L'Hebdo du Vendredi Épernay 661

OMMERCE

Clap de fin pour Music Top p. 5

Toujours déterminés

La taxe foncière augmente de 2 % à Épernay

p. 7

T HÉÂTRE

Alexis Michalik, star des planches au Salmanazar

p. 13

Malgré l'adoption de la réforme des retraites par le Parlement, les opposants étaient toujours mobilisés, jeudi. Dans la Marne, la mobilisation globale est en baisse par rapport au début du mois, mais des blocages pourraient maintenir la pression. p. 4

ENVIE DE BASKET ?

VALABLES

POUR 2 PERSONNES

Les places sont à gagner sur le site www.lhebdoduvendredi.com

Yann Arthus-Bertrand va tirer

ÉDITO de Simon Ksiazenicki, journaliste

le portrait des Rémois Que demande le peuple

Dans le cadre de son projet « mémoire photographique », le photographe Yann Arthus-Bertrand installera son studio itinérant à Reims le samedi 1er avril, au sein de la maison de champagne Ruinart. Tout le monde est invité à venir s'y faire tirer le portrait gratuitement... sur inscription évidemment à studiophotoyab@gmail.com. Depuis de nombreuses années, Arthus-Bertrand parcourt en effet la France à la rencontre de ses habitants en leur demandant de participer à une session photo, seul, en famille ou entre amis, avec des objets de leur quotidien. Son objectif : immortaliser au fil du temps les visages d’une France heureuse et optimiste. Des images que l'on peut découvrir sur le site yannarthusbertrand2.org/collection/les-francais/

Reims la joue comme Hollywood

Dans le cadre du festival de cinéma Reims Polar, dont la 3e édition se tiendra du 4 au 9 avril à l'Opéraims, Arnaud Robinet a annoncé que la place d'Erlon aura d'ici peu «  des allures d'Hollywood Boulevard ». Cette artère de Los Angeles est célèbre dans le monde entier pour son Walk of Fame, où plus de 2 700 stars ont immortalisé leur passage en laissant leurs empreintes dans du ciment frais. A Reims, cet hommage va prendre la forme de pavés, installés près de l'Opéraims, associant le visuel du festival créé l'an dernier par les ateliers Simon-Marcq et le nom des invités. Les huit premières personnalités honorées devraient être Niels Arestrup, Yvan Attal, Martin Campbell, Marie Drucker, Walter Hill, Vincent Lindon, Rodrigo Sorogoyen et Jacques Weber, tous venus lors de l'édition 2022.

Dorothée invitée à Châlons pour l'expo dédiée à Cabu

Samedi 1er avril dès 14 h, la Duduchothèque, lieu consacré au dessinateur de presse et caricaturiste Jean Cabut à Châlons, sa ville natale, dévoilera une nouvelle exposition intitulée « Dorothée & Cabu ». Elle réunira les dessins réalisés par Cabu lorsqu'il participait à l'émission jeunesse Récré A2, diffusée sur Antenne 2 de 1978 à 1988, et abordera trois grandes thématiques : le nez de Dorothée, croqué des centaines de fois par l'artiste, le jeu Maraboud'ficelle lancé par William Leymergie, également producteur de Récré A2 à l'époque, et les souvenirs des moments partagés avec l'équipe. La mairie de Châlons a d'ores et déjà invité William Leymergie et Dorothée au vernissage de l'événement, prévu en matinée. Répondrontils présents pour l'occasion ?

La boîte à bulles, best-seller du musée d'Épernay

La boutique du musée du vin de Champagne et d’archéologie d’Épernay commercialise, depuis la fin de l’année dernière, une boîte à bulles, qui fonctionne sur le même principe que la surannée boîte à meuh. En renversant le petit cylindre, un bruit de bouchon de champagne qui saute se fait entendre, puis celui du précieux nectar versé dans une flûte et enfin le crépitement des bulles. En cinq mois, il s’est écoulé plus de 250 boîtes à bulles, qui sont en passe de devenir le « best-seller » de la boutique ! Comptez 5,50 € pour vous offrir le fameux objet, fabriqué en France et disponible au musée d’Épernay, uniquement.

« Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et nous ne quitterons nos places que par la force des baïonnettes. » On se demande si les manifestants opposés aux CRS ces derniers jours à Paris ont paraphrasé la célèbre maxime de Mirabeau, répondant à l’ordre de dissolution des États généraux émise par Louis XVI. Sans doute pas, mais ils auraient pu, tant certains sont persuadés de représenter la souveraineté populaire. Ce qui n'est pas l'avis du président de la République. Face à une contestation qui dure depuis plus de deux mois, Emmanuel Macron est resté droit dans ses bottes, ne jouant ni l’apaisement, ni le mea-culpa. Pourtant, il aurait pu. Il aurait pu regretter d'avoir engagé une réforme des retraites qui va peser majoritairement sur quelques millions de personnes issues des classes populaires supérieures et des classes moyennes, déjà opposées à sa politique. Il aurait pu regretter d'avoir redoublé d’outils parlementaires visant à accélérer la procédure législative, le 49.3 n’étant que l’aboutissement d’une série de détournements de l’esprit et de l’usage de la Constitution de 1958. Il aurait pu regretter les centaines d’arrestations abusives de touristes et de promeneurs parisiens totalement étrangers aux manifestations et les violences policières constatées çà et là. Il aurait pu, enfin, éviter de dire « Si les Français étaient totalement en colère, sans doute, je n’aurais pas été réélu il y a un an », puisqu'il avait reconnu, au soir du deuxième tour, le contexte particulier qui avait conduit à sa réélection. En revanche, il a eu raison de déclarer : « On ne peut accepter ni les factieux, ni les factions », car la rue est, en effet, capable du meilleur comme du pire. C’est à la fois celle qui détruit le Mur de Berlin en 1989 et celle qui marche sur Rome aux côtés de Mussolini en 1922. Celle des grèves de mai-juin 1936 qui porte le Front populaire au pouvoir et celle des ligues d’extrême droite proches de renverser la République en 1934. Celle qui acclame Philippe Pétain à Paris en avril 1944 et celle qui fête la Libération avec Charles de Gaulle quatre mois plus tard. Celle qui rend hommage aux victimes des attentats de janvier 2015 et celle de la Manif pour tous. Napoléon disait : « Les peuples sont des vagues agitées par le vent, sous une impulsion mauvaise, toutes leurs passions se déchaînent. » Nul doute que notre président approuverait cet aphorisme. Qu’en est-il des Français ? Les événements des prochains jours donneront quelques éléments de réponse.

L’Hebdo du vendredi

édité par la SARL BMDR Editions

Journal hebdomadaire gratuit d’information locale. Siège social : 195, rue du Barbâtre à Reims Tél. 03 26 36 50 13

Rédaction : redaction@lhebdoduvendredi.com Publicité : publicite@lhebdoduvendredi.com

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Parution le vendredi matin - Imprimé par l’imprimerie de L’Union

Provenance du papier : Suéde.

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Taux de fibres recyclées : supérieur à 70%.

Réforme adoptée, contestation maintenue

Trois jours après l’adoption du texte par le Parlement, la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites a réuni, dans la Marne, des milliers de manifestants, mais moins que lors du point culminant du 7 mars. Ils étaient environ 5 000 à Reims, 1 500 à Châlons et plus de 2 000 à Épernay.

Malgré sa petite taille et son âge vénérable, Josiane, 81 ans, infatigable militante Solidaires, ne passe pas inaperçue. Poussant son vélo au milieu du cortège rémois, elle est de toutes les manifs depuis « plus de 20 ans », sourit-elle. En cette neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, dont elle jouit depuis de nombreuses années, l’ancienne salariée du Crous explique être là «  pour [ses] enfants et [ses] petitsenfants. On ne fera peut-être pas reculer le gouvernement, mais ça peut faire réfléchir les électeurs. »

Ce sentiment d’impuissance a peut-être gagné une partie des manifestants du 7 mars, journée la plus suivie dans la Marne, lorsque 10 000 personnes avaient battu le pavé dans la cité des sacres. Ils étaient moitié moins, jeudi. Alors que le texte a été adopté, lundi, par le Parlement, après l’échec de la motion de censure portée par le groupe parlementaire Liot (lire par ailleurs), que

peuvent espérer l’intersyndicale et les opposants au texte ? « On espère que ça finira comme pour le CPE, avec Chirac  », lance Cyrille Marques, secrétaire départemental de la CFDT. En 2006, la loi instituant le contrat première embauche avait été adoptée par le Parlement en février, puis retirée en deux mois plus tard, face à l’important mouvement étudiant et lycéen, soutenu par des partis et des syndicats. À Reims, jeudi matin, les lycéens et étudiants étaient justement plusieurs centaines à mener le cortège, fiers d’être « jeunes, déter’ (déterminés) et révolutionnaires ».

Pour Thomas Rose, membre de l’union locale

CGT de Reims, c’est plutôt bien de ceux qui font tourner l'économie que peut venir le salut. «  Ce que le gouvernement fait, les travailleurs en grève peuvent le défaire, assure-t-il. En restant en grève le plus longtemps possible, on tape au portefeuille du patronat, qui est derrière Macron. En s’attaquant à l’économie, en arrêtant la production, on peut espérer le retrait de la réforme. » Il se tourne alors vers Larbi El Hajouji, délégué syndical CGT de la Boulangerie de l'Europe de Reims, à l’arrêt depuis minuit. « On sort 10 000 baguettes à l’heure, principalement pour Lidl », explique ce dernier.

«  Ils perdent du pognon, c’est le seul moyen de faire reculer Macron », renchérit Thomas Rose. Les syndicats envisagent-ils d’autres actions, plus radicales, pour faire entendre leurs revendications ? Des blocages ont déjà eu lieu sur les routes (lire

par ailleurs) et dans des entreprises, mais Cyrille Marques prévient : « La ligne de conduite de la CFDT est claire : il n’y aura aucune atteinte aux biens ou aux personnes. On veut bloquer l’économie en essayant de trouver une conciliation entre le respect de nos valeurs, nos revendications et les libertés fondamentales. Mais on ne maîtrise pas les forces extérieures à notre force syndicale. » À la fin de la matinée, les forces de l’ordre ont dispersé la manifestation avec des gaz lacrymogène, une première à Reims.

Toute la difficulté des prochains jours pour l’intersyndicale sera de réussir à maintenir un mouvement fort, sans se faire déborder par des modes d’action répréhensibles.

Simon Ksiazenicki

Blocages ponctuels dans la Marne

Pas de voitures brulées, de portique routier à terre ou de tracteur affrontant un canon à eau dans la Marne. Contrairement à d’autres départements fortement secoués par les opposants à la réforme des retraites, le nôtre a semblé plus sage, malgré quelques actions qui se sont déroulées ces derniers jours. Près de Reims, lundi matin, une poignée de manifestants a installé un barrage filtrant au niveau du rond-point de La Pompelle, quand le lendemain, c’est le giratoire Reims-Prunay qui était bloqué, puis celui de Champfleury. Du côté d’Épernay, des barrages filtrants ont pris place, mardi matin, sur les ronds-points de Dizy et de Oiry, avant un blocage de la place de la République, tôt jeudi matin. À Châlons, des manifestants ont filtré, mardi, sur la RN44, et le lendemain matin dans l’avenue Pierre-Semard. Un blocage du dépôt de carburant de Vatry était annoncé jeudi 23 mars.

Charles de Courson, star de la motion de censure

Il avait déjà fait parler de lui lors de l’examen de la réforme des retraites, en réclamant la suppression des régimes spéciaux des parlementaires. Cette fois-ci, c’est pour faire tomber le gouvernement que Charles de Courson, député de la 5e circonscription de la Marne, a œuvré dès l'annonce de l'usage de l’article 49, alinéa 3 de la Constitution par la Première ministre, vendredi 17 mars.

L’élu le plus ancien de l’Assemblée nationale (depuis 1993) a porté une motion de censure contre le gouvernement au nom du groupe Liot (Libertés, indépendants, outre-mer et territoires). Présentée comme « transpartisane », celle-ci avait l'avantage de pouvoir être votée par tous les opposants au gouvernement.

Fort de cette manœuvre parlementaire, Charles de Courson a été très sollicitéb : Mediapart, BFM TV, RTL, France Inter… Le député marnais fait le tour des médias pour expliquer sa démarche et a eu droit à son lot de portraits dans la presse écrite.

Dans l'hémicycle, lundi après-midi, il a été le premier à prendre la parole. S’adressant à Elisabeth Borne, l'élu a déclaré : « Vous avez échoué à rassembler, à convaincre, alors vous avez cédé à la facilité pour éviter la sanction du vote. Ce vote, vous l'auriez très probablement perdu, mais, c'est la règle en démocratie ». Arrivé au terme de son temps de parole de 15 minutes, le prolixe député a même vu son micro coupé et a été prié de quitter la tribune, sous les applaudissements des députés de la Nupes.

Votée par 278 députés, il manquait neuf voix à la motion de censure pour être adoptée. Les autres députés marnais, Xavier Albertini, Lise Magnier (Horizons), Laure Miller et Éric Girardin (Renaissance) n'ont pas voté le texte. À noter que les permanences des deux premiers ont été la cible des opposants à la réforme. Celle du Rémois a été taguée, tandis que celle de la Châlonnaise a été recouverte de tracts.

À Reims, environ 5 000 personnes ont manifesté jeudi matin. © l'Hebdo du Vendredi

« Taper le patronat au portefeuille »

Charles de Courson, député de la 5e circonscription de la Marne. © l'Hebdo du Vendredi

Le chantier du pont SNCF va bon train

Nouvelle phase de travaux pour l'ouvrage ferroviaire de la rue de Reims avec l'hydrodémolition du béton détérioré qui débute lundi. La circulation sur l'ouvrage sera interrompue lors du week-end précédant le 1er mai.

Engagés depuis le début de l’année, les travaux du pont de la rue de Reims, qui enjambe le chemin de fer d’Épernay, sont entrés dans une troisième phase en ce début de printemps. Celle-ci durera dix semaines, soit jusqu’au début du mois de mai. La circulation est maintenue, mais uniquement sur les deux voies les plus extérieures. La vitesse est limitée à 30 km/h, les voies sont réduites, il est interdit de tourner à gauche vers la rue de Verdun pour les véhicules venant de Magenta et enfin, comme c’est le cas depuis le début du chantier, les poids lourds sont déviés en amont.

Dans le détail, à partir du lundi 27 mars, le département de la Marne, propriétaire du pont,

procédera à des travaux d’hydrodémolition. Cette technique consistera à désagréger le béton détérioré sur une partie du tablier grâce à une lance qui projettera de l’eau à haute pression. Une méthode qui induira des nuisances sonores, des projections d'eau et du brouillard pour les piétons et les autos, lesquels devront redoubler de vigilance. La circulation des trains, en contrebas, devra également être coupée. « Des incertitudes planent encore en raison des grèves, car la SNCF doit mettre à disposition du personnel spécifique qui doit intervenir sur ces coupures de trains, mais on a bon espoir qu’elle y arrive », estime Christophe Legand, chef du service ingénierie routière et ouvrages d'art au département de la Marne. Si tout va bien, cette phase devrait être terminée le vendredi 7 avril. Après l’hydrodémolition, le département posera des aciers complémentaires et coulera un nouveau béton jusqu’à l'un des points d’orgue du chantier : la jonction des deux tabliers (structures porteuses). Le béton coulé pour

Circulation sur les deux voies extérieures

cette opération devra impérativement sécher sans la moindre vibration et la circulation sera donc intégralement coupée sur l'ouvrage. Selon toute vraisemblance, elle interviendra du vendredi 28 avril au lundi 1er mai et la réouverture du pont pourrait avoir lieu le jour de la rentrée des vacances de printemps.

D'autres phases, nécessaires à la rénovation de l’étanchéité, la réfection de la chaussée, des trottoirs et le renouvellement de l’éclairage

EN BREF

Music Top baisse le rideau

près douze ans de bons et loyaux services, Music Top va fermer ses portes à la fin du mois d’avril. Épernay perdra alors le seul magasin d’instruments de musique de la ville. Son gérant, Yannick Schwentzel, précise : « C’est une fermeture d’établissement, pas une liquidation. J’ai préféré prendre les devants, car les chiffres sont en baisse depuis plusieurs mois.  » Il liste les facteurs qui l’ont conduit à cette décision difficile, notamment la conjoncture, avec la hausse des prix et la baisse de pouvoir d’achat des clients, et surtout la concurrence d’internet. Comme dans de nombreux secteurs, quelques mastodontes, basés à l’étranger et qui ne disposent pas des mêmes charges et conditions d’achat que les indépendants français, tirent les prix vers le bas. « La concurrence d’internet est dramatique, s’inquiète Yannick Schwentzel. Pour couronner le tout, il y a les travaux du pont de la rue de Reims qui ont entraîné une forte baisse de la fréquentation. Tous mes clients me disent que c’est compliqué de venir. » Si cette fermeture fait « mal au cœur » de cet ancien salarié d’un bureau d’études, reconverti il y a douze ans par passion, sa société ne disparaîtra pas pour autant. Car Yannick Schwentzel a lancé, il y a trois ans, une activité de correction acoustique, qui s’adresse aux particuliers, aux professionnels et aux équipements publics. Et le succès est au rendezvous, ce qui rend la fermeture de Music Top un peu moins difficile. Il continuera d’assurer la réparation et l’entretien des instruments, dans son atelier d’Aÿ, pour ses clients fidèles. En attendant la fermeture de la boutique, des remises de -15 % sont appliquées sur de nombreux instruments.

public et des garde-corps, se poursuivront enfin jusqu’en décembre.

Interrogée sur les conséquences de ces travaux sur la circulation à Épernay, la ville estime qu’après une période d’adaptation de quelques jours qui a pu causer de menues difficultés, les automobilistes ont intégré cette donnée et adapté leurs habitudes. L’effet sur le trafic routier, assez peu dense en général à Épernay, serait donc limité.

Simon Ksiazenicki

Élection municipale partielle à Orbais-l'Abbaye

APetit village de la Brie Champenoise situé au sud-ouest d’Épernay, Orbais-l’Abbaye n’a plus de maire depuis le 1er février dernier, date à laquelle Denis Casters (73 ans) a démissionné de son mandat, tout en conservant son poste de conseiller, pour raisons familiales et médicales. Depuis, c'est Alexandre Piat, ancien premier adjoint, qui assure l'intérim. Afin que le conseil municipal procède à l'élection du nouveau maire, l'assemblée doit d'abord se doter d'un quinzième membre puisque Fabienne Lefeuvre a, elle aussi, démissionné en 2020. Les 370 électeurs inscrits sont appelés à choisir entre Grégory Girardin et Gaston Lambert, ce dimanche 26 mars. Si l'un d'eux n'obtient pas la moitié des suffrages exprimés, représentant au moins le quart des inscrits, un second tour aura lieu sept jours plus tard. Ensuite, le conseil municipal pourra officiellement élire son maire.

Épernay apporte une aide à la Turquie et la Syrie

Afin de venir en aide à la Turquie et à la Syrie, touchées par de puissants tremblements de terre en février, qui ont fait plus de 50 000 morts et d'importants dégâts matériels, les élus de la ville d’Épernay ont voté une aide de 2 000 €. Ce don sera versé au Faceco (Fonds d’action extérieure des collectivités territoriales), géré par le Centre de crise et de soutien du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

La gestion de cette subvention sera ainsi confiée à des agents de l’État, experts de l’aide humanitaire et travaillant en liaison étroite avec les organisations internationales et les ONG françaises.

Plus de 30 kilos de chocolat pour le Secours populaire d'Épernay

Suite à l’opération de promotion touristique Épernay mon amour, organisée par l'office de tourisme et ses partenaires, un cœur en chocolat géant avait été réalisé par les artisans Vincent Dallet, Xavier Thibaut et leurs équipes. L’ensemble gourmand, soit plus de 30 kilos de chocolat, a été remis, jeudi 16 mars, au comité d'Épernay du Secours populaire qui l’a ensuite redistribué aux bénévoles et aux bénéficiaires.

Seules les deux voies extérieurs sont ouvertes à la circulation. © l'Hebdo du Vendredi

Le gérant de Music Top n'a pas trouvé de repreneur. © l'Hebdo du Vendredi

© Victoria Rousseaux

Coup de frein sur l'autopartage

Lancé en 2017, le service de location de véhicules électriques de la ville d'Épernay a connu un sérieux coup d'arrêt ces derniers mois. En cause, la crise sanitaire puis d'importants dysfonctionnements que la municipalité est en train de corriger.

Tout le monde, ou presque, à Épernay, connaît les quatre véhicules électriques d’autopartage, stationnés dans la rue Jean-Moët, mais combien sontils à les avoir utilisés depuis leur mise en place en 2017 ? «  On compte 552 inscrits actifs  », note Bruno Flinois, président et fondateur de Clem’, qui a équipé, depuis 2011, 225 villes en systèmes d’autopartage électrique et de recharge partagée. Le concept est simple : on réserve, en ligne ou sur l’application dédiée, pour une durée de 30 minutes à 24 heures, un véhicule électrique que l’on peut ensuite récupérer en toute autonomie, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.

Un problème de bornes depuis le printemps 2022

La ville d’Épernay, qui dépense chaque année 25 000 € pour la maintenance des véhicules et la gestion de la plateforme informatique, était satisfaite du lancement du service qui avait enregistré 909 réservations lors des douze premiers mois. «  Ça a bien démarré, on était sur de bonnes perspectives en 2018 et 2019, et puis est arrivée la pandémie, relate Jonathan Rodrigues, adjoint au maire en charge de la transition écologique. Après la réouverture du service, les gens n’avaient pas très envie de partager le même équipement, malgré le protocole sanitaire mis en place.  » Puis, à la crise sanitaire est venue s’ajouter une autre anicroche, à la fin du printemps 2022. « Plus de 90 % des incidents qu’on a pu avoir étaient dus aux bornes qui ont connu des dysfonctionnements  », explique Bruno Flinois qui prend bien soin de préciser que sa société ne gérait pas ces équipements, installés par une autre entreprise, Nexans. Seulement, le problème a mis du temps à être identifié. « Les réservations fonctionnaient, mais pas les bornes, et les deux systèmes ne se répondaient pas forcément, plaide Jonathan Rodrigues. On a mis du temps à comprendre

d’où venait le problème, on pensait que le service avait du mal à repartir après le covid.  » Après avoir enquêté, la ville a décidé de changer de système et de confier l’intégralité du marché à Clém’, afin d’offrir la maîtrise et la visibilité à un unique prestataire. « C’était en septembre, mais il a ensuite fallu contractualiser le marché et commander les pièces. Il y avait des délais importants pour les composants électroniques, explique l’élu sparnacien en charge du dossier. Les bornes, installées en 2017, n’étaient plus référencées et ça a été très compliqué de trouver les pièces détachées. »

Les réparations finales devaient être menées cette semaine et l’adjoint au maire assure que le système est désormais pleinement opérationnel. «  On veut relancer la machine, car ça fonctionnait bien au départ et avec l’évolution des pratiques, on pense que ça peut encore mieux marcher  », espère-t-il.

Un marché public vient d’être relancé par la ville qui espère tourner la page de ces trois dernières années délicates pour l’autopartage.

Simon Ksiazenicki

S TATIONNEMENT

Le parking du Jard rendu aux résidents du centre-ville

EN BREF

Opération séduction pour les métiers qui recrutent

Les règles de stationnement changent pour les abonnés de la zone République. © l'Hebdo

Avec l’important chantier de construction d’un parking souterrain sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, le stationnement automobile se retrouve bouleversé depuis le mois de juillet. La ville a fait le choix de conserver une offre de stationnement, du côté des rues Jean-Chandon-Moët (190 places) et Eugène-Mercier (90 places), d’abord placée en « zone rouge », soit le tarif le plus cher, puis en « zone verte » à partir du mois de novembre. Elle va une nouvelle fois changer les règles du jeu, après avoir été interpellée par les commerçants du centre-ville.

« Les titulaires d’un abonnement n’ont plus accès au parking de l’esplanade Charles-de-Gaulle. Ils stationnent donc sur la voirie et utilisent des places qu’ils préféreraient voir utilisées par leurs clients », raconte Christine Mazy, la maire d’Épernay. Le conseil municipal a ainsi voté pour l’autorisation de stationnement des abonnés actifs, professionnels et résidents de la zone République sur le parking provisoire du Jard, où « il y a des places disponibles, notamment en journée », a constaté l’élue. « Avec les travaux, c’était difficile d’anticiper l’occupation des places. On s’adapte au fur et à mesure des constats, pour répondre aux demandes des commerçants et des résidents », a justifié Christine Mazy. Les choses pourraient une nouvelle fois évoluer lorsque les travaux de construction du futur hôtel Marriott démarreront rue Eugène-Mercier, vraisemblablement avant l'été. S.K

La Maison de l’emploi et des métiers, l’agence Pôle emploi et la Mission locale d’Épernay ont organisé, lundi, mardi et mercredi, trois journées dédiées aux métiers qui recrutent sur le basin d’Épernay : la restauration, le tourisme et l’hôtellerie. Objectif, sensibiliser les demandeurs d’emploi à ces métiers en tension. Les acteurs de l’emploi étaient satisfaits de la participation, avec notamment une quarantaine de personnes recensées à la résidence Gallice, le lundi, pour des ateliers autour des métiers de la restauration. En parallèle, plusieurs acteurs de l’emploi, de la formation et des pouvoirs publics se sont réunis, le même jour, au lycée Stéphane-Hessel, pour un rendez-vous autour de l’emploi (en photo). L'occasion d'annoncer la création d'une nouvelle formation, sciences et technologies de l’hôtellerie et de la restauration, qui accueillera, à la rentrée prochaine, douze élèves issus de la seconde. Actuellement, l'agence Pôle emploi d'Épernay compte près de 60 offres dans ce secteur.

Une réunion-débat sur les enjeux énergétiques à Épernay

Afin de mobiliser les territoires français pour faire face à la crise énergétique et atteindre la neutralité carbone, près de 300 associations des Hauts-de-France, du Grand Est et de la région Bourgogne-Franche-Comté se sont réunies au sein du collectif ETNEF (Energies territoriales du Nord-Est de la France). Une réunion-débat se tiendra ce lundi 27 mars, à 18 h, à la Maison des arts et de la vie associative d’Épernay, afin d’aborder, avec le grand public, les enjeux locaux des questions énergétiques, aux côtés d’experts mobilisés au sein du collectif.

Les bornes devaient être réparées cette semaine. © l'Hebdo du Vendredi

du Vendredi

La majorité vote la hausse de la taxe foncière

William Richard de retour au conseil municipal d'Épernay

La hausse du coût de l'énergie et l'inflation est avancée par la ville.

© l'Hebdo du Vendredi

nnoncée en janvier au moment du débat d’orientation budgétaire, la hausse des impôts directs locaux a été entérinée par un vote du conseil municipal d’Épernay, lundi. L’augmentation sera de 2 % pour la taxe foncière sur les propriétés bâties (41,11 % au lieu de 40,3 %) et non bâties (33,96 % contre 33,29 %) et la taxe d’habitation sur les résidences secondaires (25,08 % au lieu de 24,59 %). Viendra s’ajouter un bond de 7,1 % de la base de calcul de la taxe foncière, actualisée chaque année par le Parlement en fonction de l’inflation. «  Il s’agit, pour notre collectivité, de faire face à une hausse importante des charges, liée au coût de l’énergie et à l’inflation, s’est justifiée la maire, Christine Mazy. C'est un choix qui a été fait par de nombreuses collectivités au sein de notre pays. »

L’élue communiste Sarah Deplanque a dénoncé « que tout augmente, sauf les salaires » et que « la ville participe activement à contraindre encore plus le budget des ménages. » De son côté, le socialiste Antoine Humbert, qui assure régulièrement que le niveau d’impôts à Épernay à une influence sur l’érosion démographique, aurait préféré, « vu le contexte », que la ville « ne procède à aucune augmentation, sachant que les taux sont déjà assez élevés par rapport aux villes de même strate. » Christine Mazy a défendu « une décision qui n’a pas été facile à prendre », mais « une nécessité pour le budget ». Selon ses calculs, « cela représente 14 € par an pour un ménage moyen, c’est supportable. »

Les six membres de l’opposition se sont abstenus de voter ces nouveaux taux.

CA’est un ancien du conseil municipal d’Épernay qui fait son retour dans les rangs de l’opposition. L’élu communiste William Richard, 77 ans, a remplacé, lundi, Denis Mathieu, conseiller municipal démissionnaire. « Je n’avais pas prévu de revenir, mais suite au refus de Lydie Agnès (la suivante sur la liste), je n’allai pas fuir mes responsabilités, nous explique William Richard, qui avait déjà siégé au conseil municipal, entre 2014 et 2020. La retraite, ce n’est pas la mort, je menais une autre vie.  » Mais jamais loin de la politique. Il n'est ainsi pas rare de croiser ce fervent militant communiste en manif', notamment lors des récents rassemblements contre la réforme des retraites. De retour au sein du conseil municipal, le loquace William Richard entend porter haut et fort la contradiction, aux côtés d’Hélène Perrein et Sarah Deplanque, du groupe « communistes et citoyens » qu'il a rejoint. « Il faut se battre pour une ville plus solidaire et des actions sociales plus marquées. Notre vision ne se réduit pas à l’avenue de Champagne, mais porte sur l’intérêt général des Sparnaciens. » À peine quelques minutes après son intronisation, lundi, il a eu l’occasion d'asséner quelques piques à la majorité. Selon lui, la ville devrait tout faire pour enrayer la perte d’habitants. « C’est une tendance forte depuis des années. Quand on creuse un trou qui va coûter 7 à 8 M€ (le futur parking souterrain du Jard), ça veut dire que l’argent est là, mais il n’est pas utilisé pour construire une ville solidaire et équilibrée d’un point de vue humain. »

Tendance

William Richard était déjà dans le précédent conseil municipal. © l'Hebdo du Vendredi

Les tours de la cathédrale de Reims se dévoilent aux déficients visuels

Le Palais du Tau organise des visites adaptées des tours de la cathédrale de Reims pour les personnes en situation de déficience visuelle. Une première a eu lieu mercredi et une seconde est proposée la semaine prochaine.

Permettre à tous les publics de profiter de l'un des sites les plus spectaculaires de Reims est un magnifique défi, d'autant plus quand les visiteurs du jour présentent un handicap visuel. C'est pourtant le pari tenté et réussi par le Centre des monuments nationaux, établissement qui gère plus de 100 sites en France, dont le Palais du Tau et les tours de la cathédrale. En ce mercredi 22 mars, ils étaient ainsi une dizaine de membres du Regard au bout des doigts, association rémoise qui aide les personnes aveugles et malvoyantes, à avoir répondu présents à cette invitation spéciale. Ils s'appellent Joseph, Chantal, Paul ou encore Geoffray, sont âgés de 25 à 70 ans et présentent tous une déficience visuelle importante, certains ne distinguant que des halos de lumière. « Les hauteurs de la cathédrale de Reims ne sont pas un lieu aisément accessible pour tous. En plus de la montée de 250 marches, pour se rendre à 40 mètres de hauteur, le sol est souvent irrégulier et glissant », prévient Mélanie Lemoine, chargée de médiation au Palais du Tau et guide. Comme pour n'importe

quels visiteurs, la découverte des tours de NotreDame débute donc par une ascension, en empruntant un étroit escalier en colimaçon. Une entrée en matière qui ne pose aucun problème, malgré l'irrégularité des marches. Arrivé sur la terrasse, le petit groupe, loin des bruits de la ville, peut alors profiter des explications de leur guide. Beaucoup n'y ont jamais mis les pieds et n'ont même jamais vu le

Description et toucher pour imaginer et ressentir

plus prestigieux des monuments de Reims. Mélanie Lemoine, qui connaît l'histoire de la cathédrale comme sa poche, prend surtout soin de parler avec force de détails de l'architecture de l'édifice. Elle raconte ou plutôt décrit le bâtiment et ses mensurations vertigineuses. Elle évoque les matériaux de construction que les visiteurs du jour sont, chose peu commune dans ce type de lieu, vivement invités à toucher. Leurs mains glissent sur les fra-

E DUCATION

giles murs en craie, puis le long des solides éléments en ciment armé de la charpente et de la toiture en plomb. «  Notre œil, c'est le toucher, explique Geoffray, presque totalement aveugle depuis sa naissance. Il existe bien sûr des audioguides, mais ils ne font que raconter l'histoire d'un lieu. Pour imaginer un monument, on a besoin de le toucher et surtout qu'on nous le décrive avec précision. »

Face aux rares dispositifs existants en faveur de l'accès aux sites historiques pour les personnes porteuses d'un handicap visuel, Le Regard au bout des doigts a pris le problème à bras-le-corps. Après trois ans de travail, l'association, en partenariat avec L'Œil Sonore et le Cinéma Parle, a réalisé l'audiodescription de la cathédrale NotreDame de Reims pour, dixit Aurore Sohier, présidente du Regard au bout des doigts, « permettre à toutes les personnes aveugles et malvoyantes de se faire une image mentale précise de la cathédrale et ressentir le monument ». Se présentant sous forme d'une application mobile, cette audiodescription, baptisée L'Œil Sonore de la cathédrale Notre-Dame de Reims, devrait être disponible gratuitement très prochainement.

Julien Debant

4 Une seconde visite adaptée des tours de la cathédrale de Reims pour des personnes en situation de déficience visuelle est prévue mercredi 29 mars, à 14 h. Gratuit sur inscription au 06 68 40 10 96.

Des centaines d'offres à saisir au Forum job de Reims

La Marne épargnée par la fermeture des lycées

omme à chaque printemps, le Forum Job de Reims fait son retour. L'événement dédié à l'emploi se tient mercredi 29 mars. Organisé au stade Auguste-Delaune, il s’adresse aux lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi, jeunes actifs ou stagiaires de la formation professionnelle qui cherchent un job d’été, saisonnier, étudiant ou un contrat en alternance. Plusieurs centaines d'offres en CDD, CDI ou contrat d'alternance y sont accessibles en libre consultation ou à saisir directement auprès des 45 employeurs et institutions présents pour l'occasion. Comme toujours, des ateliers de préparation sont proposés, avec notamment des simulations d'entretien d'embauche et des conseils sur les réseaux sociaux et l'e-réputation ou encore sur les techniques de gestion de l'émotion. Les organisateurs ont aussi prévu quelques nouveautés. Ainsi, en fonction de son profil et de ses attentes, le public a accès à des parcours sur mesure afin d'être orienté vers les pros et les espaces les plus adaptés. Autre innovation, la création d'un guide du Forum en ligne. Ce nouvel outil permet aux participants de préparer leur venue en amont grâce à un plan interactif, avec la possibilité de s'inscrire aux ateliers et de créer leur parcours sur mesure. Enfin, pour aborder la recherche de jobs sans trop de stress, des animations et des jeux sont proposés tout au long de la journée, avec à la clef quelques cadeaux. J.D

Les personnes en recherche d'emploi ont rendez‐vous mercredi 29 mars au stade Auguste‐Delaune. © DR

CSurnommée « réseau des lycées », la nouvelle carte des lycées élaborée par la région Grand Est était soumise au vote de l'assemblée délibérative jeudi 23 mars. Elle prévoit, entre 2023 et 2030, neuf fermetures et regroupements d'établissements sur les 217 lycées publics que compte le territoire. Pour justifier ces choix, engagés avant son élection, le président du conseil régional, Franck Leroy, évoque la baisse de la démographie - 12 000 naissances en moins dans le Grand Est de 2010 à 2020 - et la nécessité d'optimiser les espaces utilisés pour limiter les factures énergétiques. « Ce coût s'élève, dans certains lycées, à 1 600 euros par élève contre une moyenne de 575 euros en région, a-t-il chiffré mardi 21 mars, lors d'une conférence de presse dédiée. On a parfois des taux d'occupation qui dépassent difficilement les 40 %, sachant que l'augmentation des prix de l'énergie a représenté, en 2022, une dépense supplémentaire de 100 M€ pour le Grand Est. » Puis de s'engager à ne supprimer aucune formation et à transférer les effectifs – élèves et personnels confondus – dans un rayon de 13 km maximum, moyennant le remboursement des frais de déplacement générés pour les lycéens. Si la Marne n'est pas concernée par cette stratégie, deux lycées de l'académie de Reims verront leurs différents sites réunis dans un même bâtiment en 2025 : Denis-Diderot à Langres (Haute-Marne) et Jean-Baptiste-Clément à Vivier-au-Court et Sedan (Ardennes). Les élèves du lycée des métiers Simone-Veil de Charleville-Mézières, quant à eux, déménageront dans un, voire deux autre(s) lycée(s) de la même ville.

4 Forum Job de Reims, mercredi 29 mars, de 10 h à 18 h, au stade Auguste-Delaune, Reims. Entrée libre. Infos : trouveunjob-grandest.fr

Sonia Legendre

Les fermetures et regroupements de lycées programmés dans le Grand Est ne concernent pas la Marne. © l'Hebdo du Vendredi

Mercredi, une dizaine de personnes déficientes visuelles ont pu pour la première fois visiter les hauteurs de la cathédrale de Reims. © l'Hebdo du Vendredi

La Nuit des campus va faire son

retour à l'Arena

Samedi, c'est Carnaval à Châlons É

Evénement incontournable pour tous les étudiants de la ville, mais mis en sommeil ces dernières années, la Nuit des campus fera son retour le jeudi 13 avril, à l'Arena. Toujours organisée par l'association Intercampus, elle compte rassembler plusieurs milliers d'étudiants issus de l’ensemble des établissements d’enseignement supérieur du territoire afin de marquer la fin de l’année universitaire. Pour favoriser le lancement de cette initiative, la ville de Reims a voté un soutien financier à hauteur de 30 000 €, via une subvention de 20 000 € et un accompagnement technique valorisé à hauteur de 10 000 €. Ce partenariat entre la collectivité et Intercampus se traduit notamment par la mise à disposition de moyens techniques, en termes de logistique (matériels et chalets par exemple) et de communication (création de l’affiche, réseau d’affichage, campagne digitale et physique).

S PORT

Reims va accueillir la finale de breaking

Les meilleurs Bboys (Breaking‐boy) et Bgirls (Breaking‐girl) français sont attendus à la Reims Arena le 30 avril prochain. © Ville de Reims

AAvec sur son territoire une école renommée, le Studio 511, créée par Ismaël Taggae, champion du monde de la discipline en 2003, le breaking (ou breakdance) brille dans la cité des sacres. Issue des danses urbaines et du hip-hop, la pratique, qui sera pour la première fois sport olympique aux Jeux de Paris 2024, sera tout en haut de l'affiche le 30 avril prochain, à l'occasion de la finale du championnat de France organisé à la Reims Arena. Après Aix et Bordeaux, ces deux dernières années, les meilleurs Bboys (Breaking-boy) et Bgirls (Breaking-girl) français sont donc attendus dans la grande salle rémoise dans une dynamique de gains de points pour la qualification aux Jeux Olympiques, mais avec aussi en ligne de mire le championnat d’Europe, qui se tiendra le 7 mai en Espagne. Porté par l'association rémoise Collectif Footzbeul, cet événement est coorganisé en partenariat avec la Fédération française de danse, la Reims Arena et la ville, via une subvention d'un montant de 60 000 €, dans le cadre de sa stratégie Reims Terre de Jeux 2024.

Al'image des manifestations contre la réforme des retraites, le Carnaval fédérera, cette année encore, des milliers de personnes au centreville de Châlons. Dans une ambiance plus colorée et plus joyeuse, on vous l'accorde. Depuis 1980, ce rendez-vous devenu incontournable doit son succès à l'implication d'une trentaine d'associations et d'environ 70 bénévoles en amont, le tout chapeauté par l'Ensemble traditionnel champenois Les Jasées. Confettis par milliers, fanfare et batucada, chars et personnages emblématiques composeront le cortège, avec pour fil rouge... la gourmandise. Petits et grands retrouveront aussi les « enfumeurs » et leurs chiffons incandescents, ou encore les « souffl'à cul », réputés pour leurs jets de farine sur la foule. Sans oublier Bonhomme, une mascotte de 5 mètres de haut élaborée à partir de matériaux en tout genre, et dont le jugement fera l'objet d'une cérémonie solennelle place Foch. La ville de Châlons restreindra l'accès à la mairie durant ce temps fort. Pas de changement majeur à noter du côté de l'itinéraire : lancement des réjouissances à 15 h place Saint-Etienne, puis direction rue de la Marne, place Foch, collégiale Notre-Dame-en-Vaux, rues Michelet, Thiers et Emile-Leroy, place de la République, boulevard Victor-Hugo et avenue du Maréchal-Leclerc. L'embrasement de Bonhomme se tiendra dans l'un des bassins du grand Jard aux alentours de 17 h. Joli symbole pour oublier les tracas de l'hiver et célébrer dignement l'arrivée du printemps. Costumes plus que bienvenus !

personnes participent au Carnaval de Châlons

Sonia Legendre

4 Carnaval, départ samedi 25 mars à 15 h place Saint-Etienne, Châlons – Ateliers maquillage pour les 2-12 ans à la bibliothèque Pompidou (dès 11 h) et place Saint-Etienne (à partir de 13 h) – Accès libre.

La Nuit des campus investira l'Arena de Reims le 13 avril prochain. © l'Hebdo du Vendredi

Environ 5 000

tous les ans. © Office de tourisme de Châlons

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LES FRAIS DE NOTAIRES. Tarif concernant les frais de location dont la prestation de négociation est assurée par un notaire. Honoraires de négociation bail d’habitation : un mois et demi de loyer (en vertu du décret 2007-387 du 21/03/2007). Ce tarif s’applique à toutes les offres de locations faites par des notaires dans les pages suivantes.

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Loyer: 755€/mois

Emoluments de formalités:170 € HT environ (selon les caractéristiques du bien)

Etat des lieux : 5€ HT/m2

Honoraires : Négociation : ½ loyer HT à la charge du bailleur

Gestion mensuelle : 7% HT des encaissements (hors dépôt de garantie)

MAGNIFIQUE APPARTEMENT DE TYPE 5 À REIMS - COURS JEAN BAPTISTE LANGLET. Appt, au 3ème étage sans ascenseur, de 110.20m2 entièrement rénové. Cpt entrée, WC séparé, séjour, salon, cuisine séparée meublée et équipée (plaques, four, hotte, lave-vaisselles, réfrigérateur), une chambre, une seconde chambre attenante à la 3ème, salle de douche, un rangement aménagé avec étagères et penderie. Chauffage individuel gaz. Classe Energie D. Possibilité de louer un parking couvert rue des Elus pour 100€ par mois dont 10€ de charges.

Loyer: 1 280€/mois cc Dont Charges: 80.00€ Dépôt de Garantie: 1 200.00€

Honoraires Charge Locataire: 887.15€ Dont 330.60€ TTC pour Etat des Lieux.

BASKET-BALL PRO B (25E J.) : CHALON-SUR-SAÔNE (2E) - CHAMPAGNE BASKET (5E)

Stoppé à dix-neuf

Le meilleur ou le pire

Il fallait bien qu'elle s'arrête un jour. La formidable série de dix-neuf matches sans défaite du Stade de Reims s'est interrompue dimanche dernier, face à une équipe de Marseille qui devrait terminer à coup sûr sur le podium de la Ligue 1.

Marshall Munetsi n'était pas loin d'égaliser face à Marseille. © l'Hebdo du Vendredi

« Peut-être que je deviens un vrai entraîneur après avoir perdu, a lâché Will Still après la rencontre perdue 2-1, dans un mélange d'amertume et de fierté. La réalité du foot nous a frappé en pleine face. On a réussi à mettre en difficulté une très belle équipe de Marseille. Je ne peux qu’être fier parce que peu d’équipes vont jouer 19 matches sans perdre et vont mettre en difficulté cette équipe de Marseille. »

Dimanche dernier, devant 20 479 spectateurs, dont une large partie vibrait étonnamment pour les visiteurs, le Stade de Reims a livré une copie de qualité. Pris à deux reprises par un grand joueur, Alexis Sanchez, passé notamment par le Barça et Arsenal, les Champenois étaient pourtant proches de décrocher le match nul et de poursuivre leur série. Marshall Munetsi et Folarin Balogun ressasseront sans doute durant toute la trêve internationale les poteaux qu'ils ont touchés...

Désormais, quelle fin de saison pour le Stade de Reims, 9e, à sept points de la première place européenne ? « On ne s’est jamais focalisé sur l’Europe. On a envie de se pousser jusqu’au bout, de gagner le plus de matches possible », a sobrement répondu Will Still. Premier élément de réponse le 2 avril, lors du déplacement à Nantes.

D1F : les Rémoises doivent relancer la machine

Au repos le week-end passé en raison de la Coupe de France, dont la finale opposera Lyon au Paris SG, le 13 mai, les Rémoises reprennent le chemin du championnat. À la recherche d’une victoire en Division 1 depuis le 10 décembre, les Champenoises (7es) tenteront d’en décrocher une ce samedi 25 mars, lors de la réception de la lanterne rouge, Soyaux (12e), à 13 h 45, au stade Louis-Blériot.

Face à Saint‐Quentin, Marquis Jackson a marqué 20 points, dont le tir victorieux à la dernière seconde.

© l'Hebdo du Vendredi

Un tir magique au buzzer de Marquis Jackson a plongé les joueurs du Champagne Basket dans le plus grand des bonheurs et leurs hôtes axonais dans la stupeur. Invaincu à domicile et leader de la Pro B, Saint-Quentin est donc tombé à domicile, samedi 18 mars, au bout d'un match à suspense conclu par une action de génie du petit arrière américain (86-83). Un résultat presque improbable qui survient après une défaite tout aussi surprenante, concédée une semaine plus tôt, à domicile, lors de la réception de la lanterne rouge, Aix-Maurienne (72-76). Cette dernière n'a d'ailleurs pas réussi à surfer sur son exploit dans la Marne. Elle a été étrillée dans la foulée, chez elle, par La Rochelle (61-95).

Un résultat qui a de quoi laisser de grands regrets aux hommes de Thomas Andrieux. Néanmoins, grâce à leur victoire à Saint-Quentin, ils restent, à 10 journées de la fin de la saison régulière, dans la course aux premières places (5es). Et ce week-end, ils ont encore l'opportunité de marquer un peu plus leur territoire. Grismay Paumier et ses coéquipiers ont en effet rendez-vous ce samedi 25 mars sur le parquet de Chalon-sur-Saône, actuel 2e du classement. Restant sur un succès à Antibes (70-56), la redoutable formation bourguignonne représente un nouvel obstacle de taille pour des Champenois qui ne semblent visiblement pas avoir renoncé à leurs ambitions.

Basket-ball (LF2) : coup d'arrêt et coup dur pour les Pétillantes

Après trois succès de rang, le Champagne Basket féminin (6e) a perdu, samedi dernier, sur le parquet d'une autre équipe en forme, Aulnoye (63-51). Une défaite d'autant plus difficile à accepter qu'elle est marquée du sceau des blessures de Mathilde Domenger et Jill Townsend. Victime d'une rupture du tendon d'Achille, la première est out pour le reste de la saison, tandis que la seconde, touchée à la cheville, est incertaine pour la prochaine rencontre programmée ce vendredi 24 mars, exceptionnellement organisée à Châlons, (coup d'envoi à 20 h) à l'occasion de la venue de Monaco (9e)

L’épargne salariale : tout le monde y gagne !

Parce que le capital humain constitue la première force de l’entreprise, la motivation des collaborateurs est l’une des clés pour gagner en compétitivité.

L’épargne salariale regroupe un ensemble de leviers qui peuvent être mis en place au sein de l’entreprise communs.

Pour les entreprises De 1 à 49 salariés 0% DE CHARGES SOCIALES sur la participation, l’intéressement, l’abondement

Dans les entreprises de moins de 250 salariés, l’épargne salariale est également accessible au chef d’entreprise et à son conjoint collaborateur ou associé.

L’abondement : un booster d’épargne !

l’entreprise qui détermine le pourcentage d’abondement dans la limite de 300 % des versements, ainsi que le montant annuel d’entreprise.

Exemple : pour un versement individuel de 100 €, l’entreprise peut verser un complément pouvant atteindre 300 € brut (soit 291 € nets de CSG-CRDS) !

Pour les entreprises De 50 à 249 salariés 0% DE CHARGES SOCIALES sur l’intéressement

Ces dispositions s’appliquent : au niveau de l’entreprise, que celle-ci appartienne ou non à un groupe à tous les accords conclus avant ou après le 1er

€ Baisse du forfait social à 10% sur l’abondement de l’entreprise lié à l’actionnariat salarié

En pratique, ça donne quoi ? 0% de charges 1000€ 1000€ = versé par l’entreprise coût réel pour l’entreprise

La semaine de l’épargne salariale, qui se tient du 27 au 31 mars 2023,

Retrouvez toutes les informations utiles sur www.epargnesalariale-france.fr

Hommage au Nouvel Hollywood

e cinéma Le Palace consacre son prochain cycle de films à un courant cinématographique essentiel, le Nouvel Hollywood. À la fin des années 1960, un vaste mouvement de contreculture inonde les pays occidentaux, porté par une jeunesse qui aspire au changement. Ce sera Mai 68 en France, la génération Woodstock aux États-Unis. Du côté du septième art, l’âge d’or de Hollywood, débuté dans les années 1930, est à son crépuscule, fragilisé par l’arrivée de la télévision, la disparition des anciennes stars et la déconnexion des patrons de studios vieillissants. Nombre de studios sont ruinés ou rachetés par de grands groupes financiers et de jeunes réalisateurs vont réussir à s’engouffrer dans la brèche. Avec des budgets modestes et une carte blanche, ils sont animés par une envie de casser les codes établis par leurs aînés et briser les tabous sociaux de l’époque. Artistiquement, ils sont inspirés par le néoréalisme italien et la Nouvelle Vague française, qui veulent faire du cinéma le miroir de l’époque et non plus la machine à rêve promue par Hollywood. C’est une partie de cette période qui sera abordée au cinéma d’Épernay, avec la diffusion, du 29 mars au 2 mai, de quelques chefs-d'œuvre : « Apocalypse now », « Bonnie and Clyde », « Le Lauréat », « Les Dents de la mer », « Les Moissons du ciel » et « Sorcerer ». Toutes les séances seront proposées au tarif spécial de 6 € (5 € pour les moins de 14 ans) et la plupart du temps en versions originales, sous-titrées et restaurées.

S.K

4 Infos : le-palace.fr

Agenda

SPECTACLES

VENDREDI 24 MARS

« DES MÉTAMORPHOSES » - MJC D’AŸ

Libre adaptation du poème d’Ovide par le conteur Fred Pougeard et le musicien Renaud Collet pour rire des dieux, de nous-mêmes et de notre temps. À partir de 10 ans, par la compagnie L’Allégresse du Pourpre.

À 19 h, salle Sabine-Sani, MJC d’Aÿ. Durée : 1 h 10. Tarifs : 5 et 10 €. Infos : mjc-ay.com

CONCERTS

SAMEDI 25 MARS

CONCERT DE BLUES ROCK - DORMANS

L’antenne du Secours populaire de Dormans organise un concert de blues rock avec trois orchestres au profit de projets de solidarité. Restauration et buvette sur place.

À 19 h, salle des fêtes, 28, avenue de Paris, Dormans.

Tarif : 10 € avec une boisson.

Infos et réservations : 06 44 73 48 65

JEUDI 30 MARS

CONCERT PARTAGÉ - ÉPERNAY

Concert partagé des classes du collège Terres Rouges, de l’Istituto Comprensivo Pietro Egidi di Viterbo et les ensembles instrumentaux de l’École intercommunale de musique d’Épernay et sa région.

À 18 h, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Entrée libre.

LOISIRS

SAMEDI 25 MARS

SOIRÉE DANSANTE - MAREUIL-LE-PORT

Le comité de jumelage de Mareuil-lePort/Zornheim organise une soirée dansante sur le thème des années 80, animée par DJ Bernard. Un repas portugais sera servi.

À 20 h, Espace 2000, Mareuil-le-Port. Tarifs : 33 €, 20 € pour les moins de 12 ans.

Réservations au 06 07

T HÉÂTRE - L E S ALMANAZAR

L'amour selon Alexis Michalik, le « monsieur Molière »

DLramaturge et metteur en scène reconnu, Alexis Michalik est un touche-à-tout du cinéma et du théâtre. Acteur, réalisateur, scénariste, écrivain… Ce Franco-Britannique de 40 ans a déjà remporté six Molières sur huit nominations, dont un, en 2022, pour le spectacle musical « Les Producteurs », blockbuster de Broadway. Présenté comme un prodige du théâtre, maîtrisant le rythme et les émotions à merveille, Alexis Michalik proposera, à Épernay, « Une histoire d’amour ». Ce drame amoureux raconte l'histoire de Katia et Justine. Amoureuses, elles veulent un enfant et Katia finit par tomber enceinte après une insémination artificielle. Mais Justine disparaît quelques jours avant la naissance de leur enfant. Douze ans plus tard, Katia est mourante et doit s'en remettre à son frère, William, écrivain cynique qu’elle n’a pas vu depuis 5 ans. Accueilli très favorablement par la presse, ce spectacle, porté par de jeunes comédiens talentueux et plein d’énergie, a été loué pour son rythme et sa puissance mélodramatique, au terme duquel les rires chassent les larmes.

« Ce n’est pas un théâtre qu’on a l’habitude de programmer, mais c’est un sujet de société très intéressant, une histoire d'amour entre deux femmes, et un spectacle qui captive le public de bout en bout, nous expliquait récemment Christian Dufour, directeur du Salmanazar. On dit souvent que Michalik, c’est construit comme une série télé. Souvent, ceux qui aiment ses pièces sont ceux qui aiment les séries Netflix (sourire). » À voir sur les planches, avant son adaptation cinématographique, en salles le 12 avril.

4 « Une histoire d'amour », mercredi 29 mars, à 20 h 30, théâtre Gabrielle-Dorziat, Épernay. Durée : 1 h 30. Tarifs : de 9 à 28,50 €

Cinéma

DIMANCHE 26 MARS

COURSE D’ORIENTATION - HAUTVILLERS

Le club Épernay nature et sport (ENS) organise une course d’orientation dans la forêt des Lhuys. Parcours de 2 à 8 km, deux parcours loisirs, sept parcours chronométrés.

Départs entre 10 h et 11 h, Les Lhuys, Hautvillers. Tarifs : de 6 à 10 €, 15 € pour une famille. Infos et inscriptions : ens5101@wanadoo.fr

THÉ DANSANT - FÈRE-CHAMPENOISE

La Guinguette du sezannais organise un thé dansant animé par Damien Berezinski et son orchestre de quatre musiciens. À 15 h, salle des fêtes, place Georges-Clemenceau, Fère-Champenoise. Tarifs : 13 €, 25 € avec repas. Réservation : 06 86 84 75 87, 06 31 57 66 52 et guinguettedusezannais@gmail.com

CINÉMA

DIMANCHE 26 MARS

« LES CONTES DE LA MER » - LE PALACE

Trois courts-métrages d’animation sur le monde maritime venus du Chili, d’Allemagne et d’Estonie.

À 10 h 45, cinéma Le Palace, Épernay.

Tarif : 5 €

Durée : 45 min. Infos : le-palace.fr

« GATSBY LE MAGNIFIQUE » - LE PALACE

Un jeune écrivain, interprété par Leonardo DiCaprio, s’installe à New York dans les années 1920, époque des cabarets et des dancings, de l’essor du jazz et des contrebandiers d’alcool… Le film bariolé de Baz Luhrmann, adapté du classique de Francis Scott Fitzgerald, sera présenté par Laure Ménétrier, directrice du musée d’Épernay, dans le cadre d’un partenariat entre les deux établissements.

À 16 h 30, cinéma Le Palace, Épernay.

Tarif : 6 €, 5 € pour les moins de 14 ans.

Infos : le-palace.fr

LE PALACE

33, boulevard de la Motte - Épernay - 03 26 51 82 42

Du vendredi 24 au mardi 28 mars 2023

LES CONTES DE LA MER dim 10H45

LE ROYAUME DE NAYA AVANT-PREMIÈRE dim 14H20

GATSBY LE MAGNIFIQUE SÉANCE SPÉCIALE dim 16H30

JOHN WICK 4 ven 14H10 - 20H sam 14H - 16H20 20H dim 14H - 17H 20H lun 14H10 - 20H mar 14H10 - 20H

SUR LES CHEMINS NOIRS ven 14H20 - 20H45 sam 14H15 - 19H15 21H40 dim 14H2020H30 lun 14H20 - 17H20 20H30 mar 14H20 - 20H30

LES PETITES VICTOIRES ven 14H20 sam 19H15 - 21H40 dim 10H45 - 16H30 lun 14H20 mar 20H30

LES GARDIENNES DE LA PLANÈTE sam 16H40 dim 10H45 lun 17H20 mar 14H20

SAGE-HOMME ven 14H20 - 20H30 sam 14H - 21H40 dim 10H30 - 14H20 17H30 lun 14H20 - 17H30 20H30 mar 17H30 - 20H30

65 - LA TERRE D’AVANT ven 17H30 - 20H45 sam 16H40 - 21H40 dim 14H20 - 20H30 lun 17H30 - 20H30 mar 17H30

LA CHAMBRE DES MERVEILLES ven 14H10 - 17H30 20H30 sam 19H15 - 21H40 dim 14H2020H30 lun 14H10 - 20H30 mar 17H30 - 20H30

CRAZY BEAR ven 17H30 sam 16H40 - 21H40 dim 20H30 lun 17H30 mar 17H30

MON CRIME ven 14H20 - 17H30 sam 14H15 - 19H15 dim 10H30 - 14H 17H30 lun 14H2020H15 mar 14H20 - 20H15

SCREAM VI ven 17H20 - 20H15 sam 16H20 dim 20H15 lun 17H20 - 20H15 mar 14H1017H20

CREED III ven 17H20 sam 14H - 19H15 dim 20H15 lun 17H20 mar 14H10 - 17H20

LA SYNDICALISTE ven 17H20 mar 17H20

THE FABELMANS ven 20H dim 17H

ALIBI.COM 2 ven 14H20 sam 14H15 - 19H15 dim 10H30 - 17H30 lun 14H20 mar 14H2020H30

SACRÉES MOMIES sam 14H15

PATTIE ET LA COLÈRE DE POSÉIDON sam 16H40 dim 10H45

*VOST

Le film « Bonnie and Clyde », réalisé par Arthur Penn, est l’un des pionniers de ce mouvement.

Metteur en scène et acteur, Alexis Michalik (au centre) est largement plébiscité par le public et la presse. © François Fonty

Les Chevaliers du fiel rénovent tout

Cela fait maintenant plus de 30 ans qu'Éric Carrière et Francis Ginibre ont créé Les Chevaliers du fiel, dans une cave-spectacle de Toulouse. Le duo à l’accent du Sud a mis quelques années à se faire sa place, mais il est aujourd'hui arrivé au sommet, grâce à une galerie de personnages truculents et pittoresques qui n’épargnent personne. Du chauffeur de bus alcoolique et trésorier de la CGT au maire de droite en permanence en voyages d’affaires aux Seychelles, les deux compères brossent le portrait d’une société française particulière, symbolisée par les fameux « municipaux », ces fonctionnaires râleurs, un peu feignants et bêtas, mais que le duo a souhaité honorer en tant que «  héros du quotidien », comme ils aiment à le répéter.

S PECTACLE - C HÂLONS

Les plus belles musiques

d'Hans Zimmer sur scène

À la radio, la télé, au cinéma ou sur scène, le duo formé par Francis Ginibre et Éric Carrière cartonne ! © Vincent Ribera

Plébiscités sur scène, c’est ensuite à la radio, la télévision, et même au cinéma qu’ils ont bâti leur succès. Après avoir battu des records d'audience avec leurs quotidiennes sur Sud Radio et RMC pendant dix ans, Les Chevaliers du fiel sont ensuite passés par France Bleu, Rire et Chansons, France 2 et désormais C8, qui diffuse, quatre à cinq fois par an, de nouveaux programmes du duo. Fort de ce succès, Les Chevaliers du fiel continuent d’écumer les plus grandes scènes de France, cette fois-ci avec le spectacle « Travaux d’enfer », dans lequel les célèbres Monsieur et Madame Lambert se lancent dans la rénovation de leur maison. Éric Carrière et Francis Ginibre y campent quatorze personnages délirants, cinglés, mais vrais. À découvrir sur la scène du Millesium.

S.K

4 Les Chevaliers du fiel, jeudi 30 mars, à 20 h 30, Le Millesium, Épernay. Tarifs : 35,50 à 59,50 €. Infos : lemillesium.com

DANSE - R EIMS

Nina Santes ou le rituel et l’urgence

Nina Santes et son collectif

Dans ce solo, Nina Santes inaugure un cycle de trois performances qui seront à voir d’ici 2024 au Manège.

© Roberto Martinez

La Fronde sont associés au Manège depuis 2021, et jusqu’en 2024 : après Hymen Hymne et A LEAF, l’artiste propose Peeling Back, le premier épisode d’un nouveau cycle de création en trois volets intitulé Beauty Glow Tanning Studio. En ligne de mire, les mythes sacrificiels des corps et de la terre, et, audelà, un féminisme écologique profond qui propose une nouvelle lecture du monde moderne. Et c’est sans surprise : Nina Santes se distingue en créant des écosystèmes de créations singuliers, qui s’enveloppent et enveloppent, qui tournent sur eux-mêmes pour mieux rayonner.

Dans ce projet tout neuf, le Beauty Glow Tanning Studio est pensé comme un salon de beauté, un lieu de confort, un corps rassurant. Un lieu vivant, donc, qui pense à voix haute, se nourrit et rejette les violences. Dans ce premier volet, le plateau se pare d’un solo incarné qui met en parallèle la culture du viol et le pillage des ressources naturelles pour une absurde surconsommation. La notion de sacrifice est donc au cœur d’une réflexion à la fois satirique et concernée, impactée par l’embrasement du monde moderne. Peeling Back, qui signifie éplucher, retirer, revenir en arrière, emporte malgré tout dans une projection visionnaire, entre musique, danse, performance et installation, comme une enquête frondeuse et immersive dans les tréfonds de ce qui s’agite sous nos pieds.

A.C

4 Peeling Back, mardi 28 mars, à 20 h, au théâtre du Manège de Reims. Tarifs : 6 à 23€. Infos : manege-reims.eu.

Rain Man, Pearl Harbor, Inception, The Dark Knight, Gladiator, Interstellar, La Ligne Rouge, Hannibal, Madagascar, Da Vinci Code, Top Gun Maverick, etc. En quarante ans de carrière, le pianiste, compositeur et producteur allemand Hans Zimmer a signé quelque 200 bandes originales de films. Sans compter les musiques créées pour la télévision et les jeux vidéo. Son nom est gravé parmi les étoiles du Boulevard des stars de Berlin et de l'emblématique Hollywood Walk of Fame. Son génie lui a valu une myriade de distinctions, dont quatre Grammy Awards, trois Golden Globes et deux Oscars de la meilleure musique de film : en 1995 pour Le Roi Lion et l'an passé pour Dune. Si les spectacles en hommage à Zimmer pleuvent ces dernières années, celui du jeune orchestre ukrainien Lords of the Sound, fondé en 2014, joue dans la cour des grands shows. Il réunit des dizaines de musiciens, choristes et solistes autour d'un programme de deux heures qui mêle arrangements symphoniques, guitares électriques, projections vidéo et jeux de lumière éblouissants. Sur scène, avec une énergie et une puissance folles, ces artistes font revivre les chefs-d'œuvre du 7e art que l'on doit à Hans Zimmer. Mieux, ils réveillent les émotions associées à ces films et leurs musiques, dont le compositeur hors pair a le secret. Plus qu'un concert, une expérience.

L'orchestre fait revivre en live les bandes originales de films signées Hans Zimmer. © Lords of the Sound

Chiner

SAMEDI 25 MARS

MONTMORT-LUCY - BRADERIE DU SECOURS

CATHOLIQUE 14 h à 18 h - Salle municipale

REIMS - BOURSE AUX VÊTEMENTS DE L'AFC

9 h 30 à 17 h 30 - Salle Saint-Thomas, accès parking rue Périn

DIMANCHE 26 MARS

BOUY - BROCANTE À L'ARTISANAT ET PRODUITS DU TERROIR

A partir de 6 h - Centre du village

BRASLES (AISNE) - 32E BOURSE TOUTES COLLECTIONS 9 h à 18 h - Espace Raymond Commun

CHÂLONS - VIDE-GRENIERS DU FLOCMAGNY

A partir de 6 h - Rue du Flocmagny et autres rues

CHAMPFLEURY - BOURSE AUX JOUETS

9 h à 16 h 30 - Foyer Rural

L'EPINE - BOURSE TOUTES COLLECTIONS

9 h à 17 h - Entrée : 1€ - Salle des fêtes

MONTMORT-LUCY - BRADERIE DU SECOURS

CATHOLIQUE 10 h à 17 h - Salle municipale

SAINT-MARTIN-D'ABLOIS - VIDE-GRENIERS

A partir de 6 h - Centre du village

VAUDEMANGE - VIDE-POUSSETTES

8 h à 13 h - Salle des fêtes

VENTEUIL - VIDE-GRENIERS

A partir de 6 h - Rue du Château

VENDREDI 31 MARS

BAZANCOURT - BOURSE AUX VÊTEMENTS

9 h à 19 h - Salle Michel-Prévoteau

SAMEDI 1ER AVRIL

AMBONNAY - VIDE-DRESSING

8 h à 13 h - Salle Dom-Pérignon

BAZANCOURT - BOURSE AUX VÊTEMENTS

10 h à 18 h - Salle Michel-Prévoteau

REIMS - BRADERIE SOLIDAIRE DU SECOURS

POPULAIRE

10 h à 16 h - 30, avenue Charles-de-Gaulle

TINQUEUX - LES QUATRE SAISONS

Arts du fils et travaux créatifs

De 10 h à 18 h – Entrée 2€ - Salle des fêtes

DIMANCHE 2 AVRIL

BASSUET – VIDE-GRENIERS & MARCHÉ ARTI-

SANAL A partir de 6 h – Centre du village

BAZANCOURT - BOURSE AUX VÊTEMENTS

14 h à 18 h - Salle Michel-Prévoteau

BEINE-NAUROY – VIDE-POUSSETTES

8 h à 16 h – Salle polyvalente

BEZANNES - 40E BOURSE AUX CARTES POSTALES & 34E BOURSE TOUTES COLLECTIONS

8 h 30 à 17 h – Entrée : 3€ - Salle Galaxie

CHÂLONS - VIDE-GRENIERS MADAGASCAR

A partir de 7 h - Rues Paul Louis-Courier, Montaigne et Jean-Talon

CORMICY - VIDE-GRENIERS

A partir de 6 h - Centre du village

JUVIGNY - VIDE-POUSSETTES

8 h à 13 h - Salle des fêtes

MONTMIRAIL - VIDE-POUSSETTES

9 h à 16 h 30 - Salle des fêtes

MOURMELON - BROCANTE DE L'ÉCOLE MA-

TERNELLE 9 h à 16 h - Centre culturel Napoléon III

OIRY - VIDE-GRENIERS

A partir de 6 h - Centre du village

REIMS - MARCHÉ AUX PUCES

7 h à 16 h - Halle Boulingrin

TINQUEUX - VIDE-GRENIERS

A partir de 6 h - Rue Pasteur

Sonia Legendre

4 « The music of Hans Zimmer », par l'orchestre Lords of the Sound, samedi 1er avril à 20 h, Capitole, Châlons - Tarifs : de 35 à 79 € - Infos : lecapitole-en-champagne.fr.

Flavien Berger : joueur et rêveur

Ce vendredi 24 mars, la Cartonnerie reçoit Flavien Berger, jeune musicien explorateur, qui enveloppe dans des mélodies tantôt duveteuses, tantôt entêtantes et emporte l’esprit dans des textes intimes, sensibles et incisifs. S’inscrivant dans son époque, l'artiste s’amuse aussi à voyager dans le temps, pour mélanger les genres et multiplier les plaisirs. Rencontre.

Le 17 mars est sorti « Dans cent ans ». Pourriez-vous nous en dire plus sur cet album ?

C’est mon 3e album studio. Il clôt une trilogie que je pourrais considérer comme un exercice pop, une exploration. Dans le premier album, Leviathan, je plongeais dans l’inconnu des abysses. Dans Contretemps, je m’intéressais au voyage dans le temps, les souvenirs. Avec cet opus, j’explore l’occulte de l’inconscient et le rêve. Dans cent ans,

c’est aussi une question que je pose à l’avenir : on sera quoi dans cent ans ? La musique sera-t-elle encore de la partie ?

Qu’est-ce qui vous inspire pour écrire ?

Les mots, les drôles de mots avec lesquels j’aime jouer, des situations hors du commun et pourtant réelles. Quand j’écris, je suis mis en mouvement par la curiosité. C’est une vraie chimie que de mélanger les choses. Je prends du recul, j’observe… Vous savez, je ne suis pas un song writer, je n’expérience pas un seul jet de création en lien avec ce qui me traverse. Je vois plutôt des fenêtres qui s’ouvrent sur le monde et j’écris pour montrer ce que je vois.

Et la poésie naît de ces visions originales ?

La poésie, c’est le firmament. Elle résonne et infuse partout, dans tout ce que je fais. Et j’aime la relier à la musique, car la musique, aujourd’hui, elle accompagne partout. On l’écoute en marchant, en bossant. Il y a mille contextes d’écoutes. Quand j’écris, que ce soit du texte ou de la musique, je pense toujours à l’usage qui sera fait de ce morceau. C’est comme ça que tout se propage le mieux.

Comme un sage savant fou de la musique, Flavien Berger s’amuse avec les sons et les accordent avec des textes affirmés, comme un conteur onirique. © Isabella Hin

Et sur scène, ça donne quoi ?

J’ai travaillé ma scénographie comme une suite de ce qui a été fait précédemment. Il n’y a pas d’écrans LED, pas d’images, ce n’est pas ce qui me fait rêver. Je suis plutôt entouré de choses qui font bouger l’air autour, qui créent du mouvement, qui modifient les ambiances. Je suis seul sur scène, je chante et je manipule les sons. Il y a des néons, par contre, des néons comme dans les hôtels et les

L’horoscope Météo

Vous êtes frétillants et en pleine forme. Vous aurez les moyens de vos ambitions. Il ne vous reste plus qu’à savoir ce que vous voulez et jouer vos atouts pour progresser.

Vous nagez dans le bonheur mais il se peut qu’il y ait anguille sous roche. Des non-dits dans le couple peuvent nuire à l’harmonie générale. Gare aux quiproquos.

Il est temps d’obtenir des résultats tangibles. Des choix sont à faire. Vous avez toutes les cartes en main, jouez-les. Attention tout de même à ne pas sauter sur tout ce qui bouge, sinon vous risquez de tomber sur un os.

En amour, rien ne va plus. Vous reproduisez toujours les mêmes erreurs. Il serait peut-être temps d’entamer une analyse pour remonter en amont, à la source du problème. Pourquoi vouloir franchir des cascades à contrecourant pour revenir toujours au même endroit ?

Vous avez les dents longues et si vous choisissez bien votre objectif, vous devriez pouvoir l’atteindre. La prudence sera toutefois de mise. Au niveau social, vous êtes à l’embouchure de nouvelles perspectives.

Evadez vous donc ou reposez vous. Sur le plan professionnel, mettez un terme à tout ce qui vous pèse. Coté cœur, c’est une période d’isolement et de solitude. Cessez donc de toujours vous poser les mêmes questions.

L’heure est à la nouveauté et à la légèreté. Vous aurez envie de batifoler, de voyager, de rencontrer. Tout cela à condition de vous sentir bien dans votre peau.

C’est le moment de vous associer, ou de demander de l’aide. Gare à ne pas vous entêter. Réagissez positivement face aux difficultés et vous surmonterez les obstacles.

La situation se stabilise, vous avez les crédits nécessaires à votre évolution. Des ouvertures et de nombreuses possibilités s’offrent à vous. C’est un saut dans l’inconnu. Agissez avec confiance et sang froid.

Le printemps fais se précipiter les événements pour votre plus grand bien. L’enthousiasme est de mise, la période est faite pour vous lancer dans l’aventure !

19.02

Même si vous avez pris des engagements, à l'impossible nul n'est tenu. Il vous faudra regarder droit devant, faire des projets d’avenir. En amour c’est le moment de trouver l’harmonie.

POISSONS du 20.02 au 20.03

Tout vous sourira à condition de bien mesuré la portée de vos actes. Surveillez votre spontanéité quelquefois débordante, soyez réaliste, votre détermination fera le reste.

Qualité de l’air

restos. J’avais envie que ça clignote : c’est l’apanage du monde actuel ça, le clignotement, les signaux lumineux.

Propos recueillis par Agathe Cèbe

4 Flavien Berger, vendredi 24 mars, à 20 h, à la Cartonnerie, Reims. Tarifs : 19 à 28€. Infos : cartonnerie.fr

La CLCV vous informe

La garantie commerciale

La garantie commerciale est la garantie qui peut être proposée par le vendeur et/ou le fabricant sur un produit acheté en magasin ou sur internet. Elle permet - sous conditions – le remboursement, le remplacement ou la réparation du produit acheté. Elle s’ajoute aux garanties légales et ne peut exclure l’acheteur du bénéfice de la garantie légale de conformité ou de la garantie des vices cachés. La garantie commerciale n’est pas obligatoire et le vendeur est libre de fixer son contenu, mais lorsqu’elle est proposée, le vendeur doit respecter les termes du contrat en vertu de l’article 1103 du Code Civil selon lequel, « les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits ».

CLCV de la Marne – Reims - Contact : 03 26 05 03 88 ou clcv-marne.over-blog.com

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