GRATUIT - Numéro 489 - Edition du 5 Septembre 2018 au 11 Septembre 2018
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 5 Septembre 2018 au 11 Septembre 2018
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Optimisme et vitalité, nos deux sources de richesse en cette aube nouvelle
5778 s’éteint doucement, dans le scintillement des bougies dans les chandeliers, dans la lueur dorée que jettent sur nos tables de fête les petits bols en cristal ou en porcelaine emplis de miel. 5779 arrive et c’est avec de la lumière et des douceurs que, comme le veut la tradition et le texte, nous l’accueillons. C’est peut-être ce que je préfère, dans l’esprit du judaïsme, cet optimisme en mouvement. Cet élan vital qui, quel que soit le lot de mauvaises nouvelles et de couleuvres avalées au cours des jours, des mois, des années passées, veut que nous remettions sans cesse à plus tard le temps des lamentations pour lui préférer celui de l’espoir. Être juif, c’est croire chaque année que l’année sera belle et douce, et noyer sa peine et ses chagrins passés dans le miel, pour s’en assurer ! Être juif, c’est aussi faire preuve, contre vents et marées, d’une farouche envie d’être, d’exister, de montrer au monde ce que notre peuple a su ou veut lui apporter. Israël, aujourd’hui, gère sa communication et son image en actions plutôt qu’en paroles. Ce sont les avancées et les prouesses technologiques, médicales, scientifiques ou agricoles mêmes qui font, mieux que n’importe quel communicant de renom, la carte de visite la plus brillante de ce si petit pays. Aujourd’hui, c’est en Israël que l’on soigne l’arthrose du genou grâce à un implant (vous lirez, à ce sujet un article dans ce numéro sur cette technique révolutionnaire), que l’on rend la vue aux myopes grâce à de simples gouttes de liquide correcteur, que l’on envisage de conquérir l’espace...
Directeurs de la publication Rédacteur en chef Eliahou Ben Yoshua Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France
Bien sûr, la reconnaissance du droit d’Israël à faire partie du concert des Nations n’est pas encore garantie. Bien sûr, la sécurité du pays se paye au prix fort, puisque c’est le sang de nos enfants, à peine sortis de l’adolescence et enrôlés dans Tsahal pour protéger le pays, qui est versé lorsque les terroristes attaquent. Souhaitons, à ceux qui ont la lourde charge de diriger le pays que l’année qui débute leur fasse la tâche plus facile, que l’aube qui se lève soit propice à la paix et à la sécurité, avec l’aide de D... Car rien ne peut être entrepris sans son désir... Il y a tant de sujets que je voudrais évoquer, tant de thématiques que je voudrais aborder, avant de dire adieu à cet an juif qui s’achève. Un édito, bien sûr, n’y suffirait pas. Je garde, de 5778, une image forte, un geste qui m’a marqué : le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem. Huit autres pays, dont le Guatemala et le Honduras, ont suivi le mouvement. Symbolique, ce geste que bien d’autres avant lui n’ont pas eu le courage de faire, le président Trump l’a fait. Il a aussi offert un autre narratif au monde, avec au sein des instances internationales, une voix qui s’est élevée pour dire qu’il fallait que le monde cesse de financer le terrorisme proche-oriental et ses promoteurs corrompus, tout en faisant mine de pleurer sur le sort des populations civiles. Si l’on s’inquiète vraiment du sort des palestiniens, alors demandons des comptes à leurs dirigeants multimillionnaires et à ceux qui utilisent les fonds humanitaires pour fabriquer des tunnels, des bombes et des missiles ! Jérusalem fut notre lumière, celle qui attira
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tous nos regards au cours de l’année écoulée. Puisse la lumière, au cours de celle qui s’annonce, jaillir partout, au sein de tous les foyers juifs : santé, Parnassa, bonheur à vous tous, chères lectrices, chers lecteurs, que tous vos désirs soient exaucés et que la
Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26 Commerciaux : Patrick Haddad : 01 43 63 26 02
douceur du miel vous comble de bienfaits, en espérant, la venue du Mashiah... Amen. Bonnes fêtes de Tichri et Chana Tova Am Israël Haï Alain Sayada
Distribution - Publicité Strasbourg Logann Strauss : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Provence Alpes cote d’Azur David Botbol : 06 68 17 25 55 Distribution - Publicité Rhone Alpes Ylan Alezra : 06 68 17 25 55
Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan
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À LA UNE
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Le Président philippin Duterte Mazel Tov! La Chaîne i24NEWS en est en Israël. Achats d’armes et live en Israël. Anglais, français, arabe et bientôt en hébreu… discussions politiques
Le président philippin Rodrigo Duterte a entamé dimanche soir une visite historique en Israël qui « illustre sa volonté de réduire sa dépendance militaire vis-à-vis de son allié traditionnel américain ». Cette visite de quatre jours est la première d’un chef d’Etat philippin depuis l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays il y a 60 ans, alors même que Manille avait auparavant accueilli un millier de juifs fuyant l’Holocauste. La venue de M. Duterte sera suivie avec attention en Israël, en raison notamment de la personnalité très forte et du franc parler du dirigeant populiste qui avait fait scandale en se comparant à Adolf Hitler. Accompagné d’une importante délégation, il a été accueilli à l’aéroport Ben Gourion près de Tel-Aviv par le ministre israélien des Communications, Ayoub Kara. L’ex-avocat de 73 ans, est parti ensuite à Jérusalem où il participera à une rencontre avec les membres de l’important contingent de Philippins travaillant en Israël. M. Duterte doit s’entretenir lundi avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avant de partir mercredi pour la Jordanie. « Cette visite revêt une grande importance pour nous, elle symbolise les relations fortes et chaleureuses entre nos deux peuples », déclare dans un communiqué le ministère israélien des Affaires étrangères. L’arrivée au pouvoir de M. Duterte mi-2016 s’était traduite par une dégradation des relations avec les Etats-Unis alors présidés par Barack Obama, en dépit de l’accord de défense liant les deux Nations. Domestiques philippins En cause notamment, les critiques dont Washington s’était fendu à l’égard de la sanglante « guerre contre la drogue » lancée par le président philippin qui avait annoncé en réponse l’annulation d’une commande de 27.000 fusils d’assaut passée auprès des Etats-Unis. Il a aussi ordonné cette année l’annulation
d’un contrat d’achat de 16 hélicoptères canadiens Bell, en raison là aussi de critiques du gouvernement canadien sur la situation des droits de l’homme. Duterte a clairement réorienté sa diplomatie vers Pékin et Moscou, même si les choses se sont apaisées après l’arrivée de Donald Trump à la Maison blanche. La visite « est pour le président Duterte (une occasion) de visiter un autre marché pour (…) les armes de nos forces armées ainsi que de la police », a déclaré à l’AFP Henelito Sevilla, un expert des relations internationales. Israël est dansle Top 10 des marchands d’armes au monde et 60% de ses exportations en matière de défense sont à destination de la région Asie-Pacifique, selon des chiffres du ministère israélien de la Défense. Manille est devenu en 2017 un important client d’Israël, achetant notamment pour 21 millions de dollars de systèmes radar et d’équipements antichars. La visite de M. Duterte pourrait être l’occasion de contrats bien plus importants, au moment où Manille prévoit un programme de plusieurs milliards de dollars de modernisation de ses forces armées. Mais il sera également question lors des entretiens bilatéraux de l’importante population de Philippins travaillant comme domestiques en Israël. Au total, environ 10 millions de Philippins travaillent à l’étranger dans une grande variété de secteurs. D’après la banque centrale philippine, leurs revenus sont une pièce maîtresse de l’économie locale, avec plus de 28 milliards de dollars engrangés grâce aux transferts en 2017. Et les autorités philippines ont à coeur d’obtenir auprès des capitales étrangères des accords pour améliorer les droits de travailleurs migrants qui sont considérés dans l’archipel comme des héros. Source : Orange News
Cinq ans après le lancement de la chaîne dans ses studios en Israël, pendant lesquels le nombre de journalistes a grandi de manière significative, et l’ouverture de bureaux en Europe et aux Etats-Unis, i24NEWS démarre sa diffusion sur HOT, canaux 34 et 200 (version anglaise), 144 (version française) et 174 (version arabe). « Nous travaillons actuellement avec les autres opérateurs afin de diffuser la chaîne sur le plus de plateformes possibles », a expliqué Frank Melloul aujourd’hui à la conférence de presse. « Dans le cadre de la réforme du ministre de la Communication qui consiste à ouvrir le marché et autoriser un plus grand nombre de chaînes à diffuser en Israël, il est temps de commencer à discuter d’une quatrième chaîne, cette fois-ci en hébreu. C’est de toute évidence, notre prochain challenge. » La chaîne d’information internationale i24NEWS est diffusée en Israël sur HOT à partir d’aujourd’hui (mercredi 29 août 2018). Diffusant depuis le cœur du MoyenOrient vers le reste monde, i24NEWS a récemment reçu l’accord de la part de l’Autorité publique de régulation de la télévision par câble et satellite (The Council for Cable TV and Satellite Broadcasting) de diffuser en Israël. La version anglaise de la chaîne et sa version américaine sont diffusées sur les chaînes 34 et 200 en tant que chaînes internationales, la chaîne française est disponible sur le canal 144 parmi le package des chaînes françaises, et la troisième chaîne en arabe sera disponible très prochainement sur le canal 174. De plus, d’autres opérateurs ont déjà été contactés. La chaîne compte aujourd’hui près de 400 employés dont environ 200 journalistes à travers le monde. Depuis son lancement en 2013, la chaîne s’est développée avec la création de studios à Paris, Los Angeles, Washington et, depuis un an, à New
York dans ses studios de Times Square. La chaîne émet 24 heures sur 24, et 7 jours par semaine, et offre une programmation qui alterne deux grandes tranches de Prime Time : une dédiée aux horaires de l’Europe et du Moyen-Orient, la seconde à l’heure des Etats-Unis. Aujourd’hui la chaîne est disponible dans des dizaines de millions de foyers dans le monde via le câble et le satellite. Le site internet et l’application d’i24NEWS permettent de regarder la chaîne en direct. Frank Melloul, PDG d’i24NEWS, déclare: « Je suis ravi d’annoncer qu’à partir d’aujourd’hui, après cinq années d’attente, la chaîne est diffusée en Israël! J’ai fait l’Aliyah avec ma famille pour créer i24NEWS, avec pour objectif de présenter au monde ce qui se passe en Israël et au Moyen-Orient de manière équilibrée et équitable ». « Depuis, nous avons grandi et sommes diffusés partout dans le monde en tant que chaîne d’information internationale basée au cœur du Moyen-Orient : un exemple unique de coexistence dans la région. Nous avons parcouru beaucoup de chemin pour faire d’i24NEWS une chaîne d’informations indépendante, fiable, compétitive et équilibrée, et je tiens à remercier le fondateur et propriétaire d’i24NEWS, Patrick Drahi. J’ai la chance d’être le PDG d’une société de presse appartenant à quelqu’un qui comprend l’importance pour un réseau d’information d’être indépendant et je vous promets qu’il le restera. i24NEWS respectera strictement les règles d’éthique et de régulation. » « Après avoir atteint l’objectif de diffuser i24NEWS en anglais, français, arabe et en Israël, il est temps de passer au prochain défi: un 4ème canal i24NEWS en hébreu, et ce, dans le cadre de la réforme du ministre de la Communication pour ouvrir le marché et permettre à un plus grand nombre de chaînes de diffuser en Israël. C’est de toute évidence notre prochaine étape. »
À LA UNE
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L’un des ex-plus puissants entrepreneurs israéliens va rester en prison
La Cour suprême israélienne a alourdi mercredi en appel à trois ans de prison ferme la peine infligée pour malversations boursières à l’ancien homme d’affaires Nochi Dankner, autrefois considéré comme l’un des plus puissants entrepreneurs israéliens. La Cour a aussi condamné M. Dankner à 800.000 shekels (environ 188.000 euros) d’amende pour les faits qui remontent à 2013 alors qu’il était président d’IDB Holding Corp, un des plus grands conglomérats israéliens. Ce jugement est définitif. M. Dankner avait été condamné à deux ans de prison en première instance et il avait fait appel en espérant se voir infliger une peine moins lourde. Il lui était notamment reproché d’avoir manipulé à la hausse le prix des actions du groupe à l’occasion d’une augmentation de capital de 320 millions de shekels (75 millions d’euros) en vue de réduire l’endette-
ment de la société. M. Dankner avait été écarté du contrôle de son groupe par ses créanciers fin 2013. IDB chapeautait alors des dizaines de sociétés, dont une des plus importantes chaînes de supermarchés du pays (Shufersal), l’opérateur mobile Cellcom, une des plus grosses compagnies d’assurance (Clal) et un producteur de ciment. La peine d’un an de prison infligée en première instance à Itaï Strum, un associé de Nochi Dankner, a elle aussi été alourdie d’un an par la Cour suprême. Nochi Dankner, considéré comme un symbole du capitalisme dans le pays, a été une des principales cibles du mouvement social de l’été 2011 qui s’en était notamment pris aux magnats des affaires israéliens. Source : i24News
L’OCDE menace -t elle de rayer Israël de sa liste? Les gemachim
L’OCDE a averti Israël qu’il pourrait perdre son statut de membre de l’OCDE s’il ne contrôlait pas mieux les circuits financiers et les mouvements de fonds dont les organismes haredi (ultra-orthodoxes) de prêts (dits gemachim) sont responsables. Les gemachim, ou les sociétés de prêt gratuit ultra-orthodoxes. Un gemach est une association de prêt gratuit placée sous la
Le réacteur nucléaire de Dimona porte le nom de Shimon Peres
supervision de bénévoles qui permet aux membres de la communauté de déposer de l’argent et de bénéficier de prêts sans intérêts. Il existe des milliers de structures comme cela au sein de la communauté ultra-orthodoxe ou Haredi israélienne, forte d’un million de membres, avec des dépôts dont le total, selon un économiste, s’élèverait entre 5 milliards et des dizaines de milliards de shekels.
Depuis hier, le réacteur nucléaire de Dimona porte le nom de Shimon Peres, son fondateur, qui le considérait comme « la prunelle de ses yeux » et d’un « premier pas vers la paix ». « Une justice historique » s’est ému le fils du 9ème président de l’Etat d’Israël. C’est en effet grâce à Shimon Peres qu’Israël a pu se doter de ses capacités nucléaires. Dans les années 50, alors directeur général du ministère de la Défense, il scelle un accord secret avec la France pour la construction du réacteur nucléaire de Dimona dans le Néguev, un réacteur qui devient opérationnel au début des années 60. Israël est considéré comme la seule puissance nucléaire du Moyen-Orient mais a toujours entretenu l’ambiguïté en refusant officiellement de confirmer détenir l’arme
atomique. « Shimon Peres a fortement contribué à la sécurité d’Israël, garantissant notre capacité de dissuasion et de défense pour faire face aux menaces existentielles qui pèsent sur notre pays, Shimon Peres chercha la paix mais il savait que la vraie paix ne pouvait être atteinte que si nous avions entre nos mains l’arme défensive » a déclaré Benjamin Netanyahu au moment de l’inauguration profitant pour faire passer depuis le réacteur un message très clair à l’Iran : « Celui qui menace de nous détruire se trouvera dans la même situation, Il n’y a pas de place pour les faibles dans la région, seuls les forts sont respectés et capables de faire la paix ». Nathalie Sosna-Ofir
À LA UNE
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En Israël les banques me posent mille questions. Pourquoi ?
Fin juillet, des expatriés se sont retrouvés en difficulté pour virer des sommes importantes depuis leur pays d’origine vers Israël. La raison ? Les banques du pays ont renforcé le contrôle des transactions de leurs clients étrangers.Transférer de grosses sommes d’argent issues de comptes étrangers vers des banques israéliennes semble poser problème. Selon The Times of Israel, un investisseur en bitcoins s’est vu refuser le rapatriement de Gibraltar de plusieurs centaines de milliers de dollars. Plus grave : des Français installés en Israël n’ont pas pu finaliser l’achat de leur appartement. Un agent immobilier confie au journal que ses clients supportent mal les questions des banquiers israéliens, devenues particulièrement insistantes ces derniers temps sur l’origine des fonds.
Des formations gratuites dans l’intérêt des patients
Q : Pourquoi la formation médicale estelle essentielle dans la prise en charge des patients ? R : La formation médicale est essentielle pour les médecins, dentistes et professionnels de santé, afin d’assurer un niveau de connaissances médicales et une prise en charge optimale de leurs patients. Les recommandations évoluent, les prises en charges s’adaptent aux pratiques et techniques nouvelles ou existantes. Il est important, recommandé et obligatoire de suivre des formations.
Q : Nous entendons souvent parler d’hypnose, en quoi l’hypnose permet-elle de soulager des patients douloureux ? R : L’hypnose est une technique intéressante dans le cadre de la prise en charge de la douleur. Le patient est alors acteur de sa prise en charge. L’hypnose médicale est naturellement efficace. Elle permet de soulager efficacement des patients douloureux. Les formations que nous proposons apportent aux praticiens des solutions permettant de rassurer, apaiser, calmer et soulager les patients. Q : Quand et à qui proposez-vous des for-
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mations en hypnose médicale ? R : Nous proposons des formations en hypnose en France et à Tel Aviv. Nos prochaines dates de formations seront du 31 octobre au 2 novembre en Israël. Elles sont ouvertes à tous les professionnels de santé, gratuites et indemnisées dans le cadre du DPC (nous contacter). Q : Comment s’inscrire à ces formations ? R : Vous pouvez nous contacter à tout moment par téléphone au 01.49.76.20.20 / 07.85.00.49.40 ou par email lionel.azancot@optentiel-sante.com.
Selon (1) : « Il y a vingt ans, les banques israéliennes ne demandaient jamais à leurs clients étrangers d’où venait leur argent et s’ils l’avaient déclaré. Aujourd’hui, quelle que soit la banque que j’inspecte, les premiers mots de l’employé qui me reçoit sont : ‚conformité au règlement, conformité au règlement‘.
Ces dernières années, nous avons dit et répété aux banques que nous n’accepterons aucune dérogation au règlement. En cas de doute, n’ouvrez pas de compte et refusez le virement ». Ce que décrit ici Hevda Ber, responsable des autorités de contrôle pour les banques, est la nouvelle politique appliquée dans le secteur bancaire. La raison de ce changement est que trois grandes banques israéliennes se sont retrouvées dans le collimateur du ministère de la Justice américain pour aide présumée au blanchiment d’argent et à l’évasion fiscale. La banque Leumi a déjà été condamnée à payer une amende de 400 millions de dollars. L’enquête concernant les banques Hapoalim et Mizra’hi n’est pas encore terminée mais les experts pensent qu’elles seront également condamnées à payer une forte amende. Les temps où les banques israéliennes étaient la „Suisse des Juifs“ pour citer le professeur d’économie Ronen Bar-El sont révolus ». Source (1) : israelentreleslignes.com
Le satellite Amos 8 sera construit par Israel Aerospace Industries
Le gouvernement a donné son accord pour participer au financement du développement et de la construction d’un nouveau satellite de communication, Amos 8, qui sera développé et construit par Israel Aerospace Industries, en Israël. D’autres entreprises issues des industries spatiales israéliennes pourront être impliquées dans le développement de diverses composantes du satellite. Le ministre des Sciences Ofir Akunis a déclaré que « le développement et la production du satellite en Israël permettront de préserver une complète indépendance d’Israël dans le domaine des communications par satellite ». Un an et demi après la perte successive de
deux de ses satellites, l’opérateur Spacecom avait choisi de signer un accord avec l’américain SSL pour la réalisation du satellite Amos 8, livrable en 2020. Amos 8 a pour objectif de remplacer le satellite Asiasat 8, loué pour 23 milions de dollars par an à l’opérateur hongkongais Asiasat depuis le début de 2017. Il est depuis exploité sous l’appellation « Amos 7 », pour remplacer « Amos 6 », perdu dans l’explosion au sol de son lanceur Falcon 9 le 1er septembre 2016 à Cap Canaveral. Source et Copyrights : Koide9enisrael
À LA UNE
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Le lap dance interdit. Les autorités israéliennes s’en prennent aux strip-clubs
Luttant contre la prostitution, les autorités israéliennes s’en prennent aux stripclubs où, selon elles, les faveurs sexuelles sont accordées sous formes de certaines danses érotiques. Le lap dance, une danse érotique que les stripteaseuses réalisent d’habitude sur les genoux des clients, peut-être considérée dans certains cas comme un acte de prostitution en Israël.
danse, du fait du contact physique entre une danseuse et un client, peut tomber sous la définition de prostitution. Cette mesure était nécessaire pour lutter efficacement contre les strip-clubs qui continuaient d’accorder des services sexuels en les masquant en danses, a expliqué Sharit Peretz, chef du Département de la lutte contre la traite des êtres humains.
Selon la décision du parquet du pays, cette
fr.sputniknews.com
Des musulmans se présentent de Fin de l’âge d’or du strip-tease plus en plus aux Elections aux USA
et de la prostitution en Israël ?
Un phénomène étudié de très prés en Israël par les Autorités qui commencent à s’inquiéter. La politique de Donald Trump pourrait-elle avoir encouragé des citoyens américains musulmans à s’engager en politique ? En tout cas, indique Al Jazeera, « un nombre sans précédent de musulmans américains sont en lice » pour les primaires, en vue des élections de mi-mandat pour le Congrès, qui auront lieu en novembre. Le président américain aurait encouragé, sans le vouloir, les musulmans à se présenter. « D’abord, il a révélé l’animosité, la discrimination et la haine contre les étrangers et, en particulier, les musulmans. Mais il a également poussé les démocrates à venir nous chercher », résume Osama Siblani, directeur du journal The Arab American News.
Le succès de Rashida Tlaib, qui sera la première femme musulmane au Congrès, pourrait donner des idées à d’autres : fille d’immigrés palestiniens, cette démocrate a remporté la primaire, elle succèdera à John Conyers puisque les Républicains ne comptent pas présenter de concurrent face à elle. Avec un important vote musulman — en 2000, George W. Bush a été élu avec un important soutien de la communauté musulmane américaine — et un sentiment d’insécurité face aux actes islamophobes, les musulmans veulent prendre en main la politique américaine. Une ONG, Emgage promeut l’engagement politique des musulmans qui sont 53 % à se sentir « moins en sécurité » que ces dernières années.
Des parlementaires membres de la coalition gouvernementale et de l’opposition soutiennent un projet d’amendement d’une loi sur la prostitution qui vise à criminaliser le strip-tease. « La proposition est conçue afin d’inscrire dans la législation israélienne le lien direct entre le strip-tease et la prostitution, les deux pérennisant des comportements nuisibles et humiliants envers les femmes et leurs corps », affirme le projet d’amendement.
celle de la prostitution, et de nombreux clubs sont utilisés comme des maisons closes », ajoute le texte. La prostitution est légale en Israël mais la plupart des activités qui l’entourent, telles que le fait de tenir une maison close, le racolage ou le proxénétisme sont des crimes. Le mois dernier, le gouvernement a approuvé un projet de loi prévoyant une amende pour les clients de prostitués. Il devrait être débattu au Parlement après la fin de la trêve estivale.
« L’industrie du strip-tease est très liée à
Source : https://actu.orange.fr/
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En Israël une ministre très connue, Miri Reguev. L’affaire Messi
En France un sondage JDD a démontré que les français ne connaissaient pas une bonne partie des ministres. En Israël cela n’est pas le cas. Certains ministres ont un écho médiatique constant. Un cas révélateur… La Ministre des sports. Miri Reguev est une femme politique israélienne, ministre de la Culture et du Sport du gouvernement israélien, membre du Likoud et députée au parlement, la Knesset. Elle est née à Kiryat Gat. Ses parents sont d’origine séfarade du Maroc. En 1983, elle rejoint la préparation militaire israélienne (Gadna). Elle y reste jusqu’en 1986, et elle obtient un master en Business. Elle est mariée et a trois enfants. Elle est nommée porte parole de l’armée israélienne Tsahal en 2005. En novembre 2008, elle rejoint le parti politique de droite Likoud, disant qu’elle avait été une partisane de la plate-forme du parti depuis de nombreuses années. Pour les élections de 2009, elle est placée en 27e position sur la liste du parti, juste assez haut pour entrer à la Knesset puisque le Likoud en a remporté autant. En mai 2012, Reguev a participé à une manifestation anti-immigration et elle a appelé les immigrés soudanais un « cancer dans notre corps. » Plus tard, elle a dit que la citation a été dénaturée, et s’est excusée. Dans le quatrième gouvernement Netanyahou, elle est nommée ministre de la Culture et du Sport à compter du 14 mai 2015. En août 2015, dans l’affaire de la grève de la faim de l’avocat palestinien Mohammed Allan, détenu dans le cadre d’un régime d’emprisonnement extrajudiciaire permettant aux autorités israéliennes de détenir un suspect sans lui notifier d’inculpation pendant six mois renouvelables indéfiniment, et après près de soixante jours de grève de la faim, Miri Regev, alors ministre et membre du Likoud a accusé la Cour suprême de « céder au chantage du terroriste Mohammed Allan » au lieu de le nourrir de force en invoquant une loi votée en juillet 2015 préci-
sément pour faire face à de telles situations. POLITIQUE & SPORT ET MESSI. Jibril Rajoub, actuel président de la fédération palestinienne de football a été sanctionné par la FIFA. Habitué des provocations et d’un lobbying anti-israélien dans le cadre du monde footballistique il avait sans doute commis la faute de trop il y a quatre mois en organisant une campagne de menaces contre Lionel Messi afin qu’il annule le match amical de l’équipe d’Argentine en Israël. Rajoub avait prévenu qu’en cas d’arrivée de la vedette internationale en Israël, tous ses fans musulmans à travers le monde brûleraient son maillot! Sans scrupules il avait fait parler des enfants dans une vidéo pour dissuader le footballeur argentin de jouer en Israël. Suite à une plainte de la Fédération israélienne de football, la commission disciplinaire de la FIFA a décidé de suspendre Jibril Rajoub de ses fonctions pendant une période d’une année et l’a condamné à une amende de 20.000 Francs suisses. La commission a motivé sa décision en expliquant que les propos tenus par Rajoub relevaient de la haine et de l’appel à la violence. La question est de savoir pourquoi la FIFA n’a pas tout simplement démis définitivement de ses fonctions cet individu nuisible. La ministre de la Culture et des Sports Miri Reguev s’est réjouie de cette décision: “La FIFA a enfin retiré son masque du visage du terroriste Rajoub qui ne cesse d’inciter contre Israël. Il est grand temps que Jibril Rajoub se retrouve dans l’endroit qu’il mérite, c’est à dire derrière les barreaux et non pas dans les cabines d’honneur des stades ou les bureaux de la Fifa”. Un peu plus tard, Jibril Rajoub a annoncé qu’après concertation avec ses avocats, il fera appel et “luttera par tous ses moyens contre cette décision”. Tel Avivre (Copyrights)
Théorie de l’Evolution de Darwin. A l’école en Israël, silence sur ce sujet
La grande majorité des élèves israéliens ne connaissent pas la Théorie de l’Evolution de Darwin. Cette théorie n’est plus au programme des collèges et lycées depuis 4 ans alors qu’elle l’était auparavant. Un sondage a montré que seul 28% de la population israélienne accepte la théorie de Darwin sur l’évolution, et que la vaste majorité des israéliens, 59%, pense que Dieu a crée l’homme.
La plupart des traditions religieuses monothéistes (judaïsme, christianisme et islam) postulent la création du monde par Dieu. En 1859, Charles Darwin publie l’Origine des espèces (On the Origin of Species by Means of Natural Selection, or the Preservation of Favoured Races in the Struggle for Life). L’essai introduit une rupture dans la connaissance scientifique des origines de la vie en général et des origines de l’Homme en conséquence, bien que Darwin évite de parler de l’homme dans l’ouvrage. La théorie développée par Darwin en 1859 dans l’Origine des espèces, soutient que les êtres vivants voient leurs caractéristiques biologiques évoluer dans le temps et que le milieu dans lequel vit un groupe d’individus opère une sélection naturelle qui, par la reproduction et la transmission de certains caractères héréditaires, étend l’évolution de ces caractéristiques biologiques à l’en-
semble du groupe. Selon cette théorie, il n’y a pas d’entité créatrice qui donne subitement vie à une espèce complètement et définitivement formée. La tentative d’explication des mécanismes adaptatifs de transformation et de diversification des espèces dans leur milieu par Charles Darwin connut un succès rapide. Les idées de Charles Darwin influèrent sur la recherche scientifique postérieure. Les travaux en paléontologie, en biologie moléculaire et en génétique permirent d’étayer et de développer la théorie de l’évolution. Depuis le milieu du XXe siècle, la théorie darwinienne a obtenu le consensus de la communauté scientifique, mais l’ouvrage de Darwin est diversement reçu par différents courants religieux d’obédience chrétienne ou musulmane. Le débat contradictoire entre créationnisme et évolutionnisme se déplaça rapidement sur le terrain de l’enseignement et dans le domaine législatif. Le débat est toujours actuel dans certains pays, comme aux États-Unis, où l’enseignement de l’évolution dans les écoles publiques de plusieurs États était interdite jusqu’en 1968 et une décision de la Cour suprême qui jugea que cette interdiction contrevenait à la première clause du 1er amendement de la constitution américaine.
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Colère, justice et injustice. Les pères divorcés en lutte à Tel-Aviv
Des dizaines de pères divorcés ont récemment manifesté près des tours Azrieli à Tel Aviv et ont bloqué la jonction de la rue Kaplan. Ils exigent une éducation parentale égalitaire et dénoncent les tribunaux familiaux et rabbiniques qui accordent la garde des enfants exclusivement aux mères, sans égard à la qualité de la parentalité ou à la relation des enfants avec leurs parents. Le Député Oren Hazan du Likoud était présent et s’est entretenu avec les manifestants.
Les pères divorcés ont protesté contre la politique concernant les pensions alimentaires qui n’oblige presque jamais les mères à les
payer. Selon les manifestants : « La police et les procureurs permettent aux femmes de présenter de fausses accusations contre des hommes, sans conséquences pour les récidivistes. Les organisations féministes qui militent pour l’égalité depuis des dizaines d’années ont torpillé toute tentative de modifier ces lois sur le divorce. Il y a plus de dix ans, deux comités d’experts du ministère de la Justice israélien ont suggéré aux tribunaux israéliens d’adopter une politique de garde égalitaire mais leurs suggestions n’ont jamais été mises en œuvre ». Source : Tel-Avivre
John Miottel paye 57500 dollars pour la « montre juive » du Titanic
La femme de Netanyahou soupçonnée d’avoir perçu des pots de vin
Une montre de poche avec des lettres hébraïques sur le cadran qui appartenait à un immigrant juif russe mort à bord du Titanic, a été vendue aux enchères pour 57 500 dollars. Heritage Auctions a mis aux enchères la montre de poche à son siège social à Dallas, samedi, lors d’une vente publique d’importants souvenirs américains. La montre, qui représente Moïse tenant les dix commandements sur son revers, a été achetée par John Miottel, un collectionneur de pièces d’horlogerie liées au naufrage du Titanic. Times of Israel
Qui sont les 9 pays qui sont pour « Jérusalem, Capitale d’Israël » ? Sara Netanyahou, l’épouse du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, est soupçonnée d’avoir accepté des pots de vin dans le cadre d’une affaire de corruption impliquant son mari et la plus importante entreprise de télécommunications d’Israël, a déclaré jeudi la police à une cour de justice. Au cours de l’audience un responsable de la police a déclaré au parquet de Tel Aviv que Sara Netanyahou était soupçonnée d’avoir perçu des pots de vin. C’est la première fois que la police formule publiquement ces soupçons à l’encontre de Mme Netanyahou, qui a déjà été interrogée plusieurs fois dans le cadre d’une enquête très médiatisée. L’enquête concerne une affaire impliquant le couple Netanyahou et Shaul Elovitch, homme d’affaires et associé de M. Netanyahou.
L’entreprise de télécommunications de M. Elovitch, Bezeq Telecom, aurait notamment reçu des avantages financiers substantiels de la part du ministère des Communications, à l’époque où M. Netanyahou avait la charge de ce ministère. En contrepartie, Benyamin et Sara Netanyahou auraient entre autres bénéficié d’un traitement élogieux de la part du site d’informations Walla, également contrôlé par M. Elovitch. Les avocats de Sara Netanyahou ont émis un communiqué démentant les accusations portées à son encontre. M. Netanyahou a lui aussi nié toute malversation, et a décrit l’enquête comme une « chasse aux sorcières » orchestrée par la presse « gauchiste » et par ses ennemis. China.org.cn
Qui sont les 9 pays qui ont apporté leur soutien à Donald Trump ? La liste des pays : 1. Etats-Unis. 2. Israël. 3. Le Guatemala. 4. Le Honduras. 5. Les îles Marshall. 6. La petite île du Pacifique Nauru. 7. Les Palaos. 8. La Micronésie. 9. Un pays d’Afrique complète la liste, le Togo. La Micronésie, en forme longue les États fédérés de Micronésie, en anglais Micronesia et Federated States of Micronesia, est un État fédéral du Pacifique occidental situé dans une partie de l’archipel des îles Carolines et composé de quatre États s’étendant dans l’ordre de l’est à l’ouest : Kosrae, Pohnpei, Chuuk et Yap. La Micronésie, une des régions de l’Océanie ainsi dénommée par Jules Dumont d’Urville, s’étend bien au-delà du seul territoire de cet État et comprend également les îles Marshall, une partie des Kiribati (îles Gilbert et Banaba), les îles Mariannes (ÉtatsUnis), Nauru et les Palaos.
La Micronésie possède un riche patrimoine environnemental marqué notamment par la présence de nombreuses espèces d’oiseaux dont plusieurs endémiques. Le pays est très concerné par les problématiques environnementales et a ratifié la Convention sur la diversité biologique, la convention ENMOD (Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles), la Convention de Bâle sur les déchets dangereux, la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, le Protocole de Montréal sur la protection de la couche d’ozone et le protocole de Kyoto pour la réduction des gaz à effet de serre.
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Divorcer en Israël ? Pas facile. Le statut de concubinage est reconnu
Les divorces internationaux sont des divorces dans lesquels apparaissent des éléments d’extranéité. Par exemple, un divorce entre des nouveaux immigrants, où viennent s’appliquer des lois du pays d’origine ; un divorce où l’un des conjoints vit en Israël et l’autre à l’étranger ; un divorce où une partie des enfants mineurs du couple demeure en Israël et une partie se trouve à l’étranger… Il existe des cas où, bien que les parties comparaissent en Israël, la Cour israélienne doit appliquer la loi d’un autre État. Il existe également des cas où des procédures judiciaires sont conduites en parallèle entre deux États. Par exemple, des audiences au Tribunal en Israël et des audiences en parallèle au Tribunal en France car chacun des conjoints tente de saisir la juridiction du le pays dans lequel il se trouve. La plupart des lois israéliennes qui traitent du droit de la famille (comme la loi sur les relations financières entre les conjoints, la loi sur les pensions alimentaires qui traite du paiement de la pension, la loi sur la compétence juridique qui traite des affaires de droit de garde et de mise sous tutelle, les règles de procédure civil applicables au droit de la famille…) renferment des articles se rapportant aux règles du droit international privé. Ainsi, la loi israélienne sur les relations financières dispose que la loi qui doit être appliquée sur le partage des biens patrimoniaux des conjoints qui se sont mariés à l’étranger est celle du lieu de leur domicile au moment de leur mariage. Par conséquent, lorsqu’un couple israélien part se marier à Chypre, il ne risque pas de voir la loi chypriote s’appliquer sur leurs biens patrimoniaux car leur lieu de résidence n’est pas à Chypre mais en Israël. Toutefois, les nouveaux immigrants qui sont venus s’installer en Israël et qui divorcent ici, sont parfois soumis pour le partage de leurs biens, à la loi de leur pays de provenance. D’autre part, la règle de procédure israélienne du droit de la famille dispose que la loi qui doit être appliquée sur la pension alimentaire pour un mineur est celle du lieu de résidence du mineur. Qu’en est-il du mineur qui s’installe en Israël et dont les parents se séparent trois mois après ? Est-ce-que son lieu de résidence est en Israël? Le parent qui se trouve en Israël prétendra que la compétence juridique est celle du Tribunal israélien et l’autre parent, reparti vivre dans son pays d’origine, que la compétence juridique est celle du Tribunal à l’étranger. Il est évident que le Tribunal israélien n’est pas supposé connaître les règles de droit de l’ensemble des autres États. Dans de tels cas, il est demandé aux parties de fournir
au Tribunal des avis d’experts juridiques en droit étranger. Ces experts présentent au Tribunal des éclaircissements sur le droit étranger afin que le Tribunal israélien puisse l’appliquer. Par exemple, pour un couple de nouveaux immigrants de Belgique qui ont établi entre eux un contrat de mariage en Belgique en bonne et due forme, la règle veut que ce contrat soit aussi valide aux yeux de la justice israélienne et le Tribunal en Israël devra le respecter, et en ce qui concerne les relations patrimoniales du couple, le droit belge, découlant du contrat de mariage, viendra s’appliquer. Une grande difficulté apparait lorsque les deux parties détiennent des décisions contradictoires, de différentes juridictions, l’une en Israël et l’autre de l’étranger. Toutefois, dans les pays civilisés, il existe une exception de litispendance internationale. Le Juge compétent saisi en second doit se dessaisir au profit du premier. Cependant, il s’agit d’une tendance relative, car la vie moderne est devenue universelle et les procédures et litiges diffèrent entre deux pays, et parfois, les Tribunaux vers lesquels se tournent les parties ne peuvent pas éviter de rendre un jugement. Prenons par exemple le cas d’un couple qui a essayé de venir s’installer en Israël mais qui a échoué. Après une courte période, le père retourne en France où il continue d’être citoyen et résident du pays. La mère refuse de revenir et reste en Israël avec les enfants. Le Tribunal israélien tranchera sur la requête de la mère des mineurs pour décider de lui attribuer ou à ses enfants mineurs, une pension alimentaire, bien qu’ils ne vivent en Israël que depuis une courte période. Dans un tel cas, on peut se trouver devant une double assignation, la mère des enfants qui vit en Israël avec ses enfants assigne le père en Israël pour l’obtention d’une pension alimentaire. Le père, de son côté, dépose un dossier de demande de divorce en France, et joint à son assignation toutes les questions liées au divorce, y compris les pensions alimentaires des enfants. Le Tribunal français est compétent pour juger le dossier étant donné que le père et tous les membres de la famille sont citoyens français, qui résidaient tous en France il n’y a pas si longtemps et dont la plupart des biens s’y trouvent encore. Dans un cas comme celui-ci, des décisions contradictoires risquent d’être rendues par les deux Tribunaux, l’une par le Tribunal aux affaires familiales en Israël, et l’autre par le Tribunal aux affaires familiales en France. Un autre exemple est celui de concubins qui ont immigré de France sans avoir été mariés. En Israël, le statut de concubinage est un statut reconnu qui est formellement exprimé dans différentes lois. Par contre, la France ne reconnait pas de droits réci-
proques aux concubins, sauf si ces derniers ont officialisé leur statut par une procédure légale à la mairie, connue sous le nom de « PACS ». Dans un tel cas, l’un des concubins pourra prétendre avoir des droits sur l’autre concubin dont il se sépare à partir de la date de leur immigration en Israël.
jour la décision car le défendeur avait payé la pension alimentaire pendant toutes ces années a été rejeté. Le Tribunal a appliqué la loi à la lettre en considérant que la mère ne pouvait pas faire exécuter la décision en Israël car cinq années s’étaient déjà écoulées depuis la date du prononcé du jugement.
Une autre difficulté découle de la nécessité d’exécuter la décision de justice, qu’il s’agisse d’une décision israélienne qui doit être exécutée à l’étranger ou qu’il s’agisse d’une décision rendue à l’étranger et que le Tribunal israélien se doit d’appliquer.
Par comparaison, le délai pour faire exécuter une décision israélienne en Israël est de 25 ans.
Il existe en Israël une loi ordonnant l’exécution d’une décision étrangère en Israël. Cependant, la loi impose différentes conditions qui risquent parfois de contrecarrer la décision de justice. La loi sur l’exéquatur des décisions étrangères dispose qu’il y a lieu d’exiger l’exécution du jugement sous un délai de cinq ans à compter de son prononcé. Dans un cas particulier, la mère d’un mineur a demandé l’exécution d’un jugement de pension alimentaire rendu en France, à l’encontre du défendeur qui séjournait en Israël. Le Tribunal israélien a rejeté la demande d’exécution du jugement étant donné que cinq années s’étaient écoulées depuis que le jugement avait été rendu. L’argument de la femme affirmant qu’il n’y avait pas lieu de faire exécuter jusqu’à ce
En conclusion Les divorces entre deux pays, ou divorces internationaux, sont extrêmement compliqués. Ils peuvent entraîner un traitement juridique complexe comme le traitement d’un dossier en parallèle par deux juridictions de deux pays différents, ou l’application d’une loi étrangère qui n’est pas connue par le Tribunal israélien. Même si vous êtes le bénéficiaire d’une décision de justice à l’étranger, il vous faudra quand même solliciter le Tribunal israélien pour faire exécuter cette décision en Israël, avant de pouvoir en bénéficier concrètement. Source : http://famille-successions.co.il
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La loi. En Israël, l’enfant doit avoir la même religion que celui qui l’adopte • Adoption d’un bébé jusqu’à deux ans : des couples qui ne peuvent pas avoir d’enfant. • Adoption d’un enfant déjà grand « avec des besoins particuliers » : des couples sans enfants qui désirent devenir prioritaires ou des familles qui ont des enfants biologiques. • Adoption par les proches – adoption de l’enfant du conjoint. • Adoption par des membres de la famille : selon une décision de justice.
D’après la loi sur l’ adoption en Israël, quelqu’un qui veut adopter un enfant sans besoins particuliers, doit répondre à certains critères. Premièrement, ne peuvent s’adresser au Service pour l’enfance que des couples sans enfants biologiques. Les conjoints doivent apporter un certificat médical qui confirme leurs difficultés à avoir des enfants par eux-mêmes. Il est aussi exigé qu’ils aient une bonne vie conjugale et que leur situation économique permette d’élever un enfant. Les conjoints doivent apporter des certificats médicaux démontrant un bon état de
santé et le Service pour l’enfance intervient auprès de la police pour s’assurer de l’absence d’inscription pénale. Chaque couple qui dépose une demande d’adoption passe par un processus de « connaissance » avec une employée de l’assistance à la loi d’adoption des enfants. De plus, les couples subissent une évaluation psychologique. Cette évaluation est effectuée sur chaque conjoint ensemble et séparément. L’adoption en Israël
Critères d’approbation du candidat à l’adoption: • Couple marié : vie commune depuis au moins deux ans. • Candidats célibataires : la loi prévoit que l’adoption doit se faire par un couple marié. Des célibataires peuvent être candidats pour adopter des mineurs pour lesquels on n’a pas trouvé de couple marié ayant exprimé le désir de les adopter. • Age : La différence d’âge entre l’enfant et le candidat ne doit pas dépasser 43 ans pour les deux conjoints et ne pas être inférieure à 18 ans. • Etudes: au moins 12 années d’études. • Revenus : réguliers et les moyens d’élever et de répondre aux besoins de l’enfant adopté. • Conditions d’habitation : raisonnables, avec la possibilité de permettre à l’enfant d’avoir sa propre chambre. • Dossier judiciaire : sans condamnation pour infractions contre des mineurs, ni infractions sexuelles, ni infractions liées à la violence. Quant aux autres infractions, chaque infraction est vérifiée. • Santé : physique et psychique. • Vie de famille et conjugale : normale. • Comportement social : normal. • Ouverture et capacité d’affronter les tâches
de l’adoption. L’adoption d’enfants ayant des besoins particuliers Celui qui est prêt à recevoir un enfant qui a des besoins particuliers se retrouve dans un processus prioritaire, tout en ayant la possibilité, en parallèle, d’être inscrit dans la voie normale. Suivant le processus prioritaire, on peut recevoir un bébé en situation juridique ouverte, un bébé avec un historique génétique difficile, un bébé avec des problèmes de santé, un enfant nécessitant une conversion, etc. Une famille peut adopter un enfant qui a des besoins particuliers et rester dans la liste d’attente pour l’adoption d’un bébé. Toute famille peut adopter un enfant qui a des besoins particuliers, même si elle a des enfants biologiques et même si elle a déjà adopté deux bébés. De plus, même une personne célibataire peut l’adopter. Lorsque le candidat à l’adoption a un parent proche ou éloigné désirant l’adopter, il est obligatoire de vérifier cette possibilité en priorité. Adoption en Israël et religion L’enfant doit avoir la même religion que celui qui l’adopte. Les bébés nécessitant une conversion seront confiés à des couples religieux dans le cadre des processus de priorité. Les couples demandant à recevoir un bébé nécessitant une conversion doivent apporter un certificat du Tribunal religieux de conversion, qui les considère comme des candidats pour la conversion d’un enfant. Il est possible de demander du Tribunal civil de convertir l’enfant après un séjour de six mois au sein de la famille d’adoption. La conversion s’effectue auprès du Tribunal religieux de conversion des mineurs. C’est seulement après la conversion de l’enfant qu’il devient possible d’obtenir un ordre d’adoption. Le sexe du bébé Dans le processus d’adoption, on peut choisir le sexe du bébé. On peut adopter deux bébés et en plus des enfants à besoins particuliers. L’approbation Après l’examen, les candidats à l’adoption en Israël arrivent devant un conseil d’approbation des couples. Un couple qui a été rejeté a le droit de s’adresser à un conseil de révision statuaire présidé par un juge du Tribunal des affaires familiales. La préparation Celui qui a reçu l’approbation entre dans un groupe de préparation parentale : l’atelier comprend un certain nombre de séances au cours desquelles on fait face à des sujets et des expériences sensibles liés à l’adoption. Il y a des groupes destinés aux parents désirant adopter un bébé, d’autres pour qui c’est déjà la deuxième adoption, pour enfant à besoins particuliers, le couples qui ont des enfants biologiques et veulent adopter un enfant, les célibataires qui veulent être monoparentaux et des groupes composites. Il existe en outre une association de parents qui ont adopté des enfants et qui sont prêts à coacher des candidats à l’adoption.
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Les parents biologiques dont les enfants sont proposés pour adoption se divisent en deux catégories principales. La première se compose de ceux qui renoncent à l’enfant – en général des jeunes filles ou des femmes non mariées. La deuxième catégorie comprend des parents pour lesquels les autorités des Services sociaux ont décidé qu’ils ne sont pas capables d’élever l’enfant. Après que les autorités locales de services sociaux ont examiné le cas et qu’ont été faites des tentatives de restaurer la capacité parentale, au terme desquelles on est arrivé à une conclusion d’incapacité parentale et qu’on doit ouvrir un dossier d’adoption, l’enfant est retiré du foyer. Il est important de souligner qu’en général il ne s’agit pas de bébés.
La séparation La renonciation à un bébé se fait quelques jours après la naissance, avec l’accompagnement d’une assistante sociale. Le Service pour l’enfance recommande à la mère biologique de donner un nom au bébé, bien que les parents adoptifs aient le droit de le changer, et de lui écrire une lettre de séparation, dans laquelle elle explique pourquoi elle ne peut pas l’élever. La lettre entrera dans le dossier d’adoption. Lorsque la mère révèle qui est le père du bébé, il faut aussi s’adresser à lui et obtenir sa signature. Si elle ne dit pas qui est le père, il faut s’adresser au Tribunal et annoncer que l’enfant est adoptable du point de vue du père. L’attente A partir du moment où l’enfant est « libre du point de vue juridique », il est remis à l’adoption, parfois immédiatement, parfois le processus prend quelques jours. Pour un bébé de sexe masculin, on essaie de le remettre avant la circoncision. Les bébés qui doivent attendre que la mère signe la renonciation ou que le Tribunal les prononce adoptables restent en attendant dans des « familles d’accueil » ou dans une nurserie. Il s’agit d’un foyer dont un étage est réservé aux bébés et un autre étage aux enfants plus âgés. Les enfants qui ont été retirés de leurs familles attendent dans des nurseries, des foyers pour enfants ou dans des familles d’accueil, en fonction de leur âge. Le processus juridique à leur sujet peut prendre entre quelques jours et trois ans. Regret Une mère qui a signé une acceptation parentale d’adoption et revient sur sa décision doit s’adresser au Tribunal et en recevoir l’approbation. Le Service pour l’enfance donne au Tribunal son opinion par écrit à ce sujet. Examen médicaux Les enfants proposés à l’adoption subissent des examens médicaux, y compris le sida, l’hépatite et les maladies vénériennes.
Antécédents Toutes les informations concernant l’enfant adopté sont transmises aux parents adoptifs, sans les détails d’identification. L’adoption Chaque enfant en processus d’adoption est d’abord remis à la famille pour une période d’essai appelée « accueil », qui dure six mois. Pendant cette période, le Service pour l’enfance sert de tuteur à l’enfant. Ensuite la famille s’adresse au Tribunal et demande un ordre d’adoption. Le Tribunal demande à l’employé des services sociaux un rapport, en fonction duquel il décidera pour donner l’ordre d’adoption. L’ordre d’adoption donne tous les devoirs et tous les droits parentaux aux parents adoptifs et annule ceux des parents biologiques. L’enfant reçoit de nouveaux nom et prénom. Il est inscrit dans les papiers d’état civil des parents adoptifs, il reçoit un nouveau certificat de naissance et un nouveau numéro d’identité et est effacé des papiers d’état civil des parents biologiques au Ministère de l’Intérieur. Droits et devoirs A partir du moment où l’enfant arrive dans la famille adoptive, celle-ci a droit aux allocations familiales, à un congé de maternité et à une subvention de naissance. Suivi A partir du moment où l’ordre d’adoption en Israël est accordé, les parents adoptifs ne sont pas obligés de rester en contact avec le Service pour l’enfance, mais la porte de ce Service est toujours ouverte et il existe même des groupes thérapeutiques pour les familles adoptives. Adoption avec contacts L’adoption en Israël avec contacts est une option qui vient remplir les besoins qu’a un enfant d’images importantes de son passé. La décision d’adoption avec contacts est toujours prise en fonction des besoins de l’enfant, généralement d’un enfant déjà grand. L’adoption avec contacts, aussi appelée « adoption ouverte », peut prendre des formes diverses : dans certains cas, on donne une fois par an à la famille biologique des renseignements sur l’enfant adopté ; dans d’autres cas, il s’agit de rencontres avec la famille biologique et il y a des possibilités supplémentaires. L’ouverture du dossier d’adoption D’après la loi sur l’adoption en Israël, l’enfant adopté a le droit, à 18 ans, de s’adresser au Service pour l’enfance et de demander des renseignements sur son adoption. Cependant, on ne peut pas obliger un parent biologique à rencontrer l’enfant remis pour adoption. Source : http://famille-successions.co.il/
BDS pourra t-il encore s’acharner sur Sodastream?
Philippe Velilla : « Sodastream illustre toutes les contradictions des entreprises israéliennes disposant d’une capacité d’innovation incontestable, mais devenant rarement de grandes sociétés de taille internationale. Les explications rationnelles (étroitesse du marché intérieur, manque d’investisseurs locaux …) ne disent pas tout d’une réalité économique et politique instable.
l’économie d’être de plus en plus contrôlée par les multinationales américaines (et chinoises). Cette ‘dénationalisation’ de la production présente néanmoins un avantage face aux tentatives de boycott. C’est le principal non-dit de toute cette histoire : BDS pourra encore s’acharner sur Sodastream, mais devra désormais affronter une entreprise américaine de la dimension de Pepsico, ses lobbies et son armée d’avocats ».
La production ‘bleu et blanc’ fait encore la fierté des Israéliens, mais n’empêche pas
http://frblogs.timesofisrael.com
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Et si on fêtait Rosh Hashana en bouteille - Par Elisa Joudal aromatiques de citron, de poire, de pêche, de fruits tropicaux, d’épices mais surtout de pomme verte. Ce chardonnay corsé est savoureux, riche et élégant.
Rosh Hashana, la nouvelle année c’est l’heure de se recentrer sur soi et de repenser à l’année écoulée. C’est également le temps de prendre de bonnes résolutions afin de ne pas reproduire les erreurs du passé. C’est souvent le moment ou mamie Georgette en profite (pour la énième fois) pour souhaiter « un beau mariage » à ses petites filles et une « bonne parnassa » à ses petits fils c’est pour dire jusqu’où va le cliché. C’est aussi le moment pour tous les tunisiens et les marocains de mettre le régime de côté le temps des festivités et d’entamer les fritures pour que la nouvelle année soit aussi douce, huileuse et mielleuse qu’un beignet d’épinard (sacré oxymore). Comme on dit souvent « avec des si on mettrait Paris en bouteille » et si cette année c’était notre seder que l’on mettait en
bouteille. Et si ce n’était plus une idée, mais que toutes les saveurs de cette tradition ancestrale se retrouvaient enfermées sous un bouchon en liège, et que l’on puisse siroter son seder de Rosh Hashana dans une coupe, une flute ou encore un ballon. Pour commencer, la base d’un seder de Rosh Hashana réussi, reste évidemment la pomme. Pink Lady, Granny-Smith ou encore la Reinette, rien n’est trop beau pour notre belle table de fête. Certains les préfèrent acides d’autres bien sucrées mais finalement elles se retrouvent toutes plongées dans le pot de miel que l’on déguste fièrement, en imaginant ainsi les prochaines semaines qui promettront d’être très douces. Cette année optons pour un Yarden Katzrin Chardonnay, ce vin présente des caractères
Poursuivons notre seder plus qu’original avec la grenade. Le fameux fruit qui provoque instinctivement des regards interrogatifs et quelques moues de réprobation venant des quatre coins de la table. Et pour cause, cette fameuse Braha (bénédiction) est en réalité le souhait que chacune des femmes présentes puisse enfanter une descendance aussi nombreuse que les graines de grenade. Pas de panique mesdames cela se compte sur plusieurs générations bien sûr ! Ainsi pour trinquer à la santé de votre descendance, nous vous conseillons pour ses arômes fruités et sa teneur en bouche un Galil Mountain Rosé. Ce vin couleur rose vif présente des caractères de fleurs, de fraise et bien évidement de grenade. C’est un vin joyeux avec une acidité vivifiante et équilibrée. Le miel, reste un classique mais néanmoins indispensable pour un seder de Rosh Hashana réussi. Ce gout sucré et délicat qui rehausse (ou pour certains camoufle) les mets présentés sur notre table ravi petits et grands. Certaines traditions veulent que tous les aliments soient trempés dans le miel afin que l’année à venir soit facile et douce. Bien évidemment, c’est toujours le moment où l’on entend tonton Alain dire à
qui veut l’entendre « bon je vais en manger mais c’est vraiment pour la tradition » mais oui tonton… . Cette année, nous vous proposons de « siroter » votre miel avec un Galil Viognier. Dégustez ses arômes de nectarine fraîche, de poire, de prune verte et de citron vert, sur un fond d’arômes d’amandes grillées et de miel. Le vin affiche une acidité agréable et équilibrée avec une texture soyeuse et une finale intense. La figue reste un fruit toujours très apprécié, bien bombée et pulpeuse ou aplatie et séchée il en va des goûts de chacun. Ce fruit méditerranéen par excellence pointe le bout de son nez au même moment que le miel et annonce comme son alter-ego une belle et douce année. Pour apprécier comme il se doit les saveurs de la figue optez pour un Pinot Noir Vitkins Winery avec son goût de mûrs, ses notes de café, de cerises confites et de figue. Nous n’avons à ce jour - et fort heureusement d’ailleurs - pas encore découvert de vin aux arômes de poisson ou encore de mouton. En attendant il faudra se contenter de la bonne vieille recette de mamie Georgette qu’elle fait mijoter dans une casserole (ressemblant étrangement au chaudron d’Harry Potter) pour déguster ses bons petits plats cuisinés avec amour. Bonnes fêtes de Rosh Hashana et Lehaim
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Agression antisémite à Paris, tags à l’université de Grenoble : les réactions choquées abondent sur les réseaux sociaux
On sent, en cette rentrée, que la nausée monte vite désormais. Il était temps. Sur Twitter, face à la violente agression dont fut victime, dans la nuit du 2 au 3 septembre, un homme juif sur le Pont Alexandre III à Paris, face aux tags antisémites sur les murs de l’Université de Grenoble, parce que le Président de la faculté est juif, les réactions sont aussi virulentes que diverses. Enfin le sursaut français ? fussent-ils stupides mais aussi par des actes, souligne, quant à lui Joseph Macé-Scaron.
C’est la question que l’on peut se poser depuis l’agression, ultra-violente, dont fut victime un homme dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 septembre derniers. Marchant tranquillement sur le pont Alexandre III, au milieu de la nuit, l’homme est agressé par un individu en scooter qui lui arrache la chaîne qu’il porte autour du cou. Voyant la Maguen David accrochée au collier, l’agresseur le traite de sale juif. Puis un autre deuxroues s’arrête à la hauteur de la victime, plusieurs hommes en descendent et le
rouent de coups en l’insultant. Agression antisemite hier en plein Paris. Un homme passé à tabac parce que juif. Plus besoin d’aller en banlieue pour parler de « territoires perdus de la République ». Ceux qui se souviennent du début des années 2000 comprendront la référence au livre., écrit le journaliste Julien Bahloul. Oui l’antisémitisme se propage comme la lèpre en France. Par des paroles et des écrits,
Pierre Ménès, dénonce, lui aussi, la bêtise et l’indifférence ordinaire qui affleurent à chaque nouvel acte antisémite. Le président de l’Université de Grenoble ayant un nom juif, les tags antisémites ont fleuri sur les murs de la faculté. Mais certains n’ont pas trouvé que l’allusion à la chambre à gaz était si « grave que cela » : « Donc ça gaze quand le président s’appelle Lévy c’est pas antisemite ? Ok dans ce cas c’est à hurler de connerie. Et ces trous de balle sont supposés Faire des études supérieures.... », écrit-il particulièrement remonté. La France est-elle en train de se réveiller ? Ces deux actes antisémites, aussi choquants que préoccupants pour la sécurité et la sérénité des Français juifs auront au moins eu le mérite de faire ressortir un fait nouveau : l’indignation n’est plus réservée aux seuls juifs. La colère face à cette violence antisémite ordinaire, vient de partout, elle émane de tous les Français. Salutaire, cette révolte est peut-être le fruit de l’odieux crime contre Mireille Knoll, cette octogénaire rescapée
de la Shoah, assassinée puis brûlée par deux individus, dont un jeune qu’elle connaissait depuis l’enfance. La France est-elle en train de dire non à la dérive islamiste, terroriste et antisémite ? Peut-être : On tabasse les juifs en france, normal, c’est la nouvelle marque de fabrique du pays. Honte à nos politiques qui ne font rien contre l’antisémitisme, dénonce Kerima, une internaute, sur Twitter. A l’heure où Emmanuel Macron s’apprête à rencontrer les représentants de la communauté juive à laquelle il souhaite présenter des voeux pour la nouvelle année, il faudra plus que quelques paroles lénifiantes et des accents d’indignation sincères dans la voix pour convaincre. Des actes sont nécessaires... Cette #agression antisémite est inadmissible et révèle un climat de plus en plus délétère. La lutte contre l’#antisémitisme doit redevenir en France une priorité nationale. Il le faut pour nos compatriotes juifs, il le faut pour la République ! », assène un internaute du nom de Kevin Bossuet sur Twitter. Les politiques ont-ils compris que les Français dans leur ensemble ne veulent plus accepter cette dérive ? On ne peut que l’espérer...
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Israël pas d’accord avec Trump ? L’Appel des Nations unies à l’Europe pour sauver l’UNWRA
La décision des Etats-Unis, annoncée vendredi 31 août, de suspendre sa participation à l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a provoqué de vives réactions. En Israël un vrai débat a lieu sur cette décision lourde de conséquences. Le gouvernement de Netanyahou est très divisé sur cette décision américaine car la violence peut reprendre dans les Territoires. Selon des médias israéliens : « Donald Trump est passé à l’acte en ordonnant le gel des 125 millions de dollars d’aide fournie jusque-là par les États-Unis à l’UNRWA, pour forcer les Palestiniens à reprendre les négociations avec Israël sous l’égide des États-Unis. Cependant, il semblerait que le Premier ministre israélien n’aurait pas approuvé la décision américaine et aurait même demandé à l’administration Trump de ne pas réduire l’aide financière palestinienne destinée à l’UNRWA. À en croire les médias israéliens, Benyamin Netanyahou veut éviter une crise humanitaire ainsi qu’une nouvelle situation d’instabilité dans la bande de Gaza ». L’UNRWA dispense ses services dans 59 camps. Il est de loin la plus grande agence des Nations Unies, avec un personnel de plus de 25 000 personnes, dont 99 % sont des réfugiés palestiniens recrutés localement et œuvrant comme enseignants, médecins ou travailleurs sociaux. L’UNRWA est aussi la seule agence de l’ONU qui soit consacrée à un groupe spécifique de réfugiés. Les fonds annuels de l’UNRWA sont de l’ordre de plusieurs centaines de millions de dollars (USD), dont la majorité provient de pays donateurs avec les Etats-Unis en tête. Une petite partie des fonds vient directement des Nations unies. Selon Le Monde : « Sur fond de crise de plus en plus profonde avec Washington, l’Autorité palestinienne (AP) a dénoncé ce choix. « Nous rejetons et condamnons cette décision dans son intégralité », a insisté, dans un communiqué, le négociateur en chef palestinien
et secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) Saëb Erakat. Et ce dernier d’appeler les pays du monde « à rejeter cette décision et à fournir tout l’appui possible » à l’UNRWA. L’agence de l’ONU n’a pas non plus tardé à réagir par l’intermédiaire de son porte-parole, Chris Gunness. Sur Twitter, il a fait part de « profond regrets » et de « déception ». « Nous rejetons dans les termes les plus forts possibles la critique [estimant] que les écoles de l’UNRWA, les centres de santé et les programmes d’assistance d’urgence sont “irrémédiablement imparfaits”. » Dans un communiqué, le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Stéphane Dujarric, a indiqué « regretter » la décision américaine alors que l’UNRWA « fournit des services essentiels aux réfugiés palestiniens et contribue à la stabilité de la région ». Il a en outre souligné que l’agence « bénéficie de la pleine confiance du secrétaire général » et salué les efforts d’adaptation de l’organisation après la réduction au début de l’année des financements américains. Antonio Guterres « appelle les autres pays à aider à combler le déficit financier » de l’UNRWA afin qu’elle « puisse continuer à fournir son assistance vitale » aux Palestiniens, a précisé M. Dujarric. Quelques initiatives ont déjà émergé pour tenter de pallier le retrait des Etats-Unis. Berlin a annoncé vendredi une hausse « substantielle » de sa contribution et a appelé ses partenaires européens à en faire autant. La Jordanie a de son côté annoncé la tenue d’une conférence le 27 septembre à New York afin de la soutenir. Avant l’officialisation de la décision américaine et alors que la rumeur de la suspension de l’aide se faisait de plus en plus audible, Hossam Zomlot, qui représente officiellement à Washington l’OLP avait mis en garde : « couper l’aide à l’UNRWA signifie que les Etats-Unis renient leurs engagements internationaux et leur responsabilité. »
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Nations pour Israël : les « goys qui défendent Israël » se mobilisent pour sauver Clément, 5 ans.
C’est peut-être l’histoire la plus touchante que vous lirez en cette rentrée : champions de la lutte contre l’antisionisme et l’antisémitisme, les « goys qui défendent Israël » se battent pour Clément, un petit garçon de 5 ans atteint d’une maladie mystérieuse. Rebaptisé l’année dernière « Nations pour Israël », ce groupe de Français, chrétiens, ultra-sionistes fait entendre depuis quelques années, une voix qui porte sur les réseaux sociaux. Cultivées, historiquement pointues, stratégiquement analysées, et particulièrement bien rédigées, leurs interventions démontant la propagande terroriste et autoproclamée pro-palestinienne font mouche et leur valent des milliers de fans et, hélas, des centaines de milliers de haters. Mais il en faut bien plus pour décourager cette poignée de braves ! Parmi eux, Pug, quadra protestant, humaniste, lettré et pro de l’aviation. Touché par le drame de Clément et de sa famille, Pug s’est lancé un défi pour les aider et permettre à Clément d’être soigné à l’institut Feuerstein de Jérusalem. Il nous l’explique, en exclusivité, pour Israël Actualités ! Pug, on vous attendait, en cette rentrée sur de nombreux sujets en rapport avec Israël, et vous voilà, bien présent sur les réseaux sociaux, mais au chevet de Clément, 5 ans. Pourquoi ? L’histoire de Clément m’a profondément touché, car je connais bien la famille de ce petit garçon. Fred, son papa, est aussi mon patron, celui qui m’a sorti de 5 ans de chômage. C’est notre passion pour l’aviation qui nous a rapprochés car il dirige une société d’aviation privée à destination de la clientèle d’affaires, dans le Sud-Ouest. C’est bien après que j’ai su que Fred est d’origine juive, par sa maman, et qu’il a su quel était mon engagement pour Israël. Cela aussi a tissé des liens entre nous. Qu’arrive-t-il à Clément et pourquoi mo-
bilisez-vous votre audience, pour ce petit garçon ? Clément présente, depuis plusieurs années, des retards de développement. Il ne parle pas, il n’était pas censé marcher à en croire les médecins et son stade de développement, différentiel selon les compétences, serait comparable à celui d’un nourrisson. Pour autant, son papa s’est beaucoup alarmé quand on lui a dit que son fils ne marcherait pas, il lui a donc fabriqué une sorte de déambulateur qui a permis au petit d’apprendre à se déplacer tout seul : ainsi, tout, chez lui, n’est pas figé au stade du nourrisson. Quelle est la maladie responsable de ces troubles ? C’est bien là qu’est le problème ! Le corps médical a passé son temps, dans le cas de cet enfant, à produire des diagnostics erronés les uns derrière les autres. Leuco-
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Nations pour Israël : les « goys qui défendent Israël » se mobilisent pour sauver Clément, 5 ans. Suite ...
dystrophie, autisme... Tout a été envisagé. Au final, ce qui ne fonctionne pas dans le cerveau de Clément, nul ne le sait vraiment. Et sa maman n’en peut plus, elle voudrait enfin savoir ce dont souffre son fils.
Vous vous lancez donc un défi pour les aider. Lequel ? Je vois l’action des « goys qui défendent Israël », rebaptisés Nations pour Israël, comme de l’antinazisme par excellence. Aider un enfant souffrant de handicaps à aller mieux, à gagner en autonomie, à trouver sa place dans la société, c’est aussi, faire un pied de nez à l’idéologie mortifère nazie qui, outre les juifs, comptait débarrasser la race aryenne de tout ce qui n’était pas « parfait » au sens où elle l’entendait : les malades et les handicapés ont payé un lourd tribut au nazisme. Aider Clément, c’est un prolongement de mon engagement pour Israël, pour l’idéal sioniste, c’est être anti-nazi par excellence. Trouver la solution pour cette famille en Israël, au sein d’un institut qui fait des miracles pour les accidentés, les handicapés et les personnes souffrant de troubles cognitifs, c’est boucler la boucle,
c’est montrer ce que le peuple juif apporte à l’humanité tout entière.
Pourquoi cet institut à Jérusalem, justement ? C’est une amie rencontrée grâce au forum Nations pour Israël qui m’en a parlé. Reuven Feuerstein s’est installé en Israël dans les années 40 et c’est avec des enfants rescapés de la Shoah qu’il a mis en pratique sa méthode de travail : ses travaux ont mis en évidence l’étonnante plasticité du cerveau : lorsque certaines zones cérébrales sont atteintes par un choc, un traumatisme qu’il soit physique ou psychique, les autres parties sont capables de se reconnecter différemment, si je puis dire, afin de compenser et de permettre à la personne de récupérer les fonctions atteintes. On a vu ainsi un soldat gravement touché durant une guerre se remettre à parler parfaitement normalement, alors que les cellules du langage de son cerveau avaient été totalement détruites. De même, des personnes ayant subi des AVC ont pu, grâce aux soins dispensés dans cet institut retrouver l’ensemble de leurs capacités, quand bien même certaines
zones du cerveau étaient irrémédiablement endommagées. C’est en ce sens que l’institut peut radicalement changer la vie de Clément et de sa famille. Les différents examens effectués ne montrent pas d’anomalie particulière dans le cerveau de Clément. Par exemple, rien médicalement, ne justifie qu’il ne parle pas. Les praticiens de cet institut sauront sans aucun doute générer des connections différentes pour qu’enfin il puisse acquérir la parole. Et bien d’autres fonctions d’ailleurs.
Vous allez donc courir le marathon de Jérusalem pour Clément ? Oui, je me suis lancé ce défi. J’ai mis en ligne une cagnotte, et je compte courir le marathon réputé pour être difficile, pour attirer l’attention sur Clément. Nous avons fixé un objectif de 5000 euros, sachant que si ses parents et sa sœur doivent passer plusieurs mois ou années en Israël, il faudra bien plus. Mais ce sera déjà un début pour permettre à Clément d’aller en Israël et d’être vu par les médecins de l’institut. Sa famille est épuisée, les soins médicaux et les examens ont coûté cher, l’entreprise du papa connaît au-
jourd’hui des heures difficiles, ils ont donc besoin qu’on les soutienne et qu’enfin, on sorte leur fils du brouillard dans lequel il est enfermé. Ce que j’espère, c’est que le cas de Clément puisse être le premier d’une longue lignée, que chaque année, Nations pour Israël puisse défendre la cause des enfants différents et leur offrir, grâce à cette mobilisation, une vie nouvelle, malgré le handicap. C’est une cause qui me tient à cœur et que je mettrai toute mon énergie à défendre, même si, je vous l’avoue, je n’ai pas la condition physique nécessaire pour m’attaquer au marathon de Jérusalem ! Je vais sérieusement m’abîmer les pieds ! Pour participer à la cagnotte de Clément : https://www.gofundme.com/courir-pourclement-petit-prince
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Avantage de ne pas lire l’hébreu : ne Que symbolise la Hanoukiah en pas se faire piéger par des hackers or au Grand Hôtel d’Oslo ? Un geste en l’honneur du Peuple Juif… Depuis quelques jours une hanoukiah de 65cm en or 24 carats trône dans le lobby du prestigieux Grand Hôtel d’Oslo, là où rois et dirigeants du monde entier se rencontrent et où, chaque année, sont décernés les Nobel. Une décision prise compte tenu du nombre exceptionnellement élevé de récipiendaires Juifs. Plus de 22% des lauréats – 194 sur 871- alors que les Juifs ne représentent que
0,2% de la population mondiale. 55 Nobel de Physique et Médecine sur 204 soit 26,5 % des lauréats , 29 sur 69 en Économie soit 41%, 22% en Chimie, 12 Nobel de Littérature sur 108 et 9 de la Paix sur 101 soit 9% des lauréats dont Menachem Begin, Itshak Rabin et Shimon Peres za »l, trois anciens premiers ministres israéliens. Nathalie Sosna-Ofir
Un Qatari importe 4000 vaches par avion. Coût $8 millions ! De nombreuses personnes en Israël, qui le plus souvent ne lisent pas bien l’hébreu, ont demandé de l’aide pour savoir si VRAIMENT, Mc Donald’s en Israël offrait ses burgers gratuits! En fait ils ont été heureux de ne pas pouvoir répondre à des mails envoyés par des escros du net. En Israël, McDo n’offre RIEN! Selon Times of Israel : « Ces derniers jours, de centaines de milliers d’Israéliens ont reçu des messages qui provenaient soi-disant de marques bien connues comme la chaîne de supermarchés Shufersal, Mc-
Donald’s ou Cellcom télécommunications. En réalité, les messages ont été envoyés par des pirates informatiques qui espéraient voler des données de cartes de crédit auprès d’utilisateurs imprudents, ont annoncé dimanche des médias en hébreu.
Face au blocus diplomatique et économique qui frappe son pays, un homme d’affaires qatari a décidé d’importer quelque 4 000 vaches par les airs. Il s’agit du plus important transport de bovins jamais réalisé.
Les messages offraient des coupons, des repas gratuits et donnaient l’instruction aux utilisateurs de mettre à jour leurs informations en ligne. Mais une fois que les utilisateurs cliquaient sur le lien, ils étaient piégés par les pirates qui volaient leurs données ».
Jusqu’à 60 avions de la compagnie aérienne Qatar Airways seront affrétés dès la semaine prochaine pour transporter vers le Qatar pas moins de 4 000 vaches, afin d’apporter une réponse à la pénurie de lait qui frappe le pays. Interrogé par le site Bloomberg, le patron qatari Moutaz Al Khayyat, président de Power International Holding, souhaite permettre à
son pays d’être davantage indépendant et ainsi de remporter le bras de fer qui l’oppose à ses pays voisins. Le Qatar ne fléchit pas dans la crise qui l’oppose aux autres pays du Golfe. Accusé de soutenir le terrorisme et de se rapprocher de l’Iran chiite, le pays est isolé depuis le 5 juin dernier suite à la décision de l’Arabie Saoudite et de ses alliés de rompre les relations diplomatiques avec Doha. S’en est suivi un blocus, qui se manifeste par la fermeture des liaisons aériennes, maritimes et terrestres entre le Qatar et ses pays voisins, alors même que 40% des importations d’aliments vers le Qatar transitent par la frontière saoudienne. L’annonce de l’embargo a ainsi provoqué la ruée des consommateurs qataris inquiets vers les supermarchés de Doha, dans lesquels le lait, le riz et d’autres denrées alimentaires ont disparu des rayons. Pour contourner l’embargo, des produits laitiers turcs ont déjà été transportés vers le pays, et des fruits et légumes sont importés d’Iran. Couvrir un tiers de la demande de lait Pour faire face à la pénurie de lait qui touche le pays, un homme d’affaires qatari a décidé de mettre fin à la dépendance du Qatar vis-à-vis de cette denrée. En septembre dernier, Moutaz Al Khayyat avait déjà songé à l’importation de vaches par voie maritime, désormais rendue impossible par le blocus. C’est donc par les airs que seront transportés les 4 000 bovins, en provenance des Etats-unis et de l’Australie. Il s’agit du plus important transport de bovins jamais réalisé. Selon Bloomberg, utiliser des avions multiplie le coût de transport du bétail par 5 et devrait coûter 8 millions de dollars. Les vaches seront acheminées vers une immense structure, dont la superficie atteint l’équivalent de 70 terrains de foot. La ferme, qui produit déjà du lait et de la viande de moutons, est située dans le désert du Golfe, à 50 kilomètres au nord de Doha. La production de lait débutera dès la fin du mois. Pour le patron qatari, l’objectif est de couvrir un tiers de la demande intérieure d’ici à mi-juillet. Il s’agit d’un message fort du Qatar dans le bras de fer diplomatique qui l’oppose à l’Arabie Saoudite et ses alliés. Le pays prouve sa détermination à répondre à la demande intérieure par ses propres moyens et ne souhaite pas compromettre sa souveraineté. Source : lefigaro.fr
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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza
C’est bien la fin des vacances, le gouvernement s’apprête à une rentrée percutante, le changement est dans l’air, affrontements prévisibles, les beaux discours seront moins écoutés, les universités d’été sur fond de désaccord, n’ont pas mobilisé les « feus » grands partis qui se cherchent une nouvelle jeunesse, leur programme, une cible commune, « MACRON ». Pas d’idées autres que des critiques sur les réformes, trop libérales pour les uns pas assez pour les autres, une dichotomie abominable qui confond vertu et vice, une politique pour les riches, rien pour la classe ouvrière, les clichés, il ne faut pas oublier les retraités, « un chômage indompté », une « croissance en berne », le plan pauvreté comme si au travers de toute cette thématique de misère, il n’y avait pas de tromperie et l’évocation des subterfuges de prédateurs aux « avantages sociaux ». La même litanie depuis 30 ans, la reprise déçoit, l’optimisme s’essouffle, une situation en « yoyo » et des mensonges optimisant à une réalité que le pouvoir ne maitrise pas. Macron ne trouve t’il pas une excuse en évoquant à Copenhague « les gaulois réfractaires au changement », en complément d’une petite phrase de l’été 2017, « les Français détestent les réformes ».Les sondages inquiètent, l’économie, les promesses comme si elles n’avaient jamais exister. L’excitation des européennes pour fin 2019, regrouper les « sympathies » politiques en une formation prête au combat, reformer « les bataillons », une mini guéguerre partisane de politicards désœuvrés à la recherche d’un poste, pour ne pas dire un emploi, la mini gloire ou l’oubli d’une triste fin pour ceux qui rêvaient une ligne dans le « Larousse », destins temporaires à défaut d’être éternels, les désirs d’alliances laissent à cette mascarade européenne un constat d’échec désespérant. L’épisode ou le feuilleton Benalla, la série télé de l’été, par sa « surreprésentation » médiatique restera dans les annales de l’audimat. Il n’y
avait que lui, la star par qui le scandale arrive, des médias déchainés, des « unes » à n’en plus finir, une commission publique comme au temps de l’inquisition qui s’est abimée faute d’intérêts pour les « politiques justiciers », qui jour après jour quittaient le prétoire pour vice de forme et non compatibilité avec la justice. « Une tempête dans un verre d’eau » a dit Macron. L’homme qui allait faire chuter Macron, l’arriviste qui avait préséance sur les énarques, jalousie, impardonnable pour cette aristocratie au dessus de tout soupçon, ainsi, se passe les événements dans une société ou l’on ne peut parler de tout. A Trappes, « le Molenbeck français sera t’il la France de demain ? » un déséquilibré fiché S tue sa mère, sa sœur, djihad authentique ou un sombre fait divers familial ? L’acte est revendiqué par Daech ! Silence sur les migrants, le flux migratoire et la consternation européenne le ministre de l’intérieur italien Matteo Salvini est réfractaire à toute idée d’accueillir de nouveaux immigrés. Colère unanime dans la sphère luxembourgeoise, le cœur politique de l’UE, crie à la trahison, Matteo Salvini accusé d’inhumanité un affront aux valeurs européennes, et se suivent dans cette tourmente migratoire des réunions qui s’ajoutent à d’autres séminaires d’état intimement conscient qu’un réel consensus est impossible. En fait, en veulent ils vraiment un ? Se rassurer ou rassurer ? Merkel, le mauvais exemple, la chancelière a mis le pays en danger, l’Europe également. Comment, une identité peut elle se maintenir quand le pays s’affaiblie, se désagrège dans cette frustration des classes moyennes face à la crise migratoire ? Vous vous imaginez 1 million d’immigrés et autant de drames dans cette paisible Allemagne, ou l’extrême droite s’affirme en toute liberté. Les slogans et la pensée xénophobe s’exprime dans des manifestations d’une rare violence. La culpabilité allemande a trahi son peuple, le passé ressurgit, déconfiture morale, inquiétude sociétale, cela fait tâche d’huile, les droites se regroupent, veulent frapper, s’indignent et ce qui devait arriver arrive
« le populisme » est le virage nauséeux, le réflexe de la haine « raciale » nous infuse le venin xénophobe, et vient tordre le cou aux idées reçues d’un humanisme rédempteur et interpellent nos « gentils professeurs de la bien pensance européenne » « sermonnaire », sans avoir saisi la tragédie sur laquelle ils nous entrainaient. Macron « jette l’anathème sur la lèpre populiste ». « Il ne peut rester sourd aux angoisses des peuples qui dictent l’agenda européen » la déferlante nationaliste atteindra bientôt la France, le contexte d’un désenchantement que la société politique a développé auprès des citoyens. Plus de conscience morale, le ras le bol occulte toute réflexion objective, cette colère est la conséquence d’une suprême exaspération populaire, « un vide émotionnel », reconsidérer » la situation du peuple à la condition humaine », à être entendu à défaut d’être écouté. « J’observe que le système politique abime ceux qui le pratiquent ». Pouvons-nous infléchir le cours des choses ? Si nous ouvrons les yeux, c’est une défaite de la pensée individuelle liée par ce totalitarisme comme l’étincelle du tout est possible. D’ailleurs, l’ascension des forces populistes en Europe n’a pas commencé avec la crise des migrants. L’information du jour, « le scoop » fait débat, la démission de Nicolas Hulot, les commentaires, les sondages « mauvais pour la France », les français étaient sensibles à la cause qu’il défendait, et les lamentations d’usage accompagnent le ministre. La France aime à se fustiger, tout est politique, toute considération confondue, Nicolas Hulot n’en a pas moins le souci de sa notoriété. Ceci pourrait expliquer cela. « La loi de l’état Nation » votée à la Knesset a donné lieu à des manifestations indignes, suscité une polémique hors de proportion, auxquelles se sont associés tant en Israël qu’en France des critiques « virulente et consensuelle » adoubé par bien des nôtres qualifiant cette loi « de régression démocratique », un journaliste de Mediapart, dont les abus de langage sont particulièrement hostiles fait d’Israël un pays « nationaliste, ségrégationniste, raciste et communautaire ». Rien de plus ! Que de fureur, d’ignominie faite au nom d’un antisémitisme primaire et d’un antisionisme destructeur. La loi ne change en rien l’Israël que nous connaissons, que les Nations Unies ont reconnu en 1947, il s’agit de codifier à l’éternité nos principes fondamentaux, si élémentaires, dont les bases régissent et ne différent en rien des Constitutions des pays européens. Mais pour Israël, ils ont une sublime délectation à noircir et dénaturer par les propos les plus acerbes, les plus cruels tout ce qui aide une démocratie à légiférer sur sa définition d’état Nation. Une multitude d’intellectuels opiniâtres de bas étage sèment dans l’esprit de leur public la haine d’Israël et développe à contrario une sympathie viscérale de la société arabe victimaire encore auréolée semblent ils de l’imagerie des 1001 nuits, sans dénoncer leur radicalisation religieuse impitoyable. Il y la complaisance de penseurs activistes aux
idées négationnistes, extrémistes de gauche radicale comme ils en existent tant parmi les citoyens israéliens, ces fossoyeurs de notre devenir, souteniennent nos ennemis, paradent parmi eux, drapeaux de l’OLP en tête, ce fait est impardonnable, un crime moral, une malversation éthique, ces apôtres du prêts à vendre Israël pour une paix impossible, si cela était possible devrait être sanctionné par la déchéance de leur droit civil. La démocratie à bon dos, de politiciens à la charge anti gouvernementale s’associer avec les partis arabes israéliens, dans cette grande manifestation arabe contre » la loi de la Nation » place Rabin a suscité plus que de vives réactions. On y a vu des drapeaux de l’OLP et des slogans anti israéliens scandés par les manifestants y compris par des juifs parmi les plus ardents défenseurs de la cause palestinienne, ou va-t-on dans ce déferlement inepte au mépris de la sécurité de l’état ? Voir, la collusion entre l’extrême gauche israélienne et les arabes d’Israël préférant la « couleur rouge, noire et verte à celle blanc bleu, Youri Edelstein, président de la Knesset s’insurge « ce soir, nous avons une nouvelle preuve que les députés arabes ne combattent pas l’état Nation, mais l’existence d’Israël ». Nir Barkat maire de Jérusalem « celui qui veut réellement faire partie de l’état d’Israël n’appelle pas à sa destruction en brandissant des drapeaux de l’OLP sur la place publique ». Le docteur Amir Hanifas, président du forum druze contre « la loi de la Nation » « dénonce la présence de drapeaux de l’OLP, ce combat concerne la nature démocratique et égalitaire de l’état d’Israël et ne doit pas servir de tribune aux ennemis du pays toute tentative de porter atteinte au caractère juif et démocratique de l’état d’Israël est illégitime ». Ayoud Kara, druze est le ministre de la communication « si l’état juif n’existait pas, nous autres, Druzes, nous serions massacrés comme en Syrie. C’est grâce aux juifs que nous sommes libres. » Qui entend ses voix favorables à notre état ? En fait qui se soucie de la vérité ? Notre destin en diaspora n’est il pas lié à l’existence même de l’état d’Israël ? L’étrange destin qui pèse sur Israël est une source sans fin de malédiction, du jeu cruel porté par des clichés bien entretenus, c’est plus qu’une haine, nos ennemis portent en eux une culpabilité indestructible, ils ne peuvent se résoudre à remettre en cause notre légitimité, un pied de nez à tous ces antisémites notoires et notables en qui, coule la honte de leur collaboration pendant la seconde guerre mondiale. On a le droit le devoir de s’indigner, la diaspora, bien silencieuse, laissons passer la vague, combien de vagues devrons nous laisser passer quand nos adversaires les plus acharnés, les arabes palestiniens, les gauchistes de l’extrême reprennent en chœur l’hymne palestinien « par l’esprit et le sang, nous libérerons ô Palestine » chanté en Israël , de plus, sur la place mythique Rabin au cœur de Tel Aviv est une honte à sa mémoire et à tous ceux qui ont combattu et sont morts pour la défense et la sécurité de l’état Nation d’ISRAEL. Bernard Korn Brzoza
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Maladresse ou indécence ?
Notre premier cours d’histoire, quel que soit notre pays d’origine, des l’instant qu’il faisait référence à la France, Ce premier cours, donc, était: « Nos ancêtres les gaulois... » Alors, il est regrettable d’avoir lancé, dans un premier temps une campagne de déni, puis d’appeler les français GAULOIS RÉFRACTAIRES. Mais le dire chez les vikings, ce n’est plus une maladresse. C’est de l’indécence.
Berkovitch et Assayag. Comme-ci, comme-ça ! Si vous ne regardez pas la télévision israélienne, vous ne pouvez pas connaître ces animateurs ni le RAP cité. Ce sont 2 animateurs, spontanés, qui se livrent toutes les semaines à une satyre de la vie israélienne, sous forme de joute verbale et qui sont très suivis. Parfois ils reçoivent un invité politique, qui vient s’encanailler, faire preuve d’humour et lancer ses idées. Jusque là, tout va bien. Un jour, ne doutons pas que la chose était préparée, Ofira ASSAYAG lance à BERKO « Pourquoi tu n’invites pas un député arabe? » Réagissant vivement, Berko répond: « je ne veux pas voir de député arabe, je les ignore, du reste, ils n’ont rien à faire en Israël. Ils ne veulent pas parler hébreu, Ils n’ont qu’à aller en Jordanie. » Franchement, une réflexion que nous sommes nombreux à penser, à défaut de pouvoir l’exprimer en public. Et bien, ils ont écopé d’un blâme, ont vu leur émission supprimée la semaine suivante et, seul le manque à gagner publicitaire leur a évité la suppression totale de leur émission.
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Et bien, sur la même chaîne sévit un certain ABRAMOVICZ. Celui-ci s’attaque toutes les semaines à Monsieur NETANYAOU. Et c’est une suite d’insanités ininterrompues, destinées à faire tomber le Premier Ministre. Il n’a jamais été blâmé. Il continue un peu plus chaque semaine. Comme le dit Stéphane LEGAR, dans un RAP entraînant et très à la mode, dont le titre résume bien des situations. Comme ci-Comme ça. ISRAEL C’EST MAGNIFIQUE MAIS UN PEU PROBLÉMATIQUE. Comme dans la plupart des pays, où il faut penser à gauche, S’exprimer à gauche, Respirer à gauche, bientôt le Populisme prendre le pas. Ceux qui, se prétendant de GÔCHE, veulent museler ceux qui pensent autrement, vont se heurter à un totalitarisme tel, que les régimes communistes passeront pour des colonies de vacances. Mon exagération me vaudra quelques reproches, mais ce n’est qu’en amplifiant le danger qu’on le condamne. René SEROR
CERTAINS S’ENVOLENT! D’AUTRES S’ENGOUFFRENT! Critiqué en permanence, pour ses méthodes peu conventionnelles, pour ne pas dire brutales, ses opposants cherchent à tout prix, la faille qui permettra de le destituer, protectionniste sur le plan commercial, isolationniste sur le plan stratégique, AMERICA FIRST, l’Amerrique d’abord. Il dénonce le traité de libre échange, conclu il y a 25 ans, avec le Canada et le Mexique, accord qui creusait le déficit américain. Pendant sa campagne, Donald TRUMP avait déclaré que ce mini marché commun ruinait DÉTROIT et l’industrie automobile américaine. Élu, il a claqué la porte. Puis il a traîné ses voisins du Nord et du Sud, à la table des négociations, en tête à tête avec chacun, évitant les réunions bilatérales. RÉSULTAT: Enrique Penianeto le mexicain et Justin Trudeau le canadien se sont résignés à des concessions sur l’automobile. Le DONALD est un fin négociateur. TOTAL: ce Président imprévisible, avec ses tweets querelleurs, donné parfois pour fou, son administration courant d’air, les casseroles collés à son image, garde 45% d’opinion favorable, annonce 4% de croissance et un chômage au plus bas. C’est réellement du JAMAIS VU, à la veille des élections de mi mandat. Pendant ce temps, un « Président sur de lui et dominateur » voyage. Vulgairement, il bouffe du kilomètre. Il se veut le champion du monde des progressistes face à l’Europe des populistes. Opposant principal de Victor ORBAN le hongrois et de l’italien Mathéo SALVINI.
Calcul électoral. PLUS (+) D’EUROPE OU, PLUS D’EUROPE DU TOUT. Parler de progressisme au Danemark est plutôt maladroit. Un pays qui réforme le droit d’asile en plaçant un verrou et en divisant par 2 les indemnités chômage pour les réfugiés. Expulsant systématiquement les clandestins. Plutôt dissuasif! Puisque le Danemark est vite passé de la 5ème place préférée des migrants à la 16 eme place. Sans parler de l’obligation d’apprendre le danois et nos ancêtres les...vikings, à partir de l’âge de 2 ans. Maximum 30% d’écoliers d’origine non européens par école. Les HLM interdits aux étrangers qui ont un casier judiciaire. Une brochette de mesures pour en finir avec les ghettos. Avec un gouvernement de centre droite, soutenu par les socialistes qui n’hésitent pas à avouer leur naïveté. Ce qui laisse supposer leur retour aux prochaines européennes. Il y a un an, le PS danois était au niveau du PS français. EN CONCLUSION: La France critique l’Amérique, se fait giflér par la Hongrie et l’Italie, admire le Danemark et sans doute les pays nordiques que Macron a inscrit sur son agenda, et pourtant la France est à l’opposé des pays dont elle chante les louanges. Avec 34% de satisfaits, Macron attend sans doute de battre le triste record de Hollande. 32% Allez, encore un effort! Vous y êtes presque. Votre salut, Monsieur le Président ? Vous, dont on vante les qualités intellectuelles. Relisez CHATEAUBRIAND! Sous le titre TÉMOIN DE L’HISTOIRE. CHAPITRE 10. Vous comprendrez sûrement, pourquoi votre politique favorisera de plus en plus le populisme. Je dis ça, au cas où vous comprenez mon propos, sinon attendez-vous à transmettre les clés à un quelconque MOHAMED. Mais au fond, c’est peut-être ce que vous recherchez? René SEROR
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L’association VIGIL’ANCE et son président Franck SERFATI souhaitent à chacun d’entre vous 2 privilèges qui ne sont pas des droits acquis, SANTÉ & LIBERTÉ. Plus de Paix en ISRAËL et moins de terreur dans le Monde.
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Le debrief de la semaine Par Jack-Yves Bohbot
Terrorisme : la France toujours en alerte
Concours de l’Eurovision en Israël C’est cette semaine que devrait être connu le nom de la ville israélienne qui accueillera le prochain concours de l’Eurovision après la victoire en 2018 de la chanteuse Netta Barzilaï. Il se chuchote que Tel Aviv serait retenu pour recevoir cet événement planétaire.
Un infirmier de MSF ouvre le feu sur des soldats israéliens Le ministère israélien de la Défense a fait savoir la semaine dernière qu’un infirmier de MSF avait ouvert le feu à l’aide d’un fusil et a lancé un engin explosif sur des soldats israéliens aux abords de la clôture de la frontière de Gaza. Les autorités israéliennes ont demandé des explications à l’ONG française. Boycott d’Israël à la braderie de Lille On ne trouvait pas que des frites et de moules à Lille ce week-end pour la traditionnelle braderie. Sur son compte Twitter, le président du Bnai Brith de France, Philippe Meyer, signale la présence de pancartes appelant au boycott d’Israël. Il rappelle justement que les appels au boycott
A l’occasion de la traditionnelle rencontre entre les Préfets de la région Ilede-France et les dirigeants des communautés juives franciliennes qui s’est tenue il y a quelques jours au Consistoire de Paris, le Préfet de Police, Michel Delpuech, a dressé un état très intéressant de la menace terroriste dans notre pays.
ministratives et de contrôles (visites à domicile) afin d’empêcher tout passage à l’acte. Selon le Préfet de Police, ces actions portent leurs fruits : une vingtaine d’attentats a ainsi été évitée en France au cours de l’année 2017 et deux cents quarante personnes sont incarcérées en Ile-de-France pour des faits en lien avec le terrorisme.
Si Daesh a connu d’importants revers sur le terrain militaire en Syrie – les djihadistes ne contrôleraient plus qu’une bande de territoire près de la frontière irakienne, l’organisation terroriste veut redoubler d’efforts en matière de propagande en frappant à nouveau les pays occidentaux et leurs alliés.
La menace terroriste reste donc forte dans notre pays et pas une semaine ne se passe sans que le spectre d’une attaque ne soit écarté par les services de police.
Le chef de l’Etat islamique, Abou Bakr Al-Baghdadi – que l’on disait pourtant mort – a récemment appelé ses partisans à poursuivre le djihad dans un communiqué diffusé sur la messagerie cryptée Telegram. Ces dernières semaines, notre pays a en effet connu de graves attentats terroristes, à Trèbes et dans le quartier de l’Opéra à Paris. Le Préfet de Police considère que nous sommes passés d’attentats commandités depuis le front irako-syrien à une menace essentiellement endogène, provenant d’individus vivant sur notre territoire et «qui répondent à la propagande de Daesh en passant à l’action avec des moyens très rudimentaires comme des couteaux ou des voitures béliers.» Quatorze mille personnes – dont un tiers en Ile-de-France – sont actuellement suivies par les services de Police au titre de la radicalisation ; la police prend des mesures ad-
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Jack-Yves Bohbot
sont illégaux en France.
Un député britannique dénonce l’antisémitisme de son parti Franck Field, député du parti travailliste, a décidé de quitter son parti en dénonçant la dérive antisémite de certains de ses membres. Dans un courrier, il déclare que le parti travailliste est devenu une force antisémite en Grande-Bretagne, rappelant l’attitude de Jérémy Corbyn qui en 2013 s’était prononcé en faveur d’un boycott d’Israël. Quand un député français dérape… Le député Les Républicains Fabien di Filippo a qualifié dans un tweet douteux, Emmanuel Macron de «président Rothschild». Le président du Crif a rappelé à l’ordre cet élu de Moselle et demandé une sanction exemplaire à Laurent Wauquiez. Le président Macron aux vœux du Consistoire Le président de la République assistera mardi aux vœux du Consistoire qui se dérouleront à la grande synagogue de la Victoire. Une première pour le Président de la République et le Consistoire…
Quand l’écologie chasse ...
Le 13 août, j’écrivais ce qui suit. Quand on entend dire que l’homme démissionne, sans avoir prévenu, on retient un étonnement hypocrite. Aucun ministre ne prend de décision sans l’accord du monarque. Pas même le Premier Ministre.
ce n’est pas du calcul électoral?
Aussi, quand des décisions sans fondement sont prises à l’endroit des aînés, que des vieux n’ayant pas grand chose pour vivre, sont grugés, qu’on pousse l’ironie jusqu’à prétendre que les baby boomers ont eu la belle vie et qu’ils devaient faire des sacrifices, Que les cas de suicides et de BURNOUT sont constatés ici et la que les trottoirs sont encombrés d’hommes, de femmes et d’enfants sans avenir, alors qu’on accorde aux chasseurs des conditions du niveau jamais vu.
Nucléaire, Glyphosate, Notre Dame des Landes. Autant de dossiers pour lesquels il se donnait un an.
Quoi d’étonnant dans cette démission? D’autant que le ministre Hulot sait que les promesses faites aux chasseurs, coûtent, sans doute 200 millions d’euros à l’état, entres nous, une goutte d’eau, mais 1 million de votants potentiels. Ça se mérite! Si
De plus, ne nous voilons pas la face, à force de répéter que telle ou telle décision sera réglée dans 3 ans, une autre à la fin du quinquennat, Hulot volait d’échec en échec.
Sa première réaction sur France Inter en dit long sur son ras-le-bol. Je ne veux plus mentir... Triste aveu, pour l’homme d’un gouvernement qui prône la probité. Sur l’échiquier de sa politique, Macron ne devrait pas tarder à perdre d’autres pièces maîtresses! Bientôt Échec et Mat. Quand le roi veut tout révolutionner, il pousse le peuple a la révolte. René SEROR
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Scandale! Des soldats religieux 44 000 soldats israéliens ont israéliens contraints de se consulté un psychiatre en 2017 raser la barbe
Un nombre croissant de soldats religieux de l’armée israélienne ont été contraints de se raser la barbe ou d’être condamnés à des peines de prison après que les autorités militaires les ont jugés « pas assez religieux », ce qui a suscité des débats au sein de l’armée et sur la place publique. En général, tous les soldats doivent se
raser le visage pendant toute la durée de leur service militaire. Les exemptions ne sont accordées que pour des raisons médicales ou religieuses, car de nombreux Juifs orthodoxes s’abstiennent de se raser la barbe. Times of Israel
Vivre la vie de soldats de Tsahal peutêtre traumatisante. Surtout pour ceux qui, tous les vendredis, sont postés face à Gaza. Des chiffres publiés par l’armée israélienne révèlent que 44 000 soldats israéliens ont consulté un psychiatre en 2017. Beaucoup de soldats vivent un trouble de stress post-traumatique . Le traumatisme psychique, psychotraumatisme, ou traumatisme psychologique, est l’ensemble des dommages d’ordre psychologique et physiologique résultant d’un événement dramatiquement subi ou de toute forme de violence, éprouvée physiquement ou moralement. Il s’exprime particulièrement dans la vie quotidienne par un trouble de stress post-traumatique dans lequel des éléments anodins, mais soudainement associés à l’événement premier, se transforment en stress. Le traumatisme psychique peut s’accompagner d’un traumatisme physique.
Les causes possibles du traumatisme sont diverses : perte d’un être proche, viol ou autre abus sexuel, harcèlement moral, violence conjugale, endoctrinement, victime de l’alcoolisme, menace ou témoin d’un événement traumatisant, particulièrement durant l’enfance. Des événements tels que les catastrophes naturelles (séismes et éruptions volcaniques), les guerres ou autres violences aggravantes peuvent également contribuer à un traumatisme psychique. Une exposition à long terme à des situations telles que la pauvreté ou autres formes d’agression, comme les humiliations et agressions verbales, peuvent être traumatisantes. Tous les individus ne sont pas susceptibles de formes et d’intensité de traumatisme identiques. La vulnérabilité psychologique varie individuellement, étant liée à l’histoire personnelle et à d’éventuels traumatismes passés.
NSO (Israël), l’un des leaders du secteur des logiciels espions NSO Group Technologies est une entreprise israélienne de sécurité informatique fondée en 2010. Elle est implantée à Herzlya et a deux cents employés. NSO a été rachetée en 2014 par la société Francisco Partners pour 145 millions de dollars. Francisco Partners est une société américaine de capital-investissement axée exclusivement sur les investissements dans les entreprises de services technologiques et technologiques. Francisco Partners Management LLC a été fondée en août 1999. NSO Group : Son ancien président a été le général en retraite Avigdor Ben-Gal, ancien responsable d’Israel Aircraft Industries. Les fondateurs sont des anciens membres de l’unité 8200, l’unité de renseignement israélienne responsable du Renseignement d’origine électromagnétique.
La société a été financée au départ par un groupe d’investisseurs menés par Eddy Shalev, un associé dans le fonds d’investissement Genesis Partners. Le groupe a investi 1,8 million de dollars pour 30 % des parts de la société. Selon le New-York Times : « NSO est l’un des leaders du secteur des logiciels espions qui pullulent sur les smartphones. Le groupe doit faire face à deux procès, l’un en Israël, l’autre à Chypre, initiés par un citoyen qatarien et par des journalistes et militants mexicains. Selon le NYT : « NSO est accusé d’espionnage. Grâce à une technique consistant à proposer des bons plans pour le ramadan par exemple, NSO réussissait à installer son logiciel Pegasus sur des smartphones de personnalités importantes du Qatar ».
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Le profil des « loups solitaires » qui ont commis un attentat
Le supplément hebdomadaire du journal Israel Hayom a révélé le 23 août le contenu d’une étude réalisée par deux universitaires israéliens de renom, spécialisés dans le terrorisme : le Professeur Ariel Merari, qui fut entre 2002 et 2009 directeur scientifique de l’étude sur le terrorisme palestinien par suicide menée par le Conseil national de sécurité, et le professeur Boaz Ganor, fondateur et directeur de l’Institut de lutte contre le terrorisme et doyen de l’École de la Lauder School of Government and Diplomacy du Centre interdisciplinaire (IDC) d’Herzliya. Réalisée sous l’égide du ministère israélien de la Sécurité intérieure, Israel Hayom en a exposé les grandes lignes. Il s’agit d’une enquête approfondie sur le phénomène croissant des terroristes isolés, ceux que l’on appelle les « loups solitaires ». Les deux chercheurs se sont intéressés aux vagues d’attaques terroristes qui ont frappé Israël entre octobre 2015 et décembre 2017. Ils avaient à leur disposition une base de données qui comprenait 700 terroristes ayant participé à 560 attaques. Ces derniers semblaient avoir agi seuls ou avec l’aide de leurs proches, mais sans appartenance établie à une organisation terroriste particulière. Les équipes de Merari et de Ganor ont interrogé des dizaines de terroristes incarcérés, ont rempli des questionnaires et mené de longs entretiens personnels, avec l’assentiment de l’administration pénitentiaire et des prisonniers eux-mêmes. « Les terroristes que nous avons interviewés ont coopéré volontairement et nous n’avons rencontré que peu de refus. Chaque prisonnier sélectionné dans l’échantillon a bénéficié d’un entretien psychologique de plusieurs heures, bien plus approfondi que ce qui est d’usage dans un examen psychologique classique. Il a été invité à raconter en détail ses origines personnelles et sociales, sa famille et ses antécédents mentaux. La conversation avec chaque prisonnier est détaillée dans l’étude », ont expliqué les res-
ponsables de l’enquête à Israel Hayom. Le principal enseignement de cette étude est édifiant : 67% de ces Palestiniens ayant commis un attentat isolé souffraient à des degrés divers de troubles psychologiques ou de pathologies mentales allant jusqu’à la psychose. Beaucoup d’entre eux manifestaient des tendances suicidaires. 54% des personnes interrogées ont indiqué qu’elles auraient préféré mourir lors de l’attentat. Les sondages d’opinion réalisés depuis la seconde Intifada indiquent qu’une grande majorité de Palestiniens – entre 70 et 90% selon les périodes – soutiennent les attentats terroristes contre les Israéliens. « Mais en pratique, ils ne sont que quelques centaines à passer à l’acte. C’est pourquoi nous nous sommes intéressés à leur motivations profondes », souligne le Professeur Merari. « Notre question de recherche était : pourquoi eux ? Pourquoi sur la centaine de milliers de ceux qui haïssent Israël, si peu commettent réellement des attentats ? Qu’est-ce qui pousse un Palestinien en particulier et non pas un millier d’autres, à se lever le matin et à décider qu’aujourd’hui il poignardera ou écrasera un Juif ? » Voilà concrètement les questions de base de l’étude. L’enquête souligne la prévalence des problèmes familiaux chez les femmes ayant commis des attentats isolés. Il s’agit le plus souvent de femmes animées d’idées suicidaires, qui sont passées à l’acte parce qu’elles avaient été mariées avec des hommes contre leur gré, ou parce que leur mari avait demandé le divorce et la garde des enfants. Lors d’une tentative d’attentat récente, la terroriste s’est adressée à un soldat qui gardait un poste de contrôle en Cisjordanie et lui a demandé de lui tirer dessus. « Je ne veux pas te faire de mal, lui a-t-elle dit, mais s’il te plait, tue-moi ». Le soldat stupéfait s’est reculé et n’a pas tiré. Ce n’est que lorsque la femme s’est approchée de lui dans un geste menaçant, avec un couteau à la main, que le garde lui a tiré dessus et qu’il l’a blessée. Source : http://infoequitable.org
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Menahem Begin décide en 1983 de créer l’Agence spatiale israélienne
Tsahal fait face à une pénurie dans le secteur médical et recrute des médecins civils
Afin de réduire l’exposition des hélicoptères sous le feu ennemi et de réduire les retards causés par l’évacuation des soldats blessés, l’Armée israélienne va fournir des soins d’urgence directement dans les lignes ennemies.
Le programme spatial israélien regroupe l’ensemble des activités spatiales civiles ou militaires d’Israël. Il est le résultat de travaux de recherche et de développement de haut niveau dans le domaine militaire et industriel dans les années 1980 qui ont permis avec un budget modeste de devenir en 1988 la huitième nation à placer en orbite un satellite à l’aide d’un lanceur national. Création de l’agence spatiale israélienne À la suite du Traité de paix israélo-égyptien de 1979, les avions israéliens n’ont plus la possibilité de survoler le Sinaï pour surveiller l’activité militaire égyptienne. Par ailleurs les autorités israéliennes depuis la guerre de Yom Kippour se méfient de leur allié, les États-Unis, qui ne leur a pas fourni les renseignements satellitaires qu’ils étaient en droit d’espérer avant le déclenchement du conflit. Aussi le premier ministre Menahem Begin décide en 1983 de créer l’Agence spatiale israélienne ISA (acronyme de l’anglais Israeli Space Agency) qui est placé sous la direction de Yuval Ne’eman. L’agence spatiale coordonne les développements auxquels participent l’Université de Tel Aviv, l’Académie israélienne des Sciences et des Humanités et l’entreprise aérospatiale Israel Aerospace Industries (IAI) À l’époque Israël dispose du missile Jericho de moyenne portée qui constitue une bonne base pour le développement d’un lanceur léger. Mise au point d’un lanceur national et mise en orbite du premier satellite israélien Cinq ans après la création de l’agence, le premier satellite israélien Ofek-1 est placé en orbite le 19 septembre 1988 par un lanceur Shavit développé avec les ressources locales à partir de la deuxième version du missile Jericho. Du fait de l’exiguïté de son territoire et des relations tendues avec les pays arabes voisins, les tirs des lanceurs nationaux se font depuis la côte vers l’ouest et placent donc les satellites sur une orbite rétrograde qui réduit les capacités du lanceur (la vitesse de rotation de la Terre vient
se soustraire à la vitesse communiqué par le lanceur). Le deuxième tir qui a lieu le 3 avril 1990 place en orbite un satellite technologique Ofek-2. Il faut attendre le troisième tir effectué le 14 avril 1995 avec un lanceur Shavit-1 un peu plus puissant pour que le premier satellite de reconnaissance opérationnel, Ofek-3 soit placé en orbite. Ce dernier d’une masse de 200 kg est capable de fournir des images avec une résolution de 1,5 m. Coopération avec l’Afrique du Sud À la fin des années 1980, Israël engage une politique de coopération dans le domaine spatial avec l’Afrique du Sud pour que ce pays dispose de son propre programme spatial. Le lanceur sud-africain RSA-3 développé dans le cadre de ce programme présente des points communs avec le Shavit israélien. Mais en juin 1994, le gouvernement sud-africain qui a abandonné le régime de l’apartheid (en 1991) et réorienté ses priorités budgétaires dans le domaine social, décide de mettre fin au développement d’un lanceur national. Tentatives de développement d’un lanceur commercial En 1993-1994 l’IAI tente de commercialiser le lanceur Next, une version à trois étages du Shavit capable de placer 400 kg sur une orbite polaire. Le projet ne débouche pas mais il est à l’origine des versions Shavit-1 et Shavit-2 du lanceur national. Ces tentatives de commercialisation sont renouvelées par la suite avec l’appui de la société américaine US Coleman Research : une famille de lanceurs baptisée LK est proposée en utilisant commer premier étage le propulseur à propergol solide Castor 120. Mais cette deuxième tentative n’a pas plus de succès notamment parce que le gouvernement américain s’opposer à l’exportation de matériels considérés comme sensibles sur le plan de la sécurité. L’échec du lancement d’Ofek 4 Le 22 janvier 1998 le satellite Ofeq-4 est lancé mais le tir est un échec à la suite d’une défaillance du deuxième étage de la fusée. La perte est évaluée à 50 millions US$ (le
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90% des soldats gravement blessés au combat peuvent être sauvés s’ils sont pris rapidement en charge par des équipes médicales. Dans ce but, l’Armée israélienne va commencer à fournir des soins d’urgence directement sur le front, ce qui réduira, par la même occasion, les risques pour les hélicoptères de sauvetage. En plus d’une formation pointue, les soldats médecins pourront compter sur un nouvel outil pour l’approvisionnement du matériel médical. Chaque unité de combat disposera dorénavant d’un drone pour les besoins logistiques pouvant transporter jusqu’à 40 kg de matériel médical sur des distances de 7 à 8 km. Bien qu’il soit encore en cours d’essai, le ministère de la Défense précise qu’il peut être utilisé en cas de situation de guerre immédiate. En outre, le matériel médical de chaque bataillon comprendra également des lunettes de réalité augmentée, qui permettra à un médecin, situé hors du champ de bataille, de mener une consultation en ligne avec un spécialiste. En plus de cela, davantage d’infirmiers seront formés dans le cadre d’un stage de formation universitaire en octobre prochain. Les médecins et les auxiliaires médicaux, aux côtés des infirmiers du nouveau programme, doivent être formés comme une budget spatial annuel moyen d’Israël est d’environ 80 millions US$). Cet échec donne un coup d’arrêt au programme spatial israélien et le pays se retrouve sans satellite de reconnaissance opérationnel durant plusieurs années. Ce n’est que le 28 mai 2002 que le troisième lanceur Shavit-1 place le satellite Ofeq-5 sur une orbite rétrograde de 370 x 600 km. Le nouveau satellite d’une masse de 300 kg peut produire des images en couleurs avec une résolution inférieure à 1 mètre. L’activité spatial scientifique est réalisée principalement en coopération avec d’autres puissances spatiales : l’agence spatiale indienne ISRO (observation de la Terre et télescope spatial) et l’agence spatiale française, le CNES, pour l’étude de l’atmosphère et la surveillance de la végétation. DERNIER EVENEMENT SPATIAL ISRAELIEN. SpaceIL, une entreprise privée israélienne, a annoncé en 2018 qu’elle projetait de lancer pour la première fois un engin spatial israélien vers la lune en décembre. Ce vais-
équipe médicale de première ligne composée de combattants qui serviront dans chaque bataillon. Le Corps médical et la Division de la technologie et de la logistique (DTL) mettent progressivement en œuvre ce changement par l’intermédiaire de la Brigade de Gideon. Une unité supplémentaire sera rajoutée à chaque brigade, qui sera chargée de l’évacuation des blessés. Mais, Tsahal fait face à une pénurie dans le secteur médical. C’est pourquoi l’armée recrute des médecins civils pour occuper le poste vacant dans les unités de combat, où elles ont du mal à pourvoir le poste au sein de l’armée. Un chiffre qui s’explique notamment à cause des conditions de travail. Selon une enquête menée auprès de 3 300 soldats de Tsahal, 80% d’entre eux sont satisfaits de leur service. Cependant, la moitié des participants de l’enquête souhaitent voir leur salaire revu à la hausse. 30% d’entre eux ont exprimé leur mécontentement face à la charge de travail qui leur était assignée, tandis que 62% ont déclaré qu’ils étaient disposés à continuer à travailler dans l’armée. Le ministère de la Défense a annoncé que l’équipement militaire va prochainement changer. Durant la prochaine décennie, de nouveaux véhicules feront leur entrée. Chaque soldat sera prochainement équipé des toutes nouvelles technologies. Selon un officier supérieur, « chaque soldat de la brigade dispose d’un équipement militaire avancé et ses outils de vision nocturne seront également remplacés et mis à jour ». seau inhabité de 585 kilos se posera sur la lune le 13 février 2019, si tout se déroule comme prévu, ont indiqué les organisateurs lors d’une conférence de presse. Il sera lancé avec une fusée de la société SpaceX, de l’entrepreneur américain Elon Musk, et sa mission portera notamment sur l’étude des ondes magnétiques lunaires. « Conquérir l’espace n’est pas seulement un moyen de prouver ses capacités technologiques mais aussi un besoin urgent pour la race humaine qui dilapide rapidement les ressources naturelles de la Terre », souligne Yossi Weiss, directeur général d’IAI. « Nous devons penser à des plans de secours, la Terre rétrécit et l’avenir de l’humanité est dans l’espace », estime-t-il. « Effet Apollo » Une fois sur la lune, le vaisseau israélien transmettra des données au centre de contrôle d’IAI pendant deux jours avant que son système cesse de fonctionner. La mission est censée stimuler la curiosité scientifique des jeunes Israéliens.
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René Taïeb : « Il nous faut montrer toutes les facettes du judaïsme et de l’identité juive » Le Président de l’Union des collectivités juives du Val d’Oise n’est pas du genre à pleurer sur ce qui ne tourne pas rond. Son credo : l’action et le changement de paradigme. Pour René Taïeb, il faut assurer la sécurité et la sérénité des Français juifs, c’est une priorité. Mais il faut aussi que les Français juifs soient acteurs de leur bien-être et de leur destin sur le sol français. « Il ne tient qu’à nous de revendiquer notre place dans la société française et soyons fiers de ce que nous sommes et de ce que nous apportons à la France plutôt que de nous enfermer dans le communautarisme et les lamentations inquiètes. » C’est dit !
Un geste salué en Israël. Emmanuel Macron ce soir à la Grande synagogue de Paris
C’est un geste qui ne va pas passer inaperçu en Israël. Selon L’Express : « Le mardi 4 septembre à 19h30, le chef de l’Etat se rendra à la Grande synagogue de Paris (rue de la Victoire, dans le 9e arrondissement), pour présenter ses voeux à la communauté juive à l’occasion du Nouvel An. Les fêtes de Roch Hachana commencent le dimanche soir, 9 septembre. Jusqu’en 2013, c’était le ministre de l’Intérieur et des Cultes qui assistait à cette cérémonie. Jamais aucun président n’y a participé. En 2014, c’est le Premier ministre, Manuel Valls, qui présentait ses voeux. De même en 2015. En 2016 en revanche, pas de voeux, la communauté étant en deuil après la mort de l’ancien grand rabbin Joseph Sitruk. En 2017, Emmanuel Macron était déjà invi-
té, mais sa venue n’a pas été possible pour des raisons d’agenda, et c’est Edouard Philippe qui a représenté l’Etat. Il avait prononcé un discours où il fustigeait l’antisémitisme. Manuel Valls participait également à la cérémonie et avait été très applaudi. Pour 2018, le chef de l’Etat avait donné son accord au printemps ». La grande synagogue de Paris, généralement appelée synagogue de la Victoire ou grande synagogue de la Victoire selon l’usage qui est de nommer les synagogues par le nom de la rue où elles sont localisées, est située au no 44 rue de la Victoire, dans le 9e arrondissement de Paris. Tous les ans, le dimanche qui précède Roch Hachana (jour de l’an israélite), a lieu à la synagogue de la Victoire une cérémonie à la mémoire des Martyrs de la Déportation retransmise à la télévision sur France 2.
Vous êtes, par les fonctions que vous occupez, confronté à toutes les problématiques que rencontrent les Français de confession juive, notamment en Ile-deFrance. Dites-nous quel est le pouls du terrain, en cette rentrée ? Je suis vous l’avez dit, élu de la République, puisque je suis notamment maire adjoint de Montmagny, qu’au sein des instances communautaires. J’ai le privilège d’être investi dans des structures de grande taille, comme l’UCJ95, que je préside, mais aussi dans des instances locales, plus réduites. Cette expérience du terrain m’a fait prendre conscience que la communauté juive doute. Elle s’interroge sur son avenir, sur ce qu’elle doit faire ou pas. Vivre en paix et en sécurité ici. Alyah ou pas ? Quelle place, au-delà de la sécurité, avons-nous en France, quelle place aurons-nous à l’avenir ? Que répondez-vous à ces questionnements ? Je dis qu’il faut réinventer notre façon de montrer notre judéité ! Qu’il faut donner à voir toutes les facettes du judaïsme et des valeurs juives ! L’irruption de la communauté juive, dans le brouhaha médiatique ne se fait qu’à travers les problématiques de sécurité, d’antisémitisme et de conflit israélo-palestinien. Sans négliger ces thématiques, qui sont fondamentales, nous devons reprendre la main sur notre communication comme l’a d’ailleurs très bien fait Israël : le conflit s’enlise, la paix n’est pas au programme, mais l’Etat hébreu a compris que la bataille médiatique se menait ailleurs. C’est en mettant en avant sa facette « start up nation », en communiquant sur ses prouesses agricoles, sa gastronomie, sa vie
culturelle, ses prouesses scientifiques et médicales qu’Israël se fabrique une nouvelle image. Nous devons faire de même ! Concrètement que proposez-vous ? Réinventez nos représentations institutionnelles, il n’est pas normal qu’une institution comme le Consistoire qui n’a que quelques milliers d’adhérents et donc de votants, soit la principale interlocutrice des pouvoirs publics sur le thème de la vie juive. Il y a par exemple 240 communautés juives en Ile-deFrance, seules 80 d’entre elles adhèrent au Consistoire. Que faire des 160 autres ? Doiton les considérer comme quantités négligeables ? Considérer que ce ne sont pas des juifs qui les constituent ? Bien sûr que non ! On voit bien qu’il faut ouvrir les institutions à chaque juif, pour que chacun se sente représenté, concerné, investi. Je plaide aussi pour une plus grande ouverture sur la cité. Les Français juifs doivent s’investir dans le fonctionnement de la vie républicaine, dans les problématiques de société. C’est en tant que Français qu’ils doivent solliciter soutien et protection de la République française, pas en tant que juif, car la religion est du domaine du privé. En échange, ils doivent contribuer au rayonnement des valeurs républicaines et faire en sorte, comme n’importe quel citoyen, que ces valeurs ne soient pas fragilisées voire vaincues par la montée des communautarismes ! Retrouvez René Taïeb dans un prochain numéro D’Israël Actualités, pour une interview exhaustive sur tous les sujets qui préoccupent les communautés juives de France.
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Vous avez peur de prendre l’avion pour vous rendre en Israël ? Une solution…
BNP Paribas. Opportunités d’investissement en Israël Le panel de peurs pour prendre l’avion, en dehors d’un attentat potentiel, et voler en direction d’Israël est important. On trouve la claustrophobie (espaces clos), l’acrophobie (hauteurs), l’agoraphobie (foule/endroits non-familiers), la misophonie (germes), l’astraphobia (tempêtes), la phobie sociale (comme manger en public) et l’emetophobia (vomissements) pour ne citer que quelques-uns des facteurs qui peuvent alimenter une peur de l’avion. Selon (1) : « Vous avez peur de l’avion ? Air France propose des stages « Apprivoiser l’avion » pour vous permettre de surmonter vos angoisses. Au programme : rencontre avec un psychologue spécialiste du stress aéronautique ainsi qu’avec des membres du personnel navigant, installation dans un simulateur de vol, familiarisation avec l’appareil… Cela vous coûtera 650 euros. Plusieurs sessions sont organisées chaque mois au centre technique de formation des pilotes Air France (aéroports Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly). Environ une personne sur quatre a peur de l’avion. Cela peut se traduire par un simple, « je n’aime pas vraiment prendre l’avion » à un refus catégorique de monter dans un avion. Quoi qu’il en soit, cette peur pénalise aussi bien les personnes désireuses de partir en vacances dans un lieu accessible uniquement par avion que les personnes souhaitant rendre visite à un proche. Peu importe à quel niveau vous vous situez sur l’échelle de la peur, il est tout à fait possible de la maîtriser. Nous avons contacté Patricia Furness-Smith, une psychologue membre de l’équipe de British Airways, spécialisée depuis plus de 25 années sur les phobies et qui propose des stages ‘Prendre l’avion en toute confiance’. Nous lui avons
demandé d’où vient cette peur et comment on peut la vaincre. Comment se fait-il que nous ayons si peur de prendre l’avion alors que prendre la voiture tous les jours ne nous effraie pas ? Nous sommes une espèce terrestre. De ce fait, nous ne sommes fondamentalement pas faits pour voler. Par conséquent, lorsque nous volons, notre cerveau interprète cette expérience comme quelque chose d’étrange, d’anormal. Cette peur primitive est régit par le cerveau reptilien, ainsi, le néocortex, la partie rationnelle de notre cerveau, est complètement mise à l’écart. Tant et si bien que les statistiques qui démontrent que l’avion est le moyen de transport le plus sûr n’ont aucune influence sur la peur primitive induite par le fait de voler. Pourtant, il est démontré que c’est 100 fois plus dangereux de prendre la voiture qu’un avion. Pas étonnant, quand on sait que l’industrie aéronautique applique une tolérance zéro en matière de sécurité. Les pilotes sont sur-entraînés et leurs compétences contrôlées fréquemment, tandis que l’équipage suit pléthore de consignes de sécurité entre chaque décollage et atterrissage. La constitution de l’avion est en elle-même hautement sécurisée, que ce soit concernant les ailes, le moteur ou les réservoirs à carburant, et tout cela additionné fait qu’il reste le mode de transport le plus sûr au monde. C’est d’ailleurs pour cette raison que les Américains envoient leur président dans les airs lorsqu’il y a un problème sur terre, car il s’agit de l’endroit le plus sécurisé (c’est 18 fois plus sûr que de rester à la maison, et 10 fois plus sûr que d’être au bureau) ». (1) momondo.fr
Une analyse économique de BNP Paribas : « Israël est le pays qui investit le plus en recherche et développement dans le monde (4,8% du PIB). Le pays possède une main-d’œuvre hautement qualifiée, notamment dans l’ingénierie et les hautes technologies. Avec un taux de chômage très faible (environ 4 %), une consommation privée forte et stable (55 % du PIB en 2017) et des salaires réels en progression, tout indique que la croissance sera encore au rendez-vous en 2018. Et ce d’autant plus que la confiance des ménages est au plus haut. Même si le pays est encore jeune, Israël dispose d’une stabilité politique forte : c’est dû d’un côté à son système démocratique stable et de l’autre au soutien politique et financier des États-Unis. Enfin, Israël a découvert en 2013 d’importantes réserves offshore de gaz naturel, ce qui permettrait au pays de réduire sa dépendance énergétique et de créer de nouvelles opportunités de développement. Le principal obstacle au développement économique du pays reste l’instabilité chronique liée au contexte politique régional. Notamment, les négociations de paix entre Israël et les Palestiniens sont au point mort. Par ailleurs, l’État israélien a une dette publique très importante. Enfin, des coûts de main-d’œuvre plus élevés que les standards
de la région et un impôt sur les sociétés relativement élevé constituent des freins aux investissements en Israël.Les mesures mises en place par le gouvernementLes investissements étrangers sont incités en Israël par la loi d’encouragement à l’investissement, récemment révisée. Le récent amendement de cette loi y rajoute un programme d’incitations fiscales. Le gouvernement en place cherche également à apporter le soutien nécessaire aux entrepreneurs et à l’écosystème entrepreunarial : de nombreuses start-ups voient ainsi le jour en Israël, particulièrement dans les technologies de l’information et de la communication (TIC). Les opportunités d’investissement Les secteurs économiques clés - Secteurs à valeur ajoutée : high-tech, aéronautique, électronique, télécommunications, informatique, biotechnologies, etc. - La sécurité : biométrie, surveillance et protection. Ressources : traitement de l’eau brute et dessalement de l’eau. Les secteurs à fort potentiel - Industrie chimique, agro-technologies, industrie des semi-conducteurs, communication, environnement, biotechnologies, sécurité, gaz naturel ». www.tradesolutions.bnpparibas.com
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De nombreuses startups israéliennes seront en France en Octobre
Selon de sources IsraelValley, de nombreuses startups israéliennes seront en France en Octobre 2018 afin de présenter leurs technologies. La création de plusieurs centres de recherche et incubateurs en Israël dans les trois dernières années dans le domaine alimentaire est un fait. La multiplication d’événements catalysant l’innovation, à l’instar du FoodTech IL, qui a eu lieu à Tel-Aviv début mai démontre la progression du food-secteur en Israël. Selon un communiqué de l’Ambassade d’Israël en France : « La culture culinaire israélienne se nourrit des différentes vagues d’immigration, qu’elles soient russe, indienne, sud-américaine, éthiopienne, etc. Chacun amène sa propre influence, qui se mêle aux goûts moyen-orientaux. Nous sommes ainsi en train de construire une cuisine très innovante, très fraîche car reposant beaucoup sur les fruits et légumes. Nous sommes heureux de vous annoncer la présence d’une dizaine de sociétés israéliennes au Sial, au Parc des expositions Paris Nord Villepinte ». SIAL Paris est le plus grand salon de l’innovation alimentaire. Ce salon sera une occasion exceptionnelle de découvrir la richesse et l’excellence israélienne dans le domaine de l’alimentation. Les représentants des sociétés israéliennes auront le plaisir de vous faire déguster leurs dernières innovations. Tous les produits proposés sont naturels, gourmets, ethniques, méditerranéens, bons pour la santé, d’origine mais aussi sans lactose ou sans gluten.
En 2018, SIAL Paris sera plus que jamais une source d’inspiration pour l’alimentation mondiale. - 7 020 entreprises de plus de 109 pays présenteront leurs produits aux professionnels de la distribution et de la restauration. - Des ingrédients aux produits finis, en passant par les équipements, tous les produits alimentaires seront présentés : à découvrir sur 21 secteurs d’exposition. - En quête d’idées ? SIAL Innovation mettra une nouvelle fois les produits alimentaires innovants sous les feux des projecteurs. - Et pour aller plus loin : découvrez les conférences SIAL TV et In-Food Centre, les résultats des études dédiées aux tendances de la distribution et de la consommation de World Tour. Et bien plus encore ! Visitez notre espace start-ups en devenir et découvrez les produits et services alimentaires de demain. Il offrira à 50 entreprises européennes en devenir de participer au SIAL Paris 2018. #SIALRisingStartup va ainsi mettre en lumière de jeunes créateurs, tout près d’arriver au bout de l’aventure pour laquelle ils se battent : trouver des solutions pour l’alimentation du futur en termes de nouveaux produits, services, packaging… En partenariat avec les incubateurs du réseau universitaire Idefi- Ecotrophelia, nous sélectionnerons les start-ups les plus innovantes afin de vous présenter des produits ou des services en phase de conceptualisation.
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Depuis la base de Kourou en Guyane, succès pour Galileo
L’État d’Israël fut le premier pays non-européen à être associé au programme-cadre de recherche communautaire de l’Union européenne. La Commission européenne a signé un accord avec Israël en 2004 autorisant sa participation à Galileo, le Système de positionnement par satellites de l’Union européenne. Cette année Galileo engrange des succès indéniables. Selon (1) : « Quatre satellites Galileo ont été mis sur orbite par la toute dernière fusée Ariane 5ES, consolidant la place de l’Europe en tant que deuxième puissance spatiale du monde. Elle propose désormais un GPS indépendant du système américain et beaucoup plus précis. Mercredi, la fusée Ariane 5ES a mis en orbite quatre nouveaux satellites qui viennent renforcer l’infrastructure du système de localisation par satellite européen Galileo.
Lancé fin 2016, Galileo est un système de satellites conçu pour assurer l’indépendance de l’Europe en termes de géolocalisation. Il compte aujourd’hui 18 satellites opérationnels en orbite autour de la terre, assurant la couverture de près de 96% du globe – bientôt 99%, avec l’activation des 4 nouveaux venus. Galileo est un projet stratégique pour l’Europe. « Dans le contexte géopolitique que nous connaissons, personne ne peut douter qu’il est important que l’Europe ait une autonomie de moyens lui permettant d’assurer des services de navigation par satellite », souligne Stéphane Israël, président d’Arianespace. Ses signaux sont en effet utilisés pour les systèmes bancaires modernes, la télévision par satellite, la gestion du trafic et des chemins de fer. Ils serviront également de clé de voute au développement cde système d’intelligence artificielle et de voitures autonomes ».
En France, le nombre d’hôtels de luxe possédés par des qataris et israéliens ?
Le Qatar a investi près de 7 milliards d’euros en France ces 5 dernières années et est actionnaire de nombre d’entreprises de l’Hexagone, via son fonds souverain, sans parler de ses intérêts immobiliers. Les échanges commerciaux entre le Qatar et la France ont doublé depuis 2012 et l’émirat a représenté l’an passé le septième excédent bilatéral du commerce extérieur français. Côté corporate, le Qatar est certes présent parmi les sociétés du Cac 40 et autres grandes firmes françaises, sans être pourtant omniprésent. On le voit surtout via son fonds souverain le Qatar Investment Authority (QIA). C’est vrai chez Accor (où QIA possède 10,3% des parts).
c’est dans l’immobilier. Ici, le QIA n’est pas le seul investisseur en direct. On retrouve également des membres de la famille royale et autres entités. Ils détiennent ainsi les hôtels parisiens Raffles (ex-Royal Monceau), Concorde Lafayette, l’hôtel du Louvre et le très luxueux Peninsula (en co-propriété avec des investisseurs chinois), récemment ouvert après quatre années de travaux pharaoniques. Ils possèdent de même le Buddha-Bar Hotel. L’émir du Qatar est de son côté propriétaire de l’hôtel d’Evreux, niché dans la prestigieuse place Vendôme à Paris, et son frère détient l’hôtel Lambert, à la pointe de l’Ile Saint-Louis. En province, ce sont le Martinez et le Carlton à Cannes et le Palais de la Méditerranée à Nice.
Mais là où ce tout petit Etat est présent,
Source : Le Figaro
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A Hod hasharon une synagogue Les étrangers comptent pour 40% des acheteurs du marché de l’art israélien libérale de 12 000m² Depuis que Tel Aviv a émergé du sable, sa scène artistique est née et de nombreux créateurs y ont laissé leur empreinte. D’où cette impression d’esprit bohème. Aujourd’hui, que le quartier soit bobo, branché, moderne ou pittoresque, l’art contemporain est présent au coin des rues : espaces créatifs, centres de design, ateliers, écoles, etc. Sans compter les musées ou les foires, la cité compte plus d’une cinquantaine de galeries qui exposent des artistes Israéliens ou étrangers : peinture, sculpture, photographie, design. En Israel, le marché de l’art s’élèverait annuellement à environ 20 millions d’euros en transactions entre galerie et ventes. Mais
Les juifs réformés israéliens peuvent, après des années d’attente, finalement bâtir une synagogue à Hod HaSharon.
Ramat Hadar ont fusionné. Hod Hasharon a été gouvernée par un conseil local jusqu’à ce qu’elle soit déclarée ville en 1990.
La congrégation de la ville a précisé qu’elle avait déjà collecté 860 000 euros sur les 1,7 million d’euros qui lui sont nécessaires pour construire et meubler la synagogue de 12 000 mètres carrés.
Hod HaSharon est situé sur le centre d’Israël, sur la plaine côtière israélienne. La ville est située à environ 10 kilomètres à l’est de la côte méditerranéenne, au sud de Kfar Saba, au sud-est de Ra’anana, et au nord-est de Ramat Ha-Sharon. La ville est à environ 8 kilomètres à l’ouest de la Cisjordanie et à 8 kilomètres au nord-est du centre de Tel Aviv.
Le courant libéral conteste la consolidation du monopole des orthodoxes sur les conversions en Israël et ses représentants affirment ne plus tolérer l’influence croissante d’un establishment religieux “intolérant”, qu’ils jugent être “une menace existentielle” pour le futur et l’unité du peuple juif. Le mouvement promet de ne pas céder dans ce qu’il considère comme un combat pour l’égalité complète des droits politiques et sociaux en Israël. Hod Hasharon a été créée en 1964 quand les colonies de Magdiel, Ramatayim, Hadar, et
Plus impressionnant encore, leur incroyable synergie sur la glace s’est formée après une collaboration de moins de cinq mois. «Patiner pour Israël signifie beaucoup lorsque l’on vient d’un petit pays, de la très petite ville où j’ai grandi, avec le rêve de devenir un jour champion olympique. Et maintenant, juste quelques jours après
Par ailleurs, bien que les arts visuels ne jouissent pas d’une vraie tradition locale, de solides collections ont vu le jour. Le boom du high-tech des dernières années a produit une nouvelle catégorie de jeunes amateurs israéliens. Quant aux nouveaux médias, ils rentrent également peu à peu dans la culture moderne. Ainsi, le Centre d’Art Contemporain, fondé en 1998, soutient œuvres vidéo et performances artistiques. http://www.noemiegrynberg.com
Pourquoi Tel Aviv a reçu un prix de 100.000 € de l’UE ?
La composition ethnique de la ville était en 2006 de 99,9 % juifs et autres non-arabes, sans importante population arabe. 6,8 % de la population de la ville est constituée d’immigrants vers Israël depuis 1990. Il est prévu que la ville ait 80 000 habitants en 2025. La densité de population de Hod HaSharon est la plus basse dans la plaine de Sharon.
Merveilleux! Patinage venu d’Israël avec Paige et Evgeni
Pendant les Jeux olympiques d’hiver de 2018 en Corée du Sud, Paige Conners et son partenaire de patinage Evgeni Krasnopolski ont enchanté les foules avec leur performance spectaculaire en patinage en couple.
la taille du pays ne permet pas de parler de véritable essor local sans fenêtre sur l’extérieur. Inversement, les étrangers comptent pour 40% des acheteurs du marché israélien.
mes deuxièmes Jeux olympiques, je ne peux toujours pas y croire », a déclaré Krasnopolsky à la presse en février. Bien que le duo n’ait pas remporté de médaille, leur grâce sur la glace laisse présager que ce n’était probablement pas leur dernière apparition sur la scène mondiale. Israël n’a jamais remporté de médaille lors des Jeux olympiques d’hiver mais a présenté davantage d’athlètes au cours de ces dernières années, grâce en partie à un afflux de résidents venus des anciens pays de l’Union soviétique. Le nombre de 10 athlètes présenté par l’Etat juif est un record pour le pays à l’occasion d’Olympiades d’hiver.
Signé en 1995 dans le cadre des Accords Euro-méditerranéens (EUROMED) et entré en vigueur en 2000, l’Accord d’Association UE-Israël constitue le traité le plus important entre l’Union européenne et Israël. Cet accord entraîne une totale détaxation des produits exportés par Israël vers les Etats de l’Union européenne. Le Plan d’Action UE-Israël, un élément constitutif de l’Accord d’Association, définit aussi les termes de la participation d’Israël à une variété de programmes européens tels que le programme de financement de la recherche Horizon 2020, le projet de système de positionnement par satellite Galileo et le programme d’échanges universitaires Erasmus. Ainsi, l’Union européenne est devenue le premier partenaire économique d’Israël. L’article 2 de l’accord d’association UE/ Israël fonde ses dispositions sur le respect des Droits de l’Homme et des principes démocratiques, qui inspirent leurs politiques internes et internationales et qui constitue
un élément essentiel du présent accord. L’an dernier, la Commission européenne avait lancé un appel à candidature pour l’attribution d’un «prix de la capitale européenne de l’innovation 2017» (« iCapitale »). Ce prix a été décerné à la Ville de Paris, qui a reçu de ce fait un million d’Euros. Tel Aviv a obtenu 100.000 € qui a récompensé son initiative « Smart City Urban Lab« , qui (selon le communiqué de presse de l’UE) «met en relation de startups innovantes et des entreprises technologiques de premier plan afin de favoriser l’émergence d’innovations de rupture pour la résolution de problèmes urbains. L’enseignement étant l’une des priorités de Tel-Aviv, une partie du prix a été affectée au renforcement de l’initiative pour une éducation intelligente que la municipalité a développée en collaboration avec des enseignants, des parents, des étudiants et de startups spécialisées dans les nouvelles technologies».
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Israël, pays des hyperactifs. Faire Le BDS en joie. Mauvaise de sa vie une « story » au quotidien pioche pour Lana Del Rey qui
Israël est le pays où tous les hyperactifs se sont donné rendez-vous. C’est à se demander si sionisme et hyperactivité ne sont pas imbriqués. Si l’un n’engendre pas l’autre, irrémédiablement. Si le mot « mouvement » national n’est pas à prendre au pied de la lettre.
Le pays où ils ont concentré leur esprit de contradiction pour en faire un cocktail tellement fort, qu’il est souvent indigeste au premier abord. Qu’il faut siroter par petites gorgées. Un pays où la vie est tellement tendue qu’on comprend ce que l’expression « puiser dans ses ressources » veut dire. Un pays où presque personne n’est arrivé par hasard. Un pays qui génère de l’amour ou de la défiance mais auquel personne ne peut se dire indifférent. Un pays dont tout le monde dit qu’il aimerait le quitter mais dont personne ne part réellement. Ou bien pour y revenir avec hâte et y être accueilli avec des ballons à l’hélium. Un pays où les enfants ont chaque jour un agenda plus rempli que celui de leurs parents. Où l’école est un Gentil Organisateur qui cherche par tous les moyens et en toutes circonstances à divertir. Où les occasions de se souvenir, de se réjouir, de fêter ne se comptent plus. Un pays où les klaxons pleuvent si votre moteur ne vrombit pas au feu vert. Un pays où vos pieds sont en
Orient et votre esprit tourné vers l’Amérique ou l’Europe. Un pays où vous parlez dans une langue le jour et écrivez ou rêvez dans une autre le soir.
annule son concert en Israël
Un pays où vous recevez autant d’emails de la part des enseignants que de votre propre travail… Où chaque jour apporte son lot de pastèques à couper, de corbeilles à remplir ou de T-shirt de couleur à prévoir. Où les enfants se déploient et ressemblent à des petits adultes. Où la gestion des groupes WhatsApp est tellement chronophage que certains la délèguent à leur secrétaire pour qu’elle leur fasse un résumé chaque soir avant de regagner le foyer. Où la charge mentale n’a jamais été si grande sur les parents. Où vos limites sont en permanence repoussées. Où l’on n’accorde du crédit qu’à l’action et aux réalisations concrètes. Où l’école donne plus d’importance aux activités sociales et artistiques qu’aux tables de multiplication. Et être israélien, c’est considérer cette hyperactivité comme normale. C’est être intolérant à la lenteur, à la routine, aux jours qui se ressemblent. C’est faire de sa vie une « story » au quotidien. Et c’est croire que ce qui n’est pas intense, coloré, pimenté, n’est pas. Nathalie Ohana
Superbe rentrée scolaire. Merveilleux jour pour des milliers d’enfants en Israël
Colère en Israël. Incroyable mais vrai. Lana Del Rey annule son passage en Israël. Retournement de situation complet qui va déplaire à ses fans en Israël. Une victoire certaine ce soir pour le mouvement antisioniste BDS. Lana Del Rey a cédé au violent chantage des mouvements palestiniens et annule son concert en Israël! Del Rey est une autrice-compositrice-interprète américaine qui devait faire un show exceptionnel en Israël dans les tous prochains jours. « Quand je serai en Israël, je visiterai aussi la Palestine. J’ai hâte de rencontrer des enfants palestiniens et israéliens et de jouer de la musique pour tout le monde. Je veux la paix pour Israël et la Palestine. », avait-elle publié sur Instagram récemment.
Selon i24News : « La chanteuse américaine Lana Del Rey qui devait venir en Israël dans le cadre du Meteor Festival – un événement de trois jours qui se déroulera du jeudi 6 au samedi 8 septembre dans le nord du pays – a annoncé vendredi sur son compte Twitter qu’elle annulait sa venue ». Elle avait personnellement répondu à l’ancien membre des Pink Floyd Roger Waters, un éminent militant de BDS qui avait publié une lettre ouverte lui recommandant vivement de boycotter le festival. Dans une publication Facebook diffusée mardi, Waters avait indiqué que jouer en Israël « serait un acte politique en soutien à l’état d’apartheid qui nie aux [Palestiniens] l’accès aux droits de l’Homme de base. Même si, au plus profond de votre coeur, vous pensez être neutre ».
Qui sont les « Arhs » (laskars) en Israël ? Le slip et les chichas sur la plage On aime Israël. Ici c’est le bonheur, un climat idyllique, la mer, les tomates cerises. Et puis il y a ces Israéliens qui parlent fort, qui vous foncent dessus en voiture, quand c’est pas au piéton de passer, qui te font poireauter à la banque pour finir leur conversation téléphonique avec leur copine Karina ou encore qui te laisseraient certainement pas passer devant eux même si t’as juste une bouteille de lait à la caisse. Environ 2,3 millions d’élèves israéliens sont de retour à l’école, dont 161.000 qui entrent pour la première fois à l’école et 124.000 qui la quitte pour rejoindre l’armée ou les études supérieures. Selon (1) : « L’année scolaire débute ce jour en Israël. Malgré les limites imposées
par les établissements scolaires israéliens comme, par exemple l’obligation de porter une chemise à l’effigie de l’école, l’interdiction d’arborer un T shirt qui dévoile le ventre, un short ou encore une mini jupe, les élèvent gardent toutefois une grande marge de manœuvre pour se rattacher à la mode et exprimer leur créativité ».
Des particularités à la plage repérés par le site Roots Israel … 1. La bande de « Arhs » qui ramène leurs enceintes comme si ils étaient seuls au monde, leur glacière pleine de bière et leur chicha portative à la plage (1). Ah vous les adorez ceux-là ! Avec cette fameuse coupe-
de-cheveux-chelou, et ce même truc qu’ils font, peut-être un geste de ralliement que sais-je ? Le crachat sur le côté, et on poursuit joyeusement sa conversation sur un ton très mélodieux que savent emprunter ces adorables laskars. 2. Le slip sur la plage. Puisqu’on est dans le registre plage, parlons de tous ces mecs qui viennent se baigner en sous-vêtements, ce qui veut dire slip-kangourou pas super classe et pas super hygiénique… Source : http://rootsisrael.com/top10pire
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De Jérusalem jusqu’à l’aéroport Le Dolphinarium de Tel-Aviv Ben Gurion en train. C’est pour est mort. Bientôt un centre de bientôt… sports nautiques
Le ministre israélien des Transports Israël Katz a annoncé que le train Jérusalem-Tel Aviv, circulera dès le 23 septembre uniquement de Jérusalem jusqu’à l’aéroport Ben Gurion. Le reste du tronçon ne sera mis en service qu’au début de 1919 ou peut-être même plus tard. Cela fait maintenant presque 10 ans que les travaux sur la ligne à grande vitesse Jérusalem-Tel-Aviv ont commencé. Le projet a
souffert d’innombrables retards, d’une absence de planification globale ainsi que de l’absence d’une étude de faisabilité économique de la part d’Israël Railways.
Les Chemins de fer israéliens est l’entreprise publique qui exploite les lignes de voyageurs et de fret interurbaines et suburbaines en Israël. Le réseau à voie normale est essentiellement développé le long de la côte méditerranéenne et est centrée sur la ville de Tel Aviv-Jaffa.
L’Israélien Michael Lewis a fondé Juice Box, une marque de smoothies
Michael Lewis est un acteur et mannequin israélien. En été 2007 et en hiver 2008, Lewis travaillait pour la société de vêtements israélienne Fox, avec Esti Ginzborg. L’Israélien Michael Lewis a été nommé l’un des 25 hommes les plus sexy du monde par le magazine People. Lewis a connu une carrière de couverture pour plusieurs magazines et a également défilé pour des mai-
sons de mode israéliennes comme Castro. Il a remporté le trophée Mirror Ball sur la version israélienne de la série de concours de danse « Dancing with the Stars ». Il a également participé à la version israélienne de « Survivor » et à une version italienne de « The Amazing Race » appelée « The Peking Express ». En 2017, Lewis a fondé Juice Box, une marque de smoothies et de boissons santé à Tel Aviv.
Les travaux de démolition de la structure du Dolphinarium à Tel Aviv (1) avaient commencé le 16 mai 2018. La démolition devrait durer deux mois, le temps de démolir et d’évacuer les gravats du bâtiment. C’est à présent fait. IsraelValley a suivi en temps réel les étapes de la démolition de ce bâtiment emblématique d’Israël. En lieu et place de l’édifice la municipalité construira un parc côtier municipal, un centre de sports nautiques et une promenade publique le long de la plage de Tel–Aviv. (1) L’attentat du Dolphinarium de Tel Aviv est un attentat-suicide perpétré le 1er juin 2001 à l’entrée de la discothèque du Dolphinarium de Tel Aviv. Cet attentat a été revendiqué dans un premier temps par le Jihad
islamique palestinien, puis par un groupe se donnant le nom de Hezbollah-Palestine, avant que les deux groupes ne se rétractent dans leurs revendications1. Cet attentat a eu lieu pendant la seconde Intifada. Le terroriste, Saïd Khutari, âgé de 22 ans, s’est mêlé à la foule d’adolescents qui attendaient devant l’entrée, et a fait exploser sa bombe. 21 Israéliens, parmi lesquels 16 adolescents, ont été tués et 120 autres ont été blessés. Les victimes de cet attentat sont pour la plupart des immigrants russes et ukrainiens. Cet attentat a particulièrement marqué les esprits, en Israël comme en Diaspora. En réaction à cet attentat, Hassan Nasrallah, le secrétaire général du Hezbollah, a félicité les responsables du Djihad islamique pour cette attaque.
Ania Bukstein sur scène avec l’Orchestre philharmonique d’Israël
Pianiste de formation classique, Ania Bukstein a connu le succès en tant que musicienne, chanteuse et actrice pour le cinéma et la télévision. Les fans de « Genius » nominé aux Emmy Awards de NatGeo la reconnaîtront comme la bien-aimée d’Albert Einstein, Margarita Konenkova, tandis que ceux qui attendent patiemment le retour de « Game of Thrones » de HBO se souviendront de son rôle de la prêtresse rouge Kinvara. «C’était un personnage génial. Elle a botté des derrières. Elle a montré du pouvoir. Elle était tellement intimidante, tellement effrayante », a déclaré Bukstein à la presse au sujet de son rôle »GOT « . «J’ai tout aimé à partir du moment où j’ai lu la scène lors
de mes auditions. Je suis une vraie fan de la série, alors j’ai compris le langage de « Game of Thrones ». En plus de ses talents à l’écran, Ania Bukstein est également montée sur scène pour jouer du piano avec l’Orchestre philharmonique d’Israël et se produire dans des comédies musicales. En 2013, elle a joué le rôle de Maria Von Trapp dans « The Sound of Music ». « C’est de la joie pure pour moi », a-t-elle dit à l’époque. « Chaque nuit, j’ai la chair de poule et je suis tellement ravie de chanter ces chansons. Je suis honorée de pouvoir même y toucher ce parce que c’est un classique. » Source : fromthegrapevine.com
POLITIQUE
Un parti qui veut l’adoption du mariage civil en Israël ?
Le Ministre des finances Kahlon : « Le parti Koulanou assumera la responsabilité de l’agriculture israélienne, il demandera ce portefeuille et il lui offrira, une nouvelle fois, la place digne et professionnelle qu’elle mérite. » Le parti Koulanou est créé en fin décembre 2014, dans la perspective des élections législatives israéliennes de 2015. Koulanou arrive en cinquième position avec 7,49 % des voix, et 10 sièges de députés. Il fait partie de la coalition au pouvoir et trois des ministres du gouvernement actuel viennent de ce parti : Yoav Galant, ministre de la Construction ; Eli Cohen (en), ministre de l’Économie (depuis 2017) et Moshe Kahlon, ministre des Finances. Avi Gabbay était ministre de la Protection de l’environnement entre 2015 et sa démission en mai 2016.
Koulanou est un parti politique israélien dirigé par Moshe Kahlon qui met l’accent sur les questions économiques et le coût de la vie. Sur le plan international, le parti est dit plus modéré que le Likoud, en souhaitant entre autres le gel de la croissance d’avantposte israélien à l’extérieur des grands blocs de colonies afin de préserver les perspectives d’une solution à deux États tout en s’efforçant d’améliorer les conditions en Cisjordanie. Le parti soutient, entre autres : - l’adoption du mariage homosexuel et du mariage civil, - la dépénalisation du cannabis, - l’augmentation du financement de l’État pour les confessions juives non orthodoxes, - mise en service partielle des transports public le samedi.
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Sujet N°1 dans les médias israéliens. Un plan de paix de type confédération ?
Des conseillers américains travaillant à un plan de paix entre Israéliens et Palestiniens ont proposé au président palestinien Mahmoud Abbas une confédération avec la Jordanie, a indiqué une membre d’une ONG israélienne après une rencontre avec M. Abbas. Lors d’une réunion avec des militants israéliens pour la paix à Ramallah, en Cisjordanie, le président palestinien a rapporté une conversation qu’il a eue avec le conseiller de Donald Trump, Jared Kushner, et l’émissaire spécial du président américain pour le Moyen-Orient, Jason Greenblatt, a expliqué à l’AFP Hagit Ofran de l’ONG la Paix Maintenant. Selon elle, Mahmoud Abbas aurait répondu aux responsables américains qu’il était intéressé par l’idée d’une confédération mais uniquement si Israël en faisait également partie. Une manière de décliner car l’Etat
hébreu n’acceptera jamais une telle configuration, a-t-elle ajouté. Aucun détail n’a filtré concernant la date de cet entretien entre M. Abbas et les conseillers américains, l’Autorité palestinienne ayant officiellement coupé tout contact avec la Maison blanche depuis l’annonce par Donald Trump, début décembre, de la reconnaissance unilatérale de Jérusalem comme capitale d’Israël. Le bureau de M. Abbas a confirmé la tenue de la réunion dimanche avec les militants israéliens pour la paix, mais pas les propos qui ont été tenus sur la proposition d’une confédération avec la Jordanie. Une partie de la droite israélienne voit dans l’établissement d’une confédération palestino-jordanienne un moyen d’éviter la création d’un Etat palestinien indépendant. Source : www.voaafrique.com