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11 juin à 11h30, une émission exceptionnelle de 45' sur France 3 Provence-Alpes, depuis l’hôpital d’instruction des armées Laveran.

Date : 28/06/2016 17:37

Pays : FRANCE Surface : 54 % Journaliste : CLÉMENCE NAYRAC

JT soir Guadeloupe - info 1ère - 16 juin

Témoignage du MC Fabrice Simon, spécialiste maladies tropicales, hôpital Laveran

Date : 30/06/2016

Pays : FRANCE Edition : Val De Marne Page(s) : 4 Diffusion : 250095 Périodicité : Quotidien Surface : 20 %

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Mots : 363

L'HIA Robert-Picqué et la MSP Bagatelle de Bordeaux seront réunis sur un même site à l'horizon 2021

Le Service de santé des armées (SSA) crée un nouveau partenariat avec la Maison de santé protestante de Bordeaux-Bagatelle (MSP, Gironde). Le projet de l'hôpital d'instruction des armées Robert-Picqué (HIA) à l'horizon 2020 a en effet été présenté le 24 juin. Il se caractérise par le renforcement du partenariat avec la MSP, engagé depuis 2012, dans le groupement de coopération sanitaire de moyens (GCS) "Bahia". Ce projet consacre une nouvelle structuration de l'offre de soins dans le cadre de la création du groupement hospitalier de territoire (GHT). Mais il va aussi plus loin : les activités des deux partenaires devraient être réunies sur un même site d'ici 2021.Les GHT reconnaissent en effet les hôpitaux des armées "comme acteurs à part entière du service public hospitalier", explique le SSA dans un communiqué. Ainsi, toutes les activités développées à l'HIA seront renforcées par la constitution d'équipes civilo-militaires, notamment celles d'accueil des urgences, de chirurgie, de réanimation, d'anesthésie, etc. Un accord sur le contenu et les modalités de ce partenariat doit être conclu avant le 1 erdécembre 2016. Il vise à mettre en place un projet médical commun qui assure une "excellente complémentarité entre les deux établissements, en mesure de répondre pleinement aux missions de défense et aux besoins de santé du territoire", note le SSA. Cet accord permettra à la fois de renforcer l'offre de soin dès 2017 mais aussi de préfigurer les axes stratégiques d'un futur ensemble civil et militaire, situé sur le site même de la MSP Bagatelle à l'horizon 2021. Un futur établissement de santé, rénové et redimensionné qui pourra accueillir patients civils et militaires."L'association étroite et constante de l'ARS Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes à tous les travaux préparatoires garantit l'inscription de ce partenariat dans le territoire de santé bordelais, autour d'un projet qui renforcera une offre de secteur 1 et de qualité, à même de répondre aux besoins du bassin de population en expansion", détaille le SSA. Les partenaires travailleront aussi avec le CHU de Bordeaux dans le cadre du GHT Alliance-Gironde, auquel ils ont prévu de s'associer pour de nombreuses activités médicales, l'enseignement et la recherche. Région Vendredi 17 Juin 2016 TTE 5 1 Le contexte Si les Yussois sont rappelés aux urnes, c’est parce que treize conseillers municipaux de la majorité ont démissionné, à la demande du maire Philippe Slendzak. Celui-ci souhaite conforter sa majorité, devenue fragile depuis le conseil municipal de mars au cours duquel une dizaine de membres de son équipe ont voté contre l’augmentation des impôts qu’il proposait. Les candidats Les électeurs yussois vont devoir choisir entre quatre listes, dimanche, à l’occasion du premier tour. Il y a d’abord la liste du maire sortant, Philippe Slendzak , entouré de la quasit o t a l i t é d e s o n é q u i p e d’adjoints. Les frondeurs qui avaient voté contre l’augmentation des impôts, eux, se sont rangés derrière Bruno Sapin . Cet ancien adjoint de Patrick Weiten, directeur commercial à la Ville, a fait campagne en promettant une pause fiscale. Sur la ligne de départ, il y a aussi l’écologiste Pascal Landragin , chef de file de l’opposition au conseil municipal. Il mène une liste de rassemblement de la gauche. Un quatrième candidat a réussi à déposer une liste in extremis en préfecture. Il s’agit de Christian Chalon , qui a longtemps été élu d’opposition à Thionville. Il conduit à Yutz une liste sans étiquette. Le rapport de force Comme dans toute élection partielle, Philippe Slendzak devrait bénéficier de la prime au sortant. Mais son principal rival, Bruno Sapin, a lui aussi un atout dans sa manche. Il s’appelle Patrick Weiten, le député et président du Département de la Moselle, qui a été maire de Yutz pendant 16 ans. Alors qu’il avait fait de Philippe Slendzak son successeur en 2011, Patrick Weiten a décidé de soutenir Bruno Sapin. « J’ai fait ce choix par déception et par devoir », explique-t-il, reprochant notamment à Philippe Slendzak d’avoir dégradé les finances communales. « Rien ne tient dans son argumentaire, conteste Philippe Slendzak. Il aurait été beaucoup plus digne, pour lui, de rester neutre. » A. V. ÉLECTIONS municipales Yutz : quatre listes en lice dimanche Les Yussois sont appelés aux urnes dimanche pour renouveler le conseil municipal. Le scrutin s’annonce particulièrement incertain. Première : une fusion le chiffre 600 Thierry Rosso directeur de Cattenom L e geste est symbolique. Marie-Odile Saillard, directrice du CHR Metz-Thionville avance son badge qui lui permet d’entrer dans son établissement et assure qu’il faudrait y ajouter le nom de Legouest. Le directeur central du service des armées, Jean-Marc Debonne se demande comment on appellera ce nouvel ensemble civil et militaire. Petit échange qui n’a rien d’anecdotique. Les liens entre l’hôpital d’instruction des armées (HIA) de Metz et le CHR Metz-Thionville se renforcent. Mis en place en 2014, par le général Claude Conessa, le projet du service de santé des armées 2020 vise une collaboration civilo-militaire qui pour l’heure « n’a pas d’antécédent identique », relève le médecin général des armées. Hier à Metz, Jean-Marc Debonne a évoqué l’avenir de Legouest qui se calque sur la transformation du service de santé des armées. « Une évolution liée au contexte de sécurité et de défense, à l’évolution du monde de la santé, qui prend également en compte des contraintes économiques. » « Legouest restera un hôpital des armées, a rassuré le directeur central parce que 70 000 militaires vivant dans ce bassin en dépendent, qu’il contribue à l’envoi de personnel en opérations extérieures et qu’il a un rôle important à jouer dans le nouveau groupement de territoire. » L’hôpital militaire qui a déjà perdu ses services de chirurgie et d’anesthésie en faveur de Mercy, poursuit sa restructuration. Elle s’inscrit dans le rapprochement avec le CHR de Metz-Thionville. Ce recentrage des activités passe inévitablement par des réductions de postes de 17 % à l’horizon 2020. Le général s’est néanmoins voulu rassurant pour le personnel qui n’a pas caché ses inquiétudes dans les semaines passées, en évoquant des « départs naturels, un dispositif d’accompagnement individualisé au sein de l’hôpital, de la défense, voire vers l’hôpital public ». Les nouveautés Non, les urgences de Legouest ne fermeront pas. Elles fonctionneront 24h sur 24. « Mais nous aurons des équipes communes civilo-militaires à l’instar du déroulement des services d’anesthésie ou de chirurgie. L’activité sera partagée sur les deux sites », a détaillé Jean-Marc Debonne. Promesse a été faite de conserver la médecine interne et de développer un pôle de réhabilitation post-traumatique qui comprendra un service de médecine physique et rééducationnelle ainsi qu’un service psychiatrique. Les militaires, compétents en chirurgie de guerre et face aux risques NRBC,((nucléaires, radiologiques, biologiques, chimiques) pourront former leurs homologues civils. Enfin, le chef de santé des armées a assuré qu’il entendait maintenir à Metz « une activité de formation et de recherche ». « C’est un nouvel ensemble hospitalier civil et militaire qui se met en place » a-t-il appuyé. Un partenariat pour l’heure, mais qui pourrait évoluer juridiquement, puisque les ministères de la Santé et de la Défense vont entamer une réflexion sur le sujet. On pourra alors songer au baptême. Anne RIMLINGER-PIGNON. SANTÉ partenariat L’avenir de Legouest lié à celui du CHR Metz-Thionville « L’hôpital Legouest reste un outil de défense » a déclaré hier à Metz, le médecin général des armées Jean-Marc Debonne. Il a planifié l’avenir de Legouest qui s’écrit avec celui du CHR Metz-Thionville. Le médecin général des armées, Jean-Marc Debonne, était hier à l’hôpital Legouest pour évoquer son avenir, intimement lié à celui du CHR Metz-Thionville. Photo Karim SIARI C’est le nombre de grévistes, hier, parmi les employés de la Ville de Metz. Soit un peu moins de 25 % des 2 500 personnels. Deux cents ont manifesté place d’Armes. Les dix-huit cantines ainsi que les huit mairies de quartier ont été fermées. Bibliothèques et piscines ont été aussi impactées. En cause ? La suppression programmée depuis 2015 de 135 emplois sur trois ans. La Ville doit économiser pour pallier les 12M€ de dotation de fonctionnement en moins. La tension est la plus forte sur les pôles éducation (Atsem, cantine…) et petite enfance (crèches). Les syndicats FAPFPT- CFDT et CGT ont obtenu des équipes volantes ren- forcées et un gel des effectifs au pôle éducation et un état des lieux, service par service, ailleurs. Un comité technique paritaire exami- nera le tout fin juin. Autrement, le mouvement social pourrait reprendre en septembre. REPÈRES SOCIAL hier en fin de journée Drôle de face-à-face à Metz Quelque 70 agriculteurs ont profité de la venue de Stéphane Le Foll à Metz pour l’interpeller sur la situation RÉFORME intercommunalité ville avance son badge qui lui permet d’entrer dans son établissement et assure qu’il faudrait y ajouter le nom de Legouest. Le directeur central du service des armées, Jean-Marc Debonne se demande comment on appellera ce nouvel ensemble civil et militaire. Petit échange qui n’a rien d’anecdotique. Les liens entre l’hôpital d’instruction des armées (HIA) de Metz et le CHR Metz-Thionville se renforcent. Jean-Marc Debonne. Il a planifié l’avenir de Legouest qui s’écrit avec celui du CHR Metz-Thionville. 28 • ACTU SANTÉ • # 143 • avril - juin 2016

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