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Photographe : Yona Romet
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Benjamin Haddad benjamin.h@lebonbon.fr
Tél. : 06 20 23 54 49
Tél. : 01 48 78 15 64
15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040
Ce 21 juin inaugure le retour de l’été, et qui dit été, dit terrasse, chaleur, rosé frais, plage ou encore vacances. Mais encore ? S’il y a bien une chose dont notre beau pays peut s’enorgueillir et que le monde entier nous envie, ce sont ses “concours à la noix”. Appelons-les “concours estivaux insolites”, ce sera plus politiquement correct, et écoutez donc cet inventaire que même Jacques Prévert aurait eu bien du mal à imaginer.
Ainsi, en juillet : championnat de brouette humaine à Dunkerque, concours d’arrachage d’échalotes à Plouvenec, de lancer de bourriches d’huîtres à Carantec. Mais aussi, à Vaugneray, dans le Rhône, le championnat national de lancer de bouses de vache pourrait retenir votre attention. Pour info, les bouses sont sèches, et elles volent comme de véritables frisbees.
Ce n’est pas fini. Mois d’août : championnat de France du cri de cochon à Trie-sur-Baïse dans les Hautes-Pyrénées. Non, rassurez-vous, vous n’assisterez pas à un concert de Céline Dion.
Concours de moules farcies au Cap d’Agde (ça ne s’invente pas) ; du plus gros mangeur de Livarot (un village normand). Et pour finir, le championnat international de lancer de tong se tiendra à Lacanau, en Gironde. La tong homologuée doit peser 225 grammes maximum et le record à battre est de 39,56 mètres. Avis aux sportifs !
Humour, créativité, pastis et autodérision : feu !
Jean-Pierre Pernaut avait raison, nos régions ont vraiment du talent.
Beau mois de juin à vous toutes et tous les Bonbons !
¤ Mikadole bon timing
le bon hôtel
la bonne asso
le bon quartier
le bon building
la bonne détente
le bon bistro
la bonne étoile
la bonne enquête
le bon shopping
L’architecte Théo Jacob sublime l’hôtel Quinzerie
La mode circulaire et solidaire
Nos adresses coup de cœur à Denfert-Rochereau
Not Just Cocktails
Les coups de cœur culturels de juin
vos plumes
Écolo et hilarante
Où seront les Parisiens pendant les Jeux olympiques ?
She’s so fresh !
L’arbre dans la ville
Parcours
On redécouvre la capitale comme jamais à l’Hôtel de Ville
Rendez-vous à l’Hôtel de Ville pour découvrir Paris comme vous ne l’avez jamais vue. Grâce à des chiffres qui donnent le tournis, des mises en scène surprenantes et des magnifiques photos de la capitale, la ville est à l’honneur dans cette exposition intimiste, mais riche, qui retrace toute l’évolution (assez fascinante) de la Ville Lumière.
Paris ! à l’Hôtel de Ville 5, rue de Lobau – 4e Jusqu’au 16 novembre 2024
On découvre une biographie poétique de Joseph Kessel au Théâtre Rive Gauche
Direction le Théâtre Rive Gauche pour un seul en scène saisissant. Pendant 1h10, Franck Desmedt incarne le fougueux écrivain et nous invite à découvrir sa vie et ses récits de voyage. Une mise en scène habile, tout en poésie, portée par l’interprétation magistrale du comédien, qui retrace avec puissance une existence hors du commun.
Kessel, la liberté à tout prix Théâtre Rive Gauche 6, rue de la Gaîté – 14e Jusqu’au 29 septembre 2024
On s’immerge dans un cabaret des années 50 au Musée Maillol
Au sein de son café, l’institution culturelle, avec l’aide de la troupe des Sculpteurs de Rêve, nous propose de redécouvrir l’effervescence de Saint-Germain-des-Prés dans les années 50. Une expérience immersive inédite, à vivre aux côtés de Boris Vian ou de Barbara, impeccablement incarnés par certains des 8 comédiens. Un régal !
Cabaret rive gauche au Musée Maillol 59-61, rue de Grenelle – 7e Jusqu’au 29 juin 2024
Voilà un an et demi que l’hôtel Quinzerie accueille clientèle étrangère et habitants du quartier entre ses murs flambant neufs. Avec la volonté perpétuelle de se renouveler, un rooftop et deux bains privatifs viennent d’être ajoutés au catalogue déjà bien rempli de ses prestations, assurant à cet hôtel quatre étoiles un rayonnement tout particulier dans le 15e.
65 chambres et suites contemporaines (dont la moitié avec vue sur la tour Eiffel), un large espace de vie au rez-de-chaussée pour petit-déjeuner ou travailler au cœur d’un jardin verdoyant, un sauna où se relaxer après une séance dans la salle de fitness… Sortie de terre en octobre 2022 à proximité du village Saint-Charles et de sa vie commerçante, la Quinzerie attirait déjà les curieux du quartier en quête d’évasion. C’était sans compter la patte maligne de Théo Jacob, 29 ans, architecte d’intérieur depuis 6 ans.
« J’ai toujours préféré proposer une expérience au visiteur. Ce qu’on a voulu pour ces deux nouveaux espaces de vie, c’est créer un effet de surprise », détaille Théo Jacob, à la tête des différents chantiers. Et quelle surprise ! Le maître d’œuvre s’est attelé à créer de toute pièce un rooftop, plutôt appelé le Grand Balcon, au 8e étage. Y grimper, c’est s’assurer un dépaysement total « qui casse avec l’esprit chic et luxueux de l’hôtel », précise-t-il.
Le sas bascule dans une rue provençale où se mêlent volets bleus et couleurs chaudes, sous une douce brise méditerranéenne. Pour prolonger ce voyage dans le Sud, une équipe de mixologues avertis vous fera découvrir ses cocktails signatures entièrement faits maison, des jus jusqu’aux sirops. En toile de fond, seule la vue imprenable sur la tour
Eiffel remet les pieds sur terre : vous n’avez pas quitté la Ville Lumière.
Autre grande nouveauté : deux bains privatifs dont la décoration marquée « permet au client de se détendre dans un esprit ludique », décrit Théo Jacob. Chaque espace de 20 m2 est doté d’une sacrée personnalité. Le premier, au thème rétro, assure une plongée dans les 70’s grâce à son jeu de matériaux et de lumière ; le second, plus doux, se compose de teintes pastel et de formes étonnantes. Pour 130€ l’heure, vous pouvez faire un pas de côté par rapport à la vie parisienne, en couple ou entre amis, et vous laisser bercer par les bulles. Musique, lumières, néons, olfactif, TV : tout est personnalisable. Surpris ? C’est l’effet Quinzerie. ¤ F.G.
Quinzerie Hôtel
40, rue de la Convention – 15e
Tél. : 01 89 89 40 40 Rooftop Le Grand Balcon : 7j/7, de 16h à 23h
Les Bains privatifs : 7j/7, de 11h à 22h quinzeriehotel.fr bonjour@quinzeriehotel.fr
Agence Théo Jacob
Tél. : 06 99 70 40 16 jacobstudioparis.com
À Paris comme ailleurs, l’upcycling a la cote. Mais quand il est couplé à une démarche à la fois solidaire et écoresponsable, il prend une tout autre dimension. Lancée en 2021 par Hawa Sangaré, H.A.W.A au féminin accompagne les femmes en situation de vulnérabilité pour les aider à reprendre confiance en elles et à s’insérer sur le marché du travail. Le parcours d’insertion propose des services de patronage, de confection ou encore de broderie aux Maisons de luxe et différents acteurs de la mode, et a lancé fin 2023 sa toute première collection.
C’est au 2e étage de l’Hôtel Berlier, dans le 13e, que l’association a posé ses valises en janvier 2023. Ici, 26 employé·es en insertion s’affairent derrière leur machine à coudre ou bien à leur atelier de broderie pour confectionner ce qui sera certainement la future collection d’HAWA Paris. Migrant·es, réfugié·es de guerre, victimes de violences conjugales, en difficulté financière… Quelles que soient leurs histoires ou leurs origines, les femmes (et quelques hommes) qui travaillent ici ont en commun leur besoin de s’émanciper et de retrouver confiance en elles.
Après avoir travaillé plus de 20 ans dans l’accompagnement social et professionnel des personnes éloignées de l’emploi mais aussi en tant que conseillère en image, Hawa Sangaré a décidé de créer un support d’activité pour permettre aux femmes en situation de précarité d’avoir accès à plus d’autonomie. Amoureuse de la mode depuis toute petite, et surtout consciente du pouvoir du vêtement en tant qu’outil de communication, elle décide de se lancer dans le monde du textile. À l’origine, le projet vise simplement à revendre sur son site marchand des invendus issus de marques de luxe ou de maisons haut de gamme, mais face au manque de clients, le chantier évolue rapidement vers un atelier de confection. D’abord des masques anti-covid, puis
une ligne de maillots de bain de seconde main pour la marque Ysé… Grâce à la réactivité et au professionnalisme des équipes, H.A.W.A se fait vite une réputation dans le milieu, si bien que l’entreprise travaille aujourd’hui avec de grandes Maisons comme Bleu Tango ou Maison 123.
En 2023, l’association commence à récupérer des fins de stock de tissu dans le but de créer sa propre ligne de vêtements. De simples confectionneuses, les femmes de l’atelier deviennent de véritables créatrices :
« tout le monde apporte son grain à la collection, toutes les propositions sont les bienvenues, c’est une véritable aventure collective », explique la fondatrice. Une aventure qui les mènera jusqu’à un défilé à l’Hôtel de Ville, en présence de Madame la Maire, début février 2024.
Après avoir fait leurs armes et regagné en indépendance au sein de la structure, une grande majorité des salarié·es s’envolent vers d’autres horizons.
« Quand je les vois partir, créer leur propre structure, accomplir leurs désirs, je me dis que j’ai réussi ma mission », confie Hawa. ¤ A.C.
H.A.W.A au féminin @hawa.au_feminin L’article complet sur lebonbon.fr
Darkoum Cantine marocaine
On se dirige vers la vivante rue Daguerre pour déguster un copieux repas. C’est chez Darkoum, la cantine marocaine du quartier, qu’on est royalement accueillis pour découvrir les spécialités du pays, comme leur couscous, élu meilleur de Paris l’année dernière. De notre côté, on a longuement hésité avec le tajine agneaux pruneaux, avant de finalement opter pour celui au kefta, absolument somptueux, qui donne envie d’y retourner chaque midi.
17, rue Daguerre – 14e
Institut Giacometti
Pour continuer cette petite balade, direction l’Institut Giacometti, qui nous plonge dans l’univers fascinant du sculpteur. Des silhouettes effilées, mystérieuses, présentées jusqu’à la fin du mois en dialogue avec les photographies envoûtantes du japonais Hiroshi Sugimoto. À travers des modes artistiques différents, les deux artistes jouent avec nos perceptions pour nous placer à la frontière entre apparence et réalité. Un moment hors du temps, pour faire une pause avant de regagner l’agitation parisienne.
5, rue Victor-Schœlcher – 14e
Ce mois-ci, on fait un tour dans le 14e pour découvrir un chouette quartier où flâner. En avant, direction Denfert-Rochereau. On débute la balade face au Lion de Belfort, érigé par le créateur de la statue de la Liberté, qui trône au centre de la place, avant de faire le tour de nos adresses toujours plus surprenantes !
C’est au comptoir de Juni que l’on rencontre l’adorable Greg et son histoire un peu particulière. Dans le Haut-Karabagh, il a monté sa boulangerie française. Suite à la guerre avec l’Azerbaïdjan, il a dû partir et a décidé de partager ce qu’il avait appris en Arménie avec la France. Pour le goûter, on se fait plaisir avec des gâteaux de la région comme le gata, une galette des rois locale, et surtout les baklavas aux noix et miel, à la texture complètement dingue. Et si on connaissait déjà la version libanaise, celle-ci joue à un autre niveau.
79, rue Daguerre – 14e
Notre-Dame du Travail
Pour finir, c’est après avoir traversé la bucolique rue des Thermopyles que l’on arrive vers une église assez insolite. On pousse la porte de Notre-Dame du Travail pour débarquer dans un lieu surprenant, imposant avec sa structure métallique au style industriel. On a construit cet endroit au début des années 1 900 en hommage aux nombreux travailleurs du quartier, chargés de monter les différents bâtiments et structures de l’Exposition universelle.
59, rue Vercingétorix – 14e
Bien plus qu’un énième bar à cocktail, la Maison Cravan, nouvellement installée au sein du mythique boulevard Saint-Germain est tout simplement un immeuble entier dédié à la science subtile de la mixologie, et plus généralement à l’art dans son ensemble. Un lieu singulier, ô combien surprenant, où l’on pourrait se perdre avec plaisir pendant des heures, aussi bien dans les splendides décors que dans les verres et assiettes à tomber.
Il est très difficile de décrire toute la complexité et la richesse de chez Cravan en seulement quelques lignes. Et pour cause, la Maison s’étend tout de même sur plus de 4 étages, chacun construit avec une identité propre, et un concept toujours bluffant. Mais pour vous, chers lecteurs, on va faire notre maximum pour retranscrire autant que possible le caractère presque magique de ce lieu un peu fou.
À peine la porte de cet immeuble d’époque franchie, c’est un voyage dans le temps qui commence. Comme à l’époque, le rezde-chaussée, étage du commerce, se pare de vieilles boîtes d’apothicaire ornées de noms de plantes en latin, dont certaines que l’on retrouvera dans les cocktails. Et comme à l’époque, plus on monte dans les étages, plus on entre dans l’intimité de la Maison. Au premier, un petit salon domestique, avec ses somptueuses peintures, ses alcôves et son incroyable bar futuriste. Au deuxième, la bibliothèque, où l’on se pose pour feuilleter un ouvrage sélectionné soigneusement par la librairie Rizzoli, tout en sirotant sa boisson. Au troisième, nous sommes dans le salon privé. Ici, c’est ambiance intimiste, bougies et banquettes en velours, pour déguster les cocktails en bouteilles de la maison, disponibles uniquement à cet étage. Enfin, tout en haut, un salon privatisable et son kiosque sur le toit de l’immeuble, plus petit cinéma
en plein air de Paris ! Entre chaque “zone”, on prend plaisir à se perdre dans les escaliers et couloirs pensés comme des arrière-décors de théâtre.
Et face à un lieu aussi spectaculaire que celui-ci, que dire des cocktails et assiettes ? Tout simplement qu’ils sont à la hauteur. Largement. Chaque boisson est pensée pour aller à l’essentiel, concentrant les saveurs et les aromates (maison) en un équilibre parfait, qui fera aimer la mixologie à n’importe qui. La très large carte permet à tout un chacun de trouver son bonheur, et nous, de notre côté, on a craqué pour le Mad Collins (gin, gingembre, eau pétillante), le 48°51 (rhum ananas, velvet falernum, citron vert), ou le magnifiquement cuivré Champagne cocktail (réduction de champagne, cognac, bitter). On accompagne le tout des délicieux champignons en tempura, sauce à l’ail noir, de la pissaladière revisitée ou des asperges à l’emulsion de ciboulette. Comme quoi, parfois, aller à l’essentiel, c’est ce qu’il y a de mieux. ¤ C.V.
Cravan
165, bd. Saint-Germain – 6e
Tél. : 01 46 51 85 42
Du mardi au vendredi 17h-01h
Le samedi 12h-01h cravanparis.com @cravanparis
Icônes drag de Jean Ranobrac et Daphné Bürki
Premier livre du photographe Jean Ranobrac, Icônes drag nous embarque dans l’univers du drag moderne avec des tableaux hyper graphiques et colorés. Véritable célébration d’un monde emprunt de sensualité et de fantaisie, l’artiste y capture des visages connus dans le monde du drag français tels que Paloma, Kam Hugh, Nicky Doll ou encore Lova Ladiva. Très gros coup de cœur pour ce livre.
Éditions Hoëbeke
En librairies depuis le 23 mai 2024
Love Lies Bleeding de Rose Glass
Après le road movie lesbien signé Ethan Coen
Drive-Away Dolls, place à un thriller lesbien avec une bonne dose de sang, de guns, de stéroïdes et de scènes torrides. Réalisé par la Britannique
Rose Glass, Love Lies Bleeding raconte la folle histoire d’amour entre Lou (Kristen Stewart), gérante d’une salle de sport, et Jackie (Katy O’Brian), culturiste ambitieuse et pleine de rêves. Une relation qui fait des étincelles, qui explose de passion et qui tombe dans un tourbillon de violence qui les mettra à rude épreuve.
Au cinéma le 12 juin 2024
Qui dit mois de juin, dit mois des fiertés. Alors pour célébrer en beauté la diversité et l’amour, on vous a préparé un petit top de nos recos culturelles spécial LGBTQIA+ pour améliorer votre culture queer.
Afroqueer de Fabrice Nguena
Du Québec à l’Afrique subsaharienne en passant par les Antilles et l’Europe, Fabrice Nguena est allé à la rencontre de 25 personnes afroqueer engagées dans leur milieu, afin de déconstruire les préjugés dont elles font encore l’objet. Un livre touchant qui permet de rendre audible la voix de personnes noires et LGBTQI+ qui subissent encore de nombreuses discriminations et des agressions partout dans le monde.
Éditions Écosociété
En librairies depuis le 17 mai 2024
Pride in the City, une histoire de luttes LGBTQI+ de Gonzague Pluvinage
Historien spécialisé en histoire contemporaine, Gonzague Pluvinage a consacré son troisième livre aux combats pour les droits des personnes LGBTQI+. Il retrace 45 ans d’une histoire de la lutte, avec ses hauts et ses bas, ses victoires et ses défaites, et décrit notamment l’évolution des Prides, manifestations annuelles visant à promouvoir la visibilité des personnes queer à travers le monde.
Maison CFC-éditions
En librairies depuis le 7 mai 2024
Rendez-vous boulevard Saint-Michel, à deux pas de la place Maubert, pour découvrir le Bistro des Lettres. Une petite adresse étonnante, au charme fou, qui vous régale grâce à des plats traditionnels français exécutés à la perfection, dans un cadre hyper soigné. Et, cerise sur le gâteau, le restaurant vous propose en fin de repas une expérience unique, celle d’envoyer une lettre à votre vous futur. On vous explique.
Depuis la rue, impossible de deviner ce qui se cache derrière cette petite devanture bleue. Pourtant, une fois à l’intérieur, on est immédiatement séduit par les murs de pierre, les tables en bois massif et fer forgé, et les ronds de serviette dépareillés, comme à la maison. Une ambiance aussi épurée que chaleureuse, qui nous plonge dans l’univers inimitable des bistros parisiens. On notera aussi la cave en sous-sol, qui vous accueille au frais, au milieu de toutes les belles bouteilles de la maison. Débute alors un repas qui nous réserve bien des surprises, toutes plus agréables les unes que les autres.
Pour commencer en beauté, on s’attable devant une assiette de magret de canard séché au piment d’Espelette, de superbes poireaux vinaigrette revisités grâce à une crème citronnée et des billes de vinaigre, ou un délicieux cromesquis de saumon à l’apparence ô combien gourmande. Des plats travaillés, délicats, présentés dans de magnifiques assiettes qu’on dirait chinées à la brocante du coin. Des plats réconfortants et de jolies présentations, qui nous donnent l’impression d’être de retour dans la salle à manger de nos grands-parents, une touche de modernité en plus. On enchaîne avec un incroyable coquelet rôti, plat signature de la maison, ou des lasagnes végétariennes qui fondent en bouche, dont on se souvient
encore de la sauce tomate exceptionnelle. Pour finir le repas en beauté, impossible de passer à côté de la brioche perdue, aussi moelleuse qu’un nuage, et son caramel au beurre salé maison, que même les Bretons seront obligés de valider.
Et si vous pensiez que les festivités s’arrêtaient là, que nenni ! En fin de repas, on vous apportera papier à lettre, enveloppe et plume, afin de vous prêter à un jeu étonnant. Écrire une lettre qui vous sera postée… un an plus tard ! Que ce soit pour y glisser une bonne blague, décrire cette soirée étonnante, ou faire un petit point sur la vie, on se laisse porter par l’inspiration. Et pourquoi pas le faire en dégustant le délicieux rhum arrangé maison à la vanille, servi (selon nos estimations) dans un Mathusalem, soit une bouteille de 6L !
En bref, le Bistro des Lettres, c’est une réussite de A à Z !
¤ C.V.
Bistro des Lettres
52, bd. Saint-Germain – 5e
Tél. : 01 73 71 72 39
Tous les jours de 12h à 22h30 bistrodeslettres.com
Vous n’avez pas pu passer à côté de ce rire contagieux qui illumine les réseaux. L’humoriste résolument engagée
Swann Périssé, qui s’est formée au théâtre et à Sciences Po avant de grimper sur les scènes de stand-up, aime s’indigner, n’a presque pas de tabou, est pleine d’autodérision et réussit l’exploit d’être hilarante sur des sujets aussi importants que l’écologie, les sextoys et le consentement. Son spectacle Calme, qui reprend à la rentrée à Paris, parle de tout sauf de rester calme. Et on ne va pas vous mentir, les moments passés avec elle devant notre écran sont aussi cool qu’en face à face.
En liant écologie et humour, tu as l’impression d’avoir réussi à trouver ta singularité ? D’avoir créé ton métier de rêve ?
Oui, parce que j’ai réussi à parler de sujets qui me tiennent à cœur, et la comédie est super incarnée quand on parle de vrais trucs qu’on a envie de défendre. Je pourrais faire rigoler sur les plantes grimpantes ou les terrasses parisiennes, mais si ça ne vient pas du fond du cœur, si ce n’est pas un truc que j’ai envie de défendre, de marteler, d’expliquer, c’est une vanne qui va perdre de sa saveur au fil des représentations. Je suis contente de réussir à faire rire sur des sujets importants à mes yeux.
Comment as-tu basculé dans l’humour engagé ? Les deux vont de pair désormais ?
Je faisais plein de petites vidéos humoristiques sur Insta, j’ai été contactée par des assos et j’ai dû m’atteler sur certains sujets, trouver des vannes… Et puis il y a eu les élections présidentielles. Je passais beaucoup de temps à essayer de dire aux gens de voter pour Mélenchon et je me suis dit que ça ne servait
à rien de passer des heures au téléphone à essayer de convaincre trois amis quand je pourrais publier une vidéo qui donnerait peut-être envie à des centaines de milliers de personnes d’aller voter. Aujourd’hui humour et engagement vont de pair, oui. Mon métier de base, c’est la comédie, mais je suis toujours très engagée et révoltée, j’ai toujours envie de justice.
Comment tu gères ta colère Swann ?
En prenant soin de ma santé mentale, donc en acceptant que la colère n’est pas une maladie, qu’elle fait partie de moi, de ma personnalité et de la façon dont je dois gérer mes émotions. Alors je la traverse, deux ou trois fois par semaine, pendant un quart d’heure. Je laisse la colère m’animer et m’agiter. Les émotions viennent du latin movere, qui veut dire mettre en mouvement, elles sont là pour te dire quand il y a quelque chose qui ne va pas et t’expliquer qu’il faut que tu bouges quelque chose en toi ou autour de toi. Alors je l’écoute comme une bonne amie qui me dirait : « Il faudrait vraiment
que tu arrêtes cette relation pleine de red flags ». C’est chiant d’être en colère, d’avoir les larmes qui montent, la gorge qui se serre, mais c’est presque devenu un plaisir parce que je sais que si je m’y attelle, ça va passer.
« Faire rire les gens sur ces sujets graves, c’est transformer l’intime en politique, c’est en faire un sujet de société »
Qu’est-ce qui te met en colère comme ça ?
Darmanin, les hommes qui couchent avec des femmes sans préservatif et qui disent « j’espère qu’elle ne va pas me faire un enfant dans le dos », Gérard Depardieu, Seb Mellia, les gens qui te tapent la tête avec leurs skis sans faire exprès quand tu fais la queue pour les œufs…
Dans ton spectacle tu abordes les agressions que tu as subies. Comme une manière de t’en débarrasser ? Que ça ne t’appartienne plus ?
C’est pour que les autres puissent s’en emparer et ainsi transformer l’intime en politique. Quand tu es victime d’une agression sexuelle au sein d’une relation consentie par exemple, tu peux te dire « c’est de ma faute, j’ai pas donné les bons codes », mais après quand tu en parles et que tu te rends compte que c’est arrivé aux trois quarts de ton public, qui est hilare, tu réalises que c’est un problème de société de savoir écouter si l’autre personne est consentante pendant la relation. J’ai 33 ans et en discutant avec une copine, on se disait que c’est bien que les meufs aujourd’hui n’acceptent pas certaines situations dans la sexualité, mais il y avait une époque où on se disait juste « on a passé une mauvaise nuit quoi », c’était limite classique ! Je suis trop contente que maintenant les vingtenaires tapent du poing sur la table et disent « Bah non, c’est pas normal de retirer le préservatif pendant une relation, c’est un viol ».
Ça fait écho au #MeToo dans le stand-up, dans lequel tu t’es beaucoup engagée.
Ça fait longtemps que j’ai constaté que c’était un milieu sexiste et que je devrais y réussir par mes propres moyens. C’est un métier qui est dur pour tout le monde, mais j’ai très vite compris que ce n’était pas en traînant dans les comedy clubs près des producteurs mecs qui ne produisaient que des mecs que j’allais réussir à trouver mon public, ma comédie, à trouver des blagues un peu différentes de ce qui se faisait déjà sur la scène… C’est grâce aux réseaux sociaux que je me suis épanouie, que je suis sortie des milieux parisiens dans lesquels je ne me faisais pas d’amis, dans lesquels j’étais programmée 6 minutes sur scène et les mecs 20… À l’époque, il y a une dizaine d’années, ce n’était pas un milieu épanouissant pour une femme et si tu disais que tu t’étais fait agresser, on ne te croyait pas.
L’indignation, c’est le sel de la vie ?
Carrément. Il n’y a pas une semaine où je ne suis pas indignée. Je trouve ça bien parce que comme ça on ne s’habitue pas à voir des gens dormir dehors.
Pour que ça marche, il ne faut pas avoir de tabou ? L’humour sans tabou, c’est plus marrant ?
J’ai quelques tabous parce qu’il y a des sujets sur lesquels je suis trop estomaquée pour trouver des trucs à raconter. Mais ça m’arrive souvent de traîner avec des humoristes débutants dont les parents regardent le travail, et qui se censurent sur certains sujets de peur qu’ils tombent dessus. Il faut métaphoriquement tuer les parents pour réussir à faire de la comédie. Je ne te parle pas juste de sexe, mais il faut accepter de montrer ses noirceurs, des trucs gênants… Au début je pensais que c’était une malchance que mes parents ne me soutiennent pas trop, ils ont toujours été assez distants par rapport à ce que je fais, mais au moins je ne me pose
jamais la question de comment ma famille va me juger quand je parle d’un truc. Ça m’a fait une carapace, il y a un côté revanchard. Aujourd’hui je gagne ma vie, j’ai mes projets qui roulent, mes parents sont soulagés et moi je fais ce que je veux artistiquement. Je ne leur demande pas leur avis, ni à eux ni à mes amants… Quand j’ai des amoureux qui commencent à me faire la morale sur ce que je raconte, c’est fini, ça dégage dans la minute. J’ai toujours été comme ça, il paraît que j’étais déjà un bébé très indépendant.
Sur ta chaîne YouTube, on t’a vu sillonner la France en caravane, construire des toilettes sèches, rénover une maison… C’est quoi le plus dur dans le fait de vivre seule à bord de Tatiana ?
J’ai vécu un an seule dans cette toute petite caravane de 4 m2, donc le plus dur c’était de ne pas avoir d’eau chaude. Tu te baignes
dans les rivières en hiver, c’est un délire, tu fais bouillir de l’eau dans une casserole et tu fais une douche rapide. Maintenant je n’ai pas peur de vivre avec deux t-shirts pendant un mois si je fais une aventure sportive ou de ne pas me laver… Tu te rends compte qu’il n’y a pas besoin de grand-chose pour être bien dans ton corps.
Tu es du genre à t’ennuyer facilement ?
Je ne sais pas comment on peut s’ennuyer avec les téléphones, on a accès à des milliers de vidéos en permanence. Les gens ne peuvent pas attendre un quart d’heure alors qu’ils ont un iPhone ? Bon, j’avoue, c’est parce que je suis tout le temps en retard que je dis ça.
¤ Texte : Sarah Sirel
Calme
Reprise le 17 septembre 2024 au théâtre Édouard VII – 9e
Dans quelques semaines, les Jeux olympiques et paralympiques vont bouleverser la capitale. Pendant 27 jours, Paris va vivre au rythme des épreuves sportives, un tempo qui ne sera pas sans impact sur le quotidien des Parisien·nes, nombreux·ses à devoir rester, notamment pour des raisons professionnelles.
Certain·es les attendent avec l’excitation d’un enfant qui souhaite ouvrir ses cadeaux de Noël. D’autres les craignent comme le pire fléau qui pourrait s’abattre sur la capitale. Du 26 juillet au 11 août, les Jeux olympiques 2024 vont s’emparer de Paris et, a fortiori, de l’Hexagone dans sa globalité, rapidement suivis des Jeux paralympiques, du 28 août au 8 septembre. Un événement grandiose puisqu’il marquera les 100 ans des derniers Jeux ayant eu lieu à Paris et qu’il promet de faire rayonner la France à l’échelle internationale. En moyenne, 15,1 millions de visiteurs sont attendus, Jeux olympiques et paralympiques confondus, selon les premières estimations de l’Office du tourisme et des congrès de Paris (OTCP). Parmi eux, 13,9 millions
seraient des visiteurs nationaux. Des chiffres importants lorsque l’on sait que la capitale accueille habituellement entre 8 et 10 millions de visiteurs chaque été, d’après les données de l’Insee.
Un événement attractif, certes, mais qui ne sera pas sans conséquence sur le quotidien des Parisien·nes et, à plus large échelle, des Francilien·nes. Travaux dans l’ensemble de la ville, transports modifiés ou perturbés, lieux culturels mis en pause pour laisser la place aux compétitions sportives, festivals annulés (Lollapalooza, ndlr)... les habitudes s’en voient bouleversées et l’été 2024 risque de ne pas avoir la même saveur que ses prédécesseurs. D’ailleurs, selon une étude menée par la plateforme de location de vacances Abritel*, 75% des Parisien·nes attendent
« En moyenne, 15,1 millions de visiteurs sont attendus, Jeux olympiques et paralympiques confondus »
des bouleversements dans les transports, 73% prévoient une augmentation globale des tarifs et 66% craignent une foule trop importante dans les rues. Rester ou partir, pour les Parisien·nes, le dilemme est grand.
Des obligations professionnelles contraignantes
« Moi, c’est sûr, je vais m’en aller pendant les JO », ou encore « de toute façon, tous les Parisiens vont partir ». Depuis près d’un an,
on entend ce type de phrases sur beaucoup de lèvres, mais sont-elles vraiment exactes ? D’un côté, certain·es prévoient de rester pour profiter de l’effervescence générée. « On n’a pas toujours la chance que les JO soient organisés dans la ville où l’on habite. Même si je sens que ça va être difficile, j’aimerais bien en faire partie », confie Ralph, chargé d’exploitation IRVE de 27 ans. D’autres, en revanche, y sont contraints. « Je pense que je vais devoir rester pour le travail, affirme Emma, photographe de 24 ans, mais si je pouvais partir, je le ferais tout de suite. » Comme elle, bon nombre de Parisien·nes se voient astreint·es à rester tout l’été en raison de leur emploi, quelles que soient les professions. Agathe, 29 ans, assistante marketing dans le domaine de la culture, se retrouve dans
la même situation. Une obligation qu’elle a choisi de tourner à son avantage : « J’ai décidé de ne pas trop subir donc j’ai pris des places pour aller voir quelques épreuves ».
Bien que le gouvernement ait incité
« ceux qui le peuvent (salariés comme employeurs) à mettre en place le télétravail pendant les Jeux », ce fonctionnement reste « optionnel et libre à chacun ». D’après l’étude Abritel, 60% des Parisien·ne·s pensent recourir au télétravail. Toutefois, le mystère continue de planer moins de deux mois avant le lancement de l’événement : « J’attends une communication de l’entreprise à ce sujet parce que d’ordinaire, on n’a le droit qu’à un jour de télétravail par semaine », précise Ralph.
« On n’a pas toujours la chance que les JO soient organisés dans la ville où l’on habite »
Tous les salariés devant rester en poste durant les Jeux olympiques ne prévoient cependant pas de rester à Paris. Pour justement s’éloigner le plus longtemps possible de la Ville Lumière et de sa frénésie estivale, 23% des Parisien·nes interrogé·es affirment qu’iels aimeraient combiner télétravail et vacances. À l’inverse, 34% ne comptent pas changer leurs habitudes et pensent partir en vacances au même moment que les années précédentes.
Les tendances voyages se précisent, la campagne attire
Si les traditionnelles destinations de bord de mer telles que la Corse, les villes bretonnes, celles longeant l’Atlantique, le Golfe du Lion ou encore la Méditerranée connaissent toujours un franc succès, de nouvelles tendances voyages s’observent avec l’organisation des JO/JP. Comme le dévoile une étude sur les tendances voyages des Français·es pour 2024 menée par Airbnb**, la France a le vent en poupe. Les recherches oscillent entre deux tendances majoritaires : des logements à proximité des sites de jeux – Décines-Charpieu, Issy-les-Moulineaux, Versailles, Suresnes, Boulogne-Billancourt – et, au contraire, des logements qui s’en éloignent davantage – Laveissière, Corrèze, Sainte-Mère-Église, Clermont-l’Hérault, Orcines. La plateforme a notamment pu observer une nette augmentation des requêtes pour les catégories “Campagne” (+ 80%) et “Parcs nationaux” (+ 60%), traduisant le désir des Français·es de séjourner dans des lieux plus calmes et verts, loin du bouillonnement des zones touristiques.
Les escapades à l’étranger ne sont pas en reste. Selon une étude menée par Abritel et Expedia, publiée en mai 2024, les pays Méditerranéens tels que l’Espagne, l’Italie, la Grèce, le Portugal ou la Croatie font partie des destinations les plus recherchées.
Toutefois, il semblerait qu’une fois encore, ce soient les zones plus apaisées et reculées qui attirent les voyageurs : Galice, Pays basque, Piémont, lac de Côme, ou encore la vallée d’Aoste. Grande nouveauté de cette année, l’Albanie, pays attractif pour sa culture unique et ses prix faibles, semble avoir sa cote au plus haut puisque les recherches pour le pays des Aigles ont augmenté de 25%. En France ou à l’étranger, en vacances ou au travail, il ne reste plus que quelques semaines pour se décider !
*Étude Abritel réalisée auprès de 1 000
Parisien·nes en mars 2024, publiée en avril 2024
**Tendances estivales : où les Français voyagent cet été, Airbnb, avril 2024
¤ Texte : Lucie Guerra
Pour aller plus loin :
· JO 2024 : du gain et des jeux, un podcast France Culture
· Les pourquoi des Jeux Olympiques, de Philippe Vandel aux Éditions Kero
· Jeux olympiques : un enjeu géopolitique, une vidéo Le Dessous des Cartes
Les beaux jours arrivent, c’est l’heure d’enfiler quelque chose de frais, de coloré ! Une jupe fleurie le matin, un ensemble cachemire l’aprèsmidi, un déshabillé à feuilles le soir… Cet été, c’est vous qui allez rayonner.
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21 mars – 19 avril
Je suis désolé, j’ai des pincettes dans les mains là, et évidemment ça ne parlera pas à tout le monde, mais je vois pas mal de ruptures pour vous les Bélier. Alors pour vous rassurer, vous avez tout de même le soleil, donc c’est certainement vous qui partez, et je vois aussi l’âme sœur, donc ceux qui partent, vous partez pour le bon, la bonne, ou le truand.
21 mai – 21 juin
Vous avez tellement planté de graines et travaillé en ce début d’année, qu’il est temps, en ce mois d’anniversaire, de sortir la moissonneuse ! Allez hop ça sort en boite, faites les fous, en plus vous aurez plein de thune, oui ça paraît difficile à croire, même en début de mois ! Je rigole, je rigole, mais tout ça va amener, célibataires, à une relation sérieuse, et je pèse mes mots.
23 juillet – 22 août
Bon, Lion, c’est pas le début d’été dont vous avez rêvé. Après je ne veux pas vous blâmer hein, mais je vois des mauvaises paroles pour certains, et les forces karmiques sont en marche. Jusqu’au 25-28, ça va être disette les Lion. Profitez-en pour vous cultiver et vous rapprocher de vos amis, c’est ainsi qu’on regagne ses points karma.
Taureau
20 avril – 20 mai
Je vois la discipline, l’accomplissement, la carrière. Mais comme j’ai dit que c’était sentimental, peut-être que vous allez vous taper un collègue ou un ancien collègue. Car j’ai une notion de nouveau, mais aussi d’ancien. Vous allez changer de domicile, de style, de parfum, mais ça ne va pas passer inaperçu.
Cancer
22 juin – 22 juillet
C’est le moment de vivre le true love. Que ce soit dans votre couple ou un nouveau départ. En tout cas je vois quelqu’un que vous connaissez déjà, que vous voyez régulièrement et avec qui vous aurez une révélation. J’ai eu la tour, donc on parle d’un coup de foudre et du timing divin ! Alors ne tergiversez pas lorsque vous aurez compris de qui il s’agit !
Vierge 23 août – 22 septembre
Enfin un peu de sexe. Pour ceux à qui ça parle, vous l’avez bien mérité. Ne vous enflammez pas non plus, il y a quelque chose qui bloque, votre destin n’est pas celui d’un acteur porno cette année, et vous l’avez compris. Heureusement il y a l’amour, tout autour, et vous savez que c’est le plus important donc je ne vous le répète pas. Si ?
Coucou c’est Miss Raph ! Horoscope sentimental pour ce mois d’arrivée de l’été. ¤ R.B.
Balance
23 septembre – 23 octobre
C’est vous qui allez le moins sexer en ce début d’été. Vous boudez dans votre coin. Il faut que vous ayez un déclic. Je vois des mères toxiques, ou des amis malveillants. Il faut absolument vous réveiller, l’été est court, dans quelques semaines reviennent les feuilles mortes et les pluies glaciales parisiennes. Je vois un rayon de soleil le 28 juin, on espère que vous allez le saisir !
Sagittaire
23 novembre – 22 décembre
Vous avez les énergies perturbées. Ça se voit un peu dans vos performances sexuelles. Certains sont perturbés par le taf, d’autres par une mystérieuse ex… La personne a toujours une rancœur qui vous paralyse via la force des énergies. Le 6 juin, vous aurez une explication. Votre partenaire aimerait que la situation se règle… rapidement…
Verseau
21 janvier – 19 février
On approche des tirages de fin, et on ne se pose pas la question de pourquoi avec vous les Verseau. Je vois beaucoup d’entrevous qui allez tromper votre partenaire. Et pour ceux qui sont en couple libre, il s’agirait d’un véritable game changer. Une histoire que vous ne pouvez pas fuir et qui va vous faire recroire à l’amour.
Scorpion 24 octobre – 22 novembre
Vous avez la plus grande énergie sexuelle du roaster les amis à la queue toujours levée. Toutes les cartes tombées ne sont que positives, le soleil, la tour, je vois de l’engagement, des rencontres pour les célibataires, des liens amoureux et amicaux, de l’argent. Peut-être juste le 12 juin, certains vont se péter un os capital du corps, jambe, bras, faites attention !
Capricorne
23 décembre – 20 janvier
Des relations du passé vous empêchent de vivre des histoires présentes. Il faut dire qu’elles ne sont pas très folichonnes. Donc il faut vous secouer, soit installer le passé dans un nouveau présent, ou alors rencontrer de meilleures personnes pour ne pas donner de crédit à votre amour passé. Sexuellement ça ne sera jamais top de toute façon, vous n’aimez pas ça.
Poissons 20 février – 20 mars
Dynamique d’évolution pour vous les petits Poissons qui s’en fish ! Alors ça peut vouloir dire évolution d’un couple vers une famille, ou alors un nouveau couple ou une séparation. En tout cas, on va vers la safe place les amis ! La chouette est ressortie pour vous, ça veut dire qu’une personne sage va vous donner des conseils, n’hésitez pas à parler de cul à vos amis !
Si tout est gris, déplace l’éléphant. pour toi papa
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Félicitations à Manon pour tes écrits, le CAPES, c’est dans la poche !
Hola mi pequeña cucaracha, buena suerte con tu búsqueda de apartamento, firmado por la reina de los caracoles
Vive TOPO, qui aide les artistes à vivre de leur art ! topo-art.org
Bravo Loubi pour ton stage à London, bisous t’es ma 4ever
Joyeux anniversaire mon neveu d’amour, 3 ans déjà !
Bravo Juliette, trop fière de ta réussite et hâte de t’avoir près de moi à Paris
Xavier, tu es le ciment de mon mur. -Louise
Joyeux anniversaire à celle qui remplit mes pauses déjeuner de joie et de cappuccinos
Anaïs, offre-moi une chance de te rendre heureuse. - Théo
Écoutez tous @deadline.podcast_ meilleur podcast de la terre
pres. Tomorrow Comes The Harvest feat. Jean Phi Dary and Prabhu Edouard « La Gran Diversión »
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(Sylvain Daniel)
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AUGUST CHARLES • BØL • FABRICE MARTINEZ/ STEV’IN MY MIND