Israël Actualités n°440 by epsilon media Associés

GRATUIT - Numéro 440 - Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Les Maccabiades : vitrine éclatante de la jeunesse juive du monde entier

La semaine prochaine verra le coup d’envoi des prochaines Maccabiades. Du 4 au 18 juillet, ce sont donc 10 000 athlètes juifs venus du monde entier qui s’affronteront dans de multiples épreuves sportives de très haut niveau. Véritable et éclatante démonstration de vitalité et de dynamisme pour la jeunesse juive, cette compétition se tient aussi dans un contexte très particulier. Car c’est à Jérusalem et dans les environs de la ville Sainte que se tiendront les Jeux, alors que le pays et la ville célèbrent le cinquantenaire de la réunification de la ville d’or. Dans une ambiance bon enfant, des sportifs venus du Canada, d’Afrique du Sud, d’Argentine, de Russie et bien sûr des Etats-Unis s’affronteront, pour la beauté du geste,, au cours de multiples compétitions. On regrettera, bien évidemment, la modestie de la délégation française : à peine 150 athlètes, mais soulignons néanmoins sa motivation, son investissement et surtout l’énorme travail réalisé par tous ceux qui ont fait en sorte qu’elle puisse exister et participer : Gil Taïeb, que l’on ne présente plus, Pierre Haddad, son Président, mais aussi tous les recruteurs et coachs qui ont Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

fourni un travail sans relâche afin de dénicher, dans tout le pays, des sportifs capables de défendre les couleurs de la France au sein de cette compétition. Car loin d’être une petite manifestation sportive, les Maccabiades représente la 3ème organisation sportive, derrière les Jeux Olympiques et les Jeux universitaires. C’est dire le prestige dont jouissent les sportifs qui y participent et l’importance que revêt l’événement. Dans le contexte hyper tourmenté qu’est celui du Proche-Orient actuellement, face à la pression qu’implique le risque terroriste et sécuritaire, pouvoir, l’espace de quelques jours, voir des jeunes venus de toute la planète porter haut et loin les valeurs et l’esprit sportif, emmener des jeunes sportifs juifs sur la Terre d’Israël et les voir renouer avec leur histoire et leur identité est peut-être, en ce début d’été, la plus belle preuve que le peuple juif a toujours répondu à l’agression et à la menace par le courage, l’unité et la solidarité. Vive les Maccabiades, vive Israël, vive le sport et ses valeurs ! Am Israel Hai Alain Sayada

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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan

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À LA UNE

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Pyongyang compare Trump à Hitler

Trump divise le monde entre «les amis et les ennemis» afin de justifier la «suppression» de ces derniers

Une rue au nom d’Elie Wiesel à New York C’est au coin de la 84e rue et de Central Park que le maire de New York, Bill de Blasio, a inauguré une rue au nom d’Elie Wiesel, le célèbre écrivain juif, Prix Nobel de la paix en 1986 et qui a incarné toute sa vie la mémoire de la Shoah. En présence de la femme d’Elie et de son fils, c’est un bel hommage que le maire de New York, Bill de Blasio, a rendu hier à l’écrivain presqu’un an après sa mort le 2 juillet 2016 à New York, à l’âge de 87 ans. Déporté à l’age de 15 ans à Auschwitz-Birkenau où sa mère et sa plus jeune sœur ont été assassinées puis transféré à Buchenwald, où son père est mort sous ses yeux, Elie Wiesel avait consacré sa vie à l’écriture pour que les générations futures se souviennent (Tel-Avivre – la rédaction) Eliezer Wiesel, dit Elie Wiesel, est un écrivain, philosophe et professeur d’université américain contemporain (30 septembre 1928 à Sighetu Marmației – 2 juillet 2016 à New York). Issu d’une famille hassidique, il est déporté en 1944 dans le cadre de la politique d’extermination systématique des Juifs à Auschwitz puis Buchenwald. Survivant d’une famille autrefois heureuse, il est accueilli en France où il fait des études de

littérature et journalisme, produisant une œuvre abondante en langues française, hébraïque, yiddish et anglaise, où les légendes des mondes juifs disparus et la Shoah occupent une part importante, souvent centrale. Émigré à New York, il y fait souche, continuant à écrire et enseigner, participant à la fondation du Mémorial américain de l’Holocauste ainsi qu’à de nombreux débats d’idées sur la conduite de l’humanité, la place des Juifs dans le monde et celle d’Israël dans les nations. Grand-croix de la Légion d’honneur et commandeur de l’ordre de l’Empire britannique, ayant reçu aux États-Unis la médaille d’or du Congrès et la médaille présidentielle de la Liberté, fait docteur honoris causa par plus de cent universités parmi lesquelles Harvard, Yale, Stanford, Cambridge, Princeton, Columbia, l’École normale supérieure, Oxford, la Sorbonne et l’université hébraïque de Jérusalem, il reçoit le Prix Nobel de la paix en 1986. Son livre La Nuit est resté sur la liste des meilleures ventes du New York Times, The New York Times bestseller list, pendant neuf semaines d’affilée, un record inégalé pour un livre de non-fiction. Israelvalley

La Corée du Nord a comparé mardi le président américain Donald Trump à Adolf Hitler, peu avant la visite à Washington du président sud-coréen Moon Jae-In.Dans un éditorial, l’agence officielle KCNA estime que la politique du président américain est une forme de «nazisme du XXIe siècle» en dénonçant le slogan «America First» («L’Amérique d’abord») mis en avant par M. Trump dès son discours d’investiture en janvier.» Le ‘principe de l’Amérique d’abord’ vise la domination mondiale au travers de moyens militaires, comme ce fut le cas pour le concept d’occupation mondiale de Hitler», avance l’agence. M. Trump «suit la politique dictatoriale de Hitler» visant à diviser le monde en deux catégories, «les amis et les ennemis» afin de justifier la «suppression» de ces derniers, ajoute l’agence. La Corée du Nord est coutumière d’un langage fleuri pour critiquer ses ennemis. Mais les comparaisons avec Adolf Hitler sont rares. Jeudi, Pyongyang avait qualifié M. Trump de «psychopathe», dans un contexte tendu par le décès d’Otto Warmbier, étudiant américain rapatrié dans le coma aux Etats-Unis

après sa détention en Corée du Nord. En 2014, KCNA avait traité le prédécesseur de Donald Trump, Barack Obama, entre autres insultes, de «bâtard de sang mêlé» et parlé de son «apparence de singe». KCNA avait déjà franchi une nouvelle étape dans les imprécations en s’en prenant peu avant à l’ex-présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, comparée à une «prostituée» et Barack Obama, à un «maquereau». L’administration Trump travaille à un durcissement des sanctions internationales existantes contre la Corée du Nord pour tenter de l’obliger à renoncer à ses programmes nucléaire et balistique interdits. KCNA a accusé Washington de bloquer les livraisons de produits médicaux à la Corée du Nord, y voyant «un acte inhumain et contraire à l’éthique, d’un degré bien plus élevé que le siège de Leningrad par Hitler». Le siège de l’actuelle Saint-Pétersbourg par l’armée allemande dura près de 900 jours entre 1941 et 1944 et fit au total plus de 2 millions de morts. La menace représentée par la Corée du Nord -qui cherche ouvertement à se doter de missiles intercontinentaux- devrait cette semaine être au coeur du premier sommet, aux Etats-Unis, entre MM. Trump et Moon. i24news

À LA UNE

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Mur Occidental/zone mixte: Bennett reconnaît que «des erreurs ont été commises»

«La situation est alarmante» entre Israël et la communauté juive américaine, a constaté Naftali Bennett Le ministre israélien de l’Education et de la Diaspora, Naftali Bennett, a admis mardi que la décision du gouvernement de suspendre la création d’un espace de prière mixte au Mur des Lamentations avait «gravement altéré» les relations entre la communauté juive américaine et Israël.» La communauté juive américaine a le sentiment d’avoir été giflée par le gouvernement israélien», a reconnu le ministre, également leader du parti nationaliste religieux Foyer Juif, reprenant ainsi les propos de l’ancien directeur de l’Agence Juive, Sallai Meridor.» Au cours des dernières 24 heures, nous avons tenu un véritable marathon de réunions avec les leaders des communautés juives américaines qui sont actuellement en Israël, et la situation est alarmante», a-t-il ajouté, affirmant que ces derniers pensent qu’ils «ne sont plus les bienvenus ici, ce qui n’est évidemment pas vrai», a-t-il assuré. Le Premier ministre Benyamin Netanyahou a annoncé dimanche le gel du plan de création d’une section de prière mixte - et non

orthodoxe - au Mur occidental, où il est actuellement interdit aux femmes de prier avec la Torah ou prendre part aux cérémonies religieuses.

Netanyahou accuse Abbas de «mentir au monde» et d’inciter à la «terreur»

En plus de cette décision, le gouvernement israélien a convenu d’un projet de loi visant à limiter la reconnaissance des conversions au judaïsme en Israël, en accordant le monopole aux religieux orthodoxes. Les mesures interviennent après les lourdes pressions exercées par les partis ultra-orthodoxes de la coalition au cours des deux derniers mois, alors que le gouvernement s’était engagé à établir un espace de prière mixte auprès des mouvements juifs libéraux en Israël et aux surtout aux Etats-Unis où le courant réformiste est majoritaire. Selon les groupes orthodoxes, la création d’une zone mixte défierait les lois et la tradition juives anciennes.Si M. Bennett reconnait que «des erreurs ont été commises», il estime toutefois que de nombreuses «fausses informations» et malentendus ont été véhiculés, et que «l’objectif» à présent est «d’écouter et de mener un dialogue afin de dissiper les rumeurs». i24news

«Enseignez la paix, pas la terreur», a dénoncé Netanayhou

esprits de la jeunesse palestinienne. Enseignez la paix, pas la terreur», a-t-il insisté.

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a accusé lundi le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, de «mentir» lorsque ce dernier affirme «au monde qu’il éduque les enfants palestiniens pour la paix», après avoir nommé une place en l’honneur d’un terroriste palestinien.

Le dirigeant israélien s’est ensuite à nouveau révolté contre la politique palestinienne de rémunération des terroristes et leurs familles qui mènent des attaques contre des Israéliens, soulignant que le meurtrier de la jeune israélienne Hadas Malka, a reçu les honneurs de l’AP en voyant sa «maison décorée de drapeaux».

Mahmoud Abbas a inauguré la semaine dernière la place «Martyr Khaled Nazzal» à Jénine en Cisjordanie, en hommage à un terroriste du Front démocratique pour la libération de la Palestine (FPLP) qui a orchestré le massacre de Ma’alot en 1974, au cours duquel une centaine d’élèves ont été pris en otage dans une école, 22 enfants et trois enseignants ont été assassinés.

Cette nouvelle montée de tension intervient alors que l’émissaire du président américain, Jason Greenblatt, est arrivé hier en Israël, et sera rejoint mercredi par le conseiller spécial et gendre de Trump, Jared Kushner.

«Nommer encore une autre place publique en l’honneur d’un meurtrier de masse, enseigne aux jeunes palestiniens à tuer des Israéliens. C’est le contraire de la paix», a dénoncé Netanyahou dans une publication sur les réseaux sociaux.»

Les deux conseillers se rendent cette semaine en Israël et en Cisjordanie pour une série de rencontres avec les dirigeants israéliens et palestiniens afin de relancer les efforts de paix dans le conflit israélo-palestinien.Greenblatt s’est rendu hier au Mur Occidental, puis a rendu visite à la famille du Sergent-major Hadas Malka pour lui présenter ses condoléances.

Président Abbas: arrêter d’empoisonner les

i24news

À LA UNE

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Un affaiblissement du shekel prévu par l’Union Bank of Israel

En 30 ans, le PIB israélien a été multiplié par 10

Une étude économique effectuée par un ancien de la Banque d’Israël, publiée par Algemeiner, a révélé qu’au cours des 30 dernières années, le PIB israélien a été multiplié par 10, passant de 30 milliards à 300 milliards de dollars, alors que le PIB par personne avait augmenté de 7000 dollar à 38 000 dollars. Après des années de renforcement par rapport au dollars, l’Union Bank of Israel prévoit un affaiblissement du shekel à moyen et long terme. Alors que depuis 3 ans le shekel ne cesse de s’apprécier par rapport au dollars et à l’euro, de 4,77NIS/€ début 2014 à 3,95/€ en juin 2017, cette tendance pourrait s’inverser dans les années à venir. D’après l’Union Bank, le shekel est affecté principalement par plusieurs facteurs, notamment les transactions de gaz et de pétrole, et une forte économie. Ces éléments ont permis de renforcer le shekel par rapport au dollars mais, à long terme, l’augmentation du taux d’intérêt directeur aux Etats-Unis et la différence des taux d’inflation entre les deux pays contribueront à affaiblir le shekel. Pourtant cet affaiblissement pourrait se réaliser bien plus tôt que prévu. En effet la Banque Centrale américaine (Federal Re-

serve System) a décidé la semaine dernière d’élever son taux d’intérêt directeur d’un quart de point de base, le faisant ainsi atteindre 1,25%. Depuis, le taux de change shekel-dollars s’est apprécié, augmentant de 0,37% en deux jours.

Les indices négatifs ont diminué, par exemple le ratio dette/PIB est passé de 280 % à 67,4 %, le ratio dette publique externe/ PIB est passé de 55 % à 10 %, et le ratio déficit budgétaire/PIB est passé de 17 % à 3 %.

Si cette évolution se poursuit, cela pourrait bien être de bonne augure pour les exportateurs israéliens qui souffrait de plus en plus de l’appréciation du shekel, et voyait la demande extérieure et les exportations diminuer petit à petit au point de ne plus représenter que 30% du PIB israélien, contre 40% il y a une dizaine d’années. « Les exportations du pays progressent moins vite que le commerce mondial » déclarait Andrew Abir, le responsable du département des opérations de marché de la Banque Centrale israélienne. L’affaiblissement du shekel pourrait donc bien être une bonne nouvelle pour l’économie du pays.

http://bondsisrael.com/

Abraham Cohen pour IsraelValley

Le produit intérieur brut (PIB) est l’un des agrégats majeurs des comptes nationaux. En tant qu’indicateur économique principal de mesure de la production économique réalisée à l’intérieur d’un pays donné, le PIB vise à quantifier — pour un pays et

une année donnés — la valeur totale de la « production de richesse » effectuée par les agents économiques résidant à l’intérieur de ce territoire (ménages, entreprises, administrations publiques). Le PIB reflète donc l’activité économique interne d’un pays et la variation du PIB d’une période à l’autre est censée mesurer son taux de croissance économique. Le PIB par habitant mesure le niveau de vie et — de façon approximative — celui du pouvoir d’achat car n’est pas prise en compte de façon dynamique l’incidence de l’évolution du niveau général des prix. Il diffère du revenu national brut (RNB) qui ajoute au PIB (produit intérieur brut) les entrées nettes de revenus de facteurs en provenance de l’étranger (revenus de facteurs provenant du reste du monde diminués des revenus de facteurs payés au reste du monde).

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Israël en 13ème place mondiale pour les demandes de brevets

L’Organisation mondiale de la Propriété intellectuelle, institution de l’ONU, a publié le classement mondial 2017 dans le domaine de l’innovation pour 127 pays. (Global Innovation Index). Selon lphinfo.com : « Israël a été classé pour la septième fois consécutive à la 1ère place pour le groupe « Afrique du Nord et Asie occidentale » et à la 17e place parmi tous les pays du monde. Pour 2016, Israël avait été classé 21e mondial. Israël dépasse des pays tels que la Chine, le Canada, la Norvège, l’Autriche, l’Espagne ou l’Italie. Dans le rapport détaillé, Israël est particulièrement distingué dans trois sous-catégories où il est classé 1er mondial: le potentiel intellectuel humain, les dépenses consacrées à la recherche et l’audace dans les investissements à risque. Autre marqueur important pour notre jeune Etat, Israël est classé 13e parmi 152 pays pour les demandes de reconnaissance internationale de brevets. Parmi les autres domaines où Israël se dis-

tingue: la 1ère place mondiale dans les exportations de services dans le domaine de la technologie de communication et d’information, 4e place mondiale pour le pourcentage de femmes diplômées universitaires qui travaillent, 3e place dans le domaine de la coopération entre les universités et l’industrie et 4e place pour les investissements étrangers dans la recherche et le développement en Israël. La ministre de la Justice Ayelet Shaked s’est félicitée de ce classement très élogieux, « preuve de l’intensité de la production intellectuelle, scientifique et technologique israélienne ». La ministre a souligné le soutien du ministère de la Justice pour l’approbation des brevets israéliens à l’étranger et s’est dit convaincue que la place d’Israël dans le monde s’améliorera encore dans les années qui viennent. Les dix premiers pays au classement général sont: la Suisse, la Suède, les Pays-Bas, les USA, le Royaume Uni, le Danemark, Singapour, la Finlande, l’Allemagne et l’Irlande. La France est 15e, entre le Japon et Hong-Kong ».

Affaire russe: Trump exige «des excuses»

«Il n’y a ni collusion, ni entrave. On me doit des excuses!» Le président américain Donald Trump a fustigé lundi l’absence de preuves dans l’affaire russe et estimé que les auteurs des allégations à son encontre lui doivent des «excuses».» Après 4 mois à regarder la Russie à la loupe, ils ont zéro enregistrement de connivence par des gens de T (Trump)», a tweeté Donald Trump, en référence à un argument martelé par son camp selon lequel il n’existe aucune preuve tangible de collusion avec la Russie pendant la campagne présidentielle.» Il n’y a ni collusion, ni entrave. On me doit des excuses!», a-t-il poursuivi. Donald Trump a répété ses attaques à l’encontre de son prédécesseur Barack Obama à qui il reproche de n’avoir «rien» fait contre l’ingérence russe. Selon le Washington Post de vendredi, la CIA avait averti Barack Obama dès août 2016 que des piratages du parti démocrate avaient été ordonnés par le président russe Vladimir Poutine dans le but de nuire à la

démocrate Hillary Clinton et d’aider Donald Trump pour la présidentielle du 8 novembre. «La raison pour laquelle le président Obama n’a RIEN fait à propos de la Russie après avoir été informé par la CIA de l’ingérence est qu’il pensait que Clinton allait gagner et il ne voulait pas faire tanguer la barque «, a assuré le président américain, dans la même série de tweets.» Il n’a pas fait un raté . Il a comploté et entravé et cela n’a fait aucun bien aux démocrates et à Hillary la crapule», a-t-il ajouté. En octobre 2016, toutes les agences du renseignement américain avaient fait état pour la première fois publiquement d’une ingérence de Moscou. En janvier, elles précisaient que Vladimir Poutine en avait lui-même donné l’ordre.Le 29 décembre, M. Obama avait annoncé des sanctions contre la Russie, expulsant notamment 35 diplomates considérés comme des agents russes. i24news

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Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Israël et la Russie, seuls pays à Le décret migratoire de Trump avoir «confiance» en Trump remis partiellement en vigueur

Cette décision lundi de la haute cour est une victoire relative mais néanmoins notable pour Donald Trump

Le taux de confiance moyen accordé au président américain est passé de 64%, à 22% entre Obama et Trump

39%.

L’élection du président américain Donald Trump a largement entaché la réputation des Etats-Unis et la confiance accordée à la première puissance mondiale, selon une enquête menée par le centre de recherche Pew Research Center (PRC) publiée lundi.

Concernant cette fois la confiance en la présidence américaine en matière de politique internationale, on note un déclin de la courbe de confiance sur la quasi-totalité des pays, plus particulièrement auprès de ses proches alliés en Europe et en Asie, tout comme ses voisins canadiens et mexicains, indique l’étude.

En effet, seuls deux pays, Israël et la Russie, préfèrent cette nouvelle administration à celle de Barack Obama, révèle l’étude qui évalue chaque année la popularité des dirigeants américains.

Ce n’est qu’auprès de deux pays sur 37, Israël et la Russie, que cette courbe de confiance s’est inversée depuis l’élection de Trump, marquant une amélioration des relations bilatérales entre ces pays.

Les résultats mettent également en lumière une impopularité croissante de Donald Trump et une perte de confiance en la politique américaine sur la scène internationale, dans 37 des pays sondés.

Selon le centre de recherche, Donald Trump est plus populaire en Russie que ne l’ont jamais été ses deux prédécesseurs, Barack Obama et George W. Bush.

Entre la fin de l’administration Obama et le début de l’ère Trump, le taux de confiance moyen accordé au président américain est passé de 64%, à 22%. Et inversement, si le taux de «non confiance» atteignait 23% à la fin du mandat d’Obama, il passe aujourd’hui à 74% sous Trump. Comme un effet domino, cette image négative du président influence également la vision globale du pays à l’étranger. Ainsi, les Etats-Unis comptaient une moyenne de 64% d’avis «favorables» à la fin de l’ère Obama, contre 49% aujourd’hui. Même constat dans le sens inverse, si les Etats-Unis obtenaient 26% d’avis «défavorables», cette moyenne s’élève à présent à

En Israël «sondage après sondage, les Israéliens donnent aux USA l’un des taux les plus élevés, et c’est encore le cas cette année», constate l’étude, qui révèle que 81% des personnes interrogées ont une «vision positive» du leadership américain. Le nouveau président américain est, depuis le début de sa campagne présidentielle, une figure très controversée. Ancien milliardaire magnat de l’immobilier, et star du petit écran, Donald Trump est principalement perçu comme une personne «arrogante», «intolérante», et «dangereuse». Mais cet aspect à priori négatif, lui confère également les qualités d’un «leader fort» et «charismatique», révèle le sondage du PRC. i24news

La Cour suprême des Etats-Unis a remis lundi partiellement en vigueur le décret anti-immigration très controversé de Donald Trump à l’encontre de six pays majoritairement musulmans, en attendant de l’examiner en audience à l’automne. Le décret interdisant l’entrée aux Etats-Unis des ressortissants de la Syrie, Libye, Iran, Soudan, Somalie et Yémen, s’applique désormais vis-à-vis de quiconque «n’ayant pas établi de relation de bonne foi avec une personne ou une entité aux Etats-Unis». En clair, tout habitant de ces six pays qui serait totalement inconnu des autorités américaines se verra refuser l’accès au territoire des Etats-Unis, ont tranché les neuf sages de la Cour suprême.» Nous acceptons en partie les recours (sur le décret) et nous acceptons de suspendre en partie (les décisions ayant bloqué l’application du texte)», ont résumé les juges dans leur décision très attendue. Celle-ci a été annoncée au dernier jour de la session annuelle de la Cour suprême, l’institution qui aux Etats-Unis a le dernier mot sur tous les sujets nécessitant une interprétation de la Constitution. Cette décision lundi de la haute cour est une victoire relative mais néanmoins notable pour Donald Trump, dont la mesure emblématique a été suspendue par de multiples juges, en première instance et en appel. Non seulement les plus hauts magistrats du pays acceptent que le décret soit mis partiellement en application, mais ils offrent au président américain une chance d’emporter une victoire judiciaire finale venant annuler les camouflets subis. Il faudra probablement plusieurs jours pour que les mesures du décret soient appliquées

pleinement par la police américaine aux frontières. La mesure qui a tant fait couler d’encre prévoit la fermeture temporaire des frontières américaines aux citoyens de six pays majoritairement musulmans ainsi qu’à tous les réfugiés. Le fameux décret a connu deux moutures, qui avaient été bloquées par les tribunaux en février et mars. Deux suspensions dénoncées par Donald Trump comme symptomatiques d’une «justice politisée». Le président américain défend la plus décriée de ses initiatives en assurant qu’elle répond à un problème de sécurité nationale lié à l’immigration d’individus potentiellement dangereux. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les attaques les plus graves aux Etats-Unis ont pourtant été commises soit par des Américains, soit par des ressortissants ne provenant pas des pays visés par le décret. Le texte a fédéré un vaste front d’opposition, en première ligne duquel on trouve des Etats démocrates, notamment sur la côte ouest du pays où le président est particulièrement impopulaire. Dans chacun des revers que lui ont infligés les juges, la rhétorique anti-musulmane du président, qu’il n’a jamais clairement reniée, a beaucoup pesé. Fin janvier, la première version du décret avait provoqué une onde de choc dans le monde et un chaos dans les aéroports américains. Avant d’être suspendue. Quelques semaines après son entrée en fonction en janvier, Donald Trump a nommé un nouveau juge à la Cour suprême, Neil Gorsuch, faisant pencher l’institution du côté conservateur. i24news

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Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

La pension d’invalidité va augmenter de 70% en Israël

La pension de 250 000 personnes invalides en Israël qui était de 2 342 shekels augmentera de 70% pour atteindre 4 000 shekels par mois soit 1 000 euros. Le plan devrait coûter 4 milliards de shekels.

A Bat Yam, un complexe au nom de Yoni Netanyahou

Le député David Bitan (Likoud) a annoncé la bonne nouvelle lors d’une conférence de presse. la pension d’invalidité augmentera à 4 000 shekels. Lors de la conférence tous les membres de la coalition y compris l’opposition, ont applaudit des deux mains cette mesure qui porte l’indemnité aux personnes invalides au même niveau que le salaire minimum soit environ 1 000 euros. Le député Gilon (Meretz) : «C’est un moment historique pour le quart de million de personnes handicapées en Israël». Source : http://www.tel-avivre.com) Depuis juillet 2004, l’âge de la retraite varie en fonction de la date de naissance. En

Binyamin Netanyahou et sa femme ont assisté à la pose de la première pierre d’un complexe qui portera le nom de Yoni Netanyahou, le frère du Premier ministre, qui fut tué lors de la célèbre Opération Entebbe en juillet 1976.

liens. En hébreu, Bat Yam se traduit littéralement par « fille de la mer » et désigne une sirène. Plus spirituellement, Bat Yam signifie « fille de Jérusalem ». Le terme « Yam » est en effet composé de la première et la dernière lettre de Yérushalayim.

Bat Yam est une ville israélienne du district de Tel-Aviv, dans la région administrative du Gush Dan. Bat Yam est située dans la banlieue sud de Tel Aviv–Jaffa et baignée à l’ouest par le littoral de la mer Méditerranée. L’autoroute Ayalon longe la limite orientale de la ville qui est accessible par quatre sorties.

En 1926, la localité de Bayit VeGan (« Maison et jardin ») est créée mais est attaquée par des émeutiers arabes lors de la révolte de 1929, avant d’être évacuée. Reconstruite, elle est dotée d’un conseil local dès 1936, puis est rebaptisée Bat Yam un an plus tard.

La ville est desservie par les gares Yoseftal et Komemiyut des Chemins de fer israé-

Dans les années qui suivent la création de l’État d’Israël en 1948, la population de Bat Yam passe de 2 300 à 16 000 habitants. En 1958, elle accède au statut de ville.

2017, il est de : • 67 ans pour les hommes (depuis 2011 pour les générations d’hommes nés à partir du mois de mai 1942), • de 62 ans pour les femmes nées à partir du mois de mai 1947. L’admissibilité à une pension de vieillesse sans condition d’âge ou de ressources est possible à partir : • de 70 ans pour les hommes, • de 68 ans pour les femmes nées en 1946 (augmentation régulière de 8 mois par an pour atteindre 70 ans pour les femmes nées à partir de 1950). Pour avoir droit à pension, l’assuré doit justifier d’au moins 60 mois d’assurance au cours des 10 années précédant l’âge requis ou bien 144 mois ou 60 mois.

À LA UNE

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Drame dans un avion d’El Al : Heureusement, le commandant était chirurgien

L’UE inflige à Google une amende record de 2,42 milliards d’euros Les passagers du vol El Al Tel-Aviv-Bucarest (LY573) dimanche dernier, se souviendront encore longtemps de leur voyage. 50 minutes avant l’atterrissage un drame se produit à bord. L’équipage du Boeing et le pilote s’apprêtait à débuter les démarches en vue de l’atterrissage prévu. Le vol se déroulait sans encombre quand soudain, une passagère se sent mal. Aussitôt les hôtesses se précipitent pour la soulager. Rien n’y fait et son état semble empirer. Le personnel de bord décide de la transférer en classe affaire, pour que cette dernière bénéficie de plus d’espace. Malgré l’attention soutenue de l’équipage. La passagère semble manquer d’air. Elle s’étouffe progressivement. Le pilote est alors informé de la situation. Un appel est lancé : on recherche un docteur désespérément. Manque de chance, aucun docteur n’est présent à bord. L’avion doit, dans quelques minutes, amorcer sa descente vers Bucarest et la situation reste critique pour la passagère.

Le pilote intervient C’est alors que le commandant de bord prend les choses en main. En accord avec son co-pilote, il laisse les commandes de l’appareil et informe ses collègues : « Vous savez, avant d’entamer ma carrière de pilote, j’étais chirurgien ». Il se rend auprès de sa passagère souffrante et réclame qu’on lui apporte le kit de secours. Il lui administre un premier traitement puis un second. Progressivement, l’état de sa « patiente » s’améliore. Renseignement pris, dans la nervosité du voyage, cette dernière avait oublié de prendre sa médication avant le décollage. Sa peur de l’avion avait provoqué un dysfonctionnement cardiaque et une rechute de sa maladie respiratoire. Cinq minutes avant l’atterrissage, le pilote a regagné le cockpit. Apparemment, son diagnostic a été le bon. La passagère a pu quitter l’appareil sur ses deux jambes et n’a pas souhaité bénéficier des services d’urgence de l’aéroport. Juste remercier le pilote-chirurgien… coolamnews

Google a abusé de sa position dominante pour favoriser son comparateur de prix «Google Shopping» La Commission européenne a infligé mardi une amende record de 2,42 milliards d’euros à Google pour avoir abusé de sa position dominante dans la recherche en ligne afin de favoriser son comparateur de prix «Google Shopping». Dans un cas d’abus de position dominante, l’amende la plus importante jamais prononcée par Bruxelles s’élevait jusqu’alors à 1,06 milliard d’euros, contre le géant américain des puces informatiques Intel, et remontait à 2009.» Google a abusé de sa position dominante sur le marché des moteurs de recherche en favorisant son propre service de comparaison de prix dans ses résultats de recherche et en rétrogradant ceux de ses concurrents», a déclaré la Commissaire européenne à la Concurrence, Margrethe Vestager, citée dans un communiqué.

«Ce que Google a fait est illégal au regard des règles de concurrence de l’UE. Elle a empêché les autres sociétés de livrer concurrence sur la base de leurs mérites et d’innover. Et surtout, elle a empêché les consommateurs européens de bénéficier d’un réel choix de services et de tirer pleinement profit de l’innovation», a-t-elle ajouté. Cette décision survient moins d’un an après la décision de la Commission européenne de sanctionner un autre géant américain, Apple, pour avoir bénéficié d’»avantages fiscaux» indus accordés par l’Irlande: l’exécutif européen avait alors sommé, le 30 août 2016, la firme américaine de rembourser à Dublin plus de 13 milliards d’euros. Une telle décision défavorable à une entreprise américaine pourrait accentuer les tensions entre Bruxelles et Washington, déjà fortes depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir et alors que doit se tenir dans moins de deux semaines un G20 à Hambourg, les 7 et 8 juillet. i24news

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Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Les géants d’Internet partent Fox News Channel sera remplacé par i24News en Israël en guerre contre le terrorisme

Le «Global Internet Forum to Counter Terrorism» a été créé par Facebook, Microsoft, Twitter et YoutubeLes géants d’Internet, Facebook, Microsoft, Twitter et Youtube (Google/Alphabet), ont répondu lundi à l’appel de la communauté internationale qui les enjoignait depuis plusieurs mois à contrôler les contenus djihadistes répandus sur le web.

versitaires, des gouvernements et des organisations comme l’Union européenne et les Nations unies».

Ils ont ainsi annoncé la création d’un Forum mondial contre le terrorisme.»Nous pensons qu’en travaillant ensemble, en partageant les meilleurs outils technologiques et opérationnels élaborés par nos entreprises individuellement, nous pouvons avoir un impact plus conséquent sur la menace que constitue le contenu terroriste en ligne», a-til été détaillé dans un communiqué commun des quatre groupes.

Les grandes firmes de la Silicon Valley se montrent très mobilisées dans la lutte contre le terrorisme, ce dernier trouvant son terreau et se développant en premier lieu sur les réseaux sociaux.

Le «Global Internet Forum to Counter Terrorism» se donne pour objectif de «formaliser et structurer les axes de collaboration existants ou à venir entre nos entreprises», est-il précisé dans le communiqué. Ce Forum permettra également de renforcer la collaboration avec des startups, «des groupes issus de la société civile, des uni-

Cette initiative vient répondre à un appel de la communauté internationale lancée aux grandes firmes d’Internet de chercher à contrôler et anéantir la diffusion de la propagande djihadiste sur la toile.

Elles considèrent la propagation du terrorisme sur le web comme un «challenge critique» et affirme considérer ce problème de manière «très sérieuse», selon leur communiqué. Déjà, en décembre dernier, les quatre groupes leaders de l’Internet avaient annoncé un partenariat à l’échelle mondiale pour lutter contre les contenus à «caractère terroriste» sur leurs plateformes, et ainsi freiner leur propagation. i24news

Le plus grand sexe-club d’Israël ferme ses portes

Un juge israélien a eu la main lourde. Coup dur (!) pour une industrie florissante en Israël. Un des bordels les plus fréquentés (36, Yitzhal Sadeh Street situé à Tel Aviv) du pays a été obligé (un jugement) de fermer ses portes. Les prostituées, souvent mères de familles, ont perdu leur job (250 shekels les 30 minutes).

sionnel du sexe a environ 660 clients par an.

Selon i24News : « Une enquête nationale sur la prostitution en Israël a révélé que les revenus annuels dans le commerce du sexe s’élèvent à près de 300 millions d’euros.

« Ces chiffres sont épouvantables, et nous ne pouvons pas rester indifférents à un tel phénomène », a déclaré le ministre des Affaires sociales, Haim Katz.

L’enquête menée par le ministère des Affaires sociales et de la Sécurité publique a constaté qu’il y avait entre 11,420 et 12.730 travailleurs du sexe en Israël en 2014, et que 95% d’entre eux étaient des femmes.

Selon le rapport, les raisons économiques sont les premières invoquées. Deux tiers des femmes se prostituent alors qu’elles se trouvent dans une situation financière précaire. Seulement 7 % sont entraînées en raison de leur toxicomanie ».

Selon les données publiées, chaque profes-

Selon l’étude, 1.260 mineurs étaient employés. Le budget actuel du ministère des Affaires sociales consacré à la lutte contre la prostitution est de 5 millions d’euros, avec environ deux tiers de celui-ci réservé aux mineurs.

Selon des informations parvenues à IsraelValley, Fox News Channel devrait être remplacé en Israël par i24News. i24news est une chaîne de télévision d’information en continu internationale israélienne dont les programmes sont diffusés en anglais, en français et en arabe. Elle a été lancée le 17 juillet 2013 et fait partie du groupe Altice. Son directeur général est Frank Melloul, l’ancien conseiller en communication de Dominique de Villepin à Matignon i24news est lancée en juillet 2013 par Patrick Drahi, qui souhaite proposer « une alternative à Al Jazeera » et « montrer le vrai visage d’Israël au monde, sans être un instrument de propagande ». La chaîne est entièrement privée, dispose d’un budget de 50 millions de dollars par an et se fixe pour objectif d’atteindre l’équilibre budgétaire en quatre ans. Guysen TV, crée en 2002, est rachetée et devient i24News. La chaîne devait commencer sa diffusion le 1er juillet 2013 mais elle est finalement à l’antenne le 17 juillet 2013 à 20h (heure d’Israël) — le bâtiment n’avait pas reçu l’homologation officielle des services de secours pour commencer à accueillir les employés. La chaîne n’est pas diffusée en Israël. Dans le but de contrer cette interdiction et de montrer l’importance de ce média au gouvernement Israélien, la chaîne lance, à l’été 2014, une grande campagne de relations publiques [archive], d’un coût de 4 millions de shekels. La campagne vise

essentiellement à promouvoir i24news sur des affiches 4X3 dans les rues de tout Israël. Le slogan d’i24news devient alors « le dôme de fer des chaînes d’info » et l’image montre des missiles lancés en direction de la chaîne. i24news achète aussi de la publicité sur les médias israéliens comme Yediot Arhonot, dont le directeur Arnon Moses détient une part minoritaire dans le capital de Hot. En 2014, selon les chiffres de Médiamat’ Thématik, l’audience d’i24news en France serait de 0,1 %, soit une dizaine de milliers de personnes. En janvier 2014, L’Obs consacre à la chaîne une enquête au vitriol, pointant du doigt l’ambiance délétère et des résultats d’audience catastrophiques. En 2016, Frank Melloul pense « professionnaliser encore plus l’antenne afin de la faire rayonner davantage. » Dans le nom « i24news », le « i » énonce les valeurs premières de la chaîne, à savoir : indépendance, internationale, innovation, interactivité et individu mais pas « Israël ». Le nombre « 24 » fait référence à 24 heures et « news » rappelle qu’i24news est une chaîne d’information internationale en continu. La chaîne embauche 250 personnes, dont 150 journalistes de 35 nationalités. Ses locaux sont installés dans le port de Jaffa, mais son siège social est basé au Luxembourg, où réside la holding Altice qui la finance. Elle est financée par Patrick Drahi, et son directeur général est Frank Melloul (ancien conseiller de Dominique de Villepin et ami de Laurent Fabius).

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La médiation au service des familles juives

En créant un service de médiation familiale, le Consistoire de Paris propose désormais aux familles juives en difficulté de les aider en leur proposant une alternative aux coûteuses procédures judiciaires. Institutionnalisée par plusieurs lois, la médiation familiale joue un rôle de plus en plus important ces dernières années en France dans le traitement des conflits familiaux. Solution humaine et économique, elle offre l’avantage d’éviter le recours aux tribunaux - lents, coûteux et complexes - et qui dans le domaine du droit familial, n’apporte pas toujours l’apaisement escompté. C’est le choix que vient de faire le Consistoire de Paris, en créant à l’initiative de son administratrice en charge de la famille, Elisabeth Steiner, un service de médiation familiale (Tél. 01 40 82 26 80) Pour cette avocate engagée dans l’action communautaire auprès de Joël Mergui, « la médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociations qui permet d’aborder les problèmes liés à un conflit familial, de prendre en compte de manière très concrète les besoins de chacun, notamment ceux des enfants, avec un tiers qualifié et impartial, le médiateur familial. » Concrètement, ce service placé sous l’autorité religieuse du Grand Rabbin de Paris, Michel Gugenheim, est animé par des praticiens à la fois juristes et médiateurs diplômés ; il est ouvert au public tous les mardis et concerne les personnes désireuses de s’informer sur ce mode alternatif de rè-

Maccabiades 2017 Interview de Gil Taieb

glement des litiges. Le Consistoire prend totalement en charge le coût de la première séance de médiation. La confidentialité des entretiens est bien sûr assurée aux familles. En s’engageant dans cette démarche, l’institution développe ainsi et amplifie sa mission de recherche de paix sociale, en permettant aux couples ou aux familles, la construction d’une solution mutuellement acceptée, dans un cadre authentiquement juif, afin d’envisager l’avenir avec plus de sérénité. Jack-Yves Bohbot

Vous êtes Président de L’ASI , vice-président du Crif et du FSJU , pouvez-vous nous expliquer le lien avec votre dernier défi : la présidence du Comité Français d’org des 20 eme Maccabiades ? Ce lien est une évidence il s’appelle l’engagement communautaire et l’identification avec Israel Mon engagement tant Citoyen qu’au niveau des instances de notre communauté et à travers l’ASI a toujours été guidé par une triple responsabilité liée aux valeurs qui m’ont fait grandir. Je suis un Français, Juif et Sioniste . Vous les mettrez dans l’ordre que vous voulez . J’ai été très honoré de la proposition qui m’a été faite par le Président Mondial du Maccabi, mr Yair Hamburger, de prendre la présidence du Comité français pour ces 20 eme Maccabiades C’est un merveilleux challenge puisqu’il s’agissait d’emmener en Israel et dans sa capitale, Jerusalem, 150 Sportifs Juifs français qui nous feront, j’en suis certain, briller notre belle communauté Juive de France Notre objectif étant de faire résonner le plus souvent La Marseillaise par l’obtention du plus grand nombre de médailles. Notre délégation est au complet et de grande valeurs Mon objectif était qu’aucun jeune sportif Juif ne soit empêché de participer à ces Maccabiades pour un problème économique J’ai donc œuvre afin de trouver les moyens et j’ai ainsi eu le bonheur de voir le FSJU, la FJF, la Fondation Rotchild et la Fondation ADELIS, soutenir ce projet À eux se sont ajoutés des donateurs qui ont compris l’importance de ce rendez vous internationale des Communaute juives Ce seront près de 9000 Sportifs qui s’opposeront dans un esprit doublement fraternel, celui du Sport et du Judaïsme Que représentent pour vous les Maccabiades 2017 ? C’est 20e sont un moment particulier puisqu’il s’agit du 50e anniversaire de la réunification de Jérusalem du centième anniversaire de la déclaration Balfour. Elles sont donc à la fois les jeux olympiques du peuple Juif mais aussi l’occasion d’exprimer notre solidarité avec Israël et surtout avec sa capitale éternelle Jérusalem Qu’attendez-vous de ces jeux ? J’espère tout d’abord que ces jeux se dérouleront dans les meilleures conditions en toute sécurité et je sais que les autorités is-

raéliennes font tout pour cela se passe ainsi. J’attends également que notre délégation française soit à la hauteur. J’espère que les sportifs nous ramèneront des médailles. J’espère surtout que comme tous ceux qui y ont participé Les fois précédentes, ils en reviennent éblouis, heureux et surtout comme des ambassadeurs des valeurs du sport, des valeurs de paix, des valeurs humanistes et renforcés dans valeurs juives. Je voudrais souligner que notre délégation française sera accompagnée de personnalités juives et non juives du Monde du sport et de la culture. Ils ont tenu à être présent et à parrainer l’équipe France. Je voudrais remercier de leur présence Pascal Pape, ancien capitaine de l’équipe de France de rugby aux 69 sélections et plusieurs fois titré et aujourd’hui vice président de la fédération Française de rugby. Fabien Gillot 10 fois médaillé d’or aux jeux olympiques et aux championnats du monde de natation. Luis Fernandez footballeur au palmarès extraordinaire un déjà connu en Israel. Nous aurons aussi l’artiste français de théâtre et de cinéma Pascal Elbé. Ces amis ont accepté de venir afin de Témoigner de leur amitié et de leur fraternité pour la communauté juive et pour Israël. C’est pour notre délégation, Un Immense honneur et nous espérons que cela leur donnera l’envie de revenir en Israël. Ils défileront tous le jeudi 6 juillet au grand stade Teddy de Jérusalem à l’occasion de la cérémonie d’ouverture. Cette année, les jeux coïncident avec le 50ème anniversaire de la réunification de Jérusalem. Que représente ce symbole pour vous ? Ceci donne une importance encore plus symbolique et plus forte à notre déplacement. Nous avons le désir d’affirmer haut et fort notre solidarité et surtout notre attachement à la capitale éternel du peuple juif Quel est le message que vous voulez faire passer à nos jeunes qui concourront à cette réunion ? Le premier message je vais l’adresser aux Sportifs . je vais leur souhaiter une plein réussite. Je leur souhaite de vivre pleinement cette événement unique. Nous serons là pour les encourager. J’espère que nous batterons un record de médailles. Le second message c’est en direction de nos partenaires, de tous ceux qui ont permis que nous puissions emmener en Israël une délégation de qualité et nombreuses. Je veux leur dire que grâce à eux nombreux sont les sportifs qui n’ auraient jamais connu un moment aussi merveilleux. Certains d’entre eux ne sont jamais venus en Israël, ce sera peut-être leur premier voyage et je suis persuadé que c’est un voyage qui en amènera d’autres. Enfin je veux souhaiter a l’ensemble des délégations, à l’ensemble du peuple juif et à l’ensemble de l’humanité la paix et la fraternité Alain Sayada

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Les Maccabiades, c’est parti !

Tenue à Jérusalem, dans un contexte très particulier, puisqu’elle sera liée aux festivités du cinquantenaire de la réunification de la ville, cette grande compétition sportive verra débarquer 80 délégations venues du monde entier en Israël, du 4 au 18 juillet prochain. Modeste, la délégation française compte 150 athlètes hyper motivés qui, tous, entendent bien vivre à fond l’aventure ! Explications…

La communauté juive française est la plus importante d’Europe. La plus tournée vers la pratique religieuse également. En revanche, lorsqu’il s’agit de réunir un nombre conséquent de sportifs de haut niveau pour participer aux Maccabiades, il faut se battre : « Il faut repenser le lien entre les communautés et la pratique sportive, souligne Fabrice Madar, qui emmène 17 footballers hyper soudés en Israël pour ces Maccabiades. Il y a des clubs Maccabis dans toute la France, mais les inscriptions sont en berne. Et c’est dommage car la pratique sportive va bien au-delà de l’aspect santé : elle est aussi porteuse de valeurs fondamentales : la solidarité, le jeu collectif, la stratégie, l’entraide, le dépassement de soi... » En somme, des valeurs éminemment respectables et que l’on doit, en parallèle de celles du judaïsme, transmettre aux jeunes générations ! C’est en ce sens que la participation française aux Maccabiades se révèle fondamentale. Les responsables de chaque discipline sportive ont fait un énorme travail de recrutement et de constitution des équipes. « Dans plusieurs disciplines, il y a un espoir de médailles, souligne Pierre Haddad, président de la Délégation française et qui chapeaute l’équipe des basketteurs, mais cette aventure dépasse et de loin, la simple compétition sportive : elle va permettre aux jeunes Français de rencontrer de jeunes sportifs juifs du monde entier, de découvrir l’Etat d’Israël et pour certains, de se reconnecter à leur histoire, à leur patrimoine culturel à travers les valeurs et la pratique du sport. » A la recherche d’un nouveau souffle Mais ce qu’espère avant tout les organisateurs côté français, c’est un nouveau souffle pour les clubs Maccabis : « les communautés italiennes, allemandes, autrichiennes ou autres sont bien moins nombreuses que la nôtre. Pour autant,

elles parviennent à avoir de nombreux jeunes inscrits en clubs et à organiser les jeux européens, note, avec une pointe d’envie Fabrice Madar. Je ne vois pas pourquoi nous ne pourrions pas faire de même en France. Il faut redynamiser la pratique sportive et et réinculquer les valeurs du sports à nos enfants. » Un avis que partage, avec force, Thierry Journo, champion multimédaillé et enseignant passionné de Taekwondo : « je pratique ce sport depuis que j’ai 5 ans. J’ai toujours milité pour que les jeunes juifs français découvrent cet art martial dès le plus jeune âge, souligne l’ex-champion. » Avec brio, il faut le dire : la délégation française de Takwondo est certes restreinte, à peine 4 athlètes, mais elle pourrait faire des étincelles ! Un appel du pied aux fondations et mécènes en tous genres qui répondent souvent, pour ne pas dire toujours, présent lorsqu’il s’agit, en France, de voir éclore une yeshiva, mais manquent hélas à l’appel lorsqu’il est question de monter un club de foot, de basket ou d’escrime. Dans un tel contexte, on peut d’ailleurs souligner avec respect le soutien inconditionnel dont a bénéficié la délégation française de la part du FSJU, de la Fondation Adelis, et de la Fondation Rothschild : « nous sommes ravis d’être partenaire de cette initiative, conclut Ron Azogui, directeur général de la Fondation Rotshild. Bien sûr, nous souhaitons à tous ces jeunes sportifs juifs qui auront la chance de vivre cette aventure de revenir avec des médailles, mais surtout, nous espérons qu’ils vivront pleinement cette expérience et créeront des liens avec les athlètes du monde entier qu’ils auront la chance de croiser. » Et reviendront, des étoiles pleins les yeux, habités par l’envie d’entraîner d’autres jeunes juifs vers la pratique sportive ! Israël Actualités

Pierre Haddad, président de la délégation française des Maccabiades : « nous avons de vrais espoirs de médailles ! »

Président de la délégation française, Pierre Haddad part avec autant d’espoir que de rêves pour ces Maccabiades. Son credo : « répandre les valeurs du sport dans les communautés et rapprocher les sportifs de leur héritage culturel et identitaire ! ». Tout un programme… Entretien !

80 délégations, 15 jours de compétition, des milliers de participants… Les Maccabiades sont avant tout une aventure de grande ampleur. Quelles sont dans ce contexte, les ambitions des Français ? Notre délégation est modeste, c’est un fait. Nous partons avec 150 athlètes, le plus important collectif étant celui des footballeurs. Pour autant, ils sont très motivés et comptent bien ne rien lâcher pour offrir au Maccabi France quelques médailles ! Dans quelles disciplines avons-nous de réelles chances de l’emporter ? En karaté, notamment, Michaël Sarfati peut nous offrir une médaille. Idem pour le basket, grâce, entre autres à Frédéric Bourdillon, joueur dont le talent a été repéré par une équipe israélienne qu’il intègrera à l’issue de ces Maccabiades. Disons que les Arts Martiaux ou l’escrime peuvent nous rapporter des récompenses et que nous regarderons aussi avec attention du côté des équipes de basket et de base ball. Mais plus que la médaile, c’est l’aventure que vont vivre ces jeunes sportifs qui nous intéressent. C’est-à-dire ? Il faut le dire clairement : la pratique sportive n’est pas plébiscitée au sein des com-

munautés juives. Le fait que souvent, les compétitions se tiennent durant shabbat n’aide pas les jeunes à se passionner pour un sport, cela dit. Alors pour constituer des équipes capables de tenir le niveau, au sein de ces Maccabiades, nous avons fait un gros travail de recrutement, dans toute la France. De ce fait, il y a parmi les sportifs que nous emmenons en Israël, des jeunes pour qui cette aventure est réellement un premier contact avec la Terre Sainte, avec leur histoire, leurs origines, leur identité. Découvrir qui ils sont et d’où ils viennent par le biais du sport, c’est une expérience magnifique. Faut-il revoir l’enseignement du sport au sein des communautés et des établissements scolaires juifs ? Il faut, en tout état de cause, changer notre façon d’appréhender le sport, renouer avec la culture sportive et transmettre les valeurs du sport qui sont de belles valeurs et ce dès le plus jeune âge. Plus les enfants apprennent petits et plus ils ont une chance de s’y accrocher. Lorsqu’on a gravi des échelons dans une discipline, participé à plusieurs compétitions, on est mordu et on a moins de chance de tout laisser tomber ! Israël Actualités

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Grande journée du 25 mai « je teste l’école juive»

Nombres de préjugés circulent autour de l’école juive « le niveau est trop faible» « les écoles sont sélectives» « le nombre d’heures de kodesh ralentit l’apprentissage des matières générales « etc... L’association Choisir l’Ecole Juive s’emploie depuis des années à changer le regard porté sur l’école juive. Finalement les parents ayant leurs enfants dans des établissements publics ou privés non juifs connaissent peu ou mal le milieu des écoles juives. Il a donc paru essentiel à l’association Choisir l’Ecole Juive de faire découvrir aux enfants une journée type d’un élève en école juive.

Le principe : Le jeudi 25 mai étant férié, les parents en ont profité pour confier leurs enfants à l’école juive de leur choix, le temps d’une journée. Cours, ambiance, hébreu, méthode, les enfants ont pu tout découvrir à travers cette journée de classe et partagé également le repas du midi avec leurs nouveaux camarades. Tous les grands réseaux d’école OZAR HATORAH, ALLIANCE, ORT, SINAI, LOUBAVITCH .. ont participé. Les directeurs ont accueilli avec plaisir une centaine d’enfants dès 8h30 répartis entre

toutes les écoles. Les atouts de l’école juive : Vivre l’expérience de l’école juive» telle est l’ambition de ce projet. Les enfants ont pu se faire leur propre idée de l’école juive et tenter de comprendre ce qui s’y joue ! L’idée était de montrer à quel point l’école juive a changé depuis 20 ans. Elle est devenue plurielle, ouverte sur la cité et a atteint un niveau d’excellence tant dans les résultats au baccalauréat que dans l’innovation des méthodes d’apprentissage. Mais au delà des chiffres, cette journée a montré à quel point l’école juive est une grande famille

qui prépare les élèves aux défis de demain. L’école juive est aujourd’hui un lieu essentiel de transmission des savoirs, des valeurs du judaïsme et de notre identité. En définitive, grâce à ce type de journée, les parents ont compris ce que l’on vient chercher à l’école juive « un supplément d’âme» selon l’expression du Directeur des Institutions Ozar Hatorah Lionel Dufresne. Elodie Marciano Responsable de l’association Choisir l’Ecole Juive

Ã&#x20AC; LA UNE

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À LA UNE La promotion du terrorisme a droit de cité à Londres, il y a une journée, cela s’appelle la journée « Al Quds », cautionnée par l’autorisation du maire de Londres Sadiq Khan. Des drapeaux du Hezbollah, les participants sont invités à apporter des drapeaux montrant leur solidarité à la cause palestinienne. Journée mondiale -dit on- anti israélienne dans les rues de Londres, protestation unanime contre l’existence de l’état d’Israël et soutien à la « tragique cause palestinienne » dans ce qu’elle a de plus arbitraire. Un vol délibéré, machiavélique de l’histoire contemporaine, le plus mensonger. Cette apologie victimaire, compassionnelle pour « ces refugiés de 70 ans » qui sans honte avec la participation de l’UE se jouent de la morale occidentale et de notre naïveté. Ils vivent sous une impitoyable oppression de clans tyranniques, des radicaux de l’espèce la plus criminelle. Ils sont des boucliers humains utilisés en temps de conflit direct comme du bétail, au devant de Tsahal, attendre l’accrochage mortel et la condamnation d’un Israël impuissant à trouver une parade, souvent nos soldats le paient du prix de leur vie. Notre éthique biblique comme le peuple porteur de l’universalité de l’individu en tant qu’être humain nous fait vivre

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L’édito de Bernard Korn Brzoza l’enfer. Cette journée instaurée en 1979 par l’Ayatollah Khomeni qui avait décrété que le dernier vendredi du mois de Ramadan que l’on devrait « s’unir pour couper les mains du régime occupant d’Al Quds, Israël ». Ce naufrage pathétique d’un illuminé qui peut faire perdurer une telle manifestation, cette menace d’une ampleur mortifère qui ne peut avoir de fin que par la destruction de l’état d’Israël ; état de droit dont l’existence a été reconnue le 14 mai 1948. L’événement majeur qui a changé la face du Moyen Orient. Et l’UE, dans sa triste polyvalence politicienne fait parvenir à Ramallah une somme annuelle de 300 millions d’euros pour payer les assassins, les radicaux, les terroristes emprisonnés dans les prisons Israéliennes. Payé par nos deniers, nos impôts, nos prélèvements obligatoires sont la cagnotte de ces assassins. Défiant les USA, » un responsable palestinien jure que le paiement des terroristes continuera ». En débat à la Knesset, » en lecture préliminaire, les députés israéliens votent une loi contre les salaires des terroristes ». Mais le député arabe israélien Youssef Jabareen, du parti Judéo Arabe Hadash , intégré à la liste arabe unie « estime que les paiements étaient semblables aux indemnités de l’Assurance Nationale payées par Israël aux personnes âgées, aux chômeurs et aux femmes en congé materni-

té ». Et pendant ce temps, des protestations, des pétitions réclamant l’annulation de la « journée Al Quds » sont transmise auprès du maire de Londres Sadiq Khan qui fait dire par son porte parole « la mairie ne peut empêcher l’événement tant que les participants se conforment aux limites prévues par la loi ». En fait quelle limite ? La Fédération sioniste du Royaume Uni «(ZF) a décidé une contre manifestation, le même jour « pour lutter contre la haine » on attendait quelques centaine de participants. Les USA, le Canada, l’Australie et la ligue Arabe ont placé le Hezbollah sur leurs sites officiels des organisations terroristes. L’UE, à une autre approche, toute en douceur, euphémisme de la modération du langage diplomatique « ne considère pas l’ensemble du groupe comme terroriste mais l’UE a inscrit la branche militaire de l’organisation chiite sur sa liste noire car elle est liée à des actes terroristes perpétrés sur le territoire européen » Grande différence, la condamnation des actes terroristes dépend du lieu géographique ou ils sont commis. En Israël, un autre monde, une autre planète, des escarmouches quotidiennes, criminelles, mortelles qui ensanglantent le pays, qu’elles viennent du Hezbollah, du Hamas, ou sous traité par Daech, et de palestiniens galvanisés par le langage haineux de l’Autorité Palestinienne, qui s’en défend à grands cris, c’est moins important, le sang juif, le meurtre juif, n’est rien en comparaison de ce que vivent »douloureusement les Européens » et cela dans une situation d’état d’urgence du plus haut niveau. Quelle hypocrisie ! Qui en parle vraiment, minimisant les attentats afin de flatter la stratégie des services de protection et de la perspicacité des services de renseignements. Hier encore, ce lundi 19 juin, un nouvel attentat sur les Champs Elysée, un homme seul, fiché S, radicalisé sans antécédent d’incivilité, jamais condamné, irréprochable, ayant un permis d’arme, jette sa voiture bourrée d’armes dont des bonbonnes de gaz avec des dispositifs de mise à feu sur un fourgon de gendarmes. La dramaturgie terroriste

est une source d’erreur, d’oubli, d’inconséquence, de suffisance, d’incapacité, les fautes se suivent et se ressemblent, et nous sommes dans l’ère du changement politique. Tout n’est que façade, un trompe l’œil à la population, bientôt, la France, terre dangereuse, les Champs Elysée zone de guérilla urbaine, le même style d’attentat qu’à Notre Dame de Paris, la semaine dernière. Demain, Saint germain ? La Bastille ? L’expectative douloureuse de drame en devenir, de victimes futures. Hier, au soir, à la gare Centrale de Bruxelles, nouvel attentat, une victime, le terroriste. Mars 2016 un attentat à Bruxelles, il y avait eu 32 morts. Encore, combien de temps, devons nous vivre cela, tout un arsenal de mesures viennent s’ajouter aux anciennes, relai de l’état d’urgence, une fois de plus, sécurité optimale tout en préservant les libertés individuelles, et « perquisitions autorisées ». Avec cela, Français et Françaises, dormez tranquille, nous vous protégeons. E.Macron veut » un Islam compatible avec la République, qui doit prendre part dans le combat contre le terrorisme, c’est ce qu’il a exprimé lors du diner de rupture du jeûne organisée mardi soir par le CFCM. Un manque de conviction, ils sont « 12000 fichés « S », recensé en France pour leur lien avec l’islamisme. » Depuis 2012, les lois antiterroristes se télescopent et pour finalité, les attentats secouent la France, même scénario, toujours un fiché « S » qui arrive à se glisser hors des mailles sécuritaires et commet l’irréparable. Et ces incivilités prémices d’un attentat à venir, le laisser faire sans sanction, une fuite au nom d’une idée « du vivre ensemble » et la peur obsédante, paralysante des banlieues en colère. Que faire ? Un nouveau texte de loi et après ? Macron gère sa victoire, moins spectaculaire que prévue, 359 députés au lieu des 450 attendus, qu’importe. Macron est là, pour le meilleur et le pire ? Nous espérons le meilleur. Bernard Korn Brzoza

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France, la plus belle des promesses

Tôt ou tard, les gens qui ont ouvert la voie de l’Assemblée Nationale aux Guignols de «la France Insoumise» le regretteront. Mais il sera trop tard! Ceux d’entres vous qui auront vu le visage carnassier de Mélenchon le jour de son intronisation, ont dû sentir un frisson de peur les parcourir. Si nous avons mené un combat nourri et intensif contre le FN, en Général et contre les Le Pen, père et fille, en particulier, la réalité du terrain nous prouve que nous n’avons combattu qu’une partie du danger. LFI à la chambre, c’est une meute de loups dans la bergerie. Les frondeurs d’Hamon et de Montebourg vont passer pour des apprentis clowns. Car dans le cirque qu’on nous promet, ils seront, tout à la fois, les dompteurs et les fauves.

Personne ne nous a jamais entendu nous plaindre, maudire ou jurer.

Et ceux d’entres vous, qui ont vu et entendu, Danielle Obono, fraîchement élue et totalement insoumise, ( sur RMC) de mon temps on aurait dit «mal élevée» «vulgaire»...

Nous avons accepté notre sort, avec une volonté farouche de nous en sortir.

Mais bon sang, ces gens (c’est le mot préféré de Mélenchon) ces gens que l’on porte au sommet de l’état, pour défendre le peuple et par voie de conséquence, le pays, mais qui préfèrent «Nique la France» à «Vive la France» me laissent dans la bouche un goût de pourriture ignoble.

Voilà que cette France devient méconnaissable. Défigurée.

NOUS avons été chassés! NOUS avons été déplacés! NOUS avons connu l’exode NOUS avons vécu à 6 ou plus dans des chambres insalubres et précaires! NOUS avons étudié à la lueur d’une lampe à pétrole. NOUS avons retroussé nos manches! NOUS NOUS sommes mis au travail! NOUS avons accompli notre devoir militaire. NOUS avons contribué à la croissance d’une France qui était une promesse.

Nous avions un défi à relever.

Si les campagnes de 2017, ont été longues et fastidieuses, Si en 2017, plus de 50% de français ont préféré la plage, En 2022, Mélanchon sera élu avec 15% des voix. Il y aura 85% d’abstentions. Élu, je lui donne 100 jours, pour transformer le peuple en insoumis. Avant 100 jours, nous retrouverons l’ambiance de 1789, dans les rues de Paris. En attendant, relisons «les misérables»

La plus belle des promesses.

Nous y apprendrons sans doute, quelques ficelles pour survivre en temps de révolution.

La France des Droits de l’homme.

René SEROR

50 ans après la guerre des 6 jours, focus sur la situation actuelle Chacun de nous se rend compte qu’on ne parle plus du conflit israélo-arabe! POURQUOI? En tout premier lieu, c’est la faiblesse du leadership chez les palestiniens. Le Hamas n’est pas en bonne position dans la bande de Gaza, quant à Mahmoud Abbas, il n’a plus le moindre leadership sur personne en Judée Samarie. Alors qu’Israel est gouverné à droite, et plutôt bien géré, (bien sûr, qu’il reste beaucoup à faire). En second lieu, si on ne parle plus trop du conflit, c’est que la réalité du conflit dans le Monde arabe s’est déplacée, en Irak,en Syrie, en Lybie et bien évidemment autour de Daesh et de la lutte contre le terrorisme. Et d’une certaine manière, on ne va pas reprocher aux israéliens de s’accommoder de ces turbulences ? Compte tenu de la situation, les israéliens se retrouvent dans une position apaisée et ils s’en contentent. Trop heureux de ne pas faire la une de la presse internationale, tous les matins. Il n’y a plus que le Président français pour oser dire qu’Israel représente un danger pour la création d’un état palestinien. On voit bien que, si le ministère de l’éducation nationale a détruit une bonne partie des programmes scolaires, c’est en histoire, qu’ils ont dépassé le mur des «sons.» Mur que la décence m’interdit d’écrire avec un C. Car, si les livres d’histoire venaient à remettre les vraies informations sur les bonnes étagères, les enfants de France apprendraient -Que le véritable état d’Israel a été amputé

de cette partie nommée «Jordanie.» -Que la prétendue Jordanie est un territoire 4 à 5 fois plus Grand qu’Israel. -Que cette terre volée aux Juifs est habitée par 75% de pseudo palestiniens. -N’était la volonté de nuire aux Juifs, il y a longtemps que ce problème serait résolu. Et cela éviterait au Président de la France de dévoiler son ignorance en histoire. ZERO POINTÉ. Parallèlement, Il est regrettable que TRUMP ait renoncé à certaines promesses, en particulier, le déplacement de l’Ambassade, chose que les israéliens appellent de tous leurs vœux. Posons nous la plus importante des questions. Est-ce qu’Israel est toujours un obstacle pour le Monde arabe? Est-ce qu’Israel représente toujours cette présence impossible? Sans le moindre doute, l’Iran est totalement anti israélien. En revanche ce qui se présente de manière intéressante pour Israel, c’est l’affrontement entre l’Arabie Saoudite et le Qatar. A ce jour, les seuls soutiens de la bande de Gaza, ce sont les Qataris, qui sont en réalité très faibles militairement. La crainte est que, la tension est telle dans la bande de Gaza, que cela pourrait éclater à tout moment. C’est une crainte partagée par toutes les parties, à commencer par Tsahal. René SEROR

SÉCURITÉ

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

Le Rafale de Dassault Aviation sera en Israël

Au Bourget, Aeronautics (Israël) lance ses drones

Sur le salon de l’aéronautique de Paris la firme israélienne Aeronautics a dévoilé deux nouveaux drones. L’Orbiter 4 est dédié principalement aux missions maritimes avec son autonomie de 24 heures et sa capacité d’embarquement de deux charges d’équipements pour un poids de 50 kg. Pour ces deux charges, l’appareil peut exploiter différents radars (patrouille maritime, synthèse d’ouverture), un capteur d’interception, une charge électro-optique, ou encore un satellite de communication. Aeronautics a dévoilé aussi son Pegasus 120, un multi-rotor pouvant soulever jusqu’à 75 kg de charge qui se destine aux missions militaires spéciales. (http://www. drone-actu.fr) Le Salon international de l’aéronautique et de l’espace de Paris-Le Bourget, plus connu

sous le nom de Salon du Bourget, ou sous le sigle SIAE, est une des plus importantes manifestations internationales de présentation de matériels aéronautiques et spatiaux, se déroulant à l’aéroport du Bourget, au nord-est de Paris. Connu des anglophones sous le nom de Paris Air Show, il est organisé tous les deux ans (années impaires), en alternance avec le Salon aéronautique de Farnborough en Angleterre, et le Salon aéronautique international de Berlin (ILA) en Allemagne. Il est le premier rendez-vous de l’industrie aéronautique mondiale, juste avant celui de Farnborough. Le salon comprend des journées réservées aux professionnels et des journées ouvertes au grand public. Les constructeurs présentent souvent leurs aéronefs les plus récents dans des démonstrations en vol.

Le Rafale de Dassault Aviation sera en Israël (base militaire aérienne de Ovada) dans les prochains jours dans le cadre d’un exercice « Blue Flag « qui va accueillir 70 avions étrangers. Le Rafale est un avion de combat multirôle développé pour la Marine nationale et l’Armée de l’air françaises, et livré à partir du 18 mai 2001. Ovda est l’aéroport international d’Eilat en Israël. Il est situé en plein désert, à une cinquantaine de kilomètres au nord-ouest d’Eilat et accueille essentiellement des vols charters en provenance de l’Europe (Paris, Londres, Amsterdam, Athènes…) et des vols réguliers vers Tel Aviv et le nord d’Israël. L’aéroport comporte un seul terminal passager. Des compagnies tels que El Al, Arkia, Israir, Transavia ou Sun d’Or assurent des vols vers l’Europe en période estivale. Ovda est aussi une zone militaire de l’armée israélienne Tsahal. À la fin des années 1970, les forces armées françaises expriment un besoin d’un nouvel avion de combat polyvalent qu’il est envisagé de développer avec l’Allemagne de l’Ouest, le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie, mais les divergences de besoins, notamment la capacité d’opérer depuis un porte-avions, amènent la France à se désolidariser de ses partenaires en 1985. Le démonstrateur Rafale A vole le 4 juillet 1986 et le programme est lancé le 26 janvier 1988 : le monoplace Rafale C vole le 19 mai 1991, la version marine M, le 12 décembre de la même année, et le biplace B, le 30 avril 1993 ; le coût total du programme est de 46,4 milliards d’euros. L’avion est à aile delta et plans canard, à commandes de vol électriques et utilise des éléments de furtivité passive et active; il est équipé d’un radar à balayage électronique

RBE2 et de deux moteurs Snecma M88. Pour la supériorité aérienne, il utilise des missiles air-air et un canon ; en bombardement tactique, il utilise des bombes guidées laser, des missiles de croisière, des missiles antinavires, et en bombardement stratégique, un missile nucléaire. La France a prévu de commander 286 appareils dont 58 pour sa Marine. Au 31 août 2016, 146 avions ont été livrés sur les 180 commandés au titre des 4 premières tranches. En 2015, les contrats export du Rafale ont fortement augmenté les exportations françaises, le principal bénéficiaire est MBDA qui fournit les missiles des Rafale, puis Dassault Aviation, Thales, Safran et les 500 PME qui travaillent sur le projet Rafale1. Le 16 février 2015, l’Égypte commande 24 appareils (4,5 milliards €), dont 3 sont livrés dès juillet 2015. Le 4 mai 2015, le Qatar commande 24 appareils (6,3 milliards €). Bien que le 10 avril 2015 l’Inde annonce son intention d’acheter 36 appareils, la commande effective ne se concrétise que le 23 septembre 2016 (7,8 milliards €). Le Rafale a réalisé des missions de bombardement durant la guerre d’Afghanistan (2001-2014), lors de l’opération Serval au Mali et lors de l’opération Chammal contre l’État islamique en Irak ainsi que des missions d’interdiction et de bombardement au cours de l’intervention militaire de 2011 en Libye. Le Rafale M est le seul avion de combat non américain autorisé à opérer à partir des porte-avions de l’US Navy. À la suite d’erreurs de pilotage ou de défaillances physiques, cinq appareils ont été perdus en 2007, 2009, 2010 et 2012, causant la mort de deux pilotes.

SÉCURITÉ

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Les hélicoptères Apache à l’arrêt en Israël

Les Apache israéliens immobilisés. Suite à la découverte d’une fissure sur une pale d’un hélicoptère Apache, l’armée israélienne a décidé, le 13 juin, d’interdire de vol sa flotte d’AH-64.La fissure a été découverte par un technicien lors d’un contrôle routinier du matériel. Il a alors fait remonter l’information et le chef de l’armée de l’air israélienne a décidé d’immobiliser tous les Apache. Une enquête a ensuite été ouverte afin de comprendre l’origine de cette anomalie et de savoir si elle pouvait apparaître sur d’autres hélicopètres de la flotte, composée de 48 appareils. (Air et Cosmos) L’AH-64 Apache est un hélicoptère d’attaque tous temps. En 2015, il est construit par Boeing, qui absorba la société McDonnell Douglas, qui avait elle-même racheté la société Hughes en 1984. Cette dernière l’avait développé pendant la guerre froide afin de stopper les colonnes de chars d’assaut du pacte de Varsovie en cas de conflit en Europe. Tous les appareils sont produits dans l’usine Boeing de Mesa dans l’Arizona. Son baptême du feu eut lieu au Panama en décembre 1989. Par la suite, il fut engagé massivement pendant la guerre du Golfe (1990-1991) et plus récemment sur les théâtres afghan, irakien, libyen et yéménite. Contrairement aux hélicoptères conventionnels, le fuselage de l’Apache a été conçu pour continuer à évoluer au milieu d’un champ de bataille après avoir pris un coup

au but. L’habitacle et le moyeu du rotor principal sont capables de résister à des impacts multiples d’obus perforants/incendiaires de 23 mm tirés généralement par le redoutable ZSU-23-4 Shilka. Cette protection est offerte par 1 100 kg de blindage en carbure de bore renforcé avec du nylon. Le parebrise du canonnier ainsi que la verrière du pilote sont à l’épreuve des balles de calibre .50 et l’intérieur du cockpit est tapissé avec des plaques de Kevlar afin de limiter la propagation d’éclats en cas de perforation. Les sièges du pilote et du canonnier sont blindés au niveau du dossier et des côtés. Toujours dans le but d’augmenter les chances de survie, un écran blindé transparent sépare le pilote et le canonnier. Dès la conception de la cellule, certains composants vulnérables ont été délibérément surdimensionnés afin de continuer à fonctionner lorsqu’ils sont endommagés, ainsi le moyeu du rotor principal a un diamètre de 18 centimètres au lieu des 8 centimètres prévus initialement. On insiste aussi sur la redondance des systèmes, ainsi les commandes, les circuits hydrauliques et électriques sont dédoublés. En plus d’être auto-obturants, les réservoirs tout comme le fuselage, sont conçus pour résister à la violence d’un crash. Les turbines sont par ailleurs implantées aussi loin que possible, afin d’éviter la perte des deux en cas d’impact direct sur l’une d’entre elles. En cas de panne, l’Apache est capable de voler avec un seul moteur.

Au Bourget, le BDS demande « l’embargo militaire contre Israël »

Des activistes de la campagne BDS (Boycott Désinvestissement Sanctions) étaient au 52e Salon de l’aéronautique du Bourget, samedi 24 juin. Ils étaient une vingtaine à protester contre la présence des entreprises israéliennes, dont la société Elbit Systems. Les militants de la campagne BDS ont demandé un « embargo militaire contre Israël » et « l’exclusion du salon de toutes les entreprises liées au business de la guerre ».

Selon i24News avant l’ouverture du salon : « Le plus grand salon aéronautique du monde attend plus de 350.000 visiteurs du 19 au 25 juin La Direction de la coopération internationale du ministère de la Défense (SIBAT) s’apprête à envoyer une délégation pour l’inauguration de l’exposition israélienne au 52è Salon International de l’Aéronautique qui s’ouvre lundi au Bourget. La division d’exportation du ministère de

la Défense et les industries de défense d’Israël, telles que Rafael Advanced Defense Systems, Elbit Systems, Israël Aerospace Industries (IAI) et Aeronautics Ltd., présenteront comme chaque année à cette occasion leurs systèmes de défense et des solutions technologiques haut de gamme. Fort du succès des produits israéliens et du renforcement du statut de l’État hébreu sur la scène internationale ces dernières années dans le domaine militaire, Israël a décidé d’agrandir la surface de son pavillon dans l’enceinte de l’aéroport du Bourget, afin d’améliorer l’accueil du public et la visibilité de ses créations ».

SÉCURITÉ

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Une partie du plateau du Golan décrétée périmètre militaire sécurisé

«Israël n’interfère pas dans la guerre en Syrie», a rappelé Gadi Eizenkot La région du Plateau du Golan, près de la frontière syrienne, sera temporairement interdite aux civils, a annoncé lundi l’armée israélienne, dans un contexte de tensions accrues à la frontière, suite à un tir perdu dû au conflit syrien, qui a atterri en territoire israélien. L’armée a précisé qu’un certain nombre d’»endroits fréquentés» dans la région de Quneitra seraient fermés aux civils jusqu’à nouvel ordre, affirmant toutefois que les agriculteurs seraient autorisés à cultiver leurs champs dans cette région, mais ne pourraient pas se rapprocher de la frontière. Les débordements du conflit syrien se sont invités sur le territoire israélien à trois reprises, dans trois incidents distincts au cours des trois derniers jours, provoquant des représailles de l’armée de l’air israélienne. Israël a recommandé lundi aux citoyens résidant dans le Nord du pays de ne pas se rassembler dans des zones ouvertes, craignant les ripostes syriennes. Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Lieberman, a précisé lundi qu’Israël n’avait «aucune intention de lancer une opération militaire» contre la Syrie ou les groupes rebelles combattant sur le sol syrien.» Nous n’avons pas l’intention d’engager des manœuvres militaires dans le Nord ou le Sud», a indiqué Lieberman, avant d’ajouter: «Mais nous n’avons pas non plus l’intention d’être inactifs. Débordement ou non, chaque incident sera suivi d’une réponse». L’armée israélienne a ciblé samedi plusieurs positions du régime syrien, y compris deux chars, après que 10 obus de mortier ont frappé le Golan israélien. Deux soldats syriens ont été tués dans la contre-attaque israélienne. Concernant les deux incidents, Tsahal a si-

gnalé que les projectiles syriens ont atterri dans des «zones ouvertes», ne causant aucun blessé ou dommage connu et sont des tirs perdus dû au conflit syrien interne. L’armée syrienne a envoyé un avertissement à Israël après les attaques aériennes de dimanche.» L’état-major général de l’armée syrienne met en garde contre les dangers de ces actions agressives et tient l’ennemi israélien responsable des graves conséquences de ces actions répétées, malgré les excuses possibles», a-t-elle déclaré, selon le site d’information Ynet. La télévision d’Etat syrienne, SANA, a également porté des allégations attribuées aux sources de l’armée syrienne selon lesquelles l’attaque israélienne était «coordonnée» avec un bombardement du mouvement djihadiste al-Nosra, l’un des groupes rebelles qui combattait le gouvernement près du Plateau du Golan. Alors qu’Israël a adopté officiellement la position de non-ingérence concernant la guerre civile syrienne, depuis six ans, des rapports sont apparus la semaine dernière indiquant que l’Etat hébreu a financé un petit nombre de groupes rebelles opérant dans la région frontalière dans le but d’établir une zone tampon dans Sud de la Syrie. Un rapport publié la semaine dernière sur le site internet News Deeply et le Wall Street Journal de dimanche contenaient des entretiens avec des rebelles syriens qui affirmaient avoir reçu des paiements mensuels d’Israël pour le financement de leurs armes, leurs munitions, leur carburant et leurs aliments. Le chef d’état-major israélien, Gadi Eizenkot, a nié ces allégations en déclarant lors d’une conférence annuelle sur la politique et la stratégie la semaine dernière: «Israël n’interfère pas dans la guerre en Syrie». i24news

Info ? Intox? Des israéliens protègent-ils La Mecque ?

Une action terroriste à été dirigée contre la Grande Mosquée de la Mecque cette semaine. Info? Intox? Une information jamais confirmée ni démentie par les Autorités israéliennes et qui mérite toute l’attention nécessaire : « L’Arabie saoudite a confié à une société israélienne la responsabilité des questions de sécurité concernant le pèlerinage à la Mecque. La filiale saoudienne opère en toute discrétion. Le principal champ d’intervention de la société israélienne est le pèlerinage annuel à La Mecque qui concentre plus d’un million de fidèles ». Selon Le Monde cette semaine : « Une action terroriste dirigée contre la Grande Mosquée de La Mecque a été déjouée par les forces de sécurité saoudiennes, vendredi 23 juin, a annoncé le ministère de l’intérieur. Onze personnes, dont cinq policiers, ont été blessées dans l’effondrement d’un bâtiment de trois étages où se barricadait un kamikaze qui s’est fait exploser, a précisé un porte-parole du ministère dans un communiqué publié par l’agence officielle Spa. Le grand imam d’Al-Azhar, prestigieuse institution de l’islam sunnite basée en Egypte, et le gouvernement jordanien ont condamné l’attentat terroriste déjoué vendredi par les forces de sécurité saoudiennes

et qui devait viser la Grande mosquée de La Mecque, premier lieu saint de l’islam. Le kamikaze faisait partie d’un groupe « terroriste », basé dans deux quartiers de La Mecque, et à Jeddah, la capitale économique du royaume, sur la mer Rouge, et dont cinq membres, y compris une femme, ont été arrêtés, a ajouté le ministère. L’attentat déjoué était « imminent et visait la sécurité de la Grande mosquée et celle des fidèles », a ajouté le porte-parole. Selon lui, le kamikaze, chargé de mener l’attentat, s’est fait exploser après avoir refusé de se rendre aux forces de sécurité, qui ont assiégé un bâtiment de trois étages, situé dans l’enceinte de la Grande mosquée et où il s’était barricadé. Six résidents étrangers et cinq policiers ont été blessés, a précisé le porte-parole. Il a expliqué que le groupe terroriste avait visé « le lieu le plus sacré » des musulmans et exécutait « des plans dirigés depuis l’étranger dans le but de nuire à la sécurité et à la stabilité » du royaume saoudien. Il n’a pas cité nommément les commanditaires de l’attentat déjoué ou les pays qui l’auraient inspiré ». www.lemonde.fr

Un projectile tiré depuis Gaza explose à la frontière avec Israël Aucun blessé ni dommage n’est à déplorer Un projectile en provenance de Gaza a explosé lundi soir près de la frontière avec Israël, a déclaré l’armée israélienne. Aucun blessé ni dommage n’est à déplorer. Les tirs de projectiles depuis la bande de Gaza sont rarement revendiqués et sont at-

tribués à des groupes radicaux palestiniens. Israël, toutefois, en fait porter la responsabilité au Hamas, qui contrôle l’enclave palestinienne, et bombarde généralement les bases de sa branche armée en représailles. Israël et le Hamas observent un cessezle-feu fragile depuis la fin de la guerre de 2014, la troisième depuis que le mouvement islamiste palestinien a pris le pouvoir dans le territoire en 2007.

FRANCE

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La justice française ordonne des mesures d’aide pour les migrants de Calais

Jean-Pierre Raffarin lance « Leaders for Peace » Elles visent à éviter que les réfugiés ne soient exposés à des risques de traitements inhumains et dégradants La justice française a ordonné lundi en référé une batterie de mesures d’aide aux migrants de Calais (nord), actuellement livrés au dénuement, tout en écartant la réouverture d’un centre d’accueil d’urgence. Sous 10 jours, avec une astreinte de 100 euros par jour de retard, le tribunal administratif de Lille (nord) a ainsi exigé des autorités françaises la mise en place de plusieurs points d’eau, de sanitaires et de douches afin d’éviter que les réfugiés errant actuellement dans le Calaisis, entre 400 et 600, ne soient «exposés à des risques de traitements inhumains et dégradants». Raffarin est un grand ami d’Israël et il n’a jamais manqué de le faire savoir. Son départ de la vie politique est une excellente nouvelle pour « les amoureux de la paix ». En Israël et au Moyen-Orient, J.P. Raffarin aura beaucoup à faire!

M. Raffarin affirme qu’il entend également poursuivre son « investissement au service de la coopération franco-chinoise », et garder un oeil sur « la Vienne et ses projets, notamment celui de l’Institut international Jöel Robuchon à Montmorillon ».

Selon i24News : « L’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin annonce qu’il quitte la politique, renonçant à terminer son mandat de sénateur, afin de créer une ONG internationale « pour alerter contre les risques de guerre », dans une tribune publiée par la Nouvelle République mardi.

Bio-Express. Jean-Pierre Raffarin, né le 3 août 1948 à Poitiers, est un homme d’État français, Premier ministre de 2002 à 2005. Il est président du conseil régional de Poitou-Charentes de 1988 à 2002 et ministre du Commerce et de l’Artisanat dans les gouvernements Alain Juppé, entre 1995 et 1997.

« Le moment est venu de me retirer de la vie politique élective », écrit le sénateur de la Vienne. « Je renonce aux trois ans de mandat qu’il me reste à accomplir au Sénat car le moment est pertinent. La jeune génération politique prend le pays en main et c’est heureux », poursuit-il. Ce Poitevin élu dans la Vienne depuis 1977, annonce qu’il va créer Leaders for Peace, « une ONG internationale pour alerter contre les risques de guerre qui nous menacent ».

Député européen puis sénateur, il est nommé Premier ministre par le président Jacques Chirac après l’élection présidentielle de 2002. À Matignon, il mène une politique de réformes et favorise notamment la décentralisation. Souffrant d’une importante impopularité, il démissionne après le référendum sur le traité établissant une constitution pour l’Europe de 2005. Cadre historique de l’Union pour un mouvement populaire (UMP), il assure l’intérim à la tête du parti pendant quelques mois en 2014.

Cette décision a été saluée par les défenseurs des droits des migrants et donne en partie raison aux onze associations qui avaient saisi le juge mercredi dernier pour demander l’arrêt des «entraves» à la distri-

bution de nourriture. En revanche, le juge n’est pas allé jusqu’à exiger la création d’un centre d’hébergement d’urgence fixe à Calais car cela ne constitue pas «la seule solution pour prendre en charge efficacement et dignement les personnes concernées». Cela n’était pas non plus de sa compétence puisqu’il était saisi en référé, rappelle-t-il. La mise en place d’un tel dispositif avait été balayée par le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb qui, en déplacement vendredi à Calais, avait argué que cela risquerait de provoquer un «appel d’air» dans la région. La crainte est de voir pousser un nouveau bidonville, alors que 7.000 personnes environ avaient été évacuées lors du démantèlement de la «Jungle», lancé voici tout juste huit mois, le 24 octobre 2016. i24news

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L’ex-PM Manuel Valls quitte le PS et siégera comme député apparenté LREM en cela. C’est pourquoi je parle d’une forme d’injustice», a-t-il lancé. Battu en janvier à la primaire socialiste élargie, Manuel Valls avait soutenu Emmanuel Macron avant le premier tour de l’élection présidentielle, aux dépens du vainqueur de la primaire Benoît Hamon, ce qui lui avait valu de ne pas être investi par le Parti socialiste pour les élections législatives dans la 1ère circonscription de l’Essonne, où il briguait un nouveau mandat.En revanche, ni la République en marche ni le PS n’ont présenté de candidat face à lui, et l’ancien Premier ministre a réussi à s’imposer de justesse (50,3% des voix) face à la candidate de la France insoumise Farida Amrani, qui a toutefois contesté le résultat.

Valls s’était également retrouvé «isolé» de la gauche lors de son combat contre Dieudonné en 2013 Manuel Valls a annoncé mardi sur RTL qu’il quittait le Parti socialiste (PS), après avoir soutenu Emmanuel Macron dès le premier tour de l’élection présidentielle, et s’être fait réélire député de l’Essonne sans l’étiquette du PS.» Une partie de ma vie politique s’achève. Je quitte le Parti socialiste, ou le Parti socialiste me quitte», a déclaré l’ancien Premier ministre, qui entend siéger «dans la majorité» d’Emmanuel Macron. Peu après, une source parlementaire a indiqué qu’il siégerait à l’Assemblée comme député apparenté au groupe la République en Marche (REM).» Je ne siègerai pas dans un groupe où il y

aurait des ambiguïtés, où on ne voterait pas la confiance au gouvernement. Moi je voterai la confiance au gouvernement le 4 juillet prochain», avait-il affirmé. Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a réagi en affirmant que cela «ne le surprend pas».» Il y a quelque chose de très violent dans la situation de Manuel Valls, il y a des critiques qu’on peut exprimer envers lui, mais je trouve qu’il y a une opprobre sur cet homme qui me paraît injuste», a déclaré le porte-parole mardi sur CNews, sans toutefois ouvrir la porte du groupe REM à l’Assemblée à l’ex-Premier ministre.» C’est à lui de dire s’il veut s’engager à soutenir cette politique, je sais qu’il n’aura pas un rôle éminent, il ne l’a pas souhaité et aujourd’hui la nouvelle génération de la République en marche ne l’accueillerait pas

Manuel Valls, l’antiromantique de gaucheDans ce contexte de violence politique, l’ancien ministre de l’Intérieur s’est confié à l’écrivaine Christine Angot, dont l’interview a été publiée lundi par Libération. L’occasion pour l’homme de gauche de revenir sur son «isolement» et sa «solitude» au sein de son camp, notamment pendant la période de campagne des législatives, largement commentée par les médias. A gauche, «il y a toujours cette idée du romantisme. Je ne suis pas romantique,» a déclaré l’ancien Premier ministre, régulièrement attaqué par son propre camp, l’accusant d’être un «droitier». Une illustration marquante de cet isolement a été son combat solitaire contre le polémiste Dieudonné en 2013 pour faire interdire ses spectacles, ouvertement antisémites. Manuel Valls explique sa prise de position ferme par la résurgence d’actes antisémites

dans sa ville, Evry (Essonne) et dénonce une forme de complaisance traditionnelle de gauche avec les combats à propos du terrorisme.» Je voulais signifier un refus. Il n’y a pas beaucoup de Juifs à Evry, il y a une petite synagogue, dans un quartier, cette petite communauté séfarade, essentiellement, se faisait caillasser par des gamins,» confie l’ancien Premier ministre à l’écrivain.» Par ailleurs, ma première femme, la mère de mes enfants, elle était institutrice, avait constaté qu’à la question ‘quel est ton ennemi’ (un questionnaire de l’Education nationale demandait quel est ton ami, ton ennemi, etc), beaucoup d’enfants répondaient ‘c’est le juif’,» ajoute-t-il. Manuel Valls déplore, face à cette situation très préoccupante, avoir mené seul la bataille contre les dérives de Dieudonné.» La question, ce n’est pas la Palestine. C’est quelque chose qui a lieu chez nous, dans nos quartiers, c’est nos enfants. Ils répètent ce qu’ils entendent. Alors, en 2013, je décide, seul, là, pour le coup, de monter au créneau», raconte-t-il.Sa persévérance permettra l’interdiction du spectacle de Dieudonné à Saint-Herblain, le Conseil d’Etat ayant confirmé la décision du préfet. Lors des dernières élections législatives, le polémiste s’est présenté dans la même circonscription que l’ex Premier ministre pour tenter de battre celui-ci sur ses terres.A ce sujet, Manuel Valls déplore que «personne n’a dénoncé». i24news

France : création au Sénat d’un groupe parlementaire La République en Marche Le groupe est ouvert «à tous ceux» qui «souhaitent porter les valeurs, les principes et les propositions» Le sénateur François Patriat, l’un des premiers soutiens d’Emmanuel Macron à la Haute Assemblée, a annoncé lundi la création d’un groupe parlementaire La République en Marche (REM) au Sénat.» Je vous invite demain, ce mardi à partir de 09H45, à une conférence de presse annonçant la création du groupe sénatorial La République en Marche», a écrit dans un communiqué l’ancien ministre socialiste, qui avait plaidé pour la formation d’un groupe macroniste au Sénat «au plus tôt». Il avait ainsi envoyé la semaine dernière un projet de «charte fondatrice de groupe» aux sénateurs tentés de former un groupe En Marche au Sénat.Le groupe est ouvert

«à tous ceux» qui «souhaitent porter les valeurs, les principes et les propositions» d’Emmanuel Macron, avait précisé le sénateur de Côte-d’Or en s’adressant à des sénateurs PS, LR, centristes, radicaux et écologistes. La grande interrogation porte sur l’effectif du groupe. Il faut 10 parlementaires pour créer un groupe au Sénat. La semaine dernière, il semblait qu’une trentaine de sénateurs étaient prêts à répondre à l’appel de M. Patriat. Le groupe PS actuellement tiraillé entre ceux qui veulent suivre M. Patriat et créer un groupe REM, ceux qui, comme le président du groupe Didier Guillaume, souhaitent être dans la majorité présidentielle en gardant leurs spécificités, et les autres qui prônent l’opposition au gouvernement, tien-

dra de son côté une réunion mardi à 11H00. Elle devrait lui permettre de «prendre des décisions sur notre positionnement», avait dit M. Guillaume. Par ailleurs, le groupe REM aura la possibilité de s’étoffer lors du renouvellement par moitié du Sénat le 24 septembre. La République en Marche présentera ses propres listes à ce scrutin qui renouvellera les sièges des élus des départements allant de l’Indre-et-Loire aux Pyrénées-Orientales, ceux de l’Ile-de-France, de la Guadeloupe, la Martinique, la Réunion, la Nouvelle-Calédonie, Saint-Pierre et Miquelon, et 6 sièges de sénateurs des Français hors de France, soit 170 sièges sur 348. i24news

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Restaurant méditerranéen à Paris. Sélection du Figaro

Balagan Le lieu. Au rez-de-chaussée de l’hôtel Paris-Vendôme, l’association détonante entre la bande de l’Experimental Group (Prescription et Experimental Cocktail Club…) et le duo Assaf Granit et Uri Navon (Ma’hané Yehuda à Jérusalem). Les oiseaux de nuit se ruent déjà dans ce joyeux bazar (la traduction du mot yiddish balagan) organisé en L autour d’un grand comptoir très glamour et d’une salle tout aussi séduisante, griffée Dorothée Meilichzon, décoratrice attitrée de la bande de l’Experimental. L’assiette. Belle carte méditerranéo-israélienne qui comblera autant les viandards (filet de bœuf ou T bone d’agneau au four Josper) que les appétits marins (dorade, épinards et beurre blanc tahini) et bien entendu les veggies (risotto aux légumes verts). À ne pas manquer, la déjà culte polenta moel-

leuse aux champignons, asperges, œuf poché et huile de truffe, pourtant bizarrement fagotée dans son bocal en verre. Bon point aussi pour les cubes de ris de veau frits relevés de citron, pulsés à la coriandre et à tremper dans un bon labné. En dessert, la glace tahini (crème de sésame) sur cheveux d’ange est elle aussi déjà incontournable! Bravo. L’ambiance festive, les pains maison. Dommage. Les prix costauds, la réservation difficile. Fraîche ouverture oblige, l’impression de déranger un poil entre les amis, les amis d’amis et les amis d’amis d’amis. Balagan. 9, rue d’Alger (Ier). Tél.: 01 40 20 72 14. Tlj. Carte: 40-60 €. http://www.lefigaro.fr

Bon courage Johnny. Ses fans en Israël l’admirent encore plus

Le rockeur qui était en Israël en concert il y a cinq ans est une figure préférée de notre rédaction. Son combat contre le cancer est admirable. Dans Le Point en 2012 : « Pour sa première visite en Israël, Johnny Hallyday a confié qu’il avait « failli » venir soutenir l’Etat hébreu au moment de la Guerre des Six Jours en juin 1967, mais que le temps qu’il arrive, le conflit était fini. « J’ai beaucoup d’amis ici. J’ai failli venir au moment de la Guerre des Six jours, mais c’était fini avant que j’arrive », a raconté le rockeur français à la chaîne privée 10, à la veille de son premier et unique concert en Israël. « C’est une occasion formidable de venir ici. Je regrette de venir si tard mais mieux vaut tard que jamais », a ajouté le chanteur.Lundi après-midi, des centaines de fans l’ont acclamé lors d’une réception à la résidence de France à Jaffa, près de TelAviv ». Le Figaro : « Alors que samedi soir en prime-time, TF1 retransmettait le concert des Vieilles Canailles à Bercy, la compagne du rockeur s’est exprimée au micro de Nikos Aliagas sur le «combat» que mène son époux. Dans les coulisses, Thomas Dutronc et Læticia Hallyday étaient bien placés samedi soir pour assister au concert des Vieilles Canailles à l’AccorHotels Arena de Bercy. Retransmis en direct sur TF1, et présenté par Nikos Aliagas, le show a été une réussite totale, les trois compères Johnny Hallyday, Eddy Mitchell et Jacques Dutronc en osmose totale avec leur public.

Quelques secondes avant le début du spectacle, l’animateur était aux côtés de Thomas Dutronc, fils du chanteur, et de Læticia Hallyday pour recueillir leurs premières impressions. Avec beaucoup d’émotion et de fierté, l’épouse de Johnny s’est confiée sur l’entente entre les trois hommes, et le combat que mène son mari contre le cancer. «Je crois qu’ils se marrent beaucoup sur scène. Ils sont très heureux se retrouver tous les trois, ils ont vécu tellement de choses incroyables… C’est une émotion incroyable de les voir ainsi réunis, et encore plus ce soir. Vous le savez, Johnny mène aujourd’hui un combat, avec courage, avec dignité et avec force. Et ses deux amis de toujours le soutiennent, lui donnent une force incroyable. C’est une leçon pour nous tous. Ça m’émeut encore plus de le voir sur scène en ce moment». Plus tard sur scène, Johnny a d’ailleurs rendu hommage à sa famille. «Ce soir, j’aimerai saluer Laeticia, ma femme, faire un baiser à mes filles Jade et Joy, dire à mon fils David que je l’aime, et à mon petit-fils, son fils, que je l’aime également», s’est-il exclamé, visiblement ému, avant d’entonner une de ses chansons phare, Le Pénitencier. Le spectacle a été particulièrement suivi sur le petit écran. Le concert des Vieilles Canailles a rassemblé près de 4 millions de téléspectateurs sur TF1, pour 24,2% de part d’audience ».

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France : l’ère des juifs de gauche honteux d’être juifs ne peut être considéré comme empiétant sur les valeurs de la République française, sauf à considérer que la France n’a jamais eu de racines chrétiennes. Le judaïsme ne doit lui non plus pas être honteux en France, et se dire juif et fier de l’être ne peut être considéré comme empiétant sur les valeurs de la République française, sauf à considérer que le judaïsme est incompatible avec lesdites valeurs.

La réélection de Meyer Habib a donné lieu a de nombreux jets de bile venant de Juifs français de gauche. Aujourd’hui le poisson a disparu le vendredi, mais la viande halal est devenue omniprésente Meyer Habib a remercié le Tout puissant. Il portait une kippa et était accompagné d’autres Juifs qui portaient eux aussi une kippa. Il a chanté une chanson évoquant Jérusalem. Les Juifs français de gauche ont déclaré avoir la nausée. Meyer Habib a violé le principe de laïcité, ont-ils dit. Il a oublié qu’il représente tous les Français à l’Assemblée nationale, ontils ajouté. Il a insulté les gens du reste de la circonscription qui l’a élu. Enfin, ont-ils dit, il donne une mauvaise image des Juifs et ne peut que contribuer à l’antisémitisme. Tous ces propos me semblent lamentables, voire répugnants, et je tiens à le dire. La laïcité française est un paravent très usagé qui cache de plus en plus mal tout un ensemble de reculs et de démissions. Il fut un temps, que j’ai connu, où, à la cantine du lycée, on servait du poisson le vendredi, par respect des valeurs chrétiennes, sans que quiconque dise que la laïcité est en danger. Aujourd’hui le poisson a disparu le vendredi, mais la viande halal est devenue

omniprésente. Il fut un temps ou fêter Noël et installer une crèche dans un lieu public ne faisait hurler aucun tenant de la laïcité : ce temps est quasiment révolu. Et dans de nombreuses villes sapin de Noël et crèche ont été escamotés parce que cela déplaît aux militants de l’islam. Des candidates voilées se sont présentées aux récentes élections législatives, parfois sous l’étiquette d’un parti ouvertement islamique, sans que de nombreuses voix s’inquiètent, y compris parmi les Juifs de gauche. Le christianisme en France connaît un tel reflux que nombre d’églises sont vides et que des dizaines d’entre elles sont démolies chaque année. L’antisémitisme, qui avait semblé s’estomper, fait son retour en force, et tue, dans l’indifférence générale. L’islam, lui, se fait visible et revendicatif, et il avance sur les décombres laissés par le christianisme et sur l’exclusion des Juifs. Ou bien la France retrouvera ses valeurs fondatrices, ou bien elle sombrera, non pas dans le laïcisme strict, qui n’existe que dans les dogmes délétères et fumeux de quelquesuns, mais dans l’islamisation rampante. Le christianisme ne doit pas être honteux en France, et se dire chrétien et fier de l’être

L’islam n’est pas du tout honteux en France, et se dire musulman et fier de l’être se fait chaque heure de chaque jour sans entraîner de critiques de la part des pseudo “bien pensants” (y compris nombre de Juifs de gauche) qui trouvent en général très bien qu’on se dise musulman et s’empressent sans cesse pour chanter les merveilles du dogme né avec Mohamed et disent, là, par contre, que le dogme en question est lui tout à fait compatible avec les valeurs de la République, sans voir apparemment que les reculs du christianisme et du judaïsme visibles sont imposés dans la pratique par l’islam conquérant. Si un débat sur la laïcité doit avoir lieu, il impliquera que soit rappelé que le christianisme et le judaïsme ne cherchent aucunement à imposer leurs principes à qui que ce soit aujourd’hui, il impliquera aussi que soit rappelé ce que la civilisation occidentale doit au christianisme et au judaïsme, et il impliquera enfin que des questions soient posées concernant l’islam, son avancée, ses conséquences, ses apports au monde contemporain. Affirmer qu’on ne peut être chrétien et fier de l’être et représenter tous les Français à l’Assemblée nationale se conçoit peut-être dans les mouvements d’extrême gauche, au sein desquels on chante souvent un chant qui exige qu’il soit fait table rase du passé, ce qui a donné les résultats que l’on sait dans bien trop de pays du monde, ce n’est pas acceptable au delà de ces mouvements, et tous les Français ne sont pas censés penser que l’Internationale sera le genre humain. Affirmer qu’on ne peut être juif et fier de

l’être et représenter tous les Français à l’Assemblée nationale se faisait sans doute sous Pétain et est une parole qui, tout en entraînant l’approbation de Juifs de gauche en France aujourd’hui, rencontre vraisemblablement l’approbation des organisations islamiques. C’est une parole qui rencontre aussi sans aucun doute l’approbation des gauchistes qui cachent leur antisémitisme sous le masque “anti-sionistes”. Je suis consterné, mais pas surpris que des Juifs de gauche en France aient des positions aux relents pétainistes, se fassent potentiels compagnons de route et d’égarement d’organisations islamiques et utilisent des arguments dignes de gauchistes “anti-sionistes”. Si, par ailleurs, des Français ne se sentent pas représentés par un Juif fier d’être juif et se sentent insultés d’être représentés par un tel Juif, je considère que ce sont des Français antisémites, et j’aurais tendance à les renvoyer vers la poubelle dont ils n’auraient jamais dû sortir. Affirmer, en outre, qu’être juif de manière ostensible crée de l’antisémitisme est une attitude de gauche typique qui consiste à blâmer la victime et à excuser le bourreau. Les antisémites n’aiment pas les Juifs visibles. Ils n’aiment pas les Juifs du tout. Ils demandent aux Juifs de se faire invisibles et de disparaître. Leur obéir est dire que l’antisémitisme est légitime et qu’il a gagné. Que par leurs propos des Juifs de gauche affirment implicitement que l’antisémitisme est légitime et qu’il a gagné est répugnant. Moi qui n’ai pas l’honneur d’être juif, mais qui sait ce que l’humanité entière doit au judaïsme, j’écris ici que ce genre de propos suscite mon absolu dégoût. David Friedman, ambassadeur des EtatsUnis en Israël qualifiait les Juifs de gauche américains qui le critiquaient de kapo. Je n’ai cessé de penser qu’il avait raison. © Guy Millière pour Dreuz.info

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Promesses … sur le permis de Conseils pour transformer un conduire des immigrants français CV français en CV israélien

Benjamin Netanyahu a demandé cette semaine aux professionnels du secteur des transports de reconnaître la validité des permis de conduire des immigrants français dans un délais d’un mois, a indiqué le Bureau du Premier ministre dans un communiqué. « Le Directeur général du Ministère des Transports est chargé de coordonner le sujet », précise le communiqué. POUR LES CITOYENS ISRAELIENS. Passer le permis de conduire en Israël. Il est possible d’entamer le processus à partir de l’âge de 17 ans. A la suite d’un examen médical et d’optométrie, l’examen du permis de conduire se divise en deux parties, à l’instar de l’examen français : examen du code de la route et examen de conduite. Le code de la route est un examen national. Il comporte 30 questions théoriques et son obtention est conditionnée à la réussite d’au moins 26 questions sur 30. Les questions sont à choix multiples, une seule réponse étant correcte. Il n’existe pas d’école de conduite pour s’y préparer. Cependant des livres officiels ainsi que des sites internet visent à entraîner les candidats.

Une fois prêt, vous devez vous inscrire dans un des centres d’examen du Ministère. Les frais d’inscription sont d’une cinquantaine de shekels. En cas d’échec à l’examen, il vous sera possible de le repasser dès le lendemain. L’examen pratique s’effectue une fois le théorique obtenu. Le Ministère des Transport impose un minimum de 28 leçons de conduite avec un instructeur agréé par ses soins. La liste des instructeurs agréés est disponible au Ministère ou au Bureau des Immatriculations (Misrad HaRishoui). Chaque leçon coûte en moyenne 135 shekels. Une fois prêt, l’inscription à l’examen de conduite coûte environ 500 shekels. Attention, vous n’êtes autorisé à passer l’examen pratique que deux fois, sans quoi vous serez obligé de reprendre entièrement votre formation pratique (28 heures de conduite). En cas de réussite à l’examen, vous serez soumis à période de probation de 3 mois (suivant l’obtention de votre permis), pendant laquelle vous ne serez autorisé à conduire qu’en présence d’une personne âgé de 24 ans au moins et titulaire du permis depuis 5 ans au moins (ou de 30 ans au moins et titulaire du permis depuis 3 ans).

Source d’inquiétude pour les jeunes français faisant l’Alyah ou simplement pour trouver un stage en Israël, un CV est toujours mieux accepté lorsqu’il répond aux attentes locales.Il faut donc sortir des prérequis français et s’adapter aux attentes israéliennes. Comme en France, un CV ne doit pas dépasser une page, un recruteur est censé pouvoir le survoler de manière rapide en retenant toutes les informations essentielles. On y retrouve les 4 ou 5 sections habituelles : les informations personnelles, la formation, les expériences professionnelles, les langues parlées, et les compétences en informatiques. Auxquelles s’ajoute une partie sur l’armée ou le service national (sherut leoumi). Les informations personnelles Au niveau des informations personnelles, beaucoup moins d’informations sont requises en Israël. Des éléments comme la date d’Alyah, le statut marital sont le plus souvent inutiles. Par contre, l’âge, et un moyen de communication (email ou/et numéro de téléphone) sont 100% nécessaires. La formation et les expériences professionnelles

Les recruteurs israéliens connaissent bien peu les Universités étrangères. Il faut donc détailler les matières étudiées. Cela est également vrai pour les expériences professionnelles. Il faut les développer pour que l’employeur ait une vision assez globale des capacités des candidats. Les abréviations des formations ou des diplômes sont à exclure car elles sont incomprises par les recruteurs. Les langues et l’informatique La langue est une catégorie importante en Israël, surtout pour les candidats étrangers. Il est nécessaire d’inscrire son niveau de maitrise de l’hébreu et de l’anglais, même si le niveau d’hébreu est encore débutant. Concernant les compétences informatiques, il n’y a pas de différences majeures avec les CV français. En Israël, le CV est souvent accompagné de quelques phrases de motivation et non d’une lettre entière comme en France. Ces lignes sont recommandées pour décrocher un travail en Israël. Il est inutile de préciser qu’une différence majeure avec un CV français est qu’il n’est pas rédigé en français mais en hébreu où en Anglais! Eyal Cohen pour IsraëlValley

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Job Booster. L’oulpan pour les nouveaux immigrants en Israël Sauf si vous êtes un(e) vrai débutant, ce n’est pas évident de savoir dans quelle classe s’inscrire à l’oulpan. Intégrer le bon niveau, c’est non seulement important pour ne pas se sentir dépassé ou s’ennuyer, mais surtout pour ne pas gâcher votre temps dans l’apprentissage de ce qui est LA clé d’une bonne intégration : l’hébreu. Lorsque vous vous inscrirez à l’oulpan pour la première fois vous passerez un test d’hébreu qui déterminera votre niveau. Rassurez-vous, ce n’est pas un examen, juste un moyen de bien vous orienter. Et ce n’est pas définitif non plus ! Si après quelques jours dans votre classe vous ne vous sentez pas à l’aise vous pourrez demander à changer de niveau. Pour vous faire une première idée, voici un descriptif (non exhaustif) des 8 niveaux existants dans les Oulpans de Tel Aviv. Niveau Aleph (Niveau débutants) L’objectif est de permettre aux élèves de pouvoir commencer à parler et à utiliser des mots utiles de la vie quotidienne dès les premiers cours.

L’insertion dans le monde du travail en Israël

L’insertion dans le monde du travail en Israël est la base même d’une intégration réussie. Diverses associations ainsi que le gouvernement israélien accordent aux Français une aide diversifiée afin de promouvoir l’insertion au monde du travail et son adaptation sur le marché. L’idée est de rendre l’Alyah des français beaucoup plus simple et rapide. Les aides disponibles (liste non exhaustive)

Les représentants du ministère de l’intégration : – Le ministère de l’Alyah et de l’intégration offre plusieurs services aux olim tels qu’une mise à niveau professionnelle ou un accompagnement durant le processus d’insertion dans un emploi. Des contacts existent dans plusieurs villes du pays

Les associations : – Chambre de commerce Israël-France : La chambre de commerce renforce les liens économiques et technologiques entre la France et Israël.

Les Initiatives privées – Arriver en Israël : C’est un organisme qui dédié aux nouveaux immigrants qui explique toutes les démarches par lesquelles passer pour réaliser son Alyah, que ce soit dans le domaine de l’éducation, de l’emploi, ou de la santé.

– Alya Meilleure Intégration (AMI) : AMI est un centre qui concentre des offres d’emplois et de stages en Israël ainsi que des conseils pour préparer son CV et ses entretiens d’embauches.

– LEAP : leap est une agence de placement spécialisée dans le recrutement de professionnels multilingues. Elle fait la jonction entre les personnes en recherche d’emploi et les entreprises qui les emploient.

– Qualita : Cette association veut faciliter l’Alyah des francophones en devenant un guichet unique visant à faciliter l’accès aux divers services et programmes.

–The Hives by Gvahim : Ce programme de 5 mois donne aux entrepreneurs immigrants les outils pour créer et développer leur propre start-up en Israël.

Les bases de la grammaire sont enseignées (les structures de conjugaison actifs, la structure des phrases, des prépositions, des adjectifs, du cas possessif etc…) Il en est de même pour la lecture (à partir de – livres, journaux hébreux faciles et d’autres textes éducatifs) et l’écriture. Classes de 25 heures / semaine pendant 5 mois Niveau Aleph + : Ce niveau est adapté aux étudiants qui n’ont pas suivi l’oulpan Aleph en intensif ou qui ont déjà les bases de la lecture et de l’écriture ainsi que de la conjugaison au présent. Les cours se concentrent sur l’apprentissage de la conjugaison au passé. Niveau A++. Ce niveau est adaaté aux étudiants qui n’ont pas suivi l’oulpan Aleph en intensif ou qui ont déjà les bases de la lecture et de l’écriture ainsi que de la conjugaison au présent et passé. Les cours se concentrent sur l’apprentissage du futur. Niveau Bet Révision et approfondissement des notions apprises en Aleph. L’accent est mis sur la pratique de l’hébreu oral avec des thématiques permettant aux élèves d’exprimer leur avis en hébreu. En grammaire, les connaissances sont affinées en ce qui concerne la forme active et les formes passives sont enseignées. Concernant la lecture : des textes tirés des

livres pédagogiques ou de journaux sont étudiés. Une introduction à l’histoire et aux traditions d’Israël est également réalisée. Le niveau Beth peut être suivi en intensif (5 heures par jour, 5 jours par semaine) ou 4h à raison de 2 à 3 fois par semaine. Dans ce cas les cours sont scindés en 2 niveaux : Bet et Bet + Niveau Bet+. Les étudiants qui suivent ces cours n’ont en général pas suivi les cours intensifs de niveau Beth ou ne maîtrisent pas la forme passive. Niveau Guimel L’accent est mis sur la lecture : analyse et lecture d’articles ou de textes exigeant un bon noveau d’hébreu dans le but d’enrichir le vocabulaire. En grammaire, les connaissances relatives aux prépositions, synonymes, conjugaison, orthographe sont approfondies. Des émissions ou programmes de la télé israéliennes sont visionnés et font l’objet de discussion. Niveau Guimel + Les connaissances en grammaire, vocabulaire, orthographe sont approfondies afin de permettre aux élèves d’être en mesure d’élaborer des discours en hébreu. Niveau Dalet Des textes de la littérature israélienne ou de la presse sont étudiés. Les sujets de grammaire sont tirés des textes étudiés. Les différents types de discours sont étudiés et pratiqués. Niveau Dalet + Ces cours sont destinés à tous ceux qui veulent approfondir leur connaissance de l’hébreu et de sa philosophie. Les cours sont divisés en plusieurs sections : Syntaxe, verbes, fonctions spécifiques de certaines lettres (11 parmi les 22 de l’alphabet…) Littérature (poésie et roman) et articles de journaux Techniques de rédaction de correspondances (courriers officiels, CV….) et création littéraire individuelle Etude du langage biblique et de son impact dans le langage contemporain. Source : Tel-avivre

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Le high-tech continue de se distinguer sur le marché du travail

90% des employés israéliens ne travaillent pas dans l’industrie du hightech. Pour Karnit Flug, gouverneure de la Banque centrale d’Israël, il est essentiel de réduire le fossé entre les anciennes et les nouvelles économies afin de forger une société unifiée. Lors d’une conférence lundi à Jérusalem, elle a proposé des mesures pour atteindre cet objectif. L’économie israélienne compte environ 5 000 startups dans divers secteurs, caractérisés par « une innovation et un dynamisme remarquable », a-t-elle dit. Cette innovation est basée sur plusieurs facteurs, notamment le fait que les universités fournissent un capital humain de qualité, une excellente collaboration entre universités et industrie, et le développement d’une industrie de l’investissement et du capital-risque. Par conséquent, Israël est le pays qui emploie le plus de personnes dans l’industrie du high-tech, environ 9 % de sa maind’œuvre, soit le double de la médiane des pays de l’OCDE. Près de la moitié de ces employés travaillent dans la programmation informatique et dans le conseil, un quart est employé dans la fabrication de matériel informatique, électronique et optique, 15 % dans la recherche et le développement, et les autres dans les secteurs de la communication, de la production pharmaceutique et des services d’information. Une écrasante majorité des employés du high-tech vivent et travaillent dans le centre du pays. Les 90 % restants de la population active travaillent dans des industries avec des salaires plus faibles, et il « est remarquable », selon Flug, de voir le nombre de personnes employés dans les secteurs peu rémunérateurs de l’industrie hôtelière, de la restauration, de l’administration et du soutien.

Le tableau des salaires reflète le fait que la plupart des employés peu rémunérés travaillent dans des secteurs dans lesquels la productivité est faible. Cette image est conforme aux données qui montrent que la productivité en Israël est faible, comparée à d’autres pays développés, « et ce fossé ne se ferme pas », a-t-elle dit. « La productivité est particulièrement basse dans les industries nationales, celles qui ne sont pas soumises à la concurrence internationale. » Cette situation engendre une « double économie » qui se reflète dans plusieurs indices d’inégalités sociales. Les écarts de salaires en Israël sont parmi les plus élevés des économies modernes, et ils représentent une inégalité de compétences. « Donc, que faire pour que tous les wagons du train ressemblent à la locomotive, même s’ils n’ont pas nécessairement le même chargement ? », a demandé Flug. La solution repose sur plusieurs mesures, selon elle. Il faut améliorer l’éducation et les systèmes de formation, pour qu’ils fournissent un contenu et des compétences qui permettent une intégration sur le marché du travail plus efficace à l’ensemble de la population, davantage de concurrence, en retirant les barrières de l’importation, encourager l’investissement dans les technologies modernes par les industries traditionnelles qui vendent au marché national et qui sont exposées à la concurrence internationale, intensifier l’encouragement de l’innovation dans « le reste de l’économie » grâce au soutien du bureau des experts scientifiques, faciliter les régulations et améliorer les infrastructures physiques. Source : JSS News

Book Law (Israël). Controverses sur le prix du livre Pour les acteurs de la chaîne du livre en Israël, il y a l’avant et l’après « Book Law ». Avant, les lecteurs pouvaient s’offrir 4 livres pour 100 shekels (environ 25 €) dans les plus grandes librairies israéliennes. La loi, votée fin 2013 et rendue effective en février 2014, avait pour but d’apporter un avantage financier certain aux éditeurs, libraires et auteurs.

lement les mêmes.

En interdisant toute remise sur le prix d’origine de plus de 20 % pour les nouveaux titres, elle agissait à la manière d’une loi Lang. Seulement, les lecteurs n’ont pas suivi.

Pas sûr cependant que les éditeurs en question soient entièrement d’accord avec cette vision des choses. Car si Steimatsky a effectivement augmenté ses ventes de 8 % par rapport à 2016, ce sont bien les vendeurs et non les éditeurs qui en tirent le plus gros profit.

Avec le retrait de la loi en septembre 2016, les choses semblent s’être arrangées… quelque peu. Car si les prix sont certes moins élevés que ces 2 dernières années, quand la loi était opérationnelle, ils le sont toujours plus qu’avant qu’elle soit mise en place. Exit les prix d’occasion d’antan : Steimatzky et Tzomet Sfarim, chaînes de librairies qui enregistrent à elles seules 80 % des ventes, proposent à présent 3 livres pour enfants ou 2 livres pour adultes à 99 shekels. Les prix proposés par les autres chaînes sont globa-

« Nous ne reviendrons pas aux prix destructeurs que l’on pouvait voir sur le marché avant la Book Law », a affirmé Itzik Shalev, vice-président des ventes de Steimatsky. « Aujourd’hui, nos soldes sont réalistes et permettent aux auteurs, aux imprimeurs et aux éditeurs de survivre. »

Avec la mise en place de la loi sur le prix unique, les libraires ont fait augmenter leur part sur chaque vente de 50 % à 70 %, pour compenser la baisse du nombre de ventes. Mais rien n’a changé avec l’abolition de la loi. Aujourd’hui encore, les éditeurs et les auteurs doivent se partager les 30 % qui restent. Source https://www.actualitte.com

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Du 25 au 29 juin 2017. La Cyber Week de Tel Aviv, évènement mondial La Cyber Week 2017, l’un des plus importants événements annuels dans le domaine de la cyber-sécurité, se tiendra en Israël à l’Université de Tel-Aviv du 25 au 29 juin 2017. Organisée en collaboration entre l’Atelier Yuval Neeman, pour la Science, la Technologie et la Sécurité de l’Université de Tel-Aviv, le Centre Blavatnik de recherche interdisciplinaire de Cyber-études de l’Université (ICRC) et le Bureau national pour la Cyber-sécurité du Premier Ministre israélien, il réunira des cadres de l’industrie, des experts en technologie, des universitaires, des start-ups, des investisseurs, des diplomates, des représentants de l’industrie de la défense et des décisionnaires politiques venant d’Israël et du monde entier qui échangeront leur point de vue sur les innovations les plus récentes en matière de cybersécurité et discuteront des dilemmes et des opportunités découlant de l’évolution des technologies pendant 5 jours.

5ème fonds de Sequoia Capital lancé en Israël

Parmi les conférenciers attendus : le Dr Eviatar Matania, directeur de la Cybersécurité auprès du Bureau du Premier ministre d’Israël, le général Keith Brian Alexander,

Les Ukrainiens collaborent avec l’écosystème israélien sans le barrage de la langue. En effet, de nombreux juifs Russes sont installés en Israël dans le hightech. Ce sont eux qui administrent l’excellente relation Ukraine-Israël.

Sequoia Capital est sur le point de compléter une levée de 200 millions de dollars qui permettra de financer un nouveau fonds dédié aux start-up israéliennes, selon des informations révélées par le site israélien Globe. La société de capital risque, basée dans la Silicon Valley, va également lan-

cer deux autres fonds, l’un pour les EtatsUnis et l’autre pour la Chine, qui ajoutés à ce nouveau fonds israélien cumulent $975 millions. C’est le 5e fonds que Sequoia Capital lance en Israël, la société ayant jusque là investi près de $600 millions dans le pays, avec un premier fonds de $30 millions, un second de 150 et deux autres de 200 millions de dollars chacun. http://www.journaldunet.com

ancien directeur de l’Agence nationale de la sécurité des Etats-Unis (NSA), Christopher Painter, chargé de la cybersécurité au State Department, Alejandra Mayorkas, secrétaire adjoint du Département de la Sécurité intérieure des Etats-Unis, Bruce Schneier, cryptologue, spécialiste mondial de sécurité informatique, et William Saito, conseiller spécial auprès du cabinet du Premier Ministre japonais. La conférence sera présidée par le Général de réserve et Prof. Isaac Ben-Israël, directeur du Centre Blavatnik de recherche interdisciplinaire de Cyber-études de l’Université de Tel-Aviv (ICRC). La Cyber Week 2016 avait bénéficié de la présence de plus de 5000 participants de 48 pays. La Cyberweek 2016 avait accueilli plus de 5000 participants de 48 pays. Auteur, Sivan Cohen-Wiesenfeld, PhD Rédactrice en chef de la newsletter Université de Tel-Aviv/AFAUTA Début Dimanche 25 juin 2017 – 08:00am Fin Jeudi 29 juin 2017 – 05:00pm Contact Gili – sectech@post.tau.ac.il ou Liana – lianarubin@tauex.tau.ac.il

Israël recrute des ingénieurs à Kiev L’Ukraine est devenu en moins de cinq ans le pays qui collabore le plus avec Israël dans le domaine du hightech. La raison est simple : les nombreux ingénieurs ukrainiens, très appréciés dans la Start up Nation, coûtent bien moins cher que les israéliens.

Le capital-risqueur américain Sequoia ouvre en Israël un 5ème fonds de $200 millions. Deux autres fonds, un pour les Etats-Unis et un pour la Chine, voient également le jour.

Dans Libération : « Recruter un informaticien spécialisé pour 10 euros de l’heure, mission impossible ? Plus maintenant, grâce au réservoir de talents que constitue l’Europe de l’Est et au coup de génie d’une PME américaine. En banlieue de San Francisco, en Californie, les fondateurs d’oDesk ont su tirer profit de la Toile avec un système redoutable de simplicité : véritable bourse aux emplois, leur site propose aux programmeurs d’afficher gratuitement spécialités et expériences, et aux employeurs de présenter les projets pour lesquels ils recherchent un informaticien – et le salaire proposé.

Le travail est effectué à distance, surveillé en direct grâce au logiciel oDesk que doivent installer les programmeurs sur leur ordinateur, et finalement rémunéré via carte de crédit ou compte «paypal» par la boîte californienne, après avoir prélevé 10 % de frais de service à l’employeur. «Sur le tas». Le système fait un tabac en Ukraine. Dans un pays héritier du système universitaire soviétique de grande qualité mais encore aux prises avec une économie chancelante, de nombreux étudiants en sciences pures ont troqué la physique ou les mathématiques pour apprendre l’informatique «sur le tas» et tenter leur chance comme programmeur. «L’ex-URSS et l’Inde constituent 60 % des 10 000 programmeurs qui font ou ont fait partie de notre réseau depuis le début de l’entreprise», confirme Gary Swart, président d’oDesk, depuis son bureau de Menlo Park. Et pour cause : en Ukraine, un bon informaticien pourra difficilement dénicher un emploi à plus de 600 euros par mois, sauf dans les grandes compagnies internationales ayant pignon sur rue à Kiev, où les rares places sont disputées ».

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Mer Morte. Les cosmétiques Liberman appelle à voter contre un « 1er Dead Sea » et Mariah Carey texte qui vise à durcir la conversion

Le projet de loi donne au Grand Rabbinat un monopole sur la conversion au détriment des tribunaux indépendants

Mariah Carey arrivera en Israël la semaine prochaine pour participer au lancement d’une nouvelle campagne publicitaire pour une marque de maquillage israélien. Elle participera à une conférence de presse la semaine prochaine,

qui l’annoncera comme l’égérie de la société de cosmétiques Premier Dead Sea. Elle devrait également participer à des séances de photos à la Mer Morte. Sources médias JSS News, Telavivre

Avec l’aide d’une firme Suisse, la Leumi lance « Pepper »

Le ministre israélien de la Défense, Avigdor Liberman, a appelé les ministres de la coalition à voter contre un projet de loi controversé sur la conversion soumis par les partis ultra-orthodoxes qui accorderait au Grand Rabbinat d’Israël un monopole total sur la conversion au judaïsme dans le pays.

«C’est une loi qui divisera le peuple juif et causera de sérieux dommages aux Juifs de la Diaspora et à la communauté des immigrants», a déclaré Liberman jeudi soir.Selon lui, le peuple juif «perdrait des centaines de milliers de personnes» si la loi passait, faisant allusion aux immigrants de l’ex-Union soviétique et à leurs enfants qui pourraient être intéressés par la conversion.»

Liberman a exprimé son opposition au texte, et insisté pour que ces questions soient discutées au sein de la coalition, et qu’une ligne de conduite soit adoptée avant le vote du texte.

Nous nous opposerons fermement à cette loi, qui n’est pas seulement illogique, mais qui nuira aussi à l’immigration en Israël, et qui ramènera le pays des dizaines d’années en arrière», a-t-il encore déclaré Liberman.

Le projet de loi doit être soumis dimanche au Comité ministériel pour la législation, afin de pouvoir passer devant le Parlement (Knesset), mais le parti Israel Beitenou, que dirige Lieberman, a exigé que les membres du comité votent contre celui-ci.

Le projet de loi, promu par les partis Shas et Judaïsme unifié de la Torah, est soumis par le ministère de l’Intérieur, dirigé par le chef de Shas, Aryeh Deri.

Le président du groupe Israel Beitenou au Parlement, Robert Illatov, a également exigé que le texte soit d’abord discuté au sein du Comité spécial sur la religion et les affaires d’Etat, établi lorsque son parti a rejoint la coalition l’année dernière. Une des clauses de l’accord garantissant la présence du parti au sein de la coalition stipule que toute loi concernant la relation entre la religion et l’Etat doit d’abord être discutée au sein de ce comité avant d’être engagée dans le processus législatif. Israel Beitenou est extrêmement sensible sur la question de la conversion, puisqu’il représente une grande partie des 330.000 immigrants originaires de l’ex-Union soviétique qui ne sont pas juifs selon la loi juive.

Rakefet Russak-Aminoach PDG, présidente du Groupe Leumi (Israël), est satisfaite. Un investissement de $42,6 a été nécessaire à l’une des grandes banques israéliennes pour « Pepper ». La Banque Leumi a enfin, avec l’aide de Temenos (1), lancé cette semaine sa nouvelle banque

digitale destinée aux clients âgés de 18 à 35 ans. Son nom est étrange, « Pepper ». Plus de 150 personnes ont été recrutés pour cette nouvelle entité. Selon le Haaretz,une atmosphère de startup règne dans cette banque.

sa création, fin 2015.

Liberman a par ailleurs ouvertement soutenu un tribunal indépendant de conversion orthodoxe, qui se base sur des critères et des méthodes plus souples afin de convertir un grand nombre d’immigrants, et que le projet de loi préparé par les partis ultra-orthodoxes cherche à bloquer. Le tribunal Giyur Ka’halacha a déjà converti au judaïsme près de 400 personnes depuis

Le projet de loi vise explicitement à contrecarrer une décision de la Cour suprême de mars 2016 qui concède de facto le droit à la citoyenneté aux personnes converties par des tribunaux rabbiniques orthodoxes indépendants, et non sous l’Autorité de conversion de l’État. Israeli religious Shas party leader Aryeh Deri standing in the Knesset (Parliament) plenum in Jerusalem on 08 December 2014. EPACette décision a non seulement porté un coup au Grand Rabbinat et à l’establishment religieux, mais a aussi établi un précédent qui peut obliger le Grand Rabbinat à reconnaître des conversions orthodoxes «non-étatiques». Le président de l’Agence juive, Natan Sharansky, a lui aussi critiqué le projet de loi et appelé le Premier ministre Benjamin Netanyahu à désapprouver l’initiative des partis ultra-orthodoxes. Liberman et Sharansky ont personnellement soutenu le tribunal de conversion de Giyur Ka’halachan, y voyant un moyen efficace de faire face à la crise de conversion dans le pays. i24news

POLITIQUE

Edition du 28 Juin au 4 Juillet 2017

«Netanyahou a mis de côté les liens entre Israël et la Diaspora»

Il a mené des négociations entre Israël et les groupes juifs libéraux pendant 5 ans

Le Vietnam et Israël collaborent dans le spatial

Le Centre satellite national du Vietnam et l’Agence spatiale israélienne ont signé le 21 juin à Hanoï une convention de coopération dans les sciences et technologies spatiales. Selon l’ambassadeur d’Israël au Vietnam, Mme Meirav Eilon Shahar, Israël est prêt à assister le Vietnam et à collaborer avec lui dans les sciences et technologies, les technologies spatiales en particulier, à des fins pacifiques. Dans le cadre de cet événement a eu lieu un colloque sur l’histoire des sciences spatiales au Vietnam. Le gouvernement vietnamien accorde une grande importance au développement des technologies spatiales. En 2010, il a décidé de coopérer avec la société française EADS Astrium SAS dans le développement, la réalisation et le lancement du satellite optique VNREDSat-1. En 2013, ce satellite a été mis en orbite. Le Vietnam compte lancer le satellite VNRED-

Le président de l’Agence juive, Natan Sharansky, a fustigé lundi le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou pour sa décision visant à geler la création d’une zone de prière mixte au Mur des Lamentations. M. Sharansky a critiqué son allié politique en affirmant que le Premier ministre mettait en danger les relations entre Israël et les communautés juives de diaspora.»

Sat-1b lorsque le VNREDSat-1 arrivera en fin de mission. Le gouvernement a également décidé de coopérer avec le Japon dans la construction d’un centre spatial. -VNA (Source : Sciences)

En fin de compte, certains besoins immédiats de maintenir une coalition et des intérêts politiques ont prévalu sur les défis de l’unité du peuple juif», a déclaré M. Sharansky à i24NEWS.

Le PIB du Viêt Nam est de 299,2 milliards de dollars ce qui le classe au 43e rang mondial. L’agriculture est très importante, avec 48 % des emplois totaux. Le secteur des services en occupe 29,6 % et celui de l’industrie 22,4 %. Le secteur primaire représente 22 % du PIB, le secteur secondaire 40 % et le secteur tertiaire 38 %.

Plus tôt cette semaine, les ministres ont voté pour la suspension d’une proposition d’aménagement du Mur occidental qui aurait permis de créer une zone de prière mixte.

Le Sud, très fertile, cultive surtout le riz. Produit de base essentiel, cet aliment est aussi un produit d’exportation. Le Viêt Nam constitue le troisième exportateur mondial de riz. Les ressources minières et l’industrie lourde se concentrent en revanche vers le Nord. Le principal produit d’exportation, le pétrole, représente 20 % des revenus du commerce extérieur, principalement grâce au gisement de pétrole au large de Vũng Tàu (Cap Saint-Jacques). Les trois principaux partenaires du Viêt Nam, pour ses exportations, sont les ÉtatsUnis (20 %), le Japon (10,7 %) et la Chine (9,8 %). Le Viêt Nam fait partie de la Coopération Économique Asie Pacifique (APEC) ainsi que de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis le 11 janvier 2007.

Le gouvernement israélien a également approuvé un projet de loi accordant le contrôle total des ultra-orthodoxes sur les conversions au judaïsme en Israël. Les deux propositions, soutenues par les partenaires ultra-orthodoxes de la coalition de M. Netanyahou, sont opposées au courant du judaïsme réformiste libéral.» Il y a deux problèmes qui revêtent une importance particulière pour la communauté juive en Amérique», a souligné M. Sharansky sur i24NEWS. «Dont un qui existe déjà depuis 30 ans, qui est Juif? Qu’il y ait un monopole sur les conversions appartenant au rabbinat principal en Israël ou non ... et le problème de la prière au Mur occidental», a-t-il ajouté. En tant qu’ancien membre du Parlement d’Israël, M. Sharansky a évoqué la connexion entre les communautés de la diaspora juive et l’Etat d’Israël.»

Cette question nuit aux efforts pour renforcer les liens entre les communautés juives et l’État d’Israël. Mais je dois rappeler que les Juifs du monde n’ont pas d’autre endroit qu’Israël, ils n’ont pas d’autre gouvernement. Donc nous ne jouerons pas le jeu du désengagement. Nous ferons tout pour convaincre le gouvernement et pour corriger ces décisions erronées», a-t-il martelé. M. Sharansky a conduit les négociations entre le gouvernement et les dénominations juives libérales dans la diaspora depuis cinq ans. Il a prévenu que certains Juifs de diaspora prendraient leur distance avec Israël en signe de contestation après les récentes décisions du Premier ministre.» Il y a des voix qui se sont soulevées aujourd’hui pour annuler leurs missions, cesser de soutenir Israël, arrêter de rencontrer des politiques. Cela accentue le spectre de la distance entre les Juifs nord-américains et les Israéliens, les deux plus grandes communautés juives du monde», a-t-il déploré sur i24NEWS. Une telle perspective pourrait nuire financièrement à la philanthropie israélienne. En tant que président de l’Agence juive, M. Sharansky supervise l’une des plus grandes organisations juives mondiales à but non lucratif. Evoquant le système politique israélien, M. Sharansky a critiqué les principaux partis laïques de droite et de gauche, le Likoud et le Parti travailliste.» Je ne blâme pas les partis religieux parce qu’ils font ce qu’ils ont promis à leur électorat de faire. Je pointe du doigt le Likoud, le Parti travailliste et d’autres partis laïques qui n’ont jamais promis à leur électorat de se battre pour le monopole du rabbinat ou de se battre contre la réforme ou encore contre le judaïsme conservateur», a-t-il conclu. i24news