Portfolio - Louis FOURNIÉ

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Titulaire du Diplôme d'État d'Architecte Sélection de travaux Projets d’enseignements et expériences

portfo juillet 2021

Louis Fournié

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Curriculum Vitae Louis Fournié

Titulaire du Diplôme d'État d'Architecte 6 bis rue Nozeran Montpellier, 34090, France louisfrnie@gmail.com (+33) 06.38.86.70.68 Permis B

Expériences 2020

Guillaume Appriou Architecte, Plouguerneau, France Stage en agence d’architecture - 2 mois Chargé d’un projet des premières esquisses jusqu’au dossier de permis de construire. Échanges avec les clients. Visites de chantier. Relevés.

2019

Blue Tango Architectures, Montpellier, France Stage en agence d’architecture - 2 mois Relevé complet d’une maison de mâitre et production de la maquette numérique sur ArchiCAD pour premières esquisses. Visites de chantier.

2018

Thannal Handsculpted Homes, Tiruvannamalai, Inde Apprentissage sur chantier - 2 semaines Mise en oeuvre de techniques de construction terre et bambou pour la construction d’une salle de classe; du sol au mur jusqu’à la toiture.

2018

Dharmalaya Institute, Bir, Inde Apprentissage sur chantier - 2 semaines Préparation de la terre locale pour une transformation en adobes avec les locaux. Introduction au fonctionnement d’une maison autonome.

2018

AKER Design + Outils + Support, Montpellier, France Stage en agence pluridisciplinaire - 1 mois Élaboration de la signalétique et scénographie d’une médiathèque. Mise en page du dossier du concours, par la suite remporté.

2017

Nicolas Serra Plombier, Villeneuve Sur Lot, France Stage en entreprise de plomberie - 2 semaines Mise en place de réseaux sur chantiers.


Formation 2021

École Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier (ENSAM), Montpellier, France Master en Architecture - obtention du Diplôme d'État d'Architecte

2015

Institution Sainte Catherine, Villeneuve Sur Lot, France Baccalauréat scientifique - mention européenne bien

Travaux et disctinction 2021

Projet de Fin d'Études Le commun à l'épreuve du PFE Entre processus et protocoles, comment se construit la situation de projet ? Cas d'études : le chai Saint-Raphaël et les jardins ourviers avec Alice Charreyron, Léa Tréhout, Zakaria Vial - encadré par Alexis Lautier

2020

Mémoire Vers une architecture de l’accueil en France Questionnements théoriques et pratiques sur le devenir des villes françaises face à la crise migratoire actuelle Sous la direction de Annabelle Iszatt

2018

Association pour la Recherche et la Promotion de l’Architecture en Languedoc (ARPAL) Organisation de conférences, d’expositions, de visites de chantier, de voyages pédagogiques, du gala de fin d’année Président de l’association

2018

1er prix au Concours «Résidence étudiante du Futur», CROUS Occitanie, mention Lien Social Avec Maxime Geles - exposé à l’ENSA Montpellier

Compétences Architecture

Langues

Relevés Réalisation de maquettes Dessin 2D: AutoCAD Dessin 3D: Archicad, SketchUp Graphisme: Adobe Photoshop, Adobe InDesign, Adobe Illustrator Vidéo: Adobe Premiere Pro Audio: Adobe Audio, Audacity Bureautique: Suite Microsoft Office Données: QGIS Français - langue maternelle Anglais - langage courant, parlé Espagnol - niveau B2, LanguageCert USAL esPro Italien - niveau baccalauréat, notions de base


Le commun à l'épreuve du PFE Quels outils et quels protocoles d'action sont à la disposition des étudiants et des architectes, pour construire une situation de projet ?

Nous nous sommes posés cette question collectivement et avons décidé de mener le projet de fin d'études à quatre étudiants, quant l'école nous suggère d'effectuer cet exercice individuellement. La présente recherche propose d'examiner le processus de projet. Elle met aussi en avant l'importance de faire collectivement, cela au travers de deux cas d'études étant chacun passé entre les mains des quatre étudiants. Un arpentage de la ville de Sète, des rencontres avec une multitude d'acteurs et des aller-retours incessants avec le terrain nous ont mené à deux sites : le chai Saint-Raphaël (ancien bâtiment de production vinicole reconverti en résidences d'artistes) et les jardins cheminots (jardins ouvriers accolées aux voies ferrées dans une zone où la municipalité projette de grands aménagements urbains). Des outils de projet récurrents apparaissent : immersion sur les sites, comptes-rendus réflexifs, carnets de bord communs, glossaire, podcasts, captations sonores. Des valeurs sont mises à jour : la valeur d'usage et le commun. Il est question de voir comment ces valeurs portent le projet et peuvent intervenir à des échelles urbaines, paysagères et architecturales.

projet de fin d'études - domaine Situation.s encadré par Alexis Lautier jury : Marion Devillers, Adrien Heinrich, Yohann Hubert, Célia Picard, Pascale de Tourdonnet année 2021 avec le Collectif Rue de la Révolution : Alice Charreyron, Léa Tréhout, Zakaria Vial à Sète, France


Ce projet de fin d'études met en exergue le processus plutôt que l'objet fini et tente d'élargir notre boîte à outils en enrichissant ceux que l'on a en main après cinq ans d'étude par des outils plus singuliers liés au terrain. Finalement, ce PFE réalisé en commun est une étude pour voir comment travailler ensemble, nous y avons découvert les valeurs que nous porterons hors les murs de l'école : la valeur d'usage de l'espace (primant sur sa valeur d'échange) et des façons de Organigramme des rencontres faire les espaces de façon commune. XW]Z Y]M KM [WQ\ ]V XM] XT][ KTIQZ

Révolution

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ctivation, moine, ommun.

Le chai Saint Raphaël


Laisser place à l’invention,

les installations paysagères pour constituer un paysage commun

Quelle relation entre nos deux zones d’intérêt (les jardins et la Z.A.E) ? Entre ces deux mondes se trouve un intervalle en friche, actuellement non qualifié, inexistant, nous y avons vu à la fois un lien et une limite supplémentaire entre les jardins et la zone d’activités, un interstice dans lequel cheminer, entre deux mondes distincts. Nous avons projeté dans ce délaissé des architectures signales, imposant leurs couleurs et leurs formes, elles jalonnent le cheminement tels des jouets urbains monumentaux. Tout d’abord, elles fonctionnent ensemble et dialoguent avec les repères paysagers peuplant la zone industrielle et la future ZAC. Ces folies permettent de renforcer le caractère inaccessible des jardins tout en les donnant à voir partiellement, une façon de les révéler sans en altérer le fonctionnement. Elles ont ensuite chacune un rôle singulier et permettent de traiter des endroits clés de cette zone urbaine. Elles proposent des programmes souples, laissant libre court à l’invention de pratiques et d’usages. - Le grand cylindre rouge hiérarchise les flux de circulation entre l’entrée des jardinots, la route départementale et la ZAC, tout en proposant au piéton de s’élever pour contempler les jardins en contrebas et les sites industriels à l’abandon. - Les piliers jaunes marquent la limite entre les jardins ouvriers et le cheminement. Ils prennent place à la lisière de nouveaux jardins ouvriers à investir. Ils permettent aux nouveaux jardiniers de remplir l’espace entre les poteaux pour fermer leur espace de culture : la barrière ainsi créée participe à l’ambiance du cheminement, en donnant à voir les tôles, le grillage, le bois, et autres matériaux de remplissage. - Le haut volume bleu prolonge la perspective des piliers jaunes et donne une identité à une place publique établie dans un espace en friche, actuellement une décharge. La place et le mille pattes bleu sont des supports pour de multiples usages : du simple arrêt à des événements festifs ponctuels ou saisonniers. La mise en place du nouveau P.L.U et la structuration de la bande délaissée au travers des installations paysagères sont finalement un seul et même projet : la qualification de la zone est de Sète en pleine transformation. Les projets se complètent, ils sont interdépendants : la Z.A.E est rendue accessible par ce nouveau cheminement et le parc en longueur accueillant les folies s’élargit au travers de la Z.A.E et ses vergers.

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Plans masse échangeur à piétons

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Règlement Règlement

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PLU approuvé par DCM le : 10 février 2014 DATE

Modification simplifiée n°1

03 novembre 2014

Modification n°1 PLU approuvé par DCM le :

15 décembre 2014

Modification n°2par DCM le : 10 février 2014 PLU approuvé 10 février 2014 Modification simplifiée n°2 PROCEDURE Modification n°3 PROCEDURE Modification simplifiée n°1

23 mai 2016

Modification n°1 Modification simplifiée n°1

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Plans masse limite

Plans masse mille-pâttes

Dossier approuvé par le Conseil Municipal en date du

PROCEDURE

28 novembre 2016 DATE 17 septembre 2018 DATE 03 novembre 2014

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Visa : Dossier approuvé par le Conseil Municipal Dossier approuvé par en date du le Conseil Municipal en date du

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PLAN LOCAL D’URBANISME

Vue depuis le nouveau cheminement, interstice entre la Z.A.E et les jardinots

un nouvel espace à s’approprier, incitation à l’arrêt, architecture support

le PLU, un outil pour lôtir en commun, révéler les usages par un paysage commun.


Les jardins cheminots et la ZAE

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Une ferme, des usages Ce travail a été l’occasion de commencer à travailler in-situ sur un ancien Mas agricole en pleine réhabiliation, aux côtés des agriculteurs, porteurs de projet à l’échelle nationale et ainsi d’y comprendre de réels enjeux sur le devenir de ces bulles nourricières en périphérie des villes. Le confinement ayant mis fin à cette situation, il a fallu continuer à interroger un programme agricole frugal établi pour s’ouvrir au public et à de nouvelles pratiques. L’imaginaire que développait ce mas historique aux habitants du village voisin a été notre première entrée pour envisager son devenir. Ce retour nous a permis de requestionner l’attrait, la légitimité de ce Mas financé par l’État comme équipement public pour ce village ou simplement projet pilote dans la reconquête de la biodiversité et d’une agriculture vertueuse. Le travail suivant est celui d’une réflexion sur un modèle public, un modèle agricole et finalement l’interaction évidente entre ces deux modèle pour une ville nécessairement agricole. Une mise en évidence de temporalités poreuses dans la pratique agricole et l’utilisation des espaces pourrait alors amener à rendre cet espace hybride et ouvert à la pratique urbaine. Tout en requestionnant les outils de représentation conventionnels, cette réflexion a pris vie sous la forme de textes d’intentions et de références, ainsi que d’images imaginaires appelées fertiles qui cultivent un imaginaire sans le figer dans l’espace

projet d’enseignement S8 - domaine Situation.s encadré par Yannick Hoffert, Benoit Bret et Germana Civera année 2020 avec Birce Birgen et Alice Charreyron à Fabrègues, France // en visio-conférence, Zoom


modèle agricole

équipement public


Situation-s ENSAM S8

Le Mas Mirabeau Agro-écopole

micro-architecture Livret conceptuel 03.03.2020 Alice Charreyron Adrien Destaing Louis Fournié Rémy Rodrigue Sacha Gasteix Birce Birgen

porte à girafe, porte à lutin nous aimerions passer en ton sein

à girafe, porte à lutin porteporte à girafe, porte à lutin nous aimerions passer en ton sein nous aimerions passer en ton sein 34

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faire entrer la ville dans l’agricole

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Pierre Janin, architecte et agriculteur évoquait que les lieux agricoles hybrides ne devaient pas être seulement issus d’un mouvement de l’urbain vers le rural mais également du rural vers l’urbain. Où positionner le curseur dans la cohabitation de ces usages ? L’usage du lieu agricole vient à changer au fil des saisons, notre programme doit-il permettre d’en faire autant pour les espaces à venir ? Comment donner accès à un lieu agricole pour un public sans que cela dénature autant l’imaginaire de ces lieux que sa fonction et ses valeurs ?

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carte des représentations habitantes


Ville à pied, ville productive Requestionner la ville aujourd’hui; qu’est ce qui fait ville ? Repenser l’épanouissement de l’habitant par la cohésion avec son milieu, repenser la fabrique de la ville par rapport à la conservation de ses terres fertiles. Dans un quartier où il reste des terres agricoles mais encombré par la voiture et bordé d’axes routiers majeurs, il est fait la proposition que la voiture qui ne peut être effacée, ne doit plus définir les formes urbaines ainsi que les manières d’habiter l’espace. Requalifier chaque espace routier, le rendre au piéton et ainsi le faire vivre et le laisser appropriable. Refaire la vie dans la rue par la liberté, la voiture ne doit l’identité propre à chacun. En nous plus définir les appuyant sur les réflexions de Philippe manières d’habiter Madec sur la ville pantoufle, l’intention est de faire une ville piétonne de proximité, où les transports en communs et les voitures sont au maximum à 5 minutes à pied de chaque habitation Les commerces restent de proximité, les espaces sont à taille humaine. Le quartier vient ensuite se dessiner de chaque côté de cette axe piéton selon sa topographie et ses sols. D’un côté on s’inscrit dans la pente et dans la communication avec la pratique agricole du site et de l’autre côté on vient créer la densité pour vivre un tel espace et permettre une telle générosité tout en conservant de larges espaces de pleine terre.

projet d’enseignement S7 - domaine Art & Architecture encadré par Patrick Buffard et Guillaume Morlans année 2019 avec Alizée Deloire au quartier Malbosc, Montpellier, France


ref. Philippe Madec



la ville en pantoufle, penser une ville nourricière à l’échelle piétonne.


Dharmalaya Institute Une année de césure m’a conduit avec deux autres étudiants à voyager en Asie et c’est ainsi que je suis venu me perdre dans l’Himalaya indien pour prendre part à une expérience de vie alternative. Cette autre façon de faire passait également par une autre construction et c’est au près des locaux que nous avons appris à construire en terre et plus précisement en adobes. Après avoir passé au tamis la terre locale, nous l’avons mélangé à de l’eau plusieurs jours directement avec les pieds pour obtenir la consistance nécessaire à une bonne tenue. Cette terre est ainsi placé dans différents moules, de différentes tailles en fonction de leur usage dans le mur futur. Nous avons également pu prendre part au cours de ces 10 jours à la mise en place des adobes dans la construction de nouvelles maisons au sein du complexe ainsi qu’à la phase de finition où la même terre est utilisée comme enduit par dessus les adobes pour unfier le mur devenu monolithique.

année 2018 avec Prune Perris et Shana Rouaix à Bir, Himachal Pradesh, Inde



Thannal, hand-sculpted homes Toujours en Inde, c’est dans le sud du pays que j’ai eu la chance de participer à un second workshop de 10 jours uniquement accès sur la construction durable et issue de la nature avec de la terre locale, des bambous et beaucoup de techniques issues de feuilles et plantes de la région. Nous avons ainsi au cours de cette formation participé à la construction de l’extension de la salle de cours du complexe en commençant de rien pour venir faire le sol, le toit ainsi que le mur. Nous avons pu expérimenter différentes techniques de construction à travers ce mur nottament les fondations pierre, les adobes, le torchis et la terre condensée qui sera enduit de mélanges de terres colorées pour la finition. Nous avons également pu découvrir des techniques de traitement de bambous pour renforcer la durabilité et solidité, la construction en urgence avec des sacs de sable; le traitement des sols avec de la chaux pour éviter naturellement les parasites ou encore la construction d’un toit à structure bambous avec de nombreuses couches isolantes faites autant de branches, de terres que de feuilles.

année 2018 avec Prune Perris et Shana Rouaix à Tiruvannamalai, Tamil Nadu, Inde



Habiter collectivement À la demande du CROUS, ce projet vient retravailler le logement universitaire pour inventer de nouvelles façon de cohabiter. Notre logique est alors d’installer une nouvelle morphologie d’hybridation en reprenant la barre, l’ilot et la maison individuelle. Le bâtiment s’appuie sur de nouveaux sols avec des systèmes de dalles sur lesquelles se disposent des cellules. Afin de préserver la densité nécesaire et créer des liens sociaux, il est imaginé ramener les espaces salon/cuisine à l’extérieur des cellules créant alors de larges espaces de vie commune non chauffés où la vie s’organise en regroupement de trois à cinq chambres autour de ces salons communs. Avec plusieurs seuils du public vers le privé à plusieurs jusqu’à l’intime, une grande collocation vient permettre la rencontre et l’autonomie essentielles pour cette vie étudiante. Aussi pour ramener de la vie dans ce quartier et faire rayonner l’activité étudiante, le rez-de-chaussée est pensé public/privé et traversant avec des espaces verts, des pistes cyclabes, commerces de proximité et un café avec à rencontre nouveaux différents seuils d’ouverture entre l’autonomie la résidence et le tout public sur la rue.

la et essentielles pour l’étudiant

projet d’enseignement S6 - logements collectifs encadré par Jean Rehault année 2018 avec Maxime Geles à la résidence Vertbois, Montpellier, France

premier prix « lien social »,

lauréat du concours CROUS Occitanie «Résidence Étudiante du futur».




hybrider la barre, l’ilot et la maison individuelle, autonomie collective.


Dancing Queen Venir expérimenter la matière, la terre, le ciment, le béton; à l’échelle 1:1 ou en maquette, pour compléter et donner de l’ampleur au propos.

danser, perché à 9 mètres de haut au-dessus de la ville

Situé dans un espace naturel fortement végétalisé qui surplombe la ville et prend place à côté de l’école d’architecture; le projet est un espace de danse réservé aux étudiants mais qui s’ouvre également à une pratique publique et des évènements ouverts sur la ville. Le projet regroupe ainsi une entité publique, une privée et un espace de représentation où les deux se rencontrent. Ces espace modélés en fonction des besoins du bâtiment sont reliés par des espaces ouverts sur l’extérieur que l’on choisit de délimiter ou non. Alors formés, ces nombreux patios et puits de lumière illuminent et font respirer l’ensemble du projet.

Ce plan facilement lisible participe à la création de multiples déhambulations, recoints et passage tant intérieurs, extérieurs que sur les toits totalements investis. Une place sur le toit principal permet de donner une nouvelle dimension à la danse, perchée à 9 mètres de haut au-dessus de la ville. Aussi cette alternance d’espace intérieurs, cours, patios et hauteurs de plafond différentes met en mouvement le bâtiment et donne une place importante aux espaces dits résiduels dans l’ambiance générale.

projet d’enseignement S5 - Architecture / Equipement et Espace Public encadré par Jean-Luc Lauriol année 2017 avec Laetitia Sallé et Clara Lecarme au Collège des Écossais, Montpellier, France




éprouver le matériaux, entrer dans le projet par la matière, la terre, le béton.


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Vers une architecture de l’accueil en France

Questionnements théoriques et pratiques sur le devenir des villes françaises face à la crise migratoire actuelle. REALISE A L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION ETUDIANT «Nous pensons que l’architecture oeuvre à une installation possible de l’homme sur Terre ; l’habitat n’a de sens que si et seulement si l’on parvient à donner à l’ habitat une dimension qui ouvre à l’habiter; ce n’est qu’à cette condition que l’homme retrouve son véritable projet d’installation et d’appropriation de l’ espace.»

Bernard Salignon.

Penser l’accueil pour ceux qui arrivent.

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mémoire de Master en architecture encadré par Annabelle Iszatt années 2019-2020

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REALISE A L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION ETUDIANT

Cette étude cherche à questionner les modèles de fabrique de 5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17 5($/,6( $ / $,'( ' 81 352'8,7 $872'(6. 9(56,21 (78',$17 nos habitat, de nos villes en mettrant au centre de la pensée architecturale la notion d’Habiter. Si des solutions existent au présent pour encadrer les populations migrantes, sont-elles pensées pour REALISE A L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERS pouvoir accueillir inconditionnellement et permettre à ces nouveaux arrivants d’habiter le territoire et de s’y installer? Les modèles actuels permettent-ils d’espérer une production pérenne de la ville accueillante?


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REALISE A L'AIDE D'UN PRODUIT AUTODESK VERSION ETUDIANT

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Asie formatrice Après trois années à engranger du savoir théorique, il était temps de prendre une année de césure ! Munis de nos sacs à dos, changeant de place tous les 2-3 jours; notre voyage a commencé dans le nord de l’Inde, à la recherche des hauteurs de l’Himalaya avant de redescendre à la rencontre des magnificences et de la sécheresse du Rajhastan en terminant sur les terres saintes hindous de Varanasi. Se poursuit alors notre périple dans le sud du pays, qui nous amène à découvrir une culture et des paysages opposés où différentes rencontres nous ferons intégrer une colocation dans la ville francophone de Pondichéry. Après quelques escales, au Sri Lanka ou en Thaïlande, le voyage se poursuit au Vietnam où nous traversons le pays du nord au sud armés de nos scooters; passant des rizières, à des baies lunaires tout en passant au coeur de métropoles en ébullition. Hong Kong vient comme un point final à ces différents mois où l’on se perd entre les tours bondés et les petits villages de pêcheurs témoins d’une culture encore inchangée.


jodhpur, Inde

pondichéry, Inde

cat ba, Vietnam

jaipur, Inde

tai o, Hong Kong


merci Louis Fournié louisfrnie@gmail.com (+33) 06.38.86.70.68

issuu.com/louisfrnie linkedin.com/in/louisfournie


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