GRATUIT - Numéro 500 - Edition du 12 au 18 Décembre 2018
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 12 au 18 Décembre 2018
Cinq cents semaines plus tard : merci et encore bravo !
Vous le savez, chers lecteurs, je suis d’ascendance tunisienne. Cela, si je puis me permettre n’a rien à voir avec le fait que notre journal fête, cette semaine même et avec ces lignes, son 500ème numéro ! 500 semaines, cela fait presque une décennie en votre compagnie. 500 numéros, c’est un joli chiffre pour résumer notre aventure médiatique, communautaire et internationale qui, sans vous, sans votre soutien et votre fidélité, chers lecteurs, chers annonceurs, n’aurait jamais été possible. D’autant que des fées malfaisantes s’étaient penchées sur le berceau de notre titre. Le leader de la presse juive à l’époque, prédisait que nous ne tiendrions pas plus que 10 numéros. Il avait tendance à profiter de son statut pour imposer ses choix, ne pas laisser la pluralité s’exprimer, faire régner sa loi, et parfois un peu la terreur. Nous avons choisi, quant à nous, de jouer la carte de la famille et de la convivialité. Nous sommes partout, sur le terrain, dans les fêtes et les manifestations communautaires, au rendez-vous des grands temps forts associatifs, toujours prêts à soutenir les collectes et les actions de solidarité communautaire, toujours prêts à défendre notre arsenal institutionnel, parce qu’il doit exister. Sans pour autant tirer un trait sur notre objectivité et notre juste indignation, lorsqu’il faut remettre quelques pendules à l’heure ou révéler ce que d’aucuns préfèreraient garder secret… Cette proximité entre vous et nous, chers lecteurs s’est incarnée dans vos sourires, lorsque nous nous croisons sur le terrain. Dans vos mails, parfois réprobateurs, parfois plein de félicitations, pour nous dire ce qui vous a déplu ou enthousiasmé. Sur les réseaux sociaux, lorsque vous likez nos posts et encouragez nos efforts, montrant que le lien réel se prolonge dans la virtualité… Cette proximité, elle nous fait chaud au cœur et nous donne envie de toujours nous dépasser pour vous informer, vous divertir et vous satisfaire. Cette proximité, elle se reflète aussi dans l’équipe qui s’est constituée au fil des années et qui se serre les coudes pour être au rendez-vous de vos attentes chaque semaine : je viens donc ici, Directeurs de la publication Rédacteur en chef Eliahou Ben Yoshua Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France
lui dire mes plus sincères mercis : à ma femme, Katy, complice de tous les instants, contre vents et marées, sans qui je n’étais rien d’autre qu’un pétard mouillé. A mes collaborateurs fidèles, Jérôme, en charge de la partie graphique et technique, véritable magicien, à Alain Azria qui nous offre son regard sur le monde qu’il capture dans son objectif, à Patrick Haddad, connu sur la toile sous le pseudonyme de Mister Patou et dont les fans se bousculent pour l’apercevoir, à Netanya, à Ruth, en charge des contenus exclusifs et Sigalit, dont le téléphone sonne sans arrêt. A Yohann qui pilote aujourd’hui, l’aventure Israël Actualités depuis notre bureau local. Et à tous ceux qui ont grimpé dans le bateau au fil des années : Alexandre mon fils, Shannon, Jérémie, Serge, sans oublier Alain Attal auquel nous souhaitons un prompt rétablissement. Je forme le vœu que nous soyons tous, là, fidèles au poste, à vous servir, pour le millième numéro de cette aventure hebdomadaire ! Je veux d’ailleurs saluer la mémoire de Samuel Flatto Sharone z’al, qui nous a quittés la semaine dernière et qui fut un fervent soutien de notre journal, nous aidant même à en sortir une version pilote en Israël. Aujourd’hui Israël actualités est un journal diffusé toute les semaines à 22 000 exemplaires en France, 10 000 exemplaires en Israël. Nous atteindrons début Janvier, les 13 000 exemplaires hebdomadaires dans les grandes villes israéliennes. En 500 parutions, ce sont donc 11 millions d’exemplaires qui sont sortis des presses… Merci aussi à ceux qui ont contribué, par leur plume à ce succès : Gil Taïeb, Bernard Korn-Ktorza, René Serror, Jack-Yves Bohbot et tous les autres... En conclusion je remercierai Hachem de m’avoir donné la force d’être au rendez-vous chaque semaine pour défendre notre communauté, Israël, et son armée. Ce combat est notre cause, elle est juste et notre longévité en est la preuve manifeste. Alors, tous ensemble, continuons ! Am Israël Haï Alain Sayada
Régie publicitaire exclusive Agence Key Web 112 avenue de Paris 94300 Vincennes Crédits photo Alain Azria : 06 21 56 22 13 Abonnement : 06 67 44 3000
Directeur commercial Israel: Sigalit Siksik Sitbon 06 67 78 40 00 Directeur commercial France: Yohann Azoulay 06 68 75 46 26 Commerciaux : Patrick Haddad : 01 43 63 26 02
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Editeur 2SCOM Limited 50 Rehov Dizengoff Tel Aviv Journaliste Gary Bensoussan
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À LA UNE
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Défense et sécurité. Israël s’interroge. Pacte mondial sur les migrations. Qui va remplacer John Kelly ? Israël ne sera pas à Marrakech
Le président américain a annoncé samedi le départ « à la fin de l’année » de son plus proche conseiller. Il a précisé que le nom de son successeur serait annoncé « dans un jour ou deux » et qu’il pourrait s’agir d’un remplaçant par intérim, en attendant de trouver un successeur permanent. Pour remplacer John Kelly, les médias américains évoquent avec insistance le nom de Nick Ayers, actuel chef de cabinet du vice-président Mike Pence. Il s’agit d’un jeune stratège politique républicain de 36 ans, au profil radicalement différent de celui de John Kelly. L’annonce du départ de John Kelly, 68 ans, suit de moins de 24 heures l’annonce de deux nouvelles nominations importantes. Donald Trump a décidé vendredi de confier le ministère de la Justice à William Barr, un juriste républicain respecté, un portefeuille d’une grande importance puisque lui incombe la supervision de l’enquête russe du procureur Mueller. Il a également nommé la porte-parole du département d’Etat Heather Nauert au poste d’ambassadrice des EtatsUnis à l’ONU en remplacement de Nikki Haley. Donald Trump laissait entendre depuis des semaines qu’il n’était pas entièrement satisfait de John Kelly. « Il y a certaines choses qu’il fait que j’aime beaucoup et certaines choses qu’il fait que je n’aime pas », déclarait-il à la mi-novembre. « A un moment il voudra partir ».
Les interrogations sur un départ imminent de John Kelly se faisaient de plus en plus pressantes ces derniers jours, les médias américains insistant sur la dégradation des relations entre les deux hommes. Certains affirmaient même qu’ils en étaient venus à ne plus se parler. Avant de devenir le principal conseiller de Donald Trump à la Maison Blanche en juillet 2017, M. Kelly, général des Marines à la retraite, avait occupé le poste de ministre de la Sécurité intérieure pendant les six premiers mois de la présidence. Il y avait défendu, comme Donald Trump, une vision extrêmement ferme de la politique d’immigration des Etats-Unis. Il était arrivé à la Maison Blanche quelques mois à peine après le renvoi par M. Trump du directeur du FBI James Comey et la nomination du procureur spécial Robert Mueller, chargé de mener l’enquête sur les soupçons de collusion entre l’équipe de campagne du magnat de l’immobilier et Moscou. Sa mission avait été de remettre un peu d’ordre dans une Maison Blanche au fonctionnement chaotique et souvent confus, marquée par les réactions instinctives et imprévisibles du président. Copyrights. i24News
Emmanuel Macron devait prochainement ratifier un pacte mondial sur les migrations piloté par l’ONU, par ailleurs très décrié. En pleine crise des “gilets jaunes”, il va finalement déléguer la tâche. Israël suit le mouvement de nombreux pays qui refusent de signer l’accord de Marrakech : «J’ai donné comme instructions au ministère des Affaires étrangères de ne pas signer le Pacte mondial sur les migrations, écrit le Premier ministre Benjamin Netanyahou dans un communiqué. Nous nous sommes engagés à surveiller nos frontières contre l’arrivée de migrants illégaux. C’est ce que nous avons fait et que nous continuerons à faire.» Selon (1) : « Tandis que les « gilets jaunes » s’apprêtent à participer à l’acte IV de leur mobilisation, à Paris, samedi 8 décembre, Emmanuel Macron n’ira finalement pas, comme prévu, à Marrakech (Maroc) les 10 et 11 décembre prochains, où il était censé ratifier un pacte onusien sur les migrations. Pas de quoi calmer les ardeurs de certains manifestants, qui voient en ce texte la porte ouverte à tous les migrants, d’autant plus que c’est le secrétaire d’État aux Affaires étrangères qui le signera pour lui, rapporte Libération ce vendredi. Une ratification en catimini ?
Le désistement du président Macron aurait suscité une « grande déception » du côté du Maroc, qui voit dans cette conférence un « moment historique », selon une source diplomatique locale. Ce changement de dernière minute peut être vu comme une stratégie de la part du chef de l’État, qui sait l’impopularité du pacte en question dans les rangs des « gilets jaunes ». Pourtant, l’idée est bel et bien de ratifier ledit texte, qui a déchaîné les passions depuis son adoption en juillet dernier à New York. Aujourd’hui, seuls deux tiers des quelque 190 pays qui l’avaient validé ont confirmé leur présence à l’événement. Bien que non contraignant, ce texte dresse une liste de principes à respecter par les pays afin de permettre une meilleure intégration des migrations, ce à quoi s’opposent de nombreux États. Ses détracteurs y voient un encouragement à un flux migratoire incontrôlé ou comme une atteinte à la souveraineté internationale. Pour exemple, l’Italie, l’Autriche, la Bulgarie, la Hongrie, la Pologne, la République tchèque, la Slovaquie, l’Estonie, la Lettonie, la Suisse, l’Australie, Israël et la République dominicaine ont d’ores et déjà décidé de ne pas se rendre à Marrakech ». (1) Sources : Valeurs Actuelles.
Frontière du Liban . L’Union européenne a exprimé son soutien à Israël L’Union européenne a exprimé son soutien à Israël dans le cadre de l’opération « Bouclier du Nord » qui lutte contre les tunnels terroristes du Hezbollah. Dans un tweet, l’ambassadeur de l’UE, Emanuele Giaufret, a déclaré qu ‘«Israël a le droit de défendre la sécurité de ses citoyens et de son territoire». Emanuele Giaufret a ajouté que la FINUL avait « un rôle clé à jouer pour assurer la stabilité » et qu’elle avait besoin d’un « soutien sans faille pour s’acquitter de son mandat consistant à maintenir la stabilité et à prévenir l’escalade dans la région ». Hier soir, d’autres représentants européens notamment les allemands et les britanniques avaient d’emblée soutenu « le droit d’Israël à se défendre » et condamné le Hezbollah pour avoir creusé des tunnels terroristes en Israël.
«Le gouvernement allemand condamne fermement le comportement agressif du Hezbollah, comme en témoigne le système de tunnels construit en violation de l’intégrité territoriale d’Israël», a déclaré l’ambassadrice allemande en Israël, Susanne Wasum-Rainer, dans un post sur Twitter. Le ministre d’État britannique pour le Moyen-Orient a également exprimé son soutien a Israël: «Le Royaume-Uni condamne les tunnels du Hezbollahdans le nord d’Israël. C’est un mépris flagrant des résolutions de l’ONU, qui menace Israël et la stabilité du Liban. La résolution 1701 doit être mise en œuvre. Le Royaume-Uni soutient le droit d’Israël à se défendre », a-til tweeté. Source & Copyrights : TelAvivre
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En Israël, lutte contre le Trésor. Restaurants, cafés, bars se révoltent
Les restaurateurs ne veulent plus garder le silence sur la politique du Trésor. Leur slogan est clair: « Nous ne laisserons pas Ka’hlon (Moshe Ka’hlon, le ministre israélien des finances) nous éteindre ». Des centaines de restaurants à travers le pays éteindront les lumières de leur commerce ce dimanche, huitième bougie de Hanoukka, en signe de protestation contre la politique du Trésor. Les restaurants, cafés et bars étendront les lumières à 19h45 pendant huit minutes. Il s’agit d’une protestation symbolique avant la fermeture définitive d’un certain nombre de sociétés du secteur alimentaire, à la suite de la sévère réglementation de l’industrie de la restauration. La lutte est menée par l’association «Missadanim ‘hazakim Yahad» (les restaurateurs forts ensemble), créée au cours des derniers mois et regroupant quelque 3 000 restaurateurs de l’ensemble du pays. Il y a quelques mois, l’association a entamé une lutte contre l’inclusion de la « taxe Kahlon » de 2 NIS dans les factures des restaurants. Selon les restaurateurs, ces dernières années, l’industrie, qui comprend les restaurants, les cafés, les stands de restauration et les bars, a été durement frappée par des impôts et par des lois qui la concerne directement. Plus de 500 restaurateurs ont déjà confirmé leur intention de mettre les restaurants dans le noir dimanche. Parmi eux: le Mitt Bar, Haakhim, NG, le groupe R2M, qui comprend le Coffe Bar, la Brasserie, l’Hôtel Montefiore, le Delicatessen, le Disco Tokyo, le Hertzel 16, le Café Jeremiah , La chaîne de burgers Agadir, la chaîne Rebar, la chaine Landver, Chipoudé Hatikva dans le port de Tel Aviv, Helena de Césarée, la chaine Benedict, le Kacao, le Tatti, le Lakhmanina et le Reviva. Pourquoi protestent-ils? « Il y a la question de la loi sur le dépôt des travailleurs étrangers qui nuit aux employeurs israéliens. Sur notre dos, l’État tente d’expulser la population de demandeurs d’asile. Et il y a la décision de la suppression des pourboires des serveurs qui devrait être mise en application au début de janvier.
L’État veut prendre la TVA sur les pourboires et on ne sait toujours pas ce qui va se passer à ce sujet. Il y a la loi sur la fiscalité des travailleurs étrangers, qui consiste en une taxe de 20%, et un taux d’imposition rétroactif de six ans, imposant ainsi des dépenses énormes aux restaurateurs, les menaçant de faillite s’ils n’ont pas la capacité de payer.
Fortes augmentation des recettes fiscales en Israël
Cela représente des centaines de milliers de shekels et même des millions de shekels. Nous avons demandé que cela soit réparti sur 60 paiements au lieu de 36, et nous n’avons pas encore reçu de réponse. C’est la différence entre une entreprise qui survit et une entreprise qui va s’effondrer. Le salaire moyen dans le secteur de la restauration s’élevait à 33% du total des dépenses de l’entreprise il y a trois ans, et aujourd’hui, il dépasse 40%. La rentabilité était de 12% et aujourd’hui elle ne dépasse pas 5%. » Anat Zarmati, propriétaire et PDG du groupe Tati, a déclaré: « Tout ce que nous voulons, c’est gagner notre vie de manière décente. La situation dans le monde de la restauration est devenue impossible, et c’est dû aux taxes qui nous sont imposées. Le monde de la restauration fournit un moyen de subsistance à une grande partie des jeunes qui sont libérés de l’armée et qui souhaitent étudier. Ils veulent maintenant taxer leurs pourboires. Si les restaurants sont frappés, leurs parents seront également touchés. Ces jeunes deviendront un fardeau économique. C’est un travail qui convient aux étudiants et ils gagnent bien leur vie. En outre, il s’agit d’un travail qui convient aux nouveaux immigrants, aux travailleurs étrangers et à tous ceux qui, s’il n’y avait pas de restaurant, ne pourraient travailler nulle part ailleurs. Aujourd’hui, tout le monde se demande combien coûte une tomates, combien coûte un concombre et pourquoi une salade coûte 63 NIS. Nous voulons qu’ils examinent le monde de la restauration d’une manière large et voient quels sont les pertes et profits. Qu’ils voient comment ils peuvent nous faciliter la tâche. Nous investissons des millions dans nos commerces. Un restaurant, ce n’est pas seulement de la nourriture, c’est une partie importante de la culture israélienne. « Source : Israel HaYom
La France est, parmi les 36 Etats membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), le pays où la pression fiscale est la plus forte. C’est la conclusion d’un rapport publié par l’organisation internationale mercredi 5 décembre. Avec 46,2 % de son produit intérieur brut (PIB) représenté par les prélèvements obligatoires en 2017, la France est passée devant le Danemark, qui passe en deuxième place avec un ratio de 46 %, suivi de la Belgique, qui affiche un taux de 44,6 %. L’augmentation de la pression fiscale en France s’inscrit dans le contexte d’une hausse généralisée à l’échelle de l’OCDE. En moyenne, les prélèvements obligatoires ont représenté 34,2 % du PIB des pays membres en 2017 contre 34 % en 2016. Il s’agit du chiffre le plus élevé enregistré depuis que l’organisation établie à Paris a commencé à compiler ces données fiscales, en 1965. Un record absolu « Cette moyenne représente désormais un record absolu, y compris par rapport aux
chiffres les plus élevés enregistrés en 2000 (33,8 %) et en 2007 (33,6 %) », souligne le rapport, précisant que la hausse des prélèvements fiscaux par rapport au PIB a été observée dans 19 des 34 pays, tandis qu’un mouvement inverse a été constaté dans 15 autres. En 2017, les plus fortes augmentations des recettes fiscales globales rapportées au PIB sur un an se sont produites en Israël, sous l’effet de réformes fiscales qui ont accru les recettes générées par les impôts sur le revenu, et aux États-Unis, en raison d’une taxe exceptionnelle sur les bénéfices réalisés à l’étranger qui s’est traduite par la hausse des recettes des impôts sur le patrimoine. Ces conclusions ne devraient pas contribuer à apaiser la contestation des « gilets jaunes », qui envisagent de poursuivre leur mouvement malgré la suspension de six mois annoncée mardi par le gouvernement pour trois mesures fiscales qui devaient entrer en vigueur le 1er janvier, dont la hausse de la taxe carbone. Source : Le Monde
À LA UNE
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Mort de Flatto-Sharon (z.l.) en Israël. Ex-Député à la Knesset. Condamné 36 fois en France
Mort de Joseph Joffo (un sac de billes). Occupation et Shoah
Joseph Joffo, romancier, coiffeur à succès et apôtre de la tolérance, est mort ce jeudi à 87 ans. Il a marqué plusieurs générations avec son livre autobiographique « Un sac de billes« , dans lequel il racontait comment, à 10 ans, enfant juif de Paris, il avait fui les nazis avec son frère Maurice, pour se réfugier en zone libre, alors que la nasse se renferme petit à petit sur les Juifs de la France occupée. Démarre alors un long périple jusqu’à Nice où leurs parents les rejoignent. Mais la trêve n’est que de courte durée. En 1943, les Allemands envahissent la zone et les Joffo s’enfuient de nouveau. Suivront d’autres épreuves où leur débrouillardise leur permettra de survivre, jusqu’à la Libération. Leur père n’a pas cette chance : arrêté également, il est déporté à Auschwitz, d’où il ne reviendra jamais. Joseph avait respecté la tradition familiale en reprenant le salon de coiffure familiale. Avec un talent reconnu : avec ses frères, ils en ouvrira une douzaine dans la capitale.
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Cette histoire a été refusée par une quinzaine de maisons d’édition, avant que JeanClaude Lattès ne le lance, en publiant le livre en 1973, écrit avec l’aide de Claude Klotz. « Un sac de billes » connaitra un énorme succès en France et à l’étranger, avec 20 millions d’exemplaires vendus dans une vingtaine de pays, et fera de Joseph Joffo, coiffeur de talent devenu auteur, un écrivain qui signera plus d’une quinzaine de romans, dont le dernier, « Le Partage » est paru en 2005. Il a également rédigé plusieurs livres pour enfants dont « Bashert ». « Un sac de billes » a été adapté deux fois au cinéma et est devenu une référence dans de nombreuses écoles, pour illustrer l’Occupation et la Shoah auprès des enfants et Joseph Joffo y a donné de nombreuses conférences pour sensibiliser les jeunes aux dangers de l’antisémitisme et du racisme Source : Paris Match
Samuel Flatto-Sharon s’est éteint après trois mois d’hospitalisation. Il était âgé de 88 ans. Son épouse Clara et ses enfants Hilda et Yoav étaient à ses côtés lorsqu’il s’est éteint. Il a été inhumé ce vendredi à 14h30 au cimetière de Savion. Shmuel « Samy » Flatto-Sharon (né le 18 janvier 1930 et mort le 7 décembre 2018) était un homme d’affaires et homme politique franco–israélien. Samuel Flatto-Sharon, fils de Joseph et Esthera Flatto, est né à Łódź en Pologne. Déguisé en fillette de 7 ans, il réussit à fuir son pays natal au début de l’occupation allemande et gagne Paris. Il fait fortune dans le recyclage du papier, des chiffons, de la ferraille et des métaux, ce qui lui a valu le surnom de « Roi des chiffonniers de Paris” par les médias. À 21 ans il se lance dans le secteur de l’immobilier et élargit ses affaires notamment dans les papeteries, la restauration, les discothèques et les cabarets… Avant de liquider une bonne partie pour se lancer dans le pétrole et l’exploitation forestière et les métaux précieux en Afrique. Ses affaires notamment en immobilier prennent une envergure internationale et deviennent de plus en plus ambitieuses, il multiplie les investissements dans de grands projets un peu partout, Paris, New York, Rio de Janeiro, Caracas, Tel-Aviv etc. En 1975, il effectue son aliyah, fuyant la justice qui l’accuse d’avoir dissimulé 60 millions $, il quitte la France et part s’installer en Israël. Deux ans après il est élu à la Knesset. Il est impliqué dans plusieurs affaires de criminalité financière, notamment la faillite frauduleuse en 1995 de la société papetière « JOB« , surnommé l’opération « Gecco » par les médias et une fraude à l’assurance et fraude électorale entre autres. Il a été condamné 36
fois en France dont une à 10 ans de prison par contumace en 1979. En 1984, il a été condamné en Israël à trois mois de prison pour fraude électorale. Un article de LPH (Extraits): « Samuel Flatto-Sharon a progressivement évolué pour devenir un fervent patriote sioniste doublé d’un débatteur inégalé. En Israël, il participait régulièrement à des émissions de télévision et fut même animateur d’une émission “Flatto-Sharon beli ‘heshbon”, dans lesquelles il n’hésitait pas à inviter les personnalités les plus à gauche rien que pour les pourfendre. Ces dernières années, sur son site Jérusalem-Plus, il enregistrait quotidiennement une chronique-vidéo dans laquelle il commentait avec sa verve et sa conviction légendaires l’actualité et dénonçait tout ce qui attaquait Israël, de l’extérieur comme de l’intérieur. Shalom Akhshav, B’Tselem, les députés arabes ou Guidon Lévy du Haaretz étaient parmi ses “cibles” préférées, car il avait une sainte horreur de ceux qui salissent l’Etat d’Israël ou Tsahal à l’étranger. Ses interventions sur les plateaux des journaux télévisés sont des morceaux d’anthologie où l’exactitude grammaticale et la précision de la syntaxe laissaient généreusement la priorité à la conviction et l’enthousiasme, ce qui faisait d’ailleurs son charme. Parmi les nombreux cadeaux qu’il aura fait, la grande Menora qui est exposée à l’aéroport Ben-Gourion ou la grande mezouza fixée à l’entrée principale du Kotel. Samuel Flatto-Sharon, un personnage incontournable et inoubliable qui manquera au paysage médiatique israélien et francophone en particulier ».
À LA UNE
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La Suisse finance-t elle des projets du BDS ?
Une discrimination des athlètes israéliens en Espagne ? Les sélections espagnole et israélienne de water-polo féminin ont dû accepter de jouer un match à huis clos à la suite de protestations de militants pro-palestiniens contre la tenue en Espagne de cette rencontre.
L’engagement de la Suisse au ProcheOrient est un sujet de discussion. En mai, le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis a fait sensation avec une déclaration très critique sur l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens UNRWA. Un questionnement repris par plusieurs parlementaires. Ce jeudi, le Conseil des Etats (Chambre haute) examinera une interpellation de Daniel Jositsch. Le sénateur socialiste demande au gouvernement de clarifier les raisons et l’étendue de l’engagement de la Suisse en lien avec le conflit israélo-palestinien. Daniel Jositsch le confirme, le point de départ de l’interpellation découle d’une série d’articles de la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) consacrés au financement suisse des organisations non gouvernementales (ONG) palestiniennes. En juillet, le grand quotidien zurichois a publié une enquête détaillée sur l’engagement de la Suisse dans les Territoires palestiniens et en Israël, basée notamment sur une liste d’ONG fournie par le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) en vertu de la loi sur la transparence. Engagement unilatéral ? Selon le journal, la Suisse finance directement ou indirectement plus de 70 organisations et projets palestiniens. Avec le risque de financer des ONG qui prennent unilatéralement parti contre Israël ou expriment des opinions antisémites. Dans la liste, trois noms sont cachés, afin de ne pas compromettre la sécurité des organisations ou parce que leur publication pourrait nuire «aux intérêts politiques de la Suisse » (comme le dit le DFAE à la NZZ). La NZZ est revenue en septembre sur la question du financement des ONG palestiniennes. Selon le quotidien, le DFAE soutient «presque exclusivement des organisations qui critiquent la politique israélienne – mais presque aucune qui blâme la situation des droits humains dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, dont la responsabilité incombe au Hamas et au Fatah.» Le soutien indirect à des organisations qui soutiennent la campagne BDS pour le boycott d’Israël serait particulièrement problématique, même si le gouvernement a toujours déclaré que la Confédération n’a jamais soutenu aucune campagne appelant au boycott de produits israéliens. Les chiffres et les évaluations présentés par la NZZ ont été remis en question, entre autres, par Swisspeace. La Suisse financerait en fait 25 ONG israéliennes et 33 palestiniennes. Roland Dittli,
un collaborateur de la fondation, a répondu dans les colonnes de l’hebdomadaire Wochenzeitung (Woz) aux accusations d’unilatéralisme des ONG palestiniennes: «Les listes contiennent certaines des plus grandes organisations palestiniennes de défense des droits humains, connues pour leurs critiques» envers les autorités de Judée Samarie et le gouvernement Hamas à Gaza. Répondant à une question du parlementaire socialiste Carlo Sommaruga, le gouvernement a déclaré fin septembre: «En 2017, la Suisse a apporté un soutien financier à 70 organisations non gouvernementales dans le Proche-Orient. Font parties de ces dernières des ONG palestiniennes, israéliennes et de pays tiers. Une attribution à l’une de ces catégories n’est pas toujours évidente et on peut se demander si elle est pertinente.» Interventions parlementaires Il n’en reste pas moins que l’engagement de la Suisse envers Israël et la Palestine fait l’objet d’une grande attention de la part du Parlement. Sept discours parlementaires sur le sujet ont été prononcés lors de la seule session de septembre de l’Assemblée fédérale. Outre les questions de Daniel Jositsch, il convient de mentionner le postulat du conseiller national libéral-radical HansUlrich Bigler qui demande un rapport sur le financement des ONG palestiniennes et israéliennes, sans oublier l’intervention du député de l’Union démocratique du centre (UDC / droite conservatrice) Maximilian Reimann, qui a demandé des clarifications sur les noms cachés de la liste du DFAE. Le conseiller national UDC Christian Imark et le président du PDC Gerhard Pfister pointent, eux, l’Initiative de Genève, une proposition de paix lancée il y a quinze ans par Micheline Calmy-Rey, alors ministre suisse des Affaires étrangères, et qui continue de bénéficier du soutien financier de la Suisse. En mai dernier, l’actuel ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis avait déclaré qu’«en soutenant l’UNRWA (l’organisation des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens), nous maintenons le conflit en vie» au Moyen-Orient, provoquant un grand émoi. Par la suite, le Conseil fédéral a réitéré son soutien à l’URWA. Un soutien à nouveau pointé du doigt par la députée libérale-radicale Corina Eichenberger-Walther et le conseiller national UDC Erich von Siebenthal. Source Swiss Info
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Le groupe BDS et un parti d’extrême gauche avaient appelé à boycotter la rencontre et à protester contre sa tenue, près de Barcelone, dans le nord-est de l’Espagne. Le Club de natation de Molins de Rei, où devait avoir lieu la rencontre comptant pour les qualifications de la Ligue mondiale de water-polo, avait annoncé que les organisateurs avaient décidé d’en changer le lieu « pour des motifs logistiques et de sécurité », sans informer du nouvel emplacement. Il a fallu attendre quelques heures avant le match, pour que la Fédération espagnole de natation (RFEN) annonce qu’il aurait finalement lieu à huis clos dans un centre sportif de Sant Cugat del Vallès, en périphérie de
Barcelone. « Nous voulons toujours veiller à la sécurité des compétitions internationales (…) et que seul le spectacle sportif importe, au-delà de toute autre considération », assure dans un communiqué la fédération qui assure avoir pris la décision d’un commun accord avec la délégation israélienne. Peu avant, le Comité olympique israélien avait dénoncé une discrimination contre sa délégation dans une lettre de son secrétaire général Gilad Lustig au président du Comité olympique espagnol Alejandro Blanco. « Je crois que, quand un pays organisateur discrimine des athlètes d’un autre pays pour des motifs de race, de religion, de genre ou d’opinion politique, ce pays perd le droit à accueillir tout type de compétition sportive », écrivait-il. Source : i24News
Un sénateur américain sous le feu des critiques pour bloquer des projets de loi pro-israéliens l’aide aux pays et entités moins méritants, comme l’Autorité palestinienne et le Pakistan.
Le sénateur américain républicain Rand Paul exaspère ses collègues de tous bords en bloquant deux projets de loi liés à Israël, dont un qui autorise des dizaines de milliards de dollars d’aide militaire pour le pays. Le projet de loi principal que R. Paul bloque est celui qui fait suite à un accord conclu sous l’ancien président Barack Obama qui donne à Israël 38 milliards de dollars d’aide militaire sur 10 ans et qui bénéficie d’un large soutien bipartite au Congrès. Utilisant ses privilèges au Sénat, Paul bloque le projet de loi en indiquant qu’il lèverait son véto, si les législateurs trouvaient des moyens de compenser au moins 3 milliards de dollars dans le financement. Il dit soutenir Israël, mais qu’à long terme, celui-ci devrait devenir autosuffisant. Il ajoute qu’il préférerait financer Israël en réduisant
Cette position est fortement contestée à l’Assemblée. « Alors qu’Israël fait face à des menaces sans précédent, il est inexplicable de bloquer un projet de loi bipartite qui permet aux États-Unis de se ranger aux côtés d’Israël « , a déclaré le sénateur Marco Rubio. Le chef de file démocrate sur le projet de loi, le sénateur Chris Coons du Delaware, a ajouté que les » raisons invoquées par Paul pour s’opposer au projet de loi n’ont aucun sens et ne soutiennent pas les intérêts stratégiques des États-Unis « . D’autres détracteurs du sénateur précisent Les critiques de Paul disent que sa demande est déroutante parce que le projet de loi en question n’autorise que des dépenses. Techniquement, ce n’est pas un financement approprié. Certains craignent qu’une déstabilisation complète de l’Autorité palestinienne – y compris de ses services de sécurité – ne déstabilise davantage une situation déjà tendue sur le terrain. On craint aussi que si les États-Unis réduisent les fonds qu’ils versent à d’autres pays, le ressentiment de la communauté internationale à l’égard d’Israël ne s’envenime. Source : Politico.com
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En Hébreu, le PDG d’Apple, Tim Cook, lance un appel Le PDG d’Apple, Tim Cook, a répété l’engagement de sa compagnie en faveur du combat contre les haines et il a recouru à une phrase en hébreu pour cela. Cook a invoqué une phrase extraite du Lévitique (19:16) dans sa langue originale, lors d’un sommet consacré à l’antisémitisme et à la haine organisé lundi par l’ADL (Anti-Defamation League), intitulé « Never Is Now ». Tim Cook, qui n’est pas juif, a déclaré dans son discours que cette obligation biblique amenait Apple à prendre position au nom des groupes ciblés par les haines, notamment les immigrants et la communauté LGBT. Times of Israel
Pourquoi le FMI suggère à Israël d’accroître le nombre de crèches?
La croissance économique d’Israël est actuellement solide, estime le Fonds monétaire international tout en pointant du doigt les handicaps du pays à long terme citant notamment des infrastructures sous-dimensionnées et une pauvreté élevée. Israël a enregistré une forte croissance économique en 2017 (+3,4%), tirée par la demande domestique et la croissance mondiale, indique le FMI dans un communiqué mardi à la suite d’une mission sur le terrain. Le taux de chômage a baissé de manière notable à moins de 4% début 2018 et la croissance devrait atteindre environ 3,4% cette année et devrait sans doute rester autour de ce niveau au cours des prochaines années, ajoute le Fonds. Pour autant, « à long terme« , Israël pourrait être confronté à des difficultés en terme de croissance et de stabilité « en raison d’une croissance modeste de la productivité malgré un secteur des hautes technologies dynamique« , souligne l’institution de Washington.
Le FMI note en outre une circulation routière congestionnée démontrant un besoin crucial d’infrastructures. Il attribue par ailleurs la pauvreté à la faiblesse des compétences et à l’exclusion du marché du travail d’une partie de la population, dont les femmes. « Le gouvernement devrait prendre des réformes en matière d’éducation et de formation pour réduire les écarts de productivité et de participation au marché de l’emploi« , recommande ainsi le FMI. « L’efficacité des écoles devrait être accrue en élevant le niveau des enseignants chargés des matières principales à tous les niveaux scolaires, en améliorant l’enseignement de l’hébreu dans les écoles arabes et en augmentant la durée de la journée scolaire« , a-t-il ajouté. Le FMI suggère aussi d’accroître le nombre de crèches pour permettre aux femmes de travailler davantage. Source : //www.lexpress.fr/
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Quand les Chrétiens ont Jérusalem dans la peau
Un pèlerinage à Jérusalem est un moment spirituel fort, aussi de nombreux pèlerins et touristes en Terre sainte, souvent des Chrétiens orthodoxes, syriaques, arméniens ou coptes, choisissent de se faire tatouer des motifs religieux depuis le Moyen Âge, gardant une trace indélébile de leur séjour en Terre sainte. Croix de Jérusalem (emblème des chrétiens d’Orient), monogramme du nom du Christ (IHS), visages de Marie … figurent parmi les images le plus souvent choisies par les pèlerins, lors de leur séjour. Pour certains, en plus d’avoir une trace indélébile de leur séjour dans la ville sainte, le tatouage est aussi un moyen de partager la douleur de la Passion du Christ, en supportant les points de chaleur lors de la pose du dessin.
La pratique était tolérée, bien qu’elle soit interdite par la Bible (mais il s’agit d’interprétation puisque le tatouage tel qu’on le connaît n’existait pas du temps de l’Ancien Testament). Pour saint Augustin, le sceau du baptême est une marque invisible et indélébile qui rend inutile toute forme de marquage corporel, mais, dans le Cantique des Cantiques, on peut lire : « Pose-moi comme un sceau sur ton cœur, comme un sceau sur ton bras. » »
Il permet aussi aux chrétiens arabes de se distinguer dans une société qui les marginalise religieusement et politiquement du côté palestinien et du côté israélien. Mais ces tatouages relèvent d’une tradition
Source : La Croix
Tourisme : la ville de Jérusalem fait un bond de 38%
Selon le site Bloomberg, qui publie une étude approfondie réalisée par le site britannique ‘Euromonitor International’, la ville de Jérusalem connaît un essor particu-
Made by Trump. Evénement à la Maison-Blanche pour Hanoucca
ancienne et durant près de cinq cents ans, les chevaliers puis les pèlerins se sont fait tatouer pour emporter avec eux une marque indélébile de leur passage en Terre sainte.
Le marquage de la peau revient ces dernières années chez les pèlerins dans le sillage de la popularisation de la pratique dans la société occidentale. À Rome, le Souverain Pontife lui a donné sa bénédiction. Voici deux ans, le pape François a préfacé Cristo Dentro , un livre de photos de tatouages de prisonniers italiens témoignant de leur foi sur leur peau.
Le tourisme entrant en Israël bat des records historiques et le nombre des 4 millions de touristes sera dépassé à la fin de l’année 2018.
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lièrement impressionnant dans le tourisme entrant – en provenance de l’étranger mais aussi du reste d’Israël – avec un bond de 38% pour l’année 2018. Cette progression fait de Jérusalem l’un des villes les plus visités au monde avec une prévision de 4,8 millions de visiteurs d’ici la fin de l’année. Le tourisme entrant à Jérusalem avait déjà fait un bond de 32% en 2017.
Jeudi, Donald et Melania Trump ont assisté à un événement organisé à la Maison-Blanche à l’occasion de Hanoucca. Un moment de rassemblement. Jeudi, Donald et Melania Trump se trouvaient à la Maison-Blanche, où ils ont reçu des invités pour célébrer Hanoucca. Ivanka Trump, fille et conseillère du président américain, a été photographiée parmi les convives – dont un portait une kippa rouge à l’effigie du milliardaire–, comme le vice-président Mike Pence, aperçu en conversation avec le magnat des casinos (et grand donateur conservateur) Sheldon Adelson. Sur le podium, Donald Trump a été rejoint par la famille Pollack, dont la fille Meadow a été tuée en février dernier lors de la fusillade commise au lycée Marjory Stoneman Douglas de Parkland, en Floride. Andrew, Julie et Hunter Pollack ont allumé une des bougies de la menorah. Donald Trump a entamé son discours par une phrase d’autocongratulation : «Je sais qu’il y a beaucoup de gens heureux dans cette pièce. Jérusalem», a déclaré le pré-
sident américain, un an jour pour jour après l’annonce de sa décision de faire de la ville sainte la capitale d’Israël et d’y déplacer l’ambassade américaine avant installée à Tel-Aviv. Il a exprimé sa «fierté» envers ses «magnifiques petits-enfants Arabella, Joseph et Theodore», les trois enfants d’Ivanka Trump dont il rappelle régulièrement qu’elle s’est convertie au judaïsme avant d’épouser Jared Kushner. Tous trois se trouvaient à la Maison-Blanche «pour célébrer avec vous tous les traditions sacrées qu’ils respectent chez eux chaque année». Il a également remercié son épouse Melania Trump, qui a «travaillé dur pour faire de la Maison-Blanche un endroit spécial pour cette saison de fêtes». Mais il n’a pu s’empêcher une petite plainte : «Nous avons fait ça tant de soirs, et je pense que nous avons battu un record il y a deux jours. Nous avons serré des mains pendant trois heures et 25 minutes. Ce n’était pas drôle. Bien que j’aime les gens, ce n’était pas drôle», a-t-il lancé sur le ton de la plaisanterie. Source et Copyrights. Paris Match
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Des franco-israéliens impliqués Cryptomonnaies. Dans le viseur de dans une arnaque en France la justice française, des israéliens pas très clairs
Le montant du préjudice enfle à une vitesse folle. Si début octobre, l’Autorité des marchés financiers (AMF) annonçait que 31 millions d’euros avaient été dérobés depuis le début de l’année à plus de 700 épargnants via des arnaques aux cryptomonnaies, ces pertes se chiffrent maintenant à 49,7 millions d’euros et les victimes de ces fraudes sont au nombre de 1.050. Le magazine Challenges l’a révélé, la justice française a également ouvert une dizaine d’informations judiciaires pour escroquerie en bande organisée et blanchiment concernant ces arnaques, principalement orchestrées depuis Israël. Le procédé mis au jour par les enquêteurs est à chaque fois le même. Des personnes, en France, intéressées par l’achat de bitcoins, d’ethers ou de ripples vont remplir des formulaires en ligne sur des sites dédiés aux cryptomonnaies. Ces derniers s’assurent alors de la véracité des informations fournies et revendent le « fichier » entre 30 et 100 euros à des call centers basés à Ramat Gan, ville israélienne
de la banlieue est de Tel Aviv . Via de pseudo-conseillers financiers, ces centres d’appels téléphoniques contactent ensuite leurs futurs clients en France. « Ces faux conseillers jouent la proximité avec leurs proies, ils les tutoient, les contactent avec des numéros de téléphone délocalisés pour leur faire croire qu’ils appellent depuis la France, précise un enquêteur. Ces call centers, qui ont pignon sur rue, ont aussi des sites Internet régulièrement mis à jour par des personnes qui travaillent à Madagascar ou en Afrique francophone. Ces escrocs veulent montrer que leurs sites ont du succès ». Parmi ces victimes, Challenge cite le cas d’un agriculteur breton qui a perdu 500.000 euros en quelques semaines après être entré en discussion avec un faux conseiller qui lui promettait plus de 10% de gains. La victime a porté plainte et une information judiciaire pour escroquerie en bande organisée et blanchiment a été ouverte. Source : Challenge
Ramat Gan. Cette ville israélienne de la banlieue est de Tel Aviv est depuis quelques semaines dans le viseur de la justice française. Celle-ci suspecte la « city israélienne », peuplée d’innombrables diamantaires et gratte-ciel, d’héberger un vaste trafic d’escroqueries au bitcoin. « La plupart des suspects, qui sont aussi liés aux arnaques aux diamants, ont fait perdre aux épargnants français un minimum de 20 millions d’euros d’après les plaintes reçues par la gendarmerie », précise un enquêteur français. Selon nos informations, les juridictions interrégionales spécialisées (JIRS) traitant de la criminalité organisée et de la délinquance financière, ont également ouvert depuis le début de l’année une dizaine d’informations judiciaires pour escroquerie en bande organisée et blanchiment contre une demi-douzaine de franco-israéliens. Le procédé mis au jour par les enquêteurs est à chaque fois le même. Des personnes, en France, intéressées par l’achat de bitcoins, d’ethers ou de ripples vont remplir des formulaires en ligne sur des sites dédiés aux cryptomonnaies. Ces derniers s’assurent alors de la véracité des informations fournies et revendent le « fichier » entre 30 et 100 euros à des call centers basés à Ramat Gan. Via de pseudo-conseillers finan-
ciers, ces centres d’appels téléphoniques contactent ensuite leurs futurs clients en France. « Ces faux conseillers jouent la proximité avec leurs proies, ils les tutoient, les contactent avec des numéros de téléphone délocalisés pour leur faire croire qu’ils appellent depuis la France, poursuit ce même enquêteur. Ces call centers, qui ont pignon sur rue, ont aussi des sites Internet régulièrement mis à jour par des personnes qui travaillent à Madagascar ou en Afrique francophone. Ces escrocs veulent montrer que leurs sites ont du succès ». 500.000 euros envolés en quelques semaines Selon l’Autorité des marchés financiers (AMF) qui suit de près ce phénomène, plus de 700 épargnants français ont été bernés depuis le début de l’année. L’un d’eux, un agriculteur breton, a par exemple perdu 500.000 euros en quelques semaines. Juste avant sa retraite, ce dernier a vendu ses avoirs (tracteurs, matériels agricoles…) et a réinvesti l’argent en bitcoins. « Il a commencé à discuter avec un faux conseiller qui l’a convaincu d’investir le premier mois entre 1.000 et 5.000 euros en lui faisant miroiter plus de 10% de gains, raconte le même enquêteur. Sources et copyrights : Challenges
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Faciliter de manière drastique l’Aliyah des juifs français en Israël
B. Netanyahou vient de charger le ministre de l’Education, Naftali Bennett de présenter devant le comité ministériel sur l’absorption et l’immigration, un plan visant à accroître et faciliter de manière drastique l’Aliyah des juifs français en Israël.
compris qu’ils avaient besoin d’aide et nous nous en sommes occupés, » avait deja déclaré le ministre de l’Éducation, il y a quinze jours, lors du lancement d’un nouveau projet dont le but est d’accroître et de faciliter l’intégration des jeunes olim français intitulé « Feel at Home ».
« Le gouvernement israélien a manqué nombre d’opportunités d’accroître considérablement l’immigration française. Il y a 200 000 Juifs en France qui souhaiteraient faire leur Aliyah. Les Juifs français sont des sionistes, des passionnés d’Israël et de la Terre d’Israël et c’est notre devoir de les aider beaucoup plus que nous l’avons fait au cours des dernières années. Il y a deux semaines, j’ai lancé un programme de discussions informelles pour favoriser l’integration des jeunes olim de France (immigrants) mais ce n’est pas suffisant, un processus exhaustif dirigé par le gouvernement est nécessaire, » a déclaré Naftali Bennet devant le conseil des ministres.
A Jérusalem, Netanya et Ashdod, ce programme destiné aux jeunes induit une contribution à l’organisation d’une activité extrascolaire pour chaque enfant oleh du primaire, la désignation d’un coordinateur attitré dans chaque collectivité locale pour les Olim de France et l’augmentation et l’allocation des ressources pour l’intégration de la jeunesse française.
« Les français sont nos frères. Nous avons
Tel-Avivre
On attend donc de la part du ministre Bennett, quelles seront les mesures préconisées pour un plan d’ensemble « exhaustif » selon ses termes pour faire venir dans les prochaines années en Israël deux cent mille français….
Le ranking 2017 des pays vendeurs d’armes. 3 firmes d’Israël au Top 100 L’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) a publié lundi un nouveau rapport sur l’état du commerce mondial des armes. Selon SIPRI, au niveau mondial, les ventes d’armes, en hausse depuis 2003, ont augmenté de 10% en volume sur la période 2013-2017. Ce développement est dû au fait que de nombreux pays ont modernisé leurs systèmes d’armes, processus planifié depuis longtemps et qui s’étale sur une longue période ». En outre, les tensions dans certains pays et régions ont accru la demande de systèmes plus modernes. En revanche, l’exigence américaine de voir les pays européens membres de l’OTAN augmenter leurs dépenses de défense n’est pas encore perceptible. Le fait marquant de cette année consiste dans la 2ème place obtenue par la Russie qui double la Grande-Bretagne. A eux seuls, les producteurs américains représentaient 57 % du total des ventes mondiales en 2017, avec quarante-deux entreprises dans le top 100 pour un chiffre d’affaires cumulé de 226,6 milliards de dol-
lars (environ 198 milliards d’euros). Loin derrière le premier fabricant mondial (l’américain Lockheed Martin – 44,9 milliards de dollars de revenus se trouve Almaz-Anteï, la première entreprise russe du classement, se place au 10e rang avec un chiffre d’affaires de 8,6 milliards de dollars (en hausse de 17 % par rapport à 2016). La France reste au 4ème rang avec 5,3% de la production mondiale. Trois sociétés israéliennes figurent dans le Top 100 et sont en décrochage : Elbit Systems (28ème – 27ème en 2016), Israel Aerospace Industries (41ème – 33ème en 2016) et Rafael (45ème – Id). L’institut souligne aussi que les ventes des entreprises turques du secteur ont bondi de 24 % en 2017, reflétant les ambitions d’Ankara de développer son industrie de l’armement pour répondre à la demande croissante d’armes et devenir moins dépendant des fournisseurs étrangers», . A noter que l’étude ne prend pas en compte le cas de la Chine qui ne communique pas ses données. Sources : SIPRI
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Le Rav Zamir Cohen fondateur d’Hidabroot le plus grand Organisme Juif Mondial basé en Israël décide de venir à la rencontre du public Français ! choix de l’avortement, les problématiques dans le couple, le soutien aux familles défavorisées, l’accompagnement quotidien aux familles rencontrées dans les services hospitaliers des enfants malades etc...
En effet, une tournée est prévue mi-Décembre dans plusieurs Communautés Juives de France, notamment pour la sortie de son nouveau livre « l’Archéologie Biblique » mais aussi pour dispenser de ses précieux enseignements basés sur les profondeurs de la Thora. Le Rav Zamir Cohen sera heureux de s’adresser aux Juifs de France pour leur transmettre un message universel d’Ardout (Solidarité du peuple Juif).
Celui qui sillonne le monde entier depuis plus de 15 ans après le vif succès qu’a rencontré son fameux 1er livre « La Révolution » est aujourd’hui prêt à s’adresser au public Juif Francophone et à proposer tout ses services déjà existants en langue Française. Son objectif principal étant de répondre à de nombreuses problématiques que rencontre aujourd’hui la Communauté Juive dans le monde notamment le fléau de l’assimilation qui touche l’ensemble de nos coreligionnaires, les difficultés des femmes face au
Il parlera de tout ce qu‘Hidabroot propose déjà en Israël, plus d’une vingtaine de départements déjà en place, une chaîne de télévision par Satellite proposant un large choix de programmes variés et exclusivement cacher...une équipe de plus de 400 personnes aujourd’hui en place qui travail sans relâche pour améliorer le quotidien du peuple Juif en Israël et dans le monde entier et qui sans plus attendre va s’étendre et ouvrir un nouveau département pour répondre aux besoins des Juifs Français aussi bien résidants en Israël qu’en France. Plus aucun juifs ne doivent se sentir seuls et isolés tel est le défi que le Rav Zamir Cohen s’est donné de relever! Point culminante de sa tournée... Un rendez vous unique à ne pas louper! Une Dîner dansant exclusivement réservé aux femmes qui se tiendra le Lundi 17 Décembre prochain dans les Salons de la Pal-
meraie Paris 15ème.
L’occasion de partager un moment unique et intense en émotion, en présence de nombreuses personnalités du monde religieux de France et d’Israël pour l’occasion et de participer à une grande Soirée de Hizouk. Des messages de fraternité seront dispensés autour d’un repas festif en présence d’un DJ et de la chanteuse Meleha qui vous feront vibrer sur un Dancefloor 100% Cacher ! Réservez vite vos places en ligne pour Le Dîner Dansant du Lundi 17 Décembre prochain à 20h00 précise sur le site www.Hidabroot.fr ou par téléphone au 01.82.88.09.83. Attention les places sont limitées !!! Si vous souhaitez être placé devant le podium central carré V.I.P, des places sont à la vente à 79€ seulement tout inclu. Possibilité de réserver vos tables entre amies => il suffit juste d’appeler pour le préciser. Il est possible de réserver votre stand d’exposition, pour cela il vous faut contacter Hidabroot par téléphone pour vous inscrire et prendre connaissance des conditions.
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Retour au calme
Le debrief de la semaine Par Jack-Yves Bohbot
La Maison-Blanche célèbre Hanoukha A l’occasion de la fête d’Hanoukha, le président américain, Donald Trump, a réuni une centaine de dirigeants de la communauté juive à la Maison Blanche. Il a rappelé son soutien à l’Etat d’Israël et a rendu hommage au peuple juif «pour ses contributions extraordinaires à l’art, à la science, à l’histoire, à la culture et à la société».
Je ne vais pas revenir sur les causes et les raisons qui n’ont pas permis au gouvernement de désamorcer, dès le début de leur mouvement, la colère des gilets jaunes venue des provinces françaises contre l’augmentation de la taxe écologique sur les carburants et contre l’insupportable pression fiscale que subissent les Français depuis des années.
Avec pour conséquence une économie sinistrée dans la ville sensée être la plus touristique du monde. Quelle que soit la légitimité des demandes des gilets jaunes, leur responsabilité est de trouver une rapide sortie politique à leur mouvement.
Pourtant, on ne peut que déplorer l’entêtement des gilets jaunes qui s’obstinent à défier le pouvoir, refusant tout dialogue et souvent trop timides dans leurs appels au calme et dans leur condamnation de la violence des casseurs et des émeutiers qui accompagnent leurs manifestations.
De la même manière, le président de la République doit emprunter enfin la voie d’une réelle concertation et proposer des mesures concrètes aux revendications des gilets jaunes, cri annonciateur d’une classe moyenne en décomposition…
On aura le temps de faire dans les prochaines semaines le bilan sur ce terrible gâchis dont notre pays mettra du temps à se remettre.
Jack-Yves Bohbot
Mais l’urgence est toute autre. Malgré des mesures préventives, Paris et d’autres villes françaises, comme Bordeaux et Saint-Etienne, ont été soumises ce samedi à une nouvelle journée de casse dont les déchainements ont dépassé, selon les services municipaux, ce que l’on a connu les dernières semaines. Dans la capitale, la violence, qui concernait les premiers samedis, les quartiers de l’Ouest parisien situés aux abords des Champs-Elysées s’est étendue à d’autres secteurs, comme celui de la gare Saint-Lazare ou de la République avec son cortège de vitrines brisées, de voitures brûlées, de commerces mis à sac et de pompiers entravés dans leur action !
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Le Hamas condamne à mort six palestiniens Un tribunal militaire du Hamas a condamné quatorze Palestiniens pour collaboration avec l’ennemi, les accusant d’avoir transmis des informations aux services de renseignements israéliens. Six d’entre eux ont été condamnés à mort, cinq par pendaison et un par balle. Les sept autres accusés ont été condamnés à la réclusion à perpétuité et aux travaux forcés. On attend les réprobations des associations de défense des droits de l’Homme… Belle année touristique pour Jérusalem Selon le site Bloomberg, Jérusalem connaît cette année une très forte progression de près de 38% du nombre de touristes que ce soit ceux venant de l’étranger mais aussi ceux qui proviennent d’Israël. Ce boom fait de Jérusalem l’un des villes les plus visités au monde avec une prévision de 4,8 millions de visiteurs d’ici la fin de l’année.
Le Conseil de l’Europe s’engage contre la montée de l’antisémitisme Le Conseil de l’Europe a adopté, le 6 décembre 2018, à l’unanimité une déclaration historique sur la lutte contre l’antisémitisme et la mise en place d’une approche commune en matière de sécurité afin de mieux protéger les communautés et institutions juives. Les vingt-huit membres de l’Union européenne se sont ainsi engagés «à unir leurs efforts aux niveaux européen et national pour faire en sorte que les Juifs européens puissent bâtir un avenir pour eux et leurs enfants en Europe, avec tous les Européens». Commémoration de la rafle des Juifs de Tunis Grande affluence dimanche matin au Mémorial de la Shoah pour la cérémonie commémorant la rafle des Juifs de Tunis par les SS le 9 décembre 1942. Chaque année depuis 1997, ce rassemblement, organisé par la Société d’Histoire des Juifs de Tunisie et d’Afrique du Nord, rappelle cet épisode mal connu de la Shoah. Une association palestinienne proBDS récompensée en France Le «Prix des droits de l’Homme de la République française 2018» a été remis le 10 décembre à «al Haq», ONG palestinienne qui prône le boycott d’Israël. Le Crif et son président Francis Kalifat se sont vivement élevés contre cette décision, dénonçant «une provocation de la Commission nationale consultative des droits de l’Homme «.
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Commerçants parisiens : inquiets, Antisémitisme chez les Gilets ils ferment boutique… jaunes : « accuser les juifs évite Paris barricadé samedi dernier a encore essuyé violemment la colère des de se remettre en question » casseurs en gilets jaunes. Commerces fermés, saccagés, chiffres d’affaires en berne, locaux pillés ou véhicules incendiés… Comment s’en remettre ?
C’est la question que se posent nombre de commerçants juifs, notamment ceux installés aux abords des lieux pris d’assaut par les manifestants, lors des précédents week-ends. On le sait, la communauté juive parisienne a, suite à la vague d’attentats et la multiplication des actes antisémites dans l’est francilien, migré vers l’ouest. Nombre de commerçants, artisans, professions libérales de notre communauté y ont aussi installé leurs locaux professionnels et boutiques. Une implantation qu’ils croyaient judicieuse, mais que la crise politique des gilets jaunes, assorties de violences inouïes, remet sévèrement en question : « J’ai mes bureaux sur l’avenue de la Grande Armée, indique Dorite, chef d’entreprise. J’ai eu très peu de voir mes locaux saccagés. Au final, le hall de l’immeuble est saccagé, mais je m’en tire bien, par rapport à mes voisins : les boutiques et commerces de l’avenue sont dévastés. Leurs propriétaires respectifs aussi : « Tout le monde a vu ce patron de brasserie pleurer dans son bar saccagé par les casseurs, poursuit la jeune femme. C’est mon voisin, il est ruiné, il a tout perdu. Un autre, qui vendait des trottinettes a jeté l’éponge : « il vend ses locaux. Il a rapatrié tous ses produits à l’entrepôt. Il ne veut plus entendre parler de
ce quartier. » La goutte d’eau jaune en trop… Déjà éprouvés par les actes de vandalisme liés à la victoire de l’équipe de France de football, l’été dernier, nombreux sont les commerçants pour qui les gilets représentent la goutte d’eau jaune en trop dans un vase déjà plein : « Rideau, je ferme, souligne un commerçant juif sous couvert d’anonymat : on a cru que s’installer à l’ouest de Paris nous protègerait des violences antisémites, on se retrouve ruiné par les violences gratuites ! Je n’en peux plus… » Tous, hélas, n’ont pas forcément de plan b, même s’ils sont nombreux, finalement, à reparler d’alyah : « nous avions des commerces, des appartements, des proches âgés parfois en France. Difficile de tirer un trait sur tout ça pour recommencer ailleurs, souligne un gérant d’une boutique de téléphonie du centre de Paris, dont le magasin a été vandalisé. Nous ne voulions pas céder devant la menace terroriste, mais là, c’est la société tout entière qui va mal, je ne vois plus ma place dans ce pays… » Juif ou pas, c’est tout le monde économique qui s’inquiète : la France pourra-t-elle s’en relever ? « Pas sans y laisser des plumes, conclut fataliste, le candidat à l’alyah…
Pour comprendre la crise politique qui agitent la France, il faut interroger les Français. Pour comprendre comment elle nous impacte, nous, juifs et sionistes, il nous a paru pertinent d’interroger un français non juif et sioniste. Pug, puisque c’est son pseudonyme, goy qui défend Israël depuis de longues années, nous livre son regard sur cette révolte qui sent mauvais…
Nous sommes, nous juifs, méfiants envers cette crise des Gilets jaunes car elle a charrié son lot de boue antisémite. Quel regard, vous Français non juif et provincial portez-vous sur cette affaire ? Il y a une partie qui sera satisfaite et une autre qui restera sur sa faim. Ce qui me frustre, moi, le libéral sioniste et protestant, c’est cette incapacité de la France à se regarder dans le miroir et à se remettre en cause. On réclame tout et n’importe quoi, on ne sait pas exactement ce que l’on veut, tout et son contraire en l’occurrence et on parle de justice sociale. Mais la justice, c’est un mot-valise dont il faut définir les contours : la justice entre les différents citoyens, c’est d’abord et avant tout, l’égalité de droit, l’égalité devant la loi. On ne peut revendiquer l’égalité en matière d’économie, c’est absurde. Macron, avec cette série de mesures très coûteuses pour l’état français, peut-il espérer calmer l’ire du peuple, ou s’est-il trompé de mesures ? Nous avions l’impression que ce que voulaient les Français, c’est la fin des privilèges de la classe dirigeante ? Il est possible qu’il se soit trompé, que ce qu’attendent les Gilets jaunes, ce soit des mesures moins coûteuses financièrement mais plus symboliques, comme moins de privilèges pour les élus, de niches fiscales pour les riches, etc… Ce que j’espérais, moi, c’est que cette crise ouvre la voie vers un audit des comptes publics, une remise à plat de la fiscalité française, pour que l’argent soit mieux utilisé. Nous sommes un pays riche, dont la productivité est bonne, champions d’Europe des prélèvements et pourtant, notre modèle social ne tient plus. Il faut se demander où va l’argent de la fiscalité et pourquoi il ne sert pas à faire de nos hôpitaux, nos écoles, des lieux d’excellence. Il faut aussi qu’on se demande ce qu’on gagne à s’accrocher comme des bigorneaux à un rocher à notre contrat social, où l’état s’investit à ce point. D’un point de vue global, l’Amérique estelle en bien plus mauvaise santé que nous ? Les statistiques globales disent le contraire. Et pourtant, l’accès aux soins est loin d’être aussi simple. Je suis un libéral de ce point de vue, alors peut-être n’ai-je pas le regard le plus objectif sur ce sujet ! Parlons, de l’aspect politique de la crise. Avec un fait qui nous a surpris, nous juifs, c’est cette multiplication, au sein des contestataires, des théories antisémites et complotistes… Oui, vous parlez notamment de ce gilet jaune masqué, fondant son discours, on ne peut plus argumenté et rationnel sur une inepsie antisémite, à savoir la Franc-Maçonnerie dirigeant
les politiques et comme les Francs-Maçons sont contrôlés par le B’nai Brit, alors ce sont les juifs politiques et médiatiques qui captent les richesses et dirigent la France. C’est terriblement dangereux, car il parle bien, mais il part d’une sombre bêtise : le B’nai brit a justement été créé parce que les Francs-Maçons ne voulaient pas de juifs en leur sein. Donc son raisonnement est faux. Ce que m’inspire ce discours nauséabond, c’est ce point Godwin qu’a atteint la crise : plutôt que de se remettre en question, on choisit un ennemi désigné. Allez, allons accuser les juifs de nous rendre pauvres ! Une ficelle qui, étrangement, fut aussi celle du gouvernement, cette semaine… C’est vrai, le Premier Ministre a dégainé un discours lyrique sur le blocus de Gaza, qu’il fallait impérativement arrêter. Il en a appelé à Israël à ce sujet. Je voudrais d’abord rappeler que le blocus maritime, comme l’a indiquéle rapport Palmer en 2011, est parfaitement légal : Israël n’est plus présent à Gaza, une force politique, en l’occurrence le Hamas, dirige la bande. Le blocus est donc une mesure de protection de son territoire à laquelle Israël a recours, en toute légitimité, contre une entité étrangère hostile. Si c’est légal du point de vue du droit international, qui sommes-nous pour le contester ? Etrange quand même que le Yemen n’inspire pas à notre Premier ministre autant de lyrisme, non ? Etrange aussi qu’il pointe les manquements d’Israël alors qu’il peine à réprimer la gronde et la guerre civile sur le sol français. J’ai lu que les blindés affrontant les manifestants étaient remplis de gaz incapacitant dans la presse. Une révélation à prendre avec des pincettes, mais si c’est vrai, je voudrais dire que jamais l’armée israélienne n’oserait faire une chose pareille ! Surtout pas contre son propre peuple ! Ce qui est inquiétant, c’est cette pirouette qui consiste à pointer vers une étoile jaune pour le peuple, bleue pour le pouvoir, afin de désigner un coupable et c’est le peuple juif ou sa terre qu’on épingle. Cela évite, encore une fois, la remise en question. Et cela met tout le monde, du moins les antisémites, d’accord ! En conclusion pensez-vous qu’on s’achemine vers une sortie de crise ? Macron a jeté quelques miettes au peuple, certains s’en accommoderont. J’aurais préféré, quant à moi qu’après le temps de la révolte, vienne le temps de la réflexion : notre pacte social ne tient pas, il faut en revoir les fondements…
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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza « On peut comprendre le désarroi mais pas la haine »
Incroyable, la France en difficulté, plutôt le pouvoir, la France aux abois, par l’importance de la « colère populaire » risques de débordements, le spectre d’une « intifada » sociale, la France en état de siège, alors on fait l’impasse sur ce qui faisait la « une » des médias ces dernières semaines. On oublie Gaza et ses dommages collatéraux en bordure de la frontière, les martyrs oubliés, pourtant la « marche du retour « a toujours ses fidèles. La réprobation européenne bien silencieuse voire muette, les résolutions outrageantes du droit à Israël à se défendre, l’ONU mise en accusation par Nikki Haley exigeant que l’on condamne le Hamas pour l’envoi des centaines de roquettes sur Israël, aux dernières nouvelles, Benjamin Netanyahou se satisfait d’une large majorité de votes contre le Hamas, bien que le texte n’ait pas été adopté. On n’a plus les « unes » sanglantes, les honneurs de la presse, ni les horreurs, dissimulation ou concertation passive, Paris demande la levée du blocus israélien imposé à Gaza, la France se noie dans un psychodrame social, peur sur Paris, ville morte, état de siège et on cherche une dérive politique en parlant d’Israël. Calme apparent, le hezbollah s’éveille à la confrontation, à la frontière nord, il creuse des tunnels, à l’exemple des terroristes du Hamas. L’UE condamne, Trump condamne, à quoi cela sert il ? Facile de condamner alors que le danger reste dans l’esprit, pas dans l’acte, il parait normal que le hezbollah allié de l’Iran dispose d’un arsenal de 130000 missiles, cela lui démange les doigts de ne pas s’en servir, il freine son envie par de constantes menaces, les intentions précédent l’acte. » L’Opération Bouclier du Nord est lancée». Réponse de Benjamin Netanyahou, aux leaders du hezbollah « quiconque tentera d’attaquer Israël en paiera le prix fort », ce leitmotiv a manqué de faire « éclater » la coalition gouvernementale. Israël ne s’est pas guéri des effets d’annonces sans acter ses propos, Israël ne fait plus peur, les mots n’ont plus l’impact dissuasif d’antan, le hezbollah dans sa sinistre logique se prend à rêver d’une victoire sur les sionistes. Et Tzipi Livni, la cheffe de l’opposition accuse Benjamin Netanyahou « de dramatiser à des fins politiques la découverte par l’armée des tunnels du hezbollah ». Notre force est d’anticiper la menace, prévoir, nous sommes à la merci d’un déséquilibré qui pourrait faire exploser le Moyen Orient. Mme Tsipi, soyez raisonnable, tout cela pour une « miette de gloire », vous fournissez à nos ennemis les arguments de nos désaccords, une faiblesse qui les enhardit à nous provoquer. Nous nous détruisons de l’intérieur a dit « le président Rivlin ». Une victoire douloureuse, plus qu’un symbole puisque c’est Israël qui en paie le prix, la France, « notre amie, notre alliée » va décerner le prix des Droits de l’Homme de la République Française 2018 à 2 lauréats, l’ONG d’extrême gauche B’Tselem, et l’ONG palestinienne AL- HAQ , prix attribué par Edouard Philippe le 1er ministre,
celui qui a parallèlement crée un ensemble de commissions afin de combattre l’antisémitisme, dichotomie dans l’interprétation du combat contre la haine anti juive, en donnant le quitus honorant ces ONG malsaines sur la scène mondiale, il ne fait qu’accentuer et encourager la violence des terroristes aux frontières d’Israël. En plaçant ces ONG à l’honneur, c’est Israël qu’il déshonore, c’est le peuple d’Israël qui est atteint dans son cœur, c’est Israël le factieux et l’infâme tueur des libertés. Des chiffres alarmants, suite à un sondage dans l’espace européen, il s’avère que 25% des sondés estiment que les juifs ont trop d’influence dans le monde des Affaires et dans les institutions financières. Ces clichés reflètent une amère réalité, la haine du juif, une fixation impitoyable au point que 33% des européens estiment que les juifs instrumentalisent la Shoah. L’amalgame fait par ces sondages de notre monde juif ne joue pas en notre faveur, bien au contraire les idées qu’elles développent insidieusement sont incompatibles à une baisse logique de l’antisémitisme. Une trahison du pouvoir, que pouvions nous espérer après les résolutions votées à l’UNESCO ? Les contacts dits positif du CRIF avec le pouvoir, qu’en est-il réellement ? Les prix seront remis par Madame la Ministre de la Justice Nicole Belloubet au siège de son ministère. Shewan Jabaru, directeur général d’Al-HAQ, « c’est un grand honneur que ce prix conjoint avec nos amis de B’Tselem, nos partenaires dans la lutte et la justice contre l’oppression de l’occupation. Il ne peut y avoir d’avenir qui ne soit fondé sans les droits de l’homme, l’égalité et la liberté ». L’UE s’est elle apitoyée sur le sort de 11 palestiniens condamnés à mort pour espionnage au profit d’Israël ? Seuls 6 palestiniens seront pendus, la théorie des Droits de l’Homme n’est elle valable pour que pour les migrants ? S’ajoute une inquiétude européenne que certains considèrent comme une vraie menace civilisationnelle, le débordement de l’immigration venant d’Afrique et d’ailleurs, vers le continent européen, le sujet par excellence fâche et fait bondir tout le politiquement « incorrect », un droit à l’immigration non opposable. Va-t-on signer un pacte qui serait la fin de l’Europe ? Ne pas faire de l’immigration une fatalité, il faudrait la maitriser au nom « d’un pacte mondial pour des migrations sures, ordonnées et régulières », c’est plus l’expression d’une idéologie d’abandon de nos valeurs, il nous incomberait à être les gestionnaires de ces flux imposés afin de leur « faciliter la cohésion et l’inclusion sociale ». Les idéologues affirment qu’à l’heure de la mondialisation les migrations sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable ». Le président Macron entend signer ce pacte « au nom de notre pays et le juge conforme aux valeurs et aux intérêts de la France ». La liste est longue de ces informations qui disparaissent au profit d’une actualité, plus immédiate, plus brutale, plus violente. France, que se passe-t-il ? Qu’est ce qui fait bouger cette France des « gilets jaunes » Macron est le problème, est il en phase
avec la société civile ? L’homme à abattre, l’homme par qui le scandale arrive, le président des taxes, « taxer n’est pas réformer », une succession de hausses bloque le pouvoir d’achat « d’une France dite d’en bas ». La colère est motivée par une injustice sociale réelle, « On travaille et on n’a droit à rien de plus que ceux qui ne travaillent pas » les gilets jaunes » n’ont pas tort ! C’est du n’importe quoi, la France vit au dessus de ses moyens depuis plus de 40 ans. « La France c’est une révolte constante » le ressentiment fut toujours l’impôt, elle empêche les gouvernements à agir de peur qui craint une révolte partisane et amène au retrait du projet de loi, pourtant en faveur des citoyens. Les matamores de l’affrontement restent une menace incontrôlable qu’il faut éviter de « peur d’une bavure ».C’est l’immédiateté qui domine, le tout de suite ravageur, sans dialogue , la colère fumeuse Qu’avons-nous, un chômage qui ne faiblit pas, l’état nourrit toute une frange de français à fond perdu, colère, oui, les « gilets jaunes » attaquent le pouvoir pour non assistance à population en danger, le paradoxe, les mêmes qui manifestent aujourd’hui, furent ceux qui manifestèrent contre tout changement, contre tout pouvoir apportant une promesse d’amélioration des conditions de vie, cela fut vain, la colère embrasait la rue et le pouvoir abdiquait à la vague populaire, les erreurs d’interprétation, les manipulations syndicales, pour eux, survivre c’est pousser les exigences jusqu’à leur point de rupture, cet aveuglement sectaire et stupide donne actuellement cette fracture sociétale dont on accable l’exécutif. Un pouvoir qui ne fut pas toujours « droit dans ses bottes », une lâcheté à la décision qui prêterait à une manifestation, une compromission afin d’assurer la paix sociale, certes, l’état ne fut pas souvent à la hauteur de sa responsabilité régalienne. Apartheid social, faillite civile, état débordé, autant de qualificatifs que la France ne mérite pas, son inconstance et sa veulerie politique qui est sa punition, alors intifada, guérilla urbaine, casseurs et autres pour une France donneuse de leçons, incapable de gérer le pays, ça ne fait pas sérieux. « Au bord d’une guerre civile » constate Benjamin Cauchy porte parole des « gilets jaunes « modérés. Focalisation sur le retrait de l’ISF, comme si cette loi avait ôté des milliards d’euros de pouvoir d’achat, un symbole du « vol des richesses de la France par les riches ». Qui veut entendre la vérité économique sur les dégâts de l’ISF une loi scélérate, le départ des grosses fortunes, les investissements enrichissent les pays tiers, nous avons perdu de notre compétitivité, notre crédibilité, en retard d’une loi donnant à nos adversaires économiques des chances supplémentaires de nous « courcicuiter », « un pays pauvre est un pays ou il n’y a plus de riches ». La violence anarchique de ces jours, montrent des images si dégradées de notre France, qu’elle ne peut être en faveur des investisseurs étrangers. La France est victime d’elle-même, « gilets jaunes » modérés, ils ont des raisons de se plaindre, le pouvoir n’a pas écouté, Macron s’est voulu
« le président qui ne cède pas à l’instar des anciens présidents, figures et pantomimes d’un pouvoir « à la petite semaine », sans projection sur le futur nous en subissons les méfaits ces jours ci, les coupables tout autant l’exécutif que le monde syndical et ses surenchères démentes incompatibles avec l’économie de notre temps. Les 35 heures par semaine, pourquoi n’accuse t’on pas les politiques qui ont promus et fait voté cette loi ? Mais, l’esprit du « toujours plus » en fait « c’est du toujours moins ». La réalité nous rappelle à cette terreur sociale en mouvement, bloquant le pays, les casseurs de plus en plus nombreux, l’impunité assurée, des peines mesurées, de quoi « casser plus », un comportement de taliban ou de nervis de Daech, on leur a donné les armes judiciaires et des alibis de défense, ils s’en servent. Depuis 4 semaines, le peuple agresse le pouvoir, il y a des cas de misère intolérable, ne pas céder, des revendications si nombreuses qu’elles en deviennent stériles, si le pouvoir a perdu de son crédit, les «gilets jaunes » n’ont rien fait d’autre que d’attiser le mécontentement et le possible devient impossible à tenir. Aux demandes de la première semaine, l’abrogation des taxes sur l’essence, l’entêtement de Macron « sur le cap de la transition énergétique » et l’augmentation substantielle et pénalisante pour ceux dont la voiture est d’un usage obligatoire a galvanisé les colères et cette hargne de ne pas être écoutée, méprisée. L’exécutif a été obligé de reculer face aux « gilets jaunes ». Qu’avons-nous de plus ? Pas de représentation de leaders des « gilets jaunes », des contacts à mener à haut niveau sans l’expérience requise, c’est aller « au combat sans munition », les « gilets jaunes » ne savent pas ce qu’ils attendent, ils espèrent que leur exaspération sera entendu par le pouvoir, Macron le président le plus détesté, reste néanmoins l’homme qui a le pouvoir de décision. « En temps de crise, on est facilement séduit par des superhéros qui viennent nous sauver, pense t’on, mais en fait, nous plongent dans des périls plus grands » Margarita Mayo professeure en comportement des organisations. Elle écrit également « Si les personnes humbles font de meilleurs dirigeants, pourquoi nomme t’on tant de personnalité narcissiques ? ». Dans cette absence de représentation légitime, cette colère froide n’est pas exempte de réflexes xénophobes et antisémites. « L’amalgame « Macron - Rothschild désignés comme des boucs émissaires, un appel « à casser du juif et au lynchage ». La furie revendicative combat « le pouvoir cosmopolite juif « elle est en marche par certains de ces groupuscules, à chaque pic de crise sociale, les juifs sont visés d’une façon ou de l’autre, ne serait ce que comme victimes collatérales ». Un message du SPCJ nous informe prudence pour ce chabbat, profil bas, évitons toute démonstration de notre identité juive. Sommes-nous rassurés pour autant ? Bernard Korn Brzoza
À LA UNE
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Steve Suissa fait connaitre le théâtre français aux israéliens
Steve Suissa recevra un trophée de la CCFI (Paris) en décembre 2018. Sa mission: construire des ponts entre les peuples. Sa passion: la transmission et le partage. Son arme: la culture. Ces deux dernières années, le producteur, réalisateur et metteur en scène franco-israélien Steve Suissa, promoteur hyperactif de la culture au sens large, s’est donné deux objectifs pour le moins ambitieux. Le premier: faire connaitre le théâtre français aux israéliens. Le second: faire visiter ou revisiter le judaïsme aux français juifs et non juifs. Sa première mission a rencontré un succès retentissant: pour la deuxième année consécutive, Steve Suissa a offert aux israéliens un festival du théâtre français détonnant, avec des pièces qui ont toutes joué à guichet fermé. Steve Suissa recevra un trophée le 12 décembre prochain, qui « récompensera sa coopération entrepreneuriale culturelle Franco Israélienne ». Quant à sa seconde mission, elle est aussi couronnée de succès avec la production d’une nouvelle émission sur France 2 le dimanche matin: « À l’origine, Berechit » qui a réussi le pari de remplacer « Source de Vie » du feu rabbin Josy Eisenberg. L’année dernière, Steve Suissa et son ami Jean-Marc Dumontet avec lequel il partage l’aventure israélienne, ont créé la première édition de ce Festival du théâtre français en Israël avec des acteurs comme Pierre Arditi, Daniel Russo, François-Xavier Demaison, Francis Huster ou encore Thierry Lhermitte. Cette première édition qui avait pour thématique l’identité a été un énorme succès, le public francophone était au rendez-vous et les salles pleines. La deuxième édition du Festival, qui s’est clôturée le 31 octobre dernier à Tel Aviv après être passée par Jérusalem, Ashdod et Netanya, a confirmé le succès de l’année précédente. L’évènement, qui cette
fois avait pour thématique la transmission, comprenait sept représentations exceptionnelles, pour la première fois sous-titrées en hébreu, un détail qui a permis au public israélien de découvrir le théâtre français. Une fois encore, des grands noms de la scène française avaient fait le déplacement en Israël: Richard Berry avec ”Plaidoiries” et le thème de l’injustice, Francis Huster et Fanny Cottençon dans la dernière pièce de Laurent Ruquier ”Pourvu qu’il soit heureux” avec une thématique très sociétale, Patrick Timsit pour ”Le Livre de ma mère” d’Albert Cohen, sans oublier Andréa Bescond avec ”Les Chatouilles”, une pièce chargée de sens et d’émotions sur le sujet des abus sexuels. Début septembre dernier, les téléspectateurs de France 2 ont découvert avec bonheur À l’origine, Béréchit, un programme passionnant sur le judaïsme et le monde juif que Steve Suissa a décidé de produire en lieu et place d’une émission mythique qui a bercé l’enfance de chacun d’entre nous: « Source de Vie » du rabbin Josy Eisenberg décédé le 8 décembre 2017 à 83 ans. Encore une fois un pari difficile et ambitieux consacré au judaïsme, ses symboles, mais aussi ses découvertes et ses liens avec la modernité, avec toujours le thème central de la transmission et du partage, et la volonté affirmée de construire des ponts entre les gens pour mieux se comprendre et lutter contre les préjugés. Steve a souhaité proposer un nouveau concept pour un nouveau départ de cette émission historique en montrant tous les aspects du judaïsme, par thème: Une émission en trois volets, d’abord sur les Symboles, consacrés aux rites et aux objets juifs. Puis, une autre émission intitulée Découverte, un dimanche sur deux, qui fait le parallèle entre le judaïsme et d’autres disciplines comme la médecine, l’architecture, la peinture etc… et enfin une troisième émission, Derrière les portes, où les téléspectateurs découvrent ou redécouvrent les lieux historiques et emblématiques de l’histoire juive. Source : Tel-Avivre –
Nice : un expert à la manœuvre pour prévenir les risques d’attentat terroriste En pleine crise et casse des Gilets jaunes, on en viendrait presque à oublier la menace terroriste. La ville de Nice, meurtrie par le terrible attentat du 14 juillet 2016, n’oublie rien et veut pouvoir se prémunir contre toute forme de récidive. Face aux enjeux, c’est à Jean-Charles Brisard, Président Fondateur du Centre d’analyse du terrorisme, que la municipalité dirigée par Christian Estrosi (LR) a fait appel pour apporter son expertise à la en tant que conseiller spécial en charge de la prévention de la radicalisation et de la lutte contre le terrorisme… Dès 2014, sous l’impulsion de Christian Estrosi, Maire de Nice, Président de la Métropole Nice Côte d’Azur, Président délégué de la région Provence- AlpesCôte d’Azur, la Ville de Nice s’est engagée dans la lutte contre la radicalisation et les discours fondamentalistes. Maire dont le discours direct met les pieds dans le plat lorsqu’il est question d’islamisme et de terrorisme, Christian Estrosi, créateur du mouvement « La France audacieuse », n’a jamais lésiné sur les moyens pour prévenir les risques d’attentats et alerté les gouvernements successifs sur la trop grande indulgence des autorités face à la menace islamiste. De nombreuses mesures sont au fil des années venues renforcer le dispositif dans la prévention et la signalisation de la radicalisation. Ainsi, le système d’alerte au sein des services publics de la Ville de Nice, permet, par exemple, aux personnels des services de la ville, de signaler tout comportement jugé suspect aux services de renseignements territoriaux. Il a été un premier pas efficace « qu’il est indispensable de développer et compléter. », de l’aveu même des pouvoirs municipaux. Lutte antiterroriste : Castaner a ouvert
une nouvelle ère. Depuis le 13 novembre 2018 et la promulgation de la circulaire dite « Castaner », portant sur l’information des Maires sur les risques de radicalisation islamiste sur leur commune, la lutte contre la radicalisation et le terrorisme est entrée dans une nouvelle ère. Cette circulaire doit permettre aux communes de disposer de nouvelles informations de la part de l’Etat français. Prenant acte, la Ville de Nice a donc choisi Jean-Charles Brisard, Président Fondateur du Centre d’Analyse du Terrorisme (CAT), enseignant à l’Institut d’Etudes Politiques (IEP) de Strasbourg et ancien enquêteur en chef pour le collectif des familles de victimes des attentats du 11 septembre 2001, pour apporter son expertise sur le sujet. « A titre gracieux », souligne la municipalité par la voie de son service communication. Jean-Charles Brisard aura donc pour mission de parfaire et rendre plus efficace encore la stratégie globale de la Ville azuréenne en matière de lutte contre les dérives fondamentalistes, de mettre en place un suivi adapté des publics identifiés et d’aider à la mise en œuvre de la circulaire du 13 novembre 2018. Un choix intelligent dont on espère voir, très vite, la matérialisation par des actions concrètes à l’échelon local et plus si cela s’avère efficace !
À LA UNE Lundi 22 heures VOIR, ENTENDRE, COMPRENDRE. ILS ONT DES YEUX ET NE VOIENT PAS. ILS ONT DES OREILLES ET N’ENTENDENT PAS. (Psaume) Quand vous regardez les infos, QUE VOYEZ-VOUS? Ne vous contentez pas de laisser les VOIX vous dire les choses. Ouvrez les yeux et les oreilles. QUE VOYEZ-VOUS? QU’ENTENDEZ-VOUS? Un Président dictateur, exigeant, mais surtout distant, absent. MAIS ENCORE! Un Premier Ministre au sourire niais, content de lui, suivant la voix de son maître. MAIS ENCORE! Un Ministre de l’intérieur incompétent à souhait, et qui prend le temps d’expliquer son incompétence. Nommé RANTANPLAN par Canteloup. Difficile de trouver mieux. MAIS ENCORE! Des membres du gouvernement qui tiennent des discours aux antipodes des préoccupations du peuple. Répétant mot pour mot un discours appris par cœur. ET SURTOUT! A chaque journal, des hommes, des femmes, des jeunes bien sûr mais tant de seniors!!! A l’âge qu’ils ont, ils ont gagné le droit de vivre au chaud. De manger à leur faim. De gâter leurs petits enfants. D’aider leurs enfants. De partir quelques jours, où ils veulent. De passer l’hiver au soleil..ETC... Au lieu de ça, ils font le pied de grue à un barrage? Travailler toute une vie pour en arriver là? Vous n’avez pas honte? Vous supprimez l’ISF et vous dévalisez les retraités. Vous supprimez la taxe d’habitation et vous augmentez TOUT. C’est à dire, l’indispensable pour vivre décemment. Et pendant ce temps, pendant que la France organise la Révolution, au risque de vous
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La semaine des gilets démettre, vous changez la vaisselle de l’Elysée. Vous remplacez la moquette pour une somme qui aurait aidé un millier de français à vivre mieux. Et si les bruits de salaires fictifs se confirment,... Aussi, je ne vous donnerai aucun conseil, je me contenterai de vous rappeler qu’il reste 4 jours avant le prochain round. Les gilets jaunes sont peut-être moins nombreux, mais les casseurs s’organisent et se multiplient. Vos services les affrontent, se font tabasser, mais n’ont aucune directive pour démasquer les donneurs d’ordre. Gouverner, c’est prévoir. Hier, l’arc de Triomphe! ET DEMAIN? Mardi 10 heures INFO CROISÉE. Que penser de Nicolas Dupont Aignan? Certains disent qu’il est d’extrême droite. Il fut le second de Marine. D’autres le disent antisémite. Je l’ai croisé, lors d’une manifestation pro-israélienne. Ne prenez pas mon commentaire pour une adhésion à ses idées. Cependant, j’avoue que sur l’échiquier politique, face à la grimace haineuse et permanente de Mélenchon, face à la démagogie de Marine, qui dit OUI à tout, et à la folie directive et dictatoriale de Macron, Dupont-Aignan tient un langage cohérent et surtout proche des préoccupations des français. Aussi, ce matin, quand il dit à Audrey Crespo-Mara, sur Europe que le gouvernement prend l’argent aux français, parce qu’il en donne trop aux migrants, il s’entend répondre, « Nous parlons des gilets jaunes, pas de la politique migratoire de la France » Et quand il ajoute que les accords de Marrakech vont voir déferler sur la France un flot migratoire sans précédent, l’intervieweuse, au demeurant honnête, fait mine de ne pas entendre et recardre son invité. Une fois de plus, les médias font de l’information sélective. Ils n’entendent que ce
qu’ils veulent entendre et ne parle que, de ce qui les gêne le moins. À cloisonner les sujets on va DROIT dans le mur. On se demande pourquoi les ordinateurs permettent de croiser les informations, si on refuse de voir, en face, les croisements dangereux, même quand ils sont évidents. Vendredi 14 heures. ENTRE TAXES ET PACTE DE MARRAKECH. LA COLÈRE S’AMPLIFIE. A l’étranger, les français sont qualifiés de donneurs de leçons. Leur Président en tête. C’est la raison pour laquelle les français ne sont pas aimés. Pourtant les gilets jaunes impressionnent à l’étranger. Ceux qui n’aiment pas Macron règlent leurs comptes. Ce qui prouve que dans l’arène internationale, celui qui tombe prend des coups. Jupiter à terre! Quelle leçon! Il a défié les dirigeants européens, il les a divisés. Il se voulait le champion des progressistes, quand ses alter ego embrassaient le populisme. Le ministre italien de l’intérieur déclare: Macron, c’est le problème des français!!! Quand il affiche 64% de popularité, Salvini se paie la tête d’un Président qui en est à 18%. Et la droite européenne lui emboîte le pas. Néerlandais, Flamands, Bulgare, Serbe, et même les allemands. Ils arborent tous, un gilet jaune et traite Macron de néolibéral. Le Kremlin appelle à garantir la liberté de la presse. (Sic) Poutine se moque « discret » de l’Elysée et Trump ne se gêne p s pour le faire ouvertement. Le 11 novembre, Macron dénonçait les nationalistes et humiliait l’oncle Sam à l’Arc de Triomphe. Donald se présente comme le premier des gilets jaunes. Celui qui avait compris, il y a 3 ans que la COP, quel que soit son numéro était un accord fondamentalement mauvais. Parlons maintenant d’un autre pacte qui mobilise les gilets jaunes. Le pacte de l’ONU sur les migrants. La
Johnny Voilà déjà un an, tu partais, Ce soir, j’ai besoin de chanter, Pas un refrain tragique Une de tes chansons magiques. L’envie d’aimer semble indiqué Tennessee vient me hanter Gabrielle résume elle même Toute la musique que j’aime. Du ciel, un ange va descendre Caresser mes cheveux gris Me raconter l’incandescence Des nuits, en ton blanc paradis. JOHNNY, Depuis un an que tu es parti, Ils sombrent tous dans la folie N’ont pas compris la leçon, Au fait, tu vois D’Ormesson? A seize ans, avec tes souvenirs Tu inventais une ère nouvelle,
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Plus tard tu allumais le feu, Sans la moindre étincelle. Les calices plein d’ambre Assoiffent tes fans Leur coupent les ailes Ta musique les démembre. Depuis que tu chantes au ciel Ton pays c’est l’amour Et ta voix unique, essentielle, Vivra plus longtemps qu’un Goncourt. René SEROR
France doit le signer la semaine prochaine. Et ça met tout le monde en colère. En général les textes pondus par l’ONU endorment. Celui-là empêche de fermer l’œil. Un Pacte de 25 pages, pour des migrations sûres, ordonnées et régulières, validé en juillet, signé lundi et mardi. Vite fait, en douce. Chapeau l’embrouille. Une résolution sera adoptée avant les fêtes de fin d’année. NE RIEZ PAS! C’est très sérieux. Et c’est catastrophique. Au travers de vœux pieux, droits de l’homme, souveraineté nationale, sont implantés une vingtaine d’objectifs de coopération. Entre autres: -il faut assurer aux migrants l’accès aux services de base. C’est simple, sauf que l’ONU ne fait pas de différence entre migrants réguliers ou illégaux. Les USA ont claqué la porte. Et avec eux, 1/3 des pays de l’UE L’Australie, Israël. Autant de démocratie qui font la différence entre sans-papiers et porteurs de visas. Ceux qui l’ont pondu le disent Non contraignant. Les dirigeants de droite répondent « pas encore » Et d’ajouter. « Il reconnaît un droit à l’immigration, la jurisprudence suivra. L’ONU dénombre 260 millions de migrants dans le monde qu’elle définit comme un moteur de croissance. Pot une majorité de gilets jaunes, qui ne partagent pas cet optimisme face à la mondialisation, c’est une LIGNE ROUGE. ILs s’attendent à être sacrifiés, trahis par leurs dirigeants. Hier, ils souhaitaient seulement remplir leur réservoir, désormais, ils veulent changer le sens de l’histoire. René SEROR
À LA UNE
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Bouclier du Nord vs conquête de la Galillée. Le triomphe de Tsahal
Le nom de code « bouclier du Nord » Indique bien qu’il s’agit de se défendre. En son temps, Ehud Barak avait dit « Israël est comme une villa dans la jungle » Le fait est qu’Israel est aujourd’hui dos au mur et qu’il faut de toute urgence reconstruire la clôture. Puissance de Tsahal!!! Baroukh HM. Nos soldats cherchent les tunnels du Hezbollah. Cette fois, il ne s’agit pas de tunnels pour faire de la contrebande ou pour infiltrer des commandos. C’est une armée qui s’est enterrée accumulant 120.000 missiles, portant plus loin et plus précis que ceux, 10 fois moins nombreux de 2006. Triste constatation, mais toutes les villes d’Israel sont à portée de tir. Le Hezbollah aurait un plan d’invasion, nom de code: « Conquête de la Galilée » Ces larges tunnels permettent la circulation de véhicules blindés. CEPENDANT, Ni le bunker de Ben Laden, Ni le palais souterrain de Saddam Hussein, Ni les tunnels de Bucarest n’ont empêché l’élimination des dictateurs terroristes. Tsahal a formé une unité d’élite, spécialisé dans le repérage des tunnels.
L’opération « Bouclier du Nord »est destinée à les retrouver. Pour les contrer, Bibi va faire construire un mur de protection. Les ennemis du Premier Ministre redoublent d’efforts afin de le faire tomber. Le glaive de la justice que d’aucuns tentent de brandir contre lui, va être contré par ce BOUCLIER. Les récents événements prouvent, une fois encore, que le remplaçant de Bibi reste introuvable. Depuis que les terroristes de la milice Chiite rentrent de Syrie, la frontière libanaise est la ligne de front, dans la guerre à mort que prépare l’Iran à Israël. C’est alors que les versets de la Hagada nous reviennent, qui disent « Dans chaque génération, ils s’élèvent contre nous, pour nous détruire, et le Saint Béni Soit-il nous sauve de leurs mains. » Le message est clair: Laissez Bibi travailler. Ne doutez pas de la protection d’HM. Afin de permettre le triomphe de Tsahal. René SEROR
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Lettre à Nicole Belloubet de Arié Bensemhoun Lettre à Mme Nicole Belloubet Ministre de la justice. Madame la Ministre, Le 28 novembre dernier, la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme (CNCDH) a décerné « le Prix des droits de l’homme de la République française ‘Liberté, égalité, fraternité’ » aux organisations controversées Al-Haq et B’Tselem. Il leur sera remis lundi prochain, à l’occasion de la journée internationale des droits de l’homme. Si elle devait avoir lieu, la remise de ce Prix des droits de l’homme à ces organisations qui en sont l’antithèse, serait une flétrissure des valeurs de la République qui sont chaque jour un peu plus bafouées. Car enfin, que sont ces organisations que la République veut honorer ? Al-Haq et le FPLP Al-Haq est une organisation palestinienne, acteur des campagnes discriminatoires BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions) et de Lawfare (guerre juridique) contre l’État d’Israël. Ces dernières années, AlHaq a participé aux côtés d’associations françaises à l’écriture des rapports contre la compagnie Orange (2015), les banques françaises (2017) et plus récemment contre les entreprises françaises (2018) impliquées
dans la construction du tramway de Jérusalem. Ces rapports ont appelé le gouvernement français à faire pression pour que ces entreprises et institutions financières se désengagent. Le directeur d’Al-Haq, Shawan Jabarin, qui est aussi vice-président de la Fédération Internationale des ligues des Droits de l’Homme, fut condamné en 1985 pour son rôle actif au sein du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) – une organisation terroriste désignée comme telle par l’UE, les États-Unis, le Canada et Israël. Al-Haq soumet régulièrement des documents à la Cour pénale internationale (CPI) faisant des allégations de crimes de guerres et crimes contre l’humanité commis par de hauts responsables civils et militaires israéliens. Dans un de ses rapports, Al-Haq proposa de saboter le système judiciaire israélien en « inondant la Cour [suprême israélienne] de requêtes dans l’espoir d’entraver son fonctionnement et ses ressources ». B’Tselem et BDS Quant à l’organisation B’Tselem, la dépendance de son financement, ses sources d’information, souvent en provenance d’organisations politiques partisanes, mettent en cause sa réputation. A cet égard, son soutien au mouvement BDS, illégal en France, lui fait perdre toute crédibilité. Faisant de la délégitimisation d’Israël son cheval de bataille, B’Tselem est aussi accusée de fabriquer des incidents afin de créer délibérément des tensions entre Palestiniens et soldats israéliens. Comme la rappelé à juste titre le président Emmanuel Macron, nous ne devons « rien céder à l’antisionisme car il est la forme réinventée de l’antisémitisme ». Le gouvernement ne peut donc clamer vouloir lutter contre l’antisémitisme, qui ne cesse de se développer sous de multiples formes, être ferme face au terrorisme, faire condamner le boycott d’Israël, et récompenser ses promoteurs. Cette contradiction est intolérable. A l’heure où la société française est en crise de sens et de valeurs, les renoncements, les démissions, les compromissions avec des organisations qui incitent à la haine, seraient une faute grave. La défense de la République, dans ces temps troubles, mérite mieux que cela. Voilà pourquoi, Madame la Ministre, vous devez renoncer à remettre ce Prix et contester son attribution à ces organisations. Dans l’espoir que ce courriel retiendra votre attention, je vous prie, Madame la Ministre, de croire en l’expression de ma haute considération. Dr. Arié Bensemhoun European Leadership Network
SÉCURITÉ
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L’Etat hébreu aurait fourni, il y a quelques mois, des armes à l’armée tchadienne
Des responsables tchadiens viennent de confier au journal israélien Haaretz que l’Etat hébreu a fourni, il y a quelques mois, des armes à l’armée tchadienne. « C’est la première fois qu’un président tchadien se rend Israël depuis la création de l’État en 1948 ». C’est ce qu’explique Evariste Ngarlem, enseignant et chercheur à l’université de N’Djamena. La venue d’Idriss Déby entre dans cette logique: Netanyahu espère ainsi briser la majorité anti-israélienne traditionnelle dans les organisations internationales à l’instar de l’ONU. Idriss Déby veut surtout que les Israéliens l’aident à sécuriser les frontières nord du Tchad où activent certains de ses opposants qui menacent de le renverser. Soulignons que malgré le fait que les deux pays aient rompu leurs relations diplomatique depuis belle-lurette, les deux pays
entretiennent de manière non officielle une coopération militaire depuis près de 10 ans.
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Dans Tsahal, 4185 soldats en service régulier sont Français
Selon le Premier ministre israélien, ce réchauffement des relations entre Ndjamena et Jerusalem, sera bénéfique pour son pays. Une perspective évoquée également par le président Idriss Déby. Il faut rappeler qu’en 2016, le Premier ministre israélien avait effectué une tournée en Afrique, notamment en Afrique du Sud. Au cours de cette réunion, Deby s’est déclaré vivement intéressé par une réunion avec le Premier ministre Netanyahou. Dans la foulée, il avait espéré renouer des relations diplomatiques entre Israël et de nombreux Etats africains. Source Seven Equities
Les personnes de nationalité française représenteraient au moins 2% des effectifs totaux de Tsahal. C’est la deuxième nationalité étrangère la plus représentée. Libération : « À force de relances, nous avons obtenu réponse du porte-parolat des forces armées israéliennes: «4185 soldats en service régulier ont la citoyenneté française.» Le nombre est peut-être minoré, car l’armée ne compte que les personnes qui ont déclaré leur nationalité française. La nationalité française est la deuxième nationalité étrangère la plus représentée dans les rangs de Tsahal, après la nationalité américaine. Les citoyens français ou franco-israéliens engagés dans les forces armées israéliennes représentent entre 1,7% et 3,5% des effectifs totaux. En 2011 ce total était estimé à 176 500 soldats, selon l’Institut national des études de sécurité, rattaché à l’université de Tel-Aviv. Un chiffre «inférieur à la réalité», assure la grande muette israélienne sans en dire plus. Service obligatoire Une fois leur majorité atteinte, tous les Israéliens et toutes les Israéliennes sont tenus d’effectuer un service militaire long d’au moins deux ans. Les binationaux, eux, «sont obligés d’effectuer leur service s’ils vivent en Israël quand ils atteignent l’âge de 18 ans», nous explique Tsahal. Les personnes possédant la nationalité israélienne mais ne vivant pas en Israël y sont également fortement invitées, mais peuvent y échapper si elles le justifient. La seule possibilité de s’engager sous les drapeaux pour des personnes non-israéliennes ou ne vivant pas de longue date en Israël est de passer via des programmes comme «Mahal». Il n’est pas obligatoire d’être juif pour être soldat en Israël, mais les volontaires de Mahal (qui n’ont pas la nationalité israélienne) doivent posséder un parent ou un grand-parent juif, selon le site de l’armée israélienne. Dans un article de 2014 sur le sujet, Orient XXI constatait que si les armées de plusieurs pays ouvraient leurs portes à des étrangers (comme la France avec la Légion), seul Israël le faisait «sur l’unique critère eth-
no-religieux». Le chiffre de 4185 que nous évoquions, qui représente environ 2% ou 3% des forces armées israéliennes, comprend à la fois les volontaires de Mahal (qui n’ont que la citoyenneté française) et les binationaux, en service militaire obligatoire ou membres de l’armée de métier. «Tsahal parle français» Dans un article de 2014 consacré aux soldats français partant effectuer leur service en Israël, L’Obs relevait : Le 26 mai dernier, en fin d’après-midi, un officier de Tsahal a ainsi donné une conférence sur la politique de recrutement à la grande synagogue de la Victoire, dans le 9e arrondissement de Paris. Avec possibilité d’«organiser des rendez-vous» pour les «questions personnelles», comme précisé sur le site de l’ambassade d’Israël. L’armée israélienne a déjà réalisé plusieurs vidéos de promotion visant un public francophone. Dans «Tsahal parle français» (2012), la voix off lance : «Nous avons besoin de votre soutien.» Et les soldats face caméra de renchérir : «Faites passer le mot, on compte sur vous !» Et dans «Tsahal apprend le français» (2017), sur fond de musique dansante, une succession de jeunes gens non francophones s’essayent péniblement, en uniforme et avec le sourire, à parler français (pour souhaiter une «bonne semaine» à l’internaute). Enfin, sur le site du ministère de la Défense israélien, dans un communiqué d’août 2017 consacré aux volontaires de l’étranger, un responsable du ministère se félicite des «efforts pour encourager la mobilisation de la diaspora». Malgré ces indices, Tsahal répond catégoriquement à votre deuxième question : «Les forces armées israéliennes n’ont pas de centre de recrutement, ou de politique active de recrutement en France.» Au consulat israélien en France, une personne est quand même chargée de traiter les questions liées à Tsahal et à l’engagement sous les drapeaux israéliens. Au cas où. Fabien Leboucq
SÉCURITÉ
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Face aux USA & Israël, la France cherche ses propres solutions de renseignement en Big Data Vingt-deux entreprises tricolores se sont regroupées pour proposer une offre complète de big data et d’intelligence artificielle 100 % française. Et ce groupement d’entreprises a été mis sur pied il y a deux ans par le GICAT, le groupement des industriels de défense et de sécurité, et propose désormais une offre complète de traitement et d’analyse de données 100 % hexagonale. Parmi elles, Flaminem et sa dizaine d’ingénieurs de haut vol assurent maîtriser l’intégration de centaines de flux de données volumineux (big data). De clic en clic, les enquêteurs relient les indices et les suspects, à la manière d’un commissaire devant des photos punaisées sur un tableau en liège. Pour détecter des fraudes ou répondre aux exigences réglementaires en matière de connaissance-client dans la banque et l’assurance. Ou pour arrêter criminels et terroristes. Avec son interface, Flaminem vient compléter l’offre des autres membres du « cluster » créé par le GICAT : des supercalculateurs
(Atos), la géolocalisation en temps réel (Deveryware), des data centers (Critical Building) ou encore les drones (DIODON Drone Technology). Systran a, pour sa part, développé avec Pertimm et Vocapia Research une solution de retranscription, traduction et analyse d’enregistrements audio. La start-up Aleph-network s’est, elle, fait une spécialité de fouiller le dark web, quand Geo4i analyse avec précision des images satellites. Ensemble, les membres du « cluster » espèrent reconquérir non seulement les agents français mais surtout de nouveaux marchés étrangers, car la France est un marché parmi d’autres pour elles et pour se développer, il faut amortir la recherche et développement dans d’autres pays. Mais chacun sait qu’une vente à l’export de technologies potentiellement dangereuses dans des Etats totalitaires ou ennemis passe par un examen de conscience et, dans de nombreux cas, par l’aval des autorités françaises. Source : Les Echos
Colère des Etats-Unis qui s’opposent à la vente d’armes d’Israël à la Croatie
L’administration Trump s’est opposé à un accord d’armement à hauteur de 500 millions de dollars entre Israël et la Croatie, pour la vente de 12 avions de combat F-16 fabriqués aux États-Unis, rénovés et modernisés par Israël, ont déclaré des responsables israéliens.
C’est une situation très rare après deux ans de relations étroites entre Israël et l’administration Trump, notamment en matière de coopération militaire et de défense. Benyamin Netanyahou, a évoqué la question avec le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo lors d’une réunion à Bruxelles. M. Netanyahou avait annoncé l’accord en mars dernier après une réunion avec son homologue croate, mais les États-Unis n’ont pas donné à Israël l’autorisation nécessaire pour vendre les appareils à une tierce partie. Les responsables israéliens ont indiqué qu’ils avaient commencé à recevoir des messages de Washington il y a trois semaines indiquant que les États-Unis bloqueraient la transaction. Des responsables de l’administration Trump étaient furieux qu’Israël améliore les anciens
F16 avec de nouveaux systèmes électroniques sophistiqués fabriqués par les Israéliens afin de persuader les Croates d’acheter les avions à réaction d’Israël et non des États-Unis, rapporte le site Axios. Ils ont affirmé qu’Israël n’était pas censé vendre les avions de fabrication américaine à une tierce partie sans l’approbation des États-Unis – en particulier sans concurrence directe avec eux. Selon Axios, les Croates sont également furieux que l’accord soit gelé et ont transmis un message à Israël leur indiquant qu’ils s’attendent à ce que le problème soit résolu le plus rapidement possible. Le bureau de Netanyahou s’est abstenu de tout commentaire. Le département d’Etat a refusé de commenter la question et le Pentagone n’a également fourni aucun commentaire. Source : i24News (Copyrights)
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FRANCE
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Steve Ohana: Quelques mots sur le thème des « Juifs et Gilets Jaunes »
La colère des gilets jaunes récupérée par les antisémites ?
Je voudrais dire quelques mots ici sur le thème des « Juifs et Gilets Jaunes ». Il est clair que le mouvement des Gilets Jaunes est actuellement instrumentalisé par des groupes antisémites de profils divers (extrême droite, Dieudonnistes, soraliens etc.) pour faire avancer leur cause… Il est donc naturel que des Juifs, de façon individuelle ou à travers des représentants de la communauté, marquent leur refus de voir ce mouvement instrumentalisé de la sorte.
« Quand la colère des gilets jaunes est récupérée par les antisémites de tous bords. » Au-delà des revendications souvent légitimes des « Gilets jaunes », je suis inquiet de la dérive antisémite d’une petite fraction qui se revendique du mouvement. Affiches, tracts, caricatures, tribunes, vidéos… On m’a ainsi signalé dimanche dernier cette vidéo anonyme délirante de 41.54 publiée sur YouTube sous le titre « pourquoi les sionistes en veulent aux gilets jaunes ? » Vue près de 8000 fois, cette publication, suintant la haine et l’obsession antisioniste, est intégralement dirigée contre ma personne et comporte des menaces directes. Ces héritiers du poujadisme profitent de ce mouvement au départ spontané et des angoisses populaires pour recycler une bonne vieille recette antisémite, mère de tous les pogroms.
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L’occasion est trop belle de tenter une récupération honteuse de la colère d’une partie des Français pour accuser un bouc-émissaire facilement trouvé : le Juif. Pour ces fossoyeurs du mouvement des « Gilets jaunes », la souffrance sociale a une source unique : un complot juif imaginaire à la solde des élites financières et dirigé contre le « peuple ». On retrouve hélas la convergence de cet antisémitisme « traditionnel » et ses recettes nauséabonds avec le « nouvel antisémitisme », rebaptisé « antisionisme ». J’appelle tous les Gilets jaunes à se désolidariser sans ambiguïté de ces dérives qui souillent et discréditent ce mouvement populaire et légitime. Meyer Habib Député de la 8ème circonscription des Français de l’étranger
Cependant, il serait dommage – et même dangereux- que les Juifs se laissent euxmêmes instrumentaliser par la stratégie du pouvoir en place visant à réduire totalement les Gilets Jaunes à l’extrême droite ou à l’antisémitisme. La contestation est en effet prioritairement sociale et est, à de nombreux égards, légitime. Cette contestation est d’autre part alimentée par le mépris de classe manifesté par Macron puis par les élus LREM à l’égard des classes populaires depuis plusieurs années. Les représentants communautaires juifs ont
vocation à condamner toutes les formes d’antisémitisme, lorsqu’elles se manifestent, mais n’ont pas vocation à prendre partie dans des conflits économiques et sociaux. C’est aux intellectuels et aux individus de se positionner en leur nom propre dans ce type de conflits. Il est d’ailleurs regrettable que la plupart des intellectuels qui revendiquent leur appartenance à la communauté juive aient jusqu’ici pris partie contre ce mouvement. Alain Finkielkraut est à ma connaissance le seul exemple du contraire. Il y a un grand danger pour la communauté juive d’apparaître dans son ensemble comme partie prenante d’un conflit de classe, au service du pouvoir en place et insensible aux souffrances sociales exprimées par les classes populaires. Ce serait d’autant plus regrettable que de nombreux membres de la communauté se trouvent également plongés dans la pauvreté et la souffrance sociale. Publié sur facebook
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Le Chef Formateur Ducasse Education, se rendra en Israël
Ducasse Education, l’école de cuisine et de pâtisserie française, fondée par le chef Alain Ducasse annoncer sa collaboration avec l’Institut Israélien des arts culinaires, Bishulim. Ensemble, les deux écoles ont conçu un programme unique de spécialisation qui permettra aux diplômés de Bishulim de poursuivre leurs études en France au sein de Ducasse Education. « Cette collaboration permettra à nos étudiants de développer leurs techniques, leurs méthodes de travail et leur connaissance des produits pour réussir dans le monde de la gastronomie. Notre objectif principal est que nos étudiants deviennent de grands professionnels de la restauration », explique Barry Sayag, Chef du programme de pâtisserie de Bishulim. L’échange entre les deux écoles ne s’arrête pas là. Le Chef Eden Elkobi professeur à Bishulim, vient de se rendre à l’Ecole Nationale Supérieure de Pâtisserie, école de pâtisserie de Ducasse Education, pour y animer une Master Class sur la pâtisserie du Moyen-Orient.
En mars 2019, Chef Mark Guillain-Williams, Chef Formateur Ducasse Education, se rendra en Israël et délivrera une Master Class exclusive sur le thème « Entrées et Plats 3 étoiles » inspirées des restaurants triplement étoilés du Chef Alain Ducasse.
EDF à la tête de la 1ère centrale nucléaire des Émirats arabes unis
Ce partenariat doit faciliter la connaissance et l’enrichissement mutuel, exposer les élèves à de nouvelles sources de connaissance et d’inspiration. Cyril Lanrezac, Directeur de Ducasse Education, déclare « Ce nouveau partenariat a pour objectif de fournir aux étudiants souhaitant devenir des professionnels reconnus, le plus haut niveau de professionnalisme possible en cuisine et pâtisserie. En plus de développer leurs connaissances, les diplômés de Bishulim étudieront aux côtés d’étudiants internationaux et de professionnels expérimentés. Une expérience précieuse pour améliorer leurs techniques, leur savoir-faire et leur créativité. Nous avons hâte de les accueillir en France. » Source L’hotellerie restauration
EDF a annoncé le 22 novembre avoir conclu un partenariat avec la Nawah Energy Company afin d’exploiter ce qui sera la première centrale nucléaire du monde arabe. Après avoir choisi une société coréenne, KEPCO (Korean Electric Power Company), pour construire quatre réacteurs pour une somme avoisinant les 20 milliards de dollars, c’est EDFqui a été retenu pour en assurer l’exploitation et la maintenance.. La centrale de Barakah serait aujourd’hui achevée à hauteur de 90% et est située à l’ouest du pays, à moins de cinquante kilomètres de la frontière saoudienne. L’installation couvrira une importante partie des besoins en électricité du pays, mais il est probable qu’une autre partie de l’énergie produite prenne la direction de l’Arabie Saoudite. Le contrat de longue durée fera appel à l’ensemble du groupe EDF, dont la filière Framatome est spécialisée dans la fourniture d’équipements de centrales nucléaires. EDF précise que l’accord concerne des services dans plusieurs domaines, dont « la sûreté,
la radioprotection, la gestion du cycle du combustible et le suivi environnemental » de la centrale. Par ailleurs, EDF devrait intensifier son activité à Barakah au fur et à mesure de l’ouverture des trois réacteurs encore en construction. À ce titre, Mark Reddemann, directeur exécutif de Nawah, a salué l’appui et l’expertise d’EDF qui devra sans doute transmettre une partie de son savoir-faire au profit de la société émirienne. Parallèlement, l’accord s’inscrit dans la stratégie d’EDF « CAP 2030 » visant à tripler ses activités hors Europe d’ici 2030. Il participe aussi, dans un cadre plus large, à l’entretien des relations économiques entre la France et les Émirats arabes unis, son deuxième partenaire commercial dans le Golfe après l’Arabie Saoudite. Ainsi, EDF a mis en service sa première installation d’énergies renouvelables aux Émirats arabes unis avec la mise en place d’un parc solaire à Dubaï en mai dernier. Source : Portail i.e
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Israël surprend au Championnat du monde de la race du pur-sang arabe
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Un israélien aura t-il bientôt une place portant son nom à Paris ? La star vedette des années 70, Mike Brant, aura bientôt une place à son nom dans le XVIe arrondissement de Paris, située à l’intersection des rues Dufrenoy, Benjamin Godard et Spontini et de I’avenue Victor-Hugo, rapporte le Parisien. Le chanteur mort à l’âge de 28 ans, en 1975 à Paris, était « très attaché » à cet arrondissement où il vivait, avait affirmé Pierre Auriacombe (Constructifs ex-LR) qui avait porté ce voeu lors du Conseil de Paris en décembre dernier. « Au-delà de sa carrière de chanteur, cette personnalité a beaucoup oeuvré pour la paix entre Israéliens et Palestiniens », avait-il poursuivi. L’inauguration devrait avoir lieu dans les prochaines semaines selon les informations du quotidien.
Les candidats au titre de champion du monde 2018 de la race du pur-sang arabe s’étaient donnés rendez-vous au Salon du Cheval de Paris pour la 38ème année consécutive. Sans grande surprise, la majorité des titres de champions est enlevée par les Emirats Arabes Unis (Aj Samara, yearling femelle), HDM Maria Apal (junior femelle), Admiraal (yearling mâle), D Seraj (junior mâle) et l’Arabie Saoudite (Anood Al Nasser, sénior femelle). La surprise est sans doute venue du titre très convoité de champion sénior mâle, décroché par Israël grâce au splendide Equator, fils du célébrissime QR Marc, né au Haras polonais Sk Michalow Pologne, qui en est toujours propriétaire, mais loué par Alsheik Stud, et présenté par Raphaël Curti, ému au larmes lors de la remise des médailles. L’édition 2018 était aussi l’occasion de décerner le Trophée de Platine à l’étalon Qatari Kahil Al Shaqab (Marwan Al Shaqabphoto ci-dessus) et à Emandoria, la jument polonaise du Haras Sk Michalow. Christiane Chazel, qui mène ce championnat du monde de main de maitre depuis de longues années, le soulignait « en 2018 nous avons 20% de sponsors en plus, 15% de chevaux supplémentaires, et nous avons vendu 12% de tables VIP de plus qu’en 2017. Le succès de cet événement, contrairement à d’autres dans la même filière, ne se dément pas. Le plateau de chevaux était exceptionnel, certains sont même venus spécialement des Etats Unis. Pour les éleveurs de haut niveau, ce championnat reste incontournable ». Alors que ces cracks, venus de plus de 40 pays, étaient tous présentés par des « handlers » professionnels aguerris qui sil-
lonnent la planète d’un concours à l’autre pour présenter des chevaux qui appartiennent à des écuries prestigieuses, la française Solène Cuvereaux était non seulement l’une des rares femmes, mais sans doute la seule à présenter son propre cheval, Benjhy, 5 ans, dans la catégorie sénior mâle.
L’israélienne Rutu Modan sera mise à l’honneur au festival BD d’Angoulème
Basée en Corse, la jeune femme débutait dans cette filière du show au mois de mai. « J’ai mon permis handler, je peux présenter n’importe quel cheval arabe. Les handlers le disent, il est très difficile de présenter son propre cheval, car le lien est assez fort, alors que dans cette discipline il faut que le cheval soit un peu plus détaché de son présentateur. Je le reconnais, c’est beaucoup plus difficile, car il est très attaché à moi, d’autant qu’il est monté. Je le sors en CSO et en dressage, et il fait de l’extérieur. Il n’a pas peur de grand-chose, il a été éduqué pour. Je veux aussi montrer que le cheval arabe est polyvalent, je trouve terriblement dommage que certains ne fassent que du show ou de l’endurance. Mon objectif est de convaincre que l’on peut faire du très beau et très bon cheval arabe. Je me doutais que je ne serais pas qualifiée pour la finale, Benjhy a été noté à 88.67, soit environ 3 points de différence avec les meilleurs, mais pour moi, ce résultat est extraordinaire. Nous sommes partis de rien au mois d’avril, et nous avons réussi à nous qualifier pour le championnat du Monde la même année. Je trouve formidable de présenter un cheval qui travaille sous la selle à ce championnat, d’autant que c’était une première expérience pour nous deux. » Source L’Eperon
Pour son édition 2019, le Festval International de BD d’Angoulème rend hommage à l’autrice israélienne Rutu Modan, lauréate du Prix Essentiel pour Exit Wounds en 2008 et Prix spécial du jury pour La propriété en 2014. Une vaste exposition rétrospective sera ainsi consacrée à sa carrière, débutée en 1990. Alors étudiante aux Beaux-Arts à Jérusalem, la jeune artiste née en 1966 y découvre le magazine Raw et la BD indépendante américaine. Au milieu des années 1990, avec l’illustrateur et auteur de BD Yirmi PInkus, elle crée le collectif Actus Tragicus, qui compte aussi parmi ses membres Itzik Rennert, Batia Kolton et Mira Fridman. Son style s’éloigne peu à peu de la caricature, s’adoucit, sous l’influence d’un auteur qu’elle admire, Jacques de Loustal. Rutu Modan ne cesse d’être frappée par le fait que la réalité est souvent plus extrême et plus ridicule que ce qu’en dépeint la fiction, notamment la bande dessinée. Elle opère un glissement à la fois narratif et graphique, s’éloignant d’une vision distordue des choses et collant de plus près au réel pour
mieux en souligner son absurdité et ses dysfonctionnements. Elle épure son dessin, le tirant consciemment vers la simplicité de la ligne claire. Avec le récit court Retour à la maison (2002), elle traite pour la première fois ouvertement d’un sujet inspiré par la vie en Israël, – un père israélien croit voir revenir son fils, disparu au Liban, revenir. Rutu Modan s’attache à mêler intime et société dans ses bandes dessinées, faisant de l’absence, des faux-semblants et de la famille ses thèmes de prédilection. Ça sera ainsi Exit Wounds en 2007, traversé par la figure d’un père absent, puis en 2013 La Propriété, dont l’exergue résume parfaitement les préoccupations de l’autrice : « En famille, on n’a pas à dire toute la vérité et ça ne s’appelle pas mentir ». Rutu Modan manifeste un humour acide, faisant fi du politiquement correct, soulignant toujours avec subtilité le ridicule des situations ou des propos. Source : FIBD
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Le nombre de touristes asiatiques Comment résoudre la pénurie en visite en Israël est en baisse de médecins en Israël ?
Environ 485.500 touristes ont visité Israël au mois d’octobre, soit 14% de plus que l’an dernier à la même période, selon un rapport publié lundi par le ministère du Tourisme. L’industrie du tourisme a rapporté plus de 2,5 milliards de shekels à l’économie israélienne avec 3,4 millions de touristes de janvier jusqu’à octobre 2018, soit 15% de plus qu’en 2017.
plus qu’en octobre 2017. Après avoir reçu une subvention du ministère israélien du Tourisme, la compagnie aérienne sud-américaine LATAM (compagnie aérienne chilienne) démarrera l’exploitation des vols directs Sao Paulo et Santiago vers Israël le mois prochain, ce qui augmentera le nombre de venus en provenance d’Amérique du Sud.
Le ministère du Tourisme envisage de porter ce nombre à quatre millions par an.
20.100 touristes d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud, dont 8.100 du Brésil, ont également visité le pays.
La prospérité des hôteliers et de l’industrie dépendent fortement de la situation sécuritaire dans la région.
Moins de touristes asiatiques En revanche, le nombre de touristes asiatiques en visite en Israël est en baisse.
D’après les chiffres du ministère du Tourisme, les touristes séjournent en Israël pendant huit jours en moyenne.
La nation start-up fait de gros efforts pour attirer des touristes de Chine, le pays dont la croissance est la plus rapide au monde, mais seulement 11.000 touristes chinois ont visité Israël en octobre, soit 17% de moins qu’en octobre 2017.
Les vols bon marché ont un effet positif En octobre, 300.000 des touristes qui se rendaient en Israël provenaient de pays européens: 43.300 de Russie (un peu moins qu’en octobre 2017), 41.200 de France (10% de plus), 38.000 d’Allemagne (14% de plus) et 26.200 en provenance du Royaume-Uni (10% de plus). Le nombre de touristes en provenance de pays où les compagnies aériennes (principalement des compagnies à bas coûts) ont commencé à exploiter des vols directs vers Israël, tels que la Pologne, a augmenté en conséquence. 15.700 touristes polonais ont visité Israël, contre 11.000 en octobre 2017 et 17.400 de Roumanie (12.300). 15.600 touristes italiens ont visité l’Etat hébreu, soit 63% de plus qu’en octobre de l’année dernière. En octobre, 127.400 touristes d’Amérique du Nord ont visité Israël, dont 91.500 en provenance des États-Unis, soit 18% de
9.700 touristes indiens se sont rendus en Israël, soit 9% de plus qu’en octobre 2017, 19.000 provenaient du Japon, même s’il n’y a pas de vols directs entre les deux pays. 3.400 touristes sont issus d’Indonésie et 1000 de Malaisie. « Le tourisme entrant en Israël apporte une énorme contribution économique et aux relations publiques israéliennes, » a déclaré le ministre israélien du Tourisme Yariv Levin . « Je suis convaincu que nous allons continuer à observer une tendance à la hausse du nombre de touristes à la fin de l’année avec un nouveau record « , a-t-il affirmé en ajoutant que les excellents chiffres d’octobre « qui se poursuivent depuis deux ans sont le « résultat direct » du « travail acharné accompli au ministère du Tourisme ». Source : i24News
La Commission de la fonction publique a informé les hôpitaux publics qu’ils pouvaient recruter des médecins déjà à la retraite pour tenter de remédier à la pénurie de professionnels de la santé. Le gouvernement a décidé de prendre des mesures extraordinaires à la suite de centaines de problèmes relatifs au personnel médical non surveillé: la Commission de la fonction publique a autorisé les hôpitaux publics à recruter des médecins à la retraite pour les services qui souffrent de pénurie de professionnels – et à les employer jusqu’à leur 80ème anniversaire. La solution à la pénurie de médecins, recruter des centaines de retraités Dans une lettre adressée aux directeurs des
hôpitaux publics il y a deux semaines, le responsable du ministère de la Santé, Yoni Ducan, leur a expliqué que pour faire face à la difficulté de recruter des médecins dans diverses professions médicales, la commission autorise les hôpitaux à recruter et à intégrer les médecins de tous âges, y compris ceux déjà en retraite. Les médecins à la retraite sont censés aider les administrateurs d’hôpitaux à pourvoir les postes vacants dans les professions médicales souffrant de pénurie aiguë, notamment en psychiatrie pour adultes et pour enfants et en gériatrie… Les hôpitaux ont annoncé qu’il s’agissait d’une solution temporaire. Source: themarker
Le « Centre national de lutte contre la violence »
Le ministre de la Sécurité intérieure et des Enjeux stratégiques Guilad Erdan a assisté à l’inauguration du nouveau Centre national de lutte contre la violence sur Internet. Il était accompagné du commandant de la police Rony Alsheikh et du chef du Département des enquêtes et des renseignements Gadi Sisso. Cette cérémonie s’est déroulée à la veille de la Journée internationale des droits de l’Enfance. Parmi les innovations de ce centre, un standard téléphonique, le 105, qui fonctionnera jour et nuit et sept jours sur sept, et qui sera en coordination constante avec tous les acteurs professionnels dans ce domaine. Ce modèle constitue une première mondiale. Y seront connectés en permanence des
spécialistes de la police, de la sécurité intérieure, de la santé physique et mentale, de l’éducation, des affaires sociales et du monde judiciaire. Dans son intervention, Guilad Erdan a évoqué les dangers auxquels sont confrontés les enfants dans le domaine de la violence sur Internet: “Un enfant sur trois en Israël est exposé à ce fléau par la diffusion d’images agressives, de photos indécentes, de techniques d’appât, de chantage ou de harcèlement sexuel. Afin de lutter contre ce phénomène, nous avons décidé de créer ce centre national qui sera désormais l’adresse de tous les citoyens à tout moment. Il s’agit d’un système qui sauvera des vies”. lphinfo.com/
ISRAËL
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Création en Israël d’un comité pour Le biberon révolutionnaire de combattre la violence domestique Ayal Lanternari
Des milliers de femmes israéliennes ont observé mardi une grève générale et défilé à travers le pays afin de protester contre les violences faites aux femmes, exigeant davantage d’actions et de moyens de la part de l’Etat.
Un grand rassemblement a réuni mardi soir plusieurs dizaines de milliers de manifestants dans le centre de Tel-Aviv, selon les médias israéliens. La grève a été décidée après les meurtres de deux jeunes filles de 13 et 16 ans la semaine dernière, portant à 24 le nombre de femmes et jeunes filles tuées cette année en Israël par des hommes de leur entourage, selon la même source. Des manifestations ont eu lieu dans plusieurs villes du pays, des routes ont été bloquées et les manifestantes ont observé un moment de silence en mémoire des victimes. Une foule, principalement composée de femmes, s’est également réunie aux abords de Jérusalem, sur une route badigeonnée de peinture rouge, pour représenter le sang des victimes.
« Bibi, réveille-toi, notre sang n’est pas sans valeur », ont scandé les manifestantes, en référence au surnom du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Dimanche, M. Netanyahu a annoncé la création d’un comité pour combattre la violence domestique alors qu’il visitait un centre d’accueil pour femmes battues. « Nous allons réunir le comité de temps en temps », a-t-il promis, « afin d’offrir un meilleur futur et de l’espoir à ces femmes ». Mais certaines voix dans l’opposition dénoncent le manque de financements pour les mesures visant à lutter contre les violences faites aux femmes. « Tout est une question de priorité », a affirmé Ksenia Svetlova, députée travailliste, lors d’une audition parlementaire.
Selon elle, le gouvernement n’a pas transféré les 250 millions de shekels (59 millions d’euros) aux programmes déjà mis en place. « Les bureaux d’aide sont au bord de la faillite », a-t-elle ajouté. Source : Orange News
Un trésor de pièces d’or vieux de 900 ans découvert en Israël Un trésor de pièces d’or rares a été découvert dans le port antique de Césarée (nord d’Israël), probablement enfoui – et jamais récupéré – par son propriétaire pour le soustraire à la conquête de la ville par les Croisés il y a 900 ans. Des fouilles ont permis d’exhumer il y a quelques jours un petit pot de bronze renfermant 24 pièces d’or et une boucle d’oreille, placé entre deux pierres à côté d’un puits dans une ancienne maison, ont indiqué l’Autorité archéologique israélienne et plusieurs organisations impliquées dans la découverte. Les pièces, présentées lundi à la presse et datant de la fin du XIe siècle «permettent de lier le trésor à la conquête de la ville par les Croisés en 1101, un des épisodes les plus dramatiques de l’histoire médiévale de la ville», disent dans un communiqué les directeurs des fouilles, Peter Gendelman et Mohammed Hatar. «Quelqu’un a dissimulé sa fortune en espérant la reprendre plus tard, mais n’est jamais revenu», disent-ils. «Selon des sources écrites contemporaines, la plupart des habitants de Césarée ont été massacrés par l’armée de Baudouin Ier, alors roi de Jérusalem. Il est probable que le
propriétaire du trésor et sa famille ont péri dans le massacre, ou ont été vendus comme esclaves, et n’ont jamais récupéré leur or», ajoutent-ils. Selon Robert Kool, expert en numismatique pour l’Autorité archéologique israélienne, le trésor contient des pièces rares liées au règne de l’empereur byzantin Michel VII. Césarée, sur les bords de la Méditerranée, a été construite au 1er siècle av. J.-C par le roi de Judée Hérode 1er, nommé par les Romains. Les vestiges importants des époques romaine et médiévale font de Césarée l’une des attractions d’Israël. Le site est aussi le lieu de nombreuses découvertes: en 2015, 2.000 pièces d’or vieilles de 1.000 ans avaient ainsi été retrouvées par des plongeurs, le plus important trésor numismatique mis au jour en Israël selon l’Autorité des antiquités. Sources : La Tribune (Canada)
Rien de plus simple, il suffisait d’y penser. C’est même étonnant qu’il ait fallu attendre si longtemps pour qu’un papa, s’inspirant de la technique du « copiez-collez employée sur tous les réseaux sociaux », d’accoucher d’une idée : revoir la forme du biberon de bébé à l’identique du sein de maman,… et faire que le lait y chauffe plus rapidement d’une façon plus uniforme. L’histoire authentique. Un entrepreneur israélien Ayal Lanternari, alors nouveau père de famille, se trouve confronté à son bébé hurlant pendant dix longues minutes dans l’attente que le lait arrive à bonne température. Il imagine alors ce nouveau concept que nous avons décrit. Et c’est ainsi que naquit la Société « Nanobébé ». Le biberon révolutionnaire Presque aussitôt le biberon révolutionnaire connut un franc succès, vendu en ligne avant que d’être réclamé par des magasins
comme Target et Bed, Bath and Beyond. Depuis Ayal & Kehat (un ami entrepreneur) ont élargi leur gamme de produits et inclus notamment un bol chauffant de haute technologie, des sucettes souples et d’autres articles pour bébés. S’en suivit le besoin de se joindre à des designers pour les mieux mettre en valeur … Aujourd’hui, bien qu’elle ait toujours son siège à Tel Aviv, la Sté « Nanobébé » vient d’ouvrir un centre de distribution à Charleston, en Caroline du Sud… Et espère bien qu’à partir de janvier 2019, l’entreprise bénéficiera d’un nouvel élan plus important encore : 1 215 magasins Walmart réclament à leur tour de vendre ces produits. Mis en valeur en première de couverture il est présenté comme l’une des meilleures inventions de 2018 par le magazine Time, complètement dithyrambique à son sujet www.coolamnews.com
Produits alimentaires. Croissance des importations françaises en Israël Un rapport de 2017 de Business France sur le secteur de la distribution alimentaire en Israël fait état d’une augmentation de près de 15 % des exportations françaises en Israël, tous services et produits confondus, entre 2014 et 2015. Par ailleurs, cette tendance à la hausse se poursuit également ces dernières années. Ce sont, du reste, les exportations de l’industrie agroalimentaire (IAA) qui se distinguent depuis 2015, avec un véritable bond de près de 31 % sur 2014-2015, avec un total de plus de 126 millions d’euros. « Depuis 2015, nous avons enregistré une grosse croissance des importations françaises en Israël, liée aux premières opérations en magasins que Business France a organisées. Une première opération a eu lieu en 2015 avec les magasins Mega, puis, de-
puis 2016, avec l’enseigne Sufhersal, dans le cadre de la semaine de la gastronomie française en février », explique au Times of Israël Déborah Modiano, conseillère export responsable du pôle Agro Tech au sein de Business France. Business France est le « département commercial au sein de l’ambassade de France en Israël ». Sa mission est notamment d’« aider au développement international des PME et ETI, et de leurs exportations, et de promouvoir l’attractivité et l’image économique de la France, de ses entreprises et de ses territoires », d’après le site Internet de l’agence. https://fr.timesofisrael.com
ISRAËL
Edition du 12 au 18 Décembre 2018
En Israël, un parfum de vanille sur le site de l’Armaggedon
Un ensemble de jarres funéraires, déposées en offrande dans une tombe découverte sur le célèbre site de Meggido*, au-dessus de la plaine de Jezreel, l’ancienne plaine d’Esdraelon, dans le nord d’Israël, vient de livrer un très ancien secret. En analysant les résidus de produits qu’elles contenaient, les archéologues ont en effet eu la surprise d’y déceler… des traces de vanille ! Alors que les recherches établissaient jusqu’alors l’origine de cette épice… au Mexique. « Nous ne nous attendions pas à une telle découverte au Levant il y a 3600 ans! », commente le directeur du site Israël Finkelstein, archéologue de l’Université de Tel Aviv, joint par Sciences et Avenir. De quoi réécrire l’histoire de cette épice. C’est en 2016 que les archéologues israéliens avaient mis au jour cette importante sépulture d’une famille de haut rang dans l’extraordinaire cité de Meggido occupée depuis près de 7000 ans. Là où le Livre de l’Apocalypse dans la Bible, situe l’Armageddon, la bataille de la fin des temps. À l’intérieur d’une chambre funéraire voû-
tée datée de 1600 avant notre ère, neuf personnes étaient étendues, parmi lesquelles trois individus entourés de parures précieuses – dont un torque en or – et cet ensemble de jarres. Ce sont des analyses réalisées par chromatographie et spectrométrie de masse sur ces poteries qui ont permis de déceler deux des principaux composants chimiques de la vanille. Ce qui remet en question l’histoire de cette plante dont les archéobotanistes situaient jusqu’alors l’origine dans les Amériques. Maintenant, il est désormais vraisemblable que l’on ait su extraire ces substances aromatiques à partir d’autres espèces quelques siècles plus tôt. Selon Vanessa Linarès, archéologue à l’Université de Tel Aviv, une variété de cette épice a pu atteindre Meggido par l’intermédiaire d’ itinéraires commerciaux qui ont existé bien des siècles avant que ne déferlent sur la région les Assyriens, ou encore les Perses. Source : Sciences et Avenir
Le coût d’un abonnement Netflix est-il cher en Israël ?
Les utilisateurs de Netflix en Israël paieraient davantage pour regarder moins que leurs homologues canadiens, américains et européens, selon un rapport publié lundi par la société de comparaison de prix à la consommation basée au Royaume-Uni, Comparitech Ltd. Comparitech a interrogé 76 des 190 pays dans lesquels le service de diffusion Netflix est disponible et a comparé le prix mensuel d’un forfait de base et le nombre de titres disponibles dans le pays. Israël s’est classé 13e avec un prix mensuel de 29,90 shekels (environ 8 dollars) avec 4 951 titres proposés, ce qui se traduit par un prix moyen de 0,00164 dollars par titre.
Le prix par titre aux États-Unis, qui se situe au septième rang, est de 0,00137 $ et de 0,00141 $ au Royaume-Uni, qui se classe au neuvième rang. Le Canada arrive en tête avec une bibliothèque composée de 5 561 titres à un prix moyen de 0,00124 $ par titre. Comparitech a également comparé le coût annuel d’un abonnement Netflix par rapport au salaire annuel moyen du pays. Cela ne représente que 0,17% au Canada mais 0,28% en Israël. Le Pakistan, l’Inde et les Philippines sont les pays où le service représente la plus grande part du salaire moyen, soit respectivement 5,42%, 4,56% et 2,99%. Tel-Avivre – source Calcalist
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Croissance du nombre de juifs inhumés en Israël et venant d’Afrique du Sud C’est une scène devenue familière dans les cimetières d’Afrique du Sud. La population n’en finit pas de croître et la place manque. Alors les fossoyeurs n’ont pas d’autre choix que d’y inhumer les morts dans les tombes existantes. ce n’estdonc pas un hasard si de nombreux juifs de ce pays (environ 70 000 personnes) préfèrent se faire enterrer en Israël. Selon (1) : « Dans les cimetières de la plus grande ville du pays Johannesburg, 45 à 60 sépultures sont ainsi rouvertes chaque semaine. Les autorités locales s’en inquiètent, au point d’envisager de rendre les incinérations obligatoires. « Nos cimetières étouffent. C’est le résultat des très forts mouvements de population, aussi bien internes qu’externes, qui affectent Johannesburg », constate, fataliste, Reggie Moloi, responsable municipal du secteur. La situation des autres grandes villes n’est guère plus enviable. Sur les rives de l’océan Indien, Durban (nord-est) a tiré la sonnette d’alarme de la surpopulation funéraire il y a déjà une dizaine d’années. Au début des années 1990, les violences politiques qui ont accompagné la transition de l’apartheid à la démocratie et les ravages
de l’épidémie de sida ont considérablement accru la mortalité dans la capitale de la province du KwaZulu Natal. « Nous avions alors constaté que les cimetières se remplissaient très vite et que (…) nous allions manquer rapidement de place », se souvient Thembinkosi Ngcobo, responsable des parcs pour la municipalité d’eThekwini, qui inclut Durban. Les craintes se sont depuis confirmées. Et les familles de l’agglomération sont menacées de se voir fermer la porte des cimetières municipaux au nez. « Nous sommes confrontés à un sérieux problème », résume, inquiet, Thembinkosi Ngcobo. « Des cimetières pleins » « La situation est grave et difficile à comprendre par le citoyen moyen et les décideurs qui, à la vue des grands espaces inoccupés de notre pays, présument que nous disposons encore de beaucoup de place », abonde Denis Ing, vice-président de l’Association sud-africaine des cimetières. La crise a forcé les autorités locales à réfléchir en urgence à des alternatives innovantes ». (1) //fr.news.yahoo.com/
Faciliter l’obtention de crédits pour un 1er achat immobilier
Le ministère israélien des Finances travaille sur une nouvelle réglementation destinée à faciliter l’obtention de crédits pour un premier achat immobilier. Un crédit immobilier jusqu’à 90 pour cent du prix du bien doit permettre à des primo-accédants de réaliser leur rêve. Comme mentionné dans le journal Yedioth Ahronoth, les jeunes couples pourront ainsi financer un achat jusqu’à 1,3 million de shekels (environ 310 000 euros, 350 000 CHF). Toutefois, en Israël on peut, pour ce prix, tout au plus acheter un petit appartement loin du centre. Jusqu’ici, afin de juguler la hausse de l’immobilier, la Banque centrale israélienne établissait pour règle que le crédit ne pouvait
dépasser 75 pour cent du montant du bien. Il s’est révélé que cette tactique ne conduisait pas au résultat escompté. En raison des faibles taux d’intérêt, les prix de l’immobilier ont plus que doublé en dix ans. Le prix moyen d’un bien est actuellement de 1,5 million de shekels (environ 360 000 euros, 410 000 CHF). Les Israéliens sont nombreux à vouloir acheter, notamment en raison du fait que les locataires sont peu et mal protégés contre les hausses de loyers et contre l’incurie de certains propriétaires lorsqu’il s’agit de faire effectuer des réparations ou les rénovations indispensables. SOURCE: Groupe Israël-Suisse
POLITIQUE
Edition du 12 au 18 Décembre 2018
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Benett accuse Bibi : « C’est un acte Ami de Bibi Netanyahou, Salvini (Italie) en Israël pour ignoble et lâche. Honte à vous » une visite de 2 jours
En s’adressant au premier ministre israélien, Naftali Bennett, a lancé: « Vous avez essayé de blesser ma femme ». Le président israélien Rivlin ne rencontrera pas Mattéo Salvini, le ministre de l’intérieur et leader de l’extrême droite italien qui arrivera mardi en Israël pour une visite de deux jours. En Mai 2018 dans LPH : « Si Matteo Salvini joue sur les sentiments anti-immigration qui grandissent en Europe, il a choisi de s’aligner sur les positions très pro-israéliennes de certains partis de l’extrême droite européenne tels que le Parti de la Liberté aux Pays-Bas ou le FPÖ “nouvelle version” en Autriche. Lors d’une conférence de presse à propos de l’Europe et de l’immigration, Matteo
Salvini a été interrogé par un journaliste sur ses positions face à Israël. “Je suis un ami et un frère d’Israël” a répondu le candidat. Il a rappelé son voyage en Israël en 2016 et rajouté: “J’éprouve une grande estime et un profond respect pour la force de résilience d’Israël qui vit dans une région aussi difficile”. Il a également annoncé que s’il arrivait au pouvoir, il modifierait la politique de l’Italie vis-à-vis d’Israël dans les institutions internationales et qu’il reconsidèrerait l’aide financière italienne à des institutions telles que l’Unesco “qui se plaît à attaquer Israël”. “Avec moi, cela ne marchera pas”, a conclu le président de la Ligue du Nord ».
Mercredi soir, Bennett, a accusé le premier ministre Benjamin Netanyahou d’avoir demandé à Shaul Elovitch, patron du site d’information Walla!, d’avoir publier un article selon lequel la femme du ministre de l’éducation Gilat Bennett, aurait travaillé comme Chef dans de nombreux restaurants non casher… Le journaliste Amit Segal a cité mercredi soir un proche collaborateur de Shaul Elovitch qui affirmait que Netanyahou aurait formulé une demande inhabituelle à Elovitch comme « publier un article sur le fait que Gilat, l’épouse de Bennett, avait travaillé comme Chef dans des restaurants non ca-
sher », à l’époque où le couple vivait à New York en 2002. Furieux, Naftali Bennett, sur les médias sociaux, a demandé à Netanyahou de s’excuser auprès de sa femme: « Je suis choqué M. Netanyahou que vous avez personnellement pris la peine d’appeler le propriétaire de Walla! pour blesser ma femme », a écrit Bennett. « C’est un acte ignoble et lâche. Honte à vous. » « J’ai épousé Gilat, une femme merveilleuse, une israélienne issue d’un foyer séculaire avec des valeurs, et ensemble nous avons construit un merveilleux foyer religieux sioniste. Ma famille est la fierté de ma vie. Ne vous excusez pas, cela ne m’intéresse pas. Excusez-vous auprès d’elle », a-t-il ajouté. Source : tel-avivre.com