GRATUIT - Numéro 478/3 - Edition du 23 Mai 2018 au 30 Mai 2018
Journal israélien en langue française
ÉDITO
Edition du 23 Mai 2018 au 30 Mai 2018
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De la lumiere de nos alliées aux leches bottes de nos ennemis
Après les Etats Unis et le Guatemala s’est au tour du Paraguay de transférer leur Ambassade de Tel Aviv à Jérusalem... en espérant, que d’autres capitales Occidentales suivront le chemin tracé par ces précurseurs... bien évidemment la bataille n’est pas gagnée d’avance, les ennemis d’Israël sont partout et les troublions sont nombreux à commencer par l’ancien premier ministre Dominique de Villepin qui s’est trompé de casting sur Bfmtv, toujours en premier défenseur de la cause palestinienne, leche botte du Qatar... En affirmant que 62 palestiniens avaient été massacrés, par les soldats israéliens, en omettant bien sûr de dire que sur les 62 manifestants tués, 50 d’entres eux étaient des membres du mouvement terroriste Hamas...mouvement mondialement connu pour leur côté magnanime et d’amitiés entre les peuples, ayant un esprit d’ouverture... ou bien défendre les dictatures du moyen
Orient, comme celle d’Iran, avec à l’heure tête des mollah et les gardiens de la révolution qui ne pensent qu’à une chose, détruire Israel, ayant comme complice les capitales occidentales donnant leur soutien à l’Iran pour un Iran nucléarisé dans quelques années, car, il ne faut pas rêver, les accords signés en 2015, n’est qu’une parodie, qui risque de couter très cher au monde civilisé... Nous pouvons remercier le président Americain Donald Trump d’être sortie de cet accord de dupes... car, nous savons que, le véritable but de l’Iran est bien sûr d’étendre leur hégémonie dans la région ayant comme alliées, tous les mouvements terroristes de la région...comme le Djihad Islamique, le Hezbollah, etc.... cela fait maintenant 70 ans Mais une chose est sûr, c’est que nos ennemis sont aux abois , nous avons pu
voir la réaction des iraniens après la leçon que Tsahal a donnée aux Iraniens en Syrie, près de 50 sites détruit par l’aviation israélienne.... et pratiquement aucune réponse.. cela montre aujourd’hui, que les iraniens n’ont pas les moyens de répondre à la puissance de feu de Tsahal, les Israeleiens les ont prévenus de ne pas faire l’erreur de bombarder les villes israéliennes et de subir la réaction d’Israel, qui se fera un plaisir de rayer de la cartes les villes iraniennes en commançant par la capitale Teheran. mais le civilisation iranienne est assez inteligente pour ne pas depasser le casus belli.
Que D... protèges Israel, nos enfants , et le peuple juifs de nos ennemis Am Israel hai Alain SAYADA
Alors, il est sûr, que nos ennemis sont bien au courant des risques et perils encourus, mais, nous de notre coté, il est important de ne pas baisser la garde , de rester vigilant et de faire confiance à notre armée , à nos enfants , qui seront aux avant postes, ainsi et surtout sous la protection de D...
Au tour du Paraguay de déménager son ambassade à Jérusalem Le président du Paraguay, Horacio Cartes, a inauguré lundi à Jérusalem la nouvelle ambassade de son pays en Israël, emboîtant le pas aux États-Unis et au Guatemala, qui ont fait de même la semaine dernière. M. Cartes et le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, ont dévoilé ensemble la plaque de la nouvelle représentation, située dans une tour d’un quartier excentré du sud de Jérusalem. Le Paraguay devient ainsi le troisième pays à rompre avec le consensus international qui veut que les ambassades soient installées à Tel-Aviv, compte tenu du statut disputé de Jérusalem dans le contexte du conflit israélo-palestinien. La démarche indigne d’ailleurs les Palestiniens, qui ont dénoncé la décision paraguayenne. « En adoptant une mesure de provocation irresponsable qui enfreint directement le droit international et le consensus, le Paraguay concourt, avec Israël, les ÉtatsUnis et le Guatemala, à l’enracinement de l’occupation militaire et à la perpétuation du sort réservé à Jérusalem occupée », a déclaré l’Organisation de libération de la Directeurs de la publication Rédacteur en chef Alain Sayada Tel: 06 68 17 25 55 Israël Actualités est une marque déposée en France
Palestine (OLP) dans un communiqué. Quant au Honduras, dont le Parlement a adopté une résolution pour que son ambassade soit elle aussi transférée à Jérusalem, il ne s’est pas encore prononcé sur la date du déménagement. Un pays aligné sur les États-Unis Le transfert de l’ambassade du Paraguay, jusqu’alors située à Herzliya, près de TelAviv, a été accueilli de manière mitigée dans l’opinion publique.
Les États-Unis ont été les premiers, lundi dernier, à installer leur ambassade à Jérusalem, suivis du Guatemala deux jours plus tard. Washington avait annoncé en décembre dernier qu’il reconnaissait désormais Jérusalem comme capitale de l’État d’Israël et que son ambassade située à Tel-Aviv allait être déménagée.
Les Palestiniens aspirent à ce que Jérusalem-Est soit la capitale de leur futur État indépendant, alors qu’Israël considère la totalité de la ville comme sa capitale, y compris le secteur est, annexé par l’État hébreu lors de la guerre des Six Jours, en 1967. Source : https://ici.radio-canada.ca
La décision devrait cependant apporter au pays sud-américain une plus grande coopération avec Israël, en particulier dans les domaines de l’agriculture, de la sécurité et des technologies, si on en juge par les propos de Benyamin Nétanyahou. « Vous n’avez pas seulement le soutien de notre gouvernement, mais la profonde gratitude du peuple israélien. Nous n’oublions pas qui sont nos amis », a déclaré le premier ministre israélien au président Cartes. Le Paraguay fournit déjà à Israël environ 40% de sa viande de boeuf. Jérusalem la désirée Régie publicitaire exclusive Israël Sayada.com LTD N° 515801744 Tel : 058 755 81 02 Crédits photo Alain Azria : 06 21 56 22 13 Abonnement : 06 67 44 3000
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À LA UNE
Edition du 23 Mai 2018 au 30 Mai 2018 Explication avancée pour cet aveu qui fait voler en éclats la stratégie médiatique du Hamas sur les innocents massacrés : l’organisation d’Ismaël Haniyeh est en rivalité ouverte avec le Fatah de Mahmoud Abbas et a absolument besoin de mettre en avant le sacrifice de ses militants. L’envoyé spécial de Libération déplore que Netanyahou «capitalise» sur l’aveu du Hamas. Car la seule personne haïssable dans cette affaire, c’est lui. L’homme à abattre. L’homme à insulter. La presse anglo-saxonne a une tradition qu’ignore dédaigneusement la presse française : le follow-up. Ce qui implique qu’on suive, plusieurs jours après qu’il
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se soit déroulé, un évènement. Et qu’on corrige une erreur, qu’on rectifie une version fallacieuse des faits. Ainsi, il y a quelques jours, on a pu lire ici même un article avec ce titre choc : «Netanyahou meilleur ennemi d’Israël ?». La question de savoir ce que devait faire un Premier ministre face à 30 000 personnes déchaînées voulant franchir la frontière de son pays n’y était aucunement abordée. Ça a été jugé inutile. Et c’est ainsi que le sang des Palestiniens tués le long de la clôture séparant leur enclave de la frontière avec Israël continuera à retomber sur la tête des Israéliens. Mais ça, les Juifs ont l’habitude depuis 2000 ans…
Jérusalem : «Donald Trump a fait preuve de grandeur et de courage», selon Yann Moix Sur le plateau d’e l’émission de France 2 «On n’est pas couché» samedi 19 mai au soir, le chroniqueur a salué la décision du président américain de reconnaître Jérusalem comme étant la capitale d’Israël.
Gaza : révélations sur un «massacre»
La vérité sort de la bouche de Hamas. Un de ses principaux porte-parole a annoncé que sur les 60 Palestiniens tués par les tirs israéliens «50 étaient membres du Hamas» ! Des combattants donc…
détail comment les tireurs d’élite de l’armée ciblaient, le plus précisément possible, les activistes du Hamas repérés par les drones dans la foule. Qui les écoutait ?
Les Etats-Unis ont déménagé leur ambassade en Israël de Tel Aviv à Jérusalem lundi 14 mai, reconnaissant ainsi la ville sainte comme étant la capitale de l’Etat hébreu. Une décision controversée et vivement critiquée par la communauté internationale, qui a déclenché des affrontements sanglants entre militants palestiniens et Tsahal à Gaza. Mais selon Yann Moix, sur le plateau de l’émission de France 2 «On n’est pas couché» samedi 19 mai, le président américain «a fait preuve de grandeur et de courage» dans cette prise de décision. «Trump a été grand»
La presse de l’état hébreu expliquait en
Quelques lignes quand même dans Libération. L’envoyé spécial du journal s’est rendu dans l’enclave palestinienne et là, force lui a été de se rendre à l’évidence. D’autres porte-paroles du Hamas lui ont confirmés que les 50 morts étaient bien des membres de l’organisation palestinienne.
Il a entériné quelque chose qui est évident depuis des milliers d’années. N’en déplaise à tous ceux qui m’écoutent, Jérusalem est la capitale d’Israël et des Juifs», lâche-til. Interrogé au sujet du bain de sang qui s’en est suivi à Gaza, et alors que le conflit israélo-palestinien ne cesse de se tendre, le chroniqueur se veut pragmatique. «Il n’y a jamais de bon moment. Il n’y a pas eu de bon moment depuis des décennies. Il le fait, c’est un acte de courage, et on peut évidemment déplorer les morts palestiniens […] Mais je trouve que c’est un acte fort à un moment difficile, délicat ; plus tard, ça aurait peut-être été encore plus impossible […] Je trouve que Trump a été grand», assure-t-il.
Gaza: la réponse d’Israël aux manifestants «totalement disproportionnée» (Haut-Commissaire ONU) La réponse d’Israël aux manifestations palestiniennes à Gaza a été «totalement disproportionnée», a estimé le HautCommissaire aux droits de l’Homme de l’ONU, Zeid Ra’ad Al Hussein, qui soutient l’idée d’une enquête internationale indépendante.
On est loin de la foule présentée comme pacifique et désarmée, loin des civils innocents massacrés par Tsahal. Le gouvernement israélien s’époumonait à le dire depuis des jours.
«Je vais assumer mes propos […], mais je pense que là, Trump a fait preuve de grandeur et de courage.
Le fort contraste dans le nombre de victimes des deux côtés suggère que la réponse (d’Israël) était totalement disproportionnée», a déclaré le HautCommissaire en ouverture de la session extraordinaire que le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU a décidé d’organiser sur la situation «dans les territoires occupés palestiniens».Il a affirmé que «les morts résultent d’un usage illégal de la force» et soutenu «les appels de nombreux Etats et observateurs en faveur d’une enquête qui soit internationale, indépendante et impartiale». Selon Zeid Ra’ad Al Hussein, les actes des Palestiniens durant les récentes
manifestations ne semblaient «pas constituer une menace imminente de mort ou de blessure mortelle pouvant justifier l’usage d’une force meurtrière».Le HautCommissaire a rappelé que les Palestiniens avaient les mêmes droits que les Israéliens mais que, «de fait, ils sont retenus captifs dans un taudis de leur naissance à leur mort».»L’occupation doit cesser, pour faire en sorte que les Palestiniens puissent être libérés, mais aussi pour que le peuple d’Israël en soit libéré. Mettez fin à l’occupation, et la violence et l’insécurité s’estomperont largement», a estimé M. Zeid.En réponse à l’organisation de cette session extraordinaire, Aviva Raz Shechter, la représentante permanente d’Israël au Palais des Nations, siège de l’ONU à Genève, a déploré qu’»une fois de plus», le Conseil des droits de l’Homme verse dans «une obsession anti-Israël» et se laisse duper par «l’utilisation cynique que fait le Hamas de son propre peuple». Source : https://www.i24news.tv
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à Gaza», a par exemple écrit l’armée dans un tweet, accompagné d’un dessin qui représente une scène de chaos côté palestinien, avec notamment l’image d’un cerf-volant paré d’une croix gammée. Tout
un contraste avec la vie paisible qui s’écoule côté israélien. Source : http://www.israelvalley.com/
Des militants de BDS bénissent sans le savoir Tsahal et Bibi
Surprise en Israël. Sur Gaza, forte auto critique du porte-parole de Tsahal Tsahal regrette de ne pas avoir été capable de limiter l’onde de choc provoquée par la mort des dizaines de Palestiniens, tués par des soldats israéliens. «Nous n’avons pas été en mesure de faire passer ce message de notre côté, de ce que nous défendons. Et de très loin la « version gagnante » – par KO – ont été les images du côté palestinien», a ainsi déploré le porte-parole de l’armée israélienne Jonathan Conricus dans les colonnes du journal Haaretz, reconnaissant que les snipers avaient tué certaines personnes par accident.
L’armée israélienne est très active sur les réseaux sociaux pour justifier le recours à la force à Gaza. Elle dresse le tableau de terroristes du Hamas armés jusqu’au dents, qui veulent franchir la frontière pour attaquer les civils israéliens. Pour défendre devant l’opinion publique son action à Gaza,Tsahal n’a pas ménagé ses efforts, comme en atteste son activité sur les réseaux sociaux.
Un juif infiltré dans une manifestation de BDS à Paris fait réciter à des activistes, à leur insu, une bénédiction en faveur des soldats de Tsahal et du Premier ministre Netanyahou.
Sur son compte Twitter officiel, l’armée israélienne a fait son possible pour diffuser sa communication. «Moins d’un kilomètre sépare les civils israéliens des émeutes
Ils pensaient sans doute répéter une formule en arabe à la gloire de la « cause palestinienne ». A mourir de rire ! Ces militants BDS anti-
israéliens sont pris au piège tendu par un juif parisien infiltré dans une énième manifestation anti israélienne. Le « piégeur » transforme en fait, la bénédiction pour le salut d’Israël récité dans toutes les synagogues le chabbat. « Bénis soient nos pères saints. Béni les soldats de Tsahal ainsi que le peuple d’Israël et Bibi Netanyahou… Amen « . http://www.coolamnews.com
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Navire du futur : Energy Observer le 19 mai en Israël, 16éme étape de son tour du monde A l’occasion de l’arrivée du navire Energy Observer en Israël, Victorien Erussard, capitaine et fondateur, premier Ambassadeur des objectifs de développement durable pour la France, et Jérôme Delafosse, chef d’Expédition, organisent un point presse lundi 21 mai à Herzliya en Israël. Energy Observer, le premier navire électrique propulsé aux énergies renouvelables et à l’hydrogène, accomplit en ce moment une Odyssée pour le futur de 6 ans, fera escale dans 50 pays et fera 101 escales. Le navire arrivera samedi 19 mai à Tel Aviv en Israël, seizième étape de son tour du monde, et accueillera les journalistes pour une visite exclusive le lundi 21 mai. Il sera amarré à la marina d’Herzliya jusqu’au 27 mai. Après un tour de France en 2017, Energy Observer poursuit son tour du monde. Cette expédition teste en conditions extrêmes une architecture énergétique innovante reposant sur un système de production, gestion et stockage intelligent de l’énergie. Grâce à la mixité des énergies renouvelables (solaire, éolienne et hydrolienne) et du double stockage batteries et hydrogène produit à bord à partir de l’électrolyse de l’eau de mer, le navire vise l’autonomie énergétique. Ce « smart grid » flottant préfigure les réseaux énergétiques de demain, décarbonnés, décentralisés et digitalisés, avec pour ambition de rendre ce système applicable sur terre à grande échelle. Energy Observer est le premier navire
hydrogène autonome en énergie sans émission de gaz à effet de serre ni particules fines. Ce navire du futur à propulsion électrique fonctionne grâce à un mix d’énergies renouvelables et un système de production d’hydrogène décarbonée à partir de l’eau de mer. Ce défi technologique et scientifique a pour ambition de tester en conditions extrêmes des technologies de pointe préfigurant les réseaux énergétiques de demain, applicables en milieu terrestre. Energy Observer accomplit actuellement une odyssée pour le futur de six ans (2017-2022), 50 pays, 101 escales, afin de sensibiliser le grand public aux thèmes majeurs de la transition écologique, notamment les énergies renouvelables, la biodiversité, la mobilité et l’économie circulaire, lors de ses escales sur son village itinérant, sur les réseaux sociaux et à travers une collection documentaire. Ce tour du monde est mené par Victorien Erussard, fondateur et capitaine, et premier ambassadeur des 17 objectifs de développement durable de l’ONU pour la France, et Jérôme Delafosse, chef d’expédition et réalisateur de documentaires. Energy Observer a reçu le Haut Patronage de Monsieur Emmanuel Macron, Président de la République française, ainsi que le soutien officiel de l’Union Européenne, l’UNESCO et l’IRENA. Source : https://www.i24news.tv
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Aucune nation au monde ne pourrait accepter une telle situation.
Comme au pire temps de l’intifada, les médias et les politiques sont tombés à bras raccourcis sur Israël après la terrible journée de lundi, où plusieurs dizaines de Palestiniens ont trouvé la mort à Gaza. Certains ont même franchi la ligne rouge, comme ce chef de file des sénateurs républicains - Bruno Retailleau pour ne pas le citer – qui osa dire sur l’antenne de Cnews qu’Israël «perdait de sa légitimité». Je ne reviens pas sur les déclarations des traditionnels compagnons de route des Palestiniens, comme Jean-Luc Mélenchon, qui a exigé que l’ambassadrice d’Israël soit convoquée à l’Elysée, «la paix agonisant sous les coups de Netanyahou... « Et je n’oublie pas la sévère déclaration de Monsieur Macron, qui a «condamné ces actes odieux - et ces victimes civiles - qui ont été commis en particulier sur la journée de lundi et en réalité encore dans les dernières heures”. On aurait apprécié que le Président de la République nous explique ce que peut faire et ce qu’a le droit de faire un état démocratique pour protéger sa frontière face à des centaines, des milliers de personnes qui tentent de la franchir avec l’intention manifeste de nuire.
Car la foule de 50 000 Gazaouis massée devant la frontière israélienne et cachant en leur sein des dizaines de terroristes munis de cocktails Molotov, d’armes automatiques, de couteaux de boucher, n’avait rien de pacifique ce lundi. Rappelons aux observateurs parisiens que l’armée israélienne à Gaza n’était pas confrontée - comme l’a été la police parisienne le 1er mai - à quelques centaines de jeunes gauchistes déguisés en black bocks et détruisant un Mac Donalds à coups de pieds rageurs mais bien à des terroristes venus franchir une frontière pour tenter d’enlever ou d’assassiner des soldats israéliens. Car il s’agit hélas d’une guerre à laquelle est confrontée depuis dix ans Israël et que mènent sans relâche les islamistes du Hamas, une guerre cruelle et meurtrière où les premières victimes sont hélas les habitants de Gaza. Israël n’a pas d’autre choix que de se défendre pour protéger sa frontière et son peuple. Parler de retenue dans une telle situation, équivaut à demander aux israéliens de baisser les armes face à des envahisseurs. Aucune nation au monde ne pourrait accepter une telle situation. Jack-Yves Bohbot
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L’équipe de Yoni Chetboun vous L’Egypte tient pour responsable le appelle à mettre ses affiches sur vos Hamas des provocations contre Israël Des sources égyptiennes révèlent que le témoins de cette rencontre ont révélé que le chef du Hamas Ismaïl Hanyeh avait été chef du Hamas a carrément été humilité et balcons. convoqué d’urgence lundi au Caire en des éclats de voix ont été entendus hors de prévision des marches de provocation vers la clôture de sécurité. Il y avait été reçu par Kamil Abbas, le chef des renseignements égyptiens, qui sont généralement le canal par lequel passent les messages israéliens à l’intention de l’organisation terroriste et vice-versa.
Yoni Chetboun rentre dans une nouvelle phase de campagne qui démontre que «Netanya veut un nouveau maire». Dans son nouveau clip de campagne, des habitants de Netanya issus de tous les quartiers de la ville insistent sur l’impérieuse nécessité d’un renouvellement des dirigeants de la ville. (pour visionner le clip : https://youtu.be/tKB9eMK9zCs) « Cette semaine, cela fera exactement quatre mois que j’ai annoncé ma candidature au poste de maire de Netanya. Depuis des mois, nous allons à la rencontre de tous les habitants de Netanya préoccupés par de nombreux sujets comme l’éducation, le social, la culture, le commerce, la propreté, les transports, les logements… Sur ces thèmes et bien d’autres encore, ils réclament du changement. Ce ressenti se confirme d’ailleurs dans les
sondages publiés dans les médias locaux au cours des derniers mois qui indiquent clairement qu’il existe une majorité absolue dans la ville qui souhaite voir un nouveau visage à la mairie après tant d’années de règne de Myriam Fayerberg. L’alliance politique entre Yoni Chetboun et Herzl Keren est également très appréciée sur le terrain : fort d’une expérience de 30 ans d’action publique, ce dernier a annoncé son ralliement à Yoni Chetboun afin d’unir leurs forces de manière à opérer ce changement tant attendu à Netanya. Yoni Chetboun et son équipe ont commencé une campagne d’affichage dans toute la ville: si vous aussi, vous voulez prendre part à cette révolution qui s’annonce, contacteznous au 0559618648 ou sur le site de campagne www.fr.yonichetboun.co.il pour installer une affiche sur votre balcon. Merci d’avance pour votre soutien.
Ces sources indiquent qu’Ismaïl Hanyeh y avait été sermonné après que les Israéliens aient fourni aux renseignements égyptiens des preuves que le Hamas paie des habitants de Gaza pour qu’ils s’approchent de la clôture de sécurité au risque d’y mourir et même qu’ils les menacent au cas où ils refuseraient de s’y rendre. Israël avait notamment transmis des photos montrant des terroristes du Hamas donnant des liasses de billets à des jeunes. Les Egyptiens avaient fait part à Ismaïl Hanyeh de leurs craintes d’affrontements violents avec de nombreuses victimes. Des
Les Egyptiens avaient alors prévenu le chef terroriste: si ces manifestations provoquent des morts du côté des habitants de Gaza, la responsabilité entière en incombera à la direction du Hamas et que “l’Histoire ne lui pardonnera pas pour les morts qu’il aura provoqués”. On ne peut pas en dire autant de la France… Kamil Abbas avait également prévenu Ismaïl Hanyeh de la possibilité d’une reprise des éliminations ciblées de chefs du Hamas et du Jihad Islamique par Tsahal et qu’à ce moment, l’Egypte et d’autres pays arabes se contenteraient de condamnations déclaratives pour le principe. A l’issue de la réunion, le chef du Hamas avait promis “d’en parler à sa direction”. On sait ce qu’il en a été ensuite… Source : http://www.europe-israel.org
$4 millions levés par Chakratec (Israël). Recharge de véhicules électriques.
Le dernier tour de financement permettra à la société israélienne de mener ses trois premiers projets pilotes en Europe avec trois des principaux services publics d’Europe.
Chakratec, la société de recharge de véhicules électriques israéliens (VE), a annoncé l’achèvement de son troisième tour de financement au cours duquel elle a levé 4,4 millions de dollars auprès du groupe israélien iArgento et de Goldbell à Singapour. Le premier investisseur de Chakratec était Capital Nature, qui reste le premier actionnaire de la société. Chakratec a recueilli 7,6 millions de dollars à ce jour. Le dernier tour de financement permettra à la société basée à Lod de mener ses trois premiers projets pilotes en Europe avec trois
www.israel-actualites.com
la pièce où se tenait la rencontre.
des principaux services publics d’Europe. Le succès de ces pilotes conduira à des premières commandes plus tard cette année. Ilan Ben-David, PDG de Chakratec, a déclaré: «On a développé une technologie innovante de recharge des véhicules électriques qui évite d’avoir à moderniser le réseau électrique, permettant le déploiement de systèmes de recharge rapide des véhicules électriques. La société mène actuellement des projets pilotes avec trois fournisseurs mondiaux d’énergie qui considèrent notre technologie comme la solution pour réduire les temps de recharge des véhicules électriques et facilitent la pénétration du marché mondial par les véhicules électriques. » Source : israelValley & Globes
À LA UNE 37 % des habitants de Jérusalem sont ultraorthodoxes.
Les jeunes de moins de 16 ans sont nombreux au sein des ultra-orthodoxes de Jérusalem. Dans l’ensemble, ils comptent pour 37 % des habitants de la ville. Ces chiffres, cités par la journaliste Peggy Cibor, sont les plus récentes statistiques qui émanent du Jerusalem Institute for Policy Research. Cette poussée démographique se reflète dans les prévisions de l’OCDE, qui estime que, d’ici 2060, les communautés haredim et arabes représenteront la moitié de la population d’Israël. Selon ici.radio-canada.ca : « À JérusalemOuest – puisque c’est essentiellement là qu’elle vit –, la population ultra-orthodoxe (ou haredim, en hébreu) est particulièrement concentrée dans trois quartiers. On la trouve par contre de plus en plus mélangée aux juifs non orthodoxes. Durant le sabbat, toutes les activités extérieures doivent être réduites pour se concentrer sur la famille. Dans les quartiers à majorité ultra-orthodoxe, la circulation automobile est carrément interdite. La Ville de Jérusalem installe des barrières et des panneaux de circulation, et les commerces sont tous fermés. Sabbat ou non, les murs du quartier de Mea Shearim sont ornés d’affiches qui encouragent les femmes à s’habiller pudiquement, au risque de se faire insulter ou cracher dessus si elles montrent leurs bras ou leurs jambes. Les partis politiques qui représentent les haredim ont fait des tentatives au fil des années pour que le sabbat soit respecté aussi strictement ailleurs dans la ville, où des restaurants non cacher, des bars, des stations-service et même un ou deux supermarchés restent ouverts. Nava Hefetz, une femme rabbin libérale qui dirige le programme éducatif Rabbis for Human Rights (Rabbins pour les droits de la personne), explique qu’un mouvement est même né pour obliger les petites épiceries, où se trouvent souvent des guichets automatiques, à fermer du vendredi au samedi. Il y a eu une «gueulante», dit-elle – une clameur de protestation des Hiérosolymitains (les résidents de Jérusalem) qui ne sont pas prêts à se passer de ce service ». Source : http://www.israelvalley.com
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Un tribunal israélien refuse d’ajourner l’expulsion d’un responsable de HRW
Un tribunal israélien de Jérusalem a refusé jeudi de repousser l’expulsion d’un directeur local de Human Rights Watch (HRW), accusé par les autorités israéliennes de «soutenir le boycott» de l’Etat hébreu.Cette décision a été annoncée par le responsable concerné, Omar Shakir, citoyen américain, qui a ajouté avoir désormais une semaine pour quitter Israël. «Le juge a rejeté notre demande d’ordonnance provisoire qui m’aurait permis de rester dans le pays jusqu’à ce que l’appel soit examiné», a-t-il dit. «Le juge m’a donné jusqu’au 24 mai pour partir». HRW va saisir la Cour suprême, selon lui. Le ministère de l’Intérieur avait donné à
Iran: la Commission européenne a lancé la procédure pour bloquer les sanctions américaines La Commission européenne a lancé vendredi la procédure officielle visant à activer la «loi de blocage», afin de contrecarrer les effets extraterritoriaux des sanctions américaines pour les entreprises européennes voulant investir en Iran, comme annoncé la veille par son président Jean-Claude Juncker.Cette réglementation européenne avait été créée en 1996 pour contourner l’embargo sur Cuba, mais jamais utilisée car la crise avait été résolue politiquement. Bruxelles espère pouvoir l’adapter d’ici le 6 août, lorsque les premières sanctions nouvellement décidées par les Etats-Unis prendront effet, explique la Commission dans un communiqué.»Nous devons maintenant agir», avait justifié M. Juncker jeudi à l’issue d’un sommet européen à Sofia, où il a reçu le soutien «unanime» des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE. Après le retrait des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien (JCPOA), les Européens se sont engagés pour le poursuivre.»La levée des sanctions liées au nucléaire est une part essentielle du JCPOA. L’Union Source :http://www.europe1.fr
M. Shakir deux semaines pour partir après avoir décidé de mettre fin à son permis de séjour en l’accusant de «soutenir le boycott d’Israël». M. Shakir dément tout soutien au boycott et accuse Israël de chercher à faire taire une organisation très critique, sur fond de persistance du conflit israélo-palestinien. Israël est en butte à une campagne globale de boycott économique, culturel ou scientifique, destinée à obtenir «la fin de l’occupation et de la colonisation des Territoires palestiniens». Israël combat le boycott comme une menace stratégique attentant à sa légitimité. Source : https://www.i24news.tv
Israël: l’armée vise le Hamas à Gaza en riposte à des tirs sur Sderot
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L’aviation de l’armée israélienne a frappé dans la nuit de mercredi à jeudi des positions de l’organisation terroriste Hamas à Gaza, en riposte à des tirs à l’arme lourde contre la ville israélienne frontalière de Sderot, a-t-elle indiqué dans un communiqué.L’armée a visé en tout 7 positions du Hamas «en réponse aux tirs» contre Sderot, «et de nombreuses attaques par tirs au cours de la journée». Plus tôt mercredi, des chars israéliens avait déjà ciblé à deux reprises le Hamas à Gaza suite à des tirs d’artillerie lourde contre des habitations de la ville de Sderot. Ce nouvel échange de tirs intervient alors que l’escalade militaire entre l’organisation terroriste et Israël s’accentue de jour en jour après les violents affrontements survenus aux frontières avec l’Etat hébreu le jour de l’inauguration de l’ambassade américaine à Jérusalem.Répondant à l’appel du Hamas - qui a reconnu mercredi que 50 des 62 morts appartenaient à leur organisation des dizaines de milliers de manifestants palestiniens se sont massés près des clôtures de sécurité séparant Gaza à Israël. Plusieurs groupes ont tenté d’endommager ces clôtures et s’infiltrer sur le territoire israélien. Selon Tsahal, ces groupes souhaitaient se rendre dans les localités israéliennes voisines afin de «commettre des massacres contre les civils israéliens». Source : https://www.i24news.tv
À LA UNE
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La compagnie d’engagement sportif Quarterback (Israël) amasse $2,5 millions.
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L’économie israélienne a progressé de 4,2% au premier trimestre 2018.
streamers populaires et aux pros d’espérer «s’engager continuellement» avec leurs fans pendant les temps d’arrêt en créant une ligue autour de chaque fan club. Ces ligues offrent une variété de fonctionnalités, y compris des défis quotidiens pour chaque fan, des cadeaux, et même des opportunités de compétition contre d’autres clubs, qui courent même si le pro ou streamer est horsligne. La start-up d’engagement des fans de sport israéliens Quarterback a levé 2,5 millions de dollars en financement de démarrage dirigé par BITKRAFT Esports Ventures et avec la participation de Crest Capital Ventures, Deep Space Ventures, UpWest Labs et d’autres investisseurs providentiels. Les investisseurs précédents incluent LA Fusion et la famille Lagziel. La société a été fondée par le PDG Jon Weinberg, le directeur technique Alex Mazyarik, le vice-président R&D Yevgeni Volovich et l’architecte en chef Dror Cohen. Les nouveaux fonds serviront au développement continu de la plateforme de Quarterback et à l’accélération de la croissance de l’entreprise. La plate-forme de Quarterback permet aux
Weinberg a déclaré: « Avec une augmentation continue de l’audience et de la popularité, les créateurs de contenu vidéo de gameplay en ligne, les streamers et les joueurs professionnels cherchent de nouvelles façons de s’engager avec leurs communautés et de générer des revenus. Notre plate-forme permet à l’influenceur de s’engager directement avec ses fans pour créer une implication communautaire accrue et un nouveau flux de revenus, même lorsqu’ils sont hors ligne. Source : israelValley & Globes
Cette dernière croissance suit la hausse de 4,4% sur une base annualisée au quatrième trimestre de 2017, selon le Bureau central des statistiques. L’économie d’Israël reste robuste avec les derniers chiffres du Bureau central des statistiques montrant que le produit intérieur brut (PIB) a progressé à un taux annualisé de 4,2% au premier trimestre de 2018. Ceci suit la croissance de 4,4% au quatrième trimestre de 2017 et 4.1 % de croissance au troisième trimestre de 2017. Le Bureau central des statistiques souligne qu’il s’agit d’une estimation préliminaire, qui ne repose pas sur l’ensemble des données et qui est susceptible d’être révisée.
Une analyse de la croissance trouve une croissance à deux chiffres dans presque tous les paramètres. La consommation privée a augmenté de 10% au premier trimestre, les investissements en capital fixe ont progressé de 12,8%, les exportations de biens et de services de 11,4% et les dépenses publiques aussi de 11,4%. Les importations de biens et services ont augmenté de 23,4% après une hausse de seulement 6,1% au quatrième trimestre de 2017. La haute technologie demeure le moteur de la croissance de l’économie. Les exportations de logiciels et de produits de communications ont augmenté de 26,8% au premier trimestre. Source : http://www.israelvalley.com
SÉCURITÉ
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CPI: Israël juge la saisine palestinienne «juridiquement invalide»
L’État d’Israël a fustigé mardi la demande palestinienne de «saisine» de la Cour pénale internationale (CPI) d’enquêter sur les allégations de violations des droits de l’homme liées à la politique d’implantation israélienne en Cisjordanie et à Jérusalem-Est, indique un communiqué du ministère israélien des Affaires étrangères.»Israël considère la requête palestinienne devant la Cour pénale internationale comme une mesure cynique qui n’est pas juridiquement valable», souligne le communiqué. «L’Autorité palestinienne continue d’abuser du Tribunal à des fins politiques plutôt que de promouvoir des négociations», déplore le ministère. «Il est ridicule que les Palestiniens fassent la demande alors qu’ils continuent d’inciter au terrorisme et utilisent des enfants et des femmes comme boucliers humains sous le couvert de leurs tentatives violentes de nuire
à la sécurité des citoyens israéliens», est-il précisé. Concernant la saisine de la CPI, l’Etat hébreu souligne que la démarche n’est «juridiquement pas valide et que la cour n’a aucune compétence sur la question israélopalestinienne» car «Israël n’est pas un Etat membre de la cour et l’Autorité palestinienne n’est pas un Etat».»Israël s’attend à ce que le tribunal et le procureur ne se soumettent pas aux pressions palestiniennes et ne permettent pas aux Palestiniens d’accentuer la politisation de la cour», ponctue le communiqué.Le ministre palestinien des Affaires étrangères Riyad al-Maliki s’est entretenu mardi avec la procureure générale de la CPI à qui il a présenté une requête concernant les allégations de violations des droits de l’homme liées aux politiques de d’implantation en Cisjordanie.Plus tard, M. al-Maliki tiendra une conférence de presse, avant de rencontrer le ministre néerlandais
des Affaires étrangères Stef Blok.L’Autorité palestinienne a rejoint la CPI en janvier 2015. La Cour est compétente pour juger les crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Israël, pour sa part, a signé le
traité de la CPI mais ne l’a jamais ratifié. Source :https://www.i24news.tv
Israël: la Knesset débattra de la reconnaissance du génocide arménien La Knesset débattra mercredi de la reconnaissance du génocide arménien par Israël, ont rapporté mardi les médias israéliens. C’est la première fois depuis des années que le ministère des Affaires étrangères ne s’oppose pas à un débat sur le massacre par l’Empire ottoman de 1,5 million d’Arméniens durant
Turquie le lendemain. De son côté, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a fustigé le président turc Erdogan, «un des plus grands partisans du Hamas».AFP, Avishag Shar Yeshuv Netanyahu and Erdogan AFP, Avishag Shar Yeshuv Ankara entretient des rapports délicats avec Israël. Si elle a
France, l’Italie et la Russie, ont reconnu qu’il y avait eu un génocide.Mais Ankara refuse catégoriquement l’utilisation du terme de «génocide», évoquant des massacres réciproques sur fond de guerre civile et de
conclu en 2016 un accord de normalisation des relations avec Israël, après plusieurs années de froid, la Turquie continue de critiquer régulièrement la politique israélienne.Mardi, le président turc Erdogan a par ailleurs déclaré que les relations économiques entre Ankara et l’Etat hébreu seront révisées après les élections prévues en juin 2018.Les Arméniens estiment qu’un million et demi des leurs ont été tués de manière systématique à la fin de l’Empire ottoman entre 1915 et 1917. Nombre d’historiens et plus de vingt pays, dont la
Source : https://www.i24news.tv
32 missiles tirés sur Israël durant l’attaque iranienne sur le Golan L’Iran a tiré 32 missiles contre Israël depuis la Syrie lors de l’attaque du 10 mai, et non 20 comme annoncé au début du mois, a déclaré mardi le commandant de l’armée de l’air israélienne, le général Amikam Norkin.»L’Iran a lancé 32 missiles et nous en avons intercepté 4», a indiqué le général Norkin. «Le reste est tombé en dehors du territoire israélien», a-t-il précisé lors d’une conférence donnée à Herzliya.
la Première Guerre mondiale.Israël s’est depuis toujours abstenu de reconnaître formellement le génocide arménien en raison de ses relations diplomatiques avec la Turquie et l’Azerbaïdjan.Mais la fragile relation entre Israël et la Turquie a été fortement perturbée la semaine dernière après qu’Ankara a qualifié de «massacre» la mort de plus de 60 Palestiniens, dont la majorité des membres du Hamas, durant les affrontements à la frontière de Gaza, rappelant par la suite son ambassadeur d’Israël et expulsant l’envoyé israélien en
famine ayant fait des centaines de milliers de morts dans les deux camps.
Début mai, l’armée israélienne a cependant fait savoir que l’unité Qods de la Garde révolutionnaire iranienne avait lancé 20 missiles de type Fajr-5 et Grad vers le Golan israélien.Selon Norkin, lors de la riposte israélienne à l’attaque iranienne, la Syrie a tiré plus de 100 missiles antiaériens sur les avions de chasse de Tsahal, sans succès. En représailles, Israël a détruit des batteries antiaériennes.Au total, l’Etat hébreu a frappé 50 cibles, principalement iraniennes, en Syrie. «Nous gérons une campagne contre les forces iraniennes, en particulier à la frontière nord d’Israël» depuis deux ans, a souligné le général Norkin.Durant son discours, le chef de l’armée de l’air israélienne a notamment
indiqué qu’Israël a déjà frappé des cibles au Moyen-Orient à l’aide de son nouvel avion de combat furtif F-35 Adir, devenant le premier pays à utiliser le jet de fabrication américaine au combat.»Nous pilotons le F-35 dans tout le Moyen-Orient. Cela fait partie de nos capacités opérationnelles. Nous sommes les premiers à utiliser le F-35 au Moyen-Orient et nous avons déjà attaqué deux fois sur des fronts différents «, a-t-il déclaré en projetant une photo d’un F-35 israélien survolant Beyrouth.Avec une signature radar extrêmement faible, le F-35 peut opérer à l’intérieur des territoires ennemis comme l’Iran et échapper aux systèmes avancés de défense antimissile tels que le système russe S-300.Israël paie ses premiers avions 110 millions de dollars pièce mais Lockheed, le constructeur de l’appareil, compte faire réduire ce prix à 85 millions de dollars (72 millions d’euros) en 2019 ou 2020.Ayant reçu en décembre neuf F-35, l’armée israélienne doit en recevoir un total de 50 avions pour former deux escadrons complets d’ici 2024. Source : https://www.i24news.tv
SÉCURITÉ
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Cisjordanie: attaque contre des véhicules israéliens, les suspects recherchés
Plusieurs véhicules civils israéliens ont été visés mardi par tirs près du village de Na’ama à l’ouest de Ramallah en Cisjordanie, a rapporté l’armée israélienne. D’après les premières informations, les tirs provenaient d’un véhicule palestinien, a indiqué l’armée ajoutant qu’elle recherche activement les suspects. Aucun blessé n’est à déplorer.Cet évènement intervient alors que 11 suspects palestiniens ont été arrêtés dans la nuit de lundi à
mardi lors d’une opération conjointe des forces de sécurité israéliennes à Abou Dis en Cisjordanie, indique un communiqué militaire.Les individus appréhendés étaient recherchés pour des faits de terrorisme, troubles à l’ordre public et violences contre des civils et les forces de sécurité israéliennes. Lors des arrestations, une violente émeute a éclaté entre certains habitants de la ville et l’armée israélienne qui a dispersé les fauteurs de troubles à l’aide de moyens anti-émeutes. Source : https://www.i24news.tv
«Certains médias ont aidé le Hamas en publiant ses mensonges» (porte-parole de Tsahal) Le brigadier-général israélien Ronen Manelis a publié dimanche une longue tribune au sein du quotidien américain The Wall Street Journal (WSJ).L’occasion pour le porte-parole de Tsahal de revenir sur l’escalade de violences qui a lieu chaque semaine à Gaza depuis le début des protestations de la Marche du retour, et sur la responsabilité de certains médias quant à leur couverture de ces événements. Dès le début de son intervention dans le WSJ, le brigadier-général rappelle qu’en tant qu’ancien chef du renseignement de la division de Gaza (2012 - 2014) il a appris à connaître le fonctionnement du Hamas et de ses porte-paroles tels que Sami Abu. Pour Ronen Manelis, «leur modus operandi est simple: mentir». Selon le brigadier-général, «leurs mensonges soutiennent l’objectif déclaré du Hamas: la délégitimisation et la destruction d’Israël». Et pendant des semaines, de nombreux médias internationaux ont été aveuglés par cette propagande, estime-t-il.Les communicants du Hamas «se sont rués vers
la presse la semaine dernière pour déplorer la mort de civils innocents. Mais un haut responsable du Hamas, Salah Bardawil, a déclaré dans une interview accordée à une chaîne de télévision palestinienne le 16 mai: ‘Lors des derniers affrontements, si 62 personnes sont mortes en martyres, 50 d’entre elles faisaient partie du Hamas’». Le mouvement palestinien «a lui-même confirmé que 80% des personnes tuées lors de ses violentes émeutes lundi dernier étaient des membres d’un groupe terroriste, et non des civils innocents», ajoute Ronen Manelis dans sa tribune.Plusieurs autres victimes ont quant à elles été revendiquées par le Djihad islamique palestinien. Le 13 mai, Mahmoud Al-Zahar, cofondateur du Hamas, a déclaré dans une interview à Al Jazeera: «Quand nous parlons de ‘résistance pacifique’, nous trompons le public», précisant que les mouvements de protestations étaient soutenus par les armes. «Mise en scène et propagande» «Les porte-paroles du Hamas ont orchestré une opération de propagande terroriste bien huilée», estime Ronen Manelis. «Derrière la
mise en scène, il y avait un plan qui menaçait la frontière israélienne et les civils». Dans sa tribune au Wall Street Journal, le brigadier-général précise que le Hamas a fourni un transport gratuit aux civils – comprenant des femmes et des enfants depuis leurs domiciles jusqu’à la barrière de sécurité. «Le Hamas les a embauchés comme des figurants, payant 14 $ par personne ou 100 $ par famille pour leur présence - et 500 $ à ceux qui ont réussi à se blesser. Le Hamas a forcé tous ses commandants et ses agents à se rendre à la frontière habillés en civils, chacun servant comme directeur d’une zone, comme pour diriger leurs propres opérations».»Le public, c’était les médias internationaux. Le Hamas a donné à tous ceux qui avaient accès à une caméra vidéo un accès à une pièce avec une connexion Wi-Fi gratuite», précise le brigadier-général. Selon lui, l’armée israélienne possédait alors des informations précises selon lesquelles les émeutes violentes masquaient un plan d’infiltration massive en Israël afin de perpétrer un massacre contre les civils israéliens. «Le Hamas a qualifié cette manifestation de ‘protestation pacifique’ et une grande partie du monde s’est tout simplement laissée tomber dans le piège», précise Ronen Manelis.»L’idée qu’il s’agissait d’une manifestation pacifique est le plus grand mensonge de tous […]. Sous le contrôle du Hamas, il n’y a pas de liberté de parole, pas de liberté de réunion, pas de liberté de religion, pas de liberté de la presse. Il ne peut y avoir de protestation pacifique à Gaza, mais seulement des rassemblements organisés, sanctionnés et financés par le Hamas», poursuit le porte-parole de Tsahal.»Au cours des multiples assauts sur la frontière ce printemps, le Hamas a utilisé des mitrailleuses, des cocktails Molotov, des engins explosifs improvisés et des grenades. Des centaines de Gazaouïs ont tenté de faire exploser ou de détruire la clôture entre Gaza et Israël, avec l’intention d’infiltrer notre territoire souverain et d’atteindre des
Israéliens innocents qui vivent à quelques minutes de la frontière», ajoute Ronen Manelis dans sa tribune au quotidien américain. «Le 6 avril, le chef politique du Hamas, Yahya Sinwar, a déclaré: ‘Nous allons démolir la frontière [avec Israël] et nous arracherons leurs cœurs de leurs corps […]. Sur Facebook, le Hamas a posté des cartes indiquant les itinéraires les plus rapides menant aux foyers israéliens, aux écoles et aux garderies près de la frontière. Cela vous semble-t-il une protestation pacifique?», questionne le brigadier-général au sein du Wall Street Journal.»Certains médias ont aidé le Hamas en publiant ses mensonges plutôt que les faits. Le Hamas a obtenu une couverture médiatique négative envers Israël dès les premières émeutes violentes, le 30 mars, premier jour de cette opération de propagande. Le Hamas aurait alors pu revendiquer une victoire de propagande, stopper les violences et empêcher de nombreux morts. Mais pour le Hamas, les mensonges sont plus importants que les vies», estime Ronen Manelis.»Si pour gagner la guerre de propagande internationale j’ai besoin de mentir comme le Hamas, alors je préfère dire la vérité et perdre […]. La vraie différence entre Monsieur Abu Zuhri et moi, est qu’il s’endort chaque nuit en souhaitant la destruction de mon pays et la mort de mes enfants. Je vais me coucher avec l’espoir d’une vie meilleure pour ses enfants et les miens. Et c’est la vérité», indique le porteparole de l’armée israélienne, en conclusion de sa tribune. Source : https://www.i24news.tv
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Les Etats Unis et les pays du Iran : L’ayatollah Ahmad Khatami Golfe sanctionnent le Hezbollah menace de démolir Tel-Aviv et pour terrorisme Haïfa Dans un sermon du vendredi prononcé à Téhéran le 11 mai 2018, l’ayatollah Ahmad Khatami, membre de l’Assemblée des experts, a déclaré que l’Iran « renforce ses capacités balistiques jour après jour ». « Si Israël commet une erreur, nous transformerons Tel-Aviv et Haïfa en amas de ruines », a-t-il prévenu.
Les Etats-Unis et six pays du Golfe réunis au sein du Centre contre le financement du terrorisme (TFTC) ont annoncé mercredi des sanctions contre les dirigeants de l’organisation chiite libanaise Hezbollah, dont son chef Hassan Nasrallah, pour soutien au terrorisme. Ses sanctions visent en particulier les membres du conseil de la choura, l’organe décisionnaire du mouvement chiite créé en 1982 à l’initiative des Gardiens de la révolution iraniens, ainsi que des sociétés accusées de le financer. « En visant le conseil de la choura du Hezbollah, nos nations rejettent collectivement la fausse distinction entre
une soi-disant ‘aile politique’ et les desseins terroristes mondiaux du Hezbollah », a affirmé le secrétaire américain au Trésor, Steven Mnuchin, dans un communiqué. Le « Parti de Dieu », fidèle allié de l’Iran et ennemi juré d’Israël, est le principal mouvement armé libanais et un poids lourd politique qui a remporté, avec des partis alliés, les dernières élections législatives au Liban le 6 mai. Il combat en Syrie aux côtés du régime de Bachar al-Assad et est soupçonné d’armer les rebelles Houthis qui ont pris le contrôle d’une partie du Yémen.
S’adressant ensuite au président américain Donald Trump, Khatami a déclaré que le peuple était « plus unifié et plus fort que jamais » sous le slogan « Mort à l’Amérique ! ». Et d’ajouter que le camp pro-Trump de la région – qui inclut Israël, l’Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis et le Conseil de coopération du Golfe – deviendra « la chair à canon de l’Amérique » et que « de même que l’Amérique a pillé vos ressources, elle pillera vos âmes ». Le sermon a été diffusé sur la Première chaîne télévisée iranienne. Extraits : Ahmad Khatami : Voici la solution : la puissance militaire du pays doit être renforcée. Nous ne parlons pas de la bombe nucléaire. Mais à d’autres égards, notre politique est une politique de défense. […] La République islamique renforce ses
capacités balistiques jour après jour, afin qu’Israël, ce régime spoliateur, perde le sommeil, et que les cauchemars ne cessent de le hanter. Si Israël commet une erreur, nous réduirons en amas de ruines TelAviv et Haïfa. Ecoutez, M. Trump ! Il y a quelques jours, vous avez dit que [le slogan] « Mort à l’Amérique » perdait de sa force en Iran. Nous sommes à Téhéran, au cœur de la République islamique d’Iran, et le peuple ici, plus unifié et fort que jamais, dit : « Mort à l’Amérique ! » Foule : Mort à l’Amérique ! Mort à l’Amérique ! Ahmad Khatami : [Je dis] au camp qui soutient Trump dans la région – le régime sioniste, l’Arabie saoudite, Bahreïn, les EAU et le secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe : Vous vous êtes couverts de honte en vous alliant au régime sioniste, et cette marque de honte est indélébile. Je vous préviens que si quoi que ce soit arrive dans la région, vous deviendriez la chair à canon de l’Amérique, et de même que l’Amérique a pillé vos ressources, elle pillera vos âmes. Source : http://www.europe-israel.org
Source : http://www.europe-israel.org
Un grand bonheur attend-il les Nucléaire iranien: Angela Merkel israéliens en 2019 ?
« l’UE convient que l’accord sur le nucléaire n’est pas parfait » Les pays de l’UE conviennent que l’accord sur le nucléaire iranien « n’est pas parfait » mais qu’il faut le préserver, a déclaré jeudi à Sofia la chancelière allemande Angela Merkel au lendemain d’une discussion sur le sujet entre les 28. « Chacun dans l’UE partage le point de vue que l’accord n’est pas parfait, mais que nous devrions rester dans cet accord et poursuivre des négociations avec l’Iran sur d’autres sujets, comme les missiles balistiques« , a-telle dit devant la presse. Mme Merkel s’exprimait à l’ouverture d’un sommet entre les pays de l’UE et des pays des Balkans, précédé la veille d’un long dîner de travail à Sofia entre les 28, largement consacré aux conséquences des décisions de Donald Trump, défiantes visà-vis de l’Europe, sur le nucléaire iranien notamment.
« Nous allons oeuvrer pour maintenir le cadre de l’accord de 2015 quelles que soient les décisions américaines », a déclaré de son côté le président français Emmanuel Macron. Les Européens vont apporter leur « engagement politique et faire en sorte que nos entreprises puissent rester » en Iran, a dit M. Macron. Ils vont le faire « tout en conduisant toutes les parties a poursuivre les négociations sur un accord plus large indispensable », a-t-il ajouté. « L’accord de 2015 a besoin d’être complété par un accord sur le nucléaire après 2025, un accord sur les activités balistiques et la présence régionale », a-t-il fait valoir, reprenant ainsi les trois points principaux qui avaient conduit Trump à quitter l’accord. Source : http://www.europe-israel.org
La crise de Gaza brouille toutes les cartes? Adieu l’optimisme? IsraelValley est là pour vous remonter le moral ce vendredi. Excellent nouvelle pour Israël qui va accueillir l’Eurovision en 2019. Selon (1) : C’est scientifiquement prouvé ! Des chercheurs de l’‘Imperial College de Londres ont publié une étude dans la revue BMC Public Health dans laquelle ils ont analysé les données de l’enquête Eurobaromètre, effectuée par la Commission européenne, sur plus de 160.000 personnes vivant dans 33 pays européens de 2009 à 2015.
notre bien-être.
Cette étude montre que les habitants des pays participant à la grande finale de l’ Eurovision ont 13 % de chance de plus que les autres d’être satisfaits de leur vie.
« Des travaux antérieurs, menés par d’autres équipes dans le monde, ont montré que les événements nationaux peuvent affecter l’humeur et même la productivité – par exemple, la recherche suggère une augmentation de la productivité dans la ville victorieuse du Super Bowl », a conclu le chercheur ».
Cette probabilité d’être satisfaits de leur vie augmenté encore de 4 % de plus si leur pays réussissait à grimper de dix places au classement de l’Eurovision. Heureusement pour les Français qui n’ont pas gagné l’Eurovision depuis 1977, le fait de gagner ou non le concours n’a aucune influence sur
« Notre bien-être peut être influencé » L’étude est le fruit d’une conversation badine entre collègues de l’université. « Notre recherche montre que la science peut être utilisée pour tester des questions inattendues, mais plus important encore, nous espérons que cela encouragera les gens à considérer comment notre bien-être, et par conséquent notre santé, peuvent être influencés par divers facteurs dans la sphère publique », estime le Dr Filippidis, à la tête de l’étude.
Source : http://www.israelvalley.com
ISRAËL
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Dans une déclaration historique, le Bahreïn soutient « le droit d’Israël à se défendre »
Si plusieurs monarchies du Golfe partagent en coulisses une affinité discrète avec Israël, Bahreïn est la première à prendre officiellement le parti de l’État hébreu contre l’Iran. Bahreïn a brisé un tabou. Quelques heures après les frappes israéliennes contre des positions iraniennes en Syrie, qui auraient abouti à la destruction de 70 cibles militaires iraniennes, le petit royaume du Golfe a légitimé l’action de l’État hébreu en soulignant le « droit d’Israël de se défendre». Dans un tweet qui fera date dans l’histoire des relations israélo-arabes, le ministre bahreïni des Affaires étrangères, cheikh Khaled ben Ahmad al-Khalifa, a déclaré que « l’Iran a violé le statu quo dans la région et envahi des pays avec ses forces et ses missiles, et n’importe quel État, y compris Israël, a le droit de se défendre en détruisant les sources de danger ». Le message est clair : « Nous avons le même ennemi. » Autrement dit, l’Iran est perçu comme une plus grande menace que l’État hébreu pour Bahreïn, qui n’a probablement pas pu faire une telle sortie sans consulter préalablement l’Arabie saoudite. « La déclaration de cheikh Khaled est une rupture », souligne à L’Orient-Le Jour Michael Horowitz, consultant pour le Moyen-Orient à LeBeck International, basé à Bahreïn. « Il y a un rapprochement entre les États du Golfe et Israël, mais discret et non officiel, même si cette évolution est très discutée dans les médias. Les propos du ministre bahreïni tranchent par rapport aux non-déclarations des autres pays du Golfe », ajoute-t-il. Bahreïn s’est-il fait le porte-parole de la nouvelle vision stratégique des pays du Golfe ? C’est fort probable, compte tenu de la recomposition des alliances régionales en réponse au gain d’influence de Téhéran
dans les pays arabes. Les affinités entre l’État hébreu et les pays du Golfe, qui partagent une même aversion pour la République islamique d’Iran, sont ainsi devenues un secret de polichinelle. Mais pour les pétromonarchies, qui en recueillent des avantages sécuritaires et économiques, le coût politique d’un rapprochement avec Israël peut s’avérer extrêmement élevé, car il pourrait éroder le prestige saoudien dans les opinions publiques arabes, et renforcer le monopole iranien de la « résistance » à Israël. L’initiative bahreïnie peut ainsi s’interpréter comme un ballon d’essai. « L’Arabie saoudite a de bonnes raisons de maintenir cette relation secrète, car elle peut prêter le flanc à la rhétorique iranienne de collaboration avec l’ennemi sioniste. Bahreïn est un petit État et peut se permettre de tester les réactions internationales, même si je doute que cela serve complètement ses intérêts », explique M. Horowitz. Pour Israël, au contraire, cette relation n’a de sens que si elle est publique, car elle revient quelque part à normaliser l’existence de l’État hébreu au Proche-Orient. La déclaration de Bahreïn ne remet toutefois pas en question la politique des pays du Golfe par rapport au conflit israélo-palestinien. Ceux-ci semblent faire une nette distinction entre leur position par rapport aux tensions irano-israéliennes et leur soutien à la cause palestinienne. Autrement dit, il y a Israël contre l’Iran, et Israël face aux Palestiniens. Dans cette seconde « réalité », les pays du Golfe demeurent officiellement fidèles au plan arabe de paix (mis au point par le roi défunt Abdallah d’Arabie saoudite en 2002), qui implique une reconnaissance d’Israël en contrepartie, seulement, de la création d’un État palestinien sur la base des frontières de 1967. Politiquement payant Bahreïn a également ses propres raisons de prendre aujourd’hui le parti israélien. De
manière générale, le minuscule royaume présente une autre facette du rapprochement israélo-arabe. Des précédents moins retentissants ont précédé la déclaration d’hier. Au moment de signer son accord de libre-échange avec les États-Unis en 2004, le pays avait assuré publiquement qu’il ne boycotterait pas les entreprises américaines commerçant avec Israël. « La monarchie a une tradition de proximité avec la petite communauté juive de l’île », confirme M. Horowitz. Manama avait désigné comme ambassadrice de Bahreïn aux États-Unis une figure appartenant à cette quarantaine de nationaux juifs, Huda Azra Ibrahim Nunu. Un certain instinct de préservation de la dynastie régnante a aussi précipité la concrétisation du rapprochement avec Israël. Avec l’éclosion de l’axe Washington/ Tel-Aviv/Riyad contre Téhéran, Bahreïn a choisi de se ranger derrière les lignes qui menacent le moins ses intérêts. Le retrait américain de l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien a satisfait sur toute la ligne simultanément les Israéliens et les Saoudiens. Il est politiquement payant pour Manama de dénoncer l’agressivité de l’Iran pour renforcer sa relation avec Riyad et Washington. L’empathie pour les inquiétudes existentielles de l’État hébreu est un gage supplémentaire donné aux deux
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puissances tutélaires du « petit poucet » du Golfe. « Bahreïn ressent la menace iranienne bien plus intensément que les autres États du Golfe. La menace est encore plus existentielle que pour l’Arabie saoudite », décrypte M. Horowitz. Bahreïn est atypique, car il abrite la seule dynastie sunnite à régner sur une population majoritairement chiite de toute la région. Depuis février 2011, cette dynastie fait face à une protestation de basse intensité, mais extrêmement résiliente. Presque chaque jour se tient un nouveau rassemblement, mobilisant des dizaines de personnes tout au plus, surtout dans les localités chiites en dehors de la capitale Manama. Une constante justifie l’emballement répressif de la famille régnante al-Khalifa contre cette rébellion « à feu moyen » : lutter contre les « cellules terroristes » affidées de Téhéran. Les renseignements bahreïnis affirment régulièrement déjouer des opérations séditieuses téléguidées par l’Iran. Bahreïn se range aussi naturellement derrière Donald Trump et ses alliés qui ont justifié le retrait de l’accord nucléaire par la « politique régionale iranienne de soutien au terrorisme ». Source : https://www.lorientlejour.com
Israël souffle… Chine et EtatsUnis renoncent à toute guerre commerciale. La Chine et les Etats-Unis ont décidé de renoncer à toute guerre commerciale et à l’augmentation des droits de douane, a déclaré le vice-Premier ministre chinois Liu He, a annoncé dimanche l’agence officielle Xinhua. En Israël, les milieux d’affaires ont été satisfaits par cette décision. Israël est très actif sur les marchés Américains et Chinois. Une guerre entre les deux puissances aurait eu, inévitablement, des conséquences négatives sur Israël. Selon Yahoo : « Cette annonce, faite après des négociations de haut niveau à Washington, intervient après des mois de tensions entre les deux puissances. Le président américain Donald Trump fustigeait une relation commerciale déséquilibrée qui constituait un danger pour les Etats-Unis. « Les deux parties sont parvenues à un consensus, ne s’engageront pas dans une guerre commerciale et n’augmenteront pas les droits de douane respectifs », a indiqué Liu He qui a dirigé cette semaine à Washington la délégation chinoise chargée des négociations avec le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin.
Washington et Pékin font état d’un « consensus » Un peu plus tôt, Washington et Pékin avaient dans un communiqué commun fait état d’un « consensus » sur le fait de prendre des mesures pour réduire de manière significative le déficit des Etats-Unis sur les échanges de marchandises avec la Chine. En revanche, le texte ne précisait pas si l’échéance de mardi sur une possible entrée en vigueur de nouvelles mesures frappant pour 50 milliards de dollars de marchandises chinoises, était de facto suspendue ». Source : http://www.israelvalley.com
POLITIQUE
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Le (gros) business de la France en Iran. Le Maire tente de limiter les dégâts.
L’Allemagne devrait aider ses entreprises à minimiser l’impact du retrait américain de l’accord sur le nucléaire, tandis que la France a demandé des exemptions pour les entreprises implantées en Iran, selon les ministres de l’Economie des deux pays. «Nous sommes prêts à parler à toutes les entreprises concernées de ce que nous pouvons faire pour minimiser les conséquences négatives», a déclaré le ministre allemand de l’Economie, Peter Altmaier, le 11 mai, sur les ondes de la radio publique Deutschlandfunk à propos des conséquences du retrait américain de l’accord sur le nucléaire iranien. «Cela signifie concrètement la limitation des dégâts», a-t-il précisé. Berlin n’aurait apparemment aucune raison immédiate de modifier son système de garanties de crédit à l’exportation pour l’Iran. Peter Altmaier a appelé à discuter des moyens d’éviter un impact négatif sur le marché du travail allemand après le retrait des Etats-Unis. «Pour l’instant, il n’y a pas de raison de changer le précieux programme Hermes», a déclaré le ministre faisant allusion au système allemand de garanties de crédit à l’exportation ajoutant : «Nous commençons juste une conversation sur ce que sont les implications économiques et comment nous pouvons éviter les conséquences négatives pour les emplois en Allemagne.» Le ministre allemand a toutefois reconnu que le gouvernement n’avait aucun moyen
légal de protéger ses sociétés qui font des affaires en Iran. «Ce que nous faisons, cependant, est d’assister et de conseiller ces entreprises actives en Iran, qui veulent être actives en Iran et les conseiller, y compris légalement», a-t-il dit. Le ministre a comparé la situation actuelle avec le conflit commercial déclenché par l’annonce de tarifs douaniers par les EtatsUnis sur l’acier et l’aluminium, précisant : «Nous devons éviter toute escalade.» Pour sa part, le ministre français de l’Economie, Bruno Le Maire, a qualifié la décision iranienne de Donald Trump d’«erreur» en s’insurgeant verbalement contre le principe de l’extra-territorialité de la justice américaine. Le ministre a révélé qu’il avait discuté avec le secrétaire au Trésor américain, Steven Mnuchin, d’éventuelles exemptions et d’un répit temporaire pour les sociétés françaises travaillant en République islamique. Source : http://www.israelvalley.com
Total en passe de renoncer à son projet en Iran Le groupe pétrolier demande pour la forme aux autorités française et européenne de négocier une dérogation américaine. Sans y croire. Moins d’un an après avoir signé un contrat avec Téhéran pour développer le champ gazier South Pars 11 au large des côtes de l’Iran, Total s’apprête à arrêter son projet. Suite à la décision de Donald Trump de se retirer de l’accord sur le nucléaire iranien, « Total ne pourra pas continuer le projet South Pars 11 et devra mettre fin à toutes les opérations qui y sont liées avant le 4 novembre 2018, à moins qu’une dérogation propre au projet ne soit accordée par les autorités américaines, avec le soutien des autorités françaises et européennes », a indiqué le groupe pétrolier français, dans un communiqué ce mercredi.
Si Total mentionne l’hypothèse d’une dérogation, il n’y croit guère. Mais contractuellement, s’il veut pouvoir sortir sans dommage, il doit montrer à ses partenaires qu’il y est contraint. Sur le fond, Total ne veut pas prendre le moindre risque. « Il a toujours été clair que Total ne peut pas se permettre d’être exposé à des sanctions secondaires américaines », rappelle le groupe. Des sanctions qui pourraient être la perte de financements en dollars par des banques américaines, « impliquées dans plus de 90 % des opérations de financement de Total », rappelle le groupe. Mais aussi « la perte de ses actionnaires américains, qui représentent plus de 30 % de son actionnariat ». Petrochina pourrait reprendre ses parts Le projet South Pars 11, dans lequel Total détient une participation de 50,1 % aux
côtés du chinois Petrochina (30 %), doit permettre de produire 400.000 barils équivalent pétrole par jour -à comparer aux 2,7 millions de barils/jour produits par Total en ce début d’année. C’est donc un manque à gagner relativement important, mais l’objectif global de croissance de la production de 5% en moyenne par an entre 2016 et 2022 n’est pas pour autant remis en question, a assuré le groupe. Le contrat prévoit, en cas de sortie de Total, la possibilité pour son partenaire chinois de reprendre ses parts et de devenir opérateur du projet. A ce stade, les coûts engagés par le groupe français sont limités (40 millions d’euros), la décision finale d’investissement n’ayant pas été prise. Elle était programmée pour cette année, avec un investissement
prévu, pour l’ensemble des partenaires, de 2 milliards de dollars pour la première phase du projet. Avant d’officialiser sa position sur le dossier iranien, Total a attendu la tenue, mardi, d’une réunion des entreprises françaises à Bercy , organisée par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire et le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. Ils ont affirmé « être totalement déterminés à faire respecter les intérêts économiques des entreprises françaises et à refuser les sanctions extraterritoriales ». Mais sans pour autant donner de mode d’emploi concret. Source : https://www.lesechos.fr
L’Armée de l’Air accueillera une conférence internationale La semaine prochaine, l’Armée de l’Air israélienne accueillera une conférence internationale durant laquelle des représentants de plus de 20 pays discuteront ensemble de coopération internationale et de stabilité régionale. Les représentants sont des États-Unis, Italie, Autriche, Brésil, Belgique, Inde, Hollande, Grèce, Chypre, République Tchèque, Croatie, France, Roumanie, Finlande et d’autres pays. «Les principaux objectifs de cet événement sont : premièrement, faire de la puissance aérienne une source de stabilité. Nous allons mettre l’accent sur notre technologie dans l’Armée de l’Air. Nous voyons dans cette conférence une opportunité pour construire et renforcer nos partenariats à l’international. Enfin, sûrement le plus important, notre objectif est essentiellement de connecter ces partenaires à l’Etat d’Israël, à l’armée israélienne et à l’Armée de l’Air «, a déclaré un haut-gradé de l’Armée de l’Air. Cette conférence d’une durée de trois jours se tiendra dans plusieurs endroits en Israël. Le premier jour, mardi, ils rencontreront le commandant de l’Armée de l’Air israélienne, le général de division Amikam Norkin et le chef d’état-major, le lieutenant-général Gadi Eizenkot. Mercredi, ils rencontreront le premier Ministre Benyamin Netanyahou
à la base aérienne de Tel Nof. Après cette rencontre, ils assisteront à un entraînement avec certains des nouveaux pilotes et auront une chance de communiquer avec eux et de comprendre les défis auxquels l’État d’Israël fait face. Ce n’est pas la première conférence de ce genre. En l’honneur de son 50ème anniversaire, l’Armée de l’Air israélienne avait organisé une conférence mais pas à la même échelle ni avec les mêmes buts. Cette conférence leur donnera l’occasion de se pencher sur la dynamique régionale. «Lorsque nous parlons de stabilité régionale, regardez l’exercice Blue Flag que nous avions ici en novembre ... Le fait que nous travaillions ensemble, avec les forces aériennes occidentales, c’est cela qui apporte de la stabilité. Le fait que l’Armée de l’Air ait une telle importance dans tous les conflits qui nous entourent, c’est une source de stabilité. C’est ce en quoi nous croyons dans l’Armée de l’Air,” a expliqué un officier haut-gradé de l’Armée de l’Air. Cette semaine permettra à ces représentants de renforcer la coopération internationale et d’apprendre davantage sur l’État d’Israël et comprendre comment l’Armée de l’Air israélienne opère. Source : https://www.tsahal.fr