant de cette intention d’entamer une grève de la faim générale et si les détenus la mettent en pratique ils en subiront les conséquences. La grève de la faim tout comme d’autres actes de protestation sont des actions illégales et seront sanctionnées de la manière la plus ferme ».

Ce qui reste à voir. Les différentes grèves de la faim entamées ces dernières années par des détenus du Jihad islamique se sont terminées par leur libération à cause du tapage médiatique organisé autour de leur cas et par crainte du gouvernement de condamnations internationales en cas de mort d’un terroriste en prison.

Projet de loi : déduire les ‘salaires’ Le Hamas modère-t-il réellement des terroristes des taxes transférées le ton ? à l’AP

L’Autorité palestinienne verse chaque année plus d’un milliard de shekels de ‘salaires’ aux terroristes et à leurs familles.

Plusieurs députés qui sont d’anciens militaires, suivant l’initiative d’Eleazar Stern (Yesh Atid), souhaitent mettre fin à cette situation absurde.

Ils ont donc déposé la semaine dernière à la Knesset, d’après Yediot Aharonot, un projet de loi proposant de déduire ces sommes du montant des taxes transférées régulièrement par le gouvernement israélien à l’Autorité palestinienne, étant donné que celle-ci apporte son soutien au terrorisme.

Ses initiateurs ont expliqué en outre que l’octroi par l’AP de ces ‘rétributions’ aux terroristes étaient une ‘violation des Accords d’Oslo’. Et comme les versements qu’Israël accepte d’effectuer au profit de l’AP ont été fixés lors du Protocole de Paris (portant sur les relations économiques entre l’Etat d’Israël et l’Olp) signés dans le cadre des Accords d’Oslo en avril 1994, il existe un lien évident entre les deux.

Le député Stern a tenu à souligner qu’il

fallait ‘faire cesser cette situation insensée de façon immédiate’. Quant à son collègue Yaakov Peri, ancien patron du Shin Bet, il a indiqué : « Nous sommes témoins d’une vague terroriste incessante, dont une partie est encouragée par les incitations à la haine et à la violence de l’Autorité palestinienne.

C’est pour cela qu’il faut promouvoir cette loi dans les plus brefs délais’.

Le projet de loi a été également soutenu par le député Eyal ben Reouven, général de réserve (Camp Sioniste), le député Avi Dichter (Likoud), président de la commission parlementaire des Affaires étrangères et de la Défense, Roï Folkman, chef du groupe parlementaire Koulanou, le député Robert Ilatov (Israel Beteinou) et le chef de la coalition David Bittan (Likoud).

Le Hamas compte, semble-t-il, modifier quelque peu le texte de sa charte pour présenter une version moins rigoureuse (et sans doute plus ‘vendable’). C’est en tout cas ce qu’affirment certains médias arabes dont la chaine de télévision libanaise Al Mayadeen, proche du Hezbollah.

Il s’agirait surtout de ‘modérer le ton’ des formules en ce qui concerne les ‘frontières de l’Etat palestinien indépendant’ et les relations avec Israël. Selon le nouveau modèle, son combat ne porterait plus que sur le ‘projet sioniste’ et la ‘colonisation’, qui sont abhorrés, ce qui laisserait entendre que l’organisation terroriste ‘ne serait plus en conflit avec les Juifs’.

Il faut rappeler que depuis la fondation du Hamas en 1987 et la publication de sa charte l’année suivante, il a toujours exclu toute reconnaissance de l’Etat d’Israël. Il a

également ignoré les accords d’Oslo et appelé à la création d’un Etat palestinien indépendant sur les territoires de 1948, c’est-àdire à la place d’Israël, avec Jérusalem pour capitale.

Le Hamas maintient donc ses positions dans ce domaine, affirmant qu’il ne renoncera à aucune parcelle des ‘terres de Palestine occupées’, selon sa propre expression, ni au ‘droit au retour des réfugiés palestiniens’ qui, toujours d’après lui, ‘ne pourrait être annulé ni par les Palestiniens, ni par les Arabes ni par une instance internationale’.

Précisons encore que le nouveau document, qui devrait normalement être publié dans la semaine, n’a pas reçu l’aval de tous les dirigeants de l’organisation terroriste et que certains d’entre eux auraient même affirmé qu’il s’agissait d’une information ‘erronée et inexacte’.

SÉCURITÉ

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Le 7 Avril, Israël se prépare a une attaque de Anonymous

Elta de IAI remporte un deal de $200 Millions

Selon nos informations IsraelValley, ELTA de IAI a remporté un contrat de $200 Millions en Asie. Le nom du pays qui a contracté avec Elta n’a pas été mentionné par IAI. Une information qui se trouve dans les archives de IsraelValley et qui pourrait donner une indication intéressante sur un pays d’Asie intéressé par ELTA : «La récente visite début du Général Hlaing en Israël marque la première visite du Myanmar (Birmanie) en 55 ans. Le Général a effectué une visite officielle et a rencontré le Ministre de la Défense Moshe Ya’alon, le Chef d’Etat-Major de Tsahal Gadi Eisenkot, et le président Reuven Rivlin.

Le Myanmar (Birmanie) entretient des relations diplomatiques avec Israël depuis 1955. Il était prévu que cette visite “ouvrirait un nouveau chapitre dans les relations bilatérales et la coopération en matière de sécurité”. Hlaing était accompagné d’une délégation de hauts responsables de l’armée

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de terre, de l’air et des forces navales.

Autrefois gouverné par un groupe de militaires, le pays a était soumis à des sanctions internationales, même si beaucoup ont désormais été levées après que le pays a élu un gouvernement civil en 2011 et a commencé à instituer des réformes. Cependant les embargos de l’UE sur les ventes d’armes à destination de Myanmar demeurent, ainsi que les restrictions commerciales imposées par les États-Unis.

Au cours de sa visite de quatre jours, Hlaing a visité un certain nombre d’industries militaires, comme l’Israel Aerospace Industries, l’Elbit et l’Elta. Il a également visité la base Israël Air Force à Palmahim et la base navale d’Ashdod. L’armée de Myanmar achèterait des bateaux de patrouille de Super Dvora. Dans un post sur sa page Facebook, Hlaing annonce que la délégation et lui ont examiné “trois bateaux de patrouille Super Dvora lors d’une visite à la base navale d’Ashdod.”

Anonymous est un mouvement hacktiviste, se manifestant notamment sur Internet. Tous les 7 Avril cette organisation lance une attaque sur Israël avec l’objectif “d’effacer Israël du cyber-espace”

manifestations physiques du collectif, les membres sont généralement masqués4. Ils se présentent comme des défenseurs du droit à la liberté d’expression sur Internet et en dehors.

Israël a mis ses experts et ses services de sécurité en alerte pour contrer des cyber-attaques attendues de la part d’Anonymous.

Bien que ce mème ne soit pas lié à une entité spécifique, plusieurs sites Internet y sont fortement associés, notamment des systèmes de bulletins électroniques tels que chan et Futaba, leurs wikis respectifs, Encyclopedia Dramatica ainsi que certains forums.

Le nom de ce collectif est considéré comme un mot fourre-tout désignant des membres de certaines communautés d’internautes agissant de manière anonyme dans un but particulier (souvent pour défendre la liberté d’expression). En raison de l’anonymat de ce groupe d’affinité décentralisé, des opérations sous fausse bannière au nom d’Anonymous par des services de renseignement sont potentiellement réalisables.

Les actions informatiques et physiques attribuées à Anonymous sont entreprises par des activistes non identifiés. Lors des

Après une série de manifestations controversées, hautement publiées et d’attaques informatiques par Anonymous en 2008, les incidents liés à ce groupe ont fortement augmenté. En considération de ces capacités, Anonymous a été présenté par la chaîne télévisée américaine CNN comme étant l’un des trois principaux successeurs de WikiLeaks.

Syrie: massacre à l’armement chimique

La chaîne Sky News en langue arabe rapporte qu’au moins soixante civils ont été tués et environ deux cent autres blessés près d’Idlib lors d’une attaque aérienne de l’armée syrienne ou russe. Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, cette attaque a fait usage d’armement chimique, en l’occurrence du gaz sarin, qui provoque un étouffement puis la mort.

Le président Bachar El-Assad s’était engagé en 2013 auprès de l’ancien président Barack Obama de se défaire de tout son arsenal chimique. Mais voyant la faiblesse et l’inaction de l’Administration américaine comme de l’ONU, il avait sans doute gardé des entrepôts intacts et utilisé de temps à autre différents gaz mortels lors des bombardements sur les zones où se trouvent des rebelles.

SÉCURITÉ

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

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Israël vend plus d’armes à l’Europe Lotan (Israël) sécurise les qu’aux Etats-Unis & Canada réunis établissements scolaires de Nice

Les contrats conclus par les entreprises israéliennes d’armement ont enregistré une hausse de 14% en 2016 par rapport à l’année précédente pour atteindre 6,5 milliards de dollars, a indiqué le ministère de la Défense.

L’année 2016 est la deuxième année consécutive au cours laquelle le montant des contrats conclus à l’étranger a progressé, a ajouté le ministère dans un communiqué.

La région Asie-Pacifique arrive en tête des clients des entreprises privées et publiques israéliennes avec 2,61 milliards de dollars de contrats, devant l’Europe (1,79 milliard), l’Amérique du Nord (1,26 milliard), l’Amérique Latine (550 millions) et l’Afrique (275 millions).

L’aviation et l’amélioration des systèmes aériens ont représenté 20% des contrats conclus, devant les systèmes d’observation et d’optique, la défense aérienne, les munitions, les radars, les systèmes de guerre

électronique. « Cette augmentation du volume de nouveaux contrats signés traduit une tendance générale due à la sortie de la récession, spécialement en Europe et en Amérique du Nord, et l’augmentation des budgets de la défense en vue de faire face à des défis de sécurité croissants » , a affirmé Mischel Ben Baruch, directeur du Sibat, l’organisme du ministère de la Défense chargé de superviser les exportations militaires.

Les transferts d’armes dans le monde ont atteint un niveau record depuis la Guerre froide ces cinq dernières années, tirés par la demande du Moyen-Orient et de l’Asie, a indiqué en février l’institut indépendant Sipri.

Les entreprises israéliennes d’armement utilisent souvent comme argument de vente que leurs produits ont été testés sur le terrain.

Source lorientlejour

Juste quelques policiers municipaux et un portique de sécurité pour protéger l’entrée du Centre universitaire méditerranéen (CUM) à Nice.

Face aux bancs de velours rouge de l’amphithéâtre du CUM, ils vont défiler toute la journée : experts israéliens de la sécurité, élus, ­patrons de start-up innovantes dans la lutte contre le terrorisme.

Arié Bensemhoun, directeur d’Elnet, le think tank à l’origine du symposium niçois, signale qu’après l’attentat du 14-Juillet, c’est une société israélienne, Lotan, qui a été appelée pour sécuriser les établissements scolaires de Nice.

Que la ville de Cannes avait déjà fait appel début 2016 aux services du général Nitzan

Nuriel, conseiller ­antiterroriste de Benyamin Netanyahou, pour faire un audit complet de la sécurité du festival de cinéma.

Que le logiciel d’alerte sécuritaire ­inventé par la société israélienne Reporty est aujourd’hui demandé par de plus en plus de communes françaises.

Le directeur de l’aéroport Ben-Gourion, le seul ou presque au monde à imposer un filtrage des passagers en amont de l’aérogare, sur la route qui y mène, était à Nice cette semaine.

Il recevrait au moins une délégation étrangère chaque semaine pour venir tester l’inviolabilité de ses protections.

Source: JDD (Copyrights)

FRANCE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

Histoire d’amour entre EDF Energies Nouvelles et le Negev

En dehors de Valls savez-vous qui à abandonné Benoît Hamon ?

EDF Energies Nouvelles exploite désormais 11 centrales solaires dans le Néguev, totalisant160 MWc de capacité solaire installée. L’unité la plus récente Zmorot s’étend sur plus de 60 hectares et se compose de 207.000 panneaux photovoltaïques pouvant fournir 50MWc, couvrant les besoins de 30 000 personnes pendant 20 ans.

Coolamnews Le groupe EDF Énergies Nouvelles est un leader international du marché des énergies renouvelables avec plus de 9 GW d’énergie renouvelable en exploitation.

La section Yitzhak Rabin – Israël du parti socialiste a décidé de ne plus soutenir Benoît Hamon à la présidentielle.

Selon (1) : «La section Yitzhak Rabin – Israël est une section de la Fédération des Français de l’étranger du parti socialiste présidée par Florence Pavaux Drory, ancienne collaboratrice de François Mitterrand mais aussi de Jack Lang et Ségolène Royal, et

épouse de Mordechai Drory, diplomate israélien. « Le divorce avec Benoît Hamon s’est décidé suite à ses prises de positions sur Israël, la laïcité ou encore ses propos concernant le port du voile. Mais aussi car dans son entourage proche on trouve des députés ouvertement pro-BDS. », fait savoir la section Yitzhak Rabin – Israël».

La Hatikva chantée à Paris lors du rassemblement au Chatelet Fiasco incroyable (seulement 200 manifestants… qui représentaient 40 associations!) pour un évènement qui a fait couler beaucoup d’encre.

Selon (1) : «Environ 200 personnes étaient rassemblées samedi 1er avril à Paris pour “célébrer la résistance palestinienne à l’occupation et à la colonisation”. Peu après le début du rassemblement, une centaine de manifestants pro-israéliens sont arrivés munis de drapeaux israéliens, aux cris de “Israël vivra” et “Islamistes, racistes, assassins” et se sont regroupés à proximité.

Ils ont ensuite entonné l’hymne national is-

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raélien, “La Hatikva”. “C’est anormal que cette manifestation, dont les mots d’ordre sont antisémites, soit autorisée. C’est un rassemblement contraire aux valeurs de la France et du vivre ensemble”, a estimé Benjamin, 30 ans».

Opérateur intégré, EDF Énergies Nouvelles assure le développement, le financement, la construction des installations renouvelables, ainsi que leur exploitation-maintenance, pour compte propre et compte de tiers.

L’énergie éolienne est la filière principale du Groupe, avec 87 % de sa capacité installée totale, répartie principalement en Europe et en Amérique du Nord. Actuellement, la société se développe activement dans l’éolien en mer. La filière solaire est le deuxième axe de développement d’EDF Énergies Nouvelles.

EDF Energies Nouvelles participe également à l’émergence de nouvelles filières en investissant dans des technologies d’avenir, notamment les énergies marines (dont l’énergie hydrolienne) et le stockage d’énergie.

Présente dans 21 pays, l’entreprise a récemment pris position sur de nouveaux marchés émergents (Afrique du Sud, Inde, Brésil, Chili et Chine).

EDF Énergies Nouvelles est une filiale à 100 % du groupe EDF.

Il y a un fichier des juifs en France…

Absolument et ce fichier des juifs est tenu par les supermarchés en ligne Houra.

Comment puis-je le savoir ? Tout simplement parce qu’Houra m’a envoyé un mail en me souhaitant un bon pessah, autrement dit de joyeuses Pâques et, au lieu de me proposer de l’agneau pascal, il m’a suggéré gentiment dans ce mail, d’acheter des cornichons casher. Et c’est ainsi qu’Houra détecte les juifs. Jadis Louis de Funès découvrait que Salomon était juif grâce sa fine intuition, aujourd’hui Salomon serait décrété juif parce qu’il achèterait des cornichons cacher.

Voilà une pratique qui mérite d’être questionnée. C’est vrai, j’ai déjà acheté des cornichons casher, et peut-être même du pastrami, du mauvais pastrami car celui que l’on trouve en France… mais bon c’est un autre débat. Mais j’ai aussi acheté un kit pour faire des sushis et Houra ne me dit pas Sayonara, du faux sucre et pour autant Houra ne me demande pas comment se déroule mon régime. J’en déduis donc une exploitation partielle des données : pourquoi le site Houra me renvoie-t-il à ma judéité, alors

qu’il pourrait aussi saluer ma volonté de m’assimiler à la culture japonaise ou bien encore le désir d’entretenir mon corps ?

Du coup, j’ai la ferme intention de devenir anti-système, je veux parler du système informatique d’Houra, autrement dit de commander pour Pâques des chocolats pas casher – par exemple des chocolats représentant une cloche, je précise à l’intention des japonais non-juifs, qu’il n’y a pas de cloche dans les synagogues. J’imagine que si je commande en même temps des cornichons casher et une cloche en chocolat, le système informatique du site Houra va frôler l’effondrement, me demandant pourquoi je me suis marié avec une non juive – non ça ce serait ma mère plutôt –, l’ordinateur d’Houra va être obligé de mobiliser une puissance de calcul inédite pour comprendre comment un ménager peut acheter simultanément une cloche goy et un cornichon juif.

Mais en vous disant cela, j’ai une crainte : si je fais exploser le système informatique d’Houra, va-t-on accuser le Mossad de l’avoir hacké ?

FRANCE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

GECI International (France) obtient ses premiers succès en Israël

GECI International obtient ses premiers succès en Israël. Moins d’un an après sa décision d’intervenir sur un marché israélien en très forte croissance, GECI International remporte ses premiers contrats.

Suite à l’homologation de GECI International par NETA (Ministère des Transports Israéliens), des contrats ont été signés avec les entreprises (China Railway Tunnel Group/Solel Bone et China Civil Engineering Construction Corporation/Danya-Cebus), en charge de la conception et de la construction de la ligne rouge du tramway de Tel-Aviv.

GECI International a la responsabilité de la gestion RAMS (Reliability, Availability, Maintainability, and Safety) de l’ensemble de la ligne.

Egalement, GECI International intervient auprès des start up pour les accompagner dans leur processus de développement et d’industrialisation. GECI International intervient aujourd’hui, auprès d’une start up israélienne dans le développement d’un nouveau moteur linéaire.

Plusieurs contrats sont en cours de négociation en Israël dans le domaine des transports et de l’énergie.

Située à Haïfa, près du Technion et du Centre technologique Matam, GECI International se retrouve au cœur de la high-tech israélienne, et entend profiter de la dynamique

locale pour poursuivre son développement, aussi bien en Israël, qu’en France ou dans ses autres implantations internationales.

GECI International s’implique aussi fortement dans le domaine des véhicules autonomes et de la cybersécurité, deux points forts de l’innovation locale, et en synergie avec ses filiales françaises, entend proposer des solutions intelligentes à une clientèle en recherche de solutions pertinentes.

A propos de GECI International : Smart Solutions for a Smart World Le Groupe GECI International, créé en 1980, s’est affirmé comme un spécialiste de l’ingénierie de haute-technologies.

GECI International cible aujourd’hui des segments de marché à forte croissance et à forte valeur ajoutée, notamment dans les domaines de l’ingénierie, de l’informatique, des télécommunications, et des services et produits intelligents. Fort de sa crédibilité mondialement reconnue en matière de conseil, d’expertise et de sa capacité à mobiliser les compétences les plus qualifiées, GECI International accompagne les entreprises dans leur transition numérique et dans leur démarche de conception et de développement de nouveaux services & solutions intelligentes.

Date : 20/03/2017 Source : GECI International Contact : Daniel KLAJMIC Source: http://export.businessfrance.fr

Un peu d’humour !! La rue du sentier, J’adore...

Au sentier à Paris un commerçant chinois va voir son voisin Élie pour se plaindre qu’il s’est encore fait cambrioler pour la 37ème fois ce trimestre alors que tous les autres commerçants juifs eux presque pas. Élie le console comme il peut et lui dit: - Mais qu’est ce que je peut faire pour toi ?

En quoi puis je t’aider ?

Le chinois répond : - Tu me vends Mezouza !

Il faut Mezouza pour magasin à moi ! Élie lui répond: - Mais tu n’es pas juif !

Tu crois que les voleurs ne viendrons pas grâce à la Mezouza ?

- D.ieu protège magasin avec Mezouza !

Donnes moi mezouza !

Moi veux mezouza !

- Bon très bien je t’en apporte une.

Une semaine après lui avoir fourni la Mezouza, le chinois revient voir Élie qui lui demande : - Alors tu t’es quand même fait cambrioler ?

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Présidentielles : faut-il parler de religion ?

Oui. Selon un sondage Ipsos, une majorité de Français souhaite que la religion occupe, avec la laïcité, une place importante ou prioritaire dans la campagne présidentielle. Même s’ils considèrent assez paradoxalement que l’on parle trop de religion dans le débat public et que les élus devraient s’abstenir d’évoquer publiquement leurs croyances religieuses.

C’est un des principaux enseignements que nous livre une récente enquête réalisée par Ipsos / Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France, qui s’est intéressée aux rapports des Français à la place de la religion et la laïcité dans la campagne présidentielle.

L’attachement aux valeurs de la laïcité reste fondamental pour neuf français sur dix, mais ils estiment qu’elle est menacée.

83% pour la religion juive et 94% pour la religion catholique.

Nos concitoyens veulent réduire la visibilité des religions : 79% sont favorables à l’interdiction du voile dans les universités et 77% à l’interdiction du burkini dans l’espace public.

Inquiétant : près de la moitié des Français (46%) se prononcent pour la suppression du financement public des écoles privées.

Alors, dans les vingt jours qui nous séparent du premier tour, que nos candidats débattent enfin de la laïcité !

Jack-Yves Bohbot

Mais plus intéressant encore, le terme de laïcité est compris d’une manière différente selon l’engagement politique des personnes sondées. Si on est proche de l’extrême-droite, la laïcité, c’est la « préservation de l’identité traditionnelle de la France », la gauche y voit « la liberté de pratiquer la religion que l’on souhaite » ou « la possibilité pour des gens de convictions différentes de vivre ensemble » alors que l’électeur de Mélenchon ne veut entendre dans ce terme que « la séparation des religions et de l’Etat ».

Les Français font le constat que la cohabitation entre les différentes religions se passe mal dans notre pays. Et c’est l’Islam qui est principalement visé par cette opinion : seuls 39% des Français pensent que « la manière dont la religion musulmane est pratiquée aujourd’hui en France est compatible avec les valeurs de la société française », contre

L’Ambassadrice d’Israël Aliza Bin-Noun à Sciences Po Rennes

- Non pas une fois ! Mais moi te rendre Mezouza quand même !

- Mais pourquoi ? Si cela t’a protégé des cambrioleurs ?!

- Protection cambriolage parfait !

Mais toute la journée beaucoup trop de rabbins venir demander tsedaka !

Malgré quelques micro-mouvements anti-israéliens l’Ambassadrice Bin Noun a pu, sans gros problèmes, se faire entendre à Rennes. Selon la presse régionale : “Environ 20 étudiants de Sciences Po Rennes ont protesté, ce jeudi , contre la venue de l’ambassadrice d’Israël dans le cadre d’une rencontre avec les élèves de l’établissement”.

“La venue de la diplomate israélienne d’Aliza Bin-Noun dans les locaux de l’Institut d’études politiques (IEP) de Rennes a déclenché une petite vague de protestations aux abords et à l’intérieur des locaux de l’IEP breton. Arrivée dans la matinée à Sciences Po, l’ambassadrice devait rencontrer les étudiants puis se prêter à un exercice de questions-réponses”.

FRANCE

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Le Maire de Grenoble se rend en Israël

En février 2018, les 11èmes journées franco-israéliennes de radiologie Les prochaines journées franco-israéliennes de radiologie vont se dérouler en Février 2018. Cette année elle se sont déroulées à Tel Aviv sous l’égide de l’Ambassade de France en Israël, de la Société française de radiologie et de l’Association israélienne de radiologie, autour de quatre grandes thématiques : l’imagerie musculo-squelettique, la neuroradiologie, l’imagerie fœtale et néonatale et l’imagerie de la femme.

Le Congrès a rassemblé près de 400 médecins, essentiellement radiologues et gynécologues, d’Israël et de France, mais également des Etats-Unis.

Eric Piolle, maire de Grenoble et Bernard Macret sera en déplacement en Israël du samedi 25 mars au vendredi 31 mars 2017. IsraelValley vous transmettra prochainement un rapport de la visite “mystérieuse” du Maire. Éric Piolle, né le 6 janvier 1973 à Pau (Pyrénées-Atlantiques), est un ingénieur et homme politique français, membre d’Europe Écologie Les Verts.

Conseiller régional de Rhône-Alpes de mars 2010 à avril 2014, il est élu maire de Grenoble lors des élections municipales de 2014.

Natif du Béarn, Éric Piolle a suivi ses études dans le même lycée que l’ancien maire Hubert Dubedout, puis poursuit des études supérieures à l’École nationale supérieure de génie industriel de Grenoble.

Marié et père de quatre enfants, il se dit issu d’un courant « catho-humaniste ». Il a milité au sein d’associations de soutien scolaire et de défense des enfants de familles sans papiers, ainsi qu’auprès de Pierre Larrouturou, cofondateur du collectif Roosevelt.

Il rejoint le groupe informatique Hewlett-Packard en 2001 et y devient cadre dirigeant sur le site de Grenoble. En février 2011, il est licencié pour avoir refusé de mettre en place un plan de délocalisation.

En 2001, il a co-fondé l’entreprise Raise Partners, une société spécialisée en gestion de risques financiers. Raise Partners est basée à Londres et à Singapour, ses opposants lui reprochent l’utilisation de paradis fiscaux alors qu’il indique avoir conservé uniquement 0,5 % du capital.

Île-de-France : la sécurité renforcée dans les transports en commun Cette annonce fait suite à l’explosion survenue ce lundi dans le métro de Saint-Pétersbourg. Quelque 140 gendarmes doivent renforcer les effectifs existants.

Réagissant à l’attentat survenu dans le métro de Saint-Pétersbourg, qui a fait onze morts et 45 blessés, la France a annoncé dès lundi après-midi le renforcement de la sécurité dans les transports en commun d’Ilede-France. «À la suite des événements survenus dans le métro de Saint-Pétersbourg, et par mesure de précaution, le ministre de l’Intérieur M. Matthias Fekl a décidé de redéployer les moyens de sécurité dans les transports en commun en Ile-de-France», a indiqué le ministère de l’Intérieur, dans un communiqué.

«Une intensification des patrouilles a été immédiatement mise en œuvre afin d’assurer une présence toujours plus visible et dissuasive des policiers, gendarmes et militaires dans les transports en commun d’Ile-

de-France», notamment les métros et gares SNCF franciliens, a détaillé l’entourage du ministre. Ce redéploiement concerne deux escadrons de gendarmerie mobile (EGM), soit 140 hommes, qui «étaient déjà présents en Ile-de-France sur des missions de sécurisation», et la sous-direction régionale de la police des transports (SDRPT), selon cette même source.

«Dans le contexte de menace terroriste très élevée, le gouvernement continue de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour protéger les Français», poursuit le communiqué de la place Beauvau. «Notre vigilance est maximale, et la mobilisation des forces de l’ordre est totale», a-t-on indiqué de même source.

Au moins onze personnes ont été tuées et 45 blessées lundi dans une explosion survenue dans un wagon du métro de Saint-Pétersbourg. Les autorités russes ont ouvert une enquête pour «acte terroriste».

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Parmi eux, 42 jeunes radiologues français, internes et chefs de clinique, qui ont tiré grand profit du partage de savoir et d’expérience par les experts français, israéliens et américains.

Gilles Pecassou, Premier Conseiller de l’Ambassade de France en Israël, a participé à cet évènement et a rappelé le fort engagement de l’Ambassade de France pour le développement de la coopération franco-israélienne dans le domaine médical et insisté sur l’importance de promouvoir la mobilité des jeunes médecins français et israéliens entre les deux pays.

Pendant la conférence, un hommage a été rendu au Professeur Moshe Graif, ancien Président de l’Association israélienne de radiologie, décédé en 2016.

Pour Laurence Bellaïche, Secrétaire scientifique du Congrès, ce « scientifique de renommée mondiale et visionnaire a été notre partenaire de la première heure, enthousiaste et fidèle, dans la construction et le développement des relations franco-israéliennes en imagerie médicale. Il a permis, avec l’aide du Professeur Philippe Grenier, l’entrée d’Israël comme membre de la Société Européenne de Radiologie ».

Une bourse portant son nom a été remise par son épouse, Yaël Graif, à une interne en radiologie de Beer Sheva, Nancy Bonier, qui a remporté le concours organisé pour les internes Israéliens pendant la conférence.

L’essentiel des cours donnés pendant ces journées seront bientôt en ligne sur le site internet euromedicalimaging.com. Plus de 150 communications des cinq années précédentes y sont d’ores en déjà disponibles gratuitement.

Prochaine édition : en février 2018 à Tel Aviv.

Source: http://institutfrancais-israel.com

Le groupe Kindy offre une paire à tous les prétendants à l’Élysée

Le groupe Kindy offre une paire à tous les prétendants à l’Élysée. Et si on parlait aussi des chaussettes des candidats dans cette campagne présidentielle? C’est le souhait du groupe Kindy, spécialiste français de la chaussette de marque et de la chaussure pour enfant, placé en redressement judiciaire le 28 février.

Pour le lancement d’un des produits techniques de sa marque Thyo – la Pody Air tricolore (photo), brevetée, conçue, fabriquée dans les Hauts-de-France et destinée aux sportifs -, Kindy en offre une paire aux onze prétendants à la présidence.

Dans une lettre accompagnant cet envoi, l’entreprise de Moliens (Oise) rappelle que «notre marathon à nous, c’est de maintenir l’activité et de sauver les emplois… Le groupe Kindy c’est 160 ans d’expérience, 160 salariés».

Elle y vante aussi les qualités de sa derrière création dans un message à double sens: «En les portant, vous pourrez être proche du terrain, grâce à leur tricot léger et élastiqué qui vous permettra de ne passer à côté d’aucune sensation, visez la course en tête, grâce aux fibres techniques polyameryl qui vous permettront d’éviter échauffement et

transpiration même en fin de parcours.»

Cette paire de chaussettes étant réalisée pour respecter au mieux l’anatomie des pieds, la missive précise aussi: «Notre chaussette droite est bien à droite et notre chaussette gauche est bien à gauche.»

De discrets «R» et «L» sont apposés sur chacune. Aucun candidat n’a encore réagi, pas même le marcheur Emmanuel Macron sans doute surpris de constater que même dans les chaussettes il y a une différence entre la droite etla gauche.

Source: http://www.lefigaro.fr

ISRAËL

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Lutte sur abus sexuels : la police israélienne infiltre les ultra-orthodoxes

En Israël, 22 personnes ont été interpellées dans trois villes du pays et dans une colonie de Cisjordanie. Il s’agit d’hommes âgés de 20 à 60 ans, soupçonnés d’avoir abusé de femmes et d’enfants.

Ils appartiennent tous à la communauté ultra-orthodoxe.

Trafic de viande de requins à Jérusalem

De plus en plus, les communautés ultra-orthodoxes acceptent de travailler avec la police sur les cas de violence sexuelle. Mais dans ce monde très religieux, les lois divines priment parfois sur les lois terrestres et certains ne reconnaissent pas les autorités judiciaires et policières.

Dans cette affaire, les agressions étaient connues des responsables communautaires, mais les enquêtes étaient restées internes.

Des condamnations ont été prononcées et ceux reconnus coupables écopaient d’une obligation de thérapie comme peine.

Lorsqu’elle a appris l’existence de ces investigations menées par les ultra-orthodoxes, la police israélienne a décidé d’infiltrer les communautés concernées. Elle a mis la main sur des carnets dans lesquels étaient consignés les rapports d’enquête et finalement mené ce coup de filet, ce lundi.

Les 22 hommes arrêtés sont tous soupçonnés d’avoir abusé de femmes ou d’enfants à plusieurs reprises au cours des deux dernières années. Des dizaines de victimes n’avaient pas reçu les soins appropriés, a souligné la police. Quant aux auteurs présumés, ils n’avaient pas payé le prix de leurs actes, dit-elle, affirmant qu’elle s’assurera qu’ils soient cette fois-ci tous renvoyés devant un tribunal.

Avec le correspondant de RFI à Jérusalem, Guilhem Delteil

Les israéliens ont un risque élevé d’hypothyroïdie maternelle

Des policiers et des gardes-frontières Israéliens ont découvert mardi soir dans un quartier de la vieille ville de Jérusalem un fourgon de marchandises rempli de cartons mais une drôle de queue a éveillé la curiosité des agents.

Le fourgon appartenait à un résident de la vieille ville. Les agents ont décidé de vérifier plus en détail la cargaison, ils ont alors

demandé au propriétaire de retirer tous les cartons couvrant la queue suspecte. À leur grande surprise, les policiers ont alors découvert quatre requins, apparemment, le propriétaire allait les vendre au marché local.

Quoide9israel

La première enquête nationale sur l’iode menée en Israël a révélé un taux élevé de carence en iode chez les Israéliens, ce qui constitue un risque élevé d’hypothyroïdie maternelle et au niveau du développement neurologique des fœtus en Israël.

62% des enfants scolarisés et 85% des femmes enceintes sont en dessous de la norme préconisée par l’Organisation Mondiale de la Santé.

Source Israel Science Info

ISRAËL

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Pourquoi les automobilistes seront Le vendeur me dit : bye motek joyeux après shabbat ? (au revoir chérie) La station de radio WDR (West Deutscher Rundfunk) m’a interrogée sur ma relation avec Tel-Aviv. Relation est le mot exact, car entre Tel-Aviv et moi c’est devenu le grand amour, ce qui n’exclut pas les moments de ras le bol.

Ce n’est pas par hasard que j’ai quitté cette ville pendant presque trois ans. D’ailleurs, je ne suis pas tout de suite tombée sous le charme. Contrairement à la plupart de mes amis qui viennent en visite, Tel-Aviv ne m’a pas immédiatement conquise.

L’une des raisons en est que je trouvais la ville plutôt laide et dénuée de charme. Il y fait beaucoup trop chaud en été et le taux d’humidité de l’air fait de cette métropole un véritable sauna à ciel ouvert.

En hiver, les torrents de pluie qui s’abattent sur la ville transforment les rues en énormes mares qu’il faut essayer d’enjamber en sautant comme un kangourou affolé.

Les automobilistes vont accueillir la nouvelle avec joie : le prix de l’essence va connaître une nouvelle baisse, qui est cette fois de 14 agourot par litre. Elle sera appliquée à partir de ce samedi soir 1e avril à minuit.

Le tarif du litre 96 octanes sera alors de 5,96 shekels en self-service, ce qui correspond à une diminution appréciable de 2,3 %. Début mars, les prix avaient baissé de 6 agourot.

On peut donc dire qu’en deux mois, le tarif de l’essence a diminué de 20 agourot par litre. Les conducteurs dépensent donc 8 shekels de moins chaque fois qu’ils font le plein de leur réservoir.

Cette réduction est due essentiellement à la baisse des prix du carburant au niveau international dans le bassin méditerranéen et des tarifs du pétrole dans le monde.

De plus, cette ville est championne du monde en matière de bruit : concert de klaxons, vrombissement des autobus, bourdonnement incessant des climatiseurs, cris des chats se bagarrant, aboiements ininter-

rompus des chiens, sifflement strident des alarmes qui se déclenchent régulièrement.

Il n’en reste pas moins que c’est la meilleure ville du monde, et j’en prends conscience régulièrement, par exemple quand je vais chercher mon fils au jardin d’enfants pour me rendre avec lui à la plage et quand nous rentrons en vélo, le petit uniquement vêtu d’un poncho en éponge.

Ou quand je découvre une fois de plus un super restaurant qui propose des plats à la saveur inégalable. Ou quand je fais mes courses au Shouk Ha Carmel (marché) et que le vendeur me dit :„bye motek“ (ce qui signifie : au revoir chérie). Et aussi quand, à la tombée du jour, je regarde sur ma terrasse le soleil se coucher en baignant les tours Azrieli d’une chaude lumière rouge-orangé.

Tel-Aviv ne cherche pas à plaire et c’est finalement ce que j’apprécie le plus. Et le vendredi après-midi, peu avant shabbat, quand le calme s’installe sur la ville, que les bus, les voitures et tous les autres générateurs de bruit observent enfin une pause, Tel-Aviv devient encore plus parfait.

Source: http://israelentreleslignes.com

Ex de Microsoft, Barak Regev nommé patron de Google Israel

http://www.lphinfo.com

Les vieux d’Israël exemptés de faire la queue

Le parlement israélien vient de décider que les seniors de plus de 80 ans ne feront plus la queue. Une nouvelle loi leur permet de passer devant tout le monde pour aller directement au guichet de la banque ou de l’administration, ou encore à la caisse du supermarché.

C’est Itzik Schumi de l’Union sioniste, alliance centre gauche des partis d’opposi-

tion, qui a initié cette loi. La nouvelle loi a été adoptée à l’unanimité. Gila Gamliel du Likoud, ministre chargée de l’égalité des chances, a soutenu la réforme, expliquant qu’il est regrettable qu’il faille une loi pour cela et qu’il ne soit pas évident pour chacun de laisser passer en priorité les personnes âgées. http://israelentreleslignes.com

Cela fait 7 ans que le job lui était promis.

Un israélien “pur jus”, Barak Regev a été nommé sans hésitation et sans surprise par Google, nouveau patron de Google à Tel Aviv. Ancien de Microsoft, il a une

très belle expérience du monde israélien des startups. Il remplace Meir Brandt qui a été un patron emblématique de Google Israël durant dix ans.

ISRAËL

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Les ex-habitants de Amona relogés à Emek Shilo

Shmuel Rabinowitz, Rabbin du Mur des Lamentations est en extase. Devinez-pourquoi...

C’est assez rare pour le souligner. Bibi tient sa promesse. Le gouvernement israélien a approuvé à l’unanimité la création d’un nouveau site pour les réfugiés où colons (à choisir selon votre orientation politique !) d’Amona. Selon Reuters :»Benjamin Netanyahou, avait annoncé que son gouvernement allait concrétiser son engagement pris pour reloger les ex-habitants d’Amona, évacués du site jugé illégal par la Cour suprême israélienne car se trouvant sur des terrains privés palestiniens. «J’ai promis d’établir une nouvelle implantation.

Nous tiendrons cette promesse aujourd’hui», avait-il déclaré devant la presse.

Les constructions effectuées dans les sites existants ont porté à 400 000 le nombre d’Israéliens vivant en Cisjordanie».

A SAVOIR. Amona est une colonie israélienne du centre de la Cisjordanie, fondée en 1995 sur des propriétés privées palestiniennes. La colonie est située sur une colline surplombant Ofra, une autre colonie dépendant du Conseil régional de Mateh Binyamin. La colonie comptait autour de

Désormais, derrière les vestiges antiques de la vieille ville de Jerusalem, les touristes peuvent également s’offrir un voyage dans le temps.

Ces casques de réalité virtuelle les plongent dans la vie des habitants, au cœur du Temple de Salomon, détruit il y a plus de 2500 ans, par les Romains.

“Quand le visiteur revient à la réalité, il peut vraiment comprendre le lien entre le mur d’aujourd’hui et le temple d’il y a 2000 ans”, explique Yohanna Bisraor, directrice média de la fondation du mur des lamentations.

Cette immersion dans la culture et la spiritualité du second Temple de Jerusalem, attire des milliers de visiteurs…. Chaque jour, la visite virtuelle affiche complet.

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“C’est une super aventure. On a l’impression d’être à l’intérieur du temple, de voyager dans le passé. On peut véritablement voir les gens”, confie Yael Misk, professeure de culture juive.

La Cour suprême d’Israël décida en 2006 que la colonie était illégale d’après le droit israélien, mais en mars 2013, son statut était toujours incertain car le gouvernement de Benyamin Netanyahou continue de s’opposer à l’ordre d’évacuation. Une enquête de la police israélienne révèle, en mai 2014, que la colonie tout entière se trouve sur des terres privées palestiniennes et que les documents produits par les colons pour justifier l’achat des terres étaient falsifiées.

En décembre 2014, la Cour suprême d’Israël ordonne à l’État de faire évacuer et de détruire la colonie dans les deux ans4. Face aux nouvelles réticences de Netanyahou, la Cour réaffirme cet arrêté en novembre 2016, en fixant la date butoir pour la démolition au 25 décembre 2016.

L’expulsion violente des résidents est finalement effectuée le 1er février 2017 le jour où le Premier ministre Benyamin Netanyahou annonce une nouvelle implantation pour remplacer Amona. Cette expulsion devrait être suivie de la destruction des maisons.

Une place des prix Nobel a été inaugurée à Haïfa

La fondation de conservation, en charge du projet, souhaite mettre l’histoire au cœur de la visite ; pour dépasser les conflits inter-religieux sur le site.

Une place des prix Nobel a été inaugurée à Haïfa en l’honneur de trois lauréats israéliens qui ont étudié au Technion et ont reçu le prix Nobel de chimie. Il s’agit des professeurs Avraham Hershko (2004), Aaron Ciechanover (2004) et Dan Shechtman (2011).

“Ce mur n’est pas qu’un ensemble de pierre, c’est un vestige de notre temple et de notre histoire (…) Chaque fouille archéologique ne révèle pas des pierres, mais des racines”, Shmuel Rabinowitz, rabbin du mur des lamentations.

La cérémonie a eu lieu en présence du maire de la ville Yona Yahav, du président du Technion, le Professeur Peretz Lavie, du président de l’université de Haïfa Ron Rubin et du directeur du centre hospitalier Rambam, le professeur Rafi Beyar.

Source: Source RTL (Copyrights)

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“Ce n’est pas qu’un ensemble de pierre”

200 habitants en 2012.

POLITIQUE

Edition du 5 Avril au 11 Avril 2017

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L’ex-ministre Amir Peretz à la tête Israël fait une coupe de $2 millions de sa contribution à l’ONU du Parti travaillliste en Israël ?

C’était à Tel Aviv dans les beaux quartiers. Poussé par un ami qui ne “lâche jamais sa proie”, j’ai eu l’occasion de passer (comme spectateur amical) récemment une soirée avec Amir Peretz (affable et souriant) et ses amis.

moyen) et face à une vingtaine de personnes l’ex-Ministre de la Défense Amir Peretz a donné l’impression que le Parti travailliste allait passer sans aucun doute sous sa direction. Le nom de Isaac Herzog, boss actuel du parti, n’a jamais été prononcé.

Lors de son allocution en Anglais (très

DR

La menace de Effi Naveh, Président de l’Association du Barreau d’Israël

Israël a annoncé mercredi 29 mars une coupe de deux millions de dollars de sa contribution à l’ONU. Les autorités Israéliennes répondent ainsi aux nouvelles critiques du Conseil des droits de l’Homme à Genève contre la politique israélienne à l’égard des Palestiniens.

(Quoide9israel) Le budget ordinaire de l’Organisation est approuvé par l’Assemblée générale pour une période de deux ans. Les quotes-parts versées par les États Membres constituent la principale source de financement du budget ordinaire; elles sont calculées selon un barème approuvé par l’Assemblée générale, qui reflète la capacité de paiement de chaque État.

Outre le budget ordinaire, les États Membres

doivent financer le coût des tribunaux internationaux et, sur la base d’une version modifiée du barème général, le budget des opérations de maintien de la paix.

Les fonds et programmes de l’ONU, tels que le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR), ont leur propre budget.

L’essentiel de leurs ressources provient de contributions volontaires versées par des gouvernements mais aussi par des particuliers, comme dans le cas de l’UNICEF. Les institutions spécialisées des Nations Unies ont également leurs propres budgets, qui sont complétés par des contributions volontaires versées par les gouvernements.

David Bittan commente le retour au bercail de Guidon Saar

Pour la première fois dans les annales de la justice israélienne, des juges et des procureurs menaceraient de faire faire grève si leurs revendications concernant les conditions de leur retraite ne sont pas satisfaites.

L’information a été rapportée par le quotidien Yedioth Aharonoth. Cela n’était encore jamais arrivé. Mais à présent, le Comité central de l’association du Barreau d’Israël, ainsi que le syndicat des juges, ont voté en

faveur de ce mouvement de protestation, s’engageant à paralyser le système judiciaire après la fête de Pessah si un récent rapport recommandant des prestations de retraite plus favorables n’est pas adopté.

Effi Naveh, président de l’Association du Barreau d’Israël, a déclaré mercredi à Galei Tsahal, la Radio de l’armée, que leurs intentions étaient sérieuses.

LPH

David Bittan, président de la coalition et proche de Binyamin Netanyahou a commenté le retour à la vie politique et au Likoud de l’ancien ministre Guidon Saar: « Je salue sa décision car je préfère cette option qui privilégie un retour au Likoud plutôt que la création d’un nouveau parti comme l’a fait Moshé Cahlon ».

Mais le président de la coalition a voulu également lancer un avertissement à l’ancien ministre: « S’il revient au Likoud pour renforcer le parti et briguer une place de dé-

puté dans la prochaine Knesset, nous l’accueillerons à bras ouverts. Mais s’il revient pour créer une opposition au leadership de Binyamin Netanyahou au sein du parti, il commettra une grave erreur. Ce n’est pas dans l’ADN du Likoud se s’opposer au chef durant une législature ».

Il a conseillé à Guidon Saar de se mettre au travail dès maintenant s’il veut viser l’une des cinq premières places sur la future liste Likoud à la Knesset.