N°5 Novembre 2017
LA RSPO REVISITE SES NORMES(p12) PALM’ACTU
Echos de la filière (p11)
SOMMAIRE LES NEWS DE PALMAFRIQUE L’Actu ........................................ 3 Sur le Piédestal ..................... 10 PALM’ACTU Echos de la filière ................ 11 Parlons durabilité ................. 12 AU BOULOT Droits et devoirs ................... 13
Edition : PALMAFRIQUE – Novembre 2017 Conception : Agence E-Voir
LES NEWS DE PALMAFRIQUE
L’actu ACTIVITES A PALMAFRIQUE ENTRE MAI ET SEPTEMBRE 2017 1) La fête du 1er mai Comme chaque année, PALMAFRIQUE commémore la fête du 1er mai sur tous ses sites. Et en général, le Siège se déplace de manière tournante sur chacun des sites et envoie comme représentant de la Direction Générale sur les autres sites des membres du comité de pilotage. Cette année, le siège avec à sa tête le DG M. Thierry DAVAILLE a passé la fête à Yassap.
Le DEAI d’Eloka M. KOUASSI Gilbert en compagnie de M. LOW Au programme sur chaque site, l’on a eu droit : - aux allocutions des Présidents des Comités d’Organisation, des partenaires venus participer à la fête avec nous (UCOOPEL…)
. Allocution du représentant d’UCOOPEL
Le salut aux couleurs à Yassap.
des chefs de délégation (DG, ex-Conseiller du DG, DGA)
A Anguédédou, la délégation officielle était composée du DGA, M. ETTIEN, du DFC, M. KOUADIO et du DET, M. SABEH.
Allocution du DG de PALMAFRIQUE, Thierry DAVAILLE
des DEAI Arrivée des officiels à Anguédédou A Eloka, la Direction Générale était représentée par le Secrétaire Général ( alors Conseiller du DG), M. Ben Lakp LOW et M. GOUBO Kacou Desclercs, le contrôleur de Gestion
Mot de bienvenue du DEAI de Dabou – Anguédédou, KOMOE Christian
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE des représentants du personnel…
…de Dabou…
…et Anguédédou.
L’équipe de la plantation (ci – dessus) victorieuse contre le garage
des Sous – Préfets des chefs lieu
Allocution du Sous – Préfet de Lopou, M. Diarrassouba - aux activités sportives (foot ball maracana, tire à la corde, cross)
- aux jeux divers (courses avec les œufs dans la cuillère…) - aux défilés des divers corps de métiers de la profession
Photos des équipes victorieuses de Youhoulil (ci – dessus) contre Yassap et Encadrement Dabou ci – après) contre le siège
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE - Avec l’appui et le parrainage du district sanitaire de Cocody - Bingerville, les laboratoires Strides ont mis à la disposition des travailleurs des vaccins contre la méningite, des déparasitants et le dépistage contre l’hypertension artérielle et les neuro pathologies du 19 juin au 20 juillet 2017 sur tous les sites.
Dépistage à l’infirmerie de Dabou
- aux défilés des élèves (maternelle, primaire et collège)
Dépistage au siège. Photo avec Mme Kakou A. Philomène, Directrice départementale du District sanitaire de Cocody – Bingerville - Enfin MUSAPALM a réhabilité l’école maternelle d’Anguédédou le 29 juin 2017.
2) les 10 ans de MUSAPALM Notre mutuelle a cette année 10 ans d’existence. Pour marquer cela, une série d’activités a été organisée sur tous les sites au profit des travailleurs et leurs familles.
Photo de famille de MUSAPALM avec les enfants et le Conseiller du DG
- MUSAPALM est agréée en tant que Mutuelle sociale depuis le 05 avril 2017.
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE
Discours du PCA de MUSAPALM, M. KOUADIO Alfred
Photo du 1er groupe
b) Formation du service Génie Civil 3) Formations Les membres du service Génie civil composé du chef de service et les responsables des a) Formation du corps médical infrastructures et pistes ont été formés sur le thème « Gestion et techniques d’entretien Les agents de santé de tous les sites ont des routes en terre » du 18 au 21 juillet 2017 bénéficié du 24 avril au 12 mai 2017 d’une à l’Hôtel Paris Village à l’entrée de Bingerville. formation portant sur le thème « stratégies La formation a été assurée par le cabinet JN de prévention des risques infectieux dans Consulting. un établissement médico-social ». Cette formation prévue au plan de formation du FDFP de 2017 a été exécutée par le cabinet I2C à Dabou.
REPORTAGE : LE TOURNOI INTERSITES THIERRY DAVAILLE La 1ère édition de ce tournoi regroupant Nous avons assisté au lancement officiel avec tous les sites et le partenaire COPROIL s’est les 2 matches d’ouverture. tenue du 29 juillet au 16 septembre 2017. - Samedi 29 Juillet à Dabou avec le DGA et le Chef du Département Productions Agricoles
Des trophées pour les finalistes et le meilleur buteur Coup d’envoi à 3
Ainsi que des médailles pour les 3 premiers.
Présentation des équipes de Dabou
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE - Dimanche 30 Juillet à Eloka avec le DFC, le DPI et le DEAI d’Eloka.
La fête a commencé par les mots de bienvenue du PCO, M. KOMOE C. DEAI de Dabou – Anguédédou…
…suivi par la remise des médailles des 2 PC des zones
Ces 2 rencontres se sont soldées par des scores de parité (Dabou HG vs Dabou PA : 2-2 / Eloka HG vs Eloka PA : 4-4) Nous avons été gratifiés par l’excellence des coups d’envoi des représentants de la Direction Générale.
Remise des médailles des 2 PC des zones par Mme Davaille
et du Parrain
Le tournoi s’est ainsi poursuivi jusqu’à l’arrivée du match de classement entre le siège et Eloka ainsi que le finale entre Anguédédou et Dabou. Ces 2 matchs ont eu lieu le samedi 16 septembre à Anguédédou. Notre partenaire Coproil était représenté par le Gérant, M. Adou ainsi que Mme Baussiand, Chef du Personnel et Mme Angui, Responsable financier (ci – dessous).
Partenaire Coproil représenté par Mme Baussiand, Chef du Personnel et Mme Angui, Responsable financier
Le mot du DG, parrain de la cérémonie clôt la brève série des allocutions
pour laisser place aux rencontres après la photo de famille avec les membres du Comité Central.
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE et Dabou Huilerie et Garage
Le match de classement a opposé l’équipe du siège…
A l’issue d’un match âprement disputé à 3 buts partout, il a fallu recourir aux tirs aux buts pour voir finalement l’équipe de Dabou s’incliner devant celle d’Anguédédou 1 à 2. …à celle d’Eloka qui a remporté la partie par le score sans appel de 5 à 2
Photo des médaillés d’argent avec le Gérant de Coproil Les médaillés de bronze félicités par la DRH, Mme OUFFOUE
Quant à la finale, elle a opposé les équipes d’Anguédédou / Garage…
Planant sur tout le tournoi, Coulibaly Tenan s’est imposé comme meilleur buteur avec 15 buts marqués.
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE Pour cette première édition, la meilleure équipe a été celle d’Anguédédou Garage posant ici fièrement avec le Parrain…
…et ensemble avec les sympathisants après l’effort.
Vivement, l’édition 2018 pour les revanchards ! Par M. TOURE Adama, Chargé de la Communication
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LES NEWS DE PALMAFRIQUE Sur le piedestal
Bado Badama Prosper, l’expérience fait la force « C’est quelqu’un qui a beaucoup d’expérience ». Voilà ce qui ressort des témoignages de Raphaël N’Goran, chef d’entretien, et Albéric Édjabé, magasinier second à l’Ensemble Agro-Industriel (EAI) d’Eloka, à propos de Bado Badama Prosper. Ce dernier, embauché à Palmafrique depuis bientôt 40, dirige d’une main de fer le magasin de l’usine.
Bado Badama est entré à Palmafrique, en 1976. Il est à l’époque, en poste à la palmisterie d’Eloka. D’abord en tant que journalier, il sera embauché deux ans plus tard et promu chef de poste. La mécanique, les machines, Bado Badama maîtrise. C’est son domaine. Si bien qu’il procède à des séances de coaching des nouveaux-venus. Histoire de leur montrer les bonnes pratiques concernant l’entretien des engins de l’usine. C’est lors d’une de ces séances qu’il vivra l’un des jours les plus douloureux de sa vie. Le samedi 26 juillet 1980. Date de l’accident qui lui coutera son bras droit. Il s’en rappelle comme si c’était hier. Avec beaucoup d’émotion, il relate les faits. Instant après instant. Au détail près. Jusqu’à ce qu’il soit conduit à l’hôpital. Là-bas, les médecins tentent de sauver son membre. Mais, l’ampleur des dégâts causés par les machines nécessite une amputation. C’est son frère aîné, Bado Bagnon, qui donne l’accord aux médecins, au nom de la famille. Bado Badama passe trois mois à l’hôpital et trois autres mois à la maison, pour se refaire une santé. Ses collègues de travail, sa famille, ses amis et sa fiancée, à l’époque, l’aident à surmonter cette épreuve. Sans oublier la prise en charge financière octroyée par la CNPS. « J’ai eu peur de perdre mon travail. Je pensais que je ne serais plus utile à la société », confie-t-il. Il pense même à une reconversion. S’il n’avait pas pu retourner à Palmafrique, il aurait ouvert un commerce de vente de pièces détachées. Pour ne pas rester oisif. Il n’aime pas l’oisiveté. Après ce long temps de rééducation, Bado Badama retourne à l’usine d’Eloka et reçoit un accueil chaleureux de ses collègues. Il est à un nouveau poste : magasinier en second. Il ne maitrise pas ce « nouveau métier ». Mais, il va apprendre auprès de ses chefs de l’époque : monsieur Touré et monsieur Gbassé. Il travaillera pendant plus de dix ans avant d’être promu magasinier en chef. Aujourd’hui, Bado Badama se sent totalement à l’aise à son poste. Lorsque les souvenirs de l’accident lui reviennent à l’esprit et le plongent dans une sorte de tristesse, il s’en remet « à Dieu ». C’est aussi ce qu’il préconise aux personnes qui se trouvent dans la même situation que lui et qui seraient tentées de s’apitoyer sur leur sort. Ouvert, joyeux et respectueux, comme le décrivent ses collègues, Bado Badama Prosper n’a pas fini de faire bénéficier de son expérience aux travailleurs de l’usine d’Éloka.
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PALM’ACTU Echo de la filière Infiltration & orpaillage Lors de la 6e édition des Journées de l’administration agricole décentralisée (Jaad), du 27 au 29 juillet 2017, à Aboisso, le ministre de l’Agriculture Sangafowa Coulibaly est revenu sur deux autres fléaux du foncier et de l’agriculture : l’infiltration des forêts classées et l’orpaillage clandestin.
à veiller à ce qu’elles ne soient pas attaquées, livre Le Mandat. Le ministre a également appelé les populations à ne pas s’y aventurer, car « quand viendra le moment de la répression, leurs efforts seront vains », diffuse le quotidien.
Pour le ministre de l’Agriculture, « l’orpaillage clandestin », qui sévit dans le pays, est « l’ennemi de l’agriculture », rapporte Nord-Sud Quotidien. Il exhorte les populations à faire barrage aux orpailleurs clandestins, livre le journal. Concernant les forêts classées, le ministre Sangafowa a invité le corps préfectoral
Remous dans le cacao Dans son édition du 6 juillet 2017, Aujourd’hui évoque « les fortes pluies [qui] menacent la production du cacao » de cette année. Le journal craint : l’inaccessibilité de la majorité des zones de production, avec le risque d’achat au rabais du kilogramme bord-champ ; la mauvaise qualité du cacao due à la forte humidité et aux difficultés de séchage.
autres de : « manque de contrôle, dévoiement du système de vente »
Le 1er août 2017, la directrice générale du CCC Massandjé Touré-Litsé a été « débarquée […] de son poste », rapporte Soirinfo. Ce qui l’aurait emportée, à en croire L’Intelligent d’Abidjan : « la crise des ventes anticipées, marquée par la grève des producteurs », ses plaintes en privé Au titre de la saison 2017/2018, selon l’agence concernant « des interventions des pouvoirs Ecofin, que cite Le Quotidien d’Abidjan, la Côte publics qui ne lui auraient pas laissé les mains d’Ivoire a déjà vendu par anticipation « 1 million libres pour diriger ». de tonnes de cacao ». Le quotidien rappelle que « la grave mévente du cacao pour l’exercice Remplacé par Yves Brahima Koné, « elle part après 2015/2016 est bien partie de la vente des fèves avoir entrepris une gestion sans entente parfaite de cacao par anticipation ». Conséquence : « les avec le ministre en charge de l’Agriculture, pauvres paysans se sont retrouvés ruinés à cause Mamadou Sangafowa qui se désolait de n’avoir des mauvaises prévisions des autorités », déplore aucun droit de regard dans les décisions qu’elle prenait », ébruite L’Intelligent d’Abidjan. Le Quotidien d’Abidjan. Concernant le « malaise dans la filière » cacao, Soirinfo, dans son édition du 11 juillet 2017, indexe également le Conseil café-cacao (CCC). Même son de cloche chez Notre Voie. Les deux quotidiens, reprenant un article de Jeune Afrique, accusent le Conseil café-cacao (CCC) entres
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PALM’ACTU Parlons durabilité LA RSPO REVISITE SES NORMES
No Deforestation, la grande innovation en vue La Table ronde pour l’huile de palme durable (RSPO en anglais) procède à la 3e révision de ses normes. 24 représentants constituent le Groupe de travail chargé par la plus grande entité de certification de l’huile de palme, pour examiner et mettre à jour ses principes et critères. Le groupe de travail compte trois représentants de producteurs malaisiens, trois représentants de producteurs indonésiens, trois représentants de producteurs du « reste du monde », six représentants de chaîne d’approvisionnement, trois représentants de petits exploitants, trois représentants d’ONG environnementales et trois d’ONG sociales.
No Deforestation, comprenez « aucune déforestation». C’est la proposition que la RSPO, via le Groupe de travail, élabore pour l’intégrer au critère 7.3, dans le cadre de cette 3e révision de ses normes. L’objectif visé : assurer la conservation du paysage forestier et gérer les zones de conservation selon les exigences RSPO.
Pour la RSPO, l’huile de palme durable doit inclure des aspects de l’équité sociale, du développement économique et du développement responsable, parallèlement à «aucune déforestation». Il faut donc développer une approche hautement inclusive accessible aux zones de couverture forestière les moins développées. Laquelle tient compte des besoins et des capacités des petits L’Afrique et le défi de la représentativité exploitants (de divers types et tailles) et des décisions libres, antérieures et éclairées des Les producteurs asiatiques dominent les débats. détenteurs de droits fonciers coutumiers. Le « reste du monde », comprenant l’Afrique, ne représente que la moitié des représentants des Au-dessus du critère 7.3 de l’examen du producteurs asiatiques. Ce qui est à déplorer, Groupe de travail, se trouve une description du surtout que les propositions engagent tout contexte et de l’intention de cette addition, pour le monde. Une fois encore, l’Afrique pourrait commentaires. Des propositions spécifiques subir les décisions prises par les autres, qui ne d’ajout de No Deforestation aux principes et partagent pas nécessairement ses réalités. critères seront mises à disposition Depuis le 31 juillet 2017, le Groupe de travail a finalisé son premier examen des principes et critères de la RSPO, avec des propositions de modifications. Lesquelles sont soumises à une 1ère consultation publique de soixante (60) jours, en huit (8) langues dont l’anglais et le français. Ouverte le 1er septembre à toutes les parties prenantes pour commenter les principes et critères proposés, cette consultation publique prendra fin le 30 octobre 2017. Deux (2) journées de consultation publique en présentiel sont consacrées à l’Afrique. Elles auront lieu à Accra, au Ghana. Le 10 octobre 2017, pour les anglophones. Et le 11 octobre 2017, pour les 6
lors de la deuxième phase de consultation publique. Avec cette proposition, la RSPO a décidé d’attaquer le mal à la racine. De fait, l’huile de palme a toujours été accusée par ses détracteurs de contribuer à la déforestation, à la destruction de l’environnement. Le Groupe de travail établi par la RSPO se réunit à nouveau en novembre 2017, pour examiner tous les commentaires soumis dans le cadre de la consultation publique. Il élaborera ensuite un nouveau projet de principes et critères, qui sera disponible pour une nouvelle période de consultation publique au début de l’année 2018.
Palmafrique Le Mag
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AU BOULOT Droits et devoirs liés à la retraite En Côte d’ivoire, les retraités du privé reçoivent leur pension de la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS) tandis que les retraités de la fonction publique, dépendent de la Caisse Générale de Retraite des Agents de l’Etat (CGRAE). Toutefois, il faut préciser que la CNPS prend en compte KOUAKOU Marcel, Chef du Service uniquement les travailleurs Gestion du personnel de Palmafrique. embauchés et déclarés par leurs employeurs auprès de la caisse Que ce soit sur le plan financier et dont les cotisations ont été ou le plan social, le départ à la régulièrement versées. retraite est souvent source de nombreux changements dans LM: Comment le travailleur la vie du travailleur et celle de peut-il s’assurer qu’il est ces proches. Une échéance effectivement déclaré à la qui suscite de nombreuses CNPS ? interrogations au fur à mesure qu’elle se rapproche. Quels KM: Dès lors qu’il détient un sont alors les droits du salarié numéro d’immatriculation de et, parallèlement, les devoirs de la CNPS. Ce numéro est unique l’employeur, quand vient l’heure et permanent, même en cas de la retraite? Interview avec de changement d’employeur. M.KOUAKOU Marcel Chef du En outre, une attestation Service Gestion du personnel. d’immatriculation peut être délivrée au travailleur à sa Le Mag: Comment peut-on demande. définir la retraite ? Et quelles institutions s’en occupent en LM: Quel mécanisme la loi Côte d’Ivoire ? impose-t-elle au travailleur pour l’assurance vieillesse M.Kouakou Marcel: L’on ? (cotisation, taux, assiette, peut définir la retraite comme parts employeur et employé) la disponibilité résultant de l’arrêt définitif de toute activité KM : les cotisations font l’objet professionnelle et assortie de prélèvements à la source du du paiement régulier d’une salaire par l’employeur qui les pension. Pour avoir droit à la reverse à la caisse. La cotisation pension, le salarié doit avoir se paye sur la base du salaire atteint 60 ans et avoir accompli brut imposable. Depuis 2012, au moins quinze ans d’activité le taux est de 14% du salaire salariée ayant donné lieu à des brut imposable. La part de cotisations chez un ou plusieurs l’employeur est de 7.7 % et celle employeurs affiliés à la CNPS. de l’employé est de 6.3 % de
son salaire brut. LM: Qui est responsable du paiement des cotisations du travailleur pour l’assurance vieillesse ? Et quelle en est la périodicité ? KM: L’employeur est responsable du paiement à la CNPS de l’ensemble des cotisations (part patronale et part salarié).Les cotisations sont mensuelles ou trimestrielles selon l’effectif de l’entreprise. LM: Quelle(s) sont les prestation(s) auxquelles a droit un retraité ? KM: Un retraité n’a droit qu’à sa pension de son vivant. A sa mort sa veuve et ses ayants droits mineurs ont droit à la pension de veuve et d’orphelin. LM: Quel est le montant de cette pension ? KM: La pension de retraite est calculée en pourcentage des salaires soumis à cotisation. Il est égal au produit du salaire moyen des dix meilleures années de la carrière par le taux de remplacement. Le taux de remplacement est égal au produit du taux de rendement annuel par la durée de la carrière. Ainsi ce taux de rendement est de 1,33 % par an pour la période de votre carrière déroulée avant le 1er janvier 2000 et 1,70 % par an pour la période déroulée à partir de cette date. (Source CNPS)
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