Israël Actualités n°463

GRATUIT - Numéro 463 - Edition du 31 Janvier 2018 au 6 Février 2018

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 31 Janvier 2018 au 6 Février 2018

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Du bien-fondé de la liberté médiatique, dans un pays en guerre

La presse israélienne a-t-elle perdu le sens commun ? Pourquoi, alors que l’Etat d’Israël est cerné de toutes parts par ceux qui veulent le détruire, que les forces djihadistes, terroristes et que le militantisme pro-palestinien lui fait du tort sur toutes les scènes internationales, et que tous les jours, des attentats se fomentent et se commettent, pourquoi disais-je, tient-elle absolument à détruire l’homme fort du pays ?

Il ne se passe désormais pas une journée sans que la réputation de Benjamin Netanyahou soit souillée, que l’on déterre tout ce qui peut lui nuire, des emportements de son épouse à des supposées affaires louches impliquant son fils.

Tout est passé au crible, décortiqué, ressassé, et c’est l’image d’Israël dans le monde qui en pâtit, et la stabilité de l’Etat, alors même qu’il affronte une guerre sans fin, qui est en jeu.

Je ne peux, bien sûr, vous dire que la liberté de la presse est une mauvaise chose, ce serait être un sacré hypocrite. Soit dit en passant, la totale liberté qui est laissée aux médias, en Israël, pourrait en remontrer à certains, qui considèrent l’Etat hébreu comme un lieu de dictature obscurantiste où règne l’appartheid !

Je pense, cela dit que lorsque la liberté et l’indépendance confinent à l’acharnement médiatique, il faut entendre que c’est la survie même de l’Etat juif qui est en jeu. Il faut entendre qu’affaiblir le pouvoir, c’est donner du miel à l’ennemi, il faut comprendre qu’à plaider pour une alternance démocratique en traînant dans la boue celui qui encaisse depuis des années les coups sur tous les fronts, on met en danger la vie de nos

Directeurs de la publication Rédacteur en chef Eliahou Ben Yoshua Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

enfants. Ceux qui vivent sous la menace des pluies de roquettes. Ceux qui, à peine sortis de l’adolescence, gardent nos frontières où nous protègent de nos ennemis.

Les héros d’Israël, Ben Gourion, Golda Meier, Rabbin, ceux qui ont tout donné pour leur pays, n’auraient jamais accepté qu’on joue ainsi avec la sécurité de l’Etat. L’ennemi est partout, à nos portes : le Hezbollah au nord, les Iraniens tentent d’installer des bases militaires en Syrie ou construire une usine de fabrication de missiles. Au Sud, bien sûr, c’est le Hamas... Et à l’intérieur la 5ème colonne, ces arabes israéliens qui profitent du système et de la liberté démocratique pour cracher sur Israël et son drapeau avec une violence verbale inouïe.

Aujourd’hui, ceux qui se proclament héritiers du message de ces pionniers n’ont rien compris. Ils sont, purement et simplement devenus des délateurs... Un comble pour quiconque se proclame juif. Pourquoi diviser, salir, et détruire alors que la seule chose qui puisse nous sauver est l’unité ? Pourquoi donner à nos ennemis la force de nous détruire, la clé pour y parvenir ?

Loin d’appeler à une censure médiatique, je demande à la presse, en particulier de gauche, de faire preuve de responsabilité.

On ne peut vendre son âme pour une Une qui croustille, un scoop en carton qui fait du buzz et du mal, quand c’est la sécurité de l’Etat et la survie du peuple juif qui est en jeu ! Surtout qu’à se draper derrière la nécessaire liberté de la presse, on n’assure qu’une seule chose : l’ego, le sentiment de vertige que cela procure à ces gens d’avoir fait un gros coup ! Peu importe les conséquences…

Plutôt que d’attiser les haines, sous couvert de neutralité et d’indépendance, je suggère

Régie publicitaire exclusive Agence Key Web 112 avenue de Paris 94300 Vincennes Crédits photo Alain Azria : 06 21 56 22 13 Abonnement : 06 67 44 3000

aux médias concernés Yedioth Aaronot, Haaretz ou encore I24News de montrer les valeurs qui nous rassemblent, les forces et les talents d’Israël, d’être fiers de ce pays si petit, qui en quelques décennies est devenu une démocratie forte, brillante et dont le génie scientifique et économique fait autant de jaloux que d’émules sur la scène internationale.

Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26 Commerciaux : Patrick Haddad : 01 43 63 26 02

Cessons donc de perdre la guerre des images et de l’impact médiatique en nous sabordant nous-mêmes ! Cessons d’alimenter le discours de ceux qui poussent à une paix contrainte, sans condition sécuritaire valable, avec ceux qui appellent à notre destruction !

Am Israël Haï Alain Sayada

Distribution - Publicité Strasbourg Logann Strauss : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Provence Alpes cote d’Azur David Botbol : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Rhone Alpes Ylan Alezra : 06 68 17 25 55

Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan

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À LA UNE

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Pro-Nazi et antisémite, le patron de Ikea, Ingvar Kamprad est mort

La news qui fait sourire les israéliens : « des toilettes en or pour Trump » Ikea, c’était lui. Ingvar Kamprad, le « IK » de la marque suédoise, s’est éteint ce samedi à l’âge de 91 ans. L’entrepreneur scandinave, parti de presque rien, lègue un géant mondial (38 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel) et quelques casseroles (notamment une enquête de la commission européenne sur la fiscalité du groupe aux Pays-Bas) comme son antisémitisme.

Les médias israéliens suivent avec une grande attention tout ce qui tourne autour du Président américain, qui reste très populaire dans le pays. Cette news(1) a été passée en boucle dans les médias sociaux israéliens. Selon (1) : « Alors que la Maison Blanche voulait emprunter au Guggenheim un tableau de Van Gogh, le musée new-yorkais lui a proposé à la place des toilettes en or, dans un clin d’oeil à l’amour du bling de Donald Trump.

Dans un courrier électronique envoyé mi-septembre, la directrice artistique et conservatrice du Guggenheim, Nancy Spector, a décliné la demande de prêt du Paysage enneigé (1888) du peintre néerlandais, a indiqué le Guggenheim au Washington Post.

Nancy Spector a fait valoir que la toile allait être exposée au Guggenheim Bilbao, avant de revenir à New York et d’y rester «dans un avenir prévisible». Elle a proposé, à la place, les toilettes en or massif conçues par Maurizio Cattelan, exposées au Guggenheim de septembre 2016 à l’été 2017.

Utilisées par 100.000 personnes L’oeuvre, intitulée «America», qui comprend siège, cuvette et chasse d’eau opérationnels, a été utilisée par quelque 100.000 personnes pendant son exposition au musée, situé face à Central Park.

L’artiste «voudrait l’offrir à la Maison Blanche moyennant un prêt à long terme», écrivait la directrice artistique du Guggenheim, selon le Washington Post. «Elle est, bien sûr, d’une valeur exceptionnelle et assez fragile, mais nous vous fournirions toutes les instructions pour l’installation et l’entretien.»

«Nous sommes désolés de ne pouvoir satisfaire votre demande initiale», concluait-elle, «mais nous gardons l’espoir que cette offre exceptionnelle puisse vous intéresser.» Sollicité par l’AFP, le Guggenheim s’est refusé à tout commentaire. La Maison Blanche elle n’a pas donné suite ».

(1) 20minutes.fr

Selon alliance.fr : « Le livre de la journaliste Elisabeth Aasbrink revient sur les relations d’Ingvar Kamprad avec les groupuscules d’extrême droite suédois pendant la Seconde guerre mondiale. Un livre montre que le fondateur d’Ikea a eu des liens plus poussés avec les mouvements nazis que ce qu’il a bien voulu admettre. Sipa/Pohl Kristian Un livre montre que le fondateur d’Ikea a eu des liens plus poussés avec les mouvements nazis que ce qu’il a bien voulu admettre. Sipa/Pohl Kristian. Le fondateur du groupe suédois Ikea a entretenu, pendant et après la Seconde guerre mondiale, des liens plus poussés avec des groupuscules nazis suédois qu’il ne l’a admis par la suite, selon un nouveau livre publié dans le royaume.

Ingvar Kamprad a reconnu depuis une quinzaine d’années qu’il avait adhéré à un mouvement de jeunesse fasciste durant la guerre, en qualifiant cet épisode de « plus grave erreur » de sa vie et de « folie de jeunesse. » Selon 20Minutes : « Il laisse également derrière lui près de 400 magasins, des milliers de meubles, et une marque très connue. « Cette entreprise est intégrée dans notre tissu économique mais aussi dans nos esprits.

Quand on pense meuble, on pense à Ikea », remarque Rodolphe Champagne, conseiller en communication.

Pourtant, le succès n’était pas forcément acquis dès le départ. « Ikea a innové sur quatre choses qui aujourd’hui paraissent évidentes, mais qui à l’époque ne l’étaient pas, rappelle Jérôme Barthélemy, professeur à l’Essec. Il s’agit du meuble en kit, du design « scandinave », de la sous-traitance de la fabrication, et du magasin séparé de l’entrepôt. » Ces innovations peuvent paraître après coup comme le fruit d’une vision claire d’Ingvar Kamprad, mais la réalité est plus complexe. « Pourquoi a-t-il sous-traité la fabrication de ces meubles en Pologne ? Parce que dès l’origine, il vendait à bas prix, et cela gênait les autres distributeurs qui ont mis la pression aux fournisseurs en leur demandant de ne plus travailler avec Ikea. Résultat, au bord de la faillite, Ingvar Kamprad n’a pas eu d’autre choix que de se tourner vers la Pologne. C’est parce qu’il était dos au mur qu’il a fait quelque chose de totalement surprenant », raconte Jérôme Barthélemy.

20Minutes Attention au virage du numérique De l’audace, encore de l’audace, lorsqu’il s’agit de donner des noms aux meubles. « Ils continuent à utiliser des mots imprononçables pour désigner leurs tables, leurs chaises, etc., note Rodolphe Champagne. Ce n’est pas par hasard, c’est pour imprimer leur marque partout où ils sont. Mais aujourd’hui, à l’heure des agences de « naming », aucune entreprise n’oserait faire ça. »

À LA UNE

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Pence, pur et dur, soldat de la droite chrétienne ultra de vacance du pouvoir, c’est le vice-président qui prend sa place et qui termine le mandat.

Ce fut le cas de Lyndon Johnson après la mort de Kennedy et de Gerald Ford après la démission de Nixon. Un vice-président aux États-Unis se trouve donc à un battement de cœur du Bureau Ovale, comme le veut la formule. La plupart du temps, il reste dans l’ombre et veille à soutenir le président dans tout ce qu’il fait et tout ce qu’il dit. Mike Pence n’a pas dérogé à la règle.

Il a même profité d’un conseil des ministres à la veille de Noël pour dire, devant tout le monde et en présence des caméras, que Donald Trump avait « une vision, un courage et une stratégie remarquables » et que le pays lui devait beaucoup. On peut appeler cela le summum de la flatterie. Mais dans son cas, c’est aussi beaucoup d’hypocrisie. Parce que, par bien des aspects, Donald Trump représente pour Pence ce qu’on fait de pire.

Mike Pence, le vice-président des ÉtatsUnis, vient de vivre en Israël un rêve personnel : confirmer le déménagement de l’ambassade des États-Unis à Jérusalem.

C’est pour 2019. Et s’il visait la présidentielle de 2020?

A tous ceux qui pensent que Donald Trump n’en a que pour quelques mois, que tôt ou tard, l’enquête russe le rattrapera et qu’il finira devant un grand jury avec une possible destitution à la clef, il faut rappeler qu’en cas

Proche du Tea Party, il est créationniste et anti-avortement Selon lui, le président n’a pas d’idéologie, il est vulgaire et inconstant, et il n’a pas de morale ni de spiritualité, il n’y a qu’à voir la façon dont il vit ses mariages et sa vie de famille. Pence, lui, est un pur et dur, un soldat de la droite chrétienne ultra. Proche du Tea Party, qu’il juge parfois un peu trop mou,

c’est aussi un créationniste et un « born again », c’est-à-dire un homme qui a retrouvé sa foi sur le tard et qui en devient un prosélyte zélé.

C’est donc tout naturellement qu’il est anti-avortement et en faveur de la fin des subventions fédérales au Planning familial. A la différence des chrétiens évangéliques qui ont appris à devenir écologistes sur le tard, lui ne croit pas au réchauffement climatique et ce n’est pas uniquement pour recevoir les dons massifs de l’industrie pétrolière et automobile. C’est aussi parce qu’il est messianiste qu’il croit à Jérusalem capitale d’Israël, sinon le Christ ne pourra pas revenir sur Terre pour le Jugement dernier.

Si les démocrates remportent les élections de mi-mandat en novembre prochain, et que la présidence reste aussi chaotique qu’aujourd’hui, il est possible que Donald Trump jette l’éponge en 2020. Auquel cas, Pence aurait tort de ne pas tenter sa chance et de se lancer dans une grande réconciliation de la droite américaine. D’autres en sont capables mais lui seul sera resté en réserve aux premières loges pour s’imposer de l’intérieur. Et si les démocrates n’ont pas trouvé leur champion d’ici là, alors tout est possible. http://www.lejdd.fr

À LA UNE

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Le discours de Pence à la Knesset co-écrit par un Rav

« Lord Jonathan Sacks, ancien grand rabbin de Grande-Bretagne, a écrit d’importantes parties du discours du vice-président américain Mike Pence à la Knesset, en particulier ses références bibliques », a confirmé le bureau du rabbin Sacks.

Bien que le discours de Pence au parlement israélien soit mieux connu pour les fracas qui l’ont précédé, il restera dans la postérité pour ses déclarations constitutives reconnaissant le lien entre le peuple d’Israël et la terre d’Israël.

Pourquoi Francfort est de plus en plus aimée par les israéliens ?

On sait maintenant que ces parties du discours ont été rédigées par Sacks, l’ancien grand rabbin du Royaume-Uni, considéré comme un éminent philosophe religieux dont les livres ont été traduits dans de nombreuses langues, y compris en hébreu. « Le vice-président Pence a pris contact avec Rabbi Sacks, car il souhaitait renforcer les aspects spirituels et bibliques de son discours « , a déclaré une source proche du membre de la Chambre des Lords britannique, ajoutant que Pence avait consulté le rabbin sur les liens entre les Juifs et leur pays. « Une contribution énorme au peuple juif » D’après les sources, une réunion privée de 90 minutes entre le vice-président et le rabbin a eu lieu en novembre dernier, prétendu-

Une décision qui fait hurler de joie des leaders politiques israéliens. La ville de Francfort s’interdit de collaborer avec des banques qui souhaitent le boycott d’Israël.

Selon le Times of Israel : « Le conseil municipal de Francfort a approuvé une loi présentée par le maire pour interdire les financements et les salles municipales au mouvement de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) contre Israël.

La décision de vendredi rapproche encore le conseil d’une éventuelle interdiction du mouvement BDS, que le maire Uwe Becker a qualifié de « profondément antisémite ».

Le projet de législation a dorénavant besoin de l’approbation du corps législatif munici-

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pal ».

Dans JSS News récemment : « Francfort a adopté vendredi un projet de loi interdisant le financement et les activités de BDS ! Le trésorier général de Francfort et le maire adjoint, Uwe Becker, ont déclaré au Jerusalem Post: «Le mouvement BDS n’insinue pas seulement “n’achetez pas aux juifs” comme le faisait les nazis, mais le mouvement se construit sur le même model toxic.”

Il a ajouté que la ville interdit désormais la location des locaux municipaux… mais aussi aux salles de locations, de rendre disponible leurs lieux pour BDS. “Pour notre ville, les menaces contre Israël sont ressenties comme des menaces pour les gens d’ici aussi”.

ment en préparation de la visite imminente de ce dernier en Israël, qui a été reportée à plusieurs reprises. À la fin de son discours, Pence a récité la bénédiction « Shehecheyanu », prononcée par les Juifs pour célébrer des occasions spéciales.

Cependant, le bureau du rabbin Sacks souhaitait que l’on sache qu’il n’était pas impliqué dans les parties du discours relatives aux affaires politiques. « En tant que chef religieux et penseur dont les actions sont liées à la foi et aux liens interreligieux, le rabbin est soucieux de ne pas faire de politique », a déclaré son bureau. « Le rabbin considère comme une énorme contribution au peuple juif qu’un personnage de la grandeur du vice-président américain ait contacté une source religieuse et juive pour obtenir des conseils sur de telles questions », a conclu le bureau de Sacks.

Pence a inauguré lundi sa visite de deux jours en Israël à la Knesset, où il a prononcé le discours susmentionné. Il l’a conclue le lendemain en visitant le Musée de l’Holocauste de Yad Vashem à Jérusalem et ensuite le Kotel.

Source : Ynet Copyright: Alliance

À LA UNE

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Israël et les plus grands scandales sexuels en politique

Un article de Sputnik a relevé les scandales sexuels en politique. Israël est en bonne place. Selon (1) : »L’épouse du Président américain Melania Trump aurait refusé de l’accompagner à Davos où se déroule le Forum économique mondial à cause du fait qu’il l’a trompée. L’actrice de films pornographiques Stormy Daniels à l’édition In Touch. L’interview date de 2011 mais n’avait pas été publiée.

Daniels a avoué avoir eu des relations avec Trump entre 2006 et 2010 quand il était déjà marié à Melania.

Ce n’est pas le premier scandale de ce genre à la Maison-Blanche. Auparavant, tout le monde parlait de l’aventure de Bill Clin-

Ecarté par Hollywood, le film « Foxtrot » n’est pas nominé pour les Oscars

Shmulik Maoz, le metteur en scène du film « Foxtrot » espérait obtenir un ticket d’entrée pour le podium des Oscars d’Hollywood. Mais sa joie était prématurée. Le film n’a pas été retenu pour concourir dans la catégorie du Meilleur film étranger.

Le film retrace la vie d’une famille israélienne, dont le fils a trouvé la mort lors qu’il servait à un barrage militaire en Judée-Samarie. Mais il a été très critiqué car, comme tant d’autres films israéliens, il prend nettement parti contre Tsahal et en faveur de la cause arabe palestinienne.

Sans suprise, « Foxtrot » a eu plus de succès sur le sol européen en remportant le Lion d’Or à Venise au mois de septembre dernier.

La ministre de la Culture et des Sports Miri Regev avait alors violemment réagi et promis que le ministère de la Culture n’aidera plus financièrement la production de ce genre de films qui salissent Israël à l’étranger.

Elle avait noté avec raison que tous les films israéliens qui donnent une mauvaise image d’Israël et particulièrement de Tsahal obtenaient de manière pavlovienne un grand succès à l’étranger et surtout en Europe. « Il est inacceptable que des créateurs israéliens contribuent ainsi à la délégitimation d’Israël auprès des jeunes générations concernant l’armée la plus éthique du monde, au moyen de mensonges déguisés en créations artistiques », avait notamment dit la ministre.

Source : LPH

ton avec la stagiaire Monica Lewinsky. Bill Clinton a failli perdre alors son mandat. Fait révélateur: après le vote sur la procédure de mise en accusation à la Chambre des représentants, le taux d’audience de Clinton a atteint 73%. Il a été pardonné par les milieux publics américains et par son épouse Hillary qui l’a officiellement soutenu pendant le scandale.

Le gouverneur californien Arnold Schwarzenegger n’a pas reçu le prix «Nous le peuple» de l’organisation américaine Com-

mon Cause vu son appétit sexuel insatiable.

Les responsables de l’organisation ont reçu une pétition selon laquelle Schwarzenegger était mêlé à des «harcèlements systématiques» et affirmant qu’«en décorant de telles personnes, Common Cause soutenait de facto le système d’harcèlements et cherchait à faire taire ses victimes».

En mai 2011, Schwarzenegger ayant quitté le poste de gouverneur a annoncé son divorce avec Maria Shriver après 25 ans de mariage alors qu’il était devenu, 10 ans

auparavant, père d’un enfant hors mariage mis au monde par une de ses femmes de ménage.

En mars 2011, l’ex-Président d’Israël Moshe Katzav a été condamné à sept ans de prison pour deux viols et plusieurs harcèlements. Huit femmes ont déposé plaintes, mais seulement deux actions en justice ont été intentées ».

(1) fr.sputniknews.com

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Des cadets de l’aviation russe tournent une vidéo homo-érotique

Des cadets de l’aviation russe ont décidé de tourner une vidéo homo-érotique.

Publié sur le principal réseau social du pays, VKontakte, le clip est devenu viral, faisant hérisser les poils des dirigeants du Kremlin, rapporte Slate. Dans l’armée israélienne ce type de clip est d’une extrême banalité, tant les gays sont acceptés.

Selon (1) : « Dans la vidéo, qui parodie le clip original de Satisfaction de Benny Benassi, de jeunes hommes se déhanchent torse nu, en manipulant des perceuses, marteaux et autres balais, sur fond de musique techno.

Rapidement, l’agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia a dénoncé « un épisode immoral ». Une enquête a été ouverte et des mesures disciplinaires pourraient être prises à l’encontre des quatorze jeunes hommes qui apparaissent dans le clip. La chaîne publique russe Rossiya a même consacré un sujet de 14 minutes à cette polémique, le 18

janvier dernier. « Ces parodies sont de pures protestations » Mais de nombreux internautes ont décidé de manifester leur soutien aux personnes impliquées en réalisant des remakes du clip.

Entreprises de BTP, infirmières et même l’équipe féminine nationale de biathlon s’y sont mises, entre autres ». « Étant donné l’homophobie officielle et hautement politisée de la Russie, ces parodies sont de pures protestations, grivoises et légères, écrit le journal américain The New Yorker, relayé par Slate. Elles démontrent que les Russes peuvent toujours former des connexions horizontales, en dépit du monopole de l’État sur la sphère publique et de la menace de lourdes sanctions pour la protestation en général, et la « propagande homosexuelle » en particulier ».

(1) 20minutes.fr

James Hirshfield, mannequin de Hugo Boss s’engage dans Tsahal

Dans la région de Yakutia la température est de -62°C

Les israéliens de langue Russe s’intéressent beaucoup à la Sibérie (des milliers de juifs qui ont vécu dans cette région ont émigré en Israël). Dans la région de Yakutia, dans un village qui compte 500 habitants, au nord de la Sibérie, le mercure n’arrive même pas au plus bas niveau du thermomètre. En cause, la température est de -62°C, tandis que la moyenne du mois de janvier est de -50°C. Un record qui n’avait pas été battu depuis 1933 dans la région. Le froid est si piquant qu’il brûle la peau.

Les locaux ne sortent pas dehors. Si certains le font quand même, leurs cils et cheveux se gèlent immédiatement. Des habitants ayant une voiture la laissent allumée toute la journée, de peur qu’elle ne s’allume plus jamais à cause de ce froid. Ce n’est pas la première fois que des records sont enregistrés au-dessus du cercle polaire. En 2013, la NASA avait détecté par analyse satellite une température de -94,7 degrés en Antarctique. www.atlantico.fr

James Hirshfield, mannequin et égérie de la marque Hugo Boss, a immigré en Israël et s’est enrôlé dans l’armée Israélienne.

Il commencera son service militaire en Avril. Dès son plus jeune age, la famille de James est partie vivre à Londres. À l’âge de 20 ans, il a voyagé aux États-Unis pour ses études, et a reçu des offres pour devenir top model. Il a participé à des défilés de mode et a commencé à apparaître dans les magazines et sur les panneaux d’affichage. Il est ensuite devenu l’égérie de la marque Hugo Boss.

Finalement, il a choisi de dire adieu au monde de la mode et de s’enrôler dans l’armée israélienne. James Hirshfield a déclaré : « C’était amusant de voyager dans le monde et de représenter une entreprise comme Hugo Boss mais j’ai décidé que je voulais arrêter ma carrière et immigrer en Israël pour m’enrôler dans l’armée. Tout le monde me demande si je veux devenir manequin en Israël, je leur explique alors qu’il est beaucoup plus important pour moi de

m’enrôler ».

Le grand-père de Hirshfield est un survivant de l’Holocauste qui a fui la Pologne à l’âge de neuf ans. Hirshfield a commencé à s’intéresser à l’Etat juif lors de l’opération Bordure Protectrice, en 2014. « Je travaillais comme modèle aux États-Unis. Je me suis dit que je ne pouvais pas marcher sur les tapis rouges alors que mon peuple était en guerre. Je sentais que je devais immigrer et m’enrôler. Je suis alors retourné en Angleterre, je me suis renseigné sur l’immigration et j’ai obtenu mon billet pour aller en Israël.

Tout le monde m’a dit que j’étais trop vieux pour m’enrôler mais j’ai insisté . Il y a deux semaines, il a finalement obtenu au centre d’enrôlement de Tsahal à Haifa une date pour son incorporation : le 19 Avril ».

Il commencera par suivre des cours d’hébreu au sein de l’armée puis il sera intégré comme combattant dans une unité de reconnaissance.

Source : lphinfo.com/

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Un appareil capable de vous dire si l’eau est potable ou pas

Hommage à Paul Solère zal

La grande famille de l’ASI vient de perdre un être cher, un de ses piliers les plus solides, aussi discret qu’efficace, dont la bonté, le dévouement et l’abnégation accompagnaient chacun de ses actes.

Paul Solere était l’élégance et le raffinement, la droiture et l’honnêteté, la grandeur d’âme et l’amour du prochain. Amour pour ses enfants et ses petits enfants Amour pour sa femme, Evelyne, rencontrée à Oran La flamme aussi vive qu’au premier jour, que n’a t il pas fait pour Evelyne, pour qu’elle soit toujours heureuse, pour la consoler lorsqu’elle était triste, pour lui offrir ce qu’il y avait de plus beau, pour que ses rêves soient réalité.

Un si bel homme aux beaux yeux bleus Il était l’élégance même jusqu’à son dernier souffle Pour l’ASI, il fut bien plus que son trésorier, il était le gardien d’un trésor ! Ce trésor qui allait permettre aux soldats de Tsahal, aux personnes en difficulté, aux enfants d’Israel de retrouver le sourire.

Il en a encaissé des chèques de tant de donateurs De la Fin de l’année 1990 au début de cette nouvelle année 2018, sa retraite fut plus qu’active !

Son seul souci était que tout l’argent rentre car il connaissait l’importance des besoins, il voulait le meilleur pour les hayalim, pour le bet a hayal de Kyriat Shmona ...

Il a vécu tant d’opérations, je ne parle pas des opérations physiques et D sait s’il en a subi, je parle de celles qui lui ont donné la force de surmonter les maladies et même les petites peines de la vie: l’opération Dou-

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bonnes, l’opération cartables, l’opération lunettes, l’opération polaires pour nos soldats Avec Evelyne dès la naissance de l’ASI ils nous ont accompagnés, assistés, encouragés et surtout aimés d’une force et d’une telle tendresse qu’ils sont entrés dans notre cœur par la grande porte.

Efficace et toujours prêt, il en aura plié, timbré, posté des enveloppes annonçant nos dîners de gala, nos soirées, nos voyages Il en aura fait des allers retours à la banque pour déposer amoureusement vos chèques Notre merveilleux Popaul s’en est allé tout en douceur, la douceur qui le caractérisait Bien sûr une belle mort mais il nous manque tellement déjà Que son âme repose en paix et qu’il continue à nous bénir de la haut avec sa pureté, sa bonté et toute sa majesté Karen Taieb

Une startup israélienne a inventé un appareil capable de vous dire si l’eau est potable ou pas. Alors que des chercheurs mettent au point un dispositif pour récupérer l’eau dans l’air afin de lutter contre la pénurie d’eau, un nouvel appareil portable inventé par une société israélienne analyse le champ électrique autour de l’eau dans laquelle il est immergé afin de détecter si elle peut être consommée.

Alors que de nombreux pays luttent pour accéder à l’eau potable, le TestDrop Pro de Lishtot, entreprise basée en Israël, pourrait être une véritable solution grâce à son système de détection mobile.

Ce dispositif minuscule, qui ressemble à un trousseau de clés, permet de tester la potabilité de l’eau. En quelques secondes, un utilisateur peut savoir si l’appareil détecte des contaminants comme le plomb, la bactérie E. coli ou encore des pesticides. Pour cela, la technologie Lishtot utilise des champs électriques afin de déterminer à quoi ressemble l’eau de haute qualité. Les contaminants, notamment les bactéries, les matières organiques, les métaux lourds, les pesticides et les toxines créent des distorsions qui sont interceptées par ses capteurs.

Un concept performant La technologie est incroyablement sensible à tout ce que l’eau n’est pas censée contenir, y compris le savon ou même la salive, mais elle n’est pas perturbée par la présence d’éléments tels que la terre ou d’autres composés que l’on peut trouver dans de l’eau propre, comme le sel ou le magnésium.

Les produits Lishtot sont peu coûteux et abordables, offrant des capacités de test améliorées pour une fraction du coût des autres machines. L’appareil est compatible Bluetooth, de sorte que les données peuvent être transférées à l’application qui l’accompagne et ainsi proposer le résultat à la carte mondiale de l’eau établie par les créateurs.

Il est également possible de suivre l’historique des tests ainsi que de télécharger des vidéos, des photos et des commentaires. De telles innovations aident les pays du tiers monde à mener une vie plus sûre et de manière mieux informée, tout en proposant des solutions essentielles à la lueur du réchauffement climatique, sur des points vitaux pour l’espèce humaine.

Source Innovant

Changement à la tête de l’Orchestre Philharmonique d’Israël Après 50 années passées sous la direction du chef Zubin Mehta (1), l’Orchestre Philharmonique d’Israël annonce que c’est le jeune chef Lahav Shani qui lui succédera à partir de la saison 2020-2021.

On connait enfin le nom du successeur de Zubin Mehta à la tête de l’Orchestre Philharmonique d’Israël. Après un demi-siècle passé à la tête de l’ensemble, le chef indien laissera son pupitre au jeune chef et pianiste Lahav Shani à partir de la saison 2020-2021.

Shani est qualifié « d’étoile montante » de la direction d’orchestre par le New York Times. Le journal américain précise qu’il a été choisi par une large majorité des musiciens de la formation israélienne. A partir de septembre 2018, il deviendra également le chef principal de l’Orchestre philharmonique de Rotterdam, dirigé jusqu’ici par Yannick Nézet-Séguin, et il a également été récemment désigné comme chef invité principal de l’Orchestre Symphonique de Vienne.

Âgé de 29 ans et originaire d’Israël, Lahav

Source :francemusique.fr

À LA UNE

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Suisse-Israël, Nouvelles pistes pour la coopération économique bilatérale

Netanyahou s’est entretenu à Davos avec le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, le Premier ministre belge, Charles Michel, le président de la Suisse, Alain Berset ainsi que le président d’Azerbaïdjan, Ilham Aliyev.

Netanyahou a abordé plusieurs sujets dont l’accord nucléaire avec l’Iran et a appelé les dirigeants à profiter de l’opportunité qui a été créée à la suite de la déclaration du président américain Donald Trump. Il a noté par ailleurs qu’il ne permettra pas à l’Iran d’établir une présence militaire en Syrie. Concernant la question palestinienne, le Premier ministre Netanyahou a déclaré qu’il ne ferait aucun compromis sur les besoins de sécurité d’Israël dans tout futur accord.

Le Premier ministre a notamment présenté les changements qui se produisent au Moyen-Orient et les possibilités qui ont été créées par ces derniers. Il a également exprimé le désir d’approfondir la coopération économique et technologique avec le Canada, la Belgique et la Suisse. À cette fin, le Premier ministre Netanyahou et le président suisse Berset ont accepté de travailler à la création de nouvelles pistes pour la coopération économique bilatérale.

Netanyahou Trudeau Quant au Canada, le Premier ministre Netanyahou et le Premier ministre canadien Trudeau ont discuté de la mise à jour de l’accord de libre-échange et ont convenu d’accélérer les contacts sur la question. Le Premier ministre Netanyahou a invité les trois dirigeants à se rendre prochainement en Israël.

Réunion importante avec la chancelière allemande Angela Merkel. Les deux leaders ont abordé la question de l’accord nucléaire avec l’Iran. La seule option actuellement disponible, selon Netanyahou, consiste à mettre en place des changements réels – et non superficiels – qui empêcheront l’Iran de passer à l’énergie nucléaire, ce qui serait sinon assuré par l’accord en l’état. Le Premier ministre israélien a également exprimé son appréciation pour le véritable engagement de la chancelière Merkel en faveur de la sécurité d’Israël.

Netanyahou Macron Lors de cette entrevue, le dirigeant israélien

a appelé le chef de l’Etat français à corriger l’accord nucléaire avec l’Iran. Le dirigeant français a quant à lui souligné la nécessité de parvenir à un accord entre Israël et l’Autorité palestinienne et a souligné l’importance de la “solution à deux Etats”, ajoutant que l’objectif est la reconnaissance de deux Etats avec Jérusalem comme capitale commune. Netanayhou doit encore rencontrer le président américain Donald Trump, roi Abdallah II de Jordanie ainsi que les dirigeants grec Alexis Tsipras, argentin Mauricio Macri, colombien Juan Manual Santos, et néerlandais Mark Rutte.

Source : coolamnews.com

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Edition du 31 Janvier 2018 au 6 Février 2018

Israël au Festival des programmes audiovisuel (FIPA)

Trump estime que les Palestiniens ont « manqué de respect » aux Etats-Unis Donald Trump a déclaré jeudi lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou au Forum de Davos en Suisse que « le sujet le plus difficile des discussions était Jérusalem. Nous avons retiré Jérusalem (des pourparlers), donc nous n’avons plus à en discuter ».

Il a par ailleurs estimé que les Palestiniens avaient « manqué de respect » aux Etats-Unis et annoncé la suspension de plusieurs centaines de millions de dollars d’aide, à moins qu’ils n’acceptent de participer à des pourparlers de paix sous l’égide de Washington. « Ils nous ont manqué de respect la semaine dernière en refusant de recevoir notre excellent vice-président », a déclaré M. Trump auprès du Premier ministre israélien. « Nous leur avons donné des centaines de millions » et « cet argent ne leur sera plus versé à moins qu’ils s’assoient et négocient la paix », a-t-il ajouté.

Furieuse après la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël, la direction palestinienne a décidé de geler les contacts avec les officiels américains et de ne pas rencontrer leur vice-président Mike Pence en visite en Israël lundi et mardi. « Nous avons une proposition de paix. C’est

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une excellente proposition pour les Palestiniens (…) nous allons voir ce qu’il se passe », a cependant insisté Trump.

Les Israéliens « veulent faire la paix et j’espère que les Palestiniens veulent faire la paix.

S’ils le souhaitent, tout le monde sera satisfait au final », a-t-il conclu.

Des responsables palestiniens ont rejeté jeudi les pressions du président américain. « Refuser de rencontrer votre oppresseur, ce n’est pas manquer de respect, c’est se respecter soi-même », a pour sa part déclaré Hanane Achraoui, haute dirigeante de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).

Le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abou Roudeina, a quant à lui de nouveau rejeté toute tractation sous médiation américaine tant que les Etats-Unis ne reviendraient pas sur la décision annoncée le 6 décembre de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël. « L’administration américaine continue à s’exclure de la table des négociations si elle ne revient pas sur sa décision de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël », a-t-il dit. i24News. (avec agence)

L’ambassadrice d’Israël en France a rappelé dans un courrier adressé à la présidente du Festival International des programmes audiovisuel (FIPA), que la loi française interdit le boycott, après que des dizaines de cinéastes internationaux ont protesté contre le choix de la FIPA de s’associer avec le gouvernement israélien pour un « focus sur Israël ».

Après l’Australie, l’Espagne et le Canada, le FIPA, qui se tient tous les ans à Biarritz, a décidé de consacrer cette année son focus 2018 à la scène audiovisuelle israélienne du 23 au 28 janvier, mettant en avant des séries à succès telles que Homeland, In Treatment, et Fauda. Mais ce focus a provoqué l’ire d’une centaine de professionnels du cinéma, dont le réalisateur Ken Loach.

Dans une lettre ouverte publiée mardi dans l’Humanité, 100 professionels de l’audiovisuel ont dénoncé « cette complicité ». « Nous, cinéastes et professionnel-le-s de l’audiovisuel, souhaitons exprimer notre profonde préoccupation devant le fait que le festival FIPA, par son initiative « Focus sur Israël », choisisse de s’associer avec le gouvernement israélien et l’Ambassade d’Israël, alors que ce pays non seulement poursuit, mais intensifie l’occupation, la colonisation et le nettoyage ethnique du peuple palestinien », ont-ils déclaré. « Quel message signifie ce partenariat officiel quand des dizaines d’enfants comme la jeune Ahed Al Tamimi sont incarcéré-e-s dans les prisons militaires et quand des centaines de Palestinien-ne-s sont emprisonnés sans jugements depuis des années pour certains? », poursuit la lettre. Les cinéastes ont demandé aux organisateurs du FIPA, « au

regard de l’agressivité actuelle d’Israël dans ses attaques contre les civils palestiniens et leurs infrastructures, de reconsidérer leur relation avec le gouvernement d’Israël, et de retirer leur partenariat avec le ministère israélien des Affaires étrangères et l’Ambassade d’Israël en France », puisqu’il existe selon eux, « d’autres moyens de soutenir des réalisateurs israéliens ou de projeter des productions israéliennes que de traiter avec un Etat qui se place hors du droit et des conventions internationales ».

Interpelée par cette publication, l’ambassadrice d’Israël en France, Aliza Bin-Noun, a dénoncé la démarche des signataires, indiquant qu’ »en exigeant que le festival mette fin au Focus d’Israël, pour les raisons détaillées dans leur lettre », ils appellent selon elle, « au boycott d’Israël. Or la loi française interdit le boycott, et rend ainsi leur demande illégale ». « En outre, cet appel repose sur un amalgame entre art et politique », a-t-elle estimé. « Les signataires de cet appel s’érigent en juges et en censeurs dans un domaine qui est synonyme de liberté, désigne une population à l’opprobre et veulent punir les créateurs pour les agissements de leurs dirigeants, en recourant finalement à ces méthodes-mêmes qu’ils prétendent combattre », a-t-elle pour sa part dénoncé.

L’ambassadrice a par ailleurs répété que « le différend avec les Palestiniens relève d’un problème interne qui ne peut être résolu que par des négociations directes entre les deux parties ».

Source : i24news.tv

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Le chiffre. 27% des Israéliens fument au moins une fois/an du cannabis Sur son smartphone, il suffit de quelques clics pour découvrir tout un monde de vendeurs de marijuana postant des photos de leur produit, avec la promesse de commander en ligne ce qui se fait de mieux en la matière. « C’est comme eBay; il y a des milliers de photos », s’enthousiasme un utilisateur qui refuse de décliner son identité.

Telegrass, plateforme accessible via une application israélienne, fait la joie des consommateurs locaux. L’Etat israélien affiche une certaine tolérance vis-à-vis de la consommation de marijuana. Le gouvernement a approuvé en mars un plan décriminalisant partiellement l’usage personnel à titre récréatif et privilégiant les amendes et la thérapie. La production, la vente et l’achat restent des infractions pénales.

Selon une étude de cette autorité, 27% des Israéliens fument au moins une fois par an du cannabis, mais ce pourcentage grimpe à 41% parmi les 18-25 ans. Pour ses détracteurs, Telegrass donne aux acheteurs et vendeurs un sentiment de sécurité dénué de fondement. Au contraire, la nécessité de s’identifier les expose à des tentatives d’extorsion.

Pour les partisans, au contraire, la plateforme vaut mieux que les rencontres hasardeuses avec des vendeurs dans la rue ou une boîte de nuit. « Il est en train de devenir une sorte de héros, le +Robin des bois du cannabis+, comme s’il offrait une vie meilleure et plus sûre », déplore Mme Sternberg.

Source L’Orient le Jour

Le plan n’est pas encore appliqué, mais il a donné la fausse impression que la légalisation était imminente, dit Orit Sternberg, de l’Autorité de lutte contre la drogue. La création de Telegrass au même moment est tout sauf une coïncidence, juge-t-elle. « Bien qu’il n’y ait eu absolument aucun changement dans la loi, les jeunes pensent que tout va bien et (Telegrass) surfe sur cette vague », analyse-t-elle.

Admirée en Israël, Nikki Haley Israël, l’une des économies les plus inégales du monde occidental victime de rumeurs « répugantes »

Israël a été classé parmi les 10 premiers pays les plus puissants et les plus innovants au monde dans deux enquêtes distinctes publiées cette semaine par les principaux médias américains.

La publication Web US News and World Report, mieux connue pour ses listes de classement influentes, a désigné Israël comme la 8ème nation la plus puissante du monde.

Pendant ce temps, Bloomberg News a classé l’état juif comme le 10ème plus innovant, saluant son industrie high-tech et ses avancées technologiques.

L’enquête, menée en collaboration avec la Wharton School de l’Université de Pennsylvanie et le groupe BAV, est basée sur des données recueillies auprès de 21 000 personnes dans quatre régions mondiales différentes auxquelles on a demandé d’associer 80 nations avec des qualités spécifiques. « Israël a une économie de marché technologiquement avancée avec la taille de diamants, le matériel de haute technologie et les produits pharmaceutiques parmi ses principales exportations », a noté US News dans son rapport, ajoutant toutefois que le pays « possède encore l’une des économies les plus inégales du monde occidental, avec des écarts importants entre les riches et les pauvres. «

A la fin du top 10, après Israël, il y avait deux rivaux arabes: l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes Unis.

L’organisation de presse en ligne a classé Israël au 30ème rang des «meilleurs pays» sur une liste de 80. Les Etats-Unis, comme l’année dernière, ont été placés au numéro 1 tandis que la Slovénie s’est classée dernière au 80ème rang.

Dans une étude distincte, l’agence de presse financière Bloomberg a classé Israël au 10ème rang des pays les plus innovants au monde en se basant sur les dépenses de la Start-up Nation en recherche et développement ainsi que sur le nombre de sociétés high-tech cotées en bourse.

La Corée du Sud arrive en tête pour la troisième année consécutive, suivie par la Suède, Singapour, l’Allemagne, la Suisse, le Japon, la Finlande, le Danemark et la France.

Les États-Unis sont passés de la neuvième place à la onzième place, principalement en raison d’une baisse de huit places dans la catégorie post secondaire, ou tertiaire, qui inclut la proportion de nouveaux diplômés en sciences et en génie dans la population active, selon Bloomberg. .alliancefr.com

L’ambassadrice des Etats-Unis aux Nations Unies, adorée en Israël pour ses prises de positions pro-sionistes, ne décolère pas. Nikki Haley a qualifié de « répugnantes » et « très agressives » les rumeurs selon lesquelles elle avait une liaison avec le président américain Donald Trump.

Selon (1) : « Des rumeurs issues du livre polémique « Le Feu et la fureur ». La rumeur est née de l’auteur Michael Wolff qui a sorti le livre polémique sur Donald Trump «Le Feu et la fureur». Il a suggéré dans une interview que le président entretenait une liaison avec une personne et que cette personne faisait l’objet de passages détaillés dans son livre.

Dans « Le Feu et la fureur », Michael Wolff a écrit que Nikki Haley, la femme la plus haut placée dans l’administration Trump, se positionnait pour succéder à Donald Trump à la tête des Etats-Unis. Nikki Haley a affirmé que les rumeurs n’étaient « absolument pas vraies » dans un podcast jeudi pour le site Politico. « C’est très agressif et c’est répugnant », a-telle ajouté, revenant par ailleurs sur les allégations de Michael Wolff selon lesquelles

elle avait passé beaucoup de temps en privé avec Donald Trump dans l’avion présidentiel Air Force One et dans le Bureau ovale. « Je ne suis montée dans Air Force One qu’une seule fois et il y avait plusieurs personnes dans la pièce lorsque j’y étais », a-t-elle affirmé. « Je ne suis jamais seule avec lui » Michael Wolff « a dit que j’avais beaucoup parlé avec le président de mon avenir politique dans le Bureau ovale. Je n’ai jamais parlé avec le président de mon avenir et je ne suis jamais seule avec lui », a encore affirmé l’ancienne gouverneure de Caroline du Sud. Elle se dit victime de sexisme de la part d’« un petit groupe d’hommes » mal à l’aise devant la détermination des femmes. « La plupart des hommes respectent les femmes, mais il y a un petit groupe d’hommes qui, si vous faites simplement votre travail, que vous essayez, que vous le faites bien et que vous en retirez de la ferveur, éprouvent un certain ressentiment. Et ils pensent que la seule option est de vous rabaisser », a affirmé Nikki Haley ».

(1) .20minutes.fr

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Bière et Hightech. Rachat de Weissberger (Israël) par Corona, Becks, Stella

La Corona a toujours été la bière préférée de Jacques Chirac. Elle aura un petit zest du hightech israélien à l’avenir.

C’est le deal qui fait la Une de toute la presse économique de l’Etat Hébreu. Selon (1) : « La firme israélienne Weissberger, rachetée par un géant de la bière, a développé une plate-forme qui permet à des pubs, des hôtels, des restaurants et d’autre entreprises de surveiller et de contrôler les stocks de leurs boissons.

Anheuser-Busch-Ainbb, propriétaire des marques Stella, Becks et Corona, le plus grand brasseur du monde, a acquis la start-up israélienne WeissBeerger, selon le journal Calcalist. Le montant du deal n’a pas été publié, mais on estime qu’il s’agit de dizaines de millions de dollars.

Weisberger a été fondée en 2012 par Ori Pingerer, qui est le vice-président du développement des affaires, et Omer Agiv.

Parmi les investisseurs de la société, citons le fonds d’investissement d’Eric Schmidt,

Innovation Enders. Weissberger a développé des systèmes reliés à des tuyaux et à divers systèmes de fabricants de bière et de boissons gazeuses, ainsi que dans les bars et les restaurants et partout où l’on sert des boissons légères et de la bière. Le système envoie une série de données au propriétaire du restaurant ou du bar et aux différents fabricants.

L’industrie de la bière dans le monde, et en particulier les bars, est l’une des industries qui n’a pas encore subi de changement technologique, semblable aux changements qui sont en train d’être apportés dans des domaines tels que le transport, l’hôtellerie et plus encore. La technologie de Weissberger combine toutes les dernières technologies, y compris les systèmes IOT, Big Data et Analytics qui diffusent et analysent la consommation de bière et plus encore ».

La société BioBee du kibboutz Sde Eliyahou vend dans 50 pays

(1) /infos-israel.news

La mouche soldat noire (Hermetia illucens) pond en une fois entre 600 et 800 oeufs qui génèrent un très grand nombre de larves qui se nourrissent de déchets et les transforment en compost naturel. En prenant ces larves et en les plaçant dans dix tonnes de déchets organiques on obtient, en l’espace d’une semaine, deux tonnes de larves adultes et trois tonnes de compost, soit une quantité considérable de nourriture riche en protéines et en matières grasses pour les animaux de ferme et les animaux domestiques.

Eu égard au fait qu’un tiers de la nourriture pour animaux utilisée à l’échelle mondiale est enrichie avec du poisson sauvage et que les ressources halieutiques sont surexploitées, le kibboutz Sde Eliyahou dans lequel a été fondée la société BioBee a développé une alternative durable. BioBee vend d’ores et déjà à plus de 50 pays. Elle a également mis au point des produits de remplacement des pesticides et met à disposition des bourdons pour des pollinisations naturelles. http://israelentreleslignes.com

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Israël en 10ème place au Bloomberg Innovation Index 2018

Marathon diplomatique. La liste des rencontres de Netanyahou à Davos Le Premier ministre israélien s’est envolé pour la Suisse où il participera au Forum économique annuel de Davos. En dehors des colloques et conférences, il aura l’occasion de s’entretenir en privé avec de nombreux dirigeants politiques ou économiques étrangers, parmi eux la chancelière allemande Angela Merkel, la cheffe du gouvernement britannique Theresa May, le président français Emmanuel Macron et le roi Abdallah II de Jordanie ainsi que les dirigeants grec Alexis Tsipras, argentin Mauricio Macri, azéri Ilham Aliyev, colombien Jiuan Manual Santos, et néerlandais Mark Rutte.

qui agitent la région, en premier lieu la menace iranienne et l’exigence américaine de modifier l’accord nucléaire signé avec l’Iran.

Il s’entretiendra aussi avec des présidents de grands groupes industriels. A cette heure, une entrevue Netanyahou-Trump n’est pas annoncée mais certains rendez-vous se fixent au dernier moment au vu des circonstances.

LPH

Le Forum de Davos est une occasion idéale pour le Premier ministre israélien d’évoquer avec les grands de ce monde les problèmes

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Cette année, la déclaration du président Donald Trump sur Jérusalem et le point mort dans les discussions israélo-palestiniennes seront sûrement abordées par les interlocuteurs de Binyamin Netanyahou. Ce dernier compte aussi énormément sur ce forum, économique avant tout, pour promouvoir et « vendre » les succès israéliens dans de nombreux domaines liés à la technologie, à la cybernétique et aux innovations.

Pour la sixième édition du Bloomberg Innovation Index, la société d’information économique et financière a une nouvelle fois récompensé la Corée du Sud. En revanche, les États-Unis ont perdu deux places et sortent du top 10, tandis que la France se hisse à la 9e position. Israël se retrouve en 10ème place.

En obtenant une note de 80,75/100, la France se place devant Israël (80,64 points), dixième comme l’an passé. Cette progression s’explique notamment par une amélioration de la productivité, la France passant de la 18ème à la 14ème place. Côté recherche, elle enregistre une perte de trois places passant de la 18ème à la 21ème place en nombre de chercheurs consacrés à l’innovation. Mais gagne une place en nombre de brevets déposés, passant de la 10ème à la 9ème position. Dans ce top 10, la France rejoint ainsi cinq autres pays du continent : Suède, Allemagne, Finlande, Danemark et Suisse.

Selon Le figaro.fr : « Pour la première fois depuis six ans et la création du Bloomberg Innovation Index, les États-Unis ne font plus partie des dix pays les plus innovants de la planète. Le pays de l’oncle Sam a perdu deux places entre 2017 et 2018, passant ainsi de la 9ème à la 11e, se faisant notamment doubler par la France qui grimpe à la 9ème position du classement. Cet index réalisé par Bloomberg repose sur sept critères: les dépenses destinées aux innovations, la valeur ajoutée manufacturière, le nombre d’entreprises travaillant dans les hautes technologies, la productivité des décou-

vertes scientifiques, le dynamisme du secteur tertiaire, le nombre de chercheurs ainsi que l’indice d’enregistrement de brevets.

Le pays de Donald Trump est principalement pénalisé par son manque de dynamisme dans le secteur tertiaire, qui comprend notamment la part des nouveaux diplômés en sciences et en génie dans la population active. En outre, la création de valeur ajoutée sur le front de l’innovation a également diminué. Toutefois, les ÉtatsUnis restent le pays qui compte le plus d’entreprises travaillant dans les hautes technologies. D’après Robert Atkinson, le président de la Information Technology & Innovation Foundation, la situation du pays ne devrait pas forcément s’améliorer dans les années à venir. «D’autres nations ont réagi en menant des politiques d’innovation intelligentes et bien financées. Le tout en insistant notamment sur les initiatives de commercialisation de la technologie», précise-t-il.

Comme les précédentes années, la Corée du Sud et la Suède raflent la première et deuxième place. En troisième position figure Singapour, qui gagne trois places par rapport à l’année précédente. «Singapour a toujours mis l’accent sur l’éducation de sa population, en particulier dans les disciplines la science, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques», a déclaré Yeo Kiat Seng, professeur et vice-président associé à l’Université de technologie et de design de Singapour, qui loue également le financement de la recherche et de l’innovation du pays ».

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Israël, paradis fiscal ? L’Etat hébreu est depuis longtemps « hors liste noire »

Les ministres des finances de l’Union européenne (UE) ont retiré huit pays de leur liste noire des paradis fiscaux, dont le Panama, lors d’une réunion mardi 23 janvier à Bruxelles, a annoncé le conseil des ministres dans un communiqué.

L’Etat hébreu est depuis longtemps « hors liste noire ».

Amnesty International s’énerve d’être dans la «liste noire BDS»

Israël a érigé un nouveau mur à ses frontières. L’ennemi, en l’occurrence, ce sont vingt organisations réunies sur une liste noire (publiée le 7 janvier) ayant eu le tort de participer, de soutenir ou appelé à soutenir la campagne «Boycott désinvestissement sanctions» (BDS). A compter du 1er mars, leurs membres ne pourront plus mettre le pied en Israël. L’organisation des droits de l’homme Amnesty International (AI) a vivement réagi à ce qu’elle considère comme «une nouvelle atteinte flagrante au droit et à la liberté d’expression et d’association des défenseurs des droits humains en Israël».

La «liste noire BDS» concrétise une loi de mars 2017, interdisant l’entrée à toute personne associée au boycott des produits d’Israël. L’an passé, plusieurs personnalités en avaient fait les frais, dont le rapporteur spécial des Nations Unies, un membre d’AI ainsi que sept élus français. Le ministre des Affaires stratégiques, Gilad Erdan, s’était félicité alors «d’être passé de l’offensive à l’attaque» contre ceux qu’il accuse de vouloir «la destruction de l’Etat d’Israël en tant qu’Etat juif».

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Concert de protestations Dans le concert de protestations qui ont suivi ce durcissement, Cécile Coudriou, vice-présidente d’Amnesty International France, a évoqué «une décision inique des autorités israéliennes» qui «cherchent manifestement à faire taire toutes les voix critiquant leur politique dans les Territoires occupés». Nicolas Krameyer, responsable du programme Libertés chez Amnesty France, confirme que «les restrictions aux défenseurs des droits humains et leur criminalisation vont crescendo en particulier depuis deux ans».

AI n’a jamais appelé au boycott citoyen, précise-t-il, pas même contre l’Afrique du Sud de l’apartheid. Non qu’elle se l’interdit dans le futur, mais «c’est une arme à utiliser avec précaution», tempère-t-il. Elle est, selon lui, «légitime dans le cas de l’Etat d’Israël qui se livre à des violations généralisées des droits humains dans les Territoires occupés».

Source : /lecourrier.ch

En 2008, la Knesset a adopté un amendement exemptant les nouveaux immigrants de payer des impôts sur les revenus étrangers, dans le but d’encourager l’alyah.

Ses détracteurs affirment qu’il a ouvert la porte aux évadés fiscaux, aux blanchisseurs d’argent et autres arnaqueurs – et rendu la vie plus difficile pour la classe moyenne.

Une étude sur la migration des millionnaires de l’entreprise décrit Israël comme la quatrième destination la plus populaire au monde pour les millionnaires en 2015, après l’Australie, les Etats-Unis et le Canada. L’étude affirme que 4 000 personnes très fortunées se sont installées en Israël en 2015. Deux milles d’entre elles se sont installées à Tel Aviv. L’étude définit les individus très fortunés comme des personnes ayant plus d’un million de dollars d’actifs, sans prendre en compte la valeur de leur résidence principale.

A SAVOIR. Liste noire (1) : « Les huit pays de la liste de l’UE sont le Panama, la Corée du Sud, les Emirats arabes unis, la Tunisie, la Mongolie, Macao, les îles de la Grenade et la Barbade. Il ne reste par conséquent plus que 9 pays sur cette liste noire, établie le 5 décembre par le conseil des ministres des finances de l’UE. Pour chacun des huit pays retirés, les autorités ont fourni des engagements « par des lettres signées à un très haut niveau », selon le communiqué.

Ils sont désormais placés sur la liste « grise » d’une quarantaine de juridictions ayant pris des engagements forts à changer leurs pratiques ou législations. Ils feront l’objet d’un suivi.

Restent désormais dans la liste « noire » les Samoa, les Samoa américaines, l’île

de Guam, Bahreïn, les îles Marshall, la Namibie, les Palaos, Sainte-Lucie et Trinité-et-Tobago. Cette liste avait été établie en 2015 par la Commission européenne, dans la foulée de multiples scandales d’évasion fiscale. Une liste « Hurricane » d’îles touchées par des ouragans en 2017 et auxquelles un délai supplémentaire a été donné avait également été constituée.

Le commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici, a appelé à « rester vigilants pour que les 55 juridictions de la liste grise passent de la parole aux actes ». La Commission européenne compte par ailleurs « continuer à examiner les contremesures et sanctions les plus pertinentes au niveau communautaire » pour les pays blacklistés. « La liste noire fonctionne », a estimé le ministre des finances bulgare, Vladislav Goranov, dont le pays assure la présidence tournante de l’Union pour six mois. Car, a-t-il expliqué, les pays concernés « ont travaillé dur pour s’engager à réformer leur politique fiscale ».

Même son de cloche de la part du ministre des finances français, Bruno Le Maire, qui a réagi sur Twitter : « Liste noire des paradis fiscaux : la pression européenne a apporté ses premiers résultats ! » De leur côté, le Panama et la Tunisie se sont félicitées d’avoir quitté le petit cercle des pays blacklistés. « Notre engagement est d’assurer les plus hauts standards en termes de transparence financière », a promis Juan Carlos Varela, président du Panama. « Grâce à un travail important de dialogue (…) et une forte mobilisation du gouvernement, on est arrivés à dépasser ce quiproquo, cet accident de parcours dans notre relation (avec l’UE) et c’est une très bonne chose », a affirmé le secrétaire d’Etat tunisien au commerce extérieur, Hichem Ben Ahmed. L’eurodéputée verte Eva Joly et Oxfam ont regretté que certains pays européens ne puissent figurer sur la liste noire, affirmant que « l’Irlande, le Luxembourg, les Pays-Bas ou Malte ne remplissent même pas les critères de l’UE ».

(1) www.lemonde.fr

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Comment la Pologne tente d’effacer son passé

Vendredi, à la veille du 73ème anniversaire de la libération du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, la chambre basse du Parlement polonais adoptait un projet de loi punissant l’usage des mots « camps de la mort polonais » de trois ans de prison pour ceux - non-Polonais compris –qui emploierait ce terme et évoquerait la responsabilité du pays dans le génocide des Juifs !

Il n’aura fallu que quelques heures au premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour s’élever contre la décision du parlement polonais, la qualifiant de « non fondée » et indiquant que « nous ne tolérerons pas qu’on déforme la vérité et réécrive l’Histoire ou qu’on nie l’Holocauste ». Le Président de l’Etat hébreu Reuven Rivlin n’a lui aussi pas tardé à réagir en rappelant que « parmi la population polonaise, il y a ceux qui ont aidé les nazis dans leurs crimes ».

montée de l’antisémitisme en Pologne : en 2016, 37% des Polonais déclaraient des sentiments négatifs envers les Juifs, qui sont moins de dix mille dans ce pays.

Cette tentative législative de bâillonner les intellectuels et les médias polonais aura le destin de toutes celles qui dans l’Histoire ont tenté de la réécrire.

Les Polonais doivent regarder en face les grandeurs et les douleurs de leur Histoire.

C’est à ce prix et en tirant les leçons de leur passé qu’ils transcenderont leur histoire et ancreront leur destin dans celui de l’Europe.

Jack-Yves Bohbot

REGARDS SUR LA SEMAINE Maurras retiré du recueil des commémorations de 2018

Suie à de nombreuses protestations, la ministre de la culture a annoncé le retrait de la référence à l’écrivain antisémite Charles Maurras (1868-1952) du Livre des commémorations nationales de l’année 2018. « Commémorer c’est rendre hommage.

Maurras, auteur antisémite d’extrême droite, n’a pas sa place dans les commémorations nationales 2018 » avait écrit le Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.

Obama se déclare ami d’Israël

A l’occasion d’une réunion à New-York, l’ancien président s’est déclaré « ami d’Israël » précisant qu’il avait octroyé à Israël plus d’« aide militaire que n’importe quel autre président » des Etats-Unis. Mais il n’a jamais décidé le transfert de l’ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem…

Merkel dénonce la montée de l’antisémitisme

A l’occasion de la journée de commémoration des victimes de l’Holocauste, la chancelière allemande a vivement dénoncé samedi la résurgence de l’antisémitisme en Allemagne : « « Il est inconcevable et (cela) constitue une honte de voir qu’aucun établissement juif ne peut exister sans protection policière, qu’il s’agisse d’une école, d’un jardin d’enfants ou d’une synagogue. ». Rappelons que le 24 septembre 2017, un parti d’extrême-droite, l’AfD, faisait une entrée en force au parlement allemand, le Bundestag, avec 12,6% des voix et 93 députés.

Ambassade américaine à Jérusalem : Pence précise le calendrier

« L’Amérique se tient au côté d’Israël. Vos valeurs sont nos valeurs et vos combats sont nos combats » a déclaré le vice-président américain, Mike Pence, lors d’un discours prononcé la semaine dernière devant la Knesset. Dans son intervention, le vice-président a précisé le calendrier de déplacement de son ambassade à Jérusalem en affirmant que cette opération se ferait avant la fin de l’année 2019.

« Qui contrôle le passé contrôle l’avenir. » prophétisait l’écrivain anglais Aldous Huxley. Au pouvoir depuis deux ans, le parti conservateur et identitaire « Droit et Justice » tente de proposer une autre version du récit national polonais durant la dernière guerre en gommant son passé antisémite et niant toute complicité avec l’occupant nazi.

Le gouvernement a ainsi nommé à la tête de l’Institut de la mémoire nationale, un historien qui nie la responsabilité de civils polonais dans le pogrom d’un village polonais, dans lequel ont péri au moins 340 juifs en juillet 1941.

Deux chercheurs déchiffrent un parchemin de la Mer Morte

Plus de cinquante ans après leur découverte, les rouleaux de la Mer Morte n’ont pas encore livré tous leurs secrets. Deux chercheurs ont réussi à relier soixante fragments de parchemin et à les décrypter nous apprend un porte-parole e l’université d’Haïfa. Eshbal Ratson et Jonathan Ben-Dov, du département d’études bibliques de l’université, ont découvert que ces fragments étaient liés après avoir commencé à les examiner il y a un peu moins d’un an. Le rouleau déchiffré contient des références au calendrier de 364 jours utilisé par les Esséniens et se réfère à des festivals annuels de récolte de vin et d’olives qui ne sont plus observés dans le Judaïsme.

par Jack-Yves Bohbot

Les dirigeants polonais surfent sur une

Orient-A-Sion 2018 - Du 4 au 11 Février Le Grand Salon Orient-A-Sion des lycées, étudiants et jeunes professionnels se tiendra cette année pour la 9ème année consécutive. Orient-A-Sion est organisé par le projet Massa et l’Agence Juive pour Israël.

Cette opération destinée aux jeunes de 16 à 30 ans est définie comme le salon du lycéen, de l’étudiant et du jeune professionnel en Israël. Ce salon itinérant se déplacera pendant une semaine dans plusieurs villes de France et en Belgique.

Dans le cadre de ces salons, seront présents les lycées israéliens accueillant des élèves francophones, les programmes MASSA, les universités et collège d’enseignement supérieurs, les offres de stages et d’expériences professionnelles en Israël. Plus d’une cinquantaine de représentants et responsables de programmes feront le déplacement depuis Israël afin de présenter leurs programmes aux futurs participants. Les très nombreux programmes proposés sont répartis selon les catégories suivantes : universités; programmes d’intégration et de découverte d’Israël ; formations, stages et expériences professionnelles ; études juives et

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programmes pour lycéens (bac français ou israélien). Selon les choix des jeunes gens et de leurs familles, certains programmes peuvent être réalisés en tant que touriste pour une durée de 4 à 10 mois et d’autres en tant que olé ‘hadach (nouvel immigrant).

L’agenda de l’opération sera le suivant : - Marseille – Dimanche 4 Février 14h00 – 19h00 Château des fleurs, 18 Boulevard Michelet, 13008 Marseille - Lyon – Lundi 5 Février 16h30 – 20h00 Espace Hillel, 113 Boulevard Marius Vivier Merle, 69003 Lyon - Strasbourg – Jeudi 8 Février 16h00 – 19h00, Ecole Aquiba, 4 Rue Baldung-Grien, 67000 Strasbourg - Paris – Dimanche 11 Février 10:00 – 18:00 Espace Charenton 323 bis, rue de Charenton 75012 Paris En plus de cela, les matins et après-midi, les représentants se rendront dans plusieurs écoles juives à la rencontre des lycéens.

Un jour, une visite...

La grande synagogue de Budapest

La Grande Synagogue de Budapest est une synagogue située dans le quartier d’Erzsébetváros, dans le 7e arrondissement de Budapest, considérée comme la plus grande d’Europe et la seconde du monde par sa capacité d’accueil (3500 places). Elle est la place forte du judaïsme en Europe centrale. Construite entre 1854 et 1859 par l’architecte viennois Ludwig Förster dans le style mau-

resque, elle est inspirée principalement par les modèles musulmans d’Afrique du Nord et d’Espagne (l’Alhambra), selon un plan de Ludwig Förster, avec un style intérieur dû en partie à Frigyes Feszl.

Elle a servi de modèle à la synagogue centrale de New York qui est cependant plus petite et est considérée comme l’une des plus belle synagogue du Monde.

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Commémoration des génocides à Marseille Chaque année un établissement scolaire est désigné pour commémorer cette journée. Cette année l’éducation nationale, par l’intermédiaire de l’Académie d’Aix Marseille et de la commission mémoire du CRIF, a choisit un Collège confessionnel ou pas, privé ou public.

Cette année, c’est le Groupe Scolaire Yavné, dirigé par Paul Fitoussi, qui a été élu pour accueillir ce que l’on pourrait appeler «un événement » dépassant la dimension communautaire. Les Chefs d’Etablissements publics ont répondu présent à cette manifestation. Nous avons choisit de décliner cette manifestation à travers 3 actions : la première c’est de dévoiler une exposition sur le Génocide au Rwanda, la deuxième il s’agit d’une exposition d’une peintre arménienne et enfin la troisième : il s’agit d’une pièce de théâtre montée par plusieurs enseignants dont les acteurs sont les élèves « Résister pour se libérer » cette pièce, en plusieurs tableaux, exprime l’acte de résistance au travers de la musique , de la lecture de textes mais également de Slam » dixit Paul Fitoussi. Ce qui est innovant c’est qu’elle a été réalisée en collaboration avec un établissement non confessionnel de Marseille, qui se trouve à proximité du groupe scolaire Yavné, il s’agit du Collège Mallarmé.

Paul Fitoussi « Faire travailler ensemble un Établissement privé Juif et un établissement public. Fallait oser, c’est chose faite ! Et cela s’est très bien passé y compris aux moments des répétitions. Ce qui est important ce n’est pas de Vivre Ensemble à côté mais de « faire ensemble » dans la même direction même si on a pas la même opinion » « ce qui doit primer c’est la république française une et indivisible « « Même si on passe pour de doux rêveurs dans un climat parfois délétère, ces derniers temps, on continuera à œuvrer pour que le bien triomphe ... Je suis persuadé même si cela prend du temps que la Lumière l’emporte toujours sur l’Obscurité . On ne doit absolument pas céder face au racisme et à l’antisémitisme « la pièce s’est ouverte avec la lecture d’un texte du réalisateur Patrick Malakian qui n’est d’autre que le fils d’Henri Verneuil. Elle s’est déroulée sous les yeux d’un invité prestigieux et dont les déplacements sont rares à Marseille Eric de Rothschild Président du Mémorial de la Shoa et Parrain de l’événement. Toutes les communautés ont répondu présents: les Arméniens, les Corses, Les Musulmans, Les Chrétiens .... un moment rare et intense de rassemblement. Tous unis pour le meilleur.

De plus, Eric de Rothschild a terminé sa venue pour cette belle journée par la visite de l’école.

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Déodorant contre l’antisémitisme

Merci Donald. Pas si fou !

Le Président des États Unis d’Amerique, suscite des jugements pour le moins tranchés. En France, il est fréquent de se moquer des présidents américains, surtout quand ils appartiennent aux Républicains. REAGAN était inculte Gérald FORD, un brave type qui ne savait pas marcher et mâchait de chewing-gum.

BUSH junior un ancien alcoolique Et NIXON un fou et un menteur. Mais Donald TRUMP cumule tout à la fois.

(Inspiré d’une chronique de Guy Carlier.

Sur Europe 1) Ce matin, renonçant au stress que procure la voiture, je décide de me déplacer par les transports en communs.

J’avoue que je n’ai jamais autant apprécié la beauté des paysages israéliens. Mon escapade, consiste à rejoindre des amis et quelques proches à Natanya.

Habitant Bat-Yam, si j’avais eu un bateau, mon périple aurait duré 10 minutes. Mais je n’aurai pas vu, ces boutiques de vêtements, ces fruits magnifiques, ces restaurants, ces dizaines de synagogues, et même des mosquées et 2 églises.

Bref, en 90 minutes de voyage, j’ai lu 3 chapitres de «Mangeclous», c’est ma période relecture d’Albert Cohen, j’ai corrigé un bout de mon manuscrit, qui se trouve sur mon téléphone et j’ai malgré tout, pris le temps d’admirer le paysage, de noter mentalement le nom des quartiers traversés, aidé une dame à caler la poussette de son bébé...

Autant vous dire que je suis arrivé à destination avec cet état d’esprit, qui fait que même un clown triste peut être drôle..

Surtout s’il laisse ses pensées vagabonder et donne libre cours à sa fantaisie. Mais, et la chose est connue, le clown blanc est en fait un clown triste. Il cache sa tristesse sous un maquillage forcé, creuse sur ses joues de fausses larmes, pour qu’elles se confondent avec les vraies.

Autour de lui, tout le monde rit, mais les rires de son auditoire ne lui font pas oublier les réalités de la vie.

C’est pourquoi, alors que tout le monde riait de mes bons mots, que notre parterre d’amis ne cessait de grossir, que j’entendais les nouveaux arrivants demander: «C’est qui?»

«Il habite à Natanya?»

Pendant ce temps, mon esprit vagabondait.

A l’image du clown blanc, bien que je ne porte pas de poudre sur mon visage, je ne pouvais pas m’empêcher de penser à cette étude, écoutée la veille sur une radio périphérique, selon laquelle l’antisémitisme ne

veut décidément pas nous donner de repos.

Parce qu’en fait, ce que je viens de vous raconter sur environ 60 lignes, porte un nom: INTRODUCTION DÉODORANTE. Ca veut dire que j’ai désodorisé une actualité puante, et vous le savez bien, ce sont toujours les odeurs nauséabondes qui reprennent le dessus quand le déodorant s’est évaporé.

En réalité, la Nouvelle qui m’a marqué, boulversé, celle qui gâche une si belle journée, c’est une enquête qui disait que, face à l’antisémitisme, l’EST de la région parisienne se vide de ses familles juives, qui se déplacent, a la recherche d’un sentiment de sécurité.

Comme il n’y a pas de mots pour exprimer une telle horreur, j’ai préféré commencer par une longue introduction, qui vous fera sans doute imaginer que j’ai perdu la tête.

Rassurez-vous!

Mais, s’il vous plaît, soyez attentifs.

En 15 ans, le nombre de familles juives, A Aulnay sous bois, est passé de 600 à 100 familles.

Le Blanc Mesnil, de 300 à 100 Clichy sous bois de 400 à 80 La Couneuve de 300 à 70.* Alors, vous comprenez que mon maquillage imaginaire qui me servait de déodorant s’est brusquement asséché, craquelé, et une vérité m’a explosé au visage.

Que ceux qui ne peuvent pas sauter le pas se protègent, du mieux qu’ils le peuvent.

Mais n’y a-t-il pas un moyen d’aider ceux qui voudraient venir, ici, en Israël, mais ne le peuvent pas?

Oui, je sais que la question est complexe, qu’elle soulève des polémiques interminables, que la vie est difficile ici, mais la sécurité et l’avenir de notre jeunesse, nécessitent des sacrifices identiques à ceux que nos parents, ont fournis, quand on ne leur avait pas laissé le choix.

Avec tout mon Amour.

René SEROR

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Pendant la campagne, il était assuré qu’il ne serait jamais élu. Depuis qu’il est à la Maison Blanche, les mêmes, assurent qu’il ne peut pas gouverner. Il est vrai qu’il n’a pas construit le mur avec le Mexique, ni abattu l’Obamacare. Il n’a pas taxé massivement les produits chinois, n’a pas écrasé le cinglé de Corée du Nord. Alors, me direz-vous, est-ce que son bilan est négatif?

Non, parce que Trump est loin d’avoir tout raté. Sa réforme fiscale ravit wall Street et effraie les entreprises concurrentes des sociétés américaines. La cour suprême a validé son interdiction faite aux émigrants venant de certains pays musulmans.

Comme promis, il a sorti l’Amérique de l’accord de Paris sur le climat et du traité de libre échange avec l’Asie. Il a reconnu Jerusalem comme capitale d’Israel et favorisé l’action réformatrice de l’islam et de son pays, du nouveau Maître de l’Arabie Saoudite. Mais ce bilan mesuré ne sera jamais tiré, d’abord parce que Trump est dans la démesure. Parce qu’il subit l’opposition des médias, d’Hollywood et Silicon Vallée.

Rajoutez à tout ca, l’élite administrative, policière, diplomatique, judiciaire, financière qui estime que même l’élu du peuple, ne peut pas conduire une politique contraire à leurs propres convictions. Ils exercent sur le pouvoir des pressions permanentes, allant jusqu’au chantage. Agissant tel un opposant en exil, cela lui permet de conserver le contact avec son électorat populaire, ce qui lui permettrait de briguer un second mandat.

De quoi rendre fou de rage, tous ceux qui le croient fou.

Pour finir en beauté: Discours de Mike Pence, vice président des États Unis à la Knesset: C’est un Grand honneur que d’être le 1er Vice président des États Unis à être reçu à la Knesset d’Israël à Jerusalem, capitale de l’état d Israël.

L’ Alliance entre nos deux pays n’a jamais été si forte et notre amitié si profonde.

Je porte un Message clair de la part des États Unis: les états unis se tiennent aux côtés d’Israël. Car votre cause est notre cause, vos valeurs sont nos valeurs, votre combat est notre combat.

Les américains ont toujours eu de l’admiration pour le Peuple du Livre. La Bible a été la source de l’inspiration des Pères fondateurs des États Unis et votre Histoire a inspiré notre Histoire.

Malgré vos 2000 ans d exil d’inquisition et de pogroms, le peuple juif est resté fidèle à sa foi. Et Vous avez réussi à vous rassembler sur votre Terre et reconstruire votre état.

A la veille des 70 ans de votre existence, je peux dire la bénédiction de ‫ונמייקו ונייחהש‬ ‫( הזה ןמזל ונעיגהו‬Béni soit D qui nous a fait vivre, nous a maintenu et nous a fait arriver à cet instant).

Il y a 70 ans les États Unis reconnaissaient Israël. Mais ce que nous avons initié il y a 70 ans n’est pas terminé. Car des pays ont refusé et refusent encore cette reconnaissance. Et le président Trump a écrit une page d’Histoire lorsqu’il a reconnu Jerusalem comme Capitale.

Le Lien du peuple juif avec Jérusalem date d’il y a 3000 ans. Et Le président Trump a donné instruction pour que s’organisent immédiatement les préparations pour le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem et ce, Jusqu’à la fin de cette année. Cette décision s’inscrit non seulement dans les intérêts des États Unis mais aussi de la paix.

C’est la seule base juste pour une réelle paix. Nous sommes pour une paix juste et durable entre les israéliens et les palestiniens. Vous connaissez le prix de la guerre.

Votre 1er Ministre le connaît puisqu il a risqué sa vie et son frère Yoni a été tué lors de l’opération Entebbe.

Nous appelons les palestiniens à retourner à table des négociations.

Il faudra faire des compromis. Mais les États Unis ne feront pas de compromis sur la sécurité d’Israël.

Nous assistions à une Transformation du moyen orient et de nouvelles coopérations se créent.

Israël et les États Unis ont lutté et continueront à lutter contre le terrorisme. Nous allouerons des budgets pour les communautés chrétiennes persécutées au moyen orient.

Les États Unis continueront de combattre avec Israël pour arrêter le régime sponsor mondial du terrorisme- l’Iran.

Il y a 2.5 ans les États Unis ont signé un accord qui ne ferait que retarder l’obtention de l’arme nucléaire par l’Iran. Si certaines conditions ne sont pas réunies garantissant que l’Iran ne se dirige pas vers cette arme, les États Unis se retireront des accords avec l’Iran.

Nous allons sanctionner l’Iran. Nous ne les laisserons jamais avoir l’arme atomique.

Au peuple iranien, nous disons qu’Un jour viendra et vous serez libres. Et lorsque cela arrivera, nous serons de nouveau, amis.

Peuple juif, alors que personne n’y aurait cru, vous avez transformé le désert en jardin florissant. Le miracle d’Israël est une inspiration pour le monde et les États Unis sont fiers de se tenir aux côtés d’Israël.

Nous prierons pour la paix sur Jérusalem.

Que D bénisse le peuple juif, l’état d Israël et que D bénisse les États Unis.

(Crédit traduction et résumé: Israël is Forever).

René SEROR

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Dîner Républicain de l’UCAJF du 24 Janvier 2018

Alors qu’il venait tout juste d’être élu Président du CRIF, Francis KHALIFA a honoré en septembre 2016 le dîner annuel organisé par l’Union Communautaire des Associations Juives de FONTENAY « UCAJF », emmenée par son dynamique Président Franck SERFATI. Le 24 janvier dernier, ce fut au tour de Joël MERGUI, lui aussi nouvellement réélu, de se livrer à l’exercice au pied levé.

En présence des élus locaux et de nombreux

responsables des Communautés musulmane, chrétienne, turque et baptiste, Joël MERGUI fut clair, précis et direct autour des problématiques des Juifs aujourd’hui en France et en Europe.

Occasion de saluer l’élection de Stéphane ZNATY, succédant à David AZERAD à la tête de l’ACIF, Synagogue qui recevait l’événement avec chaleur, convivialité et une parfaite organisation.

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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza

D. bénisse le peuple Juif et que D. bénisse toujours l’état d’Israël » Mike Pence vice Prdt des USA.

Agitation dans les milieux conservateurs, le mal parlé, le mal pensé, le mal publié fait des ravages dans l’audimat la crainte de la terreur médiatique. C’est l’expression d’une bien pensance qui donne un certificat de bonne conduite aux intervenants politiques, sociaux, intellectuels et les présidents doivent rester dans les carcans étroits d’une bonne conduite sémantique et d’un semblant de fatuité afin d’être préserver des critiques du « politiquement correct ». Un flirt bénin avec liberté de la presse ou de la diffamation contre la liberté d’expression.

Pas de scrupule à poser la question « Donald Trump ne serait il pas fou ? Haï, persécuté par la presse, il est en disgrâce, la presse représente un contre pouvoir, alors qu’elle se croit » investie d’un magister moral, distribuant blâmes et satisfécits, elle tire son pouvoir d’aucune élection populaire » et ne tiens pas compte de l’opinion. Parallèlement l’attitude de Trump parait « incompatible avec son statut de président « de la première démocratie mondiale, la plus grande. Quand on parle des USA, les superlatifs explosent dans tous les genres, positifs, négatifs, cela existe dans d’autres démocraties, mais aucune n’est à l’échelle américaine, la notoriété des USA est indiscutable, pays de pionniers, pays de conquête et de « self made man ».Voila, ou nous en sommes ! Trump président fou, cela se dit ouvertement, même quand il dit

« American first », Macron à Davos » France come back », cela ressemble à ce qu’a dit Trump à son investiture, pour Trump, il y avait une sorte de provocation : pour Macron c’est à l’évidence un constat économique réfléchi.

Critique t’on avec cette frénésie destructrice Macron lorsqu’il interpelle le public dans ses meetings « qu’ils cherchent du boulot, ceux qui foutent le bordel » et « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien » « je ne céderai rien ni aux fainéants, ni aux cyniques » L’Europe vue par Virginie Calmels (LR) qui veut promouvoir l’investissement des européens sous le slogan « Buy Européen Act », c’est la fin des blocs, la fin d’une solidarité supra nationale, le chacun pour soi, le début des égoïsmes d’états.

C’est un fait, certains ne veulent pas le comprendre ou ne veulent pas l’entendre, la zizanie identitaire va devenir un principe de coexistence douloureuse. Une fuite de l’institutionnel par la crainte d’une fracture totale et souveraine de son histoire, de l’unicité de son identité, la fin du mythe « NATION ».

La vraie question concernant Trump est toujours actuelle « Trump ira-t-il jusqu’à la fin de son mandat ? » Vaste forfaiture d’une presse déchainée et d’un électorat aux influences humanistes, dans un monde « ou tout le monde il est bon, tout le monde il est beau »une sentimentalité d’un autre temps qui n’a plus court dans la société d’aujourd’hui, les racines du mal évoluent vers le pire, fin d’un monde que l’on espérait meilleur dès l’an 2000, comme si

on voulait effacer un siècle de crimes, d’horreurs, de déshonneurs, dans les cœurs, cette fabuleuse espérance messianique de ce nouveau millénaire à l’horizon bleu et or n’a apporté jusqu’à ce jour que le contraire, guerre de civilisation, pensée unique, institutions dévoyées par des despotes, tyrans bafouant les droits de l’homme, radicalisation islamique, guerre de religion et l’insécurité permanente. Nos démocraties indécises et veules, la peur au ventre liée à une Constitution européenne qui frustre les états, qui montre son niveau d’incompétence, a fracturé les identités nationales et semé le doute, les faux espoirs. En conséquence directe le Brexit et la montée d’une droite dont on ne sait si elle sera extrême ou populiste. Autant de questions, qui selon, nos médias, nos élites prédisent avec courage le « demain sera meilleur », il faut y croire, remodeler l’UE afin que » l’Europe apparaisse comme une solution et non un problème ».

Je m’éloigne du sujet initial, Trump est il fou ? Produire un documentaire sur ce thème est discourtois voire malsain, mettre en doute la pertinence de sa gouvernance est une honte, juste parce qu’il est imprévisible, cela ne veut pas dire stupide, il n’a que faire de l’hypocrisie des chancelleries, quoi qu’on en dise, même si ce n’est pas dans les formes, il réussit ou d’autres bien plus médiatisés ont échoués. Et si on parlait un peu des autres. Erdogan, lui est fou du pouvoir et se voit « sultan de l’empire Ottoman », le critiquer devient une crise politique, des manifestations anti françaises, le ton est donné, on joue en douceur, on harmonise les faits même si nous fermons les yeux sur les conséquences liées aux représailles du coup d’état raté à Istanbul. Sa cohorte de victimes, on ne transige pas avec le pouvoir, des milliers de suspects emprisonnés, fonctionnaires, intellectuels, syndicalistes, journalistes, les droits de l’Homme à peine soulevés en public, si petitement que cela ressemblaient à un murmure indécent lors de sa visite à Paris. Mendiant politique, que vient il chercher en France, jouer de son image, européen dans l’âme , des contacts, coopération économique, chantage des refugiés bloqués en Turquie en contrepartie de dédommagement conséquent, les Druzes victimes collatérales de la guerre anti DAECH. Rien n’est innocent dans une rencontre à ce niveau, la France recevant le représentant d’une « democrature » qui combine démocratie et dictature. Une nouvelle façon de gouverner ! Et si on parlait de Kim Jong – un, le maitre absolu de la Corée du Nord, fou ? Certes, mais peut on se fâcher avec cet individu ? Dangereux !

Silence poli tout se joue dans les coulisses du Conseil de Sécurité de l’ONU, avec l’aval du grand frère Chinois. Trop fort pour nous, trop délicat, conciliation et profil bas, comme quoi on s’accommode très bien des dirigeants fous ou pas fous quand ils peuvent nous larguer une bombe sur la tête. Ce serait Trump qui aurait mal agi en le menaçant et en ironisant sur son physique. Pourtant, il semble qu’après la vigoureuse admonestation de Trump contre Kim Jong-un, ce dernier aurait pris une attitude de repli sur la scène internationale, toutefois, son pays participera aux JO avec la sélection de la Corée du Sud. Trump est il encore fou ? Bachar al Assad, l’impitoyable, le criminel le plus sollicité de tous, 500 000 victimes en 5 ans, vé-

ritable fossoyeur de son peuple, qu’importe, il est toujours là, en quelque sorte absout par nos faibles murmures ! Il cherche des alliances que personne ne veut. Et pourtant, un paradoxe, il reste très populaire en Syrie, bombardant les prétendus terroristes et les civils sans trop d’état d’âme et de compassion considérant les victimes comme des dommages collatéraux.

Qu’allons-nous en faire ? Question que se pose l’occident, ceux qui sont pour lui et les autres, une ambigüité diabolique, il se maintient au pouvoir, inamovible, souriant, donnant des conférences de presse, recevant des politiques de ‘ extérieur, tous parlent de lui, l’excrètent, le haïssent, le défendent, pensent à son futur, la question régnera t’il ? En attendant la sombre liste des victimes s’allonge désespérément. Y aura-t-il une autre Syrie ? En son temps, Barak Obama refusa de venir en aide aux syriens qui cherchaient à se libérer du joug dictatorial de Bachar Al Assad. Obama est il innocent dans ces massacres à répétition ? Nul ne le juge, son empreinte médiatique a imposé le respect, il est aux antipodes de celle de Trump, Trump aurait agi, pour le meilleur ou le pire, mais il aurait tenté et aurait soutenu le gouvernement français lorsque François Hollande l’a proposé. Il y a Poutine, le nouveau Tsar, l’homme qui n’a peur de rien, qui dicte sa loi, qui impose sa loi, pas d’opposition réelle, elle est muselée, on ne discute pas, on obéit, une dictature sous couvert d’une démocratie nouvellement retrouvé mais au prix d’une funeste gouvernance qui ne séduit pas l’occident mais elle est préférable à l’absence. Ce grand retour à la première place de la diplomatie suite à l’invisibilité politique d’Obama sur le théâtre des opérations au Moyen Orient.

D’autres fous, tyrans d’opérette tels des monarques imposent leur loi, soumission à ces potentats, chefs de clan meurtriers, barbares massacreurs, oppresseurs de leur peuple, ces tyranneaux à la petite semaine liés aux extrémistes préparent des attentats et des martyrs glorieux à foison , chefs de partis politiques tenant la destinée d’un peuple, voire les leaders de l’Autorité Palestinienne victime de leur indécision sont tout autant dangereux qu’ils ont tendance à suivre les voies de la violence et de la haine et non de la raison. Les dirigeants de l’OLP en particulier prétendent qu’ils sont vainqueurs de leurs revendications. Dictature nucléaire dont la menace constante pèse sur nos vies, on compose, on négocie, on s’arrange, on cède, trahison dans l’air, des formules rassurantes, des traités en suspens, notre environnement est une tragédie occultée par la société de consommation dans laquelle nous exprimons notre désir égoïste de vie partagés avec nos rêves, qui se soucie du prochain ? Qui se soucie réellement de demain ? Voila, un échantillon des fous, ils meurtrissent nos existences, détruisent de l’intérieur notre espace sécuritaire, un défi à notre démocratie et certains états leur trouvent des circonstances atténuantes. Ces fous sont en liberté, présents et invisibles, déterminés à agir, quand ? Un quotidien assombri par le nouvel avatar mondial, le réchauffement climatique. Ultime menace de la fin programmée de la planète.

Bernard Korn Brzoza

À LA UNE

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Psychiatrie, religion et littérature : à la croisée des chemins

A la table d’Israël Actualités !

Cuisine légère et gourmande pour shabbat décomplexé !

Vous le savez, chers lectrices et lecteurs, nous avons entrepris, avec la nouvelle année civile, de donner plus de couleur, de légèreté et de vitalité à nos envies gourmandes du shabbat. Parce que tant que l’hiver et les doudounes habille nos silhouettes, peu importe le nombre de kilos de halah que l’on ingurgite avec les salades à l’huile. Mais quand viennent les beaux jours, nous voilà tout déprimés et tout enrobés, fatigués complexés à l’idée d’enfiler des tenues plus légères !

Alors Israël Actualités a lancé l’opération plus de saveur pour moins de calories !

Chouchou des médias, le psychiatre addictologue Gilles Uzzan est souvent sollicité pour son regard éclairant et éclairé sur les problématiques de société telles que le harcèlement sexuel, l’univers carcéral ou la radicalisation. Amoureux des belles lettres, l’homme est aussi un auteur accompli qui a reçu pour son premier roman Isaac et Lola, les honneurs de sa profession : En décembre dernier, il s’est vu décerner le prix Paul Fleury, remis par le jury du concours Littré, qui récompense les auteurs issus du milieu médical.

Il entame, en février, un cycle de conférences et séances de dédicaces, à la rencontre de ses lecteurs.

Retrouvez-le, - Le 1er FEVRIER au café des Psaumes, à 16 h 30, à Paris sur le thème Mariages Mixtes et Conversions - Le 6 FEVRIER à partir de 18 h 30 en conférence, sur le thème des troubles du comportement chez l’enfant, en duo avec Ruth Uzzan, psychothérapeute et spécialiste des médecines alternatives. Un passionnant éclairage à deux voix pour retrouver la sérénité dans les foyers ! Ecole Or Thora, 27 rue de Tourtille, Paris 20ème - Le 11 FEVRIER, à partir de 14 h à la librairie LA MOUETTE RIEUSE, 17 BIS rue Pavée, Paris 4ème, pour une séance de dédicaces et de rencontres avec les lecteurs.

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Voici, grâce à Samantha Berguig, notre jolie lectrice, deux très sympathiques recettes revisitant les boulettes ! Bien sûr, rien à voir avec les incontournables du couscous tunisien, mais ses recettes sont appétissantes, colorées et originales et elles devront mettre les convives en joie, à n’en pas douter. Alors un repas de shabbat beau, bon et équilibré, que demander de mieux ?

Shabbat slalom à tous et envoyez nous vos réalisations sur contact@israel-actualites.tv Röstis de courgettes aux flocons d’avoine de Samantha Berguig 2 c à s de persil 2 courgettes râpées

1 gousse d’ail 2 oeufs 1 oignon 80g de flocons d’avoine Huile d’olive sel, poivre, épices de votre choix Râpez les légumes et pressez l’ail. Bien essorer, ajouter les flocons d’avoine, les oeufs battus, réservez au frais 30 minutes. Façonnez des boulettes avec la préparation et les aplatir, les faire dorer dans un peu d’huile, beaucoup de succès et d’originalité pour cette recette d’une grande simplicité !

Boulettes de poulet aux herbes de Samantha Berguig 500 g d’escalopes de poulet 1 oignon 1/2 bouquet de coriandre 1/2 bouquet de persil quelques brins d’aneth 2 oeufs sel poivre, curcuma, marakoff Mélanger tous les ingrédients et mixez, formez des boulettes et les faire dorer dans une poêle chaude.

Suggestions de la rédaction : A servir avec un boulghour aux pois chiches par exemple ou une purée de légumes anciens !

Bon appétit !

SÉCURITÉ

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« Chronicle », le nouveau bras armé anti-pirates de Google

La Chine et Israël poussent l’intelligence artificielle et technologies quantiques

C’est nouveau. La collaboration israélo-chinoise, très prolifique et constante depuis cinq ans, en matière de défense, a t-elle ouvert les yeux aux Chinois? Les experts militaires israéliens ont vraiment l’impression que l’armée chinoise fait du copié-collé de la stratégie hightech de Tsahal.

Selon (1) : « La Chine a sélectionné 120 spécialistes pour travailler dans un institut de recherches afin de booster le développement de l’intelligence artificielle et de technologies quantiques pour leur application dans le domaine militaire, écrit le quotidien South China Morning Post.

L’armée populaire de libération de la Chine (APL) a sélectionné des spécialistes pour travailler dans l’Académie chinoise des sciences militaires (Republic of China Military Academy), a écrit le quotidien South China Morning Post. D’après le média, environ 95% des chercheurs possèdent des grades universitaires. Ils se spécialisent no-

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tamment dans les domaines de l’intelligence artificielle et des technologies quantiques.

Comme l’indique le média, cette mesure de Pékin est liée à son ambition de devenir une super puissance militaire et technique ainsi que d’atteindre les performances des ÉtatsUnis dans ces domaines.

D’après le journal, ce serait également lié aux tentatives du dirigeant chinois Xi Jinping de créer une armée ultramoderne «qui serait capable d’affronter n’importe quel ennemi en cas de besoin».

En 2015, Pékin a fait part de son intention de réduire ses effectifs militaires de 300.000 personnes, en rendant dans le même temps l’armée plus mobile et plus efficace. Néanmoins, jusqu’aujourd’hui, l’APL reste l’une des armées les plus nombreuses dans le monde avec environ 2,3 millions de militaires, soit 0,18% de la population du pays ».

(1) sputniknews.com

« Chronicle », le nouveau bras armé de Google pour lutter contre les cyberattaques aura très certainement de puissantes racines en Israël. En effet, Google possède depuis de nombreuses années des startups implantées dans l’Etat Hébreu.

Selon le journaliste Antony Lesme (usine-digitale.fr) : « Israël pourrait ainsi continuer à récolter les fruits de son expérience selon Assaf Rappaport, fondateur d’Adallom : « Le secteur de la cyber sera toujours plus important en Israël qu’ailleurs, et ce, en raison de l’armée. Il faut dire qu’Israël est probablement le pays le plus attaqué et celui qui peut repérer en premier les nouveaux types de hacking. Malheureusement, nous sommes expérimentés… Il existe également des investissements gouvernementaux dans les écoles secondaires et les programmes universitaires et, bien sûr, le développement du cybercentre de Beersheva« .

Les investissements israéliens dans ce domaine ont progressé de 23% entre 2015 et 2016, passant de 560 à 689 millions de dollars. Aujourd’hui, l’Etat hébreu compte 500 start-ups spécialisées dans la cybersécurité ».

Selon (1) : « Cette société, dirigée par un ancien de Symantec, veut aider les entreprises à mieux repérer les «angles morts» de leur cybersécurité. Google s’apprête à labourer un nouveau terrain. Alphabet, la maison mère de l’entreprise, a lancé ce 24 janvier une entité dédiée à la cybersécurité.

Chronicle aura pour objectif de mieux aider les entreprises à repérer et combattre les cyberattaques dont elles font régulièrement les frais.

La toute nouvelle filiale est la première société indépendante émanant de X Labs, le laboratoire chargé des projets de recherche et développement les plus avancés du groupe.

Les informations révélées à son sujet restent encore évasives. Google s’est contenté de préciser qu’il allait proposer aux entreprises une solution de cybersécurité qui s’appuie-

rait à la fois sur son infrastructure cloud et sa maîtrise du machine learning.

Deux services devraient être accessibles aux entreprises clientes: une plate-forme d’analyse et de renseignement en matière de cybersécurité, et Virus Total, une base de données publiques de virus rachetée par Google en 2012. D’autres acteurs proposent d’ores et déjà des solutions similaires. Ainsi d’IronNet, FireEye, CrowdStick ou encore Palantir. Google devra préciser en quoi son offre se différencie de celle de ses concurrents.

Un ancien de Symantec aux commandes La treizième société d’Alphabet sera dirigée par Stephen Gillett. L’ancien directeur opérationnel de Symantec, l’une des plus importantes sociétés de cybersécurité au monde, a dirigé les travaux sur la cybersécurité menés ces deux dernières années au sein de X Labs. «Nous voulons multiplier par dix la rapidité d’analyse des équipes de sécurité en rendant la détection et l’analyse de signaux de sécurité jusqu’alors difficiles et coûteux à trouver plus facile, rapide et bon marché», note-t-il dans un post de blog.

L’initiative arrive à point nommé. Les piratages informatiques, de plus en plus massifs et nombreux, ont des conséquences économiques désastreuses sur les entreprises qui en sont victimes. Un tel contexte profite au marché mondial des logiciels de cybersécurité agrémentés d’intelligence artificielle, dans lequel s’engouffrent un nombre croissant d’entreprises. Bon nombre d’entre elles, à l’image de Darktrace, proposent désormais aux organisations l’équivalent d’un système immunitaire, pour non seulement défendre leurs clients contre les cyberattaques mais aussi repérer en amont celles amenées à causer des dégâts. Un tel marché devrait peser 18,2 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2023, selon une étude de P & S Market Research ».

(1) lefigaro.fr

SÉCURITÉ

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Des drones dans l’espace aérien de l’aéroport israélien Ben Gourion

Si « La menace des drones » peut faire penser à un titre de Star Wars, c’est malheureusement la réalité du nouveau danger à gérer pour l’Autorité des aéroport en Israël. Un drone a été repéré récemment planant au-dessus du Terminal 3 de l’aéroport international de Ben Gurion, forçant l’aéroport à suspendre son trafic pendant 10 minutes.

raient actuellement environ 20 000 drones aux utilisations multiples (vidéos aériennes lors de mariages jusqu’à l’assistance aux secouristes pour localiser les personnes piégées dans des bâtiments effondrés). Mais ces véhicules aériens téléguidés sont également devenus plus accessibles aux criminels et aux terroristes, qui les utilisent pour planifier ou commettre des crimes.

Des drones pénètrent dans l’espace aérien de l’aéroport israélien assez souvent. Le mois dernier, un avion téléguidé sans pilote avait pénétré au-dessus de l’aéroport de Ben Gourion juste après minuit, obligeant l’aéroport à bloquer tous ses vols au départ et à l’arrivée.

Constatant les difficultés éprouvées par la police et l’armée israéliennes pour effectuer des actions conjointe en but de contrer cette « menace des drones », une nouvelle brigade « anti-drone » devrait voir le jour prochainement. Ce nouvel organisme, dirigé par l’armée de l’air, disposera de sont propre budget et aura pour objectif de déterminer s’il faut, ou non, pousser à la réglementation des drones en Israël.

Autrefois coûteux et complexe, ces petits drones multi-rotors se sont aujourd’hui beaucoup popularisés et selon l’Autorité de l’aviation civile, les Israéliens posséde-

Tel-Avivre

France et Israël et prévention d’une course aux armements dans l’espace Le chef de la diplomatie russe a dénoncé les projets américains de déployer des armes dans l’espace. Selon lui, la militarisation de l’espace est susceptible de miner la sécurité internationale.

Les projets de militarisation de l’espace développés par les États-Unis donneront «une dimension très négative» aux problèmes de la sécurité internationale, a martelé Sergeï Lavrov lors de la conférence de presse dédiée au bilan diplomatique de 2017.

Lavrov a rappelé que la Russie et la Chine menaient une initiative commune sur le non-déploiement des armes dans l’espace, soumise il y a quelques ans lors de la Conférence du désarmement de l’Onu. «Malheureusement, à cause de la position des États-Unis les discussions concernant ce traité n’ont pas encore été entamées.

Les autres [pays] comprennent l’urgence de ce problème mais les États-Unis continuent à mûrir des projets de militarisation du cosmos, qui consistent en le déploiement d’armes dans l’espace, ce qui apporterait une dimension supplémentaire très négative aux problèmes de la sécurité internationale», a déclaré le chef de la diplomatie russe.

De plus, il a souligné que la Chine et la Russie étaient les auteurs du projet de la convention sur la prévention des attaques terroristes faisant usage d’armes chimiques

et biologiques dans le cadre du Conférence du désarmement de l’Onu. Selon M.Lavrov, cette initiative est «également entravée par les États-Unis».

La Première Commission de l’Assemblée générale des Nations unies a approuvé la résolution sur la prévention d’une course aux armements dans l’espace. Les USA, la France, le Royaume-Uni, Israël et l’Ukraine ont voté contre. L’Assemblée générale compte lancer les pourparlers pour élaborer un document juridiquement contraignant sur la démilitarisation de l’espace. La résolution n’a pourtant aucune chance d’être adoptée au Conseil de sécurité des Nations unies, dont trois États membres permanents ont voté contre.

Source : perspectivesmed.ma

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Davos. Un superbe « France is back » lancé par Emmanuel Macron

La France promet aux palestiniens un accord d’association avec l’UE « France is back », « la France est de retour », a lancé mercredi en anglais le président français Emmanuel Macron sous les applaudissements des grands patrons et dirigeants politiques réunis à Davos, où il a aussi réclamé un « nouveau contrat mondial ».

La France, soutenue par plusieurs capitales mais pas certaine de convaincre la totalité de ses partenaires, espère envoyer un « signal positif » à M. Abbas en lui promettant la perspective d’un accord d’association avec l’UE. Une mesure symbolique alors que les relations entre les responsables palestiniens et l’administration américaine sont au plus bas : M. Abbas refuse désormais toute médiation américaine avec Israël, après la reconnaissance unilatérale de Jérusalem par l’administration Trump comme capitale d’Israël, le 6 décembre 2017.

Washington, en retour, exerce une pression financière : les Etats-Unis ont gelé une partie de leur contribution (65 millions de dollars, soit 53 millions d’euros, sur 350) à l’UNRWA, l’Office des Nations unies pour les réfugiés palestiniens au Proche-Orient.

Réticences Les accords d’association régissent la coopération entre l’Union européenne et des pays tiers dans différents domaines (le commerce, la politique, la sécurité, etc.). Ils sont, en principe, conclus avec des Etats, or la Palestine n’en est pas un aux yeux d’une majorité de pays membres – dont la France.

Neuf d’entre eux seulement (Suède, Po-

logne, République tchèque, Portugal, Hongrie, Bulgarie, Roumanie, Malte et Chypre) l’ont reconnue comme telle. La Palestine dispose d’un statut d’observateur auprès des Nations unies, dont elle n’est pas officiellement membre.

Paris souligne qu’un tel accord a été conclu avec la République du Kosovo, qui n’est pas non plus reconnue par l’ensemble de la communauté internationale. Et ajoute qu’aucun obstacle juridique ne peut entraver ce qui n’est d’ailleurs qu’une ébauche, puisque la négociation et l’adoption de telles dispositions nécessitent plusieurs années.

Il n’empêche, la pression exercée par Paris indispose certaines capitales. Londres, notamment, manifeste d’évidentes réticences, même à l’égard d’une simple déclaration.

La Grande-Bretagne pourrait être appuyée par des pays comme la Pologne, la Hongrie ou la République tchèque, qui se sont abstenus aux Nations unies, le 21 décembre, lors du vote de la résolution condamnant la reconnaissance par Washington de Jérusalem comme capitale d’Israël.

Source : ww.lphinfo.com

Nicolas Sarkozy était venu au Forum économique mondial de Davos en 2010, trois ans après son élection. François Hollande avait lui aussi mis trois ans à s’y rendre, prononçant un discours en 2015 dans la très chic station de ski suisse. Emmanuel Macron n’a pas attendu autant de temps : neuf mois après son élection, il a harangué une assemblée de grands patrons et de dirigeants politiques. « France is back » (« la France est de retour »), a-t-il lancé en préambule d’un discours très applaudi. « Il était interdit d’échouer en France et interdit de réussir », a-t-il ensuite affirmé, lui qui veut encourager au contraire à « prendre des risques », et qui a longuement détaillé ses réformes en anglais.

C’est en français que le chef de l’Etat a poursuivi dans un second temps sa longue

allocution, pour réclamer un « nouveau contrat mondial » face à une mondialisation « qui tire le monde vers le bas ». Sans quoi, a-t-il averti, « les extrémismes gagneront dans 10 ou 15 ans dans tous les pays ». Emmanuel Macron a par exemple appelé les multinationales, dont beaucoup ont envoyé leur état-major à Davos, à « renoncer à l’optimisation fiscale à tout crin ».

Les gouvernements devraient, eux, avoir des « stratégies fiscales coordonnées au niveau international », notamment pour taxer les géants du numérique « qui ne paient pas d’impôts », a ajouté le chef de l’Etat. S’il vient de baisser le taux d’imposition des sociétés, tout comme d’ailleurs le président américain Donald Trump, attendu jeudi à Davos, Emmanuel Macron n’en a pas moins appelé à cesser la « course au moins-disant » fiscal entre Etats. Le président français souhaite par exemple que les Etats-Unis et la Chine rejoignent une initiative d’harmonisation fiscale menée par l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE).

(Avec AFP)

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A Davos : « Le président français parle mieux l’anglais que l’américain »

Découvrir des produits de France en Israël. Semaine de la gastronomie

Autant les Français rasaient les murs à Davos en 2017, à la veille d’élections incertaines, autant cette année, ils bombent le torse. « La France a retrouvé sa crédibilité. Elle est attendue et écoutée.

Tous nos interlocuteurs nous disent : allez-vous continuer ? », a assuré le ministre de l’économie Bruno Le Maire, jeudi 26 janvier.

ging partner pour l’Europe de l’Ouest du cabinet de recrutement Heidrick & Struggles. « Je me suis même senti proche de lui. Je trouve qu’il a une simplicité, une capacité à connecter avec les gens, même dans sa gestuelle », s’extasie Zunaid Ahmed Palak, jeune ministre des postes et des télécoms du Bangladesh, qui dit avoir « beaucoup appris » en observant le président français.

Les Français ne sont pas les seuls à le dire. « Pour la première fois depuis longtemps, je sens de l’optimisme provenant à la fois de France et des investisseurs regardant la France », commente le britannique Paul Rawlinson, président du cabinet d’avocats d’affaires international Baker McKenzie.

Même au cocktail organisé par la ville de Francfort, en compétition avec Paris pour attirer les futurs exilés du Brexit, les participants – presque tous Allemands – se montraient élogieux. « Je suis une grande fan.

Emmanuel Macron apporte un vent de fraîcheur en Europe. J’ai beaucoup aimé quand il a insisté sur les valeurs de liberté et de justice que nous partageons en Europe », se réjouit Saskia Bruysten, une Berlinoise qui promeut l’entrepreneuriat social, en association avec le Prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus.

L’« effet Macron » compte pour beaucoup.

Comme l’arrivée au pouvoir de leur premier ministre Justin Trudeau avait galvanisé les Canadiens qui déambulaient, sourire aux lèvres, dans les couloirs du Forum économique mondial en janvier 2016. Le président français a réalisé un joli coup en interceptant les patrons internationaux sur la route de Davos, lundi 22 janvier, pour leur vanter les réformes en France. « Il est compétent, il rentre dans les détails, il est assez impressionnant », observe Jamie Dimon, le PDG de la banque américaine JP Morgan, l’un des 140 dirigeants d’entreprises invités à Versailles. « Votre président est génial » Mercredi, le discours d’Emmanuel Macron à Davos a été aussi très apprécié. « C’était un discours plein d’ambition et d’humanité, qui veut engager les entreprises. C’est très inspirant », souligne Sylvain Dhenin, mana-

Pas étonnant si l’équipe France se sent gonflée à bloc. « J’ai assisté à quatre tables rondes ce matin. A chaque fois son nom a été évoqué », racontait Elizabeth Ducottet, PDG de l’entreprise familiale de dispositifs médicaux Thuasne. « Les Américains, les Européens, les Asiatiques, nous disent tous : “votre président est génial”. Forcément, on est fiers ! », lance Gérard Mestrallet, le président d’Engie. La blague du moment à Davos : « pour une fois qu’un président français parle mieux anglais que le président américain ».

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr

Hélène Le Gal, ambassadrice de France en Israël, accueillera la conférence de presse d’ouverture de SO FRENCH SO FOOD, au cours de laquelle elle présentera les chefs français et israéliens participants. Des élus de la région Paris Île-deFrance et des représentants des groupes, entreprises et associations partenaires seront également présents.

L’ambassadrice de France : « Je suis très heureuse de vous retrouver cette année encore pour « So French So Food » – la Semaine de la gastronomie française en Israël – qui célèbre les liens exceptionnels qui unissent la France et Israël sur le terrain convivial de la gastronomie. Cette vibrante fête du goût et des talents met à l’honneur en 2018 la région Paris Île de France, avec ses chefs, ses arômes, ses spécialités gourmandes et ses attraits touristiques.

J’espère vous voir participer nombreux à cette formidable expérience de partage des saveurs, des cultures et des savoir-faire entre chefs français et israéliens, que ce soit dans les restaurants partenaires de l’opération ou lors des événements organisés tout au long de la semaine (dégustations de mets et vins français, conférences thématiques, « master class » pour les apprentis cuisiniers

et les gastronomes amateurs).

Je salue également la participation du groupe Shufersal, dont les magasins vous feront découvrir durant l’opération des produits français jusque-là introuvables en Israël. Parce que la convivialité et le partage sont au cœur de la cuisine en France, la Semaine de la gastronomie organise aussi des activités en collaboration avec des associations caritatives à destination de populations fragilisées.

Cette année, nous avons souhaité mettre en lumière le travail des associations Beit Dror, qui soutient les adolescents et les adolescentes de la communauté LGBT, et Saleet, qui aide des femmes à sortir du cercle de la prostitution et à se réinsérer dans la société.

Je suis particulièrement fière d’accueillir à la Résidence de France des femmes et des adolescents accompagnés par ces associations, pour une journée d’échanges autour de ce qui fédère le plus les hommes entre eux : un bon repas ! » La Semaine de la gastronomie française propose du 5 au 8 février quatre jours d’activités et d’événements aux saveurs françaises.

FRANCE

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« Dialogue » entre Macron et le garde du corps. Possible en Israël?

La presse française s’est fait l’écho d’une discussion « amusante » entre Emmanuel Macron et son garde du corps (1).

En Israël, la tension autour du Chef de Gouvernement est telle lors de ses déplacements extérieurs que ce type de dialogue est impensable. Tout le monde est très vigilent.

reportage de Quotidien (TMC), Emmanuel Macron est filmé en train de blaguer avec l’un de ses gardes du corps. Alors qu’il est assailli de demandes d’autographes de la part d’enfants à Clermont-Ferrand, le président demande à l’un des policiers chargés de sa surveillance s’il n’a pas un « truc pour signer dessus ».

Par contre la familiarité est de mise en Israël entre Netanyahou et ses gardes (qui peuvent avoir un bac+5). Le « vous » n’existe pas, et tout le monde, incluant la sécurité, appelle le Premier Ministre « Bibi ».

« On n’en jamais trouvé un qui sache écrire »

(1) « Il s’agit en fait d’un échange de taquineries après que le président de la République a estimé que les policiers, chargés de sa protection, ne savaient pas écrire ». « Il a bien traité le président de la République d’ « enfoiré » et de « salaud » mais ne risque pas pour autant d’être poursuivi pour offense au chef de l’Etat. Dans un

Celui-ci lui tend alors une sacoche en cuir blindée, utilisée pour sa protection rapprochée. « C’est pas un truc blindé en fait, c’est de la daube », réagit Emmanuel Macron, surpris par la souplesse de l’objet. Et d’ajouter, sur le ton de la plaisanterie, que si les policiers ne disposent pas de support plus rigide pour écrire, c’est parce qu’ils « n’en ont jamais trouvé un qui sait écrire ».

Ce à quoi le fonctionnaire de police répond au président: « Enfoiré » puis « salaud ».

(1) lexpress.fr

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David Thomson, journaliste spécialiste du djihadisme, sous les menaces

C’est une confession qui fait froid dans le dos. David Thomson, le journaliste spécialiste du djihadisme, explique dans une interview publiée dans Le Figaro ce dimanche, avoir dû quitter « la France à cause de menaces ». En Israël, les spécialistes d’anti-terrorisme sont absolument pas surpris. « La France est sous la menace des djihadistes », selon un expert israélien interrogé par IsraelValley..

Selon 20Minutes : « Celui qui a été journaliste à 20 Minutes, puis correspondant en Tunisie pour RFI, a une expertise reconnue sur le djihadisme. Il a même obtenu le prix Albert Londres. « Je ne sais pas si l’on peut s’habituer aux menaces de mort. Elles ont commencé début 2013, quand j’étais correspondant en Tunisie pour RFI, à cause du début de l’opération Serval au Mali. Ensuite, chaque année, ma situation sécuritaire s’est dégradée. À partir de l’été 2016, les menaces de mort se sont intensifiées, de plus en plus personnalisées et circonstanciées »,

explique-t-il au quotidien, en dévoilant son exil forcé aux Etats-Unis. « La pression en France était devenue trop forte » Le journaliste raconte aussi comment il a appris qu’il avait été place sous protection policière, par un appel lorsqu’il était à la terrasse d’un café. « Nous sommes une quinzaine de civils dans ce cas en France. J’ai fait la connaissance d’officiers de sécurité extraordinaires. L’un d’entre eux m’a dit tout au début : « Nous sommes là pour prendre une balle pour vous » », déclare-t-il. « Durant mon travail en France, j’ai rencontré des djihadistes qui sont chauffeurs de taxi, agents de sécurité et même auxiliaires de police au guichet d’un commissariat. Il m’est arrivé d’en recroiser certains par hasard. La pression en France était devenue trop forte », poursuit-il, déclarant avoir démarré un « nouveau cycle journalistique » aux Etats-Unis ».

Région Paris Île-de-France à la semaine de la gastronomie française en Israël

La 6ème édition de la semaine de la gastronomie française en Israël « SO FRENCH SO FOOD », placée sous le patronage de la région Paris Île-de-France, se déroulera du 5 au 8 février dans les villes de Tel Aviv, Haïfa, Jérusalem, Beer Sheva, Zikhon Yaakov, Nazareth et Tibériade.

L’événement est organisé conjointement par l’Ambassade de France en Israël, l’Institut français d’Israël, Business France, le Consulat général de France à Jérusalem et l’Institut français de Jérusalem, en partenariat avec Shufersal, les vodkas françaises Grey Goose, JC DECAUX, French Beef, le groupe Maslamani en partenariat avec Laga’at b’ochel, Air France, Bragard, l’hôtel Sheraton Tel Aviv, les sociétés Sodexo et Seyman, les écoles hôtelières israélienne et française Bishulim et Ferrandi, les vins

Grands Chais de France, les eaux Evian / Badoit, les associations israéliennes Saleet et Beit Dror et l’association des Cuisiniers de la République Française.

La délégation de 17 chefs français, dont un maître-pâtissier, dirigée cette année encore par Guillaume Gomez, chef du palais de l’Elysée et président de l’Association des Cuisiniers de la République française, sont tous originaires de la région Paris Île-deFrance. Leur immense talent a été distingué par les plus grands guides gastronomiques et des prix français ou internationaux.

Parmi eux, on peut noter la présence de deux femmes exceptionnelles Flora Mikula et Rougui Dia. Ils seront accueillis à Tel Aviv, Haïfa, Jérusalem, Beer Sheva, Zikhon Yaakov, Nazareth et Tibériade, par les chefs israéliens de 13 restaurants et d’une pâtisserie.

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Philanthropie à Tel-Aviv. The Kooples lance une opération exceptionnelle

Selon LPH : « La marque de prêt-à-porter The Kooples, véritable success story à la française, arrive pour la première fois en Israël. Fondée en 2008 à Paris par trois frères, Alexandre, Laurent et Raphaël Elicha, la maison The Kooples est avant tout l’histoire d’un succès familial ancré sur une réelle expérience du monde de la mode et sur un esprit pionnier indéniable.

Les «ambucycles» arrivent en un temps record sur les lieux d’accidents

Les parents des trois frères, Tony et Georgette Elicha, ont eux-mêmes réussi brillamment dans le secteur du textile et ont notamment créé, en 1995, la marque de prêt-à-porter chic, subtil et intemporel Comptoir des Cotonniers, rendue célèbre par ses campagnes mères-filles. En 2005, ils ont revendu Comptoir des Cotonniers à un géant du textile japonais. Portés par cet esprit d’entrepreneuriat et cette culture de l’optimisme, les frères Elicha se sont tout naturellement, lancés dans l’aventure The Kooples. Revisitant l’image du dandy parisien chic en s’inspirant des styles vintage et british, ils expriment, à travers leurs créations, l’envie d’habiller le couple et de lui offrir une expérience shopping à deux.

L’aîné, Alexandre, s’occupe de la direction artistique de l’homme, Laurent de la collection femme et Raphaël de la partie photos et vidéos qui a tant contribué à faire connaître la marque. Mais la famille Elicha ne s’illustre pas simplement dans le domaine de la mode. Tony Elicha est un vrai philanthrope qui a fait de sa mobilisation pour ai-

Depuis peu, le service mobile d’urgence «United Hatzalah» (1) utilise des ambulances révolutionnaires. Ces modèles électriques sont nettement plus légers et plus petits que les véhicules traditionnels.

De plus, ils sont conçus de manière à pouvoir escalader des marches, ce qui leur permet d’atteindre sans problème des lieux autrement difficiles d’accès.

taire est de 45 000 dollars, ont été offerts.

Ils desservent différentes villes israéliennes et peuvent également être conduits par des bénévoles handicapés. „United Hatzalah“ bénéficie de l’aide d’environ 4 000 ambulanciers bénévoles. Ce service est notamment connu pour ses «ambucycles» qui permettent aux sauveteurs d’arriver en un temps record sur les lieux des accidents.

Quatre de ces véhicules, dont le coût uni-

http://israelentreleslignes.com

der les autres une priorité. Président de la Communauté juive de Toulouse, membre du Consistoire central israélite de France, il soutient depuis toujours la communauté en France. Et, pour accompagner au mieux les Juifs de France qui font le choix de s’installer en Israël, Tony Elicha a décidé aujourd’hui d’offrir aux Israéliens cette vente privée exceptionnelle dont l’intégralité des bénéfices sera reversée à Qualita, qui œuvre à une intégration de qualité des Olim francophones.

Pour l’occasion, c’est un container rempli de plus de 20 000 pièces que The Kooples a livré à Tel Aviv. Les vêtements seront vendus à des prix défiant toute concurrence, soldés de 50% à 70% de leur prix original.

Blousons, ceintures, chemises, écharpes, accessoires, bottes, jupes et robes des collections 2015 à 2017 – mais clairement indémodables – attendent les Franco-israéliens, et même les Israéliens branchés !

Tony Elicha a fait confiance à l’organisation Qualita, reconnue pour son travail sans relâche en faveur des Olim de France, qui redistribuera les bénéfices de la vente aux associations qui aident les Olim francophones et à des familles nécessiteuses israéliennes soigneusement sélectionnées ».

Vente du 4 au 11 février de 10h à 20h, Mithham Hatahana de Neve Tsedek, Tel Aviv Pré-inscriptions: The Kooples à Tel Aviv sur FaceBook

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Le BDS ne l’a pas convaincu.

Le chanteur australien Nick Cave à Tel-Aviv

Le chanteur australien Nick Cave a déclaré il y a quelques mois qu’il se produisait en Israël « pour prendre position contre le mouvement BDS, le boycott, le désinvestissement et les sanctions contre Israël ».

En 2018 la première banque de lait maternel ouvre ses portes en Israël

Cave et son groupe, The Bad Seeds, ont joué l’an dernier devant une foule à guichets fermés à Tel Aviv – sa première apparition sur une scène israélienne en 20 ans.

Lors d’une conférence de presse avant son concert, Cave a déclaré qu’il avait décidé de programmer une représentation en Israël après avoir été invité à signer sur une liste d’artistes qui se sont engagés à ne pas chanter en Israël. Il a décidé de ne pas signer.

“Et puis il m’est venu à l’esprit que je n’allais pas signer cette liste, mais je ne jouais pas non plus en Israël, et cela me semblait lâche”, a déclaré Cave. “Après avoir réfléchi à tout cela, j’ai téléphoné à mon groupe pour lui dire:” Nous faisons une tournée eu-

ropéenne – ajoutons Israël “, parce que c’est devenu très important pour moi de prendre position contre ceux qui tentent d’imposer leurs règles aux musiciens, d’intimider les musiciens, de censurer les musiciens et de faire taire les musiciens. “Si vous jouez contre Israël, vous devez subir une sorte d’humiliation publique de la part de Roger Waters and Co., et personne ne veut être publiquement honteux. C’est la chose que nous craignons le plus, en quelque sorte, d’être publiquement humiliés. ” Waters, l’ancien leader de Pink Floyd, est un des principaux partisans du mouvement BDS contre Israël et a été actif en demandant aux autres artistes de boycotter des spectacles dans le pays. Cave : “J’ai ressenti une énorme connexion avec Israël”. “Pas seulement les gens de ce beau pays, mais je sentais juste une sorte de connexion pas réellement facile à décrire.”

Source : infos-israel.news

L’israélien « Aspect Imaging » lance un appareil IRM conçu pour les prématurés En 2018 la première banque de lait maternel devrait ouvrir ses portes en Israël.

Cette mesure était réclamée depuis des années par différents organismes. Dès 2011, le ministère de la Santé avait déjà avancé cette idée. Il reste encore un certain nombre de détails à régler mais le ministère de la Santé a provisionné une somme d’un million de shekels (environ 240 000 euros, 280 000 CHF) pour permettre au Magen David Adom de réaliser enfin ce projet.

Une banque officielle de lait maternel est impérativement nécessaire car 50 pour cent seulement des mères de prématurés sont en mesure d’allaiter et certains prématurés ne supportent pas le lait en poudre. Jusqu’ici, il existait des filières lait officieuses, mais sans détection systématique chez les nourrices de certaines maladies comme l’hépatite C, le HIV ou autres infections virales. A noter que les nourrices ne sont pas payées.

Il était très difficile jusqu’ici de dépister la présence d’éventuelles lésions cérébrales chez les prématurés car les petits étaient trop fragiles pour être transportés dans les services disposant de l’équipement nécessaire. Le développement, par la firme israélienne Aspect Imaging, d’un appareil IRM spécialement conçu pour les prématurés peut donc être qualifié de révolutionnaire.

Le nouvel appareil est plus silencieux, moins dangereux et moins coûteux que les équipements habituels. Le rayonnement a également pu être sensiblement réduit, si bien que le personnel hospitalier et les parents

peuvent rester près de l’appareil pendant l’examen. La mise au point de ce bijou a demandé près de dix ans. Le fondateur de la société, Uri Rapoport, a d’abord travaillé dans son garage.

Aujourd’hui, il emploie près de 90 salariés.

L’appareil IRM va prochainement être exporté en Chine qui enregistre annuellement 160 millions de naissances. Uri Rapoport veut maintenant mettre au point un appareil IRM pour les personnes souffrant de problèmes cardiaques. http://israelentreleslignes.com

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Université de Tel-Aviv. Succès A Tel-Aviv, rencontre avec Tal pour la conférence internationale Spiegel, designer et pâtissier sur l’espace

L’Université de Tel-Aviv construit un nouveau centre spatial pour la création et le lancement de satellites spécialisés, de la taille d’une boite à chaussures, destinés à la recherche scientifique, dans des domaines allant de la surveillance de la pollution de l’air aux réseaux de télécommunication, en passant par le suivi des forêts tropicales et les applications agricoles. Le nouveau centre, qui rendra la technologie satellitaire accessible aux chercheurs de tout le campus, sera présenté à la 13e Conférence internationale sur l’espace, qui aura lieu les 29 et 30 janvier à l’Université.

L’initiative est soutenue par la Fondation Porter, et le centre sera situé dans l’Ecole Porter d’Etudes environnementales de l’Université de Tel-Aviv. Les mini-satellites spécialement conçus pour répondre à des questions scientifiques spécifiques, seront construits par des experts et des ingénieurs en coopération avec les professeurs et les étudiants de l’Université de Tel-Aviv. Ils seront réalisés en peu de temps et à des coûts relativement bas. « Jusqu’à présent, les scientifiques qui avaient besoin de satellites pour leurs recherches devaient utiliser les services des grands satellites, généralement lancés par les gouvernements ou l’armée », explique le Prof. Colin Price, directeur de l’Ecole Porter, qui a mené l’initiative en collaboration avec Dr. Meir Ariel, chef du Centre des Sciences de Herzliya. « La méthode du nouveau centre les libère de cette dépendance, et leur permettra une souplesse beaucoup plus grande dans l’utilisation des satellites pour la recherche ».

Former la prochaine génération d’experts dans le domaine de l’espace La nouvelle approche, rendue possible par la révolution de la miniaturisation technologique, repose sur l’utilisation de cubes d’une taille de 10 x 10 x 10 cm, assemblés pour composer de minuscules satellites (« de la taille d’une boite à chaussure » selon le Prof. Price). Chaque mini-satellite sera équipé de caméras et de capteurs minus-

cules, en fonction de la mission à laquelle il sera destiné, et d’une antenne qui lui permettra d’envoyer des données à la station au sol. La construction d’un mini-satellite prend environ deux ans, comparée à 10 ou même 20 ans pour celle d’un grand satellite, et son coût de construction et de lancement est d’environ un demi- million de dollars, contre des centaines de millions requis pour un satellite traditionnel.

Les mini-satellites « montent » dans l’espace sur des engins spatiaux lancés dans le monde entier et entrent en orbite autour de la Terre à une altitude de 400 à 600 kilomètres. Ils se déplacent à une vitesse de 8 kilomètres par seconde et font le tour du globe toutes les 90 minutes. Ils peuvent être utilisés pour la recherche dans tous les domaines: surveillance environnementale, pollution de l’air, surveillance des forêts tropicales, des icebergs polaires ou des migrations animales, agriculture, réseaux de communication, géophysique, géographie, recherche atmosphérique, météorologie, biologie, médecine, etc.

En plus de ses activités de recherche, le centre se consacrera également à l’éducation et construira des programmes pour former des étudiants dans le domaine des sciences spatiales et des satellites. Il devrait également participer au projet « Israël 70 », qui marquera le 70e anniversaire du pays, par la construction de satellites miniatures dans 70 lycées, et leur lancement dans l’espace. « Notre centre aura des préoccupations essentiellement scientifiques », conclut le Prof. Price. « C’est un centre multidisciplinaire conçu pour servir les chercheurs sur tout le campus, dans des domaines allant des sciences exactes, de l’ingénierie et des sciences de la vie jusqu’aux sciences sociales, sciences de l’éducation, le droit et même les arts. En plus de son activité de recherche, il s’occupera de former la prochaine génération d’experts dans le domaine de l’espace et des satellites ».

Source : ami-universite-telaviv.com

« De Paris à Tel Aviv : transmettre le goût et les saveurs de France ». Une rencontre inédite entre le conseiller gastronomique David Kichka et le designer et pâtissier israélien Tal Spiegel le mardi 6 février de 18h à 20h à l’auditorium de l’Institut français de Tel Aviv.

Au cours de cette conférence, David Kichka racontera les petits secrets culinaires de la région Paris Île-de France, appuyés par des exemples précis – le Paris-Brest, la moutarde de Meaux… Il recevra Tal Spiegel, designer et pâtissier à Paris, instagrameur de talents, qui a connu un succès foudroyant dans le monde entier grâce à ses photos ultra stylées de pâtisseries multicolores assorties à ses chaussures.

Dégustation de confiseries françaises pendant la conférence.

Informations pratiques : Rothschild 7, Tel Aviv Entrée : 50 NIS Vente de Pâtisseries de Paris de Tal Spiegel à l’issue de la conférence « Soirée Saveurs et goûts » au centre culturel Yad Shetrit de Tibériade le mardi 6 février à 18h30 avec la participation de la chanteuse Eyla Assulin qui donnera un concert.

Informations pratiques : Entrée 20 NIS Pour en savoir plus, contactez Judith Timsit. / 052-7341610

A La Closerie à Tel-Aviv avec le Chef du Palais de l’Elysée

A. « Ambassadeur de la gastronomie française et passeur de goût », une rencontre avec le Chef du Palais de l’Elysée Guillaume Gomez, animée par Roselyne Déry, Attachée pour le livre, le lundi 5 février à 18h à La Closerie – médiathèque de l’Institut français de Tel Aviv

Le chef Guillaume Gomez, chef des cuisines du Palais de l’Elysée depuis 2013, Meilleur ouvrier de France et parrain de la Semaine de la gastronomie française en Israël présentera ses deux ouvrages – Cuisine : leçons en pas à pas publié aux Editions du Chêne en octobre 2017 et Le carnet d’un chef publié aux éditions Glénat en avril 2017. Une rencontre, réservée aux abonnés de La Closerie, médiathèque de l’Institut français d’Israël.

Informations pratiques : 6 rue Herzl, Tel Aviv En français. (Entrée libre réservée aux abonnés de La Closerie. Vente de livre et signature à l’issue de la conférence).

B. Atelier Campus France : « Tout savoir sur les écoles d’art culinaire et d’hôtellerie en France » le lundi 5 février à 19h à l’Institut français de Tel Aviv L’Institut français d’Israël, grâce à son ser-

vice Campus France, vous propose une session d’information pour tout savoir des meilleures écoles d’art culinaire et d’hôtellerie en France – l’Ecole Ferrandi, l’Ecole Alain Ducasse, le Cordon Bleu ou l’école Le nôtre, et plus encore. Avec la participation du chef Eric Trochon, Professeur à l’école Ferrandi, spécialiste de design culinaire et consultant pour de nombreux établissements hôteliers ou restaurants dans le monde entier, et des chefs israéliens ayant étudié en France. (Informations pratiques : Le lundi 5 février 2018 à 19h. Institut français d’Israël, Rothschild 7, Tel Aviv)

POLITIQUE

Edition du 31 Janvier 2018 au 6 Février 2018

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Sarah Netanyahou au coeur d’une Netanyahou a rencontré tornade médiatique en Israël Emmanuel Macron au Forum

mondial de Davos

La diffusion en une par les grands médias d’une vidéo clandestine datant d’il y a neuf ans dans laquelle Sarah Netanyahou levait la voix envers l’un de ses conseillers en communication constitue -t-il un nouveau cap contre la famille du Premier ministre?

Dans un enregistrement calme mais ferme, le Premier ministre s’est porté au secours de son épouse et a lancé un appel aux journalistes « à cesser de s’en prendre à des détails insignifiants touchant à son épouse ou ses enfants ». Il a révélé que Sarah Netanyahou « était en route pour Haïfa pour participer à une cérémonie en compagnie de survivants de la Shoah lorsqu’elle a entendu à la radio cet enregistrement réalisé à son insu il y a neuf ans de cela ».

Dans son message, le Premier ministre demande, les yeux dans les yeux, « à toutes

celles et ceux qui verront ce clip, et principalement aux journalistes, s’il ne leur est jamais arrivé de lever la voix durant les neufs ans qui viennent de s’écouler! » « Honte à vous », lance-t-il à ceux qui enregistrent des conversations privées et qui les fournissent ensuite aux médias qui n’attendent que de s’attaquer au Premier ministre et à sa famille. Il conclut avec cet appel: « Vous voulez me remplacer? Faites-le par les urnes, mais laissez ma famille tranquille! » Dimanche, Binyamin Netanyahou notait avec « étonnement » que les médias qui semblent tant s’intéresser à son épouse ne mentionnent jamais tout ce qu’elle fait en faveur des soldats sans famille, des rescapés de la Shoah, des personnes âgées ou des familles en difficulté. lphinfo.com

Accord de libre-échange Canada-Israël.

Dialogue Trudeau-Netanyahou Le bureau du premier ministre canadien a envoyé mercredi matin un courriel aux médias qui couvrent le Forum économique mondial à Davos pour annoncer qu’une rencontre organisée à la dernière minute avait eu lieu entre J. Trudeau et B. Netanyahou.

Selon des communiqués officiel, les deux dirigeants « ont discuté de la sécurité régionale au Moyen-Orient, et notamment de la situation concernant le processus de paix, tout particulièrement de la position de l’Iran dans la région. Le premier ministre Trudeau et le premier ministre Netanyahou ont discuté des liens économiques entre leurs pays et soulevé l’importance de moderniser l’Accord de libre-échange Canada-Israël, ce qui serait avantageux à la fois pour les entreprises canadiennes et israéliennes ».

Les rencontres bilatérales du premier ministre Canadien se déroulent derrière des portes closes, mais en règle générale, elles sont précédées de séances de photos auxquelles participent quelques journalistes qui ne posent normalement pas de questions lors de ce type d’exercice. Cela ne fut donc

pas possible avant l’entretien Trudeau-Netanyahou.

Cette rencontre survient quelques semaines après que le gouvernement du Canada eut choisi de s’abstenir de voter sur une résolution condamnant la décision du président Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël et d’y déménager l’ambassade des États-Unis.

Le premier ministre Trudeau a défendu cette prise de position il y a quelques jours en entrevue avec La Presse canadienne. Il a plaidé qu’Ottawa n’appréciait pas que certains pays mettent aux voix des résolutions pour « isoler » et « condamner » l’État hébreu aux Nations unies à des fins politiques. « Ce n’est pas productif dans les relations internationales. Et le Canada évite de prendre parti là-dedans », a-t-il expliqué. « Nous sommes moins intéressés à rouspéter et à jouer de la politique. Nous sommes plus intéressés à trouver des solutions et à avancer à un niveau substantiel. Et c’est pour ça qu’on fait les choix qu’on fait en termes de vote ».

Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a rencontré mercredi le président français Emmanuel Macron au Forum économique mondial de Davos, en Suisse, où ils ont discuté du processus de paix israélo-palestinien et de l’accord nucléaire iranien. « Le partenariat entre nous est également important pour la sécurité de l’Europe », a déclaré M. Netanyahou à Macron. Les deux dirigeants ont longuement discuté de la nécessité de contrer l’agression de l’Iran dans la région. Selon le bureau du Premier ministre, Netanyahu « a exprimé son opinion qu’il était impossible de laisser l’accord nucléaire tel qu’il est, car dans quelques années l’accord conduira à la nucléarisation de l’Iran ». Le Premier ministre a souligné « l’engagement d’Israël à empêcher » un Iran

nucléaire, indique le communiqué. « Je pense que ce que nous devons faire est de travailler équitablement sur un processus de paix à court terme », a déclaré Macron aux côtés de Netanyahou, ajoutant que l’objectif était la reconnaissance de deux états avec Jérusalem comme capitale commune. […] À Davos, Netanyahu a réitéré une fois de plus qu’il ne permettra pas à l’Iran de s’établir militairement en Syrie, ajoutant qu’Israël prend des mesures pour empêcher cela. En ce qui concerne la question palestinienne, le bureau de Netanyahou a déclaré dans un communiqué que le gouvernement « ne fera aucun compromis sur les besoins de sécurité d’Israël ».

Publié le 24 janvier 2018 dans Haaretz