Notre monde est victime de la destruction et du traumatisme créant d’irréparables traumatismes à l’échelle d’une vie humaine, à l’échelle plus globale, celle de la ville et de son territoire. Je me m’interroge sur la place de l’Homme au coeur de ces catastrophes et des répercutions dans ses modes de vie, dans ces modes d’édifier. En essayant de cerner les notions chaotiques de notre monde en mutation, touchant les acteurs et les structures même de la ville, je tente ainsi de comprendre le processus de reconstruction plus ou moins favorable à la vie et celle de sa communauté. Je parle alors de résilience.