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COLLOQUE « Le Regard », Gabès, ISAM, 4-5-6 mars 2010.
REGARD SUR LA MEDINA DE TUNIS : Herméneutique d’un texte / herméneutique d’un espace architectural
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Présenté par : Mohamed Ben Moussa Architecte - Doctorant - Assistant à l’E.N.A.U
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Mars 2010
PROGRAMME DU COLLOQUE « Le Regard », Gabès, ISAM, 4-5-6 mars 2010.
Jeudi 4 mars 2010 9h : Ouverture du colloque Accueil des conférenciers 1ère SEANCE : Président : Yves MICHAUX 10h : Yves MICHAUX : « Le regard ‘en passant’ ». 10h20 : Pause café. 10h 40 : Jean ARROUYE : « Regards nyctalopes ». 11h : Michel GUERIN : « La réserve ». 11h 20 : Hédia ABDELKEFI : « Figures du look dans la société postmoderne ». 11h 40 : Mohamed DELIMI : « Du regard dans le travail de l’art ». 12h : Débat et clôture de la séance. 2ème SEANCE : Président : Michel GUERIN 14h : Jean-Claude LE GOUIC : « Faire se détourner le regard ». 14h 20 : Nizar MOUAKHAR : « Regards croisés sur l’art islamique contemporain ». 14h 40 : Laurent BARIDON : « Rien n’arrête le regard de la surveillance : vie privée et vues publiques à la fin du XVIIIème siècle ». 15h : Lassaad JAMOUSSI : « Les enjeux antiques de la Modernité du regard ». 15h 20 : Pause café. 15h 40 : Nicolas FERRIER : « Regard amoureux et regard critique : Guy Debord face aux images photographiques, télévisuelles et cinématographiques ». 16h : Moez SAFTA : « Le regard, de l’optique à l’haptique ». 16h 20 : Brindusa GRIGORIU : « Tristan et Yseut : des regardés de légende ». 16h 40 : Wissem ABDELMOULA : « La perception de l’espace pictural : une tendance à brouiller la frontière entre le fictif et le réel ». 17h : Débat et clôture de la séance.
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Vendredi 5 mars 2010 3ère SEANCE : Président : Jean ARROUYE 9h : Khaled ABIDA : « Le regard du portrait entre occurrence et apparition ». 9h 20 : Fatma BANI : « Le périple d’un regard mené vers une œuvre d’art : entre réception et perception ». 9h 40 : Néjib CHEMS EDDINE : « Regard particulier sur une carte postale ». 10h : Pause café. 10h 20 : Mohamed BEN MOUSSA : « Regard sur la médina de Tunis : herméneutique d’un espace architectura l- herméneutique d’un texte ». 10h 40 : Olfa NJIMA : « Corps et regards dans l’ethnolisation des arts ». 11h : Abderrahmane SAID : « Les enjeux du relevé architectural entre regard et représentation ». 11h 20 : Basma HNANA : « Le regard sur le féminin dans l’art contemporain ». 11h 40 : Hela LABAR : « La poïétique du Voir et du Regard chez René Passeron ». 12h : Débat et clôture de la séance. 4ème SEANCE : Président : Hédia ABDELKEFI 14h : Céline CIFONI-ROQUE : « La découverte de l’Amérique et l’échange de regards dans les lettres d’Amerigo Vespucci : le regard du regardé comme outil d’enquête sur la différence culturelle ». 14h 20 : Nesrine BOUKADI : « L’interaction entre le lisible et le visible dans une œuvre littéraire : l’exemple de Nadja d’André Breton ». 14h 40 : Farida LOGBI : « Le regard et le sens chez M. DIB ». 15h : Houda OUESLATI : « Photographie scénographique : interrelation entre regard et mise en scène ». 15h 20 : Pause café. 15h 40 : Wafa DAMAK : « L’illustration … une voix d’un regard ». 16h : Adnen JEDAY : « Pornologie du regard : entre scène et ob-scène ». 16h 20 : Héla HAMZA : « Regard asservissant, regard créateur ». 16h 40 : Imen AMOURI : « L’esthétique du regard arraché : une réparation impossible et une reproduction interdite ». 17h : Débat et clôture de la séance.
Samedi 6 mars 2010 5ème SEANCE : Président : Nizar MOUAKHAR 9h : Béchir MEDDEB : « Le regard chez Merleau-Ponty ». 9h 20 : Kaisar JLIDI : « Impérialisme de l’œil entre science et art ».
4 9h 40 : Mondher MTIBAA : « Regard de l’œil, regard de l’esprit à travers deux expériences plastiques arabes contemporaines ». 10h : Pause café. 10h 20 : Houda FEKILI : « Design de la parure et jouissance de l’apparat ». 10h 40 : Saloua JALLOULI : « Le regard et la langue : signes de communication ». 11h : Karima AZZOUZ : « La question du regard dans le travail de l’ethnologue ». 11h 20 : Aziza AZZOUZ : « L’espace filmique : Voir 2D / Regarder 3D ». 11h 40 : Olivier LUSSAC : « La critique en regard de Biemann, Neshat et Godard ». 12h : Débat, et clôture du colloque. L’annonce de l’intitulé du prochain colloque.
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Dans cette communication nous allons tenter de parler d’une face invisible et insoupçonnée dans le rapport entre la Médina de Tunis et ses habitants, c’est du regard que porte l’habitant sur elle et sur ses maisons dont il est question. Force est de croire que la Médina de Tunis initie ses habitants à donner une épaisseur aux choses et aux espaces qui l'entourent. Elle leur apprend que dans les espaces qu’ils habitent, il peut y avoir des évènements ou même des créatures qu'ils peuvent ne jamais voir de leurs propres yeux, mais auxquels ils doivent croire. Au préalable, la relation entre nous et la Médina sera caractérisée par l'anonymat ; nous serons pour elle des étrangers dans le sens de non-initiés à sa rencontre. C'est en fonction du degré du désir et de la passion qui vont naître entre nous deux, que la Médina jugera si elle se dévoilera ou non. En effet, nous pensons que la Médina ne se donne à ses habitants (comme à ses visiteurs d’ailleurs) qu’à leur propre mesure, d'où à chacun une « Médina » dépendant de sa propre perception et du degré de son implication. Le pont entre nous deux sera cette passion/com-passion et empathie qui nous ralliera à elle, grâce à cette « métaphysique de l'amour ». Dans ce cas l'espace architectural ne sera plus considéré comme une simple étendue métrique quantitative, mais plutôt une affinité affective (ou répulsive) et passionnelle, en bref l'expression d'une dimension qualitative vécue. 1. L’appropriation de l’espace ou l’herméneutique d’un texte Nous sommes fondé de croire que l'appropriation de l’espace est un caractère essentiel de l'habiter, il s’agit d’une complicité entre l’espace de la Médina et ses habitants. C'est dans ce même sens qu’Yves Chalas et Henry Torgue disaient que : « C'est donc plus cet intermédiaire, l'appropriation de l'espace, que l'espace lui-même qui est significatif de la vie sociale ou de l'acte d'habiter »1. Cette idée d'appropriation, qui est à la fois simple et riche, est justifiée par le fait que pour un seul et même espace, la perception des usagers peut être différente de celle des autres. Car les premiers ont une relation et une osmose, avec tel ou tel espace, différentes de celles des seconds usagers.
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Chalas Y. et Torgue H. La ville latente, espaces et pratiques imaginaires d'Echirolles. Rapport d'équipe
de sociologie urbaine, pour la mairie d'Echirolles, Grenoble. Oct -1981, p. 147.
6 Il y a lieu alors de se poser des questions sur le type de regard porté sur les espaces architecturaux et aussi sur certaines expressions d’usage dans les pratiques de l’habiter telles que : dar michrha دار مشرهة, rouha khfifa روحها خفيفة, mnawra …من ّىرة, est-ce que cela relève d’une décoration richement faite, ou de matériaux exubérants. Loin s’en faut, nous pensons que cela provient d’un rapport psychoaffectif et d’appropriation des lieux visités. Cette manière d'aborder un espace pour se l'approprier et le contempler pleinement nous rappelle la belle inscription de Paul Valéry figurant sur le fronton du musé de Chaillot à Paris, il y est dit : « Il dépend de celui qui passe Que je sois tombe ou trésor Que je parle ou me taise Ceci ne tient qu’à toi Ami n’entre pas sans désir » Nous pouvons dire que le mode de comprendre dépend alors du mode d'être de celui qui comprend2, cette logique correspond à l’état d’esprit de celui qui fait l'herméneutique. Il s'agit de considérer dans ce cas la Médina en tant que texte à lire et à écrire. On donnera, alors, à ce texte une vie par l'amour et le désir qu'on lui accordera. L'attitude de lecture/écriture vis-à-vis d'un « espace-texte » sera une herméneutique
تأويلdans le sens où elle admet plusieurs interprétations possibles. La médina se dévoilera à son amant et lui cédera quelques-uns de ses secrets (de son savoir), de ses charmes, et de ses potentiels latents. Les secrets de la Médina ne sont donnés qu'au prix de la brûlure au feu ardent de l’amour qui nous est infligé. Comme si l'œil de l'Aimée (la Médina) était partout présent, mais en suspension, et attendant l'œil de l'amant (qui est l'habitant), pour le libérer de son « invoyance ». Cette libération de l'« invoyance » n'est rien d'autre qu'un sublime acte d'amour. Cette même attitude est décrite par H. Corbin en disant : « Le regard de l'amant est absolu (libre), puisque absous (libéré) de son invoyance par le regard même de l'Aimée »3 2. Rapport à un objet préalablement au statut de « chose » « Chose » : ou le rapport à l'inconnue et à l'anonyme 2
On rejoint ici l'idée de CORBIN, citée dans son livre Face de Dieu Face de l'Homme. Paris, Flammarion, 1983, 379 p. 3 Op. cit.
7 Les pratiques de l’espace et les usages du quotidien, qui constituent " l'habiter ", révèlent de codes de comportements et de liens mis en place entre le sujet et l'objet dans la culture arabo-musulmane. Par exemple, en entrant dans sa maison, l'habitant de la Médina salue à haute voix avant d'accéder à l'intérieur de la maison, même s’il n'y a personne. Cette attitude qui considère l'espace « vide » (est-il vraiment vide aux yeux de l'habitant ?) comme plein et occupé, n'est qu'une forme d'appropriation de l'espace, et une manière de considérer l'espace ou la maison comme animée de vie4. Ne pas saluer en entrant, est regardé comme une forme de vulgarité et d'agression à l'égard de la maison. On se demande si l'espace ou la maison accueillera alors son hôte (même s'il en est propriétaire) ? Le terme accueillir est ici relié à l'idée de parvenir à lire, à interpréter et à vivre l'espace. Aucun divorce n'est ici fait entre l'intelligible et l'être dans la perception et le vécu de l'espace. Mais au contraire, il y a lieu, par cette pratique, d'initier l'habitant à donner une épaisseur d'invisible au visible, d’inaudible à l'audible, et de non-dit aux paroles dites. Car, et comme le dit P. Sansot5 : « que m'importe une ville ou une maison qui ne se dédouble pas, qui ne possède pas de légende, qui ne suscite pas de rêves, qui ne prend pas plaisir à me séduire, qui ne joue pas à s'exposer et à se dérober. » Ainsi la Médina apprend à l'habitant à donner une épaisseur aux choses et aux espaces qui l'entourent. Épaisseur aux espaces, car la Médina inculque à son habitant que dans les espaces qu'il habite, il peut y avoir des évènements ou des créatures qu'il peut ne jamais voir de ses propres yeux, mais auxquels il doit croire. Mais aussi, et c'est le plus important, il doit se dire que cette chose possède des potentialités latentes et en suspension qui n'attendent qu'un regard passionné (le sien) pour se dévoiler ; divulguant ainsi savoirs et secrets. En exemple à cette manière de concevoir l'inconnue et l'anonyme, Omar Khayyâm dans son traité d'algèbre, pour présenter l'" inconnue " dans ses équations cubiques, a utilisé le terme arabe chay, qui signifie « chose » ; ce mot, orthographié Xay dans les ouvrages scientifiques espagnols, a été progressivement remplacé par sa première lettre, X, devenue symbole universel de l'inconnue6. 4
Traki ZANNAD - Les lieux du corps en islam. Paris : Publisud, 1994, 139 p. Dans ce livre ZANNAD parle des « jnouns » qui habitent toutes les étendues spatiales ; ce sont des créatures invisibles auxquelles les musulmans croient. 5 Pierre SANSOT - Sauver le sensible: interpréter, décrire, réciter. op. cit. 6 On doit l'idée du rapport entre l'inconnue mathématique universelle X (chose), et le développement des équations cubiques d'Omar Khayyâm et son utilisation du mot arabe chay’ à Amin Maalouf. Elle est puisée de son livre : Samarcande. Édition J.C Lattès, 1988, p 43.
8 Le contemplateur sera devant cette chose, « chay » (inconnue au départ jusqu'à la résolution de son chiffre), qu'il regarde avec empathie, passion et amour, ouvert à l'imprévisible, à l'intangible, à l'aléatoire, à « l'impossible unique possible ». « L'appropriation » sera donc la passion, l'amour, bref le pont qui mènera le regard à la découverte de secrets, de faces cachées des choses. Inertes au départ, elles le seront, car à ces choses on était étranger, hautain et on ne se donnait pas la peine d'en décoder les symboles ; aussi parce qu'on ne portait pas d'intérêt, ni de désir à leur égard. Pour comprendre ce rapport aux « choses » (tel que maisons, Médina...etc.), et comme on l'a déjà dit auparavant, il est important de dire que le contexte socioculturel arabo-musulman dans lequel se situe la Médina de Tunis, apprend au sujet que les objets ne sont pas inanimés. Mais au contraire, ils nous rendent regard pour regard. Dans une herméneutique du verset coranique « toute chose est périssable hormis sa face » (28.88), Cheikh Ahmed al-Ahsa’î7 dit que l'adjectif possessif utilisé est à la fois attribué à Dieu, ce qui revient à dire : toute chose est périssable hormis la face de Dieu. Et aussi, et c'est là l'innovation de son exégèse, que l'adjectif possessif est attribué à la chose. Ce qui revient à dire : toute chose est périssable hormis la face de la chose. Ainsi grâce à cette exégèse la chose n'est plus perçue comme inerte et inanimée mais, par ce fait, elle sera promue au statut de sujet ; auquel il faut, pour l'aborder et se l’approprier, faire face (pas dans le sens agressif). D'où l'exégèse du cheikh que : toute chose a une face impérissable. Pour que la face de la chose ou de la Médina se dévoile et que ses mystères nous soient révélés, il faut savoir que le sens de ses mystères ne s'accomplira que dans et par le regard des usagers ou des habitants. Pour donner à chacun « un » espace, une maison, ou une Médina à sa propre mesure ; d'où à chacun « sa » propre face, c'est-à-dire sa propre perception et son propre vécu. La subjectivité est alors considérée comme le pont, l'intermédiaire qui reliera tout sujet au vis-à-vis qu'il est entrain de contempler. Cela revient à dire que, la compréhension de toute chose est à percevoir dans l'entredeux qui va naître entre le sujet et elle. Bref, la compréhension sera perçue dans l'appropriation naissante entre le sujet et son objet ; que seules la passion et « compassion » mutuelles sont garantes d'accomplir.
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Ahmed al-Ahsa'î est un philosophe du 18ème siècle. Il est cité par H. CORBIN, entre autre, dans son livre : Face de Dieu, Face de l'homme. op. cit.
9 Dans ce sens alors, on peut dire que pour l'habitant, la Médina est elle aussi un texte à méditer et à interpréter, bref dont il convient de faire l’herméneutique et l'exégèse. Le lecteur (l’habitant) en s'appropriant, par l'amour et le désir qui lui sont due, l'œuvre devant lui, c'est-à-dire en devenant mahram (digne d'accès), interprète le dit et le non-dit du texte. C'est finalement une herméneutique, " Ta'wil " تأويل, du texte qu'est la Médina qu'il fait. Il arrache alors l’espace médinal à son historicité et à sa temporalité linéaire et le projette vers un espace temps de fusion entre l’entendement et l’intuition et entre l’intellect et le sensible ; le résultat n’est rien d’autre qu’une herméneutique de l’espace qui est faite, découvrant alors de multiples facettes à ce même lieu, et cela est fonction du degré d’empathie vécue avec cet espace. Et l'herméneutique, à en croire Gadamer, n'est rendue possible que si l'œuvre que je veux interpréter s'est emparée de moi par quelque côté. Faute de quoi, elle ne m'intéresse pas (et par là même, je ne l'intéresse pas) et en la déchiffrant peu à peu, je vais à mon tour à sa rencontre. D'où le double mouvement que suppose l'herméneutique entre le sujet et l'objet et entre le lecteur et le texte à lire. Ainsi, à chacun une lecture et nous dirons même une écriture car, dans ce cas d'appropriation et de relation, on est dans un acte d'imagination créatrice comme le souligne bien Henry Corbin8. D'où à chacun sa Médina ou « une » Médina à sa propre mesure. A vrai dire, la Médina de Tunis et le regard porté sur elle n’était qu’un prétexte pour parler de cette dimension cachée de l’habiter. Nous allons finir avec cette belle citation de Gaston Bachelard, qui dit : « Les choses nous rendent regard pour regard. Elles nous paraissent indifférentes parce que nous les regardons d'un regard indifférent. Mais pour un œil clair, tout est miroir, pour un regard sincère et grave, tout est profondeur »
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Henry CORBIN - L'imagination créatrice dans le soufisme d'Ibn Arabi. - op. cit.
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