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La production de neige de culture est une des solutions pour poursuivre le développement économique de Bourg Saint Maurice / Les Arcs. Aux Arcs, ce sont les conditions de fabrication de la neige de culture qui sont artificielles (compresseurs d’air et pompes), mais la neige, en elle-même, n’est produite qu’avec de l’air et de l’eau. LA solution d’une retenue d’eau d’altitude de 400 000 m3, au lieu dit « l’Adret des Tuffes » dans la vallée de l’Arc 2000, a plusieurs avantages : - Alimentation de la réserve par les eaux de la fonte des neiges - Limitation des prélèvements dans les ruisseaux - Préservation des réseaux d’eau potable et de la production d’énergie hydro-électrique - Disposition d’un volume de stockage important, suffisant et disponible au seul usage de fabriquer de la neige de culture - Mise à disposition éventuelle d’un lac d’altitude pour un essor des activités estivales ...
L’avenir des saisons d’hiver
est en jeu !
Voici 20 questions sur la retenue d’altitude de l’Adret des Tuffes et les réponses des professionnels engagés dans ce projet :
YORK Neige – Spécialiste de la conception, de
l’installation, de la maintenance et du service des systèmes d’enneigement destinés aux stations de sports d’hiver. De plus, depuis 2005, YORK Neige Neige s’inscrit dans une démarche environnementale : Produire la « juste » neige.
CIH d’EDF – Centre d’Ingénierie Hydraulique appartenant au pôle industrie du Groupe EDF, Maître d’Œuvre de la retenue d’altitude d’Arc 2000. Certifié ISO 9001 depuis 1999, est engagé dans un processus de certification ISO 14001.
SMA – Société d’exploitation du domaine skiable des Arcs.
Certifié ISO 9001 depuis 2002, en cours de certification 18001 (sécurité du personnel) et 14001 (démarche environnementale).
1.Pourquoi avons-nous besoin d’eau supplémentaire ? YORK Neige - “Le taux moyen d’équipement en
enneigement artificiel est, en France, compris entre 15 et 20 %. Le sîte des Arcs est en déficit important par rapport à ce ratio moyen. (pour info, le taux moyen d’équipement est de 40 % en Autriche). Ce taux correspond à la surface équipée en neige de culture par rapport à la surface du domaine skiable.”
SMA - “Pour assurer correctement l’enneigement des
pistes qui sont actuellement équipées. Pour permettre d’étendre notre réseau sur les pistes de liaisons inter-stations et les pistes les plus fréquentées. Pour avoir un volume d’eau suffisant afin de pouvoir profiter au maximum des créneaux de froid qui peuvent être très courts en début de saison.”
2.Comment faisait on jusqu’à aujourd’hui ? YORK Neige - “Aujourd’hui, aux Arcs, le volume moyen
d’eau consacré annuellement à la fabrication de la neige de culture est d’environ 200 000 m3. Cette ressource provient principalement de « trop pleins » de réservoirs d’eau potable et par conséquent elle n’est disponible qu’en avant saison. Les débits des torrents de montagne sont très variables au cours de l’année, et, sont particulièrement importants à la fin du printemps lors de la fonte des neiges. L’objectif de la création de la retenue est de pouvoir stocker ce surplus d’eau et de pouvoir le réutiliser durant l’hiver sans perturber les réseaux d’eaux potables et sans prélever dans les torrents durant les périodes d’étiage (niveau moyen le plus bas d’un cours d’eau).”
• Zone entre le télésiège Clocheret et le télésiège Arpette à Arc 1600 : ce site est protégé car il se trouve dans le périmètre de captage de la source de Rocher Fendu. • Seul, le site de l’Adret des Tuffes présente l’ensemble des conditions pour réaliser une retenue d’eau. Le fait de ne réaliser qu’une seule retenue permet de limiter les impacts, car il n’y aura qu’un seul chantier et qu’une seule zone modifiée. La retenue a été particulièrement étudiée pour être intégrée dans le paysage. De plus, dans le cadre de sa gestion, elle sera intégralement remplie dès la fin juin. La géo-membrane qui assure l’étanchéité sera recouverte de matériaux provenant du site, ce qui réduira l’impact paysager si la retenue est vide. Nous profiterons également de ces travaux pour réhabiliter le paysage de la zone de l’ancienne montée du Téléski de Plan Vert.
5.Pourquoi ne puise t on pas l’eau dans l’Isère ? YORK Neige - “L’Isère est environ 800 à 900 m plus basse SMA - “Nous sommes actuellement limités dans notre production du fait que notre ressource en eau provient uniquement des « trop pleins » des réservoirs d’eau potable. Nous disposons d’eau lorsque la station est vide c’est à dire jusqu’à Noël. Ensuite la situation se complique et un pilotage très fin de l’installation est nécessaire afin d’optimiser nos ressources avec nos besoins. Jusqu’à maintenant nous avons limité l’extension de notre réseau en prenant en compte la ressource disponible.”
3.Pourquoi un projet de 400 000 m3 à l’Adret des Tuffes ? YORK Neige - “400 000 m correspondent à la 3
fabrication d’une couche de 0,8 m de neige (0,8 m est l’épaisseur moyenne fabriquée en France sur les pistes équipées de neige de culture) sur une surface de 100 ha. Par comparaison, le lac EDF de Tignes a un volume de l’ordre de 250 millions de m3.”
en altitude que le site projeté pour la nouvelle retenue. Le fait de remonter de l’eau est très énergivore (de l’ordre de 4,5 kwh par m3). De plus, la retenue nous permet d’avoir des débits instantanés importants (jusqu’à 2000 m3/h à terme) et ainsi de s’adapter au mieu aux créneaux de froid.”
SMA - “Cette solution serait très consommatrice d’énergie.
Elle nécessiterait la construction d’une usine à neige avec des pompes puissantes de façon à permettre de remonter l’eau jusqu’aux Arcs. Cette solution engendrerait un coup de production de neige très important. Il faudrait, de toute façon, créer un bassin «tampon» de 100 000 m3 pour assurer une disponibilité instantanée suffisante.”
6.Vue l’évolution du réchauffement de la planète, compter sur les eaux pluviales parait utopique, si nous vivons une période de forte sécheresse (printemps, été, automne), à quoi servira cet investissement ? surtout qu’il faudra toujours des conditions de froid favorables ?
4.Pourquoi ne pas faire plusieurs retenues moins imposantes, donc moins perturbantes au niveau de l’impact visuel et environnemental, comme dans les autres stations ?
YORK Neige - “La retenue est destinée à être remplie par
YORK Neige - “Les sites sur lesquels il est possible
fonte des neiges lorsque les cours d’eau sont en « hautes-eaux ». Les créneaux de froid pouvant être courts, nous avons besoin d’une ressource en eau suffisante afin de disposer d’une capacité importante de production instantanée pour enneiger un maximum de pistes en un minimum de temps.”
de positionner une retenue sont rares d’une part, et d’autre part, la topographie (disposition, relief du lieu) de la station est très importante. Sur le site de la Plagne par exemple, une retenue unique serait très difficile à exploiter.”
SMA - “les sites pouvant accueillir une retenue
d’altitude sont très limités, sur Les Arcs, 3 emplacements ont été étudiés : • Plan des Eaux à Arc 2000 : ce site est favorable d’un point de vue topographique, mais présente l’inconvénient d’être totalement soumis au risque d’avalanches = problèmes pour assurer la sécurité de l’ouvrage ; de plus, il se situe très haut sur le bassin versant, ce qui engendre des difficultés d’alimentation.
les eaux de fonte et non pas par les eaux pluviales. En mai et juin, le débit des torrents est de 7 à 10 fois plus important que le débit annuel moyen.”
SMA - “Le remplissage de la retenue se fera en période de
7.La qualité de la neige sur les pistes alimentées en neige de culture est très dure. On compte toujours sur des chutes naturelles pour adoucir la glisse … les traitements de surface des pistes en intersaison contribuent déjà à ce que 30 à 40 cm de neige suffisent à skier correctement. Alors à quoi sert de construire une énorme retenue d’altitude ? YORK Neige - “Tout dépend du profil de la piste. Ce qui
est vrai sur le bas de la piste « Plan des Eaux » ne l’est plus sur la piste des « Marmottes », le profil de la piste est très important. L’épaisseur moyenne produite par les installations de neige de culture est de 80 cm de neige sur la surface.”
SMA - “Nous allons continuer encore à améliorer la surface de nos pistes afin de limiter au maximum la production de neige et ainsi diminuer nos besoins en eau. Mais ces efforts ne nous permettront pas d’assurer sereinement des débuts de saisons où la neige qui tombe du ciel se fait désirer. La forte fréquentation des pistes, nous oblige, de plus en plus, à assurer dés le début d’hiver une sous-couche en neige de culture, pour conserver les pistes dans le meilleur état possible tout au long de la saison.”
8.Ne faut il pas mieux investir dans les activités parallèles pour une diversification de l’offre touristique, plutôt que de tout miser sur les pistes de ski alpin ? YORK Neige - “Aujourd’hui, un magasin de sport, ou
un restaurant réalisent environ 95 % de leur chiffre d’affaires en hiver, le tourisme d’été reste marginal en nombre et en valeur ajoutée pour l’économie locale.”
SMA - “Les stations des Arcs ont été construites
essentiellement autour de l’activité SKI : on chausse en bas de sa résidence et on revient ski aux pieds. La station s’essaye à développer des activités après-ski, mais leurs implantations restent difficiles et leur accessibilité nécessite des transports ou des créneaux horaires particuliers (ex : traîneaux à chiens, ski joëring, raquettes…).”
9.Qui va payer ? SMA - “Financement SMA en intégralité : soit + de 7 millions d’euros.”
10.Aura t on la certitude d’ouvrir et de fermer les saisons d’hiver à dates prévues et dans de bonnes conditions pour les skieurs ? YORK Neige - “La certitude non, mais au moins le risque sera maîtrisé.”
11.Est-il prévu d’utiliser ce nouveau « lac » pour des activités sportives ou ludiques ? SMA - “Il est prévu d’aménager des pontons sur les
rives du lac afin de permettre la pêche après allevinage (libération de poissons dans le lac).”
12.A t on prévu les risques de gel de ce lac artificiel ? CIH d’EDF - “OUI, les risques de gel ont été étudiés.
L’analyse des températures relevées sur la station d’Arc 2000 montre qu’une couche de glace d’une épaisseur comprise entre 40 et 80 cm serait susceptible de se former chaque année dans la retenue suivant la rigueur de la période froide et l’importance des chutes de neige. Dans les faits, l’épaisseur de cette couche sera cependant réduite par la présence d’un système de bullage à air comprimé ayant pour effet d’homogénéiser la température de l’eau dans le bassin. La couche
de glace formée ne sera pas préjudiciable à la sûreté des ouvrages car contrairement à d’autres retenues d’altitude, le choix a été fait de protéger la géo-membrane d’étanchéité par deux couches de confinement en graviers et enrochements. D’autre part, la couche de glace ne sera pas non plus préjudiciable à l’exploitation de la retenue, les ouvrages de prise et d’alimentation étant situés en fond de bassin.”
YORK Neige - “Le lac sera équipé d’un système de
brassage qui assurera une circulation continue de l’eau et évitera ainsi à cette dernière de prendre en glace sur la totalité de la surface. Ces dispositifs sont d’ores et déjà utilisés sur les autres sites.”
13.Comment sont évalués les risques de rupture de ce « barrage », a t on déjà réfléchi à un plan de sécurité publique surtout pour les sites d’Arc 2000, 1950 et même Villaroger ? CIH d’EDF - “Du fait de sa situation en amont des stations
d’Arc 2000 et 1950, la conception de la retenue d’altitude de l’Adret des Tuffes a été menée de manière à offrir un degré de sécurité supérieur à la pratique courante pour ce type d’ouvrages. Pour ce faire, l’ensemble des risques naturels pouvant potentiellement impacter la retenue ont été étudiés et pris en compte dans les dimensionnements des ouvrages : crues, séismes, chutes de blocs, glissements de terrain, avalanches, laves torrentielles, vent, glace. La protection, vis-à-vis de chacun de ces risques, a ensuite été renforcée au travers de deux dispositions principales : • construction d’une revanche (hauteur entre la cote des plus hautes eaux et le sommet de la digue) de 1,5m permettant d’éviter la sur-verse par dessus le barrage (ce scénario découlerait d’une crue rarissime avec, dans le même temps, un vent extrême et une prise de glace des talus) ; • protection de la queue de retenue par une digue amont faisant office de paravalanche, pare-blocs et pare-lave torrentielle, rehaussée de 2,1 m par rapport à la cote de crête du reste de la retenue.”
14.Cette production de neige ne risque t elle pas de fragiliser les sols et d’occasionner des glissements de terrain ou des crues des cours d’eau (on garde tous le souvenir de La Ravoire) ? CIH d’EDF - “Une étude d’onde de submersion a montré
que dans l’hypothèse extrêmement improbable d’une rupture du barrage : • le site d’Arc 2000 ne serait pas atteint par l’écoulement ; • le site d’Arc 1950 ne serait touché que par une très faible fraction du débit, la majeure partie de l’écoulement restant contenue dans le lit du torrent de l’Arc. Le site d’Arc 1950 étant situé à moins de 1 km de la future retenue d’altitude, il ne serait d’ailleurs matériellement pas possible d’alerter et d’évacuer les populations à temps en cas d’accident.
La sécurité publique sera donc assurée au travers d’une conception maîtrisée des ouvrages. Un contrôle renforcé des travaux au moment de la construction et une surveillance permanente du bon comportement de la retenue seront assurés pendant toute la vie de l’ouvrage. Toutes ces dispositions devront recevoir l’obtention d’un avis favorable du Comité Technique Permanent des Barrages, organisme devant être consulté pour tout ouvrage d’importance pouvant intéresser la sécurité publique, avant l’obtention de l’autorisation préfectorale permettant sa réalisation. Il est à noter par ailleurs que les lieux-dits des Chavonnes et de Pierre Grosse n’étant pas occupés, aucune habitation de la commune de Villaroger n’est donc située dans le thalweg (ligne joignant les points les plus bas) du torrent de Pissevielle, dans lequel s’écoulerait, en cas de rupture, le volume d’eau stocké par la retenue. L’étude des conséquences d’une rupture du barrage montre également que la montée du niveau d’eau engendrée dans l’Isère à l’amont de la confluence avec le torrent de Pissevielle n’atteindrait aucune habitation. La commune de Villaroger n’est par conséquent pas concernée par le risque de rupture de la retenue.”
15.Quels secteurs seront desservis par les eaux de la retenue ? Prendre de l’eau tombée naturellement à Arc 2000 et la déverser sur 1600 et 1800 ; n’y aura t il pas de risques hydrogéologiques ? SMA - “Les 3 secteurs de la station (Arc 1600, 1800 et
• la « grenouille rousse » : après accord de la DDAF (Direction Départementale de l’Agriculture et des Forêts), il a été décidé de transférer ces populations dans une zone présentant des caractéristiques similaires (Le Marais à Arc 2000), afin de pouvoir réaliser le projet sans porter atteinte à cette espèce ; • La « Primevère du Piémont » : cette fleur protégée est, en fait, présente en abondance aux Arcs !! La présence de cette fleur nous a obligé à adapter le projet de façon à ne pas détruire les espèces présentes.”
17.Comment cette retenue sera t elle intégrée dans le paysage ? Est-ce que l’impact visuel est réfléchi et pris en compte ? SMA - “L’ensemble de la zone des travaux sera réhabilité
grâce à de l’engazonnement. La pente des talus de la retenue a été étudiée pour permettre une re- végétalisation rapide et durable. La retenue sera pleine dés la fin juin. La production de neige commencera début novembre, pour limiter l’impact visuel de la retenue pendant toute la période où la zone n’est pas enneigée. L’aspect visuel sera un lac d’altitude.”
18.L’eau sera stagnante. Ce « bouillon de culture » riche en bactéries diverses et variées, va être déversé sur le domaine skiable. Y a t il des risques de contamination des sources d’eau potable ?
2000) seront desservis par la retenue. Il y a effectivement un changement de «bassin versant», lorsque nous produisons de la neige pour le versant 1600 - 1800 (l’eau provenant d’Arc 2000), mais ce basculement d’eau à un impact très limité, car la surface de ce versant est immense par rapport au volume d’eau qui sera transféré. De plus, ce transfert d’eau se fait sous la forme de neige de culture, qui, de part ces caractéristiques de densité, fond beaucoup plus lentement, assurant un retour progressif des eaux dans les torrents du versant.”
SMA - “La retenue se trouvant en altitude permet de limiter
16.Cette zone de l’Adret des Tuffes doit faire l’objet de mesures de protection de la faune et de la flore ; qu’est il prévu pour la préservation du milieu naturel et la réduction des zones d’alpage ?
ne sera prise qu’après obtention de l’arrêté préfectoral autorisant la réalisation de ce projet. Les travaux seront contrôlés en permanence pendant leur réalisation par le Maître d’Œuvre qui aura été agréé auparavant par le Comité Technique Permanent des Barrages (CTPB) avec une validation par le service chargé du contrôle de ce barrage, la DDAF de Savoie.”
SMA - “Ce sîte ne fait l’objet d’aucun zonage de
protection. Malgré cela, de nombreux inventaires faunistiques et floristiques ont été réalisés depuis 2004, et nous avons identifié 2 espèces protégées :
le développement de bactéries. Le réseau de neige de culture étant isolé des autres réseaux d’eau, les contaminations ne peuvent être effectives. Cependant, par mesure de sécurité, et pour faire disparaître le risque, nous mettrons en place un système qui rend l’eau potable par traitement UV.”
19.Qui certifie de la conformité et de l’autorisation des travaux ? Quel est le processus de décision ? CIH d’EDF - “La décision finale d’engagement des travaux
20.Qui sera garant de la sécurité de cette retenue ? CIH d’EDF - “La sécurité de la retenue est garantie par le
suivi de la procédure de saisine (autorisation de justice) du Comité Technique Permanent des Barrages (CTPB) pendant la mise au point du projet avant sa construction. Ce comité, rattaché directement au cabinet du Premier Ministre, est composé de 8 membres dont l’expertise est reconnue dans les différentes disciplines intéressant le domaine des barrages et de leur sécurité. La procédure de consultation du CTPB comprend deux étapes : • avis sur l’avant-projet après remise et soutenance d’un dossier préliminaire ; • avis définitif sur le projet après remise et soutenance d’un dossier définitif. Le projet a reçu un avis favorable du CTPB quant au choix du site, du type d’ouvrage et à son implantation suite à la séance de présentation du dossier préliminaire le 28 septembre 2006. Le dossier définitif sera remis au CTPB à la fin janvier 2007. Ce dernier remettra son avis final sur le projet avant de pouvoir obtenir l’arrêté préfectoral permettant d’engager les travaux. Une fois en exploitation, c’est le service du contrôle du cours d’eau (la DDAF de Savoie) qui sera le garant de la sécurité de l’ouvrage en s’assurant que la SMA respecte bien les consignes d’exploitation prévues et en effectuant tous les contrôles prévus pour les grands barrages conformément à la réglementation en vigueur.”
Habitants de la vallée de Bourg Saint Maurice
SOUTENEZ CE PROJET Manifestez vos encouragements pour ce projet de retenue d’altitude de l’Adret des Tuffes à Arc 2000, à partir du 4 janvier jusqu’au 6 février 2006, auprès de votre Mairie : - Bourg Saint Maurice, dans les locaux des services techniques de la rue Pinon, du lundi au jeudi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 et le vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 16h30. - Villaroger, à la Mairie, du mardi au jeudi de 8h15 à 12h et de 13h30 à 17h30 et le vendredi de 8h15 à 12h. - Séez à la Mairie, le lundi de 8h à 12h, du mardi au jeudi de 8h à 12h et de 13h30 à 18h et le vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h. Pour les personnes qui ne pourront se rendre sur place, elles pourront adresser leur soutien par courrier à : Commissaire enquêteur - Services techniques Rue Pinon - 73700 Bourg Saint Maurice. De plus le commissaire enquêteur assurera des permanences : - le 4 janvier : • aux services techniques de Bourg Saint Maurice de 10h à 12h • en Mairie de Séez de 13h30 à 15h30. - le 9 janvier : • en Mairie de Villaroger de 14h à 16h. - le 22 janvier : • en Mairie de Séez de 10h à 12h • aux services techniques de Bourg Saint Maurice de 13h30 à 15h30. - en 6 février : • en Mairie de Villaroger de 15h30 à 17h30.
Votre soutien permettra d’envisager l’avenir de notre station de façon plus pérenne MERCI ! Pour plus d’information, Cédric Perretier (Service des Pistes - SMA) est à votre disposition : 04 79 04 24 00
Crédit photos : SMA / Scalp - SMA – SA au capital social de 17 756 460 euros - Siège social : Chalet des Villards – Arc 1800 - 73700 Bourg Saint Maurice N° RCS d’Albertville 076 520 568 - Document non contractuel Afin de préserver l’environnement, cette carte à été imprimée sur du papier 100% recyclé.