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PLACEFINANCIÈRE

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La liste

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  1 MILITANT

« Il faut des expertises supplémentaires et transversales. »

Alors que la question de la séparation des activités de conseil et d’audit chez les Big Four redevient d’actualité, David Capocci, managing partner de KPMG Luxembourg, estime que les auditeurs ont besoin de plus en plus de compétences allant au-delà de leur activité pour mener à bien leur mission. Une séparation, pour lui, appauvrirait donc la qualité des audits.

 2 DIDACTIQUE

« Nous devons penser à plus long terme et prendre des décisions responsables dans l’intérêt de nos citoyens et entreprises. » À l’occasion de la conférence sur la dette organisée par l’Alrim (Luxembourg Association for Risk Management), le 27 juin, la ministre des Finances, Yuriko Backes (DP), a souligné que le gouvernement s’est engagé à maintenir la dette nationale en dessous de 30 % du PIB.

 3 SOUCIEUX « La place financière luxembourgeoise se porte bien, mais elle pourrait se porter encore mieux. »

Devant la commission des finances et du budget de la Chambre des députés, Nicolas Mackel, le CEO de Luxembourg for Finance, a listé les défis que devra relever la Place ces prochains mois, dont celui de l’attractivité afin d’attirer davantage de talents et de profils spécifiques.

4 RASSURANTS

« La croissance n’est pas si basse que cela. »

Pour Anton Brender, chief economist, et Florence Pisani, global head of economic research chez Candriam, même faible, la croissance sera au rendez-vous. Selon eux, tablant sur une inflation qui va se normaliser l’an prochain, la stagflation n’est pas un scénario probable. Mais ils reconnaissent que les prochains mois sur les marchés seront marqués par une volatilité accrue.

  5 SANS ÉTATS D’ÂME « La priorité doit être de combattre l’inflation afin d’empêcher l’économie mondiale de s’installer dans un régime d’inflation élevée. »

Agustín Carstens, directeur général de la Banque des règlements internationaux (BRI), a appelé les banques centrales à l’action et à la fermeté face à l’inflation. Et tant pis si la croissance devait en pâtir. « Les avantages à plus long terme d’une préservation de la stabilité pour les ménages et les entreprises dépassent tous les coûts à court terme », insiste-t-il.

  6 INQUIET « L’importante chute des taux d’intérêt n’a pas été une aubaine pour les candidats à l’accession à la propriété. »

Matic Zorman et Andrés Lejona (archives) Photos

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