Paperjam1 novembre 2014 supplément MM20ans

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NOVEMBRE 2014

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SUPPLÉMENT

La métamorphose, une histoire Hermès

Chronographe « Dressage » en acier, cadran argenté, bracelet en alligator mat 13, rue Philippe II Luxembourg Tél. (352) 220 981 Hermes.com

Éditorial

20 ANS ET UNE SEULE PASSION

C

’était il y a 20 ans, mais c’était presque la pas passer à côté de l’occasion de coucher, sur papier, les préhistoire… En 1994, Jean-Claude Juncker plus belles pages de son histoire. n’est pas encore Premier ministre ; Xavier Ce supplément spécial que vous avez entre les mains n’est Bettel est tout juste élu président des jeu- qu’un amuse-bouche, un avant-goût du volumineux nesses libérales ; il n’y a qu’un seul opé- ouvrage, Happy Inventory, édité par Maison Moderne : plus rateur téléphonique au Luxembourg ; de 500 pages qui permettront, à tous les amoureux des l’Europe ne compte que 12 États membres ; médias, des magazines, des success-stories made in Luxembourg Marc Zuckerberg fête ses 10 ans et très peu de gens savent ou tout simplement de l’histoire du pays, de retracer ces 20 années qui ont filé à vitesse grand V. que le Qatar existe…

1994, c’est aussi l’année que choisit Mike Koedinger, alors Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les couà peine âgé de 24 ans, pour débuter, seul, une aventure lisses des marques média qui font l’histoire et la fierté de passionnante qui va le mener, 20 ans plus tard, à la tête du Maison Moderne vous y est présenté sous différentes formes. premier groupe indépendant de médias au Luxembourg, Et si, dans ce supplément, nous nous sommes limités à ne occupant près de 90 salariés et produisant, chaque année, choisir que 50 covers marquantes, Happy Inventory en recense des milliers de pages de contenus de haute qualité. plus de 500, comme autant d’étoiles accrochées dans un ciel 20 ans, c’est à la fois très peu et beaucoup. Suffisant, en aux reflets multicolores, symbole de la richesse et de la divertous les cas, pour qu’une entreprise, individuelle au sité de tout ce que la société a produit en 20 ans. départ, se transforme au fil des ans en une success-story Plus qu’un éditeur de presse magazine, Maison Moderne quasi perpétuelle. Ces deux décennies qui viennent de revendique aujourd’hui une position majeure dans l’édis’écouler ont vu la maison d’édition naître, grandir, se tion et la diffusion de contenu de qualité. Au fil du temps, développer, créer des marques fortes (d’autres disparaître), nous nous sommes diversifiés, en suivant une stratégie de et grandir encore pour s’imposer aujourd’hui comme le développement ambitieuse, soutenue par près de 90 colla­ principal acteur indépendant sur la scène médiatique borateurs engagés et dévoués. luxembourgeoise. Une entreprise qui, parallèlement, en Désormais, l’entreprise englobe des services allant de la 20 ans, a vécu l’évolution de tout un pays, tant au niveau régie publicitaire au Paperjam Club (le plus important club culturel qu’économique et sociétal. d’affaires actif au Luxembourg), en passant par son agence Cette date anniversaire, hautement symbolique, peut se de communication spécialisée en content marketing, le décliner sous de multiples aspects : 20 ans de presse indé- tout supporté par un studio créatif interne habitué des pendante, 20 ans de passion pour l’édition de qualité, 20 ans récompenses. d’événements fédérateurs et de networking… Bref : 20 ans Ce 20e anniversaire sonne comme une nouvelle étape de Maison Moderne, le nom pris en 2010 suite au regrou- importante de la vie de Maison Moderne. En regardant cet pement en une seule entité de la société mère historique inventaire que nous avons dressé, nous sommes convainMike Koedinger Éditions avec sa cus que l’histoire ne fait que comrégie commerciale Tempo ! et son mencer. Des chapitres comme studio graphique INgrid. celui-là, nous en avons encore Par Jean-Michel Gaudron, Pour marquer le coup d’un tel évébeaucoup d’autres à écrire. Nous rédacteur en chef de Paperjam comptons sur vous pour continement, une maison d’édition digne de ce nom ne pouvait évidemment nuer à les lire. ◄

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www.pwc.lu

On n’a pas tous les jours 20 ans.

Bon anniversaire et ! e n r e d o M n o s i a M à longue vie

© 2014 PricewaterhouseCoopers, Société coopérative. Tous droits réservés. Dans le présent document, « PwC Luxembourg» fait référence à PricewaterhouseCoopers, Société coopérative (Luxembourg), qui est une société membre de PricewaterhouseCoopers International Limited (« PwC IL ») dont chaque entité membre est indépendante et distincte, et dont les actes ou omissions ne sauraient en aucun cas engager la responsabilité de PwC IL.

Sommaire

Jean-Claude Bintz, Mike Koedinger, Christian Aschman et Frédéric Humbel le 7 octobre 1994 au cocktail de lancement d’Explorator.

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Interview

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Testimonials Historique

J’ai toujours été bien entouré Maison Moderne, il y a 20 ans, c’était un seul homme : Mike Koedinger.

Interrogé sur hier, aujourd’hui et demain, l’entrepreneur féru d’édition et de design livre un regard passionné et réaliste sur cette formidable aventure entrepreneuriale et humaine, mais aussi sur un métier en pleine mutation avec l’essor des médias numériques et la mutation des modes de consommation des lecteurs.

C’est vous qui le dites !

Nous vous avons donné la possibilité d’exprimer en quelques mots, en quelques phrases, ce que Maison Moderne évoquait pour vous. Voici un florilège des réponses que nous avons reçues.

20 années à 100 à l’heure Depuis la toute première publication éditée en 1994 jusqu’à la cérémonie du 20e anniversaire, le développement de Maison Moderne, entreprise individuelle devenue une PME de plus de 80 salariés, s’est fait sur un rythme très soutenu. Coup d’œil dans le rétroviseur.

Quiz

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Publications Le livre

Qui a dit quoi ?

En 20 ans, les phrases choc, amusantes, insolites ou inattendues n’ont pas manqué d’égayer les nombreuses publications éditées par Maison Moderne.

Saurez-vous rendre à chaque citation son auteur ?

50 covers marquantes Archiduc, City Mag, Delano, Désirs, Explorator, Graffiti, Nico, Nightlife, Paperjam, Rendez-Vous…

Quelque 500 publications ont été éditées, en 20 ans. Nous avons choisi 50 couvertures qui nous ont particulièrement marqués.

Happy Inventory À l’occasion de son 20e anniversaire, Maison Moderne publie un livre exceptionnel, revenant sur 20 années d’une formidable aventure entrepreneuriale, mais aussi sur l’évolution de la vie politique, économique et culturelle du pays.

Un ouvrage de référence de 512 pages à ne manquer sous aucun prétexte.

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TEXTES : JEAN-MICHEL GAUDRON ET JÉRÔME RUDONI PHOTO : DAVID LAURENT

MIKE

KOEDI NG

J’AI TOUJO U BIEN EN RS ÉTÉ TOURÉ ER

Maison Moderne, il y a 20 ans, c’était un seul homme : Mike Koedinger.

Interrogé sur hier, aujourd’hui et demain, l’entrepreneur, féru d’édition et de design, livre un regard passionné et réaliste sur cette formidable aventure entrepreneuriale et humaine, mais aussi sur un métier en pleine mutation avec l’essor des médias numériques et la mutation des modes de consommation des lecteurs.

Un entretien réalisé le 22 août 2014 à Bonnevoie, fief de l’éditeur.

MIKE

Koedinger, s’il fallait expliquer Maison Moderne en quelques phrases en version « elevator pitch »… « Maison Moderne est la première entreprise média indépendante du Luxembourg. C’est d’abord un éditeur de presse magazine spécialisé dans l’édition de contenu de qualité, avec un mode de distribution multicanal qui vise des marchés de niche et des communautés bien identifiées. Aujourd’hui, la société emploie quelque 80 personnes et met également son expérience, ses compétences et son réseau au service de clients via sa régie publicitaire et son agence spécialisée en content marketing. Avec Paperjam Club, Maison Moderne dispose par ailleurs du premier club d’affaires au Luxembourg qui est aussi un centre de formation agréé. Pour le dire autrement, c’est Maison Moderne qui édite les meilleurs magazines au Luxembourg et qui organise des soirées qui se font remarquer.

D’une entreprise unipersonnelle à la « première entreprise média indépendante du Luxembourg », quelles ont été les étapes marquantes ? « Pendant les 10 premières années, c’est d’abord la multiplication des marques média. Explorator, Nightlife.lu, puis Nico avec une orientation ‘lifestyle’, d’un côté ; Paperjam et Index, désormais Paperjam Guide orientés ‘business’, de l’autre. Ce sont des années d’apprentissage et d’expérimentation, mais il y avait déjà ‘tout’ : du ‘print’, du digital et de l’événementiel.

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FONDAMENTALEMENT, NOUS SOUHAITONS « FAIRE AVANCER » LE PAYS, CONTRIBUER AU CHANGEMENT SOCIÉTAL ET PARTICIPER À SA MODERNISATION. Mike Koedinger, Éditeur et fondateur de Maison Moderne

I N T E R V I E W

2014

UNE GOUVERNANCE RENFORCÉE Au moment d’entrer dans sa 20e année calendaire, Maison Moderne a choisi de mettre en place un nouveau modèle de gouvernance, pour se donner davantage les moyens de ses ambitions.

La société comptait déjà sur un pool d’actionnaires tous « internes » à la société, mis en place lors de la création de Maison Moderne fin 2010 : les actionnaires « historiques » Mike Koedinger, Francis Gasparotto et Guido Kröger avaient été rejoints par JeanMichel Gaudron (rédacteur en chef de Paperjam) et Rudy Lafontaine (COO).

Un conseil d’administration est désormais en place, renforcé par l’apport de deux multi-entrepreneurs : Jean-Claude Bintz (nommé président) et Daniel Schneider. Les quatre autres membres sont ceux du comité de direction (Mike Koedinger, Francis Gasparotto, Guido Kröger et le directeur administratif et financier, Étienne Velasti).

En 2004, nous étions 15 employés. C’est le début d’une nouvelle période. Paperjam lance sa nouvelle formule, passe de 5 à 20.000 exemplaires diffusés et à un grand format. Nous avions bien préparé notre coup et nous visions déjà les 50.000 lecteurs. Ce fut clairement un nouveau palier pour l’entreprise.

Avec le succès de cette nouvelle formule sont venues ensuite les premières commandes de clients pour éditer leurs propres magazines : d’abord Flydoscope en 2005, puis City Mag en 2006. Des relations de long terme se sont installées avec LuxairGroup et la Ville de Luxembourg. Parallèlement à l’activité grandissante au Luxembourg, il y avait la volonté de s’internationaliser. Nico est devenu annuel, avec une diffusion dans une trentaine de pays et des business plans étaient rédigés pour implanter Paperjam en Belgique et en Suisse.

Le symposium Colophon fut créé et Luxembourg devint la plaque tournante pour la presse magazine indépendante du monde entier.

En 2009, ce fut, en quelque sorte, le réveil. Nous avons clôturé l’année 2008 avec 42 collaborateurs sur le payroll et un ralentissement substantiel des investissements publicitaires suite à la crise financière ‘post-Lehman Brothers’. Ce fut l’occasion d’une grande remise en question. Nous avons décidé de geler les projets de développement à l’international pour nous concentrer à 100 % sur le marché luxembourgeois.

Nous en sommes venus à la conclusion qu’il reste encore beaucoup à faire au Luxembourg. Ainsi, et malgré la crise, nous avons lancé le magazine d’architecture Archiduc en 2010, puis le mensuel anglophone Delano en 2011. Nous sommes passés d’un mode de croissance par opportunités à un mode de croissance stratégique.

Nous avons alors fusionné les trois sociétés opérationnelles (l’éditeur MKE, la régie commerciale Tempo! et le studio graphique INgrid) pour créer la nouvelle marque Maison Moderne. Des dirigeants de l’entreprise ont rejoint l’actionnariat et nous avons commencé à nous intéresser à un nouveau mode de gouvernance que nous avons finalement mis en place début 2014.

Nous nous diversifions parallèlement : la régie commerciale accepte des mandats externes, l’agence de communication se met en place, l’édition de livres démarre et le Paperjam Club se déploie…

L’une des particularités de vos publications, c’est d’être essentiellement éditées en langue française.

Pourquoi ce choix ? « Le français est tout simplement la première langue véhiculaire au Luxembourg. Pour un éditeur indépendant qui ‘doit’ être rentable pour exister, la question ne se pose pas vraiment. Maison Moderne est particulière dans le petit monde des médias au Luxembourg. Tout d’abord, il s’agit du seul grand éditeur presse qui ne bénéficie pas d’une aide financière de l’État. Ensuite, il s’agit du seul média qui ne s’adresse pas seulement à l’électorat luxembourgeois, mais à tous les résidents et aussi aux frontaliers. Avec le français, nous touchons déjà le plus grand nombre. Nous avons également ajouté l’anglais pour toucher en plus la communauté ‘expat’ de la place financière et de l’économie digitale. En tant qu’éditeur indépendant, nous nous intéressons d’abord à nos lecteurs, puis à nos annonceurs. Nous ne servons,

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en revanche, pas d’autres intérêts, qu’ils soient de partis politiques, de syndicats ou encore de cultes.

Au contraire, nous souhaitons inclure le plus grand nombre de personnes dans le processus démocratique général du pays.

C’est votre définition de la ligne éditoriale de Maison Moderne ? « Notre indépendance ? Oui. Nous sommes indépendants, nous sommes aussi business friendly, sans pourtant être naïfs, et nous portons aussi un regard critique sur ce qui se fait au Luxembourg.

Fondamentalement, nous souhaitons ‘faire avancer’ le pays, contribuer au changement sociétal et participer à sa modernisation. Nous souhaitons également contribuer à son rayonnement international.

Cela se retrouve dans de nombreuses contributions qui mettent en avant des personnes qui prennent des initiatives, qui bougent et qui innovent. Mais cela ne nous empêche pas de sortir des histoires quand cela se passe moins bien.

Encore une fois, nous n’avons pas d’intentions cachées. Nous sommes progressifs, probusiness et notre sens des responsabilités envers la société est en quelque sorte le garant de notre indépendance.

Et demain ? « Nous continuerons à créer du contenu pour des communautés, tout en gardant un regard pour l’ensemble. Et nous continuerons à proposer aux marques-annonceurs de les mettre en relation avec ces communautés. L’édition indépendante restera au centre de nos préoccupations, la diversification de nos activités nous permettra d’occuper une place significative dans le paysage médiatique au Luxembourg et de pérenniser l’entreprise. Maison Moderne sera toujours précurseur et prescripteur.

Parallèlement au développement de Maison Moderne, les médias au Luxembourg ont aussi évolué.

Comment analysez-vous cette évolution ? « Il faut voir d’où l’on vient et se remettre dans le contexte d’il y a 20 ans. Luxembourg venait tout juste d’avoir un programme TV quo-

tidien ! Avant cela, et ce depuis 1969, les familles luxembourgeoises se retrouvaient devant leur téléviseur le dimanche après-midi pour regarder ‘Hei Elei Kuck Elei’ de 13 h à 15 h. Avec l’arrivée du programme quotidien de RTL, l’actualité s’est retrouvée, du coup, diffusée en soirée, et donc avant la parution des quotidiens du lendemain matin.

C’est aussi à cette époque qu’est intervenue la libéralisation des fréquences radio, avec la création des stations privées comme Eldoradio, DNR, Radio Ara ou encore Radio Latina et, finalement, la radio publique 100,7. Du côté de la presse écrite, on remarque d’abord l’arrivée progressive des titres francophones (Le Jeudi, Le Quotidien, La Voix du Luxembourg), puis de la presse gratuite (L’essentiel, Point24). On peut aussi observer une professionnalisation de la presse magazine et, bien entendu, l’importance croissante jouée par les sites web éditoriaux.

Si je devais citer les trois principales réussites au niveau des médias au Luxembourg au cours des 20 dernières années, je dirais, sans hésiter : le lancement du programme TV quotidien de RTL, qui est devenu le média le plus influent sur les Luxembourgeois, L’essentiel, qui a chamboulé complètement le paysage de la presse quotidienne – c’est un succès commercial inattendu – et Paperjam, qui est devenu le titre indépendant avec la plus grande audience et qui prouve, par l’occasion, que l’économie peut intéresser un large public.

Quelles sont aujourd’hui les menaces pour la presse au Luxembourg ? « Le plus grand danger est d’abord le mauvais journalisme. Les lecteurs ne sont pas dupes et, aujourd’hui, ils sont hyper sollicités, tout à la fois par des marques média luxembourgeoises, mais aussi par de très nombreuses marques étrangères et puis, évidemment, aussi par les médias sociaux, qui traitent simultanément l’actualité individuelle, microlocale, régionale, nationale et planétaire...

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PHOTOS: MAISON MODERNE, JEREMY LESLIE

I N T E R V I E W

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LE PLUS GRAND DANGER POUR LA PRESSE EST LE MAUVAIS JOURNALISME.

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Mike Koedinger, Éditeur et fondateur de Maison Moderne

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Lorsque vous étiez ce jeune entrepreneur qui, à peine âgé de 23 ans, a décidé de se lancer dans l’édition, comment imaginiez-vous votre société 20 ans plus tard ? « À 23 ans, j’étais bien plus concentré sur la réalisation du prochain Explorator que sur ce qu’il se passerait dans les trois ou cinq années suivantes. Mais une chose est certaine : je n’avais aucun doute sur le fait de toujours exercer ce métier. Et aussi de travailler à mon compte.

Cependant, la ‘vision’ s’arrête là. Il n’y avait pas de business plan, pas de stratégie de développement, même si, à 23 ans, j’avais déjà huit années d’expérience en édition et en création d’événements. Ma première publication, je l’ai lancée à 15 ans. Mes premiers événements, je les ai organisés à 18.

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Ensuite, il ne faut pas oublier les entreprises digitales – des structures internationales qui sont sur plusieurs créneaux simultanément : la technologie, la création et la distribution de contenus, ainsi que la commercialisation de leurs communautés. Je pense évidemment à Google, Apple, Amazon, YouTube ou encore Facebook. La question me semble être : ‘Combien de médias nationaux un pays pourra-t-il encore se payer ?’

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Conseil d’administration

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Modèle mis en place depuis janvier 2014.

Nombre d'employés 89

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À l’inverse, aujourd’hui, quel regard portez-vous sur le jeune éditeur que vous étiez à 23 ans ?

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« Je travaillais jour et nuit, j’étais animé par une passion d’apprendre et de ‘faire mieux’. Cela n’a d’ailleurs pas tellement changé. Ce qui est différent aujourd’hui, ce sont les moyens de production, l’équipe, la réputation, les marques établies, mais aussi la responsabilité de savoir que 80 collaborateurs attendent leur salaire à la fin du mois. Et puis, j’essaie de travailler ‘moins’ en me concentrant d’abord sur l’essentiel.

Heureusement, je suis entouré par une équipe merveilleuse, par des associés complices et par un conseil d’administration inspirant. Tous me permettent, ensemble, de me concentrer sur le futur de l’entreprise. J’ai toujours été bien entouré, depuis mes débuts. Cela a été ma grande chance. » ◄

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(*au 15/10/2014)

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Quel bel âge Au service de votre patrimoine depuis 143 ans, nous souhaitons à Maison Moderne un très joyeux 20 ème anniversaire.

Zone d’activité La Cloche d’Or – Rue Eugène Ruppert 12 – L-2453 Luxembourg – Tél +352 45 35 45 1 – www.degroof.lu

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Témoignages

Pour moi, Maison Moderne c’est... ► Nous vous avons donné la possibilité d’exprimer en quelques mots, en quelques phrases, ce que Maison Moderne évoquait pour vous.

Voici un florilège des réponses que nous avons reçues.

... le renouveau du monde médiatique luxembourgeois.

Manuel Baldauff. Fondateur, Value Associates.

... une success story made in Luxembourg.

Bravo Mike !

Claudine Kariger. Service des Médias et des Communications du ministère d’État.

... une formidable vitrine de tout ce que le Luxembourg offre de mieux et qui permet à chacun d’approfondir la connaissance qu’il pensait en avoir, avant lecture et projette une vision motivante qui donne envie d’aller de l’avant !

Grâce à toutes les publications de Maison Moderne, on se sent dans un pays beaucoup plus vaste et très... moderne :-) Florence Bastin. Fondatrice, Fiduciaire du Grand-Duché de Luxembourg.

Tout d’abord félicitation pour votre travail d’édition toujours soigné.

Je suis un fidèle lecteur de Paperjam depuis l’année 2000, et je ne me lasse pas de le lire !!

Un grand BRAVO à Mike Koedinger et toutes ses équipes.

René Grosbusch. Grosbusch & Fils.

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― Supplément ― 20 ans

... un bouillon de cultures et de désirs.

Claude Bertemes.

Directeur, Cinémathèque municipale de la Ville de Luxembourg.

Témoignages Pour moi, Maison Moderne c’est...

... la maison d’édition la plus obsédée par l’esthétique de ses publications ;-)

... la révolution agréable et efficace dans les monde de médias.

Christian Bauer

Samuel Dickes. IP Luxembourg.

... l’un des principaux acteurs ayant contribué au développement du secteur des médias, de l’édition et de la communication au Luxembourg. Une aventure entrepreneuriale passionnante.

Marc Binsfeld. Directeur, Binsfeld.

... la conviction que le print n’est pas mort.

Maison Moderne, c’est la concrétisation de mon envie irrésistible de retourner « de l’autre côté de la barrière », dans le monde des médias pour y exercer le métier de cœur : celui de journaliste.

Indépendance, liberté d’expression, un brin d’impertinence et surtout l’anticipation forment l’ADN d’une Maison qui porte bien son qualificatif.

Le tout sous l’impulsion d’un fondateur et patron exigeant qui, il faut l’avouer, a raison de l’être.

Car le plus difficile dans le monde entrepreneurial n’est pas forcément d’atteindre ses objectifs, mais bien de les repousser en permanence pour continuer à prospérer.

Rendez-vous dans 20 ans !

Thierry Raizer. Journaliste Paperjam.

Stephan Schwarz

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Témoignages Pour moi, Maison Moderne c’est...

Maison Moderne a été pour moi un formidable tremplin à la sortie de mes études en 1999. De ma fonction « couteau suisse » des débuts à mon entrée dans le monde de la photographie, Mike et son entourage ont joué un rôle déterminant dans ce qui restera pour moi le plus beau lancement de carrière dont un photographe puisse rêver.

David Laurent. Fondateur Wili.

... a “hothouse” of creative energy and fresh ideas which finds multiple forms of expression in the fast-changing world of business media and entertainment.

Yvonne O’Reilly. Avanteam.

... a tangible example of a permanent reinvention state, growing more and more vibrant ...

Chiara Caprioli

... a company without which you cannot imagine Luxembourg anymore!

Maison Moderne has changed our press landscape in a positive way!

Just continue like that with all your innovations/ideas/motivation!

Artur Sosna.

Berlitz Luxembourg.

20 years already... To me, Maison Moderne is the perfect demonstration of how an independent publishing group can walk a very long mile, position itself in a tight media landscape and grow organically while impressively diversifying and multiplying both print and electronic media channels, provided that it actively drives a constant quest for quality and innovation in both content and design. Chapeau MK&team!

And best wishes for the 20 years to come!

Paul Fabeck. Owner, Bricks.

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― Supplément ― 20 ans

Your premium corporate services provider in Luxembourg Capita Asset Services in Luxembourg focuses on the provision of corporate services delivered with a highly professional and personalised touch

Capita Asset Services in Luxembourg wishes a Happy Birthday to Maison Moderne.

We are Capita Asset Services, a division of Capita plc, a FTSE 100 company and the UK’s leading provider of business process management and integrated professional support solutions.

We firmly believe that one size doesn’t fit all, so our solutions are specifically designed around our clients’ needs. Whether it’s providing corporate, private client, treasury, debt or fund administration or shareholder and employee solutions, Capita Asset Services can help you manage and grow your business.

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Témoignages Pour moi, Maison Moderne c’est...

... a new and badly needed dynamic in Luxembourg living up to its high standards since its inception 20 years ago. MM has played a key role in animating the public debate in a country characterised by placidity and indolence.

Mario Hirsch

Mike – just as simple as that!

Mike in the early nineties.

Energyloaded!

Frédérique Buck. Owner, Maalem.

... when publishing moved into the 21st century and Luxembourg started to produce publications that you were proud to show to your foreign counterparts.

Both design and content are on an international level and Mike and his teams can be proud of what they have achieved.

Louis Wright. Kneip.

Maison Moderne has not only demonstrated that Luxembourg is “a place to be”, it has also significantly contributed to making it a city worth living in. What I appreciate most about Maison Moderne was that it has unveiled and promoted local talent. It has achieved this by always remaining very open minded, involving newcomers and people from abroad and giving birth to a dynamic local scene. Those talents, in turn, have shared their insights of both familiar and unknown people, things and places in Luxembourg.

Maybe Colophon was one of the most important events that Maison Moderne was involved with, because it allowed the company to share its real passion for magazines with a worlwide audience.

Bettina Heldenstein.

Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain.

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Photo Š Jean-Luc Valentin

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20 années à 100 à l'heure Depuis la toute première publication éditée en 1994 jusqu’à la cérémonie du 20e anniversaire, le développement de Maison Moderne, entreprise individuelle devenue une PME de plus de 80 salariés, s’est fait sur un rythme très soutenu. Coup d’œil dans le rétroviseur.

Octobre 1994 Il faisait froid dans les murs du CPCA de Bonnevoie ce soir-là…

Alors que Luxembourg se prépare à devenir capitale européenne de la culture en 1995, Explorator voit officiellement le jour dans ce hall industriel aujourd’hui rebaptisé Banannefabrik au cours d’une soirée ouverte par un fashion show de Colbach & Belatchew, Manuel Cabeza Mogador et Aleksandra Paszkowska. Frédéric Humbel est le premier rédacteur en chef ; les photos sont signées Christian Aschman et les textes par Claude Neu, Hélène Ginollin, Duncan Roberts, Marc Gerges et Paul Lesch, entre autres.

La mise en page et les „Explorator – saisies des corrections se Witziger City Guide.“ font le soir (Max Deutschland) chez Guy Tabourin, une fois que les enfants sont couchés… Un mode de production artisanal, peu conventionnel, mais révélateur de la passion qui accompagnera chacun des projets ultérieurs de Maison Moderne. Au cinéma Utopia passe un spot Explorator hilarant et signé par la réalisatrice Bady Minck (alors installée à Vienne et célébrée plusieurs années de suite comme meilleure réalisatrice de spots publicitaires en Autriche).

Pour ceux qui ne l’ont pas vu, ne cherchez pas : l’ère du digital n’est pas encore arrivée et personne n’a pensé à récupérer les bandes originales… Il n’existe donc plus aucune trace de ce film.

Grand regret.

REVUE DE PRESSE :

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Jean-Claude Bintz, Mike Koedinger, Christian Aschman et Frédéric Humbel

Mars 1995 Is Progress not a Myth? Dans le cadre de « Luxembourg 1995, capitale européenne de la culture », Mike Koedinger produit une performance monumentale dans les grands halls des Foires internationales à Luxembourg (devenues plus tard Luxexpo). Durant quatre jours, deux artistes créent une ambiance exceptionnelle sur le thème des violations des droits humains. Les grandes sculptures mobiles du constructeur-designer Raphaël August Opstaele et la musique live du compositeur et multi-instrumentiste André Mergenthaler plongent le public dans une ambiance des plus avant-gardistes. La production culturelle et l’événementiel font partie de l’ADN de la marque Maison Moderne depuis ses débuts.

Novembre 1995 C’est déjà la deuxième édition d’Explorator. C’est Miriam Rosner, de la toute jeune agence Bizart, qui

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assure la direction artistique.

Qui dit lancement d’Explorator dit « grand cocktail ». Déjà. C’est dans les murs de Den Atelier que se déroule l’événement riche en couleurs et en sensations fortes : défilé de mode par Y-Dress et Nathalie Leborgne, etc. ; animation par Isabelle Costantini ; show par Georges Christen, l’homme le plus fort du monde ; VJ Melting Pol ; soirée house produite par Outland Records ; DJ sets internationaux et gogo danseuses en bikini qui crachent du feu au-dessus de la tête du public... Légal, tout cela ?

Aucune idée ! La fête, elle, est historique…

Printemps 1996 Depuis l’installation d’un bureau éphémère de Maison Moderne dans un rez-de-chaussée commercial de la rue du Nord, il y a foule tous les soirs. Pourquoi ? Pour espérer apercevoir des photos de soi ou d’amis dans le Window Slideshow Nightlife Report.

Durant trois mois, Mike Koedinger documente la vie nocturne luxembourgeoise. À chaque portrait réalisé, une invitation est transmise avec : « Venez voir votre portrait rue du Nord de 21 h à minuit. » Enfin,

deux jours après, le temps de faire développer la pellicule ; cela se passe avant les caméras digitales. « Il faut le remettre dans le contexte : c’était bien avant Facebook et les smartphones », se rappelle François Altwies, un des complices de l’action, avec Michael Diedrichs.

Décembre 1996 Parution du premier numéro de Nightlife.lu pour le lancement de la boîte Cafédelagare (Romain Floener et Pippo Centrone).

C’est, historiquement, la première publication pour un client, avec le studio graphique bruxellois Messa à la direction artistique.

Un lancement précédé d’une grande opération fieldmarketing pour récolter de la data des prospects. « Nous étions rémunérés pour sortir la nuit et identifier, dans les autres boîtes, les personnes aux meilleurs looks, les plus souriants et les plus sexy. On prenait leur photo et leurs coordonnées contre la promesse de leur envoyer un nouveau magazine », se souvient Mike Koedinger.

Histoire 20 années à 100 à l'heure

À quelques semaines de l’ouverture du Cafédelagare, le magazine paraît – avec l’invitation de venir à l’ouverture d’une nouvelle boîte.

Succès immédiat.

Avril 1997 Parution de la troisième édition d’Explorator, enrichie d’une section « multimédia » initiée par François Altwies. Ce « guide dans le guide » ne devait faire, initialement, que 16 pages. Il en compte au final… 140 ! La production (avec le studio graphique bruxellois Messa) est très compliquée : c’est l’heure des Syquests, ces supports de stockage à mi-chemin entre la disquette et le CD-Rom… Cet ajout de contenu retarde la parution d’Explorator de six mois, mais jette les bases de la diversification des publications de Maison Moderne. Index et Paperjam sont, d’une certaine façon, en train de naître. 750 participants votent pour les premiers Lëtzebuerger Web Awards.

Les prix sont remis le 16 avril au Cafédelagare lors du cocktail Explorator devant 600 personnes.

Octobre 1997 À l’occasion du salon Bureautec 97 (aux Foires internationales), le premier guide du multimédia luxembourgeois est lancé. Une publication désormais à part entière, après avoir mûri au sein d’Explorator. Un spin-off éditorial, en quelque sorte.

En couverture : Guy Kerger, directeur du Centre des ressources multimédia du CRP Henri Tudor et une citation de JeanClaude Juncker par rapport à la révolution digitale : « Je ne peux pas m’enthousiasmer, j’appartiens à une autre époque »... ce qui a évidemment inspiré le studio graphique.

Juin 1997 Le magazine Nightlife.lu s’adapte.

Sous la direction artistique de Messa, le magazine de poche diffusé à 5.000 exemplaires propose 32 pages et offre désormais des reportages mensuels sur les soirées branchées et de la vie nocturne au Luxembourg. C’est l’émergence de la photo digitale !

Merci Sony.

Janvier 1998 Guido Kröger devient le directeur artistique de Nightlife.lu.

Le début d’une longue histoire.

Dix-sept ans après, il est devenu entre-temps associé de Maison Moderne.

Juin 1999 Le portail Spider.lu reçoit le New Media Trophy décerné par le CRP Henri Tudor. La cérémonie de remise du prix a lieu au Théâtre d’Esch.

Juin 1998 Quatrième édition d’Explorator.

C’est le début de la collaboration avec Jacques Demarque comme critique gastronomique. Une grande rencontre qui marque le début d’une longue amitié entre l’ancien patron du restaurant culte Astoria et un jeune éditeur.

Aujourd’hui, Jacques Demarque est président d’honneur de Maison Moderne.

Steph Meyers, François Altwies, Roland Roth, Steven Ludovicy et Mike Koedinger

Février 1999 « Pour se déplacer avec un maximum d’efficacité sur la ‘toile’ de l’internet, mieux vaut être une araignée... » Lancement de Spider.lu, le premier portail internet et moteur de recherche 100 % luxembourgeois. Le projet est réalisé en collaboration avec Global Media Systems (pour le développement informatique) et XYZ Productions (pour l’habillage graphique et la coordination).

C’est sur ce site que seront, quelques mois plus tard, proposées les premières élections législatives « virtuelles », ainsi que Spidergirl, le premier concours « Miss Internet » au Luxembourg.

Août 1999 25 candidates sont présentées lors d’un défilé, organisé dans le cadre de l’« Open Air Party 99 » au lac d’Echternach, devant plus de 5.000 spectateurs. Les élections ont lieu exclusivement sur le site Spider.lu, entre le 9 août et le 30 Septembre.

Décembre 1999 Pour clôturer la décennie, Nightlife.lu se transforme, pour un numéro, en « Nineties.lu » et lance le site web www.nineties.lu (d’ailleurs toujours en ligne). Retour sur une décennie de sorties nocturnes, portfolios des principales barmaids du moment par Gino Ricca et un hommage au fanzine underground X-NonMagazine, l’ancêtre des magazines branchés du Luxembourg.

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Histoire 20 années à 100 à l'heure , Neu eur ude act m Cla ier réd aperja

P m pre hef de c n e

Mai 2000 Lancement de Dr. Love, un site web (Love.lu) qui offre des conseils sur la vie amoureuse et sexuelle. Derrière le site, un collectif d’une demi-douzaine de « docteurs » et « infirmières » qui répondent aux questions posées via un formulaire en ligne. Les questions sont publiées sur le site, ainsi que les réponses. Et comme on pouvait obtenir plusieurs réponses, des contradictions n’étaient pas exclues.

Le lancement de ce site sera l’objet d’une soirée « Meet the Dr. Love Team » au Café Am Schluechthaus (Kulturfabrik).

Aux platines, l’équipe de groove Attaxx : Buick aka Fritz, Jerry, Miss Pitch et Guido Kröger.

Le contenu du site fera couler beaucoup d’encre. Une question parlementaire sera même posée en mars 2000 par le député chrétien social Laurent Mosar, qui va jusqu’a évoquer « de la pornographie infantile ».

Mediaport Luxembourg – Where new media converge : une de nos premières publications « commandées » : un who’s who des nouveaux médias, à la demande du ministère d’État.

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Juin 2000 Cinq mille personnes des secteurs business et politique reçoivent une copie d’un tout nouveau « Luxembourg_ Business-To-Business_Magazine ».

Paperjam est né !

Son premier rédacteur en chef, Claude Neu, prévient : « Quant à la forme, c’est-à-dire la présentation, la mise en page, le format, la sélection des rubriques, ou même le nom du magazine, nous savons dès à présent que les avis seront très partagés. Ce qui est tout à fait dans l’ordre de nos intentions.

Rien ne nous fait plus peur que la rigidité. Pour entretenir une bonne communication, il ne faut pas avoir peur de bousculer les idées reçues. Ni de s’ouvrir à l’évolution des choses. »

Pour son troisième anniversaire, Nightlife.lu fait paraître une « sex issue » avec, en couverture et en interview, l’ex-star du porno Julia Channel. Shooting par Fabrice Mariscotti, assisté par le rédacteur en chef David Laurent, qui fait également l’interview… et qui n’arrêtera pas de parler de « sa Julia » pendant des mois. À ce moment-là, le magazine est imprimé par Victor Buck, sur son site historique de Gasperich, juste à côté de l’imprimerie Saint-Paul. Mike Koedinger se souvient : « J’ai reçu un coup de fil du jeune patron Nicolas Buck qui m’expliquait que son imprimerie était en sur-commande et, qu’avec mon accord, il devait sous-traiter cette impression à Saint-Paul. J’ai évidemment donné mon accord, mais Saint-Paul ne connaissait pas le contenu de ce numéro à imprimer ! Au final, l’impression s’est faite en cachette, la nuit, et les

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magazines, mais aussi les chutes de papier et les découpes, sont retournés chez Buck. Ça restera une bonne anecdote ! »

Grand cocktail d’été au Boca Chica, pour célébrer à la fois la parution d’Explorator, le lancement du numéro zéro de Paperjam et le 3e anniversaire de Nightlife.lu.

Septembre 2000 Le 11 octobre, le ministre de l’Économie Henri Grethen est l’invité d’honneur de la première conférence organisée par Paperjam.

Elle a lieu au Club Monnet, au Kirchberg, et a trait à la nouvelle loi sur le commerce électronique.

Octobre 2000 Spidergirl 2001, c’est la grande finale au Cafédelagare.

Les 10 finalistes présentent les

collections des deux stylistes belges Marina Marinof et Willy. Tammy devient lauréate 2001, les dauphines sont Norina et Linda.

Mai 2001 Opération spéciale en quatrième de couverture de Paperjam, pour le compte de Nashuatec Luxembourg : une « fausse » cover est créée, baptisée « Paperflow », avec Patrick Lefèvre, general manager de la société. Les quatre pages suivantes sont semblables à celles d’un magazine… mais elles apparaissent forcément à l’envers quand on lit la publication dans le « bon sens ».

Octobre 2001 Le journaliste économique et financier Jean-Michel Gaudron rejoint Paperjam après cinq années passées à la rédaction d’Agefi Luxembourg. Il deviendra, par la suite rédacteur en chef de Paperjam en 2007, puis associé de Maison Moderne en 2010.

L’OCCASION ECUSSON

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Histoire 20 années à 100 à l'heure Juin 2004 Paperjam in the sky. Pour accompagner le lancement de sa nouvelle formule, Paperjam est distribué à bord des vols Luxair.

Novembre 2001 Spidergirl 2002. C’est dans le cadre d’un défilé de mode d’Aleksandra Paszkowska, dans le hall du nouveau siège de l’imprimerie Victor Buck, que la lauréate est annoncée.

Félicitations à Lynn !

Juillet 2002 Toutes les meilleures choses ont une fin… Après 50 numéros et cinq années de reportages dans les coulisses de la nuit au Luxembourg, Nightlife.lu publie son dernier numéro avant de passer le relais à Nico. La dernière cover montre la chorégraphe et danseuse Sylvia Camarda arborant le tee-shirt « I love Nico ».

une infographie donnant une vue d’ensemble des principales participations de l’État et des sociétés publiques. Cette infographie sera plusieurs fois republiée, évidemment mise à jour.

Décembre 2002 Winter Cocktail de Maison Moderne au garage Kontz. Défilé de mode avec les 10 fina­ listes de Spidergirl 2003 qui présentent les collections du Belge Michaël Guerra et du Français RAF. C’est Runa qui partira en Mini, elle est la lauréate 2003.

Janvier 2004 Le 23 janvier, Paperjam change de formule, double son format et quadruple son tirage pour passer à 20.000 exemplaires. La soirée de lancement a lieu au restaurant Apoteca.

C’est la consécration d’un processus lancé en juin 2003. À l’initiative de Mike Koedinger est créé un groupe de travail composé d’experts de la rédaction, de l’agence photo Blitz, de l’agence graphique xGraphix, de la régie pub Tempo!, ainsi que de plusieurs conseillers externes (Marc Gerges, Carlo Schneider et Jean-Lou Siweck) pour travailler sur cette nouvelle formule. Au menu des nombreuses sessions de travail : (re)définition du magazine, établissement d’une charte rédactionnelle et photographique, d’une charte graphique, (re)positionnement marketing et mise en place d’un color workflow management en collaboration avec Yvan Klein et l’équipe de l’imprimerie Victor Buck.

Avril 2004 À l'intérieur du guide, 10 agences proposent « leur » couverture d'Explorator.

Carte blanche a été donnée à Advantage, Binsfeld, Bizart, Cmi, Comed, Concept Factory, Mikado, Millenium, Repères et xGraphix.

Septembre 2004 La mayonnaise n’a pas pris. Le partenariat avec Éditions Revue prend fin et Nico se transforme, passant d’une publication hebdomadaire à mensuelle. Le magazine Graffiti, lui, retourne dans le giron de Revue qui continue à le publier en solo.

Le premier numéro de Nico – ­interviews & tendances présente la nouvelle scène brésilienne et paraît avec quatre couvertures différentes. Un double lancement du magazine est organisé à Luxembourg et à Bruxelles : cocktails, conférences, expositions.

Juin 2003 Le neuvième Explorator City Guide paraît. Couverture signée par David Laurent. Pour son lancement, Explorator invite à la Kulturfabrik à Esch où Jacques Demarque présente la nouvelle édition et David Goldrake fait un show.

Septembre 2002 « Les bons plan(t)s de la SNCI ».

Le 19 septembre, l’édition 10.2002 de Paperjam consacre sa cover aux 25 ans de la Société nationale de crédit et d’investissement (SNCI). La cover (Georges Schmit, le directeur de la SNCI, aujourd’hui consul général du Luxembourg à Los Angeles) est la première réalisée par le photographe espagnol Andrés Lejona, alors de passage à Luxembourg.

Il sera, par la suite, un des principaux fournisseurs de couvertures de Paperjam. Dans cette édition est publiée, pour la première fois,

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« Média stimulateur d’opinion ». « Média stimulateur d’esprit ». « Média stimulateur de réactivité ».

La nouvelle campagne Paperjam signée par l’agence Bizart se décline en trois accroches.

Maison Moderne

Happy Birthday!

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Histoire 20 années à 100 à l'heure

Octobre 2004 “The independent publisher Mike Koedinger will launch a new monthly magazine for young adults. Local urban news mixed with exclusive international contributions,” pouvait-on lire sur l’invitation au format d’affiche.

Au Luxembourg, l’événement se déroule à Luxexpo, avec des démonstrations de Capoeira, une exposition de travaux créatifs brésiliens, des sessions de live hair / make-up... et la conférence « How to produce in Brazil » par Victor Zabrockis. À Bruxelles, lancement dans le cadre d’une expo chez Ad!dict Creative Lab.

Maison Moderne déménage de Bonnevoie à Bonnevoie pour s’installer dans une ancienne manufacture de couvre-lits de la famille Hertz. Sur la photo, on voit le plateau du premier étage vierge avant les travaux, qui ont été réalisés dans un temps record par les architectes Teisen-Giesler et le menuisier Norbert Brakonier.

Mars 2005 Notre premier client corporate régulier monte à bord de l’avion Maison Moderne : la compagnie aérienne Luxair décide de nous confier la production de son magazine Flydoscope.

Paperjam grandit. Un hors série devenu Désirs est publié. Un supplément « luxe et lifestyle » pour accompagner le mensuel économique qui, lui, a déjà le lectorat adapté, mais ne traite pas ces sujets dans ses colonnes.

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Mike Koedinger Éditions et Tempo! confient la création d’une nouvelle identité visuelle au studio Vidale-Gloesener.

Mai 2005 Dans le cadre de l’exposition Graphique Deluxe que le Mudam organise, avant son ouverture, dans son camp de base au Kirchberg, Marie-Claude Beaud invite 11 artistes et graphistes à créer des couvertures pour un Nico collector. Maison Moderne réalise aussi le catalogue de l’exposition. Mike Koedinger donnera, un mois plus tard, une conférence sur les rapports entre l’édition et le graphisme, et sur l’impact culturel et économique du design graphique.

Décembre 2005 Le 9 décembre, l’édition datée de janvier 2006 de Paperjam paraît.

Nouvelle formule à 200 pages, gros dos carré et couverture glossy. Le portrait de Luc Frieden réalisé par Andrés Lejona marque les esprits, sans que cela ne fût notre intention première.

C’est Luc Frieden lui-même qui a déplacé les tables et les chaises pour prendre la pose devant des rideaux dont le clinquant est exacerbé par la qualité du papier utilisé pour la cover. Une photo dont Luc Frieden, lui-même, parlera longtemps et qui inspire la journaliste du Land, Josée Hansen. Elle en fait le sujet d’une carte blanche diffusée sur la radio RTL. Gros coup de promo inattendu.

Deuxième numéro de Désirs, premier sous ce nom-là.

Couverture signée par Andrés Lejona.

Flydoscope : avant / après

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Histoire 20 années à 100 à l'heure

Mars 2006 Retour au Nude pour la Nico Release Party.

Fashion performance par le label Girls from Omsk de la styliste belge Valeria Siniouchkina.

Food par Mixed Pickles, hair par Nero.

Décembre 2007 Paperjam : chaque mois de cette année 2007, une partie du visage de la couverture a été reproduite sur la tranche du magazine. À la fin de l’année, un nouveau visage, forcément étrange, a ainsi été reconstitué.

Nico y e Part le e R as

Juin 2006 Explorator sous les feux de la rampe. Pour sa 12e édition, le city guide Explorator invite au skatepark de LuxembourgHollerich. Au programme de la soirée : showcooking, skate demo, live graffiti, live hair styling et DJ set par Missill.

Décembre 2006 Lancement du mensuel RendezVous, le City Magazine, mixant les informations officielles de la Ville de Luxembourg avec du contenu culture, divertissements et un agenda listing des principales manifestations à venir. Une publication ô combien précieuse pour tous ceux qui vivent et / ou travaillent dans la capitale ou la visitent, tout simplement.

Avril 2007 Le magazine Nico devient international et bi-annuel. La nouvelle édition propose un contenu toujours plus riche, avec des présentations et des contributions d’auteurs, designers, photographes et autres illustrateurs du monde entier. Un visage international que l’on retrouve dans la diffusion de ce magazine, que l’on trouve dans plus de 20 pays.

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Un Sunday brunch chez Maison Moderne. Rencontre de la scène locale avec les invités de l’exposition Dysfashional imaginée par Luca Marchetti et Emannuele Quinz pour Luxembourg 2007, capitale européenne de la culture. Nous contribuons à l’exposition avec un magazine lounge Colophon présentant une sélection de magazines indépendants qui ont une voix particulière dans le milieu de la mode.

Mars 2009 Des créatifs de 35 pays se retrouvent au Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain avant de se disperser dans 14 endroits différents : c’est l’édition 2009 (du 13 au 15 mars) de Colophon, le rendez-vous international des magazines indépendants créé deux ans plus tôt par Mike Koedinger, Jeremy Leslie et Andrew Losowsky.

Pendant les trois jours de l’événement, les participants du festival créent Colophon 2009 Magazine entièrement conçu, rédigé et mis en page en 48 heures.

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Histoire 20 années à 100 à l'heure

Septembre 2009 Grand Cocktail pour la 15e édition d’Explorator, qui coïncide avec les 15 ans de Maison Moderne.

Cela se passe à l’extérieur du CarréRotondes, en présence de quelque 1.200 invités. La soirée est produite par Dany Lucas.

de travail avec le service Communication de la VDL plus tard, le nouveau concept est présenté au bourgmestre de la capitale. « Au lieu de revoir la formule d’un magazine existant, nous avons préféré créer un nouveau magazine, explique Mike Koedinger. Créer un journal à l’allure d’un magazine contemporain et sur base de nouveaux critères. » Le résultat ? Un journal dépliable, à deux cahiers et avec un nom qui change tous les mois selon l’usager de la VDL qui sera en couverture. Un magazine sans nom, mais que chacun reconnaîtra grâce à un système visuel inédit. Grâce à cette nouvelle formule, le magazine consomme 53,2 % de moins de papier (passant de 214 tonnes à 100 tonnes / an), donc moins de coûts de production, moins de coûts d’envois et réduction massive d’émissions de gaz carbone.

Les critères du client étant remplis, la question pour l’éditeur se pose : comment mesurer que c’est un meilleur magazine ? Dans un sondage en ligne, 86 % des lecteurs confirment qu’ils sont « très satisfaits » du nouveau magazine.

Après la première saison, l’audience progresse de 40 % selon Plurimedia. Les recettes publicitaires augmentent. Cerise sur le gâteau : 11 prix de design internationaux récompenseront le magazine et des participations à des expositions à l’international.

Un des plus grands succès pour Maison Moderne.

Grand Prix Paperjam, Communication, Marketing, Design 2010 Identifier, faire connaître et récompenser les meilleurs projets dans les domaines de la communication et du design, telle est l’ambition du premier Grand Prix Paperjam. La cérémonie de remise des prix a lieu chez Villeroy & Boch et prend la forme d’un dîner assis. Le premier Grand Prix va à Eppelpress, pour son identité visuelle développée par Vidale-Gloesener.

Juin 2010 Pour les 10 ans de Paperjam, un grand cocktail est organisé au Centre national de l’audiovisuel à Dudelange. À cette occasion est publié un hors série de 200 pages, avec 10 couvertures différentes : 10 enfants âgés de… 10 ans.

Parmi les 25 contributeurs invités à s’exprimer sur ce que sera Luxembourg 10 ans plus tard, François Biltgen fit preuve d’un certain optimisme : « En 2020, j’aurai 62 ans et je servirais, si j’appartenais toujours au gouvernement, mon cinquième mandat consécutif comme ministre. » Il quittera le gouvernement en 2013 pour devenir membre à la Cour de justice européenne.

Avril 2010 À première vue, cette édition de Désirs compte deux couvertures, mais à y regarder de plus près, on constate que les contenus varient aussi. C’est sans aucun doute le premier double magazine paru au Luxembourg.

Une édition « pour elle » et une autre « pour lui ». David Laurent signe les couvertures avec Bettina Heldenstein et Jacques Demarque.

REVUE DE PRESSE : Estelle’s City Mag vient de paraître.

C’est le nouveau magazine que Maison Moderne édite pour la Ville de Luxembourg (VDL). Et c’est la réponse à un briefing du moins challengeant. Case Study : suite à la crise financière d’automne 2008, la VDL approche Maison Moderne pour réduire les coûts de production du magazine, réduire son bilan carbone sans pour autant réduire sa périodicité.

Intéressé par ce challenge, Maison Moderne accepte et ajoute un quatrième critère : « Faire un meilleur magazine » en plus. Six mois plus tard, et de nombreuses réunions

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Si Paperjam a « relativement bien » surmonté la crise financière, c’est peut-être aussi parce que « beaucoup d’annonceurs se sont concentrés sur un nombre limité de médias, et souvent sur le plus grand quotidien et le plus grand mensuel », analyse Mike Koedinger, interviewé dans le Luxemburger Wort, le 10 juin 2010.

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Le troisième Top 100 Paperjam des décideurs les plus influents au Luxembourg est publié. Le jury, présidé par Norbert Becker, et au sein duquel siègent également Gilles Dusemon, Fernand Ernster et Karin Riehl, désigne le truculent Ernst Wilhelm Contzen (le CEO de Deutsche Bank et le président de l’ABBL) comme lauréat. La cérémonie, organisée à la Rockhal à Esch-Belval, le 9 décembre 2010, est à deux doigts de ne pas avoir lieu : la veille, une terrible tempête de neige paralyse totalement la moitié nord de la France et le Benelux. Miracle : le lendemain, le soleil est de nouveau au rendez-vous et les voies de circulation sont praticables. Sur les 500 personnes inscrites initialement, une petite centaine se désistera.

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16e édition d'Explorator Pour le cocktail de sa 16e édition, Explorator s’associe avec la Brasserie Guillaume qui fête son 10e anniversaire. Une grande soirée est organisée place Guillaume II, sous chapiteau.

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Décembre 2010 En ouverture de cette cérémonie du Top 100, une annonce majeure est faite : MKE, Tempo! et INgrid décident de fusionner pour créer Maison Moderne. « Nous sommes au début d’une nouvelle histoire », explique Mike Koedinger dans une interview à Paperjam.lu. Les quatre associés historiques (Mike Koedinger, Aurelio Angius, Francis Gasparotto et Guido Kröger) sont rejoints par quatre autres partenaires ( Jean-Michel Gaudron, Marc Gerges, Rudy Lafontaine et Thierry van Ingelgom), affirmant davantage l’indépendance d’une maison d’édition forte alors d’une cinquantaine d’employés.

Au re lio

Septembre 2010 Annoncé au printemps, le premier numéro du magazine Archiduc est lancé officiellement fin septembre : un nouveau magazine dédié à l’architecture réalisée au Grand-Duché et celle faite en dehors des frontières par les bureaux luxembourgeois. « L’ambition est de mettre en valeur l’architecture du Grand-Duché à travers la présentation de réalisations de qualité. L’actualité y sera traitée sous différents formats, qu’il s’agisse de courtes brèves ou de dossiers plus développés », indique la rédactrice en chef Céline Coubray.

Pour sa première édition, le magazine – semestriel – consacre un dossier spécial à la 12e Biennale d’architecture de Venise et à la présentation du pavillon luxembourgeois.

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Histoire 20 années à 100 à l'heure

Pour accompagner son changement d’identité, le magazine mmm est créé et présenté le 10 décembre. mmm comme Maison Moderne Magazine.

Il s’adresse à l’ensemble du réseau de l’entreprise, tenant compte de toutes ses parties prenantes : clients, partenaires, staff, créateurs d’opinion, institutionnels, presse...

Un nouveau succès pour City Mag Luxembourg, publié par Maison Moderne pour le compte de la Ville de Luxembourg : le magazine reçoit la plus haute distinction au concours international Red Dot : un Grand Prix ! Maison Moderne devient ainsi la première entreprise basée à Luxembourg à recevoir ce prix d’honneur de Red Dot. Le jury a salué « la réalisation la meilleure et la plus novatrice parmi les œuvres inscrites dans la compétition ».

Sur plus de 6.300 projets venus de 44 pays et en compétition dans une dizaine de catégories, environ 600 reçoivent le label Red Dot Winner, 62 reçoivent le label Red Dot Best of the best et 6 reçoivent un Red Dot Grand Prix. City Mag le reçoit, commentaire du jury : “... for the best and most outstanding achievement among all works entered in the competition.”

Histoire 20 années à 100 à l'heure

Janvier 2011 Le 27 janvier, la famille Maison Moderne s’agrandit ! Le premier numéro du mensuel anglophone Delano paraît : une publication qui cible la communauté internationale du Luxembourg, avec un contenu couvrant l’actualité business, lifestyle et culturelle au GrandDuché. La rédaction en chef en est confiée à l’expérimenté Duncan Roberts, arrivé au sein de Maison Moderne trois ans plus tôt et qui était en charge de la partie anglophone de Paperjam.

Et comme de bien entendu, c’est par une soirée festive que l’événement est célébré : le Cat Club fait le plein pour la Wild Wild West Party organisée à l’occasion.

Octobre 2011 Nouvelle formule pour Désirs.

En couverture de cette nouvelle série, le film Hot Hot Hot de Beryl Koltz. Plus volumineux, on passe à 164 pages. « Le nouveau Désirs est une réaction à un marché saturé en titres lifestyle - souvent sans aucun intérêt et médiocres, commente Mike Koedinger. Avec Désirs, nous cherchons à offrir à un lectorat exigeant une alternative intelligente. »

Juillet 2011 Un Moien écrit en lettres géantes vient perturber le calme du centreville un dimanche après-midi, fin juillet. Pour réaliser la couverture de son livre Moien, Maison Moderne installe cette œuvre d’art signée Wennig&Daubach, de la collection du Mudam, près du Palais grandducal et dans l’avenue de la Liberté.

Succès populaire immédiat ! Le shooting est réalisé par Andrés Lejona.

À la parution de Delano, Pol Wirtz (qui avait créé les premiers titres pour la communauté internationale dans les années 80) tweete son enthousiasme.

Parution du livre Moien : un portrait contemporain du Luxem­bourg, jetant un bref regard sur le passé pour mieux appréhender l’avenir.

Sur 200 pages, Moien traite les sujets qui rythment la vie du GrandDuché en alternant analyses originales et témoignages photographiques, proposant au lecteur une description visuelle et explicative de la réalité luxembourgeoise et une idée du Luxembourg de demain. Avec des contributions d’auteurs aguerris, tous fins connaisseurs du pays : les journalistes France Clarinval, Céline Coubray, Jean-Michel Gaudron, Marc Gerges et Duncan Roberts, le curateur et littéraire Hans Fellner, l’historien Paul Lesch, l’historien de l’art et directeur du Mudam Enrico Lunghi ou encore le politologue et professeur en sciences politiques Philippe Poirier. Moien paraît en trois versions linguistiques (FR, DE, UK).

Nouvelle formule pour Flydoscope avec Marcel Gross en couverture illustrée par Dan Williams.

Mai 2011 Le 29 mai paraît le guide de poche Hello Luxembourg, qui propose, dans une approche insolite, la découverte des meilleures adresses de la capitale à travers des entretiens avec 20 initiés locaux, « des conseils d’amis auxquels on peut se fier aveuglément pour découvrir la capitale d’une autre façon », explique Joanna Grodecki, l’auteur et la directrice artistique de ce guide.

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Octobre 2011 C’est à la Rockhal que se déroule le Grand Cocktail Explorator 2012. Programme riche en événements : sortie du guide, remise des Prix du Public aux restaurateurs, village gastronomique avec la participation de 10 restaurants, concerts avec Vive la Fête.

Parallèlement aux festivités, des collaborateurs d’une cinquantaine d’entreprises s’engagent en faveur de MyClimate. Une montgolfière est assemblée par les entreprises partenaires de l’opération lancée dans le cadre des 10 ans de Paperjam, sous le regard avisé de Claude Sauber et d’Eva Ferranti.

La météo ne permet pas de faire envoler la montgolfière, mais les plafonds de la Rockhal sont assez hauts pour l’élever.

‘Monsieur TV’ au Luxembourg, le petit reportage que nous devions diffuser n’a pas fonctionné non plus ! Il a fallu faire une petite ‘pirouette’ pour continuer l’interview comme si de rien n’était… »

Girls Like Us, Irène, Jacques, Jungsheft / Giddyheft, L’imparfaite, Pantyhose, Paradis et S Magazine) et 10 portfolios de photographies et d’illustrations.

Lancement le 15 novembre · 16 heures

Nico Confess ions

City Mag traverse l’Atlantique !

Le magazine est sélectionné pour participer à Graphic Design: Now in Production, une exposition muséale internationale majeure (la plus importante consacrée au graphisme depuis une vingtaine d’années aux ÉtatsUnis) itinérante : d’abord au Walker Art Center à Minneapolis (du 21 octobre 2011 au 22 janvier 2012), puis au Cooper-Hewitt National Design Museum de New York (été 2012) et d’autres lieux à l’automne suivant.

32 ―

Novembre 2011 « Bonjour, il est 16 heures, bienvenue sur Paperjam.TV. » Ce mardi 15 novembre, à l’heure du thé, Maison Moderne lance sa chaîne de télévision.

Diffusé sur internet et sur le canal 49 de la Télé vun der Post, le programme propose chaque jour, pendant une vingtaine de minutes, des news et des invités en direct (puis, plus tard, des reportages), rediffusés ensuite en boucle. Le premier invité est Alain Berwick (RTL).

Un lancement réalisé avec le support technique de l’Entreprise des P&T et de Niche Guardian, qui s’inscrit dans la continuité des quelque 800 interviews déjà réalisées et diffusées depuis février 2009. « Les images bougent, mais est-ce de la télé ? », s’interroge Josée Hansen dans d’Lëtzebuerger Land (18 novembre 2011), regrettant le caractère trop « statique » des programmes. « Lors des répétitions, tout avait bien marché. Mais en direct, le prompteur n’a pas fonctionné.

J’avais heureusement, par sécurité, imprimé toutes mes notes, se souvient Jean-Michel Gaudron, à l’antenne pour ce premier « live ».

Ensuite, lors de l’interview d’Alain Berwick, qui est quand même

― Supplément ― 20 ans

Mai 2012 Présentation, au Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain, de la sixième édition de Nico. Le « bookazine » résolument contemporain, présenté quelques semaines plus tôt lors du festival Facing Pages 2012 à Arnhem (Pays-Bas) jette, cette fois, un regard artistique sur l’érotisme dans les médias, vu par des designers de magazines.

L’exposition Confessions: Eroticism in Media accompagne cette publication qui met en avant la nouvelle scène érotique au travers de 10 magazines (Butt, Edwarda,

Pour durer, il faut voir les choses en grand.

Histoire 20 années à 100 à l'heure

REVUE DE PRESSE :

Juin 2012 Paperjam.TV fait une pause : le 15 juin a lieu le dernier « live » depuis les studios de Bonnevoie.

Les interviews et émissions diffusées sont désormais enregistrées. Près de 200 invités différents se sont succédé au cours des quelque 134 programmes réalisés en direct.

Juillet 2012 Clôture de l’opération myClimateLux, lancée en juin 2010 lors de la cérémonie des 10 ans de Paperjam. Maison Moderne y avait lancé un appel aux entreprises et institutions luxembourgeoises en vue de les sensibiliser au changement climatique, favoriser une utilisation réfléchie des ressources énergétiques et considérer la compensation volontaire de leurs émissions CO2. « Au lieu de faire un simple don, nous voulions impliquer les entreprises et multiplier l’impact de l’action. Mais les mentalités sont parfois difficiles à faire évoluer. Nous visions 100 entreprises partenaires en un an. Nous en avons trouvé 50 en deux ans », analyse Mike Koedinger au moment de remettre un chèque de 50.000 euros à l’asbl myClimateLux.

Octobre 2012 Parution de Home Sweet Home, un ouvrage de 300 pages entièrement consacré à la construction ou la rénovation de logement.

Fourmillant de conseils, exemples et adresses et riche en illustrations, ce guide passe en revue toutes les pièces de la maison, de la cave au grenier ainsi que tous les aspects transversaux d’une construction à travers des exemples choisis au Luxembourg et réalisés par des architectes du cru.

Créé par Viviane Bumb en 2005, le Family Guide a été repris par Maison Moderne pour cette quatrième édition qui a été entièrement revue et corrigée. Nouvelle direction artistique et nouveau format pour s’intégrer dans la série des pocket guides de Maison Moderne. On y trouve plus de 700 adresses et conseils pour les parents et les enfants au Luxembourg et dans la Grande Région, pour des idées d’excursions, de sorties culturelles ou sportives ou bien de lieux pour organiser un anniversaire inoubliable. Le guide est disponible en trois éditions distinctes (français, allemand et anglais) et une partie de son prix de vente est reversé en soutien à l’association SOS Villages d’enfants monde.

« N’attendez plus, elle ne viendra pas. Pas d’invitation si désirée à la soirée ‘je sors mes nouvelles fringues parce qu’on va publier ma photo partout, partout où ce qu’on verra c’est que je suis cliente chez Zara, mais que j’ai un sac Rykiel’ de l’année, la mère de tous les événements people branchés : il n’y a pas de grande fête pour le lancement du guide Explorator cette année, l’éditeur Maison Moderne est à la diète, crise oblige. » (Josée Hansen, d’Lëtzebuerger Land, le 9 novembre 2012)

Novembre 2012 Paperjam fait son apparition dans Comme un lundi (S2E15), la série web TV imaginée par l’agence Vous pour la BGL BNP Paribas.

Septembre 2012 Joe la Pompe is back !

Le célèbre chasseur de pub a choisi Maison Moderne pour éditer son deuxième livre : Joe la Pompe – 100 visual ideas, 1.000 great ads, ou la création publicitaire mondiale vue à travers 100 thèmes récurrents, 100 idées visuelles. Joe la Pompe donne une conférence et présente son ouvrage à l’occasion du Maison Moderne Media Sales Show annuel qui se tient à Utopolis.

REVUE DE PRESSE :

« C’est passé quasi inaperçu, parce que sa périodicité variait, mais un journal est mort cet automne, sans faire grand bruit.

L’édition de l’été 2012 de Désirs, magazine haut de gamme des éditions Maison Moderne (MM), qui se situait entre la culture et le lifestyle, était la dernière. Le magazine était déficitaire, explique le CEO de MM, Mike Koedinger, dans la plaquette de la maison adressée aux annonceurs. Trop pour continuer à le publier dans un contexte économique difficile. » (Josée Hansen, d’Lëtzebuerger Land, le 26 octobre 2012).

Le même mois, Désirs est récompensé par Red Dot.

34 ―

― Supplément ― 20 ans

Histoire 20 années à 100 à l'heure

Février 2013 C’est à la Rockhal à Esch-Belval que se déroule l’édition 2013 des Media Awards, l’événement majeur du secteur de la communication, du marketing et du design, coproduit par Maison Moderne et RTL. Plus de 800 personnes assistent aux récompenses des meilleures créations publicitaires above-the-line.

Mars 2013

Juillet 2013 Pendant presque deux ans, l’auteur Hans Fellner et le photographe Andrés Lejona ont parcouru le pays, allant à la rencontre de collectionneurs luxembourgeois. Il en est sorti un livre, Luxembourg Collecting, édité par Maison Moderne et présenté le 4 juillet au CarréRotondes lors du vernissage de l’exposition organisée en parallèle. Une occasion de découvrir 50 collectionneurs privés qui ont constitué des ensembles extraordinaires à l’échelle du Luxembourg et, bien souvent, au niveau mondial.

Mai 2013 Luxembourg, en quête d’image, un simple titre posé sur une couverture tout en blanc : Paperjam pointe l’urgence d’agir au Luxembourg en matière de nation branding...

Septembre 2013 Maison Moderne est heureuse de vous annoncer la naissance de son tout dernier magazine, Kiki Ricki : une publication interactive et ludique, éditée pour le compte de la Chambre de l’agriculture, et qui est destinée à enseigner aux jeunes lecteurs entre 6 et 10 ans tout ce qu’il y a à savoir sur la nature, l’agriculture et l’alimentation saine.

Le fameux Harlem Shake s’invite aussi chez Maison Moderne.

C’est immortalisé sur YouTube !

(Harlem Shake at Maison Moderne).

Un an après Failure ?, le thème retenu pour la seconde édition de TedXLuxembourgCity est « Courage ». Une nouvelle fois, l’auditorium du Mudam affiche complet pour écouter les 16 orateurs de la journée.

Octobre 2013 À 20 jours des élections, Paperjam organise une table ronde « Élections 2013 : qui pour sortir le pays de la crise ? » Les têtes d’affiche des quatre partis majeurs du pays s’y retrouvent : François Bausch (Déi Gréng), Xavier Bettel (DP), Jean-Claude Juncker (CSV) et Étienne Schneider (LSAP). Le débat, animé par Alain Ducat et Jean-Michel Gaudron, est retransmis en direct sur internet. Chez Namur, où il se déroule, la salle est comble.

Novembre 2013 Parution du livre Lëtzebuerg Moderne : une déclaration d’amour à la capitale.

Un livre qui emmène le lecteur à travers les rues de Luxembourg et traverse le temps pour lui faire découvrir l’architecture de la ville telle qu’elle n’est jamais regardée.

Trois auteurs passionnés se partagent la paternité de ce livre : Christian Aschman, Joanna Grodecki et Robert L. Philippart.

Pour le lancement du livre, une exposition de photographies de Christian Aschman est organisée par la Fondation de l’architecture et de l’ingénierie.

La Grande-Duchesse, en personne, visitera cette exposition.

Juin 2013 Bye bye Aurelio. Un complice de la première heure quitte Maison Moderne. Après 12 années aux côtés de Mike Koedinger, Aurelio Angius quitte le Luxembourg et donc l’entreprise. Aurelio était arrivé au lancement de Paperjam en 2000 et a très significativement contribué à l’évolution de l’entreprise.

Il choisit de s’installer dans le sud de la France.

― Supplément ― 20 ans ― 35

Histoire 20 années à 100 à l'heure

Novembre 2013 Pour les 25 ans de la Galerie Clairefontaine, Maison Moderne édite le livre Looking to Learn / Learning to Look, sous la direction de Marita Ruiter, la fondatrice et directrice de la galerie.

L’année commence avec le troisième numéro de mmm – Conversations about Publishing and Media (Les trois « m » du Maison Moderne Magazine). Au sommaire : des interviews avec Joe Pulizzi (gourou international du content marketing), Edwin Tse (photographe), Jeremy Leslie (creative director et blogeur) et Francesco Franchi (précurseur du journalisme visuel). Dans son cahier central, on y retrouve l’actualité de Maison Moderne.

Maison Moderne rejoint Custo, l’association belge qui réunit les meilleures agences spécialisées en content marketing. Custo, c’est un véritable label de qualité (Superior Quality in Content Marketing) et Maison Moderne devient son 14e membre (et premier « non belge »). Une reconnaissance pour la diversification de ses activités et la qualité du travail accompli.

À l’aube de sa 20e année d’existence, Maison Moderne franchit un nouveau cap et adopte un nouveau modèle de gouvernance et une réorgani­sation des équipes de management. C’est ainsi qu’un conseil d’administration est instauré, dont la présidence est confiée au serial entrepreneur Jean-Claude Bintz et un des sièges à un autre spécialiste du tissu économique luxem­bourgeois : Dan Schneider. En outre, deux nouveaux postes de direction sont créés : Étienne Velasti devient directeur administratif et financier, alors que José da Costa prend les fonctions de directeur du Paperjam Business Club.

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nne Étie lasti Ve de lau C n z Jea Bint

Avec l’édition de février du City Mag, c’est déjà le 50e numéro qui paraît. Une confirmation de la pertinence du choix audacieux de la Ville de Luxembourg pour un magazine qui a remporté pas moins de 11 prestigieux prix internationaux de design.

Janvier 2014 Parution du livre d’architecture Our House qui présente deux maisons : l’une en ville, l’autre à la campagne.

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― Supplément ― 20 ans

neimënster Centre culturel et centre de conférences au cœur des vieux quartiers de la ville de

Luxembourg

Concerts, théâtre, expositions, congrès...

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Histoire 20 années à 100 à l'heure

Février 2014 Pour la deuxième année consé­ cutive, RTL et Maison Moderne coproduisent la Media Awards Night 2014. La cérémonie se tient dans le cadre d’un grand dîner assis à la Rockhal, devant plus de 800 personnes et récompense les meilleures créations publicitaires de l’année précédente.

Vingt années d’archives sur le bout des doigts ! L’application (gratuite) mobile Maison Moderne pour tablettes et smartphones propose de retrouver et de feuilleter le contenu de toutes les publications éditées depuis 1994. C’est notre cadeau pour tous nos lecteurs.

Avril 2014 Design City, la biennale luxembourgeoise du design dans l’espace public et dans la vie quotidienne, a désormais son magazine... signé Maison Moderne. C’est la troisième édition de cette biennale initiée par Anna Loporcaro pour le Mudam.

Mai 2014 Maison Moderne remporte le concours Merkur, le magazine de liaison de la Chambre de commerce, lancé par l’institution six mois auparavant. C’est un projet ambitieux et à notre mesure : il inclut une mission de repositionnement et déploiement d’une marque média, de stratégie de contenu, de direction artistique et de réalisation combinée « print » et digital. Le premier numéro est programmé pour décembre 2014.

Juillet 2014 Après Flightplan pour Luxair, voici un autre titre dédié à la commu­ nication interne d’une autre grande entreprise luxembourgeoise.

Avec Arendt’ we all paraît le premier numéro d’un nouveau magazine semestriel. Réalisé pour le plus grand cabinet d’avocats du Luxembourg : Arendt & Medernach.

Août 2014 Les chiffres Plurimedia 2013 - 2014 paraissent. Contrairement à la tendance générale de l’étude, les trois médias de Maison Moderne qui sont mesurés gagnent en audience (City Mag, Flydoscope, Paperjam). La progression du nombre de lecteurs de Paperjam est même spectaculaire, avec presque 25 %. Sur le graphique : l’évolution des trois titres depuis le début de l’étude Plurimedia en 2005.

60.000

Lectorat dernière période (en personnes de +15 ans)

50.000

40.000

Juin 2014 Maison Moderne organise sa première Content Marketing Academy : sur un format d’une demi-journée, 13 experts, créatifs et clients partagent leur savoir en matière de content marketing.

Pa pe rja m Fl yd os co p Ci Ci t y e ty M Ag ag en azi da ne /

30.000

20.000

10.000

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― Supplément ― 20 ans

20 14 20 13 /

20 13 20 12 /

20 12 20 11 /

20 11 20 10 /

20 10 20 09 /

20 09 20 08 /

20 08 20 07 /

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20 06

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C É LÉ B R E R AV EC S AVO I R , S E RV I R AV EC A M O U R .

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Quiz

Qui a dit quoi ? ► En 20 ans, les phrases choc, amusantes, insolites ou inattendues n’ont pas manqué d’égayer les nombreuses publications éditées par Maison Moderne.

Saurez-vous rendre à chaque citation son auteur ?

1

« Nous disposons d’un riche patrimoine des années 50, qui reste à être découvert et reconnu, aussi par le biais de protections. » Archiduc, Automne/Hiver 2013/2014 A Jos Dell B Michèle Majerus C Pierre Hurt

2 “We are all users who either profit from or suffer in our urban environment.”

City Mag, September 2010 A Andrea Rumpf B François Thiry C Sir Norman Foster

6 « On ne devient pas président

pour le seul plaisir de l’être. » Paperjam, Décembre 2004 A Claude Meisch B Jean-Claude Juncker C Marc Hoffmann

7 « Je regrette que l’on se

contente généralement de verser de l’argent plutôt que d’aider les gens à s’en sortir. » Désirs, Mai 2011 A Lydia Mutsch B Mady Delvaux C Xavier Bettel

8 « Un piston ne vaut rien si la

personne pistonnée ne vaut rien en elle-même. » « Il faut se rendre compte que la prospérité du Grand-Duché, Paperjam, Décembre 2002 A Lydie Polfer depuis les années 60-70, B Marc Spautz n’est ni un don du ciel ni une conquête des Luxembourgeois. » C René Dessard Paperjam, Février 2002 A Jean-Claude Juncker 9 « Un journaliste qui quitte B Lionel Fontagné un support, c’est une biblio C Romain Bausch thèque qui brûle. » Explorator, 2004 A Danièle Fonck 4 « Je ne regrette aucun des B Josée Hansen sacrifices que j’ai pu faire.

C Marc Gerges Aujourd’hui je vis mon rêve, je ne perds pas mon temps à rêver ma vie. » 10 « Jouer la carte de l’oppor­ Flydoscope, Summer 2010 tunisme et assumer son A Andy Schleck statut de paysage de transit, B Didier Bellens sa position d’enclave dans C Lakshmi Mittal le domaine financier ou de l’essence, pourrait permettre d’élaborer des propositions 5 “I feel… a problem is precisely spécifiques et donc de that many young Luxembourgers have never encountered devenir un atout pour le real difficulties in their lives.”

Luxembourg. » Delano, April 2013 Archiduc, Automne/Hiver 2012/2013 A Jim Clemes A Jean-Claude Hollerich B Philippe Nathan B Rolf Tarrach C Philippe Schmit C Sylvia Camarda

3

40 ―

― Supplément ― 20 ans

11 « Les sociétés ne sont pas là, de prime abord, pour créer des emplois, mais pour être rentables. » Paperjam, Décembre 2004 A Gary Kneip B Léon Zeches C Nicolas Buck

12 « Il y a deux ans à peine, nos

bureaux se trouvaient dans un entresol et on se réveillait chaque jour avec la volonté farouche de se battre pour ne pas faire faillite. » Paperjam, Mars 2001 A Charles-Antoine de Theux de Montjardin B Marc Neuen C Pol Wirtz

13 « J’aime, le dimanche

après-midi, me retrouver dans mon garage pour jouer au flipper. » Paperjam, Avril 2004 A Jean-Claude Juncker B Paul Helminger C Xavier Bettel

14 « Je fais les vins qui me

plaisent, s’ils plaisent au client, c’est bien, sinon, tant pis. » Explorator, 2014 A Abi Duhr B Henri Kox C Marc Desom

15 « Après la place financière,

il n’y a rien. » Paperjam, Avril 2009 A Luc Frieden B Pierre Gramegna C Serge Allegrezza

16 « Nous avons un système

scolaire parmi les plus chers et les moins efficaces et qui, non seulement, maintient les inégalités, mais également les renforce. » Paperjam, Février 2007 A Claude Meisch B Erna Hennicot-Schoepges C Romain Schmit

17 « Penser qu’un journal gratuit

incitera les jeunes à moins bouder la presse écrite me semble assez superficiel, voire naïf, pour ne pas dire plus. » Paperjam, Septembre-Octobre 2007 A Danièle Fonck B Léon Zeches C Paul Lenert

18 « Un bijou se garde, s’offre ou

se transmet. Si en plus il est unique, il serait vulgaire d’en discuter le prix. » Désirs, Automne/Hiver 2005/2006 A Anne-Marie Herckes B Claude Schmitz C Sylvia Camarda

19 « Le monde est grand et

le Luxembourg est petit. » Désirs, Printemps 2012 A David Goldrake B Octavie Modert C Tina Gillen

20 « Penser qu’on peut

uniquement changer les choses par une loi, c’est aller vers l’échec. » Paperjam, Juillet-Août 2010 A Claude Wiseler B François Biltgen C Nicolas Schmit

Quiz Qui a dit quoi ?

21 « J’ai toujours été un peu

révolutionnaire. » Paperjam, Avril 2004 A Adrien Ney B Gast Gibéryen C Le Grand-Duc héritier Guillaume

22 « Je trouve qu’il est assez

difficile pour une femme d’échapper au look ‘pétasse’… » Désirs, Printemps/Été 2009 A Erna Hécey B Marie-Claude Beaud C Octavie Modert

23 « Quand j’organise une

exposition, c’est un geste politique. » Explorator, 2011 A Alex Reding B Danielle Igniti C Marie-Claude Beaud

24 “I believe everything is

about the content.”

Flydoscope, Mai 2013 A Alain Berwick B Caroline Mart C Dr. Mario Garcia

25 « Je voulais faire quelque

chose pour la génération atteinte de déficit d’attention, dont je fais partie. » Flydoscope, Novembre 2012 A Jean-Claude Schlim B Jeff Desom C Xavier Bettel

26 « Chacun d’entre nous doit

avoir au moins une activité bénévole et qu’il fait pour la seule beauté de la chose. » Paperjam, Mai 2012 A Michel Wurth B Romain Bausch C François Pauly

27 « Une société où

personne ne prend de risque n’avance pas. » Paperjam, Septembre 2008 A Étienne Schneider B Jeannot Krecké C Nicolas Buck

28 « Ce ministère recouvre les

passions de ma vie. » Flydoscope, Mars 2014 A Corinne Cahen B François Bausch C Pierre Gramegna

29 « Au Luxembourg,

les chemins sont courts, c’est vrai, mais ils sont très très encombrés. » Paperjam, Février 2013 A Claude Wiseler B Étienne Schneider C François Bausch

30 « Il est bien plus noble de

gagner sa vie en nettoyant les abords d’autoroutes que de sciemment rester à ne rien faire en profitant de la collectivité. » Paperjam, Février 2001 A Gast Gibéryen B Jean-Paul Neu C Xavier Goffin

31 « Il faut montrer ce qui est

intéressant, même si cela doit être considéré, par certains, comme scandaleux. » Flydoscope, Février 2009 A Andy Bausch B Enrico Lunghi C Jo Kox

32 “We can’t block the natu-

ral development of the city, but we have to find the right balance.”

City Mag, December 2011 A Blanche Weber B François Bausch C Xavier Bettel

33 « Je suis fier d’avoir très lar-

gement réussi à convaincre les collaborateurs de ne pas se voir comme détenteurs d’un petit bout de souveraineté communale, mais au contraire de se sentir comme des facilitateurs pour rendre plus agréable la vie en ville. » Flydoscope, Juillet 2012 A François Bausch B Lydie Polfer C Paul Helminger

34 « Je suis persuadé que le

Luxembourg saura garder une industrie sidérurgique dont il pourra être fier. » Flydoscope, Mai 2012 A Jean-Claude Reding B Lakshmi Mittal C Michel Wurth

35 « Ce qui compte, ce n’est pas

ce qu’on sait, mais qui on connaît. » Flydoscope, Spring 2011 A Frank Schneider B Gerard Lopez C Marco Mille

36 « Le secret bancaire est un

secret professionnel comme les autres. » Flydoscope, Juin 2009 A Bernard Madoff B Jean-Jacques Rommes C Lucien Thiel

37 « Le risque, c’est une ques-

tion de définition. » Flydoscope, Spring 2011 A Carlo Thill B Gerard Lopez C Luc Frieden

38 « Le style, c’est d’abord une

idée, puis une éternelle recherche. » Désirs, Automne/Hiver 2005/2006 A Jacques Welter B Jean-Claude Juncker C Jean-Luc Mines

39 « On dit qu’avec le temps,

l’âme se durcit. En ce qui me concerne, je ne le constate pas du tout. Je suis même plutôt d’avis qu’avec l’âge, on devient encore plus sensible aux problèmes humains. » Flydoscope, Septembre 2011 A Le Grand-Duc Henri B Lydie Polfer C Marcel Gross

40 « Ce qui me fascine à propos

du Luxembourg, c’est que presque tous les gens que l’on rencontre ont quelqu’un dans leur famille qui travaille dans l’industrie sidérurgique. » Flydoscope, Mai 2012 A Aditya Mittal B Guy Dollé C Lakshmi Mittal

41 “A university belongs to the

capital city.”

City Mag, October 2013 A Lydia Mutsch B Rolf Tarrach C Xavier Bettel

42 “I don’t want young

Luxembourgers of today to be the frontaliers of tomorrow.”

City Mag, September 2012 A Angela Merkel B Corine Cahen C Xavier Bettel

43 « Une justice trop lente est

une justice absente. » Paperjam, Mars 2007 A Charles Ewert B François Biltgen C Georges Ravarani

44 “I am often asked ‘what

the fuck is Luxembourg?’”

Delano online, 24 October 2012 A Étienne Schneider B Jim Kent C Pierre Gramegna

45 « On souhaite que nos clients

ne nous sélectionnent pas par la marque, mais pour le moment agréable qu’ils vont passer. » Luxe (hors série Paperjam), Novembre 2004 A Hubert Clasen B Pierre Rossi C Robert Goeres

46 « La situation actuelle exige

un style de gouvernement plus énergique, plus axé sur le développement durable et plus courageux. » Flydoscope, Octobre 2009 A François Bausch B Jean-Claude Juncker C Xavier Bettel

47 « À un moment où tout

semblait perdu, surgit le punk qui reprenait là où les hipsters avaient lâché. » Explorator, 1996 A David Brognon (The Plug) B Gino Ricca C Marc Hauser

48 « C’est certain, être créatif,

cela aide. Mais c’est la part la plus simple du travail.

Vous pouvez sortir de l’école en étant la personne la plus créative de la planète, cela ne suffit pas. » Désirs, Automne/Hiver 2006/2007 A Bert Theis B Jean-Guillaume Weis C Sarah Wright

49 « Je veux jouer un rôle,

même petit, mais pas en tant qu’observateur. » Désirs, Printemps/Été 2006 A Alex Reding B Erna Hécey C Jules Werner

50 « Je pense qu’on ne peut

pas programmer de soirées inoubliables, elles dépendent de l’ambiance et des gens, rarement du lieu. » Explorator, 2001 A Bettina Heldenstein B Claude Neu C Lucien Elsen ► Découvrez toutes les réponses dans le livre

Happy Inventory publié à l’occasion des 20 ans de Maison Moderne (voir en page 50).

― Supplément ― 20 ans ― 41

Publications

50 covers marquantes ► Archiduc, City Mag, Delano, Désirs, Explorator, Graffiti, Nico, Nightlife, Paperjam, Rendez-Vous…

Quelque 500 publications ont été éditées en 20 ans.

Nous avons choisi 50 couvertures qui nous ont particulièrement marqués.

Juin 2000 Julia Channel par Fabrice Mariscotti

42 ―

― Supplément ― 20 ans

Juin 1997 Numéro zéro, sorti en juin 1997 Direction artistique par Messa de Bruxelles

Février 1999 Après Lyne Kuffer et Petz Bartz, c’est au tour de Miss Pitch et Dan Vinkowski (ici photographiés au Marx par Christian Aschman) de réaliser Nightlife.TV, diffusée sur RTL.

Juin 2000 Numéro zéro, paru en Juin 2000 Rédacteur en chef : Claude Neu. Couverture : Yvan Klein.

Mars 2001 Jean-Claude Bintz par Patrick Muller

Publications 50 covers marquantes

Avril 2001 Photo : David Laurent

Collection 2003 En joint-venture avec les Éditions Revue, Maison Moderne édite, de février 2003 à avril 2004, le magazine cinéma Graffiti fondé par le groupe de cinémas Utopia dans les années 1980.

Mai 2003 Bob Kneip et Jean-Luc Mines par David Laurent au Bar Le Trianon de l’Hôtel Cravat.

Juillet - Août 2003 Henri Grethen et Serge Allegrezza par David Laurent

Janvier 2004 Illustration : Vidale-Gloesener. Pour la 10e édition, le chiffre romain X prend des allures de levée d’armes pour la bonne chère. Une couverture manifeste.

Avril 2004 Illustration : Thomas Brodahl

Octobre 2004 Illustration : Denis Kamioka aka Cisma

Décembre 2004 - Janvier 2005 Photo : Stefanie Geerts, membre de l’Ad!dict Creative Lab. Couverture réalisée en collaboration avec le magazine Ad!dict de Bruxelles, édité par Jan Van Mol.

Avril 2005 Barcelona. Photo : Andrés Lejona.

― Supplément ― 20 ans ― 43

Publications 50 covers marquantes

Mai 2005 Couverture : Michel Mallard (Illlustration : Anna, 5 ans, pour Michel Mallard Studio)

Juillet - Août 2005 Photo d’Andrés Lejona en backstage du défilé de fin d’année de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles.

Le bras (en bas à droite) qui tient la baseline est celui de Mike Koedinger.

Septembre 2005 Nouvelle saison, nouvelle formule. Nico passe en dos carré avec couverture très glossy. Quatre couvertures pour le numéro de la rentrée, toutes signées par le photographe Werner Amann.

Janvier 2006 Illustration : Maya Wild

Décembre 2005 - Janvier 2006 Mademoiselle Jean par Julien Claessens

Janvier 2006 C’est avec une couverture de Luc Frieden, majestueusement photographié par Andrés Lejona, que Paperjam passe à une nouvelle formule en dos carré.

Septembre - Octobre 2006 Photo : Gaëtan Caputo

Novembre 2005 Illustration : Christina K.

Décembre 2006 Photo : Andrés Lejona

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― Supplément ― 20 ans

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Publications 50 covers marquantes

Janvier 2007 Nico évolue vers un magazine international à parution annuelle de 200 pages. Illustration : Christina K.

October - November 2007 Marie-Claude Beaud par Andrés Lejona

Novembre 2007 Edmond Israel par Andrés Lejona

Janvier 2008 Illustration : Makiko Sugawa

Février 2008 En couverture : Jean-Paul Lespagnard par Serkan Emiroglu.

Désirs présente des talents juste avant qu’ils ne deviennent des stars.

Février 2008 Illustration : Hiroshi Tanabe

June - July 2008 Pierre-Yves Augsburger par Andrés Lejona

Janvier 2009 Illustration : Yulia Brodskaya

October - November 2009 Jean-Claude Juncker par Andrés Lejona

46 ―

― Supplément ― 20 ans

Publications 50 covers marquantes

Mars 2010 Miriam Rosner, directrice artistique en design graphique, photographiée par Julien Becker

Mai 2010 Blanche Demarque, amoureuse de Cuba, photographiée par Julien Becker

Septembre 2010 Isabelle Thill, yoga Jivamukti, photographiée par Julien Becker

Août 2011 Extrait du film Hot Hot Hot de Beryl Koltz.

Photo : Patrick Müller. Pour inaugurer la nouvelle formule de Désirs, plus volumineuse, plus arty dans sa conception.

Décembre 2011 Tom Leick, acteur et administrateur de production de deux théâtres de la ville, photographié par Julien Becker.

Janvier 2012 Extrait de Greetings from, peint par Tina Gillen en 2008.

Février 2012 Beryl Koltz, réalisatrice du film Hot Hot Hot, dont l’action principale se déroule dans un sauna, photographiée par Julien Becker.

Juin 2012 Lynn Menster, interprète en langue des signes, ou la preuve que Luxembourg est vraiment une capitale multilingue. Photo : Julien Becker.

Mars 2012 Aude Lemogne par David Laurent

― Supplément ― 20 ans ― 47

Publications 50 covers marquantes

Juillet - Août 2012 Marine Friob, 13 ans, par Julien Becker

Juillet - Août 2012 Sandra Müller par Andrés Lejona

Septembre - Octobre 2012 Après une soixantaine de couvertures en portrait serré dans un cadre jaune, Paperjam se lance dans une nouvelle série de « unes » avec une coverstory consacrée au « prix de la monarchie ».

Décembre 2012 Robert Goeres par Julien Becker

Mars 2013 Anne Simon par Julien Becker

Mars 2013 Pour sa « success(ion) story », Paperjam invite le photographe Julien Becker à tirer le portrait de la nouvelle génération des entrepreneurs. Ils sont 11 à avoir joué le jeu sur une cover qui se déplie.

Avril 2013 Numéro 6, Printemps / Été 2013. Sur la couverture, une forme géométrique se développe à l’infini, selon une idée de Maxime Pintadu.

Juin 2013 Couverture : Maxime Pintadu

Janvier 2014 Xavier Bettel par Christophe Olinger

48 ―

― Supplément ― 20 ans

Étienne Schneider photographié dans son bureau au Ministère de l’Économie par Julien Becker.

Étienne Schneider lit Paperjam depuis 2000. Merci

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Directeur de la publication Mike Koedinger Rédacteur en chef Jean-Michel Gaudron Directeur artistique Stephanie Post

ÉDITEUR

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