District Foot Mag n°8, édition Maritime Nord by Groupe Nord Littoral

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Édito

l’heure où ce dernier numéro de District Foot Mag de la saison 2016/2017 arrive dans vos boîtes mail, beaucoup d’entre vous goûtent déjà aux plaisirs des vacances, d’autres ne tarderont pas à les imiter. Les tongs ont pris la place des crampons dans les sacs ; les maillots, après un passage par la machine, ont été remisés ; les calendriers des rencontres à venir ne sont pas encore publiés.

Et même si le jeu des mutations a débuté et que les secrétaires de clubs ont plongé tête la première dans le processus de la dématérialisation des licences, le vaste chantier de cet été après celui de la feuille de match informatisée, la saison à venir semble encore loin. Comme vous, District Foot Mag part en vacances. Mais juillet finira par s’éteindre et, avec août, les footeux que nous sommes retrouveront le chemin de l’entraînement et de ces premières séances où le travail foncier empiète en grande partie sur le simple plaisir de jouer. Puis les premières rencontres de préparation pointeront le bout du nez et, enfin, l’odeur incomparable de la compétition sera de retour, avec, pour beaucoup, des débuts par la Coupe de France, qui fait toujours autant rêver les amateurs, peut-être un peu moins les pros. En attendant, ces premières frappes de la saison 2017/2018, celle qui verra nos championnats arborer de nouvelles appellations, bonnes vacances à tous.

Chaleureusement

Sommaire 4 et 5 6

L’invité du mois

12 et 13

Vos photos

Le bénévole du mois

14 et 15

La séance de...

Rencontre avec Michel Decroix, le président de l’amicale des éducateurs du district des Flandres.

Maurice Degans, l’âme de l’USL Dunkerque.

Assemblée générale

Interview

Retour sur l’assemblée générale du district des Flandres.

Cédric Bettremieux, le nouveau président du district des Flandres.

10 et 11

Dans les coulisses de... Un nouveau cycle pour l’A.A.J. Uxem.

Les images de vos manifestations

Anthony Lemettre, entraîneur de l’Olympique Lumbres.

FMI

Enregistrer les nouveaux dirigeants.

L’invité du mois

MICHEL DECROIX

« QUAND LES GENS SE CONNA

CELA SE PASSE TOUJOURS MI

Michel Decroix, président de l’Amicale des éducateurs de l’ex-DMN devenu District des Fland Président depuis mi-avril de l’Amicale des éducateurs du District Maritime Nord, Michel Decroix prend son rôle à cœur. Entouré des vice-présidents, Jean-Pierre Thomas et José Pédréra, du trésorier Charles Lecoutre et du secrétaire Wilfried Thooris, Michel Decroix entame un travail de dynamisation de l’Amicale des éducateurs du désormais District des Flandres qui aura désormais deux antennes : l’une sur la côte, l’autre à Lille.

Michel Decroix, peut-on dire pour vous présenter que vous êtes un homme du Racing Club de Bergues ? Je pense oui. J’étais entraîneur des seniors durant trois ou quatre ans. Je suis au RC Bergues depuis 28 ou 29 ans au total. J’ai été licencié dans d’autres clubs auparavant mais je me suis installé au RCB d’une certaine façon. Cette fidélité est-elle de plus en plus rare ? Plus vous avez de succès, de résultats en tant qu’éducateur, plus vous êtes sollicité. Je suis toujours resté dans la boutique. C’est évidemment de plus en plus rare mais je me sentais bien à Bergues, j’y suis donc resté. Comment avez-vous intégré l’Amicale des éducateurs ? Il y a plus de vingt ans, un éducateur de la commission technique, Manu Willem, passé par l’OGS notamment, m’a dit un jour « on aime-

rait bien que tu nous rejoignes. » J’étais éducateur de jeunes à cette époque et j’ai accepté. C’était en 1995. Depuis, il n’y a pas eu d’interruption.

velles têtes pour générer des idées nouvelles, une dynamique plus importante. Quand on parle de l’Amicale des éducateurs dans le District Maritime Nord, on pense à Roger Tirelli votre prédécesseur. Quels étaient vos rapports avec lui ?

Comment vivait l’Amicale à cette époque ? Elle n’a pas beaucoup bougé. C’était déjà entre 50 et 100 adhérents suivant les années et cela a Il a été président de l’amicale pentoujours été un noyau d’anciens qui dant une dizaine d’années. Aune s’est malheureusement pas trop jourd’hui, Roger est toujours dans renouvelé. Je pense que c’est le le Dunkerquois mais a souhaité chantier du moment. Lors de notre prendre du recul. Il m’a demandé dernière réude prendre la suite nion de l’Amien me disant que cale, je me suis je passerai mieux « C’est difficile de rendu compte avec les adhérents faire comprendre aux que la moyenne car j’étais un peu d’âge était un plus jeune, que instances du football que peu trop élevée j’étais toujours l’Amicale importante. » d’ailleurs. en activité et que c’était important. Il savait que j’avais C’est-à-dire ? Il y avait énormément de personnes un bon contact avec les techniciens d’une cinquantaine d’années, pas ou le président du district. Ces armal de retraités. Ils sont indispen- guments m’ont touché. C’est difsables évidemment mais il me pa- ficile de faire comprendre aux insraît important d’apporter de nou- tances du football que l’Amicale

Un petit chiffre…

AISSENT, IEUX »

dres, est avant tout un homme de terrain. est importante. Il y a pourtant une Amicale des arbitres, une Amicale des éducateurs mais nous avons assez peu d’élus qui viennent à nos réunions. C’est un regret. Pourquoi ? Peut-être ont-ils d’autres préoccupations ou alors ils ne viennent qu’à l’occasion de la venue d’une grande figure comme Philippe Lambert passé par le PSG ou l’équipe de France, Gérard Houllier ou Rudy Garcia. Il semble y avoir plus de rapports entre les élus et l’Amicale des arbitres que les élus et l’Amicale des éducateurs ? Pourquoi selon vous ? Il y a de nombreux arbitres qui sont dans les instances. Parmi les élus dans les districts, il y aussi de nombreux anciens arbitres et même s’ils n’ont plus de rapport direct avec l’arbitrage, ils sont dans les commissions de discipline par exemple. Quelle est la teneur des relations avec l’Amicale des arbitres ? Justement, Roger m’a emmené à la commission de recyclage des arbitres il y a un peu plus de deux ans maintenant. Lui président de l’Amicale et moi représentant des éducateurs étions justement présents pour nouer des liens avec

120 Le nombre d’amicalistes visé par Michel Decroix.

les arbitres. Quand les gens se connaissent, cela se passe toujours mieux. Il est important de discuter avec les arbitres avant et après les matches. J’ai par exemple proposé que le coach recevant, pour chaque match, invite le coach adversaire et l’arbitre pour le café avant la rencontre. Même si vous n’appréciez pas Untel ou Untel, cela ne pourra qu’atténuer les tensions, les rancoeurs etc... Prévoyez-vous d’organiser des rencontres entre éducateurs et arbitres pour discuter de choses très concrètes comme l’appel du capitaine, avant ou après l’échauffement ? Je projette au début de saison prochaine d’essayer d’avoir tous les coachs des « grosses » équipes du Maritime Nord : Grande-Synthe, Dunkerque, Malo, Loon-Plage… Je veux m’appuyer sur ces coachs pour avoir un maximum d’entraîneurs affiliés à l’Amicale et en profiter pour inviter le président et le représentant des arbitres du District Flandre pour créer des liens et faire en sorte que cela se passe de mieux en mieux. Il y a trop de coachs, de joueurs qui pensent que l’arbitre est un gendarme uniquement présent pour punir. Il est juste là pour faire respecter les règles.

« J’ai par exemple proposé que le coach recevant pour chaque match invite le coach adversaire et l’arbitre pour le café avant la rencontre. » Quel est le budget de l’Amicale des éducateurs ? Il repose sur la cotisation des amicalistes : 22 euros par an. Douze euros sont prélevés de cette somme pour aller directement à la Fédération Française de Football, 6 euros sont dévolus à l’Amicale régionale et il nous reste 6 euros pour nos animations. Je vais devoir aller chercher quelques dollars à droite et à

gauche pour nos animations. A partir de la saison prochaine, l’Amicale régionale ne prendra plus que 5 euros contre 6 aujourd’hui. Chaque amicaliste reçoit l’Entraîneur Français, un mensuel, dix fois par an. L’abonnement au logiciel My Coach est également compris. Quel message voulez-vous faire passer aux éducateurs ? Nous ne sommes pas assez nombreux à être importants dans un club. Il devrait bien plus souvent faire partie du comité directeur de son club. Il doit dépasser le terrain, prendre des décisions politiques du club et pas seulement se contenter du rectangle vert. Il est indispensable d’avoir des éducateurs qui dirigent, des éducateurs qui encadrent mais je pense que c’est le meilleur moyen pour être au courant de tout et se faire entendre. Combien d’adhérents aujourd’hui pour l’Amicale du DMN et celle de Flandre ? 91 pour le DMN et 150 environ pour les Flandres depuis que David Méresse (responsable de la formation au Losc) a repris le flambeau. Conservez-vous vos deux antennes à l’occasion de la naissance du District des Flandres ? Nous allons conserver nos deux antennes. Si des éducateurs des Flandres veulent venir à nos réunions, on acceptera et vice-versa évidemment. Il serait impossible de faire bouger les gens pour une réunion à Seclin par exemple. Pour ne pas perdre d’adhérents, il nous fallait conserver cette proximité. Il y aura une amicale mais deux secteurs : Flandres et maritime Nord. Dans l’idéal, vous espérez séduire combien d’amicalistes la saison prochaine ? Nous avons par le passé atteint le cap des 120 amicalistes. L’objectif n’est pas forcément de faire du chiffre mais de faire comprendre aux éducateurs que l’Amicale est un lieu d’échange sur la pratique. Nous voulons faire venir les éducateurs d’abord pour une séance découverte qui sera programmée à la rentrée.

Le bénévole du mois

MAURICE DEGANS, L’ÂME DE L’USL DUNKERQUE

1 semaine avec

Maurice

Qui est-ce ? Déclarant en douanes chez Usinor, en retraite depuis la fin des années 80, Maurice Degans a d’abord été attaquant de la fin des années 40 jusque 1964 où il a dû mettre un terme à sa carrière en raison de problèmes de dos. Au passage, il aura eu le temps de faire quelques apparitions au sein de l’équipe première dunkerquoise. Un temps président du club de handball de Saint-Pol-surMer, il rejoint le club de football dunkerquois en septembre 1988 en qualité de secrétaire. Un rôle qu’il occupe toujours 29 ans après.

Maurice Degans est l’inamovible secrétaire de l’USL Dunkerque depuis septembre 1988. A 80 ans, il envisage de former tout au long de la saison 2017-2018 la personne appelée à lui succéder.

aurice Degans, c’est la mémoire de l’USL Dunkerque. Pensez un peu, depuis près de trois décennies, il y occupe le poste de secrétaire. Les entrailles du stade Tribut sont devenues sa seconde maison. « Je venais de prendre ma pré-retraite quand j’ai rencontré Jean Rouvroy, le président d’alors, en faisant les courses. Il m’a dit : ‘‘tu vas t’ennuyer. J’ai du boulot pour toi, tu t’occuperas de tout l’administratif du débutant aux pros.’’. Au début je passais deux heures au club, puis quatre. Après, c’est devenu la journée puis la semaine complète… »

Près de 30 ans au poste de secrétaire

L’homme, qui a sept petits-enfants et une arrière petite-fille, a surtout dû se former à une fonction nouvelle pour lui, même s’il avait déjà occupé le poste de président du club de handball de Saint-Pol-sur-Mer qu’il avait mené en cinq ans de la Nationale 3 à la N1B. De ses 30 ans passés au sein du club, Maurice Degans conserve inévitablement des tonnes de souvenirs

comme ces rencontres organisées à Tribut face aux gros clubs français que sont Saint-Etienne ou Marseille. Ou des hommes qui l’ont marqué à titre personnel. « Mustapha Merry lorsqu’il évoluait en équipe première. Techniquement, Guia Guruli m’a marqué. Je me souviens aussi de l’entraîneur Francis Smerecki qui a été remplacé par Alex Dupont. Ou de cette période où le club a intégré à l’équipe trois jeunes du centre de formation : Flavio Rodriguez, Jocelyn Blanchard et Jimmy Hébert. On était alors dans les tréfonds de la D2 et l’équipe était remontée à la 5e place. » Mais l’heure est plutôt à imaginer l’avenir et l’après- Maurice Degans. « Maurice est pas éternel, j’attends qu’ils trouvent quelqu’un », indique le bonhomme qui a soufflé à ses dirigeants le nom de la personne qui pourrait lui succéder. Dans son esprit, il l’accompagnera lors de la prochaine saison avant de tirer sa révérence. Mais ça, personne ne l’imagine vraiment tant Maurice Degans est indissociable de l’USLD.

3 6

Maurice vit son rôle de secrétaire à temps complet. « En début de semaine, je récupère les feuilles de match du weekend, je les vérifie avant d’envoyer au district pour éviter des amendes même si avec la FMI c’est plus facile. Je relève les cartons. Il y a aussi le programme de la semaine à établir pour le week-end suivant, ça s’étale sur plusieurs jours. » Le secrétaire prépare également les déplacements des équipes qui évoluent à l’extérieur. « Je gère les 5 minibus du club, les répartitions, l’entretien. » Le weekend est dorénavant moins chargé. « Je passe le samedi matin pour voir si tout va bien. Le samedi après-midi j’enregistre les résultats de la maison. »

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Fusion

CÉDRIC BETTREMIEUX À LA TÊTE DU DISTRICT DES FLANDRES Une répartition géographique pour éviter les longs déplacements

Directeur sportif du club de Lille Louvière, Cédric Bettremieux a été élu à la tête du district des Flandes avec 57,07% des suffrages. Hazebrouck, lors de À l’assemblée générale du district des Flandres qui

s’est tenue le samedi 1er jullet, un nouveau président, Cédric Bettremieux, a été élu. À l’occasion de la première assemblée générale du district des Flandres, qui devait acter la fusion entre le district Maritime Nord et le district Flandre, les clubs ont élu un nouveau président. Un changement inattendu à l’aube de cette fusion qui modifie la carte du football maritime et flamand. La réforme territoriale menée par le gouvernement Valls a également des répercussions sur notre football local. Début 2017, la fusion des ligues de Picardie et du Nord-Pas-de-Calais a accouché de la nouvelle ligue de football des Hautsde-France. Au sein de cette ligue, chaque équipe fait partie d’un district, qui n’est autre qu’un découpage quasi départemental. Avec cette fusion, la ligue était divisée en 8 districts : les districts Aisne, Oise, Somme, Artois, Escaut, Côte d’Opale, Mari-

time Nord et Flandre. Afin de réduire ce nombre, il a été voté la fusion entre ces deux derniers, pour créer le district des Flandres à compter de la saison 2017/2018. Ce sont près de 55 000 licenciés qui s’apprêtent à vivre une saison dans de nouvelles dispositions.

Un vote sans contestation

Alors que toute cette organisation a été pensée et écrite par la présidence qui était en place, le nouveau district des Flandres est désormais dans de nouvelles mains. Au cours du vote, le nouveau président, Cédric Bettremieux, qui officie bénévolement en tant que directeur sportif à l’ES Lille Louvière, a été plébiscité par les clubs, recueillant 57,07% des voix contre 42,85% pour le président sortant. Son projet « Le foot, en Marche ! » – « sans connotation politique », précise le nouveau président malgré un clin d’œil évident –, construit autour de membres bien implan-

tés dans les deux anciens districts, a su convaincre les clubs. « Notre force de demain sera : un œil dans les dossiers et les deux pieds sur le terrain, pour maintenir un équilibre essentiel pour notre district », annonce Cédric Bettremieux, qui promet plus de transparence avec les clubs. Le résultat de l’élection – qui s’est effectué après avoir voté les organisations 2017/2018 pour le foot éducatif, les jeunes à 11 et les seniors –, a provoqué la sortie de Xavier Fleury, sans un geste pour le président nouvellement élu. Entraînant le départ de nombreux clubs. L’assemblée disposant malgré tout du quorum nécessaire, c’est à main levée qu’ont été adoptés les règlements généraux essentiels pour commencer les championnats à temps. En revanche, le vote du budget prévisionnel pour la saison a été remis à plus tard, en juillet. Tous les clubs devront se déplacer une nouvelle fois. C’est le début d’une nouvelle ère pour le football flamand.

Avec la fusion et la création du district des Flandres, se posait la question des déplacements pour les joueurs qui évolueront au sein de ce grand district qui s’étend de Leers à Dunkerque. Soit environ 100 km, et près d’une heure de route entre les deux villes. Avant l’élection du nouveau président, les clubs présents à l’assemblée ont voté contre la réorganisation en plateau proposée pour les catégories du football éducatif de U6 à U13 (6 à 13 ans). Toutefois, l’organisation des championnats par répartition géographique sera appliquée. Pour le football à 11, de U14 à U21, l’organisation des championnats a été votée, et se fera également de façon géographique pour les trois plus bas niveaux de compétition. Pour les équipes jeunes à 11 qui n’évolueront pas dans ce district mais au niveau supérieur, dans la ligue de football des Hauts-de-France, elles pourraient dans certaines catégories, se déplacer jusqu’en Picardie. Ce qui pourrait être le cas, selon le tirage au sort, pour les jeunes U15 Régionale 1 (ex-Division d’Honneur) du CS La Gorgue et du SC Hazebrouck.

Interview : Cédric Bettremieux

« DE LA PROXIMITÉ, DE L’ÉCOUTE » Cédric Bettremieux, 39 ans, a été élu président du district des Flandres le samedi 1er juillet à Hazebrouck. Ce gérant d’une société informatique, directeur sportif du club de Lille Louvière, dévoile une partie de ses projets et évoque l’équipe avec laquelle il va travailler.

Comment est née votre candidature ? A force d’être sur les terrains, de discuter avec les autres clubs, on avait toujours l’impression qu’il y avait une déconnexion entre les décisions prises parfois et ce qu’on pouvait constater avec les parents. J’ai rencontré Luc Laforge qui était du maritime (Olympique Grande-Synthe, ndlr), avec qui on a échangé sur le retour qu’il avait des réunions qu’il avait faites avec les clubs. On retombait sur les mêmes demandes : plus de proximité, plus d’écoute. On a voulu présenter un projet qui répondait à toutes ces interrogations-là. Vous avez appelé votre programme, « le foot en marche ». Peut-on dire que vous avez bénéficié de l’effet Macron ? On s’est dit que ce clin d’œil-là était rigolo parce que certains s’amusaient des similitudes : j’ai 39 ans, il y avait le mot renouvellement des instances dans notre programme, on allait chercher des personnes du terrain plutôt que des habitués de

la politique. Finalement, « Le foot en marche », ça a fait parler. Quand on arrivait quelque part, on nous disait ‘’voilà le foot en marche, plutôt que voilà monsieur Bettremieux’’. Une élection, c’est aussi basé sur la communication et il faut savoir utiliser les moyens de communication. Même si je ne pense pas que les clubs se soient basés sur ça pour voter. Après, certains nous ont dit que c’était politique. On aura bien compris qu’il s’agissait de second degré et que ça n’a rien à voir avec la politique. Votre équipe a 48 ans de moyenne d’âge et à 85%, ces personnes n’ont jamais occupé de poste dans un district ou à la ligue. Vous teniez à cette idée de renouvellement ? Oui, des gens neufs, avec des idées neuves, des gens de terrain. Chacun d’entre eux est président, secrétaire, trésorier ou éducateur au sein de son club. Tout le monde est en activité. On a proposé en tant que secrétaire générale une femme (Audrey Carré, 36 ans, ASJB Roubaix, ndlr), on a pris un risque là-dessus. Dans nos clubs, on nous parle de féminisation, mais il faut

Le programme et l’engagement du «foot en marche».

qu’au niveau du district ce soit représentatif. C’était aussi un signe fort de montrer qu’on ne prenait pas une femme seulement pour être sur la liste mais surtout pour prendre des fonctions importantes. Dans votre programme, vous évoquez trois actions immédiates, vous pouvez nous en parler ? Concernant la réforme des championnats jeunes, le report a été acté avant l’élection, nous n’avons pas eu à nous positionner plus que cela. Par contre, on s’est engagé à mettre en place dès septembre des moyens de communication pour que cette réforme soit expliquée aux clubs, reproposée avec des journées tests. Très vite, on veut également déployer une aide personnalisée aux clubs. Autre action immédiate, c’est le renouvellement intégral des instances. N’importe quel membre des clubs peut candidater pour intégrer le district ? Tout à fait. On a eu beaucoup de soutiens pendant notre campagne, mais on n’a promis aucun poste. Aujourd’hui, on fait un appel à candidature pour toutes les commissions, tous les groupes de travail. Ça peut être un éducateur, un parent de licencié… On choisira par rapport aux compétences, la disponibilité, nos besoins aussi... Dans votre programme, il y a également douze engagements pris. Lesquels ont emporté la décision ? La plupart de nos engagements sont liés à la proximité, je pense que c’est cela qui a fait la différence. Comme nommer des référents de secteur qui vont aller dans les clubs pour faire remonter les problèmes plus rapidement et ne pas attendre l’assemblée générale. C’est aussi la mise en place d’une plateforme juridique qui va permettre de donner des conseils aux clubs, leur permettre de se défendre.

Dans les coulisses de…

L’AAJ UXEM ENTAME UN NOUVEAU CYCLE L’AAJ Uxem, qui évolue en première division depuis dix ans, a enrôlé un nouvel entraîneur et s’est donnée trois ans pour retrouver l’Excellence. Septième de l’exercice qui vient de s’achever, le club regarde l’avenir avec sérénité.

S’il ne compte à l’heure actuelle que 5 licenciés jeunes, le club d’Uxem espère gra l’avenir une équipe dans chaque catégorie d’âge comme c’était le cas dans les ann

’assemblée générale de l’AAJ LUxemoise, (Association Amicale Jeunesse) qui a eu lieu le 23 juin,

a porté à la tête du club un homme neuf, Olivier Moreau. Car, à 60 ans, Régis Fornet, qui a tout connu du club qu’il a intégré dès sa création en 1977, a décidé de passer la main. En douceur (il continuera d’être éducateur dans les catégories de jeunes) et conformément au fonctionnement du club qui fait du président un homme bien entouré. « On a une équipe la plus soudée possible, on délègue. L’idée c’est que les gens s’impliquent », note l’ancien président. « Quatre anciens présidents, qui cumulent 32 ans de présidence, sont encore au club », complète Eric Wullens, lui-même un temps président de la structure, qui émarge aujourd’hui dans le rôle de vice-président. « Il y a une forme de continuité. Il faut laisser la place à des gens plus jeunes, avec des idées nouvelles sinon on aurait tendance à ronronner », complète Régis Fornet.

Trois ans pour monter Si la barque uxemoise ne risque pas de tanguer au niveau du bureau où la solidarité est de mise, le club entame un nouveau cycle au niveau sportif pour tenter de quitter enfin une première division de district où le club s’est enlisé depuis dix ans. Les dirigeants se sont donnés trois ans pour essayer de retourner en Excellence en attirant un nouvel entraîneur, Hervé Taccoen (ex-Hoymille, Coudekerque et Petite-Synthe). Après une 7e place cette saison, le club entend marquer sa progression en visant le top 5 lors du prochain exercice. « On a un noyau correct qui tient la route. Maintenant, il faut attirer d’autres joueurs », note Régis Fornet. « 95% des recrues c’est du relationnel, le côté convivial du club. Ce sont nos seules armes pour attirer les gens », conclut Eric Wullens. A la relance chez les jeunes La reconstruction concerne également les catégories de jeunes

où Uxem ne compte réellement que… cinq licenciés. « On a deux équipes jeunes en U5/U8 et U8/U9 essentiellement en entente avec les Moëres. Il y a eu une hémorragie depuis trois ans après le départ d’un éducateur à Téteghem », note Régis Fornet. Uxem, qui souffre en outre de la proximité avec Ghyvelde et Téteghem, éprouve de grandes difficultés à attirer des jeunes qui vont au collège et au lycée à l’extérieur du village. « Du coup, ils vont jouer dans les clubs où ils ont des copains. Mais on essaie de reconstruite à travers les tout petits. » Pour espérer rejoindre l’Excellence, où il lui faudra présenter un minimum de trois équipes jeunes, l’AAJ Uxem devra accélérer dans ces catégories d’âge et retrouver la dynamique des années 90 où le club avait des représentants dans toutes les catégories. Le 17 juin, Uxem a accueilli un plateau de 18 équipes U5/U6/ U7 et U8. Le premier étage d’une fusée qui ne demande qu’à (re)décoller.

La fiche La première association uxémoise a 40 ans L’AAJ Uxem a vu le jour en 1977. Le club fête donc ses 40 ans en cette fin de saison. « Un lotissement s’est créé à Uxem en 74-75. Il y a eu un apport de population qui est passée de 300 à 650 en deux ans. La demande a été faite par des jeunes de créer un club de foot », renseigne Régis Fornet. Voilà comment a vu le jour la première association uxémoise qui peut compter aujourd’hui sur deux terrains et des vestiaires construits au début des années 2000.

andir pour avoir à nées 90.

Les membres du club qui ont participé à un déplacement pour suivre la rencontre Lens – Niort en Ligue 2.

AAJ Uxem Club créé en 1977 Couleur : rouge et blanc 85 licenciés lors de la saison 2016/2017. 3 équipes seniors masculines en 1ère division, 3ème division et 4ème division Le bureau Président : Olivier Moreau Vice-président : Eric Wullens Secrétaire général : Sylvian Boisnard Trésorier : Alain Noël Site internet : http:// aamjuxem.leclubdefoot.com/

Olivier Moreau, président et joueur AAJ Uxem Olivier, vous faites partie des rares joueurs de l’équipe actuelle qui a connu le niveau ligue lors de la saison 2003-2004 avec Uxem. Pour un club de village, c’est quelque chose d’exceptionnel ? « Oui, à Uxem, on a toujours joué en 1ère division ou en Excellence. Deux ou trois fois on avait manqué la montée en Régionale avant d’y parvenir. Malheureusement, pour s’y maintenir, il faut recruter, les demandes des joueurs ne sont plus les mêmes. On a lutté avec nos armes, on était un peu juste, on est redescendu sans être ridicule. » Aujourd’hui, le projet c’est d’atteindre l’Excellence, le plus haut niveau de district. « On végète en première division après avoir longtemps joué les premiers rôles en Excellence. Forcément, on attend toujours une certaine ambition. Après, la différence se fait souvent avec le copain du copain qui signe au club après avoir joué à un plus haut niveau. Ces quatre dernières années, on a terminé deux fois deuxième, on a raté la marche de peu. On est redescendu d’un cran et on essaye maintenant de reconstruire avec un nouvel entraîneur et un effectif assez juste. On ne se fait pas peur pour

la descente, mais on n’arrive pas à accrocher les premiers rôles. » Qu’apporte l’organisation du club avec un président entouré de plusieurs de ses prédécesseurs ? « Chacune de ces personnes a une activité professionnelle assez prenante. Le temps est compté. Le président ne peut pas tout assurer seul. Notre organisation lui permet de déléguer une partie de ses responsabilités. » Que diriez-vous à un joueur pour l’inciter à signer chez vous ? « A l’époque, j’ai été attiré par l’ambiance qu’il y a au sein du club. A Uxem, c’est vraiment particulier. Les trois équipes seniors s’entraînent ensemble. Il y a toujours quelque chose après le match ou l’entraînement, ça permet aux joueurs de s’épanouir en dehors du football. »

Vos photos

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Scène de liesse lors de la finale de la Coupe Sodiboissons ! A Longuene sse les joueurs de la JS Racquinghem sont venus à bout du FC Wizernes au terme d’une rencontre pour le moins anim ée. Victoire finale 2-1 de Racquingh em qui est rentré à la maison avec le troph ée.

ss née à Longfo sée cette an réunis pour le U 7 organi nt na so tio se na s e nt né fa ur la jour ntaines d’en Succès fou po tées, des ce lations adap e. Sur ces instal tiv or sp festive et une journée

. ion de l’A.C s à la format aient opposé fisports. Si les Sangliers ét e) ug ro n Dé s (e SC Coquelle de la finale de la Coupe ale face Les U 15 du inclinés en fin glons de pte n, ils se sont pour le com Ai t so s ai ue le m uq is, la fo To à Le tte er ce de match ais en U 18 ce rts 5-0. Chez les seniors, ont eu la chan Toujours à Coquelles m po coupe Défis 1-2. la grâce à sa t de ue e uq al To fin au en e Défisports sont inclinés oche la coup se cr dé ne ir) og ul no n Bo (e n bleu). Saint-Omer e du Portel (e la réserve de ntre la réserv co 1 3ire to vic

Vous connaissez le beach soccer ? Si ce n’est pas le cas, vous ne savez pas ce que vous manquez. Huit équipes du District Maritime Nord de footb all étaient présentes au challenge départem ental de beach soccer qui était orga nisé à Bray-Dunes. En jeu : deux places pour le challenge régional prévu le 16 juillet prochain au Touquet. Huit équip es ont disputé 40 rencontres et c’est finalement le LBSD (Littoral Beach Soccer Dunk erquois) qui a remporté le challenge devant une équipe composée de Bray Duno is et Ghyveldois. Rendez-vous au Touquet pour le LBSD !

Trois monstres du foo tball régional sur une photo ! Bruno Brongn président de l’histoire iart, premier de la Ligue des Hauts-d Duchaussoy, ex-présid e-France de football et Fernand ent de la Ligue Nord Pas-de-Calais de foo président de la FFF tball et exentour togolais de la Côte d’O ent Joseph Ayivi, le plus célèbre des foo tballeurs pale et fidèle bénévo le du SC Coquelles. capturé lors de la fina Un le de la coupe de Fra nce de football opposa instant au PSG au Stade de France. nt Angers

Heureux à Coudekerque-Branche. La journée nationale des débutants du District Maritime Nord de football a été organisée à Coudekerque-Branche où des centaines d’enfants étaient réunis. Au programme : du jeu, du jeu et toujours du jeu !

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La séance de… Anthony Lemettre

« CONSERVER

ET PROGRESSER » Anthony Lemettre porté en triomphe par ses joueurs après le match contre l’Amicale Pascal.

Anthony Lemettre est arrivé à l’Olympique Lumbrois en 2008, à 29 ans. Le club était à l’époque en Régionale. Neuf ans plus tard, l’Olympique Lumbrois vient de fêter une historique accession en division d’Honneur ou plutôt en R1, il va falloir s’habituer aux nouvelles dénominations de la Ligue des Hauts-de-France de football.

’Olympique n’est pas encore au plus haut niveau du football régional puisque c’est désormais la Nationale 3 (ex CFA 2) qui fait office de sommet du football de ligue. Mais pour l’OL, c’est déjà un pas de géant dans une division où, soyons clairs, pas grand monde ne donnait une chance d’accession à la troupe d’Anthony Lemettre. « Nous n’étions pas vraiment programmés pour cela », souffle ce tout jeune quadra qui, à 29 ans, a choisi de quitter le SC Hazebrouck et le monde fédéral où il avait pourtant encore toute sa place. Trois accessions en trois ans Il savait sans doute où il mettait les pieds et surtout pourquoi. L’Olympique Lumbrois dans l’Audomarois, c’est d’abord un club formateur, riche du savoir-faire de ses éducateurs. Un club familial aussi, fondé sur des valeurs et construit avec une trajectoire linéaire. Aujourd’hui, l’Olympique Lumbrois est de-

venu le premier club de l’Audomarois au regard du niveau de son équipe première. Anthony Lemettre et ses joueurs ont traversé cette saison sans faire de bruit mais en ne quittant pas le haut du tableau. Le printemps fut un moment compliqué avec un mois d’avril où l’OL a fait plus que se découvrir d’un fil. Pas une victoire en quatre rencontres : défaite à la maison contre Loon-Plage (0-1), défaite à Vermelles (2-1), défaite à Armentières (0-1) et nul contre Noeux à Lumbres (2-2). Dans le même temps, Villeneuve d’Ascq décrochait deux victoires en quatre matches ! Finalement, après une série de trois succès pour clore cette magnifique saison 2016/2017, l’OL coiffe Villeneuve d’Ascq au poteau pour décrocher l’accession avec un point d’avance. Le fruit d’un travail de longue haleine pour Anthony Lemettre capable d’animer un « live » auprès de ses joueurs sur la rencontre d’un adversaire direct lors d’un soir pluvieux d’hiver. Passion quand tu nous tiens…

Exercice n°1

Echauffement (20‘)

Matériel : ballons, chasubles, coupelles. Le principe : par deux, les joueurs multiplient les redoublements de passes en inversant les rôles entre le receveur et le passeur. Possibilité durant ce début d’échauffement pour le passeur de jeter le ballon à la main. Après cette première phase d’une durée de six minutes environ, les joueurs enchaînent des courses de 60 % de VMA à 110 % afin de consolider l’échauffement. Durant le temps de repos, distribution ensuite des chasubles : 8 couleurs chaudes réparties pour moitié entre le rouge et l’orange et 8 couleurs réparties pour moitié entre le bleu et le violet. Dans une séance de conservation, les couleurs chaudes doivent enchaîner deux passes, une à leur propre couleur, une autre à la couleur partenaire. Idem pour les couleurs froides. Toutes les trente secondes, rassemblement en groupe après un sprint (trois répétitions). Un gage peut être donné à l’équipe la dernière à se regrouper. Passage ensuite sur une forme jouée d’introduction en 8 contre 8. Conserver en 2 ou 3 touches avec une passe tolérée dans sa propre couleur. L’équipe en mode défensif ne récupère que sur interception. Les variantes possibles : autoriser ou non le jeu long, limiter les touches de balle. Les critères de réalisation : insister sur la qualité technique dans la passe par exemple afin de favoriser la passe claquée pour le dédoublement ou le déséquilibre. Une passe freinée par contre est destinée au changement de direction. Insister également sur les déplacements dans les intervalles et la communication.

Exercice n°2

Corps de la séance

(2x15‘)

Exercice n°3

Jeu de fin

(2x12‘)

Le matériel : ballons, chasubles, coupelles, deux buts. Le principe : dans la lignée du travail de l’échauffement, les joueurs répartis en deux couleurs chaudes et froides s’affrontent. Une passe est autorisée dans sa couleur avec cette fois des consignes données par l’entraîneur afin d’influencer le jeu : tirer au but en moins de dix secondes pour les bleus, ce qui forcément engendrera une réaction des couleurs chaudes. Possibilité également d’imposer un pressing tout terrain aux bleus afin de soigner la sortie de balle des couleurs chaudes qui peuvent être tentés de jouer vite vers l’avant. Dans ce cas, possibilité de tripler les points si le ballon navigue des deux côtés. Les variantes possibles : limiter les touches de balle, autoriser ou non le temps, interdire la communication verbale pour souligner l’importance de la communication. Les critères de réalisation : une séance intéressante pour travailler la « bonne passe » qui n’est pas toujours la première qui s’offre aux joueurs. Insister sur la nécessité de trouver des points de fixation afin de favoriser le déplacement du troisième joueur dans un « une-deux-trois ». Sans un minimum de qualité technique dans la conservation, difficile de tirer la quintessence de ce jeu.

Le matériel : chasubles, coupelles, ballons, deux buts. Le principe : les joueurs sont organisés en deux équipes de huit. L’entraîneur a dans ses poches plusieurs papiers et fait tirer au sort un scénario par le joueur d’une équipe. L’idée : inciter les joueurs de l’équipe concernée à entrer dans un processus de conservation ou d’attaque placée. Douze minutes sur ce thème puis tirage d’un nouveau scénario. Exemples de scénario : - « Vous menez 1-0 et un adversaire a été expulsé (rotation toutes les deux minutes du joueur expulsé). 1-1 ou défaire et votre saison est fichue. » - « Dernière journée. 0-0, il reste douze minutes à jouer plus les arrêts de jeu. Avec un nul l’adversaire est sauvé. Pour vous, la victoire est obligatoire pour atteindre un objectif important (accession ou maintien). Les critères de réalisation : l’objectif est évidemment multiple : technique, tactique et psychologique. Qualité technique pour ne pas perdre trop vite le ballon, qualité tactique pour prendre a défaut un adversaire en infériorité numérique, qualité psychologique puisque le scénario permet de s’approcher de la vérité d’une rencontre.

FMI

UTILISER LA FMI COMME UN PRO BIENVENUE AUX NOUVEAUX DIRIGEANTS L’intersaison génère toujours des mouvements dans les effectifs. Chez les joueurs évidemment mais pas seulement. Votre club accueillera peut-être de nouveaux dirigeants qu’il faudra également intégrer dans le logiciel de la FMI.

Vous devez tout d’abord cliquer sur l’onglet encadrement afin de sélectionner la bonne zone. Ensuite dans cette zone, vous devez ajouter un encadrant en inscrivant les éléments demandés comme dans l’image ci-jointe : numéro de licence, nom, prénom, date de naissance. Enfin, vous cliquerez sur validez.

Votre dirigeant sera alors ajouté. Il vous suffira ensuite d’enregistrer la composition puis de ne pas oublier de transmettre.

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