Marche & randonnée

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MARCHE & RANDONNÉE LE GUIDE POUR LES NOUVEAUX RANDONNEURS



MARCHE & RANDONNÉE LE GUIDE POUR LES NOUVEAUX RANDONNEURS


MARCHE ET RANDONNÉE MARCHE -RANDONNÉE est publiée quatre fois par année par la Fédération québécoise de la marche, organisme sans but lucratif oeuvrant au développement de la marche sous toutes ses formes au Québec. SIÈGE SOCIAL 4545, avenue Pierre-De Coubertin Montréal (Québec) H1V OB2 Téléphone : 514 252-3157 - 1 866 252-2065 Télécopieur : 514 252-5137 Internet : www.fqmarche.qc.ca Courriel : revuemarche@fqmarche.qc.ca MARCHE-RANDONNÉE est réalisée grâce à la collaboration précieuse de bénévoles. ÉDITEUR Jean-Luc Caillaud RÉDACTRICE EN CHEF Nicole Blandeau MEMBRES DU COMITÉ DE LA REVUE Roland Boisvert, Pascal Boulay-Cotton, Annie Leblond RÉVISEURES/CORRECTRICES Monique Duguay, Annie Leblond GRAPHISTE Maude Gravel CARTOGRAPHE Marc Létourneau RESPONSABLE DE LA PUBLICITÉ Pascal Boulay-Cotton 514 252-3157 poste 3436 IMPRIMEUR LE GROUPE COMMUNIMÉDIA INC. COLLABORATEURS Julie Aubé, Olivier Bélanger, Bianca Breton, Marie-Claude Chagnon, Claude P. Côté, David Desjardins, Simon Diotte, Mélanie Dubé, Pierre Duff, Claudine Hébert, Jacques La berge, Alain Lavallée, Gabriel Lépine, Anne Marie Parent, Marie-Christine Plamondon, Dominic Robitaille, Sabica Senez. ABONNEMENT: 29,50$ Inclut l’adhésion individuelle à la Fédération québécoise de la marche DÉPÔT LÉGAL Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN-1495-687x Nous reconnaissons l’appui financier du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du Canada pour les périodiques, qui relève de Patrimoine canadien. PROCHAIN NUMÉRO PARUTION: 20 MARS 2015


07.

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INTRODUCTION

RÉCITS

LA RANDONNÉE C’EST SÉRIEUX

ASCENSION EN RAQUETTE LE MARAIS DU NORD LES 3 MONTS

LE GUIDE QUOI ? QUAND ? COMMENT ? AVEC QUOI ? OÙ ? POURQUOI ?

DEVENIR MEMBRE LE COUPON D’ADHÉSION

23.

31.

ESPÈCES

CONCLUSION

LE HIBOU LE CERF L’OURS

L’AVENTURE COMMENCE ICI



INTRODUCTION LA RANDONNÉE C’EST SÉRIEUX



Un mercredi en fin d’après-midi, un randonneur appelle au bureau de la Fédération québécoise de la marche : « Nous sommes égarés...  ». Heureusement que là où il est, le téléphone cellulaire fonctionne ! S’enclenche alors un processus dont voici un court résumé.

Le lendemain matin, notre boîte vocale ne contient aucun message. Nous téléphonons aux deux numéros laissés par M. Légaré : au premier, un message demande de rappeler  ; au second, nous sommes accueillis par une boîte vocale. Devant cet insuccès, nous émettons plusieurs hypothèses. Sans nous livrer à des conjectures, nous décidons de ne prendre aucune chance et de prévenir la Sûreté du Québec de Saint-Donat. Un agent note tous les détails que nous pouvons lui fournir, puis nous renvoie à une centrale où nous répétons la même chose. Moins d’une heure plus tard, un agent nous informe que M. Légaré et ses compagnons sont rentrés chez eux, sains et saufs. L’agent ajoute : «  Merci de prendre l’affaire au sérieux ».

Monsieur Légaré  se trouve au refuge Paul Perreault. Lui et les deux personnes qui l’accompagnent veulent retourner à leur véhicule, stationné à l’entrée du sentier du Mont-Ouareau en bordure de la route 125. Mais ils ne savent pas comment. Évidemment, nous leur suggérons de retourner sur leurs pas. Or, ils n’arrivent pas à repérer par où ils sont arrivés ni comment ils ont abouti au refuge. Ils se souviennent seulement d’avoir suivi un sentier balisé en blanc et rouge. Cette simple indication nous suffit pour les guider: «  Dirigez-vous vers le lac Lemieux, puis allez vers la gauche. Suivez les balises blanc et rouge tout en vous assurant d’avoir le soleil dans le dos. Dans deux, trois heures maximum, vous serez à votre voiture. » Ils ont de l’eau, de la nourriture et suffisamment de temps pour sortir du sentier avant le coucher du soleil. Donc, tout devrait bien aller. Nous convenons quand même que M. Légaré laissera un message dans notre boîte vocale dès sa sortie du bois. Et il nous donne deux numéros de téléphone cellulaire.

Un peu plus tard, M. Légaré nous rencontre pour les détails de leur aventure. De part et d’autre, des questions sont soulevées, des conclusions, tirées. Tant les randonneurs que les responsables des sentiers ont leurs torts, et tout sera mis en oeuvre pour qu’une telle situation ne se reproduise plus. Donc, tout est bien qui finit bien ! Merci de prendre l’affaire au sérieux. Mot de la réadaction

09.



RÉCITS LE MARAIS DU NORD L’ACROPOLE DES DRAVEURS ASCENSION EN RAQUETTE


ASCENSION EN RAQUETTE

Après quinze minutes en raquette, mes compagnons déclarent tous tristement que la forêt du mont Morissette est sans aucun doute inhabitée. Il ne semble pas y avoir de présence de vie autre que la nôtre.

DU MONT MORISSETTE

En poursuivant notre ascension, je remarque non loin du sentier des pistes fraîches dans la neige et quelques arbres dénudés de leur écorce. Je regarde patout autour de moi pour tenter de trouver si l’animal à l’angine de ces signalements est dans les parages. Perché à mi-hauteur dans un gros cèdre, se cache un porc-épic.

Comme il y a rien qui presse et que nous voulons capter en images tout ce qui bouge autour de nous, je propose en prenant la tête de notre équipe de faire plusieurs haltes et d’imposer à mes compagnons les consignes de silence total, d’écoute attentive et de recherche d’indices de vie animale. En effet, les conversations à voix haute des randonneurs ne font pas bon ménage avec le calme que recherchent les oiseaux et les animaux. Aussi bien ne pas les déranger et mettre ainsi toutes les chances de notre côté !

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dénicher des indices fraîches. Mon regard se pose par hasard sur deux boules de petites plumes perchées dans des feuillus. Pas de doute, ce sont deux gélinottes huppées bien dodues en train de se régaler de bourgeons. Vite à nos appareils photo et clic, clic, clic.

Mes compagnons excités s’extasient, mais leurs cris ont vite fait de réveiller le porc-épic endormi qui décide de grimper le plus haut possible dans l’arbre. Heureusement, nous avons le temps de saisir en photos cette belle boule noire couverte d’épines et de neige qui s’agrippe solidement à son arbre.

Le slogan du mont Monsselle proclame que c’est une expérience à la hauteur ! Mieux vaut en effet garder la tête bien haute, car il y a de la vie dans les arbres ! Par Jacques Laberge

À mi-chemin, le sentier monte de plus en plus et il faut s’arrêter de temps à autre pour reprendre notre souffle. Chaque pause est l’occasion pour moi de scruter la cime des arbres et de regarder attentivement au sol pour

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LES TROIS MONTS À SAINT-JOSEPH-DE-CALERAINE De la yourte panoramique des 3 Monts, juchée à flanc de montagne, nos yeux contemplent un flamboyant coucher de soleil sur les collines appalachiennes et les premiers scintillements du petit hameau de Vimy-Ridge au creux de la vallée. Ce village minier, situé dans la région de Thetford Mines, doit son existence aux gisements d’amiante chrysotile jadis en activité.

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L’endroit est au coeur d’une

formation

géolo-

gique rare, qui représente moins de 1% de la surface terrestre, celle de l’ophiolite. Le roc qui repose sous nos pieds fut formé à des températures et à des pressions extrêmes. à plusieurs kilomètres de profondeur sous la croûte terrestre. Un phénomène géologique particulier survenu lors de la formation des Appalaches, il y a 600 millions d’années a permis à la périodite, une roche magmatique contenant ici les veines d’amiante et de chrome, de remonter jusqu’à la surface du sol. Bien que l’activité manière ait cessé dans la région, les vestiges du passé sont toujours présents. En été, les îlots de résidus miniers ressemblent à des paysages lunaires. Sous la neige, ces formes éléphantesques tissent un tableau féeriques au milieu des montagnes sauvages qui les encerclent. Une vingtaine de kilomètres de sentiers de randonnée serpente dans le paysage accidenté du parc Les 3 Monts. Dans le secteur Nord, l’ascension du mont Caribou (558 m) offre un accès intéressant aux plus beaux paysages de la région. Au sommet,

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une avancée de près d’un kilomètre sur une longue crête dégagée permet d’admirer la kyrielle de collines qui domine le large panorama qui s’offre au visiteur. Si vous décidez de poursuivre au-delà de la crête, préparez-vous : c’est la randonnée la plus difficile du parc. La boucle de 6 km nécessite environ cinq heures de marche. Comme c’est une section peu empruntée, il y a de bonnes chances que vous deviez ouvrir la piste. Prenez-le comme une aubaine, car n’est-ce pas ce que recherchent avant tout les passionnés de milieux sauvages ? Par contre, pour éviter la partie plus difficile, vous pouvez rejoindre le lac Johnson en revenant par l’autre section de la boucle. Comme c’est plus rapide et plus facile, vous aimerez ce sentier qui serpente en forêt au fond d’une belle vallée. Par l’entrée Sud du parc,

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du côté de l’accueil, la randonnée au mont Oak (465 m) introduit à des écosystèmes forestiers exceptionnels. Vous aurez la chance de pénétrer au coeur d’une chênaie rouge à érable à sucre et d’une pinède rouge, rare dans la région. Du haut du belvédère, il vous sera possible d’admirer les étendues du grand lac Aylmer, long de 24 km et, à l’horizon, le pic du mont Mégantlc, dans les Cantons-de-l’Est. Les plus hardis pourront poursuivre jusqu’au mont Kerr (494 m) et admirer l’immense cratère tout de blanc vêtu de la mine LAB Chrysotile. Il est possible aussi de faire la traversée du parc, un aller simple de 10 km ou de 14 km si vous voulez profiter des sommets, c’est une excellente façon de découvrir les beautés des trois montagnes en une seule randonnée. Par Claude P. Côté

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LE GUIDE POUR LES NOUVEAUX RANDONNEURS



TABLE DES MATIÈRES

QUOI ?

AVEC QUOI ?

QUAND ?

OÙ ?

COMMENT ?

POURQUOI ?

03.


04.


Q U OI  ? Activité de loisir consistant en une promenade de longue durée que l’on fait à pied, à bicyclette, à raquettes, à skis, etc., sur un circuit le plus souvent balisé. Définition dans le dictionnaire larousse.

05.


06.


Q UAND ? Elle peut être pratiquée durant toute l’année, soit l’hiver, le printemps, l’été et l’automne. Définition dans le dictionnaire larousse.

07.


08.


C O MMENT ? Amateurs de nature sauvage et de la quiétude, préparez-vous en suivant les six étapes : s’informer sur le lieu, évaluer la fiche technique, planifier, vérifier l’équipement, aller au départ et suivre littinéraire. Par Olivier Bélanger

09.


10.


AV E C QUOI  ? Une lame, un briquet, du duel tape, de la corde, des pansements, un sifflet, des sous-vêtements et des collations. Préparer votre sac à dos et partez. Par David Desjardins, Mélanie Dubé et Julie Audé

11.


12.


O Ù  ? Il est possible de pratiquer la randonnée en sentier, dans le bois, à la montagne, etc. Par Nicole Blondeau

13.


14.


P O URQUOI  ? La marche diminue la fréquence cardiaque, la tension artérielle et les risques de maladies des artères coronaires. Elle augmente la résistance du coeur et améliore la capacité de faire un effort prolongé. Par Anne Marie Parent

15.




LE GUIDE




ESPÈCES LE HIBOU LE CERF L’OURS


24.


LE HIBOU CAMOUFLEUR Si vous vous aventurez en forêt le soir ou la nuit tombée, vous pourrez peut-être entendre le hurlement d’un strigidé et même, si vous ête chanceux, en observer. Le Petit-Duc maculé est le plus petit de tous les hiboux du Québec. Il habite habituellement les cavités naturelles des arbres et, lorsqu’elles se font rares, peut établir son nid dans un nichoir. Son plumage lui confère un camouflage exceptionnel qui le rend très difficile à obesrver. La présence de boulettes de régurgitation au pied de son perchoir est souvent indice de sa présence. Le Petit-Duc, tout comme l’ensemble des strigidés, avale souvent d’un seul coup ou en gros morceaux ses proies. Les parties indigestes sous forme de petites pelotes mesurant en moyenne trois centimètres. Par Dominic Gendron

25.


LE CERF TÉMÉRAIRE Le cerf de Virginie est l’un des grands mammifères les plus communs de l’Amérique. Il a un corps élancé. Sa tête gracieuse est surmontée de deux grandes oreilles toujours à l’affût du moindre bruit. Ses grands yeux jettent un regard perçant sur tout ce qui bouge autour de lui. Il possède un odorat très sensible qui lui permet de percevoir les odeurs jusqu’à 90m de leur source. Ainsi, il identifie rapidement les menaces. Il se nourrit de gousses, d’herbes, de cactus et de fruits. Leur estomac leur permet de se nourrir de certaines espèces toxiques pour l’Homme dont le sumac grimpant ou certains champignons. Il vit principalement à l’est des montagnes Rocheuses, dans les forêts, marais et clairières. Le cerf de Virginie devient plus téméraire en automne alors que la nourriture se fait plus rare. Il se nourrit principalement de végétaux et de petits fruits. Par Dominic Gendron

26.


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28.


L’OURS CORPULENT Les ours forment la famille de mammifères des ursidés, de l’ordre des carnivores. Les ours ont comme caractéristiques un corps grand, trapu et massif, un long museau, un pelage dense, des pattes plantigrades à cinq griffes non rétractiles, et une queue courte. L’ours est généralement diurne, mais peut être actif la nuit ou au crépuscule, notamment près des habitations. Les ours sont aidés par leur excellent sens de l’odorat, et malgré leur forte corpulence et une démarche maladroite, ils peuvent courir rapidement et sont des grimpeurs habiles comme d’excellents nageurs. Leurs dents sont utilisées pour la défense et comme outils et dépendent du régime de l’ours. Leurs griffes sont employées pour déchirer, creuser et attraper. Sur leurs pattes arrière, ils peuvent avoir une démarche bipède. Par Dominic Gendron

29.



CONCLUSION L’AVENTURE COMMENCE ICI


32.


L’AVENTURE COMMENCE ICI C’est en Haute-Mauricie, plus précisément à La Tuque, qu’aura lieu la 10e édition du Festival de la raquette, le grand rassemblement annuel des amateurs de raquette à neige. Le Club des 3 Raquettes et la Ville de La Tuque, partenaires de l’événement, invitent tous les adeptes de raquette, qu’ils soient débutants, intermédiaires ou avancés, à venir explorer leurs sentiers. La Tuque, la deuxième plus grande municipalité du Québec en superficie, est un grand espace de jeux d’hiver regroupant des sentiers uniques pour la randonnée pédestre et la raquette. Durant cette belle journée festive, vous aurez l’occasion de côtoyer nos joyaux au coeur d’une vaste forêt contournant la ville : lacs, ruisseaux et parois glacées remarquables, en plus des falaises et points de vue époustouflants. L’accueil des randonneurs se fera au Centre de ski La Tuque, situé sur la rue Desbiens. Les personnes qui ne possèdent pas de raquettes pourront en emprunter sur place, grâce aux Agences Stéphane Morin, représentantes des raquettes Atlas et Tubbs. Les randonnées guidées compteront un ouvreur et un serre-file par groupe afin que tout se déroule de façon sécuritaire. Un service de navette est prévu pour les randonnées familiales spéciales au lac du Golf. Pour les plus longues randonnées en montagne, une soupe sera servie au refuge et une réconfortante boisson chaude sera offerte aux randonneurs à leur retour au Centre de ski La Tuque. Pour clore la Journée, vous êtes invités à fraterniser avec les chaleureux. La tuquois lors d’un souper familial accompagné de musique, qui aura lieu au Centre de ski. Venez célébrer la 10e édition du Festival de la raquette en Haute-Mauricie, parce que l’aventure commence ici ! Par la fédération

33.








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