MALEK SALAH, "STRATES", ESPACO GALLERY, 2016.

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Avril 2016



Le choix du mot « strates » comme nom générique de mon exposition est en soi explicite, car il indique l’intention contenue dans chacune des œuvres qui la composent. Si on choisit la définition relative à la personnalité : « chacun des niveaux, des plans imaginaires qui, accumulés, superposés, sont constitutifs de quelque chose : les strates de la personnalité », on rejoint facilement l’intention qui m’a guidé. Deux niveaux concomitants sont à la base de cette production : l’un matériel, car il définit les techniques employées dans la superposition de coups de crayon , de craie, ou de pinceaux en plus de l’organisation en deux parties de chacune des peintures présentées. L’autre, mental, car il présuppose une investigation des différents niveaux intérieur de la conscience. Les deux sont corrects et peuvent être des moyens pour une bonne lecture de cette exposition. Chaque peinture a une histoire qui lui est propre, qui incorpore ces définitions auxquelles vient s’ajouter la relation que j’établis avec chacune d’elles. Chacune d’elles propose un dialogue ou l’œil du spectateur viendra effleurer la surface produite, mais où le mental ira en profondeur pour en comprendre la structure. Quel que soit le départ choisi, instinctif ou mesuré, une organisation vient peu à peu se mettre en place et en fin de compte apporter une solution probante au chaos. Je procède sur des surfaces produites à l’acrylique à une série de gestes qui va crescendo jusqu’à ce que ce processus s’arrête de lui-même, car il est dans cet instant présent, la solution recherchée. Cette nouvelle série qui est totalement abstraite se rapproche le plus de ce que je recherche à explorer et donner à voir, ou plus précisément à ressentir. Malek Salah


MALEK SALAH

« Ce n’est pas le résultat qui compte mais le processus ! »

Après avoir inauguré le MAMA en 2007, avec une gigantesque expo (Majnûn Laylâ) l’artiste plasticien polyvalent Malek Salah nous fait l’honneur de présenter une nouvelle expo inédite, conçue exceptionnellement pour l’espaco Gallery. Celle-ci comprend une trentaine d’œuvres : des peintures des œuvres sur verre et des volumes mais aussi des sculptures. Attaché à l’Algérie, alors qu’il vit en France, Malek Salah qui fait un va-et-vient incessant entre ces deux pays de la Méditerranée a le pays chevillé au corps et au cœur. Son travail est une sorte de recommencement, un retour à la source, au cœur « du soi et du pays », dont rien ne compte en dehors de lui quand seul l’instant présent importe. Cette philosophie de vie, il la doit à la méditation que l’artiste volubile, à l’âme cérébrale a découvert bien tôt, il y a près de 40 ans et qui, aujourd’hui, contribue, non seulement, à enrichir sa réflexion sur la vie mais à façonner également sa démarche artistique. Il nous en parle dans cet entretien, à bâtons rompues…


ESPACO : Vous présentez une nouvelle exposition inédite, que vous avez conçue spécialement pour l’Espaco Gallery. Elle semble comme une rupture par rapport à vos anciens travaux. Pourriez-vous nous en dire plus ? Malek Salah : Oui ça va être une nouvelle expo inédite, conçue, et réfléchie pour ce lieu précis. On peut dire que c’est une rupture par rapport à ce qu’on connaît de moi depuis deux décennies, mais pas par rapport à mes débuts. Car je retourne à la source de ce que j’avais entrepris au départ, dans le contenu et dans la forme. J’ai commencé par un travail vraiment minimal. La référence est facile, car lorsque j’ai commencé mon premier travail en tant qu‘artiste peintre professionnel, j’entends, on m’a assimilé à un grand artiste : Cy Twombly. Quand on connaît Twombly, on voit des similitudes avec ses travaux sur papier, alors que maintenant il y a aussi des références claires à sa peinture. Il était à l’avant-garde à cette époque. C’était vraiment un artiste à part. Je l’ai découvert lors d’une exposition à Paris organisée par Dany Bloch responsable de l’ARC au Musée d’art Moderne. Elle m’a présenté un catalogue où j’ai vu ses travaux et j’ai été bien surpris. C’est là que j’ai compris que j’appartenais à une famille. Aujourd’hui tous ceux qui s’intéressent au dessin se réfèrent à twombly. C’est le premier artiste d’envergure internationale qui a apporté quelque chose dans le dessin. On remarque en effet, dans cette nouvelle exposition, une totale abstraction avec le choix du graphisme dans la peinture. Pourquoi ? Oui c’est de cela que je parlais, un retour réel à mes débuts. C’est de cette manière que je travaillais. Avec une nuance pour cette exposition, je n’emploie que des couleurs neutres. Dans cette grande peinture, Ce qu’on voit, ce sont des milliers de traits à la craie. Cela m’a pris un mois pour le faire. Il y a du gris, du blanc, de l’ocre, du jaune.


Quand on l’installe sur un fond noir, ça donne cet aspect-là. Il y a eu plusieurs étapes. J’aurai dû peut être les photographier, mais je n’ai pu m’arrêter. Ce qui m’intéresse dans tout ce que je fais est non pas le résultat, mais le processus. Je ne suis pas intéressé par le résultat. Je me décide du moment de l’arrêt, quand j’arrive à saturation. Là, j’ai une expo, donc je m’arrête mais autrement c’est le processus qui m’intéresse c’est-à-dire l’expérimentation de ce que je fais à un moment donné. Ça répond à une philosophie. Ça sous-entend une démarche, une quête intérieure. Le travail que j’ai fait à l’époque (dans les années 1970), je l’ai fait parce que j’avais commencé la pratique de la méditation transcendantale. Ensuite tout est venu naturellement, et m’a mis en lien et en phase avec quelque chose que je qualifierai, à l’époque de pas facile, de nouveau, d’inconnu car je n’avais aucune référence ni modèle en tant qu’Algérien. La méditation m’a apporté la possibilité de transcender le temps et de trouver le lien qui va me permettre de procéder comme un artiste, qui n’est pas seulement algérien, mais comme un artiste dans le monde. Votre peinture actuelle, totalement abstraite composée de surfaces grises blanches ou noires est rehaussée de ces sortes de grilles au crayon ou à la craie, Ça respire une certaine intériorité, toutes ces vibrations… Tout à fait. Il y a de cela. Lorsque l’on prend une feuille pour dessiner, la feuille c’est juste un support. L’acte de dessiner est une énergie. C’est une manière de matérialiser une forme d’énergie naturelle, qui est innée à l’individu. J’ai envie d’appeler cette expo « La Matrice » (Interview réalisé pendant la préparation de l’expo, Ndlr). Elle fait référence à plein de choses. À la conscience, à la grille magnétique de la terre, à l’électro magnétisme du corps, à l’infiniment petit et l’infiniment subtil qui disent plus qu’une chose qui fait du bruit. Ce qui module tout ce champ électromagnétique et met tout ça en mouvement c’est la conscience. Je suis à l’intérieur de ce processus-là. Amener quelque chose qui est de cet ordre-là, c’est évoquer l’expression première du début de la pensée, avant qu’elle ne se matérialise. À


ses premiers balbutiements. Je suis dans ce côté puissant, malgré son apparente douceur, car dans son aspect le plus vrai, à un niveau cantique. Là où les choses peuvent « être ceci ou cela ». Car ça paraît doux mais c’est très fort et il y a de l’énergie dans l’infiniment petit et l’infiniment subtil qui dit plus que quelque chose qui fait du bruit. Qu’en est-il de ces couleurs neutres ? Je travaille sur les tensions. Il y a plusieurs nuances de gris et du noir. Le blanc qui souvent tranche vient toujours comme étant la source. Comme si tout émergeait de là, mais non exprimé de façon formelle, seulement au niveau premier. Car il s’agit justement de souligner cette lumière de pensée qui émerge, avant qu’elle ne prenne forme. Tous les possibles sont là. Le jaune au milieu, (sur la grande toile) que vous voyez là est une vibration qui est venue se superposer à l’ensemble. Tout est vibration. Comme une onde qui passe. Toutefois, encore une fois, ce n’est pas ce que je retiens mais le processus, les possibilités qu’il y a dans ce travail. Imaginez tout ce qu’on pourrait faire ! Quand on prend une feuille de papier et que l’on demande à quelqu’un de dessiner, sachant que le dessin est l’expression la plus vraie de l’individu. Il fait un trait, il peut multiplier les traits, il y a un travail à faire. Un point, deux, dix, des milliers, cela peut englober toute la surface, on peut faire des cercles, des graffitis, tout est possible. Nous découvrons aussi des vibrations ordonnées comme le suggèrent ce dessin. Des vibrations qui manifestent des choses sans les dire tout à fait. Elles naissent de façon organisée. On peut aller à l’infini comme ça. Il y a aussi des coups de pinceaux (sur une autre peinture). À partir de là, on peut aller où l’on veut. C’est la même chose que le crayon mais cette fois, je l’ai réalisé au pinceau. La surface peut disparaître. Dans la physique quantique, on dit que la matière au niveau le plus subtil peut être ceci ou cela, peut être onde ou particule. Peut se manifester d’une manière ou d’une autre. C’est nous qui décidons de ce que c’est. C’est dans ce monde-là que j’évolue maintenant.


Pourquoi cette obsession sur le soi, aujourd’hui ? Ça c’est l’objet de mon parcours de vie. Et dans mon travail c’est une sorte d’accomplissement, puisque c’est avec le soi que tout se fait. C’est aussi à un niveau pratique, un retour puisque j’ai commencé à travailler de cette manière. Mais c’est aussi un nouveau départ. Je ne travaille pas du tout dans la critique sociétale, ou politique ou psychologique. Je suis dans l’expression de « cela ». J’ai commencé avec ça, quand j’ai été en France. En rentrant en Algérie en 1980, j’ai présenté ce travail. C’était la première fois que les Algériens voyaient ça dans les années 1980. Je suis dans un processus individuel, ce qui m’intéresse c’est l’illumination, même si cela paraît être ridicule. Je suis sur la quête de soi. Et je fais la méditation tous les jours depuis 39 ans. Tout ce que fais est lié à ça. C’est juste un aspect de ce que je suis. Comme si ma création artistique était un véhicule dans lequel je me promène. Un dialogue avec moi-même. Un processus dans lequel je m’inscris et évolue. Ça a pris des formes différentes. En rentrant à Alger, je me suis retrouvé dans l’obligation de changer de travail et je me suis mis à faire de la peinture d’une autre manière. C’était dû à la société, à l’atmosphère qu’il y avait, à la conscience collective de cette époque. J’ai dû reprendre tout depuis le début. Mais c’était dû aussi à ma volonté de comprendre tous les aspects liés à la création stade après stade. Mon expérience des années 70 ne m’a pas donné le mode d’emploi, juste un résultat. Maintenant vous bouclez une certaine boucle ? Oui j’ai l’impression de boucler la boucle plus de 30 ans après, en revenant à ce qui était mon premier travail de création. Un critique français (Jean de Loisy) m’a dit un jour que le premier travail d’un artiste est le vrai, celui qui lui correspond le plus. J’ai enregistré cette pensée. Je me suis rendu compte avec le temps que c’est ce que j’étais en train de faire. Si j’étais resté en France je serai resté dans cette


voie-là, naturelle, facile. Mais quand je reviens à Alger, il y a comme un bouleversement, comme s’il fallait que je refasse tout. Comme s’il fallait que je passe par un cheminement de compréhension en revenant en arrière de ce qui m’a été donné, car je fais aussi un travail sur ce questionnement : qu’est-ce que l’art, et pourquoi faire ? C’est une manière pour moi de me construire en tant qu’artiste et en tant qu’homme. N’est-il pas difficile de revenir à vos débuts en ayant appris assez sur vous-même ? Ne craignez-vous pas perdre vos réflexes et cette spontanéité et fraîcheur du début ? Je n’ai aucun problème par rapport à ça. J’ai fait une expérience spirituelle où les arcanes de la création m’ont été donnés. Comme si quelque chose m’était tombé sur la tête. Après, je me suis évertué à comprendre tout ça. Mon travail aujourd’hui procède, en effet, de toutes les expériences que j’ai faites. Maintenant je crée avec une grande facilité par ce que j’ai eu une très bonne formation et surtout beaucoup d’expérience. Je ne m’interdis rien. Je suis dans un processus d’expérimentation tout le temps. Donc tout est nouveau à chaque moment à chaque instant. Même si je l’ai compris, il est en expansion, illimité. « Je suis », tout simplement. Propos recueillis par O. Hind



Peut-on dire que ta peinture est une réponse spirituelle au matérialisme ambiant généré par les différentes gouvernances que tu as eues à subir durant tes séjours en Algérie et en France ? Je ne dirai pas cela de cette manière. Ma démarche spirituelle est concomitante à mon parcours artistique. L’une a engendrée l’autre. En 1975, j’ai eu une expérience spirituelle très intense qui a duré plus de deux mois. Durant tout ce temps, le monde a changé pour moi. Je n’étais plus le même. Un éveil s’est établi qui a eu des conséquences sur tout ce que je faisais, ce que je croyais, ce que je vivais. À partir de ce moment j’ai été comme conduit vers une seule direction. Retrouver cet état et l’établir en moi durablement. Dans ce cheminement, j’ai rencontré la méditation que j’ai pratiqué dès 1977. Quelques mois plus tard, j’ai réalisé ma première œuvre majeure en tant qu’artiste professionnel, avec une connaissance accrue de tous les mécanismes de la création. C’était comme si j’avais « déchiffré » les arcanes de la création artistique. Ensuite c’est devenu tellement facile et évident. Donc pour répondre directement à la question, ce n’est pas une réponse au matérialisme ambiant, ce serait plutôt une solution, celle que doivent apporter les artistes à la société : « L’éveil des consciences ». Je pense que si on n’a pas « la grande idée » de changer le monde, cela ne sert pas à grand-chose. Et en ce qui me concerne je le veux et le fait doublement. Il est à présent reconnu que la pratique de la méditation transcendantale influe considérablement sur le niveau de conscience de la société et la transforme en profondeur. C’est établi scientifiquement. Alors je me sens utile réellement dès que je ferme les yeux. Ensuite quand je travaille sur une œuvre, c’est une continuité de l’état d’être qui se manifeste ainsi. C’est pour cette raison que je parle d’énergie qui est communiquée par mes œuvres. Alors peu importe le type de société à laquelle j’ai à faire. Je suis de ce côté aussi à l’aise en France qu’en Algérie. Mon travail s’adresse au


monde même s’il n’est pas vu. Il existe et c’est amplement suffisant pour produire un impact. Subtil, mais puissant. La société matérialiste n’est pas une difficulté ni un problème. Le monde a déjà changé, et de nouveaux paradigmes vont voir le jour. Ce n’est qu’une question de temps. En dernier j’ajouterai que le plus important dans tout ça, c’est de savoir qui l’on est. De se réaliser. Le fait de faire appel à la spiritualité n’est-il pas un moyen pour toi de rejeter la réalité, ou du moins d’en atténuer la pesanteur ? Cette question rejoint la première, et je crois que j’y ai déjà répondu. Mais j’ajouterai que ma démarche spirituelle en effet permet de transcender les événements, de les voir pour ce qu’ils sont. Juste des occasions qui mes sont données pour d’une part, expérimenter mes capacités, et surtout voir comment je suis par rapport à cela. Et d’autre part, quoi créer pour les faire évoluer. Donc toute situation est favorable en réalité, elle procède de la conscience collective, et nous permet de nous connaître. Donc je ne rejette rien de ce qui se présente, mais je choisis quelle attitude prendre pour en faire un levier d’évolution. La sensualité, le vide, la transparence, sont-ils des instruments d’action qui guident ton acte de peindre ? Chaque artiste exprime consciemment ou inconsciemment ce qu’il est. En fonction de son parcours, il va de ce fait produire des œuvres qui sont l’expression de ce qu’il est à un moment donné. Graduellement, comme l’art est un moyen de connaissance en soi, il va évoluer en tenant compte de ce qu’il aura appris. J’ai eu la chance de rencontrer tôt un moyen qui m’a permis de me trouver, de savoir où je devais aller. Dès cet instant, j’ai utilisé la création pour en être l’expression immédiate.


Les moyens sont venus naturellement. Tous les artistes qui se réfèrent à l’esprit ont un travail particulier qui utilise une méthode, des moyens, des techniques en vue d’en extraire un langage en lien direct avec cet aspect. La forme que cela prend est en fonction du caractère, du potentiel, du lieu, de la société et du moment. En ce qui me concerne je n’ai à priori aucun préalable. Je suis spectateur et acteur en même temps. C’est évident que la peinture en soi est sensuelle quand on la pratique d’une certaine façon. La matière en mouvement tous les artistes connaissent ça. Ils y trouvent une certaine jubilation. Mais pour la suite, c’est l’œuvre qui commande. Une fois le processus enclenché, j’accompagne l’intention. Alors je découvre à mesure ce qui est en train d’émerger. Ce qui me guide c’est le processus de création en mouvement. Alors quelquefois c’est l’espace qui prend le dessus, d’autres fois, la matière, et aussi le geste qui est majeur. Il n’y a aucun à priori. C’est pour cette raison que mon travail a évolué dans le temps. J’ai accompagné l’évolution de l’art depuis quarante ans, et mon travail a suivi cette évolution. À chaque fois j’ai revisité ces moyens et les ai mis au service de ce que j’étais en train d’expérimenter. La conclusion que j’en ai tirée, est que peu importe la forme si cela permet d’en exprimer la meilleure version de ce que l’on est à l’instant présent. L’aspect formel n’est en définitive qu’une question d’esthétique, c’est la forme que choisit un artiste en relation avec son langage, celle qui l’exprime le mieux. C’est un dispositif que j’ai mis en place il y a longtemps, et avec lequel je me trouve en phase. Propos recueillis par Hellal Zoubir
































Malek SALAH Artiste Plasticien Né le 28/11/1949 à Aïn el Hammam, Algérie. Vit alternativement en Algérie et en France. Diplôme de l’école des Beaux-arts d’Alger. Diplôme de l’école supérieure des Beaux-arts de paris. Enseignant à l’école des Beaux-arts d’Alger de 1980 à 1987.

la jeune création : Paris : Cité Internationale des Arts, UNESCO, et Marseille, avec Salvatore Lombardo : Galerie Porte-avion, Château de Servières. Médiathèque de Miramas, Médiathèque de Fos, Musée d’art contemporain d’Istres. Initie trois projets : Voyage d’artistes, espace Elektra, Paris, avec jean louis Pradel. Artistes algériens contemporains, cinq expositions avec Evelyne Artaud. La Peinture algérienne dans le XXe siècle avec Ramon Tio Bellido.

Principales expositions personnelles

Principales expositions collectives

2016. « Strates », Espaco Gallery, Alger. 2014. Dar el Kenz, Peintures. 2007. MAMA, musée d’art moderne et contemporain, Alger. (catalogue). 2005. « À propos du portrait », galerie Esma, Alger. 2003. Galerie Esma, Alger. 2003. « Femmes d’Alger », mairie du VIe arrondissement, paris (catalogue). 2002. « Expressions nomades », galerie Esma, Alger. 2001. Galerie MW, Lyon. 1999. Lycée Immaculée-conception, Espalion, Aveyron. « Le Chant du monde », la Menuiserie, rodez (catalogue). 1996. le Salon qui reçoit, Toulouse. 1995. église St-Paul- du-Bourg, Salles-lasource, Aveyron. Ateliers du musée Denys Puech, Rodez (catalogue). 1994. Mission départementale de la culture, rodez. 1991. « Métamorphose », galerie Esma, Alger (catalogue). 1990. Galerie Georges Bernanos, paris. 1988. Art-Jonction international (one man show), nice. 1987. Galerie Issiakhem, Alger (catalogue). 1983. Galerie du Centre culturel de la wilaya d’Alger 1980. Travaux sur papier, centre culturel de la wilaya d’Alger.

2015. Beirut art fair, avec Mamia Bretesché gallery. 2014. Hors-champ, TNA gallery. 2011. Heart galerie, Paris. 2010. En direct de l’Algérie, musée du Montparnasse, Paris. 2010. Focus 5/5, galerie Racim, Alger. 2009. XIe Biennale internationale du Caire, Égypte. 2007. Art arabe contemporain, palais de la culture, Alger. 2003. Alger-Marseille 8+3, galerie Porte-avions, château de Servières, Marseille (catalogue). Artistes d’Algérie, médiathèque de Miramas, artothèque de Fos (catalogue). La Peinture algérienne dans le XXe siècle, château Borely, Marseille, l’Orangerie du sénat, paris, (catalogue). 2002. Galerie Esma, Alger. 2000. Dessin contemporain, Galerie Esma, Alger. Cent ans de peinture algérienne, Musée national des Beaux-arts d’Alger, (catalogue). Artistes de l’Aveyron, château de Fayet. 1999. 170e anniversaire, in situ, zone industrielle, Decazeville, Aveyron. 1996. Quel temps fêtons. m.j.c Roguet, st-Cyprien, Toulouse. 1995. XXVIIe Mostra du Larzac, les Infruts, Aveyron. Les effets du voyage, Maison de la culture du mans (catalogue). 1994. Peintres du Maghreb, Concorcio da Ciudad, St-Jacques-de-Compostelle, Espagne. Musée d’art contemporain de Madrid. Ses voltes, Palma de Majorque (catalogue). 1992. Biennale internationale des arts, Dakar, Sénégal (catalogue).

Commissaire d’exposition à l’occasion de Djazair, une année de l’Algérie en France 2003 : Organisation de sept expositions concernant


1990. Cité internationale des arts, paris. IVe Biennale de la Havane, cuba (catalogue). 1989. Artistes algériens d’aujourd’hui, 2e version, Galerie Issiakhem, Alger. 1988. Salon de Montrouge (catalogue). Hommage à Picasso, musée Picasso, Antibes (catalogue). 1987. Arts graphiques arabes, espace Oscar Niemeyer, Le Havre (catalogue). 1986. Algérie peinture des années 80, Cnap, paris (catalogue). Artistes algériens d’aujourd’hui, Galerie Issiakhem, Alger (catalogue). 1985. Jeunes créateurs de la Méditerranée, Marseille (catalogue). 1984. XXVIIIe salon Réalités nouvelles, paris (catalogue). 1983. Xe salon des arts plastiques de Nanterre (catalogue). XXVIIe salon Réalités nouvelles, paris, (catalogue). 1982. Centre culturel de la wilaya d’Alger.

© Malek Salah, 2016.

Interventions 2003. le jardin de Layla, parc de Lacroix-Laval, Lyon. 1988. scénographie du spectacle Rêve bleu, Riadh El Feth, Alger. 1982-2008. étude artistique d’aménagement du métro d’Alger (de toute la ligne 1) et en solo de la station Tafourah-Grande poste, Alger. Collections publiques Œuvres au Musée national des Beaux-arts d’Alger, au Musée d’art moderne et contemporain d’Alger et au Musée de l’Institut du monde arabe, Paris.


LISTE DES ŒUVRES

Technique mixte sur toile, 200x41 cm, 2016.

N° 1 : Matrice Technique mixte sur toile, 200x300 cm, 2016.

N° 18 : Géométrie Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 2 : Éclats Technique mixte sur toile, 200x200 cm, 2016.

N° 19 : Gris et or Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 3 : Paysage intérieur Technique mixte sur toile, 200x200 cm, 2016.

N° 20 : Gris sur noir Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 4 : Nuances de gris et blanc Technique mixte sur toile, 150x150 cm, 2016.

N° 21 : Construction Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 5 : Gris abstrait Technique mixte sur toile, 150x150 cm, 2016.

N° 22 : Surface grise Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 6 : Nuances de gris, blanc et noir Technique mixte sur toile, 150x150 cm, 2016.

N° 23 : Geste Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 7 : Sans titre Technique mixte sur toile, 150x150 cm, 2016.

N° 24 : Sans titre Graphite et acrylique sur verre, 43x32.5 cm, 2016

N° 8 : Gris et blanc Technique mixte sur toile, 150x150 cm, 2016.

N° 25 : Trame (1) Graphite et acrylique sur verre, 50x50 cm, 2016

N° 9 : Geste et grille Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016.

N° 26 : Graphisme Graphite et acrylique sur verre, 50x50 cm, 2016

N° 10 : Texture lumineuse Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016.

N° 27 : Graffitis Graphite et acrylique sur verre, 50x50 cm, 2016

N° 11 : Textures sombres Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016.

N° 28 : Trame (2) Graphite et acrylique sur verre, 50x50 cm, 2016

N° 12 : Échange Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016.

N° 29 : Sans titre Graphite Acrylique sur forex, 39x15,5x15,5 cm, 2016

N° 13 : Résurgence Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016. N° 14 : Résonnance Technique mixte sur toile, 162x130 cm, 2016.

N° 30 : Sans titre Graphite Acrylique sur forex, 39x15,5x15,5 cm, 2016

N° 15 : Séries sans titre Technique mixte sur toile, 200x41 cm, 2016.

N° 31 : Sans titre Graphite Acrylique sur forex, 39x15,5x15,5 cm, 2016

N° 16 : Séries sans titre Technique mixte sur toile, 200x41 cm, 2016. N° 17 : Séries sans titre

N° 32 : Sans titre Graphite Acrylique sur forex, 39x15,5x15,5 cm, 2016






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