Spécial printemps 2025 Avenir de l'Artois

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L'ACCUEILFERMIER

MAISON

Comment bien choisir sa literie ?

Le matelas représente les 2/3 du confort de la literie.

CIl est idéal et confortable quand on est deux !

de la nuit votre meilleure amie

hoisir sa literie, c'est choisir un matelas, un sommier et un bon oreiller. Il faut aussi prendre en compte votre morphologie, vos éventuelles allergies et, tout simplement, vos préférences quant à la fermeté du matelas ou au moelleux des oreillers !

Et pour conserver les qualités de votre literie au fil des années, il est indispensable de la changer au moins tous les dix ans. Petit point sur le sujet.

Le matelas représente à peu près les 2/3 du confort d'un lit. Autant dire qu'il ne faut pas se tromper au moment de l'achat !

Qu'il soit en mousse, à ressorts ou en latex, vous devez prendre le temps de le choisir correctement.

Le matelas en mousse peut être souple, médium ou ferme en fonction de sa densité. Il a l'avantage de s'adapter facilement à toutes les morphologies.

Lorsqu'il est à ressorts, le matelas est beaucoup plus ferme et apporte par conséquent plus de soutien. Il sera plus adapté aux personnes à forte corpulence.

Quant au matelas en latex, en plus d'être hypoallergénique, il offre une grande résilience et un bon soutien.

Supplément gratuit édité et diffusé en boîtes aux lettres par Directeur de la publication : Éric Lepers

Directeur commercial : Jérôme Dimarcq

Rédaction : Groupe Nord Littoral et Libre Service

Presse

Conception graphique : Studio du Groupe Nord Littoral

Impression : Z.I. La Pilaterie, rue du Houblon 59700 Marcq-en-Barœul

Le service publicité se tient à votre disposition : publicite@nordlittoral.fr

GROUPE

Quel que soit le matelas que vous allez choisir, il est important de l'essayer avant. Allongez­vous dessus, retournez­vous et appuyez avec vos coudes pour tester la fermeté. N'oubliez pas : si votre matelas bénéficie d'un côté été et d'un côté hiver, pensez à le retourner au changement de saison.

Le sommier représente le tiers restant du confort du lit. Il joue en quelques sortes le rôle d'amortisseur. C'est pour cela qu'il se choisit aussi en fonction du type de matelas.

Comme son nom l'indique, le sommier à ressorts est adapté aux matelas à ressorts uniquement et offre beaucoup plus de souplesse. Plus modulable en termes de soutien et de fermeté, le sommier à lattes s'adapte mieux aux matelas en latex ou en mousse.

Reste ce que l'on appelle le sommier tapissier. Son cadre est généralement en bois et peut être entouré de tissu.

Les lattes apparentes favorisent la ventilation et sont donc plus adaptées aux personnes sensibles aux allergies.

(copyright : iStock/City Presse)

TRAVAUX

Quel bois choisir  pour ma terrasse ?

Écologique, design et durable, le bois est un revêtement idéal pour habiller nos terrasses. On vous aide à faire votre choix parmi diverses essences.

Lors de la saison estivale, nos espaces extérieurs se transforment en véritables lieux de vie et se conçoivent comme un prolongement de la maison. Leur aménagement revêt donc une importance capitale, et c'est pourquoi, après avoir longuement hésité, vous avez finalement opté pour une terrasse en bois plutôt qu'en pierre naturelle ou en carrelage. Très populaire depuis plusieurs années, ce matériau séduit tant pour son aspect chaleureux et son esthétique indéniable que pour sa facilité de pose et sa durabilité. Toutefois, il en existe de nombreux types différents, dont chacun possède ses caractéristiques propres. On vous guide pour déterminer quel plancher conviendra le mieux à votre projet. Pin sylvestre ou maritime autoclave, mélèze, red cedar et douglas sont très prisés pour les terrasses, et pour cause : ils sont très abordables (à partir de 20 € le m2), respectueux de l'environnement grâce au label FSC

et souvent issus de forêts françaises ou européennes. Ils pèchent en revanche par leur durée de vie, qui n'excède pas une quinzaine d'années, et par leurs nœuds qui peuvent être saillants.

LES BOIS EXOTIQUES, LA TOUCHE DÉCO CHIC Élégants, denses, très stables, naturellement résistants en milieu humide et antidérapants, les bois exotiques comme le teck, l'ipé, le massanduraba, le cumaru, le padouk ou encore le tali cumulent toutes les qualités. D'un coloris brun foncé, l'ipé, originaire d'Amérique du Sud, est adapté aux decks de piscine, là où le massanduraba brésilien à la teinte brun rouge séduira par son grain fin, très confortable au pied. Bois africain aux magnifiques reflets rubis, le padouk supporte sans problème l'eau salée, tandis que l'itauba doré offre des qualités mécaniques et une longévité incomparables. Si leur prix est relativement élevé, il est rentabilisé

sur le long terme, car ces essences sont généralement garanties à vie et leur entretien est quasi nul. Seul bémol : leur impact environnemental. Moins répandues que les bois résineux ou exotiques, les essences comme le chêne, le frêne, le châtaigner ou le peuplier offrent une alternative plus écologique, avec un bon rapport qualité­prix. Après avoir subi un processus de rétification, où ils sont chauffés à 200 °C afin d'en évacuer l'eau, ces bois locaux gagnent en stabilité et peuvent ainsi servir entre 20 et 30 ans.

Issus d'un mélange de sciure et de résines polymères, les bois composites sont plus faciles d'entretien que le bois massif (un coup d'éponge annuel suffit) et leur aspect ne change pas dans le temps. Imputrescibles, très résistants aux intempéries et aux coups, ils se déclinent dans une large palette de teintes et de finitions et se fixent simplement par clip, et non par vis. Leur qualité peut consi­

Authentique, confortable et chaleureuse, la terrasse en bois sublime toutes les ambiances. (copyright : iStock/ City Presse)

dérablement varier selon que vous optiez pour des lames pleines ou alvéolaires, mais le haut de gamme peut atteindre les 90 euros le m2. Comment entretenir sa terrasse ? À cause des intempéries et plus particulièrement des rayons UV, le bois a tendance à griser en extérieur. Afin qu'il conserve toute sa beauté et sa teinte originelles, il est nécessaire de le traiter. Tous les 6 mois à 1 an, appliquez un saturateur de la teinte

souhaitée ou un produit dégriseur. Pour enlever les saletés incrustées dans les lames, utilisez un nettoyeur haute pression et misez sur le vinaigre blanc pour venir à bout des mousses.

Afin de convenir à un usage en extérieur, le bois de votre terrasse devra être doté d'une classe d'emploi IV, qui garantit sa résistance à l'eau et aux champignons, voire d'une classe V si vous résidez en bord en mer.

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Pneus : on met un bon coup de pression !

Les pneus sont les seuls points de contact d'une voiture avec la route. C'est peu dire donc, que leur état est crucial.

L es conséquences d'un mauvais gonflage sont multiples, de l'augmentation du risque d'accident à l'usure prématurée, en passant par la surconsommation de carburant. Alors autant ne rien laisser au hasard. Les chiffres des assureurs ne trompent pas. Près de 3 interventions d'assistance sur 4 concernent des pannes (contre seulement 10 % pour des accidents). Parmi elles, 15 % sont liées à des problèmes de pneu. Plus encore, 1 accident mortel sur 10 est causé par une défaillance des pneumatiques. Et ce chiffre grimpe à 15 % durant l'été, lorsque le revêtement devient chaud. Or, la plupart du temps, c'est la pression qui est à l'origine du drame… Les pneus sont en effet les seuls éléments d'une voiture qui sont en contact avec le sol. Ce sont eux qui assurent l'adhérence à la route et leur tâche est mise à rude épreuve

par les conditions météorologiques (pluie, verglas, neige, etc.) et l'état de la chaussée. Inutile donc d'en rajouter en négligeant leur entretien ou leur gonflage ! Au­delà des accidents, d'autres conséquences néfastes peuvent advenir si l'on n'en prend pas soin. Une grande partie de la consommation de carburant d'une voiture dépend ainsi de l'état et de la pression des pneus. Une sous­pression de 0,6 bar entraîne une hausse de la consommation de 4 %. Cette sous­pression peut également être responsable d'une usure prématurée des pneumatiques, elle­même à l'origine d'une nouvelle perte d'efficacité énergétique. Le surgonflage est légèrement moins problématique, mais n'est absolument pas une bonne chose. En cas de pression trop importante, seule la bande centrale de la gomme va se retrouver en contact avec le sol : l'adhérence est donc

GARAGE LEFEBVRE

réduite et l'usure accentuée. Dans les deux cas, l'éclatement n'est jamais loin, surtout lorsque les températures grimpent ou que le grand froid menace.

DE LA DISCIPLINE

Il est par conséquent recommandé de passer par la case gonflage environ tous les mois. Après une variation brutale de température, il est également nécessaire de passer à la pompe à air. Les gros rouleurs trouveront peut­être avantageux et pratique d'investir sur un compresseur. Pour une quarantaine d'euros, il existe des modèles qui remplissent parfaitement leur rôle.

L'important est de bien respecter les recommandations du constructeur. Ces informations se situent au verso du clapet du réservoir, dans la boîte à gants, sur la portière côté conducteur et dans le manuel d'utilisateur, voire sur le

Un accident mortel sur dix est lié à un défaut de pneumatique. Sans compter la surconsommation et les surcoûts qu'entraîne une mauvaise pression. (copyright : iStock / City Presse)

pneu lui­même. Y sont indiqués la pression conseillée pour une utilisation normale et celle recommandée lorsque le véhicule est chargé, le tout étant exprimé en général en bar ou en kg/cm2. Attention, les valeurs diffèrent souvent entre les pneus avant et arrière!

Le gonflage doit s'effectuer lorsque les montes sont froides. L'air chaud prend en effet plus de volume : le risque de sous­gonflage lorsqu'on passe à la pompe à air après une longue route est

donc élevé. À l'inverse, en cas de grand froid, il est conseillé d'ajouter 0,2 bar aux recommandations. Il suffit ensuite de trouver la valve et de bien mettre de côté le petit capuchon. On branche alors le tuyau de la pompe ou du compresseur et l'on appuie sur le bouton lançant le gonflage. Après chaque impulsion, il faut laisser le temps à l'appareil de recalculer la pression. Si vous avez trop gonflé, il est possible de relâcher un peu d'air en appuyant sur le petit ergot qui se trouve dans la valve.

du 28 au 31 mars de 9h à 19h NON STOP

HABITAT

Des clôtures modulaires et personnalisables

Naguère uniquement destinées à préserver notre intimité, les clôtures se font désormais personnalisables et modulables, pour mieux mettre en valeur nos extérieurs. Composez la palissade qui vous ressemble !

Les clôtures ne sont plus simplement utiles : elles font désormais partie intégrante de la décoration du jardin. Exit donc les barrières au style suranné que l'on cachait derrière la végétation, et place au design personnalisable ! Sur mesure ou modulaires, les palissades sont désormais les stars de nos extérieurs.

Choisir avec soin ses clôtures est primordial car ce sont bien souvent ces séparations qui vont donner le ton général de votre extérieur. Opter pour des modèles bon marché montés à la va­vite n'est pas forcément un bon calcul pour qui veut aménager un extérieur agréable à regarder.

D'autant plus qu'il existe aujourd'hui des produits personnalisables à l'envi. En fonction de vos desiderata et du style de votre jardin, vous trouverez des clôtures en fer forgé, en bois composite ou encore en aluminium. Ces deux dernières solutions sont évidemment les plus contemporaines et offrent une personnalisation assez poussée puisqu'elles permettent d'ajuster leur hauteur en fonction de leur emplacement et offrent un choix de finitions presque infini. Vous pouvez ainsi composer une cloison unique en choisissant par exemple un modèle plein, ajouré ou semi­ajouré pour vous préserver des regards ex­

Contemporaines et design, les nouvelles clôtures s'adaptent à tous les jardins et à tous les besoins.

térieurs tout en n'occultant pas complètement la vue. Des matériaux tels que le Plexiglas accompagnent d'ailleurs avec beaucoup de cachet ces clôtures, combinant transparence et luminosité. Les matières métalliques, elles, sont idéales pour créer des formes et des décors très contemporains grâce aux listels. Enfin, les panneaux à claire­voie sont des produits deux­en­un qui permettent de laisser la lumière pénétrer tout en préservant l'intimité. Constitués de fines lames de bois

horizontales ou verticales, ils offrent un niveau d'occultation plus ou moins élevé en fonction de l'écart qui sépare leurs éléments. Un bon compromis aux modèles plus classiques !

PLACE À LA MODULARITÉ

Autre spécificité de ces palissades nouvelle génération : la modularité. Certaines permettent en effet de réaliser une infinité de combinaisons pour créer des projets sur mesure. Déplacer, rallonger, enlever…

ces panneaux contemporains amovibles associent différents décors empilables à souhait. D'autres ingénieux systèmes offrent la possibilité de choisir l'orientation des lames de votre clôture. Vous pourrez ainsi obtenir un effet ajouré ou occultant au gré de vos besoins. Certains modèles s'adaptent même automatiquement à la position du soleil, à la luminosité et au vent pour des extérieurs agréables à vivre en (presque) toutes circonstances !

Flashez
Vidéo de présentation
(copyright Fiberdeck)

HABITAT

Comment choisir un pro pour ses travaux ?

En matière de logement, on réserve souvent l'embauche des artisans aux plus gros travaux. Mieux vaut donc ne pas se tromper dans la sélection de l'entreprise !

Il suffit parfois de recevoir un flyer bien présenté dans sa boîte aux lettres pour se décider à concrétiser un projet de rénovation longtemps laissé de côté. Sauf qu'à choisir si aléatoirement une entreprise de travaux, on risque fort d'être déçu. Pour éviter cette fâcheuse situation, l'Institut national de la consommation rappelle les vérifications à effectuer avant de signer un contrat avec un professionnel.

TROUVER DES RÉFÉRENCES FIABLES

Outre les sommes souvent conséquentes qui sont mises en jeu, maints désagréments peuvent survenir lorsque des travaux sont mal réalisés. Certaines aides financières imposent par ailleurs de respecter des normes précises. S'assurer que l'entreprise envisagée est reconnue pour son sérieux n'est donc pas un luxe !

Premier réflexe à avoir : mener sa

petite enquête. Une recherche sur internet vous permettra de découvrir en quelques clics depuis quand la société existe et si elle a pignon sur rue. C'est aussi l'occasion de lire des avis de clients sur d'anciens chantiers. Plus encore, vérifiez que l'entreprise est bien référencée. Un artisan doit par exemple être inscrit au Registre des métiers, accessible via la Chambre des métiers.

Bon à savoir : un site de référence Le site 1001signes.qualiteconstruction.com vous permettra de connaître les différents systèmes de qualification qui existent dans le bâtiment. À vous de vérifier quel sigle arbore le professionnel. Un gage supplémentaire de qualité.

ÉTABLIR UN CONTACT PROFESSIONNEL

Il est toujours intéressant de se rendre dans les locaux d'un artisan. Cela permet de se faire une idée plus précise de sa façon de travailler. N'hésitez pas non plus à lui

poser autant de questions que possible. Tout professionnel qui se respecte se doit d'être à l'écoute de ses clients et de les conseiller. Une fois le type de chantier convenu, la société va vous proposer un devis de travaux. Ce n'est pas un document à prendre à la légère car l'artisan devra s'y tenir si vous l'acceptez ! Avant de le signer, assurez­vous toutefois que l'identité de l'entreprise mentionnée correspond bien à celle qu'elle vous a donnée. Les matériaux utilisés et le détail du chantier doivent aussi être précisés, ainsi que le délai d'exécution estimé. Côté tarif, un devis doit afficher le coût global hors taxes et toutes taxes comprises, de même que le prix de la main­d'œuvre.

DEMANDER UNE ATTESTATION D'ASSURANCE

La présentation du devis doit enfin s'accompagner de la mention de la couverture d'assurance du profes­

Faites quelques vérifications essentielles avant d'engager une entreprise de travaux. (copyright iStock / City Presse)

sionnel et plus précisément de la garantie décennale. Cette dernière protège le client contre tout vice ou dommage de construction qui pourrait affecter la solidité de l'ouvrage et des équipements indissociables ou qui le rendrait inhabitable ou impropre à l'usage auquel il est destiné. En clair : c'est une assurance contre tous les pépins graves qui peuvent survenir dans les dix ans suivant les travaux! Face aux enjeux, exercez donc votre droit d'exiger une attestation d'assurance décennale afin de véri­

RÉNOVATION | EXTENSION

fier qu'elle couvre bien l'activité pour laquelle la société doit intervenir chez vous et sa période de validité. Ensuite seulement, vous pourrez vous engager plus sereinement dans votre chantier. À noter : une assurance obligatoire La loi impose également au propriétaire de souscrire lui­même une assurance dommages­ouvrage pour tous travaux touchant au gros œuvre ou susceptible d'affecter la solidité de l'habitation (planchers, plafonds, murs porteurs, charpente…).

MAISON

Bien entretenir sa cheminée

Ah le bruit des bûches qui crépitent et la douce odeur du feu de bois… Romantique et cocooning à souhait, la cheminée fait rêver beaucoup de gens. Un atout charmant qui nécessite un entretien régulier pour ne courir aucun risque.

L'hiver, lorsque le froid et le mauvais temps envahissent l'extérieur, quoi de mieux que de se pelotonner devant un bon feu de bois ? Pour les chanceux qui en possèdent une ou ceux qui souhaitent en installer, il ne faut pas oublier qu'une cheminée n'est pas un simple gadget : elle demande un minimum de travail et comporte des risques réels d'incendie si elle n'est pas correctement entretenue. Alors, pour buller tranquille, on se remémore quelques recommandations d'usage.

UNE INSTALLATION FIABLE

La pose d'une cheminée à foyer fermé ne s'improvise pas ! Si vous souhaitez en placer une dans votre habitation, ne négligez pas votre sécurité et celle de votre entourage et faites appel à un spécialiste, qui procédera à une installation techniquement conforme : conduit estampillé NF, distance de sécurité, etc. Cela vous évitera bien des problèmes plus tard.  Afin d'éviter tout risque d'incendie et d'intoxications au monoxyde de carbone, les conduits de votre cheminée doivent être ramonés une ou

Pour profiter de votre cheminée tout au long de l'année, mieux vaut l'entretenir régulièrement. (copyright : iStock/ City Presse)

deux fois par an. Cela varie en fonction du règlement sanitaire départemental de votre commune, consultable en mairie. En effet, après une saison de chauffe, ils sont encrassés par la suie et des goudrons inflammables, qui s'y sont accumulés. On évite aussi un gaspillage d'énergie et on aide à lutter contre la pollution en réduisant les émanations toxiques. Mais attention, le ramonage est une affaire de spécialiste ! Seul un ramoneur certifié peut procéder à cet entretien indispensable qui nécessite des outils particuliers et un vrai savoir­faire. Une fois la cheminée bien nettoyée, il vous remettra un certificat à conserver précieusement puisqu'il est indispensable à notre assureur en cas de sinistre. Pour que la cheminée fonctionne correctement et plus longtemps, le ramonage seul ne suffit pas. Après la saison froide, ou juste avant de remettre votre cheminée en route pour l'hiver, il est important de bien la préparer, alors on fait le grand nettoyage : foyer, vitres, plaques en fonte, manteau, tout doit y passer !

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