GRATUIT - N°68 - Edition israélienne du 4 au 10 Décembre 2019
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 4 au 10 Décembre 2019
La paille et la poutre, ou le culot des clientélistes
Cette semaine, je voudrais débuter cet édito par la fin, c’est-à-dire par ce qui m’a choqué, alors que je me mettais à ma table de travail pour écrire. Je viens à peine de lire les propos du Sieur Elie Semoun concernant Éric Zemmour. Et ils m’ont estomaqué… On a le droit de ne pas être d’accord avec Éric Zemmour. On a le droit de le trouver extrême sur la forme et même d’apporter des arguments s’inscrivant en faux de ses propos. Certains historiens ne s’en sont d’ailleurs pas privé, notamment sur le sujet de Pétain. Je ne pense pas, en revanche, qu’aller dans le clientélisme de bas étage, en ayant recours à l’insulte soit un droit. Comparer Éric Zemmour à Adolf Hitler, le dire « raciste et xénophobe » est facile, mais pathétique. Et pour pouvoir se le permettre, encore faut-il être irréprochable. Elie Semoun l’est-il, lui qui a entretenu et entretient toujours des liens avec la plus antisémite de toutes les âmes damnées de la société française en la personne de Dieudonné ? Combien de fois l’a-t-on vu remuer son petit popotin sur le siège d’un plateau télé, comme un vermisseau cherchant dans la terre un refuge pour se cacher, baissant les yeux par fausse pudeur, pour justifier que « oui, malgré les outrances de Dieudonné », ils restaient « amis ». Combien de fois, ce petit monsieur a-t-il esquivé les questions et plus encore les réponses, lorsque l’ensemble du corps médiatique lui demandait si fréquenter un tel personnage ne lui donnait pas l’impression d’être une trahison envers lui-même et les siens ? Je ne suis pas sûr, considérant ces faits, qu’il ait le droit de parler de ces sujets. Mais que voulez-vous, il faut bien vivre, et surtout faire venir dans les salles, un public pour l’écouter. Alors Elie se dit qu’en hurlant avec les loups, il se fera des amis chez les indigénistes, les islamistes, les gauchistes et autres idiots utiles de la société française, toujours contents de nous expliquer que l’islam et les musulmans, en France, sont en danger, alors que le pays compte, sur ces 7 dernières années, plusieurs centaines de morts, tous victimes du terrorisme islamiste. Et pour hurler avec les loups, il faut une figure de proue. Éric Zemmour fait bien l’affaire, dans ce domaine. Quel rapport y a-t-il entre un intellectuel aux propos controversés et un dictateur ayant industrialisé la mort de 6 millions de Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France Directeur commercial France: Patrick Haddad : 06 42 22 17 56
juifs ? Aucun. Si ce n’est qu’un mensonge ne peut devenir une vérité qu’à deux conditions : qu’il soit l’exact opposé de la vérité, et qu’il soit répété en boucle et par des milliers de gens. En hurlant avec les loups, Elie souscrit aux deux conditions… Souhaitons-lui, compte tenu du mal qu’il s’est donné, de parvenir ainsi à remplir ses salles de spectacle. Rappelons-lui également que si un jour, la vague antisémite prend de l’ampleur, il sera emporté comme nous. Même un juif honteux et clientéliste est un juif de trop pour les antisémites. Et puisque la haine et le racisme vous préoccupent tant, monsieur Semoun j’aimerais, moi, savoir ce que vous avez à dire concernant votre ami et ses acolytes, tels Soral, Faurisson ou Ramadan… Et puis, non, finalement. En fait, j’aimerais juste que vous vous taisiez ! Je voudrais terminer cet édito pour apporter mon soutien inconditionnel à madame Benattar et au journal Actualité juive. Depuis plusieurs décennies, « Actu J » est un pilier de notre communauté. Une voix qui a longtemps fait le lien entre les instances communautaires, les citoyens français juifs et la société française. Par son apport, médiatique, culturel, cultuel, Actu J a su rappeler à quel point l’identité juive était en partie constitutive de la société française. Bien sûr, je ne vous mentirai pas, chers lecteurs, en vous disant que la direction du journal comptait parmi mes amis, ni mes soutiens. C’est un fait, dans les moments difficiles, nous ne nous sommes pas toujours compris. Mais comme vous, comme d’autres, je ne souhaite à aucun média portant la voix de notre communauté de disparaître. La communauté juive est plurielle et sa diversité doit être illustrée par la vitalité de ses supports médiatiques. Non Actu J n’est pas mort ni en faillite, comme l’a annoncé une certaine presse sans moralité. Oui, le titre traverse une zone de turbulences. En mon nom, comme au nom de l’ensemble des membres de notre rédaction « Israël Actualités », je tiens à souhaiter à ce journal et à tous ceux qui se battent pour le faire vivre, au premier rang desquels sa directrice de publication, Lydia Benattar, chance et courage. Longue vie à Actu J, qu’il puisse encore, longtemps, nous informer ! Am Israël Haï Alain Sayada
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À LA UNE
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Le classement des 80 États Gideon Saar en Chef du Likoud ? Excellent pour l’opposition ! les plus puissants du monde. La place d’Israël ?
Une nouvelle étude de l’Université de Pennsylvanie aux États-Unis a effectué le classement des 80 États les plus puissants du monde. L’analyse est établie en fonction des données relatives à l’économie, à la défense et à la politique étrangère. L’étude a interrogé plus de 20 000 personnes de quatre régions différentes et les pays doivent répondre aux critères suivants : accords militaires, accords internationaux, influence politique, influence économique et leadership. Des pays tels que les États-Unis, la Russie et la Chine occupent les premières places. Israël se positionne à la huitième place pour la deuxième année consécutive, dépassant l’Arabie saoudite et la Corée du Sud. « De nouvelles recherches placent Israël à la huitième place parmi les pays les plus puissants du monde. Israël se classe aux côtés de puissances telles que les États-Unis, la Russie, la Chine
et le Royaume-Uni », a tweeté le ministère israélien des Affaires étrangères. The Spectator Index 2019: 1. US 2. Russia 3. China 4. Germany 5. UK 6. France 7. Japan 8. Israel 9. Saudi 10. S Korea 11. UAE 12. Canada 13. Iran 14. Switzerland 15. Australia 16. Turkey 17. India 18. Italy 19. Iraq 20. Singapore Source I24News
Le % d’hommes au chômage en Israël est tombé à 3,1%
Le taux de chômage en Israël est tombé à seulement 3,4%, soit le taux le plus bas depuis 1978, selon un rapport publié lundi par le Bureau central des statistiques. Selon les chiffres, le taux de chômage a diminué de 0,2% en octobre par rapport à septembre.
Le rapport montre également que le pourcentage d’hommes au chômage en Israël est tombé à 3,1% en octobre, contre 3,3% en septembre, alors que le taux chez les femmes était tombé de 3,9 à 3,7%. D’autre part, le nombre d’employés travaillant à temps plein (35 heures ou plus par semaine) a diminué de 0,3% en octobre par rapport au mois précédent, ce qui représente
une diminution d’environ 9.000 employés. Le rapport indique également que le taux de chômage des personnes âgées de 25 à 64 ans (80,1% de la population active israélienne) était de 2,9% en octobre, contre 3,2% en septembre. « Ce sont des nouvelles incroyables qui montrent une économie et une société fortes, » a déclaré le ministre israélien des Finances, Moshe Kahlon. « Nous continuons à mener Israël vers des exploits », a réagi le Premier ministre Benyamin Netanyahou. https://www.i24news.tv/
Gideon Saar (Likoud) a dit ne pas être inquiet des résultats d’un sondage qui indique qu’en cas d’élections, il réaliserait un score inférieur à celui de Benyamin Netanyahou. Les opposants aux Likoud ne souhaient qu’une chose: voir Saad face à eux! Seloni24News : « »Je viens seulement de commencer et (selon le sondage) je décrocherais déjà 26 sièges, tandis que celui qui est face à moi est au pouvoir depuis dix années consécutives », s’est-il défendu mercredi lors d’une interview à la radio militaire. L’ancien ministre de l’Intérieur a également affirmé que de nombreux membres du Likoud ont quitté le parti, et seraient prêts à revenir s’il en devenait président.
« Chaque membre du Likoud a ses amis et ses voisins, ils reviendront au Likoud si j’en suis président », a-t-il assuré. Si des élections avaient lieu aujourd’hui, le Likoud n’obtiendrait que 26 sièges si le parti était présidé par Gideon Saar contre 33 s’il était mené par Benyamin Netanyahou, selon un sondage publié mardi sur la chaîne israélienne, Channel 12. Dans les deux cas, la liste centriste Bleu Blanc se maintiendrait à la première place avec 35 sièges face à M. Saar et 34 face à M. Netanyahou. Gideon Saar a par ailleurs répété mercredi que selon lui, Benyamin Netanyahou qui a déjà échoué deux fois cette année à former un gouvernement, « n’aura pas davantage de chance en cas de troisième scrutin ».
À LA UNE
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Netanyahu et Gantz se rencontrent dans le but de former un gouvernement d’union
Alors qu’il reste un peu plus d’une semaine avant qu’Israël ne soit contraint de tenir un troisième tour d’élections en un an si aucun gouvernement n’est formé, les dirigeants de Blue and White et du Likoud restent déterminés à former une coalition avec un Premier ministre en rotation. Les chefs des deux plus grands partis politiques israéliens - Benjamin Netanyahu du Likoud et Benny Gantz de Blue and White devaient se rencontrer mardi soir pour tenter de nouveau de convenir des conditions d’un gouvernement d’union avant l’expiration de la période pendant laquelle ils peuvent le faire. Israël se dirige automatiquement vers son troisième tour d’élections en un an. Les deux hommes devaient se rencontrer au siège du ministère de la Défense à Tel-Aviv à 17 h 15 à la demande de Netanyahu. Les deux plus gros obstacles à surmonter pour parvenir à un accord sont de savoir qui serait le premier ministre dans un accord de rotation et si les membres des autres partis du bloc de droite de Netanyahu feraient également partie du gouvernement. Blue and White a clairement fait savoir qu’il tenait à la demande de Netanyahou de céder son bloc de 55 députés et de négocier uniquement au nom du Likoud. Netanyahu insiste également pour qu’il représente tous les partis de son alliance. Gantz a également déclaré qu’il ne ferait pas partie d’un gouvernement dirigé par un premier ministre mis en accusation. Le procureur général Avichai Mandelblit a annoncé le mois dernier qu’il accusait Netanyahu de
corruption, d’abus de confiance et de fraude dans le cadre de trois enquêtes distinctes. Netanyahu a appelé lundi Gantz à «profiter des opportunités historiques [pour] un gouvernement d’union». Il a déclaré: «J’ai déployé des efforts considérables pour former [un gouvernement d’union], car nous devons tirer parti de ces opportunités. Nous n’avons pas besoin de plus d’élections.» Mais le dirigeant bleu et blanc a déclaré qu’il n’accepterait pas de «compromis mis en scène» tant que le compte à rebours des nouvelles élections se poursuit. M. Gantz a également appelé lundi à Netanyahu pour mener des négociations sérieuses sur la formation d’un gouvernement. «Arrêtez le chronomètre et parlons du plan que j’ai proposé», a-t-il déclaré. «L’État devrait être dirigé par une personne capable de l’unir de l’intérieur et non par un gouvernement de transition illégitime dirigé par un suspect.» Gantz a ajouté: «Le vrai défi est la division et une peur grande et sans fondement de Dieu interdit la guerre civile. Contrairement à certaines, je ne veux pas entraîner Israël dans des élections plus coûteuses et inutiles. «Je comprends que dans le cadre du compromis, nous n’allons pas mettre en place le gouvernement de rêve que nous espérions. Je comprends que nous devrons accepter les compromis proposés mais nous n’accepterons pas de compromis étalé.»
Au pied du mur Parti comme une mobilisation contre les régimes spéciaux, puis contre la réforme du système des retraites, le mouvement syndical du jeudi 5 décembre s’est transformé en grève contre la politique économique et sociale du gouvernement. Tous les Français ont soigneusement coché sur leur agenda la date du jeudi 5 décembre, le premier jour d’une grève qui se veut nationale : certains partiront de très bonne heure pour tenter de prendre un des rares métros, RER ou TER circulant sans savoir à quelle heure ils rentreront de leur travail, d’autres s’adonneront au télétravail sans quitter leur domicile et enfin les derniers, sans solution, prendre un jour de congé ou de RTT ou se plongeront dans d’interminables embouteillages… Quant au gouvernement, il risque de se prendre le «mur du 5 décembre», comme l’a baptisé un conseiller élyséen. Les sondages sont paradoxaux : si 61 % des Français estiment qu’il faut harmoniser les différents systèmes de retraite – nous payons chaque année cinq milliards pour les régimes spéciaux - une même proportion 62 % - se dit solidaire de la lutte contre la réforme des retraites.
Va-t-on revivre ce qu’on a connu en décembre 1995, quand la France était paralysée par trois semaines de grève en réponse au plan Juppé qui réformait déjà les retraites et la sécurité sociale ? Les observateurs politiques nous disent que non. La base radicalisée des syndicats veut faire craquer le gouvernement par une grève générale, massive mais de courte durée pour éviter d’émietter le mouvement et de lasser les usagers, à l’instar du mouvement des Gilets jaunes qui a lassé une opinion - pourtant favorable à l’origine - par sa longueur et par sa violence. Face à cette montée des périls, le gouvernement n’a pas trouvé pour l’instant de bonnes réponses : le projet de réforme se fait attendre et les explications des membres du gouvernement manquent singulièrement de clarté. «C’est au pied du mur qu’on voit le maçon» nous apprend un vieux dicton ; c’est face à cette épreuve de vérité que l’on pourra mesurer la capacité de nos gouvernants à maîtriser une situation sociale délicate et à réformer durablement notre pays. Jack-Yves Bohbot
À LA UNE
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Le billet de Gil Taieb
Pour Tsahal
Notre soutien à ISRAEL, communément qualifié d’indéfectible, notre solidarité envers TSAHAL et l’amour naturel pour nos jeunes engagés, ne doivent pas se cantonner à de simples formules d’usage. L’occasion nous est offerte le 22 DECEMBRE prochain d’assister à un bel évènement conjuguant l’allumage de la 1 ère bougie de HANOUCA et une mise en relation avec des HAYALIM BODEDIM « soldats isolés » dont les parents résident à
Le 29 novembre 1947, il y a 72 ans, était votée, à l’assemblée générale de l’ONU à New York, la résolution 181. Le plan de partage de la Palestine mandataire en trois entités : création d’un État arabe, Jérusalem et un État juif. Ce plan accepté par les dirigeants de la communauté juive est immédiatement rejeté par la quasi-totalité des dirigeants arabes qui annoncent leur intention d’attaquer l’État juif dès sa création. Ce 29 novembre 1947, à peine deux ans après la Shoah, partout les juifs attendaient, réunis autour de quelques postes TSF afin d’ écouter, avec angoisse, le vote qui se tenait à New York. Tout un peuple, meurtri d’avoir été depuis trop longtemps un orphelin sans Terre, attendait l’annonce de chaque pays membre de l’ONU. Un silence pesant. Un Vote vital. Un à Un les délégués sont appelés à s’exprimer. À chaque fois le même silence et la même angoisse: Un Non dévastateur Une abstention parfois essentielle ou le Oui libérateur. Les sourires et les larmes s’enchaînaient en quelques secondes. Une comptabilité minutieuse, sous le regard de chacun, s’inscrivait sur chaque carnet. Yes. No. Abstention. Trois petits mots auxquelles était accroché le destin du peuple juif. Un Peuple, trop riche en Histoire mais qui est resté depuis trop longtemps pauvre en Géographie. Un peuple qui malgré les souffrances et les plaies encore saignantes, Voulait Vivre Libre, sur sa terre, même amputée, que les nations acceptaient de lui rendre. Un peuple juif qui sait depuis toujours, comme dit Elie Wiesel, que « l’on peut vivre loin de Jérusa-
lem mais pas sans Jérusalem ». Par 25 voix pour 13 contre et 17 abstentions, la résolution 181 fut adoptée. Partout, le peuple juif respirait, reprenait espoir. Il fallait maintenant construire et bâtir le futur État juif d’Israël. Six mois plus tard, après le départ des Britanniques en mai 1948, David Ben Gourion, tout à fait conscient du poids de l’histoire et de la situation, décidait de proclamer la naissance de l’État juif d’Israël. Partout, le peuple dansait, partout les cœurs se réjouissaient mais aux frontières de ce petit état, les bruits de bottes se faisaient entendre et la première guerre contre Israël fut déclenchée par les dirigeants d’arabes. Depuis 72 ans, Israël a avancé malgré les haines et les conflits mais aujourd’hui il est là : fort et seul garant de sa sécurité. Il recherche toujours la paix qu’il espère prochaine. Il rappelle au Monde arabe ce premier rendez-vous manqué. Aujourd’hui, 72 ans après ce vote, l’antisionisme est virulent, des tentatives de délégitimation d’Israël sont fortes. L’ONU n’est plus que l’ombre d’elle-même et s’est transformée en officine pro-palestinienne qui vote en permanence des résolutions condamnant Israël et fermant les yeux à tous les massacres perpétrés sur la planète. Une question qui mérite notre réflexion : l’ONU voterait-elle aujourd’hui la création d’Israël ? J’en doute ! Heureusement Israël n’a plus besoin de l’avis ni de l’autorisation des autres pour exister. Gil Taieb
Promenade buccolique automobile L’étau se resserre pour ce domaine. Prévisions de ventes, en chute libre. Pourtant, il faut absolument investir dans les technologies nouvelles. Grosse inquiétude à tous les niveaux. Constructeurs, sous-traitants, équipementiers..
La chute du diesel va mettre 15000 ouvriers au chômage. A suivre. René Seror
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l’étranger.
Toute famille dont un enfant a ce statut voudra bien contacter la Communauté de CRETEIL afin de pouvoir participer à une VISIO-CONFERENCE internationale en direct de JERUSALEM. Franck SERFATI Président VIGIL’ANCE et BRIDGE OF GOLD FRANCE
On banalise tout Avez-vous remarqué? Sitôt qu’on ne parle plus d’Israel, tout sujet semble désuet, sans intérêt. 3 roquettes tirées sur Israël depuis Gaza?c’est une blague, non? C’est vrai! Mais voilà l’exemple type de banalisation ordinaire. Où en est-on au niveau des élections? Ça va! C’est Israel. Tu sais bien! Comme si, comme ça! L’économie chancelle, mais la direction des affaires est...Euh.,. Comment dire...comme nos voitures, il y a 10 ou 20 ans. Elle tenaient la route, avec des bouts de ficelle, mais elle roulaient. Quoi? Pollution? Mais c’est nouveau, ça! On n’en parlait pas à l’époque. Mais tu sais, chez nous, Baroukh Hachem, ça s’arrange toujours. Un peu de houmous, une pita et ça repart! Ben dis donc, si tout était aussi facile! C’est pas facile, on banalise.
Dis-moi, c’est qui ce type qui est condamné à 175 ans de prison? 60 médecin a son chevet. Paraît qu’il a 48 ans mais qu’il paraît très vieux. Il vit enfermé dans une ambassade, comme un rat. Julian Assange. La preuve qu’il ne faut jamais dévoiler la vérité. On banalise Kafka. Mais alors, qu’est-ce qui ne doit pas être banalise? Le prix de l’essence, les 6000 chantiers à Paris, la grève du 5 décembre. Ah oui, ce qui dérange les gens dans leur quotidien? Exactement! Quand tout devient ordinaire, il n’y a plus de place pour l’essentiel. Bonne nouvelle: la Bolivie annonce la reprise des relations diplomatiques avec Israël. Je ne sais même pas où ça se trouve la...comment tu dis? René Seror
Black Friday
Certes, ce n’est pas notre culture, pas plus que HALLOWEEN, mais imaginer que des députés ont voté un amendement pour interdire ce Vendredi noir? 2 ans de prison et 300000€ d’amende. On glisse sur les nuages. Attachez bien les ceintures et suivez le raisonnement: Le e-commerce a importé cette journée. Cela génère des centaines de milliers de livraisons. Les livraisons, c’est des camions, des avions, des péniches... Donc, de la pollution. Ce black Friday est un danger pour la planète. sic. Mais à quoi servent ces précautions? Tout simplement, à faire le bonheur des gens, malgré eux! C’est la Ministre de la transition écologique, Elisabeth Borne qui a dit, sur Europe: «...empêcher de sûr consommer, avec frénésie...» Stupidité ou inconscience du monde politique? Ces élus qui se prennent pour des nourrices, envahissent notre liberté. Il y a un an, tous ces élus tremblaient. Gilets jaunes et désespoir des commerçants. Contestations liées, entres autres et surtout au pouvoir d’achat. Et ce sont eux qui veulent stopper, voire interdire ces journées de soldes? Un jour,
ils enverront des inspecteurs pour vérifier comment on dépense l’argent des alloc, des primes de rentrées scolaires... Puis d’autres inspecteurs viendront vérifier l’inspection des premiers inspecteurs. Afin d’être sûrs que le français consomme a bon escient. N’oublions pas, Mesdames et Messieurs que la consommation est un facteur indispensable pour l’économie. D sait, combien j’exècre la vulgarité, mais, c’est Georges Pompidou qui disait: «Mais, arrêtez d’EMMERDER les français». René Seror
À LA UNE
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Le billet d’humeur de Bernard Korn Brzoza
What’s news d’ISRAEL ? On l’attendait, après de longs mois d’enquête, tant de détours médiatiques, tant d’acharnement, on a parlé de cigares de qualité, champagnes prestigieux, pas de quoi en faire un crime d’état, l’abus des mots est également une corruption sémantique d’une vérité à double interprétation, Benjamin Netanyahou est « INCULPE ». Arrive ce qui doit arriver « de compromis en compromis, l’homme a fini par se compromettre », n’étant pas encore jugé, ce sont des « on dit » malveillants. On parle aussi de corruption, le tarif « 10 ans de prison », fraude, abus de confiance, c’est 3 ans de prison pour chacun des faits reconnus, ça fait mal, une tempête nauséeuse qui donne en fait une importance d’autant plus grande des délits de Benjamin Netanyahou que la peine est sévère, si toutefois bien entendu s’ils s’avèrent vrais, elle situe la sanction à un niveau très haut, donc des actes répréhensibles ou l’indulgence ne sera pas de rigueur . Une liste empirique de méfaits qui éclaboussent de joie les « ANTIS BB » pourquoi pas et ils sont nombreux ceux qui sont en effervescence « sadique » aux peines encourues. A croire que ce premier ministre a soudoyé tout ISRAEL, TRAHI ISRAEL, PLUS ENCORE, le mal absolu, face à cette amplitude d’un bonheur trop médiatisé des antis Benjamin Netanyahou. Je ne peux croire à la raison de ces bien pensants qui ne peut être qu’une sombre revanche à son égard, comparaison inadéquate mais je ne trouve pas le terme approprié peut être rancune, l’humiliation des urnes pour ces oppositions endormies et mesquines, on connait l’importance négatives des petits partis monnayant à des conditions extrêmes l’entrée dans une coalition exécutive, d’où ce psychodrame électoral inédit de mauvais augure. L’orgueil des uns comble la bêtise des autres, et nous en subissons les conséquences, nous, c’est ISRAEL. Oui, Benjamin Netanyahou est inculpé, « c’est un jour triste pour ISRAEL » a dit le procureur général Avihaï Mendelblit, « J’ai pris cette décision avec un cœur lourd, mais tout mon cœur et un sens de l’engagement envers la primauté du droit ». Est-ce à dire que l’opinion à obliger ou influencer le procureur général Avihaï Mendelblit à l’inculper ? En ISRAEL, l’impossible n’est pas inscrit dans le vocabulaire, corollaire immédiat de « miracle », comme le tout possible est une vertu positive haut de gamme dans le consensus
national, il faut s’adapter aux dérives de l’état hébreu à l’instar de ces démocratures pour qui ces médiocres considérations sont de notoriétés, j’oserai dire « inscrit dans les gènes des dirigeants, les dénoncer subsiste le risque de finir en prison et peut être à perpétuité au pire de « vie à trépas ». C’est de l’humour, mais nos démocraties européennes sont elles si nobles, si exemplaires qu’elles se « VIRGINISENT » avec le talent d’un Nobel ? Dans une UE moribonde on est bien plus conciliant avec les déviants élus, a-t-on entendu une sanction pérenne dans l’atmosphère feutré de la Commission Européenne ? Les imprécateurs de salon se cachent de toutes mauvaises pensées. Les bonnes questions n’ont souvent pas les bonnes réponses. Par D. incroyable cette curiosité maniaque, je me demande, la fracture est elle si forte au sein du peuple juif, ou les politiciens amers sont dans l’incapacité de se débarrasser de Benjamin Netanyahou dans le cadre loyal de la loi ? Vous voyez ou je veux en venir, les grands mots « inculpation «, lorsqu’on lit un article de presse, ou on écoute les médias « la présomption d’innocence » existe, cela implique une forme de modération du délit, le qualificatif juridictionnel reste en suspens. Là, c’est direct ! On pourrait croire que je tienne pour Benjamin Netanyahou, possible mais dans la course au pouvoir, les concurrents n’obtiennent qu’un accessit de complaisance, pour une majorité de la communauté juive de France il reste le grand favori : on peut se tromper, on critique, ce serait un vote de primaire de juifs sans éducation, j’en entends des murmures critiques dans certains milieux ou ternir l’image d’ISRAEL semble être du bon sens, ses politiciens « le grand Israël », déraison d’intellectuels au dessus de la mêlée, à vrai dire ça me gène, pas de concession, pas de partage sauf réciprocité, la paix était envisageable lorsque Netanyahou est devenu premier ministre, mais le « HIC » avec qui ? Qui refuserait une paix attendue et souhaitée, une paix sans victime, une paix respectueuse, il fut un temps dans le traité de paix avec l’Egypte on a dit « mieux vaut une paix froide qu’une guerre chaude ». Vrai, partenaire de cessez le feu avec le Hamas et le Djihad islamique, jusqu’à quand ? Je n’écoute pas ! Les territoires, l’axe fondamental à toute négociation, équation complexe mais compte tenu de notre passé, de notre histoire, ISRAEL n’est pas uniquement un point perdu dans la grande carte du monde, nous ne
sommes pas une incantation biblique, mais une réalité plus que tangible, notre présence est pérenne, nous sommes une lumière pour ne pas écrire un « PHARE », nous avons posé les bases du « VIVRE ENSEMBLE » avec 10 phrases, 10 mots, bien avant que cela ne devienne CONSTITUTIONNEL régissant nos démocraties éclatées et barbares à la fois. J’exagère peut être, je cours après les mots pour qu’aucune idée ne s’éloigne de mon inspiration à sa transcription. Notre amour immodéré d’ISRAEL, qui a le droit de nous reprocher cette exigence, le bien et le mal ont cohabité à nos dépens, pendant 2000 ans, ISRAEL ce rêve inlassable a habité nos mémoires. Au regard du droit international revue par Washington « et par son représentant au Moyen Orient Pompeo « Les implantations ne sont plus une violation des lois internationales, nous considérons désormais que l’implantation en Cisjordanie n’est plus incompatible avec la loi internationale » et pour ne laisser place aux érudits moralistes du pénal international le coup de poignard fatal. « Notre décision ne porte pas préjudice à un accord de paix entre ISRAEL et les Palestiniens. Nous constatons simplement que la position américaine, qui jusqu’à présent, considérant les implantations comme illégales n’a pas servi à faire avancer la paix ». Une situation ambigüe dont le seul responsable serait le président de l’Autorité Palestinienne, Mahmoud Abbas, ce qui fait écrire par une personnalité influente de notre communauté « le chef du gouvernement israélien aujourd’hui en difficulté n’aurait jamais eu d’interlocuteurs palestiniens sincèrement déterminés à négocier ». Fréderic Encel « cette nouvelle position pourrait avoir un impact direct en droit international en cas de négociation de paix » et Jean Paul Chagnollaud « ce n’est pas à négliger mais ça ne change pas fondamentalement les choses. Trump est en campagne, il veut être réélu, il souhaite récupérer les voix des évangélistes qui sont pour la plupart favorable à ISRAEL ». Patrick le HYARIC, l’éditorialiste du journal « l’humanité se déchaine « c’est la Palestine qu’on assassine » ! Et les Juifs, non ! Le point crucial, la suite, ce feuilleton qui tient en éveil ISRAEL, les citoyens , l’après Benjamin Netanyahou, une succession délicate, une situation inédite depuis 1948 par la durée à l’élection d’un premier ministre, l’homme a de la présence, une valeur réelle bien au dessus d’une élite politique d’une médiocrité désolante, il a de la présence, une longue carrière, trop longue, le pouvoir s’épuise, le pouvoir lasse les oppositions, « l’usure inévitable d’un pouvoir décennal », un pouvoir qui s’éternise peut devenir dynastique, une suite sans fin, un pouvoir fragmenté par le jeu des alliances versatiles, accéder au poste de premier ministre, c’est 61 sièges , qu’une coalition peut réunir au détriment d’un véritable programme, le consensus sinon, RIEN ! A quelles compromissions les dirigeants israéliens sont ils soumis pour se fragiliser à ce point ? Si les faits sont reconnus, Benjamin Netanyahou mérite un jugement sans complaisance, mais Benjamin Netanyahou a fait d’IS-
RAEL, une puissance qui a son importance, partenaire à jeu égal avec les plus grands , si les technologies ont apporté à ISRAEL le titre envié « TERRE DES STARTS UP », exemplaire, pays prospère, aujourd’hui le shekel concurrence l’EURO et le DOLLAR à des taux de change qui ne nous sont guère favorable, digression sur le sujet qui nous concerne avant de l’aborder objectivement, il faut accepter l’homme de la réussite économique d’ISRAEL, doublé d’un fin diplomate, s’attirer les sympathies avec les dirigeants les plus divers de la planète, et ceux du monde arabe au prétexte de la peur de l’Iran. Benjamin Netanyahou, bien qu’inculpé reste candidat à sa propre succession. Bruno Gantz ne domine la scène politique trop fragmentée, la droite traditionnelle se distingue par son incapacité à abandonner Benjamin Netanyahou ou à suivre Bruno Gantz, un sondage laisse apparaitre les mêmes incertitudes et difficultés à un choix définitif, une alliance avec la liste Arabe Unie, est ce sérieux ? Tout au plus dangereux, la Liste Arabe unie veut la destitution de Benjamin Netanyahou, rien de plus, un scénario fatal en prévision d’un chantage de réciprocité en cas de la victoire de Gantz. Un troisième scrutin prévu pour le mois de mars, s’il n’y a pas une entente consensuelle, pas un mot sur Lieberman, l’homme de tout ce « balagan », les différentes listes : les sociaux démocrates du parti travailliste ex Mapaï ou HaAvoda ont perdu leur influence, les ultra-orthodoxes sont divisés, les ultranationalistes religieux forts de leur nombre ont des exigences, et les micros partis déstabilisateurs, comment se convaincre qu’ISRAEL puisse se gouverner ! C’est une haine de chacun envers chacun, les égos, un système électorale indigeste, cette démocratie en lutte avec ses propres démons à cœur de se détruire sur ses propres faiblesses, ne connait pas la modestie, une tragédie sur le temps alors que frappe les roquettes, les missiles sur la population du Sud d’ISRAEL, le dôme de fer seul face à cette menace et le Nord peut s’embraser et à Tel Aviv, on construit des tours, l’immobilier à des prix de « MANHATTAN » si ce n’est plus, et nos politiques se targuent d’être des chefs à la hauteur des évènements. Si long soit ce texte, qui il y a encore 8 mois envisageait ce scénario ? Désillusion ou grand rêve avorté d’un ISRAEL à la hauteur de son destin. Des Israéliens installés depuis le 19 novembre devant la Knesset, ils disent « Redescendez de l’arbre et trouver un terrain d’entente ». Que D. les entendent et que leurs consciences soient en harmonie avec le destin d’ISRAEL. Et pour terminer une déclaration ambigüe de Avihaï Mandelblit « Rien ne peut empêcher Benjamin Netanyahou d’exercer ses fonctions, il n’a pas besoin de démissionner de son poste de premier ministre, ni d’être contraint à s’absenter à cause des accusations portées contre lui ». Bernard Korn Brzoza
FRANCE
Edition du 4 au 10 Décembre 2019
Le Turc Recep Erdogan s’en est pris à Emmanuel Macron. Israël n’en revient pas !
Erdogan s’en est pris violemment à Emmanuel Macron, reprenant les critiques du chef de l’Etat français sur l’Otan. «Ce qu’on est en train de vivre, c’est la mort cérébrale de l’Otan», avait déclaré Emmanuel Macron dans The Economist le 7 novembre. «Je lui réponds qu’il devrait plutôt se préoccuper de son état cérébral !», a violemment répondu le président turc, Recep Tayyip Erdogan. Ce dernier est devenu la bête noire en Israël depuis bien longtemps. Il est considéré comme un antisémite notoire. Qu’il s’attaque à la France a beaucoup surpris à Jérusalem. SELON ORANGE. « Déjà au plus mal, les relations diplomatiques entre la France et la Turquie connaissent une nouvelle tempête à la suite du déclarations offensives du président turc Recep Tayyip Erdogan à l’encontre d’Emmanuel Macron. Reprenant les déclarations du chef de l’Etat français qui avait jugé l’Alliance atlantique en état de « mort cérébrale » dans une interview à l’hebdomadaire The Economist, Recep Erdogan a déclaré: « Je m’adresse depuis la Turquie au président français Emmanuel Macron, et je le redirai à l’Otan. Fais d’abord examiner ta propre mort cérébrale ». Ces propos véhéments interviennent après des critiques émises jeudi par le président de la République envers l’offensive lancée le mois dernier par la Turquie en Syrie contre une milice kurde appuyée par les pays occidentaux ». LE SAVIEZ-VOUS? A L’ONU RECEMENT. Le Chef de l’Etat turc a prononcé un virulent discours devant la 74ème Assemblée Générale des Nations Unies (ONU) à New York. Recep Tayyip Erdogan a centré son allocution autour de la notion de Justice. Il a mis l’accent sur les trop nombreuses injustices, politiques, géographiques, économiques et éducationnelles à travers le monde. « Il n’est pas acceptable qu’une partie du monde vive dans l’opulence et le luxe, et une autre dans la pauvreté, la misère et l’ignorance », a-t-il d’abord lancé. De la même manière, la sécurité des peuples est un autre point sur lequel le Président Erdogan a voulu soutenir son message. « Si l’un d’entre nous n’est pas en sécurité, alors nous ne pouvons tourner le dos à cette réalité qu’aucun d’entre nous ne sera en sécurité », a-t-il assuré. Il a appuyé ce point de vue
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Le Black Friday déclenche cette année des rejets en France. Pas en Israël
en donnant l’exemple de l’accès à la puissance nucléaire, dénonçant les inégalités sur ce sujet puisque certains pays possèdent cette force alors que d’autres ne peuvent u accéder. « La puissance nucléaire doit être autorisée pour tous ou interdite pour tous. Elle ne doit pas à chaque occasion être un moyen de menacer un autre pays », a-t-il estimé. Selon le Président turc, ces injustices sont notamment dues au système mondial actuel. Il a rappelé son opposition au modèle actuel de fonctionnement de l’ONU, en particulier celui du Conseil de Sécurité. « Je le répète une nouvelle fois, le Monde est plus grand que cinq. Il est temps de changer notre mentalité, nos institutions et nos règles », a-t-il soutenu. Et d’ajouter : « Nous devons immédiatement mener des réformes profondes pour donner au Conseil de Sécurité une forme basée sur la justice ». La Cause Palestinienne : Le Chef de l’Etat turc est ensuite revenu sur la situation au Proche-Orient où les politiques de l’Etat israélien; « La Turquie continuera à être du côté du peuple palestinien opprimé », a-t-il d’abord rappelé, avant de condamner les comportements israéliens. Erdogan a fustigé la politique du gouvernement israélien, montrant avec des cartes l’élargissement du territoire israélien aux dépens des Palestiniens : « Israël en veut toujours plus », a-t-il dénoncé. « Je le demande ici, quelles sont les limites du territoire israélien, qu’étaient-elles en 1947, puis en 1949 et en 1967 ? Que sont-elles aujourd’hui », a-t-il poursuivi. « Les résolutions de l’ONU et du Conseil de Sécurité sur Israël ne sont pas appliquées. A quoi sert alors l’ONU ? Si les décisions prises ne sont pas efficaces, où la Justice sera-t-elle assurée ? », a-t-il dénoncé, avant de poursuivre : « une solution du conflit israélo-palestinien n’est possible qu’avec la création d’un Etat palestinien selon les frontières de 1967 ». Erdogan a aussi fait référence au projet américain pour résoudre le conflit israélo-palestinien. « Est-ce que l’objectif de ‘l’accord du siècle’ est de faire disparaitre totalement les acquis actuels de l’Etat et du peuple palestiniens ? », s’est-il interrogé, remettant en cause le contenu du plan qui reste à être dévoilé.
En Israël les ventes pour le Black friday ont été exceptionnelles. Une croissance à deux chiffres. Même dans les milieux ultra-orthodoxes de Bnei Berak les ventes du Black Friday ont été exceptionnelles. Avec un pouvoir d’achat en progression permanente les israéliens sont devenus des hyper-consommateurs. le Centre Arielle a été au coeur de la folie d’achats à Tel-Aviv. Il n’y a pas eu de blessés ni bousculades dans les magasins bourrés d’acheteurs compulsifs affamés de bons prix. Le rédacteur en Chef d’IsraelValley n’a rien acheté. En effet, il fait partie des rares israéliens qui valorise la frugalité. DR Selon La Tribune : « Journée devenue semaine exceptionnelle de soldes en ligne, le Black Friday déclenche cette année une crispation inédite dans la société civile. Derrière les initiatives (appels au boycott, blocages d’entrepôts, « Noël des PME françaises », amendement de Delphine Batho…) se dessine la contestation du modèle de société incarné par Amazon, perçu comme consumériste, socialement irresponsable et destructeur pour l’environnement. Mais le géant américain devrait quand même battre des records de ventes. La lune de miel entre les Français et le Black Friday, cette journée devenue semaine de soldes exceptionnelles, est-elle terminée ? Importée des Etats-Unis depuis 2013, l’initiative déclenche cette année en France une contestation sociale et politique d’une ampleur inédite. En cause : l’impact social, économique, urbanistique et environnemental du e-commerce, incarné par Amazon qui domine le secteur de la tête et des épaules puisqu’il cristallise à lui seul 20% des achats sur Internet en France. Grande fête de la sur-consommation à coups de promotions exceptionnelles et parfois trom-
peuses, le Black Friday devient, pour une frange de plus en plus importante de la population, un symbole de l’ultra-libéralisme, de « l’ubérisation » de la société et, globalement, de l’impact négatif des géants de la tech comme Amazon. Blocages d’entrepôts et appels au boycott contre « l’aberration écologique et économique » du Black Friday Ainsi, depuis la semaine dernière, les appels au boycott du Black Friday se multiplient. Youth for Climate, Extinction Rebellion ou encore Attac ont notamment appelé à des marches ou blocages de protestation, ainsi qu’à des actions de « désobéissance civile » pour transformer le Black Friday en « Block Friday ». Certaines entreprises affichant leur préoccupation environnementale -réelle ou opportuniste- ont également renoncé à y participer, rejoignant le mouvement du « Green Friday » encourageant à des actions éco-responsables de la part des consommateurs, promues entre autres par l’association Emmaus. Des manifestations et des blocages d’entrepôts Amazon se sont également déroulés jeudi et vendredi. Entre 50 et 100 militants de mouvements écologistes (ANV-COP21 et Amis de la Terre) ont brièvement bloqué jeudi après-midi le centre de distribution de Brétigny-sur-Orge (Essonne), débouchant sur huit interpellations par la police pour « entrave à la circulation ». Vendredi, des militants d’Attac, de Greenpeace et d’Extinction Rebellion ont manifesté devant le siège d’Amazon à Clichy (Hauts-de-Seine) et bloqué des entrepôts en région parisienne, près de Lille et près de Lyon, où des images relayées sur Twitter par Extinction Rebellion montrent des jeunes évacués sans ménagement par les forces de l’ordre ». https://www.latribune.fr
ISRAËL
Edition du 4 au 10 Décembre 2019
De nombreux signes laissent à penser que Walmart va s’installer en Israël
Le géant américain des supermarchés Walmart envisagerait de s’installeren Israël. Le PDG de Walmart, Doug McMillon, était venu en Israël début 2019 en compagnie de hauts responsables de la société, dans le cadre d’une visite pilote visant à explorer le pays, au cours de laquelle la délégation a rencontré des dirigeants gouvernementaux et des startups locales. La chaîne de magasins de détail avait récemment acquis la startup israélienne Aspectiva Ltd, une société de conseil en analyse de produits basée à Tel Aviv. Au cours des mois précédents, Walmart avait également annoncé des
Le groupe automobile allemand Daimler ne touche pas aux emplois en Israël
investissements dans d’autres startups israéliennes. La chaîne connait un succès international considérable avec plus de 11.300 succursales dans 27 pays, dont le Canada, la Chine, le Costa Rica et le Royaume-Uni. Ce dimanche, la spéculation des économistes et financiers concernant l’arrivée sur le marché israélien de Walmart a fait plonger le prix des actions des principaux supermarchés israéliens, dont notamment Shufersal et Rami Levi. Source Koide9enisrael
Black Friday en Israël. Le jour le plus lucratif pour les commerces
Confronté comme les autres constructeurs aux bouleversements du secteur de l’automobile, Daimler projette de réduire ses dépenses de personnels de 1,4 milliard d’euros dans les trois ans à venir. En Israël aucune réduction està prévoir. Daimler est actif dans la R&D dans le pays. Selon La Tribune : « Le groupe automobile allemand Daimler a annoncé à son tour vendredi un plan de réductions de ses coûts qui se traduira par la suppression d’au moins 10.000 emplois dans le monde d’ici fin 2022. Confronté comme les autres constructeurs aux bouleversements du secteur de l’automobile, Daimler projette de réduire ses dépenses de personnels de 1,4 milliard d’euros dans les trois ans à venir. Les postes d’encadrement seront réduits de 10% dans le monde. Un accord sur ces mesures de restructuration a été trouvé avec les partenaires sociaux au sein du conseil d’entreprise. Ses modalités de mises en oeuvre seront approfondies dans les prochaines semaines.
Aux États-Unis et au Canada, et aussi en Israël le Black Friday (littéralement le Vendredi noir, parfois traduit par Vendredi fou) est un évènement commercial qui se déroule le lendemain de la fête de Thanksgiving, le quatrième jeudi du mois de novembre. Ici en Israël c’est un jour de folie, surtout pour les achats sur internet. C’est de la pure folie! Ce jour marque traditionnellement le coup d’envoi de la période des achats de fin d’année. Plusieurs commerçants profitent de ce moment pour proposer des remises importantes. En 2015, 67,6 milliards de dollars
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ont été dépensés aux États-Unis au cours du week-end du Black Friday, une somme en augmentation quasi constante depuis 2005, ce qui en fait le jour le plus lucratif pour les commerces. Les consommateurs américains ont effectué 100 millions de déplacements dans des commerces le vendredi même. Depuis 2017, l’opposition au Black Friday s’organise pour lutter contre la surconsommation. Certaines entreprises avec une démarche éthique refusent d’y participer. Des associations écologistes soutiennent ce mouvement en formant un collectif appelé Greeen Friday.
Ralentissement mondial « L’industrie automobile se trouve au cœur de la plus grande transformation de son histoire », souligne Daimler dans un communiqué. Le secteur automobile, qui subit un ralentissement mondial du marché en particulier en Chine, doit s’adapter au durcissement des règles en matière de pollution et investir massivement dans le développement des véhicules électriques et des véhicules autonomes. Audi, marque haut de gamme du groupe Volkswagen, a dévoilé mardi un plan prévoyant la suppression de 9.500 emplois environ d’ici 2025. BMW a annoncé le lendemain un plan d’économies destiné à éviter des « mesures drastiques » et qui se traduira notamment par des baisses de primes et une révision du système de participation aux bénéfices pour les salariés. » https://www.latribune.fr
SPORT
Edition du 4 au 10 Décembre 2019
Pourquoi Antoine Griezmann joue-t-il toujours en maillot longues manches ?
TRANSFERTS : Thomas Lemar vendu cet hiver ?
A la recherche de liquidités pour renforcer son attaque, l’Atletico Madrid penser à vendre Thomas Lemar, selon la Cadena SER.
Vous l’avez probablement remarqué lors des matches de l’Equipe de France, Antoine Griezmann évolue toujours avec des maillots à longues manches. Passé par la Real Sociedad, l’Atletico Madrid, le désormais joueur du FC Barcelone porte un maillot à longues manches à chaque rencontre. Lors d’une interview pour le magazine GQ, Antoine Griezmann a expliqué ce choix : « Je suis un fan absolu de David Beckham sur le terrain, il avait la classe. Je
joue en manches longues parce que lui le faisait, j’ai aussi pris son numéro, le 7. »
L’international français ne joue que des bouts de matches avec l’Atletico Madrid. Sa dernière titularisation remonte à plus d’un mois, sur la pelouse d’Alaves, un but partout. Ses titularisations se font rares et son avenir est incertain. En effet, le club de la capitale espagnol songerait à se séparer de son joueur, pourtant acheté 70 millions d’euros. Aujourd’hui sa valeur a baissé, sa cote sur le marché des transferts également. Selon transfermakt, 40 millions d’euros serait le nouveau prix de Thomas Lemar après plusieurs mois compliqués sur le plan sportif.
Au FC Barcelone, l’international français porte désormais le 17.
Peu importe, les dirigeants de l’Atletico de Madrid souhaiterait le vendre cet hiver
GuillaumeMP @Guillaumemp
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contre un chèque de 60 millions d’euros, affirme la Cadena SER. Avec cet argent, l’Atletico Madrid penserait à recruter Rodrigo, l’attaquant de Valence. Un joueur confirmé de 28 ans qui enchaîne les matches mais pas forcément les buts avec son club cette saison : 1 but en 12 rencontres de championnat. Les informations de la Cadena SER ont été reprises par Marca qui confirme que le joueur est sur la sellette. En revanche, aucun transfert ne sera bouclé cet hiver. Thomas Lemar sera placé sur la liste des transferts l’été prochain. GuillaumeMP @Guillaumemp
Les 4 joueurs qui n’aiment pas le foot
Sur quelles chaînes regarder le foot la saison prochaine ?
Cet article va vous sembler étrange, mais certains joueurs professionnels n’ont que faire de ce qu’il se passe dans la sphère football, en voici quatre.
Avec les rachats des droits télévisés de la Ligue 1 par Mediapro et de la Ligue des Champions par beIN Sports et Canal +, voici où seront diffusés vos matches la saison prochaine. C’était il y a à peine quelques jours, la Ligue des Champions diffusée su RMC Sport depuis l’édition 2018/19, a été rachetée par beIN Sporst et Canal +.Toutefois, ce changement n’opérera qu’à partir de la saison 2021/2022. Un autre changement aura lieu à par-
tir d’août prochain lors de la reprise de la Ligue 1. Le championnat de France sera diffusé par le groupe Mediapro. Le nom de sa chaîne française n’a pas encore été mise en service et le nom de celle-ci n’a pas été dévoilée. GuillaumeMP @Guillaumemp
4- Carlos Tevez Passé par Manchester City, Manchester United ou encore la Juventus, Carlos Tevez a réalisé une belle carrière. Pourtant, l’Argentin n’est pas un fan de football, même pas du tout. Il s’est battu pour devenir footballeur professionnel afin de sortir de la misère. « Si vous diffusez Barcelone-Real Madrid et que sur une autre chaîne il y a un tournoi de golf, je regarde le golf. » a-t-il déclaré l’année dernière. 3- Benoît Assou-Ekotto « Le foot ne m’a jamais intéressé. C’est juste mon job, je le fais pour gagner de l’argent » a balancé l’ancien joueur de Tottenham. Bien que sa carrière professionnelle soit terminée, Benoît Assou-Ekotto joue désormais à Saint-Nicolas-lez-Arras (Hauts-de -France) en Régional 3.
2- Carlos Vela 34 buts et 15 passes décisives en MLS la saison dernière, le Mexicain n’est pas réellement intéressé par le football : Entre un film et un match de foot le soir, je choisi de regarder le film. La NBA est le seul sport que je regarde à la télévision. » au micro de Canal + en 2016. 1- Alphonse Areola Le gardien Real Madrid ne prête pas attention à ce qu’il se passe dans le football. « Ma femme connaît plus les résultats de foot que moi » a-t-il dit sur le plateau de Canal + il y a maintenant deux saisons avant d’ajouter « Quand je sors du centre d’entraînement, tu peux me parler de football : je ne connais rien ». GuillaumeMP @Guillaumemp
JEUX
Edition du 4 au 10 Décembre 2019
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