Présentation Anse Uaré

Page 1

ambition

2011 Un projet innovant

Idéalement situé à l’entrée de Ducos, un centre commercial de plus de 33 000 m², dont près de 16 000 m2 de surface de vente, doit voir le jour en 2011. Le projet est une offre réellement nouvelle dans le paysage commercial calédonien. Plus de 50 boutiques côtoieront un hypermarché de 7 700 m2.

Un défi technologique

Le toit du centre sera recouvert en grande partie de panneaux photovoltaïques, pour les besoins énergétiques du centre. Un défi et une première en Calédonie.

Un centre commercial pour tous Une crèche , une salle de sport, un centre de soins, des enseignes-sœurs de celle du centre-ville, un hypermarché, des restaurants avec terrasses et des aires de repos… Anse Uaré abritera tout ce qui caractérise un centre commercial moderne et dynamique.


Ph. Germain

Président de la société d’exploitation SCD

Mettre en pratique nos théories à travers ce projet. Si, nous avons pris l’initiative de vous présenter ce projet de centre commercial, qui n’a ni reçu les autorisations d’exploitation, ni même obtenu les autorisations d’occupation du terrain provincial, c’est simplement pour couper cours aux spéculations, et pour au contraire, exposer ses réels atouts, qui en font un projet d’intérêt général. Ce projet n’est ni une affaire politico-économique, comme certains tentent de l’expliquer, ni un projet qui portera atteinte au petit commerce ou à l’emploi, comme d’autres souhaitent le faire croire. C’est exactement tout le contraire. C’est un beau projet, dans lequel tous les calédoniens y trouveront leur compte, les consommateurs bien sûr, les commerçants, les producteurs ou les fournisseurs, c’est certain, et surtout notre jeunesse qui pourra y trouver un emploi. Mais avant de rentrer dans le détail du projet, je souhaiterai vous exposer mes motivations. Depuis 18 ans, j’œuvre pour le développement de l’industrie et je ne compte pas m’arrêter en cours de chemin. Cet engagement s’inscrit dans un objectif plus large qui est celui de la construction de notre pays. Avec quelques uns au départ, avec tout un groupe aujourd’hui, réuni au sein de la Fédération des Industries, nous travaillons pour construire un modèle économique et social adapté aux enjeux de La Nouvelle-Calédonie, et au service de ceux qui y vivent. Nous nous sommes mobilisés sur tous les sujets, sur ceux qui concernent l’industrie bien sûr et ils sont nombreux, mais aussi sur des dossiers d’intérêt général, à travers la rénovation du dialogue social, la formation, le schéma d’aménagement du territoire 2025, la vie chère, etc. Par ces actions, nous avons établi des ponts avec les institutions calédoniennes, tous les partis politiques, l’administration, les chambres consulaires, les organisations professionnelles, les syndicats de salariés, les associations de défense de l’environnement, de consommateurs, etc., le tout pour construire ensemble l’avenir de nos enfants. Ces actions, nous les menons avec nos convictions et nos valeurs, et ceux qui nous connaissent le savent bien. Nous voulons que le développement économique profite à tous, et qu’il se fasse dans le respect des personnes. C’est pourquoi, aujourd’hui, nous avons décidé, quelques industriels et moi, de mettre en pratique nos théories à travers ce projet. Ce centre commercial, qui est avant tout un ambitieux projet économique, participera au soutien de la croissance calédonienne (dans un contexte mondial morose), mais, a aussi l’ambition d’être un modèle de développement économique, social et citoyen, qui devra participer à l’évolution des pratiques et des mentalités. Nous espérons que ce projet rassemblera tous les calédoniens, car au final, il est pour eux.

Un rêve de modernité C’est un projet qui s’inscrit dans le XXIe siècle. Plus grand, plus moderne, plus innovant que ce qui existe actuellement sur le territoire, le centre commercial Anse Uaré brave la technique et transgresse les règles établies pour offrir aux Calédoniens un espace de consommation répondant aux standards internationaux.

La question est simple : la Nouvelle-Calédonie a-t-elle besoin d’un nouveau centre commercial ? La réponse est OUI, mais pas n’importe lequel. Il doit être moderne, fonctionnel et dédié au plaisir de consommer. Depuis plusieurs mois, deux sociétés, en partenariat avec le groupe Système U, travaillent à la mise au point de ce projet d’envergure qui offrira aux Calédoniens une vision moderne et réfléchie du commerce local avec en prime les notions de confort, de plaisir, de loisir et surtout de concurrence sur les prix. Pour répondre à l’accroissement de la population de Nouméa et du Grand Nouméa, mais aussi à la clientèle de Brousse, Anse Uaré sera le plus grand hypermarché du territoire, situé à l’entrée de Ducos, au niveau du rond-point Forest, harmonieux, intégré au paysage et surtout offrant une diversité de services, inégalée jusqu’à présent. Sur 15 675 m² de surface de vente, plus d’une cinquantaine de boutiques, des restaurants, des cafés, des aires de repos, un centre de soins… Et surtout un hypermarché U de 7 700 m2 intégré au complexe commercial. Rien n’a été négligé et Anse Uaré répond à ce qui se fait actuellement de mieux en matière de centre commercial.

Élégant et fonctionnel Le projet est déjà bien avancé et pourrait voir le jour dans trois ans seulement. Il est aussi à la

hauteur des attentes de la population : un centre commercial élégant, climatisé, respectueux de l’environnement et facilement accessible. Anse Uaré est également un véritable bijou architectural, en forme de vague. Ancré sur la mangrove avoisinante et bâti sur trois étages, il sera non seulement un lieu de shopping, mais aussi un lieu de détente dans un écrin végétal au bord de l’eau. Entouré de jardin paysager propice à la flânerie, Anse Uaré paraîtra comme suspendu et élancé vers le ciel. Les innovations ne s’arrêtent pas à son aspect extérieur. L’intérieur a été conçu comme un centre de vie, de consommation, de loisirs et de soins. Le bois et la couleur apporteront cette touche d’élégance indispensable et donneront un aspect chaleureux aux parties publiques du centre. Mais au-delà de l’architecture, la modernité sera également au cœur de nouvelles pratiques commerciales que les acteurs du projet pratiqueront. Dans un contexte de vie chère, Anse Uaré favorisera la concurrence loyale entre les enseignes, la promotion réfléchie et durable des produits locaux. Un seul objectif pour tous : entraîner la baisse des prix. Voilà le projet que proposent aujourd’hui ces deux sociétés. En l’absence d’une autorisation d’exploitation commerciale, un projet de cette envergure ne pourra pas voir le jour en NouvelleCalédonie avant une vingtaine d’années, du fait de l’expansion des hypermarchés existants, déjà envisagés sur les futures zones de construction alentours, mais n’offrant pas de véritables nouveautés à la Nouvelle-Calédonie, tout au moins en terme de concurrence.


P. Jacques Gérant sarl FOREST INVEST Société de promotion immobilière

Les travaux dureront entre 18 et 24 mois.

Quelques chiffres

Où se garer ?

• S uperficie totale : 33 603 m . •U n hypermarché U de 7 700 m2. • 3 moyennes surfaces totalisant 2.300 m² (textile, chaussures et bazar). • Un centre médical. • Une salle de sport. • Une crèche /garderie. • 50 boutiques • 700 m2 d’espaces de restauration. • 1 527 places de parking, dont 210 pour le personnel. • 6,9 milliards d’investissement et 250/300 emplois pendant la construction • 14 milliards de chiffre d’affaires et 425 emplois sur site.

Le stationnement se fera au rez-de-chaussée sous abri et en parking latéral. 1 527 places seront ainsi disponibles à l’abri de la chaleur et de la pluie. La galerie commerciale sera directement accessible par des « travelators ». Le projet a également pris en compte les personnes handicapées. 34 places de stationnement leurs seront dédiées à proximité des entrées, et des ascenseurs leur donneront accès aux boutiques.

2

L’accès au centre

Pourquoi avoir choisi cet emplacement ? Parce que c’est un emplacement stratégique, situé à l’entrée de la ville et à l`entrée de Ducos et desservi par la voie express qui permettra des accès faciles aux véhicules venant de toutes les directions.

Plusieurs accès sont prévus, la première depuis le rond-point Forest, la seconde par une bretelle depuis la rocade en venant du Nord. Enfin un ouvrage de franchissement au Sud se raccordera à la voie de dégagement à la hauteur de l’échangeur de Montravel.

L’avis de l’architecte « Anse Uaré est le projet qu’il manquait à la Nouvelle-Calédonie. Il illustre la volonté de proposer une nouvelle offre commerciale globale, répondant aux critères les plus modernes des centres commerciaux, désireux d’associer à l’acte de consommation les notions de confort, de plaisir, de loisir, de détente, de service, dans une enceinte de qualité, ouverte sur son environnement, à l’accès aisé Une attention toute particulière est aussi portée à l’approche environnementale par l’absence de grandes aires de stationnement en plein air, la valorisation des abords en jardins paysagers et l’optimisation des toitures en production solaire. Le projet anse Uaré s’inscrit avec force et qualité sur le territoire calédonien à l’aube du XXIe siècle.»

Pour quelles raisons avez-vous décidé d’investir dans la construction de ce Centre Commercial ? Tout simplement parce que la construction de ce Centre Commercial répond à un besoin et à une attente des calédoniens. Les études de marché et les enquêtes d’opinion que nous avons réalisées le démontrent de façon évidente : 90 % des personnes interrogées souhaitent une galerie commerciale comme celles que l’on peut trouver en Métropole ou en Australie, 7 personnes sur 10 pensent que ce centre commercial est nécessaire pour la Nouvelle-Calédonie. De plus, cet investissement s’inscrit dans le cadre du développement de mes affaires, développement que je poursuis depuis presque 30 ans dans les secteurs du commerce, de l’industrie, de l’immobilier et du tourisme. Il traduit aussi ma confiance inébranlable dans l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.

Les boutiques Véritable lieu de vie, Anse Uaré offrira la possibilité à 50 enseignes existantes ou à créer de s’ancrer dans le projet. Plusieurs partenaires ont déjà répondu présents. La diversité de l’offre a été prise en compte et rien ne manquera sur place : l’équipement de la personne avec des boutiques de prêt-à-porter, de chaussures, de sport, maroquinerie ; de l’esthétique avec salons de coiffure et d’esthétique, parfumerie, bijouterie ; des services, du pressing à la banque en passant par les agences de voyage ou immobilières, la cordonnerie ou les clés minutes ; sans oublier les incontournables fleuristes, presse, téléphonie, photo, ou encore l’optique, et la pharmacie ; sans oublier les jeunes avec un cyber café, un média store, de l’informatique, et bien d’autres magasins encore.

Quand compter-vous démarrer la construction ? Nous avons déposé toutes les demandes d’autorisation nécessaires et elles sont en cours d’instruction dans les différents services administratifs concernés. Nous aimerions commencer les travaux le plus tôt possible et si nous obtenons les autorisations nécessaires, le permis de construire sera déposé début 2009 pour un démarrage des travaux dès l’obtention du permis, et une ouverture au cours du second semestre 2011. Les travaux dureront entre 18 et 24 mois. C’est un projet d’une grande qualité que nous voulons réaliser, qui participera à l’embellissement de l’entrée de la ville de Nouméa et de Ducos. C’est un projet novateur d`un point de vue écologique qui produira à partir de panneaux solaires environ un million de kilowatts et tous ses besoins en eau chaude. Nous voulons construire un Centre Commercial dont les calédoniens soient fiers et pour longtemps. Que peut-on vous souhaiter ? Eh bien que ce projet se fasse, car c’est un projet d’intérêt général. Il s’inscrit dans le cadre du développement économique de la Nouvelle-Calédonie et de la lutte contre la vie chère, véritable fléau actuel. Il est créateur d’emploi et tant pis s’il dérange les deux groupes omniprésents aujourd’hui dans la grande distribution, et qui bien sûr feront tout pour empêcher que ce projet voit le jour. Vous savez c’est un projet économique et non pas politique qui doit rassembler et non pas diviser, ainsi preuve sera faite qu’il n’existe pas de secteurs réservés de l’économie calédonienne et qu’il n’y a pas d’obstacle à la liberté d’entreprendre.


Favoriser le petit commerce

Contrairement aux idées reçues, ce centre commercial sera une véritable aubaine pour les petits commerçants. Certains pourront y développer leur enseigne en ouvrant une seconde boutique et capter ainsi une clientèle différente. D’autres pourront se lancer dans de nouvelles franchises. Anse Uaré offrira aux commerçants qui le désirent l’opportunité d’étendre leur surface commerciale à ce centre d’un nouveau genre. Une enseigne présente en ville pourra donc ainsi capter une clientèle qui lui échappe habituellement. «Nous avons déjà rencontré les commerçants du centreville et même si certains seront naturellement hostiles à notre démarche, d’autres y voient une véritable opportunité de développement et pourquoi pas y faire venir de nouvelles marques ou de nouvelles franchises, explique Philippe Germain. L’idée n’est pas de soustraire des parts de marché aux petits commerces, mais bien de faciliter son ancrage dans le paysage commercial calédonien, en utilisant un espace supplémentaire pour le faire». Les boutiques profiteront naturellement de la dynamique lancée par l’hypermarché. Une recette qui a fait ses preuves à l’étranger depuis longtemps. Et d’ajouter « Essayons d’offrir aux calédoniens ce qu’ils recherchent en Australie, et tout le monde y trouvera son compte.. »

Effet papillon

Selon l’étude de marché réalisé par les porteurs du projet (voir page 12), 90% des personnes interrogées souhaitent la création d’un centre commercial avec une grande galerie, un renforcement de la diversité des marques proposées, de la décoration et de la beauté. 70% souhaitent aussi plus de concurrence dans les produits de grande consommation. Ces deux chiffres à eux seuls doivent suffire à convaincre de la nécessité pour la Nouvelle-Calédonie de moderniser son offre commerciale. De la concurrence naîtra l’envie de progresser. De l’envie de progresser naîtront des pratiques commerciales plus respectueuses des clients, des producteurs, etc. Anse Uaré contribuera ainsi au dynamisme économique, en proposant une offre plus en adéquation avec son temps et celle de la population. Pour Philippe Germain, il s’agit « d’une opportunité pour tous d’évoluer ».

Un véritable soutien économique A l’heure où les premières voix s’élèvent pour prédire le ralentissement économique de la Nouvelle Calédonie, craintes inspirées par le contexte de crise mondial et la baisse des cours du Nickel, ce projet de près de 7 milliards de Francs CFP tombe à point nommé. Dans sa phase de construction, de 18 à 24 mois, le centre commercial emploiera jusqu’à 300 personnes et donnera du travail à des dizaines d’entreprises, le tout, sans la moindre aide public. Dans sa phase d’exploitation, ce centre commercial génèrera près de 14 milliards de chiffres d’affaires et emploiera 425 personnes. A l’heure ou le monde, la France et surtout les départements et pays

d’outre-mer multiplient les déclarations pour soutenir l’investissement, l’économie et l’emploi, cet ambitieux projet est une opportunité économique pour la NouvelleCalédonie, et pour s’en convaincre et comme le veut l’adage, où l’on n’est jamais prophète chez soi, observons ce qui se dit ailleurs (Voir encadré «Extrait de la déclaration de Maurice CERISOLA» ci-dessous)

«Tout entrepreneur qui a un projet doit être soutenu... » Maurice CERISOLA le 10 septembre 2008

Président de l’ADIR (syndicat de l’industrie) et de la Réunion économique (MEDEF, CGPME, FRBTP (syndicat du bâtiment), CCIR (chambre de Commerce et d’Industrie, AD (agence de développement), ADIR, et FEDOM).

« Depuis plusieurs mois, les fauteurs de troubles envahissent le paysage : prix des matières premières, prix du pétrole, système bancaire mondial en perdition. L’investissement, la création d’emplois, la lutte pour l’égalité et le logement pour tous, la formation et l’innovation doivent continuer à guider nos choix. L’équipe Réunion, que nous appelons de nos vœux, L’Etat, la Région, le Département, les Intercommunalités, les Parlementaires, la Communauté Economique

avec les industries, l’agriculture, le commerce, les services, les banques, … Tout ce monde là doit tirer dans le même sens qui est celui du soutien à ceux qui osent. (…) Tout entrepreneur, quel que soit sont domaine d’activité, qui a un projet, un dossier construit, doit être soutenu, accompagné, financé. (…) J’appelle solennellement l’équipe Réunion, Préfet, Région, Département, Parlementaires, à agir très vite : après, il sera trop tard. (…) Nous avons besoin de vous et vous avez besoin de nous. Je remercie tous les responsables de continuer à faire prévaloir le bien commun et l’intérêt supérieur de l’économie qui nous concerne tous. Nous ne sommes pas seuls au monde. Ensemble, nous réussirons. »


Le respect de l’environnement

Créer un centre commercial de plus de 33 000 m2 a permis de réfléchir à un autre défi de la construction : l’environnement. Partis intégrantes du projet, plusieurs axes ont été développés pour fondre le centre dans le paysage urbain et rural de la baie de Ducos. De nos jours, les constructions modernes ne se dispensent plus d’une implication environnementale. Le projet sera forcément gourmand en énergie et les architectes ont donc élaboré des solutions sur quatre axes : la végétation, l’énergie électrique, l’alimentation en eau chaude et la réhabilitation de la mangrove.

Energies propres

de qualité. Construit en vague, le bâtiment sera certes climatisé mais de manière mesurée, puisque sa structure a été pensée pour éviter le phénomène d’étuve. L’espace sera donc ouvert et notamment éclairé naturellement par de généreuses verrières. Pour éviter le côté « tout béton », le centre sera plongé dans la verdure et des essences locales plantées tout autour de la structure principale, également pensée pour offrir un espace agréable en favorisant l’utilisation du bois. Ce dernier a plusieurs avantages : il est esthétique, résistant et imputrescible.

Energie solaire

La gestion environnementale du projet porte aussi sur les matériaux utilisés au cours de la construction que les gestionnaires souhaitent

Une mangrove comme écrin

Mais la grande « force environnementale » du projet, c’est son toit, prévu pour accueillir la plus grande surface de panneaux photovoltaïque jamais construite sur le territoire. Ces panneaux serviront à alimenter en électricité une partie du centre grâce à l’énergie solaire. Nouméa bénéficie d’un taux d’ensoleillement de 300 jours par an dont il serait dommage de ne pas profiter. D’autres panneaux seront installés à proximité des laboratoires et chambres froides de l’hypermarché et permettront de produire de l’eau chaude à moindre coût écologique. Ce projet représente une vitrine pour ce nouveau type d’énergie qui tend à se développer dans le monde entier. Encore une preuve de la modernité du site.

Aux abords du site, une mangrove survit aujourd’hui, étouffée par une eau stagnante et polluée. La mangrove est un écosystème en danger que la Nouvelle-Calédonie doit préserver. Autour de Nouméa, seuls quelques îlots subsistent, comme à Rivière-Salée, au cœur du Faubourg Blanchot ou encore à Ouémo. Anse Uaré sera situé face à cette mangrove et il apparaît indispensable de l’intégrer à la réhabilitation des lieux. Un dragage du canal est envisagé afin de favoriser la circulation de l’eau et de redonner à cet espace naturel ses lettres de noblesses. Toujours dans le souci d’offrir un nouveau cadre de vie et de rencontres, l’aménagement de cette mangrove en lieu de promenade est aussi envisagé.


Le commerce de grande consommation autrement ! Un troisième hypermarché dans le paysage calédonien est forcément accueilli comme une nouvelle concurrence. Mais dans des pratiques commerciales modernes, cette concurrence est saine. Une étude UFC-Que Choisir a démontré que les prix calédoniens étaient 96% plus élevés qu’en Métropole. Un résultat qui ne s’explique pas, si ce n’est par des pratiques commerciales désuètes. Il y a le problème des « remises différées » (remises de fin d’année pouvant aller jusqu’à 14%, payés par le fournisseur pour la vente de ses produits, répercutés aux consommateurs) rendues responsables de la vie chère et depuis prohibées en métropole par la dernière loi de modernisation de l’économie, mais encore en vigueur en Nouvelle Calédonie. Dans son rapport sur l’observatoire des marges de mai 2008, la Direction des Affaires Economiques (DAE) déclarent sur la pratique des remises différées « les relations entre fournisseurs et distributeurs sur les marchés des produits de grande consommation se trouvent déséquilibrées par ces pratiques qui s’avèrent coûteuses pour le consommateur qui paient les produits trop chers. » Mais, il y a aussi,

les marges dites « avant » les intermédiaires et autres bureaux d’achat qui participent à la hausse des prix. Dans un contexte de vie chère et par le jeu d’une faible concurrence sur les prix de la grande distribution, il semble indispensable de favoriser la compétition entre enseignes en acceptant un nouveau partenaire. Et il y a de la place pour tous.

Un marché à 130 milliards En 2008, le marché global calédonien concerné par le projet commercial, zone primaire, secondaire, tertiaire et passage est estimé à

130 milliards de FCFP. Dans 4 ans, il passera à 154 milliards FCFP*. La part du centre commercial sur le marché global devrait avoisiner les 14 milliards FCFP, soit moins de 9%. L’hypermarché seul 12 milliards FCFP et un peu moins de 2 milliards pour les moyennes surfaces et les boutiques réunies. Le Grand Nouméa traverse actuellement le plus grand bouleversement démographique et économique de son histoire avec la construction de plusieurs nouveaux quartiers. L’offre doit donc s’adapter et proposer de nouveaux centres commerciaux. Les porteurs du projet revendiquent aujourd’hui le fait que ce troisième hypermarché et le centre commercial qui lui est associé sont en concurrence directe avec les deux enseignes déjà largement implantées sur le territoire. Mais la comparaison s’arrête là. « Nous avons la volonté de nous inscrire non seulement dans ce qui se fait de mieux en 2008 en matière de construction, mais surtout en matière de bonne pratique commerciale, précise Philippe Germain. Notre premier objectif est, et restera, la lutte contre la vie chère. Il est inadmissible aujourd’hui que l’on multiplie encore les intermédiaires, les marges et les bureaux d’achats. Ce sont ces pratiques obsolètes qui contribuent aujourd’hui au maintien de prix élevés sur de nombreux produits de la vie courante. C’est contre cela que nous désirons lutter avant tout. » *Estimation faite par l’Observatoire du commerce de la CCI sur la base de l’évolution moyenne des cinq dernières années et avec une projection d’un taux d’inflation de 1.5%).

Distributeur et commerçant Grâce à son accord trouvé avec le groupe Système U, de nouvelles pratiques commerciales vont être mises en place. L’enseigne a déjà la réputation en Métropole d’avoir lancer le « U-Commerce ». Système U est né de la volonté en 1894 de plusieurs commerçants de créer une société d’achat qui a pris aujourd’hui une vraie dimension dans le paysage français. La lettre U symbolise ainsi l’union entre commerçants, fournisseurs, clients et collaborateurs. Un fonctionnement garant de la cohésion de groupe et qui conjugue la puissance d’un grand distributeur avec la proximité d’un commerçant. Ce qui fait également sa force, c’est sa grande souplesse d’adaptation au plan local. C’est sur ce modèle humain et économique que Forest Invest et SCD veulent voir développer ce centre commercial.


Soutenir

la production locale L’un des objectifs du projet est de favoriser le développement de la production locale sur le long terme et durablement. Ce centre commercial aura pour autre vocation de soutenir l’industrie, l’artisanat et l’agriculture locale, des filières de notre économie trop souvent mises à mal par la Grande Distribution. Aujourd’hui, personne ne propose véritablement aux producteurs calédoniens des contrats pérennes, leur garantissant des volumes d’achat. Les produits sont achetés au jour le jour, sans véritable gestion des productions et de la productivité. Pour remédier à ce problème récurrent qui handicape la production locale au profit de l’importation, l’hypermarché supprimera les marges arrière, négociera des prix nets, en échange d’engagement sur des volumes d’achat et participera, à son niveau, à l’organisation des filières, notamment agricoles, ce qui permettra aux producteurs de gagner en productivité donc de faire baisser les prix. Des marges préférentielles seront également appliquées sur les produits locaux afin de soutenir leur développement. Bien évidemment, aucun droit de référencement (somme à payer pour vendre un produit pour

la première fois) sera appliqué sur les produits locaux, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Enfin, une charte de partenariat sera signée entre le distributeur et les producteurs pour établir un partenariat gagnant/gagnant.

Un centre artisanal

Des produits mis en scène.

Pour valoriser le savoir faire des artisans et des créateurs locaux, un centre artisanal verra le jour dans la galerie commerciale et participera ainsi à la commercialisation et la mise en valeur des produits du terroir et de l’artisanat calédonien.

Mais la valorisation de la production locale va plus loin. Elle est également affaire de présentation des produits en magasin. Dans les rayons, les produits locaux seront mis en valeur, grâce à une présentation soignée et étudiée. Favoriser les producteurs locaux, c’est naturel et c’est profitable à la NouvelleCalédonie. C’est bon pour l’économie et l’emploi mais aussi pour le développement du savoir faire. Mais cela fait aussi du bien à l’environnement par la réduction des transports et de la consommation de carburant. C’est ce que l’on appelle le développement durable.

Il contribuera à l’attractivité du centre commercial et permettra de faire découvrir, y compris à la clientèle touristique, la richesse et la diversité des produits calédoniens. C’est une forme de commerce équitable qui sera alors pratiquée, permettant à un café de Saraméa, à un saucisson de cerf de Bourail, au miel de Koumac, à une gousse de vanille de Lifou, etc., de trouver sa place au milieu d’un espace commercial moderne. Ce centre artisanal accueillera également, toutes les productions de nos artisans-artistes locaux dont la diversité et la qualité doivent être mises en valeur.


Confidences...

Serge Papin a beau avoir pris la tête de l’un des leaders de la distribution, il n’en cultive pas moins un petit côté antisystème qui participe au charme du personnage, autant qu’à sa cote auprès du grand public.

Serge PAPIN PDG De Système U

Qui est Système U ? Aujourd’hui 4 e groupe de distribution alimentaire en France, devant Auchan et Casino, Système U est né en 1894 de la volonté des commerçants de l’ouest de la France qui fondèrent la première société d’achat groupé : le Pain Quotidien. Pendant des décennies, il ne s’agissait que d’une structure regroupant des petites épiceries et des supérettes toujours concentrées sur l’ouest de la France. En 1950, plus de 130 sociétés coopératives et 10 000 détaillants travaillent sous l’enseigne devenue UNICO. Il faudra attendre 1975 pour que soient créés les premiers magasins Super U. Aujourd’hui, les associés rassemblent 885 enseignes, 55 000 collaborateurs pour créer le groupe Système U. Aujourd’hui L’originalité des magasins U réside bien dans ce système coopératif où chaque propriétaire de magasin est indépendant. Enfin, le jeune patron de Système U, Serge PAPIN, connait bien la Nouvelle Calédonie pour y avoir fait son service militaire. Une sensibilité qui ne peut que renforcer les liens entre l’enseigne nationale et la Nouvelle Calédonie.

Même à l’école, « l’autorité, la hiérarchie surtout étaient difficiles à supporter » avoue Serge Papin. Un handicap dans certaines carrières ; pas dans la sienne. Elle commença par la rencontre de Jean-Claude Jaunait, le PDG d’Unico, qui deviendra système U. « Il était venu faire passer des entretiens fictifs aux élèves de mon école de commerce. A la fi n de l’exercice, il m’a demandé de venir travailler avec lui. » C’est le commencement de l’histoire de Serge Papin au sein de Système U, de sa vie d’adulte. Mais le rebelle qu’il était adolescent ne disparaît pas pour autant. « On ne peut réaliser ses idéaux de jeunesse qu’à l’âge mûr », et il semble que ce soit ce que Serge Papin tente de faire.

La coopérative en solution

Inadapté à la hiérarchie ? Il travaille donc dans une coopérative. Là où tous les propriétaires de magasins sont « des collaborateurs permanents » et où « il n’y a pas de divorce entre la direction et le terrain ». Antisystème ? Un peu oui Il se dit en tout cas anticapitaliste. Là encore la solution qu’il affiche est la coopérative : « Dans un projet social, on veut le bien être de ses membres. La financiarisation ne peut pas tout diriger chez nous, puisque notre intérêt est celui de tous nos membres ». Arrivé au sommet de l’entreprise, il garde pourtant l’esprit de défi. Lorsque l’on parle de la crise actuelle, il répond : « Crise vient du grec « crisis » qui signifie changement. En mandarin, le mot crise peut aussi vouloir dire chance, opportunité, selon le contexte. Pour moi, une crise est une occasion de se remettre en question, et d’évoluer. Nous changeons de forme de croissance, il suffi t de s’adapter. » Pour lui, la baisse du budget alimentaire des ménages est bien sûr imputable à la baisse de pouvoir d’achat, mais aussi à une augmentation du nombre de personnes voulant mieux consommer. Provocateur, Serge Papin avoue

d’ailleurs en faire partie. « Cette nouvelle tendance est une chance, affirme-t-il. Pour nous distributeurs, et aussi pour les agriculteurs. On leur a longtemps demandé de produire toujours plus. Maintenant, on leur demande de faire des produits accessibles, et de qualité. Le local est de nouveau privilégié. C’est une opportunité qu’ils doivent saisir pour retrouver une bonne image. » Ce retour au local est aussi une aubaine pour lui : « Je pense que le modèle du consommateur qui va remplir à ras bord son caddie pour deux semaines sera bientôt dépassé. Demain, on ira dans un commerce plus proche, acheter moins, pour une semaine, et beaucoup de frais, de local. » Si ses prévisions se confirment, ce sera champagne pour Système U, qui mise depuis ses débuts sur la proximité, et s’implante dans des petites villes.

Remise en question Mais avec la crise sont aussi arrivés les reproches à l’égard de la grande distribution. Face à cela, Serge Papin est philosophe et pratique l’autocritique. Les marges arrière ? « C’était une mauvaise chose. Je suis content de l’évolution de la loi en ce domaine ». Des prix trop élevés ? Oui. « Nous étions devenus des négociateurs de remises. On finançait des promotions régulières et importantes avec des prix trop élevés le reste de l’année. Nous devons arrêter de stimuler la consommation à tout va. De toute façon ça ne marche plus. Mon but aujourd’hui : proposer le juste prix au quotidien. » Ambitieux. Et lorsqu’on lui demande ce qu’on peut encore lui souhaiter, c’est aux agriculteurs qu’il choisit de s’adresser : « On pourrait se souhaiter à tous d’oublier l’intérêt corporatiste au profit de l’intérêt général. Producteurs, transformateurs et distributeurs doivent se parler. Arrêter de se rejeter la faute sans cesse. Après tout, nous travaillons tous pour le même client final. »


Moraliser les pratiques commerciales Marges arrières, kezako ?

Ce qui paralyse les prix calédoniens, ce ne sont pas tant les taxes que les mauvaises pratiques commerciales. Il est temps qu’en Nouvelle-Calédonie, une réforme soit lancée pour moraliser le système. Une réglementation est attendue depuis plusieurs années afin de limiter les effets pervers des fameuses marges arrière et autres budgets actuellement imposés par la grande distribution. Des pratiques qui contribuent malheureusement à la hausse des prix. L’observatoire des marges de la Direction des Affaires Economiques (DAE) de mai 2008 a démontré qu’en Nouvelle-Calédonie, les marges de la Grande Distribution sont de 35% sur l’importation et de 37% (de 2 à 84%) sur les produits locaux. Les marges arrière sont de 6 à 8% (voir encadré) et ne comprennent pas les remises et les budgets payés en supplément pour les promotions (gondoles, photo catalogues, etc.), les gratuités et le merchandising (mise en rayons) payé par les fournisseurs. Tous ces budgets plombent les prix et peuvent parfois se chiffrer en dizaine de millions à payer à la Grande Distribution. C’est une pratique anti-commerciale qui est d’ailleurs dans le collimateur du Parlement français. Ce dernier a voté en juin dernier la nouvelle loi de modernisation de l’économie (LME) qui supprime les marges arrière. En Nouvelle-Calédonie, elles sont toujours pratiquées et obligent les fournisseurs. Gare à celui qui ne veut pas suivre le mouvement. La Grande Distribution agit alors sur lui de

manière abusive en « déréférençant » par exemple ses produits. L’hypermarché U qui sera implanté à Ducos se passera de ces pratiques, qui sont d’ailleurs illégales depuis la nouvelle réglementation de 2004.

Valeurs de groupe L’hypermarché favorisera également un partenariat équitable en changeant de méthode de négociation commerciale. Il sera désormais question de respect du fournisseur et de ses employés, mais aussi de respect du consommateur. Il favorisera donc les volumes et les prix nets, pour faire baisser les prix. Comme le préconise la politique de l’enseigne U, l’homme sera au cœur du système. Une philosophie de travail qui permet de s’épanouir dans l’action collective et en définitif de tirer la qualité vers le haut et les prix vers le bas.

Il s’agit de l’ensemble des budgets que la grande distribution réclame à ses fournisseurs pour…travailler avec elle. Cela comprend notamment les RFA, « Remise de fin d’année », qui sont des remises démarrant à 1 ou 2% et pouvant aller jusqu’à 14% du chiffre d’affaires. Aujourd’hui, c’est un véritable passage obligé qui ne profite ni aux fournisseurs ni aux clients, ce que constate la DAE en déclarant à leur propos « elles constituent un profit garanti au seul bénéfice du distributeur, à la charge du fournisseur ». Ainsi, toujours selon la DAE, les produits sont vendus en moyennes 55% plus chers qu’ils ne sont payés aux fournisseurs, qui devront en sus accorder des remises et acquitter des budgets dans le cadre d’opérations promotionnelles. Ces derniers devront aussi financer le merchandising, c’est-à-dire payer le personnel qui met en rayon. Enfin, les fournisseurs devront reprendre les invendus et les produits périmés. Tout cela a un coût et une incidence sur la vie chère.

Démarche qualité, hygiène et sécurité. Le secteur agroalimentaire demande de respecter des règles strictes d’hygiène, de qualité et de sécurité dans toutes les phases de la production, de la fabrication et de la conservation des produits en magasin. Une démarche poussée en ce sens sera mise en place au sein de l’hypermarché comme dans l’ensemble du centre commercial.


Le Centre en détail Hypermarché

n 1 Hypermarché U de 7 700 m²

Moyennes surfaces n 1 magasin de vêtements de 900 m² n 1 magasin de chaussures de 600 m² n 1 magasin bazar de 800 m²

Galerie commerciale n 1 2 boutiques de vêtements (hommes, femmes, enfants) n 2 magasins de sport n 1 maroquinerie/bagagerie n 1 parfumerie n 2 bijouteries n 2 opticiens n 1 pharmacie n 1 boutique Presse, carterie, fourniture de bureau n 1 curios n 1 boutique cadeaux n 1 magasin de linge de maison, art de la table n 1 media Store n 1 magasin de jeux vidéo n 2 magasins de téléphonie n 1 magasin d’informatique n 1 cybercafé n 1 fleuriste

n1 Centre artisanal

n 2 salons de coiffure n 1 salon d’esthétique n 1 vinothèque n 2 cafés, chocolatier, snack n 1 glacier n 1 boulangerie, pâtisserie n 1 pressing n 1 cordonnerie et clés minute n 1 magasin de Photo, de reprographie n 1 agence de voyage n 1 cabinet de courtage en assurance n 1 agence immobilière n 2 banques n 1 animalerie n 1 crèche n 1 salle de sport n 1 centre médicale n 2 pôles de restauration

Une nouvelle

politique sociale Dans le paysage de la grande distribution, Système U occupe une place à part. Depuis plusieurs années, les magasins U accumulent les succès en Métropole et dans les DOM TOM aussi par sa démarche sociale. Une démarche que les porteurs du projet vont étendre à l’hypermarché calédonien. D’abord en s’assurant de la qualité des installations pour le personnel. Sur les 1 527 places de parking par exemple, 210 lui seront réservées. Les espaces de vie qui lui seront réservés seront aussi soignés que le centre commercial lui-même. Une autre première en Nouvelle-Calédonie : une crèche sera mise à leur disposition. Elle permettra de faciliter par exemple la reprise des employés après un congé de maternité ou un congé parental. L’expérience à montrer qu’une garderie en milieu de travail pouvait améliorer l’assiduité des collaborateurs, leur engagement, leur motivation et leur satisfaction au travail.

Un vaste plan de formation

Pour fidéliser ses employés et offrir un service de qualité aux clients et aux fournisseurs, l’enseigne U mettre en place, pendant la phase de construction, un programme de formation de ses futurs collaborateurs. C’est une des motivations

de l’enseigne, partagée par les promoteurs calédoniens. L’objectif sera de permettre à chaque collaborateur d’acquérir toutes les compétences professionnelles nécessaires au poste qu’il occupe, le sens du service et du contact humain. A terme, 425 emplois seront créés sur site.

Le respect comme règle de management

Le respect du client, des fournisseurs et de ses employés, mais aussi le respect dans l’entreprise, dans les rapports avec la direction bien sûr, mais également entres collaborateurs. Il n’y a pas de dialogue social sans respect. Le respect se retrouve certes dans les conditions de travail (santé, sécurité, bien-être), mais aussi dans le management à travers la reconnaissance, l’écoute, la confiance. C’est aussi une règle économique. Il n’y a pas de productivité et d’efficacité sans motivation, et donc sans respect.


97%

97% de la population considère que la vie est chère en Nouvelle Calédonie (73% très chère).

64% 90%

64% pensent qu’il faudrait plus de concurrence pour faire baisser les prix.

90% déclarent souhaiter avoir une galerie commerciale comme celles que l’on peut trouver en Métropole ou en Australie.

68%

68% de la population pense que ce centre commercial est nécessaire pour la Nouvelle Calédonie.

Enquête

consommateurs Dans le cadre du projet de construction du Centre Commercial, nous avons réalisé une enquête sur les attentes et l’intérêt des consommateurs de la zone du Grand Nouméa pour ce nouvel hypermarché. Voici les résultats de cette enquête. Le centre commercial semble être favorablement accueilli par la population du Grand Nouméa qui y voit un moyen : • de répondre à une attente fortement émise par celle-ci en matière d’offre actuelle, qui n’est pas pleinement satisfaisante, • puis de lutter contre la hausse des prix. Ces résultats sont observés auprès de l’ensemble de la population du Grand Nouméa, quels que soient les quartiers de résidence, les catégories socio-professionnelles, l’âge ou encore les grandes surfaces fréquentées actuellement.

Concernant leur motivation pour la fréquentation d’un tel centre : 61% pour le regroupement de l’offre 31% pour un choix plus grand 20% pour le parking 13% pour la nouveauté

504 personnes ont été interrogées par téléphone (sur les fixes, Mobilis et Liberté) sur l’ensemble des 4 communes du Grand Nouméa, entre le 27 octobre et le 8 novembre 2008.

L’échantillon est représentatif de la population âgée de plus de 15 ans, estimée à 172 978 personnes. La précision des résultats obtenue est de plus ou moins 6%. Brochure imprimée à 25 000 exemplaires - Impression : Artypo - Rédaction : Caroline Idoux - Maquette et réalisation : PAO Production - Photographies@ iStcokPhotos - Dessin : TEG.


Pub Artypo


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.