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Dossier pédagogique

Saison 2015-2016

Fauré

pénélope

NOUVELLE PRODUCTION

En deux mots Pénélope se désole de revoir un jour son époux, Ulysse, parti combattre à Troie. Durant ces vingt années, elle lui est restée fidèle et ne perd cependant pas espoir. Mais ses nombreux prétendants veulent s’emparer du trône et l’incitent à se remarier avec l’un deux. Sera-t-elle assez forte pour leur tenir tête ?

Contacts Flora Klein • tél + 33 (0)3 68 98 75 21 • courriel • fklein@onr.fr Hervé Petit • tél + 33 (0)3 68 98 75 23 • courriel • hpetit@onr.fr Opéra national du Rhin • 19 place Broglie BP 80 320 • 67008 Strasbourg Photo Nis & For

du rhin

opéra d'europe

operanationaldurhin.eu


nouvelle production

Poème lyrique en trois actes de Gabriel Fauré Livret de René Fauchois Créé à l’Opéra de Monte-Carlo le 4 mars 1913

STRASBOURG Opéra ve 23 octobre 20 h ma 27 octobre 20 h je 29 octobre 20 h sa 31 octobre 20 h ma 3 novembre 20 h MULHOUSE La Filature ve 20 novembre 20 h di 22 novembre 15 h

Rencontre avec Patrick Davin, Olivier Py et Anna Caterina Antonacci Strasbourg, Librairie Kléber  je 22 octobre 18 h 30 entrée libre

Direction musicale Patrick Davin Mise en scène Olivier Py Décors et costumes Pierre-André Weitz Lumières Bertrand Killy Pénélope Anna Caterina Antonacci Ulysse Marc Laho Euryclée Élodie Méchain Cléone Sarah Laulan Mélantho Kristina Bitenc Phylo Rocío Pérez Lydie Francesca Sorteni Alcandre Lamia Beuque Eumée Jean-Philippe Lafont Eurymaque Edwin Crossley-Mercer Antinoüs Martial Defontaine Léodès Mark Van Arsdale Ctésippe Arnaud Richard Pisandre Camille Tresmontant Chœurs de l’Opéra national du Rhin Petits Chanteurs de Strasbourg

Maîtrise de l’Opéra national du Rhin Orchestre symphonique de Mulhouse Éditions Heugel

Langue : français surtitré en français et en allemand Durée approximative : 2 h Conseillé à partir de 12 ans : collège et lycée


Argument Acte 1 Pénélope attend depuis longtemps le retour d’Ulysse, harcelée par les prétendants qui veulent l’épouser et s’emparer ainsi du trône d’Ithaque. Elle se demande elle-même en secret si son époux reviendra un jour. Dans ses appartements, les servantes ne peuvent avouer qu’à sa place elles auraient depuis longtemps succombé au charme de ces jeunes guerriers qui font tout à coup irruption pour exiger de voir la reine. La vieille nourrice Euryclée a beau tenter de les repousser, Pénélope décide de paraître et déclare avec une incomparable dignité qu’elle reste fidèle à son époux conformément au vœu qu’ils s’étaient fait avant le départ pour Troie et qu’elle est certaine de son prochain retour. Les prétendants ironisent sur cette naïve conviction et s’inquiètent plutôt de voir encore inachevé le linceul tissé par la reine pour accueillir la dépouille du vieux Laërte, le père d’Ulysse. Elle avait juré qu’une fois terminé, elle accepterait de céder à l’un d’eux. Les prétendants décident de la placer sous surveillance. Eurymarque, l’un d’eux, fait signe aux joueurs de flûtes et aux danseurs. Toujours sourde aux compliments des jeunes hommes, elle invoque une nouvelle fois le retour de son époux. C’est alors qu’une voix répond à sa supplique, celle d’un mendiant qui n’est autre qu’Ulysse déguisé. Pénélope l’accueille et lui offre l’hospitalité malgré l’indignation de l’assistance. Et décline comme à son habitude de dîner avec les guerriers qui s’éloignent du palais en bonne compagnie. Pénélope confie son hôte aux bons soins d’Euryclée. Cette dernière le reconnaît instantanément mais accepte de se taire sur la demande d’Ulysse qui ne souhaite pas encore se révéler. La reine se met à défaire comme chaque nuit son ouvrage mais elle est surprise par les prétendants qui l’obligent alors à épouser l’un d’eux dès le lendemain. Pénélope est dévastée mais le mendiant la réconforte. Elle lui propose de l’accompagner en haut de la colline qui surplombe la mer d’où elle scrute quotidiennement l’horizon dans l’espoir de distinguer le vaisseau de son époux. Ulysse est ému par cette indéfectible fidélité.

Acte 2 Eumée, un vieux berger, chante avec mélancolie en contemplant la mer. Pénélope suivie d’Ulysse et de la nourrice arrivent au sommet de la colline. Le mendiant lui apprend qu’il aurait hébergé le roi en Crète. Il lui souffle également une idée : accéder au désir des prétendants en mettant une condition. L’un d’eux pour être choisi devra préalablement réussir à bander l’arc de son époux. Pénélope accepte puis repart tristement avec Euryclée en direction du palais. Resté seul, Ulysse appelle à lui tous les bergers. Il aura besoin d’eux le lendemain pour punir les prétendants de son épouse.

Acte 3 Ulysse a choisi le glaive d’Hercule pour sceller sa vengeance. Il rassure sa vieille nourrice abattue par la tristesse de Pénélope. Eumée entre et annonce joyeusement au roi que les bergers pourront facilement pénétrer dans le palais car ils sont sommés d’apporter les animaux nécessaires au sacrifice en vue des festivités nuptiales. Les prétendants demandent à Pénélope de révéler son choix. Elle déclare que seul celui capable de bander l’arc d’Ulysse aura ses faveurs. Puis, subitement, elle cherche à les mettre en garde face un sombre pressentiment qui l’assaille. Les guerriers, loin d’être apeurés, tentent chacun l’aventure en vain. Ulysse, toujours méconnaissable, demande d’essayer à son tour malgré le mépris des autres hommes. Il réussit, vise d’abord la cible prévue pour les exercices des archers provoquant la stupéfaction générale, puis tue un à un ses rivaux. Eumée et les bergers lui prêtent main forte. Une fois justice rendue, Pénélope retrouve son époux et tous se réjouissent du bonheur retrouvé à Ithaque.


Quelques mots sur l'œuvre C’est le 4 mars 1913, sur le Rocher de Monte-Carlo, que Pénélope voit le jour : un succès d’estime en grande partie lié au peu d’intérêt porté au projet par le directeur des lieux… Il faut attendre le Théâtre des Champs-Elysées de Paris, deux mois plus tard, pour qu’elle connaisse enfin le triomphe. L’œuvre est alors reprise un peu partout en France comme à l’étranger, faisant la gloire des grandes interprètes françaises de Germaine Lubin à Régine Crespin, avant de tomber dans un relatif oubli ces dernières décennies. Pénélope est un opéra de cantatrice. Car c’est à la star de l’époque Lucienne Bréval qu’on doit d’avoir soufflé à Fauré l’idée de composer une œuvre dont elle se voyait bien assumer le rôle-titre. Par chance, elle avait même un librettiste à lui présenter : le jeune René Fauchois, comédien et dramaturge qui écrira quelques années plus tard le célèbre Boudu sauvé des eaux. Ce dernier soumet au compositeur son histoire lointainement inspirée de L’Odyssée d’Homère tout à la gloire de l’épouse d’Ulysse. L’affaire est entendue : à plus de soixante ans, après s’être essayé au genre avec son déjà très mythologique Prométhée, Fauré accepte de composer le premier vrai opéra de sa carrière. La collaboration entre les deux hommes, le maître et le jeune talent, est loin d’être idyllique. Le premier reprochant régulièrement au second le bavardage du texte. L’œuvre passe de cinq à trois actes, sacrifie Télémaque au passage, pour se concentrer sur le couple de héros. Il faut plus de cinq ans à Fauré pour achever, tel Pénélope, son ouvrage. Cinq années de dur labeur qui le laissent, selon ses propres dires, exténué. Plutôt à l’aise dans la musique de chambre et les œuvres vocales, le compositeur fait preuve d’un grand raffinement. Privilégiant une orchestration chambriste, il parvient comme à son habitude à magnifier le chant. Et n’utilise les grandes ressources instrumentales que pour les moments clés. Au final, la partition, tout en sobriété et d’une grande sensibilité, recèle nombre de belles trouvailles qui témoignent d’une solide inspiration. Pénélope a été représenté pour la première fois à l’Opéra de Strasbourg le 24 février 1923 sous la direction de Paul Bastide, dans une mise en scène de C. Faber avec C. Mattéi dans le rôle-titre et L. Carrère dans celui d’Ulysse. C’est néanmoins une vraie nouveauté pour l’OnR.

Quelques mots sur le projet de mise en scène Opéra composé à la veille de la Première Guerre mondiale qui va plonger l’Europe dans un bain de sang, Pénélope est pleine de cette attente qui traverse à ce moment-là les sociétés. On pourrait dire qu’il s’agit même d’une grande métaphore de cette attente alors qu’on continue de penser l’artiste comme un visionnaire capable de voir l’avenir et de chanter des lendemains meilleurs. Olivier Py conçoit sa mise en scène comme un diptyque avec Ariane et BarbeBleue, de la même période, qui convoque aussi la mythologie pour mieux évoquer l’époque de la création et baigne également dans cette atmosphère attentiste. Mais à la différence de l’ouvrage de Dukas, l’attente obstinée de Pénélope est couronnée de succès puisque le couple se retrouve à la fin, ce qui nous place pleinement dans le XIXe siècle finissant. Comme à son habitude, Olivier Py a imaginé avec son fidèle scénographe Pierre-André Weitz un dispositif audacieux et en mouvement permanent fait de plusieurs scènes tournantes. Elles permettent une profusion d’images alors que l’ensemble du décor baigne dans l’eau. Pas de transposition contemporaine mais une approche intemporelle, aux couleurs symbolistes avec quelques rappels à des éléments homériques.

à écouter > Charles Dutoit, Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo, Ensemble Vocal Jean Lafforge, Jessye Norman (Pénélope), Alain Vanzo (Ulysse), Erato (1982)


Gabriel Fauré Compositeur Il est le fils de Toussaint-Honoré Fauré, instituteur à Pamiers, puis directeur de l’école, et de Marie-Antoinette-Hélène Lalène-Laprade. à neuf ans, il part pour Paris étudier à l’École Niedermeyer, école de musique classique et religieuse, qui formait alors des organistes d’église, des chefs de chœur et des maîtres de chapelle. Il y étudie onze années avec plusieurs musiciens de premier plan, dont Camille Saint-Saëns qui lui présente la musique des compositeurs contemporains de l’époque (Robert Schumann, Franz Liszt) et son directeur Gustave Lefèvre. En 1870, Fauré s’engage dans l’armée et prend part aux combats de la Guerre francoprussienne. Il retourne à Paris en octobre 1871 après la Commune et devient organiste de chœur à l’église Saint-Sulpice tout en participant régulièrement au salon de Saint-Saëns et de la célèbre chanteuse Pauline Garcia-Viardot. Il y rencontre les principaux musiciens parisiens de l’époque et forme avec eux la Société nationale de musique. En 1874, Fauré arrête de travailler à Saint-Sulpice et remplace Saint-Saëns à l’église de la Madeleine. Quand Théodore Dubois devient titulaire du grand orgue en 1877, Fauré devient maître de chapelle (maître du chœur, qu’il dirige). Malheureux suite à l’annulation de son mariage avec la fille de Pauline Viardot, il voyage à Weimar, où il rencontre Liszt, et à Cologne pour assister aux productions des Nibelungen de Richard Wagner. Fauré admire Wagner sans pour autant chercher à tomber sous son influence. En 1883, Fauré épouse Marie Frémiet (1856-1926) (fille du sculpteur Emmanuel Frémiet), avec qui il a deux fils. Pour subvenir aux besoins de sa famille, il assure les services quotidiens à l’église de la Madeleine et donne des leçons de piano et d’harmonie. C’est seulement durant l’été qu’il prend le temps de composer. Durant cette période, il écrit plusieurs œuvres importantes, de nombreuses pièces pour piano et des mélodies, mais les détruit pour la plupart après quelques présentations et n’en retient que quelques mouvements pour en réutiliser les motifs. En 1886, il fait la connaissance de la comtesse Greffulhe qui lui apporte un soutien actif. Elle l’associe à la création de la Société des grandes auditions musicales, en 1890 et fait jouer ses œuvres. Il l’appelle « Madame ma Fée », « mon roi de Bavière », et l’initie à la musique de Wagner. Il lui dédie sa Pavane, véritable « portrait musical » et lui en offre la partition. En 1892, il devient inspecteur des conservatoires de musique en province, ce qui signifie qu’il n’a plus à enseigner à des jeunes garçons ou à des adolescents. En 1896, il est nommé organiste en chef à l’église de la Madeleine et succède à Jules Massenet comme professeur de composition au Conservatoire de Paris. Il enseigne alors à de grands compositeurs comme Georges Enesco et Maurice Ravel, ou encore à Nadia Boulanger. Sa situation financière devient meilleure et sa réputation de compositeur s’affirme. En 1899, vraisemblablement dans le projet d’écrire Prométhée pour le Théâtre des Arènes, surement à Béziers pour appréhender les conditions de représentation des œuvres, Gabriel Fauré seconde Camille Saint-Saëns pour la reprise de Déjanire (créée en 1898) et sera appelé à diriger la seconde représentation de 1899. De 1903 à 1921, il est critique au Figaro. En 1905, il succède à Théodore Dubois comme directeur du Conservatoire de Paris. Aussitôt, il devient un véritable « tyran » ; il procède à de nombreux changements, rétablit la discipline et apporte du sérieux à un enseignement qui avait beaucoup vieilli. Dans le même temps, il doit faire face, à partir de 1903, à une surdité presque totale, handicap qui pourtant n’entrava en rien sa carrière. Fauré est élu à l’Institut de France en 1909. La comtesse Greffulhe soutient activement sa candidature. Il rompt alors avec la vieille Société nationale de musique. Sa responsabilité au Conservatoire, combinée à sa perte d’audition, font que sa production est grandement réduite. Pendant la Première Guerre mondiale, il reste en France. En 1920, à 75 ans, il prend sa retraite du Conservatoire. Il reçoit la même année la Grand-croix de la Légion d’honneur, une distinction encore rare pour un musicien. Il reste à l’écoute des jeunes compositeurs, en particulier les membres du Groupe des Six. Gabriel Fauré meurt d’une pneumonie à Paris le 4 novembre 1924. Des funérailles nationales ont lieu à l’église de la Madeleine.


Biographies Patrick Davin Direction musicale Présent sur le terrain de la création contemporaine ou dirigeant les œuvres du répertoire, Patrick Davin confirme une carrière ouverte à toutes les musiques. Ancien élève de Pierre Boulez et de Peter Eötvös, il a assuré la création mondiale d’œuvres de compositeurs tels que Philippe Boesmans, Bruno Mantovani, Benoît Mernier, James Dillon, Jean-Luc Hervé, Jean-Yves Bosseur, Kris Defoort et Marco Stroppa. Il a dirigé les principaux orchestres en France et en Europe, notamment dans le cadre de nombreuses productions d’opéra, tant les œuvres du répertoire (Die Zauberflöte, Carmen, La Traviata, Dialogues des carmélites, Don Giovanni ou Werther) que des œuvres du répertoire contemporain (Reigen, Yvonne, princesse de Bourgogne et Au Monde de Boesmans, The Turn of the Screw de Britten, L’Uomo dal fiore in bocca de Luc Brewaeys, The Woman Who Walked into Doors et House of the Sleeping Beauties de Kris Defoort, La Dispute de Benoît Mernier). Il est premier chef invité de l’Opéra Royal de Wallonie et directeur musical de l’Orchestre symphonique de Mulhouse. À l’OnR il a dirigé récemment Les Pêcheurs de perles de Bizet, Doctor Atomic de John Adams et Il Matrimonio segreto de Cimarosa.

olivier Py Mise en scène Né en 1965, après des études à l’ENSATT, il entre en 1987 au CNS d’Art Dramatique de Paris tout en faisant des études de théologie. En 1988, il fonde sa compagnie et assure luimême la mise en scène de ses textes. Nommé en 1998 à la direction du Centre Dramatique National/Orléans-Loiret-Centre, il prend en 2007 la direction de l’Odéon-Théâtre de l’Europe et y crée L’Orestie d’Eschyle, Les Sept contre Thèbes et Les Suppliantes d’après Eschyle, Les Enfants de Saturne, Adagio, Mitterrand, le secret et la mort. Il est également acteur de théâtre et de cinéma. Ses mises en scène d’opéra : Les Contes d’Hoffmann, Tristan und Isolde, Tannhäuser, Curlew River, Pelléas et Mélisande, The Rake’s Progress, Mathis der Maler, Les Huguenots, Carmen, Claude de Robert Badinter et Thierry Escaich, Alceste de Gluck, Aïda et Dialogues des carmélites. En 2014, il prend la direction du festival d’Avignon où il met en scène, pour la 68e édition, Vitrioli de Yannis Mavritsakis, recrée La Jeune Fille, le Diable et le Moulin d’après les contes de Grimm, et propose une création, Orlando ou l’Impatience, une comédie dont il est auteur et metteur en scène. À l’OnR il présente Les Huguenots en 2012 et Ariane et Barbe-Bleue en 2015.


Prolongements pédagogiques Arts du langage, histoire > Le personnage de Pénélope : noblesse et grandeur d’âme, une fidélité à toute épreuve > L’épopée > L’Odyssée, la Grèce antique > Réécritures de L’Odyssée d’Homère (Naissance de l’Odyssée de Jean Giono, L’Odyssée pour une tasse de thé, pièce de théâtre de Jean- Michel Ribes, Ulysse from Bagdad d’Eric-Emmanuel Schmitt, Ulysse de James Joyce, etc.) > Poésie : « Chanson du Mal-Aimé » (Alcools) d’Apollinaire, Regrets (1558) de Joachim du Bellay Arts du son > Motifs musicaux qui structurent la trame orchestrale : ceux des personnages de Pénélope, d’Ulysse et des prétendants par exemple > Chant : fluidité des lignes vocales, récitatifs et airs s’enchaînant de manière continue > Drame lyrique évoquant Wagner, Debussy et Massenet > Subtilité harmonique, écriture souvent contrapuntique (fugato) > Un final en apothéose > Gabriel Fauré et l’esprit antique > Musique et Grèce antique > Opéra de Claudio Monteverdi, Il ritorno d’Ulisse in patria et tragédie lyrique de Jean-Féry Rebel, Ulysse > Chansons : Heureux qui comme Ulysse interprétée par Brassens et Ulysse de Ridan Arts du visuel > Peinture et sculpture : représentations nombreuses de Pénélope et d’Ulysse ou du massacre des prétendants > Film O’Brother des frères Coen > Créer une bande dessinée à partir du livret Arts du quotidien > Le métier à tisser et ses interprétations : représentation du monde (dans l’Islam, Platon, etc.) > Tissu, fil, fuseau, quenouille (filage, tissage) : symboles du destin > Objets usuels de la Grèce antique et scènes de L’Odyssée (ex : Skyphos représentant Pénélope tissant et Télémaque) Arts du spectacle vivant > Ulysse, ballet contemporain de Jean-Claude Gallotta


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