ELLE EST PAS BELLE LA VIE ?!
PARIS OUEST
Mars 2024 - n° 153 - lebonbon.fr
Modèle : Célia Duthoit
Photographe : Maël Bouvier
LE BON ÉDITO
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Il n’y a pas si longtemps, j’étais à un dîner de famille. Entre la poire et le fromage, mon oncle — Tonton Gérard — n’a pu s’empêcher de sortir un jeu de mots pourri. Rires gênés, embarras, consternation dans l’assemblée... Il est comme ça Tonton Gérard, il ne fait pas dans la dentelle, c’est l’oncle rigolo. C’est l’ambianceur fou et dans sa tête, c’est comme si une discothèque de camping s’était accouplée avec une fête foraine et un sketch de Jean-Marie Bigard.
Je m’en fiche, je l’aime bien mon oncle. Plus profondément, je me suis dit que presque toutes les familles françaises ont leur Tonton Gérard, ce boomer un peu réac’ qui fabrique de la punchline fleurie, voire fanée.
La question est : comment se passent-ils le mot et pourquoi sont-ils aussi nombreux ? C’est un véritable mystère. Existe-t-il une confrérie secrète — disons plutôt ici une “tontonnerie” secrète — dans laquelle ils se réunissent une fois par an et fixent les grandes lignes de leur humour ?
« Cette année les gars, on met le paquet sur les blagues sur les blondes, on arrête les histoires belges, c’est du réchauffé », doivent-ils se dire avec des gros rires gras. Ou encore : « Le bide à bière et la coucougnette qui dépasse du slip de bain seront nos principales priorités cet été ! »
Tonton Gérard est fatigué, il a trop forcé sur le calva, Tata Jeannine lui dit d’aller se coucher. Moi, je fais le pitre, j’amuse beaucoup mon petit neveu de 5 ans. À ce moment-là, une révélation m’électrochoque les neurones : mais dis donc, ne serais-je pas à mon tour en train de me “tontonniser” ? Je regarde les yeux joyeux du neveu et, philosophe, j’accepte qu’ainsi passe le ballet générationnel...
Bonbonnement votre !
¤ Mikado
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Mars 2024 #adidas10kParis INFOS, INSCRIPTION ET PRÉPARATION adidas10kparis.fr DIMANCHE 26 MAI 2024 A.S.O. 2024©A.S.O./F. Metayer
Viva
Sortez la
Les
Une
4
L’hilarant
Les
3 le bon timing le bon tibétain la bonne pépite le bon artisan la bonne nourriture le bon buffet le bon quartier la bonne étoile la bonne enquête le bon shopping le bon instantané le bon astro 5 6 9 10 12 14 16 18 22 26 28 30 Fous de momos !
la pasta !
porcelaine
pépites culturelles de mars
œuvre
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Clichy
de cœur à Place de
Tristan Lopin
parennials :
de parents
bienveillants Electric Blue Snapshots Horoscope mars
une nouvelle génération
plus
LE BON SOMMAIRE
fellipe-ditadi
LE BON TIMING
On admire la performance de Ludivine Sagnier au Théâtre du Rond-Point
Le Consentement nous transporte dans l’histoire d’une jeune femme de 14 ans, incarnée par Ludivine Sagnier, qui tombe éperdument amoureuse de l’écrivain Gabriel Matzneff, véritable expert pour tendre des pièges et accomplir ses prédations sexuelles. Une performance puissante, qui interroge les dérives de notre époque.
Le Consentement
Théâtre du Rond-Point
2 bis, av. Franklin-Roosevelt – 8e Du 7 mars au 6 avril
On va voir une pièce d’Annie Ernaux au Théâtre de l’Atelier
Prix Nobel de Littérature 2022, Annie Ernaux retrace le parcours bouleversant d’une jeune femme qui, contrainte de dissimuler sa grossesse, recherche une “faiseuse d’anges”. À l’heure où le droit à l’avortement est reconsidéré dans de nombreux pays, Marianne Basler donne la voix à ce texte essentiel dans une adaptation poignante et organique.
L’Événement de Annie Ernaux Théâtre de l’Atelier 1, place Charles-Dullin – 18e Jusqu’au 27 mars
On part à la rencontre d’artistes au Quartier Art Drouot C’est le rendez-vous des amateurs d’art. Du 14 au 27 mars, 16 galeries d’art célèbrent le “Dessin au Quartier Drouot”. Cette édition met la galeriste Chantal Kiener à l’honneur, qui s’installe au 10, passage Verdeau le temps de 7 jours, pour proposer de nombreuses peintures et dessins dont les thématiques et les artistes l’ont toujours passionnée.
Parcours du Quartier Art Drouot – 9e Du 14 au 27 mars 2024 Entrée libre
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© Henri de Triqueti
© Christophe Raynaud De Lage
© Pascal Gély
LE BON TIBÉTAIN
Fous de momos !
Cantine à momos le midi et bistrot tamisé le soir… Momola, qui veut dire “grand-mère” en tibétain, nous amène à faire le tour de la région de l’Himalaya, le tout en plein cœur du quartier Saint-Georges.
Après avoir passé le plus clair de son enfance dans les pattes de son papa, à la tête d’un restaurant tibétain dans le 5e, Tachung décide de perpétuer la culture gastronomique de sa famille avec Momola. Un adresse aux allures de bistrot parisien branché, qui cache en cuisine de délicieuses spécialités du Tibet.
Ici, les recettes traditionnelles se mêlent à l’effervescence de la capitale pour nous proposer des assiettes raffinées et pleines de saveurs , avec une cuisine faite maison à base d’ingrédients frais et cuisinés chaque jour. Au menu, on retrouve bien évidemment les fameux momos, raviolis tibétains cuits vapeur, garnis de farces diverses et variées et assaisonnés à chaque fois avec des recettes maison. Notre chouchou ? Le Heavenly Vegan avec shiitake, épinard et oignons rouge. Mais on vous laisse bien évidemment découvrir les autres recettes, en petite ou grande quantité, à partager ou non.
Côté plats, on retrouve des influences indiennes, népalaises, et on découvre de délicieuses spécialités comme le Tserile, des boulettes de légumes aux herbes avec une sauce gingembre à la crème de courgette, ou encore le Shasek, émincé de bœuf braisé, cœur de rumsteak, avec des légumes verts bokchoy. À accompagner d’un fried rice ou de Dharamsala rôti, pain maison cuit au four et moelleux comme il faut. Côté desserts, on n’est pas en reste : cheesecake au matcha, ganache Namelaka bien chocolatée comme on aime et des glaces artisanales au sésame noir de chez Café Isaka.
Pour faire glisser le tout, Momola pense à tout et nous propose une chouette carte de vins en biodynamie et nature avec des bouteilles issues de petits producteurs locaux, que l’on retrouve chez les meilleurs cavistes parisiens. L’occasion aussi de se faire plaisir avec des thés et infusions plus tradi’ ou avec l’indémodable mango lassi, bien frais et hautement fruité.
Vous l’aurez donc bien compris, ici tradition et modernité vivent en parfaite harmonie dans de belles assiettes en céramique bien dressées. Le tout préparé par une équipe en cuisine entièrement tibétaine, chapotée par le chef Lobsang. Un vrai magicien à momos qu’on vous recommande de tester de toute urgence. Attention, c’est addictif… ¤ M.S.
Momola
16, rue Henry-Monnier – 9e Tél. : 01 75 57 54 45 Ouvert du mardi au samedi sur place ou à emporter de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30 momolafood.com @momola.food
6 Mars 2024
Communiqué
Viva la pasta !
De la Lombardie au 9e, il n’y a désormais plus qu’un pas avec Madonna, nouveau restaurant italien inspiré des brasseries milanaises. Un vrai paradis pour tous les pasta lovers de la capitale !
Cap sur l’Italie avec l’osteria Madonna ! Ici, on est accueilli par des serveur·ses en veste blanche et nœud papillon, dans l’esprit tradi’ des grands cafés à Milan. Une ambiance classique, quelque peu kitsch, avec une touche de modernité.
Ouvert en octobre dernier, le lieu a été totalement imaginé par Véronique Laporte, décoratrice parisienne et maman d’EvaLouis et Alex, les deux frangin·es à l’origine du restaurant. Deux grandes salles dans un style Art déco, avec banquettes en velours vert, lustres à franges spécialement dessinés pour le lieu, fresques sur les murs et un grand bar boisé où venir s’accouder pour un espresso ou un cocktail.
Au menu, on retrouve de vrais plats transalpins, authentiques, généreux et réconfortants, élaborés par le chef sicilien Danilo D’Aquila, formé par sa nonna directement à Palerme, et le chef exécutif Stéphane Mangin, amoureux de bons produits de la Botte. Pas de pizza à la carte, mais une belle sélection de recettes de pâtes. Leur spécialité ? Les spaghetti à l’oursin, une belle variante des traditionnels alle vongole, à saupoudrer de poutargue pour deux fois plus de plaisir.
Le clou du spectacle se trouve du côté des desserts avec l’un des meilleurs tiramisus de la capitale, exécuté minute, devant vous, avec cafetière à l’italienne et grosses louchées de mascarpone. La mythique pâtisserie retrouve ici toute sa simplicité et sa légèreté
d’antan, et c’est tout simplement un délice. Vous nous en donnerez des nouvelles ! ¤ M.S.
Madonna
52, rue La Fayette – 9e
Tél. : 01 47 70 59 08
Ouvert tous les jours de midi à minuit madonna-osteria.fr
@madonna.osteria
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LA BONNE PÉPITE
Sortez la porcelaine
En ce mois de mars un peu grisâtre, on a cherché à mettre un peu de couleur dans notre vie, jusque dans nos assiettes. C’est alors qu’on a fait la rencontre d’Ando Razafy Bourdet, créatrice de la marque Ah!jalouses. Des pièces uniques (ou en petite série) en porcelaine, peintes à la main, qui enjolivent les tables des Parisien·nes.
C’est lors d’une virée à Madagascar, pays d’origine d’Ando, qu’elle découvre sa passion pour l’artisanat et l’art de la table, grâce à un service fait main offert par sa maman. Loin de l’univers du dessin, Ando se lance dans cette aventure avec quelques porcelaines et quelques pigments et parvient à créer rapidement son univers, qu’elle partage avec son entourage. Voyant que son affaire parvient à décrocher des sourires (et des commandes), elle s’y met un peu plus sérieusement. Ce qui au début n’était qu’un simple loisir créatif devient une véritable passion. Elle se détache alors peu à peu de son métier de formatrice de Français Langue Étrangère pour se concentrer sur son artisanat.
C’est dans son appartement parisien, en plein cœur du 9e, qu’elle nous a accueillie. Ici, au milieu d’un bric-à-brac de vaisselle et d’une impressionnante collection de CD et de vinyles, Ando travaille sa porcelaine toute blanche, achetée auprès de commerçants de qualité, dont Guy Degrenne ou Maison de la Porcelaine. Elle travaille aussi quelques pièces en verre recyclé de chez Little Pots. Mugs, tasses, assiettes, bols, verres à pied, bocaux, elle pimpe toute la vaisselle à la plume et au pinceau, avec des designs qui s’inspirent principalement de la nature, mais aussi de l’univers presque enfantin d’Ando avec ses “Patronilles”, comme elle les appelle, des petites têtes féminines déclinées en tout plein de formes et de couleurs. Chaque pièce est unique et travaillée pendant près de 3 jours, cuite au moins 2 fois dans un four qui va jusqu’à 1000°C.
Aujourd’hui certifiée artisane et labellisée Label Fabriqué à Paris, on retrouve toutes ses créations de façon éphémère dans des boutiques de décoration à Paris, mais aussi dans des marchés de créateur·ices, des Tuileries à Issy-les-Moulineaux. On peut aussi se les procurer directement en ligne, sur le site de Ah!jalouses, à faire livrer chez soi ou à venir récupérer directement chez Ando, pour une chouette rencontre dans un lieu ultra cocooning. Il ne vous reste plus qu’à choisir la création qui vous tape dans l’œil, histoire de faire un peu jalouser vos prochains convives ! ¤ M.S.
Ah!jalouses
48, rue de Dunkerque – 9e Tél. : 06 14 05 07 45
Uniquement sur rendez-vous ahjalouses.com · @ahjalouses
10 Mars 2024
LE BON ARTISAN
Les pépites culturelles de mars
Un animal sauvage de Joël Dicker
Le maître suisse des polars a encore frappé. Révélé par La Vérité sur l’affaire Harry Quebert il y a 12 ans, Joël Dicker sortait son dernier roman, L’affaire Alaska Sanders, début 2022. Il est maintenant de retour avec Un animal sauvage, polar couplé d’un thriller psychologique haletant. Cette fois il ne sera pas question de meurtre, mais d’un braquage prenant place dans la banlieue chic de Genève, ville de prédilection de l’auteur. Un récit truffé de flashbacks et d’une bonne dose de suspense, pour notre plus grand bonheur.
Éditions Rosie & Wolfe
En librairies depuis le 27 février 2024
Dans la peau de Blanche Houellebecq, de Guillaume Nicloux Michel Houellebecq doit se rendre en Guadeloupe pour assister à un concours de sosies de Michel Houellebecq. Il y est accueilli par Blanche Gardin, présidente du jury qui vapote de la DMT et fournit assez rapidement des champi’ à toute l’équipe. Autant dire que la visite va prendre une étrange tournure. Après L’Enlèvement de Michel Houellebecq et Thalasso, Guillaume Nicloux retrouve son écrivain préféré pour une comédie aussi déjantée que satirique hilarante, à voir sans oublier son second degré au vestiaire, c’est important.
En salles le 13 mars 2024
12 Mars 2024
LA BONNE NOURRITURE
© Bac Films
Vous les attendiez, ils sont là ! La rédaction du Bonbon vous fait découvrir ses coups de cœur culturels du mois. Au programme : de la musique pour vibrer, un livre pour frissonner, un film pour rire et un podcast pour se soigner.
Solstice de Lala &ce
De son univers flou, intense et profondément sensuel, Lala &ce nous en dévoile un peu plus avec sa dernière sortie, Solstice. Celle qui aime parler des filles, de désir, de coups d’un soir, d’amours illusoires, se livre dans un album rap qui ne tourne plus autour du pot. Toujours avec des influences techno, r’n’b et même reggaeton, composé entre Paris, Los Angeles et les contrées du Canada. Bienvenue dans le monde dystopique de Lala.
Columbia Records
Disponible depuis le 2 février 2024
En concert le 13 mars 2024 à L’Olympia
Folie douce, un podcast de Lauren Bastide
Après La Poudre, Lauren Bastide présente Folie Douce, le podcast qui libère la parole sur la santé mentale. Toujours dans un format de conversations intimes, la journaliste interroge dans chaque épisode une personnalité pour parler de son parcours par le biais de la santé mentale, avec une pointe d’humour et surtout avec beaucoup de bienveillance. De la pure douceur pour vos oreilles, qui soulève tous les tabous.
Disponible sur toutes les plateformes d’écoute 5e épisode disponible le 14 mars 2024
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Une œuvre d’art dans l’assiette
Envie d’impressionner vos convives ? Tableaux se charge de tout. Cet atelier installé dans le quartier d’Opéra invite couleurs vibrantes et fleurs délicates dans vos plateaux apéritifs, vos brunchs du dimanche et vos buffets.
LE BON BUFFET
Derrière Tableaux, il y a Tom, passionné d’art floral et de gastronomie. Après avoir œuvré dans différents restaurants gastronomiques et palaces étoilés de Montréal, et avoir approfondi son savoir dans de superbes fromageries françaises à San Francisco, ce jeune Français de 28 ans décide de lancer sa propre affaire, qui allie pour la première fois ses deux passions : la gastronomie et les compositions florales. L’idée est simple : réaliser des œuvres d’art comestibles grâce aux couleurs que nous retrouvons dans la nature. Du violet des radis à la belle couleur orangée de la mimolette en passant par la multitude de fleurs comestibles, les plateaux et buffets de Tom deviennent de véritables peintures.
C’est dans cet objectif d’allier le bon et le beau qu’est né Tableaux, dans un petit appartement à Pigalle, où Tom a commencé à assembler des produits, des couleurs, des fleurs… Tableaux devient alors l’entreprise la plus trendy pour tous·tes les hédonistes parisien·nes. Aujourd’hui, on le retrouve dans un atelier de près de 300 m2 à deux pas de l’Opéra Garnier. C’est dans ce sublime endroit que ces créations prennent vie.
Au menu ? De véritables œuvres d’art avec des produits finement sélectionnés par Tom ou par l’aide d’un Meilleur Ouvrier de France. Avec Tableaux, vous pouvez vous procurer
(en livraison 7j/7) des plateaux apéritifs et brunchs hors-normes, composés à partir de produits de saison, des fromages, des charcuteries fines… Et le résultat est tout simplement bluffant. Tableaux se charge aussi de vos événements (à partir de 12 personnes) en créant des buffets de prestige alliant mets de saison et compositions florales cueillies à moins de 50 km de Paris. Comme pour les plateaux, les compositions changent tous les trois mois en fonction des saisons. Résultat ? On a droit à un véritable buffet digne des dieux de l’Olympe.
Le petit plus ? Tableaux se targue d’être une « haute fromagerie », avec des créations colorées à exposer presque comme des bijoux. Le tout avec des fromages d’une grande qualité, sublimés avec des herbes, des aromates, des épices. Et sans oublier le best-seller, le Brillat truffe et fleurs. Le fromage devient alors un cadeau prestigieux, que l’on offre sans modération où que l’on dresse sur sa table d’apéritif. Il ne reste plus qu’à faire votre choix sur le site !
¤ M.S.
Tableaux Paris
8, rue de Hanovre – 2e Tél. : 01 88 61 11 91 tableauxparis.com @tableauxparis
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Communiqué
4 adresses coup de cœur à Place de Clichy
Climbing District
D’abord, que diriez-vous de faire de l’escalade dans une ancienne chapelle ? C’est le concept un peu fou que l’on retrouve ici à Climbing District ou l’on grimpe dans ce lieu magique qui fut l’ancienne bibliothèque de l’institut National. Franchement le cadre est splendide, avec possibilité de prendre un petit café ou de se poser pour travailler… Alors qu’est ce que vous attendez ?
26bis, rue de Saint-Pétersbourg – 8e
Bloom Sushi Batignolles
C’est l’heure du repas et pour ça rien de mieux qu’un arrêt chez Bloom et ses sushis 100% végétaux. Ici, qu’on soit vegan ou non, la cuisine de haute volée nous attrape les papilles comme avec ce Dragon eyes à la patate douce, tempura d’asperge, avocat et sauce épicée. Une adresse distinguée mais cosy comme tout, confortable, 100% végétale et absolument délicieuse.
61, rue des Dames – 17e
16 Mars 2024
LE BON QUARTIER
Ce mois-ci on à décider de s’arrêter à un endroit de Paris où quatre arrondissements se rejoignent. On parle évidemment de la Place de Clichy et ses activités surprenantes, culinaires et secrètes. Alors n’attendons pas plus longtemps, en route direction notre première adresse ! ¤ T.P. & M.S.
La Main Noire
Pour le goûter, direction La Main Noire !
Derrière cette adresse pleine de good vibes se cachent Ryan, Ludovic et Quentin, trois potes qui se sont rencontrés à Melbourne et qui ont décidé d’introduire à Paris toutes leurs aventures. Et ça donne quoi ? Un coffee shop et un brunch moderne avec une belle carte de saison, des produits de qualité, sourcés et issus d’agriculture raisonnée. Green paste de matcha et moringa confit, pancakes sucrés aux fruits de saison, cinnamon roll vegan… De quoi se faire un quatre-heures ultra réconfortant.
12, rue Cavallotti – 18e Maison Souquet
Pour finir, on vous emmène dans un endroit aussi discret que raffiné pour y boire un dernier petit verre. C’est dans la somptueuse Maison Souquet que l’on termine la journée entre ces murs à l’histoire un peu spéciale. Et puisqu’on y est, on goûte forcément à leur cocktail signature à base de vodka infusé aux framboises, liqueur Saint Germain, jus orange citron et ginger ale, croyez-nous, c’est délicieux !
10, rue de Bruxelles – 9e
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@julinewen
@Kobayashi
LA BONNE ÉTOILE
L’hilarant Tristan Lopin
Bien connu des réseaux pour ses sketchs saillants dans lesquels il n’épargne personne, pas même lui-même, Tristan Lopin est tout aussi drôle sur les planches. Véritablement engagé, celui qui se rêvait enfant réalisateur de films aborde aujourd’hui les sujets de notre époque et de sa génération avec un humour noir bien à lui, de la carrière de Loana aux enjeux climatiques en passant par la solitude, la surconsommation et la dépression. Après une immense tournée hexagonale, il présentera son dernier spectacle, Irréprochable, le 2 avril au Trianon.
Ça fait quoi d’être irréprochable Tristan ?
Ça fait quoi d’être irréprochable Tristan ? (rires) J’ai longtemps joué à l’être, mais j’ai appelé le spectacle comme ça car ce n’est plus le cas. Quand j’étais petit j’étais ce garçon très lisse, qui arrondit les angles, qui présente toujours bien, bien élevé… Je me suis libéré de ça il y a 3 ou 4 ans, sur le tard. J’ai écrit le spectacle alors que je venais de vivre deux ruptures amoureuses compliquées qui m’avaient mis dans le noir total, je suis passé par une dépression et je me suis dit « tu passes ta vie à essayer d’exister dans le regard des autres alors que ça ne te rend pas heureux, peut-être que ce serait encore plus épanouissant d’accepter que tu peux dire non ». Ce spectacle, c’est ça.
Son écriture a été thérapeutique alors ?
Oui, j’écris toujours parce que j’ai quelque chose à dire qui m’anime intérieurement et qu’il faut que je crache. Il y a plein de gens qui écrivent sur le quotidien ou des sujets plus légers et qui le font très bien, moi, j’ai besoin que ça me ronge.
Ce qui ne t’empêche pas de militer pour des causes importantes en abordant des sujets difficiles.
Depuis quelques années on parle de sujets très intenses et deep, et dans notre société la parole se libère. J’avais le sentiment que c’était aussi important d’éduquer le public
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différemment de la manière dont on peut le faire aujourd’hui au quotidien. Pour moi, l’humour, c’est une manière de faire tourner le vélo dans la tête des gens sans qu’il y ait ce côté paternaliste moralisateur un peu chiant qu’on peut retrouver ailleurs.
« Je voulais raconter des histoires par le cinéma pour créer un lien entre moi et les autres »
Tu as ce rapport particulier à l’humour puisque tu t’en sers pour faire passer un message. Comment ça a commencé ?
J’avais d’abord l’envie de faire passer des messages puisque je voulais être réalisateur
de films quand j’étais petit. Je voulais raconter des histoires par le cinéma pour créer un lien entre moi et les autres. J’allais beaucoup au cinéma avec mes parents, ils sont un peu intellos alors je voyais des films d’auteurs ou des trucs iraniens inconnus et j’avais le sentiment de découvrir des histoires auxquelles je n’aurais pas eu accès dans ma vie quotidienne. J’avais accès à une culture et des problématiques qui n’étaient pas les miennes et c’était fou de réussir à les comprendre. J’avais tellement l’impression que les gens ne me comprenaient pas dans ma vie, ou que j’avais du mal à créer du lien avec les autres, que je me disais que le fait de faire des films allait me permettre de dire aux gens ce que je n’arrivais pas à leur dire dans la vie. Et quand je me suis rendu compte que faire du cinéma allait être un chantier pas possible, je me suis dit que l’humour pouvait réussir
20 Mars 2024
@Kobayashi
LA BONNE ÉTOILE
à être ce vecteur et j’ai écrit le spectacle dans ce sens-là.
Ça t’a aidé à accepter qui tu es ?
Ça m’a aidé à m’émanciper, à accepter mes névroses, mon passé… Pouvoir rire de tout, c’est aussi accepter que parfois la vie est nulle mais qu’on s’en sort quand même. C’est important de parler des vrais sujets mais de dire aux gens qu’on est nombreux à qui il arrive plein de merdes et qu’on peut vivre avec. Et qu’on peut même en rire.
Alors comment on sort de sa chambre et on grimpe sur scène ?
Je vais être honnête, c’est tellement traumatique que je l’ai un peu occulté, mais tout simplement, à un moment tu te dis que ça te tente tellement qu’il faut essayer. C’est un mélange de tentation et de peur. Au début, le moindre rire est une telle victoire, une montée de dopamine incroyable, c’est trop bon. Mais c’est la peur qui m’a stimulé, comme 95% du temps…
Le futur du stand-up c’est d’être engagé ?
Je pense que c’est une autre forme d’humour qui est, je l’espère, vouée à se démocratiser. Mais il en faut pour tous les goûts. J’aime bien l’idée qu’on ne se dirige pas vers un genre en particulier et qu’il n’y a pas une bonne manière de faire du stand-up, par contre c’est hyper chouette qu’il y en ait de plus en plus parce que ça prêche une parole très importante, particulièrement aujourd’hui. C’est la manière la moins récalcitrante, violente et chiante de faire passer ces messages.
Les réseaux sociaux y sont pour beaucoup. Tu sens que sans ça ton métier serait différent ?
Oui puisque je me suis fait connaître grâce à ça alors que j’étais déjà sur scène. Ça m’a permis de faire venir du monde dans la salle. Mais sans les réseaux, mon quotidien ne serait pas si différent. Il y a beaucoup
de gens très suivis sur Internet qui ne remplissent pas forcément les salles, parce qu’il faut avoir la bonne cible qui va se déplacer et payer sa place pour venir voir le spectacle. Les réseaux peuvent aussi être risqués, ce n’est pas une bonne idée pour tout le monde et on peut facilement tomber dans ce piège. Nombreux sont ceux qui se grillent en faisant un contenu moins qualitatif pour se faire connaître à tout prix, par exemple.
Entre ce spectacle, les réseaux et tes chroniques sur France Inter, tu as l’impression d’avoir trouvé un équilibre dans ton métier ?
Oui et en même temps c’est un équilibre précaire. Je termine mon spectacle bientôt et la question se pose de savoir comment me renouveler. J’ai eu une espèce de stabilité pendant 2 ou 3 ans mais je ne considère pas avoir une stabilité quotidienne puisque je me dois de constamment trouver de nouvelles idées. Mais c’est ça qui m’anime au final.
¤ Sarah Sirel
Irréprochable de Tristan Lopin
Le 2 avril 2024 au Trianon – 18e
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@Kobayashi
Les parennials : une nouvelle génération de parents plus bienveillants
Parentalité décomplexée, éducation bienveillante… Face aux modèles éducatifs traditionnels, la nouvelle génération de parents, les parennials, repense le schéma familial pour promouvoir un foyer plus libre et positif.
« Longtemps j’ai cru qu’une mère comptait plus qu’un père. Un jour, une femme m’a dit que je comptais autant qu’elle, et nous sommes devenus parents ensemble », écrit le médecin et auteur Martin Winckler. Depuis moins de 10 ans, une réflexion nouvelle est menée quant à l’éducation des enfants. Face aux figures traditionnelles et autoritaires d’antan, les parents d’aujourd’hui revendiquent une parentalité plus libre et décomplexée. Ces parennials, nés entre les années 1980 et 2000, et appartenant à la génération connue sous le nom de millenials, bousculent les codes éducatifs jusqu’ici considérés comme normaux. Exit les violences physiques et psychologiques, les « dépêche-toi » et autres brusqueries, pour laisser place à une éducation plus positive où la communication et l’expression des émotions
22 Mars 2024
LA BONNE ENQUÊTE
© Guillaume De Germain
sont maîtres, et où les enfants ne sont pas un frein aux activités et aux sorties, mais plutôt un moteur.
Cette génération Do It With the Kids (DIWK) favorise le fait de sortir avec ses enfants, et s’oppose à la Double Income No Kids (DINK) qui, elle, promeut le fait de ne pas avoir d’enfants pour profiter davantage. D’ailleurs en 2023, 60% des 25-34 ans ne considèrent plus la parentalité comme une contrainte. Un chiffre en hausse par rapport à l’année 2022, où ils étaient 51 % à penser de la sorte, selon la 2e édition du baromètre Evian. « Aujourd’hui, on note un désir d’extériorisation du cocon familial, de prendre son enfant avec soi en toute circonstance. Et aussi l’aspiration à une certaine légèreté familiale », précise le sociologue Ronan Chastellier dans l’étude. Mais dans un pays où l’éducation est particulièrement cadrée et intégrée à un modèle patriarcal, qui sont ces parennials et que mettent-ils en avant ?
« Beaucoup de gens disent de l’éducation positive que c’est du laxisme, au contraire, ça demande beaucoup plus d’efforts »
L’éducation positive comme modèle de conduite
Si les questions de parentalité et d’éducation semblent être au centre du débat depuis ces 5 dernières années, notamment grâce à l’avènement des réseaux sociaux et à l’émergence des parennials, ces thèmes prennent racine à une époque bien antérieure. Comme l’explique la Docteure en psychologie Béatrice Lamboy dans un article* publié en 2009, le terme parentalité « apparaît dans la langue française au début des années 1960 au sein du champ psychiatrique et psychanalytique
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»
© Fellipe Ditadi
et est « officialisé dans les années 1980 ». On s’intéresse alors davantage au rôle de parent et à l’impact de l’éducation et des violences sur le développement de l’enfant. Véritable rupture avec les modèles habituellement reproduits d’une génération à une autre sans réflexion particulière, « la parentalité apparaît comme un processus qui se développe et implique des compétences à acquérir ».
Et ce processus, les parennials n’hésitent pas à l’enclencher. « Il y a une volonté de notre génération de remettre en question plusieurs dogmes qu’on a toujours considérés comme normaux », précise Samuel Clot, papa d’un garçon de 6 ans, créateur de contenus, et auteur du livre Père au foyer. Le schéma de domination de l’adulte sur l’enfant et les « violences éducatives ordinaires » (VEO) sont alors délaissés pour privilégier la mise en place d’un cadre sain, où l’enfant explore à son
rythme et le parent est un tuteur qui soutient et accompagne. « L’idée, c’est de faire coexister nos besoins à tous·tes dans le foyer. Beaucoup de gens disent de l’éducation positive que c’est du laxisme, au contraire, ça demande beaucoup plus d’efforts mais qui sont rentabilisés sur le long terme. On a des enfants autonomes plus rapidement et aussi plus à l’écoute des besoins des parents », explique le papa de 27 ans.
Affirmer la place du père
Parmi cette nouvelle génération de parents s’illustrent les “nouveaux papas”. Loin de la figure paternelle autoritaire et du « père [qui] n’est évoqué que s’il est violent, alcoolique, maltraitant voire abuseur »** dans la littérature et la fiction, ces papas s’emparent des idées préconçues à la fois sexistes et inégalitaires, pour entamer un travail de déconstruction et réaffirmer leur paternité. « Un père qui fait le ménage ou la cuisine parce que sa femme
24 Mars 2024
© Marcin Jozwiak
« Il y a une volonté de notre génération de remettre en question plusieurs dogmes »
se repose après l’accouchement ou qu’elle allaite, un père qui porte son enfant contre lui […], n’est pas un père qui “aide sa femme” : c’est un père qui fait sa part, tout simplement », affirme Samuel Clot dans son ouvrage.
Un constat qui coule de source pour le jeune papa, mais semble bien moins évident à plus grande échelle. En France, tout ce qui est relatif aux enfants est généralement orienté vers la mère. Dans les librairies, c’est au rayon maternité que l’on retrouve les livres dédiés aux parents. Si aux États-Unis et au Canada, 5 000 lieux ont été équipés de tables à langer dans les toilettes pour hommes en 2019, rares sont les établissements français à faire de même. Depuis 2021, le congé de paternité est officiellement passé de 14 à 28 jours. En Suède, ce même congé s’élève à 240 jours par parent, par naissance.
Un phénomène répandu et pourtant encore marginal
Pour répondre à cette volonté de repenser le schéma familial traditionnel et les méthodes éducatives mises en œuvre jusqu’alors, de multiples lieux kids-friendly ouvrent leurs portes dans les différentes villes de France. En parallèle, les réseaux sociaux voient s’accroître le nombre de comptes de parents partageant leur expérience avec l’éducation bienveillante. Un modèle de parentalité en pleine expansion, qui reste encore pourtant grandement minoritaire. En France, un enfant meurt tous les cinq jours sous les coups de ses géniteurs***. D’après l’Observatoire des VEO, 85 % des Français·es font usage des violences éducatives ordinaires en 2018 et 23% affirment utiliser la fessée en guise de punition, selon les données du sondage Ifop en partenariat avec la Fondation pour l’enfance, publiées en 2022. Des chiffres alarmants, alors que la loi n°2019-721 prévoit que « l’autorité parentale s’exerce sans
violences physiques ou psychologiques ». À quelques heures de là, en Suède, les enfants ne comprennent même pas le concept de la fessée tant il est anormal de lever la main sur eux, comme l’illustre le documentaire de Marion Cuerq.
Encore profondément ancrée dans un schéma patriarcal traditionnel avec des déterminismes de genre, la vision du père au foyer ou du père qui s’occupe simplement de son enfant est encore perçue comme une atteinte à la masculinité. « Quand mon fils était bébé, j’avais l’impression qu’on me regardait comme si je n’étais pas à ma place et que ce n’était pas à un papa de s’occuper des nourrissons, de porter en écharpe etc. Maintenant qu’il a 6 ans, qu’on joue au foot et fait des activités considérées comme masculines, ça choque beaucoup moins », déplore Samuel Clot. Loin d’être la priorité, le budget des départements alloué à la protection de l’enfance s’élevait à 8,9 milliards d’euros en 2018. À titre comparatif, celui des armées était de 43,9 milliards d’euros en 2023. Le modèle de vie des parennials pourra-t-il donc être pérenne ? Pour le jeune papa, il faut garder espoir : « Je ne sais pas imaginer un avenir où mon fils élèvera ses enfants, s’il souhaite en avoir, dans le même paradigme que celui qui est actuellement dominant en France. Globalement on se dirige vers quelque chose de plus positif et bienveillant, mais ça va passer par beaucoup de travail et de grands combats politiques parce que les freins sont encore nombreux. »
*Lamboy, Béatrice. Soutenir la parentalité : pourquoi et comment ? Différentes approches pour un même concept, Devenir, vol. 21, no. 1, 2009.
** Goldbeter-Merinfeld, Édith. La place des pères dans les familles. Introduction, Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux, vol. 54, no. 1, 2015.
*** Selon un rapport élaboré par les inspections générales des affaires sociales (IGAS), de la justice (IGJ) et de l’éducation (IGAENR) en 2019.
¤ Lucie Guerra
Pour aller plus loin :
· Père au foyer, Samuel Clot, aux éditions Hachette
· Papatriarcat, un podcast de Cédric Rostein
· Même qu’on naît imbattables ! un documentaire de Marion Cuerq
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Electric Blue
Ce bleu intense va vous faire perdre la tête comme il a déjà pris d’assaut les podiums de la saison printemps-été 2024. Il suffit de jeter un œil sur les collections de Acne, Givenchy ou Giorgio Armani pour le savoir. En total look ou bien par petites touches, le bleu sera notre couleur préférée ce mois-ci.
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BON SHOPPING
LE
Cardigan twinset Éric Bompard 330€
Robe Love in the Dark Mossman chez Zalando 299,95€
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27
Sandale Bercy bleu marine Carel 435€
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Chemise à rayures
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28 Mars 2024 LES BONS SNAPSHOTS
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Bélier
21 mars – 19 avril
Vous allez rencontrer quelqu’un. Et tant mieux parce que votre énergie sexuelle est au max ! Laissez-vous aller dans l’amour, abandonnez vos craintes passées, attachez vos ceintures, ça va swinguer sévère ! Vous avez un problème avec le chiffre 9, évitez-moi ce 6 qui s’est mis la tête à l’envers, je vous en supplie !
LE BON ASTRO
Gémeaux
21 mai – 21 juin
L’argent va couler à flots ! Alors je sais que c’est toujours bizarre de dire ça, surtout si vous êtes précaires. J’aimerais préciser que l’argent, c’est aussi la valeur que l’on se donne. Bon, revenons-en aux riches, vous, vous allez être encore plus riches ! Mais vous perdez la notion de la valeur des choses et être malheureux, pour ENFIN comprendre que la vraie richesse, c’est l’amour, et le sexe satisfaisant.
Lion
23 juillet – 22 août
Je sens une rupture, une fin de communication. J’ai aussi la tempérance, donc prenez le temps de digérer. Ça ne vous fera pas de mal de prendre du temps pour vous et envisager de nouvelles choses plus positives pour l’avenir. Je vois un séjour au ski. Si ce n’est pas le cas, désolé. Que vous partiez ou pas en fin de mois, je sens que vous allez pécho. Alors tenez bon !
Taureau
20 avril – 20 mai
J’ai tiré la carte du voyage à l’envers les amis. Ça veut dire que vous allez bien rester chez vous, comme des grosses victimes. Profitez de ce temps pour prendre sur vous, accorder votre pardon et passer à autre chose. Sentimentalement non plus c’est pas le lupanar tous les jours, mais je vois en fin de moins une éclaircie, tenez bon !
Cancer
22 juin – 22 juillet
Il faut que vous plantiez des graines ! Non, je ne vous conseille pas d’aller chez Truffaut, restez assis, ça veut simplement dire d’arrêter d’être pressé et d’arroser vos projets comme il se doit ! Pour qu’un projet aboutisse, il faut mettre toutes les chances de son côté, et surtout être patient ! Tu peux pas tout avoir en restant le cul vissé sur ta chaise ! Ça fait trois mois que je suis pas content les Cancer ! Prenez sur vous !
Vierge
23 août – 22 septembre
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Vous avez eu une proposition amoureuse ou professionnelle, peut-être même amicale, que vous avez repoussée. Voici le temps des regrets. Mais pour la plupart, les cartes me disent qu’il n’est pas trop tard. En revanche il va falloir justifier votre refus. Eh oui les Vierge, on n’est pas chez mémé ! Faites attention, les autres sont aussi des humains, sensibles comme vous. Cordialement.
30 Mars 2024
Balance
23 septembre – 23 octobre
Coucou les Balance ? Ça va ? Tranquille ? On ne vous dérange pas dans votre bonheur ? Eh bien désolé mais j’ai une mauvaise nouvelle, il va y avoir un retour de quelqu’un qui va faire remonter des angoisses ! Alors s’il n’est pas trop tard, n’ouvrez pas la porte du retour, c’est ce que me disent les cartes !
Préservez-vous, prenez des distances, et pensez à vous, votre âme a besoin de repos.
Sagittaire
23 novembre – 22 décembre
Vous vous questionnez à propos d’un lien que vous avez avec une personne ? Je vous le dis : l’illusion, la richesse et le message. Interprétez ces cartes selon votre situation, mais je pense que la nature des relations va vous étonner, qu’elle va vous offrir des choses dont vous avez besoin et que la communication se passera très bien. Mais bon, si vous envisagiez de lui faire des bisous, je crois que c’est fichu mes Sagitt’.
Verseau
21 janvier – 19 février
Pour les Verseau en couple, je vois un point de non retour, mais ce n’est pas ce que vous croyez. Le tout est ici de choisir son partenaire pour de bon. On parle d’amour, de vrai, mais de choix à faire pour que cela soit possible. Ce choix vous angoisse et vous allez avoir des problèmes de gorge, chopper quelques crèves, voire pour certains des gastroentérites carabinées ! Mais à la fin du mois je vois une lumière au bout du tunnel. Courage !
Scorpion
24 octobre – 22 novembre
Quelque chose de très très fort vous embarque et vous vous laissez avoir. C’est très intense. Faites attention à ne pas trop saouler votre entourage qui risque d’être un peu saoulé. Toute cette lune va être dédiée à l’amour et l’amitié, que du bonheur pour vous. Mais comme le bonheur est un sacré petit filou, vous aurez en contre-partie quelques petits menus problèmes d’argent. Rien de bien grave, un équilibrage karmique, juste. Détendez-vous.
Capricorne
23 décembre – 20 janvier
Vous êtes incroyablement changeant et désagréable pour votre entourage qui ne comprend plus rien. Il faut vraiment vous secouer et être en phase avec ce que vous ressentez, quitte à faire le ménage. D’ailleurs faites aussi le ménage chez vous, c’est vraiment le bordel. Pour écrire quand même quelque chose de positif, vous allez enfin commencer à avoir de la thune ! Alors on dit merci qui ?
Poissons
20 février – 20 mars
Quelqu’un de dangereux, que vous avez mis de côté, va faire son petit retour… Évidemment tous les Poissons ne vont pas réagir pareil. Je vous annonce certaines retrouvailles, avec des révélations, et des choix à faire. D’autres vont faire leur Poissons et se refermer sur eux-mêmes, tout fiers… Certains seront plus heureux que d’autres, à vous de voir, j’évite de spoiler. Mais au bout, je vois une belle histoire, un game changer comme disent les jeunes.
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Vamos dodu ! (El gringo)
La Journée internationale des droits des femmes c’est toute l’année, pas qu’un seul jour #8mars
Pour passer une annonce, rien de plus simple, envoyez un mail à :
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Joyeux anniversaire à mon amoureux
Thomas. Tu es mon soleil, je t’aime
Rendez-vous fin août à Séville rue Romero ma chère Léa Doudou
Bon anniversaire mon amour
Un très bel anniversaire à notre fille d’amour, nous t’aimons très fort ti boubou !
Bon Ramadan à tous les Bonbons Muslim !
Du regard de la rue ou des nuits sans fin, artiste aux lignes d’or dans les mains. @iheb.from.earth, le temps n’oublie rien.
Joyeuses Pâques à tous les Bonbons
Bon anniversaire mes amours ; 13, 16, 25, 35 que des numéros gagnants !
32 Mars 2024 LES BONNES ANNONCES
METTEUR EN SCÈNE Christopher Luscombe AUTEUR ET COMPOSITEUR Richard O’Brien En accord avec Trafalgar Theatre Productions Réservations lido2paris.com / 01 53 33 45 50 THÉÂTRE DIRECTION Jean-Luc Choplin © Photo : David Freeman. Concpetionréalisation : Bulle de Graph. LE ROCK’N ROLL MUSICAL ENFIN SUR SCÈNE EN VO À PARIS Actuellement *