Passage en revue. Julien Burri. Edito 2 Moi, j’ai envie... Délicatement, avec force, de prendre ta main dans la mienne, de lire dedans, de voir où les lignes s’arrêtent, où elles s’interrompent... Un instant. Ne rien voir du tout, Mais tout voir du rien, Du néant plein de vide... Extrait de et l’ombre qui peine, 3.3.1996 3