Israël Actualités n°41 - Edition israélienne

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GRATUIT - N°41 - Edition israélienne du 14 Mars au 20 Mars 2019

Journal israélien en langue française



ÉDITO

Edition israélienne du 14 Mars au 20 Mars 2019

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Alyah : derrière le regain d’intérêt, le malaise français…

Dimanche 9 mars a eu lieu, à Paris, le salon de l’alyah. Si ce rendez-vous organisé par l’agence juive attire, régulièrement, des publics très variés, pas forcément tous décidés à quitter la France dans l’année, on sentait, sur l’édition 2019, une agitation, une vigueur, qui en disent long sur le malaise français. Certes, un nouveau directeur, Ouriel Gottlieb a pris ses fonctions. Certes, on se doute que nombre de représentants associatifs ou institutionnels ont tenu à profiter de l’occasion pour venir à sa rencontre. Peut-être le temps clément, en ce début de mars, a-t-il aussi motivé quelques badauds moins passionnés qui n’auraient pas fait le déplacement sous une pluie battante ou par un froid de gueux. Mais il n’empêche. L’affluence au salon était digne des grands jours. Ou plutôt des années les plus noires. Il m’est avis que l’on n’avait pas vu autant de foules intéressées par l’installation en Israël depuis 2015, année tristement célèbre en matière d’attentats. Tous les jours, depuis le déclenchement du mouvement des gilets jaunes, un nouvel acte antisémite agite le territoire français. Cimetière profané, tags hideux rappelant des heures sombres, agressions, insultes… Etre juif en France exige soit d’être discret, soit d’avoir le cuir tanné. Car la haine prospère, elle s’exprime à visage ouvert et génère, souvent des réactions au mieux molles, au pire exaspérées. Si vous voulez désespérer de la nature humaine, lisez simplement les commentaires des internautes lorsqu’un média se fait l’écho d’un nouvel acte antisémite. Entre thèses complotistes, concurrences des racismes, agacement parce qu’on ne fait qu’en parler et ton revanchard évoquant la Palestine, tout le chapelet le plus nauséabond y passe. Et s’il existe des Français non juifs compatissants, qu’on se le tienne pour dit, ce n’est pas au sein des internautes qui commentent qu’il faudra aller les chercher. Consternante, cette détestation des juifs toujours aussi appuyée sur clichés et légendes complotistes où la magie noire le dispute au sordide, dans la veine du Protocole des Sages de Sion, faux tristement célèbre qui, encore aujourd’hui, nourrit l’essentiel de la haine, a eu raison des patriotismes les plus affirmés. Français, citoyens, fiers de l’être, de respecter les valeurs de la République et de la servir, nombreux sont nos coreligionnaires qui ont fini par plier : c’est désormais sur d’autres rives, sur un autre continent que Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France Directeur commercial France: Patrick Haddad : 06 42 22 17 56

s’écrira leur avenir.

Car soyons francs, si la classe politique, les élus, les forces de l’ordre font ce qu’elles peuvent pour montrer que la France, en tant que telle, n’est pas antisémite, le ferment de la haine, lui, est bien enraciné. Et les tentatives maladroites pour le déloger sans effet hélas. Je n’en veux pour preuve, cette manifestation après l’agression d’Alain Finkielkraut, qui n’a pas motivé foule. Il faut dire que nombre de juifs, dont nous sommes d’ailleurs, disons-le, n’avaient pas grande envie de se plirer à cette mascarade, au côté du parti socialiste, entre autres, grand ordonnateur de l’événement. Voir Olivier Faure qui conspuait l’Etat hébreu il y a à peine quelques mois, jouer les âmes éplorées sur le sort de ses compatriotes « israélites » donnait clairement la nausée. Non pas que ce monsieur soit antisémite. Juste bête à manger du foin, car il n’a pas compris, voire il fait semblant de ne pas comprendre qu’exciter la haine contre Israël en multipliant raccourcis et clichés est comme tendre des armes à ceux qui haïssent les juifs ici, maintenant. Nous juifs, soutiens d’Israël avons des raisons d’en vouloir, aux Iraniens, aux Syriens, aux Palestiniens, à tous ceux, qui, ici, là-bas, nourrissent la haine, alimentent la folie, torturent, décapitent et commettent les pires horreurs. Au nom d’Allah. Pour autant, il ne viendrait pas à l’idée d’un citoyen français, juif de tout confondre et d’assassiner, de décapiter, de brûler, le fils de son voisin musulman sur le chemin de l’école, ou une petite grandmère voilée, alors qu’elle se prépare un café ou regarde bien tranquillement sa télé. L’inverse, hélas, n’est plus vrai. Tout juif, quel que soit son âge ou son degré de soutien à Israël, est considéré comme coupable. Et donc bon à tuer. C’est la triste vérité imposée par l’infiltration de l’islam radical assorti de quelques mensonges médiatiques au sein de notre société. En France, comme ailleurs, on ne recule devant aucun ridicule, du moment qu’on peut accuser les juifs. Selon le Pakistan, les tensions avec l’Inde seraient causées par Israël. Et si plutôt, le gouvernement pakistanais, connu pour promouvoir l’islam intégriste et protéger les terroristes, en voulait à son voisin indien d’avoir noué des liens commerciaux fructueux avec l’Etat hébreu ? Mais revenons en France, et à notre triste constat. Il faudra partir. Un jour, bientôt. C’est, au vu de l’affluence au salon de l’alyah, la conclusion à laquelle sont arrivés nombre de nos compatriotes juifs. La Tuni-

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sie, la Lybie, l’Algérie, l’Irak ou L’Egypte. Tous les pays arabes nous ont jeté dehors, au milieu du siècle précédent. Aujourd’hui c’est l’Europe qui nous livre aux islamistes et nous montre la porte. Soit. Mais au vu de ce qu’est désormais le Maghreb et de ce qu’est devenu le Proche-Orient, la vieille Europe devrait s’interroger sur les conséquences de ce renoncement. Passons sur l’évolution sociologique, sur la façon dont la communauté musulmane la plus fermée a su, au cours des 30 dernières années, imposer ses mœurs, ses valeurs, sans pour autant accepter les valeurs de la République : charia, voile, homophobie. Les signaux sont alarmants. Il y a 50 ou 60 ans, nos grands-parents donnaient à leurs enfants des prénoms français. Pour respecter la France. En 2018, 20% des enfants nés en France avaient des prénoms à consonance arabo-musulmane. Dans 40 ans, que restera-t-il de la France gauloise ? Rien, si le clientélisme politique et l’afflux de pétro-dollars continuent à ce train.

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La preuve en est faite par le calendrier électoral : les municipales se préparent et dans les communes de banlieue francilienne, les partis musulmans sont à la manœuvre : encore balbutiants en 2014, ils sauront dans quelques mois, draguer un électorat séduit par leurs promesses. Au bien sûr, ils ne l’emporteront pas. Mais les édiles soucieux de conserver siège et privilèges, comme ceux qui veulent éjecter un rival sauront leur chanter la sérénade pour conclure alliances et compromissions. Si nous juifs de France, aurons à cœur de participer au processus électoral, c’est avec le cœur et la tête ailleurs que nous le ferons. Nos pères, sous l’égide de Moïse, ont quitté l’Egypte pour rejoindre la terre promise. Des siècles plus tard, c’est en « montant » vers Israël que nous accomplirons notre destin. Am Israël Haï Alain Sayada

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Danger à gauche

À partir de 2021, les Israéliens auront besoin d’un Visa pour voyager en Europe

A partir de 2021, l’Europe aura à décidé de renforcer sa sécurité , l’Europe a prévu d’imposer, à partir de 2021, des visas baptisés « ETIAS » (European Travel Information and Authorization System) pour les citoyens de 60 pays dans le monde, notamment les Etats Unis, l’Australie, le Brésil, le Canada, Hong Kong, Singapour, Taïwan et Israël. L’Union Européenne a annoncé que les citoyens de ces 60 pays souhaitant se rendre dans l’espace Schengen devront effectuer une demande de visa auprès d’un système de contrôle à compter de 2021.

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Pour en faire la demande, ils devront disposer d’un passeport valide, d’une carte de paiement et d’une adresse mail. Ils devront aussi répondre à plusieurs questions de sécurité de base sur différents sujets (drogue, terrorisme, passé criminel, emploi, voyages précédents en Europe…). L’ETIAS permettra à ses détenteurs de voyager dans les 26 pays de l’espace Schengen (22 membres de l’UE ainsi que l’Islande, la Norvège, la Suisse et Liechtenstein). Il sera aussi nécessaire pour les séjours au sein des 3 micro-états – Vatican, San Marino et Monaco – qui font de facto partie de Schengen.

Il existe en Israël une élite autoproclamée juridico-médiatique qui est convaincue d’être propriétaire du pays. Ainsi le système de cooptation par d’autres juges donne les résultats que nous savons sur l’influence gauchiste de la Cour Suprême et de ses malencontreuses décisions. Le respect initial dû au statut de juge a permis cet état de fait.

combats à Gaza à la destruction des tunnels terroristes. Il a participé aux cérémonies alternatives commémorant la mort des terroristes arabes en même temps que celles de nos soldats. C’est lui qui a déclaré être fier d’avoir risqué la vie de nos soldats pour éviter des dommages collatéraux à la population ennemie. L’ONU appréciera cette déclaration lapid-aire !

C’est également ce qui s’est passé dans l’état-major de notre armée. L’admiration, le respect et la dévotion que nous portons à notre armée et à son uniforme a permis l’établissement d’une nomenklatura militaire particulière. Un chef d’état-major nomme autour de soi ceux qui partagent ses vues et ses conceptions stratégiques.

Bien entendu il était opposé à ce qui fut entrepris par le gouvernement israélien une politique pour contrer les accords munichois de Vienne avec l’Iran. N’oublions pas que les derniers combats à Gaza menés sous son commandement ont terminé alors que les journalistes et commentateurs se demandaient qui était le vainqueur. Ils ont pris fin alors que les corps de deux de nos soldats sont restés entre les mains des barbares du Hamas.

Clémenceau disait que la guerre est une affaire trop sérieuse pour la confier à des généraux. On pourrait rajouter que la politique et la direction du pays sont des affaires trop sérieuses pour la confier aux militaires. L’expérience que nous avons des chefs d’état-major intronisés en politique est un désastre. Depuis le général Moshé Dayan qui a remis le Mont du Temple au Waqf, les chefs d’état-major entrés en politique n’ont pas brille par leur performance. Ainsi Lipkin Shahak ou Mitzna ont connu un passage météorique à gauche. Rappelons encore Rabin avec les dramatiques accords d’Oslo permettant aux terroristes arabes de ramener des milliers d’hommes armés avec le résultat des intifadas successives et les centaines de victimes juives. Est-il utile de rappeler la pitoyable présence de Ehoud Barak à la tête du gouvernement et sa promesse de céder une partie de Jérusalem à l’ennemi arabe. Mr Gantz a quant à lui, accumulé les erreurs inacceptables au cours de sa carrière militaire. Il était le commandant responsable alors qu’un soldat israélien perdait son sens au tombeau de Joseph. Il avait attendu conformément aux accords maudits d’Oslo que les nervis arabes viennent le sauver. Le soldat en est mort. Il était opposé pendant les

Cet homme qui est si fier d’avoir risqué la vie de nos soldats, prône le partage de notre Terre et représente un risque majeur pour l’avenir de notre pays. Il est évident que l’échelon politique a également sa part de responsabilité dans la nomination et les actions du commandant-en-chef de notre armée. Le moment arrive où se lève une nouvelle génération dont le but n’est pas de plaire à l’opinion publique occidentale mais seulement d’assurer le destin éternel d’Israël. Nos sages nous enseignent « de nous éloigner du mal et de faire le bien ». En conséquence éloignons-nous du gauchisme de Mr Gantz et de ses alliés arabes et donnons nos voix au camp sioniste national. L’un des représentants de la pseudo « élite » médiatique avait déclaré après la victoire de Monsieur Begin : « il faut changer le peuple ». Nous nous aimons le peuple et nous préférons changer cette pseudo élite. Jacques KUPFER Président Israel Is Forever


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Antisémitisme, antisionisme et israélophobie

Le mot de Torah Ne sois pas tel un animal ! L’antisionisme ? Je n’aime pas la chose, et je me méfie du mot. J’ai essayé sans succès de promouvoir le terme d’Israélophobie. P.A.Taguieff n’avait pas réussi à faire valoir « judéophobie » à la place du mot « antisémitisme » qui permettait aux amis des islamistes d’esquiver la critique par un grossier tour de passe passe sur les sémites. L’usage limité aux Juifs du terme « antisémitisme » a acquis ses lettres de noblesse ou plutôt de honte. Les prétextes n’y ont jamais manqué bien avant que ce mot n’apparût (1879). Le Président Macron a souligné que l’antisionisme est une manière codée d’exprimer l’antisémitisme. Dans le passé bien des Juifs ont été antisionistes, assimilationnistes, bundistes ou marxistes, ou bien attendant que le Messie les conduise à la Terre Promise. Ils sont devenus moins nombreux depuis que le XXe siècle a montré jusqu’où pouvait aller la haine contre les Juifs et la faiblesse des réactions des nations contre cette haine. Les Juifs antisionistes d’aujourd’hui, exhibés comme des trophées, sont les idiots utiles d’une idéologie dont les conséquences ne sont plus celles d’avant 1948. L’antisionisme est criminel car il ne vise plus à la disparition d’une idée, mais à la destruction d’un Etat, avec des conséquences humaines épouvantables. Quant à l’antisionisme « peace and love» qui suggère qu’un état binational de tous les citoyens serait possible dans la sérénité de tous, le simple examen de ce qui est et non de ce qu’on voudrait qu’il soit, prouve sa dangereuse inanité. Mais criminaliser cet antisionisme-là serait s’exposer à des contentieux sur la liberté d’expression aux effets très contre-productifs. L’antisionisme est la part émergée d’un état d’esprit plus largement répandu, l’Israélophobie. L’israélophobe accuse Israël de tous

les maux. L’Etat d’Israël a été reconnu par les instances internationales et a d’ailleurs contribué massivement aux avancées scientifiques, techniques et culturelles de ces 70 dernières années, en restant une démocratie vigoureuse. Il existe bien des pays contre lesquels un «progressiste » pourrait protester, ceux dont le passé recèle une épuration ethnique, dont les frontières sont arbitraires, ceux qu’ensanglantent des conflits communautaires ou des régimes dictatoriaux haineux ou fanatiques…..Comment ne pas penser que cette exclusivité de la stigmatisation, que UN Watch va dénoncer sur le plan politique à Genève dans quelques jours, est liée au fait qu’Israël est l’Etat du peuple juif, ce qui blesse l’orgueil des pays de la ligue islamique. La critique d’Israël facilite des alliances électorales ou politiques, c’est pour certains journalistes un viatique d’universalisme et un label contre le nouveau spectre d’islamophobie. Ce n’est pas sur des circuits nauséabonds d’Internet, mais dans les organes d’information «mainstream » que s‘est banalisée l’Israélophobie, qui n’est pas une simple critique des actions du gouvernement israélien. Liberté d’expression, mais ne pas laisser la désinformation, souvent organisée en sousmain, enfler les bataillons croissants de ceux qui, sous son influence se mettent à détester Israël, cet Etat qui « prend plaisir à tuer des enfants ». Pointer l’antisionisme comme ersatz de l’antisémitisme est excellent, le pénaliser sera difficile. Mais si l’on veut que les Juifs se sentent un avenir en France, et que la France ait un avenir où la vérité de l’information garde sa place, il faut aussi lutter contre la détestation pavlovienne d’Israël et ne pas laisser passer les « fake news » à son sujet sans réparation adéquate. Dr Richard Prasquier

Quand vous écouterez la lecture de la Torah de ce chabbat: la Parasha Vaykra, vous allez aborder un sujet en particulier — les Korbanot (offrandes). Un homme qui veut offrir un korban, apportera «de l’animal, du gros bétail ou du petit bétail»(Vaykra 1,2). Un des sacrifices était le korban Hathat. Un homme qui faute doit apporter un animal pour expier son attitude.

?c’est celui qui domine son penchant».

Si un homme péche pourquoi doit il apporter un animal ?

La Torah nous dit que l’on doit offrir le mouton qui se trouve en nous. Par exemple, à l’époque du Talmud les sages retardaient le moment de leur repas de deux heures, uniquement dans le but de briser la tentation. Notre génération est une génération de la largesse, et il est difficile de nous demander de beaucoup nous retenir, mais tout au moins il nous est demandé de réfréner la tentation a un certaine niveau. Au lieu de courir pour le repas et de manger comme un animal, on peut se sustenter d’une façon raffinée et paisible.

Le ‘Sefer Hahinouh’ explique que l’intellect distingue l’homme de l’animal, et lorsqu’un individu est séduit par les plaisirs de son cœur et trébuche — il se doit d’apporter un Korban, et ainsi ressentir qu’au moment de la faute il s’est comporté véritablement tel un animal. La Hassidout explique qu’en plus de l’apport de l’animal physique, l’homme se doit d’offrir l’animal qui se trouve dans son cœur. C’est l’âme animale, qui nous pousse a la bestialité et a une plus grande grossièreté. Dans l’âme animale elle même il y’a deux catégories – «du gros bétail ( taureaux) ou du petit bétail (moutons et chèvres)». La première catégorie c’est le taureau. Le taureau, par nature, est agressif et irritable, et au moment de sa colère il essaie d’encorner. Le caractère equivalent chez l’homme est la colère. Lorsqu’un homme se met en colère ( et a qui cela n’arrive pas..)il peut endommager, maudire et blesser son prochain, et même fauter pour «énerver» son Créateur. La Torah nous dit que l’on doit offrir le taureau qui se trouve en nous: Pour nous apprendre à nous contenir et dominer notre colère, comme les sages ont dit «qui est fort

La deuxième catégorie c’est le mouton. Le mouton n’est pas agressif et coléreux, mais serein et investi dans l’ingestion d’aliments pour ainsi en jouir. Le caractère équivalent chez l’homme c’est le profit et le plaisir. Un homme est attiré par les plaisirs de ce monde, et pour en tirer satisfaction il est même prêt a fauter ( «fauter par plaisir»).

On raconte a propos du Baal Chem tov qu’il a dévoilé une fois a ses élèves une vision étrange – un taureau habillé des habits de chabbat qui était assis a table et qui mangeait. Les élèves étaient étonnés .La signification de cette vision, comme le Baal Chem tov la leur a expliqué etait qu’il s’agissait d’un homme qui s’etait tellement investi dans ce qu’il mangeait qu’il en était devenu un ‘taureau’. Au prochain repas, mieux vaut s’approcher de notre assiette comme un ‘homme’. Chabbat Chalom RAV Meir Haiun 058 4877 012 Habadfrhadera.com Beth Habad Francophone Hadera


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Les dérives antisémites des partis de gauche anglo-saxons

Le debrief de la semaine par Jack-Yves Bohbot

Le pape préoccupé par la montée de l’antisémitisme A l’occasion d’une réception d’une délégation de l’organisation juive américaine AJC au Vatican, le pape François a déclaré sa préoccupation face à «la recrudescence barbare dans différents pays d’attaques antisémites» rappelant que, pour un chrétien, il s’agissait «d’un rejet de ses propres origines». Il a appelé à la «vigilance» face à un tel phénomène. La dégradation de la stéle était accidentelle La stèle marquant l’emplacement de l’ancienne synagogue de Strasbourg, dynamitée par les nazis en 1941, a été en fait heurtée accidentellement par un automobiliste qui faisait une marche arrière. L’examen des vidéosurveillances de la zone a permis d’identifier le responsable, un jeune homme âgé de 31 ans. Eurovision : Amir soutient Bilal Hassani Le chanteur Amir, qui avait terminé 6ème au concours de l’Eurovision en 2016, sera à Tel Aviv le 18 mai prochain pour assister à la finale 2019 : «C’est sûr, je serai à Tel Aviv à l’Eurovision. Je soutiendrai Bilal en personne» a-t-il récemment déclaré au Parisien.

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Rencontre au sommet au Bnai Brith Ce week-end, le président français du Bnai Brith Philippe Meyer recevait à Paris le président international de cette association, Charles Kaufman et une importante délégation venue des Etats-Unis. Carnaval belge antisémite Si les carnavals s’y mettent ! Celui de la ville flamande d’Alost a vu défiler au début du mois de mars un char caricaturant des Juifs orthodoxes, assis sur des sacs remplis d’argent et entourés de coffre-forts garnis de rats ! Dejà en 2013, un groupe avait défilé vétu de l’uniforme noir de la SS buvant du champagne et devant une affiche représentant des soldats allemands portant des bidons de Zyklon B… Un footballeur israélien invité à «partir en chambre à gaz» Après l’expulsion du capitaine israélien de l’équipe Ingolstadt, Almog Cohen, un internaute, supporteur de l’équipe adverse, a posté sur Twitter un message antisémite haineux, appelant entre autres le joueur à «partir en chambre à gaz». L’ambassadeur d’Israël en Allemagne ainsi que le président du club de football de l’internaute ont vivement condamné ce tweet injurieux et demandé des sanctions pénales.

Alors que le parti travailliste britannique n’en finit pas de se déchirer autour d’accusations d’antisémitisme, c’est maintenant au tour du parti démocrate américain de connaître en son sein une affaire d’antisémitisme qui le divise depuis plusieurs semaines. Il y a quelques jours, Joan Ryan, députée travailliste de la circonscription d’Enfiled North déclarait être «horrifiée, révoltée et en colère» par l’échec du Labour, parti travailliste anglais, à lutter contre l’antisémitisme dans ses propres rangs. Elle est la huitième députée à quitter le parti travailliste pour cette raison ! Aux Etats-Unis, est née récemment une polémique autour d’Ilhan Omar, nouvelle élue du Minnesota au sein de la Chambre des Représentants, l’équivalent de l’Assemblée nationale en France. Cette jeune femme née en Somalie est l’une des deux premières musulmanes à siéger au sein de cette assemblée à Washington. Elle est la seule élue du Congrès à porter le voile islamique. En février, la nouvelle élue démocrate dénonçait l’attitude de certains de ses collègues qui soutiennent Israël dans l’espoir de récolter en retour des fonds de campagne. Après s’être excusée, Ilhan Omar, imperméable aux attaques, récidivait au début du mois en insinuant que des collègues de confession juive plaçaient les intérêts d’Israël avant ceux de leur propre pays, relançant le vieux procès de double allégeance que l’on fait depuis des siècles à tous les juifs dans le monde. Cerise sur le gâteau, Ilhan Omar et Rashida Tlaib, l’autre élue musulmane à la Chambre des Représentants, ont annoncé leur soutien au BDS, organisation qui, comme chacun le sait, appelle dans le monde entier au boy-

cott économique, culturel ou scientifique d’Israël pour protester contre l’occupation des territoires palestiniens. Bernie Sanders, le leader démocrate, est venu au secours Ilhan Omar: «Nous ne devons pas faire d’amalgame entre l’antisémitisme et la critique légitime du gouvernement de droite de Nétanyahou en Israël». Donald Trump lui a répondu en estimant «honteux» » que les démocrates «ne prennent pas une position plus ferme contre l’antisémitisme». Reste que le parti démocrate largement soutenu par des générations de Juifs américains – comme aimait à le rappeler les romans de Philip Roth – risque de basculer dans l’antisionisme. Jack-Yves Bohbot



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Maguen David Adom : « Votre soutien nous permet, tous les jours, de sauver des vies »

Ilan Klein, délégué du Maguen David Adom en France dresse, pour Israël Actualités, le bilan de l’année 2018 et annonce les grands projets de l’institution pour 2019. Pleine de vie, de vigueur et d’initiatives, la vieille dame qu’est le MDA compte bien entamer la 3ème décennie du siècle en mode projets. Et ce dans un seul but : être toujours plus rapide et plus efficace, sur le terrain. Pour protéger la vie humaine. Entretien…

Peut-on faire, avec vous, le bilan de l’année 2018 ? Nous avons reçu plus de 2 millions d’appels, et avons réalisé plus de 800 000 interventions en 2018. Nous sommes désormais, en Israël, la première force d’intervention en cas d’urgence médicale, avec 600 scooters médicalisés. Nous avons aussi mis en place 200 vélos médicalisés. Un très beau projet soutenu par la communauté française. Ce sont ces véhicules, ces initiatives qui nous permettent d’intervenir très rapidement sur le terrain. Nous sommes aussi en plein développement de nouveaux liens avec la banque nationale du sang, avec le standard national afin d’être toujours plus performants et rapides sur les lieux où nous sommes appelés. Comment fonctionne le Maguen David Adom, concrètement ? C’est simple, il n’y a qu’un seul chiffre à retenir : le 101. C’est le numéro à appeler et que tout Israélien connaît, pour joindre le MDA en cas d’urgence médicale. Pour ce qui est du fonctionnement de l’institution, ce qu’il faut retenir c’est que le Maguen David Adom est une organisation non gouvernementale, financée en grande partie grâce aux dons de la diaspora juive. Notre cadre légal date de 1950. Nous fonctionnons comme une ONG et finançons, par le biais de ventes de produits et services et de galas ou d’appels au don, nos actions et nos interventions. Vous organisez, par exemple des stages de secourisme, pour former le public aux bons gestes en cas d’urgence vitale ? Le département de formation du MDA forme chaque année 100 000 personnes. Ces stages vont du plus basique au plus technique : cela peut aller de l’enseignement de gestes qui sauvent pour un enfant en détresse, par exemple, à une formation beaucoup plus pointue à destination de mé-

decins. Nos formations se tiennent dans tout le pays et c’est une partie importante de nos objectifs, car plus le public est acteur, formé aux gestes à accomplir en cas d’urgence et plus il peut nous aider à intervenir et à sauver des vies. Vous avez aussi fait appel aux médecins français pour vous apporter leur concours. Pouvez-vous nous en parler ? Tout à fait : en 2012, nous avons créé une unité internationale du MDA. Venus de France, du Canada, des États-Unis, les médecins intégrés dans ces unités ont été formés et ils sont en mesure de partir en intervention avec le MDA en ambulance. Pour nous, ces médecins sont l’équivalent de réservistes. En cas de catastrophe, d’attentat, de guerre, ils peuvent renforcer immédiatement nos équipes. On le sait moins, mais vous intervenez également à l’extérieur des frontières israéliennes. Pouvez-vous nous parler des actions internationales du MDA ? J’ai, à titre personnel, participé à deux interventions internationales, en Haïti en 2010 et au Népal, en 2015. Partout dans le monde, Israël propose son aide, via le Ministère des Affaires Etrangères, en cas de catastrophe. Et lorsque le Ministère propose, le MDA est en première ligne pour intervenir. Vous avez même proposé de l’aide à des pays avec lesquels Israël n’a pas de relations diplomatiques... Exactement. L’intervention en cas d’urgence vitale n’obéit à aucune considération politique. Tous n’ont pas accepté ? Non, mais certains oui. L’essentiel est de faire, de sauver des vies. Ce que nous avons fait discrètement… Parlez-nous de deux projets stratégiques

pour l’Etat d’Israël : la banque du sang et le centre de simulation. La banque du sang est effectivement un projet stratégique pour le pays. Nous voulons construire au sein de la ville de Ramlé, une banque du sang nationale qui servira aussi bien aux civils qu’à l’armée. La banque du sang existante est vétuste, petite et loin de couvrir les besoins. La nouvelle infrastructure verra le jour prochainement, dans les trois ans, je pense, les travaux avancent vite et nous en sommes très contents ! Quant au centre de simulation, il s’agit d’un lieu qui permette de former nos équipes, conducteurs, ambulanciers et autres à arriver le plus rapidement possible sur les lieux d’intervention, mais aussi à arriver en toute sécurité. Un centre de simulation, c’est un lieu vital, car cela permet de délivrer un enseignement très pratique : simulateurs de conduite d’ambulance, simulateurs d’appareils médicaux. Tous ces équipements mettent les intervenants dans les conditions du réel et ils représentent un atout crucial.

Le centre doit ouvrir prochainement à Jérusalem. Quels sont, aujourd’hui, les besoins du MDA et quel est votre message aux juifs de France ? Les besoins quotidiens du MDA sont les ambulances, les scooters médicalisés etc. Mais nos projets ont pris de l’ambition. Le soutien indéfectible de la diaspora nous a permis de réfléchir plus grand, de mettre en place les projets que nous venons d’évoquer et donc, simplement d’être toujours plus efficaces, toujours plus rapides. Je voudrais, à ce titre, remercier les juifs de France pour leur aide. Sans eux, ces grands projets n’existeraient pas. Nous serons amenés à nous revoir, à faire appel encore une fois, à votre générosité à votre aide. Et ce dans un seul et unique but : sauver des vies… Israël Actualités


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Savoir raison garder

Un minimum de respect envers le judaïsme nous donne à réfléchir. Si l’on fait preuve d’honnêteté, on voit bien que personne, ne peut prétendre être l’artisan de la formidable réussite et de la plus formidable encore avance d’Israel sur le plan international. Bien sûr, il se trouvera toujours des individus qui penseront qu’ils sont les plus forts et qui s’en vanteront. Mais un minimum de modestie est de mise. Reconnaissons ce que nous devons à la Providence. Aussi, quand un homme, tout grand militaire qu’il fut, et même si les erreurs qu’il a commises appartiennent au passé, et que plus personne n’y pense, Nous sommes stupéfaits que cet homme, candidat à la magistrature suprême, puisse caracoler en tête ou en second dans les sondages. Je revois en 2005, la satisfaction des sympathisants du désengagement de Goush Katif. Tous les arguments étaient bons. Les uns disaient: « On ne peut pas continuer comme ça. » D’autres que ça coûtait cher. Nous savons les conséquences. Nous nous garderons bien de les énumérer, mais après le départ, de ce petit paradis, que d’aucuns n’ont pas hésité à transformer en bases de lancement de roquettes, je revois la mine dépitée des sympathisants. Ils n’étaient pas les derniers à déclarer qu’on ne peut pas faire confiance aux arabes. Qui a oublié, les synagogues profanées? les écoles détruites? Les maisons transformées en lieu d’aisance, et même la mer, souillée? Que Benny Gantz veuille réécrire cette page noire de notre histoire, mais que cela reste lettre morte, passe encore. Mais que

certains citoyens, influencés par une presse perfide, acceptent de revivre la guerre des frères, votant pour une équipe qui ne cache pas qu’ils vont nous rejouer le Goush Katif. Va-t-on accepter de revoir des soldats de Tsahal, partagés entre la désobéissance et le délogement de familles entières.

Enfin et merci Bibi

Va-t-on revoir des familles entières délogées et jetées dans le Negev, occupant, dans le meilleur des cas, des caravanes, faute de subventions qui ne viendront jamais. Vat-on revoir l’élite de notre jeunesse, livrée à elle-même, s’adonner à la boisson, à la drogue et à la perversion. Serait-ce l’ambition envers un portefeuille, aussi glorieux serait-il, qui donnerait l’occasion à des hommes, de défaire ce que le Maître du Monde a scellé? Ces hommes qui ont mené des combats de titans, contre des pervers, tapis dans l’ombre, attendant la moindre faiblesse de notre part, iraient offrir un blanc-seing à un ennemi pernicieux? Que l’on soit croyant ou non, nous avons en mémoire le sort d’Ariel Sharon, ni mort, ni vivant. Ne donnons pas à Gantz, l’occasion de dresser des juifs contre d’autres juifs. Aux dernières nouvelles, l’homme gonflé à bloc, se révèle bouffi d’un air vicié, qui semble s’échapper de sa carapace, somme toute fragile. D’autant que la seule chance d’accéder à la plus haute marche du podium, pour Gantz eut été de s’allier les partis arabes. Quelle insulte pour nos soldats! René SEROR

Quel problème y’a t’il avec les arabes, au nom du ciel? C’est par cette question aussi naïve qu’hypocrite que l’animatrice de télé réalité, Rotem Sela a apostrophé le Premier Ministre d’Israel par le biais des réseaux sociaux, en l’occurrence Instagram. La réponse de Binyamin Neranyaou ne s’est pas faite attendre. - Israël n’est pas l’état de tous ses citoyens. Selon la loi état-Nationale que nous avons adopté, Israël est la nation du peuple juif uniquement. On aurait envie de hurler: -Enfin!!! Un homme qui a le courage de ses convictions. Lassés que nous sommes de cette gauche « tout le monde il est beau... tout le monde il est pareil!!! »

Les arabes nous ont chassés, de Pays où nous étions présents depuis 2000 ans, dans l’indifférence totale. Les pays du golfe refusent l’entrée aux juifs, sans aucune protestation. Quand un pays arabe nomme un ministre juif, d’abord c’est dans son intérêt, mais en plus le ministre en question devient un véritable ambassadeur de ce pays. Mais les partis arabes passent leur temps à mettre des bâtons dans les roues de nos dirigeants, à critiquer la politique du gouvernement. En clair, agissent comme des ennemis de l’intérieur. Une cinquième colonne. Alors, enfin et merci Bibi. Ta fraîcheur de ton nous fait du bien. René SEROR


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EDF, heureux de contribuer à Journée internationale de la la lutte pour le climat en Israël femme : Les Israéliennes engagées pour le climat

EDF Renouvelables a annoncél’an dernier la mise en service de cinq centrales solaires photovoltaïques en Israël. Situées dans le désert du Néguev, elles développent au total une capacité de 100 MWc* avec 307 400 panneaux couvrant près de 130 hectares. Quatre ont été emportés par un appel d’offres mi-2017 alors que celle de Mashabei Sadeh a été racheté à l’état de projet en 2017. » Les mises en service de ces centrales photovoltaïques permettent à EDF Renouvelables de conforter sa place de leader en

Israël où il exploite déjà plus de 25% des capacités renouvelables installées. A travers sa stratégie d’entreprise CAP 2030 à déployer en France comme à l’international, EDF est heureux de contribuer ici à la lutte pour le climat en Israël, où il nourrit de fortes ambitions dans le solaire, le stockage, ainsi que l’éolien », commente Bruno Bensasson, directeur exécutif d’EDF en charge du Pôle énergies renouvelables et Pdg d’EDF Renouvelables. EDF Renouvelables exploite dix-sept centrales solaires (300 MWc de capacité) en Israël.

Le BNVCA indigné par l’horrible affiche annonçant la quinzaine antiraciste à Saint Denis

Le 21 février dernier s’est tenue la 3eme édition de Women4Climate à l’Hôtel de Ville à Paris. Sur invitation d’Anne Hidalgo, des centaines de femmes des 4 coins du monde étaient réunies autour des mêmes engagements : le climat, l’environnement et la sauvegarde de la planète. Le format de cette conférence a été initié par le C40 que préside Anne Hildalgo, rassemblant plus de 90 des plus grandes villes du monde pour prendre des mesures en faveur du climat. C’est ainsi que le C40 a accueilli Tel Aviv dans son programme C40 City Solutions Platform en 2018. La conférence s’est déroulée en présence de maires du monde entier invités pour l’évènement. Les maires de Tel Aviv et de Haïfa avaient fait le déplacement pour l’occasion. Women4Climate a pour objectif de donner de la visibilité aux femmes dans le secteur de l’environnement. Il s’agit de soutenir les femmes de tous secteurs dans leurs projets d’entrepreneuriat. Le point commun de ces femmes ? La nécessité de lutter contre le réchauffement climatique et mettre en place des structures plus propres et plus respectueuses de l’environnement.

Le BNVCA exprime le choc et l’indignation suscitées par l’horrible affiche collée mercredi 6/3/2019 sur les murs dans les rues de Saint Denis (93) montrant le visage caricaturé d’Hitler éructant,et portant un pin’s du drapeau tricolore français. Cette affiche est sensée faire la promotion de la « quinzaine anti raciste et solidaire proposée par un collectif d’associations du 17 au 30 mars. Si de nombreux événements sont programmés autour des questions de discriminations raciales,nous constatons que la Ville de Saint Denis, comme la plupart des villes dirigées par des élus communistes ou d’extrême gauche, leur lutte contre le racisme ne fait aucune référence à l’antisémitisme , à des causes, ses sources , ses auteurs ,ses conséquences.

Nous observons et regrettons que si de nombreuses associations sont invitées à participer aux événements aux débats aux conférence, aucune association juive de la commune ou du département, ni aucune organisation de lutte contre l’antisémitisme n’y sont conviées. Nous rappelons que le BNVCA a tout récemment déposé plainte contre un élu FG de Saint Denis, et réclamé au Préfet du 93 qu’il prenne des sanctions contre cet adjoint qui a tenu des propos racistes et appelé illégalement au boycott du chanteur français Enrico Macias de confession juive. Tous ceux qui prétendent lutter contre les discriminations sans prendre en compte l’antisémitisme tentent d’occulter le nouvel antisémitisme qui sévit depuis déjà 20 ans dans notre pays.

L’évènement accueillait le concours Women4Climate Tech Challenge qui permet aux femmes de présenter leurs projets aux maires des villes du monde entier. Parmi la centaine de candidatures, 6 israéliennes figuraient parmi les 13 finalistes, 4 projets israéliens ont été retenus. Le projet Airy de Shir Esh et de Liron Simon, le projet Solar Energy in the City de Yael Gilad et de Galit Shiff, le projet ECOncrete de Shimrit Finkel et enfin le projet Eco Wave Power de Inna Braverman. C’est à l’issu des délibérations qu’Inna Braverman, fondatrice d’Eco Wave Power a été annoncée parmi les lauréates. Inna Braverman est une entrepreneure et une femme d’affaires israélienne. Elle est

cofondatrice d’Eco Wave Power. Projet fondé en 2011 alors qu’elle a 24 ans, Eco Wave Power a pour objectif d’utiliser le pouvoir des vagues pour créer de l’énergie propre. Elle a développé un système de flotteurs qui peuvent être fixés aux structures marines existantes: digues ou jetées. Lorsque les vagues arrivent, elles créent un mouvement de va-et-vient entraînant une pression intense dans les cylindres hydrauliques qui font tourner un générateur, transformant ce mouvement en électricité. Inna Braverman est concernée personnellement par la question énergétique. Ukrainienne d’origine, elle est née 2 semaines après l’explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl et a souffert de problèmes respiratoires dus à la pollution que la centrale avait engendré dans la région. Grâce à son savoir-faire, Eco Wave Power a réussi à installer le premier réseau d’énergie houlomotrice à Gibraltar, et tend à s’étendre dans d‘autres pays. Consciente des enjeux climatiques et de la nécessité d’agir, ces Israéliennes ont réussi à penser l’énergie de demain, une énergie propre et respectueuse de l’environnement. Soucieuses de l’enjeu que le climat représente pour les générations futures, le nombre de finalistes israéliennes est représentatif de la volonté d’Israël de vouloir sans cesse innover dans les domaines des énergie de substitution et du développement durable. La participation de la ville de Tel Aviv-Yafo à la plateforme C40 City Solutions contribuera à faire perdurer le statut de la ville, leader en matière d’entreprises dotées d’un écosystème d’innovation.


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En France, une taxe nationale visant les géants du numérique lions d’euros en 2022, a précisé le ministre. Dans le viseur de cette TSN : la publicité ciblée en ligne, la vente de données à des fins publicitaires (pour éviter le contournement de la première activité) et la mise en relation des internautes par une plafe-forme.

La France a mis sur les rails mercredi une taxe nationale visant les géants du numérique faute d’avoir rallié l’ensemble de ses partenaires européens au projet, sans abandonner toutefois l’espoir d’arriver à une solution au niveau international, considérée par Paris comme seule efficace. Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a présenté en conseil des ministres un projet de loi instaurant une taxe de 3% sur le chiffre d’affaires numérique réalisé en France par les Google, Apple et autres Facebook (les « Gafa »). La taxe, rétroactive au 1er janvier de cette année, concerne une trentaine de sociétés. Cet impôt national concernera les entreprises réalisant un chiffre d’affaires numérique de 750 millions d’euros au niveau mondial et de plus de 25 millions d’euros en France.

Pour ne pas pénaliser les entreprises qui paient déjà leurs impôts en France sans recourir à l’optimisation fiscale, c’est-à-dire sans domicilier leurs bénéfices dans des filiales installées dans des Etats à très faible fiscalité, le montant de cette taxe sera déductible de l’assiette de l’impôt sur les sociétés (IS). Le projet de loi adopté mercredi en conseil des ministres devrait « passer en première lecture » au Parlement « au début du mois d’avril », a précisé Bruno Le Maire. « VERROUS LEVÉS » La France ne renonce pas pour autant à parvenir à terme à une taxation internationale des entreprises du numérique, « car j’ai bien conscience que redéfinir les règles fiscales ne peut se faire qu’à échelle internationale », a dit Bruno Le Maire. La France renoncerait alors à sa propre TSN.

La France avait imaginé à l’origine une taxe européenne mais elle n’est pas parvenue à convaincre quatre pays – Danemark, Finlande, Irlande et Suède. Or, l’unanimité est de rigueur au sein de l’Union européenne pour décider d’une nouvelle taxe.

A défaut de parvenir à convaincre les quatre derniers pays européens récalcitrants sur la TSN au niveau européen, le ministre français espère convaincre ses homologues européens qui se réunissent le 11 mars à Bruxelles d’adopter une position européenne commune à présenter au printemps à l’Organisation de coopération et de développement économiques, ce qui permettrait selon lui d’aboutir à une position commune de l’OCDE fin 2019.

Pour Bruno Le Maire, qui dénonce régulièrement le fait que les géants du numérique paient 14 points d’impôts de moins que les PME européennes – 23,2% en taux moyen au lieu de 9,5% -, il s’agit d’une « question de justice fiscale » – un thème d’actualité avec la crise des « Gilets jaunes ».

Fin janvier, 127 Etats et territoires sont convenus de revoir les règles de taxation pour répondre au développement des géants du numérique – mais aussi plus largement des entreprises multinationales – notamment la question de l’endroit où doivent être déclarés les sommes imposables.

« Ces géants du numérique utilisent nos données personnelles (…) font des bénéfices considérables sur ces données (…) et les rapatrient ensuite ailleurs sans payer leur juste part d’impôt (…) », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

La France peut désormais se prévaloir du soutien des Etats-Unis dans sa croisade pour la justice fiscale. Le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin, en visite en France la semaine dernière, a fait part de son soutien à une taxe digitale à l’échelle internationale, ainsi qu’à l’idée d’un impôt minimal sur les sociétés en général.

« QUESTION D’EFFICACITÉ » C’est aussi une « question d’efficacité des finances publiques », a-t-il dit. Les sommes levées permettront de continuer à financer écoles, crèches et autres services public, a ajouté le ministre. « Il faut taxer la valeur où elle se crée. Toujours plus de marge et toujours moins de taxe, c’est tout simplement impossible. » La taxe sur le numérique devrait rapporter 400 millions d’euros en 2019, 450 millions en 2020, 550 millions en 2021 et 650 mil-

« Beaucoup de verrous sont désormais levés », a commenté Bruno Le Maire. « C’est un pas en avant vers cette fiscalité du 21e siècle devenue désormais impérativement nécessaire. » (Myriam Rivet avec Simon Carraud et Danielle Rouquié, édité par Yves Clarisse) https://www.sciencesetavenir.fr/

16e édition du Festival du Film Français en Israël du 14 au 30 mars 2019

Le Festival du Film Français en Israël, conjointement produit par l’Institut français d’Israël et la société Eden Cinéma, se tiendra du 14 au 30 mars 2019 dans l’ensemble des Cinémathèques du pays (Tel Aviv, Jérusalem, Haïfa, Holon, Herzliya et Sderot) ainsi qu’au Globus Max d’Ashdod (Espace Francophone Ashdod), à l’Heichal Hatarbut Arik Einstein de Netanya et au Centre culturel de Savyon. Le Festival est soutenu par UniFrance Films, en charge de la promotion du cinéma français à l’étranger, par la Municipalité de Tel Aviv-Yafo et par l’Institut français. Les objectifs de ce festival sont de permettre aux publics israélien et francophone en Israël de découvrir ou redécouvrir le cinéma français contemporain en proposant une programmation éclectique de films récents ayant été salués par la critique ou plébiscités par le public. La plupart des films sélectionnés concourent pour de nombreux prix dans divers compétitions et festivals. Comme à son habitude, le festival est l’occasion de revoir quelques grandes œuvres du patrimoine cinématographique français, avec, cette année, un hommage tout particulier à l’auteur et compositeur de musiques de film Michel Legrand, disparu récemment.

Invité d’honneur du festival, Gilles Lellouche viendra présenter « Le Grand Bain », un film plébiscité par le public (4 millions d’entrées) et la profession avec 10 nominations aux César 2019 et le César du meilleur second rôle pour Philippe Katerine. Gilles Lellouche sera accompagné par les deux producteurs du « Grand Bain » et de « Pupille », Alain Attal (Trésor Films) et Hugo Selignac (Chi-Fou-Mi Productions). Ils seront en Israël les 18 et 19 mars prochains et assisteront aux projections du film « Le Grand Bain » à la Cinémathèque de Jérusalem le 18 mars, à 19h, et à la Cinémathèque de Tel Aviv le 19 mars, à 20h30. Comme chaque année, le Festival sera l’occasion de redécouvrir des classiques du cinéma français avec la projection de 3 films : « Paris nous appartient » de Jacques Rivette (1960), « Pépé le Moko » de Julien Duvivier (1937), avec Jean Gabin, et « Milou en mai » de Louis Malle (1990). En hommage à Michel Legrand, auteur et compositeur de certaines des plus belles et célèbres musiques de film, décédé le 26 janvier dernier, une projection exceptionnelle des « Parapluies de Cherbourg » de Jacques Demy dont il avait réalisé la musique sera programmé dans le cadre du festival. Michel Legrand avait, au cours de sa carrière, remporté trois Oscar pour son travail.


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Maximum d’Intox autour de Reverso, La Femme du Jour. La PDG de implanté avec succès en Israël Decathlon Israël, Louise Chekroun

Cette affaire de « Reverso » reprise par Le Monde (ci-dessous) est un modèle de Fake News. Les « journalistes » font du copié-collé de déclarations venant de blogs, histoire de raconter à toute vitesse des « news ». Le patron de Reverso, Theo Hoffenberg, qui connait parfaitement la Communauté juive et Israël, et a toujours marqué son admiration pour la « Israël StartUp Nation » au point de s’implanter à Tel-Aviv (Urban Place) est accusé sans ménagements. La polémique est ridicule, car il suffisait de signaler à Reverso le problème technique (réel) pour que la société réagisse. Faire croire une seconde que Reverso soit anti-israélien, raciste… est absurde et contre-productif. Des problèmes techniques voient le jour sans cesse lorsqu’on utilise des technologies et algorithmes complexes, comme cela est le cas de Reverso. Google, Facebook… font face sans arrêt à des bugs, corrigés très vite. (DR) Dans Le Monde : « Hitler était beaucoup plus gentil envers les juifs qu’ils le méritaient. » Tel est le troisième résultat qui s’affichait jusqu’à jeudi 28 février sur le site de traduction Reverso Context quand on lui demandait une traduction contextualisée, en français, du mot anglais nicer (« plus gentil »). L’expression much nicer (« beaucoup mieux ») donne, elle, en troisième résultat « Dachau était beaucoup mieux qu’Auschwitz ». Problème similaire quand on cherchait le mot jews (« juifs ») : parmi les phrases proposées contenant une traduction de ce mot s’affichaient « il y a trop de juifs par ici », « les juifs souillent le sang allemand », « c’est pourquoi les juifs sont si dangereux » ou encore « voici l’exemple ultime de comment les juifs contrôlent l’Amérique ». Des résultats qui ont provoqué la colère de la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra). Jeudi 28 février, elle a interpellé Reverso sur Twitter et l’a menacé d’éventuelles « poursuites pénales » : « Visiblement, il y a un gros problème chez Reverso avec des propositions de traduction trempées dans l’antisémitisme. Une réponse est attendue vite ! La Licra saisit sa commission juridique afin d’examiner si des poursuites pénales sont envisageables. » « Nous sommes désolés » Quelques heures plus tard, le compte Twitter de Reverso, sis en France, lui a répondu, expliquant que ces exemples seraient supprimés « d’ici un mois normalement » : « Nous sommes désolés, les exemples proviennent de livres, de films, et ne sont pas revus manuellement. Tous les exemples signalés incorrects seront supprimés de la prochaine version, d’ici un mois normalement. » Comment cela a-t-il pu arriver ? Il faut d’abord comprendre comment fonctionne Reverso. Pour proposer des morceaux de phrases dans deux langues, le service aspire

d’énormes corpus de textes disposant de plusieurs traductions. Les documents officiels européens, par exemple, sont une mine d’or pour un tel service de traduction, puisqu’ils existent tous dans chaque langue des pays de l’Union européenne. Mais Reverso s’appuie également sur d’autres corpus de textes disponibles sur Internet, comme le service l’explique sur son site : d’innombrables soustitres de films (par exemple, l’intégralité des sous-titres du site Open Subtitles), des livres, des brevets, des catalogues de produits… Or, explique au Monde le PDG de Reverso, Théo Hoffenberg, « si vous prenez un film comme Inglourious Basterds, par exemple, vous pouvez y trouver des phrases très dures. On pourrait aussi trouver ce type de phrases dans un livre expliquant : “Voici ce que certaines personnes soutiennent.” ». Résultat : celles-ci réapparaissent hors contexte sur Reverso. Pourquoi, alors, ne pas examiner ces textes pour retirer les passages qui, sortis de leur contexte, deviendraient problématiques ? « C’est impossible de les filtrer manuellement, on a plus de quatre-vingts combinaisons de langues et cent millions d’exemples [de courtes phrases] par langue », affirme le PDG. Un filtrage automatique existe bien pour les fautes d’orthographe les plus fréquentes, mais le reste est plus difficile à dénicher, souligne-t-il : « On se pose toutefois la question d’enlever tout ce qui contient des termes potentiellement polémiques. » Il juge « regrettables » les cas signalés par la Licra : « Normalement, ça ne devrait pas apparaître. » Théo Hoffenberg mentionne l’existence d’un bouton, lié à chaque résultat, permettant de le signaler s’il pose un problème : « Tous les trois mois environ, on supprime les exemples remontés qui sont incorrects. » Un délai qui paraît énorme à l’échelle d’Internet – tout comme le mois annoncé pour supprimer les résultats dénoncés par la Licra. « Ce n’est pas simple, il faut tout recalculer sur l’ensemble du corpus », plaide le PDG, qui assure qu’il ne s’agit pas d’une banale mise à jour. « Mais là on va essayer d’accélérer au maximum. » Résultat : Reverso a finalement réussi a se débarrasser, vendredi 1er mars, de quelques uns des exemples antisémites relevés par la Licra. « La plupart des animaux détestent les Noirs » Théo Hoffenberg précise que « des exemples comme celui de la Licra, il y en a eu deux fois en cinq ans à peu près ». Dans un tout autre registre, le site s’était déjà fait remarquer pour des résultats pornographiques en 2015. Il reste toutefois facile de trouver, selon les constatations du Monde, d’autres types de résultats problématiques avec différents mots-clés. En cherchant une traduction pour « les Noirs », Reverso Context propose par exemple « des faits connus : les Noirs emménagent, le crime augmente » ou « pour être honnête, la plupart des animaux détestent les Noirs ».

guré durant l’été 2017 à Rishon LeZion.

Durant les quatre premiers jours suivant son ouverture, le 29 août 2017, le magasin, dont seules les propres marques (Kalendji, Keshua…) garnissent les rayons, la foule n’a pas désempli les travées. Selon le site d’information Israel21c, Décathlon aurait ainsi accueilli 25 000 clients du 29 août au 3 septembre. Résultat : le magasin avait dû fermer ses portes le temps de se réapprovisionner. Un quatrième magasin Décathlon va bientôt ouvrir ses portes en Israël, au croisement des rues Rothschild/Allenby, dans le sud de Tel Aviv. Selon le journal économique israélien Globes, le magasin ouvrira à la place de l’ancien marché alimentaire qui a cessé ses activités. A Tel Aviv, « Decathlon loue une surface de 1 400 mètres carrés, nettement plus petite que son premier magasin en Israël, qui compte 3 100 mètres carrés, » détaille Globes. Ce premier magasin Décathlon a été inau-

« Lors d’une conférence de presse, la PDG de Decathlon Israël, Louise Chekroun, l’avait confirmé, rappelait ce magazine : « Les Israéliens nous l’avaient dit. Si vous avez l’intention d’être plus cher qu’en Europe, ce n’est pas la peine de venir. Nous avons décidé que ce ne serait pas le cas et que nous pratiquerions les meilleurs prix. » Promesse tenue et davantage. Depuis l’ouverture, des comparatifs effectués par les suppléments économiques locaux ont montré que plusieurs produits étaient moins chers qu’en Europe et surtout qu’en France : entre – 6 à – 10 % . https://fr.timesofisrael.com

La MDMA a été approuvée par le ministère israélien de la santé

Molécule de la famille des amphétamines, et principale actif de l’ectasy, la MDMA a été officiellement approuvée par le ministère israélien de la santé pour être utilisée à des fins thérapeutiques auprès de patients atteints de troubles de stress post-traumatique (TPST). Après des études réalisées sur l’usage de cette molécule psychostimulante, cinquante patients volontaires ont été désignés pour en faire l’expérience, au centre médical Rambam de Haïfa (Nord) et dans les hôpitaux psychiatriques de Be’er Yaakov (centre), Lev Hasharon (centre) et Beer-Sheva (sud). La prise de la substance accompagnera des séances de psychothérapie. Le traitement consiste en quinze séances menées par deux thérapeutes, un homme et une femme, et la MDMA sera administrée lors de trois rendez-vous. Classée en Israël comme « drogue dange-

reuse », son utilisation à des fins récréatives est illégale, mais pour la première fois, un gouvernement autorise son utilisation pour des raisons thérapeutiques. Des patients présentant les cas les plus graves pour qui les traitements traditionnels se sont révélés inefficaces seront autorisés à prendre le médicament sous une stricte surveillance. Près de 600 personnes ont été recensées en Israël, souffrant de stress post-traumatique, à la suite d’agressions diverses, de combats militaires, ou accidents de la route, et sont prêtes à participer à cet essai médical. Selon l’autorité américaine de la sécurité alimentaire et médicale (FDA), cette thérapie est « révolutionnaire », et les États-Unis devraient, eux, officiellement approuver le traitement en 2021. https://www.i24news.tv/


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Les couples de même sexe peuvent-ils avoir des enfants par substitution ?

La Jewish Agency for Israël est désormais la première institution publique israélienne à accorder des prêts à ses employés pour financer des services de maternité de substitution à l’étranger. La subvention est évaluée à environ 11 000 dollars.

juive, Isaac Herzog, a déclaré que l’organisation reconnaît « le droit de tout homme ou de toute femme d’exprimer son désir d’être parent et d’élever une famille, indépendamment de l’identité de genre ou de l’orientation sexuelle. »

Les homosexuels masculins auxquels la loi interdit le recours à des mères porteuses en Israël en sont les premiers bénéficiaires. Les employés vivant dans une communauté juive à l’étranger peuvent également bénéficier du système.

Cette décision intervient malgré le rejet en novembre dernier par la Knesset, d’un projet de loi qui autorisait (cf. Israël rejette la GPA pour les hommes célibataires et les couples homosexuels et En Israël, l’extension de la loi sur la gestation pour autrui votée « à pile ou face »).

Le président de l’exécutif de l’Agence

Sources: The Times of Israël

Seoul House, un restaurant Coréen à Jérusalem

Le petit restaurant Seoul House, caché dans l’étroite rue Chabad, dans un magnifique espace en pierre, associe un travail de menuiserie agréable dans un style oriental combinant bois brut et papier et pierre apparente, créant ainsi une sensation d’espace et de plaisir, même dans un lieu assez réduit. Le restaurant possède un certain nombre de tables standard et un coin avec une plateforme en bois surélevée, où vous pouvez manger comme en Corée, assis sur des futons (chauffés!) plutôt que sur des chaises.

L’expérience authentique ne s’arrête pas là et les couverts, composés de baguettes en métal et d’une cuillère, sont très similaire à l’original. Tout est écrit en hébreu, anglais et hengeul, l’écriture phonétique coréenne. Seoul House est remarquablement similaire aux restaurants populaires qui se trouvent en Corée du Sud et sert une variété de plats en conséquence. Sur le comptoir, où l’on commande et récupère les plats, on trouve des maquettes en plastique des plats servis par le restaurant, une sorte de réconfort pour les Israéliens qui découvrent les secrets de la cuisine coréenne et se demandent à quoi leur commande va ressembler. Une cuisine fidèle à l’original Parmi les plats servis au restaurant, le Kimbap, un sushi coréen légèrement plus grand que celui d’origine japonaise, contient du danmuji, un navet aigre rafraîchissant, qui donne une couleur différente au plat. C’est un excellent point de départ pour un repas. La deuxième star du restaurant est le Tacabuki, de petits rouleaux de pâte de riz gluante servis avec de la sauce piquante que le restaurant propose en trois versions: sucrée, salée, et épicée, qui parviennent à vaincre le froid de Jérusalem. Pour ceux qui ont encore faim après leur Tacabuki, vous pouvez commander des « nouilles de verre

» – un plat de base servi dans presque tous les restaurants populaires en Corée du Sud, ou encore un Bibimbap, un plat de riz cuit à la vapeur avec des légumes colorés disposés de manière spectaculaire autour d’un œuf au plat. Le plat est servi avec une sauce sucrée et épicée. Il est également important d’expérimenter la variété de cornichons coréens, le kimchi et le plus célèbre: les feuilles de chou en sauce rouge. Les plats servis sont excellents, mais il est recommandé à ceux qui ne connaissent pas la cuisine coréenne d’en goûter autant que possible, pour satisfaire leur curiosité et leur palais. Les personnes qui ont d’ores et déjà visité la Corée peuvent voir que les plats rappellent les petits restaurants surpeuplés de Séoul, malgré la nécessité de les adapter au goût israélien et aux exigences de cacheroute. De drôles d’anecdotes témoignent des difficultés rencontrées par la fondatrice du restaurant, une Coréenne convertie au judaïsme qui a suivi son mari, pour trouver le lieu qui convienne le mieux à un restaurant et pour obtenir des matières premières aussi authentiques que possible. « Nous espérons que, dans un proche avenir, nous pourrons améliorer le niveau de cacheroute et obtenir un label mehadrin », a déclaré l’une des employées. L’idée de créer un restaurant servant une cuisine populaire, savoureuse et accessible est une opportunité pour beaucoup, y compris pour ceux qui n’ont as le sens de l’aventure, et c’est sans aucun doute un message pour la ville de Jérusalem en général et la Vieille ville en particulier. Dernier conseil pour les convives: lorsque vous quittez le restaurant, repus et fatigué, faites bien attention en descendant les nombreux escaliers du quartier et marchez lentement et prudemment. Bon appétit ! Source : Israel HaYom

Ecouter gratuitement plus de 40 000 chansons israéliennes. C’est possible!

L’application „Shiri“, récemment lancée par le ministère de la Culture et des Sports et élaborée par la Bibliothèque nationale israélienne et l’entreprise Finjan à but non lucratif, permet d’écouter gratuitement plus de 40 000 chansons israéliennes. Les utilisateurs ne seront pas importunés par les publicités ce qui n’empêchera pas de rétribuer les musiciens, les labels et les compositeurs. „P.S. : Quand tu écoutes de la musique israélienne avec cette application, les artistes que tu apprécies sont mieux payés que dans le cas de toutes les autres

applications“ est-il précisé dans la notice accompagnant l’application qui est disponible à la fois sur iphones et sur téléphones android, mais seulement en hébreu. Lors de l’installation de l’application, il est demandé à l’utilisateur d’indiquer trois artistes israéliens et le choix des chansons se base au début sur les œuvres de ces trois chanteurs. D’Omer Adam à Static et Bel-El en passant par Arik Einstein, tous les musiciens israéliens de renom peuvent être écoutés sur „Shiri“. https://israelentreleslignes.com


JEUX

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