GRATUIT - N°75 - Edition israélienne du 29 Janvier au 4 Février 2020
Journal israélien en langue française
Le plan de paix de Trump sera «historique»
Israël Actualités rencontre POPECK
Le Magen David Adom propose son aide à la Turquie
ÉDITO
Edition du 29 Janvier au 4 Février 2020
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Toujours marcher la tête haute…
C’est un sujet délicat, mais qui me tient à cœur, que j’aimerais aborder aujourd’hui, dans cet édito. Comme vous, chers lecteurs, j’ai vu passer dans la presse nationale, ces derniers jours, des sujets sur l’antisémitisme sur le territoire hexagonal. L’angoisse de nos coreligionnaires, et le récit, par le menu, des petites et grandes violences subies par les uns et les autres : insultes, harcèlement à l’école ou sur les réseaux sociaux, mesquineries de voisinage, vol de courrier, dégradations, menaces et évidemment, pour les plus graves, agressions et meurtres. Le tout m’a inspiré une pensée peu charitable, à l’égard de mes confrères journalistes, je l’avoue : la presse en France, aime les juifs à terre, pas ceux qui se défendent… Comme je vous le disais, mon propos est délicat. Car il n’est pas dans mon intention de nier que l’islam politique et ses alliés clientélistes a propagé, au sein d’une certaine population, une haine farouche des juifs. Il n’est bien évidemment pas non plus dans mon propos de nier les morts, de Sébastien Sellam à Mireille Knoll en passant par Sarah ou Ilan Halimi et les enfants de l’école Ozar Hatorah de Toulouse. Il n’est pas question de réduire à l’oubli nos coreligionnaires abattus froidement quelques heures avant shabbat, au sein de l’Hypercacher. Z’l. Qu’Hachem les prenne sous son aile protectrice. Non, il est plutôt question d’état d’esprit. Celui des victimes. Si je déplore et je pleure, comme nous tous, ceux qui, en France ont perdu la vie au 21ème siècle simplement parce qu’ils étaient juifs, je refuse qu’on m’affuble d’un statut et qu’on déguise notre communauté en troupeau de victimes. Nous l’avons prouvé après la Shoah, nous l’avons démontré au cours des siècles passés, nous sommes des résistants, des tenaces, des âmes fortes éduquées à regarder toujours vers la lumière, vers la moindre étincelle de vie. C’est d’ailleurs ce que nous disons en trinquant : « Lehaïm ! » A la vie ! Alors je ne veux pas qu’on nous voit comme des victimes ! Je refuse qu’on nous dépeigne comme des pleureurs et surtout, je refuse l’idée que pour vivre, heureux ou pas, il faudrait vivre caché, discret, replié sur soi-même et sur sa communauté. Au contraire ! Il est un dicton traditionnel, en Amérique, qui dit, à peu près la chose suivante : on peut s’extraire de son milieu d’origine, mais il est difficile d’extraire notre milieu d’origine de nous-mêmes. Et bien je crois, chers Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France Directeur commercial France: Patrick Haddad : 06 42 22 17 56
lecteurs, qu’il est plus que temps d’enlever le ghetto que nous avons, chevillé à l’âme et au cœur. Soyons fiers, d’être juifs, fiers de le montrer et de partager cette part de nousmêmes avec nos compatriotes non-juifs. Faisons découvrir notre foi, nos traditions, notre immense respect pour la France et ses institutions et cette capacité que nous avons à être aussi bien Français que juifs, aussi sionistes que farouchement patriotes, aussi laïcs en public qu’attachés à notre pratique religieuse et à nos coutumes, dans le cadre de la vie privée. Les institutions françaises ne sont pas antisémites, nos gouvernants ne sont pas antisémites et ce n’est pas faire de politique que le dire : aucun de nos chefs d’état, depuis des décennies, ne l’est ou ne l’a été. Ceux qui sont antisémites aujourd’hui, sur le sol français sont aussi antichrétiens, antimilitaires, anti-laïcs, antirépublicains. La haine de tout ce qui constitue l’Occident les anime, la haine d’eux-mêmes et de leur médiocrité les pousse vers la violence. Elle est leur seule réponse à leur vide existentiel. Non, je ne nie pas que l’antisémitisme a fait 13 morts, en France, au 21ème siècle. Oui, je réfute l’idée que nous sommes les seuls à porter le fardeau de l’islam radical et de ses conséquences sur la société. Cette gangrène a tué des juifs, il est vrai, elle leur pourrit la vie dans certains quartiers, il est vrai, mais elle est aussi celle qui a tué le Père Etienne, celle qui a abattu des policiers, des militaires, des dessinateurs et des journalistes, des femmes et des enfants, à Nice, des jeunes et des moins jeunes, au Bataclan… Être juif est ce qui fait notre force depuis des milliers d’années. C’est cette essence qui a donné au monde tant d’artistes de génie, de scientifiques, de Prix Nobel, et c’est elle, aussi, qui en Israël, fait tous les jours naître une invention révolutionnaire. Sans les juifs, la France ne serait pas la France, l’Europe, quant à elle, a vacillé, lorsqu’elle a tenté de nous exterminer. Alors oui, nous sommes des Français juifs, fiers de ce que nous sommes, de le dire, de le partager. Si nous nous comportons en victimes, si nous nous pensons comme des victimes, alors les bourreaux ont gagné. Et je refuse, en ce qui me concerne, de leur faire ce plaisir… Am Israël Haï Alain Sayada
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Le mot de Torah Seulement une mitsva
«Juif, as tu mis les Tefilines aujourd’hui ?». - «Non, merci». «Qu’en dis tu de les mettre ?»
- «Si tu savais ce que j’ai mangé aujourd’hui, tu ne m’aurais pas proposé de les mettre !» Derrière cette conversation se tient un étonnement général. Y’a t’il une signification a l’accomplissement d’une Mitsva ponctuellement ? A quoi sert il que l’on réalise «une seule Mitsva», sans conserver une vie juive ? Une situation similaire nous retrouvons dans notre Parasha. On nous raconte que les Bné Israël, étaient entouré de la culture égyptienne et étaient baigné dans l’idolâtrie. A ce moment la, en préparation a la dernière plaie, la mort des premiers nés, Hashem ordonne aux Bné Israël d’accomplir deux mitsvot - de faire la circoncision et de manger le korban Pessah. A priori, il aurait était plus judicieux d’attendre l’accomplissement de ces mitsvot après la sortie d’Egypte. Une fois que le peuple juif est libéré de la servitude et qu’il sera serein - c’est le meilleur moment pour commencer a garder les Mitsvot. Pourquoi se presser a donner au peuple juif deux mitsvot alors qu’il est encore en Égypte ? Malgré tout, nous voyons que D.. donne au Bné Israël deux Mitsvot en Égypte, afin qu’ils ne soient pas «nu des Mitsvot»(d’après Rashi). En effet, la sortie d’Egypte n’est pas
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uniquement un déplacement technique d’un endroit a un autre, mais un processus substantiel a la naissance du peuple juif. Afin d’être un nouveau peuple, il faut se déconnecter complètement de la culture égyptienne. Seulement alors cela sera une sortie d’Egypte véritable. C’est précisément pour cela qu’à été donné au Bné Israël deux Mitsvot, l’une correspondante a «écarte toi du mal» et l’autre correspondante a «fais du bien». La Mitsva du korban Pessah contribue au processus d’abandon du mal, en effet le mouton était le D.. saint dans l’Égypte Antique. Le fait même de le prendre et de procéder a l’abattage rituel de façon inopinée, cela a créé un détachement de la culture idolâtre égyptienne. Parallèlement, les Bné Israël, ont entrepris a «faire du bien», et ont accompli la circoncision, afin de créer l’alliance éternelle entre Hashem et le peule juif. De la même manière que les Bné Israël ont été sollicité pour accomplir des Mitsvot ponctuelles avant même la sortie d’Egypte, ainsi nous aussi nous ne devons pas attendre un grand changement afin d’accomplir une Mistva. Car une bonne action ne peut pas être retardée. Il est vrai, ce n’est qu’une Mitsva, mais la suite viendra. Une Mitsva engendre une autre Mitsva. L’histoire a montrée - tout a commencé par deux Mitsvot, a leur suite on a reçu les dix commandements, et a la fin les six cent treize commandements. Chabbat Chalom Beth habad francophone de Hadera
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À LA UNE
Edition du 29 Janvier au 4 Février 2020
Trump devrait accorder à Netanyahou et à Gantz «six semaines» pour lancer son plan de paix
Donald Trump devrait divulguer mardi les détails de son plan de paix pour le Moyen-Orient Le président américain Donald Trump rencontrera séparément le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et le leader de la liste centriste Bleu Blanc, Benny Gantz dès lundi. Selon le programme diffusé par l’exécutif américain, aucun de ces rendez-vous, qui interviennent un mois avant un nouveau scrutin en Israël, ne sera cependant ouvert à la presse.
Le plan de paix de Trump sera «historique» «Aujourd’hui, nous avons à la Maison Blanche, le plus grand ami qu’Israël ait jamais eu» Le plan de paix pour le Moyen-Orient que doit dévoiler sous peu l’administration Trump sera «historique», a soutenu samedi soir le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à l’approche de son départ pour Washington afin de discuter de cette initiative américaine. «Une opportunité de la sorte n’arrive qu’une seule fois dans l’histoire et nous ne pouvons pas la rater (...) J’ai bon espoir que nous sommes au seuil d’un moment historique pour notre Etat», a déclaré M. Netanyahou dans un communiqué à propos du projet de paix américain. «Aujourd’hui, nous avons à la Maison Blanche, le plus grand ami qu’Israël ait jamais eu et donc la plus grande opportunité que nous ayons jamais eue», a ajouté le Pre-
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mier ministre. Donald Trump avait annoncé jeudi que son plan de paix, dont la présentation a été retardée à maintes reprises, allait être dévoilé d’ici mardi. Le volet économique du plan américain, présenté en juin dernier, prévoit environ 50 milliards d’investissements internationaux dans les Territoires palestiniens et les pays arabes voisins sur dix ans. Mais les détails concrets du plan et son éventuel volet politique demeurent le sujet de spéculations. Benny Gantz, le chef de l’opposition israélienne et rival de M. Netanyahou aux législatives de mars, doit aussi se rendre dans la capitale américaine pour ces discussions, auxquelles les Palestiniens, qui jugent l’administration Trump trop pro-israélienne, disent ne pas avoir été conviés.
M. Trump devrait divulguer mardi les détails de son plan de paix pour le MoyenOrient lors d’une conférence de presse conjointe avec M. Netanyahou depuis la Maison Blanche.
Selon un haut responsable à Washington cité par Reuters, le président américain compte annoncer aux deux hommes qu’ils ont «six semaines pour démarrer le programme, si vous le voulez». Côté palestinien, le message est sans équivoque: le document que le président américain a promis de présenter après de multiples reports est «déjà mort». «Nous rejetons absolument ce que l’administration Trump a réalisé jusqu’à présent», a déclaré Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien Mahmoud Abbas. Dimanche, Saëb Erekat, secrétaire général de l’OLP, a indiqué qu’il se réservait le droit de se retirer des accords d’Oslo, qui encadrent leurs relations avec Israël.
«Deal du siècle»: Benny Gantz accepte l’invitation de Donald Trump
«Je peux déjà vous dire que le Plan de Paix, conçu par le président Trump marquera l’histoire»
Benny Gantz a annoncé qu’il rencontrera le président américain, lors d’un entretien séparé et en tant que «chef du plus grand parti d’Israël», la semaine prochaine pour discuter de l’initiative de paix de l’administration Trump. «J’ai eu de nombreuses rencontres et discussions sur le Plan de paix avec les conseillers du président, des responsables de la Maison Blanche et mon ami l’ambassadeur (américain à Jérusalem) David Friedman (...) Le contenu de nos échanges comme les détails du plan resteront secrets pour le moment», a-t-il déclaré samedi soir à Tel-Aviv. «Mais je peux déjà vous dire que le Plan de Paix, conçu par le président Trump marquera l’histoire comme un jalon important
permettant à différents acteurs au MoyenOrient d’aller enfin de l’avant avec un accord régional historique», a ajouté Gantz qui doit rencontrer Donald Trump lundi à Washington afin de discuter de son initiative. Le plan de paix pour le Moyen-Orient que doit dévoiler sous peu l’administration Trump sera «historique», a par ailleurs soutenu samedi soir le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à l’approche de son départ pour Washington afin de discuter de cette initiative américaine. «Une opportunité de la sorte n’arrive qu’une seule fois dans l’histoire et nous ne pouvons pas la rater (...) J’ai bon espoir que nous sommes au seuil d’un moment historique pour notre Etat», a déclaré M. Netanyahou dans un communiqué à propos du projet de paix américain.
À LA UNE
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«Nous ne permettrons pas la création d’un État palestinien»
«Nous ne permettrons pas que des terres soient cédées à des Arabes ou à quiconque. Notre terre est à nous» La députée Ayelet Shaked (Nouvelle droite) a commenté le plan de paix américain, connu sous le nom de «Deal du siècle», et a réitéré la déclaration du ministre de la Défense Naftali Bennett selon laquelle son parti ne permettrait pas la création d’un État palestinien. «Nous ne connaissons pas tous les détails, mais je peux dire que nous ne permettrons pas que des terres soient cédées à des Arabes ou à quiconque. Notre terre est à nous. De plus, nous ne permettrons pas la reconnaissance d’un État palestinien. Nous pensons qu’un État palestinien est une chose dangereuse pour l’État d’Israël et nous ne permettrons certainement pas que cela se produise», a souligné Shaked lors
d’une interview à Channel 12. «Il semble que ce plan présente une excellente occasion d’appliquer la loi israélienne sur la vallée du Jourdain et sur les habitations juives de Judée-Samarie», a estimé l’ex-ministre de la Justice. «Le président Trump, [Jared] Kushner et l’ambassadeur [David] Friedman sont de vrais amis d’Israël. Il est probable qu’Israël se trouve face à une opportunité historique, assortie de risques importants. Le parti Yamina sera vigilant», a affirmé le parti dans un communiqué. Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi qu’il dévoilerait son plan pour mettre fin au conflit israélo-palestinien avant la visite la semaine prochaine à Washington du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de son rival Benny Gantz.
«Deal du siècle»: Danny Danon et son homologue américaine «Deal du siècle»: les Palestiniens se préparent à faire face au appellent à des manifestations de Conseil de sécurité de l’ONU masse
«Le plan de paix est une déclaration de guerre pour les Palestiniens» Des responsables palestiniens ont averti que le plan du président américain Donald Trump pour la paix au Moyen-Orient, qui devrait être annoncé cette semaine, déclencherait une nouvelle vague de manifestations de masse en Cisjordanie et dans la bande de Gaza. Les responsables ont affirmé que l’administration Trump n’avait pas informé les Palestiniens de son intention de publier le plan. Soulignant que le plan ne changerait pas la réalité sur le terrain en ce qui concerne les Palestiniens, les responsables ont appelé à une série de manifestations pour déjouer la «conspiration américano-sioniste». Selon un haut responsable de l’Autorité palestinienne à Ramallah, Israël et les États-
Unis «jouent avec le feu». Il a également affirmé que les dirigeants palestiniens se réuniront dans les prochains jours pour discuter des moyens de répondre au plan Trump. «Nous nous dirigeons vers une escalade dangereuse», a-t-il averti. Les dirigeants palestiniens «font face à d’énormes pressions de la rue pour prendre des mesures sévères, en particulier l’arrêt de la coordination de la sécurité avec Israël», a ajouté le responsable. Le secrétaire général de l’OLP, Saeb Erekat, a indiqué samedi que «tout accord qui ignorerait le fait qu’Israël est une puissance occupante de l’État de Palestine sera enregistré dans l’histoire comme la fraude du siècle».
Ils veulent coordonner leurs actions au cas où il y aurait des réponses majeures au plan de paix L’ambassadeur d’Israël aux Nations Unies, Danny Danon, et son homologue américaine, Kelly Craft, se préparent à faire face au Conseil de sécurité de l’ONU dans les prochains jours, après la publication imminente par le président américain Donald Trump de son plan de paix pour régler le conflit israélo-palestinien. Danon et Craft prévoyaient de se rendre en Israël cette semaine, mais ont annulé le voyage afin qu’ils puissent être à New York et coordonner leurs actions au cas où il y aurait des réponses majeures au plan de paix, ont déclaré leurs bureaux samedi. Ils envisagent notamment la tenue d’une
réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, comme celle qui a eu lieu après que Trump a annoncé qu’il reconnaissait Jérusalem comme la capitale d’Israël et qu’il déplaçait l’ambassade des États-Unis dans la ville sainte. Un veto américain avait toutefois empêché le Conseil de sécurité de condamner cette décision. Le Conseil de sécurité a également convoqué une réunion d’urgence après que Trump a reconnu la souveraineté israélienne sur le plateau du Golan. Une autre réponse possible de l’ONU serait une condamnation de l’Assemblée générale, ce qui s’est produit après le veto américain, qui a suivi la décision de l’ONU sur le déplacement de l’ambassade des États-Unis.
À LA UNE
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«Deal du siècle» : le Premier ministre de l’Autorité palestinienne appelle au boycott
«Ce plan vise à protéger Trump de la destitution et à protéger Netanyahou de la prison» Le Premier ministre de l’Autorité palestinienne, Mohammed Shtayyeh, a appelé lundi la communauté internationale à boycotter le projet de paix américain pour le Moyen-Orient, devant être dévoilé dans les prochaines heures et que les Palestiniens jugent trop favorable à Israël.
Kobe Bryant, légende de la NBA, et sa fille de 13 ans meurent dans un accident d’hélicoptère points en carrière. Une source a confirmé à la chaîne américaine ESPN que Kobe Bryant figurait parmi les victimes de ce crash. «J’ai été désolé d’apprendre la tragédie qui est survenue aux États-Unis, c’est un jour triste pour tous les amoureux de sport dans le monde», a réagi le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou sur les réseaux sociaux.
«C’est un jour triste pour tous les amoureux de sport dans le monde» (Netanyahou) Le basketteur américain, star de la NBA, Kobe Bryant et Gianna, sa fille de 13 ans, sont décédés dimanche matin dans le crash de leur hélicoptère, intervenu à Calabasas dans le sud de la Californie, ont rapporté des médias américains. Kobe Bryant, âgé de 41 ans, avait notamment évolué pendant 20 ans au sein de la franchise NBA des Los Angeles Lakers. Quintuple champion NBA, il est l’un des sept joueurs à avoir inscrit plus de 30.000
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«Il laisse derrière lui des millions de passionnés de basket-ball à travers le monde. Il ne faut pas l’oublier. Qu’il repose en paix», a-t-il ajouté. Dans le même temps, le président américain Donald Trump a évoqué une «terrible nouvelle». Selon TMZ, le basketteur, père de quatre enfants, était à bord de son hélicoptère privé avec quatre autres personnes dimanche matin, lorsque celui-ci est brusquement tombé, avant de s’enflammer. Aucune personne n’a survécu au crash. La cause de l’accident n’est pas encore connue.
Ce plan comprend selon les Palestiniens l’annexion par Israël de la vallée du Jourdain et des implantations israéliennes en Cisjordanie, ainsi que la reconnaissance officielle de Jérusalem comme seule capitale d’Israël. Le président américain Donald Trump reçoit lundi le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou à Washington, où il
doit présenter un plan jugé «historique» par Israël. «Nous appelons la communauté internationale à ne pas s’associer (au plan) car il contrevient au droit international et les droits des Palestiniens ne sont pas à vendre», a affirmé M. Shtayyeh. «Ce plan vise à protéger Trump de la destitution et à protéger Netanyahou de la prison», a-t-il déclaré avant la réunion hebdomadaire de son gouvernement. «Ce n’est pas un plan de paix pour le Moyen-Orient». M. Trump a également invité dans la capitale américaine le rival de M. Netanyahou en vue des élections du 2 mars, le centriste Benny Gantz.
Aux USA comme à l’étranger, pluie d’hommages pour la légende de la NBA Kobe Bryant Le monde de la musique et du cinéma a également fait part de sa tristesse
temps», titre qu’il pourrait pourtant facilement revendiquer.
Le monde du basket, aux Etats-Unis comme à l’étranger, a été bouleversé par la mort dimanche de la légende de la NBA Kobe Bryant.
L’entraîneur du Real Madrid, Zinédine Zidane, a lui aussi fait part de son incrédulité: «C’est terrible, c’est une nouvelle terrible, qui affecte tout le monde, nous tous. Je ne peux rien dire de plus...».
Les plus grands sportifs, amis ou adversaires, lui ont rendu hommage. «J’ai le coeur brisé par cette nouvelle. Tu étais une vraie légende et un ami. Repose en paix Kobe Bryant, mes pensées et mes prières vont vers sa femme et ses enfants #légende #mamba #goat», a réagi sur Twitter Tony Parker, qui a affronté Bryant avec San Antonio pendant une quinzaine d’années, notamment au cours de haletantes séries de play-offs à l’Ouest. Magic Johnson, un des plus grands joueurs de l’histoire de la NBA, a qualifié Kobe Bryant de «plus grand Laker de tous les
Le Français Kylian Mbappé a publié sur son compte Instagram une photo en noir et blanc où il est au côté de Kobe, avec ces mots: «RIP LEGEND». Le président Donald Trump a ainsi réagi en évoquant «une terrible nouvelle». Lors d’un meeting de campagne dans l’Iowa, l’ancien vice-président démocrate Joe Biden a rendu hommage à l’ancien arrière des Lakers. Le monde de la musique et du cinéma, que Kobe a côtoyé pendant ses 20 années en Californie, a également fait part de sa tristesse.
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Le Casifan en accord avec Alain Asseraf présente « Rire ... Ensemble » : Israël Actualités rencontre POPECK IA : Pouvez-vous nous raconter un de vos meilleurs souvenirs sur scène ou sur les écrans ? Popeck : C’est quand Gérard Oury m’a engagé pour jouer aux côtés de Louis de Funès dans son film « Rabbi Jacob ». Mon rôle aurait dû m’occuper 8 jours seulement, mais grâce à une simple petite phrase avec l’accent, Gérard Oury, avec l’accord de Louis de Funès, m’engagea jusqu’à la fin du film. Mon seul regret, mais sur les conseils de mon impresario du moment, c’est de n’avoir pas voulu que l’on mette le nom de Popeck au générique pour ne pas « gâcher » ma carrière (rires). C’est mon premier nom de scène qui y figure Jean Herbert !
Bonjour POPECK (petit Paul en Polonais) votre personnage a été créé il y a plus de 40 ans. Nous avons la chance de vous retrouver le 5 Février à Netanya et le 6 Février à Tel-Aviv. IA : Vous avez un humour qui a fait remplir beaucoup de salle dont l’Olympia ! Parlez-nous justement un peu de votre humour, comment est il né ? Popeck : Il est né par hasard, dans un théâtre parisien où je jouais dans la pièce « L’Idiot » de Dostoievski. Pour me détendre, à l’entracte, j’aimais beaucoup raconter des histoires, des blagues en prenant l’accent Yiddish de mon père qui faisait rire aux larmes. Tous les artistes du théâtrevvenaient m’écouter dont Charles Denner, Jacques Mauclair, Valentine Tessier,… Et j’entendais dire autour de moi « Tu tiens un filon ! Fais donc des sketches ! Chaque année au théâtre de l’atelier, il y avait la fameuse soirée d’improvisation qui se tenait devant le « Tout-Paris » artistique. Il s’agissait en l’occurrence de célébrer une 100iè-
merepésentation de « L’idiot » et c’est mon copain de loge, Michel Beaume, un des inséparables de la bande à Belmondo, qui me persuada de raconter une histoire avec mon accent. C’est lors de cette soirée unique que Popeck est né ainsi que mon humour. Peut-on appeler ça un humour juif ? Oui et non, un jour dans la Tribune Juive, un journaliste a dit de moi que j’avais un humour juif parisien, et je pense que c’est exactement ça. Car un véritable humour juif, c’est une histoire qui a un double sens et qu’on ne comprend qu’à moitié, ce que je ne prétend pas faire. IA : On vous a vu au théâtre au cinéma ou même à la télévision où va votre préférence et pourquoi ? Popeck : Je n’ai pas de préférence. Un artiste complet va où on l’engage. Il y a, bien évidemment, l’envie du moment mais aussi le besoin de gagner sa vie pour nourrir sa famille.
IA : Qu’est-ce qui vous a poussé plus jeune à faire de la scène ? Popeck : Plus jeune, la directrice du foyer juif des Jeunes travailleurs manuels de la Varenne-St-Hilaire, m’a demandé de participer au spectacle qu’elle organisait. J’ai donc joué dans la pièce de théâtre. Ce fut un triomphe. Voyant que j’étais doué pour la comédie et non pour les études, elle m’a envoyé prendre des cours à la synagogue de Paris. Là, j’ai choisi de monter la pièce « Le Dibbouck » de Shalom Anski. Et c’est comme ça que j’ai commencé. IA : Est-ce la première fois que vous vous représentez en Israël ? Que ressentez vous, sur le fait de vous produire ici ? Popeck : Non, je me suis produit à Tel Aviv il y a 10 ans. C’était un énorme succès. J’étais produit par Caroline (qui s’occupe de cinéma maintenant) et par l’intermédiaire de Sharley Marouani, mon agent de l’époque. J’ai d’ailleurs eu un article très élogieux dans le magazine « Israël Aujourd’hui » du 6 juin 2011, titré « Popeck, j’y étais ! ». IA : Qu’allons nous retrouver durant ce spectacle ? Et Pourquoi [rire ensemble] comme titre du spectacle ? Popeck : Je ne peux pas tout vous dévoiler.
Pour ça il faut venir me voir (rires). IA : Quels conseils donneriez-vous à un jeune humoriste aujourd’hui ? Popeck : De ne pas faire comme moi. J’ai refusé beaucoup de choses car je n’aime pas trop me montrer. Je suis un Ashkenaze pur et dur. Je n’ai pas les qualités des Sepharades dans ces circonstances. IA : Qu’elle est selon vous la différence entre l’humour d’avant à celle d’aujourd’hui ? Popeck : L’humour d’aujourd’hui a été créé par la TV, notamment par Canal Plus (pour les humoristes français). C’est un humour qui n’a plus rien à voir avec celui d’avant. Les anciens humoristes comme Raymond Devos, Jean Poiret, …..et moi, avons été nourris par une longue expérience de la scène. La télévision était, à l’époque, une récompense et non un tremplin pour des jeunes qui veulent devenir humoristes. Je pense que, malheureusement, très peu dépasseront les 10 ans de notoriété. IA : Avez-vous, un message à faire passer aux lecteurs d’Israël Actualités qui viendront vous voir en spectacle ? Popeck : VIVE l’esprit d’opportunisme, de joie et de réalisme Israélien. Merci Popeck d’avoir pris le temps de répondre à nos questions. Vous êtes un personnage culte de l’humour et nous avons hâte de vous retrouver sur scène au cotés de Jacques Baranes « sosie officiel d’Elie Kakou » qui fera une grande première partie du spectacle ici même en Israël. Le 5 février à Netanya et le 6 février à Tel-Aviv. Pour les réservations rendez vous sur le site www.culturaccess.com ©Yohann Azoulay
Le président albanais décerne une distinction à Tsahal pour son aide après le séisme
«Grâce à leur humanité et solidarité extraordinaires, les relations entre nos deux pays ont été renforcées»
Le président albanais Ilir Meta, en visite en Israël à l’occasion du 5ème Forum mondial sur l’Holocauste à Jérusalem, a remercié l’armée israélienne pour son aide après le séisme meurtrier qui a frappé le pays en novembre dernier, a rapporté dimanche Israel Hayom. M. Meta a décerné la décoration «Aigle d’or» à l’Unité nationale de sauvetage de Tsahal, une des plus hautes distinctions qui existe en Albanie.
«En reconnaissance et gratitude pour l’excellent travail accompli par Tsahal, qui a aidé nos institutions et nos communautés gravement touchées par les séquelles du tragique tremblement de terre, j’ai eu l’honneur de décerner la décoration ‘Aigle d’or’ à la merveilleuse équipe de l’Unité nationale de sauvetage», a-t-il déclaré. «Grâce à leur aide et leçons précieuses, leur humanité et solidarité extraordinaires, les relations amicales et historiques entre nos deux peuples et nos deux pays ont été renforcées», a-t-il poursuivi.
Un séisme de magnitude 6,4 a frappé l’Albanie le 26 novembre dernier, et a fait 51 morts et plus de 3.000 blessés. Plus de 11.000 bâtiments ont été endommagés et plus de 13.000 personnes se sont retrouvées à la rue. Il s’agit de la pire catastrophe naturelle qui a frappé l’Albanie depuis 1979.
FRANCE
Edition du 8 au 14 Janvier 2020
«Marine Le Pen n’est pas la bienvenue pour parler du nazisme», estime Agnès Buzyn
L’Élysée récuse toute comparaison entre la Shoah et la guerre d’Algérie
«C’est le crime absolu qui ne peut être comparé à aucun autre», a affirmé le chef de l’État français L’Élysée a récusé samedi toute comparaison entre la Shoah et la guerre d’Algérie, a rapporté samedi le Figaro. La présidente du RN avait salué la semaine dernière la mémoire des victimes du camp nazi d’Auschwitz. «Le Rassemblement national est un parti qui a toujours été en faveur de la collaboration avec des personnes qui l’ont fondé qui étaient des collaborateurs», a déclaré dimanche la ministre française de la Santé Agnès Buzyn, invitée lors du Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI. «Je trouve que ce parti n’a pas suffisamment pris ses distances avec l’extrême droite et certains mouvements néonazis. Je n’aime pas qu’elle (Marine Le Pen, ndlr) s’exprime
sur ces questions là parce que je pense que le Front national n’a pas terminé sa mue face à l’extrême droite européenne. (...) Ce parti et Marine Le Pen ne sont pas les bienvenus quand ils parlent du nazisme ou de l’antisémitisme», a-t-elle poursuivi.
Le frère de Sarah Halimi espère que le procès du meurtrier de sa sœur sera révisé
Le ministre français de l’intérieur Christophe Castaner s’est recueilli jeudi sur les tombes d’Ilan Halimi, de Sarah Halimi et des victimes des attentats terroristes de Toulouse, dans le cimetière de Givat Shaul à Jérusalem. Comme le veut la tradition juive, le ministre de l’Intérieur a déposé des cailloux sur les sépultures des victimes. M. Castaner s’est ensuite recueilli en silence.
«C’est le crime absolu qui ne peut être comparé à aucun autre», a affirmé le chef de l’État français, qui relève la «singularité la plus extrême» de la Shoah.
Marine Le Pen avait salué jeudi dans un tweet la mémoire des victimes du camp nazi d’Auschwitz, dont la libération a été célébrée dans la capitale israélienne Jérusalem en présence d’une quarantaine de dirigeants internationaux.
L’opposition a vivement condamné samedi les propos d’Emmanuel Macron établissant un parallèle entre la guerre d’Algérie et la reconnaissance par Jacques Chirac en 1995 de la responsabilité de la France dans la déportation des juifs pendant la Seconde guerre mondiale.
Elie Buzyn, père d’Agnès Buzyn, est un rescapé d’Auschwitz.
Dans l’avion qui le ramenait jeudi d’Israël, où il participait à la commémoration
Castaner se recueille sur les tombes d’Ilan Halimi, de Sarah Halimi et des victimes des attentats de Toulouse cimetière de Givat Shaul. Myriam, Arié, Gabriel et Jonathan, les quatre victimes assassinées par le terroriste Mohamed Merah le 19 mars 2012 à l’école juive Ozar Hatorah, sont également enterrées dans ce cimetière. Les dépouilles des quatre victimes de l’Hyper Cacher - Michel Saada, Philippe Braham, Yohan Cohen et Yoav Hattab -, tués par Amédy Coulibaly le 9 janvier 2015, y ont été transférées.
L’ancien ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, avait également fait le déplacement en 2016.
Enfin, le corps de Sarah Halimi est le dernier à avoir rejoint le cimetière de Givat Shaul. Son frère, qui accompagnait Christophe Castaner, espère que le procès de Sarah Halimi sera révisé.
La dépouille d’Ilan Halimi, le jeune Juif torturé et tué en 2006 par le gang des barbares, est la première à avoir été enterrée dans le
Son meurtrier, Kobili Traoré, avait été déclaré pénalement irresponsable en décembre par la Cour d’appel de Paris.
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du 75e anniversaire de la libération du camp d’Auschwitz, le chef de l’Etat s’est dit convaincu que la France devait revisiter la mémoire de la guerre d’Algérie (19541962) pour mettre un terme au «conflit mémoriel» qui «rend la chose très dure en France». «Indécence absolue. Ces propos sont à la fois une folie pour l’histoire et la mémoire, et une bombe à retardement pour notre avenir», a abondé l’eurodéputé LR François-Xavier Bellamy sur Twitter. Dans l’avion le ramenant d’Israël, Emmanuel Macron a regretté que seuls les historiens aient pu à ce jour travailler sur le sujet. «On n’en a pas parlé, on a écrasé. (...) Il n’y a pas eu un travail politique mémoriel», a-til dit, tout en admettant ne pas avoir «la réponse» pour y parvenir, admettant «tourner autour».
Emmanuel Macron se rend au Mémorial de la déportation des Juifs français Il a rencontré des survivants de la Shoah qui, enfants, avaient été cachés en France pendant la guerre Le président français Emmanuel Macron s’est rendu jeudi au mémorial de la déportation des Juifs de France de la forêt de Roglit, près de Beit Shemesh. C’est la première fois qu’un président français vient se recueillir devant ce «mur des noms» où sont inscrits les patronymes, origines, dates et lieux de déportation de 73.853 juifs déportés depuis la France. Sur ce lieu où sont plantés 80.000 arbres, il a rencontré des lycéens français et des survivants de la Shoah qui, enfants, avaient été cachés en France pendant la guerre. Une jeune musicienne a joué le «Chant des déportés» avec un violon ayant appartenu à un luthier du ghetto de Varsovie. Une autre jeune fille a lu la dernière lettre, déchirante, d’une adolescente déportée à sa famille d’accueil.
Le site a été inauguré en 1981 à l’initiative de Serge et Beate Klarsfeld. Le couple faisait d’ailleurs partie de l’importante délégation qui a accompagné le président français. «Nous vous sommes reconnaissants d’être intensément engagé contre l’antisémitisme», a déclaré Serge Klarsfeld en le remerciant de sa visite. «Nous serons toujours à vos côtés pour protéger l’Etat républicain qui nous protège tous», a-t-il dit. Emmanuel Macron devait assister ensuite à une réception avec la communauté française vivant en Israël au Centre de convention international de Jérusalem, surtout pour évoquer la lutte contre l’antisémitisme. Israël accueille jeudi une quarantaine de dirigeants pour marquer le 75e anniversaire de la libération du camp nazi d’Auschwitz par l’Armée Rouge et faire front commun contre l’antisémitisme, sur fond d’une recrudescence des actes haineux envers les Juifs en Occident.
ISRAËL
Edition du 29 Janvier au 4 Février 2020
Israël frappe Gaza en réponse au lancement de ballons incendiaires
Ces ballons sont utilisés pour provoquer des incendies dans les localités israéliennes proches de la frontière L’armée israélienne a mené samedi soir des raids aériens contre des cibles du Hamas dans la bande de Gaza, en réponse à des lancements de ballons incendiaires vers le territoire israélien. «Il y a peu de temps, des avions de combat ont frappé un nombre de cibles de l’organisation terroriste Hamas dans le sud de la bande de Gaza», a indiqué l’armée dans un communiqué. «Parmi les cibles visées figurent un site de fabrication d’armes», a ajouté l’armée, précisant qu’il s’agissait d’une réponse au lancement vers le territoire israélien de bal-
lons auxquels étaient attachés des engins explosifs. Ce genre de ballons est utilisé pour déclencher des incendies dans les cultures et les communautés israéliennes situées près de la frontière entre Israël et la bande de Gaza.
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Le Magen David Adom propose son aide à la Turquie après le séisme qui a fait 31 morts
Israël tient pour responsable le mouvement terroriste, qui dirige l’enclave palestinienne, de toute action émanant de son territoire, même si l’Etat hébreu y cible également d’autres mouvements armés palestiniens. Lundi, trois Palestiniens ont été tués après avoir pénétré en Israël depuis la bande de Gaza et jeté un engin explosif sur des soldats qui ont ouvert le feu, selon l’armée israélienne.
Israël: le procureur général recommande la mise en examen du député David Bitan
Le nombre de personnes blessées dans les provinces d’Elazig et de Malatya s’élève à 1.607
provinces d’Elazig et de Malatya s’élève à 1.607, a indiqué l’agence gouvernementale des situations de catastrophe (AFAD).
Les services de secours israéliens du Magen David Adom (MDA) ont proposé leur aide au Croissant-Rouge turc, suite au puissant tremblement de terre qui a fait au moins 31 morts, dans la province d’Elazig, à l’est de la Turquie.
La secousse s’est produite vendredi à 17H55 GMT dans la province d’Elazig. Elle a été mesurée à une magnitude de 6,7 par l’institut américain USGS.
«Nous suivons anxieusement les développements. Notre cœur est tourné vers le peuple turc et à ceux qui ont perdu des êtres chers», a écrit samedi le directeur général du MDA, Eli Bin, dans une lettre adressée au président du Croissant-Rouge turc, le Dr Kerem Kinik. «Je considère qu’il y a là une opportunité de collaboration et je propose toute l’aide pour sauver des vies partout dans le monde. C’est ainsi que MDA a opéré dans le passé et continuera de le faire», a ajouté Bin. Le nombre de personnes blessées dans les
Selon l’AFAD, 45 personnes ont été retrouvées vivantes dans les décombres depuis vendredi. En outre, près de 80 bâtiments se sont effondrés à Elazig et Malatya, et 645 habitations ont été gravement endommagées, d’après la même source. Le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est rendu samedi dans les deux provinces sinistrées, affirmant que «les mesures nécessaires seraient prises immédiatement (...) pour faire en sorte que personne ne reste sans logement».
Jérusalem: une mosquée retrouvée vandalisée et incendiée Aucun blessé n’a été signalé, la police a ouvert une enquête «Il ne sera pas nécessaire de demander l’immunité, les charges seront annulées lors de l’audience» (Avocat) Le procureur général Avichai Mandelblit a annoncé dimanche qu’il recommandait la mise en examen de l’ancien chef du groupe parlementaire du Likoud David Bitan, pour corruption, fraude et abus de confiance, blanchiment d’argent et infractions fiscales.
adjoint de la ville de Rishon Lezion, mais aussi en tant que membre de la Knesset. Selon l’un de ses avocats, Me Ephraim Dimri, les allégations sont irrecevables, et cela sera «prouvé» lors de l’audience préalable à la mise en accusation.
M. Bitan pourra avoir recours à une dernière audition avant cette inculpation.
«A première vue, il ne sera pas nécessaire de demander l’immunité de M. Bitan, car la plupart des charges retenues contre lui seront annulées lors de l’audience», a déclaré M. Dimri à la Radio 103FM.
Le député est soupçonné d’avoir perçu près de 992 000 shekels (plus de 260 000 d’euros) en pots-de-vin quand il était maire
En mars dernier, la police israélienne avait également recommandé l’inculpation de David Bitan, après deux années d’enquête.
Une mosquée à Jérusalem a été retrouvée vandalisée et incendiée vendredi matin avec des dégâts mineurs, mais aucun blessé n’a été signalé. Selon les équipes de pompiers, dépêchées dans le quartier Beit Safafa où a eu lieu l’incident, il s’agit d’un incendie volontaire. Une enquête a été ouverte. Des graffitis anti-arabes inscrits sur les murs de l’établissement signés Kumi Ori ont été par ailleurs constatés par la police. «On détruit les Juifs? Kumi Ori détruit les ennemis!», était-il peint en rouge.
Kumi Ori est un avant-poste controversé situé dans l’implantation israélienne Yitzhar en Cisjordanie, devenu un point de ralliement pour les extrémistes juifs de la région. L’avant-poste abrite sept familles et une douzaine d’adolescents connus sou le nom de «jeunes des collines». Ceux-ci ont été soupçonnés à plusieurs reprises d’avoir attaqué des Palestiniens ainsi que les forces de l’ordre et la police israéliennes. Il y a dix jours, des agents de la police des frontières sont intervenus à Kumi Ori et ont démoli deux structures illégales. Deux autres structures avaient déjà été rasées par la police des frontières en octobre dernier.
SPORT & LOISIRS
Edition du 29 Janvier au 4 Février 2020
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Les 7 plus grosses valeurs marchandes du Borussia Dortmund espagnol de 26 ans n’entre plus dans les plans de Lucien Favre. Estimé à 42 M€ , il pourrait rejoindre la Premier League ou le championnat espagnol pour retrouver du temps de jeu et ainsi espérer disputer l’euro cet été. L’Atletico Madrid et son club formateur, le Valence CF se seraient manifestés.
Club historique du championnat d’Allemagne, le Borussia Dortmund mène une politique de recrutement évidente : recruter de jeunes talents à fort potentiel à l’image d’Ousmane Dembélé, Jadon Sancho et plus récemment d’Erling Braut Haaland. Des joueurs qui ont été revendus ou qui le seront probablement par la suite. Néanmoins, le club de la Ruhr reste un des tous meilleurs club d’Europe et possède un effectif de qualité. Voici les 7 joueurs du BVB ayant la valeur marchande la plus élevée selon Transfermarkt 7. Thorgan Hazard (40M€) Auteur de 4 buts et de 10 passes décisives, le Belge, arrivé cet été à Dortmund en provenance de Mönchengladbach, réalise une première partie de saison intéressante avec
son nouveau club. En concurrence avec Sancho, Guerrero ou encore Larsen, le frère d’Eden Hazard a su saisir sa chance pour obtenir une place de titulaire. L’ailier de 26 ans vaut aujourd’hui 40 millions d’euros. 6. Marco Reus (40M€) L’emblématique capitaine allemand, au club depuis 2012, a tout connu avec le Borussia Dortmund. Très souvent blessé par le passé, le milieu offensif reste sur un exercice de haute volée, sans doute l’un de ses plus aboutis. La valeur marchande de Marco Reus est évalué à 40 millions d’euros par le site allemand. 5. Paco Alcácer (42M€) Recruté au FC Barcelone pour 37 millions d’euros lors du mercato estival de 2019 après un prêt réussi à Dortmund, l’attaquant
4. Achraf Hakimi (45M€) Prêté par le Real Madrid depuis l’été 2018, le Marocain a su se faire une place de choix dans le club jaune et noir. Récemment élu meilleur jeune joueur africain, le prometteur et polyvalent latéral droit retournera en Espagne à l’été 2020. Néanmoins, le Borussia Dortmund souhaiterait le conserver. Sa valeur marchande est de 45 millions d’euros. 3. Erling Braut Haaland (45M€) Encore inconnu du grand public en août dernier, le très jeune norvégien de 19 ans est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands espoirs du football mondial. Fort de ses 33 buts en 24 matchs toutes compétitions confondues depuis le début de la saison, ce sérial buteur a rejoint le BVB cet hiver en échange de 20 millions d’euros. Pourtant, Haaland est estimé à 45 millions d’euros par Transfermarkt. Un diamant brut à polir.
Après 5 saisons passées avec le Bayer Leverkusen, le milieu allemand a passé un cap en signant à Dortmund. Malgré une première partie de saison assez timide ( 3 buts, 1 passe décisives en 19 matchs de Bundesliga), le joueur de 23 ans est apprécié de son entraîneur et est titulaire dans son nouveau club. Recruté contre 25M€, sa véritable valeur marchande serait quant à elle estimé à 50 millions d’euros. 1. Jadon Sancho (120M€) Véritable révélation de la Bundesliga 2018/2019, l’Anglais de 19 ans confirme cette saison. Impliqué dans 45% des buts de son équipe ( 14 buts, 15 passes décisives en 26 matchs TCC), le milieu droit est rayonnant sur les pelouses allemandes. Cependant le numéro 7 du BVB ne devrait pas s’éterniser sur les bords de la Ruhr. Récemment en conflit avec son entraineur, Lucien Favre, Sancho attire les convoitises partout en Europe. Déniché à 17 ans lorsqu’il évoluait avec les U18 de Manchester City, il avait coûté environ 7.84M€ à Dortmund. Désormais, il en vaut 120, parfaite illustration de la politique menée par la direction du BVB. De quoi réaliser une belle plus-value.
2. Julian Brandt (50M€)
Ou sortir en Israël ?
ALL THAT JAZZ - AVICHAI COHEN & SA TROMPETTE LE 2/02/2020 A Tel-Aviv Tout ce jazz: une rencontre individuelle entre l’un des plus grands trompettistes d’Israël, le Camerata Orchestra et Chostakovitch. Avec : Avishai Cohen Accompagné par : Camerata Orchestra Spectacle Israélien
LE SACRE DU PRINTEMPS YANG LI PING LE 6/02/2020 A Tel-Aviv
La chorégraphe chinoise de renom dont les œuvres ont captivé des auditoires en Israël et dans le monde entier revient avec son interprétation ravissante du Sacre du printemps qui met en valeur le cycle de la vie, de la naissance à la mort, en passant par la renaissance et la réalité violente. Chorégraphie : Yang Li Ping Musique : Stravinsky et musique tibétaine traditionnelle Réservation sur : https://culturaccess.com/ ou 03-915-56-32
AMICALEMENT ROCK LE 02/02/2020 A Tel-Aviv Pour la première fois en Israël un concert live entièrement dédié à la musique POP/ ROCK française aura lieu dans un nouvel endroit : Le Harash4. AMICALEMENT ROCK goupillé par le duo KAZADO/NAKASH va vous ramener dans le vrai son du ROCK français des années 80/90. Des reprises des meilleurs titres de Télephone, Axel Bauer, Zazie, Calogero, Trust, Bashung, Johnny Hallyday… vous feront chanter et danser !
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