Press book 2016, vol.2

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2016, VOLUME 2


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SOMMAIRE ACTUALITES DE KEDGE BUSINESS SCHOOL • Le Parisien Etudiant : Palmarès des Ecoles de Commerce : KEDGE BS, 7ème pour la 3ème année consécutive • NewsTank : KEDGE BS : « Devenir la 15e business school européenne : un objectif, pas une aspiration » (F. Pierson) • NewsTank Livre Blanc CGE : KAP : des prêts cautionnés pour financer les frais de scolarité • Challenges : Les Executive MBA français, pour affirmer ses talents de manager • La Provence : KEDGE BS offre à ses élèves des espaces innovants • Sud Ouest : Retour en images sur la deuxième journée de Vinexpo Hong Kong • L’Express : Notre-Dame de la grande et De l’eau dans le vin • Le Monde : MBA : un cursus qui m’a ouverte sur l’entreprise • Le Monde : MBA : Excellence nationale • Espace Prépas : KEDGE BS, all the best • L’Etudiant : Ma vie d’étudiante à KEDGE BS : Valeska, l’entrepreneuriat dans la peau • La Provence : une série de conférences à KEDGE BS pour faire germer idées et optimisme • La Tribune : Kedge Business School s’achète un centre de formation continue • Le Figaro : Étudier à Bordeaux, une ville qui bouge • La Tribune : KEDGE BS - Cité du vin : les clés du partenariat • Sud Ouest : Les Aquitains s’adaptent à la nouvelle région • Le Monde : Les discriminations en matière d’emploi ont un vrai coût économique • Corse Net infos : Bastia : La quatrième promotion de management général de KEDGE Business school • Businews : Nous voulons être un hub d’entrepreneuriat métropolitain pour les filières d’excellence • Harvard Business Review : Harvard Business Review publie les expertises de KEDGE Business School

KEDGE BS DANS LES MEDIA AUDIOVISUELS • France 2, JT de 20H : Renault : Emmanuel Macron exige que le conseil d’administration diminue le salaire de Carlos Ghosn • RFI, 7 Milliards de voisins : La classe inversée • France 3 Aquitaine, Question de choix : Alain Juppé invité de l’émission à KEDGE BS • France 3 Aquitaine : Question de choix : Noël Mamère, invité de l’émission à KEDGE BS • RFI, journal : Ligue des champions : la conquête du ciel, l’autre match City-PSG • France 5, C dans l’air : Elles font bouger le monde • France 3 Provence-Alpes, JT 12/13 : La nuit de la crise à KEDGE BS • ARTE TV, 28’ : Paradis fiscaux : comment arrêter la grande triche ? • RFI, 7 milliards de voisins : Les universités et les stratégies d’exportation de leurs formations • TV7 Bordeaux, Bonjour Bonsoir : KEDGE BS, un des plus beaux campus de France • MCE TV, Initiatives BDE : Wax It de KEDGE BS, élue meilleure association de France 2016


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PALMARÈS DES ECOLES DE COMMERCE DU PARISIEN ETUDIANT :

KEDGE BS, 7ème pour la 3ème année consécutive

Notre Palmarès des écoles de commerce évalue chaque année une trentaine d’établissements (accessibles post bac et post prépa) et bénéficiant tous du grade de master (niveau bac+5 reconnu par l’état). Équipements, enseignements, international, développement des compétences… Les business schools françaises jouent sur tous les tableaux pour séduire les étudiants. Notre dossier complet et palmarès 2016. Élaborée dans le plus grand secret, l’alliance entre EMLYON Business School et l’ESC Grenoble marque le début des grandes manœuvres dans le monde des business schools françaises. Très clairement, un acteur majeur est en train de naître et pourrait bousculer la hiérarchie dans les années à venir, même si HEC Paris, ESSEC Business School et ESCP Europe demeurent encore au sommet. Signe de cette concurrence exacerbée : l’arrivée à Paris dans des locaux flambants neufs d’EMLYON Business School, à deux pas de l’Opéra Bastille, ainsi qu’une montée à la 3e place dans notre palmarès ! Hasard ou coïncidence, l’EDHEC Business School, proche concurrente, se situe quant à elle à quelques centaines de mètres de… l’Opéra Garnier.


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PALMARÈS DES ECOLES DE COMMERCE DU PARISIEN ETUDIANT :

Investissements et innovation

Cette effervescence se diffuse parmi toutes les écoles les mieux classées dans ce 8e palmarès du Parisien Étudiant. Année après année, on constate que les institutions investissent et innovent. Elles sont d’ailleurs de plus en plus nombreuses à figurer dans les prestigieux rankings internationaux. C’est la preuve de l’excellence du modèle grande école. Autrement dit, la trentaine d’établissements que nous vous présentons dans ce palmarès propose des filières de très grande qualité. Au sommet, la compétition est toujours féroce. La performance de SKEMA Business School et KEDGE Business School tend à démontrer que les fusions peuvent réussir et conduire à des ensembles performants. On attend encore que NEOMA Business School trouve son modèle pour se hisser à leurs côtés. Notons tout de même que l’école gagne une place cette année. Audencia Business School, Toulouse Business School, Montpellier Business School et Rennes School of Business demeurent les plus solides challengers et sont d’ailleurs plébiscitées par les élèves de classes prépas comme par les candidats des concours en admissions parallèles. À noter que Christophe Germain, le Directeur général par intérim d’Audencia Business School a joué pleinement son rôle pour « tenir la baraque » face aux incertitudes au niveau de la gouvernance... en attendant son successeur.


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PALMARÈS DES ECOLES DE COMMERCE DU PARISIEN ETUDIANT :

KEDGE, une philosophie : « Be You ! » La directrice Nathalie Hector nous présente le programme Be You : Kedge lance une réforme d’ampleur de ses parcours en structurant une nouvelle offre entre Bordeaux et Marseille. En voici les points clés avec Nathalie Hector, Directrice du programme école. Peut-on rappeler la marque de fabrique de l’école ? Notre pédagogie est basée sur l’apprentissage par l’action. Au sein du programme grande école, nous sommes totalement dans cet esprit avec au total un tiers de la formation orienté dans cette direction. En conséquence, nous proposons une grande flexibilité à nos étudiants pour élaborer un parcours à la carte. Ce qui ne nous empêche pas d’offrir un large panel de spécialités pour ceux qui le souhaitent. Mais aujourd’hui, nous avons voulu aller encore plus loin en proposant des parcours différents entre nos deux implantations : Marseille et Bordeaux. Ainsi, pour les élèves de M1 et de M2, nous pourrons offrir aussi bien des parcours hyper spécialisés ou à la carte. Cette offre correspond à notre philosophie intitulée « Be You », qui consiste à permettre aux jeunes de se construire par eux-mêmes. Cela change quoi fondamentalement ? L’accompagnement des étudiants sera désormais beaucoup plus poussé pour les aider à réfléchir et l’éventail des enseignements beaucoup plus large. Du coup, nous pourrons mieux orienter nos étudiants et offrir des cours beaucoup plus pointus. Une fois sur le marché du travail, nos diplômés pourront mieux valoriser leur cursus chez nous… et donc mieux se vendre. Le numérique joue-t-il un rôle important dans cette nouvelle approche ? Le digital occupe une place important à Kedge. Les cours fondamentaux sont déjà dispensés à distance pour laisser du temps aux étudiants pour leurs projets et faciliter leur organisation pour, par exemple, débuter un stage ou partir à l’étranger. Force est de constater que cela fonctionne bien, d’autant que nos élèves ne veulent plus de cours à l’ancienne. La nouvelle génération veut vivre une véritable expérience pour apprendre ou être évaluée. Je suis par exemple convaincu que les notes vont disparaitre. A l’avenir, il faudra mesurer les capacités à proposer et imaginer des solutions ou concevoir des projets ou encore travailler ensemble.


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DEVENIR LA 15ÈME BUSINESS SCHOOL EUROPÉENNE : UN OBJECTIF, PAS UNE ASPIRATION » (F. PIERSON) Paris - Publié le mercredi 30 mars 2016 à 12 h 11 - Actualité n° 65283 « Passer du 30e au 15e rang européen des business schools, c’est un objectif, pas une aspiration. Cela signifie décliner un certain nombre de défis, s’y atteler, se fixer une ambition et voir comment l’atteindre », déclare François Pierson, président du conseil d’administration de Kedge Business School, à News Tank, le 11/03/2016, à l’occasion de l’inauguration des nouveaux espaces du campus marseillais. L’école a lancé une révision de son plan stratégique, « qui sera annoncée d’ici quelques mois ». Parmi ses leviers : « améliorer la formation initiale avec plus de digital », « tripler le CA de l’executive education d’ici 2020 », « l’internationalisation, notamment via la création de nouveaux campus » et « la satisfaction des diplômés ».

François Pierson répond aux questions de News Tank Kedge est en tête du classement des meilleurs bachelors du Parisien Etudiant, publié le 08/03/2016. Comment y réagissez-vous et comment appréhendez-vous les classements en général ? Notre objectif est de devenir la 15e business school européenne François Pierson : Nous en sommes bien entendus très heureux et c’est d’ailleurs la troisième année consécutive que Kedge BS occupe la 1re place. Les classements ont toute leur importance. On peut toujours discuter des critères, mais il faut accepter les règles du jeu et se réjouir des bons résultats. Par exemple, le classement du FT des meilleurs EMBA au monde montre que nous sommes 23e, alors que nous n’étions que 80e il y a six ans. Nous l’avons affiché précédemment : notre objectif est de devenir la 15e business school européenne, or passer du 30e au 15e rang européen, c’est un objectif, pas une aspiration. Cela signifie décliner un certain nombre de défis, s’y atteler, se fixer une ambition et voir comment l’atteindre, dans le cadre de la révision de notre plan stratégique, « Ambition 2020 », qui sera annoncée d’ici quelques mois. Quels sont vos leviers pour atteindre cet objectif ? Nous en avons quatre : • Ne rien céder sur la qualité de la formation initiale et même l’améliorer avec plus de digital. • Le développement de l’executive education. Le CA de l’executive education de Kedge est aujourd’hui d’environ 10M€ par an, nous souhaitons le tripler d’ici 2020. • L’internationalisation, notamment via la création de nouveau campus, comme en Asie. Nous sommes d’ailleurs en train de nouer un partenariat fort avec une nouvelle université en Chine. • La satisfaction des diplômés, mieux former les étudiants pour leur permettre une meilleure vie professionnelle après leur diplôme.


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DEVENIR LA 15ÈME BUSINESS SCHOOL EUROPÉENNE : UN OBJECTIF, PAS UNE ASPIRATION » (F. PIERSON)

Thomas Froehlicher répond aux questions de News Tank François Pierson évoque quatre leviers pour faire progresser Kedge. Point par point, comment développer le digital pour améliorer la formation au sein de l’école ? Les Mooc semblent déjà sur la pente descendante Thomas Froehlicher : C’est un véritable sujet, notamment le développement de la stratégie digitale de l’école, avec des investissements dans des espaces dédiés au numérique. Nous avons par exemple investi 655 000€ sur notre campus marseillais dans la création d’un « webarium », un lieu de travail connecté pour les étudiants, un « videomaton » pour enregistrer de courtes vidéos, une salle de montage numérique… En tant que business school, nous parlons tous de transformation digitale, nous avons envie de savoir vers quoi nous allons. Certains se tournent vers les Mooc, mais ils semblent déjà sur la pente descendante. Il est donc essentiel de s’interroger sur l’utilisation des outils numériques et de travailler à la construction des usages numériques entre professeurs et étudiants. Inauguration de nouveaux espaces Le campus marseillais de Kedge Business School a inauguré le 11/03/2016 de nouveaux espaces, dont un learning hub, des lieux de restauration, une salle de fitness, une salle de danse et un coffee shop. 4,7M€ ont été investis dans ces espaces. L’inauguration a eu lieu en présence de Martine Vassal, présidente du Conseil départemental des Bouches-du-Rhône et Lionel Royer-Perrault, maire des 9e et 10e arrondissements de Marseille. Sur l’Executive education, M. Pierson parle d’un chiffre d’affaires triplé d’ici 2020. Comment développer la formation continue au sein de Kedge ? A Marseille, l’expertise porte plutôt sur des questions maritimes et de développement durable En effet. Nous avons déjà bien avancé sur ce point, notamment avec le recrutement d’une personne dédiée au corporate et à la formation continue, José Milano, qui a mené une importante réflexion stratégique sur ce point. L’ouverture du campus de Paris, consacré à la formation continue, en février 2015, a aussi été un moment essentiel dans cette stratégie. Dans un futur proche, chaque campus aura son executive center, à la fois avec des programmes généralistes de très haut niveau pour les managers et les dirigeants, et avec ses propres spécificités. Ce sera le cas dans le nouveau campus marseillais, ainsi qu’à Toulon. A Bordeaux, il est déjà installé, avec une orientation supply chain et achats, qui se décline aussi à Paris. A Marseille, l’expertise porte plutôt sur des questions maritimes et de développement durable. Les deux campus de Bordeaux et Marseille partagent des compétences fortes dans le secteur du marketing. Et à l’étranger, le campus de Dakar pourrait également s’y ouvrir, étant donné que la demande pour ce type de formation, certifiante ou non, est très forte en Afrique.


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KEDGE : « DEVENIR LA 15ÈME BUSINESS SCHOOL EUROPÉENNE : UN OBJECTIF, PAS UNE ASPIRATION » (F. PIERSON)

L’internationalisation est également un point clef de votre stratégie… Nous voulons créer un brassage interculturel et développer un réseau Alumni dans le monde entier Tout à fait. Nous souhaitons tout d’abord développer le nombre d’étudiants étrangers dans notre Programme grande école, notre International BBA et nos MSc. Aujourd’hui, 25 % des inscrits dans l’ensemble de nos programmes sont étrangers, le but est de passer à 50 %, tout en conservant une grande sélectivité. Nous voulons créer un brassage interculturel et développer un réseau Alumni dans le monde entier. D’où le développement de l’attractivité de nos campus. Nous disposons de sites remarquables, dans des lieux qui parlent immédiatement aux étrangers : Bordeaux, Marseille-Provence, Paris. Les candidatures aux MS et MSc ont grimpé de 37 %, du fait de l’augmentation des étudiants étrangers. Nous avons triplé notre budget dédié aux salons et forums internationaux, notamment en Asie et en Europe, pour développer ces programmes. Nous avons également investi sur le recrutement de professeurs étrangers et anglophones. Sur nos derniers recrutements de professeurs, nous avons ainsi recruté 80 % d’étrangers. Et 50 % des cours sont aujourd’hui assurés en anglais. Nous élaborons de plus un partenariat avec la Central Chinese Academy of Fine-Arts, dans le domaine du management des Arts et du Design. CAFA est la plus grande École d’Art et de Design d’Asie. Nous visons l’homologation d’une formation commune délivrée en anglais, mais c’est un long processus, en France comme en Chine. Kedge développe également des partenariats avec des écoles d’autres spécialités, comme les Mines d’Alès. Comment choisissez-vous ces partenariats ? De nombreux accords, avec comme objectif final l’hybridation des cursus. Nous effectuons en effet de nombreux accords, avec comme objectif final l’hybridation des cursus. Notre campus de Bordeaux est très lié aux ingénieurs en formation de l’INP Bordeaux. A Marseille, nous sommes proches de Centrale Marseille et des Mines d’Alès. Nous avons beaucoup travaillé à la question de l’hybridation avec les ingénieurs, il faut notamment que les formations proposées soient en lien avec les besoins de l’industrie et de l’entreprise. Sur des thématiques comme la supply chain, par exemple, une telle hybridation fait totalement sens. Nous cherchons activement à renforcer cette dimension avec un partenariat plus stratégique qui pourrait aussi mettre en perspective les compétences de notre Kedge Design School à Toulon.


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LIVRE BLANC DE LA CONFÉRENCE DES GRANDES ECOLES

KAP : des prêts cautionnés pour financer les frais de scolarité


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LES EXECUTIVE MBA FRANÇAIS, POUR AFFIRMER SES TALENTS DE MANAGER Publié le 05-06-2016 à 23h25

Enrichir son réseau, gagner en assurance, singulariser son profil: les EMBA permettent aux cadres dotés d’une quinzaine d’années d’expérience d’affirmer leur personnalité de manager.

Financement partiel Un EMBA se mûrit d’autant plus en amont que les employeurs sont de moins en moins nombreux à régler la totalité de la note, moins d’un quart en 2015, d’après l’Executive MBA Council, représentant 300 programmes dans le monde. Si Charles- Henri Barraine a obtenu l’aide de son cabinet à hauteur de 75%, Vincent Leleu a financé lui-même tout son parcours à Kedge BS, avec un leitmotiv: ouvrir davantage sa carrière à l’international. “J’avais eu maintes fois l’occasion de travailler avec des fournisseurs étrangers, mais je n’avais jamais vécu d’expatriation”, explique cet ex-directeur adjoint d’une société de musique. A Kedge, il a passé sept mois sur le campus de Shanghai et embrayé sur trois ans de conseil dans la région. Puis, en 2015, un fonds d’investissement lui a proposé de prendre la tête d’une société franco- chinoise, MiCx’R, spécialisée dans la publicité sur les lieux de vente. Pari gagné.

Pour suivre l’Executive MBA de HEC en parallèle de ses responsabilités à RTE, Valérie-Anne Lencznar a dû faire “quelques sacrifices personnels”. Mais elle ne le regrette pas. Cette quadragénaire ressentait le besoin de “consolider ses connaissances en management”. L’EMBA lui a, en prime, ouvert de nouveaux horizons professionnels. “En dialoguant pendant deux ans à HEC avec des cadres de métiers et secteurs très variés, j’ai enrichi mon réseau et gagné en assurance”, affirme-t-elle. Résultat: dès que son groupe, avec d’autres acteurs de l’énergie, a créé une association pour promouvoir les réseaux électriques intelligents, son profil s’est démarqué. A peine diplômée, voilà donc Valérie-Anne Lencznar déléguée générale de Think Smart Grids, avec, en perspective, des défis stratégiques qui la “motivent”. Si les Executive MBA ne portent pas tous leurs fruits aussi vite, ils se veulent en tout cas des tremplins vers les fonctions de direction.


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NOTRE-DAME DE LA GRANDE ET DE L’EAU DANS LE VIN


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KEDGE BS OFFRE À SES ÉLÈVES, DES ESPACES INNOVANTS


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RETOUR EN IMAGES SUR LA DEUXIÈME JOURNÉE DE VINEXPO HONG KONG La fréquentation du salon est en hausse. Ce mercredi, un ministre en visite, le lancement officiel de la formation KEDGE BS/Vinexpo, des vins italiens ou califiorniens... Matthias Fekl, le secrétaire d’État chargé du commerce extérieur, de la promotion du tourisme et des Français de l’étranger, est passé ce mercredi au salon Vinexpo, à Hong Kong. Un ministre d’autant plus intéressé qu’il est aussi le conseiller régional de la plus grande région viticole, avec évidemment en tête Bordeaux. Mais le ministre a aussi parlé affaires grâce à un entretien avec John Tsang, secrétaire d’État aux finances de Hong Kong, dans une métropole où la communauté française est fortement représentée. UN DIPLÔME KEDGE BS-VINEXPO

Matthias Fekl, le secrétaire d’État, est aussi conseiller régional dans la plus grande région viticole.

Toujours ce mercredi sur le salon Vinexpo, les représentants de Kedge business school Bordeaux et Vinexpo ont lancé la formation Wine and spirirts marketing certificate , en présence du président de la CCI de Bordeaux Pierre Goguet et de l’adjointe à l’économie d’Alain Juppé, Virginie Calmels. Cette formation de quelques jours, d’un coût de plus de 4 000 euros, s’adresse aux professionnels qui souhaitent acquérir des outils utiles dans le domaine du marketing. Elle est conçue à la fois par Kedge et Vinexpo. Elle aura par exemple comme enseignant Gérard Basset, ex-champion du monde des sommeliers.

FRÉQUENTATION EN HAUSSE Il y a davantage de visiteurs à Vinexpo Hong Kong cette année qu’il y a deux ans. Cela se voyait à en juger par la foule à l’entrée et dans les allées. On sait que cette hausse pour la première journée, qui ne fut pas la plus remplie, est d’au moins 2% selon les premières tendances dévoilées hier. DÉCOUVERTES ITALIENNES Critique et journaliste américain réputé, James Suckling s’est penché ce mercredi sur le potentiel du vin italien en Asie. Il y avait d’ailleurs d’autres moments consacrés à la péninsule, avec une dégustation commentée de vins du nord et du sud, ou encore une soirée apéritif consacrée à l’Italie, tout de même le premier exportateur au monde de vins.

Lancement d’une formation conçue à la fois par KEDGE BS et Vinexpo

LE STYLE CALIFORNIEN Même s’ils n’étaient pas en vedette, il était difficile pour Vinexpo de ne pas se pencher sur les vins californiens à travers une dégustation de ce qui se fait de mieux sur la côte ouest des Etats-Unis. FEMMES À L’HONNEUR Et puis Vinexpo a consacré une dégustation et une remise de récompenses aux meilleurs vins goûtés et sélectionnés par des femmes. Ce sont les Féminalises 2016 world wine award.


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MBA : UN CURSUS QUI M’A OUVERTE SUR L’ENTREPRISE


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MBA : EXCELLENCE NATIONALE


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ALL THE BEST !


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MA VIE D’ÉTUDIANTE À KEDGE : VALESKA, L’ENTREPRENEURIAT DANS LA PEAU

Cécile Peltier Publié le 26.04.2016 Déterminée, Valeska, 21 ans, étudiante à Kedge BS, mène de front sa scolarité en M1 sur le campus bordelais de l’école de commerce et le développement de sa start-up, Room4Talk. “J’aime me dépasser, et tout ce que je fais, je le fais à fond.” À voir Valeska avancer d’un pas décidé, sourire aux lèvres, ce matin de la fin mars 2016, dans les couloirs de Kedge, on n’a aucun mal à la croire ! À tout juste 21 ans, l’étudiante, en deuxième année à Kedge Business School, a un emploi du temps de ministre et un CV bien fourni. “Grosse bosseuse”, Valeska est un peu le prototype de la bonne élève. En 2012, après son bac ES obtenu au lycée Fénelon-Sainte-Marie dans le XVIIe arrondissement de Paris, elle intègre une prépa ECE (économique et commerciale) au lycée Notre-Dame-du-Grandchamp, à Versailles (78). Malgré la “pression”, elle garde un excellent souvenir de ces deux années passées dans cette “prépa hyper familiale”. “SORTIR DE CETTE LOGIQUE DE CLASSEMENTS” La recette de son équilibre : du boulot, quelques sorties entre amis et beaucoup de natation, un sport qu’elle pratique en compétition depuis l’enfance. “J’ai fait trois championnats de France : en 2009, 2010 et 2011.” Au moment de passer le concours, Valeska espère intégrer l’une des écoles du “top 6”, comme c’est souvent le cas des élèves de sa prépa... C’est donc d’abord la surprise qui prime lorsqu’elle découvre que ce n’est pas le cas. “Certains de mes amis n’ont pas hésité à refaire une année de prépa pour intégrer l’école de leur choix. Moi, je me suis dit ‘Bordeaux est une belle ville. Il faut sortir de cette logique de classements, je vais à Kedge et je vais tracer ma route’.” UN PARCOURS D’EXCELLENCE Après 1 an et demi à l’école, Valeska est comme un poisson dans l’eau sur le site qui compte en permanence entre 3.500 et 4.000 étudiants : “Les locaux sont magnifiques et, même si on est nombreux, l’ambiance est très sympa.” En première année, elle a découvert les fondamentaux du management, avant d’intégrer en M1, le parcours d’excellence “business et objets connectés”. C’est l’un des six parcours fléchés mis en place par l’école de commerce qui privilégie en général la scolarité à la carte. Les étudiants (pas plus de 25) qui intègrent ces parcours sont sélectionnés avec soin (CV, lettre de motivation, rédaction sur un thème d’actualité, etc.) et bénéficient pendant 2 ans d’un enseignement approfondi sur un sujet, avec un accès privilégié aux professionnels du secteur. Et à la sortie, une grande chance de décrocher un poste intéressant. Un cursus intensif et assez exigeant. DES SÉMINAIRES AVEC DES PROS Valeska a cours du lundi au mercredi de 8 h 45 à 16 h 45 environ, et le jeudi matin. “À côté, il y a pas mal de boulot, des cas d’entreprise avec des travaux de groupe.” Plusieurs fois dans le semestre, les cours classiques laissent la place à un séminaire, animé par des professionnels. Début février, elle a passé la semaine à Paris à rencontrer des start-up du numérique : “On a vu BlaBlacar, Criterio… C’était super”, se souvient Valeska. Cette semaine, le séminaire a lieu à Bordeaux. L’auditoire écoute attentivement l’intervenante venue d’Efficity. Valeska prend quelques notes, et répond aux questions. En deux mois, elle a l’impression d’avoir déjà énormément appris sur le secteur du numérique. Cet après-midi, elle visite un magasin Auchan. La veille au soir, elle a organisé avec ses camarades un “after work” avec des entreprises de la région.


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MA VIE D’ÉTUDIANTE À KEDGE : VALESKA, L’ENTREPRENEURIAT DANS LA PEAU

UNE START-UP SPÉCIALISÉE DANS LA RECHERCHE DE COLOCS ÉTRANGERS L’occasion de réseauter et de parler de sa start-up. Car l’étudiante bûcheuse est aussi à la tête de Room4Talk, un site qui permet de trouver des colocataires étrangers. L’idée est née en juillet 2013, à l’occasion d’un stage à Madrid. “J’ai tapé sur Internet : ‘Recherche des colocataires pour progresser en espagnol’ et je suis tombée sur des annonces dégoûtantes.” Une expérience qui l’a convaincue de créer sa propre plate-forme. Dès sa sortie de prépa, soutenue par ses parents, elle se lance et monte son site Internet. Trois élèves ingénieurs l’aident depuis Paris pour les aspects techniques. Depuis septembre 2015, ce projet fait partie intégrante de sa scolarité, car elle le développe dans le cadre d’un “pro-act” : mission humanitaire, création d’entreprise, organisation d’un festival… pour obtenir leur diplôme, les étudiants de Kedge doivent valider au moins deux de ces projets-actions au cours de leur scolarité. Jusqu’à la fin mai, Valeska est coachée par un tuteur qui l’accompagne dans son projet. “C’est un peu comme une incubation : je lui présente mes avancées, je dois rendre des documents formalisés et, si j’ai un souci, je peux l’appeler.” Prochaines étapes : boucler la refonte du site Internet et lever des fonds afin de poursuivre le développement de l’entreprise. “Je suis en train de travailler sur le business plan, ce n’est pas facile”, confie l’étudiante, qui n’hésite pas à “passer des heures à la bibliothèque à lire des livres ou sur Internet à éplucher des sites Web”. “ON NE PARLE PAS TROP D’ARGENT ENTRE NOUS…” Elle travaille aussi beaucoup de chez elle. Comme la plupart des “Kedgers”, elle a fait le choix du centre-ville et, bien entendu, de la colocation, dans le quartier du Musée d’Aquitaine, à une quarantaine de minutes en tram de l’école… “C’est un duplex de 90 m2 avec un grand salon, que je partage avec deux amies.” Montant du loyer : 390 € mensuels, charges comprises. Ses parents financent ce montant, ainsi que les 11.000 € annuels de frais de scolarité. Une sacrée somme tout de même… Certains de ses amis ont-ils dû souscrire des prêts ? “On ne parle pas trop d’argent entre nous…”, répond-elle, un brin gênée. Quand il lui reste un peu de temps, Valeska plonge dans le bassin olympique de la piscine judaïque, son lieu favori à Bordeaux. Comme partout où elle passe, elle a réussi à fédérer un petit groupe de copines pour aller nager avec elle. Cette oratrice née a aussi participé à plusieurs concours d’éloquence où elle a décroché des prix. Quand elle ne pitche pas, elle apprécie les soirées tapas entre amis ou les sorties dans les petits bars du centre-ville ou les boîtes du quartier de la gare. Une année de césure à l’étranger ? L’année prochaine, elle passera 1 an en césure, “plutôt en Asie et aux États-Unis ou à Paris”. Elle hésite encore à réaliser ses stages dans une start-up, dans une grande entreprise, ou au sein de Room4Talk. “Il est important que je ne laisse rien de côté.” Une chose est sûre : elle passera par son site pour se trouver des colocs étrangers ! Il lui restera ensuite 6 mois de cours et 6 mois de stage avant de nager dans le grand bain, à la tête de Room4Talk, bien sûr.


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LA BONNE IDÉE !


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ÉTUDIER À BORDEAUX, UNE VILLE QUI BOUGE

Par Fanny Lauzier Publié le 04/05/2016 à 17:30 L’UNIVERSITÉ COMPTE 50 000 ÉTUDIANTS DONT PLUS DE 6000 ÉTRANGERS. La capitale du vin est tournée vers sa jeunesse. De nombreuses formations de qualité; un cadre de vie magnifique à une heure de l’océan Atlantique... Et si vous optiez pour la perle de l’Aquitaine? Avec ses 87 364 étudiants recensés*, Bordeaux est la 6ème ville étudiante de France. Une ville jeune, dynamique, et qui offre un cadre de vie agréable - en 2007, Bordeaux a été inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Les quais totalement réaménagés, le parc bordelais, le jardin botanique, ou la place de la Victoire... Bordeaux regorge de lieux «étudiants friendly», à seulement une heure de l’océan Atlantique . Avec l’arrivée du Tramway et pas moins de 65 lignes de bus, la ville est particulièrement bien desservie. La ville compte 4 universités, un institut d’études politiques, 4 instituts universitaires de technologie, 12 écoles d’ingénieurs, 9 écoles de commerce, et deux écoles supérieures d’art, Bordeaux propose un large éventail de formations de qualité.

KEDGE est 13 ème du classement 2015 des écoles de commerce du Figaro. Wikicommons/©M690951

L’école de commerce Kedge est née d’une fusion entre BEM (Bordeaux management school) et Euromed Marseille en 2013. À la 13ème place (sur 36) du classement des écoles de commerce 2015 du Figaro étudiant et à la 30ème place (sur 85) du palmarès des écoles de commerce européennes 2015 du Times Higher Education , Kedge Business School est résolument une école «qui monte». C’est également un établissement qui œuvre pour son «ouverture» internationale. Sur ses 12 000 étudiants, 26% sont des internationaux et 43% de ses 196 professeurs chercheurs viennent de l’international. Le petit plus : l’école compte sept campus, dont quatre sont situés en France (Bordeaux, Marseille, Paris, Toulon) et trois à l’étranger (Suzhou, Shanghai et Dakar).


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KEDGE BUSINESS SCHOOL S’ACHÈTE UN CENTRE DE FORMATION CONTINUE Par Jean-Philippe Déjean | 04/05/2016, 11:48

José Milano, directeur général adjoint de KEDGE Business School (Crédits : Agence Appa) L’école supérieure de commerce Kedge Business School, dont le siège est à Bordeaux, implantée à Marseille et Paris, annonce la prise de contrôle du Gicfo, centre de formation continue de la CCI de Bordeaux. Directeur général adjoint de Kedge, José Milano présente en exclusivité pour La Tribune la stratégie visant à s’imposer auprès des entreprises, des petites aux très grandes.

LE MONTANT DU RACHAT DU GICFO PAR KEDGE N’A PAS ÉTÉ DÉVOILÉ. “Les CCI de Bordeaux et Marseille siègent au conseil d’administration de l’association qui gère Kedge, mais l’acquisition du Gicfo n’a rien à voir avec ça. Nous aurions pu acheter autre chose. Nous avons choisi le Gicfo à cause de l’importance que prend la formation continue dans notre marché”, résume José Milano, directeur général adjoint de Kedge Business School. Ce rachat est le produit d’un rapprochement amorcé depuis des mois entre Kedge BS et le Gicfo. La dernière phase, celle de l’absorption, est déjà consommée et les formations du Gicfo en cours de commercialisation par Kedge. Vu de l’extérieur le Gicfo a l’air tout petit, avec ses 2,5 M€ de chiffre d’affaires et son effectif de 19 personnes, comparé à la grande machine qu’est Kedge Business School. Il n’en est pas moins stratégique. GICFO : LA BRIQUE MANQUANTE Kedge BS est né de la fusion en 2013 de Bordeaux Management School et Euromed Management, qui associe Marseille à Toulon. L’école réalise près de 100 M€ de chiffre d’affaires, avec 12.000 étudiants, 196 professeurs chercheurs, pour un effectif total de 500 personnes, et dispose de campus à Bordeaux, Marseille et Paris. Le Gicfo est la clé d’un marché nouveau, celui de la formation continue. L’effectif du Gicfo a intégré celui de Kedge. Si la marque Gicfo disparaît, l’activité de ce centre de formation continue bordelais est étendue à Marseille et Paris. “Le Gicfo va conserver toutes ses qualités et bénéficier des moyens supplémentaires que lui apporte Kedge. Nous avons plus de 260 formations au catalogue mais le Gicfo apporte une brique qui nous manquait : un outil de qualité en formation continue. Si la marque Gicfo disparaît c’est parce que celle de Kedge Business School est en pleine construction”, éclaire José Milano.


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KEDGE BUSINESS SCHOOL S’ACHÈTE UN CENTRE DE FORMATION CONTINUE

DES FORMATIONS COURTES DIPLÔMANTES Avec ses formations courtes en management, comptabilité-fiscalité, audit, contrôle de gestion-finance ou encore achats-logistique, le Gicfo répond à une palette de besoins déjà bien identifiés dans les entreprises. Un atout de plus pour Kedge, qui entend proposer ce nouvel ensemble de prestations en France, dans les campus dont elle dispose à l’étranger, à Dakar (Sénégal) et Shanghai (Chine), mais aussi là où se trouvent ses entreprises clientes. Le Gicfo amène un portefeuille de formations courtes et reconnues, notamment articulées sur un ensemble de certificats, dont certains débouchent sur un diplôme. Et en plus des entreprises proprement dites, la formation continue touche aussi les particuliers. Un segment de marché en plein bouleversement. “Le modèle des cours du soir à l’ancienne c’est fini. Le Gicfo nous apporte beaucoup de solutions packagées qui combinent digital et présentiel. Il a une grosse expertise à ce sujet. Cette offre intègre des entrainements asynchrones, qui permettent de s’entrainer par exemple sur son smartphone à l’heure que l’on a choisie, à son rythme. Cela n’a plus rien à voir avec les cours obligatoirement dispensés de 20 h à 23 h”, étaye José Milano.

+ 60 PLACES EN SIX ANS La logistique, avec les achats, le marketing, le vin, la santé et l’entreprenariat sont les spécialités sur lesquelles Kedge BS veut affirmer sa supériorité. “Nous sommes en train de négocier la signature d’un contrat de formation avec un très gros acteur de la logistique. Négociation qui mobilise des équipes à Bordeaux et Marseille. Il est important d’être short listé, finaliste. Le contrat de formation en supply chain (logistique) signé avec Orange a beaucoup fait pour notre image”, souligne José Milano. Présidée par François Pierson, ex-patron d’Euromed Management, à Marseille, Kedge Business School a vu son siège social installé à Bordeaux, dans un site rénové où la CCIB a lourdement investi. Thomas Froehlicher est le directeur général de ce groupe qu’a rejoint José Milano fin 2015. “Contrairement à d’autres tentatives faites en France, la fusion des deux écoles de commerce bordelaise et marseillaise a parfaitement fonctionné. Kedge a progressé de 60 places dans les classements internationaux en six ans. Nous sommes classés 30e à l’échelle européenne, mais 23e au plan mondial pour les MBA (master en administration d’entreprise), et un récent classement du magazine “Challenges” nous a mis à la 5e place des écoles de commerce en France !”, se félicite, sans excès d’euphorie, José Milano. La formation continue (ou “executive education”, en anglais) devient un nouveau segment de marché sur lequel Kedge entend bien faire la différence.


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KEDGE - CITÉ DU VIN : LES CLÉS DU PARTENARIAT Par Pascal Rabiller | 30/03/2016, 14:06 |

Jacques-Olivier Pesme, (Wine & Spirit Academy de Kedge), Sylvie Cazes (Fondation pour la culture et les civilisations du vin), Thomas Froehlicher (Kedge Business School) et Philippe Massol (Fondation pour la culture et les civilisations du vin) (Crédits : Pascal Rabiller)

La Cité du vin, équipement inédit et innovant au service de tous les vignobles du monde qui ouvrira ses portes à Bordeaux le 1er juin 2016, vient de signer, avec Kedge Business School, un partenariat tout aussi inédit qu’innovant. Thomas Froehlicher, DG et doyen de Kedge Business School, Jacques-Olivier Pesme, directeur de la Wine & Spirit Academy de Kedge, Sylvie Cazes, présidente de la Fondation pour la culture et les civilisations du vin, et Philippe Massol, DG de cette fondation exploitante de la Cité du vin, ont signé un partenariat qui les engage pour trois ans, au moins. “En vérité nous travaillons avec BEM, devenue Kedge Business School, depuis la genèse de ce projet unique au monde qu’est La Cité du vin”, expliquait Sylvie Cazes. “Kedge est une école très impliquée dans la filière vin depuis très longtemps. Elle a su, en faisant évoluer ses formations, s’adapter aux besoins de notre filière, lui insuffler du sang et des idées neuves avec ses diplômés qui nous ont rejoint. En s’associant avec la Cité du vin, elle ne fait que continuer un travail déjà ancien. Elle participe du même coup à un équipement qui aura une place importante dans notre économie”, assurait-elle avant de parapher l’accord. Au-delà des 450.000 visiteurs attendus chaque année, et des retombées économiques évaluées pour le moment à 40 M€ pour la région, la Cité du vin pourrait constituer un acte fondateur en matière de tourisme viticole. KEDGE VA SCRUTER LES VISITEURS Outre les formations et l’accompagnement, déjà lancé, de la Cité du vin dans sa communication digitale, Kedge, qui va en contrepartie voir ses étudiants bénéficier d’un accès privilégiés à ses emplois ou offres de stages, va s’attaquer à un chantier hautement stratégique pour l’équipement unique au monde (qui ouvrira ses portes le 1er juin, en présence de François Hollande, mais sans doute aussi de deux autres chefs d’Etats grands acteurs de la filière...) : l’analyse des comportements et des attentes des visiteurs.


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KEDGE - CITÉ DU VIN : LES CLÉS DU PARTENARIAT

En effet, les étudiant et chercheurs de Kedge vont piloter une vaste étude du comportement des visiteurs de la Cité du Vin. “Nous allons étudier, grâce à de très nombreuses données générées par le “guide média” qui est un objet connecté qui va accompagner chaque visiteur, les comportements, scruter l’expérience de toutes les typologies de visiteurs”, expliquent Frédéric Ponsignon, professeur de management par la qualité, et Tatiana Bouzdine, professeure du département Management des opérations à Kedge Business School. “En outre nous allons aussi réaliser des observations, une étude de satisfaction et de fidélisation... nous ne savons pas ce que nous allons trouver !” Et c’est précisément l’intérêt de ce qui va constituer une véritable étude de cas pour les étudiants, puisque la Cité du vin aura, en temps réel ou presque, le retour du visiteur qui permettra de valider le concept du parcours permanent qu’elle va proposer, voire de le faire évoluer... “Notre offre d’expérience unique et qualitative faite au visiteur passe par ce partenariat qui va nous permettre d’atteindre un niveau de détail élevé dans la connaissance du comportement et de la satisfaction de celui-ci et de mieux former un personnel déjà qualifié”, conclut Philippe Massol.


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KEDGE BS, PARTENAIRE DU PRIX LES AQUITAINS AVEC SUD OUEST ET LA BANQUE POPULAIRE AQUITAINE CENTRE Date : 04 AVRILATLANTIQUE 16 Journaliste : Stephane Vacchiani

Périodicité : Quotidien OJD : 280453

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Les Aquitains s'adaptent à la nouvelle région

TROPHÉES L'édition 2016 des Aquitains de l'année s'étend et s'ouvre aux candidatures spontanées, avec davantage de prix par département. Explication et mode d'emploi Les Aquitains

de l'année 2016

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STÉPHANE VACCHIANI s.vacchiani@sudouest.fr

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'est de l'actualité heureuse. Celle de ces entreprises qui créent de l'emploi, découvrent de nouveaux marchés. Celle de ces parcours d'hommes et de femmes qui osent se lancer dans la création ou la reprise d'activités, avec bonheur. Depuis dix années, « Sud Ouest » accompagne ces belles histoires qui nourrissentles trophées des Aquitains de l'année, lancés il y a vingt-cinq ans par la Banque populaire Aquitaine Centre Atlantique (BPACA). Cetteannée, ces deuxfidèles partenaires ont décidé d'écrire une nouvelle page de cette histoire. « Une évidence «Justifie Christian Chapothin, directeur général adjoint de la banque, « tant ces histoires nous aident à faire évoluer l'image des entreprises et de ceux qui les font ». Au point pour les organisateurs de multiplier les nouveautés.

prix I Unrégional

Profitant de la mise en place de la nouvelle grande région, les Aquitains partent ainsi à la conquête d'un territoire plus vaste pour élire le premier « grand » Aquitain de cette nouvelle régioa Une première possible grâce à l'aide du journal « La Nouvelle République », et du groupe La Montagne, dont son quotidien « Le Populaire ». Le premier heureux élu sera sélectionné parmi

Tous droits réservés à l'éditeur

Aux côtés des organisateurs, les étudiants de Kedge Business School sont prêts pour cette nouvelle formule. PH Q SAUNIER

les lauréats issus de différentes sélections, menées par ces journaux sur leurs zones de diffusion respectives, couvrant à eux quatre l'ensemble de la nouvelle grande région.

Pourcandidater, maintenant ! 2 c'est

Pas question en effet de tourner le dos auxtrophées départementaux, comme on les connaît depuis ces dernières années dans l'ex-Aquitaine, avec « Sud Ouest ». Ils sont évidemment maintenus. Mieux, il est possible, dès aujourd'hui, de postuler pour ces prix pour peu que l'on soit chef d'entreprise, dans les Landes, en Gironde, en Lot-et-Garonne,

en Dordogne, ou dans les PyrénéesAtlantiques. Des candidatures qui seront largement complétées par la sélection que mènent déjà les étudiants de Kedge Business School à partir des résultats économiques des entreprises, fournis par la société Pouey International. Deux autres partenaires encore une fois au rendez-vous. De quoi parvenir à nominerune vingtaine d'entreprises par département Et pas seulementles plus établies.

Place jeunes 3 aux

En effet, rêserves jusqu'alors aux entreprises qui réalisaient plus de 3 millions d'euros de chiffre d'affai-

res, les trophées vont saluer cette année des structures plus légères. Cinqprixserontainsi remis par département Deux nouvelles récompenses ont notamment été créées pour honorer une start-up du numérique et une entreprise repérée pour son dynamisme en matière de création d'emploi. « On constate tous que l'économie aujourd'hui est au cœur du quotidien des gens, et du nôtre », justifie Patrick Vernies, directeur délégué de « Sud Ouest » qui ouvre de plus en plus ses pages à cette actualité, présente aussi sur sudouestfr, et via une newsletter spécialisée, trois fois par semaine. Elle est gratuite via sudouestfr/economie. KEDGEBS 6022057400507


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LES DISCRIMINATIONS EN MATIÈRE D’EMPLOI ONT UN VRAI COÛT ÉCONOMIQUE


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BASTIA : LA QUATRIÈME PROMOTION DE MANAGEMENT GÉNÉRAL DE KEDGE BUSINESS SCHOOL

Rédigé par Charles Monti le Mercredi 11 Mai 2016 à 16:44 | Modifié le Jeudi 12 Mai 2016 - 02:17 La quatrième promotion de management général de Kedge business school de Bastia a été reçue mardi à la chambre de commerce et d’industrie de la Haute-Corse, par les élus rassemblés autour de leur président Paul Trojani, Pierre Savelli, maire de Bastia et par leurs prédécesseurs.

“Les enjeux de la formation professionnelle et de l’apprentissage sont colossaux : d’un point de vue économique, tout d’abord, il s’agit pour notre Région de permettre l’acquisition de nouvelles compétences tout au long de la vie” a notamment rappelé Paul Trojani en ouvrant la soirée qui constituait un passage de témoins entre les deux promotions : celle qui vient de sortir de Kedge business Scholl et celle qui vient à peine d’y entrer. “Ces compétences seront indispensables à la compétitivité de notre économie, et sa capacité à intégrer des innovations futures. D’un point de vue humain, ensuite, nous devons nous doter d’un système permettant à chaque citoyen d’apprendre, à tout âge; de ne pas avoir l’impression d’être laissé de côté; et de valoriser cette formation tout au long de la vie “a t-il rajouté non sans rappeler qu’il “s’agit là d’un rôle social pour la CCI, qui doit non seulement insérer professionnellement ses jeunes diplômés, mais aussi permettre aux demandeurs d’emplois, salariés et dirigeants d’entreprise d’acquérir les compétences nécessaires pour soit retrouver du travail, soit pour acquérir de nouvelles compétences afin de rester compétitif à son poste voire d’être suffisamment armé pour reprendre une entreprise.” Pour le président e la CCI “il est nécessaire de donner autant d’importance à la formation continue, et à l’expérience, c’est ce que nous nous efforçons de faire chaque année en formant près de 1 700 salariés.”


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BASTIA : LA QUATRIÈME PROMOTION DE MANAGEMENT GÉNÉRAL DE KEDGE BUSINESS SCHOOL

C’est la raison pour laquelle en 2010, l’école de management, la seule de Corse, a entrepris de créer les conditions d’ouverture d’un programme Grande Ecole en formation continue. Le PMG, Programme de Management Général, était lancé avec comme particularités, une localisation territoriale et une adaptation au rythme des entreprises. “Aujourd’hui je suis très heureux de pouvoir accueillir les nouveaux participants de la 4ème promotion du PMG sur le campus de Kedge Bastia. “ Avec ce programme qui concerne ne vingtaine d’entreprises, le PMG Bastia a su constituer une communauté “que je remercie d’être présente aujourd’hui et, maintenir des liens permanents avec l’Ecole. En effet, la relation entre l’Ecole et les entreprises se trouve ainsi renforcée par une étroite collaboration, si je peux me permettre l’expression, « tout au long de la vie ». Un programme qui pour Paul Trojani est “pragmatique dans sa manière d’aborder le management d’entreprise au travers de pratiques pédagogiques adaptées, innovantes et d’un corps professoral de qualité” mais aussi ambitieux “par ses niveaux d’exigence et de qualification mais également par son impact sur la modernisation du management de nos entreprises.” Cette réunion a précédé de quelques heures le premier séminaire de 3 jours des 15 nouveaux participants du programme. Paul Trojani a voulu en faire “un moment de convivialité et de partage avec les anciens diplômés, les membres de la CCI et les équipes de l’Ecole” Le programme de management général est le cinquième de Kedge et il s’adresse à des adultes en formation continue. Ce programme Grande Ecole a pour vocation d’offrir à des salariés en activité les compétences nécessaires à des responsabilités d’encadrement pour piloter un centre de profit sous toutes ses dimensions. Il est ouvert à toute personne justifiant d’un BAC + 2 et 3 ans d’expérience professionnelle Il est accessible en VAE et permet de maintenir son activité professionnelle tout en suivant la formation Le Diplôme reconnu par l’Etat permet la délivrance d’un titre certifié RNCP niveau II (équivalent à Bac + 4) Il est axé sur le développement son autonomie pour piloter un centre de profit sous toutes ses dimensions. Il permet d’acquérir les savoir-être et savoir-faire nécessaires à l’exercice de responsabilités d’encadrement, dans un esprit d’entrepreneuriat et d’ouverture internationale. La 4eme promotion du programme de management général en formation continue rassemble cette année 15 participants venus d’horizons différents : grande distribution, prestations de services aux entreprises, transports maritime et aérien, grand Magasin spécialisé, agro-alimentaire, commerce de gros,commerce traditionnel, reprise d’entreprise Il s’effectue sur 18 mois de formation à concurrence de 3 jours par mois, 432 heures de formation.


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NOUS VOULONS ÊTRE UN HUB D’ENTREPRENEURIAT MÉTROPOLITAIN POUR LES FILIÈRES D’EXCELLENCE


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NOUS VOULONS ÊTRE UN HUB D’ENTREPRENEURIAT MÉTROPOLITAIN POUR LES FILIÈRES D’EXCELLENCE


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HARVARD BUSINESS REVIEW PUBLIE LES EXPERTISES DE KEDGE BUSINESS SCHOOL

Le site de Harvard Business Review annonce la publication de chroniques produites par les enseignants-chercheurs de KEDGE Business School sur www.hbrfrance.fr. La première chronique publiée à la Une du site cette semaine sur le thème du marketing est consacrée aux volontaires de marque, des consommateurs qui acceptent de « travailler » bénévolement pour les marques. « La Harvard Business Review est considérée comme l’une des plus prestigieuses revues de management, souligne Thomas Froehlicher, Directeur Général et Doyen de KEDGE BS. Figurer parmi les contributeurs réguliers du site internet français de cette revue est une reconnaissance pour notre école et illustre le très haut niveau de nos enseignants-chercheurs dans nos domaines d’expertises. » Cette revue américaine sur le monde de l’entreprise est éditée mensuellement depuis 1922 par la Harvard Business School, école de management de l’université Harvard. Depuis janvier 2014, le groupe Prisma Media a lancé une version française de Harvard Business Review (HBR) à un rythme bimestriel accompagné d’un site web www.hbrfrance.fr en langue française dédié aux professionnels des affaires en quête des nouveaux concepts du monde de l’entreprise. La première chronique de KEDGE BS est signée par Bernard Cova, enseignant-chercheur en marketing et sociologie de la consommation, sur le phénomène des volontaires de marque. Dans sa chronique, Bernard Cova met l’accent sur ces consommateurs fidèles à une marque et qui acceptent de « travailler » bénévolement comme ambassadeur pour promouvoir ses offres et ses produits.


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RENAULT : EMMANUEL MACRON EXIGE QUE LE CONSEIL D’ADMINISTRATION DIMINUE LE SALAIRE DE CARLOS GHOSN

LE MINISTRE DE L’ÉCONOMIE MENACE DE LÉGIFÉRER SI LA RÉMUNÉRATION DU PDG EST MAINTENUE EN L’ÉTAT. UN BRAS DE FER S’ENGAGE. Mis à jour le 03/05/2016 | 22:01, publié le 03/05/2016 | 22:01

Emmanuel Macron s’empare du dossier Renault. Ce mardi 3 mai, le ministre de l’Économie a sommé le conseil d’administration du constructeur de se réunir à nouveau pour baisser le salaire de Carlos Ghosn, qui a gagné 7,251 millions d’euros en 2015. Et si le conseil n’obtempère pas, le ministre menace de faire voter une loi en ce sens. Le 29 avril, les actionnaires de Renault ont rejeté la rémunération du patron (54% de non). Mais leur vote était seulement consultatif. Dans la foulée, le conseil d’administration a confirmé le salaire. LA DIRECTION SE DÉFEND L’État, qui détient 19,7% du capital de Renault, peut-il contraindre la direction à revenir sur sa décision ? Non, selon Eric Pihet, professeur à Kedge Business School. “En l’état actuel de la législation, l’État ne peut rien faire. C’est le conseil d’administration qui est souverain”, assure-t-il à France 2. Dans un communiqué, la direction de Renault martèle que toutes les règles fixées par le Medef ont été respectées.


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7 MILLIARDS DE VOISINS (PODCAST) : LA CLASSE INVERSÉE

Diffusion : vendredi 6 mai 2016

Après les Mooc, la classe inversée. C’est la nouvelle méthode employée par certaines grandes écoles et universités pour faciliter la mise en pratique. Le but ? Faire travailler les étudiants en amont du cours, place la pratique avant la théorie. Avec : - Guillaume Laurie, fondateur de « Parlons MOOC » et ingénieur pédagogique chez Kedge Business School depuis septembre 2015 - Luc Chevalier, directeur de l’Esipe (Ecole supérieure d’ingénieurs de l’université Paris-Est Marne-la-Vallée) et porteur de PédagInnov, l’un des projets de l’Idefi (Initiative d’excellence en formations innovantes) mise en place au sein de l’Université Paris-Est - Geoffroy Laboudigue, enseignant en classe inversée au collège en mathématiques - Sophie Blitman, journaliste à L’Etudiant - Héloïse Dufour, présidente de l’association « Inversons la classe », ayant pour but de présenter le modèle de la classe inversée et de fournir des ressources et des conseils à ceux qui souhaitent s’informer sur ce modèle - Marcel Lebrun, docteur en sciences et actuellement professeur en technologies de l’éducation et conseiller pédagogique au Louvain LearningLab de l’UCL (Université catholique de Louvain) et auteur de Classes inversées, enseigner et apprendre à l’endroit !, aux éditions Canope


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LIGUE DES CHAMPIONS : LA CONQUÊTE DU CIEL, L’AUTRE MATCH CITY-PSG

http://www.rfi.fr, 11/04/2016

Jean-Philippe Danglade, directeur du département marketing et membre du groupe de recherche Industries Créatives analyse la bataille que se livrent deux compagnies aériennes pour le sponsoring des équipes de foot. Il explique : « L’idée de ce partenariat à long terme, c’est d’avoir une association de notoriété avec Manchester City ».


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QUESTIONS DE CHOIX AVEC ALAIN JUPPÉ : “LE MAIRE, LA VILLE ET L’ÉTUDIANT”

Premier grand invité de l’émission : Alain Juppé, Maire de Bordeaux. Fort de 20 ans d’aménagements, rénovations, développements, créations il répondra aux étudiants de l’EnsapBx et de Kedge Business School sur les problématiques de la ville et de l’urbanisme.

© JM Destang pour France 3 Aquitaine

Emmanuel Macron s’empare du dossier Renault. Ce mardi 3 mai, le ministre de l’Économie a sommé le conseil d’administration du constructeur de se réunir à nouveau pour baisser le salaire de Carlos Ghosn, qui a gagné 7,251 millions d’euros en 2015. Et si le conseil n’obtempère pas, le ministre menace de faire voter une loi en ce sens. Le 29 avril, les actionnaires de Renault ont rejeté la rémunération du patron (54% de non). Mais leur vote était seulement consultatif. Dans la foulée, le conseil d’administration a confirmé le salaire. LA DIRECTION SE DÉFEND L’État, qui détient 19,7% du capital de Renault, peut-il contraindre la direction à revenir sur sa décision ? Non, selon Eric Pihet, professeur à Kedge Business School. “En l’état actuel de la législation, l’État ne peut rien faire. C’est le conseil d’administration qui est souverain”, assure-t-il à France 2. Dans un communiqué, la direction de Renault martèle que toutes les règles fixées par le Medef ont été respectées.


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2ÈME NUMÉRO DE QUESTIONS DE CHOIX AVEC NOËL MAMÈRE FACE AUX ÉTUDIANTS DE L’ENSAPBX ET DE KEDGE BS

24 mai 2016

L’invité de ce deuxième numéro est Noël Mamère, Maire de Bègles et Député de la 3e circonscription de Gironde. Fervent porte-parole de l’écologie depuis plus de 30 ans, il répondra aux étudiants de l’EnsapBx et de Kedge Business School sur les problématiques de l’environnement, l’écologie, l’économie et l’urbanisme mais aussi sur tous les thèmes de société qui lui tiennent à coeur. Questions de Choix, c’est : • Une émission EN DIRECT sur le site Internet de France 3 Aquitaine à partir de 14h15 le lundi 6 juin 2016 • A découvrir également à la télévision sur France 3 Aquitaine après le Grand Soir 3 Une émission interactive Au coeur des échanges le 6 juin, les interrogations des étudiants par le biais de leurs questions “choisies” , réfléchies, travaillées, mais aussi LA question des choix faits par les grands témoins invités. Cette émission grand public joue la carte de l’interactivité entre l’invité, le public présent sur place et les internautes. En direct , vous pourrez vous aussi réagir et poser vos questions au maire de Bègles via twitter avec #QDCMAMERE. Ces tweets seront diffusés sur l’écran durant l’émission et vos questions seront posées à l’invité.


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C DANS L’AIR

8 mars 2016

Virginie Martin, politologue et professeure associée à KEDGE BS est intervenue dans l’émission C dans l’air sur France 5, sur le thème « Elles font bouger le Monde » le 08/03/2016.


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NUIT DE LA CRISE À KEDGE BS MARSEILLE

24 mai 2016

Reportage de France 3 Provence-Alpes sur la nuit de la crise organisée à KEDGE BS Marseille.


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EMISSION 28’ PARADIS FISCAUX : COMMENT ARRÊTER LA GRANDE TRICHE ?

La fuite de 11,5 millions de documents issus des archives du cabinet d’avocats panaméen Mossack Fonseca a permis à une centaine de médias internationaux (dont Le Monde) de révéler un vaste système d’évasion fiscale.

De nombreux politiques, célébrités mais aussi des milliers d’anonymes dans le monde entier ont dissimulé leurs biens dans des paradis fiscaux grâce à des sociétés offshore. Ces dernières leurs permettent de rester à l’abri du fisc de leurs pays respectifs. La révélation de ce scandale pose la question de l’impuissance des politiques à combattre ce phénomène, alors que c’était une promesse de Nicolas Sarkozy puis de François Hollande. Lundi dans la matinée, le Président a promis des « enquêtes » du fisc et des « procédures judiciaires ». Mais cela suffira-t-il à dissuader les candidats à l’évasion fiscale ? Comment arrêter la grande triche ? Pour en débattre, nous recevons ce soir Manon Aubry, responsable de plaidoyer « justice fiscale et inégalités » au sein d’Oxfam France, Christian Chavagneux, économiste et éditorialiste à Alternatives Economiques et Éric Pichet, économiste, professeur à Kedge Business School.


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7 MILLIARDS DE VOISINS : LES UNIVERSITÉS ET LES STRATÉGIES D’EXPORTATION DE LEURS FORMATIONS

Par Sandrine Mercier Diffusion : vendredi 22 avril 2016

Le marché mondial de l’Education supérieure se massifie, et devient une branche économique à part entière. France Stratégie propose, dans un rapport publié, le 27 janvier 2015, d’instaurer des frais de scolarité plus élevés pour les étudiants étrangers extracommunautaires en France. Quelles perspectives pour l’accueil des étudiants étrangers ? Pourquoi les faire payer davantage sans qu’ils ne se détournent de la France ? - Quentin Delpech, chef de projet à France Stratégie, spécialiste des enjeux internationaux de l’Enseignement supérieur et rapporteur de la Mission sur l’offre d’enseignement supérieur à l’étranger, commanditée par les ministères des Affaires étrangers et de l’enseignement supérieur et de la recherche. Auteur du rapport « Investir dans l’internationalisation de l’enseignement supérieur », publié en janvier 2015 - Jean-Michel Nicolle, directeur d’EPF, Ecole d’ingénieur-e-s, établissement d’enseignement supérieur privé d’intérêt général - Eric Fouache, professeur et vice-chancelier à l’Université de Paris-Sorbonne Abu Dhabi - Thomas Froehlicher, directeur général et doyen de Kedge Business School à Marseille - Jean-Louis Billoet, président et directeur du groupe INSA - Institut National des Sciences Appliquées


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BONJOUR – BONSOIR : KEDGE BS, UN DES PLUS BEAUX CAMPUS DE FRANCE

Bonjour Bonsoir : Reportage de TV7 Bordeaux au coeur de KEDGE BS. L’Ecole, son campus de Bordeaux, la pédagogie par l’action


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INITIATIVES BDE

Par C. N. le 22/03/2016 à 16:05

WAX IT DE KEDGE BUSINESS SCHOOL EST ÉLUE MEILLEURE ASSOCIATION ÉTUDIANTE DE FRANCE 2016 Pendant quatre mois, l’équipe d’ Initiatives BDE s’est rendue au cœur des plus grandes écoles de management à la recherche du meilleur projet associatif étudiant de France 2016 à travers 10 émissions télévisées.

Suite à leur passage devant un jury de professionnels, 10 associations venues défendre leurs couleurs ont été sélectionnées pour représenter leur école à la finale du concours le 18 mars dernier2016.

LA FINALE D’INITIATIVES BDE, GRANDE SOIRÉE AU THÉÂTRE DU GYMNASE Le 18 mars 2016, lors de la finale au Théâtre du Gymnase à Paris, les 10 associations finalistes ont défendu leur projet sur scène. Au programme, des présentations de projets originales (chant, danse, mise en scène…) et une série de questions devant un jury de professionnels : – Pierrick Belen, expert-comptable – Frédéric Girone, président de la commission Communication du Conseil supérieur de l’ordre des experts-comptables – Alexandre Vanadia, animateur et expert en orientation pour Ma Chaîne Etudiante – Ludovic Place, directeur général de Ma Chaîne Etudiante – Claire Valériaud-Pougat, responsable relations écoles pour le Figaro Etudiant – Sophie de Tarlé, rédactrice en chef du Figaro Etudiant – Xavier Oliel, directeur Talent Solutions LinkedIn France – Carole Michaud, consultante Marque Employeur pour LinkedIn France En parallèle de la compétition, plusieurs artistes sont venus détendre l’atmosphère : l’humoriste Mathieu Madénian,et le duo électro-pop Un orage composée de Morgane Imbeaud chanteuse du groupe Cocoon et Xavier Caux guitariste de Yodelice. Après 2 heures de suspens et avec une note de 17/20, c’est Wax It de Kedge Business School (Bordeaux) qui remporte le titre de meilleur projet associatif étudiant de France 2016, avec son projet « After School Contest », est la plus grande compétition étudiante de surf en France. Face à 10 équipes motivées et 10 projets ambitieux, la compétition était serrée !


kedgebs.com


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