GALERIE LE MAGASIN DE JOUETS
GOLD PAULGOLD 10/03/17 8/04/17
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
VERNISSAGE LE 10/03 - 18H30 19 RUE JOUVÈNE - ARLES du jeudi au samedi de 14h à 19h et sur rdv (nicolashavette@hotmail.com) ww
EXPOSITION DU 10/03/17 AU 8/04/17
GALERIE LE MAGASIN DE JOUETS du jeudi au samedi - 14h - 19h vernissage le 10/03/17 - 18h30 19 rue jouvène - Arles Contact presse : nicolashavette@hotmail.fr www.mdj-galerie.com Contact artiste : paullgolld@gmail.com
MAIS QUI EST GOLDPAULGOLD?
Cet enfant Roi qui prend au pied de la lettre le nom du Magasin de Jouets. L’espace d’exposition devient terrain de jeu pour crash test grandeur nature. Il brouille les échelles, siphonne les symboles. Il joue avec les accidents de la vie pour nous replonger dans une impossible enfance. Nous avons grandi et nos petites voitures se balancent avec délicatesse aux bouts de nos souvenirs. Habillé d’or et de métal Le Magasin de jouets s’autorise une sortie de route avec à son bord le mystérieux GolDPauLGolD.
Sculpture/Épave - RN113 2009
BIOGRAPHIE
GoldPaulGold intègre l’Ecole Nationale de la Photographie d’Arles dont il ressort très vite. Sa pratique plasticienne l’amène dès la fin des années 90 à s’immiscer entre la fiction et la réalité, à perturber l’indice documentaire de l’image photographique et du film. Le début de son parcours est ponctué d’histoires inventées à partir de faits réels, soit pour un détail : Etienne D, soit pour une cause : Goran, l’Adolf serbe. Depuis 2001, il crée des univers, des installations ou encore des atmosphères, pour nicher le spectateur entre le réel et sa couche imaginaire. Il abandonne la fiction pour une réalité re-dessinée, ré-appropriée. Il se love dans sa réalité à laquelle il nous invite. Ses installations sont des catharsis de notre époque, posologie à administrer au plus grand nombre. Ses installations sont agressives, leur violence peine à se faire domestiquer. Il crée un monde de mémoire, « un parc des traumas » : Traumaland. Le but, montrer des choses que l’on a peur de voir, d’aller toucher. Il nous emmène là où on ne veut pas aller, mettant le spectateur face à son époque. Il nous pousse à avoir un regard responsable. Conscient de ce que l’on peut-être, avec une poésie ciselé et au final bienveillante, chaque occurence de son travail nous fait traverser un parcours initiatique.
Série « Etienne D., Que la fête commence », Polaroid 1999