GRATUIT - Numéro 493 - Edition du 24 au 30 Octobre 2018
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 24 au 30 Octobre 2018
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Dans les rues de l’enfer comme sur les pavés de Paris, les hyènes sont de sortie… prendre qu’un citoyen, élu ou pas, pensant n’avoir rien à se reprocher, voit cette intrusion dans ses locaux comme une violence, on ne peut admettre la façon odieuse et les méthodes de voyou employées pour vous y opposer. Jouer au complot politique, prétendez une vengeance macronienne si cela vous chante, mais n’empêchez pas la police de faire son travail !
C’est le genre de nouvelles dont on ne sait s’il faut se réjouir : Robert Faurisson est mort. Le « faussaire de l’histoire », universitaire de papier qui n’a eu d’autre occupation tout au long de sa pathétique existence, que de nier l’existence de l’Holocauste et des chambres à gaz, a cassé sa pipe, à Vichy, à 89 ans. Pourquoi cette âme damnée a-t-elle vécu aussi longtemps ? Je ne sais. La seule explication que je puisse trouver à sa longue existence tient à la définition du mot monstre : le terme trouve son étymologie dans le verbe latin moneo, es, ere. Un verbe qui veut dire avertir. C’est le propre des monstres, ils sont là, ils existent pour nous montrer la laideur, celle de nos pensées comme de nos actes, celle que l’âme humaine, sans raison ni foi, peut facilement faire sienne. Laisser le monstre en vie, c’est laisser sous les yeux des autres humains le danger qui guette, la menace incarnée. Si Faurisson n’est plus, il nous faudra alors redoubler de vigilance pour que le mal n’avance pas masqué. En attendant, que sa triste dépouille soit oubliée. Oui, j’ai beau penser que le monstre sert d’avertissement, je ne peux que souhaiter que son simple souve-
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nir s’efface. Je ne lui ferai pas la grâce de me réjouir de son décès. C’est lui donner de l’importance, lui faire trop d’honneur. Je ne m’étendrai pas non plus sur les tortures éventuelles que les six millions d’âmes juives réduites en cendre par la folie des nazis pourraient faire subir à la sienne d’âme moisie. De fait, elles ne se rencontreront, les moisissures ne peuvent rejoindre le Gan Eden. L’autre fait d’actualité qui m’a marqué cette semaine est, dans un autre genre, mais presqu’aussi nauséabond. Il s’agit des rodomontades, des hurlements, des menaces et des bousculades, des insultes et des gesticulations assorties de propos vexatoires, tenus et pratiqués par un « élu de la République » : Jean-Luc Mélenchon. Il le dit lui-même, « La République, c’est lui ! » Ah bon ? Au lieu de l’affirmer en hurlant, monsieur Mélenchon, ne serait-il pas temps de vous montrer digne de vos fonctions ? Parce qu’en vérité, la façon dont vos militants et vousmême avez molesté les forces de police lors de la perquisition de votre permanence était une honte pour notre démocratie. Personne n’est au-dessus des lois et si l’on peut com-
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Car enfin, quel signal donne-t-on ainsi à la jeunesse : qu’en étant élu, on peut tout se permettre, y compris ne pas obéir aux forces de l’ordre ? Et puis il y a les insultes, ces propos outranciers que vous éructez avec profusion : les journalistes que vous traitez d’abrutis, les politiques que vous accusez d’être des complotistes, les policiers que vous dépeignez comme une milice aux ordres… On vous a vu aussi moquer l’accent d’une journaliste, balayer d’une phrase coupante puant le machisme et le sexisme, la question, pourtant fort bien formulée de cette journaliste aguerrie et connue des politiques. Ce que vous ne pouvez ignorer, car elle l’a indiqué elle-même sur Twitter : vous la connaissez ! Prétendre que vous avez cru à une moquerie de sa part, alors que vous savez très bien qui elle est, est un mensonge éhonté. Un rattrapage pitoyable de votre arrogance du moment. Chavez, Maduro, vos héros vous ressemblent et vice-versa : il n’y a là pas de quoi être fier… Je passe, sous silence, votre virulent antisionisme et vos appels incessants à la haine contre Israël. Comme ceux à l’encontre des journalistes, il y aura bien un « abruti », comme vous dites, pour vous prendre au mot. Ce jour-là, on verra comment vous assumerez vos propos. Si c’est à l’égal de la façon dont vous avez plié l’échine et gazouillé le sourire grimaçant aux lèvres, lors de votre rencontre avec Em-
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manuel Macron, sur le Port de Marseille, il y a quelques semaines, alors vos soutiens en seront pour leurs frais ! Mais justement, concluons cette leçon de morale, exercice auquel je me livre peu souvent, par deux faits, puisqu’ils priment, finalement, sur les avis, y compris le mien ! L’épreuve du feu, quoi qu’on en dise, vous ou moi, est celle des urnes. Les prochaines échéances électorales, que ce soit les Européennes ou les Municipales, seront l’occasion de prouver que votre parti « d’Insoumis » a sa place sur l’échiquier politique. Or, d’après les derniers sondages, il arrive en troisième position des intentions de votes avec près de 14 % de suffrages soit plus de 3 % de plus par rapport au dernier sondage réalisé en Août 2019 par l’Ifop pour Paris Match, derrière le Rassemblement National (ex-FN), qui totalise quand même 17% et la République en marche qui régresse de 23 à 20 %. Un constat en émane et il m’inquiète : à l’extrême gauche comme à l’extrême droite, les tensions et les problèmes de la société française cristallisent peurs et haines et apportent de l’eau au moulin des tribuns aux petits pieds que vous incarnez si bien. Sale temps pour la démocratie en vérité… Espérons qu’Emmanuel Macron en a pris acte et que le gouvernement qu’il vient de constituer se mettra rapidement au travail pour rassurer les Français. Notons également que le chef de l’Etat doit, avant la fin de l’année 2018, se rendre en Israël. Une visite promise de longue date mais qui tarde à se réaliser. Comme bien d’autres promesses le concernant. Il est plus que temps de passer aux actes… Am Israël Haï Alain Sayada
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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan
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À LA UNE
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Sur Jérusalem, Trump prépare un cadeau empoisonné à Netanyahou sa propension à investir le rapport de force et à s’affirmer comme le chef d’État le plus puissant du monde. Sa politique étrangère est fondée sur l’idée que la première puissance du monde peut et doit imposer sa volonté aux autres pays.
Donald Trump pourrait annoncer dans son plan de paix la reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale du futur Etat de Palestine. Une capitale pour deux états. Une décision qui mettrait Benjamin Netanyahou en difficulté au sein de sa coalition à l’approche des législatives car elle déclenchera, sans nul doute, une très vive opposition à droite. Mais Donald Trump entend s’assurer de l’adhésion du monde arabe à son accord de paix afin d’arriver aux présidentielles fort
d’un grand succès en matière de politique étrangère notamment si les républicains s’affaiblissaient aux élections de mi-mandat. Nathalie Sosna-Ofir GEOPOLITQIUE. Le HuffPost : « L’arrivée de Donald Trump marque une véritable rupture dans les échanges de la communauté internationale avec les pays autoritaires du Moyen Orient. Le nouveau président américain se différencie de ses prédécesseurs par
L’homme de pouvoir Trump cherche à rendre à son pays son ancienne gloire. Discours fantaisiste certes, mais compréhensible par les chefs d’État autoritaires de la région. Poutine, on le sait, triomphe auprès de son peuple grâce à son ambition de faire revenir la Russie au rang de l’époque tsariste. Erdogan exhume le passé ottoman de son pays et, depuis la seconde moitié du 19e siècle, les ayatollahs caressent le rêve de gouverner sur l’ensemble des musulmans, aussi bien shiites que sunnites. Ajoutons à ce palmarès les Saoudiens qui excellent dans la rivalité avec les Iraniens pour affirmer leur suprématie dans le monde de l’islam. Ambitions hypothétiques, car les sociétés sont en plein mouvement et ces hommes savent que leur temps est compté. Pourtant, la situation est inédite. Pour la première fois, grâce à leurs ambitions communes, les chefs d’États amis ou ennemis, autoritaires ou démocratiques, se comprennent et dialoguent avec le même langage. L’arrivée de Trump au pouvoir sonne le glas de la tergiversation de Téhéran et de son jeu ambigu avec les exigences de la communauté internationale. Les ayatollahs ont vite compris que cette fois ils n’ont pas affaire à un démocrate, mais à un président qui est d’autant plus dangereux qu’il est imprévisible et qu’il ne reculera devant rien pour imposer ses règles. Désormais, l’Iran se trouve dans une position délicate face un président américain déterminé à faire régner la loi du plus fort. N’est-ce pas la même loi qui a permis aux ayatollahs de tenir en laisse la société iranienne depuis quarante ans et d’étendre leur pouvoir dans la région? Les dirigeants iraniens savent que l’heure n’est plus à manipuler les pays occidentaux, ni à se lancer dans des négociations corrosives pour gagner du temps en vue d’investir les conflits régionaux. Ils savent que désormais les murs se resserrent autour d’eux et qu’ils n’ont pas le droit à la moindre erreur. Mais la question est de savoir s’ils vont défendre coûte que coûte leur hégémonie sur la région. Il convient de remarquer que, contrairement à Saddam Hussein ou au général Kadhafi, les ayatollahs n’ont rien des monarques orgueilleux qui fascinent par leurs égos incommensurables. Ils sont avant tout des habitués des jeux du pouvoir, très soucieux de conserver leurs prérogatives, et cela depuis plusieurs siècles. Certes, ils n’ont rarement su envisager une politique à long terme ou avoir une vue générale sur la conséquence de leurs actions. Pourtant, tout au long de leur existence, ils ont fait preuve d’un pragmatisme exceptionnel et nul ne peut leur reprocher de manquer d’opportunisme. S’ils ont rarement pris en considération les intérêts des Iraniens, ils restent très sensibles à
leurs propres intérêts. Ils peuvent piller les trésors du pays, investir la richesse nationale ailleurs, tabasser, torturer, violer, massacrer les opposants iraniens et les prisonniers politiques, sous le prétexte que « l’islam est en danger », comme le disait Khomeyni. Mais dès que leur pouvoir ou leur train de vie opulent semble un tant soit peu touché, ils sont capables de faire des volte-face spectaculaires ou des « souplesses héroïques » –expression chère à l’ayatollah Khamenei, le Guide de la république islamique. Aujourd’hui, face à cet adversaire de taille qu’est Donald Trump, les ayatollahs se trouvent dans une situation délicate. L’alliance triangulaire entre les États-Unis, l’Arabie Saoudite et Israël met en danger ce qu’ils appellent « l’arc shiite » et, historiquement, Moscou n’a jamais été un allié valable pour les dirigeants iraniens. Les ayatollahs craignent que le moment venu, le président Poutine les abandonne à leurs risques et périls. Sur le plan intérieur, les Iraniens sont fortement appauvris et l’impopularité des ayatollahs est un fait incontestable: pas plus tard qu’en janvier dernier, dans cent-cinq villes du pays, les Iraniens ont crié « à bas la République islamique ». Les nouveaux embargos américains vont mettre par terre l’économie exsangue du pays et ses dirigeants auront du mal à compter sur le peuple pour empêcher la chute de leur régime. Ainsi, la diplomatie du chantage de Donald Trump semble avoir des conséquences pour le moins inattendues. L’époque du président Obama est révolue et il est difficile de savoir où va le Moyen Orient. Avec le soutien de l’administration du président américain et du gouvernement du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, Mohammed Ben Salman se fait applaudir pour ses réformes purement décoratives, mais il pousse en même temps le conflit shiite/sunnite à son paroxysme, déstabilise la région et hausse le ton contre Téhéran. Alors que les interventions massives de son pays au Yémen s’avèrent être un échec lamentable, ce jeune et ambitieux prince saoudien ne craint pas la guerre contre l’Iran. Ce pays est capable de vaincre l’Arabie saoudite qui, malgré tout son équipement américain avancé, est militairement faible et n’a pratiquement pas d’armée. Il n’en reste pas moins qu’une telle guerre engloutira l’ensemble de la région et ne laissera aucun pays intact. À l’heure de Trump, la région est devenue plus explosive que jamais. Il serait naïf de compter sur les ayatollahs de Téhéran pour calmer la situation. Pourtant, il serait tout aussi naïf d’attendre qu’ils fassent preuve d’une résistance héroïque face aux Américains. On peut plutôt espérer qu’ils restent fidèles à leur pragmatisme légendaire, procédant ainsi à une volte-face spectaculaire pour sauver leurs intérêts, en entamant un compromis rapide avec les Américains. Faute de quoi, le pire est à venir ». Le HuffPost
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Une Arnaque géante venue d’Israël. Une affaire hors norme de Valenciennes à Tel-Aviv
3 000 victimes à travers toute la France, des têtes de réseau qui pilotaient une vaste escroquerie aux répertoires professionnels depuis Israël, plus de 20 millions d’euros de préjudice… Lorsqu’elle a déposé plainte en 2013, cette fleuriste du Valenciennois ne s’attendait pas à une arnaque d’une telle ampleur !
condamnés à cinq ans de prison, dont trois avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans. Il s’agit des têtes de réseau qui, depuis Israël, pilotaient les sociétés de référencement et les sociétés écran.
Il y a quelques jours, Claude (1), une fleuriste établie dans le Valenciennois retrouvait enfin le sourire. Après de long mois où elle était restée cloîtrée dans le silence « car j’avais trop honte. Je n’ai parlé de cela à personne, pas même à mon entourage », nous confiait-elle en 2013. Lorsqu’elle a trouvé la force de se confier, à sa comptable, puis à ses proches, Claude a dû ensuite faire face à l’angoisse. Son livret A, son compte bancaire, celui de l’entreprise… Toutes ses économies, soit près de 14 000 €, y étaient passées, elle se retrouvait ruinée. Bernée qu’elle avait été par des sociétés peu scrupuleuses qui lui avaient fait miroiter des parutions dans des répertoires professionnels pour mieux faire connaître sa boutique.
Une affaire hors norme de Valenciennes à Israël
« On leur promettait des retombées, c’était faux. Je peux dire qu’on a vendu du vent. » Des associations, des commerçants, un diocèse ou même des banques… Claude ne le savait pas encore lorsqu’elle a déposé plainte auprès du procureur de Valenciennes en 2013. Mais à travers toute la France, 3 000 victimes sont tombées, comme elle, dans le panneau des annuaires professionnels. « On leur promettait des retombées, c’était faux. Je peux dire qu’on a vendu du vent », a reconnu, devant le tribunal correctionnel de Paris il y a quelques mois, le « commercial » de l’une des trente enseignes de référencement mises en cause. Les victimes payaient une première somme en pensant s’être acquitté de la prestation. Puis, une fois le délai de rétractation passé, on leur faisait comprendre qu’elles n’avaient payé que pour un mois et qu’elles devaient régler le reste. Quitte à intimider ou menacer les commerçants en se faisant passer, parfois, pour des huissiers, des avocats ou de faux gendarmes. « Ils m’avaient dit que si je ne payais pas, j’irai en prison, se souvient Claude. Encore aujourd’hui, j’ai toujours peur de répondre au téléphone car deux ans après, ils me relançaient encore ! » Plus de 20 millions d’euros de préjudice Il y a quelques jours, Claude a appris la bonne nouvelle. Son nom figure dans la liste des victimes retenues comme partie civile. « Ils devront donc me rembourser », montre la commerçante en feuilletant l’épais dossier du tribunal correctionnel de Paris de plus de 200 pages. Y figurent les 3 000 victimes. Soit plus de 20 millions d’euros de préjudice à indemniser, au-delà des amendes qui grimpent jusqu’à 750 000 €. Parmi les 27 prévenus, deux ont été
(1) Prénom modifié pour préserver l’anonymat de cette victime.
– 2011 : le procureur de Nice reçoit de nombreuses plaintes à propos d’une société niçoise de référencement Web. Les plaintes émanent de toute la France. – 2013 : Tracfin (organisme qui lutte contre le blanchiment d’argent) émet deux signalements à propos d’« opérations financières douteuses » qui transitent par la Grande-Bretagne et la Lettonie. Dans le Valenciennois, une fleuriste et une coiffeuse déposent plainte elles aussi. Le commissariat de Denain est saisi de l’enquête. Le procureur de Nice ouvre une enquête préliminaire. Elle est confiée au service national des douanes judiciaires.
Robert Faurisson est mort mais ses thèses immondes vivent encore
– 2014 : le procureur de Nice se dessaisit au profit de celui de Paris. Ce dernier ouvre une information judiciaire. – 2016 : Le réseau est démantelé au mois d’avril. 27 prévenus sont identifiés et / ou interpellés. Les deux têtes de réseaux qui vivaient en Israël sont arrêtées à l’aéroport de Roissy. 24 sociétés écrans et une trentaine d’enseignes de référencement Web sont mises en cause. – 2017 : En décembre, l’affaire est jugée à Paris durant quatre semaines. – 2018 : le 16 janvier, le tribunal correctionnel rend son délibéré. Les deux prévenus principaux écopent de cinq ans de prison, dont trois avec sursis et mise à l’épreuve pendant trois ans. Ils devront aussi s’acquitter d’une amende de 750 000 € et rembourser les victimes, dont le préjudice se chiffre à 20 millions d’euros. – Octobre 2018 : dans le Valenciennois, la fleuriste apprend que les prévenus ont été condamnés. Ils devront indemniser son préjudice qui était de 14 000 €. Source : http://lavdn.lavoixdunord.f
Le négationniste Robert Faurisson est mort dimanche 21 octobre à l’âge de 89 ans à Vichy (Allier) d’une crise cardiaque, a appris franceinfo lundi auprès de l’historienne Valérie Igounet, auteure d’un livre sur Robert Faurisson. Agrégé de lettres et ancien maître de conférences en littérature contemporaine à l’université de Lyon-II, Robert Faurisson a été condamné à plusieurs reprises pour contestation de crimes contre l’humanité. Il affirmait notamment que les chambres à gaz pendant la Seconde Guerre mondiale n’avaient jamais existé. Selon l’historienne Valérie Igounet, qui a pu joindre la sœur de Robert Faurisson, ce dernier est mort « brutalement » dimanche soir à Vichy, à son retour d’une conférence à laquelle il avait participé dans sa ville natale de Shepperton, en Angleterre. « Le négationniste Robert Faurisson est mort mais ses ‘thèses’ immondes vivent encore », réagit la Fondation Shoah sur Twitter. « Le combat pour la vérité historique continue face aux faussaires de l’Histoire », ajoute-t-elle. francetvinfo.fr Le négationnisme (auquel il est parfois fait référence en tant que révisionnisme)
consiste en un déni de faits historiques, malgré la présence de preuves flagrantes rapportées par les historiens, et ce à des fins racistes ou politiques. Le terme est créé en 1987 par l’historien Henry Rousso pour désigner la contestation de la réalité du génocide mis en œuvre contre les Juifs par l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, c’est-àdire la négation de la Shoah. Le négationnisme consiste ainsi à prétendre, soit qu’il n’y a pas eu d’intention d’exterminer les Juifs, soit que les moyens de réaliser cette extermination, notamment les chambres à gaz destinées à donner la mort, n’ont pas existé. Par la suite, le négationnisme désigne la contestation ou la minimisation des crimes contre l’humanité condamnés par le tribunal de Nuremberg, puis par extension la contestation ou la minimisation d’autres faits historiques qu’on pourrait aussi qualifier de crimes contre l’humanité, tels que le génocide arménien perpétré par le gouvernement Jeunes-Turcs de l’Empire ottoman pendant la Première Guerre mondiale, le Holodomor ukrainien par l’URSS, le Goulag, le massacre de Nankin par l’armée impériale japonaise, le génocide au Rwanda, les massacres pratiqués par les Khmers rouges au Cambodge, ou encore le laogai de Chine.
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Après la mort violente de Khashoggi, l’Arabie tente d’apaiser les critiques
L’Arabie saoudite a formellement admis samedi, 17 jours après les faits, que le journaliste saoudien Jamal Khashoggi avait été tué à l’intérieur du consulat du royaume à Istanbul, une affaire qui a eu un retentissement mondial. La confirmation de la mort de Khashoggi a été relayée peu avant l’aube par l’agence de presse officielle saoudienne SPA qui a fait état du limogeage de deux hauts responsables saoudiens et de l’arrestation de 18
suspects, tous Saoudiens. « Les discussions entre Jamal Khashoggi et ceux qu’il a rencontrés au consulat du royaume à Istanbul (…) ont débouché sur une rixe, ce qui a conduit à sa mort », a déclaré SPA en citant le parquet. Le procureur général d’Arabie saoudite a publié un communiqué sur le déroulement des faits: « Les discussions qui ont eu lieu entre lui et les personnes qui l’ont reçu au
consulat saoudien à Istanbul ont débouché sur une bagarre et sur une rixe à coups de poing avec le citoyen Jamal Khashoggi, ce qui a conduit à sa mort ».
Tayyip Erdogan et le roi Salmane. Ils « ont souligné l’importance de continuer à travailler ensemble en complète coopération », selon une source à la présidence turque.
Le directeur d’un centre de réflexion considéré comme proche du pouvoir à Ryad, a donné une autre version. « Khashoggi est mort d’un étranglement au cours d’une altercation physique, pas d’une rixe à coups de poings », a déclaré Ali Shihabi, disant s’appuyer sur une source saoudienne haut placée.
Les enquêteurs turcs ont poursuivi leurs investigations vendredi, fouillant notamment une vaste forêt proche d’Istanbul.
Plus tard, le département international du ministère saoudien de l’Information a publié une déclaration en anglais attribuée à « une source officielle », affirmant que les discussions au consulat ont pris « une tournure négative » entraînant une bagarre qui a conduit à la mort de Khashoggi et à une « tentative » par les personnes qui l’avaient interrogé de « dissimuler ce qui est arrivé ». Limogeages et arrestations Jusqu’ici, Ryad avait affirmé que Khashoggi, qui était entré le 2 octobre au consulat d’Istanbul pour des démarches administratives, en était ressorti et il avait qualifié de « sans fondement » des accusations de responsables turcs selon lesquelles le journaliste avait été tué au consulat. En confirmant la mort de Khashoggi, l’Arabie saoudite, dont l’image a terriblement souffert, a annoncé la destitution d’un haut responsable du renseignement, le général Ahmed al-Assiri, et celle d’un important conseiller à la cour royale, Saoud al-Qahtani. Ces deux hommes sont de proches collaborateurs du jeune et puissant prince héritier Mohammed ben Salmane, surnommé MBS, sur lequel la pression était montée ces derniers jours à propos de l’affaire Khashoggi. Leur grande proximité avec MBS a été soulignée par un analyste du Baker Institute de l’université de Rice, aux Etats-Unis. « Renvoyer Saoud al-Qahtani et Ahmed al-Assiri, c’est aller aussi près de MBS qu’il est possible d’aller », a relevé cet analyste, Kristian Ulrichsen. « Intéressant de voir si ces mesures s’avèrent suffisantes. Si le goutte à goutte de détails supplémentaires (sur la mort de Khashoggi) continue, il n’y a plus de tampon pour protéger MBS », a-t-il estimé. Le roi Salmane d’Arabie saoudite a également ordonné la création d’une commission ministérielle présidée par le prince héritier pour restructurer les services de renseignement, selon les médias officiels. Critique envers MBS, Khashoggi vivait en exil depuis 2017 aux Etats-Unis où il collaborait notamment avec le Washington Post. La confirmation de sa mort est intervenue peu après une nouvelle conversation téléphonique entre le président turc Recep
Trump: « crédible » L’administration Trump avait adressé vendredi une nouvelle mise en garde à Ryad, évoquant de possibles sanctions, tout en s’inquiétant des répercussions de l’affaire sur la relation stratégique et commerciale entre les Etats-Unis et l’Arabie saoudite. Après l’annonce saoudienne, répondant à un journaliste qui lui demandait s’il jugeait la version de Ryad « crédible », M. Trump a répondu: « Oui, oui ». « Encore une fois, il est tôt, nous n’avons pas fini notre évaluation, ou enquête, mais je pense qu’il s’agit d’un pas très important ». Donald Trump avait admis pour la première fois jeudi que le journaliste était très probablement mort, menaçant l’Arabie saoudite de « très graves » conséquences. « Nous sommes attristés d’apprendre que la mort de M. Khashoggi a été confirmée », a déclaré la porte-parole de la Maison Blanche, Sarah Sanders. Les Etats-Unis notent « que l’enquête sur le sort de Jamal Khashoggi progresse et que (le royaume saoudien) a entrepris des actions à l’encontre des suspects qui ont été pour l’instant identifiés », a ajouté la porte-parole. Les Etats-Unis vont « appeler à ce que justice soit rendue dans les meilleurs délais et de manière transparente, et en accord avec l’état de droit », a dit Mme Sanders. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est déclaré « profondément troublé » et « souligne la nécessité d’une enquête rapide, approfondie et transparente sur les circonstances du décès ». Des élus américains se sont montrés nettement plus durs que la Maison Blanche après l’annonce saoudienne. Le sénateur républicain Lindsey Graham, proche allié de Donald Trump, a mis en doute la crédibilité de Ryad: « Dire que je suis sceptique sur la nouvelle version saoudienne sur M. Khashoggi est un euphémisme ». « L’histoire que les Saoudiens ont racontée à propos de la disparition de Jamal Khashoggi continue à changer chaque jour, donc nous ne devrions pas prendre leur dernière version pour argent comptant », a tweeté Bob Corker, autre républicain, président de la commission des Affaires étrangères au Sénat. Source : i24News
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Qui a tué Khashoggi ? Il avait pris Pourquoi Israël garde le silence ses distances avec Ben Laden après la mort de Jamal Kashoggi ?
Jamal Khashoggi est mort assassiné le 2 octobre 2018 au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul (Turquie). Initialement proche du pouvoir saoudien, il entre en dissidence à partir de 2017, à la suite de l’avènement de Mohammed ben Salmane comme prince héritier et dirigeant de fait du pays. Il est assassiné lors d’un rendez-vous administratif à l’intérieur du consulat saoudien à Istanbul. L’Arabie saoudite est alors accusée par de nombreux médias et analystes turcs et internationaux d’être derrière sa mise à mort. Les presses turque et américaine publient la liste des quinze membres du commando saoudien accusé d’avoir perpétré l’assassinat : • Mustafa Mohammed M. Almadani (57 ans) : membre des services secrets ; • Maher Abdulaziz M. Mutreb (47 ans) : agent de Mohammed ben Salmane, visible sur plusieurs photos avec ce dernier et serait le chef du commando ; • Salah Muhammed A. Tubaigy (47 ans) : médecin légiste, celui qui aurait démembré le journaliste ; • Mansour Othman M. Abahussain (46 ans) : militaire, membre des services secrets ; • Saif Saad Q. Alqahtani (45 ans) : agent de Mohammed ben Salmane ; • Badr Lafi M. Alotaibi (45 ans) : pas d’information ; • Thaar Ghaleb T. Alharbi (39 ans) : militaire ; • Waleed Abdullah M. Alsehri (38 ans) : membre de l’armée de l’air ; • Turki Muserref M. Alsehri (36 ans) : pas d’information ;
• Fahad Shabib A. Albalawi (33 ans) : membre de la garde royale ; • Naif Hassan S. Alarifi (32 ans) : membre des forces spéciales ; • Abdulaziz Mohammed M. Alhawsawi (31 ans) : membre de la garde royale ; • Meshal Saad M. Albostani (31 ans) : membre de l’armée de l’air, décédé dans un accident de voiture le 18 octobre; • Mohammed Saad H. Alzahrani (30 ans) : membre de la garde royale ; • Khalid Aedh G. Alotaibi (30 ans) : membre de la garde royale.Diplômé en administration de l’université d’État d’Indiana (1982), Jamal Khashoggi débute sa carrière de journaliste dans différents quotidiens et hebdomadaires saoudiens, dont Saudi Gazette, avant d’être nommé rédacteur en chef de Al Madina. De 1991 à 1999, il est correspondant à l’étranger (Afghanistan, Algérie, Koweït, Soudan), puis devient rédacteur en chef adjoint de Arab News, le principal journal en anglais d’Arabie saoudite (19992003).Outre son travail de journaliste, il entretient des liens avec les services renseignements saoudiens dont le chef, le prince Turki Al-Faycal, le considère longtemps comme un protégé. Dans les années 1990, il est chargé par les services secrets de contacter Oussama ben Laden pour le persuader de renoncer à la clandestinité et de rentrer au pays. Il échoue cependant à convaincre son ami. Khashoggi prend ensuite ses distances avec ben Laden qui bascule dans le terrorisme contre l’Occident ; en 2011, à la mort de ben Laden, il écrit à propos de ce dernier « Tu étais magnifique et plein de bravoure aux beaux jours de l’Afghanistan, avant que tu succombes à la haine et à la passion ».
Les milieux politiques israéliens, en général très bavards, se taisent. Raison d’Etat. Le dossier « Jamal Khashoggi » est explosif pour Israël et les Etats-Unis qui soutiennent MBS. Deux semaines après les premières fuites diffusées dans la presse turque sur l’assassinat du journaliste saoudien, Ryad, via son agence de presse officielle, a fini cette nuit par l’admettre, en ces termes : « Les discussions entre Jamal Khashoggi et ceux qu’il a rencontrés au consulat du royaume à Istanbul ont débouché sur une rixe, ce qui a conduit à sa mort ». Dans le même temps, le royaume saoudien a annoncé le limogeage d’un haut responsable du renseignement et celui d’un conseiller à la cour, tous deux proches du prince Mohamed Ben Salmane, ainsi que l’arrestation de dix-huit personnes dans cette affaire instruite par la justice saoudienne. Les noms des limogés : le général Ahmed al-Assiri, chef adjoint du renseignement saoudien, et Saoud al-Qahtani, conseiller « médias » à la cour royale. ISRAËL. Jamal Kashoggi n’a jamais porté dans son coeur l’Etat d’Israël. Pendant des années il a été un « compagnon de voyage » de Ben Laden et a été membre des Frères Musulmans. Sa haine de Mohammed Ben Salman (MBS) a été réelle et aveugle. On le soupçonne même d’avoir souhaité un Coup d’Etat en Arabie Saoudite. Israël mise beaucoup sur M.B.S. qui tente de réformer l’Arabie. La raison essentielle qui explique le silence d’Israël sur ce meurtre odieux est le dossier du nucléaire Iranien.
L’Arabie Saoudite est un allié de l’Etat hébreu face à l’Iran. Et Kashoggi, ennemi de M.B.S. ne pouvait bien évidemment ne pas être un grand ami d’Israël. Pour Vincent Eiffling, chercheur associé au CECRI, le Centre d’Études des Crises et des Conflits internationaux, si l’administration Trump est si conciliante vis-à-vis de l’Arabie saoudite, c’est parce qu’il « y a une convergence d’intérêts. Et il y a une alliance qui est inscrite dans la durée déjà depuis un certain temps. Il faut bien se rendre compte que Washington et Riyad partagent des préoccupations communes par rapport aux équilibres, au sein de la région du MoyenOrient notamment, par rapport à l’Iran. Ils s’entendent également assez bien — maintenant de plus en plus — avec l’État d’Israël, donc il y a une espèce de triangle qui est occupé à se mettre en place face à l’émergence de l’Iran. Et donc, on n’a pas envie de perdre les acquis qui ont quand même pris un certain nombre d’années à se mettre en place » explique-t-il. Dans le JDD : « Le royaume sunnite est la pièce maîtresse dans l’effort américain pour contrecarrer l’influence régionale de leur bête noire commune, l’Iran chiite. Les Etats-Unis (et Israël) ont aussi « besoin de l’Arabie saoudite dans la lutte contre le terrorisme, tout ce qui se passe en Iran et ailleurs », a confirmé Donald Trump mercredi ». La journaliste Christine Ockrent vient de publier Le Prince mystère de l’Arabie (Éditions Robert Laffont). Elle a expliqué au Point pourquoi Jamal Khashoggi était si dérangeant pour MBS.
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En Israël, croissance du budget de l’État pour soutenir l’industrie du cinéma
Une nouvelle loi relative au financement et à la sélection des films dans l’industrie cinématographique israélienne a été approuvée par la Knesset (le Parlement israélien) avec 44 voix pour et 32 voix contre, ont rapporté les médias israéliens.
Israël est très présent au Salon international de l’alimentation SIAL
« Certains choisissent de répandre l’hystérie alors que d’autres font l’histoire », a aussitôt déclaré la ministre de la Culture et des Sports, Miri Regev. « Nous allons permettre la création de films sionistes, juifs, arabes et Haredi », a-t-elle ajouté soulignant que « ce sont des choses nouvelles qui n’existaient pas auparavant ». Les scénarios continueront à être lus dans le but de décider quels films méritent un financement, or maintenant ils devront être inclus dans une banque de données gérée par le Conseil israélien du film. Le budget annuel de l’État destiné à soutenir l’industrie cinématographique sera par ailleurs augmenté de 20 millions de NIS (4.8 millions d’euros) par an. L’industrie cinématographique israélienne dépend fortement du soutien de l’État pour produire des films. Toutefois, selon Miri Regev, ceux qui acceptent volontiers un financement de la part de l’État, sont également ceux qui produisent des films qui ne reflètent que les valeurs d’un groupe au sein de la société
Toujours plus de végétal, de plantes, de légumineuses et de super-graines, moins de viande, mais meilleure: le salon international de l’alimentation SIAL qui ouvre ses portes dimanche au nord de Paris, en présence d’une importante présence israélienne, va redessiner jusqu’à jeudi les frontières de la planète alimentaire. Selon La Croix : « Le salon, qui doit être inauguré par le nouveau ministre de l’agriculture Didier Guillaume, montre « une déferlante continue du végétal » et « une manière plus responsable de consommer
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», déclare à l’AFP le directeur général du réseau SIAL, Nicolas Trentesaux, organisateur de la manifestation, qui réunira 7.200 exposants de 119 pays à Villepinte (SeineSaint-Denis). Face aux polémiques et scandales qui secouent régulièrement le secteur de l’alimentation en France sur fond de prise de conscience du réchauffement climatique, les organisateurs encapsulent les souhaits des consommateurs en trois mots: « du goût, du vrai, du sens ». »
israélienne, à savoir les Juifs laïques et surtout libéraux. Aussi, la nouvelle loi donnera à son bureau le pouvoir de décider du montant du financement que les films pourront recevoir. Ce montant ne représentera pas moins de 15% du budget total de la production et pas plus de 20%. Début septembre, le cinéaste israélien Amos Gitaï avait sévèrement critiqué à Venise le gouvernement de l’Etat hébreu, qui considère selon lui que la « culture est de la propagande ». « En Israël, il y a un grand débat avec le ministère de la Culture de ce gouvernement, un très mauvais gouvernement, qui pense que la culture est de la propagande », a déclaré Amos Gitaï en conférence de presse. Les propos du cinéaste semblaient viser la ministre israélienne de la Culture, Miri Regev, connue pour son franc-parler et à l’origine de nombreuses polémiques en Israël, mais également à l’international. Il y a un an, Miri Regev avait fustigé la victoire du film israélien « Foxtrot » à la Mostra de Venise. « Ce sont ces films qui permettent au BDS d’avoir le vent en poupe », avait-elle déclaré. Source : i24News
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Nick Clegg a été recruté par Facebook. Il traite avec les Autorités israéliennes.
L’ancien Vice-Premier ministre britannique Nick Clegg a été recruté par Facebook afin de traiter des affaires publiques et de la communication de la compagnie. C’est lui qui très vite est devenu l’interlocuteur privilégié des Autorités israéliennes. Selon (1) : « Alors que le réseau social connaît de multiples crises depuis quelques mois désormais, Facebook a fait le choix de se tourner vers Nick Clegg, ex-membre du gouvernement britannique. Si la décision peut sembler étrange de prime abord, l’on peut supposer que la société de Zuckerberg souhaite se tourner vers un homme qui a l’expérience des institutions européennes. Recruter dans le secteur politique pour aider Facebook ? En effet, Nick Clegg a l’avantage d’avoir été le Vice-Premier ministre du Royaume-Uni sous le gouvernement de David Cameron, entre les années 2010 et 2015. Ce n’est pas tout, l’homme qui sera bientôt en charge des affaires publiques de Facebook a été député Parlement européen, et a également officié à la Commission européenne en tant que négociateur. Alors que le Règlement Général pour la Protection des Données (RGPD) est entré en vigueur en Europe au mois de mai, la plateforme sociale semble encore éprou-
ver des difficultés à en comprendre tous les rouages. De plus, un autre profil issu de la politique travaille au sein de Facebook : le responsable des politiques publiques pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique, Richard Allan. En effet, ce dernier est un ancien membre du parti libéral libéral-démocrate britannique. En axant son recrutement vers un profil qui connait le secteur de la politique, Facebook espère donc trouver un solide appui pour se sortir de ces crises à répétition. Depuis le début de l’année, l’entreprise s’est tout de même confronté à l’affaire Cambridge Analytica, l’un des plus gros scandales de son histoire à ce jour, ainsi qu’à une récente faille ayant entraîné le piratage de près de 30 millions de comptes. De fait, la compagnie se doit de redorer son blason auprès du public, mais également de la Commission. De fait, Nick Clegg prendra ses fonctions en tant que directeur des affaires publiques et de la communication au mois de janvier. Lors de l’annonce de sa nomination, il s’est déclaré ravi de « cette nouvelle aventure ». (1) presse-citron.net
L’indépendantiste biafrais Kanu a t-il refait surface en Israël ?
Un an après sa disparition au Nigeria, le dirigeant indépendantiste biafrais Nnamdi Kanu aurait-il refait surface en Israël ? Une vidéo fait sensation sur les réseaux sociaux. Son avocat et son frère confirment lui avoir parlé au téléphone. La vidéo est devenue virale en 24 heures. Coiffé d’une kippa et enveloppé dans un châle de prière, un homme ressemblant trait pour trait à Nnamdi Kanu se recueille devant le Mur des Lamentations de Jérusalem. Une voix off commente : « C’est le chef suprême du Mouvement indépendantiste pour les peuples indigènes du Biafra, dans la sainte Ville de David ». Nnamdi Kanu a Jérusalem, l’information laisse pantois un an après sa disparition suite à l’attaque de sa résidence par des mi-
litaires. Ses proches accusaient depuis l’armée nigériane de le détenir au secret ou de l’avoir tué. Changement de ton ce samedi, ils ont assuré qu’il était bien vivant. L’avocat de Nnamdi Kanu qui avait d’abord refusé de se prononcer sur la vidéo a assuré avoir reçu ce matin une confirmation directe du dirigeant séparatiste. Son frère a annoncé de son côté à l’agence France-presse avoir pu lui parler au téléphone et qu’il allait bien. Que lui est-il arrivé au cours de l’année écoulée, comment s’est-il retrouvé en Israël ? Pas plus de précision pour le moment dans son entourage, mais l’avocat assure que son client s’expliquera lui-même ce dimanche dans une interview radio http://www.rfi.fr
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Les 125 juifs célèbres (finance, sciences,…) qui ont « changé le monde »
Cette liste assez étonnante (qui ne mentionne presque pas de juifs Européens) a été construite par un homme politique Pakistanais musulman. IsraelValley a profondément édité le texte initial (l’auteur est très critique vis àvis des musulmans!) pour ne garder que les noms. Ci-dessous cette liste qui contient des personnalités juives. L’auteur n’a pas réalisé une liste de tous les prix Nobel. Son travail mérite une attention particulière. LES NOMS – Albert Einstein, scientifique, physicien théoricien. – Sigmund Freud, fondateur de la psychanalyse – Karl Marx, historien, journaliste, philosophe, sociologue, économiste, essayiste, théoricien de la révolution, socialiste et communiste allemand. – Paul Samuelson, économiste américain, prix Nobel d’économie en 1970 et chef de file de l’école qu’il appela la « synthèse néo-classique », – Milton Friedman, économiste, tenant de la non-intervention de l’Etat et de la libre entreprise, – Benjamin Rubin a donné à l’humanité l’aiguille vaccination. – Jonas Salk a mis au point le premier vaccin antipoliomyélitique. – Alerte Sabin a développé et amélioré le
vaccin antipoliomyélitique. – Gertrude Elion nous a donné un médicament contre la leucémie. – Baruch Blumberg a développé le vaccin contre l’hépatite B. – Paul Ehrlich découvre un traitement de la syphilis (une maladie sexuellement transmissible). – Elie Metchnikoff, prix Nobel dans les maladies infectieuses. – Bernard Katz, prix Nobel de la transmission neuromusculaire. – Andrew Schally, prix Nobel en endocrinologie (troubles du système endocrinien, diabète, hyperthyroïdie). – Aaron Beck a fondé la thérapie Cognitive (psychothérapie traiter les troubles mentaux, la dépression et les phobies). – Gregory Pincus a développé la première pilule contraceptive. – George Wald a remporté un prix Nobel pour son travail sur la compréhension de l’œil humain. – Stanley Cohen a remporté un prix Nobel en embryologie (étude des embryons et leur développement). – Willem Kolff a crée la machine de dialyse rénale. – Stanley Mezor a inventé la première puce micro-informatique. – Leo Szilard a mis au point le réacteur nucléaire de la première génération. – Peter Schultz, le câble à fibres optiques. – Charles Adler les feux de circulation. – Benno Strauss l’acier inoxydable.
– Isador Kisee les films sonores. – Emile Berliner le téléphone et le microphone. – Charles Ginsburg le magnétoscope. Les financiers et autres personnalités célèbres dans le monde des affaires. Ralph Lauren (Polo), Levi Strauss (Levi’s), Howard Schultz (Starbuck’s), Sergey Brin (Google), Michael Dell (Dell Computers), Larry Ellison (Oracle), Donna Karan (DKNY), Robbins Irv (Baskins & Robbins) et Rosenberg projet de loi (Dunkin Donuts). – Richard Levin, président de l’Université de Yale, est un Juif. – Henry Kissinger (secrétaire d’État américain), – Alan Greenspan (Président de la Banque fédéral sous Reagan, Bush, Clinton et Bush, Jr.), – Joseph Lieberman, Le sénateur, – Madeleine Albright (ancienne secrétaire d’État), – Maxim Litvinov (ministre des Affaires étrangères de l’URSS), – David Maréchal (le premier ministre de Singapour), – Isaacs Issac (gouverneur général d’Australie), – Benjamin Disraeli (Homme d’État et auteur), – Yevgeny Primakov (Premier ministre Russe), – Jorge Sampaio (Président du Portugal), – Herb Gray (plusieurs fois ministre et Vice premier Ministre du Canada), – Pierre Mendes (Premier ministre français), – Michael Howard (British Home Secretary), – Bruno Kreisky (Chancelier d’Autriche) – Robert Rubin (ancien Secrétaire au Trésor). Dans les médias, les Juifs célèbres incluent Wolf Blitzer (CNN), – Barbara Walters (ABC Nouvelles), – Eugene Meyer (Washington Post),
– Henry Grunwald (rédacteur en chef du Time Magazine), – Katherine Graham (éditeur du Washington Post), – Joseph Lelyyeld (rédacteur en chef, The New York Times), et Max Frankel (New York Times). Le nom du philanthrope le plus généreux dans l’histoire du monde ? – Le nom est George Soros, un Juif, qui a jusqu’à présent fait des dons colossaux à hauteur de 4 milliards de dollars ; dont la majeure partie en aide à des scientifiques et des universités de par le monde. – Deuxième après George Soros est Walter Annenberg, un autre Juif, qui a construit une centaine de bibliothèques en donnant un montant estimé à 2 milliards. Aux Jeux olympiques, Mark Spitz a établi un record du genre en remportant sept médailles d’or. Lenny Krayzelburg est médaillée d’or olympique à trois reprises. Spitz, Krayzelburg et Boris Becker (tennis) sont tous juifs. Harrison Ford, George Burns, Tony Curtis, Charles Bronson, Sandra Bullock, Barbra Streisand, Billy Crystal, Woody Allen, Paul Newman, Peter Sellers, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Ben Kingsley, Kirk Douglas, William Shatner, Jerry Lewis et Peter Falk sont juifs. Hollywood elle-même a été fondée par un Juif. Parmi les réalisateurs et producteurs, Steven Spielberg, Mel Brooks, Oliver Stone, Aaron Spelling (Beverly Hills), Neil Simon (The Odd Couple), Vaina Andrew (Rambo 1, 2 et 3), Michael Mann (Starsky et Hutch), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), Douglas Fairbanks (Le Voleur de Bagdad) et Ivan Reitman (Ghostbusters) sont Juifs.
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Espérance de vie. Israël sera à la 7ème place mondiale en 2040 avec 84,4 ans
Israël devrait atteindre la septième place en 2040 avec 84,4 ans.
Les Israéliens bénéficieront du septième taux d’espérance de vie le plus élevé au monde d’ici 2040, selon une étude de l’Université de Washington publiée dans The Lancet . Bien qu’Israël occupe actuellement le 13 e place -place à une espérance de vie de 82,1 ans, Israël devrait passer à la septième place à 84,4 ans. La moyenne mondiale de 73,8 ans en 2016 devrait passer à 77,7 ans d’ici 2040. Le Japon, le pays ayant la plus longue longévité en 2016, sera remplacé par l’Espagne, qui occupe actuellement la quatrième place et devrait connaître une espérance de vie moyenne de 85,8 ans en 2040. Elle sera suivie de Singapour (85,4 ans), de la Suisse ( 85,2 ans), le Portugal et l’Italie (84,5 ans), Israël (84,4 ans), la France (84,2 ans), l’Australie et le Luxembourg (84,1
ans). Les États-Unis, qui sont actuellement à la 43e place, devraient chuter à la 64e place (79,8 ans). L’espérance de vie des Palestiniens devrait également augmenter, mais elle a diminué dans le classement – passant de la 114 e place à 71,9 ans en 2016 à 152 e place à 72,2 ans en 2040. Les 20 pays les plus pauvres en 2040, dont la durée de vie est comprise entre 57 et 69 ans, se trouvent tous en Afrique subsaharienne ou dans des États insulaires du Pacifique, à l’exception de l’Afghanistan. Les cinq principaux déterminants de la durée de vie moyenne sont tous liés au mode de vie: glycémie, poids, tension artérielle, tabagisme et consommation d’alcool.
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Israël aux Commémorations de la 1ère Guerre Mondiale. Poutine, Trump seront là
Le président Vladimir Poutine se rendra à Paris le 11 novembre pour prendre part aux commémorations de la Première guerre mondiale, auxquelles participera également Donald Trump, a annoncé mardi le conseiller du Kremlin Iouri Ouchakov. Pour Israël rien n’est vraiment clair. Mais une invitation a bien été envoyée par la France à Israël. Selon (1) : « M. Poutine « participera aux commémorations sur les Champs-Elysées, puis au repas de travail organisé par le président Macron. Il déposera également des fleurs au monument dédié au corps expéditionnaire russe sur les quais parisiens, qu’il a lui même inauguré il y a quelques années », a indiqué aux journalistes M. Ouchakov. « Pour le moment, la question de pourparlers (entre MM. Poutine et Trump) n’est pas à l’étude », à Paris en novembre ou d’une manière générale, a précisé M. Ouchakov. Le président français Emmanuel Macron a convié plus de 80 dirigeants et représentants d’organisations internationales aux
commémorations du 11-Novembre, pour marquer le centième anniversaire de la fin de la Première guerre mondiale. Les célébrations auront lieu en présence de troupes, avec notamment une cérémonie à l’Arc de Triomphe à Paris. Un « Forum de Paris sur la Paix » sera également organisé, selon l’Elysée. La dernière visite de M. Poutine en France remonte à mai 2017, lorsqu’il avait été reçu par M. Macron à Versailles pour leur premier tête-à-tête. Le président russe avait ensuite reçu son homologue français en mai 2018 près de Saint-Pétersbourg ». (1) Source : i24News
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Mazel Tov! A Eilat des hôtels low cost vont bientôt ouvrir
La chaîne d’hôtels Astral a obtenu l’autorisation de construire des centaines de chambres d’hôtels répondant aux standards de l’hôtellerie à prix cassés ; les moins chers à Eilat. Le CNAU – Comité National pour l’Aménagement Urbain – a dernièrement validé un plan de relance du tourisme. Il s’agit d’un plan visant à agrandir le parc hôtelier de centaines de chambres low-cost (chambres de niveau D) afin de proposer des solutions de tourisme pour les petits budgets mais s’inscrivant également dans l’air du temps, voulant que ces formules aient le vent-en-poupe ; jusqu’à présent, Eilat n’était pas en mesure de répondre à cette demande. C’est la chaîne d’hôtels Astral qui a proposé ce vaste plan de relance du tourisme conformément aux textes de lois entrés en vigueur courant 2016 et permettant au ministre du Tourisme de décréter qu’une zone géographique deviendrait prioritaire à l’échelle nationale en matière de tourisme. La chaîne est détenue par des hommes d’affaires citoyens d’Eilat et investis dans la ville ; de fait, la chaîne possède 5 hôtels dans la seule ville d’Eilat pour environ 600 chambres et suites. De nouveaux hotels low coast
rajouter 3 étages chacun pour environ 100 chambres supplémentaires. Pour ce qui est du 4 étoiles (chambres de niveau B) Astral Maris situé plus au nord le long de la plage, il passera de 4 à 9 étages (plus un étage de stationnement supplémentaire) avec 145 chambres supplémentaires, qui ne seront pas du même niveau en matière de qualité des chambres, à savoir niveau D. Plus de touristes issus de différents horizons Le Astral Palma situé dans la lagune du nord et aux prestigieuses 4 étoiles compte actuellement 150 chambres sur 4 étages ; la construction d’un cinquième étage permettra un rajout de 60 suites et d’une salle pour l’organisation d’évènements et de réceptions. Au nord de ce-dernier, l’Astral Village, également 4 étoiles, s’étend actuellement sur un seul étage. La partie sud de ce-dernier sera remplacé par un bâtiment de 5 étages, tandis qu’un second étage sera rajouté pour le reste du bâtiment existant, soit au total un rajout de 40 chambres. Enfin, un nouvel hôtel sera construit, à savoir l’Astral Light, proche du Astral Palma. Il comptera 10 étages pour 450 chambres de niveau D.
Certaines d’entre elles devraient d’ailleurs être réaffectés dans le cadre de ce projet de tourisme low-cost en plus de nouveaux hôtels qui seront construits dans le cadre de ce plan. Parmi ces 5 hôtels, 2 d’entre eux proposent actuellement des formules “tout-compris” et cette formule devrait par la suite être étendue à l’ensemble de tous les hôtels détenus par la chaîne.
Et Nava ELINSKY, directrice du CNAU de conclure que ” durant des années il a été question de construire de nouveaux hôtels à Eilat, notamment des hôtels low-cost actuellement inexistants. Ce plan conjugué au projet du nouvel aéroport international, permettra d’accueillir plus de touristes issus de différents horizons mais également à la ville de connaître un véritable essor sur le plan économique”.
Ainsi, dans le cadre de ce projet les hôtels Nirvana Club et Nirvana Suites situés à l’entrée de la ville à côté de la mairie, se verront
SOURCE: Calcalist et Crédit-Immobilier-En-Israël.com
Investissements de la Chine en Israël à hauteur de $25 milliards Le vice-président Wang Qishan est arrivé aujourd’hui en Israël pour une visite de quatre jours, la première d’un responsable chinois de ce rang depuis 18 ans dans ce pays, selon une source officielle. M. Wang, accompagné d’une important délégation ministérielle, devait rencontrer en soirée à Jérusalem le chef du gouvernement israélien Benjamin Nétanyahou, a indiqué le bureau du premier ministre. Les deux hommes participeront mercredi à la quatrième réunion de la commission conjointe Chine-Israël sur la coopération et l’innovation, qui se tient alternativement dans les deux pays. C’est l’ancien président Jiang Zemin qui avait effectué en 2000 la dernière visite d’un dirigeant chinois en Israël. M. Nétanyahou est allé en Chine en mars 2017. M. Wang, qui s’est rendu lundi dans la vieille ville de Jérusalem, doit par ailleurs rencontrer demain à Ramallah en Cisjordanie occupée le premier ministre palestinien Rami Hamdallah. En 2016, la Chine et Israël ont lancé des discussions sur un traité de libre-échange. Des accords conclus l’an dernier ont déjà facilité l’exportation de produits laitiers israéliens vers la Chine et autorisé les Chinois à venir travailler dans le secteur du BTP en Israël, selon les Affaires étrangères israéliennes. La Chine a multiplié les investissements en Israël ces dernières années, à hauteur de 25 milliards de dollars selon les médias israéliens. Un groupe public chinois a ainsi pris le contrôle en 2014 de Tnuva, le principal
groupe alimentaire israélien. Des entreprises chinoises ont également remporté des appels d’offres pour la gestion pendant 25 ans des deux principaux ports israéliens, de Haïfa et Ashdod. Des sociétés sont aussi impliquées dans la construction de tunnels près de Haïfa et de lignes de tramway. La présence chinoise en Israël a suscité des débats. L’ancien chef du Mossad, les services de renseignements israéliens, Ephraïm Halevy, a mis en garde contre le danger que représenteraient des investissements chinois dans des secteurs stratégiques pour la sécurité d’Israël. Le ministère de la Défense interdit déjà la participation de sociétés chinoises à des appels d’offres de l’armée israélienne. Ces inquiétudes auraient, selon les médias, été à l’origine du refus du ministère des Finances de donner son feu vert à l’acquisition par des groupes chinois de deux des principaux fonds de pension israéliens, de crainte que des milliards de dollars, et l’avenir de plus d’un million de retraités israéliens, se retrouvent à la merci de Pékin. Source :Le Figaro (Copyrights)
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Le plan « Vision 2030 » porté par Mohammed ben Salmane ?
Le «Davos du désert» débute à Riyad ce mardi. Cet évènement est lié au plan « Vision 2030″ qui est un plan de développement mis en place par le gouvernement saoudien en 2016 qui vise à faire sortir le pays de sa rente pétrolière historique en diversifiant son économie et en ayant recours à diverses privatisations. Au sein du gouvernement, il est porté par le Prince héritier Mohammed ben Salmane Al Saoud. Le plan Vision 2030 est rendu public le 25 avril 2016 par le Ministre de la Défense, président du Conseil des affaires économiques et du développement et Prince héritier Mohammed ben Salmane Al Saoud, qui le qualifie à cette occasion de plan « ambitieux mais réalisable ». Ce plan a été élaboré pour répondre aux difficultés budgétaires connues par le Royaume d’Arabie saoudite suite à la forte baisse des prix du pétrole en 2014. Or, jusqu’en 2015, 90 % des recettes publiques du pays proviennent du pétrole. Parmi les mesures prioritaires, le gouvernement a entrepris de diminuer fortement les dépenses publiques, en réduisant notamment les subventions à la consommation d’électricité, d’eau et de carburant, tout en augmentant les prix du carburant de près de 40 %. Ce plan prévoit notamment la vente de 5 % de Saudi Aramco pour multiplier les investissements hors du secteur énergétique et financer son programme de réformes. En avril 2017, le Conseil a présenté 12 programmes opérationnels (Vision Realization Programs) destinés à porter le plan Vision 2030, et qui se focalisent sur divers volets économiques, sociaux et politiques prioritaires. Le plan Vision 2030 est un programme de réformes socio-économiques mis en place par le gouvernement saoudien afin de sortir l’Arabie saoudite de sa rente pétrolière historique en diversifiant son économie et en ayant recours à diverses privatisations. Le plan se fonde sur trois piliers: Économique : Objectif de diversification de son économie et d’autonomisation des jeunes générations. Renforcement de son rôle au niveau régional et multiplication de ses partenariats à l’international. Social : Amélioration des services à la population, notamment dans le secteur de la santé, de la culture, des loisirs ainsi que du secteur touristique. Revalorisation de l’héritage et de l’identité nationale saoudiens. Développement durable. Politique : Révision des structures institutionnelles du gouvernement pour apporter plus d’agilité et de transparence à son système de gestion publique, et incitation des jeunes générations à participer davantage à la vie publique. Le plan prévoit notamment de développer les capacités liées aux énergies renouvelables, au secteur minier, ainsi qu’à la production de gaz naturel. Les exportations de
produits non pétroliers devraient augmenter de 43 milliards d’euros à 70,4 milliards d’euros à l’horizon 2030. Avec la valorisation de nouveaux secteurs d’activité comme les loisirs ou le numérique, le gouvernement poursuit l’objectif de créer 450 000 emplois dans le secteur privé d’ici 2020. La Fondation MiSK, créée en 2011 et dirigée par le Prince héritier Mohammed ben Salmane Al Saoud, a pour mission de soutenir les axes du programme dédiés à la jeunesse, à la culture et à l’éducation. Organisation
Vision 2030 s’appuie sur trois plans d’actions quinquennaux dont le premier volet, le programme pour la transformation nationale (NTP), pose les bases de 543 initiatives incombant à 24 entités gouvernementales, lancées entre 2016 et 2021, pour un coût de 270 milliards de riyals (63,4 milliards d’euros). Supervisé par le ministre de l’économie et Prince héritier Mohammed ben Salmane Al Saoud, l’application du plan Vision 2030 est réparti à trois niveaux de responsabilités, selon un rythme global, quinquennal et annuel:
• Au niveau global, la supervision du programme à l’horizon 2030 est assurée par le conseil des Ministres du Royaume ainsi que le Conseil pour les affaires économiques et de développement; • Selon un rythme quinquennal, le suivi opérationnel est assuré par le directeur de le CEAD, les responsables des douze responsables des Programmes de réalisation de la Vision (Vision Realization Programs), ainsi que par le comité Vision 2030; • Tous les ans, chaque entité individuelle concernée par le plan Vision 2030 a la responsabilité de ses objectifs et de son budget.
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Amir à l’école Yavné à Marseille
Le chanteur Amir s’est rendu à l’école Yavné à l’occasion du lancement de l’Appel National de la Tsédaka. Il a pris le temps de rencontrer les élèves et les enseignants afin de les sensibiliser sur cette cause. Les enfants incrédules ont pu admirer l’artiste qui les a félicités sur le fait d’avoir réalisé, l’année dernière, la plus belle des collectes des écoles pour la Tsédaka.
Marilyn Monroe était-elle juive? Son sidour en vente
Le Siddour (Livre de prières juives) qui appartenait à Marilyn Monroe va être mis aux enchères le mois prochain. Le livre de couleur crème, publié en 1922, sera vendu aux enchères par la société J. Greenstein & Co le novembre 12 à Cedarhurst (Long Island). L’enchère de départ sera de 4.600 $. Marilyn Monroe s’est convertie au judaisme (par une communauté juive réformiste) en 1956, avant d’épouser l’écrivain américain juif Arthur Miller. Bien que le couple ait divorcé cinq ans plus tard, Monroe a toujours déclaré qu’elle n’abandonnerait pas sa nouvelle religion.
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Le rabbin réformiste Robert Goldburg, de la communauté Mishkan Israel, à New Haven, dans le Connecticut, est le rabbin qui a supervisé sa conversion et officié à son mariage avec Miller, elle lui avait alors confié qu’elle était désormais juive et pour toujours. Le siddour est vendu au nom de son propriétaire actuel, un Américain résidant en Israël qui l’a acheté aux héritiers de Monroe en 1999. Le livre de prières avait déjà été mis aux enchères en 2017 mais n’avait pas trouvé preneur. Monroe semble avoir utilisé le Siddour car selon l’agence J. Greenstein & Co, celui-ci contient des notes « écrites de la main de l’actrice ». http://koide9enisrael.blogspot.com
« Vous avez une pêche d’enfer, je comprends mieux pourquoi vous avez été l’école qui a
récolté le plus d’argent l’an dernier sur toute la France ! Cette année vous ferez encore mieux, vous faites un travail remarquable. Merci. » Le franco-israélien n’a pas hésité à prendre son temps pour réaliser des selfies et chanter avec les élèves, mais malgré cela, sa visite n’aura certainement pas suffit à satisfaire tous ses fans. La grande journée de la solidarité aura lieu à Marseille le : DIMANCHE 25 NOVEMBRE 2018.
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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza « Le choc des photos, le poids des mensonges »
L’information nous concernant ploie sous le poids de « news »qui ne peuvent que nous inquiéter. Le mal vient aussi de la France profonde, comme le début d’une dichotomie entre notre communauté et le pouvoir, on peut l’imaginer également d’une grande partie des français. On dérange la France, Gaza, les crimes supposés, les exactions commises, l’idée du « droit au retour » pourquoi pas ! Les escarmouches de quelques « fanatiques palestiniens » qui régulièrement agressent armes à la main nos soldats aux « check point » sécuritaires, dont on énumère leurs courages ou leur folie, on en oublie de parler de nos victimes, parmi ces Français combien s’en réjouissent, combien s’en moquent, les commentaires, leurs opinions surprennent et parfois font mal, l’ensemble si nous voulons rester optimistes les Français dans leur ensemble ont peur pour eux, ils s’inquiètent de leur quotidien, tout peut arriver, question d’opportunité, d’une folie soudaine puisque les juges ne jugent pas l’acte mais le malade mental, c’est du n’importe quoi, qui dit la vérité, qui s’octroie le droit de penser vrai ? Il n’y a pas de courage ou il n’y a plus de courage politique, un jeu pervers entre humanisme et réalisme se disputant l’audience médiatique, le cœur des téléspectateurs sollicités à outrance de faits peu rassurants pouvant donner des idées à certains « déséquilibrés » en liberté, ils sont nombreux, les citoyens se murent dans un silence haineux propice de ce fait « au populisme » indigne d’une démocratie ouverte et que l’on considère comme une perversion à l’ouverture à toutes les dérives sociétales« c’est le cri de détresse des peuples qui ne veulent pas mourir » dixit Philippe de Villiers. A-t-on le droit de l’exprimer ? Censure ou pas, la simple pensée de ce mot vous envoie dans le clan des mauvais. Communauté en perdition, communauté dans l’attente d’un retour « à bonne fortune » auprès des élus, en fait, toujours convaincre de notre bon droit, comprendre notre histoire, sentent-ils notre désarroi ? Nous avons des contacts privilégiés avec le pouvoir, lignes directes mais notre discours est-il en adéquation avec celui que les fidèles aimeraient entendre de nos représentants institutionnels. Les formules polies pleines de retenues qu’emploient nos vigils institutionnels pour ne pas déplaire ou froisser l’état, comme si nous étions « en dhimmitudes » des subordonnés, trop souvent en « profil bas », erreur, quel que soit le ton employé, la diplomatie « sémantisée », nos « colères », nos « mécontentements » ne seront jamais à la hauteur de nos ressentiments et de notre frustration, juifs de France, « il ne fait plus aussi bon d’être juif en France ». Les autorités le savent, rien ne le empêchent de sauvegarder leurs attitudes faussement indignées lorsqu’ils essaient de nous convaincre qu’il s’agit d’un insignifiant lapsus de notre susceptibilité juive. Ne pas transformer en crise sociétale la partialité de l’état, influencer les médias en notre faveur, il n’y a pas que les juifs qui s’informent. Au fond de nous, la rage de ces mensonges ne peuvent qu’alimenter
l’antisémitisme conscient, je ne veux plus parler d’un antisémitisme primaire, trop facile à excuser, l’excuse banalisée pour les banlieues, pour les mouvements syndicaux, la terreur des discours fait au « bien vivre ensemble » une folie douce, la liberté d’expression n’est acceptée lorsqu’il s’agit des Juifs et d’Israël. Aller comprendre cela, toucher l’immigration, c’est indigne, parler des ONG, l’Aquarius, le saint Bernard des naufragés, ces migrants qu’aucun état ne veut recevoir, c’est devenu du n’importe quoi, l’humanisme, droit de l’homme, ces vertueuses paraboles qui en fait sont des paravents que le citoyen n’en a que faire. On ne sait pas réellement les complicités s’attachant à ces actes humanitaires, un grand désordre et d’un sourd reniement rationnel, on sait que ces affabulations sont des pièges pour nous faire digérer la pilule migratoire comme un des bienfaits civilisationnels de notre futur. Comment dénoncer cette usurpation victimaire, pour rester dans « le délicatement correct », le fait du « prince »une Macronie déclinante une ambiguïté malheureuse, on ne phrase pas trop avec le pouvoir, avec les médias d’une partialité démoniaque dont l’influence sur le téléspectateur est d’une logique destructrice, elle abat ses cartes sur Israël, ces crimes, ces débordements sanglants, l’actualité n’est que le paravent d’une sournoise redistribution du chaos mise en scène et diabolisée à la gloire des terroristes « assassins » dont l’unique stratégie guerrière est d’envoyer face à nos soldats, actes condamnables comme des crimes de guerre totalement ignorés, des enfants, des adolescents, l’utilisation de boucliers humains, les entrepôts et les positions militaires parmi la population civile, des martyrs en puissance, statut revendiqué par les familles dédommagées par une rente à vie pour leurs héros, et cela serait financée par les fonds versés à l’UE. Cette perfidie est connue, qui s’en soucie, lorsque les USA décidèrent l’arrêt de leur financement, l’UE, dans sa magnanimité humaniste et aveugle a complété au plus près les sommes manquantes. Mahmoud Abbas l’avoue sans une once coupable « Par Allah, même s’il nous restait qu’un centime, il sera dépensé pour les familles des martyrs et des prisonniers et seulement après l’argent sera dépensé pour le reste du peuple ». Avouons que le geste ne manque pas d’élégance, payer des organisations terroristes inscrites comme telles par les Nations Unies avec les fonds de l’UE, nos impôts ! Pour faire plaisir à nos délateurs, à nos faux amis, ceux qui nous aiment en parole, aux discours larmoyants nous devrions céder à leur violence et accepter le passage de nos frontières à ces assoiffés sanguinaires pour un massacre en bonne et due forme. On parle d’un quinzième tunnel depuis le début de l’année ; celui-ci d’un Km de long qui traversait la clôture de sécurité sur plus de 200 mètres à l’intérieur du territoire israélien face à Khan Younés, dans ces constructions tous les subsides de l’UE sont engloutis pour ces réalisations mortifères. Etait-ce pour faire du tourisme ? FR 2, un reportage « Gaza, une jeunesse estropiée » le 11 octobre 2018 en prime times, in-
satiable information du direct et du parti pris, attiser une haine implacable avec un reportage ignoble, « unilatéralisme des accusations, mise en scène larmoyante digne d’une télé réalité, insinuations et decontextualisations, mensonges par omissions, martèlement des clichés etc… » Rien de mieux que de chercher des prétextes pour légitimer l’antisémitisme et l’antisionisme tout en occultant les actions du Hamas sur la population de Gaza. En sont-ils conscient ? Meyer Habib écrit « J’en veux au service public de déshumaniser Israël, cela met de l’huile sur le feu et importe le conflit en France. » Nous le savons, eux le savent-ils ? Pierre-André Taguief politologue écrit « la haine du Juif, la haine de la France et la haine de l’Occident s’entrecroisent ». Barbara Lefebvre répondant à une interview du Figaro « Tout cela va ensemble. La haine antijuive est devenue indissociable de la haine des blancs, en fait la haine de l’Occident ». Dans le quotidien urbain, une France en quête des promesses présidentielles, une supercherie si on en croit les sondages, l’espoir d’un devenir meilleur a vécu, Macron laisse douter de ses capacités, loin l’or et la lumière le soir de sa victoire au Louvres, sa dernière prestation télévisuelle une « allocution ratée et sépulturale « selon Christophe Barbier, la magie de ses propos ne laisse aucun doute sur la continuité d’un programme que tous rejettent, un bien, un mal, that is the question ? . « La guerre est devenue un concours, le cliché qui exprime une misère outragée, la haine dans ce visage il le portera jusqu’à la tombe, il peut rester dans nos mémoires tant la douleur est gravée sur son visage, le drame humain vécu par les belligérants, la tragédie dans sa déliquescence la plus douloureuse s’expose de la plus ignoble des façons, un cliché un symbole de plus sur les horreurs d’une guerre dont la fin est imprévisible, si jamais elle arrive, il s’agit du prix BAYEUX Calvados Normandie des correspondants de guerre, le prix NIKON a été décerné à Mahmud Hams de l’AFP Palestine « clashes on Gaza’s border » la pierre qui tue. On y voit un amputé des deux jambes sur un fauteuil roulant, une fronde à la main et le geste de lancer un projectile en direction des Israéliens. Le poids de l’image, cette souffrance indicible, une rage dans le rictus de l’individu rappelle David contre Goliath et nous condamne sans circonstances atténuantes, insoutenable pour le voyeur qui ne peut comprendre Israël lorsqu’il défend ses frontières. Un reportage d’Europe Israël passé sur FR 3 le 13 octobre rétablit les mensonges d’Elise Lucet encore faut-il le vouloir, à Gaza ce sont les islamistes du Hamas qui tirent dans les jambes des civils qui ne coopèrent pas. En Syrie, 500 000 morts, des millions de personnes déplacées, une seule obsession Israël. Tout cela est-il en faveur d’un plaidoyer pour la paix ? Assurément non ! Les tirs de roquettes sur Israël tombés sur Beersheva ont été condamnés par l’UE, silence assourdissant de la France de Macron ! Les attaques aveugles contre des civils sont totalement inacceptables a fustigé sur Twetter le service Europe pour l’action extérieure ( SEAE ) le service diplo-
matique de l’UE, c’est un vœu pieux, le cycle de violence et du désespoir doit être brisé, seule une solution politique peut mettre fin à la violence, quelle solution ? 12 heures après les tirs de roquettes, la France n’a toujours pas condamné les violences : aucun communiqué de l’Ambassade de France ni du ministère des Affaires Etrangères. Israël serait-il en état de disgrâce ? Que faisons-nous ? Nous adoptons trop souvent un « profil bas », erreur, quel que soit le ton employé, l’apriori anti communautarisme est bien ingéré, notre diplomatie ne porte pas à conséquence, Israël et les Juifs de France, ce n’est pas le même combat ! La dramatique formulation de nos « colères », de nos « mécontentements » ne seront jamais à la hauteur de nos ressentiments et de notre frustration. Les autorités le savent et ne comprennent pas notre désarroi, nous ne sommes plus une priorité, rien ne les empêchent de maintenir leurs attitudes faussement indignées lorsqu’ils essaient de nous convaincre que leurs votes à l’International ne sont que des lapsus insignifiants et sans conséquences. Ne pas transformer cette crise morale en crise sociétale, nous savons que l’état agit dans un intérêt égoïste, les amitiés sont passagères, sa partialité si elle nous indigne ne peut aller au-delà d’une certaine limite. Au fond de nous, la rage de ces mensonges, nous le savons, ne peut qu’alimenter l’antisémitisme conscient, je ne veux plus parler d’un antisémitisme primaire, trop facile à excuser, l’excuse banalisée pour les banlieues, la raison, la paix sociale vaut bien quelques débordements dont souffre également le citoyen lambda, pour les mouvements syndicaux, ces foules qui nous caricaturent au détour de revendications, le juif est dans tous les débats, terreur des discours fait au « bien vivre ensemble » une folie douce d’un rêve envolé ou entretenu, l’expression est libérée, de même pour l’homme blanc victime de son passé dominateur et colonisateur, lorsqu’il s’agit des Juifs et d’Israël, nous le justifions par une paranoïa de persécuté venant du fond du Moyen Age. D’ailleurs le citoyen n’en a que faire. Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris depuis 1992 écrit « les Juifs ont modifié le texte sacré et substitué Isaac à Ismaël afin de lui prendre l’héritage d’Avraham, la terre d’Israël ». Nous serions des falsificateurs, des voleurs de terre, nous le considérions comme un ami ayant des sympathies pour notre communauté, après un clash à un repas du CRIF, sa modération était contestable, aujourd’hui il a choisi. La paix n’est pas pour demain, cela est certain, mais pour la France, quand les modérés osent formuler de telles « fadaises » soit il est sénile soit il le pense, c’est grave et dangereux parce qu’il reste un porte-parole important de l’Islam de France, c’est une forme de trahison a tout ce que peut représenter notre civilisation, l’Islam n’est vraiment pas compatible avec la démocratie. Bernard Korn Brzoza
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Guerre au terrorisme !
On ne l’a fait pas de la même façon, partout. Nous apprenons la fermeture du centre Chiite de Grande Synthèse, ZAHRA, par ordre du Préfet du Nord. Voilà une démarche qui honore son commanditaire, en espérant que les grandes gueules gauchistes, que les insoumis du perquisitionné et les marcheurs du satisfait, ne lui ordonnent de rouvrir ce camp. S’ils restent silencieux, soyez assurés que le camp reprendra ses activités un peu plus loin, ou sur le même site sous une autre forme. Mais, bien entendu, toujours Chiite, toujours islamiste et plus que jamais terroriste. Savez-vous ce que sont les OUÎGOUR ou OUÎGHOUR? Ce sont des turcs, musulmans qui viennent d’Asie Centrale. Ils sont 10 millions en Chine à regarder vers Istanbul ou vers la Mecque. La Chine vient de reconnaître l’existence de camps où, ces populations sont «rééduquées». Jusqu’alors les chinois réfutaient les prises de vue satellite , les rangées de barbelés et les miradors. Ces OUIGOURS vivent dans la terreur d’y être envoyés. Hier encore, ces camps n’existaient pas. (Selon les dirigeants). Ils les reconnaissent, mais prétendent que leurs stagiaires, (C’est ainsi qu’ils les appellent) sont très heureux.
Selon le Président de ce FarWest chinois, le Président ZAKIR, prétend qu’ils suivent des cours de cuisine, de couture, de coiffure, qu’il apprennent à parler mandarin, bref, Le Club Med avec toutes les options obligatoires. Ainsi les « stagiaires »peuvent y réfléchir à leurs erreurs et voir le caractère néfaste du terrorisme. La TV à montré un petit paradis. La réalité est bien plus sombre. 1 million de Ouïgours y sont internés. La plupart, des hommes entre 20 et 60 ans. Ils y sont où y seront. Ils doivent renier leur religion. Remercier le Président à tous les repas, Dénoncer leur voisin, En hiver, il fait moins 30 L’été, 50 degrés. S’ils refusent de boire de l’alcool, S’ils téléphonent à l’étranger Ou s’ils font leur prière, Le moindre signe de contestation, les expédie en camp, sans jugement, et leurs enfants sont aussitôt dirigés vers l’orphelinat. C’est la version chinoise de la guerre au terrorisme. La guerre préventive dans un état policier, qui fait passer l’envie de jeter des bombes. René SEROR
Du mépris pour séduire
En écoutant Jean-Luc Melenchon au Grand Rendez-vous sur Europe 1, dimanche, je me suis réellement demandé, comment un homme aussi méprisant, pouvait prétendre, présider aux destinées d’un pays, comme la France? Ils déteste toute personne qui s’adresse à lui. Il est vulgaire, graveleux, et, n’hésitons pas, méchant. Quand il nomme les 5 premiers de son groupe, les noms avancés inspirent le dégoût. Les médias lui font la part belle en répétant à longueur de temps, que l’homme est cultivé, que c’est un bon orateur...etc... Il ne fait pas faire un gros effort de mémoire, pour se souvenir qu’un autre orateur, lisait la bible, Kent et Goethe et réalisant le plus effroyable, des crime contre l’humanité.
Le simple ton de la voix de JLM fait se dresser les cheveux. Aujourd’hui, il fait l’objet d’une perquisition. Quel autre citoyen aurait pu utiliser les mots employés à l’endroit des auteurs de la perquisition? Il se montre violent et la police dépose plainte près du ministre de l’intérieur. N’importe quel autre citoyen se serait comporté aussi violemment, il était arrêté menotté et jugé. Mais surtout, condamné. Il n’hésite pas à filmer et à diffuser l’opération. Quand en plus, il reçoit le soutien de Marine, cele fait suffisamment d’arguments, pour prévenir nos amis de s’éloigner de ces démons. A force de se victimiser, il finira par ternir son image. Et c’est tant mieux. René SEROR
Un donneur de leçons nommé Mélenchon
Vous avez pu voir en boucle ces jours-ci l’attitude scandaleuse de celui qui s’est auto désigné comme l’Insoumis. Je parle évidemment de Monsieur Jean-Luc Mélenchon, ce parlementaire accompagné de son équipe ou plutôt de sa bande, qui s’est mis en scène lamentablement devant des caméras qu’il avait lui-même commandées.
Hurlant, menaçant et bousculant les forces de l’ordre et de justice chargées de la perquisition dans ses locaux, il nous a dévoilé son véritable visage. Non pas celui d’un Représentant de la Nation mais celui d’un chef de gang bafouant les lois de la République. Je tiens à saluer le sang-froid impressionnant des policiers présents, qui n’ont pas céder à la provocation. Les images montrent bien que Mélenchon et ses proches cherchaient à provoquer une « bavure » dont ils auraient su profiter. Cette scène est non seulement scandaleuse mais nous pose aussi le problème de l’Exemplarité. Comme la déclaré un représentant des forces de police: la conduite des insoumis peut être comparée à celle des bandes de voyous qui agressent la police lors des perquisitions dans certains quartiers faisant souvent partie de ces fâcheux territoires perdus de la république. Aujourd’hui les petits voyous ont une nouvelle icône qui s’appelle Monsieur Mélenchon et peuvent aussi se réclamer de l’insoumission plutôt que de la délinquance. Mélenchon et les siens cherchent à se victi-
miser et ont même recréé « l’Union Sacrée des victimes de la police Politique » lorsque l’on voit et entend le soutien de Marine le Pen et des siens. Les populistes ont fait cause commune et nos extrémistes se sont retrouvés. Chacun d’eux pensant par son discours cristalliser autour de lui les mécontents et les égarés de notre pays. Les deux jouent avec le feu ! Ils réveillent les haineux et les poussent à la violence. Une violence bien présente qui coupe le lien entre l’autorité et certaines franges de notre population. Une violence qui relance la haine et nous le voyons, l’antisémitisme. Les leaders populistes savent qu’en se conduisant ainsi, ils font du racolage et offrent même à nombre de perturbés : Un Étendard Idéologique. Demain, les casseurs se diront Insoumis et les antisémites se définiront comme les Défenseurs des opprimés. Face à ce danger, le droit et la justice doivent être forts et rester sourds aux vociférations et gesticulations des manipulateurs du peuple et ennemis de la République. Hier comme aujourd’hui, l’extrême gauche et l’extrême droite montrent leur proximité et leurs visages dangereux. Les masques tombent, aussi faut-il le voir et ne pas se taire. Mélenchon ne doit pas oublier que les grands révolutionnaires Danton et Robespierre ont fini guillotinés place de la Concorde. Gil Taieb
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Michel Boujenah : « Le public israélien est extrêmement sensible »
L’humoriste qui réconcilie les générations finira l’année 2018 et débutera 2019 en Israël, où il jouera son dernier spectacle, « Ma vie encore plus rêvée », dans trois villes du pays : Netanya, Tel-Aviv et Jérusalem. Traversée par le personnage de la mère juive séfarade, pilier de son œuvre, cette réflexion tragi-comique sur ce que nous pourrions être si nous n’avions pas été ce que nous sommes, fait, comme d’habitude, autant rire qu’elle fait pleurer. « On ne fait rire qu’avec des choses tristes », dit-il. Avant de se contredire et de nous faire pleurer ! Entretien, totalement survolté mais tellement, tellement enjoué ! tement joué le seul rôle qu’on lui octroyait, celui qu’on l’a obligée à interpréter, faute de personnages féminins : les femmes de cette époque ne travaillaient pas, ne quittaient pas leurs maris, n’écrivaient pas… Alors elles ont joué, avec une sincérité poussée à l’extrême, la mère inquiète, dévouée, stressée dès que son fils bouge une oreille…
Michel Boujenah, bonjour, vous finirez l’année 2018 en Israël avec plusieurs représentations de votre dernier spectacle, « Ma vie encore plus rêvée ». Vous l’avez déjà beaucoup tourné en France, mais peut-on en connaître la trame ? J’ai déjà joué ce spectacle 450 fois et mon envie, lorsque je l’ai écrit, c’était de dire aux gens qu’il faut rêver sa vie. Parce qu’à force de rêver, on fait de son rêve quelque chose qui existe, et que l’on vit vraiment ! Donnons envie, si tant est que ce soit nécessaire, au public israélien : quel accueil rencontre ce dernier spectacle ? Ah les gens me disent qu’ils aiment, que ça leur fait du bien, mais soyons honnêtes, je ne suis pas le mieux placé pour vous répondre, ce n’est pas à moi qu’ils le diront s’ils n’ont pas aimé ! Plus sérieusement, ce que j’entends, souvent, c’est qu’ils ont ri, mais aussi que ça leur a fait du bien. Parce que je fais rire avec des situations, des souvenirs, des anecdotes pas toujours drôles. C’est mon style depuis le début. Si l’on excepte l’humour de banquet, de fin de bar-mitsva où on raconte des bêtises, attablé, un verre à la main, j’ai le sentiment que rien n’est drôle si ce n’est pas appuyé sur du vécu un peu triste. Les gens se retrouvent dans cette idée, et dans ce spectacle, plus particulièrement. Je pense d’ailleurs que c’est celui qui me ressemble le plus… Pourtant nous avions, nous, admirateurs, l’impression que tous vos spectacles vous ressemblaient beaucoup… Oui, mais la vie, c’est comme un millefeuilles : à chaque fois que l’on avance, on ajoute une feuille ! C’est ainsi que l’on construit une œuvre, même si ce terme est impropre me concernant. Disons que c’est
ainsi que je fais mon travail, que je trace mon chemin. Dans ce spectacle, je règle quelque chose avec la nostalgie, je retourne aux racines… D’où est venu le fil conducteur de cette histoire ? Corinne Atlas, avec laquelle j’écris, m’a montré l’interview d’une femme sur les réseaux sociaux qui m’a beaucoup touché : elle racontait, entre autres, l’histoire d’un rabbin posté sur un pont. Et quand on a fini par lui demander ce qu’il faisait là, il a dit : ‘je cherche la trace du petit enfant frappé et jeté dans cette rivière par les nazis’. ‘Vous le connaissiez, cet enfant ?’, lui a-t-on encore demandé. Il a répondu : ‘oui, c’était moi…’ Cette histoire m’a bouleversé. Car même si ma propre histoire n’a rien à voir avec celle de ce survivant de la Shoah, l’exil de Tunisie y tient une place fondamentale, autant que dans celle que je raconte au fil des différents spectacles. Alors je crois que je dois retourner chez moi, pour retrouver le petit garçon qui est resté là-bas… C’est l’histoire de ce petit garçon resté en Tunisie, que vous nous racontez dans « Ma vie encore plus rêvée » alors ? Oui et non ! Je raconte une vie qui est la mienne. Mais tout est inventé ! (Il rit) Ce qui est vrai, c’est l’émotion que j’essaie d’en faire émerger. Et rien d’autre ne compte à part cette émotion. J’essaie aussi de regarder le passé avec du recul, de la maturité. De me demander si ce que j’ai décrit, au fil des spectacles, n’était pas finalement, une invention aussi. Par exemple, je m’amuse à casser l’image de la mère juive inquiète et excessive que j’ai créée, à travers les confessions de Simone Boutboul. Elle se livre, ici, et avoue qu’elle a parfai-
Celle qui menace de mourir si son fils prend le train, « tout seul, la nuit », c’est cela ? Oui, elle avoue, dans ce spectacle, elle dit qu’elle n’avait pas le choix : qu’aurait-on pensé d’elle si elle avait dit à son fils : ‘mais vas-y barre-toi, prends tes frères et ton père avec toi, d’ailleurs, surtout ton père ! Je vais tellement avoir la paix toute seule’ Cette femme, comme toutes celles qui lui ressemblent, a fabriqué de grands névrosés, la preuve, ce sont quand même les juifs qui ont inventé la psychanalyse ! Mais elle avoue aujourd’hui, elle n’avait pas le choix, alors elle a dit à son fils, ‘mange ou je saute par la fenêtre et commetiébo’, elle l’a tellement répété qu’il a cru que c’était son prénom, ‘commetiébo’. Jusqu’au jour où une fille lui a dit ‘commetiégros !’ Elle le sait, Simone, qu’elle lui a menti, mais en même temps, qu’auraient pensé les voisins, les amis, la famille, si elle avait dit à son fils : ‘en toute sincérité, t’es vraiment pas terrible !’ On l’aurait prise pour un monstre, Simone ! Ce spectacle, c’est peut-être la preuve que j’ai mûri : je regarde ces femmes, toutes ces femmes, y compris ma mère avec un autre œil ! Elles ont joué un rôle, à la perfection, mais elles n’ont pas vécu… Qu’y-a-t-il de votre propre mère, finalement, dans ce personnage de mère qui traverse toute votre œuvre ? On s’en moque ! Les journalistes veulent toujours savoir ce qui est vrai et ce qui est inventé. Ca n’a aucune importance ! Si vous saviez d’ailleurs tous les bobards que je leur ai racontés, aux journalistes, au fil des années ! (il rit). Ce qui compte, c’est que l’émotion que je crée soit vraie. Jean Valjean n’est pas plus vrai que le héros de mon spectacle. Mais son histoire nous touche au plus haut point. C’est un comble d’ailleurs quand on connaît le rapport qu’entretenait Victor Hugo avec la sexualité. Hugo était un tombeur, aux mœurs parfois très légères, un DSK du 19ème siècle. Et il nous émeut aux larmes avec ce personnage de père courage qui n’a jamais connu l’amour charnel. C’est une escroquerie ! Pour en revenir à ma mère, c’est elle, néanmoins, qui m’a inspiré l’une des réflexions que ce spectacle illustre : à la mort de mon père, elle s’est retrouvée seule. Elle n’a jamais eu de travail, de vie sociale, elle n’a pas fait d’études, même si élever quatre garçons à Tunis, pour moi, ça vaut Polytechnique. Je me suis alors demandé quel aurait été son destin si elle n’avait pas laissé cette inquiétude typique de la mère juive occuper toutes ses heures de libre. Simone Veil par
exemple, a pu se réaliser sans pour autant délaisser ses enfants. Ma mère, elle, se rattrape aujourd’hui : elle a 94 ans, elle lit des milliers de bouquins, elle ne s’arrête plus de lire et elle ne veut plus cuisiner : elle a dit à ma fille aujourd’hui : ‘bon, tu peux venir déjeuner, mais c’est toi qui prépare le repas ! Parlons justement des mères qui vont venir vous voir en Israël. Le public est-il le même, là-bas, ici ? Oui et non. Oui, parce que ce sont des êtres humains. Que l’on connaisse ou pas mon univers, je m’adresse à l’humain, je lui raconte des histoires drôles et tristes qui peuvent le toucher quel que soit son histoire et ses origines : j’ai joué à La Gacilly, fief de la marque Yves Rocher, où s’est créé récemment un théâtre flambant neuf car la commune est riche : le public ne me connaissait pas, il a donc mis quelques minutes avant de se laisser embarquer, puis il a ri, il a pleuré, il a fini debout et ça m’a énormément touché. Quant aux mères juives israéliennes, elles ne sont, en revanche, pas du tout les mêmes que celle que j’ai eue, celles des exilés d’Afrique du Nord : la mère, lorsqu’on quitte son pays natal, c’est la terre, c’est le seul attachement qu’il nous reste. Les Israéliens, eux, ont une terre : elle les attache, elle les relie, ils la défendent avec passion. Mais aucun Israélien n’irait à la guerre si les mères juives là-bas étaient les mêmes : elles cacheraient leurs enfants sous les lits pour les protéger ! Outre les mères, je dirais du public israélien qu’il est sensible, très à fleur de peau. Il attend beaucoup de marques d’amour, parce que ce qu’il vit au quotidien est violent : savoir qu’une grosse partie du monde nous déteste et nous veut du mal n’est pas facile à vivre tous les jours. A ce titre, la démagogie de certains artistes m’écœure : ils professent, là-bas, un amour inextinguible pour Israël, mais se garderaient bien de prononcer des déclarations aussi mielleuses en France. Mon amour pour Israël est connu de tous, je le dis en France, je le dis en Israël, nous sommes peu à le faire ! Comment vous préparez-vous pour ces représentations israéliennes ? Comme pour les autres, en faisant du sport, je n’aime pas ça, mais mon corps est mon outil de travail : une représentation c’est très physique, je perds 1,5 kilo par soir ! Dommage que ce ne soit que de l’eau. Pour être mince à la fin d’une tournée, il faudrait que j’arrête de manger de l’huile d’olive et du pain ! Mais que voulez-vous, je suis Tunisien ! Michel Boujenah : « Ma vie encore plus rêvée », A partir de 20 h 30, le 30 décembre à Jérusalem, le 2 janvier 2019 à Netanya, le 3 janvier 2019 à Tel-Aviv. Réservations sur www.culturaccess.com
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La Francophonie toujours sans Israël
Le dernier sommet de l’Organisation internationale de la francophonie qui s’est tenu le 11 octobre à Erevan n’y a rien changé. Israël n’est toujours pas membre de cette instance internationale ! Aussi étrange que cela puisse paraître pour bon nombre de nos compatriotes qui ont séjourné en Israël et constaté la progression fulgurante de la présence française, de sa culture et de sa langue, Israël n’est toujours pas considéré comme un pays membre de la Francophonie cinquante ans après sa création. C’est à n’y rien comprendre. Quand on consulte la liste à jour des quatre-vingt quatre membres de cette organisation, on y trouve la trace de la sympathique Ile de Sainte-Lucie où sont recensés cinq mille francophones ou de la Lituanie, état balte où ils sont soixante-sept mille à parler le français et même depuis 2012, du Qatar… qui pour intégrer cette organisation avait fait valoir qu’il accueillait de nombreux expatriés francophones et qu’il avait financé une radio publique de langue française… Mais toujours pas Israël où vivent désormais près de 800 000 francophones dont près de 170 000 Français, en raison de la position du Liban qui s’oppose à l’entrée d’Israël dans cette organisation. Le député Meyer Habib avait pourtant consacré sa première question au gouvernement en 2013 sur ce sujet. Et il y a quelques semaines, il écrivait au Président Macron pour lui demander de peser de tout son poids pour « mettre fin à ce boycott honteux ». En mars dernier, le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Emmanuel Nahshon, dénonçait lui aussi l’absence d’Israël au sein de la Francophonie.
Pourtant le discours du Président de la République à Erevan était ambitieux : développer l’usage du français à travers le monde et réinventer la francophonie, « pas un club convenu, un espace fatigué, mais un lieu de reconquête ». Il lui reste à ne pas détourner son regard du seul état démocratique au Proche-Orient où près d’un million de citoyens parlent notre langue, lisent nos écrivains et apprécient notre gastronomie et nos vins. « Ma patrie, c’est la langue française » disait Albert Camus. Oui. Mais pour faire rayonner notre langue, encore faut-il aimer et respecter tous ceux et toutes celles qui la parlent dans le monde. Sans ostracisme. Jack-Yves Bohbot
Le debrief de la semaine Par Jack-Yves Bohbot
La Shoah étudiée aux collégiens marocains Le roi Mohammed VI a ordonné l’enseignement de la Shoah dans le programme d’études secondaires au Maroc. « L’école doit présenter les plus grands moments de l’Humanité ainsi que les moments les plus sombres », a déclaré le roi chérifien.
Le Bnai Brith dénonce un tweet antisémite d’un syndicat Le Bnai Brith a récemment pointé un tweet antisémite émanant de la CFTC de la Loire et s’attaquant au porte-parole de SOS Méditerranée, Jean-Yves Abecassis. Le syndicat chrétien a rapidement condamné des « propos inadmissibles ». Miss Liban déchue de son titre pour avoir posée avec Miss Israël Miss Liban a été déchue de son titre après avoir posée en photo avec Dana Zriek, arabe israélienne et miss Israël, en marge du concours international « Miss Earth ». Les autorités libanaises ont argué « une hostilité historique entre le Liban et Israël, non seulement au niveau militaire, mais également au niveau culturel et dans les concours de beauté » … Tension entre la Jordanie et Israël ? Le roi Abdallah II de Jordanie a an-
noncé qu’il refusait de reconduire deux dispositions du traité de paix liant ces deux pays depuis 1994. Le souverain ne veut plus renouveler un accord qui prévoyait que des terres frontalières – la zone Baqoura-Naharayim et la zone Al-Ghamr-Zofar –, sous souveraineté jordanienne, seraient mises gratuitement à la disposition des fermiers israéliens pour une période de vingt-cinq ans. La justice tente de bloquer un site d’extrême-droite Première en France. Le procureur de la République de Paris a assigné neuf opérateurs de télécommunications, dont SFR, Bouygues, Orange et Free – pour bloquer un site « DemocratieParticipative.biz » connu par ses propos racistes, antisémites et homophobes. Les opérateurs ont quinze jours pour s’exécuter, mais les experts doutent de l’efficacité de cette mesure. Les mariés de l’année à Neuilly A l’occasion des « Dix jours du Consistoire », l’institution francilienne réunit dans une synagogue les couples qui se sont mariés pendant l’année. C’est la synagogue de Neuilly qui accueillait dimanche plusieurs centaines de couples, bénis par Grand Rabbin de Paris après un spectacle musical.
SÉCURITÉ
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Pays non démocratiques et outils de cyber espionnage vendus par Israël. La liste.
Le journal Haaretz a publié récemment un article qui explique « comment Israël est devenu l’un des principaux exportateurs d’outils d’espionnage destinés à pénétrer la société civile dans le monde entier ». Selon Haaretz : « Des pays n’ayant aucun lien diplomatique officiel avec l’Etat hébreu utiliseraient des technologies israéliennes pour espionner leurs citoyens ». L’enquête de Haaretz tente de démontrer que le secteur du cyber-espionnage israélien est « devenu en quelques années le fer de lance du commerce mondial des outils de surveillance et d’interception de communications. Aujourd’hui, chaque agence gouvernementale est dotée de capacités d’espionnage créées à Herzliya Pituah, le centre technologique de Tel-Aviv », écrit le journal. Selon Haaretz « l’industrie israélienne n’a jamais hésité à vendre ses technologies dans certains pays arabes n’ayant aucune relation diplomatique avec l’Etat hébreu : Bahreïn, Indonésie, Angola, Mozambique, Emirats arabes unis ». La liste des clients est longue.
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La reconversion d’anciens agents du Mossad dans la cybersécurité
Les patrons de firmes de cyber-espionnage tiennent le même discours : « Israël aide les Etats à venir à bout du terrorisme et à lutter contre le crime ». Les exportations des technologies de ces sociétés ont été autorisées par le ministère de la Défense et sont donc légales. Une fois les systèmes vendus, il n’y a plus aucun moyen d’empêcher une quelconque utilisation abusive, admettent cependant les industriels. « Vous ne pouvez pas vendre une Mercedes à quelqu’un et lui dire de ne pas conduire à plus de 100 kilomètres à l’heure », ironise l’un d’entre eux.
L’analyse de l’histoire des services israéliens permet de souligner le caractère profondément unique qu’entretient cette institution avec l’identité nationale, et ce même avant l’indépendance du pays. Les nombreux anciens agents ayant embrassé une carrière politique sont là pour en témoigner : Ehud Barak a servi dans le renseignement militaire, Tzipi Livni (ancien ministre des affaires étrangères et de la Justice) est un ancien agent du Mossad, le deux fois Premier ministre Yitzshak Shamir affiche 17 années au sein du Mossad, ou encore Chaïm Hertzog, sixième président d’Israël, qui a été deux fois directeur du renseignement militaire. La liste appuyant la porosité entre mondes politique et du renseignement pourrait encore s’allonger. En sus, Ia communauté israélienne dispose d’un rare continuum de sécurité boosté par la reconversion d’anciens agents en startupeurs brillants dans le domaine de la cybersécurité. Moins nombreuses que leurs homologues françaises (400 contre 600) les entreprises israéliennes dans ce secteur ont levé 30 fois
plus d’argent (800 millions de dollars contre 26 millions) en 2017. Le Mossad a même créé, en 2017 un fonds d’investissement nommé Libertad uniquement dédié au secteur civil israélien de la haute technologie. Il convient de remarquer l’ampleur des effectifs dévolus aux activités de renseignements en Israël comparativement à la population nationale : près de 9000 hommes et femmes composent le renseignement militaire israélien, soit plus que la DGSE française et le service allemand de renseignement extérieur (environ 6000 chacun), tandis que le Mossad et le Shin Beth représentent respectivement, selon les estimations, 3000 et 1000 hommes. Quoi qu’il advienne, les services de renseignement resteront au coeur de la stratégie de l’Etat hébreu. Que ce soit sur le plan du renseignement économique ou de l’innovation technologique, comme celui de l’influence régionale et internationale, Israël s’affiche pour l’heure en pole position. Source : les-yeux-du-monde.fr
SÉCURITÉ
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Beersheva. Gady Eizenkot, le chef de l’état major écourte sa visite aux Etats-Unis
Réunion d’urgence ce matin du Cabinet Israélien de Sécurité après le tir d’une roquette cette nuit sur Beersheva qui a complètement détruit une maison au coeur de la ville alors que ses occupants, une maman et ses trois enfants étaient réfugiés dans l’abri. Ils ont été hospitalisés en état de choc. Une autre roquette serait retombée dans la mer face à une autre ville du centre du pays. Tsahal frappe depuis l’aube des positions du Hamas à Gaza, aujourd’hui pas d’école à Beersheva, les élèves des localités limitrophes de l’enclave étudieront dans les abris, les points de passage entre Israël et la
Bande de Gaza sont fermés et Gady Eizenkot, le chef de l’état major écourte sa visite aux Etats-Unis. Que va décider le Cabinet de Sécurité ? Opération de grande envergure ou retenue ? Redoutant une opération militaire, et ne voulant pas humilier l’équipe égyptienne qui se trouve actuellement à Gaza pour tenter un accord de trêve de la dernière chance, le Hamas et le Djihad Islamique dans un communiqué commun ont déclaré, et c’est tout à fait inédit, qu’ils « condamnaient les tirs de roquettes qui nuisent aux efforts égyptiens visant à lever le blocus sur Gaza ». Nathalie Sosna-Ofir
Dans l’urgence le Dôme de fer sera positionné à Beersheva
Le Cabinet Israélien de Sécurité, après le tir d’une roquette sur Beersheva, a décidé de placer un Dôme de fer dans la ville.
Le Dôme de fer est un système de défense aérienne mobile israélien, développé par la société Rafael Advanced Defense Systems, conçu pour intercepter des roquettes et obus de courte portée (Counter Rocket, Artillery, and Mortar, ou C-RAM). Le système a été créé pour faire face aux attaques de roquettes lancées depuis la bande de Gaza et le Liban en direction des villes israéliennes, et a été déployé en 2010. Le système est conçu pour détruire les roquettes dans un rayon de 4 à 70 kilomètres. Selon son fabricant, le Dôme de fer est opérationnel de jour comme de nuit, quelles que soient les conditions météorologiques, et il est capable de faire face à des attaques simultanées et nombreuses. Le Dôme de fer est composé de trois éléments principaux : • un radar tridimensionnel à balayage électronique de détection et de pistage : le radar ELM-2084 est construit par la société Elta
Le juge de la Cour suprême David Mintz attaqué par des terroristes
(en) et est capable, selon son constructeur, de localiser une munition tirée à plus de 100 km et suivre 200 cibles par minute3 ; • un ordinateur de gestion de bataille et d’armement (BMC : Battle Management & Weapon Control) : le système est développé par la société mPrest Systems ; • un lance missiles : le système lance le missile intercepteur Tamir, équipé de capteurs électro-optiques et de huit ailerons de direction permettant une haute maniabilité.
Le radar détecte les lancements de roquettes, calcule leurs trajectoires, envoie les informations à l’ordinateur central, qui les utilise pour déterminer la localisation de l’impact. Si le projectile constitue une menace, notamment s’il se dirige vers une zone peuplée, un missile d’interception est alors lancé par un tireur depuis un des trois lanceurs contenant 20 engins composant la batterie de missiles sol-air.
Des terroristes palestiniens ont tenté d’attaquer le juge de la Cour suprême David Mintz près du village de Dolev, où il réside, en judée Samarie. Le juge David Mintz a déclaré à la police ce lundi matin que les trois hommes avaient bloqué sa voiture et s’étaient avançés vers lui avec des marteaux. L’attaque s’est déroulée près du village de Dolev, en Judée Samarie. David Mintz s’est échappé de justesse et n’a
pas été blessé lors de l’attaque. Les suspects n’ont pas encore été localisés mais de nombreuses forces de sécurité ratissent le secteur afin de mettre la main sur les terroristes.Selon la police, l’attaque s’est déroulée sur la route 463. Les trois suspects se sont ensuite enfuis dans une voiture possédant une plaque d’immatriculation palestinienne. Source Koide9enisrael
FRANCE
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Israël sera à la Fiac. Retour sous la verrière du Grand Palais (17 au 21 octobre)
En France et Israël, passage à l’heure d’hiver le 27 oct. 2018 Le passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver a toujours lieu le dernier dimanche d’octobre. Cette année, ça tombe le 27 octobre. À 3h du matin, il sera 2h à la nouvelle heure. Concrètement, on recule sa montre d’une heure, cela signifie que vous pourrez dormir une heure de plus. Quand on passe à l’heure d’hiver, le soleil se lève plus tôt le matin, mais il fait également noir plus rapidement en fin de journée.
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On recule sa montre d’une heure. À 3h du matin, il est en réalité 2h. On avance sa montre d’une heure. À 2h du matin, il est en fait 3h. On dort une heure de plus On dort une heure de moins. Le passage de l’heure d’hiver à l’heure d’été a lieu le dernier dimanche de mars. Le passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver a lieu le dernier dimanche d’octobre. http://lavdn.lavoixdunord.fr
La Fiac est de retour sous la verrière du Grand Palais du 17 au 21 octobre, avec, pour cette 45ème édition, 195 galeries venues de 27 pays, dont Israël. De nombreux visiteurs israéliens font le déplacement à Paris pour cet évènement mondial. Selon nos estimations plus d’une quinzaine de galeries d’art de Tel-Aviv et Jérusalem seront à Paris pour la Fiac. L’art contemporain est présent au coin des rues de Tel-Aviv : espaces créatifs, centres de design, ateliers, écoles, etc. Sans compter les musées ou les foires, la cité compte plus d’une cinquantaine de galeries qui exposent des artistes Israéliens ou étrangers : peinture, sculpture, photographie, design. Selon Noémie Grynberg : « Bien que les arts visuels ne jouissent pas d’une vraie tradition locale, de solides collections ont vu
le jour. Le boom du high-tech des dernières années a produit une nouvelle catégorie de jeunes amateurs israéliens. Quant aux nouveaux médias, ils rentrent également peu à peu dans la culture moderne. Ainsi, le Centre d’Art Contemporain, fondé en 1998, soutient œuvres vidéo et performances artistiques. A Tel-Aviv, les galeries d’art sont disséminées á travers la ville. Elles se veulent à la fois révélatrices des talents locaux et précurseurs de la scène internationale ». Selon le site officiel de la Fiac : Pour sa 45e édition, qui se déroulera du 18 au 21 octobre 2018 à Paris, la FIAC est heureuse d’accueillir au sein des espaces prestigieux du Grand Palais une sélection exigeante de galeries d’art moderne, d’art contemporain et de design parmi les plus emblématiques de la scène internationale.
Emmanuelle Wargon, fille de Lionel Stoléru, ex-Président de la CCFI France-Israël
Qui est Dan Aboulkheir, Chef de la Résidence de France à Tel-Aviv ?
Le 20 Octobre était la « journée internationale des chefs cuisiniers », et pour l’occasion, nous vous présentons le Chef de la Résidence de France, Dan Aboulkheir, aussi appelé « Chef Dan Boker ». Né à Paris en 1973, Dan a grandi dans la commune de Meaux en France. Épicurien et aventurier, il décide de voyager en Israël après ses études de commerce, pour voir d’autres horizons. C’est là que se révèle son envie de cuisiner pour les autres et d’en faire son métier. Il intègre alors la
prestigieuse école de cuisine Rimonim à Tibériade et sort major de la promotion. Après avoir travaillé dans différents établissements hôteliers et restaurants en Israël, il officie aujourd’hui en tant que Chef de la résidence de France en Israël, pour le plaisir des ambassadeurs & ambassadrice et leurs convives. Source : page facebook de l’Ambassade de France en Israël
Emmanuelle Wargon a été nommée secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire. C’est la numéro deux derrière François de Rugy. « Fille de Lionel Stoléru, ancien ministre de Valéry Giscard d’Estaing, Emmanuelle Wargon à un CV bien rempli. Diplômée d’HEC, de Sciences Po, elle a également intégré l’ENA, école où elle a compté parmi ses camarades de promotion un certain Édouard Philippe. »
sent cadre dans une grande entreprise que connaît bien une de ses nouvelles collègues au gouvernement. En effet, depuis 2015, Emmanuelle Wargon est directrice générale des affaires publiques et de la communication de Danone, entreprise pour laquelle Muriel Pénicaud, le ministre du Travail, a exercé la fonction de directrice des ressources humaines. »
Le portrait dans BFM TV : « Nommée à la Cour des comptes après son cursus, elle devient par la suite conseillère technique dans le cabinet de Bernard Kouchner, à l’époque ministre de la Santé de Jacques Chirac. Passée par le Haut-commissariat aux Solidarités de Martin Hirsch sous Nicolas Sarkozy et le ministère du Travail sous François Hollande, elle est jusqu’à pré-
Emma Wargon est la fille de Lionel Stoléru, issu d’une famille juive roumaine, qui a été le ministre en charge des travailleurs manuels et immigrés et Président de la Chambre de Commerce France-Israël. De 1986 à 1988, il a été président de la chambre de commerce France/Israël et a occupé ce poste de nouveau en 1993.
Source : BFM TV
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Israël sera présent à Paris pour « Le Forum sur la Gouvernance de l’Internet »
Le Forum sur la Gouvernance de l’Internet se tiendra à Paris du 12 au 14 novembre 2018 en présence d’israéliens (très peu d’informations sont encore disponibles sur la composition de la délégation israélienne). La France accueille la treizième édition du Forum sur la Gouvernance de l’Internet (FGI) sur le thème « Internet of Trust ». Cet événement majeur de la gouvernance mondiale de l’Internet est organisé par le gouvernement français, sous l’égide des Nations Unies. Il se tiendra du 12 au 14 novembre 2018 à l’UNESCO à Paris. Le Forum sur la Gouvernance de l’Internet (FGI ; ou IGF Internet Governance Forum en anglais), est une plateforme mondiale et multi-acteurs de débat sur l’ensemble des questions de politique publique relatives à l’Internet. Il a été créé en 2005, à Tunis, par le Sommet mondial sur la société de l’information (SMSI). Initialement prévu pour cinq ans, le mandat de l’IGF a été reconduit par la résolution SMSI+10 adoptée par l’Assemblée Générale des Nations Unies en décembre 2015. Au cours du forum, placé sous le thème « Internet of Trust » (Internet de confiance), sont discutés les propositions de cadres réglementaires, les tendances mondiales,
les risques potentiels, ainsi que les bonnes et les mauvaises pratiques adoptées ou en cours de discussion. Son importance réside dans sa capacité à faciliter les échanges entre les gouvernements, les organisations intergouvernementales, les entreprises privées, la communauté technique et les organisations de la société civile qui traitent ou s’intéressent aux questions de politique publique liées à la gouvernance de l’Internet. Le Président de la République française, Emmanuel Macron, devrait être présent lors de ce Forum, qui s’inscrit dans une séquence de grands événements internationaux à Paris où le digital sera à l’honneur, avec le Paris Peace Forum (11 novembre) et le sommet des GovTech (12 novembre). Le Forum sur la Gouvernance de l’Internet est l’occasion pour la France de promouvoir une vision française et européenne du numérique, déjà présentée par le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères en décembre 2017 dans la Stratégie Internationale pour le Numérique et de réaffirmer l’attachement de la France au système des Nations Unies, y compris en matière de gouvernance du numérique, conformément aux conclusions du Sommet mondial sur la Société de l’Information.
Emmanuel Macron, 170 déplacements en France et 66 à l’étranger. Bientôt Israël ?
Le Balagan. Assaf Granit, Prix du Meilleur Chef étranger à Paris
Dur, dur d’être président de la République. Après plus d’un an et demi à la tête de la France, Emmanuel Macron semble déjà puiser dans ses ressources. Le Parisien, dans son édition de ce lundi 22 octobre a interrogé des proches du chef de l’Etat qui indiquent qu’il « a pris cher » physiquement. La Maire de Paris Anne Hidalgo a adressé une lettre de remerciements pour « la contribution à la gastronomie de la ville » au Chef israélien Assaf Granit. Celui-ci possède le restaurant « Balagan ». Anne Hidalgo : « Suivant les recommandations du magazine Pygroscope, je voudrais saisir cette occasion pour vous adresser, ainsi qu’à toute l’équipe de » Balagan « , mes félicitations pour votre savoir faire, le succès de votre restaurant et sa contribution
à la gastronomie et à la diversité de notre ville. Le restaurant de Assaf Granit a été nommé par le magazine Time Out parmi les 100 meilleurs restaurants de Londres. « The Barbary » d’Assaf Granit est arrivé en premier sur la liste du TOP 100. En avril 2018, Granit a remporté le prix du meilleur chef étranger à Paris avec le restaurant Balagan. Le restaurant parisien a impressionné le public français avec des ptititm, des kubanas.
Ses 170 déplacements en France et 66 à l’étranger (Israël ne fait pas partie de cerecord toutes catégories) y sont pour quelque chose. « Il maigrit à vue d’œil », confie l’un ministre. « Il lui arrive de ne pas se rendre compte qu’il est sur un autre fuseau horaire », explique un conseiller élyséen. « Ils gèrent la France à deux avec Alexis Kohler. C’est normal qu’il soit usé », ajouté un autre conseiller. Pour essayer de récupérer des forces, Em-
manuel Macron prend congé dans la résidence officielle de la Lanterne dans le parc du château de Versailles. Un lieu où il peut se rendre certains week-ends en compagnie de Brigitte Macron à la différence de leur résidence du Touquet. Le quotidien nous informe aussi que pour évacuer la pression le président fait de la boxe avec ses officiers de sécurité. Un peu comme le Premier Ministre Edouard Philippe. Ce dernier voit sa popularité augmenter selon un récent sondage Ifop publié ce dimanche 21 octobre par Le Journal du Dimanche. Alors que celle d’Emmanuel Macron reste à son plus bas niveau depuis son élection, avec 29% de satisfaits et 70% de mécontents. Source : public.fr
FRANCE
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Le parti de Mélanchon condamne la visite de 185 patrons en Israël
Est-ce sérieux, un livre décrivant les lois de la stupidité ? En 1976, un professeur d’histoire économique de l’Université de Californie à Berkeley, Carlo M. Cipolla, a publié un livre décrivant les lois fondamentales de ce qui est pour lui la plus grande menace pour l’humanité: la stupidité. Carlo Cipolla soulignait que les gens stupides sont nombreux, irrationnels et qu’ils créent des problèmes pour les autres sans en tirer le moindre bénéfice ce qui affaiblit la société. Il n’y a aucune protection contre la stupidité. La seule façon pour une société de ne pas être emportée par le poids de ces idiots et pour ceux qui ne le sont pas de travailler plus et plus intelligemment. Carlo Cippolla avait établi 5 lois immuables de la stupidité. Loi 1: Toujours et inévitablement nous sous-estimons le nombre d’individus stupides en «liberté».
Des chefs d’entreprises rennais se sont rendus en Israël pour y découvrir les débouchés économiques. La France Insoumise de Rennes Métropole condamne cette visite. L’UE35 lui propose en réponse de coorganiser un voyage au Venezuela. Pas sûr que des représentants de la France Insoumise de Rennes se rendent de sitôt à l’étranger en compagnie de l’Union des entreprises d’Ille-et-Vilaine (UE35). Dans un communiqué, le parti d’extrême-gauche « condamne fermement » la visite la semaine dernière d’une délégation de 185 chefs d’entreprise en Israël, « compte tenu de la politique développée par l’État Israélien, marquée par un régime violent, ouvertement d’extrême-droite, qui renforce et assume la poursuite de la colonisation des territoires palestiniens. » Et LFI de donner un conseil aux patrons bretons : « Se renseigner au préalable sur la situation en Israël et dans les territoires illégalement occupés. Nous ne pouvons que regretter, par exemple, la falsification de la réalité avec la présentation d’un prétendu miracle économique en matière agricole, qui est surtout basé sur l’exploitation et la captation de la ressource en eau au détriment des populations palestiniennes. » Dans leur communiqué, les Insoumis appellent aussi à ce que « des garanties » soient apportées pour assurer que les projets des chefs d’entreprise en Israël « ne participent pas à la colonisation et d’ostracisation menée par cet État, dont les pratiques sont ouvertement en violation du droit international et des droits humains. » Soutenant la campagne internationale « Boycott Désinvestissement et Sanction », LFI souhaiterait que l’UE35 rende publique la liste des entreprises ayant participé à ce voyage et communique sur les échanges commerciaux qui pourraient à l’avenir en découler. La demande de publicité des échanges qui
pourront naître avec des entreprises israéliennes et qui profiteront tant à l’économie de notre territoire qu’aux travailleurs Israéliens, qu’ils soient juifs, musulmans, d’une autre confession ou athées, procède clairement d’une volonté d’ostraciser ! Une prise de position, on s’en doute, pas vraiment appréciée du côté de l’Union des entreprises 35, qui « s’étonne de cette réaction tardive à un voyage programmé depuis plusieurs mois et laisse à la France insoumise de Rennes la responsabilité de la violence de ses propos. » « L’objet de cette visite essentiellement axée sur l’économie était aussi d’aider les décideurs économiques bretiliens à mieux comprendre les enjeux de la situation politique et sociale en Israël et il leur appartient désormais d’apprécier librement s’ils entendent ou non faire des affaires dans ce pays », explique Bruno Cressard, vice-président de l’UE35 et organisateur du traditionnel voyage de l’organisation à l’international. « La demande de publicité des échanges qui pourront naître avec des entreprises israéliennes et qui profiteront tant à l’économie de notre territoire qu’aux travailleurs Israéliens qu’ils soient juifs, musulmans, d’une autre confession ou athées procède clairement d’une volonté d’ostraciser et est totalement incongrue ! » Dans un pied de nez, l’avocat rennais en profite pour tendre la main aux Insoumis. « Nous procéderons prochainement au choix de la destination qui sera retenue pour nos 20es Rencontres Internationales en 2019. Si notre choix est le Venezuela, qui se caractérise par une situation humaine, sociale et économique catastrophique, nous ne manquerons pas de soumettre ce choix et de proposer une co-organisation à la France Insoumise ! » © Le Télégramme
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Peu importe le nombre d’idiots que vous imaginez autour de vous, vous sous-estimez invariablement le total. Pourquoi? Parce que vous partez du principe faux que certaines personnes sont intelligentes en fonction de leur travail, de leur niveau d’éducation, de leur apparence, de leur réussite… Ce n’est pas le cas. Loi 2: La probabilité qu’une personne soit stupide est indépendante des autres caractéristiques de cette personne. La stupidité est une variable constante dans toutes les populations. Toutes les catégories qu’on peut imaginer –de genre, ethnique, religieuse, de nationalité, de niveau d’éducation, de revenus– possède un pourcentage fixe de personnes stupides. Il y a des professeurs d’université stupides. Il y a des gens stupides au Forum de Davos, à l’ONU et dans toutes les nations de la terre. Combien y en a-t-il? Personne ne sait. Voir la Loi 1. Loi 3: Une personne stupide est une personne qui crée des problèmes à une autre personne ou à un groupe de personnes sans en tirer soi-même le moindre bénéfice. Cette loi implique qu’il y ait trois autres sortes de personnes. Celles intelligentes dont les actions bénéficient à elles-mêmes et aux autres. Les voyous qui tirent des avantages pour eux-mêmes au détriment des autres. Et ceux qui enrichissent les autres à leur détriment. Les non stupides agissent de façon inconsistantes. Parfois, nous nous comportons intelligemment, parfois comme des voyous et parfois contre nos intérêts. Mais les stupides sont eux constants. C’est pour cela qu’ils sont si dangereux pour Marco Cipolla. «Les personnes stupides sont dangereuses et créent des dommages avant tout parce que les gens raisonnables ont du mal
à imaginer et à comprendre des comportements aberrants. Une personne intelligente peut comprendre la logique d’un voyou. Une rationnalité détestable, mais une rationnalité… Vous pouvez l’imaginer et vous défendre… Avec une personne stupide, c’est absolument impossible. Une personne stupide va vous harceler sans aucune raison, pour aucun avantage, sans aucun plan et aucune stratégie… Vous n’avez aucune façon rationnelle de savoir quand, où, comment et pourquoi une créature stupide va attaquer. Quand vous êtes confronté à un individu stupide vous êtes complétement à sa merci…». C’est votre oncle qui ne peut pas s’empêcher de répandre des «fake news» sur les réseaux sociaux ou l’employé du service en ligne qui va vous raccrocher trois fois au nez et va finir par ne pas régler votre problème et vous en créer d’autres. Loi 4: les personnes non stupides sous-estiment toujours les dégâts que peuvent faire les individus stupides. Elles oublient en permanence que conclure un marché ou s’associer avec des personnes stupides est une erreur très coûteuse. Nous sous-estimons le stupide à nos risques et périls. Loi 5: Une personne stupide est la plus dangereuse des personnes. Elle est plus dangereuse qu’un voyou car nous ne pouvons rien faire ou presque contre la stupidité. La différence entre les sociétés qui s’effondrent sous le poids de leurs citoyens stupides et celles qui surmontent cette difficulté tient à une chose: leur capacité à produire des citoyens se comportant de façon intelligente dans l’intérêt de tous. Si dans la population non stupide, la proportion de voyous et de personnes agissant à l’encontre de leurs propres intérêts est trop importante: «le pays devient alors un enfer» conclut Marco Cipolla. Source : harissa.com/
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Patrick Drahi rencontre 185 Christine Lagarde repousse un voyage prévu en Arabie Saoudite entrepreneurs de Bretagne à Jérusalem
La directrice du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde a repoussé un voyage prévu au ProcheOrient, qui comportait une étape en Arabie saoudite et sa participation à une conférence controversée depuis la disparition du journaliste saoudien Jamal Khashoggi. « Le voyage au Proche-Orient initialement prévu de la directrice a été reporté », a indiqué un porte-parole du FMI dans un bref communiqué, sans donner d’explication. Christine Lagarde devait participer à une conférence sur les investissements dans le royaume, boycottée par de nombreux invités prestigieux, depuis la disparition le 2 octobre de Jamal Khashoggi après une visite au consulat saoudien à Istanbul. Des accusations plus pressantes sur l’implication de l’Arabie saoudite Samedi encore, lors des réunions d’automne du fonds à Bali, Christine Lagarde avait indiqué qu’elle se rendrait à cette conférence à Ryad où le gotha de l’industrie et de la finance devait se retrouver du 23 au 25 octobre. Je suis horrifiée. Mais je dois conduire les affaires du FMI aux quatre coins du globe »Christine Lagarde, samedi 13 octobre
« Les droits de l’homme, la liberté de l’information sont essentiels (…) Je suis horrifiée. Mais je dois conduire les affaires du FMI aux quatre coins du globe », avait-elle dit. « Quand je visite un pays je dis toujours ce que je pense, vous me connaissez, je le fais », a-t-elle souligné. « Donc, à ce stade, je ne vais pas changer mes projets mais je serai très attentive aux informations qui vont apparaître ces prochains jours et je vais m’exprimer », a averti la responsable. Depuis, l’affaire Khashoggi a explosé et les accusations sur la responsabilité de l’Arabie saoudite à un très haut niveau se font plus pressantes en particulier de la part des autorités turques qui pensent que le journaliste, contributeur du Washington Post et critique du régime, a été tué à l’intérieur du consulat par une équipe d’assassins venus de Ryad. Les désistements de participants à la conférence se sont multipliés de la part de groupes de presse qui s’y étaient associés comme le New York Times, The Economist ou encore la chaîne CNBC mais aussi de nombreux dirigeants d’entreprises comme Jamie Dimon, le patron de la première banque américaine JPMorgan Chase, ou Richard Branson, fondateur du groupe Virgin. huffingtonpost.fr
L’homme d’affaire franco-israélien Patrick Drahi a rencontré 185 entrepreneurs bretons à Jérusalem, mardi 16 octobre. L’occasion de leur assurer que SFR se portait bien et de promouvoir sa chaîne i24news. C’est dans un décor grandiose, la citadelle de Jérusalem (appelée aussi Tour de David) privatisée pour l’occasion, que 185 entrepreneurs bretons ont passé leur dernière soirée en Israël, ce mardi 16 octobre. Partis de Rennes samedi dernier, ils ont passé quatre jours à la découverte du pays hébreu avec l’Union des entreprises d’Ille-et-Vilaine. Ce voyage était né d’une invitation de Patrick Drahi, à Rennes, lors d’un dîner à l’initiative du Medef. L’homme d’affaires franco-israélien, à la tête d’un empire des télécoms et des médias, avait alors suggéré eux patrons bretons de venir en Israël. « Je vais faire du business ici » Il les a accueillis, ce soir, à Jérusalem. « Je suis très heureux et très touché de vous voir ici. Mon histoire avec Israël a démarré il y a très longtemps. Mais je n’ai décidé d’y venir qu’en 2009. Je me suis dit : je vais faire du business ici. Je me suis intéressé à l’opérateur de câble Hot. C’est beaucoup plus gros que SFR et combine de la télé, du câble, du mobile, des infrastructures… » À la tête de la multinationale Altice (SFR, Virgin mobile, Hot, Portugal Telecom, Suddenlink, mais aussi Libération et l’Express) Patrick Drahi a aussi lancé en Israël i24news, une chaîne d’information continue et internationale. « J’ai eu cette idée ici, un soir sur une plage à Tel Aviv… où je me suis pris trois missiles sur la tête. Heureusement, ils ont été neutralisés avant de frapper, sinon je ne serai pas là pour vous en parler. » Israël ? « Tout le monde a un avis distingué » Avec i24news, Patrick Drahi souhaite proposer « une alternative à Al Jazeera » et « montrer le vrai visage d’Israël au monde, sans être un instrument de propagande » . « Quand on parle d’Israël, tout le monde a un avis distingué, très précis, s’agace-t-il.
Mais quand on demande aux copains « tu y as déjà mis les pieds ? », c’est non. Alors j’invite les copains. Et tous repartent changés. » Hervé Kermarrec, président de l’union des entreprises d’Ille-et-Vilaine, opine : « On a découvert un pays radicalement différent de ce qu’on pensait. Il est tourné vers l’économie, malgré l’histoire, les histoires qui s’entrecroisent ici et rendent la situation complexe. » « SFR va beaucoup mieux cette année » Patrick Drahi a un peu évoqué l’actualité de SFR avec les patrons bretons : l’opérateur de télécommunications français a récupéré ses abonnés perdus au cours de ces trois dernières années. Une réussite permise notamment grâce à l’acquisition de droits de diffusion de la Ligue des Champions, en mai 2017, pour 350 millions d’euros par an. « SFR va beaucoup mieux cette année. On est reparti très fort, après avoir été un peu coincé au niveau réorganisation. » Ouvrir le capital pour la fibre Prochain challenge : l’installation de 5 millions de prises de fibre optique dans les agglomérations de taille moyenne en France. Pour financer ce déploiement, tout en réduisant la dette de 31 milliards d’euros d’Altice Europe, Patrick Drahi veut ouvrir le capital du réseau fibre ZMD et RIP de SFR. Une dizaine de fonds d’infrastructure sont candidats. Aux entrepreneurs bretons, Patrick Drahi lance : « Vous n’êtes que quatre millions en Bretagne, mais on vous voit beaucoup. Nous sommes 14 millions en Israël et c’est pareil, on nous voit beaucoup. C’est un point commun. » L’homme d’affaires, né à Casablanca, a lancé une nouvelle invitation à l’union des entreprises d’Ille-et-Vilaine : « Venez au Maroc. » « On est tenté de dire chiche ! », a répondu Bruno Cressard, vice-président de l’Union des entreprises d’Ille-et-Vilaine. Source : ouest-france.fr
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La communauté nudiste d’Israël se retrouve dans un cinéma de Tel-Aviv
Une centaine de personnes nues se sont réunies à Tel Aviv pour assister à la projection du film français « Normandie nue ». Cela a été le premier évènement de ce genre organisé pour les nudistes en Israël, relate le quotidien Haaretz. Environ 80 personnes ont participé à une projection spéciale à Tel Aviv organisée pour la communauté nudiste pour le film français Normandie nue de Philippe Le Guay, lit-on dans le quotidien Haaretz. C’est notamment devenue la première projection de film nudiste en Israël, précise le média, ajoutant que «la plupart des participants étaient des laïcs, mais il y avait aussi des religieux, et même quelques juifs ortho-
Innovation Révolution. Une aquaculture de pleine mer avec Gili Ocean
doxes, à qui on avait dit de ne pas enlever leur kippa».Les amateurs de cinéma français ont dû respecter notamment quelques règles comme par exemple «maintenir l’espace personnel», garder à l’esprit que «la nudité n’est pas une invitation au sexe», laisser son portable et son appareil photo à la maison ainsi que d’apporter sa propre serviette. Le film « Normandie nue » parle d’un photographe étranger venu dans un petit village normand dont les éleveurs ont été touchés par une crise. Le maire de la localité tente alors de persuader les Normands de réaliser une photo commune tout nus bien que tout le monde ne soit pas d’accord. https://fr.sputniknews.com
Des acheteurs israéliens pour le home de Justin Timberlake. En vente $6,4 millions
Ce qui n’était qu’un projet financé par l’UE en 2017, avec pour objectif de rendre l’élevage piscicole plus « Bio » et plus économique, est devenu réalité quotidienne d’une firme israélienne, « Gili Ocean Technologies » (GOT), qui propose désormais une aquaculture de pleine mer pour produire un poisson plus sain. Habituellement, l’alevinage en eau de mer était implanté dans des zones abritées près des côtes « parce que plus simple à gérer dans la mesure où l’on n’a pas à lutter contre l’océan ou la pleine mer », déclare Josef Melchner, alors coordinateur du projet. Toutefois on perd la plus grande partie de ces bienfaits naturels, – Concentrations en oxygène et leurs flux de micros-éléments tels que les micros-algues qui participent à la nutrition des poissons. Par ailleurs, même si elle semble plus facile lorsqu’elle a lieu près des côtes, l’aquaculture peut être la source de nombreux problèmes du genre pollution des eaux par déjections de cette gente muette, restes de nourritures, maladies parasitaires et sources d’alimentations controversées, sachant qu’aujourd’hui encore, on nourrit les poissons de culture avec des farines de poissons issues de la pêche traditionnelle.
Pour les stars aussi il est parfois compliqué de vendre un bien immobilier. C’est actuellement le cas de Justin Timberlake, qui en est même venu à baisser de 400.000 dollars le prix de son appartement newyorkais dans le quartier de Soho. Et ce n’est pas la première ristourne. L’appartement du chanteur est désormais
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en vente pour 6,4 millions de dollars, indique TMZ ce dimanche 21 octobre, alors que son prix de départ avait été fixé à 7,9 millions de dollars en mars. Doté d’une entrée privée et d’un gymnase, il s’étale sur 240m² dont 80m² de terrasse. Des israéliens se sont montrés très interéssés par ce bien immobilier.
de la pisciculture. « Remettre les poissons à l’eau », déplacer les cages piscicoles en haute-mer, voilà ce qui devrait révolutionner en tous points l’idée même de la pisciculture ! » Cette belle histoire a donc vu le jour via le « HiCenter », un incubateur de start-ups situé à Haïfa. Tandis que la compagnie de commencer à travailler sur des prototypes implantés, notamment, en mer Rouge, 2016 marque la réalisation du premier essai grandeur nature à 12 kilomètres au large du port d’Ashdod. Bien installée, la société fait appel au programme de financement européen « Horizon 2020 » pour les petites et moyennes entreprises. Il lui est attribué la modique somme de 2 millions d’euros auxquels devra s’ajouter une aide du gouvernement israélien. Comment ça marche ? Le système consiste en une succession de cages liées entre elles par une structure flexible qui reste en suspension grâce au courant marin mais descend rapidement en cas de tempêtes dans le calme des profondeurs afin de protéger installation et poissons.
Sans compter les défis techniques qu’il leur a fallu relever comme la maîtrise des effets de puissants courants, mesurer l’impact des fortes vagues ou tempêtes et réussir la mise en place de structures marines capables de répondre à toutes les demandes.
Ajoutez à cela la distribution automatique de nourriture selon le nombre de poissons présents et le suivi en temps réel des pertes occasionnées par la mort naturelle de ces gentils animaux et vous aurez l’explication du pourquoi Israël peut se vanter d’avoir mis sur pied « la plus grande structure piscicole de haute-mer du monde ! »
Révolutionner en tous points l’idée même
Source : https://www.diplomatie.gouv.fr
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Good News d’Israël pour garder le sourire. Médailles d’or et argent à Buenos Aires
Israël a remporté deux médailles, l’or et l’argent, lors des épreuves individuelles de natation et une médaille d’argent par équipe dans l’épreuve de gymnastique lors des Jeux olympiques junior qui ont eu lieu à Buenos Aires. Les Jeux se sont terminés vendredi. Le 15 octobre, le duo formé par Yonatan Fridman et Noa Kazdo Yakar a remporté la médaille d’argent en gymnastique acrobatique, dans la catégorie mixte. Au premier jour des Jeux, le 6 octobre, Anastasya Gorbenko s’est hissée sur la première marche du podium en nage mixte, dans l’épreuve du 200 mètres femmes, établissant un nouveau record israélien avec un chrono de 2:12.88. Times of Israel Qu’est ce que les Jeux Olympique de la Jeunesse ? Les jeux olympiques de la jeunesses sont une compétition sportive multisupports comme les Jeux Olympiques que nous connaissons tous. La particularité est que ces jeux sont réservés aux jeunes âgés de 15 à 18 ans. Comme son homologue, les Jeux Olympiques de la jeunesse ont lieu tous les 4 ans en alternance entre les jeux d’hiver et d’été qui eux sont alternés tous les deux ans. De plus il faut savoir que toutes les disciplines au programme des Jeux Olympiques sont présentes aux Jeux Olympiques de la Jeunesse, soit 28 disciplines différentes. Un peu d’histoire sur ces Jeux Qui en a eu l’idée ? Les jeux olympiques de la jeunesse ont commencé à voir le jour lorsque Jacques Rogge président du comité international olympique en a fait sa priorité en juillet 2001. Cependant cette idée est toutefois
bien plus ancienne, puisque l’Autrichien Johann Rosenzopf a été reconnu comme « inventeur » de ce concept par Jacques Rogge et le CIO. C’est lui qui avait en 1998 contacté le Comité olympique autrichien afin de créer des « Jeux olympiques juniors ». Ce n’est qu’ en avril 2007 que la commission exécutive du Comité international olympique a voté à l’unanimité de créer et mettre en place les Jeux Olympiques de la Jeunesse. Le 5 juillet 2007, les 110 membres présents lors de cette session approuvent à l’unanimité le projet d’organisation de la première édition des Jeux olympiques d’été de la jeunesse en 2010. Puis des Jeux olympiques d’hiver de la jeunesse en 2012. Après l’annonce de la décision, le président du CIO, Jacques Rogge, estime qu’il s’agit d’un « moment historique pour le mouvement olympique. Nous devons cela à la jeunesse du monde entier ». Les premières éditions C’est 3 ans plus tard que les premiers Jeux Olympiques de la jeunesse ont vu le jour. En effet ces premiers JOJ d’été ont été organisés en 2010 dans la ville de Singapour. C’est en 2012 que la première édition d’hiver des jeux a eu lieu en Autriche dans la ville d’ Innsbruck, seulement quelques mois avant que Londres n’accueille les Jeux olympiques d’été. La deuxième édition de ces jeux d’été ont eu lieu en 2014 à Nankin en Chine. Tandis que les jeux d’hiver ont eu lieu en 2016 en Norvège dans la ville de Lillehamer. Les prochaines éditions auront lieu pour celle d’été cette année (2018) à Buenos Aires en Argentine et pour la saison d’Hiver en 2020 en Suisse plus précisément à Lausanne.
Plus qu’une simple compétition sportive Au-delà de la compétition sportive, l’objectif des Jeux Olympiques de la Jeunesse est de promouvoir la pratique du sport notamment au sein des jeunes générations. Cet événement, en plus du volet sportif, a pour ambition de transmettre un fort volet éducatif et culturel, reposant sur les valeurs prônées par l’olympisme. Effectivement en plus des valeurs du dépassement de soi les jeux olympiques représentent, la fraternité, l’universalité, la paix, ainsi qu’ un mode de vie valorisant l’éducation à la santé, ainsi que la compréhension et le respect de son environnement. C’est pour cela qu’ en complément des compétitions sportives, sont organisés des initiations, des démonstrations, ainsi que des spectacles musicaux afin de promouvoir le sport et la culture aux citoyens du pays organisant les jeux . L’importance pour Buenos Aires d’organiser ces jeux L’Argentine a déjà eu l’occasion d’organiser et d’accueillir de nombreux événements sportifs sur son territoire. Effectivement le pays du football a eu l’honneur d’organiser la coupe du monde de football en 1978, qui avait eu pour conséquence la construction de nombreuses infrastructures. Toujours dans le domaine du foot l’Argentine a accueilli 9 Copa-America. Dans d’autres domaines le pays a réalisé plusieurs éditions du mythique Dakar depuis 2009, mais aussi le championnat du monde de basket en 1990. Et pourtant, avec ce long palmarès, Buenos Aires n’a jamais eu l’occasion d’organiser les Jeux Olympiques, malgré ses candida-
tures notamment en 1956 et plus récemment pour les Jeux de 2004. C’est d’ailleurs le seul membre fondateur du Comité International Olympique à n’avoir jamais organisé les Jeux Olympiques. C’est pour cela que ces jeux olympiques peuvent être un gros coup de pouce pour une future participation aux Jeux Olympiques en 2032. De plus, cette participation a pour conséquence de pousser la ville à relever deux défis. Un défi politique En effet l’organisation des JOJ doit être le point de départ d’une politique ambitieuse du pays sur le plan sportif. Effectivement, comme dit précédemment l’objectif à termes des autorités argentines est de candidater à l’accueil des Jeux Olympiques. Pour ce faire, l’organisation des JOJ apparaît cohérente vis-à-vis du CIO. De plus cela permettra au pays de développer des compétences en matière d’accueil d’événements sportifs. Un défi social L’ autre enjeu de ces JOJ est de promouvoir la pratique de sports auprès de la jeunesse. C’est pour cela que les organisateurs se sont beaucoup penchés sur le développement de la communication sous tous ses angles. Et plus précisément au niveau des médias sociaux et numériques afin de toucher le public le plus large, et surtout le plus jeune possible, sur les valeurs prônées par ces Jeux. Par ailleurs, il est important de noter que cette politique de promotion du sport vise aussi à lutter contre l’obésité, aujourd’hui estimée à plus de 20 % en Argentine.
Election de « Miss survivante de la Shoah » en Israël
Tova Ringer, née il y a 93 ans en Pologne, est une survivante d’Auschwitz où toute sa famille a été exterminée. Hier elle est devenue « Miss survivante de la Shoah » en Israël, un concours destiné à aider les rescapées à se sentir belles et bien vivantes. nathalie sosna-ofir) Le Point : « Israël est l’un des pays les plus inégalitaires au monde : selon l’OCDE, 20 % de la population vit au-dessous du seuil de pauvreté alors que le coût de la vie est comparable aux pays occidentaux. Parmi les personnes les plus vulnérables, les rescapés de la Shoah. 70 ans après la libération des camps, ils seraient 189 000 survivants à vivre en Israël, selon les chiffres de la Fondation pour la mémoire de la Shoah. Un quart d’entre eux, soit 45 000 personnes, vit sous le seuil de pauvreté, fixé à 3 000 shekels par mois (720 euros), rapporte Libération. Une situation qui, bien qu’elle se soit améliorée grâce à une allocation de 2 200
shekels (530 euros) par mois versée par le gouvernement, inquiète les associations de défense des victimes de la Shoah.
Ces survivants de l’Holocauste ont quitté, pour la plupart, le bloc soviétique à la chute de l’URSS et sont venus s’installer en Israël, laissant derrière eux travail, économies et retraite, explique Libération. L’objectif des associations d’aide aux victimes de la Shoah est d’« informer » et de « guider les survivants dans leurs démarches » et de les épauler pour faire valoir leurs droits en Israël. C’est notamment le cas de l’Association pour l’assistance immédiate des survivants de l’Holocauste qui, depuis 2007, aide les survivants de l’Holocauste à recevoir les indemnités auxquelles ils ont droit. Certaines associations ont également mis en place des refuges pour accueillir ces personnes âgées, et des aides pour les soins médicaux ou psychologiques ».
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Israël, baisse des transactions Sexe, accidents… Les voitures immobilières et vente de Google en Israël captent d’appartements résidentiels des drôles de moments Le saviez-vous? Les voitures de Google en Israël captent régulièrement des moments insolites, comme une personne chutant à bicyclette, un couple faisant l’amour sur le capot de la voiture, des accidents, des indélicats urinant ou pire sur le bord des routes, etc… Selon (1) : « Lima est une ville particulièrement encombrée au niveau du trafic, optimiser son itinéraire est donc le soucis de tous les habitants, afin de réduire les temps de trajet. Un homme était en train de chercher une nouvelle route quand il a aperçu une silhouette familière sur Google Street View, celle de sa femme ! Quand Google Maps devient une source de divorce
Le marché immobilier enregistre actuellement un record avec quatre ans de baisse depuis 2014 dans le nombre de transactions immobilières et la vente d’appartements résidentiels. Ces données ressortent d’une étude réalisée par l’économiste en chef du ministère des Finances sur le marché immobilier en août 2018. Le nombre total de nouvelles unités résidentielles vendues en août par les entrepreneurs et les entreprises de construction n’était que
de 2 400, soit une baisse de 7% par rapport à juillet. Dans l’ensemble, depuis le début de l’année, durant les huit premiers mois de janvier à août 2018, les ventes d’appartements résidentiels par des entrepreneurs se sont élevées à 13 500 appartements – le niveau le plus bas depuis le début de la dernière décennie. Par rapport à la même période en 2017, il s’agit d’une baisse de 11% et d’une baisse marquée de 40% par rapport à 2016. Source : Israel HaYom
Le visage est bien flouté, mais on peut clairement discerner la silhouette, les vêtements, les cheveux, etc. Pour beaucoup cette découverte aurait prêté à sourire, sauf que dans le cas présent, la femme n’est pas seule… Cette dernière est assise sur un banc avec un homme allongé, la tête posée sur ses jambes. Un moment sans doute romantique, qu’une voiture de Google aura immortalisé en 2013. Intrigué par cette photo puisque le couple était déjà marié à cette époque, l’homme a confronté son épouse à la photo de Google
Maps et cette dernière a avoué entretenir une relation avec un autre homme depuis plusieurs années. C’est donc une photo vieille de 5 ans qui a servi de preuve de l’infidélité lors du jugement de divorce de ce couple. Le plus ironique est que cette photo prise par Google se situe au niveau du « pont des soupirs » (el puente de los suspiros) à Barranco. Un lieu romantique où l’on trouve généralement l’amour, dans le cas présent cette péruvienne aura trouvé un divorce. Google Maps et Street View font régulièrement la « Une » de l’actualité pour ce genre de petits faits divers, car les voitures de Google captent régulièrement des moments insolites » (1) presse-citron.net
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L’homme politique le plus détesté par Israël, Mélenchon
Hier, jour noir pour J.L Mélenchon. En Israël les images incroyables prisent en direct de cet homme face à la justice n’ont pas du tout ému les israéliens. Simple rappel en qui concerne l’image de ce leader politique : c’était en début d’année 2018. Francis Kalifat, président du Conseil représentatif des institutions juives de France, après avoir annoncé la tenue d’une marche en hommage à Mireille Knoll, Française juive de 85 ans tuée vendredi le 23 mars à Paris, avait indiqué, après avoir invité « tous les Français à se rassembler », que « ni Jean-Luc Mélenchon et les insoumis, ni Marine Le Pen et le FN ne seraient les bienvenus ». Des propos de Francis Kalifat sur RTL : « La surreprésentation des antisémites, tant à l’extrême droite qu’à l’extrême gauche, rend ces deux partis infréquentables. A nos yeux, ils ne sont pas les bienvenus. Ils ont besoin d’éclaircir les positions, et notamment JeanLuc Mélenchon et l’extrême gauche, en ce qui concerne le boycott d’Israël, la haine d’Israël dans notre pays. » Selon (1) : »En colère, Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une « énorme opération de police politique » après les perquisitions qui ont eu lieu mardi 16 octobre à son domicile ainsi qu’aux sièges de La France insoumise et du Parti de gauche. Des perquisitions ont été menées mardi matin au siège de La France insoumise (LFI) et au domicile de son leader Jean-Luc Mélenchon dans le cadre d’enquêtes sur des emplois présumés fictifs de parlementaires européens et sur les comptes de campagne présidentielle de l’ancien candidat. Ce dernier n’a pas manqué de dénoncer une « énorme opération de police politique », le jour du remaniement ministériel. Interpellé par Jean-Luc Mélenchon à l’Assemblée mardi, le Premier ministre, Édouard Philippe, a défendu « l’indépendance de la
justice », « qui fait qu’il n’y a aucune instruction individuelle donnée au procureur ». Dans sa question, le chef de file des députés Insoumis avait dénoncé une « mise en scène », soulignant qu’il n’y avait « aucun motif d’urgence » justifiant ces perquisitions multiples. « Il m’appartient, parce que je suis Premier ministre, parce que je suis respectueux de la loi et du texte constitutionnel, de faire prévaloir en toutes circonstances l’indépendance de la justice », a rappelé le chef du gouvernement. « Il ne m’appartient pas, monsieur le président Mélenchon, il n’appartient à aucun d’entre nous de remettre en cause le texte constitutionnel et le principe fondamental de l’indépendance de la justice (…). La justice est évidemment indépendante », a insisté Édouard Philippe, qui a dit « pouvoir comprendre » « l’émotion et la colère » du leader de LFI. « Demain, ils trouveront une excuse pour me foutre en cabane comme Lula » Les internautes qui suivent Jean-Luc Mélenchon sur Facebook ont été les premiers informés de la venue de policiers chez lui. « Nous sommes perquisitionnés chez tout le monde. La secrétaire générale du groupe à l’Assemblée, mes anciens assistants qui ont vu débouler aussi les flics à 7 heures du matin, on leur prend leurs téléphones, on leur prend leurs ordinateurs. Au siège du Parti de gauche dont je suis membre, au siège du mouvement La France insoumise », fulmine Jean-Luc Mélenchon dans une vidéo filmée avec son téléphone et diffusée en direct sur le réseau social, tandis que des policiers s’affairent en arrière-plan. « Demain, ils trouveront une excuse pour me foutre en cabane comme Lula » (l’ancien président brésilien, incarcéré, NDLR). « Ce n’est pas normal ! (…) Ce gouvernement naît dans la honte », s’insurge l’ancien candidat à la présidentielle, bien décidé à utiliser les
réseaux sociaux pour dénoncer un « coup de force » en plein remaniement gouvernemental. Un peu plus tard dans la matinée, changement de décor. Au siège de LFI, près de la gare du Nord à Paris, la scène est cette fois filmée par un journaliste de Libération. « Enfoncez la porte, camarades ! », crie Jean-Luc Mélenchon à ses proches, pour tenter d’entrer dans les locaux du mouvement, où les policiers mènent leur perquisition. Pendant plusieurs minutes, le groupe fait le forcing devant des policiers impassibles. Une porte s’ouvre finalement de l’autre côté du palier. On entend un cri : « On pousse ! », et les députés Insoumis envahissent les locaux. Trois journalistes parviennent à s’introduire dans la pièce au milieu des cris, Jean-Luc Mélenchon interpelle le représentant du parquet et les policiers. « Vous me perquisitionnez depuis quatre heures chez moi. Vous avez été prendre neuf personnes à domicile, vous envahissez deux sièges politiques. Je suis le président d’un groupe d’opposition. Vous n’avez pas à me traiter de cette manière. Je n’ai pas volé de cigarettes ! » « Nous menons des opérations de police judiciaire dans un cadre légal », répond le parquetier. Sur des images diffusées dans la soirée dans l’émission « Quotidien », Jean-Luc Mélenchon pousse le parquetier ainsi qu’un policier qui s’interpose. Dans une autre séquence filmée au moment où les Insoumis forcent l’entrée des locaux, un policier semble plaquer au sol un membre de LFI avant de se relever. Le député Alexis Corbière hurle alors : « Vous vous calmez ! Vous l’avez étranglé. » « Je suis député, moi, monsieur », en levant le doigt vers le policier. « Résistance » Une fois les policiers partis, les Insoumis,
pour certains sous le choc, improvisent une conférence de presse dans la rue, tandis que des sympathisants appelés à la rescousse crient « Résistance ». « On m’a empêché d’assister à la procédure administrative alors que je suis le responsable légal de La France insoumise, je n’ai pas pu assister aux opérations (…). Aucun PV ne m’a été proposé à être signé », dénonce Manuel Bompard, coordinateur des campagnes de LFI. « Un policier m’a attrapé par le cou, attrapé par le bras, m’a tiré. Ce policier, sa hiérarchie est venue en lui disant ‘calme-toi’. J’ai été violenté, agressé (…). Ce qui s’est passé est inacceptable », accuse le candidat aux élections européennes, affirmant qu’il va « porter plainte au commissariat pour les coups qui (lui) ont été portés ». S’exprimant à son tour, Jean-Luc Mélenchon prend à témoin la foule et les journalistes. Derrière lui, le député Alexis Corbière, dénonçant une « agression politique intolérable », a l’air au bord des larmes. « Nous sommes des honnêtes gens, nous ne participons à aucun trafic, nous n’avons rien à cacher ! », clame Jean-Luc Mélenchon en promettant de publier toutes les factures de sa campagne. Et, regardant la caméra, il traite le président Emmanuel Macron de « petit personnage » avant de s’en prendre à la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, rectrice à l’époque où M. Mélenchon était ministre délégué à l’Enseignement professionnel : » Belloubet (…), vous devriez avoir honte de ce que vous êtes en train de me faire. Parce que vous m’avez connu comme votre ministre, vous m’avez connu autrefois il y a longtemps comme votre ami. Ce que vous êtes en train de faire est une honte ! ». (1) Avec AFP
Israël veut rejoindre le « Top 10 » de l’OCDE d’ici 10 ans Selon fr.express.live : « Israël a le potentiel de rejoindre le club des 10 pays les plus riches de l’OCDE. C’est ce qu’a affirmé le ministre israélien de l’économie, Eli Cohen, lors de la Maariv Leaders Conference à Jérusalem, devant un parterre de dirigeants. Néanmoins, s’il veut relever le défi, le pays doit se concentrer sur les secteurs de pointe et sur l’intégration de ses communautés arabes et ultra-orthodoxes. Le ministre a rappelé qu’Israël est actuellement actuellement classé 21e selon l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en termes de PIB par tête, mais il ambitionne de hisser le pays dans le top 10 de ce classement d’ici dix ans. Le PIB par tête d’Israël est actuellement inférieur à celui de la moyenne des pays de l’OCDE
“Si nous nous concentrons sur la haute technologie et intégrons les haredims [les juifs « ultra-orthodoxes », c’est à dire ayant une pratique religieuse particulièrement forte] et les Arabes, avec l’argent provenant de l’énergie, nous pouvons nous classer parmi les dix premiers”, a-t-il dit. Selon les données de l’OCDE, le PIB par tête actuel d’Israël est de 32 587 $, inférieur à la moyenne constatée au sein de l’OCDE, qui est de 37 311 $. Relever le défi économique Cohen a indiqué que le secteur de la haute technologie israélien employait actuellement 300 000 personnes, ce qui représente 9 % de la main d’oeuvre israélienne. Le ministre veut porter ce chiffre à 500 000 d’ici les 5 prochaines années.
Un rapport de l’OCDE publié en mars a révélé que le rythme de croissance du secteur de la haute technologie israélien avait été moitié moins rapide que celui du reste de l’économie depuis le début de la décennie. En conséquence, le statut de moteur pour la croissance nationale de ce secteur s’est érodé au cours de cette période. Relever le défi démographique Le rapport souligne aussi que si le pays ne parvient pas à mieux intégrer les populations arabes et ultra-orthodoxes sur le marché du travail, il risque de voir l’écart entre son PIB par tête et celui de la moyenne des pays de l’OCDE culminer à 30 % en 2059, en raison de l’évolution démographique. Récemment, Sergio DellaPergola, démographe auprès de la Hebrew University à
Jérusalem, a déterminé qu’Israël compterait bientôt autant d’Arabes que de Juifs. Il a calculé qu’actuellement, 6,9 millions de Juifs et 6,5 millions d’Arabes vivent sur l’ensemble du territoire. Selon lui, d’ici 15 à 20 ans, les deux populations seront équivalentes. Les juifs ultra-orthodoxes ont aussi un taux de natalité élevé ». http://koide9enisrael.blogspot.com