160 lecteurS
AU CIRQUE
No44 No73
Le livre est beaucoup mieux que ce que j’en aurais pensé en lisant la quatrième de couverture.
A PARAĂŽTRE LE 13 AVRIL 2017 AU TRIPODE
Deux fois par an, via les réseaux sociaux, le Tripode propose à plus de 160 lecteurs de découvrir six mois avant la parution un roman publié par la maison d’édition. Ceux qui le souhaitent peuvent envoyer une critique du livre via la page Facebook du groupe, en précisant leur numéro d’abonné. Voici un florilège de leurs réactions sur AU CIRQUE de Patrick Da Silva.
No38
Chaque chapitre, comme dans les séries, a un récapitulatif. Un rappel très cartésien pour mieux s'échapper ensuite. Lu sur la quatrième de couverture: « En quatorze chapitres, quatorze stations ». Cela amène automatiquement une relation avec le chemin de croix que l’on trouve dans toutes nos églises et cathédrales.
No6
C’est un livre qui ne peut pas laisser indifférent, il est aussi violent que surprenant avec sa drôle de gouaille.
No74
J'ai trouvé le texte à la fois réussi et superficiel - Pas totalement convaincu par les partis pris et la réussite de l'ensemble, qui me semblent recouvrir une faiblesse - un vide.
No01
Françoise Sagan disait justement: « On ne sait jamais ce que le passé nous réserve », et Patrick Da Silva, fidèle à ce qu’il a développé dans ses essais, laisse au lecteur un possible trousseau de clés qui lui permettra d’ouvrir une ou plusieurs portes, car c’est le lecteur qui fait le livre. Le rythme et la structure, quelle belle orfèvrerie !
Je n'ai jamais aimé les romans policiers, les polars, etc. Ce n'est pas faute d'avoir essayé les plus "grand.e.s" auteur.e.s du o genre ca ne me parle pas. Au cirque donc, dans ce qu'il semblait dévoiler dès le début, m'a pris totalement à rebrousse poil. [...] Mais alors pourquoi souriais-je à la fin ? Pourquoi ai-je senti la nécessité de le relire ? La narration biscornue m'a captivée. Je me demande encore à quel point ces rôles de théâtre doivent être interprétés. J'ai un sentiment de 100 niveaux de lecture inaccessibles. Et à la deuxième lecture j'ai fini par entrer dans l'ambiance... A me laisser prendre malgré le style qui ne me parle pas. Ca m'a alors aussi bien évoqué le film "The Witch" de 2016 que le groupe de Black Metal Français rural crade et facho "Peste Noire".
N 18
No60
Je pense que je suis d’accord avec tout les commentaires positifs que j’ai lus sur la page Facebook.
Est-ce une enquête, un roman, un récit père fondateur, une pièce, un mythe, une série à la Top of the lake ?
L’écriture est hypnotique, l’intrigue est glaçante, l’histoire immémoriale.
Tour à tour scénario de film, polar ou pièce de théâtre, cette écriture donne un rythme à perdre haleine qui ne fait plus lâcher le livre.
N 164 o
N 58 o
N 115
No55
Ça claque , c’est sec , la scène de crime est glauque, l’histoire et son dénouement sont assez sordides. J’ai eu l’impression d’assister à la lessive de linge sale d’une famille ! Je l’ai lu en 1 heure j’ai particulièrement aimé le côté brut de l’écriture le côté anti conformiste par rapport au code traditionnel du polar. Cela reste assez inclassable (tout comme votre ligne éditoriale).
N 123 o
Vite lu, même très vite lu, en une soirée. J'ai beaucoup aimé cette tragédie burlesque, le langage fleuri de la mère, moyen utilisé pour cacher son secret, le jeu de rôle dangereux des enfants et o surtout la fin, la découverte du sens complet du livre dans ses derniers mots.
Petit bémol, je n'ai pas compris toute la conclusion...
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Cela fait quelques jours que j'ai terminé Au cirque, et je ne sais toujours pas quoi en dire.
N 59
C'est caustique, étonnant, jubilatoire. Une démonstration implacable et glaçante sur un rythme de ritournelle enfantine. Pour le lecteur, pas d'échappatoire ! Sans cesse rappelé à l'ordre, à remettre en ordre, à prendre parti, à écouter aux portes …
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N 65
LE TRIPODE