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Photographe : Yona Romet
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Contact
Benjamin Haddad benjamin.h@lebonbon.fr
Tél. : 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
15, rue du Delta – 9e
510 580 301 00040
Ce 21 juin inaugure le retour de l’été, et qui dit été, dit terrasse, chaleur, rosé frais, plage ou encore vacances. Mais encore ? S’il y a bien une chose dont notre beau pays peut s’enorgueillir et que le monde entier nous envie, ce sont ses “concours à la noix”. Appelons-les “concours estivaux insolites”, ce sera plus politiquement correct, et écoutez donc cet inventaire que même Jacques Prévert aurait eu bien du mal à imaginer.
Ainsi, en juillet : championnat de brouette humaine à Dunkerque, concours d’arrachage d’échalotes à Plouvenec, de lancer de bourriches d’huîtres à Carantec. Mais aussi, à Vaugneray, dans le Rhône, le championnat national de lancer de bouses de vache pourrait retenir votre attention. Pour info, les bouses sont sèches, et elles volent comme de véritables frisbees.
Ce n’est pas fini. Mois d’août : championnat de France du cri de cochon à Trie-sur-Baïse dans les Hautes-Pyrénées. Non, rassurez-vous, vous n’assisterez pas à un concert de Céline Dion.
Concours de moules farcies au Cap d’Agde (ça ne s’invente pas) ; du plus gros mangeur de Livarot (un village normand). Et pour finir, le championnat international de lancer de tong se tiendra à Lacanau, en Gironde. La tong homologuée doit peser 225 grammes maximum et le record à battre est de 39,56 mètres. Avis aux sportifs !
Humour, créativité, pastis et autodérision : feu !
Jean-Pierre Pernaut avait raison, nos régions ont vraiment du talent.
Beau mois de juin à vous toutes et tous les Bonbons !
¤ Mikadole bon timing
le bon japonais
le bon bijou
la bonne expo
le bon terroir
la bonne détente
le bon glacier
la bonne étoile
la bonne enquête
le bon shopping
le bon instantané
Vous avez dit un katsu ?
Un nouvel écrin pour L’École des Arts Joailliers
La folie des grandeurs
Le rendez-vous des afterworks
Les coups de cœur culturels de juin
En cornet ou en pot ?
Écolo et hilarante
Où seront les Parisiens pendant les Jeux olympiques ?
She’s so fresh !
L’arbre dans la ville
Parcours artistique, événements, expositions…
Pinus pinea en l’an 2252
On propage amour et bienveillance à la Marche des Fiertés
Qui dit mois de juin, dit mois des Fiertés, et bien évidemment, dit retour de la célèbre
Marche des Fiertés LGBTQIA+. Pour cette nouvelle édition, on se retrouve le samedi 29 juin à partir de 13h pour un parcours – dont on attend encore les détails –qui rejoindra la place de la République pour une teuf bienveillante et inclusive.
Marche des Fiertés 2024
Samedi 29 juin 2024 à partir de 13h Plus d’infos sur inter-lgbt.org
© Josephine Brueder / Ville de Paris
On danse au cœur des Buttes Chaumont pour la Fête de la musique
Prêt·e·s à swinguer pour cette 42e Fête de la musique ? Le 21 juin, mélodies en tout genre résonneront dans les rues de la capitale, jusqu’au parc des Buttes Chaumont, où l’on retrouve notre collectif parisien chouchou pour une teuf à la fraîche. Alors pour taper du pied (presque) toute la nuit : rendez-vous au Pavillon Puebla avec Cookie Records !
Cookie Records
Pavillon Puebla, av. Darcel – 19e
Vendredi 21 juin 2024 à 19h
On redécouvre la capitale comme jamais à l’Hôtel de Ville
Rendez-vous à l’Hôtel de Ville pour découvrir Paris comme vous ne l’avez jamais vue. Grâce à des chiffres qui donnent le tournis, des mises en scène surprenantes et des magnifiques photos de la capitale, la ville est à l’honneur dans cette exposition intimiste, mais riche, qui retrace toute l’évolution (assez fascinante) de la Ville Lumière.
Paris ! à l’Hôtel de Ville 5, rue de Lobau – 4e Jusqu’au 16 novembre 2024
Besoin de changement pour votre déj’ ? Cette adresse ouverte il y a à peine 2 ans va vous en boucher un coin ! Rendez-vous au cœur de la rue Godot-de-Mauroy pour se faire un repas nippon à souhait et une razzia de donburis et de katsudons.
Ne cherchez plus, on a trouvé votre future cantine du midi dans le 9e ! À quelques enjambées de l’Opéra Garnier et des Grands Magasins, on trouve Chichi-San, petite échoppe japonaise qui vous sert toute la journée donburis et katsudons à foison. Sur place, c’est Xiaowi Chen qui vous accueille avec un grand sourire pour vous servir de grands plats généreux soigneusement préparés par sa maman en cuisine, à déguster sur les quelques tablées intimistes du restaurant ou à emporter pour les dévorer au bureau ou sur votre canapé.
Chichi-San, c’est donc une affaire familiale, mais c’est surtout le lieu où goûter au meilleur de la cuisine nippone. Au menu, gyozas bien croustillants, edamames tout frais et takoyakis fondants en entrée, puis pour le plat, deux choix s’offrent à vous. D’abord le classique donburi, un grand bol à base de riz, pimpé avec de la salade ou du curry japonais ultra réconfortant et agrémenté de chicken katsu, de tonkatsu, de karaage, de crevettes frites ou de tofu. La deuxième option n’est donc nulle autre que le katsudon, un bol de riz cette fois-ci surmonté d’œuf façon omelette et d’une viande en friture au choix.
Nous, on a adoré le katsudon au chicken katsu et sa belle cuisse de poulet panée coupée en tranches.
Cette adresse a donc tout pour devenir votre QG du midi, avec sa bonne cuisine familiale et sa formule à prix doux : comptez 13€ pour une entrée et un plat fait maison (et servi généreusement), que vous pouvez aussi compléter par des thés froids japonais ou avec un dorayaki, merveilleuse pâtisserie et goûter favori des enfants au Japon. En tout cas, nous, on a été conquis·es !
¤
M.S.Chichi-San 41, rue Godot-de-Mauroy – 9e
Tél. : 01 73 75 53 24
Ouvert du lundi au samedi de 12h à 21h
12 ans après l’inauguration de sa première adresse rue Danielle Casanova, L’École des Arts Joailliers inaugure une nouvelle maison sur les Grands Boulevards, à deux pas des théâtres et de l’Opéra Garnier.
Nouveau lieu d’exposition, de rencontre, mais aussi d’apprentissage, c’est au sein de l’Hôtel de Mercy-Argenteau que la future École des Arts Joailliers - Grands Boulevards va prendre ses quartiers. Classé au patrimoine historique, cet hôtel particulier du XVIIIe siècle dispose de volumes époustouflants grâce à ses plafonds vertigineux, et propose un vaste espace d’exposition dans une salle à l’architecture exceptionnelle signée Charles Garnier, célèbre architecte de l’opéra du même nom.
Pour son ouverture, le nouveau site de L’École fait honneur à ce dernier avec une exposition dédiée aux bijoux de scène de la ComédieFrançaise : une collection de 120 pièces
de joaillerie, accessoires et œuvres d’art, mais aussi des documents d’archives qui retracent l’histoire de ces bijoux, dont les plus anciens datent de la fin du XVIIIe siècle.
À l’avant du bâtiment, plusieurs salles seront dédiées aux cours de L’École des Arts Joailliers. Tous les mois, des conférences et une trentaine de cours autour du monde des pierres, de l’histoire de l’art du bijou et de ses savoirfaire auront lieu dans les différents salons d’époque de l’hôtel particulier, dont le décor n’a rien à envier à celui de la salle d’exposition.
On y découvre également une bibliothèque, la première entièrement consacrée au monde du bijou. Archives, revues, ouvrages… Au total, près de 4 000 documents multisupports et dans plusieurs langues sont accessibles librement (sur réservation) à tous·tes. Et si vous souhaitez repartir avec un ouvrage, la librairie l’Escarboucle (ouverte à la rentrée) propose des ouvrages grand public ou collectors sur la bijouterie, la joaillerie, leurs créateurs, les savoir-faire et plus encore…
En un mot, que vous soyez un·e grand·e amateur·rice de bijoux, féru·e de beaux monuments ou simple visiteur·rice en quête de jolies découvertes, le nouveau campus de L’École des Arts Joailliers promet de vous émerveiller.
¤ A.C.
L’École des Arts Joailliers - Grands Boulevards 16 bis, bd Montmartre – 9e Programme des cours, conférences et expositions : lecolevancleefarpels.com
Ça y est, l’été arrive enfin, et apporte avec lui les soirées en terrasse, les festivals à tout-va, et plus généralement une certaine joie de vivre pas désagréable. Alors pourquoi ne pas en profiter pour aller faire un tour du côté du bois de Boulogne, profiter de la fraîcheur de ses arbres, et surtout de la fabuleuse nouvelle exposition de la Fondation Louis Vuitton ? Le temple de l’art contemporain vous invite à plonger dans les peintures démesurées et délicieusement colorées d’Ellsworth Kelly. Un régal !
Bienvenue dans l’œuvre monumentale d’Ellsworth Kelly, peintre abstrait américain qui aurait célébré ses 100 ans l’année dernière. À peine les portes de l’exposition franchies, impossible de ne pas avoir le sourire devant ces immenses aplats de couleurs aux formes géométriques intriguantes, suspendus aux murs, au plafond, et parfois même reposant au sol. Ici, le peintre fait l’apologie de la simplicité en nous proposant des toiles entièrement recouvertes d’une seule et même couleur, puis assemblées, superposées, ou découpées. En résultent des tableaux aussi originaux que fascinants, dont l’apparente clarté nous interroge forcément, et nous invite à voir au-delà des apparences toute la richesse et la vivacité du travail d’Ellsworth Kelly.
Au fur et à mesure des salles, une centaine de peintures, sculptures et autres esquisses singulières se succèdent, se confrontent et se répondent, pour nous présenter toute l’étendue de la palette de l’artiste.
Dans un ballet assez séduisant et plutôt estival, les toiles font danser couleurs et formes géométriques avec grâce pour créer un ensemble poétique et harmonieux. Chacune des créations gigantesques joue avec nos perceptions grâce à des effets visuels, pour nous plonger dans un monde presque onirique, ou trois simples lignes deviennent tout un paysage perçu à travers la vitre d’un train, et où un simple croissant blanc sur fond noir devient une vision singulière de la profondeur et de la noirceur de la nuit.
Ellsworth Kelly envahit l’espace de la Fondation Louis Vuitton sur plus de 1 500 m², pour nous offrir une exposition pop, colorée, décalée et disproportionnée, qui témoigne d’une maîtrise exceptionnelle du geste chez le peintre. Mention spéciale à l’Auditorium de la Fondation, qui accueille une œuvre permanente de l’artiste, Spectrum VIII ; 5 toiles gigantesques accrochées du sol au plafond, se jouant de l’architecture et qui, comme les fleurs qui éclosent enfin un peu partout dans la capitale, nous donnent un avant-goût de l’été… Une plongée éblouissante dans la couleur, à expérimenter de toute urgence seul·e, en famille ou entre amis.
¤
C.V.Ellsworth Kelly. Formes et couleurs Fondation Louis Vuitton 8, av. du Mahatma Gandhi – 16e Jusqu’au 9 septembre 2024 fondationlouisvuitton.fr
À peine le pas de la porte passé, on se laisse doucement envahir par le bienêtre. Quand on pénètre dans La Réserve, c’est un peu comme si on rentrait chez soi après une bonne journée de travail, ou une semaine de vacances à l’étranger. La déco est éclectique, dans le meilleur sens du terme possible, comme une accumulation de souvenirs récoltés de-ci de-là. Mais attention, ne vous y fiez pas, vous retrouverez très vite un dénominateur commun.
Bouteilles géantes (pleines ou vides), fausses capsules de bière en guise de coussins, grandes boîtes de bouchons de liège et photos de belles terrasses de bistrot. Le ton est lancé : ici, on va très, très bien boire.
Et en effet, on est loin d’être déçu en regardant la grande ardoise accrochée au mur. 20 références, que des vins d’appellation, triés sur le volet pour ravir tous les palais et tous les budgets, puisque les verres sont tous entre 5 et 10€. Et rassurez-vous, si les termes “Syrah”, “Merlot” ou “Gewurztraminer” ne vous
évoquent rien, Sébastien, le propriétaire, et Marvyn, son filleul, seront là pour vous aiguiller. Pour accompagner ces petits verres bien mérités après une journée chargée, on choisit parmi les plats et planches à la carte, tous réalisés à partir de délicieux produits aveyronnais. Et comme on hésite entre une planche mixte et une saucisse-aligot (et sa sauce moutarde, échalote, vin blanc à tomber), on finit par opter pour une planche charcuteriealigot, histoire de cumuler le meilleur des deux mondes. On se régale avec les rillettes d’oie, on se graisse un peu les doigts au saucisson (pour mieux les lécher), et forcément, on s’amuse à faire des fils avec le délicieux aligot. Que demande le peuple ?
Le petit plus, c’est que si ce charmant bar à vin ne possède malheureusement pas de terrasse, il est pourvu, pour notre plus grand plaisir, d’une immense salle voûtée en pierre en soussol, parfaite pour s’abriter des chaleurs estivales étouffantes (les deux salles sont climatisées !). Une pièce au charme fou, que vous pouvez privatiser gratuitement pour tous vos événements. Elle devient tour à tour salon de jeu, piste de danse ou salle de réunion, à votre guise. Ici aussi, la déco un poil rétro nous met tout de suite en confiance, et comme en plus on peut mettre sa propre musique, c’est vraiment comme à la maison… le service impeccable et les bons produits en plus ! Alors, on réserve à La Réserve ? ¤ C.V.
La Réserve du Terroir 13, rue Quincampoix – 4e
Tél. : 01 47 07 55 14
Du mardi au dimanche de 17h à minuit lareserveduterroir.com @reserveduterroirparis
Icônes drag de Jean Ranobrac et Daphné Bürki
Premier livre du photographe Jean Ranobrac, Icônes drag nous embarque dans l’univers du drag moderne avec des tableaux hyper graphiques et colorés. Véritable célébration d’un monde emprunt de sensualité et de fantaisie, l’artiste y capture des visages connus dans le monde du drag français tels que Paloma, Kam Hugh, Nicky Doll ou encore Lova Ladiva. Très gros coup de cœur pour ce livre.
Éditions Hoëbeke
En librairies depuis le 23 mai 2024
Love Lies Bleeding de Rose Glass
Après le road movie lesbien signé Ethan Coen
Drive-Away Dolls, place à un thriller lesbien avec une bonne dose de sang, de guns, de stéroïdes et de scènes torrides. Réalisé par la Britannique
Rose Glass, Love Lies Bleeding raconte la folle histoire d’amour entre Lou (Kristen Stewart), gérante d’une salle de sport, et Jackie (Katy O’Brian), culturiste ambitieuse et pleine de rêves. Une relation qui fait des étincelles, qui explose de passion et qui tombe dans un tourbillon de violence qui les mettra à rude épreuve.
Au cinéma le 12 juin 2024
Qui dit mois de juin, dit mois des fiertés. Alors pour célébrer en beauté la diversité et l’amour, on vous a préparé un petit top de nos recos culturelles spécial LGBTQIA+ pour améliorer votre culture queer.
Afroqueer de Fabrice Nguena
Du Québec à l’Afrique subsaharienne en passant par les Antilles et l’Europe, Fabrice Nguena est allé à la rencontre de 25 personnes afroqueer engagées dans leur milieu, afin de déconstruire les préjugés dont elles font encore l’objet. Un livre touchant qui permet de rendre audible la voix de personnes noires et LGBTQI+ qui subissent encore de nombreuses discriminations et des agressions partout dans le monde.
Éditions Écosociété
En librairies depuis le 17 mai 2024
Pride in the City, une histoire de luttes LGBTQI+ de Gonzague Pluvinage
Historien spécialisé en histoire contemporaine, Gonzague Pluvinage a consacré son troisième livre aux combats pour les droits des personnes LGBTQI+. Il retrace 45 ans d’une histoire de la lutte, avec ses hauts et ses bas, ses victoires et ses défaites, et décrit notamment l’évolution des Prides, manifestations annuelles visant à promouvoir la visibilité des personnes queer à travers le monde.
Maison CFC-éditions
En librairies depuis le 7 mai 2024
Un goûter givré devant le Centre Pompidou, ça vous tente ? Venez donc découvrir le savoir-faire de Louise, glacier artisanal qui régale tout le quartier Beaubourg avec des saveurs naturelles, de l’authenticité et surtout beaucoup de gourmandise.
Avez-vous déjà eu l’impression de croquer dans une fraise en mangeant un sorbet ? Ou de prendre un shot d’expresso en dégustant une crème glacée au café ? C’est la promesse tenue par Louise. Ici, pas de place pour les colorants et les arômes artificiels, uniquement pour des recettes simples et naturelles. La maison prend le parti de vous faire redécouvrir le vrai goût des ingrédients choisis, pour une expérience authentique et gourmande.
Rassurez-vous, il y aura de quoi occuper vos papilles puisque Louise a développé une quarantaine de saveurs, à découvrir en vitrine selon la saison : caramel salé, framboise, citron pressé, passion, chocolat-noisette, violette, mangue, chocolat noir, pistache de Sicile, lait de coco, fraise, mangue, pralinénoisette… il y en a pour tous les goûts. Le petit plus ? Chaque année, de nouvelles saveurs s’ajoutent à la jolie liste, et cette année, on pourra ainsi se régaler avec des boules de thé matcha, fraise-rhubarbe, et notre coup de cœur, fleur d’oranger-pavot. Le tout à déguster au choix en pot, en cornet ou en milkshake –réalisé minute avec une chantilly maison.
La confection des glaces, elle, est purement française et artisanale. C’est non loin de Narbonne, dans une glacerie artisanale sise à Lézignan-Corbières, dans l’Aude, que Louise fabrique ses plaisirs glacés. Là, rien n’est laissé au hasard : des œufs au sucre, chaque matière
première est sourcée avec soin et de la façon la plus locale possible. Par exemple, le lait provient de la ferme Marg’Aude, un petit producteur situé à moins de 80 km des ateliers. Il est ensuite pasteurisé sur place, avant d’être transformé en crème glacée. Les sorbets, eux, sont réalisés avec des fruits essentiellement produits en France, dans la vallée du Rhône. Pour ce qui est des produits exotiques (vanille, fruit de la passion…), ils sont bien évidemment cultivés à l’étranger, mais sont sélectionnés avec grande attention.
Au-delà des glaces, Louise confectionne aussi des crêpes sur place, ainsi que ses propres macarons, fabriqués dans un atelier dans le Gers et élaborés selon la tradition artisanale française par des pâtissier·es. Vendus à l’unité ou bien en boîtes de 6 ou 12, avec une coque bien croquante, un cœur fondant à souhait et une dizaine de saveurs, vous allez être aux anges. Vous nous en direz des nouvelles ! ¤ M.S.
Louise Les Glaces
131, rue Saint-Martin – 4e
Tél. : 06 20 72 44 33 Ouvert tous les jours
Du dimanche au mercredi de 12h à 19h
Du jeudi à samedi de 12h à 22h louiseglaces.com @louiseglaces_beaubourg
Vous n’avez pas pu passer à côté de ce rire contagieux qui illumine les réseaux. L’humoriste résolument engagée
Swann Périssé, qui s’est formée au théâtre et à Sciences Po avant de grimper sur les scènes de stand-up, aime s’indigner, n’a presque pas de tabou, est pleine d’autodérision et réussit l’exploit d’être hilarante sur des sujets aussi importants que l’écologie, les sextoys et le consentement. Son spectacle Calme, qui reprend à la rentrée à Paris, parle de tout sauf de rester calme. Et on ne va pas vous mentir, les moments passés avec elle devant notre écran sont aussi cool qu’en face à face.
En liant écologie et humour, tu as l’impression d’avoir réussi à trouver ta singularité ? D’avoir créé ton métier de rêve ?
Oui, parce que j’ai réussi à parler de sujets qui me tiennent à cœur, et la comédie est super incarnée quand on parle de vrais trucs qu’on a envie de défendre. Je pourrais faire rigoler sur les plantes grimpantes ou les terrasses parisiennes, mais si ça ne vient pas du fond du cœur, si ce n’est pas un truc que j’ai envie de défendre, de marteler, d’expliquer, c’est une vanne qui va perdre de sa saveur au fil des représentations. Je suis contente de réussir à faire rire sur des sujets importants à mes yeux.
Comment as-tu basculé dans l’humour engagé ? Les deux vont de pair désormais ?
Je faisais plein de petites vidéos humoristiques sur Insta, j’ai été contactée par des assos et j’ai dû m’atteler sur certains sujets, trouver des vannes… Et puis il y a eu les élections présidentielles. Je passais beaucoup de temps à essayer de dire aux gens de voter pour Mélenchon et je me suis dit que ça ne servait
à rien de passer des heures au téléphone à essayer de convaincre trois amis quand je pourrais publier une vidéo qui donnerait peut-être envie à des centaines de milliers de personnes d’aller voter. Aujourd’hui humour et engagement vont de pair, oui. Mon métier de base, c’est la comédie, mais je suis toujours très engagée et révoltée, j’ai toujours envie de justice.
Comment tu gères ta colère Swann ?
En prenant soin de ma santé mentale, donc en acceptant que la colère n’est pas une maladie, qu’elle fait partie de moi, de ma personnalité et de la façon dont je dois gérer mes émotions. Alors je la traverse, deux ou trois fois par semaine, pendant un quart d’heure. Je laisse la colère m’animer et m’agiter. Les émotions viennent du latin movere, qui veut dire mettre en mouvement, elles sont là pour te dire quand il y a quelque chose qui ne va pas et t’expliquer qu’il faut que tu bouges quelque chose en toi ou autour de toi. Alors je l’écoute comme une bonne amie qui me dirait : « Il faudrait vraiment
que tu arrêtes cette relation pleine de red flags ». C’est chiant d’être en colère, d’avoir les larmes qui montent, la gorge qui se serre, mais c’est presque devenu un plaisir parce que je sais que si je m’y attelle, ça va passer.
« Faire rire les gens sur ces sujets graves, c’est transformer l’intime en politique, c’est en faire un sujet de société »
Qu’est-ce qui te met en colère comme ça ?
Darmanin, les hommes qui couchent avec des femmes sans préservatif et qui disent « j’espère qu’elle ne va pas me faire un enfant dans le dos », Gérard Depardieu, Seb Mellia, les gens qui te tapent la tête avec leurs skis sans faire exprès quand tu fais la queue pour les œufs…
Dans ton spectacle tu abordes les agressions que tu as subies. Comme une manière de t’en débarrasser ? Que ça ne t’appartienne plus ?
C’est pour que les autres puissent s’en emparer et ainsi transformer l’intime en politique. Quand tu es victime d’une agression sexuelle au sein d’une relation consentie par exemple, tu peux te dire « c’est de ma faute, j’ai pas donné les bons codes », mais après quand tu en parles et que tu te rends compte que c’est arrivé aux trois quarts de ton public, qui est hilare, tu réalises que c’est un problème de société de savoir écouter si l’autre personne est consentante pendant la relation. J’ai 33 ans et en discutant avec une copine, on se disait que c’est bien que les meufs aujourd’hui n’acceptent pas certaines situations dans la sexualité, mais il y avait une époque où on se disait juste « on a passé une mauvaise nuit quoi », c’était limite classique ! Je suis trop contente que maintenant les vingtenaires tapent du poing sur la table et disent « Bah non, c’est pas normal de retirer le préservatif pendant une relation, c’est un viol ».
Ça fait écho au #MeToo dans le stand-up, dans lequel tu t’es beaucoup engagée.
Ça fait longtemps que j’ai constaté que c’était un milieu sexiste et que je devrais y réussir par mes propres moyens. C’est un métier qui est dur pour tout le monde, mais j’ai très vite compris que ce n’était pas en traînant dans les comedy clubs près des producteurs mecs qui ne produisaient que des mecs que j’allais réussir à trouver mon public, ma comédie, à trouver des blagues un peu différentes de ce qui se faisait déjà sur la scène… C’est grâce aux réseaux sociaux que je me suis épanouie, que je suis sortie des milieux parisiens dans lesquels je ne me faisais pas d’amis, dans lesquels j’étais programmée 6 minutes sur scène et les mecs 20… À l’époque, il y a une dizaine d’années, ce n’était pas un milieu épanouissant pour une femme et si tu disais que tu t’étais fait agresser, on ne te croyait pas.
L’indignation, c’est le sel de la vie ?
Carrément. Il n’y a pas une semaine où je ne suis pas indignée. Je trouve ça bien parce que comme ça on ne s’habitue pas à voir des gens dormir dehors.
Pour que ça marche, il ne faut pas avoir de tabou ? L’humour sans tabou, c’est plus marrant ?
J’ai quelques tabous parce qu’il y a des sujets sur lesquels je suis trop estomaquée pour trouver des trucs à raconter. Mais ça m’arrive souvent de traîner avec des humoristes débutants dont les parents regardent le travail, et qui se censurent sur certains sujets de peur qu’ils tombent dessus. Il faut métaphoriquement tuer les parents pour réussir à faire de la comédie. Je ne te parle pas juste de sexe, mais il faut accepter de montrer ses noirceurs, des trucs gênants… Au début je pensais que c’était une malchance que mes parents ne me soutiennent pas trop, ils ont toujours été assez distants par rapport à ce que je fais, mais au moins je ne me pose
jamais la question de comment ma famille va me juger quand je parle d’un truc. Ça m’a fait une carapace, il y a un côté revanchard. Aujourd’hui je gagne ma vie, j’ai mes projets qui roulent, mes parents sont soulagés et moi je fais ce que je veux artistiquement. Je ne leur demande pas leur avis, ni à eux ni à mes amants… Quand j’ai des amoureux qui commencent à me faire la morale sur ce que je raconte, c’est fini, ça dégage dans la minute. J’ai toujours été comme ça, il paraît que j’étais déjà un bébé très indépendant.
Sur ta chaîne YouTube, on t’a vu sillonner la France en caravane, construire des toilettes sèches, rénover une maison… C’est quoi le plus dur dans le fait de vivre seule à bord de Tatiana ?
J’ai vécu un an seule dans cette toute petite caravane de 4 m2, donc le plus dur c’était de ne pas avoir d’eau chaude. Tu te baignes
dans les rivières en hiver, c’est un délire, tu fais bouillir de l’eau dans une casserole et tu fais une douche rapide. Maintenant je n’ai pas peur de vivre avec deux t-shirts pendant un mois si je fais une aventure sportive ou de ne pas me laver… Tu te rends compte qu’il n’y a pas besoin de grand-chose pour être bien dans ton corps.
Tu es du genre à t’ennuyer facilement ?
Je ne sais pas comment on peut s’ennuyer avec les téléphones, on a accès à des milliers de vidéos en permanence. Les gens ne peuvent pas attendre un quart d’heure alors qu’ils ont un iPhone ? Bon, j’avoue, c’est parce que je suis tout le temps en retard que je dis ça.
¤ Texte : Sarah Sirel
Calme
Reprise le 17 septembre 2024 au théâtre Édouard VII – 9e
Dans quelques semaines, les Jeux olympiques et paralympiques vont bouleverser la capitale. Pendant 27 jours, Paris va vivre au rythme des épreuves sportives, un tempo qui ne sera pas sans impact sur le quotidien des Parisien·nes, nombreux·ses à devoir rester, notamment pour des raisons professionnelles.
Certain·es les attendent avec l’excitation d’un enfant qui souhaite ouvrir ses cadeaux de Noël. D’autres les craignent comme le pire fléau qui pourrait s’abattre sur la capitale. Du 26 juillet au 11 août, les Jeux olympiques 2024 vont s’emparer de Paris et, a fortiori, de l’Hexagone dans sa globalité, rapidement suivis des Jeux paralympiques, du 28 août au 8 septembre. Un événement grandiose puisqu’il marquera les 100 ans des derniers Jeux ayant eu lieu à Paris et qu’il promet de faire rayonner la France à l’échelle internationale. En moyenne, 15,1 millions de visiteurs sont attendus, Jeux olympiques et paralympiques confondus, selon les premières estimations de l’Office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP). Parmi eux, 13,9 millions
seraient des visiteurs nationaux. Des chiffres importants lorsque l’on sait que la capitale accueille habituellement entre 8 et 10 millions de visiteurs chaque été, d’après les données de l’Insee.
Un événement attractif, certes, mais qui ne sera pas sans conséquence sur le quotidien des Parisien·nes et, à plus large échelle, des Francilien·nes. Travaux dans l’ensemble de la ville, transports modifiés ou perturbés, lieux culturels mis en pause pour laisser la place aux compétitions sportives, festivals annulés (Lollapalooza, ndlr)... les habitudes s’en voient bouleversées et l’été 2024 risque de ne pas avoir la même saveur que ses prédécesseurs. D’ailleurs, selon une étude menée par la plateforme de location de vacances Abritel*, 75% des Parisien·nes attendent
« En moyenne, 15,1 millions de visiteurs sont attendus, Jeux olympiques et paralympiques confondus »
des bouleversements dans les transports, 73% prévoient une augmentation globale des tarifs et 66% craignent une foule trop importante dans les rues. Rester ou partir, pour les Parisien·nes, le dilemme est grand.
Des obligations professionnelles contraignantes
« Moi, c’est sûr, je vais m’en aller pendant les JO », ou encore « de toute façon, tous les Parisiens vont partir ». Depuis près d’un an,
on entend ce type de phrases sur beaucoup de lèvres, mais sont-elles vraiment exactes ? D’un côté, certain·es prévoient de rester pour profiter de l’effervescence générée. « On n’a pas toujours la chance que les JO soient organisés dans la ville où l’on habite. Même si je sens que ça va être difficile, j’aimerais bien en faire partie », confie Ralph, chargé d’exploitation IRVE de 27 ans. D’autres, en revanche, y sont contraints. « Je pense que je vais devoir rester pour le travail, affirme Emma, photographe de 24 ans, mais si je pouvais partir, je le ferais tout de suite. » Comme elle, bon nombre de Parisien·nes se voient astreint·es à rester tout l’été en raison de leur emploi, quelles que soient les professions. Agathe, 29 ans, assistante marketing dans le domaine de la culture, se retrouve dans
la même situation. Une obligation qu’elle a choisi de tourner à son avantage : « J’ai décidé de ne pas trop subir donc j’ai pris des places pour aller voir quelques épreuves ».
Bien que le gouvernement ait incité
« ceux qui le peuvent (salariés comme employeurs) à mettre en place le télétravail pendant les Jeux », ce fonctionnement reste « optionnel et libre à chacun ». D’après l’étude Abritel, 60% des Parisien·ne·s pensent recourir au télétravail. Toutefois, le mystère continue de planer moins de deux mois avant le lancement de l’événement : « J’attends une communication de l’entreprise à ce sujet parce que d’ordinaire, on n’a le droit qu’à un jour de télétravail par semaine », précise Ralph.
« On n’a pas toujours la chance que les JO soient organisés dans la ville où l’on habite »
Tous les salariés devant rester en poste durant les Jeux olympiques ne prévoient cependant pas de rester à Paris. Pour justement s’éloigner le plus longtemps possible de la Ville Lumière et de sa frénésie estivale, 23% des Parisien·nes interrogé·es affirment qu’iels aimeraient combiner télétravail et vacances. À l’inverse, 34% ne comptent pas changer leurs habitudes et pensent partir en vacances au même moment que les années précédentes.
Les tendances voyages se précisent, la campagne attire
Si les traditionnelles destinations de bord de mer telles que la Corse, les villes bretonnes, celles longeant l’Atlantique, le Golfe du Lion ou encore la Méditerranée connaissent toujours un franc succès, de nouvelles tendances voyages s’observent avec l’organisation des JO/JP. Comme le dévoile une étude sur les tendances voyages des Français·es pour 2024 menée par Airbnb**, la France a le vent en poupe. Les recherches oscillent entre deux tendances majoritaires : des logements à proximité des sites de jeux – Décines-Charpieu, Issy-les-Moulineaux, Versailles, Suresnes, Boulogne-Billancourt – et, au contraire, des logements qui s’en éloignent davantage – Laveissière, Corrèze, Sainte-Mère-Église, Clermont-l’Hérault, Orcines. La plateforme a notamment pu observer une nette augmentation des requêtes pour les catégories “Campagne” (+ 80%) et “Parcs nationaux” (+ 60%), traduisant le désir des Français·es de séjourner dans des lieux plus calmes et verts, loin du bouillonnement des zones touristiques.
Les escapades à l’étranger ne sont pas en reste. Selon une étude menée par Abritel et Expedia, publiée en mai 2024, les pays Méditerranéens tels que l’Espagne, l’Italie, la Grèce, le Portugal ou la Croatie font partie des destinations les plus recherchées.
Toutefois, il semblerait qu’une fois encore, ce soient les zones plus apaisées et reculées qui attirent les voyageurs : Galice, Pays basque, Piémont, lac de Côme, ou encore la vallée d’Aoste. Grande nouveauté de cette année, l’Albanie, pays attractif pour sa culture unique et ses prix faibles, semble avoir sa cote au plus haut puisque les recherches pour le pays des Aigles ont augmenté de 25%. En France ou à l’étranger, en vacances ou au travail, il ne reste plus que quelques semaines pour se décider !
*Étude Abritel réalisée auprès de 1 000
Parisien·nes en mars 2024, publiée en avril 2024
**Tendances estivales : où les Français voyagent cet été, Airbnb, avril 2024
¤ Texte : Lucie Guerra
Pour aller plus loin :
· JO 2024 : du gain et des jeux, un podcast France Culture
· Les pourquoi des Jeux Olympiques, de Philippe Vandel aux Éditions Kero
· Jeux olympiques : un enjeu géopolitique, une vidéo Le Dessous des Cartes
Les beaux jours arrivent, c’est l’heure d’enfiler quelque chose de frais, de coloré ! Une jupe fleurie le matin, un ensemble cachemire l’aprèsmidi, un déshabillé à feuilles le soir… Cet été, c’est vous qui allez rayonner.
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Bélier
21 mars – 19 avril
Je suis désolé, j’ai des pincettes dans les mains là, et évidemment ça ne parlera pas à tout le monde, mais je vois pas mal de ruptures pour vous les Bélier. Alors pour vous rassurer, vous avez tout de même le soleil, donc c’est certainement vous qui partez, et je vois aussi l’âme sœur, donc ceux qui partent, vous partez pour le bon, la bonne, ou le truand.
21 mai – 21 juin
Vous avez tellement planté de graines et travaillé en ce début d’année, qu’il est temps, en ce mois d’anniversaire, de sortir la moissonneuse ! Allez hop ça sort en boite, faites les fous, en plus vous aurez plein de thune, oui ça paraît difficile à croire, même en début de mois ! Je rigole, je rigole, mais tout ça va amener, célibataires, à une relation sérieuse, et je pèse mes mots.
23 juillet – 22 août
Bon, Lion, c’est pas le début d’été dont vous avez rêvé. Après je ne veux pas vous blâmer hein, mais je vois des mauvaises paroles pour certains, et les forces karmiques sont en marche. Jusqu’au 25-28, ça va être disette les Lion. Profitez-en pour vous cultiver et vous rapprocher de vos amis, c’est ainsi qu’on regagne ses points karma.
Taureau
20 avril – 20 mai
Je vois la discipline, l’accomplissement, la carrière. Mais comme j’ai dit que c’était sentimental, peut-être que vous allez vous taper un collègue ou un ancien collègue. Car j’ai une notion de nouveau, mais aussi d’ancien. Vous allez changer de domicile, de style, de parfum, mais ça ne va pas passer inaperçu.
Cancer
22 juin – 22 juillet
C’est le moment de vivre le true love. Que ce soit dans votre couple ou un nouveau départ. En tout cas je vois quelqu’un que vous connaissez déjà, que vous voyez régulièrement et avec qui vous aurez une révélation. J’ai eu la tour, donc on parle d’un coup de foudre et du timing divin ! Alors ne tergiversez pas lorsque vous aurez compris de qui il s’agit !
Vierge 23 août – 22 septembre
Enfin un peu de sexe. Pour ceux à qui ça parle, vous l’avez bien mérité. Ne vous enflammez pas non plus, il y a quelque chose qui bloque, votre destin n’est pas celui d’un acteur porno cette année, et vous l’avez compris. Heureusement il y a l’amour, tout autour, et vous savez que c’est le plus important donc je ne vous le répète pas. Si ?
Coucou c’est Miss Raph ! Horoscope sentimental pour ce mois d’arrivée de l’été. ¤ R.B.
Balance
23 septembre – 23 octobre
C’est vous qui allez le moins sexer en ce début d’été. Vous boudez dans votre coin. Il faut que vous ayez un déclic. Je vois des mères toxiques, ou des amis malveillants. Il faut absolument vous réveiller, l’été est court, dans quelques semaines reviennent les feuilles mortes et les pluies glaciales parisiennes. Je vois un rayon de soleil le 28 juin, on espère que vous allez le saisir !
Sagittaire
23 novembre – 22 décembre
Vous avez les énergies perturbées. Ça se voit un peu dans vos performances sexuelles. Certains sont perturbés par le taf, d’autres par une mystérieuse ex… La personne a toujours une rancœur qui vous paralyse via la force des énergies. Le 6 juin, vous aurez une explication. Votre partenaire aimerait que la situation se règle… rapidement…
Verseau
21 janvier – 19 février
On approche des tirages de fin, et on ne se pose pas la question de pourquoi avec vous les Verseau. Je vois beaucoup d’entrevous qui allez tromper votre partenaire. Et pour ceux qui sont en couple libre, il s’agirait d’un véritable game changer. Une histoire que vous ne pouvez pas fuir et qui va vous faire recroire à l’amour.
Scorpion 24 octobre – 22 novembre
Vous avez la plus grande énergie sexuelle du roaster les amis à la queue toujours levée. Toutes les cartes tombées ne sont que positives, le soleil, la tour, je vois de l’engagement, des rencontres pour les célibataires, des liens amoureux et amicaux, de l’argent. Peut-être juste le 12 juin, certains vont se péter un os capital du corps, jambe, bras, faites attention !
Capricorne
23 décembre – 20 janvier
Des relations du passé vous empêchent de vivre des histoires présentes. Il faut dire qu’elles ne sont pas très folichonnes. Donc il faut vous secouer, soit installer le passé dans un nouveau présent, ou alors rencontrer de meilleures personnes pour ne pas donner de crédit à votre amour passé. Sexuellement ça ne sera jamais top de toute façon, vous n’aimez pas ça.
Poissons 20 février – 20 mars
Dynamique d’évolution pour vous les petits Poissons qui s’en fish ! Alors ça peut vouloir dire évolution d’un couple vers une famille, ou alors un nouveau couple ou une séparation. En tout cas, on va vers la safe place les amis ! La chouette est ressortie pour vous, ça veut dire qu’une personne sage va vous donner des conseils, n’hésitez pas à parler de cul à vos amis !
Si tout est gris, déplace l’éléphant. pour toi papa
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Félicitations à Manon pour tes écrits, le CAPES, c’est dans la poche !
Hola mi pequeña cucaracha, buena suerte con tu búsqueda de apartamento, firmado por la reina de los caracoles
Vive TOPO, qui aide les artistes à vivre de leur art ! topo-art.org
Bravo Loubi pour ton stage à London, bisous t’es ma 4ever
Joyeux anniversaire mon neveu d’amour, 3 ans déjà !
Bravo Juliette, trop fière de ta réussite et hâte de t’avoir près de moi à Paris
Xavier, tu es le ciment de mon mur. -Louise
Joyeux anniversaire à celle qui remplit mes pauses déjeuner de joie et de cappuccinos
Anaïs, offre-moi une chance de te rendre heureuse. - Théo
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