Myr iam ĂŠtu IAZ dia nte pay sag ist
e
portfolio 2014
Myriam IAZ
29, rue du moulin de la pointe 75013 Paris 0033 (+)6.27.66.46.85 myriam.iaz@gmail.com 01.06.1986 Permis B
PArcours 2014
Diplômée de l’école Nationale Supérieure de la Nature et du Paysage de Blois.
2008
Licence d’architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture, Paris-Malaquais.
2004
Baccalauréat Scientifique, Académie de Paris.
Prix 2013
Préséléctionnée pour le prix du Carnet de Voyage étudiant «New-York», exposé au Rendez-vous du Carnet de Voyage à Clermont-Ferrand.
2012
Premier Prix National étudiant pour le projet «Regards Croisés: les Community Garden de NewYork». Exposition photographique financée par le CROUS avec Thibault Bigeon.
expériences Stage de 3 mois au sein de l’Atelier d’Architecture Autogéré (AAA) à Colombes. Participation au
2014
Colombes projet Rurban, sur le site de l’Agrocité, unité d’agriculture urbaine civique constitué d’une micro
2013
Réunion
2013
Bosnie
Workshop de 3 semaines à Stolac, village en Bosnie-Herzégovine, avec des étudiants bosniens, serbes et français. Travail autour des jardins de la rivière Brégava qui traverse le village.
2012
Maroc
Chantier solidaire au sein de la Médina de Fès pour la rénovation d’un riad. Apprentissage des techniques de construction et de décoration traditionnelles assisté par des maâlems, artisans locaux.
2012
Blois
Stage de 1 mois au sein de l’agence Sativa Paysage, Blois.
2012
canada
échange universitaire d’un semestre en 3ème année à l’Université de Montréal, section Architecture du Paysage.
2011
USA
Stage de 2 mois au Jardin Botanique de Staten Island, NYC. Participation aux tâches printanières et visites de nombreux jardins de la région.
2010
Hollande jardiniers, Utilisation de différentes machines et outils (pelleteuse, gyro-broyeur, tondeuse
2010
sénégal
2008
Montreuil Régional du Gâtinais Français. Suivi de chantier d’un place à Evry-Courcouronnes.
2008
Anvers
ferme expérimentale, de jardins collectifs et d’espaces pédagogiques et culturels.
Stage de 2 mois au sein du Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement de l’île de la Réunion. Participation à une Classe à Projets Artistiques Globalisés (PAG) à Bois Rouge. Réflexion sur l’accueil touristique au sein du port de la ville de Le Port, recontre des différents acteurs et mise en commun de leurs demandes et attentes par une série de 3 esquisses.
Stage de 2 mois à l’Arboretum de Trompenburg à Rotterdam. Intégration à l’équipe des manuelle et motorisée, motoculteur,...)
Chantier solidaire de 1 mois au Jardin d’Essai de Saint Louis au Sénégal. Travail en amont afin de mettre en place le projet, recherche de subventions. Sur place, travail avec les associations locales et entretien de la pépinière d’arbres fruitiers. Stage de 6 mois à Panorama Paysagistes à Montreuil. Participation à l’étude du Parc Naturel
échange universitaire d’un semestre dans le cadre du programme Erasmus au sein de l’Ecole Nationale Supérieure des Hautes Etudes d’Anvers, en 3ème année d’architecture.
aptitudes et passions Informatique
langues
SPORTs
passions
Office (Word,Powerpoint) Adobe Photoshop Adobe Indesign Autocad Sketchup Q-Gis (SIG)
Anglais Niveau 7,5 IELST Espagnol Niveau scolaire (5 années)
Course Natation Volley-ball
Photographie argentique Collage Confection de boucles d’oreilles Carnet de Voyage
Projets art & crafts autour du monde
Projets
5ème année Paysage / Travail en cours
se souvenir Gennevilliers, France
Mon travail de fin d’étude s’oriente vers la mémoire immigrée de la région parisienne et la nécessité de la faire vivre pour la faire perdurer. Au Nord de Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine, une autoroute vient couper la ville en deux. Le port industrielle et la ville à vivre se tourne le dos. Sur ce même territoire, il y a quelques décennies vivaient des travailleurs immigrés. Ils étaient logés dans des cités de transit, sur des terrains non-aedificandi, isolé de la ville. A l’heure actuelle, ce bout de territoire est toujours un territoire que l’on ne traverse et que l’on ne vit pas. En s’appuyant sur cette mémoire immigrée, il serait possible de faire parcourir ce lieu qui semble si déshumanisé mais qui interroge sur les délaissés créées par les infrastructures .
Maquette du site d’étude, le Port de Gennevilliers
Plan masse actuel
Axonométrie, entremêlement d’infrastructures
De nombreuses friches
Travail photographique sur le site
Territoire sauvage mais déserté par l’homme
Autour de l’A86, des points de vues à découvrir
5ème année Paysage / Travail en cours
se souvenir
Plan du jardin 51, commémoration de la cité de transit du Port
Les baraques végétales, , racontent une histoire passéee
D’une baraque construite à une insinuation végétale
Passage au dessus de l’autoroute A86
Une promenade au plus proche d’un paysage d’infrastructures
Les pylônes majestueux ponctuent la promenade
D’un espace en friche, on évalue la végétation pour finalement conserver uniquement les espaces à intérêt pour un futur aménagement
Licence de paysage/ 3ème année
s’écouler Montréal, Canada
Où se cache l’eau dans la ville? Pourquoi n’arrive-t-on pas à appréhender l’eau à Montréal? La topographie pourtant très clair, est diffcile à lire entre les buildings et le parcellaire orthogonal. En découvrant le tracé des anciens cours d’eau de la ville, j’ai décidé de faire réapparaître l’eau au sein même des îlots afin que le Saint-Laurent ne soit plus le seul cours d’eau de la ville. Aux abords de la rue Sainte-Catherine, très commerçante, un parking abandonné semble être l’endroit idéal pour créer un lieu de repos et de pause. Une ouverture à l’eau pour prendre conscience de la ville à la surface.
L’eau sous le ville
L’eau sur la ville
Anciens cours d’eau
Faire entrée l’eau
Une respiration au sein d’un quartier bruyant et agité
Plan masse du projet
Une entrée dérobée, vers un esapce calme
Le projet s’insère aisément au contexte des bâtiments avoisinants en briques
Licence de paysage / 2ème année
optimiser Paris, France Saviez-vous qu’une machine à laver et une sécheuse prennent au moins 2 m² dans un appartemant? Les couloirs ne sont-ils pas aussi de la perde de place? En partant de ces constatations, le projet visait à optimiser l’espace et à en perdre le moins possible. Si une laverie prennait place au sous-sol, les habits pourraient être séchés entre, sur et dans les appartements. Un caillibotis permettrait à l’eau de s’écouler et de laisser la lumière atteindre tous pièces des appartements.
Maquette scketchup d’assemblage des pièces
Maquettes de principe
Pas de couloirs, pas de perdre d’espace / Des appartements du studio au F5
Maquettes de principe
Passer Master de paysage / 4ème année
Saint-Ouen, France
Trouver un moyen pour traverser un bassin puis s’attacher à le dessiner le plus réellement possible. Avec cet exercice, le but était de prendre en compte toutes les contraintes techniques et de produire un document technique qui permettrait à une entreprise de posséder assez d’informations pour construire cette passerelle.
Mise en situation
Principe du quartier
Premiers croquis
Axonométrie de la balustrade qui répond aux exigences de sécurité
Axonométrie de la passerelle avec les accroches de la balustrade
Coupe sur la passerelle
admirer
Master de paysage / 4ème année
Guerlédan, France
Le lac de Guerlédan a été créé pour des besoins éléctriques. Le barrage possède à ces abords des terrains abandonnés qui sont une opportunité pour parler de l’énergie éléctrique et des risques d’innondations, sujets qui préoccupent les habitants en aval. Les équipements permettraient d’appréhender d’une nouvelle façon les infrastructures énergétiques et d’approcher la vie qui existe autour du cours d’eau. Ce grand Parc Auguste Leson (dénomée en hommage au créateur du barrage) suit le cours d’eau du Blavet au travers d’une promenade qui expliquera les différents écosystèmes rencontrés et le monde de l’éléctricité. De plus, la ville de Saint-Aignan, pourrait enfin se raccrocher à son cours d’eau qu’elle semble avoir oublié, en se réappropriant les terrains innondables pour les besoins municipaux.
Le Blavet et sa vallée jusqu’au barrage
Un cours d’eau encaissé
Au pied du barrage, un belvédère pour admirer le monument éléctrique
Le bassin de kayak et ses aménagements
A la découverte de la vie de la rivière
Plan masse du Parc Auguste Leson
Des activités éphémères pour la ville
se grouper Projet personnel
Blois, France
Au Nord de Blois, un groupe d’habitants rattaché à un centre social souhaitait créer un jardin communautaire, à l’image de ceux de New-York. Après notre exposition photographique sur ce sujet, nous avons décidé de venir participer à ce projet afin d’alimenter la diversité des personnes qui composaient le groupe. Depuis 1 an et demi, le jardin existe. Il est un travail d’équipe entre des étudiants de paysage, les habitants, une animatrice sociale et une artiste. Chacun apporte ses connaissances et cela a permis au «Jardin du Monde» de la Quinière de perdurer. Nous avons aider à la conception du plan initial, aux choix des plantes potagères, à la création d’un calendrier des plantations et au tracé des parcelles au cordeau. Le jardin produit de beaux légumes, herbes aromatiques. Il est ouvert à tous.
Autour de la table, les envies sont diverses
Réunion pour le choix des plantes
Tracer le plan
Tous les âges se retrouvent au jardin...
...pour mettre la main à la pâte
Calendrier des plantations
Fiches de plantes et catalogue
Première esquisse du jardin
art & crafts
Partager Projet personnel
New-York, Etats-Unis
«Community Garden of New-York city» Les jardins communautaire de New-York sont une manière très particulière de vivre la ville et la vie en communauté. A travers la ville dense de NewYork, des trésors verts se cachent. Avec Thibault Bigeon, armé de notre vélo, nous sommes partis à la rencontre de ces cocoons de vie végétale et humaine. Grâce à une bourse étudiante du CROUS, nous avons réalisé une exposition de photographies argentiques afin de faire découvrir aux étudiants une facette souvent méconnue de la «grande pomme». Cette exposition a été installé au restaurant et à la bibliothèque universitaires de Blois, ainsi que dans notre école. Elle nous a permi de remporter le 1er Prix National Etudiant en 2012. Mais surtout elle nous a permis de participer au projet de «Jardin du Monde» au centre social de la Quinière.
Affiche de l’exposition
Photos numériques de ces jardins
Extraits d’une planche contact
Photographie d’un des jardins à Manhattan
Les différents lieux d’exposition
coller Durant l’école de paysage
Nulle-part, partout
Mes collages tendent de créer une ambiance, une sensation, un espace. En utilisant des bouts de journaux, des magazines ou d’anciennes photos noirs et blancs, j’essaye de créer une atmosphère. Les collages permettent de tester, d’expérimenter jusqu’à l’infini, jusqu’au dernier bout de papier, jusqu’à la dernière goutte de colle.
Nature contre architecture, inspirée de Vendôme
Toutes les fenêtres ouvertes d’un immeuble...
...composent un paysage panoramique que personne en pourra jamais appréhender d’un seul coup d’oeil
En 3 pages, «American Life»
Croquer Voyages
Partout
Durant mes voyages, mon carnet me suit, avec mon stylo, mes crayons. J’essaye de ramener un petit bout de chacun de mes voyages et expériences dans un carnet. Une fois réouvert, la magie des souvenirs est plus forte.
River harbour, Gant Colline près de Porto, Portugal
Métro, Toronto
Croissement de rues à New-York
Auberge de Jeunesse, Boston
Café à Fès
Stade de Football, Toronto
Chantier à Fès
Parc de l’Arrou, Blois
tourner Projet personnel
Travailler avec le film photographique durant les prises de vues: exposer, encore et encore. Puis au développement, découvrir des suprises, des ratés ou des merveilles. Le tirage devient aussi une expérience. Surexposé des films pour découvrir des monstres ou des ambiances fantastiques. Saturé, désaturé, contrasté, décontrasté pour finir par créer une image qui n’existe pas dans la réalité mais qui extrapole des ambiances ressenties.
«Des gens pas amoureux»
LibertĂŠ sans dessus-dessous
Effet miroir avec un Diana F
autour du monde
Chantier volontaire
rénover Fès, Morocco La plus grande médina du monde se situe à Fès au Maroc. Les artisans locaux sont connus pour posséder un savoir ancestrale qui ne peut s’apprendre sur les bancs d’une école: mosaiques, peintures sur bois, maçonnerie,...Il est nécessaire de travailler avec eux, par l’apprentissage. L’UNESCO finance les projets de réhabilitation des riads de la médina. J’ai pu participer à l’un d’eux, accompagnée de maâlems (artisants/artistes). Les zelliges, l’art de la mosaique locale nécessite de connaître les formes traditionnelles et de les assembler en créant les formes (étoiles, losanges, carrés,..) sur place.
Porte Bab Boujloud
Vue panoramique depuis la terrasse du riad
Peinture traditionnelle sur bois
Badigeonnage avec du savon noir pour protéger de la pluie
Zelliges
Montage d’une tour pour attirer l’air frais à l’intérieur
jardiner Stage de paysage/ 2ème année
Rotterdam, Pays-Bas Rotterdam est une ville qui est née une deuxième fois après la guerre. Bien que blessée, elle ne demande qu’à se faire explorer. Deux mois à parcourir cette ville m’ont permis de découvrir une ville où l’architecture est reine. Tout y est permis, ce qui surprend à chaque coin de rue. J’ai aussi pu découvrir un arboretum privé d’une renommée internationale. J’ai utiliser diverses machines du jardin et participer à toutes les tâches printanières avec l’équipe du jardin et les volontaires
Croquis de la ville
Skyline de la ville
Country of the bicycle
Sous tous les vents, le jardin s’entretient
découvrir Voyage personnel
Istanbul, Turquie
Un voyage pour découvrir une capitale sous plusieurs empires, où la tradition musulmane s’intègre et s’harmonise avec la vie de tous les jours. La beauté de l’architecture islamique et les douceurs turques m’ont fait tombé amoureuse de ce pays qui se laisse découvrir.
Les mosquée ponctuent et rythment la ville
Stage de paysage/ 2ème année
démesurer New-York, Etats-Unis Les Etats-Unis étaient pour moi une terre lointaine où tout était plus grand. Ce stage de 2 mois au jardin botanique de Staten Island m’a permis d’aller plus loin et de découvrir une richesse culturelle. Au sein même du jardin, les origines étaient variés. J’ai planté, taillé, creusé et participer à toutes les activités du jardin. J’ai aussi pu visiter de nombreux grands jardins à Brooklyn, dans le Bronx et à Philadelphie.
Brooklyn Bridge
DiffĂŠrentes activitĂŠs au jardin
blesser Workshop de paysage
Stolac, Bosnie-Herzégovine A la découverte d’un monde tiraillé entre 3 peuples: les serbes, les croates et les bosniacs. Au travers de ce workshop, j’ai pu découvrir une histoire et une culture qui m’étaient inconnues. Le travail dans le village de Stolac m’a permis de discuter, d’échanger et de m’ouvrir à une région du monde que l’on sait fragile mais sans la comprendre. Le village de Stolac, déchiré entre serbes et bosniacs m’a donné une idée de la difficulté de travailler avec des habitants qui, même si ils vivent côte à côte, ne se mélangent pas et vivent chacun de leurs côtés.
Collage fait d’après un magazine local
Croquis au bord de la rivière BrÊgava
Traces de la guerre
stage de paysage/ 4ème année
éveiller Saint-Denis, île de la Réunion
La Réunion, une île de l’océan Indien, est un département français qui possède un CAUE. J’ai pu travaillé avec des enfants au sein d’un classe à PAG. Nous avons découvert les bienfats de la faune et de la flore du jardin et créer un herbier des plantes typiques de la région. Puis pour un Projet de rénovation urbaine, j’ai pu mettre en place un visuel pour expliquer aux habitants la nécessité de garder leurs jardins en terre afin d’y faire pousser des plantes qui amèneront fraîcheur à la maison. Et enfin, j’ai pu participer à l’élaboration d’une analyse sur l’accueil touritistique au sein d’un port industriel. J’ai rencontré tous les acteurs du tourismes ainsi que ceux du ports pour ensuite proposer 3 esquisses à la communauté de commune.
En classe avec les élèves de CE1/CP
Réunion avec les habitants de la rénovation urbaine
Semis de graines avec les élèves pour le jardin de leur école
stage de paysage/ 5ème année
expérimenter Colombes, Hauts-de-Seine
L’Agrocité est une unité d’agriculture urbaine civique qui fait partie du réseau de résilience urbaine R-URBAN. Elle fait partie d’un trio de 3 projets: EcoHab (habitation collaboratif et écologique), Recyclab (ressourcerie et atelier de réparation). Cette unité permet de développer des savoirs faire autour des pratiques de l’agriculture biologique, des techniques agricoles et de la préservation de la biodiversité. J’ai pu participé à des ateliers de découverte du jardin pour des enfants et participer à l’entretien du jardin maraîcher. J’ai pu, au jour le jour, gérer les productions et les récoltes. L’intérêt du jardin réside dans son emplacement au sein d’un paysage totalement imperméabilisé. Il a réussi à attirer de nombreuses espèces fauniques et floristiques.J’ai donc pu mettre en place un inventaire de ce nouveau monde en ville.
Panorma sur le jardin installé sur une ancienne friche de la ville, au croisement de quartiers pavillonnaires et de logements sociaux
r Mise en place du plancher de la scène du jardin
Atelier de dĂŠcouverte du jardin avec les enfants du quartier
Atelier de cuisine avec les habitants
Mise en place de terre sur le toit du bâtiment
M Etu yria dia m I nte AZ pay sag ist
201
4
e