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Les news scientifiques

L’ ACTU en Bref D’après Sources : Israël Science Info https://www.israelscienceinfo.com/ Inserm Time Israël

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FLe chewing-gum anti-fringales sucrées est arrivé !

Au Centre de recherche sur l’obésité du Centre médical Sheba (en Israël), Sweet Victory, la startup israélienne savoure les résultats de son étude pilote … son chewing-gum - disponible en Israël, en France et bientôt aux USA - bloquerait en deux minutes à peine les récepteurs du sucre sur la langue. Infusé à base de plantes, il stoppe net les envies de sucre, tous les aliments sucrés paraissent fades (le rêêêve) et son action se prolongerait pendant plus de deux heures ! Comment ? Il est composé de molécules d’acide gymnémique bioactif (contenu dans le gymnema sylvestre indien appelé aussi "gurmar" et connu dans la tradition ayurvédique pour son effet positif sur le métabolisme du glucose). « Gurmar » signifie en hindi « destructeur de sucre ». Il se fixe sur les récepteurs des cellules des papilles gustatives comme un leurre et empêche ainsi les molécules de sucre des aliments de s’y fixer. La place étant prise, l’envie de sucre disparait. De quoi ravir les addicts au sucre, limiter son attrait psychologique quasi irrépressible (chaque bouchée sucrée active notre circuit de récompense) et limiter notre combat quotidien !

RLire pendant l’enfance préserve du déclin cognitif Des chercheurs de l’Université de Haïfa, de l’Université Ben Gourion du Néguev et du Centre de données gérontologiques d’Israël ont montré qu’une maison remplie de livres améliore la mémoire chez les 65 ans et les préserve contre le déclin cognitif. En effet, rapporte l’étude, lire semble significativement corrélé à une amélioration de la mémoire immédiate et retardée, de la fluidité verbale et d’un déclin cognitif global moindre. Dans l’étude, un minimum de 11 à 25 livres (environ une étagère) semblerait ainsi constituer une cure de Jouvence aux lecteurs et prévenir ainsi contre certaines maladies et troubles cognitifs.

oOui, la vitamine D réduirait les formes graves de COVID

C’est ce qu’affirment les chercheurs de l’université Bar Ilan et du Galilee Medical Center qui montrent qu’une augmentation des niveaux de vitamine D peut aider les patients atteints du COVID-19 à réduire le risque de contracter une forme grave de la maladie, ainsi que les risques de décès. Comment ? En participant à renforcer naturellement le système immunitaire qui se défendrait mieux contre l’invasion virale. A l’inverse, le manque de vitamine D augmenterait significativement le danger de développer une forme grave de Covid en cas d’infection. A noter qu’en Israël et au moyen Orient, près de 20% des personnes sont carencées en vitamine D. L’étude, réalisée avant que le vaccin ne soit disponible, montre que sans le remplacer, elle constitue un moyen de prévenir la chute d’immunité. Et ce, quel que soit le variant. Une étude qui vient donc rejoindre les autres selon lesquelles les vitamines (ou encore le jus de citron, le bicarbonate) éloignaient le virus en permettant aux consommateurs de s’immuniser contre lui naturellement.

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