Israël Actualités n°466 by epsilon media Associés

GRATUIT - Numéro 466 - Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Journal israélien en langue française

ÉDITO

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Netanyahou en ligne de mire

J’ai rarement vu un pays dans lequel on tend à ce point le bâton pour se faire battre. Conscients que la scène internationale a une réelle passion pour le dénigrement systématique de l’état israélien, les médias de l’état hébreu n’ont néanmoins pas l’intention de cesser leurs attaques contre le chef du gouvernement. Une liberté nécessaire disent-ils. Certes, et qui suis-je pour prétendre le contraire ? Mais il faut avoir conscience de la portée de ce que l’on écrit. Des conséquences qui peuvent être celles de ces brûlots plein de mépris à l’égard du Premier ministre. En dénigrant l’homme, on dénigre aussi le gouvernement, et c’est aux valeurs de l’état israélien, à celles du peuple entier que l’on s’attaque. Est-on vraiment si inconscient, en Israël, que l’on donne à ce point du grain à moudre aux antisionistes de tous poils ? N’a-t-on pas déjà assez d’ennemis, de contempteurs et de détracteurs qu’il faille encore nous improviser, nous-mêmes féroces critiques de notre propre gouvernement ? Lorsqu’un état vit dans la paix, je ne conteste en aucune manière le droit du peuple et des médias à critiquer et à se débarrasser de ceux, parmi les représentants du peuple qui n’auraient pas correctement rempli leur mission. Mais lorsqu’il affronte, depuis sa création, autant de haine et d’appétit de destruction, au sein de tous les pays qui le bordent ou presque, quand une grande partie de l’humanité le voue aux gémonies, alors est-ce bien raisonnable de le démolir de l’intérieur en s’en prenant à la figure d’autorité qui le représente au sein des instances internationales ? Le sujet pour lequel on essaie de le faire tomber est la corruption. Où sont les preuves

Directeurs de la publication Rédacteur en chef Eliahou Ben Yoshua Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France

? Pour l’instant, elles sont maigres… Qu’en est-il en revanche, de son mandat ? Israël est fort, l’économie est au beau fixe, le chômage est bas, le moral des ménages israéliens n’a jamais été aussi bon. Quant aux ennemis de l’Etat hébreu, ils fanfaronnent, jouent les provocateurs devant les micros des journalistes, mais on sait pertinemment que leur haine le dispute au quotidien à leur lâcheté. Ils roulent des mécaniques, comme ce soi-disant ministre iranien clamant à qui voulait l’entendre qu’il en était fini de l’invincibilité de l’armée israélienne. Ah bon ? On ne dit pas les évidences, monsieur. Si la chose était si certaine, auriez-vous besoin de le préciser ? Mais revenons à ce lynchage médiatique et regardons de plus près qui s’y adonne ? Comme par hasard, il s’avère que la presse payante, Haaretz ou Yedihot Aharonot en tête, s’adonne à ce petit jeu avec délice, quand la presse gratuite comme Israel Hayom, soutient la politique gouvernementale et s’abstient de toute surenchère. Et si, tout simplement, cette urgence à nous faire des révélations sur le chef du gouvernement (lui, sa femme, son fils, il n’y a guère que son chien qui y ait échappé, mais Bibi a-t-il un chien ?) n’était qu’un moyen de faire du buzz et d’inviter le lecteur à mettre la main à la poche ? En France, 80 % des membres de la communauté juive soutiennent Benjamin Netanyahou. Les râleurs sont une minorité. Je les invite à ne pas tomber dans le piège des « nouvelles donnes économiques et sociales que proposent les adversaires de Bibi : Lapid n’a qu’un seul projet, parvenir à gouverner. Quant à Avvy Gabbay, cet ovni politique passé par toutes les tendances et les mouvements avant de lancer une OPA sur le parti travailliste, j’ai envie de lui demander de savoir déjà qui il est et quelles sont ses valeurs avant d’inviter le peuple à lui confier la charge du pays.

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Je poste sur les réseaux sociaux, tout mon soutien à celui qui nous a redonné enthousiasme et fierté, qui a réussi à convaincre les Etats-Unis que Jérusalem était notre capitale,

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Je vous invite à faire de même et à en finir, pour de bon avec l’autoflagellation ! Am Israël Haï Alain Sayada

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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan

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À LA UNE

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Davos a eu lieu, quel bilan pour Israël ? Une grande nation économique

Retour sur le premier grand évènement économique mondial de 2018. Le Forum économique de Davos où se sont rendus de nombreux présidents et Premiers ministres a permis à Israël de constater non seulement sa forte cote de popularité dans les secteurs technologiques. Mais il a également révélé que grâce à ce succès, Israël parvenait aussi à mieux faire entendre sa voix dans les dossiers brûlants comme le conflit avec les Palestiniens ou encore la menace iranienne. Analyse d’un phénomène important.

C’est un fait : les grandes et les moins grandes nations représentées à Davos aspirent, d’année en année, à de plus en plus de proximité avec la Start up Nation israélienne. Cela peut paraître incroyable mais c’est vrai : Israël est devenu ces dernières années, une superpuissance dans plusieurs domaines de pointe qui passionnent le monde entier, comme la lutte contre le terrorisme mais également le développement de produits technologiques ultra sophistiqués dans des domaines comme l’agriculture, la médecine, ou le traitement de l’eau. Mais le forum de Davos de cette année a

également permis aux Israéliens de mieux mesurer le lien étroit existant entre l’économie et le politique, entre l’expertise d’Israël en technologies de pointe et le processus de paix.

uniquement lorsqu’il parle de technique de désalinisation et cesser ensuite de l’écouter lorsqu’il exprime son « expertise » face à la menace du nucléaire iranien ou de l’expansionnisme de Téhéran en Syrie.

Il a permis aux Israéliens de constater que la crédibilité acquise à coup d’exit prestigieux dans le monde des Start up suscitait l’attention de ces nations lorsque les dirigeants israéliens détaillaient leur position dans des dossiers tels que les pourparlers israélo-palestiniens ou encore la menace iranienne .Au contact de tant de chefs d’Etat, Binyamin Nétanyaou a pu remarquer que le simple fait qu’ils soient séduits par la technologie et par l’économie israélienne, les conduisait également à se montrer soudain bien plus attentifs à l’argumentaire sécuritaire d’Israël tant face aux Palestiniens qu’aux Iraniens.

Cette entrée incontestable d’Israël dans la cour des grandes nations économiques, conduit donc irrémédiablement ces nations à écouter et prendre en compte l’actuel positionnement israélien. Alors que ces nations ont jusqu’à présent toujours eu, pour la cause palestinienne, une sympathie humaine et émotionnelle, voici qu’elles ont désormais pour Israël le comportement de la raison, de l’entendement.

Et c’est probablement là l’un des acquis les plus tangibles et les plus importants d’Israël. Il serait en effet totalement incohérent d’écouter l’avis pertinent d’une nation lorsqu’elle parle de son succès économique et ensuite, systématiquement repousser les explications de cette même nation lorsqu’elle tente d’expliquer la complexité du dossier palestinien. Il serait totalement illogique pour ces nations de vouloir écouter Israël

Alors bien évidemment cela ne signifie pas (encore) que ces nations vont adhérer en tous points aux positions d’Israël. Mais cela peut signifier qu’une fois débarrassées de nombreux préjugés, elles les comprennent nettement mieux. Et c’est là un formidable acquis qui devrait améliorer l’image de marque d’Israël non plus seulement dans le domaine économique mais surtout dans les secteurs sécuritaire, politique et diplomatique. Grace à son succès économique, Israël va pouvoir mieux faire passer son message. Daniel Haïk

À LA UNE

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

BDS sort des arguments délirants sur Israël et le musée de la shoah

Un débat houleux s’est déroulé au sein de PsychoActive, organisation qui représente les “Professionnels des maladies mentales pour les droits de l’homme”. Il s’agissait de savoir si les membres juifs allaient appuyer la demande de leurs collègues arabes de Jérusalem qui demandent à ce qu’un grand congrès international des Psychologues et Psychiatres qui doit se tenir à Tel-Aviv en 2019 soit déplacé dans un autre pays, suivant ainsi la politique du BDS. Lors de la discussion animée, le Dr. Ilana La’h, de l’Institut académique pour la société et les arts, a tenu des propos particulièrement incroyables face à ceux qui refusaient l’option du boycott. Elle a considéré que le boycott d’Israël est légitime car…”Israël a édifié le musée de Yad Vashem sur les ruines d’un village palestinien sans en faire aucune référence dans le musée”.

“Dans le pays qui interdit aux Palestiniens de commémorer la catastrophe qui s’est abattue sur eux, on a par contre construit un sanctuaire pour commémorer la nôtre, et c’est Yad Vashem. Ce sanctuaire fait un travail très important pour la mémoire, et sanctifie le nom de chaque être humain qui a été assassiné parce que juif, de chaque communauté qui a été détruite. Mais il a été édifié sur les ruines d’un village palestinien que nous avons détruit, dont nous avons tué les habitants et chassé d’autres. Il s’agit de ‘Hirva al-Hamama. Et il n’y a aucun endroit dans le sanctuaire juif de Yad Vashem qui rappelle les noms des habitants arabes qui y vivaient. Et vous estimez alors qu’il n’est pas légitime de boycotter un Etat qui se comporte ainsi?” Source : lphinfo.com

À LA UNE

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Tensions Pologne-Israël : des croix gammées et des insultes sur l’ambassade polonaise à Tel-Aviv

On le sait, ces dernières semaines ont vu grandir une forte tension entre la Pologne et Israël. Tout a commencé par le projet de loi – promulgué par le président Andrzej Duda – visant à interdire la mention de la participation polonaise à l’extermination des juifs durant la Seconde Guerre Mondiale. Les dissensions ont culminé hier lorsque le Premier ministre polonais a déclaré que des polonais avaient collaboré avec les nazis pendant la Shoah, « tout comme les juifs. » Le résultat en est la découverte ce matin

Sur Jérusalem, l’Europe se déchire. Pourquoi Israël ménage la Pologne?

La loi sur la Shoah et l’intention d’interdire l’abattage rituel en Pologne n’ont toujours pas poussé le Gouvernement israélien à rompre ses relations avec la Pologne. La raison principale ? La Pologne est « pro-Jérusalem, Capitale d’Israël ». Le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker a avoué pour la première fois que l’Union européenne n’a pas de position homogène sur la question de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d’Israël. Lors d’un discours prononcé à Munich dans le cadre de la Conférence internationale sur la sécurité, il a estimé que l’UE devrait adopter une position commune mais par un vote à majorité au lieu de l’unanimité généralement requise par les statuts! Une manière habile de contourner l’écueil et de voter une nouvelle résolution anti-israélienne. Le président de la Commission européenne a reconnu également que la question de Jérusalem est l’une des plus difficiles à gérer au niveau de l’UE et c’est la raison pour laquelle il prône cette modification du règlement électoral sans quoi l’UE aura selon lui de moins en moins d’influence politique et diplomatique sur le plan international, par manque d’unité et de cohésion. Il n’a pas nommé les pays qui sont en-dehors du consensus européen contre la déclaration de Donald Trump, mais on sait que des pays comme la Tchéquie, la Pologne ou la Hongrie s’étaient opposés à la résolution virulente de l’UE après la déclaration de Donald Trump. lphinfo.com

par la police israélienne de tags de croix gammées et des insultes anti-polonaises sur l’entrée de l’ambassade de Pologne à Tel Aviv. Une enquête a été ouverte pour découvrir les auteurs de cet acte de vandalisme. Les propos controversés du Premier ministre Mateusz Morawiecki ont été tenus en réponse au journaliste israélien Ronen Bergman qui rappelait le passé de sa mère, rescapée de la shoah en disant : « si je raconte son histoire en Pologne, je serai un criminel. Qu’essayez-vous de faire ? Mettre de l’huile sur le feu ? »

Le Premier ministre Morawiecki a alors affirmé qu’il ne sera pas considéré comme condamnable selon la nouvelle loi de dire qu’il y a eu des collaborateurs polonais, puisqu’il y en a eu, « tout comme il y a eu des collaborateurs juifs ou russes. » Benyamin Netanyahou, le Premier ministre israélien, a fustigé des propos « scandaleux » qui sont la preuve « d’un problème lié à une incapacité de comprendre l’Histoire et un manque de sensibilité vis à vis de la tragédie de notre peuple. » Cependant, Varsovie a défendu le chef du gouvernement : « La voix

du Premier ministre Mateusz Morawiecki n’avait nullement pour but de nier l’Holocauste ni d’attribuer aux Victimes Juives (orthographe de l’original) la moindre responsabilité dans le génocide allemand », a écrit dans un communiqué sa porte-parole Joanna Kopcinska. « Au contraire, le Premier ministre Mateusz Morawiecki s’est à maintes reprises et résolument opposé à la négation de l’inimaginable génocide que fut l’Holocauste des Juifs européens, tout comme il s’est opposé à toute forme d’antisémitisme », a-t-elle ajouté.

À LA UNE

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Grave Crise. Incidents sérieux à la frontière entre Israël et Gaza

Massacre dans un lycée de Floride : des étudiants juifs parmi les personnes tuées

L’alerte aux roquettes a retenti samedi soir dans la région sud d’Israël près de la bande de Gaza après que des positions du Hamas ont été ciblées, selon le médias gazaouis, en réponse à une explosion survenue plus tôt à la frontière avec l’enclave palestinienne. Selon i24News : « Quatre soldats israéliens ont été blessés plus tôt dans la journée lors d’une explosion à la frontière sud, selon l’armée qui a confirmé avoir répliqué en tirant sur un poste d’observation dans l’enclave palestinienne. Il s’agit d’un des incidents les plus sérieux à la frontière entre Israël et la bande de Gaza, contrôlée par le mouvement islamiste Hamas, depuis la fin de la dernière guerre qui les a opposés à l’été 2014. L’explosion n’a pas été immédiatement revendiquée mais l’armée israélienne a accusé le Hamas d’être responsable de l’incident. Les médias gazaouis ont ensuite rapporté avoir été témoins de frappes aériennes et avoir entendu des bruits d’explosions dans l’est de l’enclave palestinienne et dans la ville de Gaza. L’armée israélienne n’a toutefois pas commenté cette information. « Le Hamas organise régulièrement des émeutes et de prétendues ‘manifestations’ le long de la

barrière avec Israël », a écrit plus tôt sur Twitter le porte-parole de l’armée, Jonathan Conricus. « Nous tenons le Hamas pour responsable de toute agression depuis Gaza », a-t-il ajouté en référence à l’explosion qui s’est produite à l’est de Khan Younès, alors qu’une patrouille israélienne tentait de neutraliser un objet suspect découvert au niveau de bordure de sécurité. « Nous réagirons en conséquence à l’incident grave survenu à la frontière avec Gaza », a quant à lui déclaré le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou. La radio militaire israélienne avait par ailleurs qualifié plus tôt l’événement de « grave et anormal ». En octobre, Israël a détruit un tunnel terroriste du Djihad islamique reliant le sud de la bande de Gaza au territoire israélien, destiné à l’enlèvement de civils israéliens. « Le tunnel de la liberté qui a été attaqué hier par l’ennemi était destiné à la libération de nos prisonniers », avait révélé Khaled al-Batsh, chef du Djihad Islamique Palestinien, ajoutant que son organisation terroriste n’était pas découragée et qu’il y aurait « un autre tunnel pour la libération des prisonniers ». i24News

Sans visa, Ouzbékistan ouvre ses portes aux israéliens Le drame qui a touché avant-hier le peuple américain et la Floride aura donc aussi affecté la communauté juive du pays. Malheureusement, parmi les dixsept victimes de la fusillade se trouvaient des juifs dont Jamie Gutenberg, une étudiante dont le nom a été dévoilé par Local 10 News, une filiale d’ABC. Le nom des autres victimes n’est pas encore connu. La communauté juive de Parkland, en Floride, a tenu un service de guérison après le drame qui s’est déroulé dans une école secondaire qui était fréquentée par de nombreux adolescents de la communauté. Le rabbin Bradd Boxman de Kol Tikvah, une congrégation d’obédiance réformiste

dans la ville de Boca Raton, a déclaré qu’au moins quatre lycéens juifs blessés étaient connus de lui et que trois d’entre eux étaient de sa congrégation. Ils sont actuellement dans les hôpitaux de la région et subissent des opérations chirurgicales. Les communautés juives de la région s’organisaient hier pour aider les victimes et leurs familles. Le terroriste a été identifié comme Nikolas Cruz et se serait formé au contact de suprématistes blancs. Il était armé d’un fusil semi-automatique lorsqu’il a fait irruption dans le lycée Marjory Stoneman de Douglas, mercredi. Il a tué dix-sept personnes et en a blessées dix-sept autres. Selon le New York Times, Cruz était un ancien élève de l’établissement.

Les ressortissants de 7 pays dont Israël pourront désormais voyager sans visa en Ouzbékistan pendant une durée de 30 jours. L’Ouzbékistan a annoncé samedi qu’il autoriserait l’entrée sans visa pendant 30 jours pour les ressortissants de sept pays, dont Israël, selon les médias locaux. Le président Shavkat Mirziyoyev a signé un décret « pour créer des conditions favorables afin de stimuler le potentiel touristique de l’Ouzbékistan ». Citant le décret, les médias ont indiqué que les citoyens de Turquie, d’Israël, d’Indonésie, de Corée du Sud, de Malaisie, de Singapour et de Japon n’auraient plus besoin de demander un visa pour voyager en Ouzbékistan. Le décret permet également la demande

simplifiée des visas touristiques pour 39 pays dont l’Australie, l’Albanie, la Grèce, le Danemark, l’Islande, le Canada, la Nouvelle-Zélande, la Suède et l’Arabie Saoudite. Le décret introduit un service de visa électronique pour les étrangers entrant dans le pays à partir du 1er juillet 2018. (Source Red Action) L’Ouzbékistan est un pays d’Asie centrale et une ancienne république soviétique. Il est réputé pour ses mosquées, ses mausolées et d’autres sites qui jalonnent la route de la soie, l’ancienne route commerciale reliant la Chine et la Méditerranée. Samarcande, principale ville située sur la route, comprend un monument majeur de l’architecture islamique : le Régistan, une place entourée de 3 médersas couvertes de mosaïques, qui datent des XVe et XVIIe siècles.

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Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Israël est surpris. Le PDG d’Iran Air (10 000 personnes) est une femme

Pour relancer Teva, Warren Buffett investi plusieurs millions de dollars

L’action du groupe pharmaceutique israélien Teva est en plein essor après que le célèbre homme d’affaire américain Warren Buffett a investi quelques 358 millions de dollars dans le groupe qui avait publié la semaine dernière des résultats financiers inquiétants pour la quatrième quart de l’année et même pour 2017 tout entier.

Cet investissement important, qui représente une part de 1.8% du total de la compagnie, a fait grimper la côte de Teva de 8.64% au New York Stock Exchange, ceci après un bond de 4.37% à Wall Street la veille. Cela ressemble à un vote de confiance de la part du fond d’investissement de Buffett Berkshire Hathaway alors que Kare Schultz, le PDG de Teva, semblait de plus en plus en difficulté après les mauvais résultats du groupe. Ce n’est pas la première fois que Buffett investi en Israël. En 2006 il avait acheté 80% de l’outilleur israélien Iscar pour 4 milliards de dollars avant d’en acquérir le reste en 2013 pour 1 milliard de plus.

Warren Buffett est un magnat américain, investisseur et philanthrope. Il est à la tête du fond d’investissement Berkshire Hathaway. Considéré comme un des hommes d’affaires les plus talentueux et ayant eu le plus de succès dans le monde, il est à la tête d’une fortune estimée à 86.1 milliards de dollars. Il est donc la troisième fortune mondiale.

La seule compagnie aérienne présente avenue des Champs-Élysées réserve une bien curieuse surprise. Derrière les miniatures des vestiges de Persépolis surgit l’imposante maquette d’un Airbus A330-200 peint aux couleurs d’Iran Air, la compagnie nationale iranienne. Cet avion européen flambant neuf, qui a fait le tour des aéroports iraniens lors de la livraison du premier exemplaire (sur 45) en mars dernier, est l’un des symboles de l’accord sur le nucléaire iranien, signé en juillet 2015 et qui a entraîné la levée d’une partie des sanctions internationales contre l’Iran. Un accord aujourd’hui menacé par la volonté de Donald Trump d’imposer d’ici au mois d’avril de nouvelles sanctions contre Téhéran en raison de ses « activités déstabilisatrices » au Moyen-Orient. De passage à Paris, le PDG d’Iran Air a accepté de rencontrer Le Point. Farzaneh Sharafbafi, Iranienne de 44 ans, dirige cette entreprise publique de 10 000 employés depuis juillet 2017. Invitée à Paris par le Centre franco-iranien en compagnie d’une trentaine de cheffes d’entreprise iraniennes, cette ingénieure en aéronautique, dont le maghnaeh noir (voile strict porté en milieu professionnel) tranche avec son doux sourire, a répondu à toutes nos questions, même les plus dérangeantes : elle entend briser les clichés sur la femme iranienne. Le Point : Iranienne et PDG… n’est-ce pas contradictoire ? Farzaneh Sharafbafi : Non, je ne vois aucune contradiction. Pourquoi cela devrait-il être le cas ? Parce que, selon la loi islamique pratiquée en Iran, les femmes et les hommes ne sont pas égaux en droit. Par conséquent, il nous semble difficilement concevable qu’une femme puisse arriver à un tel poste.

Pourtant, ce n’est pas récent. Cela fait plus de dix ans que je suis directrice générale d’Iran Air. Au-delà de mon cas, un très grand nombre de femmes en Iran figurent à des postes d’importance. Aujourd’hui, 17 % de nos responsables chez Iran Air sont des femmes. Nous n’avons donc absolument pas le sentiment qu’il s’agisse de quelque chose de nouveau ou de spécial. Vous ne vous sentez donc pas comme une exception en Iran ? Je suis une exception par nature (rires). Mais je ne pense pas que ma nomination ait brisé le tabou que vous décrivez. N’oubliez pas que nous avons en Iran un grand nombre de vice-ministres et de vice-présidents qui sont des femmes. Par exemple, madame Laya Joneydi est vice-présidente pour les affaires juridiques. Mais le président Rohani n’avait-il pas promis en campagne de nommer des femmes ministres ? Bon, il est vrai que je ne suis pas ministre (rires). Quel parcours vous a menée à ce poste de PDG ? Je possède une licence, un master, ainsi qu’un doctorat d’ingénierie aéronautique et spatiale obtenu à l’université Sharif de Téhéran. J’ai commencé à travailler chez Iran Air en 1994, il y a donc vingt-trois ans. Au départ, j’étais instructrice pour les techniciens. Je suis ensuite devenue directrice générale en recherche et développement, puis directrice du centre de formation d’Iran Air. C’est à ce moment que je suis entrée au conseil d’administration. J’ai été nommée directrice générale en avril 2006, avant de devenir PDG il y a six mois, le 15 juillet 2017. Source : lepoint.fr

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Marché cacher américain : la présence israélienne, de plus en plus sensible

Selon des specialistes, le marché cacher américain va continuer son expansion cette année alors qu’il a déjà enregistré une progression de 13% en 2017. Beaucoup de nouveautés se retrouveront dans les gammes dites « naturelle » et « bio ». Plus concrètement, parmi les quelque 500 nouveaux produits qui devraient être proposés aux consommateurs outre Atlantique, certains seront de réelles innovations tandis que d’autres seulement le complément d’une ligne de denrées déjà existantes. Sur ce même marché cacher américain, la présence israélienne est de plus en plus sensible. Ainsi, pour donner un exemple, cette année pour Pessa’h, 80% des produits à base de « matza machine » proviennent de Terre Sainte. Or, une menace plane sur ces importations du fait du taux de plus en plus élevé du shekel face au dollar, taux qui nuit à la compétitivité des exportations israéliennes. De plus, certains producteurs israéliens craignent désormais de négocier les

contrats en dollars de peur qu’au moment de la livraison des marchandises, celui-ci ait un taux minoré par rapport à leur propre monnaie. L’un d’entre eux aurait même demandé que soit ajouté à un contrat une clause prévoyant que le taux de change du dollar soit celui du jour de la signature. Enfin et en Israël : suite à la visite de la vice-présidente d’Argentine, Gabriella Michetti dont l’un des objectifs était, selon elle, de traduire les bonnes relations entre les deux pays en « des améliorations économiques concrètes », une quantité plus importante de viande argentine va être importée dans le pays, viande qui représente, à l’heure actuelle, 63% des exportations d’Argentine en Israël. Pour ce faire, l’État hébreu a décidé de passer la date d’expiration de la viande congelée argentine de 45 à 85 jours. Ce qui signifie de nouveaux débouchés pour cette dernière dans les supermarchés israéliens. Source: Chiourim.com

L’Etat hébreu, premier territoire végan au monde ? Le rêve de Sasha Boojor Israël est en passe de devenir un exemple en matière de véganisme, version augmentée du régime végétalien, qui exclut de l’alimentation et du quotidien tout produit issu de l’exploitation animale. Porté par une poignée d’activistes, le mouvement s’impose dans une société qui évolue sans cesse. Certains considèrent aujourd’hui l’Etat hébreu comme le premier territoire végan au monde ! En cette matinée grise d’octobre 2012, une odeur de chair brûlée se fait sentir sur la place Rabin à Tel-Aviv. Au centre de la grande esplanade devant la mairie, un homme à demi-nu, entre deux molosses cagoulés, vient de se faire marquer au fer rouge, sous le regard horrifié des passants. Son avant-bras mutilé par le métal, l’homme est jeté à terre puis enchaîné. Sur sa peau, trois chiffres : 2-6-9. Allongé sur les pavés, le visage hagard, Sasha Boojor, 29 ans à l’époque, vient

de lancer officiellement son mouvement 269 Life, qui exige la libération « inconditionnelle de tous les animaux ». Quelques semaines plus tôt, accompagné d’un groupe d’activistes, il avait sauvé in extremis de l’abattoir un veau qui portait à l’oreille le numéro 269. Il deviendra, plus qu’une mascotte, le symbole de l’exploitation animale. Sur le site de l’organisation, un manifeste accueille les internautes avec ces mots : « Il n’existe pas de cage assez grande, de lame assez bien aiguisée pour justifier l’exploitation industrielle des animaux […]. La manière dont notre espèce traite les animaux prouve la complète contradiction avec la manière dont nous nous percevons, comme entité d’une société progressiste, juste et morale. » Source et copyrights : http://www.parismatch.com

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Service national. La France veut s’inspirer du modèle israélien

Même si le projet de service national annoncé par Emmanuel Macron ne semble pas encore entièrement défini, i24News nous apprend que des députés de la République en Marche (LREM) se sont déjà rendus à Jérusalem fin Octobre pour discuter et s’inspirer du service militaire obligatoire pour tous les citoyens de l’Etat Hébreu. La rencontre qui de l’aveu même des participants a été très constructive, a eu lieu à la Knesset, le Parlement israélien. Le Parti au pouvoir en France a envoyé deux de ses nouveaux visages, Aurore Bergé (Députée des Yvelines) et Sylvain Maillard (Député de Paris) dans le cadre d’une visite officielle

pour aborder des sujets aussi divers que l’innovation, la culture et la lutte contre le terrorisme. Sharren Haskel, députée Likoud, a expliqué à i24News « qu’au cours du dialogue ils nous ont dit qu’ils comptaient restaurer le service militaire en France et nous ont demandé des conseils sur la base de notre propre expérience. » A l’époque de cette rencontre, l’idée du service national n’était encore qu’une proposition de campagne du Président Macron et n’était pas portée publiquement par le pouvoir comme ces derniers jours. A ce titre, encore aujourd’hui le projet donne lieu

à quelques cafouillages de l’exécutif qui semble hésiter ses modalités d’application. Dernièrement, ce service militaire réhabilité a été présenté comme étant prévu pour être obligatoire. Sa durée, en revanche, n’a pas encore été clairement fixée. Sharren Haskel a ajouté « Je n’étais pas surprise. J’ai beaucoup de famille en France je connais la situation là-bas. » « Ils étaient particulièrement intéressés par la question du brassage des cultures », explique l’élue. « Il est clair que la France aujourd’hui est très divisée. Le pays traverse une période difficile. Nous leur avons expliqué qu’ici en Israël le service militaire

permet de rassembler toutes les couches de la population, peu importe leurs religions, leurs différences culturelles ou sociales. Ils semblaient vraiment passionnés par ce point », précise-t-elle. « Ils nous ont aussi posé des questions sur l’intégration des immigrés. Il est connu que Tsahal est un moteur d’intégration pour les migrants du monde entier en Israël. Je crois qu’étant donné les difficultés que connaît la France face à l’immigration, ils ont compris que le cas israélien peut leur servir d’exemple à suivre », poursuit Haskel. Les épineuses questions de l’identité et du patriotisme ont aussi fait irruption dans les discussions : « En France le sentiment d’appartenance nationale est bien moins ressenti qu’ici. Il ne s’agit pas de nationalisme violent, ces députés veulent simplement restaurer un sentiment de fierté d’être français, que les gens n’aient plus honte de dire ‘je suis français’ », précise-t-elle. Mais ce service national, s’il est mis en place, ne se fera qu’au prix de certains sacrifices. Les députés français ont fait part à leurs hôtes des limites auxquelles le projet aura à faire face. Sharren Haskel explique : « Ils nous ont dit que pour des raisons budgétaires la France ne pourra pas se permettre d’imposer un service long, ils envisagent un enrôlement de quelques semaines. Mais ça ne suffira pas. Je leur ai dit que pour que ça marche il faudra établir un service d’au moins un an et surtout être patients pour en voir les résultats, c’est un long processus. La France doit décider quelles sont ses priorités sociales et budgétaires. » Israël qui fait figure d’exemple dans le domaine de la technologie, de la recherche ou de la lutte contre le terrorisme semble aussi être un modèle d’intégration par l’armée. En tout cas pour la République Française. Source : i24News

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Césarée rassemble des passionnés de golf venus du monde entier

Césarée est principalement connue pour ses trésors antiques. La ville est, en effet, l’un des sites touristiques majeur d’Israël. Plus d’un million de touristes férus d’histoire la visitent chaque année. Mais depuis peu, la destination rassemble des passionnés de golf venus des quatre coins du monde, qu’ils soient amateurs ou professionnels. En effet, le club de golf de Césarée se situe en plein cœur d’une réserve naturelle face à la mer. Le parcours prestigieux de Césarée, créé dans les années 1960 par la famille du baron de Rothschild, est le seul club de golf international d’Israël. Les nouveaux terrains, inaugurés en 2009, d’une longueur de 6750 mètres de pelouses vertes bien entretenues, ont été conçus selon la philosophie développée par Pete Dye l’un des principaux architectes de golf de la planète, comprenant l’alliance de plusieurs surfaces de Tee. Cette philosophie fait que chaque trou représente un défi pour les meilleurs joueurs, cependant, même les golfeurs de niveau moyen ou débutants peuvent en profiter. Le club dispose de deux terrains de 18 trous répondant aux normes internationales et un terrain de PAR 3 avec 9 trous. Établissement luxueux, il rivalise avec les meilleurs clubs de golf internationaux grâce à 81 trous d’entraînement. Cerise sur le gâteau, le club possède des entraîneurs de golf professionnels parmi les plus réputés en Israël, une académie et une école de golf pour les enfants, un magasin Golf Shop pour les équipements de sport, ainsi qu’un restaurant gastronomique. Le golf, une réelle opportunité sur le plan touristique. Preuve supplémentaire que Césarée s’impose désormais comme une destination phare pour tous les adeptes de cette discipline sportive. La ville a accueilli fin octobre le premier tournoi professionnel de golf en Israël, l’Edmond de Rothschild Master Tour. Un événement qui a été un véritable succès de l’avis général des participants qui venaient – pour la plupart – pour la première fois en Israël. Ce type de manifestation représente une formidable opportunité de faire découvrir le pays autrement. La discipline draine, en effet, un tourisme de grande qualité car les vrais passionnés de golf choisissent très souvent leurs lieux de villégiature en fonction de la présence d’un parcours. Climat idéal, richesse des paysages et des sites historiques à visiter, très beau parcours : Césarée dispose de tous les atouts pour devenir une destination de prédilection pour les amateurs de golf du monde entier. Par David RAYNAL Source Swing Feminin

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Littérature : David Grossman lauréat du Prix Israël de littérature 2017 Le ministre de l’Education a fait part lundi de la remise du plus grand honneur civil de l’Etat juif, le prix Israël, à l’auteur David Grossman. Le Ministre de l’Education Naftali Bennett a annoncé Lundi que l’écrivain David Grossman se voyait attribuer le plus grand honneur civil de l’Etat Hébreu, le Prix Israël. Déjà lauréat de trois distinctions en langue hébreu, le prix Sapir en 2001, le prix Bialik de la ville de Tel Aviv en 2004 et le

prix Emet en 2007, l’auteur israélien, qui est un des plus célébrés au monde, a désormais droit à une véritable consécration pour sa contribution à la culture israélienne avec le Prix Israël de littérature. L’année dernière, il a remporté le prix international Man Booker, l’une des récompenses littéraires les plus importantes pour son roman : Un cheval entre dans un bar. « J’ai eu l’immense plaisir de dire à David

Grossman qu’il venait de remporter le prix Israël de littérature au 70ème anniversaire de l’Etat d’Israël », a déclaré Bennett lors d’une conférence de presse à Jérusalem. « Grossman est l’une des voix les plus profondes, les plus excitantes et les plus influentes de la littérature israélienne. Avec sa profonde sagesse, une sensibilité envers les autres êtres humains et un style linguistique unique, il est devenu un artiste de renommée internationale. Je suis fier qu’il fasse partie de nous », a précisé Bennett.

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Happy birthday aux Loubavitchs (40 000 personnes) de France

Le mouvement Loubavitch, qui organisait récemment son grand gala annuel, fête en 2018 ses 50 ans d’implantation en France. Le rabbin Haïm Nisenbaum, porte-parole des Loubavitch en France, revient sur les origines du mouvement.

Touristes, scientifiques, écologistes à des fins d’espionnage en Iran ?

Hassan Firouzabadi, l’ancien chef d’état-major iranien, a affirmé que des Occidentaux avaient utilisé des lézards et des caméléons pouvant « attirer des ondes atomiques », en vue d’espionner l’Iran. L’ancien chef d’état-major iranien a affirmé mardi que des Occidentaux avaient utilisé des lézards et des caméléons pouvant « attirer des ondes atomiques », en vue d’espionner l’Iran et son programme nucléaire. Hassan Firouzabadi, qui est actuellement conseiller militaire pour le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, répondait à des questions de médias locaux sur les récentes arrestations d’écologistes dans le pays.

Indiquant ne pas connaître les détails sur ces interpellations, il a en revanche affirmé que l’Occident avait souvent utilisé des touristes, des scientifiques et des écologistes à des fins d’espionnage en Iran. « Nous avons trouvé en leur possession une variété d’espèces de reptiles du désert comme des lézards et des caméléons. Nous avons découvert que la peau de ces animaux attire des ondes atomiques et qu’ils agissaient comme des espions nucléaires qui cherchaient à localiser les mines d’uranium ainsi que les activités nucléaires » de l’Iran, a-t-il ajouté. Source et copyrights : http://www.parismatch.com

La Croix : Qu’est-ce que le Beth Loubavitch ? Haïm Nisenbaum : Cela s’inscrit dans la mouvance hassidique née au XVIIIe siècle en Europe centrale. Le mouvement s’est répandu dans une grande partie de l’Europe, puis après guerre en Amérique. En France, le rabbin Azimov, qui était arrivé dans le pays à l’âge de 4 ans avant de faire ses études rabbiniques à New York, est revenu à Paris pour y implanter le mouvement le 3 mai 1968. C’était 20 ans après la Shoah : on avait perdu le bonheur d’être juif. Il a fallu attendre une génération pour que ce bonheur réapparaisse. La décolonisation en cours entraînait une perte de repère pour les juifs séfarades qui arrivaient massivement en métropole. Le rabbin Azimov a lancé une action auprès des jeunes et des étudiants, avec un discours enraciné dans la tradition mais parlant à la modernité. Aujourd’hui, le Beth Loubavitch représente 35 000 à 40 000 personnes en France. Je parle là des militants du premier cercle, mais la caisse de résonance est plus importante. Nous ne dépendons pas du Consistoire israélite de France, même si j’en ai été vice-président pendant 16 ans. Mais nos relations avec cette institution sont excellentes, le président du Consistoire étant souvent présent à notre gala. Quelle est la spécificité de votre pratique du judaïsme ? H.N. : Le mouvement Loubavitch a une pratique attentive du judaïsme pour des raisons spirituelles, avec une mise en relief de l’émotion, de la compréhension et de la réflexion. Le rapport avec Dieu doit être construit intellectuellement. Il implique un engagement intense dans la pratique rituelle. Vu de l’extérieur, celui qui croise

un juif Loubavitch reconnaîtra simplement un juif religieux. L’étude est fondamentale, ainsi que l’aide à la pratique des commandements. Celle-ci peut ne pas être évidente pour tout le monde. Le mouvement Loubavitch se considère comme pleinement intégré à la cité, bien que dans certains cercles en France, tout ce qui peut apparaître comme une manifestation ostentatoire de la religion soit perçu comme une provocation. Quelles évolutions ont connu les Loubavitch en 50 ans ? H.N. : Dans les années 1960, les Séfarades sont arrivés massivement en France, porteurs de leur culture et de leur histoire. Ils ont accepté quelque chose qui appartenait à une autre culture, ashkénaze, tout en partageant une manière de croire. On peut maintenir les coutumes séfarades tout en ayant cette manière de penser. Le mouvement compte aujourd’hui 60 à 70 centres communautaires, d’autres sont en projet. L’enjeu éducatif est primordial pour nous. Nous avons dans le 19e arrondissement de Paris la plus grande école juive d’Europe, qui accueille plus de 2 000 élèves. Nous créons aussi beaucoup de crèches et d’écoles maternelles, notamment en banlieue. Il ne s’agit pas de lieux réservés aux Loubavitchs mais ouverts à tous. L’enjeu est de taille pour les familles juives car il est désormais interdit d’apporter la nourriture de ses enfants dans les crèches non confessionnelles. Êtes-vous touchés par ce qu’on appelle ’l’Alya intérieure’, qui conduit nombre de juifs à déserter certains quartiers ? H.N. : Cette Alya intérieure est une réalité dans certains secteurs de la région parisienne où, pour les juifs reconnaissables en tant que tels, la vie est devenue impossible. Mais des émissaires du mouvement Loubavitch arrivent parfois dans des quartiers où il n’y a jamais eu de synagogue et ouvrent un nouveau centre. Il suffit parfois d’aller vers l’autre pour que celui-ci se mette à la pratique. L’idée est d’être à l’écoute des besoins, au plus proche du terrain. Recueilli par Clémence Houdaille Source La Croix

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Miracle de la médecine en Israël : un homme survit à un tir de harpon dans la tête !

Natanel, 28 ans, était un jeune sans histoire. C’était avant qu’un inconnu s’approche de lui et lui décoche une flèche de harpon dans la tête. On sait peu de choses sur les circonstances des événements et même la police mène encore l’enquête. L’auteur des faits, qui datent du 6 Février, ne connaissait pas sa victime et n’a pas été appréhendé. Mais un miracle de la médecine a eu lieu car le jeune homme, gravement blessé à la tête, a pu être opéré et sauvé, s’est enthousiasmé un porte-parole de l’hôpital de Haïfa (Nord) qui l’a soigné.

1ère descente à skis de robots aux J.O. de Pyeongchang

Le « Ski Robot Challenge » (qui a naturellement beaucoup intéressé les israéliens du secteur hightech), repéré par The Verge, a mis aux prises à Hoengseong les robots de huit universités et entreprises sud-coréennes, construits avec quelques obligations : avoir une apparence humanoïde, mesurer moins de 75 centimètres et être muni d’articulations aux jambes. Évidemment, les petits robots devaient être complètement autonomes et non téléguidés. Vêtus de combinaisons, les adorables robots ont descendu la piste (pas bien pentue rassurez-vous) avec un objectif : passer entre les portes.

Plus facile à dire qu’à faire : dans le vent et le froid glacial (les températures négatives ne sont pas idéales pour les machines), les concurrents de métal ont passé plus de temps dans les barrière ou en hors-piste que sur la piste. La plupart des robots se sont carrément crashés, preuve que l’intelligence artificielle ne peut pas (encore) tout fair. Bravo tout de même au gagnant qui a réussi à franchir les cinq portes en 18 secondes. Son inventeur empoche 7.500 euros. IsraelValley et Europe1

C’est au volant de sa voiture que la victime a été prise pour cible par une personne qui s’est approchée avec une sorte de fusil sous-marin servant habituellement pour la chasse au requin. Une flèche de 60cm est entrée par sa joue droite et a percé en dia-

gonale sa bouche et sa mâchoire. Heureusement Natanel était à 200m de l’hôpital Carmel. Il a donc pu s’y précipiter en tenant la flèche en place qui aurait pu provoquer une hémorragie mortelle. Le projectile était composé de deux parties vissées l’une à l’autre. Le chirurgien et son équipe les ont finalement dévissées précautionneusement, retirant l’une par l’orifice d’entrée dans la joue, et excisant le bas du cou pour extraire la pointe. Ils ont ensuite opéré le patient pour reconstituer sa mâchoire. Mais le plus incroyable dans cette sordide histoire est que la victime a pu sortir de l’hôpital deux jours seulement après cette lourde opération ! Natanel, soulagé, a conclu en disant que «D.ieu doit beaucoup m’aimer pour m’avoir gardé en vie.»

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Pologne & Shoah à la Munich Security Conference. Israël et l’Iran se croisent

Le Premier ministre israélien est à Munich pour assister à la “Munich Security Conference” annuelle. Ce sommet international, le plus important dans le domaine de la sécurité, réunit environ sixcent invités, parmi eux des professionnels de la sécurité, une vingtaine de chefs d’Etats ou de gouvernements et une quarantaine de ministres des Affaires étrangères et de la Défense. La voix d’Israël est très attendue et entendue dans ce forum qui traite des différents défis contemporains, et en premier lieu le terrorisme islamique et la guerre cybernérique. Le ministre iranien des Affaires étrangères Muhmad Jawad Zarif sera présent. Avant de s’envoler, Binyamin Netanyahou a déclaré: “Je dirai tout haut devant les dirigeants de ce monde quel rôle a joué l’Iran dans ce qui s’est passé la semaine dernière dans le nord d’Israël ainsi que sa tentative de s’implanter durablement en Syrie et au Liban. Je réaffirmerai aussi la position ferme d’Israël sur cette question”. Certaines informations font état d’une rencontre en tête à tête prévue entre le Premier ministre et le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Choukry. lphinfo.com POLOGNE. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a jugé ce samedi « scandaleux » des propos de son homologue polonais sur les « auteurs juifs » de la Shoah. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki défendait la récente loi controversée punissant ceux qui établiraient une responsabilité polonaise dans l’Holocauste. Dans le journal LE MONDE : La question est venue du fond de la salle. Elle a été posée par le journaliste d’investigation israélien Ronen Bergman, qui travaille au quotidien Yediot Aharonot, collabore au New York Times et vient de publier une histoire du Mossad, qui fait beaucoup de bruit (Rise and Kill first. The Secret History of Israel’s Targeted Assassinations, Random House, non traduit). Elle était destinée au premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki, qui assistait, samedi 17 février, à la 54e Conférence de Munich sur la sécurité. Rappelant qu’il était lui-même le fils d’une rescapée de la Shoah, M. Bergman a interpellé M. Morawiecki sur la loi mémorielle controversée, adoptée récemment à Varsovie, qui pénalise « l’attribution à la nation

ou à l’Etat polonais, en dépit des faits, de crimes contre l’humanité ». Un texte qui a suscité les protestations de plusieurs pays dont les Etats-Unis et Israël, ainsi que l’indignation des historiens du monde entier, mais dont le président polonais, Andrzej Duda, a malgré tout annoncé la promulgation, le 6 février. « Si je raconte l’histoire de ma mère en Pologne, je serai considéré comme un criminel. Que cherchez-vous à faire, au juste ? », a demandé M. Bergman. Dans la même salle où venaient de prendre la parole le ministre allemand des affaires étrangères, Sigmar Gabriel, la première ministre britannique, Theresa May, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, et où s’apprêtait à monter à la tribune le premier ministre français, Edouard Philippe, la question a déclenché un tonnerre d’applaudissements. « Ce ne sera pas punissable » Assis sur la scène à côté du chancelier conservateur autrichien, Sebastian Kurz, qui est arrivé au pouvoir en même temps que lui, en décembre 2017, et dirige un gouvernement auquel participe le parti d’extrême droite FPÖ, M. Morawiecki a répondu le plus calmement du monde. « Ce ne sera pas punissable, ce ne sera pas regardé comme criminel de dire qu’il y eut des coupables polonais, de même qu’il y eut des coupables juifs, des coupables russes, des coupables ukrainiens, et pas seulement des coupables allemands », a-t-il affirmé, avant de justifier la loi portée par son gouvernement, dirigé par le parti nationaliste ultraconservateur Droit et justice (PiS). Sur Twitter, quelques minutes plus tard, M. Bergman a commenté de ces quelques mots les propos de M. Morawiecki : « Sa réaction est incroyable. » Le chef du gouvernement a poursuivi ses explications. « Les ambassades polonaises ont eu à réagir 260

fois pour la seule année 2017 à l’expression “camps de la mort polonais”, “camps d’extermination polonais”. Eh bien, mesdames et messieurs, il n’y a pas eu de camps de la mort polonais. Il y a eu des camps de la mort allemands nazis, et le simple fait d’avoir à l’expliquer aujourd’hui est la conséquence de notre histoire. Pendant cinquante ans après la fin de la seconde guerre mondiale, quarante-cinq pour être précis, nous n’avons pu plaider notre cause. Il n’y avait pas d’Etat polonais indépendant », a dit M. Morawiecki. Policer l’historiographie Insistant sur l’aide apportée par des Polonais « à leurs frères et sœurs juifs » pendant la guerre, il a conclu : « Bien sûr qu’il n’y aura aucune poursuite de gens qui disent qu’il y a eu des assassins polonais. Mais nous ne pouvons être d’accord avec le fait de mélanger les assassins avec les victimes, parce que cela serait une offense à tous les juifs et tous les Polonais qui ont durement

souffert pendant la seconde guerre mondiale. » Ce long développement du premier ministre polonais à Munich correspond à une volonté de Varsovie de défendre pied à pied sa réputation et sa volonté de policer l’historiographie, malgré la polémique qui a pourtant assombri ses bonnes relations avec Israël. Dans une lettre datée du 12 février, le président du Sénat polonais, Stanislaw Karczewski, a lancé un appel aux Polonais émigrés, afin qu’ils veillent à la bonne image de la patrie. « Je vous prie de documenter et de dénoncer toute manifestation d’antipolonisme, ainsi que les écrits ou opinions nous portant outrage, a-t-il écrit. Je vous prie d’informer nos ambassades, nos consulats ou les consuls honoraires de toute déclaration mettant en cause le bon renom de la Pologne. » En savoir plus sur http://www.lemonde.fr

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Le régime alimentaire affecte le risque de démence

Selon des chercheurs de la faculté d’agriculture, d’alimentation et d’environnement de l’Université hébraïque de Jérusalem à Rehovot, les aliments peuvent déterminer si une personne souffrira de démence plus tard. Une étude internationale à grande échelle incluant l’université a récemment examiné comment les aliments affectent la santé du cerveau des personnes de 50 ans et plus. Les chercheurs ont pu montrer que le régime alimentaire affecte le risque de démence. « Cette conclusion, bien que logique, n’est pas évidente », a déclaré le professeur Aron Troen, expert en neurosciences nutritionnelles et en prévention des maladies cérébro vasculaires et de la démence, et chercheur principal du Laboratoire de nutrition et de santé cérébrale de l’Université hébraïque à Rehovot.

Football : l’israélien Idan Ofer augmente ses parts dans le célèbre club de l’Atlético Madrid

L’Atlético de Madrid est un club bien connu des fans de football puisqu’elle est la seule équipe espagnole à pouvoir rivaliser avec les deux mastodontes que sont le FC Barcelone et le Real Madrid. Deux fois finalistes malheureux de la Ligue des Champions ces dernières années, en 2014 et 2016, et champions d’Espagne en 2014, il s’agit du deuxième plus grand club de la capitale espagnole derrière le Real Madrid qui ont en outre été leurs bourreaux sur la scène européenne lors de leurs deux dernières finales. Ce que les passionnés savent peut-être moins, c’est qu’un israélien du nom d’Idan Ofer est au capital de cette équipe et qu’il vient d’augmenter ses parts.

En effet, le business man vient d’acheter une part supplémentaire de 17% du club espagnol au travers de sa société Quantum Pacific Group. Ces parts ont été rachetées aux chinois du Dalian Wanda Group pour une somme estimée à 50 millions d’euros, selon le site espagnol El Confidencial. Une fois cette transaction entérinée, l’israélien détiendra 32% du club de la capitale après avoir déjà pris une part de 15% en Novembre dernier. Le directeur général de l’Atlético Madrid, Angel Gil Marin et le président Enrique Cerezo demeurent les actionnaires majoritaires de l’entité sportive.

Parmi les aliments prouvés comme prévenant la démence, on trouve: les myrtilles (pas seulement le jus), les graisses saines (comme l’huile d’olive), les noix (en petites quantités pour éviter les excès de calories), et le poisson. D’autres aliments bénéfiques

comprennent: les haricots et les légumineuses, les fruits, les produits laitiers hypocaloriques comme le yaourth, le poulet et les céréales entières. Parmi les aliments qui ont été détectés comme favorisant la démence: les aliments frits, les aliments sucrés, les aliments transformés, la viande rouge, les graisses, le fromage et le sel. Le rapport a été publié dans le journal de l’American Association of Retired Persons, la revue la plus largement diffusée aux États-Unis. L’étude a été menée en collaboration avec des dizaines de pays, dont les États-Unis, la Chine, la Suisse et l’Australie. Il a examiné les bases scientifiques de la préservation de la santé du cerveau et de la prévention de la démence chez les personnes âgées. L’équipe a produit un rapport de consensus avec des preuves convaincantes sur le fait que le régime alimentaire affecte le risque de démence. Source : Jpost

Un ancien de la Brigade Nahal a crée… un labo illégal de Marijuana Le tribunal d’instance de Petah Tikva a prolongé dimanche la détention d’un jeune étudiant orthodoxe étudiant de Yeshiva de Bnei Brak car il est soupçonné d’avoir créé un véritable laboratoire de production de marijuana dans un appartement de Kfar Saba. Cet énorme laboratoire de production de marijuana n’aurait probablement jamais été découvert si les voisins n’avaient pas appelé les pompiers en raison de la temperature élevée qui s’échappée de cet appartement de Kfar Saba. Les habitants de cet immeuble résidentiel de Kfar Saba ont fait appel aux pompiers par crainte qu’un incendie ne se soit déclaré dans l’appartement voisin, celui-ci laissant échapper beaucoup de chaleur. Cependant, après que les pompiers aient fait irruption dans l’appartement, un grand

laboratoire de drogue a été découvert. Au début, le propriétaire de l’appartement a été arrêté, mais il a été libéré quand il est devenu évident qu’il n’avait rien à voir avec ce qui se passait là-bas. La police a donc arrêté la personne qui avait signé le bail de l’appartement, un jeune homme de 20 ans de Bnei Brak, qui a récemment commencé ses études dans une yeshiva après avoir accompli deux années de service militaire dans la Brigade ultra-orthodoxe Nahal. Le tribunal a prolongé la détention du suspect jusqu’à mercredi, celui ci ayant décidé de ne pas coopérer avec les enquêteurs et de garder le silence. Les infractions pour lesquelles le jeune a été inculpé sont, entre autres, l’importation, l’exportation et le trafic de drogue. Source Koide9enisrael

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Pourimland Comme chaque année, depuis maintenant 16 ans, Pourimland organise dimanche 4 mars sa traditionnelle grande fête de Pourim, grand moment de convivialité communautaire devenu un rendez-vous immanquable pour célébrer dans la joie la fête de Pourim. « Celui qui rentre dans le mois de Adar voit les joies se rajouter » dit l’adage, et il pourrait être complété de « Celui qui vient célébrer Pourim avec Pourimland, multiplie la joie de la fête ! ». Ce rendez-vous est devenu un incontournable de la communauté d’Ile de France, pour les enfants et leurs parents. Mais qu’est-ce qui motive la réussite de cette opération répétée tous les ans ? Quelles sont les particularités de l’association Pourimland et de la fête de Pourim ? Tout d’abord, il s’agit de la structure même de cette association : composée d’une douzaine de personnes, n’agissant que pour l’objectif commun, pour le plaisir de donner du plaisir, en récoltant des fonds. Le noyau dur des dirigeants sont tous bénévoles, et l’association n’a aucun frais de fonctionnement, tous les fonds récoltés sont directement reversés aux destinataires. Et lors de la fête de Pourimland, ils seront tous occupés à faire en sorte que votre fête de Pourim et celle de vos enfants se déroule à merveille. Ensuite, le nombre de volontaires, jeunes et moins-jeunes, qui soutiennent l’association par leur action à chaque manifestation est une particularité. Au-delà de ce noyau dur, ce qui frappe lors de la fête de Pourimland, c’est le nombre de personnes, encadrant les enfants autour des attractions, postés au bar pour vous servir, volontaires de la sécurité SPCJ, et tous avec le sourire et la volonté de

vous réjouir. N’essayez pas de les compter, vous aurez du mal, car on dénombre près de 150 personnes mobilisées pour que la fête soit une réussite. Mais ce qui fait de Pourimland et de la fête de Pourim une grande particularité, c’est probablement son slogan démontré d’année en année : « Amusons nos enfants pour que d’autres en profitent ». Chaque moment de détente proposé par Pourimland permet à d’autres d’avoir un peu de bonheur… Et c’est ainsi que chaque année, grâce à votre participation, Pourimland permet à des jeunes de réaliser leur Bar Mitzvah en Israël (50 enfants l’an dernier), à d’autres de se munir en fournitures solaires complètes pour l’année (plus de 200 cartables complets l’an dernier), d’équiper des établissements destinés à l’accueil d’enfants malades de longue durée en salles de jeux et organisation de sorties, … Comme le disent les dirigeants de Pourimland, chaque Euro compte parce que chaque Euro récolté ici donne du bonheur là-bas… c’est vraiment la démonstration des petits ruisseaux qui forment les grandes rivières … Alors n’hésitez plus un instant à venir réjouir vos enfants dimanche 4 Mars, à la magnifique fête de Pourimland, à profiter du spectacle vous aussi, en pensant que le sourire de tous les présents permettra de donner le sourire ailleurs… Pourim Sameah Pourimland, Dimanche 4 Mars 2018 de 11h à 18h, Gymnase Denfert Rochereau, 42 Rue Denfert Rochereau 92100 Boulogne (Métro Boulogne Jean Jaurès)

L’ex-chef de la CIA a rencontré Report de la visite de Macron en en Israël de nombreuses Israël après l’Inculpation de Bibi ? cyber-startups

La police israélienne a recommandé, mardi 13 février, à la justice d’inculper pour corruption le Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, qui a de nouveau clamé son innocence et exclu de démissionner. Normalement, en 2018 une visite officielle de Emmanuel Macron en Israël était prévue. Il est fort probable que cette visite sera de nouveau reportée. Une période pré-électorale est très peu favorable à ce type de visite. (D.R.) Selon (1) : « La police a indiqué « qu’il existait suffisamment de preuves contre le Premier ministre pour l’inculper pour avoir accepté des pots-de-vin, pour fraude et abus de confiance » dans deux affaires qui ont demandé deux ans d’enquête. Benjamin Netanyahu est soupçonné d’avoir reçu des des pots-de-vin sous forme de cadeaux de la part de riches personnalités. La police a également estimé qu’il y avait

corruption dans le cadre d’un accord secret qu’il a tenté de passer avec le propriétaire du Yediot Aharonot pour une couverture favorable de la part de ce journal, le plus grand quotidien israélien payant. « Notre gouvernement terminera son mandat » La décision de mettre officiellement en examen le dirigeant de 68 ans dépend maintenant du procureur général, qui pourrait mettre plusieurs semaines ou mois avant de trancher. Lors d’une intervention télévisée, mardi soir, Benyamin Nétanyahou a réfuté les accusations de la police, dont les recommandations « n’ont aucune valeur juridique ». « Notre gouvernement terminera son mandat et je suis sûr qu’aux prochaines élections [en novembre 2019], j’obtiendrai de nouveau votre confiance », a-t-il assuré, le visage tendu, en s’adressant aux Israéliens ». (1) www.francetvinfo.fr

Entouré d’un aéropage de leaders américains de la hightech, le Général David Petraeus, l’ancien patron de la CIA, était récemment en Israël. Des rendez-vous de haut niveau et très focalisés sur la cyber (et cryptomonnaies) ont été organisés avec des startups hyper-performantes à Tel-Aviv, pour cette personnalité de premier plan aux Etats-Unis. Dans les prochains mois IsraelValley devrait vous annoncer de bonnes nouvelles. (D.A.) Selon (1) : « Malgré la petite taille d’Israël sur le plan géographique, il est un chef de file dans le domaine de la cybersécurité et un partenaire inestimable, a déclaré l’ancien directeur de la CIA Gen (Ret) David H. Petraeus à la conférence annuelle CyberTech à Tel-Aviv. Prenant la parole lors de l’événement, qui accueille quelque 15 000 participants de 80 pays au cours durant trois jours, y compris des représentants de 210 entreprises et 160 délégations internationales, Petraeus a déclaré, « Israël est un petit pays dans tous les

domaines, mais une Super-Puissance Cybernétique » . L’ex-chef de la CIA a ajouté que la collaboration entre les Etats-Unis et Israël a atteint « maintes et maintes fois des sommets, bien au-delà de ce qui est publié dans les médias », et que le partenariat permet aux deux parties « de faire face efficacement aux menaces croissantes, » faisant allusion à des efforts conjoints entre les États-Unis et Israël pour déstabiliser le programme nucléaire iranien en 2010 avec le virus Stuxnet. De plus grande préoccupation sont les intentions et les actions des acteurs non étatiques qui ont les capacités d’attaquer les infrastructures critiques comme les systèmes de transport, l’approvisionnement en eau, les raffineries de pétrole et les télécommunications. Zafrir, un général de l’armée israelienne, fait écho à ce sentiment, en précisant « la menace est devenue beaucoup plus imminente. L’une des raisons est que le monde est de plus en plus connecté et les pirates de plus en plus compétents ». (1) Source: No Camels

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Accélération des migrations des plus riches vers Israël ? Réponse positive 50 milliards le sont sur la pierre. De quoi inciter de nombreux propriétaires immobiliers à prendre leurs jambes à leur cou vers des terres plus hospitalières. Les impôts fonciers qui risquent d’ailleurs d’augmenter encore du fait de la suppression de la taxe d’habitation sont deux fois plus lourds en moyenne en France qu’en Europe : ils pèsent pour 6% des prélèvements obligatoires.

Les personnes les plus riches sur terre voyagent mais cherchent aussi à déménager quand les conditions de vie ne sont plus favorables dans leurs pays. L’Australie est le pays qui a attiré le plus de personnes aisées l’an passé et Israël arrive en sixième position. Il n’y a pas que les victimes de guerre ou les habitants des pays pauvres qui cherchent à quitter leurs pays. Les riches aussi émigrent. Dans le cadre du rapport New World Wealth 2018, on note une tendance importante aujourd’hui dans le monde : l’accélération des migrations des personnes les plus riches. On parle ici de personnes qui cumulent un capital de plus d’un million de dollars. Selon le rapport 95.000 millionnaires ont migré en 2017 contre 82.000 en 2016 et 64.000 en 2015 soit une hausse de 15,85%. L’Australie est le pays qui a été plébiscité par les millionaires avec 10.000 arrivées en 2017 à égalité avec les Etats-Unis (9.000). Le Canada et Emirats Arabes Unis sont classé juste après : ils ont attiré chacun environ 5000 millionaires. On trouve ensuite les Caraïbes (3.000), Israël et la Suisse à égalité (2.000), la Nouvelle-Zélande et Singapour (1000). Chypre, le Luxembourg, Malte, l’île Maurice, Monaco, le Portugal et l’Espagne ont également attiré de nombreux millionaires l’an passé. En terme de départs, la Chine est le pays

d’où se sont échappés le plus de millionnaires en 2017 (10000 personnes) devant l’Inde (7000) et la Turquie (6000). Le Royaume-Uni et la France arrivent en 4ème et 5ème position avec 5000 départs de millionnaires l’an passé. Viennent ensuite la Russie (3000 départs), le Brésil et l’Indonésie (2000 départs chacun), l’Arabie Saoudite et le Nigéria (1000 départs chacun). Les français aisés plébiscitent le Canada, la Suisse et les Etats-Unis. Mais toutes les nationalités ne choisissent pas les mêmes pays, les facteurs culturels ou lesc affinités entrant en compte. Les anglais ont déménagé en majorité en Australie et aux Etats-Unis alors que les français ont choisi prioritairement le Canada, la Suisse et les Etats-Unis. Les chinois ont choisi principalement les Etats-Unis, le Canada et l’Australie. Les indiens les Etats-Unis, les Emirats, le Canada, l’Australie et la Nouvelle Zélande. Les turcs ont plébicité l’Europe et les Emirats tandis que les russes ont choisi les Etats-Unis, Chypre, le Portugal et les Caraïbes. Les millionaires brésiliens ont préféré quant à eux le Portugal, les Etats-Unis et l’Espagne. Il faut dire qu’alors que l’on parle de dynamiser l’économie en France, il reste un secteur où les français sont très mal lotis : l’immobilier. Comme le pointe un article des Echos, l’immobilier est très lourdement taxé en France : sur les 80 milliards de prélèvement sur le capital des ménages

La taxe foncière a par ailleurs connu une augmentation de plus de 82% ces 10 dernières années en France : qui parle de diviser cette taxe par 2 aujourd’hui ? Pourtant la rentabilité des biens immobiliers est de plus en plus menacée en France. Il est à noter que dans la plupart des pays d’Europe la richesse a diminué ces 10 dernières années. Elle a baissé de 11% en France, le 8ème pays au monde où la richesse a diminué le plus fortement. Les pays qui se sont le plus appauvris (2007-2017): #1 Venezuela -48% #2 Grèce -37% #3 Italie -19% #4 Espagne -19% #5 Norvège -17%

#6 Portugal -13% #7 Pays-Bas -12% #8 France -11% #9 Finlande -11% #10 Egypte -10% Les pays où la richesse a le plus augmenté (2007-2017): #1 Vietnam 210% #2 Chine 198% #3 Ile Maurice 195% #4 Ethiopie 190% #5 Inde 160% #6 Sri Lanka 133% #7 Panama 125% #8 Uruguay 117% #9 Malte 95% #10 Indonésie 92% Au contraire certains pays d’Asie ont connu une croissance record de la richesse comme le Vietnam (+210%), la Chine (+198%), ou l’Inde (+160%). Plus surprenant, l’Australie (+83%), l’Uruguay (117%) ou la Nouvelle-Zélande (+90%) ont connu aussi des croissance records. Source Business Travel

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Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

A la table d’Israël Actualités C’est comme ça, il faut s’y faire. Alors que nous tentons, tant bien que mal d’avoir une alimentation saine et équilibrée, tout en gardant le lien avec nos savoureuses traditions culinaires, les fêtes juives sont toujours là pour nous ramener vers la gourmandise absolue. Et en matière de délices sucrées, la fête de Pourim tient une place de choix dans le calendrier gastronomique du calendrier hébraïque !

Le billet d’humeur de Gil Taieb Cette semaine encore, des militants pro-palestiniens sont venus manifester lors du premier atelier culturel du festival « escale en Israël » organisé par des étudiants de l’université de Lille 1. Ce festival proposait, pendant quatre jours, la découverte de la culture Israélienne notamment à travers sa cuisine et sa musique. Le simple nom d’Israël a suffi à mobiliser quelques nervis anti sionistes et antisémites, regroupés autour de deux professeurs militants de l’Association France Palestine Solidarité. Moussa Naït Abdelaziz et Abdellatif Imad déclarant « aurions-nous accepté d’organiser une manifestation édulcorée sur l’Afrique du Sud au temps de l’apartheid et de Mandela en prison ? » Une éternelle rengaine bien rodée par les militants pro palestiniens formés à l’école stalinienne de la désinformation et de la propagande. Professionnels d’une dialectique bien rodée, ces antisémites des temps modernes, ont réussi à faire reculer les organisateurs de l’événement culturel Israélien. Ceux-ci ne se sentant pas suffisamment soutenus et protégés dans leur droit à l’expression libre, dans une ville qui chaque jour montre sa faiblesse face à l’implantation d’un intégrisme Islamique. Rappelons-le, chaque année, est organisée à Lille, le Congrès de l’UOIF auquel sont invités régulièrement des prêcheurs de haine appelant au Djihâd et exposant, dans les allées, des stands de mouvements terroristes. À Lille, après le recul de la Mairie, c’est l’Université qui paie le prix de ce laxisme. Les organisateurs du festival « Escale en Israël » ont préféré annuler ce rendez-vous culturel apolitique plutôt que d’avoir à se

confronter à ces quelques militants antisémites-antisionistes, qui étaient prêts à troubler l’ordre public. Nombreuses ont été les protestations suite à ce recul de la République face aux dictateurs de la pensée unique. Le président du Crif aurait obtenu, du nouveau recteur de l’université, que le festival soit reprogrammé. Pour mémoire, c’est la deuxième fois qu’un événement est annulé à Lille sous la pression des groupuscules pro palestiniens et nous attendons encore leur reprogrammation. Nous resterons donc vigilants et serons surtout nombreux à nous déplacer à Lille lors de l’ouverture de ce Festival. Nous le ferons au nom de la liberté, de la vérité, de la lutte contre la désinformation, au nom de la culture, véritable lien entre les êtres humains. Nous le ferons fièrement au nom de la belle démocratie Israélienne mais également au nom des valeurs universelles de la France, qui doit tout faire afin de ne pas se laisser dicter sa conduite par des obscurantistes nazislamistes qui voudraient nous faire retourner au Moyen Âge. Autre preuve de cette haine et de cet antisémitisme qui ronge notre société, le nombre de tweets et de commentaires antisémites circulant sur la toile depuis samedi soir après la prestation d’un jeune chanteur nommé Gabriel qui a osé chanter en hébreu lors de l’émission the Voice. Le combat est loin d’être terminé ! Gil Taieb

Fête dédiée aux enfants, Pourim apporte, entre Meguila d’Esther et déguisements, l’occasion de goûter aux mille et un gâteaux que l’on prépare ! Chez les juifs sépharades, le miel est de sortie, bien sûr. Chez les Ashkénazes, les petits gâteaux au sucre, à la confiture trônent sur les tables. Le lien entre toutes ces gourmandises : il y a toujours, toujours, beaucoup d’amour dedans ! Bons préparatifs de Pourim ! Travados de Pourim, Une recette judéo-espagnole qui a traversé les lieux et les époques. Elle fleure, évidemment, bon les épices, le miel et les fruits secs et offre une alternative originale aux Oreilles d’Aman. Proportions pour: 25 gâteaux Pour la pâte • 25 cl d’huile • 12 cl d’eau • 1 sachet de levure ou 1 cuillère à café de bicarbonate de sodium • 400 g de farine tamisée Pour la farce • 3 pincées de cardamome • 50 g d’amandes concassées • 50 g de noix concassées • 50 g de noisettes concassées • 1 œuf • 6 cuillères à soupe de miel

Pour le sirop • 15 cl d’eau • 150 g de sucre • 100 g de miel • 1/2 citron pressé Méthode de préparation Préparation : 30minutes. Cuisson : 30minutes. Mélanger l’huile, l’eau et le sachet de levure. Ajouter la farine petit à petit jusqu’à ce que la pâte soit consistante pour être travaillée. Si la pâte est trop sèche, rajouter de l’eau ou de l’huile, si elle est trop molle, rajouter de la farine. Pétrir puis laisser reposer une heure au frais. Mélanger dans une jatte les amandes, les noix et les noisettes pilées avec l’œuf et le miel. Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6.) Étaler la pâte et découper des ronds à l’emporte-pièces. Déposer une cuillère à café de farce sur une moitié de cercle. Replier et bien pincer les bords. Déposer les travados sur une plaque à pâtisserie et enfourner une vingtaine de minutes (ils doivent être dorés). Verser l’eau, le sucre, le miel et le citron dans une casserole et faire bouillir jusqu’à ce que le sucre soit bien dissous. Plonger les chaussons tièdes dans le sirop (en ébullition) et les laisser 3 minutes. Les travados sont prêts à être servis !

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C’est honteux ! Obliger notre premier ministre à se justifier, est la preuve flagrante de l’ambition démesurée de certains politiciens. Voulant la place, essentiellement pour les honneurs, ils sont capables de monter des dossiers compromettants. Je le répète: C’EST HONTEUX!!! Après David Ben Gourion, Golda MEIR, Menahem Begin et Itshak Shamir, BIBI est le seul homme politique, ayant une envergure internationale. Il a été élu par le peuple et choisi par Dieu. Il est roi en son pays. Il est Melekh Israël. Dans son discours, ce soir, il dit avoir consacré sa vie à la sécurité d’Israël. Je dis qu’il a consacré sa vie, TOUTE ENTIÈRE à Israël. Si nous étions, un tant soit peu, organisés, nous descendrions par milliers manifester notre confiance, notre amitié, notre solidarité et notre amour au SEUL homme ( pour l’heure) capable de diriger ISRAËL. AL TIRA ISRAÉL, AL TIRA. Je sais, à l’avance le tonnerre de protestations que va déchaîner cet article et ça m’est

complètement égal. Je demande à celles et ceux qui partagent mes idées, de lever les yeux vers le ciel et de dire une courte prière. Mon D, donne à notre premier ministre la force et la patience de surmonter ces épreuves, et garde le en bonne santé le plus longtemps possible. A l’instant où je m’apprête à livrer ce document au journal, je prends connaissance des derniers instants passés à Munich, à la conférence sur la sécurité. Carton plein pour notre Bibi, reçu partout, avec le respect du à son rang. Lors de son entretien de conclusion avec la presse, il règle leur compte aux polonais. Dis ses 4 vérités à Abbas, et brandit un débris du drone abattu au dessus de la Galilée. Son « Ne testez pas Israel » a l’endroit de l’Iran restera dans les mémoires, comme le propos d’un homme libre, à la tête d’un peuple souverain. Que l’Eternel te bénisse et te protège. Amen Réné Seror

Mise en garde ... inutile

Signal d’une escalade

Depuis que la Syrie a sombré dans le chaos, Israel est Maître du ciel. C’est la première fois ( depuis le début de la guerre en Syrie) qu’Israël affirme avoir attaqué des cibles iraniennes. C’est aussi la première fois qu’Israel perd un avion de chasse au combat, chose que la DCA syrienne n’a jamais réussie. Alors, QUI? La question reste posée. C’est l’affrontement le plus grave entre Israel et l’Iran. Depuis le début de cette guerre sans fin, les israéliens s’étaient tenus à l’écart, refusant de se laisser entraîner. Or, il apparaît que 3 guerres sont menées en parallèle dans la région. -Bachar El Hassad Face a l’opposition Sunnite. -la guerre aux assassins de l’Etat Islamique.

-et la guerre que la Syrie fait aux Kurdes. Mais la 4ème, sera sans doute la plus dangereuse. C’est la guerre que devra impérativement mener Israel pour refouler l’armée Chiite, et elle vient de commencer. Bibi a vu Poutine. Il refuse que les iraniens installent des bases en Syrie. Ne doutons pas que Téhéran dépassera ces lignes rouges, par Hezbollah interposé. Ce n’est sûrement qu’un signal, mais il augure d’une escalade dangereuse. Notre unique préoccupation est la sécurité de notre terre et surtout celle de nos soldats. Nos prières et des lectures de Tehilim de masse pour Tsahal doivent être quotidienne. René SEROR

Un représentant de l’ONG HUMAN RIGHTS WATCH dont le nom pourrait être Houri. Peu importe. Le sujet de l’interview; le sort des Djihatistes retenus prisonniers. Et les femmes et les enfants? L’une d’entres elles, avait 16 ans et célibataire en arrivant. Elle a 20 ans et 3 enfants. Et quand un juge dit que ces enfants sont des bombes à retardements, tous ces humanistes, donneurs de leçons, balaient l’argument d’un revers de la main et rabâchent à longueur d’interview que ces personnes méritent d’être jugées. Parler de justice pour des monstres dont le but en se rangeant aux côtés de Darsh était de tuer, de décapiter, de déstabiliser le monde libre. QUELLE JUSTICE? Ils ont massacré des villages entiers, égorgé, brûlées vives des milliers de personnes. De plus, les juger, voudrait dire que la guerre est terminée. Or, ces femmes vivent encore aux côtés de leurs compagnons qui continuent à semer la terreur et elles servent de liaison aux terroristes. Sans compter que certains d’entres eux, dirigent les soldats turcs contre les kurdes.

Maintenant, et tout à fait entres nous, en dehors de ténors, tels que Dupont-Moratti ou Franck Berton, et d’autres qui ne feraient que soigner leur publicité, se trouvera t-il un avocat, prêt à dire qu’il est prêt à défendre un ou une djihadiste de retour? Nos gouvernants s’efforcent à masquer les réalités au nom d’un humanisme exacerbé! Sont-ils conscients qu’ils mènent le monde libre à sa perte? Si, gouverner c’est prévoir, chacun de ces élus, quelle que soit sa charge, sait qu’il est là pour 5 ou 10 ans, et ne cherche surtout pas, ce qui adviendra par la suite. Tôt ou tard, le ballon qu’on ne cesse de gonfler finira par exploser. Ce jour là, le peuple, qui n’est pas composé que de moutons, excédé par le cynisme des dirigeants, ce peuple que l’on prend pour des gugus, investira la rue. Mais il ne sert à rien de mettre en garde des individus, bien trop sûrs de leur bon droit. Ils répètent à longueur de temps qu’ils agissent pour le bien de leurs contentées. On jurerait le contraire. René SEROR

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Le debrief de la semaine

La ministre de la Culture restitue une œuvre spoliée par les nazis Le lundi 12 février, Françoise Nyssen rendait le tableau « Triptyque de la Crucifixion » aux héritiers du couple Bromberg, des juifs allemands ayant fui en France en 1938 avant de partir pour les États-Unis. Le Louvre renferme toujours 807 œuvres provenant de la spoliation ou de la vente sous la contrainte en France pendant la 2ème guerre mondiale. Nouveau dérapage d’un dirigeant polonais Le premier ministre polonais a fait scandale samedi en parlant « d’auteurs juifs » de la Shoah. Interrogé par un journaliste israélien sur la récente loi controversée sur l’histoire du génocide en Pologne, le premier ministre s’est défendu en déclarant « ce ne sera pas puni, ce ne sera pas considéré comme criminel que de dire qu’il y avait des auteurs polonais (du génocide juif), tout comme il y avait des auteurs juifs, des auteurs ukrainiens ou allemands »… L’Islande veut interdire la circoncision Quatre partis politiques du centre et de la gauche ont déposé une proposition de loi visant à interdire la circoncision non-médicale chez les garçons avant l’âge de dixhuit ans. Selon les rédacteurs de ce texte, la circoncision porterait atteinte aux droits de l’enfant, exposerait à des infections et cau-

serait des « douleurs considérables ». Menace iranienne En réponse au discours de Benjamin Netanayahu à Munich sur l’intrusion un drone, l’Iran a lancé un sévère avertissement à Israël : « Tel Aviv serait rasé si le régime israélien prenait des mesures militaires contre la République islamique » a lancé le secrétaire iranien du Conseil de discernement de l’intérêt supérieur, Mohsen Rezaie. Optimisme en Judée et Samarie Selon Yaakov Katz, le nombre d’habitants dans les implantations a cru l’année dernière près de deux fois plus vite que la population totale d’Israël. Il attribue cette progression à l’élection de Donald Trump qui créé une atmosphère amicale propice à la croissance des implantations après huit années « compliquées » avec la présidence Obama. Il y aurait désormais 435 159 habitants en Judée et Samarie, soit une progression de 21,4% depuis les cinq dernières années. Le labour exclut un militant juif antisioniste Le parti travailliste anglais a exclu de ses rangs un activiste juif antisioniste. Tony Greenstein était accusé de commentaires offensants envers les partisans de l’Etat d’Israël.

Baît Shely, un jour une visite ... Le Moscou Juif soit 2%, de 95 000 en 1929, soit 5,3% et 201 000 en 1939, soit 6,3%. Aujourd’hui, la communauté juive de Saint-Pétersbourg est estimée à 80 000 membres.

la ville. Pourtant, on peut quand même distinguer des secteurs où ils étaient plus nombreux, plus concentrés qu’ailleurs et où ils se fixaient par prédilection. La rue des décembristes Dans cette ancienne rue Offizierskaïa, près de la synagogue et de la place Teatralnaïa, se trouve encore, au numéro 18, derrière le théâtre Marinski, le bâtiment du grand lycée juif Eisenbeth (aujourd’hui caisse du théâtre Marinski). Tout au bout de la rue des Décembristes, au numéro 57, se trouve la maison d’Alexander Blok, où il vécut de 1912 à 1921 et mourut. Ce secteur se prolonge dans les alentours du canal Griboïedov, où se trouvait, au numéro 140, la société d’aide aux juifs pauvres avec sa soupe populaire et un mikveh.

Malgré l’interdiction faite aux juifs de résider en Russie, hors de la zone qui leur était attribuée, il y eut, dès le XVIIIe siècle, des exceptions remarquables, notamment dans la capitale, Saint-Pétersbourg, où se concentrait l’intelligentsia juive russe.

La communauté juive de Saint-Pétersbourg (puis de Léningrad) s’est caractérisée par une composition sociale de niveau plus élevé que les communauté des shtetlekh d’Ukraine et de Biélorussie, dans la mesure où ce sont les plus cultivés qui parvenaient à quitter les ghettos pour la grande ville. Il y avait bien-sûr beaucoup d’artisans mais aussi un grand nombre d’employés, de petits fonctionnaires, de membres de professions libérales (médecins, juriste) et d’artistes, dans leur majorité férus d’assimilation : si en 1869, 98% des juifs de Saint-Pétersbourg déclarent le yiddish comme langue maternelle, ils n’étaient plus que 55% en 1910, 30% en 1926, 20% en 1939, et un nombre infime aujourd’hui. Cette perte progressive d’intérêt pour la langue maternelle, assez logique dans une capitale prestigieuse où chacun vise l’ascension sociale, a contribué à la faiblesse relative du succès du Studio de théâtre juif de Granovski, sondé en 1919 à Petrograd, dans l’île Vassilievski, qui dut déménager en 1920 à Moscou, où le public est plus populaire.

En 1900, on comptait déjà 20 385 juifs à Saint-Pétersbourg, soit 1,4% de la population. Ce chiffre sera de 50 000 en 1917,

Il n’y a pas à proprement parler de quartier juif à Saint-Pétersbourg, les juifs s’étant disséminés dans chaque arrondissement de

Moscou n’a pas de « quartier juif » en tant que tel, mais la question juive y a une longue histoire.

L’île Vassilievski Ce quartier, si populaire avec son marché dans la rue Bougskaïa, semble directement sorti d’une ville de Podolie, Tchortkow ou Jmerinka. Dans les rues adjacentes dites de 10e ligne ou de 5e ligne, se trouvait une école juive (la 14e école nationale juive au numéro 37 de la rue de la 10e ligne) et le musée de la Société historico-ethnographique juive (au numéro 50 de la 5e ligne), où travaillait Simon Dubnov, ouvert en 1916 par An-Ski, pseudonyme de Salomon Zainwil Rapoport, et qui fut fermé en 1929, en même temps que la plupart des institu-

tions juives de Saint-Pétersbourg. La synagogue chorale La synagogue chorale est le centre névralgique de la vie juive à Saint-Pétersbourg. Ce bâtiment imposant, avec une haute coupole, a été édifié en 1899 grâce à l’argent donné par de nombreux mécènes. La grande salle, restaurée a été rouverte en 2001. Contrairement à Moscou, c’est l’unique synagogue de la ville et elle regroupe toute la communauté juive. Ce lieu est aujourd’hui le centre de la communauté juive et regroupe toute les institutions qui en dépendent, yeshiva, cuisine casher, magasin, bibliothèque. La mémoire de la communauté juive de Saint-Pétersbourg et, plus généralement des juifs de Russie est conservée à la bibliothèque du Centre communautaire juif, très bien fournie. On y trouve notamment une collection unique de samizdats juifs de l’époque soviétique et des périodiques juifs depuis le début de la perestroïka. Le cimetière Preobrajenskoié À la différence de Moscou, il existe à Saint-Pétersbourg un cimetière juif, Preobrajenskoié, assez excentré, au sud-est de la ville. Il est immense. Une synagogue construite en 1908-1912 par l’architecte Gewirtz s’élève à l’entrée, avec une sorte d’atrium, des colonnes. Bien entretenu, le cimetière témoigne de la vitalité de la communauté juive de Saint-Pétersbourg.

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

SÉCURITÉ

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Israël a dit « non » au Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE)

Révélations choc de Eran Margalit sur le vol des plans de sous-marins israéliens

Ouvert à la signature en 1996, le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires (TICE) prohibe tous les types d’essais quelle que soit leur puissance. Il a été signé par 183 Etats et ratifié par 166 d’entre eux dont la France, mais il n’est toujours pas entré en vigueur car 8 Etats possédant des capacités nucléaires significatives ne l’ont pas ratifié : les EtatsUnis, la Chine, l’Inde, le Pakistan, Israël, l’Iran, la Corée du Nord et l’Egypte. En revanche, le système de surveillance internationale prévu dans le traité pour détecter les explosions nucléaires, grâce à des stations de mesure certifiées réparties dans le monde, progresse. A ce jour, 92 % des 337 stations prévues sont certifiées. Secrétaire exécutif de l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (OTICE), Lassina Zerbo a répondu aux questions du Monde. L’année 2017, avec en septembre le sixième essai nucléaire nord-coréen, marque-t-elle l’échec de tous les instruments du désarmement nucléaire ?

Je préfère voir le verre à moitié plein, même si le contexte géopolitique reste morose. Si l’on prend l’OTICE comme un cadre permettant d’amener des Etats à discuter, on a progressé, et nous avons renforcé le dispositif de vérification des essais. Nous avons pu obtenir en une seule année que soient certifiées cinq stations de mesure, en Chine, pays qui a longtemps dit qu’il ne certifierait qu’une fois obtenue la mise en œuvre du Traité. Et nous avons une nouvelle station aux Galapagos. Ces deux points symboliques vont dans le sens de la crédibilité du système de surveillance mondial. L’essai nord-coréen doit nous ramener à la réalité. Le leadeur Kim Jong-un dit qu’il ne veut pas se retrouver dans la situation de Saddam Hussein ou de Mouammar Kadhafi [qui ont été déposés après avoir renoncé à leurs armes nucléaires]. Il veut montrer ses muscles et bâtir une dissuasion. Je ne crois pas qu’il veuille… En savoir plus sur http://www.lemonde.fr

La marine israélienne heureuse de ses fournisseurs Allemands La marine israélienne a annoncé le lancement de la construction en Allemagne de la première de ses quatre nouvelles corvettes du type Saar 6. La cérémonie de découpe de la première tôle s’est déroulée le 7 février à Kiel. Une décision importante pour l’Etat hébreu. L’achat de trois sous-marins fabriqués par des allemands doit permettre de renforcer la sécurité d’Israël. Netanyahou, le chef du gouvernement a souvent souligné l’importance de ce contrat et avait rejeté les critiques de Moshe Yaalon, alors à la tête de l’armée, qui était opposé à ce contrat de plusieurs

millions de dollars, estimant « qu’il ne répondait pas à des besoins stratégiques du pays ». Du nouveau sur cette affaire : selon usine-digitale.fr : « Eran Margalit, président du fonds d’investissement JVP, a révélé récemment que les plans des sous-marins israéliens, fabriqués par le groupe allemand Thyssenkrupp avaient été hackés par des Iraniens« .

Longs de 90 mètres, ces bâtiments seront fortement armés, avec notamment des systèmes surface-air Barak 8 et C-Dome, jusqu’à 8 missiles antinavire, une tourelle de 76mm, de l’artillerie secondaire télé-opérée et des tubes lance-torpilles. Ils disposeront d’un radar à faces planes (normalement le MF-STAR d’IAI) et pourront embarquer un hélicoptère.

De nombreux équipements, de conception israélienne (notamment IAI et Rafael), seront intégrés localement après la livraison des coques propulsées et aménagées par TKMS.La première corvette devrait naviguer d’ici 2020. On rappellera que l’Allemagne construit (et subventionne) également des sous-marins pour Israël. Après la série des trois Dolphin, mis en service en 1999 et 2000, les chantiers de Kiel ont mis à l’eau en 2012 et 2013 les deux premières unités du type Dolphin 2, les Tanin et Rahav. Le troisième, nommé Dakar, devrait être prochainement opérationnel. Source Mer et Marine / koide9enisrael

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Israël et Jordanie : face aux dangers communs, une belle alliance des espions ?

C’est la conclusion du rafistolage des relations israélo-jordaniennes. L’État hébreu a nommé la semaine dernière Amir Weisbrod futur ambassadeur à Amman, six mois après l’exfiltration de sa prédécesseur Einat Schlein. Son départ clôturait la première étape du règlement d’une crise diplomatique en deux actes. Le 14 juillet dernier, deux policiers israéliens étaient abattus dans la Vieille Ville de Jérusalem par des terroristes arabes. Israël répliquait en installant des détecteurs de métaux à l’entrée de l’esplanade des Mosquées sans consulter le royaume hachémite, pourtant gardien officiel des lieux saints de l’islam à Jérusalem. En pleine gestion des émeutes palestiniennes, le début de crise engagée avec la Jordanie s’intensifie le 23 juillet, quand deux Jordaniens sont abattus par Zvi Moyal, agent de sécurité à l’ambassade israélienne de Jordanie. Ce rebondissement offre paradoxalement à Benjamin Netanyahu et Abdallah II une porte de sortie de crise convenable. Moyennant l’aveu de faiblesse que constitue le retrait des portiques, M. Netanyahu obtient l’exfiltration de Zvi Moyal, d’Einat Schlein, ainsi que de l’ensemble de l’équipe consulaire. Israël et la Jordanie auraient pu en rester là, mais Abdallah II doit temporiser pour ménager les Jordaniens choqués par l’épisode de l’ambassade. Il pose alors trois conditions au retour d’une mission diplomatique israélienne sur son sol : que des mesures judiciaires soient prises contre Zvi Moyal, qu’Israël présente des excuses officielles et qu’Einat Schlein soit remerciée. Les trois conditions reportent ainsi la sortie de crise officielle à un horizon « digérable » pour l’opinion publique jordanienne. Chacune des conditions a été graduellement négociée ces derniers mois. Alors que le souverain hachémite exigeait formellement en juillet que Zvi Moyal soit jugé, il fait savoir en septembre à des représentants de la communauté juive de New York que le royaume se contentera des résultats de l’enquête menée par Israël, qu’elle débouche ou non sur des poursuites judiciaires contre l’agent de sécurité. Le 18 janvier, le porte-parole du gouvernement jordanien Mohammad al-Momani fait savoir que le royaume a reçu une note officielle du gouvernement israélien avec des excuses en bonne et due forme. Il conclut son allocution en affirmant que les trois conditions ont été remplies par Israël. Trois jours plus tard, des sources israéliennes affirment à Reuters que M. Moyal ne sera pas poursuivi. Tandis que la première condition (le jugement de M. Moyal) a été clairement altérée, le profil du nouvel ambassadeur israélien offre une forme de compensation.

Actuellement directeur du département proche-oriental au centre de recherche du ministère des Affaires étrangères, ancien porte-parole de l’ambassade israélienne au Maroc, parfaitement arabophone, « Amir Weisbrod est une figure d’intellectuel modéré et ouvert sur la région », analyse Élisabeth Marteu, consultante pour le Moyen-Orient à l’International Institute for Strategic Studies (IISS), interrogée par L’Orient-Le Jour. Le règlement officiel de l’affaire était prévisible, tant l’interdépendance entre les deux pays interdit une rupture prolongée. Le subtil numéro d’équilibriste de Abdallah II pour y parvenir illustre le double jeu auquel les souverains jordaniens sont contraints sous la pression de leur opinion publique depuis l’accord de paix de 1994. « L’opinion antinormalisation, opposée au traité de paix, est puissante en Jordanie et alimentée par les Frères musulmans. Mais sans traité de paix, la Jordanie ne peut pas aider l’Autorité palestinienne et Gaza et elle renonce au gardiennage hachémite d’al-Aqsa », souligne à L’OLJ Abdallah Swalha, directeur du Centre jordanien pour les études israéliennes. Il énumère ensuite une multitude de projets israélo-jordaniens dans les domaines de l’agriculture, de l’eau et de l’énergie. Les plus importants sont le canal reliant la mer Rouge à la mer Morte (le Dead-Red Canal) et un accord signé en septembre 2016 qui devrait permettre à la Jordanie d’importer quotidiennement 8 500 000 mètres cubes de gaz depuis le gisement offshore Leviathan. L’accord se chiffrerait à 10 milliards de dollars et entrerait en effet courant 2019, selon M. Swalha. Lorsqu’en mars 2017 le Parlement jordanien obtient une copie de l’accord tenu secret, ce dernier s’aliène une forte opposition populaire, qui culmine avec un appel à l’extinction générale de l’électricité dans les foyers jordaniens à une heure de grande consommation. L’apparition de menaces stratégiques communes avec la guerre en Syrie a néanmoins renforcé l’interdépendance entre les deux pays. Bien que les groupes islamistes étaient moins importants en Syrie méridionale que dans le nord du pays, la présence du Front al-Nosra le long de leurs frontières septentrionales a puissamment fédéré les renseignements israéliens et jordaniens. Source L’orient le Jour

FRANCE

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Sécurité du Carnaval de Nice à l’israélienne. Soldats, tireurs d’élite, caméras

Des profs de Lille 1 poussent à l’arrêt d’un festival sur la culture israélienne

Agents de sécurité, policiers municipaux et nationaux, soldats, tireurs d’élite, caméra de surveillance… Le carnaval de Nice est placé sous haute sécurité. Les leaders de la sécurité ont fait de nombreux voyages en Israël pour mieux saisir les modes opérationnels en matière de sécurité (1). Selon (2) : « Pour cette 134ème édition du carnaval, sur le thème de la conquête spatiale, près d’un million de personnes sont attendues à Nice entre samedi et le 3 mars. Cette année encore, le dispositif de sécurité est draconien, deux ans après l’attentat du 14-juillet, ce qui ne décourage pas les touristes venus assister au plus gros événement de la Côte d’Azur.

Deux professeurs de Lille 1, Moussa Nait Abdelaziz et Abdellatif Imad, ont envoyé mercredi une lettre au président de l’université de Lille pour s’indigner d’une « manifestation qui, sous couvert d’ouverture culturelle, fait l’apologie » d’Israël. Des étudiants de la ville de Lille, dans le nord de la France, avaient prévu d’organiser un festival consacré à la découverte de la culture israélienne mais c’était sans compter sur la haine d’Israël de certains étudiants pro-palestiniens qui ont organisé une manifestation en marge d’un premier atelier culturel. C’est à un appel de l’association France Palestine Solidarité (AFPS) et de professeurs de l’université de Lille que quelques dizaines de personnes ont répondu en perturbant une exposition photos et un cours d’hébreu qui avaient lieu sur le campus. Le festival, organisé par une quinzaine d’étudiants de l’Institut d’administration des entreprises, devait proposer pendant quatre jours des ateliers de découverte de la culture israélienne, notamment sa cuisine et sa musique. L’association a finalement décidé d’annuler

ce rendez-vous qui avait pourtant lieu dans le cadre de leurs études. « Les manifestants nous ont dit qu’ils allaient venir manifester à toutes nos activités. Donc on a décidé d’arrêter. On ne veut pas créer plus de polémique sur cela », a expliqué à l’AFP Gaëlle Robin, 22 ans, chargée des relations presse de l’association. « On était neutre, on a bien dit qu’il n’y avait rien de politique ni religieux », a-t-elle ajouté. Mercredi 14 Février, une lettre signée de deux professeurs a été envoyée au président de l’université pour dénoncer le festival. « Autoriser une manifestation qui, sous couvert d’ouverture culturelle, fait l’apologie de cet État (Israël) nous choque profondément », ont écrit Moussa Nait Abdelaziz et Abdellatif Imad. « Monsieur le Président, aurions-nous accepté d’organiser une manifestation édulcorée sur l’Afrique du Sud, au temps de l’Apartheid et de Mandela en prison ? », ont-ils poursuivi. Selon l’AFPS, le festival mettait « en valeur l’État d’apartheid israélien en prétendant se placer sur le terrain culturel en occultant les crimes commis régulièrement par cet État colonial à Jérusalem, en Cisjordanie, à Gaza ».

Caméras, soldats et tireurs d’élite. Une nouvelle fois, les « grosses têtes » et les chars vont défiler dans un parcours clos par de hautes barrières occultantes. Plus de 200 agents de sécurité vont fouiller artistes et spectateurs avant de les faire passer sous des portiques de détection de métaux. Cinquante caméras de surveillance seront par ailleurs braquées sur le défilé. Et autour de la zone de protection, des policiers municipaux, nationaux, des soldats et même des tireurs d’élite installés sur les toits seront mobilisés. Un dispositif qui rassure les touristes. « Ils devraient même faire trop que pas assez ». « Ça fait toujours quelque chose », reconnaît l’un d’eux. « On vient, non pas avec une appréhension, mais avec un sentiment de sécurité. » « Ils devraient même en faire trop que pas assez », estime un autre. « Je préfère être encadré en vie que pas encadré et mort. » « On ne devrait pas être fouillés pour venir voir une manifestation mais si, pour éviter certaines choses, c’est utile, on s’y pliera. Il n’y a pas de souci », ajoute une spectatrice. Un dispositif nécessaire pour rassurer. Un niveau de sécurité qui est presque devenu un argument de promotion du carnaval reconnaît l’adjoint au tourisme de la ville de Nice, Rudy Salles. « Les gens ne viennent plus s’il n’y a pas un dispositif de sécuri-

té. L’année dernière, au début, nous étions en forte baisse. Et au fur et à mesure que le public se rendait compte que le carnaval était sécurisé, il y a eu une affluence dans les dernières prestations. » Pas de feux d’artifice. Néanmoins, la fête a ses limites. Le roi du carnaval en carton-pâte ne sera pas brûlé en mer, comme le veut la tradition, et les feux d’artifice n’auront pas non plus lieu, faute de forces de l’ordre suffisantes pour sécuriser la Promenade des Anglais ». (2) http://www.europe1.fr (1) » La surveillance et la sécurité, c’est un peu devenu l’obsession à Nice, surtout depuis l’attentat du 14 juillet 2016. Cette attaque meurtrière au camion-bélier sur la Promenade des Anglais n’a pas pu être empêchée malgré les 1950 caméras de surveillance disséminées dans la ville. Nice est en effet la commune la plus surveillée de France et elle va l’être encore davantage grâce à l’application « Reporty ». Elle va permettre aux témoins d’incivilités de filmer l’incident en temps réel et d’entrer en contact instantanément avec le centre de vidéosurveillance de la police municipale. « Cette application a pour but de nous aider à gérer les appels téléphoniques que nous recevons au centre de supervision. Nous gérons quand même 75 000 appels téléphoniques par an. Il est souvent difficile pour nous de connaître la position des appelants pour pouvoir diriger les équipages dessus. Cela va nous permettre aussi d’avoir des informations les plus précises possibles », explique Christophe Gardon, responsable adjoint du Centre de supervision urbain (CSU). « Reporty » a été développée en Israël par la start-up de l’ancien Premier ministre Ehud Barack. À Nice, elle fait polémique. L’opposition dénonce une « délation généralisée. Pourtant les Niçois, premiers concernés, semblent plutôt réceptifs ». http://fr.euronews.com

FRANCE Après les tentatives de ses trois prédécesseurs, Emmanuel Macron a annoncé, en début d’année lors de la présentation des vœux aux responsables religieux, mener « un travail sur la structuration de l’Islam en France ». Il a estimé indispensable ce travail « moral, philosophique » et aussi « d’organisation ». Retour sur les projets d’une réforme maintes fois annoncée, mais jamais réalisée. Dès sa prise de fonction, en octobre 1995 et après des incidents en banlieue, Jacques Chirac pointe la nécessité de favoriser l’organisation de l’Islam en France. L’historien Pierre Chaunu prophétise alors : « L’Islam est peut-être finalement la meilleure barrière contre l’islamisme ! ». C’est sous son deuxième mandat que sera créé le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), première reconnaissance du culte musulman dans notre pays et dont l’initiative revenait à Jean-Pierre Chevènement.

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vote musulman, avance prudemment sur le dossier. Mais après la succession des attentats en 2015 et 2016, son premier ministre Manuel Valls renouvelle sa confiance au CFCM mais il manifeste clairement sa volonté de tarir les financements étrangers et d’accroître en compensation les possibilités de levées de fonds en France. Une Fondation pour l’islam de France est alors créée pour travailler, au côté du CFCM, et faire émerger « un Islam républicain ». Mais faute d’accord sur la gouvernance, cette fondation peine aujourd’hui à fonctionner convenablement. Pour l’heure, le Président consulte, les préfets sont invités à interroger le terrain, et le CFCM réfléchit lui aussi à sa propre réforme… Jack-Yves Bohbot

Le Ministre Eli Cohen (Israël) à Paris. Meetings avec E. Macron et B. Le Maire

Mais très vite se pose la question de la représentativité du CFCM miné par des clivages internes et incapable de se positionner clairement face à la montée de l’antisémitisme islamiste. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les relations se tendent avec les dirigeants musulmans ; une réforme est annoncée par Claude Guéant, alors ministre de l’Intérieur, quelques semaines avant les présidentielles de 2012 qui verront la victoire de François Hollande. Ce dernier, qui a bénéficié très largement du

Le patron du CNES a salué la coopération franco-israélienne

Des scientifiques israéliens et français travaillent ensemble sur un important projet de développement de mini-satellites qui seront lancés sur orbite pour observer le fonctionnement des nuages et leur influence sur les changements climatiques. Cette annonce a été faite lors de la Conférence Ilan Ramon sur l’Espace qui s’est tenue à Tel-Aviv avec la participation de start-ups israéliennes et de six agences spatiales dont celle de la France, avec la présence notamment du président du CNES Jean-Yves Le Gall. Il a loué l’importance de la coopération franco-israélienne dans le domaine de l’espace et déclaré que 2018 sera “une année phare dans la coopération spatiale entre les deux pays”. L’un des objectifs de ces satellites sera d’étudier la formation des nuages, la modification de leur taille, leurs mouvements et leur trajectoire afin de mieux comprendre leur rôle dans les changements climatiques ainsi que les problèmes qui en découlent,

notamment les orages et la foudre. Ils seront lancés en même temps est évolueront en formation afin de prendre des clichés depuis trois angles différents et photographier les nuages en trois dimensions et ainsi observer leur évolution sur la durée. Les données recueillies fourniront des informations sur la puissance des vents ascendants qui forment les nuages, phénomène que les satellites n’avaient jamais réussi à observer jusqu’à présent. Autre fonction que pourront effectuer ces mini-satellites, des mesures spectrales des compositions moléculaires qui entourent les nuages, y compris les vapeurs d’eau et les oxydes d’azote. Ces mesures permettront de localiser les facteurs principaux qui permettent aux nuages d’influer sur les systèmes climatiques. Ces satellites aideront aussi à mieux comprendre le phénomène de la foudre qui se forme à l’intérieur des nuages ainsi que les effets des concentrations de gaz à effet de serre comme l’ozone. Source Israël Hayom

La belle histoire des relations du Ministre Bruno Le Maire avec Israël se poursuit. Il était en Septembre dernier au salon DLD de Tel-Aviv avec Mounir Mahjoubi. Sur son compte Twitter le Ministre Le Maire s’affiche le sourire aux lèvres avec son homologue israélien Eli Cohen, de passage à Paris, ce 15 Février 2018. Les deux ministres ont parlé de coopération commerciale et technologique entre les deux pays. Le ministre de l’Économie et de l’Industrie Eli Cohen avait récemment indiqué qu’Israël « aspirait à devenir la 15ème économie mondiale d’ici 2025. Le pouvoir d’Israël dépend de sa croissance économique ». » « Pourquoi est-ce que les États-Unis sont-ils une superpuissance mondiale ? Parce qu’ils ont la plus grande économie. La Chine se renforce de manière considérable, et d’ici 9 à 10 ans, elle deviendra numéro un. Et c’est grâce à sa force économique », a déclaré le ministre, membre du parti de centre-droite Koulanou, qui se focalise sur les questions socio-économiques. « L’État d’Israël, avec ses 8,5 millions de citoyens, est en position très honorable également » Le texte de Bruno Le Maire sur Twitter: « Avec @elicoh1, ministre de l’Economie et de l’Industrie d’#Israël : des liens économiques forts entre nos deux pays qu’il

faut continuer à renforcer ! » Autre Twitter de Bruno Le Maire : » « Avec Eli Cohen, ministre de l’Economie . Les liens économiques entre la France et #Israël sont denses : renforçons-les davantage ! » Auparavant Eli Cohen avait rencontré Emmanuel Macron. (Photo de Bruno Le Maire et Mounir Mahjoubi en Israël l’an dernier au DLD) LE PLUS. « Septembre 2017 : Les liens économiques et numériques franco-israéliens se resserrent. Bilan de l’importante présence française lors de DLD Tel Aviv 2017 et de la visite du ministre français de l’Economie et des Finances, M. Bruno Le Maire et du secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargé du Numérique, M. Mounir Mahjoubi en Israël. Du 3 au 7 septembre 2017 a eu lieu à Tel Aviv la 7ème édition du Festival de l’innovation DLD, l’évènement incontournable du numérique et de l’innovation le plus important de l’année en Israël. Suite à la participation du président de la République française Emmanuel MACRON à sa 5ème édition et lors de la visite d’Anne HIDALGO, maire de Paris, à Tel Aviv dans la même année, nous continuons à observer cette année encore un renforcement au niveau de la coopération franco-israélienne ». Ambassade de France en Israël

FRANCE

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Le Monde consacre un article à Eli Cohen (Ministre israélien), en visite à Paris

« La France et Israël doivent coopérer davantage » en matière d’investissements. Les relations économiques entre la France et Israël « ne sont pas à la hauteur de leur potentiel ». Dans un entretien au Monde, le ministre israélien de l’économie, Eli Cohen, en visite à Paris, mercredi 14 et jeudi 15 février, plaide pour des liens plus étroits entre les deux pays. Son homologue français, Bruno Le Maire, avait porté le même message lors de sa visite en Israël, en septembre 2017. « La direction est très positive, mais nous devons coopérer davantage », réclame le ministre. L’objectif : « Doubler le volume commercial et les investissements en cinq ans », revendique-t-il, à l’unisson de M. Le Maire. La France ne bénéficie que d’une très faible part des investissements israéliens (un stock de 160 millions d’euros fin 2015, selon la Banque de France). De même, l’Hexagone est seulement le cinquième partenaire européen d’Israël, loin derrière l’Allemagne et, surtout, le

Royaume-Uni. Pourtant, « Israël et la France sont complémentaires plus que concurrents », affirme M. Cohen. Vantant les atouts de l’Etat hébreu – qui fête, cette année, ses 70 ans – et son savoir-faire dans les hautes technologies, il appelle les deux pays à unir leurs forces dans le domaine de la « smart mobilité » : « La France a une industrie automobile fantastique. En Israël, nous ne produisons pas de véhicules, car nous sommes un pays trop petit, mais nous avons plus d’une centaine d’entreprises qui proposent des solutions technologiques de pointe dans ce domaine. Cela compte, au moment où l’on parle de digitalisation, d’intelligence artificielle, de voitures autonomes. » Des performances illustrées par le succès de la société israélienne Mobileye, spécialiste des systèmes anticollision, racheté 15 milliards de dollars (12 milliards d’euros) en 2017 par le fabricant américain de puces Intel.

lphinfo.com

Var-Matin, info? Intox? La Ligue de défense juive et la rue « Yasser Arafat »

Une information un peu biaisée? Comment Var-Matin peut-il affirmer, sans prendre de précautions, le rôle de la LDJ ? (1) Selon varmatin.com : « Alors que la justice a finalement autorisé, la semaine passée, la ville de La Seyne à baptiser une rue « Yasser-Arafat » à l’entrée du quartier Berthe, le panneau, installé il y a trois ans déjà, vient d’être dégradé. Sur la Toile, on apprend ainsi qu’une « sympathisante de la Ligue de défense juive a pris

l’initiative de recouvrir de peinture noire cet apologie au terrorisme.(sic) ». A croire que le groupuscule de militants sionistes, aux méthodes souvent musclées, a décidé que si l’ordre public n’était pas troublé, ainsi que l’a jugé le tribunal administratif de Toulon, il était encore temps d’y remédier… Rappelons que c’est en 2015 que la municipalité seynoise a validé, à une très large majorité, la décision de donner le nom de l’ex-leader palestinien à une artère de la cité. Une première en France ».

Invraisemblable débat concernant Israël

Source Le Monde / koide9enisrael

La meute d’antisémites n’aiment pas trop Gabriel (« The Voice ») Gabriel chante en hébreu à The Voice : les antisémites la ramènent moins. Samedi soir, Gabriel a interprété en hébreu la chanson de Patrick Bruel « Je te l’dis quand même », sa voix a bouleversé le jury, et excité la meute habituelle d’antisémites. Gabriel, qui passe si facilement de la pop à l’opéra, ne peut pas laisser un jury indifférent. Mais quand il chante cette chanson de Bruel, en hébreu, l’effet de surprise s’ajoute à l’émotion.

Devant la Commission des Affaires Étrangères à l’Assemblée nationale nous nous sommes Meyer Habib et moi-même longuement opposé au débat public que souhaitaient les communistes concernant l’accord sur le trafic aérien entre l’Europe et Israël. Un débat public de toute évidence demandé pour continuer les agressions polémiques sans issues contre Israël. Faire un débat public sur ce texte purement technique, qui imposera sans doute d’adopter les mesures de sécurité exceptionnelles et efficaces mise en place par Israël dans les aéroports aux autres capitales européennes,

n’est qu’un prétexte pour continuer devant l’hémicycle et sans raison à dévider de l’antisionisme, cet antisionisme qui conduit à l’antisémitisme en France. Inadmissible débat quand on sait qu’il a été impossible d’organiser un débat public sur le vote infamant de la France à l’Unesco. Il est invraisemblable que le gouvernement et les responsables politiques n’aient pas compris que dans la situation qui est la nôtre d’un relent fort d’antisémitisme, il faille renoncer à des prétextes aussi fallacieux pour animer une situation qui tend à devenir dramatique en France.

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Les revenus et les profits de Sodastream dépassent les attentes en 2017

« Les résultats du troisième trimestre finissent en beauté une année exceptionnelle », s’est réjouit le PDG de Sodastream Daniel Birnbaum après la publication des résultats financiers de la compagnie pour le troisième trimestre et l’intégralité de l’année 2017. Sodastream a dépassé toutes les prévisions à la fois en termes de revenus et en termes de profits avec, dans les deux aspects, une année 2017 en croissance de 17%.

Histoire économique d’Israël. Teva a vu le jour dans qu’elle ville ? Et quand ?

Teva a vu le jour en 1901, avec la création par trois pharmaciens juifs, Levin, Elstein et Salomon, au cœur de Jérusalem d’une pharmacie qui, essentiellement, importait des médicaments d’Europe pour la population de la Palestine, alors sous occupation ottomane. Leur réputation est excellente et, très vite, on vient non seulement de tout Erets Israël mais également de l’étranger pour se fournir en médicaments. En 1933, avec la montée des Nazis au pouvoir en Allemagne, la pharmacie ne peut plus faire venir des médicaments d’Allemagne. Les trois fondateurs décident d’acheter un petit terrain à Petah Tivka, sur lequel ils vont ériger leur premier laboratoire. C’est alors que naît Teva. Pendant la Seconde Guerre Mondiale, l’usine fournit des médicaments aux forces britanniques et alliées déployées en Palestine mandataire, et dans l’ensemble du

proche Orient. Après la création de l’Etat d’Israël, en 1951, Teva est l’une des premières sociétés israéliennes à être cotée à la bourse de Tel Aviv. En 1976, sous l’impulsion de son célèbre directeur général Eli Horovitz, Teva s’agrandit et se spécialise dans les médicaments génériques. Sa réputation s’étend bien au-delà des frontières d’Israël. C’est dans les années 90 que Teva deviendra un consortium multinational, en particulier grâce à la commercialisation du Copaxone qui va lui rapporter des milliards de dollars. Après la retraite en 2002 d’Eli Horovitz, Teva est encore dirigée par des directeurs israéliens comme le général (rés.) Shlomo Yanaï, mais peu à peu, elle va s’internationaliser et devenir le géant des médicaments génériques. C’est vers le début des années 2010 que les premières difficultés surgiront. D.H.

La bonne conjoncture de la société de boissons gazeuses domestiques explique aussi la hausse de 66% de son action en bourse lors de l’année écoulée, à 78.60$. La capitalisation de Sodastream s’élève désormais à 1.7 milliards de dollars. Les revenus de Sodastream au troisième trimestre se sont élevés à 158 millions de dollars, soit 19.6% de plus qu’à la même

période en 2016. Les analystes avaient tablé sur 152m$. En termes de profits, la société affiche 25.5 millions de dollars net au troisième trimestre, soit 63.2% de plus que l’année dernière à la même période. Sur 2017, c’est 74.4 millions de dollars que la compagnie a gagnés. C’est 67.3% de plus que sur 2016. Ces résultats sont particulièrement intéressants quand on sait que Sodastream est régulièrement pris pour cibles par les tenants du BDS qui s’insurgent de voir leurs produits vendus très largement partout dans le monde. L’actrice Scarlett Johansson, qui avait été l’égérie de la marque il y a quelques années, avait été prise pour cible par les partisans du boycott de tous les produits israéliens. Il semblerait donc, à en croire ces formidables résultats, que leur entreprise a un peu de plomb dans l’aile.

Le nouvel an Chinois est célébré à Tel-Aviv. 9 000 chinois travaillent en Israël

L’Ambassade de Chine invite de nombreuses autorités de l’Etat Hébreu à l’occasion de la nouvelle année. En Israël, les milliers de Chinois (juifs et non-juifs) ont fêté l’an Chinois. Selon un article de T.J. : « 9 000 chinois travaillent en Israël dans le secteur du bâtiment. Quant aux touristes, ils étaient 80 000 à venir depuis la Chine. De plus en plus d’étudiants chinois s’inscrivent dans les universités ou instituts israéliens, comme par exemple au Technion. Certains viennent s’y former en agriculture, d’autres en ingénierie. « Il y a même une Chinoise qui suit un cursus de Yiddish et qui le parle déjà parfaite-

ment », confie Ran Beinerman, président de l’Association d’amitié Chine-Israël, lui-même d’origine chinoise et qui a fait son alyah en 1947, à l’âge de 8 ans ».

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Au coeur du hightech de Tel-Aviv, l’immeuble luxueux du 22 Rothschild

Au dix-huitième étage, une mer d’hiver, quelque peu remuée, apparaît au loin entre les gratte ciels toujours plus nombreux de Tel-Aviv. Tout sourire, contemplant leur nouvelle vue, les cadres de Visa regardent avec envie un horizon bien dégagé. Situés en plein de coeur de TelAviv dans l’immeuble très luxueux du 22 Rothschild, les nouveaux voisins du géant des paiements s’appellent Facebook, Autodesk ou le fonds d’investissement Magma. L’immeuble est entouré par les banques d’affaires internationales et les sièges sociaux des banques israéliennes. L’objectif de ce nouveau bureau est “d’accueillir les start-up les plus prometteuses et de les faire

grandir avec nous”, soutient Bill Gajda, directeur monde des partenariats stratégiques et d’innovation pour Visa. “Notre modèle est basé sur la co-création et la collaboration » poursuit-il. « Une start-up vient s’installer, littéralement, dans nos locaux, avec ses designers, ses programmateurs. Nous travaillerons ensemble, avec nos propres équipes, ici et à travers le monde, pour créer un prototype commun. Lorsque cette étape est franchie, nous pourrons faire un pilote promotionnel et le commercialiser. C’est une nouvelle manière de collaborer et de créer très rapidement un produit et de le lancer.” Antony Lesme de usine-digitale.fr

Candy Max à Jérusalem. Prix de rêve, 800 grammes de chamallow, A Rawabi, la haute technologie, espoir de l’économie palestinienne pour 25 shekels

Au début de l’année, Max Stoke a commencé à vendre des bonbons et des chocolats dans un nouveau magasin, Candy Max, qui a ouvert ses portes au complexe Max Stoke à Jérusalem. Fidèle à l’esprit du magasin, il est question dans la plupart cas de grands paquets à des prix imbattables. Par exemple, vous pouvez trouver le produit « Sukarmachlo » (une combinaison de chamallow et de bonbon) au prix de 10,90 shekels pour trois paquets; Un trio d’œufs surprise (mais pas des Kinder) au prix de 12,90 NIS; Un énorme paquet de 800 grammes de chamallow pour 25 NIS; Un paquet de gaufrettes pour 2 NIS; Et le point culminant – des bonbons durs aux arômes de fruits au prix de 3 NIS par paquet – en forme de bague en diamant.

Trois juges culinaires et deux enfants ont goûté, touché et senti les produits et dans certains des cas, ils ne se sont pas contentés d’une seule bouchée. Pour la somme de 100 shekel, ils ont acheté un gros sac de confiseries en tous genre. Adultes comme enfants n’ont pas particulièrement apprécié le Sukarmachlo, déplorant un goût poudreux et la présence de colorants. Les œufs en chocolat ont été jugés « mangeables », sauf par le petit goûteur âgé de cinq ans. Les chamallows ont eu davantage de succès, ils en ont même repris ainsi que les bonbons en forme d’énorme solitaire. En ce qui concerne les gaufrettes, les testeurs vous conseillent de continuer à privilégier votre marque habituelle… Source : Ynet

La haute technologie palestinienne en est encore à ses balbutiements et seules quelques start-ups ont réussi. Aucune n’a été rachetée par de grandes sociétés internationales. Pourtant, comme dans de nombreux pays où les ressources naturelles sont rares, la haute technologie est le grand espoir de l’économie palestinienne, où le chômage atteint 27 %.

Bashar Al-Masri et son équipe espèrent que le centre technologique de Rawabi devienne un épicentre de la haute technologie palestinienne, un petit groupe concentré qui se développera lentement dans un environnement technologique animé. fr.timesofisrael.com

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Neta Barzilaï va représenter Israël à l’Eurovision

A la fin d’une soirée tendue, la décision a été prise: Neta Barzilai est la grande gagnante de “The Next Star” et représentera Israël au Concours Eurovision de la Chanson au Portugal cette année. Neta a battu Jonathan Mergi en finale, Riki Ben Ari est arrivé troisième et Aharoni a terminé quatrième. Neta Barzilai est déjà connu et a témoigné dans les médias israéliens, sa souffrance et son combat en tant que fille avec une surcharge de poids : “En tant que grosse fille, je voulais juste être normale”. A la fin d’une soirée très excitante, le moment est venu où la décision a été prise: Neta Barzilai est devenue la grand gagnante de la « prochaine star » et représentera Israël dans l’Eurovision 2018 qui se tiendra cette année

Paul McCartney en Israël en Mai 2018? Menacé de mort par des militants BDS

au Portugal et sera diffusé au mois de mai prochain. Neta Barzilai dit : « Je suis émue aux larmes devant le public israélien qui avec un esprit ouvert et un grand cœur a choisi quelque chose de nouveau, je ferai tout pour qu’il vaille la peine pour nous lors du prochain concours de l’Eurovision. » Dans la phase de duel masculin, Jonathan Mergi est apparu en premier et a chanté Get Ugly par Jason Darlow. Il a marqué 91 pour cent, en gagnant Chen Aharoni qui a chanté sa chanson “Breath” et a ratissé 72 pour cent. Source : infos-israel.news

Elad Goldenberg de eBay Israël est surpris. Ventes de 180.000 bicyclettes Selon la société de e-commerce eBay, Israël était le deuxième plus grand client de commerce électronique par habitant en 2017, juste après la Chine.

633 voitures, yachts et motos, y compris un grand nombre de véhicules de luxe ou d’antiquités : 52 Chevrolet Corvettes et 32 Ford Mustangs.

En 2017, Israël a acheté des produits sur eBay toutes les deux secondes en moyenne et a vendu des articles sur eBay toutes les trois secondes en 2017. Les israéliens ont acheté 17 millions d’articles via eBay en 2017, soit une augmentation de 6% par rapport à l’année précédente, totalisant 425 milliards de dollars. L’achat moyen a coûté 25 dollars. Les israéliens ont vendu plus de 10 millions d’articles au cours de l’année, soit une moyenne quotidienne de 30.000 articles, une augmentation de 50% par rapport à 2016. 47.000 nouveaux acheteurs israéliens sont apparus en 2017.

Il a également été vendus 750.000 articles de sport, 70.000 paires de chaussures de course et 180.000 bicyclettes. Ils dépensent également plus d’un million de dollars en matériel de réalité virtuelle, en drones et en haut-parleurs. Quelque 35.000 Israéliens ont vendu des articles via eBay en 2017, et 8500 vendeurs gagnent leur vie en vendant sur eBay. Les israéliens ont vendu 2 millions d’articles pour la maison et le jardin, 1 million de produits de beauté et de soins de santé, des centaines de milliers d’articles de bijoux et de montres, et 50.000 produits anti-âge. Les jeunes Israéliens se placent également au deuxième rang des achats en ligne, après les Britanniques. Les jeunes Israéliens ont acheté des produits trois fois par mois en moyenne et pour un montant moyen de 66 shekels (18 $) par article, notamment des gadgets électroniques, des jeux vidéo et des appareils électriques.

Elad Goldenberg, le patron de eBay Israël, a déclaré : ” Un feu arrière pour une Ford Focus, qui coûte 1000 shekels [283$] en Israël, est vendu sur eBay pour 450 shekels [127$]. Même les mécaniciens ont admis qu’ils achètent chez nous”. Les israéliens ont acheté environ 700.000 pièces de véhicules par l’intermédiaire de la société eBay l’année dernière. Ils ont également acheté

Source Koide9enisrael

Paul McCartney a été annoncé lundi comme l’un des neuf lauréats du prestigieux Prix Wolf d’Israël et l’un des deux récipiendaires du prix Wolf de musique 2018. Pour la fondation Wolf Paul McCartney est « l’un des plus grands auteurs-compositeurs de tous les temps». Dans un communiqué la fondation chante les louanges de l’interprète dans une véritable déclaration d’amour à cet ancien des Beatles : « Sa polyvalence a une envergure extraordinaire, du rock le plus physique aux mélodies d’une intimité envoûtante et déchirante. Ses textes ont une portée tout aussi large, alternant entre naïf, charmant, poignant et même parfois désespéré. Il a touché les cœurs du monde entier, avec les Beatles et avec ses groupes suivants, y compris le groupe Wings.» La Wolf Foundation attribue des prix de 100 000 $ dans cinq domaines chaque année. Plus de 30 lauréats ont reçu le prix Nobel. McCartney partagera le prix de la musique avec Adam Fischer, un chef d’orchestre hongrois, qualifié par le Comité du prix de «défenseur éloquent des droits de l’homme». Les prix seront remis aux gagnants par le président Réouven Rivlin lors d’une cérémonie spéciale qui se tiendra à la Knesset à Jérusalem, fin mai, nous laissant

en droit d’espérer la venue du chanteur à cette période, peut-être même avec un petit concert sous le bras, soyons optimiste. McCartney était déjà monté sur scène une fois en Israël, pour une représentation enchanteresse et émouvante devant plus de 50 000 fans au parc HaYarkon à Tel Aviv en 2008. Lors de ce voyage, l’ex Beatle, interviewé par Adam Shay du « Jerusalem Center for Public Affairs », avait révélé avoir été menacé de mort par des militants BDS et par des groupes anti-israéliens les semaines précédant le concert : « J’ai reçu des menaces de mort, mais je viens quand même, je n’ai aucune intention d’abandonner. Je refuse d’annuler mes représentations en Israël », déclarait-il à l’époque. Selon The Associated Press, la fondation du Prix Wolf aurait avisé les agents de McCartney de sa victoire du prix mais il n’y a aucune certitude encore sur sa présence à la cérémonie. Rappelons également que le mois dernier, suivant l’exemple de Paul, Ringo Starr, avait annoncé sa venue en Israël pour un concert en juin, dans le cadre de sa tournée européenne « Give More Love ». Source: Telavivre

POLITIQUE

Corruption & Co. Mahmoud Abbas a de gros problèmes avec son fils

Une enquête réalisée au sein de l’Autorité Palestinienne révèle que toute une série de hauts responsables détournent des fonds en provenance des pays d’Europe et en font un usage personnel au lieu de les consacrer au bien-être de leur population. Un rapport révèle que les montants qui sont accordés aux divers ministères de l’AP ne sont pas les mêmes que ceux qui en sortent, tout simplement parce qu’au passage, des responsables de l’AP se servent au profit de leurs besoins personnels ou ceux de leurs proches. On parle d’achat de voitures de luxe, de voyages à l’étranger, d’acquisition de villas et d’avantages divers et variés.

chef de l’AP, est soupçonné d’avoir détourné des fonds destinés à des besoins sociaux. Yahia Rabah, l’un des porte-paroles de l’AP, qui a été “exempté” de taxes sur la voiture de fonction qu’il s’est achetée. Les investigateurs ont décidé de se focaliser sur un bureau particulier, celui de la “coordination des activités dans les zones C”. Il s’agit des zones de Judée-Samarie qui sont sous administration exclusive d’Israël mais dans lesquelles l’Union européenne verse d’importantes sommes pour construire au profit des Arabes, toujours dans le but de forcer la création d’un Etat ‘palestinien’.

Parmi les personnes visées, Tarek Abbas, l’un des propres fils de Mahmoud Abbas, qui a été récemment inculpé pour le détournement de millions d’euros des caisses d’un fonds qu’il dirige et qui est financé par l’Union européenne. Ces sommes avaient été déposées sur des comptes privés dans différentes banques à travers le monde.

Ce bureau est géré par des proches de hauts responsables de l’AP et son directeur est Marwan Drazi, ancien étudiant à Harvard et qui a vécu plusieurs années en Europe où il a créé des liens “utiles” sur le plan financier. Il a été constaté que ce “gentleman européanisé” ne déclarait aux autorités que 70% des sommes qu’il percevait de l’Europe et avec lesquelles il devait appliquer la politique voulue par Mahmoud Abbas et Bruxelles.

Ismaïl Shahadeh, l’un des bras droits du

Source : lphinfo.com

Edition du 21 Février 2018 au 27 Février 2018

Bibi peut-il, avec son salaire, se payer une boîte de cigares « Behike »?

Question étonnante. Le Premier ministre israélien, qui aime bien les cigares de Cuba (si vous voulez lui faire plaisir c’est son cadeau préféré!) , peut-il se payer tous les mois, avec son salaire, une bonne boîte de cigares « Behoke » venant de Cuba ? La réponse est … négative! Sachez que pour répondre à la question IsraelValley s’est bien documenté. Le top des cigares les plus chers du monde, avec en tête le Behike de Cohiba à 375€ pièce, est de 15 000€ la boite de 25. Le salaire brut du Premier Ministre est de 49 615 shekels (12 000 euros environ). Cependant, après déduction des cotisations sociales et impôts, la somme nette déposée sur le compte bancaire du Premier Ministre tourne autour de 20 000 shekels. Binyamin Netanyahou paie plus de 22 000 shekels mensuels d’impôts sur le revenu, 2600 shekels d’assurance nationale et 2054 shekels

d’assurance maladie. A SAVOIR. Les députés ont voté récemment pour accorder aux ministres une importante augmentation de 5 000 NIS par mois et le Premier ministre un supplément de 5 500 NIS.Après une réunion houleuse, la Commission des Finances de la Knesset a voté pour augmenter le salaire de base des ministres à 44 200 NIS par mois, tandis que le Premier ministre gagnera maintenant 49 600 NIS par mois. Au total, cela coûtera à l’Etat 2 millions de NIS supplémentaires par an. En raison des différentes méthodes de calcul de l’augmentation des salaires pour les dernières années, actuellement le président de la Knesset gagne plus que le Premier ministre, et le chef de l’opposition plus qu’un ministre du gouvernement. Source : Times of Israel

45% des sondés estiment que Bibi doit démissionner Le premier sondage réalisé après l’annonce des conclusions de la police dans les enquêtes concernant Binyamin Netanyahou indique que le Likoud reste toujours la première force politique en Israël. L’étude des intentions de vote réalisée par l’Institut Midgam pour la 2e chaîne de télévision donne les résulats suivants: Likoud 26 (-4); Yesh Atid 22 (+11); Camp Sioniste 15 (-9); Liste arabe unifiée 12 (-1); Habayit Hayehoudi 11 (+3); Koulanou 9 (-1); Meretz 7 (+2); Yahadout Hatorah 7 (+2); Israël Beiteinou 6 (-) et Shass 5 (-1). La coalition actuelle subit un léger fléchissement avec 64 sièges mais il est net que seul le Likoud serait apte à former une coalition gouvernementale.

Concernant l’attitude que devrait adopter du Premier ministre, les avis sont plus nuancés: 45% estiment qu’il devrait démissionner contre 40% qui estiment qu’il doit rester à son poste tant que le conseiller juridique du gouvernement n’aura pas rendu sa décision. Ce sondage confirme en tout cas que Yaïr Lapid ne progresse pas après sa décision controversée de témoigner contre Binyamin Netanyahou dans le dossier 1000. Dans la classe politique, à droite mais aussi à gauche on considère que cette attitude n’honore pas le président de Yesh Atid qui après avoir fait partie du gouvernement Netanyahou tente aujourd’hui de le faire tomber en-dehors d’une consultation électorale. Source : .lphinfo.com