Laurent
petit Chef d’œuvre d’humour (…) un livre indispensable pour préparer les élections municipales ! Frédéric Pagès Le Canard Enchaîné
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La Ville sur le divan Laurent Petit parution octobre 2013
Revue de presse 2013 10 décembre L’Humanité Corneille Leroy
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La Voie aux Chapitres - Frédéric Pagès
Magazine de Horslesmurs centre de ressources des arts de la rue et des arts du cirque
11 décembre Le Canard Enchaîné
décembre Stradda
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Revue de presse 2013 26 octobre Le Monde : Culture&Idées Stéphanie Lemoine
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Hebdomadaire du NPA
12 décembre L’Anticapitaliste
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17 Novembre Les Inrocks Elena Fusco
Ma ville consulte un psy La culture a toujours investi l’espace urbain d’une façon ou d’une autre mais pas la psychanalyse. Laurent Petit s’est essayé au concept et a inventé « la psychanalyse urbaine ». Une étude insolite et drôle pour traiter de réelles problématiques liées au tissu urbain. Décryptage. « On peut considérer cet ouvrage comme un cadeau qui aurait pour nom Youpi Yeah. » Cette première phrase de la page 1 de l’ouvrage La ville sur le divan : introduction à la psychanalyse urbaine de Laurent Petit donne le ton. L’auteur est le cerveau de cette nouvelle discipline qu’il appelle la psychanalyse urbaine. Chemise bleu au col abimé, cravate large à motifs décolorés, cheveux en pétard et lunette de travers, Laurent Petit a la dégaine débraillée du scientifique fou. « Pour créer la psychanalyse urbaine je me suis basé sur la pensée et les écrits de Sigmund Freud » explique-t-il. Ainsi les cinq psychanalyses sont devenues cinq villes, les huit commandements s’appliquent maintenant à l’urbanisme, et le ça, le moi et le surmoi se sont transformés en « ça », « toit » et « surtoit ». Il créé l’Agence nationale de psychanalyse urbaine Cet ingénieur de formation en a vite eu assez de la sédentarité de son travail. Il devient alors jongleur, clown, adepte des spectacles de rue et guide de visite burlesque du patrimoine. Il rencontre le collectif d’architectes EXYZT qui attire sa curiosité « Ils inventent des mondes où la fiction se mélange à la réalité. Ils créent une sorte d’architecture éphémère » éclaire-t-il. Mais c’est après avoir assisté à la finale du championnat de France de psychanalyse qu’un urbaniste a remporté, que l’idée lui vient d’allier ces deux sciences afin de psychanalyser des agglomérations entières. Laurent Petit se lance dans la création de l’ANPU soit l’Agence nationale de psychanalyse urbaine. Un collectif qui s’occupe de consulter les habitants afin d’améliorer l’urbanisme de la zone dans laquelle ils habitent. Depuis ses débuts en 2003, L’ANPU a déjà vue défiler sur son divan une cinquantaine de cités : Hénin-Beaumont, Rennes, Angers, Aix-en-Provence, Marseille, Alger, Tours, Vierzon… Son objectif : un projet d’analyse du monde – car Laurent Petit caresse l’idée de guérir le monde entier d’ici « 2017. Avant on pensait faire ça pour 2012-2013, mais il nous faut encore un quinquennat » dit-il avec l’air sérieux d’un président de la République. Liban et Pologne sont sur la liste des prochains lieux à psychanalyser. Entre absurde et vérité Tout en tripotant son ordinateur pour montrer différentes photos et images d’archives ce psychanalyste aux allures de personnages
de BD raconte satisfait : « Les politiques des villes font appel à nous pour qu’on dresse un diagnostic urbain des lieux. » Après avoir « couché les habitants sur le divan », soit des simples transats, l’équipe de l’ANPU leur soumet un questionnaire chinois « Je veux que les habitants me parlent de leur ville comme si c’était une personne. Seulement comme ça on a droit à des réflexions profondes et poétiques. Après on mélange leurs réponses avec celles des spécialistes comme des historiens, des architectes et des économistes qu’on a rencontrés » poursuit Laurent Petit. Ce n’est qu’après avoir tout mixé que l’ANPU livre son diagnostic lors de performances devant élus et habitants. Ces pseudo-conférences conduisent à porter un tout autre regard sur la ville. Ici on identifie un PNSU « point névrostratégique urbain » qui amène à un TRU « traitement radical urbain » pouvant se transformer en ZOB « zones d’occupation bucolique ». L’ANPU détecte les problèmes et tente d’apporter une solution en reconstituant « l’arbre mythologique» de la zone urbaine examinée en se basant sur son vécu social, ses légendes urbaines et ses traumatismes historiques. Mélange de farfelue et sérieux, ces conférences jouent avec l’ambiguïté avoue-t-il « on n’est ni dans un discours politique, ni moralisateur. C’est au spectateur de décider si il assiste à un spectacle ou à une conférence. » Et souligne « mais souvent par l’humour on fait passer plus de messages qu’on ne le pense. » Laurent Petit se considère comme « un artiste avec une dimension sociale et dynamique ». L’alliance entre absurde et vérité lui vaut une notoriété grandissante « aujourd’hui on est accepté par le milieu des urbanistes. On nous appelle pour des conférences, pour donner des cours à la fac. C’est une satisfaction. » Le directeur de l’ANPU a la blague et le jeu de mot facile « c’est peut-être un de mes défauts…mais avec un peu d’humour la discipline devient plus accessible. » Conscient des limites de sa science, il veut améliorer certains points « Nos projets pour les villes de demain devraient être plus concrets et réalisables pour que ça marche mieux » admet le savant. Des cimetières festifs, des terrains de cabanon, des piliers en voitures recyclées, une île en conteneurs ou encore des habitats sociaux dans des épaves de navires rénovées… Tant de projets à la frontière entre l’utopique et le réalisable.
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Revue de presse 2013 17 Octobre Libfly.com Martine Desvaux
Point presse / Voie des Indés / La ville sur le divan de Laurent Petit C’ est un livre inclassable et totalement déroutant avant d’ en comprendre la finalité, d’ en accepter le dérangement et d’ en accueillir alors toute la drôlerie.
La ville sur le divan n’ est évidemment pas un traité analytique quoique… Son auteur, Laurent Petit, n’ est évidement ni psychologue, ni psychanalyste, ni ethnopsychiatre , ni urbaniste, quoique… Qu’ on vous explique en s’ aidant du sous-titre du bouquin - « Introduction à la psychanalyse urbaine du monde entier ! » - dont les deux derniers mots et le point d’ exclamation doivent nous alerter : on n’ a vraiment pas entre les mains un traité purement scientifique mais un OLCI, objet littéraire complètement indéfinissable. D’ autant que, sur la quatrième de couverture, l’ auteur lui-même se présente ainsi : « Il m’ a demandé ce que je faisais comme métier. Et c’ est vrai que j’ ai dit psychanalyste urbain alors que j’ aurais pu dire Président du monde entier, bouffon de luxe ou fêtard narquois, gourou de secours ou remonteur de bretelles universelles… » Laurent Petit donc est un Nordiste auparavant metteur en scène et performeur, auparavant acteur de théâtre assez malheureux, auparavant encore ingénieur en télécommunications de formation. Il a mené des années durant des spectacles para-scientifiques où le vrai et le faux se mélangeaient tellement que les spectateurs s’ y perdaient totalement. Mais lui jamais… Tout cela c’ était avant de fonder avec quelques acolytes aussi loufoques que lui l’ ANPU, l’ Agence nationale de psychanalyse urbaine, qui est déjà intervenue dans quantités de villes pour analyser ce qui y fonctionnait de travers. Rennes, Marseille, Angers, Saint-Nazaire, Tours, Béthune, Alger Hénin-Beaumont, la Zone de l’ Union dans le Nord… les expériences mi-drôles mi-sérieuses (et rémunérées) ont été tellement nombreuses et denses, fina-
lement, que Laurent Petit a décidé d’ en tirer un manuel en dix leçons. C’ est La ville sur le divan qui raconte donc quelques une des ces opérations urbaines consistant à démontrer pourquoi, ici et là, la vie n’ est « youpi yeah ». Avec une méthode éprouvée et racontée par Petit dans ses fameuses leçons. D’ abord faire une descente sur place et un nécessaire « travail de macération » puis attaquer véritablement « l’ opération divan » où les habitants sont invités à raconter leur ville réellement allongés. Autant dire que les drôles de l’ APNU ne passent pas inaperçus et ni leur arbre mythogénéalogique ou leur TRU (traitements radicaux urbains) ou TRA (traitements radicaux architecturaux) qui donnent souvent à réfléchir par l’ absurde. En s’ appuyant sur les codes de la psychanalyse qu’ elle dynamite allègrement, la joyeuse bande et son étrange gourou aux cheveux gras et à l’ air volontairement sinistre, parvient à faire remonter bien des cadavres enterrés, à dénouer bien des situations inextricables, à dénoncer bien des scandales urbains ou architecturaux. Et à rêver, au bout du compte, d’ un monde utopique. Le livre, lui, est apparemment écrit au fil de a plume, avec parfois de bonnes grosses blagounettes, des exagérations « hénaurmes », des jeux de mots tirés par les cheveux et autres liens farfelus (après tout on est dans la psychanalyse pour les liens…) et dans l’ absurde (Laurent Petit est un fan des grands maîtres du genre et des surréalistes). Et, si on accepte d’ entrer dans sa bulle (thérapeutique ?) on se surprend souvent à s’ amuser avec lui à adhérer au propos. Un début de transfert en somme…
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Revue de presse 2013 17 Octobre MidiOnze.com Stéphanie Lemoine
La psychanalyse au secours des névroses urbaines Depuis 10 ans, le comédien Laurent Petit psychanalyse les villes au sein de l’ ANPU (Agence nationale de psychanalyse urbaine). Il vient de publier aux éditions la Contre Allée un livre qui relate son expérience sur le mode potache. Portrait.
De la sarcellite (ou « maladie des grands ensembles ») aux fractures territoriales, il semblerait que l’ aménagement urbain sécrète ses pathologies propres, comme le corps a les siennes. Soigner l’ espace pourrait alors mobiliser les mêmes recettes que la médecine, d’ où l’ ambition affichée par Laurent Petit, fondateur de l’ ANPU (agence nationale de psychanalyse urbaine) : psychanalyser les villes du « monde entier » pour identifier le « PNSU » (point névro-stratégique urbain) où se concentrent les névroses géographiques et amorcer un « TRU » (traitement radical urbain) de nature à guérir les troubles. Pour ce faire, il questionne habitants et experts avec les bénévoles qu’ il aura su mobiliser, compulse les archives, dissèque le territoire puis livre ses conclusions au cours de conférences canulars où il aura pris soin de convoquer les équipes municipales. Depuis 2003, ce quadragénaire potache et faussement ingénu a ainsi couché sur le divan Vierzon, Tours, Marseille, Hénin-Beaumont, et même des départements entiers comme les Côtes d’ Armor. Il le fait généralement à l’ invitation d’ institutions culturelles – théâtres ou centres d’ art. Il faut dire que Laurent Petit n’ est ni psychanalyste ni urbaniste ou expert de l’ aménagement. L’ homme vient du théâtre de rue, dans lequel il s’ est lancé sur le tard après une fugace et morne carrière d’ ingénieur. Ses premières interventions publiques ont consisté à démontrer les liens secrets qui unissent Mickey Mouse à MichelAnge (« Mickey l’ ange »). L’ idée de psychanalyser les villes lui est venue un peu par hasard, quand le collectif d’ architectes eXYZt lui a demandé de jouer les experts à l’ occasion d’ une remise de diplôme. Après ce premier contact avec la fabrique de la ville, il enchaîne rapidement et s’ adjoint le concours de quelques complices, dont Charles Altorffer alias « Urbain l’ enchanteur ». Il y a d’ abord la psychanalyse de Vierzon, un fiasco qu’ il raconte sur le mode potache dans La Ville sur le divan : introduction à la psychanalyse urbaine, ouvrage paru début octobre aux éditions La Contre Allée. Mais c’ est Maud LeFloc’ h, directrice du pOlau, pôle des arts urbains, qui lui met véritablement le pied à l’ étrier en 2008 : « quand je lui ai parlé de psychanalyse urbaine, ça a fait tilt tout de suite, explique Laurent Petit. Elle m’ a invité à analyser Tours, où elle travaillait. » Comme il le raconte dans son livre, la cité ligérienne est un cas vraiment étonnant : si son « arbre mytho-généalogique » révèle un rapport compliqué à la Loire, mère volage n’ arrêtant pas de changer de lit, c’ est surtout dans la rivalité avec Saint-Pierre-des-Corps, batârde « rouge » malmenée par Tours la blanche bourgeoise, que se noue la névrose locale. Après avoir situé le PNSU tourangeau sous l’ autoroute qui clive les deux villes, le psychanalyste propose donc de les réconcilier en inaugurant le Point zéro, un pilier peint en rouge et blanc, en présence des
maires des deux villes. Ailleurs, la cure peut passer par la création de Z.O.B (zones d’ occupation bucolique, destinées à fertiliser la ville) ou d’ AAAH (autoroutes astucieusement aménagées en habitations), selon le trouble identifié. Dans tous les cas, on rit beaucoup. Malgré le potache de ses mises en scène (ou plutôt grâce à lui), l’ ANPU pourrait pourtant se révéler un allié inattendu du politique dans la tâche délicate qui consiste à aménager le territoire. Les analyses produites par Laurent Petit s’ avèrent souvent pleines de bon sens : « A Port-Saint-Louis dans les Bouches du Rhône, le maire est venu nous dire qu’ on en était arrivés aux mêmes conclusions que l’ agence d’ urbanisme locale, mais pour un prix largement inférieur ! ». S’ adjoindre l’ expertise d’ un psy urbain ne coûte pas grand-chose en effet – entre 7 et 10 000 euros, donc bien moins qu’ une étude diligentée par un cabinet « sérieux ». Surtout, la candeur et la bouffonnerie de l’ ANPU ouvrent sur une tout autre façon de mettre en scène un projet urbain. Voyant dans sa démarche une façon de faire de la concertation autrement, Laurent Petit est très attentif à mobiliser un public étranger à la fabrique de la ville : « la mode est à la déresponsabilisation, mais en trouvant des approches ludiques, on peut remettre les habitants dans le jus, » note-t-il. Il jouit pour mener à bien cette tâche d’ un privilège propre à l’ artiste : le franc-parler. « Aucun élu ne peut venir expliquer que la bagnole ou le pavillon, c’ est fini, explique-til. Nous, on a la possibilité de projeter la population dans trente ou quarante ans, mais on le fait avec humour, pour décongestionner tout ça. » En mobilisant grâce à l’ humour et la poésie, Laurent Petit ouvre ainsi sur une autre manière d’ interpréter le territoire et de « faire la ville ». Dans la lignée de la psychogéographie, projet situationniste visant à analyser l’ influence du milieu géographique sur le comportement psycho-affectif des individus, sa démarche dresse la critique en acte de cinquante ans de fonctionnalisme : « la psychanalyse urbaine est un outil poétique qui permet de lutter contre la rationalité, les statistiques, les moyennes, résume Laurent Petit. C’ est une façon de mettre un peu d’ enchantement, de poésie et d’ irrationnel dans la pratique des professionnels de la ville. » Rien de surprenant dès lors à ce que l’ ANPU ait d’ emblée intéressé architectes et urbanistes, et se soit vu convier à des colloques très sérieux. Dans cet engouement, Laurent Petit voit le signe qu’ il est peut-être temps de lancer sa discipline sur la carte du monde. Il se réjouit d’ être invité à des formations, et de voir les textes de l’ ANPU traduits en Italien, où pourraient voir le jour les premières analyses hors de l’ ANPU. Voulue comme une « introduction à la psychanalyse du monde entier », La ville sur le divan, son premier livre, devrait y contribuer. Idem pour le Traité d’ urbanisme enchanteur que prépare son complice Charles Altorffer…
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Revue de presse 2013 Avril Ventscontraires.net Le Rond-Point
L’ Agence nationale de psychanalyse urbaine (ANPU) couche les villes sur le divan, détecte leurs névroses, apporte des solutions thérapeutiques. Discipline pertinente diront les uns, discipline abracadabrante diront les autres, discipline hallucinante diront ceux qui encore aujourd’ hui ne s’ en sont pas tout à fait remis. « En psychanalyse classique, on aura tendance à parler de “ça”, de “moi” et de “surmoi”, alors qu’ en psychanalyse urbaine, on est plus sur du “ça”, du “toit” et de “surtoit” », précise Laurent Petit, fondateur de cette nouvelle pratique. Après s’ être attaqué à l’ inconscient de Hénin-Beaumont, Rennes, St-Nazaire, Angers, Aix-en-Provence, Marseille, Alger, il vient au Rond-Point nous introduire à cette thérapeutique désopilante et salutaire. Une étape de plus dans son projet global de world analysis – car Laurent Petit caresse le désir abracadabrant de guérir le monde entier.
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11 novembre France Culture France Culture 11 novembre / Emission « Le carnet du libraire » Chaque semaine, du lundi au vendredi, un libraire partage avec Augustin Trapenard son précieux carnet de lectures. Trois minutes quotidiennes pour transmettre son expertise et son enthousiasme autour d’un roman, d’un essai, d’un polar ou d’une BD, d’un classique ou d’une actualité, d’un texte français ou étranger. « Le Carnet du libraire », c’est désormais sur France Culture une rencontre quotidienne avec de singuliers passeurs de livres. Avec le concours de François-Marie Bironneau, libraire au Bateua Livre (Lille).
9 octobre Radio Plus Radio Plus 9 octobre / Emission « La vie des livres » Deux fois par mois, pendant une heure, La Vie des Livres reçoit des auteurs, des illustrateurs et d’autres acteurs du monde des livres. Deux chroniqueuses interviennent dans l’émission : Marie-Françoise, qui évoque les albums jeunesse, et Amélie, qui revient une fois par mois sur le passé littéraire. Enfin, des blogueurs, en partenariat avec Libfly. com, font part de leurs coups de coeur.
8 octobre Radio Grenouille Radio Grenouille 8 octobre / Emission « Small is grenoutiful » La radio culturelle marseillaise. Projet culturel et radiophonique qui a pour préoccupation majeure de rendre compte de l’actualité à Marseille, du quotidien des habitants, de leur cadre de vie, de leur engagement associatif ou politique. Emission du 8 octobre 2011 en compagnie de Laurent Petit, de l’Agence nationale de Psychanalise Urbaine, invité dans le cadre de Small is Beautiful à ausculter la ville de Martigues. Et les chroniques sonores d’Espaces Sonores, de psychanalise urbaine de Laurent Petit, la promenade du jour de Nicolas Mémain, le proverbe à titre, le grand fictionnaire et l’agenda du lendemain des Beaux parleurs.
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Revue de presse 2013 31 octobre La Voix du nord Sébastien Bergès
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31 octobre Le Berry républicain
Vierzon
Vierzon psychanalysée dans un livre Peut-on psychanalyser une ville ? C’est le pari qu’a fait Laurent Petit, qui a publié ce mois-ci la Ville sur le divan, introduction à la psychanalyse du monde entier, aux éditions la Contre-allée. L’auteur entend analyser plusieurs villes et régions, dont les Côtes d’Armor, Tours, la Zone de l’Union (Nord), Marseille, entre autres... et Vierzon ! Cette méthode se définit comme une «investigation», visant à une «mise en évidence de l’inconscience à l’origine de l’aménagement urbain d’une cité ou d’un quartier d’une cité», selon l’Anpu (Agence nationale de psychanalyse urbaine). Une approche à la croisée des chemins, créée
par Laurent Petit, qui vise à mettre en lumière des névroses urbaines, et proposer des solutions radicales. Ceci avec à travers une démarche décalée non dénuée d’humour mais qui pourrait bien en dire long sur l’inconscient collectif. Laurent Petit avait mené une campagne de psychanalyse de la ville en 2008, la première d’une longue série à travers la France. Des divans avaient été installés sur l’esplanade de la Société-française, pour recueillir des témoignages de Vierzonnais.
17 octobre Ouest France
Vire
L’univers de Laurent Petit et de l’Agence nationale de la psychanalyse urbaine (Anpu) peut parfois dérouter. Le ton décalé et absurde de ce psychanalyste urbain fait en tout cas mouche à tous les coups, lors de ses conférences. « Il faut dire que j’étais clown dans les supermarchés auparavant », lance sans rire Laurent Petit, présent au Préau lundi soir, pour le premier portrait de la saison. Depuis plusieurs années, l’Anpu se penche sur de nombreux cas, dont Vire. Vierzon, Marseille, Villeurbanne, Tours ont, entre autres, été analysées.
Le livre intitulé La Ville sur le divan, introduction à la psychanalyse urbaine du monde entier ! retrace les travaux de cette bande de doux dingues. « Notre objectif est de guérir les villes de leurs névroses. Nos opérations divan nous permettent de faire parler une ville. Nous nous installons sur une place de village et nous interrogeons les habitants par le biais du portrait chinois. Cela nous permet de faire rejaillir un regard poétique sur la commune
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Semaine du 13 octobre France 3 Basse-Normandie Catherine Gauberti
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Feuilleton : La joyeuse enquête de l’ANPU dans le Bocage virois L’ANPU, Agence Nationale de Psychanalyse Urbaine, vient de commencer une nouvelle mission dans le Bocage virois. Une équipe de reportage a suivi la démarche auprès des habitants. L’Agence Nationale de Psychanalyse Urbaine vient d’être dépêchée dans le bocage virois pour procéder à l’analyse du territoire et de ses habitants. Partant du constat qu’une migration de population va inexorablement s’effectuer depuis les villes vers les campagnes, il s’agit pour l’ANPU de redonner une dynamique de territoire cohérente au bocage virois afin que l’accueil se fasse dans les meilleures conditions possibles. Rémi Mauger, Cyril Duponchel, Franck Leroy et Bastien Odolant ont suivi le travail de toute l’équipe de l’ANPU, à découvrir en quatre épisodes. Episode 1 : Méthodologie de travail des scientifiques de l’ANPU Les experts de l’ANPU procèdent de la même façon, qu’il s’agisse de la psychanalyse d’un pays entier ou d’une contrée : assimiler un territoire à une famille. Il s’agit d’enquêter auprès des habitants, de la façon la plus exhaustive possible. Pas question de délaisser les archivistes, acteurs du monde associatif ou même les rebouteux. Toute la population doit être analysée, dans ses aspects économiques, sociologiques ou religieux. Il faut reconstituer l’histoire et la généalogie du bocage. Episode 2 : De la définition administrative à la réalité du terrain Le Bocage virois : entre la définition administra-
tive qu’on en trouve à la mairie de Vire ou dans la documentation officielle et l’idée que s’en font les habitants du cru, il y a un réel fossé. C’est ce fossé que les membres de l’Agence Nationale de la Psychanalyse Urbaine doivent sonder avant de poser leur diagnostic. Episode 3 : Le chiffrage et l’analyse des données recueillies par l’ANPU L’enquête dure depuis maintenant trois jours et a amené les scientifiques à parcourir le bocage, passant la frontière interdépartementale plusieurs fois. Il faut maintenant rechercher des pistes pour redresser la situation et demander aux habitants leur avis sur ce qu’il faudrait faire pour sauver le bocage virois. Vient ensuite l’analyse fine de chaque donnée récoltée, tant aux tables des cafés que dans les champs au pied des poiriers et pommiers ou même sur les places de village. Episode 4 : La restitution de l’enquête Quatrième et heureux épisode du feuilleton de la semaine où l’on apprend que les enquêteurs pleins d’humour de l’ANPU feront une restitution complète de leur travail... sur scène... dans plusieurs salles de spectacle du 27 novembre au 26 décembre un peu partout dans le bocage virois... Par Catherine Gauberti.
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LE COIN DES BLOGGEURS…
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Le Blog de la ville leblogdelaville est un outil d’aide à la réflexion, un espace d’auto-formation, un lieu de partage... L’exploration, la mise en perspective et la diffusion, constituent les bases de ce travail où les problématiques se croisent, s’embrassent et/ou s’entrechoquent pour révéler un certain état des savoirs, des perceptions et des pratiques de l’urbain. Un travail de veille, à l’interface, d’infos glanées auprès des journalistes, des artistes, des chercheurs, des praticiens et des citoyens, qui vivent la question urbaine.
Chronique
Vierzonitude La Vierzonitude, c’est la Vierzon attitude ou comment partager Vierzon d’une autre façon, avec ses avantages et ses inconvénients, ses infos cocasses, venez les partager !
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Revue de presse 2013 19 Juin L’Express Igor Hansen-Love
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Revue de presse 2011 6 septembre Libération Stéphanie Maurice