OISE LIBÉRÉE DIMANCHE N°104 - MARS 2016

Page 1

S.A.P.D.A. BEAUVAIS MÉRU

NOUVELLE SÉRIE N°104 MARS 2016

L’École, cœur de la République Depuis toujours Olivier Dassault aide et soutient les écoles et professeurs de sa circonscription.


ÉDITORIAL

L’École, cœur de la République « Ouvrir une école aujourd’hui, c’est fermer une prison dans 20 ans ». Probablement avez-vous déjà entendu cette belle phrase que l’on attribue souvent à Victor Hugo parce qu’elle résume bien sa philosophie de l’éducation mais qui est en fait une citation de Louis Jourdan, grand rédacteur du XIXe siècle. De nombreux autres écrivains, poètes et philosophes ont aussi glorifié l’école, ce palais du savoir. Comme Romain Rolland qui, à l’aube du XXe siècle, a écrit : « Le maître est le plus doué des alchimistes. Car il fait mieux que changer le plomb en or. Il transforme l’enfant balbutiant en homme savant, le sujet soumis en citoyen libre ». Dans nos sociétés modernes, l’école est désormais un lieu dont on oublie parfois l’importance. Quel danger ! Quelle erreur ! Car c’est dans l’école d’aujourd’hui que s’esquisse notre société de demain. Plus l’école sera efficace, plus notre horizon sera radieux. Il n’y aura ainsi jamais de plus noble et plus rentable investissement que celui placé dans l’éducation des peuples. L’élève, comme son étymologie l’indique, c’est celui qui va s’élever, s’épanouir, optimiser ses qualités et capacités grâce à l’instruction, l’éducation qu’il va recevoir.

Et chaque année, j’offre à toutes les écoles de ma circonscription un cadeau « pédagogique ». Toujours avec plaisir, car je sais que les professeurs, « ces jardiniers de l’intelligence et du savoir », les utiliseront à merveille.

nable de ranger le latin et le grec au musée de l’Education Nationale alors que tous les professeurs de Français vous diront que l’étymologie est un formidable moyen de mieux comprendre notre langue ?

C’est avec les lois Ferry instaurant la gratuité mais aussi l’obligation de la scolarité dans les années 1880 que s’est réellement développé et démocratisé l’enseignement, d’abord au niveau primaire.

Peut-on continuer avec le « collège unique » qui met dans le même moule tous les jeunes sans tenir compte de leurs capacités et de leurs volontés ? Ne serait-il pas plus logique de faciliter l’apprentissage dès 14 ans, de valoriser les filières techniques, professionnelles et manuelles, d’associer réellement le monde de l’Entreprise à l’Education Nationale ?

«Les plus grands tyrans, les sociétés les plus obscurantistes ont toujours eu l’école pour cible»

Cette « révolution scolaire » a constitué un des évènements les plus importants et les plus heureux pour la société française lors des deux derniers siècles. En effet, la République offrait ainsi à tous ses enfants l’accès au savoir, leur permettant ainsi d’espérer une progression sociale à travers la réussite scolaire et la reconnaissance des mérites de chacun…

«Seule l’École peut permettre une réelle Égalité des chances»

À l’inverse, l’histoire nous enseigne que les plus grands tyrans, les sociétés les plus obscurantistes ont toujours eu l’école pour cible. Aujourd’hui même, savez-vous ce que signifie « Boko Haram », le nom de cette secte nigériane diabolique qui massacre, viole et sème la terreur ? « L’éducation occidentale est un pêché ». Aussi est-ce toujours pour moi un immense plaisir d’inaugurer une école, une grande joie de soutenir les enseignants dans leurs projets, un devoir heureux de venir dans une classe faire un cours d’éducation civique.

L’Égalité, gravée dans le marbre de la devise de notre République, c’est en fait l’Egalité des chances… Par l’Ecole, Marianne donne normalement à chaque enfant scolarisé dans notre pays la possibilité non seulement d’apprendre, de s’épanouir, mais aussi de s’élever dans la société. C’est ce que l’on appelle « l’ascenseur social ». Or aujourd’hui, cet ascenseur est en panne. Et notre école connaît incontestablement un malaise. Est-il ainsi bien utile de relancer pour la énième fois un débat stérile sur la suppression des notes en faisant croire que cela résoudra en partie l’échec scolaire ? Est-il judicieux de supprimer les sections européennes et les classes bilangues, c'est-à-dire ce qui faisait progresser de nombreux élèves ? Est-il intelligent d’appliquer une réforme de l’orthographe qui ne fait qu’introduire plus de confusion dans les apprentissages ? Est-il raison-

Comment accepter que chaque année tant de jeunes (près de 150 000 !) sortent du système scolaire sans diplôme ? Peut-on encore tolérer que 25 % de nos jeunes soient sans emploi ? Toutes ces questions exigent une réponse simple : l’Éducation Nationale doit enfin sortir du dogmatisme et de l’idéologie soixante-huitarde qui guident ses « hauts pédagogues ». Elle doit faire preuve de bon sens, savoir se recentrer au primaire sur les savoirs fondamentaux (lire, écrire, compter). Elle doit savoir accepter les élèves avec leurs différences, accompagner ceux qui ont des difficultés, valoriser ceux qui réussissent, refuser le nivellement par le bas. C’est en étant exigeant qu’on obtient de bons résultats. Ce n’est pas en étant trop indulgent. Apprendre demande des efforts de la part de l’élève, de la discipline, le respect du maître. Ces enseignants à qui l’on doit tant. Qui font un métier si beau, mais si difficile. C’est dans l’Ecole que bat le cœur de la République et l’avenir de la France. Ne l’oublions jamais.

Olivier DASSAULT Député de l’Oise

L’OISE LIBÉRÉE DIMANCHE N°104 11 bis, Boulevard Amyot d’Inville – 60000 BEAUVAIS 2

Directeur de publication : Paul Orguelt (rédacteur en chef) • Publicités : PMS – Tél. : 01 47 05 88 80 • Édité par la SNPB : N° Commission paritaire – CP 67649 • Graphiste : France PAO Jean-Marie Siraut – www.francepao.com • Impression : Groupe Assistance Printing – Tél. : 01 49 46 97 18 • Photos : Olivier Paccaud, Philippe Loranger


A N SAU V

PA IL L A RT

VERDERE L AV E RS I

I L L E RS

L

N ES

G AU D EC H A R

T

ALLEZ LES JAUNES, LES VERTS,

LES BLEUS, LES ROUGES… !

Député de la ruralité, des écoles, des sportifs, des entreprises… toujours aux côtés des associations et des communes, Olivier Dassault n’est vraiment pas un élu comme les autres. Car parmi les 1 000 parlementaires (députés, sénateurs, députés européens) français, c’est le seul à offrir chaque année à tous les clubs de foot de sa circonscription un équipement. Olivier Dassault, un homme de parole, et un homme de cœur !

3


Questions à Luc SMESSAERT

Agriculteur à Roy-Boissy Ancien président de la FDSEA - Oise Responsable national de la FNSEA

«Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France »… affirmait Sully, le légendaire ministre d’Henri IV ! Certes, il faut vivre avec son temps, et le tissu économique est désormais infiniment plus varié aujourd’hui qu’au XVIe siècle. Mais, si l’agriculture emploie évidemment moins de personnes en France en 2016 qu’en 1598, elle n’en demeure pas moins un acteur essentiel non seulement de notre économie mais aussi de notre équilibre territorial. « Pas de pays sans paysans » n’est d’ailleurs pas qu’un slogan syndical. C’est une réalité, une évidence. Parce que l’agriculture ne produit pas n’importe quel bien. Elle nous fournit ce qui nous nourrit, ce qui nous fait vivre. C’est même une activité

« stratégique ». Car si nous avons la chance depuis plusieurs décennies de vivre dans un pays où les mots « famine » et « sous-alimentation » se sont heureusement réfugiés dans les dictionnaires, il ne faut jamais oublier que la « sécurité alimentaire » et « l’autosuffisance » doivent rester notre priorité.

Dans les années 1970, on parlait de « pétrole vert » pour qualifier la force que représentait l’agriculture française. Aujourd’hui, cette agriculture traverse une crise profonde qui a récemment donné lieu à des manifestations, notamment d’éleveurs, un peu partout en Soutenons donc nos agriculteurs. Nous avons besoin France. Pourquoi notre agriculture va-t-elle d’eux. Pour nous nourrir, nous fournir des produits si mal ? de qualité, animer nos campagnes… La France du XXIe siècle ne peut être une gigantesque jachère parsemée de quelques agglomérations… Labourage et pâturage seront donc toujours deux des atouts majeurs de la France !

Depuis les années 1970, l’agriculture a vécu de grandes réformes de la politique agricole commune, la fameuse Pac. L’Europe a petit à petit abandonné tout ce qui assurait une stabilité à la production agricole, que ce soit au niveau des quantités (quotas) ou des prix. Résultat : les agriculteurs sont confrontés au marché mondial, avec toutes les fluctuations que cela suppose. Parallèlement, les agriculteurs français ont pris un grand retard en terme de compétitivité à cause de normes franco-françaises. Il a fallu mettre les bâtiments d’élevage aux normes, donc bétonner, on a réglementé toutes les pratiques agricoles au-delà du simple bon sens. Les exploitants agricoles connaissent ainsi une crise économique sans précédent mais, surtout, ils attendent qu’on leur donne un cap. L’agriculture est-elle un atout pour la France ? Ou, au contraire, veut-on la mettre sous cloche ? C’est au pays et aux politiques de donner le cap.

On accuse souvent l’Union Européenne de tous les malheurs qui touchent nos paysans. Ces critiques ne sont-elles pas injustes ? Les gouvernements français ne compliquent-ils pas parfois la vie de nos agriculteurs avec des normes trop contraignantes ? L’Europe a une vision extrêmement libérale de l’agriculture. Du coup, c’est chacun pour soi entre les pays. En plus, l’Europe essaie de signer des accords bilatéraux avec d’autres puissances agricoles, par exemple avec les États-Unis en ce moment. C’est dangereux car cela pourrait signifier l’entrée massive en Europe de viande bovine aux hormones (c’est le mode de production là-bas) ou de carcasses de poulets congelées. Et pourtant, je reste per-

4


suadé que l’Europe est une chance pour l’agriculture française : 420 millions de consommateurs ayant un pouvoir d’achat. C’est vrai que les gouvernements français ont lavé plus blanc que blanc. Les directives européennes ont toutes été appliquées de façon encore plus restrictive en France, d’où des distorsions de concurrence avec nos voisins européens. Nous avons besoin au contraire d’harmonisation sociale et environnementale.

Alors que la population mondiale ne cesse d’augmenter, l’enjeu alimentaire, et donc la production agricole, sont devenus stratégiques. Plus que jamais, nous avons besoin de nos agriculteurs ! L’agriculture doit L’Oise reste un département où l’agriculture donc être un métier d’avenir, non ? occupe une grande place. Pouvez-vous Oui et c’est particulièrement vrai dans l’Oise qui, par ses nous donner ses grands chiffres (nombre sols et son climat, est propice à la production agricole. Nos d’exploitations, principales productions) ? agriculteurs sont très bien formés et leurs productions, notamment végétales, sont riches de débouchés : vente en circuits courts, vocation exportatrice de notre blé, mais aussi utilisation en production d’énergie (biocarburants, méthanisation…) et en chimie verte où l’on cherche à remplacer les molécules issues des carburants fossiles par des molécules végétales des plantes que nous produisons. Dans l’Oise, de nombreux projets en ce sens existent et ils sont source de dynamique locale, territoriale et d’emplois.

Vous êtes issu d’une famille d’agriculteurs depuis de nombreuses générations. Si l’un de vos enfants voulait devenir agriculteur, l’y encourageriez-vous ? Notre famille est installée depuis 3 générations sur notre exploitation de Roy Boissy. J’ai 4 enfants dont un fils étudiant à l’Institut LaSalle-Esitpa de Beauvais. Ils choisiront leur avenir mais c’est vrai que je serai ravi si la ferme reste dans la famille. Travailler du vivant, au rythme des saisons, nourrir les hommes, c’est magique. Seulement, à l’avenir, je pense que le travail devra se faire plus en commun avec les autres agriculteurs. L’agriculture vit une mutation, elle doit se réinventer mais elle connaîtra encore de belles années !

Il y a 3 000 exploitations agricoles dans l’Oise, pour 4 500 agriculteurs. Les productions végétales sont majoritaires : blé, colza, betteraves sucrières, pommes de terre, légumes de plein champ. L’élevage est bien représenté, surtout en production laitière et en bovins viande. Globalement, l’agriculture de l’Oise est très productive et elle prend de mieux en mieux en compte les problématiques environnementales. Un bon nombre d’agriculteurs sont engagés dans des démarches d’optimisation des produits phytosanitaires et s’orientent vers des pratiques basées plus sur l’agronomie, respect du bien être animal….. Par ailleurs, dans l’Oise, nous avons la chance de posséder des organes de collecte : coopératives céréalières, sucrières, linière, laitière. Au final, 16 à 17 % de la population active de l’Oise travaille dans l’agriculture, en amont ou en aval, c’est un secteur indispensable de l’économie et du territoire. Dans l’Oise, les 4 500 agriculteurs que nous sommes produisent de quoi nourrir plus de 7 millions de personnes : nous pouvons en être fiers.

Luc SMESSAERT

5


L’OISE AVANCE L’OISE PROGRESSE de HAUSSE de la fiscalité du département de l’Oise

L’OISE MAÎTRISE SON BUDGET Bien gérer l’Oise. C’est un souci constant du nouveau Conseil départemental. Car il s’agit de votre argent ! Or le Département était au bord de la faillite voici un an du fait des fortes baisses de dotations de l’État (plus de 40 millions entre 2015 et 2017) et des dépenses irresponsables des anciens élus socialistes au pouvoir à Beauvais entre 2004 et 2015. Il faut donc dépenser moins et mieux. C’est ainsi qu’Édouard Courtial et son équipe ont fait d’énormes économies : par exemple en divisant par deux les frais de communication et de réception. Finis les petits fours et les invitations sur papier glacé en 3 exemplaires… En tout, 50 millions d’euros ont été économisés sur le budget 2016. Ce qui a permis de tenir une promesse forte : pas de hausse des impôts départementaux ! Et en prime un autre choix budgétaire majeur : augmenter l’investissement, c'est-à-dire l’aide apportée aux communes. De 32 millions d’euros en 2015, elle est passée à 39 millions d’euros cette année. Une très bonne nouvelle pour les entreprises de l’Oise parce que lorsque nos communes font des travaux, elles font travailler des sociétés locales !

L’OISE ÉQUIPE SES COLLÈGES

L’OISE AIDE SES JEUNES CONDUCTEURS Plus de 1500 ! C’est le nombre de Pass Permis Citoyen signés au 31 Mars 2016. Une réussite extraordinaire admirée dans la France entière. Rappelons le principe : le Département apporte une aide de 600 euros à tous les jeunes de 18 à 20 ans passant le permis de conduire en échange de 70 heures de « contribution citoyenne » au service d’une association, d’une commune, d’un collège, des pompiers… ! Un cercle vertueux qui profite à tout le monde : les jeunes, leurs familles, les associations, les communes… Parmi les associations bénéficiaires, citons Emmaüs, les Restos du Cœur, la S.P.A., le Secours Populaire ainsi que de nombreux clubs sportifs. Vraiment une belle opération citoyenne !

L’OISE SOUTIENT SES ARTISANS Un DÉPARTEMENT

FIER de son ARTISANAT

Voici quelques semaines, le Conseil départemental a décidé de mettre fin à l’opération Ordi 60. Non pas de façon dogmatique, mais tout simplement parce que cette politique s’avérait à la fois inefficace et coûteuse. Coûteuse à tel point que certains l’avaient surnommée « Ordi 60 millions ». Inefficace car l’immense majorité des jeunes qui recevaient ces ordinateurs ou ces tablettes ne les utilisaient pratiquement jamais dans le cadre scolaire. Par ailleurs, on pouvait constater que les ordinateurs présents dans les collèges étaient souvent « vieillots » et même obsolètes ! Aussi, Olivier Paccaud, Vice-président en charge de l’Éducation de la Jeunesse et de la Citoyenneté et donc des collèges, a-t-il proposé à Édouard Courtial et au Conseil départemental de l’Oise de mieux dépenser l’argent consacré à l’informatisation des collèges. C’est ainsi que progressivement tous les ordinateurs équipant les salles informatiques, les CDI et les salles de technologie seront renouvelés, que chaque classe sera désormais dotée d’un vidéoprojecteur et d’un ordinateur pour le professeur, et qu’un vaste plan « classe mobile » (valise comprenant entre 15 et 20 tablettes ou ordinateurs portables qui permet d’utiliser l’outil informatique dans n’importe quelle salle de l’établissement) a été lancé. Olivier Paccaud a aussi annoncé d’importants investissements dans les collèges du Département. « Nous allons rénover le collège d’Auneuil, construire un restaurant scolaire à Nanteuil-le-Haudouin ainsi qu’un nouveau CDI à Bresles. Et nous travaillons actuellement sur le cas particulier du collège de Crèvecœurle-Grand ».

Réser vation place au 03 44 46 35 76

6

Crèvecœur-le-Grand


L’OISE AIME SES JEUNES CONSEILLERS La valeur n’attend pas le nombre des années, la citoyenneté non plus ! Le 26 février dernier a été installé à l’Hôtel du département le nouveau Conseil départemental de la jeunesse ; 158 jeunes élus dans les 79 collèges de l’Oise étaient présents. Quelle joie de voir ces collégiens vouloir se mettre au service des autres ! Car c’est ça être citoyen, c’est décider de son destin, participer à l’amélioration du quotidien de sa commune, de son association. Portant avec fierté leurs belles écharpes bleues, ces jeunes élus sont répartis en 5 commissions : l’Oise créative et de demain, l’Oise historique et monumentale, l’Oise naturelle, l’Oise solidaire, l’Oise sportive. Pendant 2 ans, ils vont réfléchir sur le thème qu’ils ont choisi et bâtiront ensuite un projet (exposition, concours, film, site web…) avec l’aide d’un animateur du Conseil Départemental et les conseils d’un élu « adulte ». Peut-être que parmi ces jeunes se trouvent de futurs conseillers municipaux, maires ou même conseillers départementaux ? On l’espère… !

L’OISE ACCOMPAGNE LES CHÔMEURS LE BUS POUR L’EMPLOI AU SERVICE DES CHÔMEURS Alors que notre pays fait partie des mauvais élèves européens en matière d’emploi (près de 11 % de nos concitoyens actifs sont aujourd’hui chômeurs contre 5 % en Allemagne, au Royaume-Uni et aux États-Unis), l’Oise ne fait malheureusement pas exception avec presque le même taux de chômage qu’au niveau national. Certes, ce sont les entreprises qui créent de l’emploi et il faut donc que l’État leur offre les meilleures conditions (fiscales, sociales, règlementaires…) pour qu’elles embauchent. La balle est donc dans le camp du gouvernement pour prendre les mesures permettant un vrai recul du chômage. Mais le Conseil départemental, même s’il a peu de moyens en la matière, ne veut pas rester inactif. « Contre le chômage, il faut tout essayer, tout tenter. C’est pour cela que nous avons décidé de créer et d’expérimenter le Bus pour l’Emploi. Le principe est simple, proposer aux chômeurs éloignés des sources d’information des offres d’emploi, mais aussi de formation. Leur permettre de rencontrer des professionnels à leur service pour les aider dans leurs démarches de retour à l’Emploi. Et c’est ainsi que le Bus pour l’Emploi sillonne désormais les petites communes rurales du Sud du Beauvaisis et certains quartiers de Beauvais » précisent Nadège Lefebvre et Franck Pia, Vice-présidents à l’initiative de cette expérimentation. « Si ce système fonctionne, nous l’étendrons à d’autres parties du département » déclare Edouard Courtial.

7


VERDEREL-LES-SAUQUEUSE

SAINTE-EUSOYE

É T U P É D N U RS

U T O U J OÔ TÉS À VOS C

Jumelles jusque dans l’excellence ! Audrey et Océane Zenit, de Verderel-les-Sauqueuse, ont toutes les 2 obtenu en juillet dernier le Baccalauréat avec la mention très bien, à la grande fierté de leurs parents. Cela méritait bien les félicitations du député.

À Sainte-Eusoye, le maire, Pierre Dusgroprez, est toujours heureux d’accueillir son député, sa conseillère départementale Nicole Cordier, le vice-président Olivier Paccaud, mais aussi sa fille et ses 2 petites filles.

LE GALLET

THERDONNE Après 4 décennies de « bons et loyaux services » envers sa commune, Jean Grégoire, le maire historique du Gallet, a récemment été mis à l’honneur par son successeur, Mathieu Boureux, et par Olivier Dassault. Il a reçu la médaille d’honneur communale, départementale et régionale échelon Or.

BEAUVAIS Dans la famille Noël, je demande le père, la mère et… le Député.

SAINT-JUST EN-CHAUSSÉE

Plus de 550 lycéens de l’Oise ont décroché la mention Très Bien au Baccalauréat l’an dernier. Parmi eux Damien Charmeux de Therdonne chaleureusement félicité par les élus.

AUCHY-LA-MONTAGNE

À Auchy-la-Montagne, Jade Audefroy, est une apprentie citoyenne précoce puisqu’elle est « mini-maire ». Et aussi Conseillère départementale jeune.

« Quand tout se fait petit, Femmes, vous restez grandes ! » a écrit Victor Hugo ! L’histoire et la vie quotidienne en donnant bien des exemples. Aussi Olivier DASSAULT est-il toujours heureux, chaque année, à l’occasion de la Journée de la Femme, de mettre à l’honneur en les invitant à déjeuner, de nombreuses femmes maires, chefs d’entreprises, présidentes d’associations. Le 06 Mars dernier, c’est à Saint-Just-en-Chaussée, au Novello, qu’a eu lieu ce banquet.

8

CRÈVECŒUR-LE-GRAND Plus que d’autres, les anciens combattants et les veuves de guerre méritent l’hommage de la Nation. Olivier Dassault ne les oublie jamais !


BRETEUIL

SAINT-OMER EN-CHAUSSÉE Pour tous les gourmands et amateurs de bonne cuisine traditionnelle, une adresse s’impose : l’auberge de Monceaux, à l’entrée de Saint-Omer, une table délicieuse tenue par monsieur Martial Ibert avec l’aide de son épouse, Muriel, et de sa fille, Marie.

TILLÉ

À Breteuil, on aime les sportifs et on sait les mettre à l’honneur. C’est ainsi que chaque année est récompensé le sportif le plus méritant. En 2016, c’est Yohann Lardermelle qui s’est distingué pour ses performances et qui a reçu la coupe aux « grandes oreilles ». Certains et certaines n’aiment pas porter le chapeau. D’autres au contraire le portent bien ! Notamment pour faire la fête ! N’est-ce pas monsieur le Député joliment entouré par Violette et Erika, les troubadours du champ César, qui ont animé avec talent le repas des aînés de Tillé début mars.

BRETEUIL

BRESLES Sauver des vies, c’est la mission première des pompiers. Le 21 février, des portes ouvertes ont été organisées dans les centres de secours du Département avec des initiations aux premiers secours. Olivier Dassault en a profité pour rendre visite aux soldats du feu de Bresles.

La sécurité est depuis toujours la première des libertés, la base du contrat social. Et, aux côtés de la gendarmerie et de la police nationale, les policiers municipaux peuvent avoir un rôle précieux, comme à Breteuil. Attaché à la sécurité de ses concitoyens, Olivier Dassault vient d’aider la municipalité à acquérir une nouvelle voiture pour être encore plus efficace.

FROISSY NIVILLERS C’est toujours une grande joie d’inaugurer une école, comme à Froissy, le Samedi 5 Mars où le député a coupé le ruban du Groupe Scolaire Le Moustier qui accueille les écoliers de Noirémont, la Neuville-St-Pierre, Reuil-sur-Brêche, Sainte-Eusoye et bien sûr Froissy.

Dans un petit village, l’agent communal a souvent un rôle clé pour l’entretien. A Nivillers, c’est Jean-Pierre qui a effectué cette tâche pendant de longues années. Avec soin et professionnalisme. Aujourd’hui a sonné l’heure de la retraite et des félicitations bien méritées de Catherine Savalle, la 1re adjointe, du député et du conseiller départemental.

TILLÉ Difficile d’être contre la parité quand on est aussi bien entouré qu’Olivier Dassault, au cœur des adjointes et conseillères municipales de Tillé !

9


XAVIER BERTRAND

Président du Conseil régional des Hauts-de-France

Travaillez-vous avec le département de l’Oise et le député Olivier Dassault ? Bien sûr, je travaille au quotidien avec les élus de l’Oise pour que région et département travaillent dans le même sens. Je connais par ailleurs Olivier Dassault depuis des années et je mesure ce qu’il apporte à notre secteur. Je compte, avec mes collègues élus régionaux de notre circonscription, l’épauler dans son action pour qu’il poursuive tout le travail engagé et qu’il puisse bénéficier d’un plein et entier soutien de la région.

ANNE-SOPHIE FONTAINE Élue le 13 décembre 2015, vous avez pris vos fonctions le 4 janvier 2016, comment résumeriez-vous vos trois premiers mois de travail d’élue ? Dès le 4 janvier, je me suis mise au travail sur les dossiers du Plateau Picard. Je défendais depuis longtemps des projets, par exemple la restauration de l’abbatiale de Saint-Martin-aux-Bois, mais j’ai répondu sans délais aux attentes des élus de l’ensemble des communes et des communautés de communes. En effet, de nombreux dossiers importants pour elles attendaient des réponses de la Région. Je suis également attachée à être très présente sur le terrain. J’ai visité près d’une trentaine de communes dès le mois de janvier en répondant à toutes les invitations. J’ai souhaité organiser des vœux communs avec les élus départementaux, Anaïs Dhamy et Patrice Fontaine. Près de 150 élus et citoyens se sont déplacés à Tricot le 29 janvier dernier. J’ai mis en place des permanences régulières durant lesquelles j’ai pu rencontrer de nombreuses familles pour les aider, par exemple sur des parcours de formation ou des questions d’emploi dans le cadre de notre nouveau dispositif « Proch’Emploi ».

JEAN CAUWEL Le nouveau président de la Région, Xavier Bertrand, s’est fixé un objectif ambitieux : ramener 60 000 demandeurs d’emplois vers le monde du travail d’ici l’Été. Comment va-t-il s’y prendre ? Notre slogan de campagne « au travail » se traduit aujourd’hui dans nos décisions puisque celles-ci doivent toujours avoir pour but de favoriser l’emploi. Pour preuve, la première délibération pour les TPE et PME, a été d’accorder une aide (25% des cotisations patronales) à toute nouvelle création d’emploi. Avec cette mesure, nous espérons favoriser la création de 30 000 emplois .Nous lançons un appel à projet pour les opérateurs de la formation « initiative pour l’emploi des jeunes » en vue de favoriser l’apprentissage des jeunes. En effet, nous pensons que c’est par la formation et l’apprentissage que nous serons acteurs de la création d’emploi. Bien évidemment, il nous faudra être attentif à ce que la formation corresponde aux besoins des entrepreneurs.

NATHALIE LEBAS Proch’Emploi ? Pourriez-vous nous expliquer la nouvelle action de la région ? Xavier Bertrand, notre président a souhaité mettre en place au plus vite un numéro vert pour que chaque personne en recherche d’emploi puisse avoir un entretien personnalisé de près d’une heure avec les équipes de la formation et de l’emploi au conseil régional. Il suffit d’appeler au 0 800 02 60 80 pour prendre un rendez-vous au plus près du domicile dans une antenne régionale.

10


La région Picardie est «morte», vive les Hauts-de-France… Quoique, ce nom qui «enterre» encore plus notre regrettée Picardie, ne fait pas l’unanimité. Mais ce qui compte, c’est la politique que va mettre en place la nouvelle majorité autour de Xavier Bertrand pour redonner élan et rayonnement à l’économie de notre territoire. Parmi les nouveaux Conseillers régionaux, plusieurs sont Oisiens. Nous aurons besoin d’eux pour défendre nos dossiers dans notre lointaine nouvelle capitale régionale, Lille. L’Oise libérée dimanche les a rencontrés.

CHANEZ HERBANNE Les Picards et notamment les Oisiens ont peur d’être noyés au cœur de la Grande Région avec une capitale, Lille, si éloignée de notre Département. Pouvez-vous les rassurer ? Dans cette grande Région, le département de l’Oise se trouve être éloigné de la capitale régionale Lille, mais le président Xavier Bertrand a souhaité équilibrer les réunions en demandant à ce que les commissions permanentes soient tenues à Amiens. Pour que dans chaque territoire les habitants n’aient pas à se déplacer à Lille ou à Amiens, nous aurons des permanences dans notre département. Nous souhaitons travailler en collaboration étroite avec le département pour favoriser une plus grande proximité. Les quinze élus de la majorité sont les représentants de l’Oise et font entendre leur position au sein de notre collectivité. Notre présence dans chaque commission nous permet également de rappeler que notre département est un atout pour la Grande Région.

HAUTS-DE-FRANCE

UNE VRAIE EURO-RÉGION !

DENIS PYPE Que peut et que veut faire la nouvelle majorité régionale vis-à-vis du monde rural ? Nous avons, lors de la campagne pour les élections régionales, pu constater le sentiment très fort d’abandon du monde rural. Étant moi-même élu d’une petite commune rurale de 258 habitants et cela depuis 1995,je constate ce malaise, accru avec la crise que connaît le monde agricole dont je suis issu. Services publics qui disparaissent, classes qui ferment, moyens financiers en forte diminution pour nos collectivités, voilà aussi le pourquoi de ce malaise. Nous avons donc dès la première session plénière, voté plusieurs mesures en direction de la ruralité et de celles et ceux qui y résident : - aides aux transports de 20€ par mois pour les personnes parcourant plus de 30 km et ne bénéficiant pas de transports en commun. - aides aux TPE/PME de nos territoires avec la prise en charge de 25% des charges patronales pour tous nouveaux emplois créés sur l’entreprise. - SRCE: mise à plat du schéma, réécriture prenant en compte la réalité du terrain et mettant l’Homme au cœur des préoccupations.

« Picardie, j’écris ton nom ! »

OLIVIER DASSAULT Je suis particulièrement attentif à ce sujet comme la plupart d’entre vous. Je suis d’avis de conserver le mot « Picardie » en haut de l’affiche malgré le choix du Conseil régional de ne l'avoir qu'en sous-titre. La consultation des lycéens puis des habitants de cette région laisse apparaître trois choix : « Hautsde-France », « Nord-de-France » et « Terres-duNord ». Comme l'a écrit François Wojtalik, journaliste au Courrier Picard en titre de son magnifique article « La Picardie outragée », j'ajouterai « La Picardie censurée ». En tant que Député de l’Oise, mon devoir est de rappeler nos origines, notre histoire, notre culture , ancrées dans cette région depuis des siècles. Comme je le dis souvent « J'ai les pieds à Paris mais le coeur dans l'Oise ». Picard d'adoption, j'ai conscience, et ce depuis mon premier mandat mais aussi en tant qu'ancien vice-président de la région Picardie, de l’attachement viscéral de mes concitoyens à leurs racines et à leur identité. Le référendum sur le nom de notre prochaine région est une bonne et belle idée ; je m’en félicite ! Mais quelle tristesse, si le choix est limité.... Alors, il appartiendra aux élus de prendre la décision finale qui je l’espère, conservera à la Picardie une place digne de son histoire !... Et n'oublions jamais que « Celui qui ne sait pas d'où il vient ne peut savoir où il va »

11


On n’a pas tous les jours 100 ans !

© Dassault Aviation - S. Randé

Il y a cent ans, au cœur de la Grande Guerre, naissait ce qui allait devenir une des plus entreprises industrielles françaises : Dassault Aviation. À l’origine, comme pour toutes les plus belles aventures, un homme doté d’un génie et d’une volonté hors du commun : Marcel Bloch. En 1915, ce jeune ingénieur, ancien élève de l’Ecole Supérieure d’Aéronautique et de Construction Mécanique invente une hélice de grande qualité baptisée « Eclair » qui va ensuite équiper de très nombreux avions alliés dont le fameux Spad de Georges Guynemer. En 1916, sa société est née.

Marcel Bloch, ingénieur et génie.

« Un siècle de génie, un siècle de passion, un siècle d’industrie »

C’est notamment lors de la bataille de Verdun que l’aviation démontrera toute son importance dans la guerre moderne. Dès 1918, Marcel Bloch, qui a créé avec Henry Potez la Société d’Etudes Aéronautiques (SEA), conçoit son premier avion : le biplace de chasse SEA IV. Le premier SEA IV sort d’usine le… 11 novembre 1918. Avec la fin de la guerre, Marcel Bloch, s’éloigne de l’aviation. Avant d’y revenir 10 ans plus tard. En 1930, Marcel Bloch revient à ses amours aéronautiques. Avec une nouvelle équipe, il réalise successivement toute une série d’appareils allant du trimoteur postal (MB60) aux bombardiers lourds (MB 200 et 210), en passant par le quadrimoteur de transport (MB 160) et l’avion de chasse monoplace (MB 152). MB, Marcel Bloch.

La fierté de l’aéronautique française.

En 1936, le Front Populaire nationalise la société. Survient la guerre. La débâcle, la défaite, l’occupation. Avec un courage extraordinaire, Marcel Bloch refuse de collaborer. Il est interné puis déporté à Buchenwald. A peine revenu des camps de la mort, en Avril 1945, il reprend son activité et conçoit rapidement pour l’Armée de l’Air française de nouveaux avions. L’aviation à réaction est née, et Marcel Bloch est devenu Marcel Dassault. Vont alors s’enchaîner pendant 20 ans la conception d’appareils toujours plus beaux, toujours plus rapides, toujours plus performants. Avec des noms magiques. Ouragan, Mystère, Etendard, Mirage… jusqu’au Rafale et au nEUROn. Mais Dassault ce sont aussi des avions civils de qualité. Les Mystère 20 qui séduiront Charles Lindbergh et la Pan Am au début des années 60, puis la famille des Falcon qui domine l’aviation d’affaires haut de gamme depuis près de 40 ans. Sans oublier l’épopée du Mercure, biréacteur petit et moyen courrier de 150 places dont s’équipe Air Inter. Ne se reposant jamais sur ses lauriers, Dassault Aviation prépare l’avenir en travaillant sur les systèmes d’avion de combat sans pilote (nEUROn) ainsi que sur les drônes. Un nouveau siècle de génie, de passion et d’industrie s’ouvre. Rendez-vous en 2116 !

© Dassault Aviation - DR

Le Rafale, meilleur avion du monde.

En 1940, il aurait fallu plus de MB 152 pour stopper l’avancée allemande.

L’hélice éclair… la naissance du mythe.

Tél. : 03 44 84 50 63 Faux plafonds

www.marisol.fr 12

Cloisons amovibles

Ouvrage Placostil

Planchers techniques

24, grande rue de Monceaux – 60860 Saint-Omer-en-Chaussée Tél. : 03 44 84 50 63 • Fax : 03 44 84 52 85 • contact@marisol.fr


Dassault aviation en chiffres (2014) « D’hier à demain, du Falcon au Rafale, Dassault maîtrise le ciel et rend vivant le rêve d’Icare »

11 700

3 200

personnes réparties sur 28 sites et bureaux à travers le monde

2 200 Falcon et 1 000 avions militaires en service

8 500

100

avions militaires et civils livrés depuis 1949

Plus de 100 pays utilisateurs depuis l’origine.

13


Olivier Dassault : Mes combats

à l’Assemblée Nationale

Une idée = un emploi Aider la jeunesse à Réussir, à Entreprendre parce que c’est le moteur de notre pays, aider à Créer des emplois pour que chacun puisse s’épanouir grâce à son travail sont les motivations qui guident mon action d’élu. Alors, j’ai accepté tout naturellement de parrainer un projet entrepreneurial « Une idée = Un emploi » qui aide financièrement et met à disposition l’expérience de chefs d’entreprise motivés à faire avancer les jeunes créateurs. En février, j’ai remis à Emilie Korchia de MyJobGlasses. com le grand prix Galilé 360° qui financera son salaire d’entrepreneur pendant 6 mois et à Sébastien Salmon de la start-up my-OCCS.fr, le prix spécial Galilé 360° qui prendra en charge le premier salarié pendant 1 an. Le prochain prix aura lieu l’année prochaine, envoyez-moi déjà vos projets que je ne manquerai pas de transmettre à la plateforme et participez ainsi à ce concours national. C’est un bon moyen pour mettre en application vos idées et créer des emplois !

J’utilise les questions écrites publiées au Journal officiel pour interpeller le Gouvernement sur des idées et des blocages qui me sont signalés dans la circonscription. Suite à l’usurpation de son identité, une habitante de l’Oise m’a informé du manque de coordination entre les banques pour alerter contre ce type de trafic. J’ai donc proposé au Gouvernement de mettre en place une base de données consultable par l’ensemble des banques pour bloquer l’escroquerie et éviter un nouveau traumatisme pour la victime d’un vol.

Avec les parlementaires membres de mon association « Génération Entreprise – Entrepreneurs Associés », j’ai rencontré les acteurs d’Au-Delà du Cuir qui accompagnent à travers des formations, coachings et aides financières les nouvelles entreprises et les ateliers de fabrication de chaussures et maroquinerie dans toutes les régions françaises. La filière cuir représente plus de 70 000 emplois en France et un savoir-faire apprécié dans le monde entier.

J’ai voté POUR la déchéance de nationalité parce que La chasse, une tradition à défendre ! Le projet de loi biodiversité a été une nouvelle fois l’occasion pour la majorité écolo-PS de lancer de nouvelles attaques contre les droits des chasseurs ! Droit dans nos bottes, le groupe d’études chasse de l’Assemblée nationale dont je fais partie s’est mobilisé en séance et plusieurs amendements des verts anti-chasse et contre les agriculteurs ont été supprimés ! Nous restons aux aguets !

« En amour comme en politique, tout est une question de confiance et il faut l’avouer, elle n’est pas au beau fixe dans le couple État – Entreprise parce que les règles imposées par l’un découragent l’investissement de l’autre ! Ce sera un mariage voué à l’échec, une séparation programmée, un divorce pour faute grave si l’Etat ne fait pas l’effort de renouer avec la compétitivité ! Monsieur le Premier ministre, cessez cette lutte contre l’emploi ; faites comme nos voisins : combattez le chômage ! » Lors de ma question d’actualité au Premier ministre février 2016 sur la flexisécurité à la Française

14

Artisans du cuir

le vrai sujet c’est de veiller à plus de sécurité pour nos concitoyens contre la barbarie et l’ignominie de ces fous et de ces assassins.

POUR le renforcement de la lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement

CONTRE la loi modernisation de notre système de santé : face au déficit abyssal de l’assurance maladie, le Gouvernement fait le choix irresponsable d’utiliser les rares fonds disponibles pour monter une «usine à gaz» en généralisant le tiers payant. Personne n’a estimé le coût réel de cette mesure. CONTRE la loi de finances : une loi qui n’a rien d’audacieux, sans incitation ni saveur. POUR la proposition de loi visant à rendre l’agriculture

française plus compétitive. Le groupe Les Républicains proposent des mesures concrètes et pragmatiques pour donner une bouffée d’oxygène aux agriculteurs tout en leur permettant de développer la compétitivité de leurs exploitations.


LA VIE DE NOS ENTREPRISES

PRENEZ DE LA HAUTEUR AVEC BRICE LEFÈVRE

Le drone qui sert à l’entraînement de Brice.

Brice Lefèvre est au service des entreprises et des collectivités pour tous projets de reportages avec son drone. Passionné par les nouvelles technologies et par l'univers de l'aviation, le Beauvaisien Brice Lefèvre a décidé de proposer une nouvelle activité originale et novatrice de prises de vues par drone qui peut s'adapter à tous types de projets (reportages photographiques et vidéo, suivi de chantier, contrôle et inspection technique d'ouvrages, promotion du patrimoine et du tourisme, expertise immobilière et aussi tous évènements, cérémonie ou séminaire…) Responsable de la division drone au sein de l’entreprise CDHI, Brice Lefèvre souhaite à mettre son expérience et ses conseils au service des entreprises, des mairies et collectivités de tous genres. L'imagerie aérienne par drone permet d'obtenir des clichés innovants de qualité à moindre coût en comparaison aux prises de vues aériennes classiques telles que celles réalisées par hélicoptère ou par avion. Son faible coût d'exploitation, son adaptabilité, sa maniabilité et sa rapidité d'intervention en fond un outil très

performant et très polyvalent qui séduit de plus en plus de chefs d' entreprise et élus… "Mes clients viennent de tous horizons. Je travaille pour les mairies, les industries, les assurances, les architectes, les agriculteurs… et ce dans toute la France… Le matériel que j' utilise est à la pointe de la technologie. La plupart des pièces qui le composent sont fabriquées par Airbus." souligne Brice Lefèvre. Mais il est à signaler que le télé pilote doit constamment s'entrainer pour garder le "contrôle" de son aéronef. C'est pourquoi Brice utilise un second drone uniquement pour l'entrainement.

La télécommande spécifique.

Avec cette nouvelle activité, vous pourrez accéder à l'inaccessible avec le drone de Brice pour des prises de vues originales, novatrices mettant en valeur votre projet… N'hésitez pas à contacter Brice Lefèvre qui est à votre disposition pour tous conseils, études de projets et devis personnalisés.

Pour tous renseignements : 06 47 42 36 01

Prise de vue d’un paysage réalisée avec le drone.

15



Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.